créditer de bonnes lois, se soumettent eux-mêmes à d’anciens abus.
Tome
I, p. 2 Pour n’avoir pas trouvé bonne cette Co
intitulée Élomire Hypocondre. Élomire est l’anagramme de Molière.
Tome
I, p. 4 C’est dans les Dialogues d’Érasme3, qu
blent aux Précieuses Ridicules, et aux Femmes Savantes de Molière.
Tome
I, p. 33-34 1704, Furetiriana, p. 103-105 1705
ui s’en acquittera mieux que lui ». 1801, Moliérana, 61, p. 99
Tome
I, p. 45 Benserade* avait attaqué Molière qui
it faits ; ce qui piqua également et Benserade* et son Protecteur.
Tome
I, p. 62-63 1705, Grimarest, p. 40-42 Molière
n5 qui ordonnait souvent la saignée. 1801, Moliérana, 7, p. 38
Tome
I, p. 66 La Critique de quelques Comédiens de
an de Molière : Hors Molière, pour vous il n’est point de salut.
Tome
I, p. 70-71 Boileau n’était pas content de ces
ers de Rotrou : J’étais chez nous longtemps avant que d’arriver.
Tome
I, p. 71 1705, Grimarest, p. 103-104 Madame Da
M. Perrault* gagnerait sa cause. » 1801, Moliérana, 39, p. 69
Tome
I, p. 71 « J’étais hier à la Comédie, disait u
te divertissante : c’est bien dommage qu’elle apprenne à pécher. »
Tome
I, p. 72 Avant Molière, un Poète Italien, Ludo
au véritable Amphitrion pour les dettes contractées par le Dieu ».
Tome
I, p. 155-156 Mlle Beauval, Actrice de la Trou
qu’après la Pièce, le Roi dit à Molière : Je reçois votre Actrice.
Tome
I, p. 128 Cette excellente Pièce avait été don
avec empressement, ce qu’on avait méprisé peu de temps auparavant.
Tome
I, p. 128 Cette Comédie a été traduite en plus
33, plus de trente représentations, passe pour une des meilleures.
Tome
I, p. 128 M. Riccoboni13, dans ses remarques s
uve le commencement de la sixième Scène du Second Acte de l’Avare.
Tome
I, p. 128 1704, Furetiriana, p. 103-105 1705,
pas ri, du moins intérieurement ». 1801, Moliérana, 61, p. 99
Tome
I, p. 129 Molière était sujet à un mal de poit
e fluxion ne vous sied point mal ; et vous avez grâce à tousser ».
Tome
I, p. 129 Béjar le Comédien18, qui fut camarad
de boiteux, toute autre injure qui vient dans la tête de l’Acteur.
Tome
I, p. 155 On prétend que Molière a peint le ca
Molière n’a eu que des vues générales en composant ce personnage.
Tome
I, p. 155 On disait que le Philosophe de cette
uteur, qui fit emprunter son chapeau pour le donner à Du Croissy*.
Tome
I, p. 155 À la première représentation de cett
ire à l’avantage de cette Pièce. 1801, Moliérana, 12, p. 43-44
Tome
I, p. 156 Molière, dans cette même Comédie, a
les défauts que ce Valet relève dans le portrait de sa Maîtresse.
Tome
I, p. 156 Lully* ayant traité d’une charge de
achant que lui répondre, lui expédia un ordre qui le fit recevoir.
Tome
I, p. 156-157 L’ambassadeur de Siam, étant à P
it l’argent de l’Avare serait prise, et que l’Avare serait trompé.
Tome
I, p. 176 Le Carnaval : Lorsque cette Mascara
en 1675, pour amuser le Public, après qu’on en eut régalé la Cour.
Tome
I, p. 178 La Casaque : C’est une de ces petit
, et qu’il faisait jouer ensuite à Paris après les grandes Pièces.
Tome
I, p. 213 La Scène cinquième du troisième Acte
olière a si agréablement rimées. 1801, Moliérana, 36, p. 64-67
Tome
I, p. 213 1705, Grimarest, p. 21-23 Un Bourgeo
n être quitte à si bon marché ». 1801, Moliérana, 37, p. 67-68
Tome
I, p. 213 ; tome III p. 368 Cette petite Coméd
i bon marché ». 1801, Moliérana, 37, p. 67-68 Tome I, p. 213 ;
tome
III p. 368 Cette petite Comédie est tirée d’un
il avait pris le parti de la faire imprimer, et de la lui dédier.
Tome
I, p. 224 Cette petite Pièce est une peinture
furent faits exprès pour lui, par Molière, à ce que l’on prétend.
Tome
I, p. 224 À la Scène seizième de cette Comédie
et joignait à cette qualité celle de Valet-de-chambre de Monsieur.
Tome
I, p. 225 Mde. de Villarceaux31, dont le mari
Molière en fit sa dix-neuvième Scène de la Comtesse d’Escarbagnas.
Tome
I, p. 226-227 Mlle Molière* rentrait dans sa l
Ledoux et La Tourelle furent punies devant la porte de la Comédie.
Tome
I, p. 230 Il parait que la Princesse d’Élide d
d’Élide de Molière a pu fournir le sujet de la Coquette Fixée 36.
Tome
I, p. 242 On trouve dans cette Comédie37 la mê
pin L’autre Philippin Allez la chercher ; en ai-je une douzaine ?
Tome
I, p. 255 Une Comédie Italienne du Sechi 39, i
vait été jouée auparavant aux États de Languedoc, tenus à Béziers.
Tome
I, p. 270, 271 Molière avait fait cette petite
i était perdu depuis longtemps, et qui a toujours subsisté depuis.
Tome
I, p. 270-271 Outre Le Docteur Amoureux, Moliè
st un Canevas, quoi qu’informe du troisième Acte de George Dandin.
Tome
I, p. 271 1742, Bolaeana, p. 31-32 Despréaux n
sible de revenir sur ses ouvrages. 1801, Moliérana, 62, p. 100
Tome
I, p. 271 1721, Segraisiana, p. 212-214 Ce fur
plus qu’à étudier le monde. » 1801, Moliérana, 64, p. 100-101
Tome
I, p. 272-273 Molière joua le rôle de Dom Garc
de l’Acte second, qui sont dans la sixième Scène de l’Amphitrion.
Tome
I, p. 274 1705, Grimarest, p. 76-77 Don Quich
ait grande fortune au Théâtre. 1801, Moliérana, 72, p. 106-108
Tome
I, p. 282 L’idée principale de cette Comédie [
ir qu’il est son Rival, des faveurs qu’il obtient de sa Maîtresse.
Tome
I, p. 282-283 1705, Grimarest, p. 27-29 L’Éco
au Duc d’une manière assez vive. 1801, Moliérana, 40, p. 69-70
Tome
I, p. 283-284 Mlle Debrie*, grande et bien fai
qu’à ce qu’elle quitta le Théâtre. Elle le jouait encore à 65 ans.
Tome
I, p. 284 Thomas Corneille* se faisait appeler
e L’Île en prit le nom pompeux.45 1801, Moliérana, 11, p. 42
Tome
I, p. 284-285 Despréaux disait que, lisant à M
côté de Chrysalde : Il est un peu blessé sur certaines matières.
Tome
I, p. 285 Stances de Despréaux à Molière, sur
Tu ne leur déplairais pas tant. 1801, Moliérana, 58, p. 95-96
Tome
I, p. 285-286 Cette petite Pièce [La Critique
jet, croyant qu’il était seul capable de se donner des louanges ».
Tome
I, p. 286-287 Cette Pièce [l’École des maris]
ne jeune pupille dont le vieillard amoureux se trouvait le tuteur.
Tome
I, p. 288 Cette Comédie49 fut précédée d’un Pr
a femme : à moins cependant que cette dédicace ne soit une feinte.
Tome
I, p. 321-322 Il y a dans cette Pièce une Scèn
et qu’un autre jouit maintenant de mon mal et de mon dommage !55.
Tome
I, p. 326-327 1705, Grimarest, p. 12-15 C’est
suivre l’impulsion de son génie. 1801, Moliérana, 2, p. 34-35
Tome
I, p. 335 M. Fouquet* engagea Molière à compos
les vers que M. Pélisson* avait faits et qui servent de Prologue.
Tome
I, p. 335-336 Bien des gens ont cru que Chapel
disait-on, le plus beau naturel et les plus heureuses négligences.
Tome
I, p. 336-337 [1693] 1715, Ménagiana, tome III
ureuses négligences. Tome I, p. 336-337 [1693] 1715, Ménagiana,
tome
III, p. 24 1705, Grimarest, p. 26-27 Le Roi, en s
termes dont il devait se servir. 1801, Moliérana, 38, p. 68-69
Tome
I, p. 337 Cette Farce57 était sans doute le Ca
lgré lui, que Molière n’appelait jamais autrement que le Fagoteux.
Tome
I, p. 316 Corneille dit qu’en travaillant à ce
tenait, et que j’ai fait mettre en vers par ledit Sieur Corneille.
Tome
I, p. 354 Le Silence du Roi sur cette Comédie
e était très-bonne, et qu’elle lui avait fait beaucoup de plaisir.
Tome
I, p. 354 1724, Carpentariana, p. 55-56 Molièr
ai, il fait honneur à Ménage*. 1801, Moliérana, 65, p. 101-102
Tome
I, p. 355 L’Abbé Cotin*, irrité contre Despréa
héâtre, à la risée publique, dans la Comédie des Femmes savantes.
Tome
I, p. 355-356 cf. 1742, Bolaeana, p. 34 Boilea
t Molière sut si bien faire son profit dans sa Scène incomparable.
Tome
I, p. 356 Molière fit acheter un des habits de
endant que Molière désavouait. » 1801, Moliérana, 25, p. 52-53
Tome
I, p. 357-359 L’auteur de Bolaeana dit, au suj
de Charlatan, qui sait mettre à propos du baume sur les plaies. »
Tome
I, p. 360-361 Cette Comédie a reçu sur le Théâ
st cette dernière qu’on joue présentement sur le Théâtre Français.
Tome
I, p. 360-361 Molière a inséré, dans cette Piè
ai rien oublié, je n’ai rien ajouté Que désiriez-vous plus ? Etc.
Tome
I, p. 361 Molière, en traitant le sujet bizarr
pour l’amour de l’humanité. » 1801, Moliérana, 93, p. 136-138
Tome
I, p. 392-393 Cette Pièce est en partie une de
de la plus grande partie des Spectateurs, et soutenir son Théâtre.
Tome
I, p. 394-395 1705, Grimarest, p. 165 Quand Bo
re reconnaître ; et la Pièce finit. 1801, Moliérana, 57, p. 94
Tome
I, p. 408 1705, Grimarest, p. 104-106 Le sujet
ont mis en usage depuis avec succès. 1801, Moliérana, 9, p. 41
Tome
I, p. 412 Ce titre74 semble indiquer le Caneva
beries de Scapin, où ce dernier fait mettre Géronte75 dans un sac.
Tome
I, p. 414 Ne serait-ce point ici le modèle76 s
ère aurait travaillé son Thomas Diafoirus77 du Malade Imaginaire ?
Tome
I, p. 452 Cette Pièce[ ? ? ?] était une répons
âteau et de Villiers y jouaient des rôles sous leurs noms propres.
Tome
I, p. 453-454 Cette Pièce [L’impromptu de Vers
on découvrait le ton faux et outré de leur déclamation chantante.
Tome
I, p. 470-471 On trouve, dans cette Farce, un
es Italiens qui ne pouvaient divertir que par le jeu du théâtre ».
Tome
I, p. 506 1705, Grimarest, p. 153-155 C’est ic
, où il fut suffoqué d’un vomissement de sang, le 17 février 1673.
Tome
I, p. 506 1705, Grimarest, p. 161 1715, Ménagi
r 1673. Tome I, p. 506 1705, Grimarest, p. 161 1715, Ménagiana,
tome
I, p. 78 Quand Molière mourut, plusieurs mauvais
Molière me présentât la vôtre ! 1801, Moliérana, 51, p. 85-86
Tome
I, p. 507 Deux mois avant la mort de Molière,
e, et à dévouer son dos à toutes les bastonnades de la Comédie » !
Tome
I, p. 507-50879 Dans le temps que Molière com
ire. En le ridiculisant, Molière lui ouvrit la voie des richesses.
Tome
I, p. 508 Le latin macaronique, qui fait tant
ant ensemble avec Mlle Ninon de Lenclos* et Madame de la Sablière.
Tome
I, p. 508-509 Dans la même Pièce, l’Apothicair
on voit bien que vous n’avez pas coutume de parler à des visages »
Tome
I, p. 509 Le mari de Mlle Beauval était un fai
e lui a donné de meilleures leçons que les miennes pour ce rôle ».
Tome
I, p. 509-511 1705, Grimarest, p. 71-75 Peu de
st point entrée gratis à la Comédie. 1801, Moliérana, 4, p. 36
Tome
I, p. 518 1730, ****Ana, p. 18 Le fameux Comte
ec vous, pour finir cette affaire. » 1801, Moliérana, 3, p. 35
Tome
I, p. 518 Cette Pièce [Le Mariage Forcé] fut r
où Louis XIV dansa. Elle fut mise en vers par un anonyme, en 1674.
Tome
I, p. 532 L’Auteur composa cette Farce de plus
manuscrit à la Bibliothèque du Roi, et qui a été imprimé en 1756.
Tome
I, p. 533 Il y a une anecdote assez plaisante
lagena, Vacua cur jaces ? 1801, Moliérana, 8, p. 39-40
Tome
I, p. 533 Le Perruquier dont parle Despréaux d
t leur caractère dans la première Scène de son Médecin malgré lui.
Tome
I, p. 537 Molière n’avait composé que les deux
de fleurs au présent du moineau que Mirtil donnait à sa Maîtresse.
Tome
I, p. 558 C’est la Pastorale de Molière, dont
teur ; et obtint de Monseigneur, un ordre de faire jouer la Pièce.
Tome
I, p. 559 Le Père Geoffroy88, Jésuite, fit jou
e Misanthrope : mais différente à tous égards de celle de Molière.
Tome
I, p. 559 Les comédiens avaient jugé peu favor
is toujours suivi du Misanthrope. La farce fit écouter la Comédie.
Tome
I, p. 559 On rapporte un fait singulier, qui p
ôt un succès des plus éclatants. 1801, Moliérana, 31, p. 59-61
Tome
I, p. 559 Les ennemis de Molière voulurent per
ssembler au Misanthrope de Molière. 1801, Moliérana, 33, p. 62
Tome
I, p. 559-560 1705, Grimarest, p. 101 Les faux
riter la dernière rigueur, etc. 1801, Moliérana, 49, p. 81-82
Tome
I, p. 560-561 Boileau racontait que Molière, a
fourni une plus longue carrière. 1801, Moliérana, 41, p. 71-72
Tome
I, p. 560-561 1742, Bolaeana, p. 151 Il y a da
Second Acte de son Misanthrope. 1801, Moliérana, 34, p. 62-63
Tome
I, p. 561 Lorsque Molière donna son Misanthrop
urnez-y ; et examinez-la mieux » 1801, Moliérana, 32, p. 61-62
Tome
I, p. 561 Baron* prétendait que la force et le
que les ris, s’il en eût échappé, n’eussent pas été comme forcés.
Tome
I, p. 561 Angelo, Docteur de l’ancienne Troupe
es, ou tout au plus tard un mois après, on représenta cette Pièce.
Tome
II, p. 7-8 Brécourt* a été un bon Comédien dan
uis XIV, charmé de son jeu : Cet homme-là ferait rire une pierre.
Tome
II, p. 41 Cette Pastorale96 faisait partie du
ne fit pas jouer un rôle bien brillant à Molière dans cette Fête.
Tome
II, p. 93-94 Lorsqu’on reprochait à Molière d’
ire à la plupart de ses critiques. 1801, Moliérana, 88, p. 132
Tome
II, p. 94 La Troupe de Molière fit doubler, po
dinaire des places, qui n’était alors que de dix sols au Parterre.
Tome
II, p. 95 1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en
erre. Tome II, p. 95 1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en 1715 :
tome
I, p. 251-252 ; tome II, p. 65) 1705, Grimarest,
95 1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en 1715 : tome I, p. 251-252 ;
tome
II, p. 65) 1705, Grimarest, p. 19-20 Tout l’Hôtel
et adoré ce que nous avons brûlé. » 1801, Moliérana, 13, p. 44
Tome
II, p. 95 1705, Grimarest, p. 20 Un jour qu’on
ière ; voilà la bonne Comédie. » 1801, Moliérana, 14, p. 44-45
Tome
II, p. 95-96 Depuis 1673, année dans laquelle
leurs Pièces de vers heureux. Voici comme ce genre s’introduisit.
Tome
II, p. 102-103 Cette Pièce faisait partie des
ccoboni, qui les fit jouer dans son pays avant de venir en France.
Tome
II, p. 109 Molière ne put faire que le premier
et les paroles de la Plainte Italienne. Voyez Pirame de la Serre.
Tome
II, p. 109-110 Baron, fils du fameux Baron*, C
Baron ; et elle rompit, pour ce dernier, avec son Altesse Royale.
Tome
II, p. 110 La superbe Salle des Machines, cons
dans laquelle nous voyons aujourd’hui les Comédiens de la Nation.
Tome
II, p. 110 M. de la Motte104 disait que le Rom
lus varié, et que ce sujet eût pu seul lui faire inventer l’Opéra.
Tome
II, p. 120 Cette Pièce, très ancienne en Itali
arivaux surtout, en a très bien profité dans l’Heureux Stratagème.
Tome
II, p. 169 Molière, bien moins satisfait que p
Comique. Voyez les Amants Magnifiques. Voyez la Pastorale Comique.
Tome
II, p. 169-170 C’est dans la troisième Scène d
is qu’il se doit justice ; et qu’il en est le seul dispensateur. »
Tome
II, p. 202 Cette Comédie n’est qu’une traducti
et notamment le caractère de la Belle-mère, et tout le dénouement.
Tome
II, p. 202 Voici une Comédie qui a fait beauco
eine d’abomination ; et l’on trouvait rien qui ne méritait le feu.
Tome
II, p. 202 Lorsque Molière donna son Tartuffe,
aire des sermons sur le Théâtre » ? 1801, Moliérana, 21, p. 50
Tome
II, p. 202-203108 Les trois premiers Actes du
heveux, un grand collet111, une épée et des dentelles sur l’habit.
Tome
II, p. 203-204 Louis XIV marchait vers la Lorr
cette Scène ; Molière l’en fit ressouvenir, et ne lui déplut pas.
Tome
II, p. 203 On a ignoré longtemps où Molière av
son Imposteur le nom Tartuffe. 1801, Moliérana, 78, p. 118-119
Tome
II, p. 204 Plusieurs personnes ont écrit que M
’est ce qui a été vérifié d’une manière à ne laisser aucune doute.
Tome
II, p. 205 Molière dut à Chapelle* la connaiss
t de l’âme de Gourville à un argent qui sûrement l’aurait damné ».
Tome
II, p. 205 On prétend que l’original du Tartuf
rta un ample Mémoire de toutes les hypocrisies de l’Abbé Roquette.
Tome
II, p. 205 Molière, après avoir lu le Misanthr
voir la préférence qu’il donnait à ce dernier ouvrage sur l’autre.
Tome
II, p. 206 Deux ans après, le Roi donna une pe
l m’en coûte, je me suis repenti plusieurs fois de l’avoir fait ».
Tome
II, p. 206 « J’avais autrefois, dit Ménage*, e
llente, et qu’il n’y avait rien qui ne pût être utile au Public ».
Tome
II, p. 206-207 Le fameux Père Bourdaloue118 fu
ustère ; mais, dans le fond, le plus mercenaire et le plus lâche »
Tome
II, p. 207-208 La Bruyère, en traçant le carac
à établir ; il y a là des droits trop forts et trop inviolables. »
Tome
II, p. 208 Le changement le plus marqué qu’on
onne Il y avait : Ô ciel ! pardonnez-moi, comme je lui pardonne
Tome
II, p. 208 On permit de jouer sur le Théâtre S
ce qu’ils ne peuvent souffrir. » 1801, Moliérana, 20, p. 49-50
Tome
II, p. 208 Molière se donnait beaucoup de pein
ire122 convalescente, qu’elle devait représenter dans le Tartuffe.
Tome
II, p. 209 La première Comédie que Piron* vit
as fait, il ne se ferait jamais. » 1801, Moliérana, 68, p. 104
Tome
II, p. 209 Des acteurs de Province jouaient da
vous aurez demain le Tartuffe. » 1801, Moliérana, 19, p. 48-49
Tome
II, p. 209 Les Camarades de Molière voulurent
t le Tartuffe, ce qui a toujours été depuis régulièrement exécuté.
Tome
II, p. 215-216 Une tradition constante veut qu
temps après, il la mit dans l’état où nous la voyons aujourd’hui.
Tome
II, p. 231125 Despréaux* distinguait ordinair
écitez-les toujours ; tel qui ne les entendra pas, les admirera ».
Tome
II, p. 303 « J’avais environ onze ans, dit M.
l’Amphitryon de Molière. Je ris au point de gober à la renverse. »
Tome
II, p. 316 En annonçant cette Pièce129, faite
produit de la représentation à l’érection de la Statue de Molière.
Tome
II, p. 318 L’Auteur Anglais, qui a traduit dan
de l’encre ordinaire. Le traducteur a renchéri131 sur l’original.
Tome
II, p. 324-325 Molière a puisé dans cette Comé
eux, Mon Père ? Et qui paraît le plus sot de nous deux ? Etc.135
Tome
II, p. 377-378136 Une aventure extraordinaire
irent ce châtiment devant l’Hôtel de Guénégaud où logeait Molière.
Tome
II, p. 393 1705, Grimarest, p. 138-139 Cette c
qui se réjouit fort à cette pièce. 1801, Moliérana, 89, p. 133
Tome
II, p. 406 C’est par les critiques fines et ju
t, il m’aurait fait rentrer en moi-même ; et je serais meilleur. »
Tome
II, p. 432 Le Roi de Prusse141 dit quelque par
nsporter à Paris, pour goûter toutes les beautés du Misanthrope ».
Tome
II, p. 443 Louis XIV demanda à Racine, à Quina
e ; en conséquence il traita ce sujet pour le mariage de Louis XV.
Tome
II, p. 475 Le Roi du Portugal a fait traduire
it représenter à Lisbonne ; et la Pièce à eu le plus grand succès.
Tome
II, p. 475 On raconte qu’Armand144, ce fameux
r rôle, même dans les Pièces qu’ils représentent journellement ? »
Tome
III, p. 39-40 Béjart*, (Armande-Gresinde-Clair
, jouait les Soubrettes et les rôles ridicules, et mourut en 1672.
Tome
III, p. 163-164 Ducroisy*, (Philippe Gassaud),
r, il pria un Prêtre de ses amis de faire la cérémonie à sa place.
Tome
III, p. 230 Hubert* (André) Acteur François, m
rôles de femme, que Hubert* jouait, furent donnés à Mlle Beauval.
Tome
III, p. 254 La Grange151, (Charles Varlet, sie
des-Arcs. On prétend qu’il laissa plus de cent-mille écus de bien.
Tome
III, p. 340-349 Molière (Jean-Baptiste Poqueli
créditer de bonnes lois, se soumettent eux-mêmes à d’anciens abus.
Tome
III, p. 344 Tantôt Plaute*, tantôt Térence*, T
Quel homme ! Avouons que la France En perdit trois, en le perdant.
Tome
III, p. 344 Molière étant mort, les Comédiens
homme qui mérite des Autels ! ». 1801, Moliérana, 50, p. 83-85
Tome
III, p. 344-345, 347 1742, Bolaeana, p. 35 Mol
ures de leurs mouvements naturels. » 1801, Moliérana, 1, p. 33
Tome
III, p. 345-346 À peine Molière fut mort, que
avais repris de leur ingratitude. 1801, Moliérana, 52, p. 86
Tome
III, p. 346 1694, Arliquiniana, p. 13-14 Épit
et Plaute* et Molière sont morts. 1801, Moliérana, 98, p. 142
Tome
III, p. 346 Un Abbé présenta à M. le Prince l’
l’Épitaphe suivante, dont on a parlé au bas de la page 507, du Second
Tome
de cet ouvrage155. Ci-gît qui parut, sur l
Qu’elle en fit un original. 1801, Moliérana, 96, p. 140-141
Tome
III, p. 346-347 Molière avait un grand-père qu
bon Comédien que Bellerose ». Cette réponse frappa le jeune homme.
Tome
III, p. 347 Le père de Molière, fâché du parti
mme qui tient des Pensionnaires. 1801, Moliérana, 17, p. 47-48
Tome
III, p. 347 1715, Ménagiana, tome 4, p. 173-17
01, Moliérana, 17, p. 47-48 Tome III, p. 347 1715, Ménagiana,
tome
4, p. 173-174 On était assemblé pour la seconde r
sident ne veut pas qu’on le joue ». 1801, Moliérana, 18, p. 48
Tome
III, p. 347-348 Quoique Molière fût très agréa
n plusieurs endroit, sur ce qui se passait dans sa propre famille.
Tome
III, p. 348 1705, Grimarest, p. 85-67 Baron* a
pour jouer les rôles Tragiques. 1801, Moliérana, 45, p. 77-78
Tome
III, p. 348 Le Grand-Condé* disait que Corneil
on pourrait dire que Molière est le Bréviaire de tous les hommes.
Tome
III, p. 349 Louis XIV, se bottant pour aller à
me, répondait Despréaux, à qui il n’échappe jamais une sottise ? »
Tome
III, p. 349 Molière était désigné pour remplir
ar une note de l’Académie Française. 1801, Moliérana, 5, p. 37
Tome
III, p. 436 Deux ou trois ans après la mort de
nde chaleur du feu fendit en deux la pierre qui couvrait la tombe.
Tome
III, p. 467 Somaise*, (Antoine Bodeau de) viva
e Procès des précieuses ; il mit en Vers les Précieuses ridicules.
Tome
III, p. 490 Un Acteur, jouant le rôle d’Harpag
die en 5 actes et en prose. Selon la notice de la pléiade, page 1471,
tome
II, les deux scènes insérées sont la scène de la
lle Plaideuse, Acte I, scène 8. 136. Même contenu que l’anecdote en
tome
I p. 226-227 137. La Fausse Clélie ou l’inconnu
ertes, à la page 507 on parle de cet abbé mais cela n’est pas dans le
tome
II des Anecdotes Dramatiques mais dans le tome I.
cela n’est pas dans le tome II des Anecdotes Dramatiques mais dans le
tome
I. 156. Mignot, Jean dit Mondorge : comédien fr
L’Histoire de l’Académie françoise de l’abbé d’Olivet datant de 1729 (
Tome
II, p. 309). Nous la trouvons également cité dans
ns Les Mémoires sur la vie de Jean de Racine de Louis Racine de 1747 (
Tome
II, p. 256 et Tome II, p. 103). Elle a été repris
la vie de Jean de Racine de Louis Racine de 1747 (Tome II, p. 256 et
Tome
II, p. 103). Elle a été reprise Dans les Œuvres d
par Bret, datant de 1773, dans le « supplément à la vie de Molière » (
Tome
II, p. 64). 282. Nous n’avons trouvé aucune info
[13, p. 44] 1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en 1715 :
tome
I, p. 251-252 ; tome II, p. 65) 1705, Grimarest,
44] 1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en 1715 : tome I, p. 251-252 ;
tome
II, p. 65) 1705, Grimarest, p. 19-20 1775, Anec
e II, p. 65) 1705, Grimarest, p. 19-20 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 95 J’étais à la première représentation
Tome
I, numéro 10, 1er janvier 1880 Alfred Friedm
avantes et les Meininger à Wien Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 10, 1er janvier 1880, p. 302-309. Le 21 no
’anniversaire du quinze janvier Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 11, 1er février 1880, p. 328-334. Le Moli
cut son Œuvre, — hélas ! Pour en mourir ! » [1880-02] Mondorge
Tome
I, numéro 11, 1er février 1880 Charles-Louis
Deux mots à propos de Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 11, 1er février 1880, p. 335-338. Je viens
ne Noël : Les valets de Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 11, 1er février 1880, p. 339-340. On s’est
core un coup, Molière n’a rien exagéré. [1880-02] Eugène NOËL.
Tome
I, numéro 12, 1er mars 1880 Georges Monval :
Monval : Le fauteuil de Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 12, 1er mars 1880, p. 355-359. Il ne s’agi
lui souhaitons une place d’honneur. [1880-03] Georges MONVAL.
Tome
I, numéro 13, 1er avril 1880 Édouard Thierry
dans la Préface des Plaideurs Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 13, 1er avril 1880, p. 3-13. Nous voici a
ERRY. (Extrait d’une Étude inédite sur Le Théâtre de Molière.)
Tome
II, numéro 14, 1er mai 1880 Charles-Louis Li
rupules d’un traducteur italien Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 14, 1er mai 1880, p. 35-43. En 1794 et an
d Copin : L’arbre aux prêcheurs Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 14, 1er mai 1880, p. 48-49. Il n’y a pas
rêcheurs sont bien de la même famille. [1880-05] Alfred COPIN.
Tome
II, numéro 15, 1er juin 1880 Georges Monval
: Nécrologie. Édouard Fournier Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 15, 1er juin 1880, p. 67-68. Le mercredi
celles du Récit de la farce des Précieuses qu’il a réimprimé dans le
tome
IV des Variétés historiques et littéraires de la
uction hollandaise du Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 15, 1er juin 1880, p. 69-80. Tartuffe, k
lière du Cabinet du Baron Denon Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 15, 1er juin 1880, p. 83-93. À Monsieur G
nance lui eût semblé douteuse ? [1880-06] ULRIC RICHARD-DESAIX.
Tome
II, numéro 16, 1er juillet 1880 Charles Nuit
spectacles au temps de Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 16, 1er juillet 1880, p. 103-107. Les aff
Une maison habitée par Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 16, 1er juillet 1880, p. 108-114. Nous av
ul Lacroix : Le Sonnet d’Oronte Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 16, 1er juillet 1880, p. 115-116. Plusieu
r Molière un succès inattendu ? Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 16, 1er juillet 1880, p. 117-118. M. Desp
s la notice préliminaire des Précieuses ridicules (Œuvres de Molière,
tome
II, p. 11-13), émet cette opinion que Molière ne
et le Théâtre du Petit-Bourbon Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 16, 1er juillet 1880, p. 119-120. Dans le
dicules et Le Cocu imaginaire. [1880-07] DASPIT DE SAINT-AMAND.
Tome
II, numéro 17, 1er août 1880 Charles-Louis L
Deux mots à propos du Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 17, 1er août 1880, p. 131-138. II25
La Précieuse de l’Abbé de Pure Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 17, 1er août1880, p. 139-142. Il est aujo
en Angleterre (premier article) Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 17, 1er août 1880, p. 143-149. Presque to
esprit de l’original. [1880-08] Henri VAN LAUN. (À suivre.)
Tome
II, numéro 18, 1er septembre 1880 Jules Guil
ote de l’actualité dans Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 18, 1er septembre 1880, p. 163-176. Mon c
fiches du Théâtre du Marais [I] Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 18, 1er septembre 1880, p. 180-181. À M.
iches du Théâtre du Marais [II] Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 18, 1er septembre 1880, p. 181-186. Parmi
e littérature française à la Faculté des Lettres de Montpellier.
Tome
II, numéro 19, 1er octobre 1880 Édouard Thie
Thébaïde au Palais-Royal (1664) Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 19, 1er octobre 1880, p. 195-209. La trou
ix : Les amis de Molière. Vinot Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 19, 1er octobre1880, p. 214-215. Je viens
ouis Livet : Nicolas de Tralage Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 19, 1er octobre 1880, p. 216-217. Notre s
antie qu’il a pu être bien renseigné. [1880-10] Ch. -L. LIVET.
Tome
II, numéro 20, 1er novembre 1880 Paul Lacroi
allets et de mascarades de cour Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 20, 1er novembre 1880, p. 229-234. Il y a
ngleterre (deuxième article)43 Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 20, 1er novembre 1880, p. 235-239. Le dra
llemot : Pulcinella et Lustucru Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 20, 1er novembre 1880, p. 240-242. Depuis
t : Sur un vers du Misanthrope Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 20, 1er novembre 1880, p. 246. Les commen
re les papiers que l’on veut conserver. [1880-11] Émile PICOT.
Tome
II, numéro 21, 1er décembre 1880 L. de La Pi
e à Carcassonne en 1649 et 1655 Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 21, 1er décembre 1880, p. 263-269. Les vo
e : Le vers 376 du Misanthrope Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 21, 1er décembre 1880, p. 270. Pour confi
onval : Le Jubilé de la Comédie Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
II, nº 21, 1er décembre 1880, p. 282-284. Nous a
’ultima, giacchè doveva lasciare la prima. 10. Voyez la livraison v,
tome
Ier. 11. De Gids, livraison d’avril 1880. 12.
15. Denon scrips. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8, 1821.
tome
VI, page 186. 17. Vid. Chalmel, Histoire de Tou
is in-12, 1872, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821,
tome
IV, page 432, et Georges d’Heylli, Les Tombes roy
Tome
I, numéro 1, 1er avril 1879 Georges Monval :
utilité, son but, son programme Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 1, 1er avril 1879, p. 3-4. Si chaque homme
Georges Monval : Notre titre Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 1, 1er avril 1879, p. 6-9. Le mot Moliéris
ierry : Il y a fagots et fagots Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 1, 1er avril 1879, p. 11-14. Un petit déba
Georges Monval : Molière à Albi Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 1, 1er avril 1879, p. 15-20. Un jeune avoc
onsciencieux attirât l’attention de l’Académie. [1879-04] G. M.
Tome
I, numéro 2, 1er mai 1879 Édouard Thierry :
e du Tartuffe [premier article] Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 2, 1er Mai 1879, p. 37-42. Le mardi 3 nove
e : Alceste et M. de Montausier Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 2, 1er Mai 1879, p. 43-44. Il n’est pas do
de Montausier sous le nom de Mégabaste dans son roman du Grand Cyrus (
tome
VII, p. 307). Ce portrait est connu — Le Moliéris
: Molière parrain à Montpellier Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 2, 1er Mai 1879, p. 45-46. Un article de L
istes. [1879-05] L. de la PIJARDIÈRE. Archiviste de l’Hérault.
Tome
I, numéro 3, 1er juin 1879 Édouard Thierry :
du Tartuffe [deuxième article] Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 3, 1er juin 1879, p. 69-74. Elmire assise
olière seigneur de Franconville Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 3, 1er juin 1879, p. 75-78. La terre de Fr
ère à la foire de Rouen en 1643 Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 3, 1er juin 1879, p. 79-80. Il n’est doute
immortel, il fallait le génie de Molière. Prosper BLANCHEMAIN.
Tome
I, numéro 4, 1er juillet 1879 Édouard Thierr
[troisième et dernier article] Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 4, 1er juillet 1879, p. 101-107. Je n’ai p
des cinges » [premier article] Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 4, 1er juillet 1879, p. 108-112. Chacun sa
qu’il a insérée dans son Musée des monuments français paru en l’an X,
tome
III, pages 24 à 28, les mêmes détails, les mêmes
opin : L’homme aux rubans verts Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 4, 1er juillet 1879, p. 118-120. « Pour l
ngtemps que Le Misanthrope et Molière. [1879-07] Alfred COPIN.
Tome
I, numéro 5, 1er août 1879 Jules Rolland : L
de campagne au temps de Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 5, 1er août 1879, p. 140-145. À M. G. Mon
uet : Scarron imité par Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 5, 1er août 1879, p. 148-149. C’est au mom
taient l’un chez l’autre à toute heure [1879-08] Jules COUET.
Tome
I, numéro 6, 1er septembre 1879 Auguste Vitu
e Vitu : Les maisons de Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 6, 1er septembre 1879, p. 165-171. À M. Mo
os d’un vers du Dépit amoureux Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 6, 1er septembre 1879, p. 174-176. Plus d’
eriche : La mâchoire de Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 6, 1er septembre 1879, p. 177-179. Depuis
ui de Molière, ou ne l’est-il pas ? [1879-09] J. MARET-LERICHE.
Tome
I, numéro 7, 1er octobre 1879 Jules Romain B
es » [second et dernier article] Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 7, 1er octobre 1879, p. 197-199. Dans un pr
llemot : Shakespeare et Molière Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 7, 1er octobre 1879, p. 208-214. On a souv
à la rue des Jardins-Saint-Paul Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nos 7, 1er octobre 1879, p. 218-222. La rue d
s illustres dont la France s’honore27 ! [1879-10] Alfred COPIN.
Tome
I, numéro 8, 1er novembre 1879 Auguste Vitu
artenant à la Comédie-Française Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 8, 1er novembre 1879, p. 227-242. Tous les
nd Gross : Molière en Allemagne Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 8, 1er novembre 1879, p. 243-250. J’ai l’a
ssay reconnu et déclaré médecin Le Moliériste : revue mensuelle,
tome
I, nº 9, 1er décembre 1879, p. 261-264. L’auteur
Avignon et de la principauté d’Orange (par Pithon-Curt). Paris, 1750,
tome
3, p. 19, 20, 21 et 22, article Raimond. Voyez au
1628, pages 338 et 474. 5. Hist. de la noblesse du Comté Vénaissin.
Tome
premier. Paris, 1743 ; p. 135, art. la Baume. 6.
d’Anjou, fille du roi René. 16. Histoire des révolutions de Naples,
tome
2, page 245. 17. Id., t. 3, p. 260. 18. L’Art
par Bayle et Joly. 21. Histoire de la noblesse du comté Vénaissin,
tome
3. 22. Dissertation de M. Beffara, p. 7. 23.
Remarques critiques sur ce Dictionnaire, art. Poquelin, p. 630. 32.
Tome
3, p. 21 et 22. 33. La Dissertation de M. Beffar
[51, p. 85-86] 1705, Grimarest, p. 161 1715, Ménagiana,
tome
I, p. 78 1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p
p. 161 1715, Ménagiana, tome I, p. 78 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 506 Un abbé crut faire sa cour au grand C
il de notre langue qui s’intitule le Dictionnaire provençal français (
tome
I, page 915). N’importe ! Je ne me borne pas à av
ous la forme expresse et concluante du verbe mascarilha, barbouiller (
Tome
II, page 289) ! Non, non ! quelque vraisemblable
les Allemands. 1. Voir l’édition Hachette des Œuvres de Molière,
tomes
I et II. 2. J’en demande pardon, mais préfixe se
hui, ce n’était pas un denier, surtout pour l’époque. 11. On lit, au
tome
I, page 90, des Œuvres de Molière, édition Hachet
la vingt-cinq place. 189. Elle vient des Œuvres de Molière de Bret,
Tome
I, 1773. On peut également la trouver dans Les Mé
ine que l’on retrouve dans la pléiade des Œuvres complètes de Racine,
Tome
I, p. 1149.
[38206, p. 68-69] [1693] 1715, Ménagiana,
tome
III, p. 24 1705, Grimarest, p. 26-27 1775, Anec
e III, p. 24 1705, Grimarest, p. 26-27 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 336-337 Le roi, en sortant de la première
[25176, p. 52-53177] 1715, Ménagiana,
tome
III, p. 23-24 1775, Anecdotes dramatiques, tome
1715, Ménagiana, tome III, p. 23-24 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 356 Molière joua d’abord Cotin, sous le
[18, p. 48162] 1715, Ménagiana,
tome
IV, p. 173-174 1775, Anecdotes dramatiques, tom
1715, Ménagiana, tome IV, p. 173-174 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, p. 347 La première représentation du Tartu
[3, p. 35] 1730, ****Ana, p. 18 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 518 Le fameux comte de Grammont136 a four
ibert de (1621 – 1707), illustré par les Mémoires d’Ant. Hamilton (v.
tome
XVIIIe siècle), son beau-frère. Personnage plus r
p. 103-105 1742, Bolaeana, p. 104-105 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 33-34 1775, Anecdotes dramatiques, tome
cdotes dramatiques, tome I, p. 33-34 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 128 Racine, après avoir donné son Alexand
1704, Furetiriana, p. 323 1705, Grimarest, p. 42-43 1715, Ménagiana,
tome
IV, p. 7 M. de Mauvilain254, médecin, était ami d
e universel, historique, critique et bibliographique, Chaudon-Mayeul,
Tome
I8).
gements sur ses ouvrages. a. Par l’extrait du Pédant joué de Cyrano,
tome
VIII, page première de cette Histoire, on verra q
es de Molière. 1. [Note marginale] Histoire de l’Académie française,
tome
II, p. 185. 1. [Note marginale] Mercure galant,
émie française, tome II, p. 185. 1. [Note marginale] Mercure galant,
tome
I, année 1672. [*]. [Note marginale] Mémoires po
ec raison, comme le chef-d’œuvre de l’auteur. » 1. [Note marginale]
Tome
III, p. 23, édition de Paris de 1729. 1. [Note m
me auteur (l’une et l’autre pièce imprimées dans ses Œuvres galantes,
tome
II, p. 512, Paris, 1665), dont Molière sut bien f
rginale] Carpenteriana, p. 48. [*]. [Note marginale] Mercure galant,
tome
I, lettre du 12 mars 1672. a. Ici ce n’est plus
ainsi. [*]. [Note marginale] Réponse aux questions d’un provincial,
tome
premier, ch. 29, p. 245-250. a. M. Bayle ajoute
es plaies. » *. [Note marginale] Jugements sur les poètes modernes,
tome
V, p. 241. b. « [*]Cotin se tint dans l’inactio
ale] Mme la duchesse de Rohan. [*]. [Note marginale] Mercure galant,
tome
premier, lettre du 19 mars 1672. 1. [Note margin
ote marginale] Voyez ci-dessus le passage de De Visé, Mercure galant,
tome
I, lettre du 12 mars 1672. 2. [Note marginale] I
les poètes comiques. » [*]. [Note marginale] Lettres de Boursault,
tome
I, p. 219 et 120, édition de Paris, 1729.
dont elle a joui jusqu’à sa mort, arrivée le 2 avril 1713. (Parfait,
tome
VIII, page 406.) F. BOIRON, dit BARON. Moli
de Cizeron-Rival, pages 48 et 49 ; 3° Les Lettres de J.-B. Rousseau,
tome
III ; 4° Les Caractères de La Bruyère, où il est
, et que Molière ne l’aimait pas. Il mourut en 1676. (Frères Parfait,
tome
XII, p. 204.) DU PARC, dit GROS-RENÉ. Du Pa
t en 1695, âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans. (Frères Parfait,
tome
XIII, page 294.) L’ESPY. L’Espy, frère de J
crédit. » (Théâtre français, par Chapuzeau, p. 282 ; Frères Parfait,
tome
XIII, page 296.) HUBERT. André Hubert, comé
rent donnés à Beauval. (Note de M. Granval le père. — Frères Parfait,
tome
XII, page 473.) LE NOIR DE LA THORILLIÈRE.
eux de financiers, avec l’applaudissement du public. (Frères Parfait,
tome
XI, page 326.) Actrices. Mademoiselle B
s de mars 1720, âgée environ de soixante-treize ans. (Frères Parfait,
tome
XIV, page 527.) C’est mademoiselle Beauval qui cr
Marotte était femme de Verneuil, comédien du Marais. (Frères Parfait,
tome
II, page 302.) On raconte que mademoiselle Beaupr
i fut témoin de ce duel, et il en parle dans ses Antiquités de Paris,
tome
II, livre X, page 578. Mademoiselle DU CROISY.
bre de mademoiselle de Brie : on la nommait Marotte. (Frères Parfait,
tome
XIII, page 299.) FIN DE L’HISTOIRE DE LA TROUPE D
Saint-Cloud, par Guéret, pag. 212 14. Lettre de Boileau à Brossette,
tome
IV, page 426 de l’édition de M. Amar. 15. A la t
qui avait l’air trop fade. Cet acteur mourut en 1670. Frères Parfait,
tome
V.) 27. C’est-à-dire au collège de Clermont, dep
bles, et avait d’abord servi qualité d’enseigne. (Les Frères Parfait,
tome
VIII, page 221.) Une anecdote racontée par Boilea
Perse, et depuis on n’a pas eu de ses nouvelles. (Les Frères Parfait,
tome
IX, page 411.) 61. L’Impromptu de Versailles
n. (Voyez Chapuzeau, liv. III, pages 177 et 178 ; les Frères Parfait,
tome
VII, pages 129 et 130, et les Mémoires de Louis R
’empressa de lui faire des invitations. » (Mémoires de madame Campan,
tome
III, page 8.) 76. Elle se nommait Laforest. Boil
n’y réussissaient point. » (Boileau, Réflexions critiques, page 182,
tome
III des Œuvres) « Un jour Molière, pour éprouver
x-huit ans. Il s’agit ici du rôle de Myrtil dans Mélicerte. (Voyez le
tome
XV de l’Histoire du théâtre français, par les frè
amais perdu une représentation de cet original italien. » (Ménagiana,
tome
II, page 404.) Enfin nous citerons encore ces par
1724 ; Commentaires de Brossette sur la quatrième satire de Boileau,
tome
V, page 30, et tome IV, page 44.) 87. Rohault,
de Brossette sur la quatrième satire de Boileau, tome V, page 30, et
tome
IV, page 44.) 87. Rohault, célèbre physicien, a
st très véritable. »(Voyez Œuvres de Jean Racine, édition de Lefèvre,
tome
Ier.) 90. On trouve dans un auteur contemporain
lissons ici cette anecdote telle qu’elle se trouve dans le Ménagiana,
tome
IV, page 174. Le grand Condé avait pour Molière u
ont tu me présentes l’épitaphe n’est-il en état de faire la tienne ! (
tome
II, page 48.) 94. Ce fait est singulier, piquant
u misanthrope ! c’est un honnête homme ! » (Vie du duc de Montausier,
tome
II, p. 129.) Dangeau rapporte cette anecdote avec
je sois véritablement content. » (Œuvres de Boileau, par Saint-Marc,
tome
I, page 49.) Ce qui doit faire admirer encore plu
conjectures de leurs mouvements naturels. » Voyez le Mercure galant,
tome
IV, première année, page 302. Il est aussi parlé
aussi cette anecdote. (Voyez les Mémoires sur la vie de Jean Racine,
tome
I des Œuvres de Racine, édition de Lefèvre, 1844.
était l’amiral de Brézé. (Voyez le Tableau historique, par Taillefer,
tome
II, page 124.) 117. Voici à quelle occasion Mol
é porté sur le génie de Molière. (Voyez les Œuvres de J.-B. Rousseau,
tome
V, page 321, édition de Lefèvre.) 131. Molière
. Voyez Mercure de France, mai 1840, page 847. 137. Frères Parfait,
tome
XII, page 471. 138. Mercure de France, mai 1740
i 1740, page 846. 139. Racine. 140. Mignard. 141. Frères Parfait,
tome
X, page 367.
tagma philosophicum, Physicœ sectio 1, lib. IV, cap. 7. Ed. Florence,
tome
I, p. 288, col. 2). « Intueris hominis corpus, in
brum II, lib. II, cap. 3, De usu partium in animalibus. Ed. Florence,
tome
II, p. 203, col. 2). La première édition des Œuvr
complètes de Molière, édition variorum de Ch. Louandre, Paris, 1864,
tome
II, p. 98. 757. Le Tartuffe, act. V, sc. VIII.
la tirade de don Juan au cinquième acte. » Sainte-Beuve, Port-Royal,
tome
III, chap. XV. Voir d’ailleurs, sur le Tartuffe p
, licites et profanes. Voir V. Fournel, les Contemporains de Molière,
tome
1, Histoire de l’Hôtel de Bourgogne. On pouvait d
PRÉFACE Dans la Notice qui précède le
tome
XI de cette collection, M. Paul Lacroix, tout en
é reproduite en partie dans le Choix des Mercures et autres journaux (
tome
XXV, p. 65-83). C’est bien de l’honneur qu’on lui
ucher d’Argis, avocat au Parlement (1708-1780). La seconde partie du
tome
Ier de ces Variétés contient une « Histoire abrég
publiés en tête de la belle édition in-4° de 1734, écrivent en 1747 (
tome
X, page 86) : « La femme d’un des meilleurs co
. Le mardi 21 (voir l’acte d’inhumation et la lettre à l’abbé Boyvin,
tome
XIV de cette collection). 6. Aide de la paroisse
t, et mourut à Argenteuil en 1723, un demi-siècle après son père. 8.
Tome
III, p. 378. 9. Molièriste, t. VII, p. 318. 10
aillet, Jugemens des Sçavans sur les principaux ouvrages des auteurs,
tome
IV, contenant les poètes. Paris, A. Dezallier, 16
le ! mais quel homme on auroit pu faire de ces deux comiques ! » 38.
Tome
IX, p. 190. — Ce recueil (1713-1737) se compose d
uptions. 143. Elle eut cependant sept représentations. 144. Dans le
tome
VII de l’édition de 1682. 145. On ne connaît pas
s Véritables œuvres de M. de Saint-Evremond, 2e édit., Londres, 1706,
tome
III, p. 143). 37. D’ailleurs don Juan se fait Ta
n a heureusement répondu au dernier (Cours de Littérature dramatique,
tome
I, XIX). 42. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
re française, liv. III, chap. IX, § 4 ; Sainte- Beuve, Port-Royal,
tome
III, chap. XV, XVI, etc. 79. Boileau, Satire X,
IV. 112. Voir Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique,
tome
I, v, VI, VII. 113. 1653. — Celte pièce, relativ
taliennes ; mais il est certain qu’il y avait là un certain nombre de
tomes
de Lope de Vega, de Moreto, de Calderon, et d’aut
eu près tel qu’il avait figuré dans la notice du Festin de Pierre, au
tome
III de l’édition ; c’est le canevas du Convitato
ictionaire. Bayle, Dictionaire Critique. Brice, Description de Paris,
tome
1. page 459. & les suivantes. Baillet, Jugeme
les suivantes. Baillet, Jugemens des Sçavans sur les Poëtes modernes,
tome
5. n°. 1520. Ce dernier Ecrivain en qualité de Pr
de très-belles Estampes & de plusieurs Vignettes. a. Menagiana,
tome
2. page 65. a. Oeuvres de Despréaux, édition de
[33196, p. 62] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 559 On sait que les ennemis de Molière vo
[68, p. 104] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 209 La première comédie que vit à Paris
[5141, p. 37] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, p. 349 Molière était désigné pour remplir
[88, p. 132] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 93-94 Molière eut, comme les premiers f
p. 34-35] 1705, Grimarest, p. 12-15 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 326-327 On prétend que le Prince de Conti
, p. 98] 1705, Grimarest, p. 153-155 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 506 Molière était incommodé lorsqu’on rep
62, p. 100] 1742, Bolaeana, p. 31-32 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 271 Despréaux* ne se lassait point d’admi
[19, p. 49] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 209 Ce même mot fut tourné d’une manière
[41, p. 71-72] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 560 Boileau racontait que Molière, après
[98, p. 142] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, p. 346 La seule épitaphe digne d’être mise
[32195, p. 61-62] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 560 Lorsque Molière donna son Misanthrope
0-101] 1721, Segraisiana, p. 212-214 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 271 Les Précieuses ridicules mirent Moli
[11, p. 42] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 284 Lorsque Molière fait dire à Chrisalde
[20, p. 49-50] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 208 Huit jours après que le Tartuffe eut
[21, p. 50] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 202 Lorsque Molière fit jouer son Tartuf
[57, p. 94] 1705, Grimarest, p. 165 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 394-395 Boileau a beaucoup loué Molière,
[96290, p. 140-141] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, p. 346 Parmi les épitaphes qu’on fit pour
44, p. 38] 1705, Grimarest, p. 40-42 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 62-63 L’Amour médecin est le premier ouv
1-102] 1724, Carpentariana, p. 55-56 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 354 Molière a joué, dans les Femmes sava
, p. 69] 1705, Grimarest, p. 103-104 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 71 Madame Dacier 207, qui a fait honneur
9, p. 81-82] 1705, Grimarest, p. 101 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 559-560 Les hypocrites avaient été tellem
. 43-44] 1705, Grimarest, p. 141-144 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 155 Le Bourgeois gentilhomme fut joué la
p. 67-68] 1705, Grimarest, p. 21-23 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 213 Un bon bourgeois de Paris, vivant bie
p. 77-78] 1705, Grimarest, p. 85-87 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, p. 348 Molière avait un cœur excellent. B
p. 133] 1705, Grimarest, p. 138-139 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 393 Pourceaugnac fut fait à l’occasion
[1, p. 33134] 1742, Bolaeana, p. 35 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, 344-345, p. 347 Mademoiselle Poisson, fil
[53230, p. 87231] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 508-509 Dans le Malade imaginaire, la der
, p. 41] 1705, Grimarest, p. 104-106 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 408 Lorsque Molière se préparait à donner
7, p. 62-63 ] 1742, Bolaeana, p. 151 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 560-561 Molière voulait détourner Despré
e universel, historique, critique et bibliographique, Chaudon-Mayeul,
Tome
I7).
[4, p. 36] 1705, Grimarest, p. 71-75 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 509-511 Les mousquetaires, les gardes du
[78, p. 118-119] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 203 On a longtemps ignoré où Molière ava
[52, p. 86] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, p. 345-346 La difficulté qu’on fit de donn
. 106-108] 1705, Grimarest, p. 76-77 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 274 On jouait sur le théâtre de Molière u
73. Première leçon. 374. Poétique, § 89. 375. Cours d’esthétique,
tome
IV, p. 160. 376. Tome I, p. 234. 377. Amphitry
4. Poétique, § 89. 375. Cours d’esthétique, tome IV, p. 160. 376.
Tome
I, p. 234. 377. Amphitryon, acte I, scène i. 3
amas-Hinard sur Le Médecin de son honneur. 399. Cours d’esthétique,
tome
I, p. 59. 400. Entretiens de Goethe et d’Eckerm
ez le chapitre iii de la Première partie. 406. Esthétique de Hegel,
tome
III, p. 113. 407. Ibid., p. 130. 408. Tome I,
. Esthétique de Hegel, tome III, p. 113. 407. Ibid., p. 130. 408.
Tome
I, p. 145. 409. Ibid., p. 178. 410. Tome I, p.
07. Ibid., p. 130. 408. Tome I, p. 145. 409. Ibid., p. 178. 410.
Tome
I, p. 181 411. Tome III, p. 316. 412. « Il n’e
408. Tome I, p. 145. 409. Ibid., p. 178. 410. Tome I, p. 181 411.
Tome
III, p. 316. 412. « Il n’existe dans la nature
442. Date donnée par M. Roederer. 443. Mémoires de Mademoiselle,
tome
VI, p. 82. 444. Si ma mère le veut, je résous m
août 1677. 447. La Saintonge et l’Angoumois. 448. Le Grand Cyrus,
tome
VII. 449. Historiette xcvi. 450. Michelet, Loui
[31, p. 59-61] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 559 Tout le monde sait que le Misanthrope
[93, p. 136-138] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 361 Le Festin de Pierre eut peu de succès
[8145, p. 39-40] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 533 Il y a une anecdote assez plaisante a
14, p. 44-45] 1705, Grimarest, p. 20 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
II, p. 95 Un jour que l’on représentait cette p
[17, p. 47-48159] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, p. 347 Perrault dit, dans ses hommes illus
[58, p. 95-96] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 285 La comédie de l’École des femmes atti
vigné250 dit à peu-près la même chose dans ses lettres : lettre cinq,
tome
6. « Comment ! J’ai donc fait un sermon sans y p
[50, p. 83-85] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
III, p. 344 Les comédiens avaient résolu de fai
[36, p. 64-67] 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 213 Molière n’aimait pas Cotin ; et le r
69-70 208] 1705, Grimarest, p. 27-29 1775, Anecdotes dramatiques,
tome
I, p. 282-283 L’École des femmes éprouva, dans
ur les poèmes dramatiques qui parurent alors. Depuis l’impression des
tomes
V et VI de cette Histoire, il nous est tombé entr
théâtres de ce neuvième volume, et que nous suivrons dans les autres
tomes
. Sans vouloir diminuer le mérite d’un poème drama
s, in-12, Edme Pépingué. *. [Note marginale] Voyez l’article du Cid,
tome
V, p. 247 et suiv. [*]. [Note marginale] Œuvres
re 1660. Voyez la note jointe à l’article de la comédie de L’Étourdi,
tome
VIII, p. 239. le 4 février. b. « [*] La réputa
es ouvrages de Molière. a. M. de Visé dans ses Nouvelles nouvelles,
tome
III, p. 236 et 237, avance un fait au sujet de ce
s du roi en 1663 par les soins de M. Colbert. On trouvera à la fin du
tome
VI, édition de 1739, in-12, le remerciement que M
Avertissement de l’éditeur des Œuvres de Molière, in-12. Paris, 1739,
tome
III, p. 247. *. [Note marginale] Le roi dansait
marginale] Avertissement de l’éditeur de Molière, in-12, Paris, 1739,
tome
III, p. 247. [*]. [Note marginale] Mémoires sur
cène de son Médecin malgré lui. Menagiana, de Paris, édition de 1729,
tome
III, p. 18. 1666. Le Ballet des Muses De l
èrement. » *. [Note marginale] Voyez l’article de Cyrano Bergerac,
tome
VII, p. 390. a. « [*]On s’étonnera peut-être q
[Note marginale] Voyez les articles de Gros-Guillaume et de Turlupin,
tome
IV, p. 236-240. a. Si l’on en croit les Mémoires
éâtre est une bonne école pour les mœurs, in-4°. 1. [Note marginale]
Tome
XXI, première partie, p. 115. a. Ce fait a été p
a mort, furent jouées sur le même théâtre. *. [Note marginale] Voyez
tome
VIII, p. 233. a. Dans les Mémoires sur la vie et
sbé, de Théophile. 2. [Note marginale] Molière. *. [Note marginale]
Tome
IV des Oeuvres de Molière, édition de Paris, in-1
us l’année 1669. *. [Note marginale] Voyez l’article de cette pièce,
tome
V, p. 229 de cette Histoire. *. [Note marginale]
qu’il ne lui coûte rien. a. Voyez la comédie de La Belle Plaideuse,
tome
VII, p. 66 de cette Histoire. a. « Pour preuve
Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. 1. [Note marginale]
Tome
IX, p. 268. 2. [Note marginale] Premier placet s
marginale] Voyez la seconde scène de Pourceaugnac, Œuvres de Molière,
tome
V, édition in-12, 1739. 2. [Note marginale] Mlle
à la belle Angélique le moyen de confondre son époux. Nouvelle LXIV,
Tome
2. Il y avoit autrefois à Atezzo un homme riche,
& voyons les richesses que Moliere y a puisées. Nouvelle LXVIII,
Tome
2, page 133. Henry Berlinguier, riche marchand d
e cette pièce en vers français dans le Supplément du Théâtre italien,
tome
II, Bruxelles, 1697. 13. Le Baron de Fœneste, 10
et trois à Saint-Germain. Voyez notre édition des Œuvres de Molière,
tome
VI, page 112. 65. Brécourt, alors acteur à l’Hôt
uvé jolies les cinq ou six fables de La Fontaine qui sont dans un des
tomes
que je vous ai envoyés ? Nous en étions ravis l’a
t peint ; et la Citrouille et le Rossignol, cela est digne du premier
tome
. Je suis bien folle de vous écrire de telles baga
. » Ce fut à la reine qu’on le dédia, car le roi mourut entre deux. »
Tome
III, p. 71. 8. Ménagiana, t. Ier, p. 289. 9. C
joyes, ce sont : « Les Agréments et les chagrins du mariage, en trois
tomes
; le chapitre des agréments contient la première
es agréments contient la première page du premier feuillet du premier
tome
et le chapitre des chagrins contient tout le rest
; Calidée, Madame la Princesse ; Euric, c’était Henri-le-Grand. « Le
tome
Ier de L’Astrée, dit Huet18, fut dédié à Henri IV
duits ci-contre. 23. Voyez V. Fournel, Les Contemporains de Molière,
tome
II, page 220.
ur cette scène, Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique,
tome
I, XIII. L’immoralité de l’Avare au point de vue
(id., p. 28). » Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique,
tome
I, xi : De la Clémence paternelle. Voir toute la
otation, c’est que certaines lignes sont coupées, par exemple dans le
tome
I, p. 1, Vie de Molière, et que les derniers mots
Comédie, dans l’intervalle de mes R. V, les 2, 5 et 4 novembre 1813,
Tome
331 de l’édon stéréotype de Didot. — F. 2. recto
ez Timon et le jugement que je viens d’en porter le 21 décembre 1813,
tome
VI de Letourneur64. [Acte premier, scène premiè
à sa sœur n’est pas raisonnable. * * * [Note 3, page 29.] Marmontel,
tome
2, page 143, édition complète, assure que Molière
randi dans M. Recard de Collé (l’Amour d’autrefois et l’Amour actuel.
Tome
2). En un mot, Molière pour des raisons à lui con
ux en face. Derniers abois, dernière mauvaise ressource de Tartuffe.
Tome
VI, in-8º, 121, les quatre premiers vers nous sem
des manuscrits des Bibliothèques publiques de France — Départements —
Tome
VII — Grenoble. Paris. Pion, 1889, in-8, pp. Lx-8
tableau charmant du Dominiquin, au Musée n°..… 71. Voyez Métastase,
tome
XII ou XV. 72. Le cardinal Louis-François de Bau
our me jouer, vos flûtes mieux d’accord. 25. L’Art de la Comédie,
tome
II, page 6. 26. Voyez ci-contre Scapin, d’après
gem. sur les Poëtes, Tom. V, num. 1520. h. Vous les trouverez au II
Tome
des Observations de Mr. Menage sur la Langue Fran
re, pag. 38, 39. 4. Vie de Moliere, folio 3. 5. Elle est dans le I
Tome
du Mercure Galant de 1673. On y trouve plusieurs
odement. 1. Voyez l’Histoire littéraire d’Italie, par M. Ginguené,
tome
VI, page 299.
la force et à l’élévation des pensées. 2. Page 1057 et suivantes du
tome
VIII de l’édition en 12 volumes in-8º, ou page 36
du tome VIII de l’édition en 12 volumes in-8º, ou page 360et suiv. du
tome
XLVIII de l’éd. de Kehl, 70 vol. in-8º. 3. Andr
les jugements sur sespièces, qui font partie desMélanges littéraires,
tome
VIII, dans l’édition en 12 volumes in-8º. M. Roui
un sixain pour être mis en tête de cet ouvrage (voirŒuvres de Racan,
tome
II, page 211). François de Molière, sieur d’Esser
s samedis, et les Italiens les autres jours. 45. Œuvres de Segrais,
tome
II, pages 138 et 159 de l’édition en deux vol., P
, pour venger son père, composa l’Impromptu de l’Hôtel de Condé. Voir
tome
III, pages 331 et 332 de cette édition. 50. Œuv
t Louis XIV à la seconde représentation du Bourgeois gentilhomme(voir
tome
VIII, pages 186 et 187 de cette édition). 61. Te
des Femmes(voir les notes et la Notice de l’Impromptu de Versailles,
tome
III de cette édition). 62. Pierre Belllocq, né à
dre dans sa conversation. » 122. Voir les Lettres de Bussy-Rabutin,
tome
IV, pages 36 et 38. Treize jours étaient sans dou
Œuvres de Molière, nouvelle édition, par MM. Despois et Paul Mesnard,
tomes
IV et V, Paris, 1878-1880 (Hachette). La collecti
ection, récemment publiés, il y a deux volumes de ce grand poète, les
tomes
IV et V, lesquels contiennent précisément les plu
Mesnard, Notice, p. 343. 6. Notice, p. 34. 7. Œuvres de Molière,
tome
V, page 217. 8. L’auteur de ce pamphlet parle d’
cession qui paie. 13. Page 142. 14. Voyez Sainte-Beuve, Port-Royal,
tome
III, livre III, chapitre XV. 15. Boileau, lettre
l’un à l’autre les richesses du pays qu’ils habitent. DON QUICHOTTE,
Tome
III, Chapitre V. De la conversation qu’eut Sanc
és du Roi en 1663, par les soins de m. Colbert. On trouve à la fin du
tome
VI de cette édition le remerciement que Moliere f
5. Voyez note 19, sur l’épître 7 de Despreaux, Amst. in-folio, 1718,
tome
premier, p. 218. 56. Mademoiselle Poisson fille
remarques sur la satyre 2 de Despreaux, in-folio, Amsterdam, page 20,
tome
premier, 1718. 58. Voyez ép. II, de Despréaux.
même La Princesse d’Élide, et quelle allégeance eût gagné le présent
tome
à ces retranchements ! On a toujours hésité, par
s des maris trompés. Le comte de Bussy-Rabutin, en avait fait tout un
tome
. Enfin, Molière avait tant d’ennemis, c’est-à-dir
pece de tyrannie que des personnages étrangers y venoient exercer ».
Tome
I, Section XXI, page 157. Nil intentatum nostri
de leur auteur, constaté par des éditions faites sous ses yeux (voyez
tome
Ier, page 98, note 13). S’ils ont pu retrancher d
r ce que nous avons adoré, et adorer ce que nous avons brûlé. 3. [
Tome
I, p. 98, note 1, L’Étourdi, vers 1110-1112 : Je
à Isabelle : Tu vas sortir de garde et rompre tes mesures.] 4. [
Tome
VIII, p. 372, note 1, Les Fourberies de Scapin, a
ag. 38, 39. d. Vie de Moliere fol. * 3. e. Elle est dans le i.
tome
du Mercure Galant de 1673. On y trouve plusieurs
sir de la voir en sa place, à la représentation suivante. (Menagiana,
Tome
. III. page 24.) V. Moliere s’est servi pour
arc Girardin fait ressortir dans son Cours de Littérature dramatique,
tome
II, XXX. 408. Voir plus loin, chap. VII, et surt
a. [NdE] Dans l’édition de 1730 des Œuvres de Monsieur de Molière,
tome
I, p. .102
e philosophie, comme il sera bientôt hypocrite de religion. 7. Voyez
tome
VII, p. 177-179 de l’édit, de 1682. 8. En 1813,
euse et élégante. Richer en a donné une description dans le quatrième
tome
du Mercure français (1615) : « Elle est, dit-il,
ie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voir aussi le Ménagiana, 1715,
tome
II, p. 65. — Il résulte de la Lettre de Loret du
Latine n’a jamais franchi les limites du discours naturel. Ouvrons un
tome
de Plaute, & lisons. Je tombe sur la troisiem
ots, qu’on trouve pour la première fois dans le Mercure galant, 1673,
tome
1. 803. Titre de la première édition du ‘Discour
re de la troupe du Roi. » 22. Le Livre d’or, Plutarque universel (
tome
Ier, in-4, 1866). 23. Voyez dans le très savant
ix). Turin, chez J. Gay et fils, 1872. — Tiré à 204 exemplaires. 52.
Tome
IV, p. 266 et suiv. 53. Tome IV. 54. Essais su
s, 1872. — Tiré à 204 exemplaires. 52. Tome IV, p. 266 et suiv. 53.
Tome
IV. 54. Essais sur Paris, tome III. 55. Cailha
. 52. Tome IV, p. 266 et suiv. 53. Tome IV. 54. Essais sur Paris,
tome
III. 55. Cailhava portait, enchâssée dans une ba
entreprise par feu Quérard, le bibliographe, et intitulée Le Quérard (
tome
II, p. 640), un renseignement qui vaut d’être rec
e disposition par une ordonnance de la même année. Voyez les capitul.
tome
I. col. 229. 1163. & 1270. Mais il faut avoü
les en général, qui sont rapportés ou cités dans le tr. de la police,
tome
I. liv. III. tit. iij. & dans le dictionn. de
s les logiciens, les métaphysiciens, les casuistes, en quatre ou cinq
tomes
… vous avez la collection complète des moralistes.
t la mort de Mademoiselle Mars Ainsi il entrait dans le plan de ce
tome
II, consacré à la comédie et à toutes sortes d’es
cteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 323, 352, 368 du
tome
Ier du Cours de littérature dramatique, traduit d
Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14. Pages 69, 298, 299, 348 du
tome
Ier. 15. Deuxième leçon. 16. Sixième leçon. 1
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