aînée, Tous ces détours sont superflus ; Et me voilà déterminée A
souffrir
qu’en ce jour nos liens soient rompus. Amphitrion
n même maître. Pour Sosie, en tous lieux, on sait me reconnoître. Je
souffre
bien que tu le sois, Souffre aussi que je le pui
tous lieux, on sait me reconnoître. Je souffre bien que tu le sois,
Souffre
aussi que je le puisse être. Laissons aux deux A
rcure. Non, c’est assez d’un seul ; & je suis obstiné A ne point
souffrir
de partage. Sosie. Du pas devant, sur moi, tu pre
t je veux être fils unique. Sosie. O cœur barbare & tyrannique !
Souffre
qu’au moins je sois ton ombre. Mercure. Souffre
e & tyrannique ! Souffre qu’au moins je sois ton ombre. Mercure.
Souffre
qu’au moins je sois ton ombre.Point du tout. Sosi
t. Sosie. Que d’un peu de pitié ton ame s’humanise : En cette qualité
souffre
-moi près de toi. Je te serai par-tout une ombre s
Dans sa vie de comédien et de valet de chambre du Roi, le poète avait
souffert
bien des mépris; obligé de sacrifier son indépend
ulement dans ces affections vagues et indéterminées que Molière eût à
souffrir
: des douleurs bien plus intimes lui déchiraient
comme si elle n’était point ma femme ; mais, si vous saviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi. Ma passion est venue à
alité et le malheur. Célimène devient le supplice d’Alceste ; elle ne
souffre
pas, elle ; Célimène est sensible comme toute jol
uette ! cela ne se peut. C’est Alceste, franc et probe, qui doit seul
souffrir
d’indicibles douleurs, telle est la loi de la soc
évention que vous avez contre lui ? L’Anglais Oh !… je ne puis le
souffrir
. Tricot Mais pour quelle raison ? L’Anglai
our quelle raison ? L’Anglais Par la raison que je ne puis pas le
souffrir
. Tricot Peut-être Monsieur ne le connaît-il p
pareil succès à Molière, je ne conçois pas pourquoi vous ne pouvez le
souffrir
. L’Anglais Ce était pour des considérations p
air accablé ; on maudit avec lui cette société gangrenée qui le fait
souffrir
; c’est un héros, c’est un saint ; tranchons le m
portait ses chagrins. On se base généralement, pour affirmer qu’il en
souffrait
au plus haut point, sur une conversation avec Cha
rance. Cependant, je le répète, je ne veux point nier que Molière ait
souffert
. Armande le trompait : Armande, qu’il avait épous
ge », ajoutait Mme de Rambouillet . Mais cette sagesse allait jusqu’à
souffrir
, par exemple, que sa femme, la belle et platoniqu
oncements, ne fait pas à autrui la moindre charité : il veut qu’on le
souffre
, et ne souffre rien à personne. C’est cette dispr
ait pas à autrui la moindre charité : il veut qu’on le souffre, et ne
souffre
rien à personne. C’est cette disproportion entre
vrai, dans sa querelle avec Philinte, lorsqu’il déclare qu’il ne peut
souffrir
qu’on traite du môme air l’honnête homme et le fa
ue cela se passe ainsi : Mais ne présumez pas que sans être vengé Je
souffre
le dépit de me voir outragé ! Je sais que sur les
hautaine vertu. Restons dans la juste nature. Et si nous avons trop à
souffrir
des hommes, tâchons de ne trouver là qu’une occas
isanthrope, à qui on ne dissimule plus la vérité, est le premier à en
souffrir
; il est obligé d’y renoncer et de retourner, je
son ouvrage ? D’ailleurs, je l’ai dit, je ne nie pas que Molière ait
souffert
, je nie que ses souffrances en aient fait l’ennem
nir, Encor, si pour rimer, dans sa verve indiscrète, Ma Muse au moins
souffrait
une froide épithète : Je ferais comme un autre ;
ses mots, N’en dira jamais un, s’il ne tombe à propos : Et ne saurait
souffrir
, qu’une phrase insipide Vienne à la fin d’un vers
s sachent plaire au plus puissant des Rois : Qu’à Chantilli Condé les
souffre
quelquefois ; Qu’Enguien en soit touché, que Colb
s son dereglement, si on en exceptoit Moliere, elle n’avoit jamais pu
souffrir
que des gens de qualité, & que pour cette rai
rendre des mesures pour une separation, & qu’elle ne pouvoit plus
souffrir
un homme, qui avoit toûjours conservé des liaison
le comme si elle n’étoit pas ma femme. Mais si vous sçaviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi : ma passion est venuë
tent, que d’avoir un si grand esprit, & un génie si admiré, &
souffrir
tant d’inquietudes. (D) Il lui échappoit.... de
re, & ces femmes auront raison : notre siecle, devenu délicat, ne
souffre
plus des indécences pareilles. Eh bien ! accordez
le théâtre, & figurer seuls sur un lieu destiné à tous les états,
souffrez
qu’on vous y fasse voir tels que vous êtes, tels
ent. Oronte, à la Niece. Pour plus de sureté d’une éternelle flamme,
Souffrez
que devant lui je vous donne ma foi, Qu’il en soi
. . La Tante. Non, mais en dépit d’eux on prend soin de leur vie. Et
souffrir
votre mort, pouvant vous secourir..... Léandre. E
secours, Si je respire encor, je ne doive mes jours. Ainsi, Monsieur,
souffrez
que je vous rende grace. Voit-on le moindre fil
par trois autres ! La partie est trop inégale ; & je ne dois pas
souffrir
cette lâcheté. (Il met l’épée à la main, & co
On voit par la fuite de ces voleurs, de quel secours est votre bras.
Souffrez
, Monsieur, que je vous rende graces d’une action
i vous avez pour moi tant soit peu d’amitié, Ne parlons plus d’amour,
souffrez
que je respire. Mélise. Vous ignorez, ma sœur, ce
, prie Bélise de lui être favorable. BÉLISE, CLITANDRE. Clitandre.
Souffrez
, pour vous parler, Madame, qu’un amant Prenne l’o
ue, sous la figure où le respect l’engage, On veut bien se résoudre à
souffrir
son hommage, Pourvu que ses transports, par l’hon
ce triste berger. Le voilà accablé d’une mortelle douleur, il ne peut
souffrir
l’effroyable idée de voir tout ce qu’il aime entr
lui parler ainsi : (Il chante.) Belle Philis, c’est trop, c’est trop
souffrir
: Rompons ce dur silence, & m’ouvrez vos pens
Cléante. Il ne dit rien. Argan. Voilà un sot pere que ce pere-là, de
souffrir
toutes ces sottises-là sans rien dire. Cléante, v
nd. Non, Monsieur.Si tu veux, je lui vais proposer... Crispin. Il ne
souffrira
pas que jamais je le voie, Monsieur. Fernand. Mo
ur, je vois bien que vous êtes brave homme ; Vous aurez de la peine à
souffrir
qu’il m’assomme. Fernand. Attends-moi : de ce pas
pricieuse, j’en demeure d’accord ; mais tout sied bien aux belles, on
souffre
tout des belles. Covielle. Puisque cela va comme
oire de sa vie et la critique de ses œuvres, la personne de Molière a
souffert
de l’enthousiasme déclamatoire et de l’esprit d’à
peut avoir été peinte qu’entre 1668 et 1672, lorsque la maladie dont
souffrait
alors Molière et un labeur toujours plus écrasant
malade, d’une maladie particulièrement douloureuse, et qui le faisait
souffrir
à la fois dans son corps et dans son esprit. Les
tre une faute contre son art. C’est que, à ce moment, il commençait à
souffrir
sérieusement et la médecine n’avait pu ni le guér
re avec quelque vraisemblance l’influence profonde que le mal dont il
souffrait
exerça sur son caractère. Que les médecins d’alor
e, de nos jours, on va chez l’homéopathe ? Quant à la maladie dont il
souffrait
, il n’est pas facile de le savoir exactement, et
des oppressions, des extinctions de voix, enfin que, par surcroit, il
souffrait
de l’estomac, et sur la fin de sa vie, ne pouvait
nquer de lui signaler, outre ses maux physiques, le mal moral dont il
souffrait
. Prit-il leur avis au sérieux, s’en moqua-t-il ?
rée. Confirmant ce que dit Chappuzeau, que « les comédiens ne peuvent
souffrir
entre eux la monarchie, qu’ils ne veulent point d
e, et je ne saurais voir maltraiter mes enfans de cette force-là sans
souffrir
comme un damné. » Il ne faudrait jamais, en étudi
mp; fort bien ; Mais elle ne veut pas que je vous dise rien. Accante.
Souffre
au moins qu’il acheve. Laurette. Souffre au moin
je vous dise rien. Accante. Souffre au moins qu’il acheve. Laurette.
Souffre
au moins qu’il acheve.Eh ! Monsieur, il se raille
te d’homme que Dieu ait jamais faite ; il oublie les outrages qu’il a
soufferts
de ses ennemis, il ne lui en reste aucun levain s
, dit au parterre : Messieurs, Le Juge (c’était le nom de la pièce) a
souffert
quelques difficultés. L’alcade ne voulait pas qu’
es, que son extrême délicatesse pour les choses de la religion ne put
souffrir
cette ressemblance du vice avec la vertu qui pouv
rase, « Son extrême délicatesse pour les choses de la religion ne put
souffrir
cette ressemblance du vice avec la vertu », on a
ressemblance du vice avec la vertu », on a substitué aux mots ne put
souffrir
, ceux-ci, eut de la peine à souffrir ; et cett
n a substitué aux mots ne put souffrir , ceux-ci, eut de la peine à
souffrir
; et cette autre phrase, « Il la défendit pourta
tend, pour la frapper, qu’elle soit hors d’atteinte. Surtout, peut-on
souffrir
l’homme aux réalités, Qui, pour se foire aimer, d
les soins qu’il prit d’élever son enfance) cette ignorance dont elle
souffre
et qui lui pèse sur le cœur : Vous avez là-dedan
e a trouvé cet intrus suspect et ce dévot dangereux. Chaque jour elle
souffre
davantage de le voir prendre place à la table de
sur le bon appétit de son pauvre Tartuffe. Et Dorine qui a vu Elmire
souffrir
, Tartuffe manger, dormir et boire, s’étonne et s’
nible pour un père, par exemple, que de n’être pas aimé des siens, de
souffrir
leur mépris, d’être raillé, sinon ostensiblement,
des mesquineries du monde auquel Molière donna son âme, un jour qu’il
souffrait
beaucoup. Alceste dira la vérité, toute la vérité
sions des hommes que de vouloir les retrancher entièrement. » Molière
souffrait
de cette nécessité d’accommoder avec la médiocrit
SE. Je m’accommode assez, pour moi, des petits corps ; Mais le vide à
souffrir
me semble difficile, Et je goûte bien mieux la ma
e De fuir obstinément ce que suit tout le monde ; Et qu’il vaut mieux
souffrir
d’être au nombre des fous Que du sage parti se vo
utes, admet ses penchants et ses inclinations, et de peur de la faire
souffrir
ne lui propose que sa morale du juste milieu (60)
e éternelle de l’amuser tant qu’elle existera, elle qui l’a tant fait
souffrir
, il l’a aimée jusqu’à sa fin : bien plus, il s’es
r sera utile, il jouera, c’est-à-dire il mourra, pour les empêcher de
souffrir
. Cette mort, à coup sûr, vaut bien celle de Gasse
ait l’humanité, bien qu’il vit ses défauts et ses vices. Seulement il
souffrait
de son amour. Et la conclusion de notre second tr
ricieuse, j’en demeure d’accord ; mais tout sied bien aux belles ; on
souffre
tout des belles ! » C’est un petit chef-d’œuvre
e de l’inconduite, est-ce seulement de la coquetterie de sa femme que
souffrait
l’auteur de Sganarelle et du Misanthrope ? Il est
ndant mes bontés ne l’ont point changée ; et si vous saviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi. Ma passion est venue à
isantes pour adoucir des amertumes aussi douloureuses que celles dont
souffrait
Molière. Seul, un autre amour peut les rendre sup
séparation de 1666, elle déclara bien haut « qu’elle ne pouvoit plus
souffrir
un homme qui avoit toujours conservé des liaisons
belle ; Je les haïssois tous comme plus dignes d’elle, Et ne pouvois
souffrir
qu’on s’enrichit d’un bien Que j’enviois à tous s
un mari trop âgé et d’une sensibilité très vive, elle le fit beaucoup
souffrir
par une humeur très différente de la sienne ; mai
souffrir par une humeur très différente de la sienne ; mais elle dut
souffrir
autant que lui. C’était, il est vrai, un homme de
lui, l’interprète et l’inspiratrice de ses chefs-d’œuvre. Elle le fit
souffrir
, mais la souffrance est une part de l’inspiration
uillent me divertir de mes tristes soupirs ? Et n’est-ce pas assez de
souffrir
pour vos charmes, Sans me faire souffrir encor po
s ? Et n’est-ce pas assez de souffrir pour vos charmes, Sans me faire
souffrir
encor pour vos plaisirs ? C’en est trop à la fo
ertain homme qui la trouve si aimable et de si bonne compagnie, qu’il
souffre
impatiemment son absence. Elle est cependant plus
’était madame de Montespan ; et que les absences que le certain homme
souffrait
impatiemment, celaient celles de madame Scarron q
cartésiennes en physique qu’en métaphysique. Bélise trouve le vide à
souffrir
difficile et goûte bien mieux la matière subtile;
rends tout doucement les hommes comme ils sont. J’accoutume mon âme à
souffrir
ce qu’ils font… Oui, je vois ces défauts dont vot
ise ? Je m’accommode aises pour moi des petits corps, Mais le vide à
souffrir
me semble difficile, Et je goûte bien mieux la ma
ttée en des pays inconnus ! Les Dieux m’ont-ils donc fait naître pour
souffrir
ces affreuses calamités ? Est-ce ainsi que l’être
que j’avois à craindre. Mais ne présumez pas que, sans être vengé, Je
souffre
le dépit de me voir outragé. Je sais que sur les
vie, Non point par charité, mais par un trait d’envie Qui ne sauroit
souffrir
qu’un autre ait les plaisirs Dont le penchant de
e préserver de la contagion. Les esprits justes, les esprits vrais ne
souffrent
qu’avec peine que l’on préfere aujourd’hui des co
sprit de femme, & le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir je
souffre
le martyre, Il faut suer sans cesse à chercher qu
u’on dit, Et que, par un chagrin que lui-même il avoue, Il ne sauroit
souffrir
qu’on blâme ni qu’on loue. Alceste. C’est que jam
non ; quand je devrois mourir, Vous avez des plaisirs que je ne puis
souffrir
; Et l’on a tort ici de nourrir dans votre ame Ce
; Et la preuve, après tout, que je vous en demande, C’est de ne plus
souffrir
qu’Alceste à vous prétende, De le sacrifier, Mada
s font trop souvent, que de mettre Molière au nombre des penseurs qui
souffrirent
en leur temps la persécution. Jamais homme, au co
n instant de relâche. Mais, ajouta-t-il en réfléchissant, qu’un homme
souffre
avant de mourir ! Cependant, je sens bien que je
ersaires. Il sait « qu’il y a des esprits dont la délicatesse ne peut
souffrir
aucune comédie ; qui disent que les plus honnêtes
sirs ! Pour moi je n’entends rien à cette politique Qui ne veut point
souffrir
que votre cœur s’explique ; Faites de votre flam
este : mais supposé, comme il est vrai, que les exercices de la piété
souffrent
des intervalles, et que les hommes aient besoin d
médie italienne, dont les comédiens du roi, par plus d’une raison, ne
souffraient
pas volontiers les hardiesses… et la concurrence.
mais celle de Molière les joue eux-mêmes ; c’est ce qu’ils ne peuvent
souffrir
. » La dénonciation est assez claire. Pour Molière
ns la vue de Dieu, et par un zèle ardent de plaire à Dieu, heureux de
souffrir
, heureux de pleurer, heureux de ne posséder rien,
et que dois-je espérer des richesses de votre sainte demeure ? Si de
souffrir
pour vous est un si grand bien, que sera-ce de ré
tteinte aux vices, que de les exposer à la risée de tout le monde. On
souffre
aisément des répréhensions, mais on ne souffre po
e de tout le monde. On souffre aisément des répréhensions, mais on ne
souffre
point la raillerie. On veut bien être méchant, ma
ène. Il s’agit d’Oranie, prude à son corps défendant, Qui ne saurait
souffrir
qu’un autre ait les plaisirs Dont le penchant de
peine, et pour obéir à sa mère, le gouvernement du pays d’Aunis. Ils
souffrirent
tout avec noblesse, ne rentrèrent jamais complète
s jusqu’ici. Les marquis, les précieuses, les c… et les médecins, ont
souffert
doucement qu’on les ait représentés ; et ils ont
fe, ou qui ne chancelle sous un trait de Cléante. Il ne peut, dit-il,
souffrir
les gens qui couvrent leurs vices de l’intérêt du
ême très humiliant, et que la délicatesse de notre orgueil ne le peut
souffrir
, de là vient qu’ébranlés, ou, si vous voulez, que
ains que nous en devons être les garants, et qu’autant de fois qu’ils
souffrent
quelque altération, Dieu a le droit de s’en prend
on, Dieu a le droit de s’en prendre à nous, puisque le dommage qu’ils
souffrent
n’est que l’effet et une suite de notre infidélit
ue sous de belles apparences, le mauvais parti ; que la cause de Dieu
souffre
toujours lorsqu’elle est entre vos mains ; que l’
autres ses aises et ses commodités ; il ait cœur malade et ne veut ni
souffrir
ni appliquer de remède à la maladie de son cœur.
aime les hommes gémit de leur aveuglement sur Dieu et sur la justice,
souffre
avec ceux qui souffrent, s’offense des entreprise
de leur aveuglement sur Dieu et sur la justice, souffre avec ceux qui
souffrent
, s’offense des entreprises des méchants. Philinte
cœurs se déclarent. L’un est blessé, l’autre n’est qu’effleuré ; l’un
souffre
, l’autre s’intéresse tout au plus, ou seulement s
dre l’Académie française regretter qu’il manque à sa gloire ; je peux
souffrir
que de vains et ridicules rhéteurs, esclaves de l
xtrême « délicatesse pour les choses de la Religion eut de la peine à
souffrir
cette ressemblance du vice et de la vertu, et, sa
e perdroit. Et que peux-tu me faire, répondit le mari ? Plutôt que de
souffrir
, repliqua-t-elle, la honte dont tu veux me couvri
pleurant, qui revient ivre toutes les nuits. Il y a long-temps que je
souffre
ses débauches, & j’ai voulu le laisser dehors
; fit tant, qu’elle l’obligea à se mettre au lit en sa place, & à
souffrir
patiemment, sans se faire connoître, les coups qu
e Montespan, si le roi me l’ordonne. Mais ma conscience aurait trop à
souffrir
, si j’avais à élever des enfants de madame de Mon
nde à une puissance qui ordonne d’y résister ; il fallait, en faisant
souffrir
de sa résistance, qu’il fût certain qu’on en souf
ait, en faisant souffrir de sa résistance, qu’il fût certain qu’on en
souffrait
soi-même. La religion seule donnait le moyen de s
s son dereglement, si on en exceptoit Moliere, elle n’avoit jamais pu
souffrir
que des gens de qualité, & que pour cette rai
rendre des mesures pour une separation, & qu’elle ne pouvoit plus
souffrir
un homme, qui avoit toûjours conservé des liaison
le comme si elle n’étoit pas ma femme. Mais si vous sçaviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi : ma passion est venuë
tent, que d’avoir un si grand esprit, & un génie si admiré, &
souffrir
tant d’inquiétudes. (D) Il se donnoit trop de l
déguisés. J’y en connais beaucoup que ma faiblesse m’a contraint d’y
souffrir
, et je voudrais qu’il me fût aussi facile de l’en
és, que si le théâtre, dont l’action est plus resserrée, les avait pu
souffrir
, il aurait été impossible d’y faire jamais rien p
mais l’estime que l’on commençait à avoir pour lui fut cause qu’on le
souffrit
. « Après avoir quelque temps joué de vieilles piè
sont infatuées de mes pièces. ISCARIE au baron. Eh ! quoi, monsieur,
souffrez
-vous, sans l’assommer, qu’un coquin vous joue de
je sorte, que puisque Mascarille vous rend visite, vous devez bien me
souffrir
; que s’il s’est acquis par ses farces la réputat
e prie de permettre qu’il soit digne de se mesurer avec lui, & de
souffrir
qu’il se lave auparavant d’un affront fait à sa f
l’obligation n’efface point en moi le ressentiment de l’injure : mais
souffrez
que je lui rende ici ce qu’il m’a prêté, & qu
l faut qu’il meure. D. Carlos. Arrêtez, vous dis-je, mon frere. Je ne
souffrirai
point du tout qu’on attaque ses jours ; & je
de Mme Pernelle, esprit étroit, caractère acariâtre, qui ne peut rien
souffrir
de ce que fait sa bru ? Elle lui reproche son aju
re et d’exciter contre tous les deux les passions de Philaminte. Elle
souffre
du bonheur des autres, et quand les choses s’arra
sent. D’où vient que leur portant une haine mortelle Vous pouvez bien
souffrir
ce qu’en tient cette belle ? C’est aussi ce que
e qu’il sent en lui. Tant qu’il n’a pas trouvé de quoi se remplir, il
souffre
et appelle douloureusement la moitié qui lui manq
e son tuteur. Il n’a point cherché à l’abêtir, ni à l’enfermer ; il a
souffert
qu’elle vît … les belles compagnies, Les diverti
e mariage. Elle connaît la malheureuse faiblesse de son mari, elle en
souffre
, et cependant elle a su conserver dans les enfant
je perdois. Jamais on n’a été dans un état plus violent ; Tantale ne
souffre
pas tant que je souffris ; mes yeux, mon imaginat
’a été dans un état plus violent ; Tantale ne souffre pas tant que je
souffris
; mes yeux, mon imagination s’accordoient pour me
ésistances, s’abandonna à son humeur avec toutes deux ; l’une avait à
souffrir
des infidélités sans déguisement, l’autre des fro
’elle avait conservées avec les personnes de son ancienne société, en
souffrirent
réellement et durablement. Alors elle cessa d’écr
enterrer que vous donner mon bien. Molière. L’enterrer ! Ah pardon !
Souffrez
que je réplique ; Je ne vous ai point fait ma lé
cela vous suffit. Laissez donc, croyez-moi, mon modeste héritage, Ou
souffrez
tout au moins qu’une autre le partage. La Jeune
iqu’on en aie, et d’autant plus peut-être que l’on a, comme lui, plus
souffert
par elles. Un ingénieux écrivain, M. Noël, a raco
rir faute d’une assistance, Moi qui compatis tant aux gens qu’on fait
souffrir
, Et ne puis, sans pleurer, voir un poulet mourir
ques zélés et de ces prudes à leur corps défendant, Qui ne sauraient
souffrir
qu’une autre ait les plaisirs, Dont le penchant d
, pour vous avertir que je vais éclater, & que je ne saurois plus
souffrir
les insolences de votre ami. Vous serez étonné d’
a fenêtre. Je vous demande à vous même, mon Révérend Pere, si je dois
souffrir
un outrage de cette nature. Si vous m’aviez permi
ches & rubans ? Ariste. Sans doute. Sganarelle. Sans doute.A lui
souffrir
, en cervelle troublée, De courir tous les bals &a
ens de parler, qui, s’échauffant d’un zele chrétien, & ne pouvant
souffrir
que trois si méchantes personnes abusassent de la
, Je n’y contredis point, je les ai mérités ; Et j’en veux, à genoux,
souffrir
l’ignominie, Comme une honte due aux crimes de ma
e. Mon frere, au nom de Dieu, ne vous emportez pas ; J’aimerois mieux
souffrir
la peine la plus dure, Qu’il eût reçu pour moi la
ez.Non, vois-tu, c’est un point résolu. Dorine. Ah ! Mariane. Ah !Il
souffre
à me voir, ma présence le chasse. Et je ferai bie
corrompue de la société de Paris. L’incontinence générale ne pouvait
souffrir
patiemment cette réserve de langage et de manière
Naistre, naître. Brusle, brûle. Doutast, doutât. Connoist, conoit,
Souffert
, soûfert. Gastoit, gâtoit. Vouste, voûte. Bati
ître Il y a les beautés fières et les beautés sévères : les premières
souffrent
les désirs accompagnés de respect : le respect n’
sur l’amour ; car elles n’en ont pour personne. Elles ont la bonté de
souffrir
celle des autres, et d’agréer leurs services quan
oupeau. 51. M. Petitot dit que « si les dames de l’hôtel Rambouillet
souffrirent
patiemment Les Précieuses ridicules, ce fut parce
oint ; mais celle de Molière les joue eux-mêmes, ce qu’ils ne peuvent
souffrir
. 164. Scaramouche Hermite, comédie de mai 1667
et je ne saurais voir maltraiter mes enfants de cette force-là, sans
souffrir
comme un damné. 167 166. Chevillet, Charles d
it trouvée, elle ne put s’empêcher de lui dire : Quoi, monsieur, vous
souffrirez
que cet impertinent de Molière nous joue de la so
reporter au temps où les sept huitièmes de la nation avaient encore à
souffrir
cruellement de ces abus. Lorsque les grands emplo
grande atteinte aux vices que de les exposer à la risée du monde. On
souffre
aisément les répréhensions, mais on ne souffre po
la risée du monde. On souffre aisément les répréhensions, mais on ne
souffre
point la raillerie; on veut bien être méchant, ma
ends tout doucement les hommes comme ils sont, J’accoutume mon âme à
souffrir
ce qu’ils font ; Et je crois qu’à la cour, de mêm
ât les feux, Je pourrais me résoudre à recevoir ses vœux, Et le refus
souffert
en pareille occurrence Ne m’y ferait trouver aucu
s un cas extrême : Mais laissez-moi toujours vous estimer de même. Et
souffrez
que mon cœur, en ses troubles divers, Ne se prése
, pourvu toutefois que d’autres parties plus importantes du rôle n’en
souffrent
en rien, auquel cas il vaudrait mieux y renoncer
t son devoir. Ses reproches purent éclater d’abord, mais il finit par
souffrir
sans se plaindre ; jamais d’ailleurs il ne se fût
s’exagérer l’intérêt que le Misanthrope inspire dans cette scène. On
souffre
sans doute de voir un amour comme le sien, aussi
u’on dit, Et que, par un chagrin que lui-même il avoue, Il ne saurait
souffrir
qu’on blâme ni qu’on loue. Je n’ai cité ces pass
Pourquoi, dit-elle, Surtout depuis un certain temps, Ne saurait-il
souffrir
qu’aucun hante céans? En quoi blesse le ciel une
e qui m’autorise à vous ouvrir un cœur Un peu trop prompt peut-être à
souffrir
votre ardeur. TARTUFFE. Ce discours à comprendre
és ; Je n’y contredis point, je les ai mérités, Et j’en veux à genoux
souffrir
l’ignominie, Comme une honte due aux crimes de ma
; Mon frère, au nom de Dieu, ne vous emportez pas ! J’aimerais mieux
souffrir
la peine la plus dure, Qu’il eût reçu pour moi la
isette. Interloquée ! ah ciel ! quel affront est-ce là ! Et vous avez
souffert
qu’on vous interloquât ? Une femme d’honneur se v
Le mot est immodeste, & le terme me choque ; Et je ne veux jamais
souffrir
qu’on m’interloque. A quoi tient ce mot d’interl
lorsque je t’ai laissée ; Et tu m’avois prié même, que mon retour T’y
souffrît
en repos jusques à demain jour. Isabelle. Il est
r Où j’ai précipité celui qu’elle aime à voir, Elle vient me prier de
souffrir
que sa flamme Puisse rompre un départ qui lui per
nte, loin d’être l’ami déclaré des hommes, les plaint sans les aimer,
souffre
leurs défauts uniquement par la nécessité de vivr
ends tout doucement les hommes comme ils sont : J’accoutume mon ame à
souffrir
ce qu’ils font ; Et je crois qu’à la Cour, de mêm
œur de Roland. Le jour où Molière peignit les jalousies d’Alceste, il
souffrait
d’un mal dont plusieurs souffraient avec lai, et,
peignit les jalousies d’Alceste, il souffrait d’un mal dont plusieurs
souffraient
avec lai, et, depuis deux cents ans, aucun de ceu
ces où le poète a puisé la magie de ses couleurs. « Racine, dit-il,
souffrait
intérieurement. Les impressions religieuses de sa
n, dont nous avons signalé le vice, Racine multiplie les héroïnes qui
souffrent
et ne savent que résoudre. Tous ces cœurs facilem
ât dans Chapelain, l’honneur, la foi, la probité. Ce qu’il ne pouvait
souffrir
, c’était qu’il fut le mieux renté de tous les bea
je ne leur ai jamais eu d’obligation pour ma fortune, je n’ai jamais
souffert
auprès d’elles de servitude ni de contrainte. »Ce
— Non, Monsieur, vous vous trompez. — Sanguédimi, je sens bien que je
souffre
. — Non Monsieur, vous ne souffrez pas... Lassé de
z. — Sanguédimi, je sens bien que je souffre. — Non Monsieur, vous ne
souffrez
pas... Lassé de l’opiniâtreté de cet homme, je lu
orgueil, de sagesse avec arrogance ; on met tout en doute, et l’on ne
souffre
pas la contradiction ; la religion avait eu des s
ont parodiés en plein théâtre ; Figaro paraît, et ils permettent, ils
souffrent
qu’un valet réformateur ose leur donner des leçon
emettre des fatigues du voyage ; demain il commencera ses remèdes. Je
souffre
par avance de tout ce que le pauvre enfant souffr
ra ses remèdes. Je souffre par avance de tout ce que le pauvre enfant
souffrira
. C’est bien à présent, madame, que vous auriez à
; elle a donné beaucoup d’argent ; elle a enrichi les capucins ; elle
souffre
les visites avec civilité. M. Fouquet (l’abbé Fou
ux ailleurs. Je ne puis comprendre que la volonté de Dieu soit que je
souffre
de madame de Montespan. Elle est incapable d’amit
, tout dire, et tout entendre. Et ne présume pas que Vénus, ou Satan,
Souffre
qu’elle en demeure aux termes du roman469... Mol
sies qui compromettront son amour479. Il semble qu’Henriette pourrait
souffrir
les hommages de Trissotin, quand ce ne serait que
t propos ? Elle est capricieuse ; mais tout sied bien aux belles ; on
souffre
tout des belles. » On peut reconnaître Molière da
drice de Satan, & que vous ne vous souciez pas qu’il vous régale,
souffrez
au moins qu’il vous visite. Qu’il le fasse, à la
e homme inconnu Etoit en mon absence à la maison venu, Que vous aviez
souffert
sa vue & ses harangues ; Mais je n’ai point p
ir faute d’une assistance, Moi, qui compatis tant aux gens qu’on fait
souffrir
, Et ne puis, sans pleurer, voir un poulet mourir
apitan. La prudence sied bien avecque le courage. Philis. Quoi ! vous
souffrez
ainsi cet outrage à vos yeux ? Le Capitan. Je fai
l y a Dufresny, qui, a-t-on dit, haïssait Molière et ne l’a jamais pu
souffrir
; on a prétendu qu’il était poussé par un sentime
tableau. Molière déteste donc bien la province pour tout ce qu’il y a
souffert
; et je crois bien que, dans sa vie de province,
’attribue à Molière. C’est qu’en effet on voit par là tout ce qu’il a
souffert
, on le voit dans tous les passages où l’intrus, d
M JUAN Ah ! que dites-vous là ? Elles sont les plus belles du monde ;
souffrez
que je les baise, je vous prie. CHARLOTTE Monsieu
rie : « Vous ne croyez pas au moine bourru… ? Voilà ce que je ne puis
souffrir
, car il n’y a rien de plus vrai que le moine bour
e ces inspirations qui châtient d’une façon immortelle les faits dont
souffre
une nation : mais ce ne peut être qu’un moment, e
e, maxime très peu héroïque qui consiste à penser qu’il vaut mieux …
Souffrir
d’être au nombre des fous, Que du sage parti se v
e démarcation entre votre femme et vous ; si votre femme est honnête,
souffre
et remplit ses devoirs, elle ne vous rendra pas m
ent, librement la vie pour écrire la comédie ; il faut avoir beaucoup
souffert
; le génie comique et l’expérience amère qu’il su
déal supérieur de beauté humaine et de sentiments humains, et d’avoir
souffert
des petitesses ou des bassesses qui nous tiennent
en vérité je les leur pardonne, parce que leur cœur est le premier à
souffrir
des blessures qu’ils font, et parce que sous la r
oids. Mais la haine vigoureuse de l’injustice, la pitié pour ceux qui
souffrent
des caprices de l’égoïsme et de l’orgueil, ne vie
réduite cependant par la nécessité de respecter son sujet à ne point
souffrir
une invasion trop manifeste et trop entière du mo
s’est enorgueillie d’elles comme de son ornement le plus beau, qui a
souffert
leurs attaques, qui a fait plus, qui y a applaudi
R Je sais, Alexandre, tu les mettais en cage. ALEXANDRE Il eût fallu
souffrir
sans doute qu’un Callisthène violât impunément le
is répandent le bruit que je veux me faire roi, et je péris. On avait
souffert
la dictature de Sylla malgré ses crimes, parce qu
ne grace à mon feu ; Et j’ai fait consentir l’esprit de cette belle A
souffrir
qu’en secret je la visse chez elle. . . . . . . .
s grand succès. On n’étoit pas difficile dans ce temps-là. Si nous la
souffrons
, c’est parceque Préville y joue admirablement bie
à vous-même. Eh ! Monsieur, continua-t-il, en embrassant ses genoux,
souffrirez
-vous que je n’emporte aujourd’hui que la honte d’
Permettez-moi donc de me flatter que mes larmes vous ont touché ; ou
souffrez
que, pour me punir de vous avoir offensé, je m’ar
té dégoûtant dans un homme au-dessous de M. Jourdain, parcequ’on peut
souffrir
des manieres & des propos grossiers dans un b
à donner du plaisir quand nous sommes souvent accablés de chagrin ; à
souffrir
les grossièretés de la plupart des gens avec qui
di : Et puis après cela votre conduite est belle ? Pour moi, j’en ai
souffert
la gêne sur mon corps ; Malgré le froid je sue en
raffinant les sentiments, a multiplié les moyens et les occasions de
souffrir
et a multiplié aussi les types, les caractères. U
nouveau c’est un homme ou une femme qui a inventé un nouveau moyen de
souffrir
soi-même et de faire souffrir les autres. J’ajout
femme qui a inventé un nouveau moyen de souffrir soi-même et de faire
souffrir
les autres. J’ajoute qu’il ne faut pas dire tout
-il que de lui vous ayez quelque crainte ? Je suis bien malheureux de
souffrir
cette atteinte ; Et que me sert d’aimer comme je
uillent se divertir de mes tristes soupirs ? Et n’est-ce pas assez de
souffrir
pour vos charmes, Sans me faire souffrir encor po
s ? Et n’est-ce pas assez de souffrir pour vos charmes, Sans me faire
souffrir
encor pour vos plaisirs ? C’en est trop à la fois
a dignité de son ménage ; il ne faut pas être importun ; mais il faut
souffrir
les importuns avec charité et c’est un fâcheux au
! Ce que le duel Arnolphe-Agnès démontre, c’est qu’Agnès ne peut pas
souffrir
Arnolphe précisément parce qu’Arnolphe l’a mainte
e me semble, Henriette, laquelle ne paraît pas sans doute une femme à
souffrir
qu’on la traite jamais de la sorte ? Les tirades
st précisément parce qu’il ne l’est point que Rousseau ne peut pas le
souffrir
. Molière est l’apôtre du bon sens et c’est-à-dire
ins j’aurai cet avantage De ne pas ressembler à de certaines gens Qui
souffrent
doucement l’approche des galants. Oh ! Oh ! Le c
Je puisse condamner certaines tolérances, Que mon dessein ne soit de
souffrir
nullement Ce que quelques maris souffrent paisib
Que mon dessein ne soit de souffrir nullement Ce que quelques maris
souffrent
paisiblement, Pourtant je n’ai jamais affecté de
e la société des hommes et passent leurs jours dans la solitude ; qui
souffrent
du présent, du passé et de l’avenir, dont la vie
, doit être le jaloux […] Sors donc des noirs chagrins que ton cœur a
soufferts
, Et rends le calme entier à l’ardeur qui te brûle
t de l’extraordinaire. Il est très évident que Molière ne peut pas le
souffrir
. On me dira que par elle-même la comédie ne s’y p
frappé au cœur et mon amour commença par la jalousie. Oui, je ne pus
souffrir
d’abord de les voir si bien ensemble ; le dépit a
De fuir obstinément ce que suit tout le monde ; Et qu’il vaut mieux
souffrir
d’être au nombre des fous Que du sage parti se vo
cas, elle est femme, très vulgairement ou très communément femme, et
souffre
à reconnaître qu’elle l’est et que le personnage
es et prend plaisir à les désunir ; elle prend plaisir surtout à voir
souffrir
celui, ceux, qu’elle a provoqués, qui se sont exc
t les feux, Je pourrais me résoudre à recevoir ses vœux ; Et le refus
souffert
, en pareille occurrence, Ne m’y ferait trouver au
sentiment-là, il resterait sur sa première conquête de peur de faire
souffrir
la femme conquise et ne serait pas Don Juan du to
est certain que vous brûlez de me rejoindre et qu’éloigné de moi vous
souffrez
ce que souffre un corps qui est séparé de son âme
vous brûlez de me rejoindre et qu’éloigné de moi vous souffrez ce que
souffre
un corps qui est séparé de son âme ? Voilà comme
’un ou deux exemples : N’importe, je ne pois m’anéantir pour toi, Et
souffrir
un discours si loin de l’apparence. Être ce que j
bre 1663, moins de trois ans avant le Misanthrope. Enfin, faudra-t-il
souffrir
toujours qu’on attache au chapeau de l’immortel i
rait pas : elle serait l’expression naturelle et complète de ce qu’il
souffre
; mais c’est un cœur aussi, et comme le fiel ne s
de, puis que sa mission est de l’instruire, la confidence de ce qu’il
souffre
; mais il lui vient du cœur je ne sais quelle cra
nt, je le répète, toute son âme aurait dû éclater en sanglots, car il
souffrait
alors, à ce moment du Misanthrope, tout ce qu’un
ait alors, à ce moment du Misanthrope, tout ce qu’un cœur aimant peut
souffrir
. Époux, il était odieusement trahi ; poète, il ét
pricieuse, j’en demeure d’accord ; mais tout sied bien aux belles, on
souffre
tout des belles… » Et Molière, dont ce dernier m
uffre tout des belles… » Et Molière, dont ce dernier mot est le cri,
souffrit
tout d’Armande, non pas en aveugle (pouvait-il l’
olière le Cocuage. Ce fut une bien cruelle douleur pour cet homme, de
souffrir
dans sa trop sérieuse réalité ce qu’il avait tant
e comme si elle n’était pas ma femme ; mais, si vous saviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi. Ma passion est venue à
ux que je n’aie aucun sujet de plainte Sur cet affreux arrêt, dont je
souffre
l’atteinte ! Ah ! leur pouvoir se joue, avec trop
atif Pyrrhonien, que lui aurait envié son Métaphraste ; il se sentait
souffrir
et ne pouvait se dire : « Je ne souffre pas. » Vo
Métaphraste ; il se sentait souffrir et ne pouvait se dire : « Je ne
souffre
pas. » Voilà pourquoi Argant rit toujours, quand
artout, à chaque scène de son œuvre, se jouant lui-même dans ce qu’il
souffrait
, ou jouant les autres dans ce que leur sottise ou
uant les autres dans ce que leur sottise ou leurs vices lui faisaient
souffrir
. Leurs ridicules, en effet, n’étaient pas toujour
t prôner son nom et sa naissance ; Et l’humble procédé de la dévotion
Souffre
mal les éclats de cette ambition. C’est pendant
s victimes de cette conversion impétueuse. Le prince n’en voulut plus
souffrir
dans son gouvernement. Au mois de juillet 1662, u
es, que son extrême délicatesse pour les choses de la religion ne put
souffrir
cette ressemblance du vice avec la vertu, qui pou
. Puis, s’enhardissant, il ajouta « que, puisqu’elle avait bien voulu
souffrir
leurs manières de campagne, il la suppliait très
faire oublier, sans être beaucoup plus fort que lui. Son succès n’en
souffrit
pas. Où il se trouvait alors, on voulait de l’Ita
plus chagrin, riant encore et surtout faisant rire, même de ce qu’il
souffrait
, il se traîna jusqu’au fauteuil du Malade imagina
y avait retenu cinq jours, sans s’inquiéter si son théâtre à Paris ne
souffrait
pas de cette absence. Molière ne put repartir qu’
derniers mots expliquent tout ce qui suivit. La faveur de Molière ne
souffrit
pas de cette dangereuse attaque. Louis XIV ne vou
is ce que nous appelons, nous, un contresens. L’effet du rôle d’Orgon
souffre
un peu, dans cette scène, ainsi jouée, de l’inter
tryon, est intéressant, ce qui vaut mieux. Molière, qui, à ce moment,
souffrait
des mêmes peines, pouvait-il faire qu’il ne le fû
ur, Et de tout ce que donne une grande victoire, Lorsque dans lame on
souffre
une vive douleur ! Et que l’on donnerait volontie
ressource la plus assurée de son théâtre ! L’homme avait cruellement
souffert
, le directeur avait pâti, et, pour consoler l’un,
rsité étaient sa règle entre toutes choses, il ne pouvait, disait-on,
souffrir
que ses domestiques eussent des fonctions invaria
ous se cachait un abus dont il avait à se plaindre, car son Trésor en
souffrait
. La noblesse, alors, ne fût-elle que des plus hum
entiment, serait, à mon avis, un non sens. Ce n’est point le cœur qui
souffre
chez ce ridicule, c’est la vanité, et c’est aussi
pour Fouquet, voulut bien, cette fois, trouver son roman agréable, et
souffrir
qu’un exemplaire lui en fût offert par le poète.
ssement plusieurs fois avant le carême, font mis dans la nécessité de
souffrir
un peu de secours. » Ainsi, il n’y a que le prol
, suivant l’ordre qu’il en avait, et des dépens, dommages et intérêts
soufferts
ou à souffrir par lesdits sieurs Poccelin et Comp
re qu’il en avait, et des dépens, dommages et intérêts soufferts ou à
souffrir
par lesdits sieurs Poccelin et Compagnie, etc. (A
, ce révolté de tous les ridicules, a le tort continuel de ne pouvoir
souffrir
aucun tort, et le ridicule absolu de vouloir pour
. Ceux-ci, en pleine santé, se persuadent qu’ils sont malades : lui,
souffre
vraiment, et il veut persuader qu’il ne souffre p
s sont malades : lui, souffre vraiment, et il veut persuader qu’il ne
souffre
pas. Il ne dit pas doctoralement, comme le stoïci
, ce révolté de tous les ridicules, a le tort continuel de ne pouvoir
souffrir
aucun tort, le ridicule absolu de vouloir pourfen
utient dans la note vraie de la vie douloureuse de ce grand rieur qui
souffrit
tant. L’intercalation du troisième acte et de la
es mœurs droites, et dont les manières étaient simples et naturelles,
souffrait
impatiemment le Courtisan empressé, flatteur, méd
onne, plus lasse peut-être d’attendre le plaisir d’être femme, que de
souffrir
les duretés de sa mère, se détermina un matin de
depuis longtemps entre les mains de gens durs, avec lesquels il avait
souffert
, et il était dangereux et triste qu’avec les favo
pondre à l’amitié qu’elle voulait exiger de son mari, elle ne pouvait
souffrir
qu’il eût de la bonté pour cet enfant, qui de son
la poste pour se rendre plus promptement auprès de lui. Molière avait
souffert
de l’absence de Baron ; l’éducation de ce jeune h
et je ne saurais voir maltraiter mes enfants de cette force-là, sans
souffrir
comme un damné . Quelque succès qu’eût le Tartuff
ner du plaisir quand nous sommes bien souvent accablés de chagrin ; à
souffrir
la rusticité de la plupart des gens avec qui nous
uis de M***1, dont le Page, pour tout domestique, servait à boire, il
souffrait
de n’en point avoir aussi souvent que l’on avait
instant de relâche. Mais, ajouta-t-il, en réfléchissant, qu’un homme
souffre
avant que de mourir ! Cependant je sens bien que
es amis le déshonorent, que de faibles amis l’abandonnent, il doit le
souffrir
sans en murmurer, il connaît les hommes… Voilà pa
fauts universels des hommes ; mais il ne s’en plaint pas dès qu’il en
souffre
et il suffit qu’il en souffre pour qu’il ne s’en
mais il ne s’en plaint pas dès qu’il en souffre et il suffit qu’il en
souffre
pour qu’il ne s’en plaigne pas. Il est bien bizar
r ce point. De toutes les injustices dont il est victime « il doit en
souffrir
sans murmurer, dit Rousseau, il connaît les homme
rends tout doucement les hommes comme ils sont, J’accoutume mon âme à
souffrir
ce qu’ils font, Et je crois qu’à la cour, de même
e l’aménité, ce qui est incurable, en va dire autant de tous ceux qui
souffrent
et périssent des services rendus à la société ! N
que « doué, comme on a dit, de cette faculté donnée à quelques-uns de
souffrir
des malheurs de tous ». Bien, mais rien de plus.
ssentiellement, par parenthèse, le contraire même du misanthrope, qui
souffre
toujours un peu du contact de ses semblables, qui
es amis le déshonorent, que de faibles amis l’abandonnent, il doit le
souffrir
sans murmurer. Il connaît les hommes. » Et Molièr
er qu’elle se produisît. Il n’y a pas bien réussi. Reste que Rousseau
souffre
surtout de ceci qu’on soit trop dur pour M. Jourd
uis, dois être le jaloux… Sors donc des noirs chagrins que ton cœur a
soufferts
, Et rends le calme entier à l’ardeur qui te brûle
tandis que Tartuffe lesjoue eux-mêmes, et c’est ce qu’ils ne peuvent
souffrir
» inversement, si Rousseau ne s’occupe point de D
ent au théâtre de Molière en comptant y entendre Polyeucte s’expose à
souffrir
. Ici Rousseau a tellement raison qu’il l’a un peu
s de la société des hommes et passent leur vie dans la solitude ; qui
souffrent
du présent, du passé et de l’avenir ; dont la vie
onde que M. Robert, c’est un vertueux, c’est un généreux ; il ne peut
souffrir
que Sganarelle batte sa femme : « Holà ! Holà ! F
ours consenti, Et je ne m’en suis point, grâce au Ciel, repenti. J’ai
souffert
qu’elle ait vu les belles compagnies, Les diverti
, voudrais que vous l’eussiez entendue parler là-dessus. Elle ne peut
souffrir
du tout la vue d’un jeune homme ; mais elle n’est
art, du jugement sans connaissances [toutes combinaisons qui semblent
souffrir
quelque difficulté] , son esprit ne sait pas ; ma
on plus dans la thèse de Sganarelle, mais dans celle d’Ariste : J’ai
souffert
qu’elle ait vu les belles compagnies, Les diverti
Je puisse condamner certaines tolérances. Que mon dessein ne soit de
souffrir
nullement. Ce que d’aucuns maris souffrent paisib
Que mon dessein ne soit de souffrir nullement. Ce que d’aucuns maris
souffrent
paisiblement…". D’où l’on peut conclure que, s’il
st de famille honnête ; & qu’à moins que de l’épouser, on ne peut
souffrir
ses poursuites. Voilà son amour augmenté par les
ris ?Il.... Arnolphe, à part. Qu’est-ce qu’il vous a pris ? Il....Je
souffre
en damné, Agnès. Il m’a pris le ruban que vous m’
toit absent ; Sa vue & son retour la tirent du néant. Le Marquis.
Souffrez
, dans les transports dont mon ame est pressée...
E. ACTE II. Scene VI. Cléante. Belle Philis, c’est trop, c’est trop
souffrir
: Rompons ce dur silence, & m’ouvrez vos pens
e Mario, qui lui découvre l’état de son cœur, & lui apprend qu’il
souffre
en ce moment tous les maux que l’absence d’un obj
de la délivrer par ce moyen des poursuites de Mario, qu’elle ne peut
souffrir
: elle lui fait ensuite des reproches, & lui
a patience, ô Dieux ! est bien incomparable, D’avoir pu si long-temps
souffrir
ce misérable ! Sosie. Dites ce qui vous plaît, su
osie. Dites ce qui vous plaît, suivez votre courroux ; C’est à moi de
souffrir
, puisque je suis à vous : Mais je ne vous dirai,
le confesse, D’un esprit bien posé, bien tranquille, bien doux, Pour
souffrir
qu’un valet de chansons me repaisse. Sosie. Si v
s, éternelle méditation des âges suivans ! Les écrivains ont agi, ont
souffert
; ils ont vu les grandes catastrophes, ils ont co
es qu’on les suppose, ont leurs inconvéniens ; la dignité du poète en
souffre
toujours, sans parler des mauvais vers que lui ar
ère, de lui dire de brutales vérités, de le calomnier même, et il l’a
souffert
, et il s’en est réjoui. Que peut-on donc reproche
lais. Funeste promotion ! qui compromit cette femme illustre, lui fit
souffrir
un long tourment, et finit par lui causer la mort
epoussera les mœurs équivoques, les mœurs de rigidité affectée. Il ne
souffrira
, près du berceau de son fils, ni vice, ni ridicul
nt que de très faibles copies ; mais que puisqu’elle avait bien voulu
souffrir
leur manière de campagne, il la suppliait très hu
rs droites, Molière, dont les manières étaient simples et naturelles,
souffrait
impatiemment le courtisan empressé, flatteur, méd
ne, plus lasse, peut-être, d’attendre le plaisir d’être femme, que de
souffrir
les duretés de sa mère, se détermina un matin de
le comme si elle n’était pas ma femme ; mais si vous saviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi. Ma passion est venue à
depuis longtemps entre les mains de gens durs, avec lesquels il avait
souffert
; et il était dangereux et triste qu’avec les fav
pondre à l’amitié qu’elle voulait exiger de son mari, elle ne pouvait
souffrir
qu’il eût de la bonté pour cet enfant, qui, de so
la poste pour se rendre plus promptement auprès de lui. Molière avait
souffert
de l’absence de Baron ; l’éducation de ce jeune h
e celle de Molière les joue eux-mêmes ; et c’est ce qu’ils ne peuvent
souffrir
. » Molière ne laissait point languir le public s
et je ne saurais voir maltraiter mes enfants de cette force-là, sans
souffrir
comme un damné. » Quelque succès qu’eût le Tartu
ner du plaisir quand nous sommes bien souvent accablés de chagrin ; à
souffrir
la rusticité de la plupart des gens avec qui nous
arquis de M…, dont le page, pour tout domestique, servait à boire, il
souffrait
de n’en point avoir aussi souvent que l’on avait
n instant de relâche. Mais, ajouta-t-il en réfléchissant, qu’un homme
souffre
avant que de mourir ! Cependant je sens bien que
s ; mais cet acteur était tellement aimé du public, que tout le monde
souffrait
de lui voir représenter Néron et de lui vouloir d
pricieuse autant que personne du monde, tout sied bien aux belles, on
souffre
tout des belles. » (Bourgeois gentilhomme, acte I
e faisait tout apprêter pour lui couper la jambe, il ne le voulut pas
souffrir
: Non, non, dit-il, un roi de théâtre, comme moi,
traitée avec tout l’art et tout le ménagement possible, il n’a jamais
souffert
qu’elle fût imprimée de son vivant, et elle ne l’
ner du plaisir quand nous sommes bien souvent accablés de chagrins; à
souffrir
la rusticité de la plupart des gens avec qui nous
ns ce temps-là surtout, n’était pas de celles où le cœur a le moins à
souffrir
. Deux choses toutefois le soutinrent. La protecti
pricieuse, j’en demeure d’accord ; mais tout sied bien aux belles, il
souffre
tout des belles. » Cet esprit de caprices, ou pl
comme si elle n’était point ma femme ; mais, si vous saviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi. Ma passion est venue à
un genre qui n’était pas celui que son cœur eût choisi, et qu’il ait
souffert
d’une lutte sourde et mystérieuse entre les dons
rdir. Pendant que sa verve se répandait ainsi en un rire sans fin, il
souffrait
à la fois et de ses chagrins domestiques et de la
Si les faibles attraits qu’étale mon visage M’exposaient au destin de
souffrir
un volage, Le ciel ne pouvait mieux m’adoucir de
long souvenir. Le jour où Molière peignit les jalousies d’Alceste, il
souffrait
d’un mal dont plusieurs souffraient avec lui, et,
peignit les jalousies d’Alceste, il souffrait d’un mal dont plusieurs
souffraient
avec lui, et, depuis deux cents ans, aucun de ceu
mais celle de Molière les joue eux-mêmes, c’est ce qu’ils ne peuvent
souffrir
. » Les poètes de la Renaissance, malgré leur mépr
on se rappelle que Molière écrivit Le Misanthrope dans le temps où il
souffrait
le plus de ses peines de cœur, et qu’il y joua le
des sots qui réussissent, des hommes de mérite qui sont méconnus : il
souffre
de tout ce qui blesse la règle. Pour peu que dans
ère était souvent un homme pressé : les divertissements de la cour ne
souffraient
pas de retard; le public avait des caprices auxqu
ut. Mais il est bientôt payé de cette sotte et ridicule ambition : il
souffre
tous les malheurs de quiconque se déplace mal à p
xpérience du monde, trop rapidement acquise, peut non seulement faire
souffrir
les âmes neuves et ingénues; elle peut nuire enco
mettant en oubli un nom sous lequel elle pouvait se plaindre d’avoir
souffert
des humiliations, pour lui en donner un autre, an
e lui causait la santé du duc du Maine) ne sont pas les seules que je
souffre
. On me tourmente du côté de la cour par des éclai
in ces stances à Madeleine qui ont été recueillies dans ses œuvres :
Souffrez
qu’Amour cette nuit vous réveille, Par mes soupir
point mystère, Mais vous tremblez, et ce Dieu vous fait peur. Peut-on
souffrir
une plus douce peine ! Peut-on subir une plus dou
Vous n’avez point de syndérèse ; Philis, pour mes dix mille francs1,
Souffrez
su moins que je vous baise ! On reprochait à Mad
Mais lors on a beau se rendre, Elle ne se rend jamais ! Ah ! que l’on
souffre
de peine, Quand on est absent de vous ! Loin de v
belle ; Je les haïssais tous comme plus dignes d’elle, Et ne pouvais
souffrir
qu’on s’enrichit d’un bien Que j’enviais à tous s
vous on se rit, Dès que votre œil m’y blesse un autre œil m’y guérit.
Souffrez
que je m’en flatte et qu’à mon tour je cède Au ch
le petit coup de langue en passant, et seraient bien fâchées d’avoir
souffert
qu’on eût dit du bien du prochain. Je crois que v
uillent se divertir de mes tristes soupirs ? Et n’est-ce pas assez de
souffrir
pour vos charmes, Sans me faire souffrir encor po
s ? Et n’est-ce pas assez de souffrir pour vos charmes, Sans me faire
souffrir
encor pour vos plaisirs ? C’en est trop à la fois
savoir en deux mots ce qu’est une carriere ? C’est un endroit où l’on
souffre
toute la lassitude, toute la fatigue, tout l’épui
. . . . . . . . . . . Oui, votre honneur m’est cher, & je ne puis
souffrir
Qu’aux brocards de chacun vous alliez vous offrir
ocher tout au plus cette foiblesse, cette indolence avec laquelle ils
souffrent
que deux ou trois esprits remuants profitent des
out objet de comparaison, est complice sans s’en appercevoir. 56. Je
souffre
pour les Comédiens de voir le public se faire un
Vous tenez en vos mains & ma vie & ma mort. Prononcez, &
souffrez
cependant que j’espere. Un malheureux procès vous
rité, bannis aujourd’hui du langage du monde poli70 : personne ne les
souffrirait
maintenant, ni dans un ouvrage de littérature, ni
piece : mais ce pere, dont le naturel est bon, n’a pas la cruauté de
souffrir
à ses yeux une si tragique aventure. Il prête son
is aux genoux de mon pere, le conjurant d’avoir pitié des maux que je
souffre
; & je m’en vais savoir de mon valet s’il lui
ïveté : « Les marquis, les précieuses, les cocus et les médecins, ont
souffert
doucement qu’on les ait représentés, et ils ont f
de Télémaque, ni à Racine un vœu en faveur des protestants, aurait-il
souffert
qu’un comédien lui donnât des leçons ? La chaire
t rendre avec vérité les emportements amoureux d’Alceste et qu’il dût
souffrir
. Les spectateurs, au courant de la mésintelligenc
y a bien des soupirs refoulés dans le sein d’Elmire. Comme elle a dû
souffrir
de la petitesse d’esprit de son époux et de la ma
ler plus loin l’affaire, et répond à Tartufe, qui lui demande si elle
souffre
. … Oui, je suis au supplice. Il faut que l’actr
tter avec le goût d’un public ami des vers. On prétend que l’Avare en
souffrit
et qu’il n’eut que très peu de succès dans sa nou
a nature, Les rayons du soleil vous baisent trop souvent, Vos cheveux
souffrent
trop les caresses du vent Dès qu’il les flattent,
les sifflait ? M. de la Protasè Ecoutez, écoutez ceci. « Ah ! Sire,
souffrirez
-vous que le théâtre, qui est le symbole de la joi
m’étonne, c’est que M. Habert de Montmor de l’Academie Françoise ait
souffert
qu’on lui ait dedié une si mauvaise Piece, &
sez moi le vôtre ; Exposez à mes yeux le triomphe d’un autre; Oui, je
souffrirai
tout. VIII. Huit mois après l’École des Ma
es. Le malheur n’ébranla point son bon sens. Mais cependant qu’il dut
souffrir
! Quoi ! Lui, Ariste, trahi par Léonor ! Lui q
nt dans une telle entreprise ; autrement que de difficultés ! Comment
souffrirait
-on que le théâtre s’immisçât, en quelque sorte, d
ouer eux-mêmes, leur arracher le masque, voilà ce qu’ils ne pouvaient
souffrir
. Molière ne les attaqua pas seulement dans une co
onnaissez l’histoire de ma femme et la mienne; vous savez ce que j’ai
souffert
, ce que j’ai pardonné ! Cependant mes bontés ne l
r, Et de tout ce que donne une grande victoire, Lorsque dans l’âme on
souffre
une vive douleur, Et que l’on donnerait volontier
un moment de relâche. Mais, ajouta-t-il en réfléchissant, qu’un homme
souffre
avant que de mourir ! » La Molière et Baron fur
elui qui peignit la grâce singulière De Célimène, dont il devait tant
souffrir
, Et qui vécut son Œuvre, — hélas ! Pour en mourir
l’avait su opulent. Sa femme « reçoit compagnie » ; tout le voisinage
souffre
du bruit des laquais attendant leurs maîtres, pen
vre jusqu’au soir », et sa fièvre cessa dès qu’ « Elle se résolut à
souffrir
la saignée. » Aussi Dorine pouvait-elle dire d’e
e ou qu’il lui sous-louât le Palais-Royal à son tour, il n’eût jamais
souffert
aux Italiens d’introduire dans leurs représentati
de Marinette m’ont semblé mauvaises pour mille raisons. Qui pourrait
souffrir
, dans la bouche de ces gens, les phrases suivante
liquait à un travers de peu d’importance et de peu d’étendue, et l’on
souffrait
de ne pas retrouver, dans la bouche des femmes sa
parle de « remettre le fils en grâce avec le père », cette phrase ne
souffre
pas, à notre avis, d’être traduite comme s’il y a
t leurs camarades. Mais le ton général de la tirade nous paraît avoir
souffert
de cette réduction. Chez M. Thym, Cléante prêche
rade écrasante du quatrième acte : « … c’est à vous d’en sortir ! »
souffre
, à notre avis, des nombreux enjambements que M. T
ys du monde ont été pillés et mis à rançon, mais probablement nul n’a
souffert
davantage des plagiaires que Molière. C’est surto
s pas que vous preniez d’autre logis que le mien. . . . . . . . Je ne
souffrirai
pas que mon meilleur ami soit autre part que dans
is… vous serez en colère ! — Qu’est-ce qu’il vous a pris ? — Il… — Je
souffre
en damné. — Il m’a pris le ruban que vous m’avez
’il dit : « Je sais qu’il y a des esprits dont la délicatesse ne peut
souffrir
aucune comédie ; qui disent que les plus honnêtes
este ; mais supposé, comme il est vrai, que les exercices de la piété
souffrent
des intervalles, et que les hommes aient besoin d
s vers : C’est trop, c’est trop, bergers. Eh ! pourquoi ces débats ?
Souffrons
qu’en un parti la raison nous assemble. L’Amour a
sc. VI : Ô fâcheux examen d’un mystère fatal, Où l’examinateur
souffre
seul tout le mal ! avec cette différence que
nguer du commun, et d’attirer les regards51. Non, il est le premier à
souffrir
de son mal, et n’en fait point parade vaniteuse.
les prétextes qu’il se crée pour justifier une folie dont la victime
souffrira
toujours, même quand elle se croira guérie. Ne pa
euvent captiver une âme loyale, Molière les connaissait pour en avoir
souffert
. Aussi s’est-il attaqué plus d’une fois à ce redo
pas sur tout ce qui l’entoure. Les excellentes maximes de Cléante en
souffrent
donc un peu. Ajoutons que son tort est de s’en te
endant un usurier, se voit en face de son père, l’autorité paternelle
souffre
sans doute quelque atteinte, mais relativement lé
econnaître ; un jour que Mme de Montausier lui disait : « Quoi ! vous
souffrirez
que cet impertinent vous joue de la sorte », il a
i lui paraît digne d’être aimée. Tendre sans être romanesque, elle ne
souffre
même pas chez Clitandre l’exaltation d’un sentime
être si difficile que les moindres imperfections le choquent. Il faut
souffrir
sa critique, comme un effet de sa justice. Mais i
rs n’ont souci. Mais Molière les joue eux-mêmes, ce qu’ils ne peuvent
souffrir
. » 120. Ah ! Pour être Romain je n’en suis pas
t que de très-foibles Copies ; mais que puis qu’elle avoit bien voulu
souffrir
leurs manieres de campagne il la supplioit très h
onne, plus lasse peut-être d’attendre le plaisir d’être femme, que de
souffrir
les duretez de sa mere, se détermina un matin de
epuis long-temps entre les mains de gens durs, avec lesquels il avoit
souffert
, & il étoit dangereux & triste qu’avec le
pondre à l’amitié qu’elle vouloit exiger de son mari, elle ne pouvoit
souffrir
qu’il eût de la bonté pour cet enfant, qui de son
la poste pour se rendre plus promptement auprès de lui. Moliere avoit
souffert
de l’absence de Baron ; l’éducation de ce jeune h
amp; je ne saurois voir maltraiter mes enfans de cette force là, sans
souffrir
comme un damné. Quelque succès qu’eût le Tartuffe
ner du plaisir quand nous sommes bien souvent accablez de chagrin ; à
souffrir
la rusticité de la plûpart des gens avec qui nous
instant de relâche. Mais, ajoûta-t-il, en reflechissant, qu’un homme
souffre
avant que de mourir ! cependant je sens bien que
belle donner lieu à des scenes ; il est bien trompé, puisque la belle
souffre
très constamment toutes les impertinences du Comt
de lui ces trois jours, on m’en avoit promis. Antiphon. Quoi ! Géta,
souffrirons
-nous que ce malheur arrive à celui qui, comme tu
s peut émouvoir ; ils l’ont assez montré dans les comédies qu’ils ont
souffert
qu’on ait jouées tant de fois en public sans en d
JUAN La peste soit du fat ! SGANARELLE Et voilà ce que je ne puis
souffrir
; car il n’y a rien de plus vrai que le moine-bou
is souvent priée de m’obtenir la permission de me retirer ; que je ne
souffrirais
plus désormais ses hauteurs, que ses inégalités a
ionnée que l’honneur forçait à résister au plus doux penchant, qui ne
souffrait
pas moins de sa résistance que l’ami à qui elle é
a est causé par la parfaite connaissance qu’il a des choses, il faut,
souffrir
sa critique comme un effet de sa justice... Il es
pendant mes bontés ne l’ont point changée.,. Si vous saviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi !... Quand je considère
er du plaisir quand nous sommes bien souvent accablés de chagrins ; à
souffrir
la rusticité de la plupart des gens avec qui nous
t que de très faibles copies ; mais que, puisqu’Elle avait bien voulu
souffrir
leurs manières de campagne, il La suppliait très
s l’estime que l’on commençait à avoir pour lui fut cause que l’on le
souffrit
. » Quoi qu’il en soit de cette interprétation, sa
pricieuse, j’en demeure d’accord ; mais tout sied bien aux belles, on
souffre
tout des belles. » Ce portrait dialogué, qui sem
es, que son extrême délicatesse pour les choses de la religion ne put
souffrir
cette ressemblance du vice avec la vertu, qui pou
comme si elle n’était point ma femme ; mais, si vous saviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi. Ma passion est venue à
vaient chez lui. Ses amis venaient souvent l’y visiter. Un jour qu’il
souffrait
plus que de coutume de l’affection de poitrine qu
is celle de Molière les joue eux-mêmes, et c’est ce qu’ils ne peuvent
souffrir
. » Le légat et les principaux prélats, consultés
dit au parterre : “Messieurs, Le Juge (c’était le nom de la pièce) a
souffert
quelques difficultés : l’alcade ne voulait pas qu
mmunication ; « Nous, sachant combien il serait en effet dangereux de
souffrir
que la véritable piété fût blessée par une représ
; et je ne saurais voir maltraiter mes enfants de cette force-là sans
souffrir
comme un damné. » Le trait que nous allons rapp
ent point ; les autres les jouaient eux-mêmes, ce qu’ils ne pouvaient
souffrir
. Ce fut le 13 janvier que cette œuvre nouvelle fu
er la faveur, n’accordait pas à Mignard la même protection. Sa vanité
souffrait
de ce que cet artiste célèbre ne grossissait pas
s, Mendier des prôneurs les éclatants suffrages. ……………………………………………………
Souffre
que, dans leur art s’avançant chaque jour, Par le
qui savait toute cette intrigue. Il n’y eut que Mademoiselle qui dut
souffrir
. » Le caractère bien connu de Molière serait une
me avait assisté, il se borna à lui répondre, lorsqu’elle lui dit : «
Souffrirez
-vous que cet impertinent de Molière nous joue de
urait lieu à quatre heures précises. Sa fluxion le fit si cruellement
souffrir
qu’il lui fallut faire de grands efforts intérieu
à l’imprimeur les livra Pour cent francs qu’il en retira. Devons-nous
souffrir
cet outrage ? Quoi donc ? dérober un ouvrage ? Le
ober un ouvrage ? Le dérober impunément ? Oser le vendre assurément ?
Souffrir
qu’on fasse ces injures À l’une de nos créatures
l Qu’on appelle les brigandages ; Courtisans, qui vos jours passez À
souffrir
des rebuts et faire révérences ; Damoiseaux aux c
nt du baptême chrétien, Fut, mourant, honoré de ce souverain bien, Et
souffrit
pour Jésus une mort non perverse. Jean-Baptiste
devant les magistrats, ils avaient répondu « qu’ils étaient prêts de
souffrir
la mort pour soutenir la vérité qu’ils annonçaien
on histoire, vers cette date de 1660 : « L’esprit du monde ne pouvait
souffrir
la Compagnie. » Mais il y avait encore, contre e
t jusqu’au bout, que sur le rapport que la conscience du xviie siècle
souffrait
qu’on mit entre la charité et la propagande, entr
tre n’a pas d’esprit, celle-ci n’est pas riche, une quatrieme ne peut
souffrir
l’odeur du tabac. Enfin, dans la scene XI, Marton
ait de lui : « Si Voiture était de notre condition, on ne le pourrait
souffrir
. » Je remarque que nous n’avons rien dit encore q
de comédien ne lui faisait tort ; et les autres valets de chambre ne
souffrent
qu’impatiemment de partager avec lui l’honneur de
nt des cornes ! Ô fâcheux examen d’un mystère fatal Où l’examinateur
souffre
seul tout le mal ! Il faut savoir pourtant jusqu
-t-il point indisposée ? — Autant que vous, madame. Ce le, se peut-il
souffrir
? De quelle étrange image on est par lui blessée
lui connaître de circonstance atténuante. Elle ne sait pas combien il
souffre
, et quand il essaie de le lui faire comprendre, c
cas sale. . . . . . . . . . . Mad. Brice. Il ne sera point dit que je
souffre
cela. M. Josse. Que pouvois-je penser de ce mémoi
: cet homme-là est des gens de bon sens qui ne divertissent guère. On
souffrait
à l’idée de revêtir ses pensées d’expressions nob
lendemain lui fût assuré, sans que sa fantaisie personnelle dût trop
souffrir
de cette retraite. Une place s’offrait à la Bibli
conséquence ! » B : « Ko es verdad. » II, page 120 : V: « Qui sait
souffrir
peut tout oser. » B: « Tout homme qui fera le sa
à chercher que lui dire ; Terme devenu bas, la sensibilité du public
souffre
, comme quand on passe la main sur une blessure.
i des maux de bien loin, la plus cruelle [sic], c’est de prévoir. Les
souffrir
n’est presque rien. Mon esprit n’est pas occupé à
e vous êtes entré dans une famille qui vous donnera de l’appui, et ne
souffrira
point que l’on vous fasse aucun affront. Voilà d
récédente montre toujours G. Dandin contrit et humilié et prêt à tout
souffrir
. Il serait ridicule de dire à un auteur : Pourquo
es pédans, un autre vers toute leur politique. Bélise Mais le vide à
souffrir
me semble difficile, Et je goûte bien mieux la ma
caractere, le fait disparoître, puisque M. Grichard qui a la bonté de
souffrir
de telles violences, ou qui est un homme à qui l’
oyez-vous, mon ami, j’ai toujours aimé l’égalité, & je ne saurois
souffrir
toutes ces suffisances : on m’a donné le nom de T
nt que de très faibles copies ; mais que puisqu’Elle avait bien voulu
souffrir
leurs manières de campagne, il la suppliait très
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