/ 163
1 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
u, généralement divisé en trois compartiments, l’enfer au-dessous, la terre au milieu, le paradis en dessus. « Et était la bo
manité. On vit ensuite, dans le second compartiment, c’est-à-dire sur terre , se célébrer le mariage de Joachim et de Anne, fi
ite par ses parents, vers Jérusalem, située au centre du compartiment Terre . Le Temple, élevé sur quinze degrés, y atteignait
mne d’adoration à celui des anges. Il faut croire que cet étage de la Terre était divisé en de nombreuses sections, ou que le
te, toute la mer de Galilée serait tantôt en vin muée ; et jamais sur terre n’aurait goutte d’eau, ne pleuvrait rien du ciel
uste et de la Sibylle. Il commençait par la création du ciel et de la terre . Dieu paraissait d’abord tout seul en Paradis, pu
peut rire, par exemple, de ces trois compartiments superposés, enfer, terre , paradis, qui forment le lieu de l’action ; et po
ques résultent de cette correspondance visible entre les scènes de la terre et celles du ciel ou des enfers! Aux plus terribl
dre à de certains moments solennels : alors le silence se fait sur la terre , aux enfers même, et tous les: événements sont co
un moment son fils chéri. « Icy, dit le livret, s’assied Notre-Dame à terre et prend Jésus en son giron, et les Maries sont a
tre à Jésus les royaumes du monde :    Premier, vois en sommation La terre de promission, Qui est terre où tout bien abonde.
onde :    Premier, vois en sommation La terre de promission, Qui est terre où tout bien abonde. Voici tout le milieu du mond
erre où tout bien abonde. Voici tout le milieu du monde ; Deçà est là terre d’Europe, Delà la terre de Ethiope, Tous royaumes
. Voici tout le milieu du monde ; Deçà est là terre d’Europe, Delà la terre de Ethiope, Tous royaumes de noble arroy, Desquel
ssion, Aumône, Regnabo, Regno, Regnavi ; Paucitas dierum, Limon de la terre , Désespérance de pardon, Glou-tonnie, Paresse, Ir
2 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
arron, riche de 100 000 fr., conçut l’ambition de posséder une petite terre . Elle ne désirait pas moins peut-être, d’être sép
projeté, elle dit à Gobelin : « J’ai une extrême envie d’acheter une terre et n’y puis parvenir. J’ai prié M. de Montchevreu
mot à votre service : il veut dire : pour vous aider à me trouver une terre à acheter, ce qui montre que Gobelin était un vér
u la jalousie de madame de Montespan. « Je suis résolue d’acheter une terre auprès de Paris. J’attends des nouvelles de M. Vi
r., au lieu de 100 000, dirigea les recherches de ses agents vers une terre plus considérable que celle qu’elle avait en Mie
6 septembre 1674, elle écrit à son frère qu’elle est en marché d’une terre dont elle offre 240 000 francs. Le 10 novembre el
rancs. Le 10 novembre elle lui annonce que le marché est fait pour la terre de Maintenon. Il s’éleva des difficultés pour le
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283
z les femmes sur-tout, où le plaisir malin Prend racine, s’étend : la terre en est si bonne ! Cette maligne haine, outre qu’e
haïr, répond la Marquise. Elle & son frere ont un procès pour une terre qu’ils se disputent ; elle imagine, pour chagrine
Angélique, sa niece, à un fameux chicaneur, & de lui donner cette terre pour dot. Le Comte forme le même dessein. Pour mi
. . . . . . . . Ils conviennent entre eux de donner à leur niece la terre qui fait le sujet de leur dispute : ils ont été f
nt on s’expose. Car enfin, après tout, qui sait, en pareil cas, Si la terre d’autrui ne m’appartiendra pas, Par quelque nulli
toujours un préjugé fatal. Quoi ! parcequ’on habite un autre coin de terre , Il faut se déchirer & se faire la guerre !  
4 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
int. À ce bruit. Don Juan met l’épée à la main ; Arlequin se couche à terre sur le dos, tient sa flamberge pointe en l’air, d
ntalon, il lui donne un coup dans l’estomac, le renverse et tombe par terre avec lui. Ils se relèvent. Arlequin se mouche alo
ur d’Arlequin ; il veut se sauver, tombe sur le commandeur étendu par terre , se relève et s’enfuit. Dona Anna vient demander
oncé, tenant sa lanterne élevée, Arlequin paraît sur les flots, prend terre , fait une culbute, et se trouve sur ses pieds, ho
stérieux se font entendre ; la statue se lève, le tonnerre gronde, la terre s’ouvre, la flamme infernale brille, et l’homme d
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
’Athenes la rage dans le cœur, & la bêche à la main, travaille la terre pour y chercher de quoi vivre. C’est dans cette c
eurs, & commence par elle.... Et toi, mere commune des humains, ô Terre  ! ne te rends point rebelle à mes travaux ; ne fe
amp; qu’il chérissoit fort. Enrique combattit & sur mer & sur terre , Et laissa les trois quarts de son corps à la gue
e est Alcmene,   A qui je me dois adresser. (Sosie pose la lanterne à terre .) Madame, Amphitrion, mon maître & votre épou
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
ame de Maintenon à Barèges avec les enfants, madame de Montespan à sa terre de Clagny. — Dépenses de madame de Montespan à Cl
ais de plus grandes complaisances pour lui que de porter le nom d’une terre qu’il m’a donnée. »Ce nom échappé au roi comme un
us élevée. Il est au reste, inutile de faire remarquer ces mots : une terre que le roi m’a donnée ; ils prouvent, qu’outre le
nous avons vu le don, le roi avait ajouté le complément du prix de la terre , qui s’élevait à 50 000 francs. Mais un autre évé
côté, de griefs de l’autre… « Ce secret, ajoute la lettre, roule sous terre depuis plus de six mois. Il se répand un peu, et
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377
e a changé, on le porte sur les habits. M. de Cornichon. Cependant la terre de Clincan ne sauroit fournir à mon neveu... La B
Monsieur. Depuis quelques mois il a érigé, de sa propre autorité, sa terre de Clincan en Comté, & il est Monsieur le Com
s. Quelle fortune aura donc le Petit Seigneur, si ce n’est une petite terre qu’il puisse ériger en Comté, en Marquisat ? S’il
lle portera à son époux plus de vingt mille livres de rente en bonnes terres , outre deux cents mille livres d’argent comptant
la fin je quitterai tout & m’irai confiner dans quelqu’une de mes terres . Que j’envie, Madame, le sort d’un petit Gentilho
s, des Marquis qui ne sont pas Gentilshommes, & qui n’ont pas une Terre comme M. de Clincant ? N’avons-nous pas d’un autr
8 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
n point de départ et un rayonnement différent de celui qu’ils ont sur terre française. Non seulement l’on est ici brouillé av
e, des idées par d’autres voies que nous. On est accoutumé, sur cette terre du refuge, à procéder en toute question avec libe
s; dans l’estime plus que dans la gloire ; dans un amour intime de la terre natale, de tous ses enfants, de tous ses intérêts
er, dans un de ses chants, a dit le lot échu au poète : « Partagez la terre entre vous, crie Jupiter du haut du ciel. Les hom
tes enfants ! — Où donc étais-tu, dit Jupiter lorsqu’on a partagé la terre  ? — J’étais auprès de toi, répond le poète. Le re
ardonne si, ébloui de ta lumière, j’ai oublié tout ce qui était de la terre . — Que faire ? reprit Jupiter, le monde est et do
les siècles, il y a des laboureurs qui ne songent qu’aux fruits de la terre , des marchands uniquement occupés de remplir leur
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
interroge son nouveau sergent qui s’appelle Sauve qui peut, Ventre à terre . Ces deux noms persuadent à tous ses braves camar
camarades que la maréchaussée est à leurs trousses, ils se jettent à terre de frayeur ; Arlequin sur-tout meurt presque de p
 ! Des gourgandines ! Ciel ! quelle peste voilà ! Il n’est pas sur la terre une plus méchante ame. Le dangereux bétail qu’une
10 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
es, de conquêtes, de mines d’or et d’argent, de voyages lointains, de terres inconnues, de banques et d’armées, de prédication
ibertinage de l’esprit, ce Don Juan est le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté. « Un enragé, un chien, un diab
peare, et dans pas une de ces tragédies, qui embrassent le ciel et la terre , vous ne trouverez plus d’espaces, et plus conven
sa gaieté, et telle est la tristesse dont son âme est pleine, que la terre , cette belle création, lui semble un promontoire
ices. Ce n’est pas lui, certes, qui entrerait volontairement en cette terre consacrée. Non, mais par hasard il passe devant l
ontré une maladie plus violente, plus sérieuse, plus désespérée de la terre et du ciel, que la fièvre de Don Juan. Dans celle
anité, c’est-à-dire quand la charité chrétienne aura disparu de cette terre , pour remonter au ciel, sa patrie ! Don Juan ! si
as, tantôt, nier Dieu dans le ciel, et qui le renie à présent, sur la terre  ! Le pauvre ! le pauvre ! Le pauvre à qui la faim
à construire les légers navires, à demander à Cérès les fruits de la terre  ? Soudain vous n’êtes plus qu’une race de lâches
il est un Dieu ! Quelle est la récompense suprême de Jupiter, sur la terre des héros ? — une couronne d’or ? — Non ! non ! u
de Roquelaure : il est duc et père, et voilà sa chaussure couverte de terre d’Espagne ! Plaisanteries de bon goût qui ne se c
ienne. — La lumière purpurine qu’Hébé de son urne verse sur la froide terre , m’est revenue dès que je t’ai aimée. » Et comme
is élève l’âme au-dessus d’une vile tentation. Il semble venir sur la terre pour élever et pacifier nos pensées éparses en le
disait à Lauzun : « Je suis fatiguée de plaisirs, il me semble que la terre soit gazonnée d’écarlate, sans un seul coin vert.
êtes le reflet de la mode. Grand Dieu ! Quels bas ! Vous parcourez la terre en Cupidon monté sur une paire de torches. » L
e… Se savoir à lui ! quel orgueil, quelle gloire, même quand toute la terre crierait : Honte ! La terre ne pourrait assourdir
gueil, quelle gloire, même quand toute la terre crierait : Honte ! La terre ne pourrait assourdir à son cœur la trompette qui
la trompette qui, de sa voix sonore et triomphante, lui dirait que la terre n’est que l’esclave de Louis ! » Et cette folle,
me tourmente), comment placer ma pension le plus profitablement ? La terre ne me convient pas — on n’en retire jamais sa ren
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74
climats  Ne sentoient l’effort de son bras :  Il ravageoit sa propre terre ,  Ruinoit ses propres Etats. Son Visir déploroit
apporter les fables qu’elle débite à l’ambitieux qui veut quitter ses terres pour aller à la Cour, & à la capricieuse qui
ction qui regarde le Théâtre François.  L’an que Zaïre enchantera la terre , O Théâtre François, quel sera ton bonheur !   De
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
pour y faire de nouvelles provisions. Notre jeune homme y descendit à terre avec plusieurs autres Anglois ; & sans prendr
la liberté à Marseille. Voici ce qu’il dit à Zaïde. J’étois couché à terre , je songeois à vous, & je soupirois ; un Chré
ui a fait perdre six cents sequins en lui conseillant d’ensemencer sa terre suivant une nouvelle méthode de son pays. Le Mar
accablé de fatigue, & que n’appercevant personne, il s’asseyoit à terre d’un air triste & languissant. Il l’observa d
13 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401
le roi lui avait « envoyé Le Nôtre pour ajuster cette belle et laide terre . Sa faveur était extrême, dit madame de Sévigné d
le étoffe ! vient-elle du ciel ? il n’y en a point de pareille sur la terre . On essaie le corps, il est à peindre ; le roi ar
14 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127
plus grande difficulté à se débrouiller ; quand il ne se traînait pas terre à terre, il subissait les influences les plus div
nde difficulté à se débrouiller ; quand il ne se traînait pas terre à terre , il subissait les influences les plus diverses et
15 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
homme bien élevé n’aurait jamais dû se permettre, fut exilé dans ses terres , et le roi prit sa place sans que personne s’en é
onnages qui ne relèvent pas de la réalité. Le poète a beau quitter la terre pour le séjour des dieux, tracer pour le maître d
16 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
Bacchus chasse le souci. CHŒUR DE BACCHUS. Bacchus est révéré sur la terre et sur l’onde. CHŒUR DE L’AMOUR. Et l’Amour est u
heureuses de toutes parts,   Et pleines d’exquises richesses,   Les terres où de mes regards   J’arrête les douces caresses
ui riez, car vous pleurerez (Luc, VI, 25). Ceux qui ont laissé sur la terre déplus riches monuments n’en sont pas plus à couv
e, et toute la cour, le roi de France, le représentant de Dieu sur la terre , et attirant ainsi les colères célestes sur le ro
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
me-là avec sa rosse ? Lui, prenant le parti de son cheval, met pied à terre , & dit que son cheval n’étoit pas une rosse.
e. Il se leve, & prend la fuite. Il est vrai qu’en nous roulant à terre , il laissa tomber de sa poche vingt-cinq ou trent
protégeant réellement les talents, soulageant les misérables de leurs terres , nous ne peindrons que l’honnête homme riche ; no
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
ploie l’argent que le héros lui donne, à faire emplette sous main des terres que vend ce dernier. Elle tâche de ramasser les d
onnête Fripponne font ensemble. ACTE II. Scene II. Cléon a vendu une terre dont l’Honnête Fripponne a fait emplette sous un
ne vois qu’un moyen qui nous force à nous taire : Combien pour cette terre avez vous eu d’argent ? Cléon. Deux cents mille é
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
s-çà ; dis-nous ce que tu as vu. Richard. Ce que j’ai vu ? J’ai vu la terre de promesse. Le Meunier. La terre de promesse ! Q
ichard. Ce que j’ai vu ? J’ai vu la terre de promesse. Le Meunier. La terre de promesse ! Que veux-tu dire par-là ? Richard.
il a faim, il boit quand il a soif : quand il est las, il se couche à terre & dort sans inquiétude ; il se releve ensuite
l, & le voilà aussi grand que vous. De vos richesses & de vos terres  ? le scélérat qui vous en dépouilleroit, seroit d
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
de lui, il a ramassé la pantoufle, comme un de ses gants qui étoit à terre . Ainsi Ménalque s’en retourne chez soi avec une p
re où il est familier, il crache sur le lit & jette son chapeau à terre , en croyant faire le contraire. Il se promene sur
se dérober à la cour pendant l’automne, & d’avoir passé dans ses terres tout le temps de Fontainebleau : il tient à d’aut
prend pas pourquoi tout le monde éclate de rire de ce qu’il a versé à terre ce qu’on lui a versé de trop. Il est un jour rete
l’hôte m’égorgea dans ce lieu-ci, & se contenta de me couvrir de terre  : ainsi je demeure caché dans la maison, & il
rs dans la lune, n’auroit pas mieux dit. Encore une incursion sur les terres de Regnard, & nous pourrons, je crois, nous f
21 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
he-toi aux saisies réelles, aux préférences de deniers. Remue ciel et terre pour être procureur des bonnes directions, et ne
ors des créanciers, vêtus de manteaux noirs qui leur traînent jusqu’à terre , et portant de grands crêpes aux chapeaux. ARLEQ
nt en grand deuil ? ARLEQUIN bas. C’est qu’ils portent leur argent en terre . Un peu plus loin, en effet, nous voyons se joue
22 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [66, p. 102-103] »
e suivante. Elle est de Chapelle* :   Puisqu’à Paris on dénie   La terre après le trépas,   À ceux qui, durant leur vie,
23 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [11, p. 42] »
ppelle gros Pierre, Qui n’ayant pour tout bien qu’un seul quartier de terre , Y fit, tout à l’entour, faire un fossé bourbeux,
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. » pp. 426-435
verrai Comtesse, s’écria Thérese, je voudrois la voir cent pieds sous terre . Mais, encore une fois, faites ce que vous aviser
prit à pleurer à chaudes larmes, comme si elle eût porté sa fille en terre . Sancho l’appaisa, en l’assurant que, quand il la
25 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
la porte de la chambre, il heurta ; en entrant il jeta son manteau à terre et, s’étant coiffé du petit chapeau, il courut, s
 : C’est un comique sans pareil ; Comme le ciel n’a qu’un soleil, La terre n’eut qu’un Scaramouche. On sait les vers placés
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
Qu’il ne faut jamais éprouver S’il casseroit ou non en le jettant par terre  ; Car on ne sait enfin ce qui peut arriver : Mais
théâtre représente une forêt.) Timon, la bêche à la main, creuse la terre pour y chercher des racines, sa seule nourriture,
s Athenes corrompre les Athéniens par leurs charmes, & couvrir la terre de plus de maux qu’il n’en sortit de la boîte de
cor pour persuader à M. Oronte que Valere & lui reviennent de la terre de Clitandre où ils ont feint d’aller chasser pen
27 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [50, p. 83-85] »
dans son épître septième qu’il adresse à Racine. Avant qu’un peu de terre , obtenu par prière, Pour jamais sous la tombe eut
28 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110
e qui est bas, rapetisse ce qui est petit, terrasse ce qui est déjà à terre , et croit, par cette généreuse exécution, se reha
ses larmes brûlantes tombent comme une pluie d’été qui rafraîchit la terre . Géant toujours chaussé du cothurne, il porte en
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
se releve, essuie la sueur de son visage & jette sa perruque par terre , pour pouvoir mieux méditer avec la tête nue. En
rire derechef ; mais, par distraction, il manque la chaise, tombe par terre , & crie : Crispin. Crispin. Seigneur Bourg-me
30 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
précisément que le Tartuffe sera représenté tant qu’il y aura sur la terre une demi-douzaine de comédiens et assez de planch
equête présentée à l’archevêque de Paris pour obtenir l’inhumation en terre sainte, que Molière, lorsqu’il s’ôtait trouvé mal
heur à vous qui riez, car vous pleurerez ! Ceux qui ont laissé sur la terre de plus riches monuments n’en sont pas plus à cou
faut. » — « O dieux de chair et de sang, s’écrie Bossuet, ô dieux de terre et de poussière, vous mourrez comme des hommes ! 
bien de tout leur pouvoir. Mais où en trouverons-nous de tels sur la terre  ? Nous voyons assez d’ostentation, assez de dais,
t des idoles muettes qui ne parlent point pour le bien des hommes. La terre est désolée, les pauvres gémissent, les innocents
nt fait une sorte de vœu de conquérir les biens et les honneurs de la terre  ! L’orateur promène sur la foule illustre un rega
quoi ? Parce qu’en travaillant pour le monde, vous avez semé dans une terre ingrate, dont vous n’avez dû vous promettre et qu
icité des saints dans le ciel, le bonheur dont jouissent, même sur la terre , les vrais et humbles serviteurs de Dieu, ceux qu
x qui disent avec David cette parole que l’ambitieux des choses de la terre ne se peut dire sûrement : Satiabor. « En effet,
nsolations célestes dont vous êtes la source, et qui sont déjà sur la terre un paradis anticipé ? Combien de fois, rempli de
d’un roi chrétien. Régner dans le ciel sans avoir jamais régné sur la terre , c’est le sort d’un million de saints, et cela su
un million de saints, et cela suffit pour être heureux. Régner sur la terre pour ne jamais régner dans le ciel, c’est le sort
eux ans, et nul homme n’était aussi puissant et aussi glorieux sur la terre . Attaquer en face et la passion et l’homme, pouva
lle lime et les vertus qu’elle parodie. « Ceux qui ont laissé sur la terre les plus riches monuments, dit Bossuet, à propos
orateur sacré, qui doit parler de la sorte, mais un seigneur dans ses terres , mais un magistrat dans son ressort, mais un supé
ils de Dieu nous a dit qu’il n’était pas venu apporter la paix sur la terre , mais le glaive et la division, que voulait-il pa
elles et s’acheminent vers la perdition : la plupart demeurent sur la terre , dans le milieu, dans la nature, entre la grâce e
31 (1735) Moliere (Supplément au Grand Dictionnaire historique) « MOLIERE, (Jean-Baptiste Poquelin) poëte comique, etc. » p. 82
orsque le roi eut obtenu de l’archevêque de Paris qu’on l’enterrât en terre sainte, on porta son corps à Saint-Joseph, qui es
32 (1884) Tartuffe pp. 2-78
le dimanche fait encore un plus grand péché que celui qui laboure la terre . Hélas ! ces comédiens qu’il excommunie, tout com
ris avait refusé à Molière «  le doux, l’aime, le désiré baiser de la terre  ». (Rabelais.) Et qui était cet archevêque ? ce P
in. Et ne vous y trompez pas : il est de naissance ; il avait au pays terre et château, fief de haubert, monsieur, mais que v
e la faute de Molière si les excessifs ont poussé la religion sur ses terres  ? Et par excessifs, j’entends les dévots, non pas
st pour l’homme, et pour l’homme d’ici-bas, s’entend, l’homme fait de terre . Et comme il n’est pas bon que l’homme soit seul,
33 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [29, p. 54-59] »
ns un tas de fariboles dans la tête. Je me soucie morbleu bien que la terre ou le soleil tourne ! que ce fou de Descartes ait
34 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [76, p. 115-117] »
neur. — Ah ! mon frère, s’écria Puy-Morin, en frappant du pied contre terre , pourquoi m’en faites-vous souvenir lorsque le dî
35 (1788) Molière (Dictionnaire encyclopédique) « article » pp. 588-589
i énergique de la femme de Molière : quoi ! l’on refuserait un peu de terre à un homme auquel on devrait élever des autels !
36 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
d tueur ; dompteur et dominateur de l’univers, fils du tremblement de terre et de la foudre, parent de la mort et ami très ét
’avançait pour me frapper ; d’un coup, je fendis le pavé, j’ouvris la terre jusqu’aux abîmes où Neptune fut frappé de stupeur
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
croit absent, mais qui ne l’est point : il est arrivé en secret de sa terre . Il a député Brighella son domestique pour épier
Maître du tonnerre, Elle n’est pas de feu, d’air, d’eau, ni moins de terre , Ni le tempérament des quatre qualités Qui renfer
ou qui fait mouvoir sans connoissance. Jodelet, jettant son chapeau à terre . J’enrage !... Pancrace. J’enrage !...Elle n’est
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322
l’église pour lui présenter de l’eau bénite, en baisant devant lui la terre à chaque instant, en poussant tout haut de grands
ir fait un sacrilege en outrageant ainsi leur Saint. Il fut porté par terre , roué de coups, & y auroit perdu la vie, si M
sur son visage qu’il en avoit une extrême déplaisir : il le releva de terre , où on l’avoit jetté, l’embrassa, & le baisa,
39 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XX » pp. 215-219
gloire, celle qu’on tenait de la faveur de Louis XIV. Quand un peu de terre eut couvert la marquise de Rambouillet, le roi ne
40 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
ème et la neuvième des Réflexions critiques sur Longin, et visité les terres de l’abbaye du Val Richer. La grossièreté de la n
oujours ou vert, sur ce roi d’Asie prosterné, adorant, la face contre terre , la majesté du sénat et du peuple romain, sur cet
Qu’on la remette à sa véritable place, qu’on lui rende son soleil, sa terre , qui sait ? peut-être sera-t-elle belle là-bas. U
sera philosophe. La rose emprunte sa sève, sa grâce et son éclata la terre où sont ses racines ; le génie emprunte tout ce q
ui plane indifféremment au-dessus de toutes les contrées, fond sur la terre et remonte, sans s’inquiéter si le lièvre qu’il t
ment la joie ; je les voyais, actifs dans leur prospérité, braves sur terre , héroïques sur mer, conquérir leur pays sur les f
la paroisse Saint-Eustache. Il y a une tombe élevée d’un pied hors de terre . » 322. La Cuisinière de la ville et de la
41 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
aleur d’un être immortel racheté par le sacrifice de l’Homme-Dieu. La terre ne fut plus qu’un lieu d’exil, la vie que le rêve
radiction offre le spectacle le plus pénible, et retient la comédie à terre bien loin de l’idéal. Elle manquerait de moralité
gnies ; il déclare que le monde est corrompu, qu’il n’y a plus sur la terre ni tempérance, ni chasteté, et en attendant l’heu
incapable de se consoler philosophiquement de sa ruine, il se roule à terre avec des gémissements et des sanglots. Cependant
n harmonie avec, lui-même, est marqué par l’apparition de Dieu sur la terre . Cette harmonie se réalise par l’union de la natu
42 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
tout dire en un mot, le poète-dieu n’est pas fâché de trouver sur la terre des éditeurs, des acheteurs, des lecteurs et des
vieux temps, qui ne croyait pas s’humilier en écoutant les voix de la terre , et dont les plaintes, les colères, les jeux et l
veut sortir d’un gouffre où triomphent les vices, Et chercher sur la terre un endroit écarté Où d’être homme d’honneur on ai
nsées du premier sont trop étendues; elles ne sont pas faites pour la terre  : le cœur de l’autre est trop exigeant; il n’est
à ce ciel mystérieux où se continuent les affections nouées sur cette terre et davantage au foyer domestique qu’elle va embel
travers de notre tourbillon; Est, s’il eût en chemin rencontré notre terre , Elle eut été brisée en morceaux comme verre. PHI
ie, Schiller a indiqué le lot qui appartient au poète : « Partagez la terre entre vous, » crie Jupiter du haut de son ciel. À
ne me fais point de reproches. Où étais-tu lorsque l’on a partagé la terre  ? — J’étais auprès de toi, dit le poète. Le regar
rdonne, si, ébloui de ta lumière, j’ai oublié tout ce qui était de la terre . — Que faire ? reprit Jupiter, le monde est donné
images de Schiller, des laboureurs qui ne songent qu’aux fruits de la terre , des marchands uniquement occupés de ce qui peut
doctrines qui charmaient le bon sens de Chrysale, ce bon sens cru et terre à terre, y régnaient presque sans partage, et la
es qui charmaient le bon sens de Chrysale, ce bon sens cru et terre à terre , y régnaient presque sans partage, et la grande m
serons bien forcés d’y reconnaître des traces nombreuses de l’esprit terre à terre qui nous frappe dans la vieille comédie f
bien forcés d’y reconnaître des traces nombreuses de l’esprit terre à terre qui nous frappe dans la vieille comédie française
ouvé moyen de mettre de son parti presque toutes les puissances de la terre . Malgré la protection de Louis XIV, en ce cas tim
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
a garde des Graces : ou trembloit à l’aspect de Jupiter foudroyant la terre . Eût-il pu lui-même nous rendre compte des élans
flatteuse pour Aristote, est celle qu’Alexandre, devenu maître de la terre , lui écrivit. « J’apprends que tu publies tes Tra
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
lui fait mettre l’épée à la main, & reçoit un coup qui le jette à terre . Ses braves veulent le venger : le Comte indigné
une figure céleste. Fanni, fille d’Adams, est un ange descendu sur la terre  : elle parle ; chaque mot va se lancer en trait d
45 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
de paillasse : L’effroyable Festin de Pierre, Si fameux par toute la terre , Et qui réussissait si bien Sur le Théâtre-Italie
ent De profundis 14. Quand les chants ont cessé, la foudre éclate, la terre s’entrouvre et engloutit à la fois don Juan, la s
46 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
concert. Arrivé en présence de Sa Majesté, il jetait son manteau par terre , et il chantait une chanson bien propre à mettre
les séparer. Si le conte ou l’histoire n’erre, Baloardo, tombant par terre , S’écria : « Dieux ! quelle pitié ! Les François
47 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
tendant que son âne. Diamantine lui soutient qu’il a des chevaux, des terres , des châteaux, et lui demande ce qu’il veut mange
e donner une sérénade à sa maîtresse Diamantine. Il pose sa guitare à terre , et, pendant qu’il tourne la tête d’un autre côté
48 (1821) Scène ajoutée au Boulevard Bonne-Nouvelle, pour l’anniversaire de la naissance de Molière pp. -
re Molière, applaudi tant de fois, Obtint chez vous à peine un peu de terre  : Garrick repose à côté de nos rois. Tricot
49 (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605
ont. On eut toutes les peines du monde à obtenir qu’il fût enterré en terre sainte. Son corps fut porté à saint Joseph, qui e
50 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
Compiègne la reine-mère, et la force peu après à chercher un asile en terre , étrangère ; il exile ou fait arrêter les amis et
51 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304
emière circonstance par où elle fut signalée, fut l’acquisition de la terre de Maintenon qui appartenait à la maison d’Angenn
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
nlez pas. Cadédis, jé lé troubérai, se cachât-il dans lé centre dé la terre . Ne vous montrez pas. Oh ! l’homme au sac. . . .
doit jusqu’à son ame ? Géta. J’ai engagé, m’a-t-il dit, une piece de terre pour trente pistoles. Démiphon. Voilà qui est fai
hrémès. J’ai fort à propos apporté avec moi de l’argent du revenu des terres que ma femme a à Lemnos ; je m’en servirai, &
il est devenu plus traitable. Premiérement, il a engagé une piece de terre pour dix mines ; il veut qu’on les lui donne. Dém
53 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
dée d’un grand seigneur systématiquement impie, bravant le ciel et la terre et niant ouvertement sur la scène l’existence de
vous bien ainsi vous jouer au ciel ?… C’est bien à vous, petit ver de terre , petit myrmidon que vous êtes (je parle au maître
s son raisonnement et finit, en tournant sur lui-même, par tomber par terre , donnant par là occasion à don Juan de triompher
orale, ce n’est pas la faute de Molière si une statue qui marche, une terre qui s’entrouvre avec un tonnerre et des éclairs n
t en effet d’une vertu de ce genre, plus préoccupée du ciel que de la terre , demandant à la nature et à la chair plus de sacr
54 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
les prières de sa veuve et un ordre du roi, pour obtenir qu’un peu de terre couvrît sa cendre ; il fallut jeter de l’argent à
andir en lui ? III. Alors, par droit divin, les princes de la terre Avaient aux yeux du peuple un sacré caractère ; L
A la fraude exercé, l’avide industriel Mettant en actions, l’eau, la terre et le ciel ; Anonyme assassin, l’abject follicula
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XL. Du dénouement des Pieces à caractere. » pp. 469-474
vais sortir d’un gouffre où triomphent les vices, Et chercher sur la terre un endroit écarté, Où d’être homme d’honneur on a
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
n âne. Argentine lui soutient qu’il a des chevaux, des carrosses, des terres , des châteaux, & lui demande ce qu’il veut ma
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171
rgez de ce soin, ma chere, Lucinde, ma gloire, ma fortune... toute la terre ensemble n’en viendroit pas à bout. Je n’aimerai
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Des différents Genres en général. » pp. 1-8
us grand nombre est bientôt congédié. Les uns vont dans le fond d’une terre se consoler avec une bergere à laquelle ils parle
59 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
it recommencé la guerre contre la France. Mademoiselle vécut dans ses terres , n’ayant pas la permission de rentrer à la cour.
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
e, ou le livrer aux bourreaux de Médecins, comme un homme à mettre en terre en peu de jours ? Rien assurément n’est plus sim
frage ; elle se plaint de la rigueur du destin qui l’a jettée sur une terre inconnue, sans bien, sans ressource ; & de l’
61
de verve et d’entrain. Diogène, qui depuis deux mille ans a quitté la terre « Pour habiter l’Érèbe et son triste séjour »,
amarades, et dix jours ne s’étaient pas écoulés depuis qu’« un peu de terre obtenu par prière » recouvrait les restes du gran
époque, il s’en fallait encore de deux ans que Perrault le jetât par terre pour se faire, sur la place nette, les chantiers
que, en dépit d’un certain rigorisme gallican, fût enterré dans de la terre bénite ». Pour apprécier cette préface, il faut s
s dont il voulut absolument conserver un croquis. Il se fait mettre à terre , court dans la plaine, s’établit sur le sable et
r et qui rechargeait son arme ; il saisit son propre fusil déposé par terre , envoie à l’Arabe une balle dans la poitrine, pui
te date, il s’en fallait encore de deux ans que Perrault le jetât par terre pour se faire, sur la place nette, les chantiers
e. » Ce n’est donc pas Claude Perrault qui jeta le Petit-Bourbon par terre . Nous en trouvons une nouvelle preuve, et plus co
on, la façade du Louvre s’élevait à peine à huit ou dix pieds hors de terre . Mais Colbert, mécontent du projet de M. Le Vaux,
e bien des enfants et quand on n’achète plus rien, afin de donner des terres à un Arlequin français ou à un eunuque italien po
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341
lloit Gros Pierre, Qui, n’ayant pour tout bien qu’un seul quartier de terre , Y fit tout à l’entour faire un fossé bourbeux, E
ns l’Epitre à l’Envie, ouvrage de M. de Voltaire. C’est ainsi que la terre avec plaisir rassemble Ces chênes, ces sapins qui
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80
st utile aux hommes comme aux Dieux ;   Et c’est par vos soins que la Terre Entretient quelquefois commerce avec les Cieux. M
ratiques, je crois, ne vous sont pas nouvelles : Bien souvent pour la Terre il néglige les Cieux ; Et vous n’ignorez pas que
64 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
ui fait dire : Rien ne suffit aux gens qui nous viennent de Rome : La terre et le travail de l’homme Font pour les assouvir d
r l’entremise du serpent, le procès à l’iniquité des puissances de la terre  : Mes jours sont dans tes mains, tranche-les ; t
65 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
levant dans ces régions supérieures et presque divines, rester sur la terre , et ne s’égarer jamais hors de la vie pratique et
provinciale’, montre en caricature extravagante quelle distance de la terre au ciel il y a de la coquetterie à l’amour468. Mo
66 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
, à décorer, à fortifier la chose de ce monsieur ; ils ont fécondé sa terre , ils ont taillé sa vigne, ils ont mené paître ses
mille. Est riche aujourd’hui qui joue à la Bourse, qui achète plus de terre qu’il n’en peut cultiver, qui habite au second ét
la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil ; attachés à la terre qu’ils fouillent, ils ont comme une voix articulé
qui j’ai voulu plaire, même en faisant violence à ma vocation sur la terre  ; de vous qui m’avez fait jouer, même des drames 
67 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
s écrits, Et donner à ses vers leur légitime prix. Avant qu’un peu de terre obtenu par prière Pour jamais sous la tombe eût e
68 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
n va désespéré, résolu de s’expatrier et de fuir aux extrémités de la terre . Mezzetin, qui est allé faire de nouvelles acquis
69 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
faisoit des soupirs, de grands élancements, Et baisoit humblement la terre à tous moments ; Et, lorsque je sortois, il me de
e fit sortir des prisons du Divan. De retour en France, il acheta une terre près de Dourdan, où il mena une vie délicieuse av
70 (1769) Éloge de Molière pp. 1-35
cruelles, ses amis sont forcés de cabaler pour lui obtenir un peu de terre . On la lui refuse longtemps ; on déclare sa cendr
pas à ces végétaux dont la destruction en fait naître d’autres sur la terre qu’ils ont couverte de leurs débris ? Tel est le
71 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
as non plus, nous, les fils initiés, ou déçus des derniers âges de la terre . L’émotion que font naître en nous ces immensités
s mœurs. Son rire robuste et sain, lui tout seul, a fait rentrer sous terre des légions de vices et fauché des moissons de ri
72 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
drois bien vous demander qui a fait ces arbres-là, ces rochers, cette terre , et ce ciel que voilà là-haut ; et si tout cela s
e le bien et le mal soient ainsi divinement récompensé et puni sur la terre , ni que tous les amoureux s’épousent, ni que tous
73 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
ourgogne, ces Jupiters-Scapins de la comédie, appellent le ciel et la terre à leur aide, contre les comédiens de bois, le pub
chair et en os ; ceux-ci étaient des sacripants qui blasphémaient la terre et le ciel, celles-là étaient de franches drôless
voquait les fantômes d’autrefois, ces belles princesses l’amour de la terre  ! — et avec ces illusions-là, que d’enthousiasme,
visée : moralités, mystères, soties, histoire du ciel, histoire de la terre , drames, miracles, coups d’épée, coups de soleil 
ucher les chandelles, ou, pour mieux dire, il jeta les mouchettes par terre et il les foula aux pieds. Il arracha son tablier
dans les veines ; on eût dit un fantôme évoqué par les passions de la terre . — Mademoiselle Raucourt, jeune encore et d’une b
e vous dirai ce que deviennent les vieilles lunes. Ils passent sur la terre en déclamant, puis tout d’un coup ils se perdent
et pauvre, et la voilà bien étonnée de ne plus avoir un petit coin de terre à habiter, elle à qui autrefois appartenaient en
ée à la cour de la comtesse de Roussillon, dans un beau petit coin de terre aimé des dieux. Mais hélas ! le jeune comte de Ro
s, poésies italiennes, rondeaux, joutes, tournois, illuminations ; la terre et le ciel, l’ironie et l’esprit, l’argent et l’a
s derniers chants, de La Pucelle (il y est toujours), nul, dans cette terre de France, n’avait osé s’attaquer à Boileau. Et p
oup d’éventail, il se les donne aujourd’hui pour acheter un arpent de terre , et pour obtenir quelques voix aux élections du c
y a quinze mois que vous ne l’avez vue !… Ah ! ah ! elle a vendu une terre depuis huit jours, j’y vais ! » Il y va ! Souten
dre. Et puis, quand il continuerait à abuser toutes les Lucinde de la terre , où est le mal ? Est-ce que je m’intéresse à cett
passionné jusqu’au délire, jusqu’au crime, qui ne croit à rien sur la terre et dans le ciel, élégant et spirituel vagabond to
74 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
troupe sacrée Dont les bustes de marbre éblouissent mes yeux: Jusqu’à terre humblement, incline-toi, poète ! Heureux qui pour
teries et des vanités de femmes. Pensez-vous, s’il se retire dans ses terres , qu’il abolira d’abord les corvées dont ses paysa
ns l’intimité du monarque le plus orgueilleux et le plus absolu de la terre . Dans Don Juan, Molière avait commencé à poursuiv
devoirs de la femme; il a enfin établi sa véritable condition sur la terre ; il trouve que Dieu avait bien raison de défendre
e destinée à mettre en relief ce qu’il peut y avoir de bonheur sur la terre dans une union assortie par l’amour et par la sym
té du théâtre vers l’année 1718, il le quitta pour se retirer dans sa terre de Courcelles-le-Roi, en Berri, et là il ne s’occ
e ces personnages équivoques se trouvent les plus honnêtes gens de la terre . Il n’en est pas de môme dans les comédies de Dan
75 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
pelait Gros Pierre, Qui n’ayant pour tout bien qu’un seul quartier de terre , Y fit tout à l’entour faire un fossé bourbeux, E
ent des savants les spéculations, Le mien, ma sœur, est né pour aller terre à terre, Et dans les petits soins son faible se r
savants les spéculations, Le mien, ma sœur, est né pour aller terre à terre , Et dans les petits soins son faible se resserre.
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
a fait enlever à forfait : Il n’en reste, Monsieur, aucun morceau sur terre , Et l’endroit est tout prêt pour en faire un part
ré la guerre ! Mad. Artus. Ah ! que mon foible cœur tient encore à la terre  ! Et, dans l’aveuglement où je le tiens plongé, J
euve du sieur de Billy, non pour ses beaux yeux, mais pour une petite terre qui lui rapportoit environ cent pistoles. Une foi
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311
nds élancements à son héros : il ne lui fera pas baiser humblement la terre à tous moments : il ne lui fera pas dire à sa maî
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. » pp. 489-499
sablons de la mer, les épis de Cérès, Les fleurs dont au printemps la terre se couronne, Les glaçons de l’hiver, les raisins
79 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
rez pas toute jours. Viendra un temps où vous préférerez le ciel à la terre  ; vous êtes fait pour Dieu. Ceux qui attribuent m
80 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412
. Elle ajoute : « Trouvera-t-on encore des dupes sur la surface de la terre  ? »Dix jours après, c’est-à-dire le 25 juin, elle
81 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
iennes, ont un contrepoids assez lourd qui tend à les ramener vers la terre et vers le sérieux ; je veux parler des personnag
sentiments de ces philosophes étrangers qui voyageaient par toute la terre pour trouver un modèle de législation ? N’eussent
il se vante avec bonne grâce de sa poltronnerie : J’ai jeté tout par terre et couru comme quatre74. Enfin les farces de Mol
ndonne les régions élevées de la pure poésie, et qu’on descend sur la terre , dès qu’on même aux fictions idéals de l’imaginat
82 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
’après laquelle le corps de Molière ne serait point resté enseveli en terre sainte et en aurait été arraché pour être reporté
paroisse Saint-Eustache ; il y a une tombe eslevée d’un pied hors de terre . » Il n’y a point, M. Moland le reconnaît, il n’
pied de la croix. Donc, point de doute : Molière fut bien enterré en terre sainte. Mais l’y laissa-t-on dormir en paix ? Dan
oète comique, il s’était très nettement prononcé pour l’inhumation en terre sainte. Il est cependant bien suspect, ce raconta
 : le 6 juillet 1792, il va droit au mur de la petite maison bâtie en terre profane à l’extrémité du champ funéraire. C’est l
si qu’il a paru par les fragments déposés avec les ossements dans une terre sablonneuse à trois pieds de profondeur. » Voilà
83 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
liciter son intervention, il fut décidé qu’on accorderait « un peu de terre  » aux restes du comédien, pourvu que le corps all
ant Mercure le décide à suivre le conseil de Plutus ; et, creusant la terre d’un coup de bêche, Timon en retire un trésor. Au
de la dévotion pour paraître honnête, et braconner impunément sur les terres d’autrui : car elle n’a pas perdu tout espoir. Au
lui persuader « qu’étant d’une pâte à vivre cent ans, il mettrait en terre ses enfants, et les enfants de ses enfants ». À e
a santé du corps et de l’esprit, dès qu’il a renoncé à ses arpents de terre , ainsi que sire Grégoire à ses cent écus. Voilà p
aire, au meilleur compte. Lorsque Frosine lui dit qu’il les mettra en terre , il sourit d’aise et s’écrie : « Tant mieux ! » I
orment un cercle, ce qui, par un sens mystique, indique le rond de la terre que mes œuvres rempliront. » 166. Il est clair
orment un cercle, ce qui, par un sens mystique, indique le rond de la terre que mes œuvres rempliront. » 169. Cette pièce s
84 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
’il marque à M. Racine, lorsqu’il lui dit que3. Avant qu’un peu de terre obtenu par prière Pour jamais sous la tombe eût
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
pompeux de la victoire que son mari a remportée, il met sa lanterne à terre , & il lui adresse son discours, comme si elle
e avec usure achetera sa gloire : Le noir séjour des morts, l’air, la terre , le ciel, Vomiront contre lui tout ce qu’ils ont
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
visent dé nous la porter, Dieu mé damne, la Justice feroit vendre les terres d’un Gascon par décret. Forlise. Je serois fâché,
r le front, se ronger les ongles, regarder le ciel, fixer les yeux en terre , frapper du pied, battre la muraille de sa tête,
87 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
ts maladroits dans un genre où il ne s’agit que de marcher à fleur de terre  ; mais avec grâce et légèreté. Scarron n’avait de
te à éclater lorsqu’on aperçoit les côtes désirées et que le cri de : terre  ! terre ! termine la pièce. Voilà une idée et des
ater lorsqu’on aperçoit les côtes désirées et que le cri de : terre ! terre  ! termine la pièce. Voilà une idée et des effets
88 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
iboles dans la tête. Je me soucie, morbleu, bien, ajoûta-t-il, que la Terre tourne, ou le Soleil, que ce fou de Des-Cartes ai
ien confier, sans risquer d’être commis un moment après avec toute la terre . Ce discours ne tendoit qu’à donner à Baron du dé
riverent devant les Bons Hommes. Le Religieux les pria qu’on le mit à terre . Il les remercia gracieusement, & applaudit f
s deux vers de M. Despreaux dans sa VII. Epitre. Avant qu’un peu de terre , obtenu par priére, Pour jamais sous la tombe e
de ses mœurs, dont il n’étoit pas question. Le jour qu’on le porta en terre il s’amassa une foule incroyable de Peuple devant
ontmartre on demanda à une femme, qui étoit celui que l’on portoit en terre  ? Et c’est ce Moliere, répondit-elle. Une autre f
itement exprimé par ces vers de son Epitre VII. Avant qu’un peu de terre , obtenu par priere, Pour jamais sous la tombe e
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
êt ne les aidant plus à porter le fardeau, ils le laisserent tomber à terre . On retrancha le nombre de ses domestiques ; ceux
90 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
souviens d’avoir encore plus de quatre écus. SANGUINO. Mettez-le par terre . Voyons ce qu’il a dans sa robe. BARRA. Sang de…
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
ce lieu : C’est à nous ces troupeaux : fuyez vîtes. Adieu. Las ! ces terres hélas ! or tant bien cultivées, Seront par un méc
92 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
ours vérifier des calculs mathématiques et déterminer la figure de la terre . Il fut accompagné dans ce voyage par deux gentil
de l’Université. Leurs longs manteaux de deuil traînaient jusques à terre À leurs crêpes flottants les vents faisaient la g
93 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
urant : Ton Hercule mourant va te rendre immortel, Au ciel comme sur terre , il publiera sa gloire. Et laissant ici-bas un te
rs comptant au décès de la testatrice pour les placer en rentes ou en terres . » C’est la femme de Molière, et après elle la f
emier venu ; c’était un gentilhomme de la Beauce qui, en montrant ses terres , disait comme Rabelais : c’est beau ce. On sait q
dans du fumier ; des trésors enfouis comme des morts à six pieds sous terre . Ce qu’il y a de plus singulier, c’est qu’on n’a
ividus qui avaient coupé du seigle leur appartenant dans une pièce de terre attenant à leur maison de campagne de Monceaux.
particuliers à lui inconnus étaient venus couper une petite pièce de terre ensemencée de seigle, attenant à son jardin dépen
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90
a fievre la serre. Frelingue. Elle a le mal de mer ; elle a le mal de terre  ; Elle a.... que sais-je enfin ? elle n’est pas t
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
tient. Il dit avec vivacité : Ah ! si dans ce pays j’avois un coin de terre  ! Il cite avec vénération Locke. Pas un mot qui a
96 (1802) Études sur Molière pp. -355
nt d’efforts pour séduire leur juge, lorsqu’il demanda qu’on le mît à terre devant le couvent des Bons-Hommes, et alla modest
uvre citoyen d’Athènes, trouve sous le foyer de sa cheminée un pot de terre rempli d’or, loin de s’en servir pour ses besoins
eant qu’on la prendra sans dot. Cependant un malheureux coq gratte la terre autour de l’endroit qui recèle le pot ; l’Avare,
r, je suis mort, je suis enterré , se croient obligés de se rouler à terre  : c’est beaucoup s’ils ne s’enterrent effectiveme
usqu’au moment où vous êtes forcée de les étouffer et de vous jeter à terre  ; à peine nos Nicole ont-elles fait semblant de r
onte sont dans la première de ces classes : l’un, quand il se jette à terre pour éviter les coups d’épée de Sylvestre ; l’aut
hé l’instant le plus favorable pour mettre à contribution le ciel, la terre et les enfers. Le père de notre tragédie, Corneil
osa encore le titre de la pièce, et du nom de la dame et du nom de la terre . C’est dommage que ce dernier trait ne soit pas v
e nom de cette dame ne se trouve point dans les actes par lesquels la terre du Bagnas a passé d’une famille à une autre, en r
mille six cent soixante-treize.   Le Vasseur. * Avant qu’un peu de terre obtenu par prière, Pour jamais sous la tombe eût
us devons les vers suivants à Chapelle : Puisqu’à Paris on dénie La terre après le trépas À ceux qui, durant leur vie, Ont
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
igneur... Pancrace. C’est une proposition condamnable dans toutes les terres de la philosophie. Sganarelle, à part. Il faut qu
98 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
puisque Charles de Raimond son frère, prêta hommage au Pape, pour la terre de Modène, le 2 décembre 1673, comme frère et sub
99 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
Pedrolino et Arlequin restent seuls sur le théâtre. Ils s’assoient à terre , convenant entre eux de ce qu’ils diront si les v
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
l ; il se propose de vendre son régiment & d’aller vivre dans ses terres . Il offre sa sœur à Damis. On veut l’envoyer couc
25. Baron place la scene à Paris. 26. Entre deux selles le cul à terre . 27. Tome III, chap. V. 28. Personnage du Tartu
/ 163