/ 167
1 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. » pp. 489-499
ouche, &c. Acte II. Scene I. HESPÉRIE, MÉLISE. Hespérie. Ma sœur , dites le vrai, que vous disoit Phalante ? Mélise
ur vous donner le soin de me persuader ? Mélise. Ne flattez point, ma sœur , votre esprit de la sorte. Phalante me parloit de
es biens me pourront mettre en un état heureux. Mais quoi ! jugez, ma sœur , quel conseil je dois prendre ; Et si je puis l’a
queur, Pour prendre mieux le temps de le mettre en mon cœur. Mais, ma sœur , croyez-moi, n’en prenez point la peine. En vain
r, Qui d’un trait de pitié s’efforce de m’atteindre : Voyez, ma chere sœur , suis-je pas bien à plaindre ? Mélise. Il faut vo
rlons plus d’amour, souffrez que je respire. Mélise. Vous ignorez, ma sœur , ce que je vous veux dire. Hespérie. Je sais tous
ne vous aime point, & que c’est moi qu’il aime. Hespérie. Ah ! ma sœur , quelle ruse afin de m’attraper ! . . . . . . . .
lorsqu’elle s’opiniâtre à s’attribuer les déclarations adressées à sa sœur , & qu’elle prend pour autant de ruses amoureu
sa folle dans des situations bien plus piquantes, en substituant à la sœur de l’héroïne l’homme même qu’elle croit épris de
Et l’affaire n’est pas ce que vous pouvez croire. Ariste. Comment, ma sœur  ! Bélise. Comment, ma sœur !Clitandre abuse vos
e vous pouvez croire. Ariste. Comment, ma sœur ! Bélise. Comment, ma sœur  !Clitandre abuse vos esprits, Et c’est d’un autre
a dit lui-même. Bélise. Hé, oui ! Ariste. Hé, oui !Vous me voyez, ma sœur , chargé par lui D’en faire la demande à son pere
re hors d’erreur. Ariste. Mais, puisque vous savez tant de choses, ma sœur , Dites-nous, s’il vous plaît, cet autre objet qu’
us le voulez savoir ? Oui. Qui ? Moi. Vous ?Moi-même. Ariste. Hai, ma sœur  ! Bélise. Hai, ma sœur !Qu’est-ce donc que veut
i. Qui ? Moi. Vous ?Moi-même. Ariste. Hai, ma sœur ! Bélise. Hai, ma sœur  !Qu’est-ce donc que veut dire ce hai ? Et qu’a de
par un désespoir où j’ai réduit leurs feux. Ariste. Ma foi, ma chere sœur , vision toute claire. Chrisale, à Bélise. De ces
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
e se passe chez Don Lope.) Acte II. Don Lope raconte à Cassandre sa sœur la résolution que Jacinthe a prise, lorsqu’elle v
Pedre est incognito à Lisbonne, parcequ’il est amoureux de Constance sœur du Comte & d’Arnest : ce dernier découvre son
e. Don Pedre reconnoît sa maison, voit que le Comte est l’amant de sa sœur . Le pere paroît, loue la diligence de son fils, l
-vous qu’on lui a donné, sans se douter qu’il le conduit auprès de sa sœur . Le pere de l’Ecolier veut entrer chez sa fille,
t : Dispense-moi, mon fils, d’un récit si funeste. Va-t’en trouver ta sœur , apprends d’elle le reste : Mais si tu m’aimes bi
our elle plaide : Et souviens-toi qu’elle est & ma fille & ta sœur . D. Pedre. Je sers mon ennemi contre mon propre h
combat satisfait les manes de ton frere : Ta mort satisfera, moi, ma sœur & mon pere. Etant homme de cœur tu la dispute
e IV. Scene XIV. LE BARON, SIR CHARLES. Le Baron. Le projet de ma sœur m’inquiete. Clarandon seroit-il ici ? Sir Charles
trant celui où il a vu entrer le Comte.) Le Baron. C’est celui de ta sœur . Sir Charles. Ah ! grands Dieux ! quelle indignit
d’être ingrat ou déshonoré. Mad. Murer. Il va sortir. Sir Charles. Ma sœur  ! mon libérateur ! je suis épouvanté de ma situat
r l’affront fait à leur famille, ou forcer D. Juan à s’unir avec leur sœur . D. Carlos & D. Alonse se séparent dans un bo
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
En confidence, Avez-vous avec elle eu quelque intelligence ? C’est ma sœur , & je puis assoupir tout cela. Quelle a été
abelle, amoureuse de Valere, fait croire à son jaloux que Léonore, sa sœur , en est éprise, & qu’elle lui a demandé la pe
ne veut pas le permettre. Isabelle dit qu’elle va donc ordonner à sa sœur de se retirer, & elle sort elle-même avec un
le. Quoi donc ! que pourroit-ce être ?Un secret surprenant. C’est ma sœur qui m’oblige à sortir maintenant, Et qui, pour un
sabelle. Et tu trouves cela ?...Moi, j’en suis courroucée. Quoi ! ma sœur , ai-je dit, êtes-vous insensée ? Ne rougissez-vou
s son nom, elle feroit tourner sur elle l’attachement qu’il a pour sa sœur  ? Au contraire, elle ne l’auroit rendu que plus é
pour s’excuser, que Valere, rebuté de ses rigueurs, a renoué avec sa sœur , avec qui jadis il avoit été bien ; qu’ils se son
; que, pour achever de convenir de leurs faits, à l’insu d’Ariste, sa sœur l’a priée de lui prêter sa fenêtre pour parler à
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
’ouvre enfin, & voit avec surprise que c’est celui d’Arlequin. La sœur cadette paroît, surprend son aînée un portrait à
lui prouver, lui abandonne cette miniature qui cause sa jalousie : la sœur cadette l’accepte avec transport, l’ouvre bien vî
ortrait qu’Argentine lui a remis : elle lui dit qu’elle l’a cédé à sa sœur  : celle-ci le remet à son pere, qui, s’attendant
. L’éleve apporte la seconde copie de Celio : Arlequin l’examine ; la sœur aînée vient & la lui enleve. Arlequin veut en
equin, & sort en le couvrant de baisers. Un moment après les deux sœurs se rencontrent, se raillent mutuellement : chacun
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283
tion Normande, comédie en cinq actes de Dufresny. Je répondrai qu’une sœur & un frere qui se détestent, peuvent être non
mais encore de toutes les nations ; que la haine du frere & de la sœur forme la base de la piece, & que l’envie qu’i
e Dufresny. Un Comte Normand déteste très cordialement la Marquise sa sœur . La Dame, en qualité de femme, pousse contre lui
r frere ! Le Comte. Eh ! bon jour, mon cher frere !Embrassez-moi, ma sœur . La Marquise. C’est avec grand plaisir... Le Comt
e. Que plus long-temps encor, secondant mes desirs, Le Ciel comble ma sœur de biens & de plaisirs ! . . . . . . . . . .
soupçonneux.... Angélique. Eh, ma tante ! Le Comte. Eh, ma tante !Ma sœur sera toujours maligne. Angélique. Eh, mon oncle !
déteste. D’un autre côté, l’on apprend au Comte que Dorante, dont sa sœur est éprise, aime en secret sa niece, & qu’il
x, & ils remettent entre les mains d’un tiers leurs donations. La sœur espere voir son frere furieux en apprenant le cho
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
Journée. Scene I. Lisardo est logé chez Dom Félix. Ce dernier a une sœur qu’il cache aux regards de son hôte, je ne sais p
ce n’est certainement point par hasard qu’il a cette fantaisie. Cette sœur , appellée Marcella, voit Lisardo, apprend qu’il v
guée par le hasard : ce n’est point par hasard que Lisardo parle à la sœur de Dom Félix, puisque la belle a soin de se trouv
ne IX. C’est Dom Félix, qui, ayant vu sortir le pere de Laura avec sa sœur , profite de ce moment pour parler à Laura. Elle t
r Dom Félix dans sa maison. Celui-ci lui dit qu’il venoit chercher sa sœur  : le vieillard lui répond qu’il l’a remenée : il
fait, comme nous l’avons déja dit. Scene II. Dom Félix raconte à sa sœur qu’il a vu un homme chez sa maîtresse, & qu’i
qu’elle vient passer quelques jours dans sa maison : il espere que sa sœur découvrira quel est le rival qu’on lui préfere.
le il a parlé : Lisardo montre Marcella. Dom Félix veut poignarder sa sœur  ; mais Lisardo promet de l’épouser, & le frer
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
rt pour ne pas manquer à son ami Clairville. Constance, jeune veuve, sœur de Clairville, a perdu le sommeil comme d’Orval,
e regrette toujours le cœur de son amante, & dit à d’Orval que sa sœur , sortie pour vérifier quelques bruits répandus su
reproche à son ami le mystere qu’il lui faisoit de son amour pour sa sœur  : Avez-vous eu peur, lui dit-il, de me voir contr
dit-il, de me voir contrarier vos desirs ? Auriez-vous craint que ma sœur , instruite des circonstances de votre naissance..
aux Isles reste sans fondement : d’Orval ne peut ignorer qu’il a une sœur , & qu’il vit à côté d’elle : il n’en deviendr
rouve dans cette déplorable situation, Silvia, fille du Docteur & sœur de Mario, devient amoureuse de l’ami de son frere
a remarquée dans son ami n’est causée que par l’amour qu’il a pour sa sœur , & par les efforts que l’amitié fait pour ne
n ami qui oblige son ami, lui dit qu’il a découvert son amour pour sa sœur Silvia ; que, malgré son hymen arrêté avec le Com
8 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
ntages qu’elle avait reçus de la nature primait même assez ceux de sa sœur Henriette, pour que ce fut à elle, Armande, que s
e dans la septième scène du deuxième acte. Vous devriez, dit-il à sa sœur en s’adressant en réalité à tout le trio pédantes
u’on le remarque bien, si elle ne se pique pas de bel esprit comme sa sœur , elle n’en sait pas moins se montrer très spiritu
aveu de son penchant pour une honnête union. Ah fi… dit Armande à sa sœur à ce seul mot de mariage, Ne concevez-vous point
e il traîne la pensée ? N’en frissonnez-vous point et pouvez-vous, ma sœur , Aux suites de ce mot résoudre votre cœur. Les
ersonnes blâmer cette scène et celle du quatrième acte entre les deux sœurs  ; elles les trouvaient trop crues pour le théâtre
tés. Ce qui prouve bien que, dans cette heureuse opposition des deux sœurs , la pensée de Molière a été uniquement de montrer
sser pour sotte si je puis. Cette douce figure d’Agnès a plus d’une sœur dans l’œuvre de Molière. Mariane dans Le Tartuffe
9 (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13
e. Oh ! Oh ! Quel changement ! Dites-moi, je vous prie, Vous avez une sœur , la petite Thalie, Dont Picard est le père ? La
Renvoyez ces pleureurs auprès de Melpomène. La Vieille Thalie. À ma sœur  ? La superbe a déjà trop d’orgueil ! Je voudrais
Et voilà donc, voilà comme on me traite ! J’irai me présenter à votre sœur cadette. La Vieille Thalie. Eh bien ! Monsieur,
domaine riant que vous laissez en friche ? Je ne vous blâme point, ma sœur , vous êtes riche, Il faut vous reposer vous et vo
lière. Et vos joyeux amants reviendront avec elle. Quant à moi (votre sœur dût s’en formaliser) J’aimerais tout autant près
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
Silve. Il se croit le fils du Roi Castillan, & passe pour tel. Sa sœur Dona Elvire reste au pouvoir du barbare Mauregat.
onduit dans Astorgue. Don Silve l’y voit, ne la reconnoît pas pour sa sœur , la préfere à Dona Ignès. Il réunit ses forces à
cinq actes. Avant-Scene. Don Rodrigue, Roi de Valence, voit Delmire, sœur de Don Pedre, Roi d’Aragon ; il en devient épris,
I. Don Pedre, frere de Delmire, arrive incognito. Il voudroit voir sa sœur en secret. Il prie Don Diegue, son confident, de
it des armes, & sort du cabinet en disant qu’il vient défendre sa sœur . A ce mot Rodrigue voit qu’il s’est emporté à tor
orter de telles bottes que vous ne pourrez les prévoir. Don Pedre. Ma sœur , Sa Majesté vous fait une grande faveur en daigna
e nouveau, & qu’il me manque ainsi de parole ? Don Pedre. Ah ! ma sœur , servez-vous d’autres termes. Rodrigue. C’est un
e vous cede, Madame. Delmire. C’est que vous avez tort. Don Pedre. Ma sœur , finissons cette conversation. Don Pedre a rais
yrol dans le Peintre, il l’embrasse, Delmire aussi. Le Prince prie sa sœur de faire coucher avec elle Bélise ; la sœur dit e
aussi. Le Prince prie sa sœur de faire coucher avec elle Bélise ; la sœur dit en raillant qu’il faut savoir si le parti con
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341
ont, je vois bien cela : l’acquisition demeurera à mon pere, & ma sœur servira de pot-de-vin. Pourvu que je trouve aussi
isse : vous vous poussez dans la robe : je me pousse dans l’épée : ma sœur se pousse... Elle fait aussi fortune. A l’heure q
e vient d’apprendre que Moncade a fait une déclaration amoureuse à sa sœur , il se flatte de les voir unis, il vient lui en t
ade. Cela est ainsi. Eraste. Ne m’avez vous pas dit que vous aimez ma sœur  ? Moncade. J’en demeure d’accord. Eraste. Eh ! qu
Vous n’y songez pas ! Moncade. Pardonnez-moi. Eraste. Vous aimiez ma sœur , & ne songiez point à l’épouser ! Moncade. Ep
temps j’eusse peut-être accepté le parti ; mais après le trait que sa sœur vient de me jouer.... J’ai assisté plusieurs foi
pas reçu dans le monde qu’un homme entende de sang froid insulter sa sœur , & qu’il partage tranquillement avec elle l’a
ont qu’on lui fait. Dès ce moment-là on n’estime plus ni Eraste ni sa sœur , on voit Moncade avec moins de plaisir ; & vo
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
p; frere de Camille. Arlequin se retire. Scapin trouve mauvais que sa sœur soit dans la rue ; il la querelle & lui dit e
ur de plaire à Scapin qui le renvoie, & qui entre ensuite avec sa sœur dans le cabaret. La scene change & représente
ction. Cependant Scapin reproche à Arlequin les torts qu’il a avec sa sœur , & le rosse. Eléonora se fâche : Scapin dit q
ra se fâche : Scapin dit qu’il ne peut souffrir qu’Arlequin traite sa sœur de coquette. Eléonora soutient qu’elle mérite cet
Outre cela, il est très naturel que Célio allant parler à Scapin, sa sœur le fasse entrer chez elle. Je n’aime point que Mo
13 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
es qui se jetèrent dans cette société, mademoiselle de Bourbon-Condé, sœur du grand Condé et du prince de Conti, la même qui
me de Georges, qu’il ne faut pas confondre avec Madeleine de Scudéry, sœur de ce même Georges, née en 1607, comme nous l’avo
, non comme auteur, mais comme fille d’esprit, convenablement élevée, sœur d’un homme de lettres fort répandu, et aussi comm
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
e ce qu’on entend bien ? M. Brice. Qu’avez-vous à répondre à cela, ma sœur  ? Mad. Josse. Qu’avez-vous à répondre à cela, ma
dre à cela, ma sœur ? Mad. Josse. Qu’avez-vous à répondre à cela, ma sœur  ?Rien. C’est un extravagant, qui de Paris à Rome
ieux vos besicles. . . . . . . . . . M. Brice. Vous m’impatientez, ma sœur . Répondez donc. Tout parle en sa faveur, & to
age, Est nommée innocente, & c’est du bel usage. Ce manteau de ma sœur , si bien épanoui, En est une. M. Josse. En est u
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
à Genes avec un jeune homme qu’il a surpris dans l’appartement de sa sœur . Pour éviter les suites de ce combat, il se retir
situations très comiques. Le véritable Mario revient à Milan avec la sœur de Lélio qui la lui accorde, à condition qu’il ép
r ressemblants, au point surtout de faire méprendre un pere & une sœur . Tout cela prouve que les pieces intriguées par u
on. Qu’avez-vous rêvé ? Philocomasie. Il m’a semblé en dormant que ma sœur jumelle étoit venue d’Athenes à Ephese avec un am
ieux, y avez-vous quelque affaire ? Philocomasie. Ayant appris que ma sœur jumelle étoit ici, je suis venue tout exprès pour
16 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
riche nommé Cinthio, lequel, resté sans père ni mère, n’avait qu’une sœur douée d’une beauté rare et d’une éducation distin
ertain capitaine, lequel ne souhaitait rien tant que d’épouser ladite sœur . Cinthio, entrant dans les vues de son ami, parla
r. Cinthio, entrant dans les vues de son ami, parla du capitaine à sa sœur qui montra des sentiments favorables. Le mariage
es, se décida à chercher, et avec une meilleure fortune, un mari à sa sœur . Celle-ci, apprenant ce que son frère projetait,
er. Tourmentée par Cinthio à ce sujet, Isabelle (c’était le nom de la sœur ) prit le parti de quitter le pays. Elle s’enfuit
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
le. Eraste en est aimé ; Valere se flatte de l’être, parcequ’Ascagne, sœur de Lucile, que tout le monde croit un garçon, l’a
rouble cette nouvelle résolution jette Ascagne, qui s’écrie : Ah, ma sœur  ! si sur vous je puis avoir crédit, Si vous êtes
Et je ressens si bien la douleur qu’elle aura, Que je suis assuré, ma sœur , qu’elle en mourra, Si vous lui dérobez l’amant q
-il que rien n’ait dévoilé le véritable sexe d’Ascagne aux yeux de sa sœur , de son précepteur, de son pere ? Comment Valere
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
idus  Ont formé Sophie aux vertus. Elle comptoit seize ans, quand une sœur d’Eraste... Ces deux couplets semblent vouloir t
léguée ; mais ce sont les seuls. Continuons. Damis. Quelle est cette sœur  ? Finette. Quelle est cette sœur ?Entre nous, C’
ontinuons. Damis. Quelle est cette sœur ? Finette. Quelle est cette sœur  ?Entre nous, C’est un composé rare, & qui par
rop s’il doit l’épouser, parceque Newton ne s’est pas marié. Bélise, sœur d’Eraste, paroît la larme à l’œil & le désesp
19 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [36, p. 64-67] »
ent de Cotin, et la princesse Uranie était la duchesse de Nemours202, sœur du duc de Beaufort203. Le voici : Sonnet à la pr
le, duchesse de, (1625 – 1707) : belle-fille de la célèbre princesse, sœur de Condé, qui avait épousé en 1642 le duc de Long
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
l, en criant : Ah ! mon pere ! ah ! ma fille ! ah ! ma mere ! ah ! ma sœur  ! ah ! mon frere ! ah ! toute la famille ! il ple
e fait connoître clairement que vous êtes mon frere. Valere. Vous, ma sœur  ? Mariane. Oui, mon cœur s’est ému dès le moment
r libertiner, va battre la campagne ; Que je ne connois point, car ma sœur , Dieu merci, Ne consultoit personne en tout, comm
qu’elle n’a point menti ; & voici une vivante qui ressemble à ma sœur . Mais non... Si fait, le diable m’emporte, c’est
our Madame la Roche vous irez le galop, si vous pouvez ; mais pour ma sœur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
21 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
t moins apprêté. On le mettra sans doute entre nous deux à table ; Ma sœur lui plaira mieux. — Bah ! Nous verrons toujours !
pour mère Philaminte, la savante ; pour tante, la folle Bélise ; pour sœur la pédante et jalouse Armande. Son père est Chrys
st Chrysale, un bon bourgeois, à qui les travers de sa femme et de sa sœur ont fait prendre en haine les lettres comme la sc
e aux élévations Où montent des savants les spéculations, Le mien, ma sœur , est né pour aller terre à terre, Et dans les pet
ophe se met en colère comme une simple mortelle : Hé ! Doucement, ma sœur . Où donc est la morale Qui sait si bien régir la
se confie à son amant, sans craindre aucun changement de sa part. Sa sœur voudrait l’inquiéter sur la solidité de cette aff
morte dans le cœur de Clitandre. Que répond-elle ? Il me l’a dit, ma sœur , et pour moi, je le crois Mot sublime, où s’exp
bituelle de son caractère, l’espèce de solitude que les dédains de sa sœur et de sa mère ont faite autour d’elle, l’expérien
us deux lui ont confié le secret de leur amour pour Valère et pour la sœur de Valère, et elle travaille à satisfaire leurs v
22 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
ême, la préfère à la superbe Armande. La différence d’humeur des deux sœurs montre encore une de ces oppositions dont Molière
on le transporta dans sa maison, où il expira entre les bras de deux sœurs de la Charité auxquelles sa bienfaisance donnait
. La Thorillière. Béjart (Madeleine). Béjart (Geneviève-Hervé), sa sœur . Béjart (Armande), sœur des deux précédentes, fe
t (Madeleine). Béjart (Geneviève-Hervé), sa sœur. Béjart (Armande), sœur des deux précédentes, femme de Molière. De Brie
jart l’aîné. Béjart l’aîné faisait, ainsi que son frère, ses deux sœurs , Duparc et Molière, partie de l’illustre théâtre.
tifice de cet instrument. D’abord le petit Raisin l’ainé et sa petite sœur Babet se mettaient chacun à son clavier, et jouai
usa Paul Poisson, et mourut en 1756, à quatre-vingt-dix-huit ans. Une sœur de du Croisy avait épousé Bellerose, célèbre comé
s reines et celui des soubrettes.) Mlle Geneviève Hervé-Béjart. Sœur de Madeleine Béjart, et femme, en secondes noces,
de Béjart (Mlle Molière) Armande-Grésinde-Claire-Élisabeth Béjart, sœur des Béjart, épousa Molière au commencement de 166
avec mademoiselle de Brie dura jusqu’au mariage de cet acteur avec la sœur des Béjart ; mais les chagrins domestiques de Mol
pas l’acte de mariage de ce dernier avec Armande Béjart, qui était la sœur et non la fille de Madeleine Béjart. 12. Molière
23 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
n, l’entraînant, il demande À Béjart, qui se fait prier, Si sa petite sœur Armande N’est pas d’âge à se marier ! Cependant,
e, tel que voudront choisir le sieur son frère et les damoiselles ses sœurs , deux messes basses de requiem par chacune semain
somme suffisante, comme il sera jugé et avisé par les damoiselles ses sœurs , pour, des fruits et revenus qui en proviendront,
étuité, à cinq pauvres qui seront nommés par lesdites damoiselles ses sœurs et par l’ainé des enfants de la damoiselle de Mol
u profit de l’une des damoiselles de la Villaubrun et de Molière, ses sœurs . Item ladite damoiselle testatrice donne et lègue
e Grésinde Béjart, femme du sieur Jean-Baptiste Poquelin Molière, ses sœurs susdites, et à chacun d’eux trois, quatre cents l
experts qui seront nommés par lesdits sieurs et damoiselles, frère et sœur de ladite damoiselle testatrice ; les revenus des
ans un intérieur qui ne rappelle ni celui de sa mère, ni celui de ses sœurs . Sans doute elle n’avait plus de vanité qu’au thé
uteur testamentaire, Armande Béjart, Geneviève Béjart, sa fille et sa sœur , à la suite du notaire et de l’huissier, « sergen
qu’un cocu imaginaire ; en effet Mlle de Brie semblait bien plutôt la sœur de Molière que sa maîtresse. Il n’est pas douteux
celui-ci à celui-là, de l’amant au mari, du mari à l’amant. Comme sa sœur , elle aimait les gentilshommes ; comme sa sœur, e
ri à l’amant. Comme sa sœur, elle aimait les gentilshommes ; comme sa sœur , elle a aimé Molière, premier gentilhomme de l’es
M. de Courbiat, toujours de Limoges. Molière, qui était témoin de sa sœur , ne vit-il pas là dans ces deux personnages, qui
sous le nom de Marie Hervé, il y avait déjà trop de Béjart. Comme ses sœurs , c’était une de ces blondes rayonnantes qui illum
e de Molière. Tartuffe est le rôle des grands comédiens. Sa femme, sa sœur et sa fille furent des comédiennes : sa femme, so
furent des comédiennes : sa femme, sous le nom de Mlle Du Croisy ; sa sœur , sous le nom de Mlle de Bellerose, un vrai nom de
t supposer, dit le Bibliophile Jacob, que Mlle Barrillionet était une sœur de Mlle de Brie, mais celle-là est dans les infin
e sœur de Mlle de Brie, mais celle-là est dans les infiniment petites sœurs . Sans doute elle fut heureuse : elle n’a pas d’hi
En tête des actrices étaient Madeleine Béjart, qui avait avec elle sa sœur , Geneviève Béjart, MmeBeauval, de Brie, du Croisy
du Croisy, du Parc, et Mlles Marotte Beaupré et Armande Béjart, autre sœur de Madeleine, la future femme de Molière, qui n’a
24 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
i par Manille et pourra autant qu’il le voudra embrasser sa prétendue sœur Lucinde. Au moment où ce stratagème a réussi, arr
LISANDRE Tu ne saurais penser l’état où je serai Quand je verrai ma sœur , quand je l’embrasserai. Je me sens tout ému, j’e
tout autre que celui de l’Inavvertito, où Bellorofonte retrouvait une sœur de Celia qu’il avait autrefois aimée, Laudomia, m
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
dans l’Etourdi de Moliere. Enfin arrive un Turc, qui, sachant que sa sœur est esclave sons le nom de Turqueta, vient la rac
Turc, qui vient tout naturellement avec une lettre d’avis retirer sa sœur d’esclavage, qui s’adresse précisément à l’homme
e Trufaldin, marchand d’esclaves. Il ne peut en conscience épouser sa sœur  ; il la cede à Lélie. Il n’y a dans tout cela que
cabaretier que Philipin a fait déguiser. Il conseille à sa prétendue sœur de donner Cléandre à sa fille, quand Cléandre lui
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
resse, en profite pour épouser en secret son amant, sous le nom de sa sœur . Valere se croyant bien traité de l’objet de ses
à lui, & lui avoue l’amour qu’elle a pour Flaminio, l’amant de sa sœur Béatrix, & qu’elle l’a épousé en secret, sous
éatrix, & qu’elle l’a épousé en secret, sous le nom de cette même sœur . Flaminio arrive sur la scene ; le faux Fédéric l
son époux : elle répond qu’elle avoit soin de prendre un habit de sa sœur , & de contrefaire sa voix. Colombine, pour so
 : elle prend la résolution de lui écrire un billet sous le nom de sa sœur , comme à l’ordinaire, & de lui donner rendez-
ces, je veux dire la méprise que font les deux amants en épousant une sœur pour l’autre, elle est aussi peu vraisemblable en
27 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
.) I. Aux dernières lueurs d’un jour froid qui pâlit12, Deux sœurs de charité se penchaient près d’un lit, Et de leu
arrivait pas : Et seules l’entourant à cette heure dernière, Les deux sœurs près de lui demeuraient en prière. Autour du li
rs. Puis, se ressouvenant que son heure était proche, Il écoutait des sœurs quelque pieux reproche, Répétait leur prière, et,
etentir Des sanglots où se mêle un tardif repentir ; Puis, à côté des sœurs se mettant en prière, Elle pleure à genoux celui
e n. 34). Il expira au bout de quelques heures entre les bras de deux sœurs de Charité qui quêtaient pour les pauvres et auxq
cemment découvert par Mr. Beffara, prouve que Molière avait épousé la sœur et non la fille de Magdelaine Béjart avec laquell
qui portait le nom de Louis ne vécut pas. 16. Armande Béjart, jeune sœur d’Armande Béjart et actrice comme elle de la trou
28 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
tait Château-Thierry : c’était une femme douée ou affligée, comme ses sœurs et ses cousines, d’une imagination vive et sans f
ouvait du plaisir dans cette société ; elle présenta nos poètes à ses sœurs , la duchesse de Mazarin et la comtesse de Soisson
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
e d’Elvire, paroît & reconnoît Don Juan pour le séducteur de leur sœur  : il veut fondre sur lui. Don Carlos l’arrête, en
lution est prise, & s’il se détermine enfin à donner la main à sa sœur  : il lui répond que le ciel s’oppose à cette unio
uloir prendre cette voie, & pour voir publiquement confirmer à ma sœur le nom de votre femme. Don Juan, d’un ton hypocri
inspire. Don Juan. Hélas ! point du tout. C’est un dessein que votre sœur elle-même a pris : elle a résolu sa retraite, &am
j’ai entendu une voix qui m’a dit que je ne devois pas songer à votre sœur , & qu’avec elle assurément je ne ferois point
’est le Ciel qui le veut ainsi. Don Carlos. Vous aurez fait sortir ma sœur d’un couvent pour la laisser ensuite ! Don Juan.
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
vendre son régiment & d’aller vivre dans ses terres. Il offre sa sœur à Damis. On veut l’envoyer coucher, il n’en veut
apporte à Moncade une lettre, par laquelle il apprend qu’on enleve sa sœur  ; il veut courir après le ravisseur. On dit à Mon
le lendemain. Le frere de Julie écrit qu’il est malade, & prie sa sœur de se rendre chez lui ; elle y verra son fils qu’
rton. Entrez, beau Cavalier. Moncade. Entrez, beau Cavalier.C’est ma sœur  ! Léonor. Entrez, beau Cavalier. C’est ma sœur !
eau Cavalier.C’est ma sœur ! Léonor. Entrez, beau Cavalier. C’est ma sœur  !Ah ! mon frere, Je me jette à vos pieds ; calmez
re, juste Ciel ! Damis. Son frere, juste Ciel !Quoi ! c’est là votre sœur  ? Moncade. C’est elle. Levez-vous ; je connois mo
31 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
qualifier, ou bien il aurait, à tout le moins, épousé la fille ou la sœur de sa maîtresse, deux cas sociaux qui, pour n’êtr
oi vous appliquez-vous à démontrer qu’elle n’est pas la mère, mais la sœur d’Armande ? Et si vous insistez tant sur le respe
nt sur le respect dû aux actes authentiques qui la représentent comme sœur aînée, n’est-ce pas que, malgré leur nombre, ces
un leurre ! Au fond, je ne suis pas mieux traitée que ton frère et ta sœur , à chacun desquels tu laisses seulement 400 livre
rancs de nos jours. Au contraire, Joseph et Geneviève, le frère et la sœur de Madeleine, étaient loin de vivre dans l’opulen
t loin de vivre dans l’opulence. Quand, six mois après le décès de sa sœur , Geneviève, veuve en premières noces de Léonard d
’artiste et les 400 livres de pension viagère que lui avait légués sa sœur  : cela ressort des énonciations de son contrat de
ue les actes dont on s’autorise pour faire de la femme de Molière une sœur de Madeleine compliquent justement la question qu
 » Guichard le connaissait pour avoir été quelque temps l’amant de sa sœur , Marie Aubry, actrice à l’Opéra, et il donne même
se décida à venir à son secours. Céda-t-elle aux sollicitations de sa sœur Geneviève, belle-sœur d’Aubry ? Craignit-elle, si
ille Aubry, le propre frère de Sébastien Aubry ayant épousé la propre sœur de la Molière. » C’est là, pour le dire en passa
, à savoir qu’Armande était non la fille de Madeleine Béjart, mais sa sœur , en même temps que celle de Geneviève. Il était d
’il tenait Armande bien plutôt pour la fille de Madeleine que pour sa sœur . Guichard ne se bornait pas à flétrir la veuve de
s actrices dont Lulli avait invoqué le témoignage : « La Aubry, digne sœur d’un tel frère ; la Verdier, sa vilaine amie ; la
que la femme de Molière, Armande Béjart, est bien la fille et non la sœur de Madeleine Béjart. Aux raisons qui avaient form
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
de rapport avec le commencement du quatrieme livre de Virgile, où la sœur de Didon conseille à cette Princesse de ne plus r
charmes de l’amour. Voici comme s’exprime cette digne confidente : O sœur plus chérie que la lumiere du jour ! quoi ! livré
des Femmes Savantes le même propos, à-peu-près, à la prude Armande sa sœur . Mais vous ne seriez pas ce dont vous vous vante
, Si ma mere n’eût eu que de ces beaux côtés ; Et bien vous prend, ma sœur , que son noble génie N’ait pas vaqué toujours à l
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
epuis qu’on l’a arrêté. Il frappe à la porte de la prison. Argentine, sœur du geolier, paroît ; il lui persuade qu’il est l’
mande à l’intendant, quand le geolier arrive, est fâché de trouver sa sœur dans la rue avec un inconnu, fait grand bruit, su
34 (1843) Épître à Molière, qui a obtenu, au jugement de l’Académie française, une médaille d’or, dans le concours de la poésie de 1843 pp. 4-15
merveille ! Dresse ton monument près du funèbre lieu Où deux modestes sœurs , deux servantes de Dieu, Seules, la nuit, témoins
s trouver ensemble. Habiles à parler et la prose et les vers, Quoique sœurs , elles ont des visages divers : L’une a l’air plu
35 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
le de Montpensier, âgée de vingt-un ans ; la duchesse de Longueville, sœur du prince de Condé, âgée de trente-neuf ans ; la
de Soissons, sachant bien que Marie Mancini, la plus jeune des trois sœurs , attirait son attention, mais persuadée qu’il n’a
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
illes. Un grand rocher s’éleve au milieu de l’étang, Où les cinquante sœurs , faites de marbre blanc, Portent incessamment les
nir, Semblent incessamment aller & revenir. Au haut, trois de ces sœurs , à cruche renversée, Font choir trois gros torren
rs ; Le roc qui la reçoit en a les flancs couverts. Au bas, l’une des sœurs puise à tête courbée, L’autre montre & se pla
. L’une monte chargée ; & l’autre, qui descend, Semble aider à sa sœur sur le degré glissant : L’une est prête à verser,
37 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
médie de Psyché. L’Amour, le sieur Baron. Psyché, Mlle Molière. Deux sœurs de Psyché, Mlles Marotte et Beauval. Le Roi, père
es Muses chantantes, Mlle Hilaire, Mlles Desfronteaux, Mlles Piesches sœurs , les sieurs Gillet, Oudot, Henry, Hilaire, Descou
ndre son bien partout où on le trouve. » En donnant l’extrait de La Sœur , comédie de Rotrou, t. VI. p. 396 de cette Histoi
aut rapporter l’une et l’autre scène. Nous commençons par celle de La Sœur . [*]LÉLIE.       Ô fatale nouvelle ! et qui me
lière a encore fait usage de la troisième scène du premier acte de La Sœur . Lélie raconte à son ami Éraste l’histoire de ses
eux mots, etc. Cette comparaison des deux scènes de la comédie de La Sœur , de Rotrou, avec deux autres des Fourberies de Sc
emblant de ne pas connaître cet ancien ministre d’Apollon et des neuf Sœurs , proclamé indigne de sa charge, et livré au bras
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
iste. Qui sont ces belles.Soit ; je vous rendrai content. Elles sont sœurs . Géronte. Elles sont sœurs.Ensuite ? Ariste, aya
oit ; je vous rendrai content. Elles sont sœurs. Géronte. Elles sont sœurs .Ensuite ? Ariste, ayant un peu rêvé. Elles sont
e. Elles sont sœurs.Ensuite ? Ariste, ayant un peu rêvé. Elles sont sœurs . Ensuite ?Elles sont de Bretagne. Géronte. Fort b
39 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
lia, arrive elle-même de Chypre. Polipo apprend que la captive est sa sœur . « Tu as acheté ma maîtresse sous couleur qu’elle
est sa sœur. « Tu as acheté ma maîtresse sous couleur qu’elle fût ma sœur , dit-il à son valet, et j’ai acheté ma sœur croya
us couleur qu’elle fût ma sœur, dit-il à son valet, et j’ai acheté ma sœur croyant acheter une maîtresse. » Polipo revient d
40 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
cheter Celia, qu’il se propose d’épouser. Il était fiancé à Laudomia, sœur de Celia ; mais Laudomia a été enlevée par des co
eu de ses nouvelles ; le capitaine a résolu d’épouser celle des deux sœurs qu’il a le bonheur de retrouver. Il paye Mezzetin
41 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
e raconte alors comment, ayant observé que Fabio était amoureux de sa sœur Virginia, elle l’a trompé en se faisant passer po
l faisait comprendre à Lelio en quelle triste position se trouvait sa sœur Virginia, et il adresse les plus violents reproch
Fabio a, il y a six à sept mois, épousé clandestinement Virginia, la sœur de Lelio, et que le frère veut s’en venger. Ricci
dénouement que son auteur raconte ainsi : « Lelio, sous le nom de sa sœur Virginia, écrit un billet à Fabio, en lui demanda
42 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
er par lui, en le recevant nuitamment sous le nom et les habits de sa sœur dont il est épris. L’amour menaçant de détruire p
rages où était reproduit le même sujet. Du rôle insignifiant de cette sœur dont on emprunte le nom et les vêtements, il fit
43 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412
ite à madame de Montespan, en alla faire une à madame de Thianges, sa sœur . Elle en sortit indignée des traits que celle-ci
s d’une amie aimable, lui disait-elle, persuadent plus que ceux d’une sœur sévère. » Elle ajoutait : « Croyez-moi, ma belle
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
bit d’une servante. D’un autre côté Fulvio devient amoureux de Livia, sœur de Claudia, & est du dernier bien avec elle,
lle au poëte de passer une après-midi chez lui. J’ai, lui dit-il, une sœur qui donne à jouer : plusieurs personnes me renden
perfection, est vivement frappé d’un coup de pierre philosophale. La sœur est une jeune personne qui roule, comme M. son fr
45 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [3, p. 35] »
it le comte, qui devinait leur intention, j’ai oublié d’épouser votre sœur , et j’y retourne avec vous pour finir cette affai
46 (1900) Molière pp. -283
vient de voir et d’observer curieusement dans la chambre de sa grande sœur  ? Ces concessions faites, auxquelles il est diff
tif, oppose aux conceptions métaphysiques de l’amour caressées par sa sœur Armande les félicités matérielles du mariage, et
, dans ce système, Armande Béjart, qu’il épouse, est tout au moins la sœur de cette Madeleine Béjart à la suite de laquelle
i, dès la première scène, tient de petits discours comme ceux-ci à sa sœur Armande, qui a des idées métaphysiques sur le mar
des idées métaphysiques sur le mariage, et qui ne comprend pas que sa sœur veuille se marier : Ne troublons point du ciel l
 ; Vous, aux productions d’esprit et de lumière, Moi, dans celles, ma sœur , qui sont de la matière25. Je ne trouve pas une
le plus faible. Voyez Chrysale dominé par sa femme : il tombe sur sa sœur  ; voyez George Dandin, quand il vient d’être gron
us reporter à toutes les scènes qui ont lieu entre le Chevalier et sa sœur Clarisse. Ce sont deux personnages très honnêtes,
ous les deux, mais le chevalier arrive à dire des choses atroces à sa sœur très doucement, très modérément, sans s’en douter
le vole, qu’on l’assassine, qu’il n’a jamais vu pareil brigandage. Sa sœur ne s’étonne pas du tout de ce discours. Remarquez
des rivalités, des querelles, des haines, des procès entre frères et sœurs . Pour en revenir aux patriarches, Caïn n’a pas at
urs assez froide, La Réconciliation normande. Non ; Regnard a pris la sœur et le frère à l’état normal ; l’un et l’autre ont
es, — faites attention à la manière dont se parlent les frères et les sœurs . L’amitié fraternelle n’existe, dans Molière, qu’
ntre le père ; quand ils ne sont pas alliés contre le père, frères et sœurs se connaissent à peine. Vous pouvez ouvrir L’Avar
, présente une situation de frère très tragique. Dom Juan a épousé sa sœur Elvire, et l’a délaissée, et Dom Carlos court apr
sœur Elvire, et l’a délaissée, et Dom Carlos court après Dom Juan. Sa sœur est très malheureuse, son désespoir s’exprime dan
seul mot de sympathie pour la douleur de la malheureuse Elvire, de sa sœur  ; Dom Carlos ne songe qu’à son honneur à lui, ent
Carlos ne songe qu’à son honneur à lui, entamé par la conduite de sa sœur , et par l’abandon de Dom Juan. C’est qu’il n’y a
e Chrysale dans Les Femmes savantes : « C’est à vous que je parle, ma sœur  », où il oppose au portrait de la femme savante c
47 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
roi ; à madame de Montespan, et par occasion à madame de Thianges sa sœur  ; à madame de Ludres ; à madame de Fontanges, don
e de trente-neuf ans, voulant faire la cour au duc de Nevers et à ses sœurs , composa contre la Phèdre de Racine le fameux son
Racine ou Boileau parodièrent ce sonnet contre le duc de Nevers et sa sœur . Nevers dit hautement, et même en vers, dans un t
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397
Oui, je conçois, mon frere, quel est votre chagrin. Cléante. Ah ! ma sœur , il est plus grand qu’on ne peut croire ! car enf
pour ce dessein, de l’argent à emprunter ; &, si vos affaires, ma sœur , sont semblables aux miennes, & qu’il faille
49 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
arc, dit Gros-René, des deux frères Béjart, de Madeleine Béjart, leur sœur , de Lagrange, de Mlle Duparc, de Mlle de Brie et
cile donne un soufflet à un valet effronté. Cela n’arrivera pas à ses sœurs cadettes ; elles seront mieux élevées. Leur vertu
ère, Isabelle est la plus hardie. Agnès, qu’on peut regarder comme sa sœur jumelle, est moins aventureuse ; Agnès ne fait qu
voilé les cheveux flottons de la grande dame; lorsque le cilice de la sœur de la Miséricorde a emprisonné cette taille sans
les vœux de Clitandre, quoique Clitandre se soit d’abord adressé à sa sœur Armande, car elle connaît le monde ; elle sait qu
quels elle parle du mariage, et de tout ce qui s’ensuit, comme dit sa sœur Bélise, prouve qu’elle n’est ni ignorante ni prud
Ce n’est pas, en un mot, une espiègle qui s’amuse à faire enrager sa sœur après lui avoir enlevé son amant avec malice ; c’
st consolé que par la bienséance parfaite d’Angélique, cette dernière sœur de la Marianne du Tartufe. Le rôle de la petite L
s de la religion ; il mourut comme on le sait, entre les bras de deux sœurs de la charité, anges qui vinrent s’agenouiller au
onçut ensuite pour une comédienne, nommée Thérèse-Lenoir Thorillière, sœur du dernier comédien de ce nom, le brouilla avec s
ands officiers seraient très subalternes s’ils n’avaient eu de jolies sœurs et de jolies cousines ! » Cette autorité des fem
uebuse, Dorante dit à son ami Bracassaks : « Et tu songes à donner ta sœur , une demoiselle de la maison de Bracassaks, à un
50 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
tifice de cet instrument. D’abord le petit Raisin l’aîné et sa petite sœur Babet se mettaient chacun à son clavier, et jouai
t-il, allez dire à ma femme qu’elle monte. » Il resta assisté de deux sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinairement
Seigneur. Enfin il rendit l’esprit entre les bras de ces deux bonnes sœurs  ; le sang qui sortait par sa bouche en abondance
RT. LA THORILLIÈRE.   BÉJART (Madeleine). BÉJART (Genevève-Hervé), sa sœur . BÉJART (Armande), sœur des deux précédentes, fem
JART (Madeleine). BÉJART (Genevève-Hervé), sa sœur. BÉJART (Armande), sœur des deux précédentes, femme de Molière. DE BRIE (
é faisait partie de l’illustre théâtre, ainsi que son frère, ses deux sœurs , du Parc, et Molière. On ne trouve aucun détail s
usa Paul Poisson, et mourut en 1756, à quatre-vingt-dix-huit ans. Une sœur de du Croisy avait épousé Bellerose, célèbre comé
pas l’acte de mariage de ce dernier avec Armande Béjart, qui était la sœur et non la fille de Madeleine Béjart. Voyez la Dis
1672, un an avant Molière. Mademoiselle GENEVIÈVE-HERVÉ BÉJART. Sœur de Madeleine Béjart, femme en première noce du si
T, Mademoiselle Molière. Armande-Grésinde-Claire-Élisabeth Béjart, sœur des Béjart, et femme de Molière, fut une excellen
avec mademoiselle de Brie dura jusqu’au mariage de cet acteur avec la sœur des Béjart ; mais les chagrins domestiques de Mol
elle passa dans la troupe du Palais-Royal, où elle représenta une des sœurs de Psyché dans la tragi-comédie de ce nom. En 167
éjart qu’en 1645. La jeune Armande était peut-être alors auprès de sa sœur . Elle avait quatorze ou quinze ans en 1653, au mo
ignoré jusqu’à ce jour qu’Armande Béjart (femme de Molière) était la sœur , et non la fille, de cette Madeleine Béjart que R
Hervé, mère de la mariée, Louis Béjart et Madeleine Béjart, frère et sœur de ladite mariée. » Cet acte est signé S. B. Poq
Béjart), Armande Gresinde Béjart, Louis Béjart, et Béjart (Madeleine, sœur d’Armande Béjart). 45. Lisez, la sœur. 46. Ar
Béjart, et Béjart (Madeleine, sœur d’Armande Béjart). 45. Lisez, la sœur . 46. Armand de Bourbon, prince de Conti, frère
) 66. Nous avons déjà dit qu’Armande Béjart (femme Molière) était la sœur et non la fille de Madeleine Béjart. (Voyez la Di
e ne fut point secret, et Madeleine Béjart y assista en sa qualité de sœur , comme le prouve le contrat porté plus haut. 68
de M. Beffara sur l’acte de mariage. Jean Aubry avait épousé une des sœurs de madame Molière ; et si madame Molière eût été
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
t poliment Sganarelle de se couper la gorge avec lui, ou d’épouser sa sœur . Sganarelle ne veut faire ni l’un ni l’autre. Alc
ndres ? Pardonnez-moi, répondit le Comte, j’ai oublié d’épouser votre sœur , & j’y retourne avec vous pour finir cette af
52 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
qu’elle accompagna dans la province, ainsi que ses deux frères et sa sœur , et avec lequel elle s’unit pour le reste de sa v
d serait née l’an 1645, sept ans après l’accouchement de sa prétendue sœur  : c’est-à-dire, que madame Bejard aurait fait un
53 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
uses ; cela fit un grand jeu dans la communauté. Elle causa fort avec sœur Louise de la miséricorde (madame de La Vallière) 
ie (madame de Maintenon) ; nulle autre personne n’y fut admise, et la sœur (madame de Thiange) en a été très affligée. La fe
54 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
62110 ; La Femme industrieuse, 1692111. Françoise-Jacob d’Ennebault, sœur de Mlle Dupin, fille de Montfleury, grand-mere ma
dans le second acte du Malade imaginaire 156. Genevieve Bejar157, sa sœur cadette158, épouse de M. Aubri159, actrice à l’Hô
, actrice à l’Hôtel de Guenegaud en 1684160. II y avoit une troisième sœur morte avant 1673161. N. Béjar, oncle162 des Dlles
, épouse de Joseph du Landas, sieur Dupin188, fille de Montfleury, et sœur de la Dlle Ennebault. Elle entra avec son mari da
où il eût l’honneur d’être placé auprès de Madame la duchesse de Bar, sœur de Sa Majesté, en qualité de ministre de la R. P.
édie-Française de 1730 à 1763. 83. Sa mère, Anne-Catherine Desmares, sœur cadette de Christine-Charlotte, était fille d’Ann
55 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
’autre exemple : Les Muses sont de grandes prometeuses, Et comme vos sœurs les causeuses Vous ne manqueriez pas sans doute p
par le bec. Le sens de l’Auteur est que sa Muse ressembleroit à ses sœurs qui ont beaucoup de babil ; mais selon la Grammai
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
ui dit qu’Oronte en passant un jour dans la terre d’Albikrac y vit la sœur du Seigneur, eut une aventure avec elle, sous le
ontagne, bas, sans faire semblant de lui parler. La Rapiere pendu, ta sœur grosse de lui. La Tante. Hé quoi ! vous hésitez ?
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
e le dessein de la marier au Baron, & la confie en attendant à la sœur du Baron, qui loge avec son frere. Pendant ce tem
men rendra sa premiere hauteur, Et qui me traitera comme il traite sa sœur . A son sort, par ce nœud, je tremble d’être unie.
58 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
it le Comte, qui devinoit leur intention, j’ai oublié d’épouser votre sœur , & j’y retourne avec vous pour finir cette af
liere a encore fait usage de la troisieme Scene du premier Acte de la Sœur , dans la seconde Scene du premier Acte de ses mêm
59 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
ritas 385. »   Surtout, qu’elle soit franche. Qu’elle imite Eliante, sœur idéale d’Henriette, et qu’elle sache, comme elles
V, act. IV, sc. I, II), une petite leçon morale sur la jalousie entre sœurs , leçon que Saint-Marc Girardin fait ressortir dan
60 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
aine, les négociations devinrent plus pressantes. Madame de Thianges, sœur de madame de Montespan, et madame d’Heudicourt, a
amis ; le duc de Vivonne était son frère, madame de Thianges était sa sœur . Ces personnes n’avaient proposé que l’éducation
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux. » pp. 263-267
Chrisale, à Bélise. . . . . . . . . . C’est à vous que je parle, ma sœur . Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Ma
62 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
e, le jeune prince avait sacrifié son inclination pour Marie Mancini, sœur de la comtesse de Soissons, qu’il avait aussi eue
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
son qu’on a toujours faite de la peinture avec la poésie : elles sont sœurs & se ressemblent beaucoup. L’art du peintre &
part pour Londres, où le Baron le suit bientôt avec sa fille & sa sœur , pour solliciter le jugement d’un procès. Ils log
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
r sa fille, & qui ne consent au mariage que par foiblesse pour sa sœur , entend le Marquis disant à Cidalise : Quant au b
on sens & fort riche, entend parler du mariage extravagant que sa sœur va faire, accourt, lave la tête à Madame Abraham,
65 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165
il traîne la pensée, et qui fait frissonner, quand elle demande à sa sœur comment elle peut résoudre son cœur aux suites de
ciété.   Que deviendrait Orgon et sa maison, si Elmire n’était que sa sœur , ou son amie, ou sa maîtresse, enfin toute autre
66 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
puis qu’on l’a arrêté. Il frappe à la porte de la prison. Diamantine, sœur du geôlier, paraît ; il lui persuade qu’il est l’
nde à l’intendant. Quand le geôlier arrive, il se fâche de trouver sa sœur dans la rue avec un inconnu ; il fait grand bruit
67 (1871) Molière
ble, aimant le roi d’une grande amitié, et lui parlant librement ; sa sœur , mademoiselle Mancini, mariée au connétable Calon
oublions pas, dans cette galerie incomparable, madame de Valentinois, sœur du duc de Guiche ; mesdames de Créquy, de Châtill
. On l’emporta du théâtre. Il mourut à dix heures du soir, entre deux sœurs de charité que la bonne Laforest avait appelées à
68 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
x ans, et Madeleine Poquelin, âgée de cinq ans. Ce sont les frères et sœur de Molière, qui n’ont pas joué d’ailleurs un gran
ans après son mariage. Elle avait eu deux filles dans cet intervalle, sœurs consanguines de Molière. Ainsi, le futur Molière
de la comédie et avait fait, dit-on, une tournée en Languedoc avec sa sœur Madeleine. Geneviève ne faisait probablement qu’a
x journées, huit pièces de théâtre : L’Inconstance d’Hylas (1630), La sœur Valeureuse (1633), Le Railleur (1636), Le Véritab
arle d’une chanson qu’il fit chanter devant Madame Royale, Christine, sœur de Louis XIII et veuve de Victor-Amédée, chanson
gouverneur de Normandie, qui avait épousé Anne-Geneviève de Bourbon, sœur du grand Condé et du prince de Conti, la fameuse
Madeleine Béjard, fille usante et jouissante de ses biens et droits, sœur  de ladite damoiselle. et de Louis Béjard, son frè
vé, mère de la mariée, et Louis Bejard et Magdelaine Bejard, frère et sœur de lad. mariée, et d’autres, avec dispense de deu
Boudet. Marie HERVÉ. LOUIS BÉJARD. BÉJART. Ainsi la mariée était la sœur des Béjart ; c’était cette « petite non baptisée 
a filiation de cette jeune fille : on l’a dite longtemps fille et non sœur  de Madeleine. Cette erreur eut cours du vivant mê
eleine et Armande était plutôt celle d’une mère à une fille que d’une sœur à une sœur : la distance rare et presque phénomén
rmande était plutôt celle d’une mère à une fille que d’une sœur à une  sœur  : la distance rare et presque phénoménale qui sép
nc c’est Madeleine qui fournit cette dot, donc Madeleine n’est pas la sœur , mais la mère de la future épouse. L’argument ne
vait sans doute élevée, traitée plutôt comme une fille, que comme une sœur , et qui avait dû remplacer pour elle l’enfant qu’
ispensables, parmi lesquels même se faisait remarquer l’absence de la sœur de Madeleine, on signa le contrat et on se rendit
ispensables, parmi lesquels même se faisait remarquer l’absence de la sœur de Madeleine… » Cinq témoins ont signé : Poquelin
istinguées et jouèrent un si grand rôle. À peine si elle le céda à sa  sœur aînée, Marie-Louise de Gonzague, reine de Pologne
emoiselles de La Villaubrun et de Molière (Geneviève et Armande), ses sœurs , 400 livres de rente viagère, à chacun. Elle nomm
avait signé le sien. Il y avait probablement désaccord entre les deux sœurs , peut-être à cause de la prédilection que Madelei
t-il, allez dire à ma femme qu’elle monte. » Il resta assisté de deux sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinairement
Seigneur. Enfin il rendit l’esprit entre les bras de ces deux bonnes sœurs  ; le sang qui sortait par sa bouche en abondance
lorsque Molière venait d’expirer. Mais, grâce à la présence des deux sœurs , qui recevaient du comédien une charitable hospit
ART Nous commençons par l’aîné des Béjart, Joseph, qui fut avec sa sœur Madeleine le premier des enfants de Joseph Béjart
r Molière à sa femme Armande pour accepter le legs fait à elle par sa sœur . Cette procuration, annexée à l’inventaire même,
re 137. MADEMOISELLE HERVÉ (GENEVIÈVE BÉJART) Geneviève Béjart, sœur de Madeleine, était, selon toute vraisemblance, n
oment précis il fut incorporé dans la troupe formée par ses frères et sœurs . Sociétaire de la troupe de Monsieur, il joua ave
ité de lieutenant au régiment de la Ferté dans l’acte mortuaire de sa sœur Geneviève, en 1675. On ignore quand ni, comment i
’à elle-même, elle s’interdit d’être coquette. Elle prit chez elle sa sœur et son beau-frère pour témoins et pour garants de
rlant de la manière dont elle avait rempli le personnage de l’une des sœurs de Psyché, lui fait ce compliment modeste ; Mad
joua dans Psyché le personnage de l’une des Grâces, puis de l’une des sœurs de Psyché, entra dans la troupe après la mort de
conserver le souvenir de Molière : elle avait joué le rôle d’une des sœurs de Psyché en 1671, elle avait suppléé Molière lui
e J.-B. Aubry, fils de Léonard Aubry, a épousé Geneviève Béjart, « la sœur de la Molière ». Si Armande était la sœur de Gene
ousé Geneviève Béjart, « la sœur de la Molière ». Si Armande était la sœur de Geneviève, elle n’était pas la fille de Madele
69 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Des Comédies Héroïques. » pp. 9-29
se autre chose que les favorables regards de la Reine D. Isabelle, sa sœur & son héritiere, & de la jeune Princesse
la Princesse D. Elvire, qui, par cette reconnoissance, se trouve être sœur de Don Sanche. Corneille, loin d’avoir gâté son
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
prose, comparée, pour le fond, les détails & le dialogue, avec la Sœur , comédie de Rotrou ; le Phormion de Térence ; le
e bonne chere. On lui dit que l’époux est allé passer la nuit chez sa sœur  ; mais tout-à-coup on l’entend qui frappe à la po
rberies ressemble tout-à-fait à celui des deux premieres scenes de la Sœur , comédie de Rotrou. Il y a en effet un endroit où
Auteurs ont donné à leur dialogue la même coupe, la même vivacité. LA SŒUR . Acte I. Scene I. LÉLIE, ERGASTE. . . . . . .
71 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
rue de Bussy, au faubourg Saint-Germain. Les deux frères Béjart, leur sœur Madeleine, et Duparc, faisaient partie de cette b
trois mois et deux jours, à dix heures du soir, dans les bras de deux sœurs de charité qu’il avait recueillies chez lui, et q
si s’est-il attaqué plus d’une fois à ce redoutable ennemi. Parmi les sœurs de Célimène, signalons Elmire, la femme d’Orgon,
, elle aussi, une Célimène70, mais d’ordre inférieur. Arsinoé, ses sœurs . De la pruderie ; ses variétés Dans La Critiqu
ar exemple, dans les doléances souriantes de Marianne, cette gentille sœur d’Élise et d’Henriette ! Quel charme de raison en
Maître Jacques Ne soyons pas non plus trop sévères pour Élise, sa sœur , bien qu’elle se prête à une situation fausse, en
. Chrysale est un autre Gorgibus dont les colères sont plus relevées. Sœurs de Cathos et de Madelon, Philaminte, Armande et B
le faire croire. Ce qui le prouve, c’est qu’elle ne pardonne pas à sa sœur cadette de lui avoir ravi, sans le vouloir pourta
élise sinon qu’étant bornée jusqu’à la niaiserie elle serait la digne sœur de Chrysale, si elle ne poussait le romanesque ju
autent aux yeux, mais il se garde bien de les gourmander en face : sa sœur , la pauvre Bélise, payera pour Philaminte ; c’est
72 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37
a, pour ainsi dire, romancées. Galatée, c’était la reine Marguerite, sœur de Henri III ; Astrée, c’était mademoiselle de Ch
73 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
t de posséder, ce qui motive la remontrance suivante de la part de sa sœur Henriette : « Hé ! doucement ; ma sœur, où donc
nce suivante de la part de sa sœur Henriette : « Hé ! doucement ; ma sœur , où donc est la morale qui sait si bien régir la
e plus souvent dans des précipices fâcheux. Je vous dis tout cela, ma sœur , afin que vous ne vous donniez pas la peine de me
e aux élévations où montent des savants les spéculations, le mien, ma sœur , est né pour aller terre à terre, et dans les pet
par un désespoir où j’ai réduit leurs feux. Ariste. Ma foi, ma chère sœur , vision toute claire. Chrysale. De ces chimères-l
rères ; et je ne savais pas que j’eusse des chimères. Chrysale. Notre sœur est folle, oui. Ariste. Cela croît tous les jours
pérée de ce que Clitandre l’abandonne pour porter ses hommages sur sa sœur , considère ce procédé comme tout ce qu’il y a de
dicules prétentions à la science et au bel esprit, de sa femme, de sa sœur et de sa fille aînée, qui négligent les soins du
74 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
lle sa fille (depuis comtesse de Montgon), qui passait tantôt pour la sœur de ces petits princes, tantôt pour leur cousine. 
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
eu ? M. de Pourceaugnac. Oui. Eraste. Fils de votre frere ou de votre sœur  ? . . . . . . M. de Pourceaugnac, à Sbrigani. Il
76 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
es champs441, un et divers comme les visages des mille nymphes toutes sœurs qui peuplaient l’océan d’Ovide442. Don Garde et
Clitandre des Femmes savantes pourrait se laisser aimer par les deux sœurs , et flatter même la passion éthérée de la folle B
77 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
e vers la vieillesse. Molière s’avisa donc un jour qu’Armande Béjart, sœur de sa camarade et amie Madeleine, pouvait devenir
arades de ses projets de mariage et pris ses mesures comme directeur. Sœur et femme de comédiens, Armande devait naturelleme
se d’Escarbagnas, elle ne parut certainement pas : au contraire de sa sœur Madeleine, qui, dans toute sa carrière, jouait to
irent plus qu’au théâtre, Armande restant à Paris avec sa mère et ses sœurs , Molière passant ses rares loisirs dans une petit
78 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
estine de Madeleine Béjart, que les mêmes documents lui donnent comme sœur aînée ? Il semble qu’il n’y ait pas à hésiter, d’
e-Madeleine et la conception de Claire-Armande-Grésinde-Élisabeth, sa sœur puînée, se réduit à dix-huit mois ou deux ans tou
non prévenus qu’elle était la dernière née de M. et Mme Béjart et la sœur cadette de Madeleine. Mais on doit, en critique c
qualifier, ou bien il aurait, à tout le moins, épousé la fille ou la sœur de sa maîtresse, deux cas sociaux qui, pour n’êtr
rs depuis trois ans à André Boudet, le semblable étant observé par sa sœur , cohéritière de ladite défunte leur mère. » De sa
ce n’est pas de l’un de ces deux couvents, qu’étaient venues les deux sœurs qui assistèrent à l’agonie de Molière, et l’aidèr
mourir. Il aimerait à voir, en elles, des compagnes en religion de la sœur du grand homme. C’est malheureusement impossible.
eligieuses qui bénirent seules ses derniers moments n’étaient pas des sœurs de Sainte-Marie, « mais de celles qui viennent or
Paris quêter pendant le carême » ; c’est-à-dire, par conséquent, des sœurs de Sainte-Claire, appelées alors, par le peuple,
ante illusion au sujet de nos Visitandines, je lui raconterai, sur la sœur de Molière et sur sa cousine, une anecdote dont p
ause, on n’en parlait pas. A peine à Paris, avec son frère Joseph, sa sœur Geneviève et sa mère, Marie Hervé, qui venait ell
ance. Cependant, à la fin de cette même année, nous trouvons les deux sœurs Béjard associées, au risque et péril de ce qu’ell
été payées pour lui. Peu de temps auparavant, le 15 janvier 1651, sa sœur s’était mariée ; il n’avait pu être de la noce. A
ispensables, parmi lesquels même se faisait remarquer l’absence de la sœur de Madeleine, on signa le contrat, et on se rendi
e universelle, et cela en présence de son frère Louis Béjard et de sa sœur Geneviève, restés toujours amis de Madeleine, éga
amis de Madeleine, égaux en droits avec Armande, si elle n’est que la sœur , mais obligés de s’effacer devant elle, si elle e
mille de la mère de Molière, dont, en outre, le frère avait épousé la sœur d’un chirurgien. On voit que, lorsque Molière se
Nous la voyons bientôt, en effet, qui, de compagnie avec sa mère, sa sœur Geneviève et son frère Joseph Béjard, premier rôl
distinguait presque au complet : on y voyait la mère, les frères, les sœurs . Parmi celles-ci, Madeleine était la plus jolie o
s autres parents19, semble prouver qu’elle voyait en elle plus qu’une sœur , une fille, et qu’elle avait à cœur de lui rendre
le frère, M. de Conti, avait été l’Orgon de ce Tartuffe, pourquoi la sœur n’en aurait-elle pas été l’Elmire ? Je serais ten
reprises, fait fortune à Lyon, entre autres Francesco Andreini, et sa sœur , la célèbre Isabella Andreini, qui même y était m
usé du bien de Rotrou, comme s’il était le sien. Les cinq actes de la Sœur , par exemple, sont ainsi passés, en menues parcel
s, pour écrire la charmante scène du second acte, entre Psyché et ses sœurs  ! Puis, le troisième acte, si beau, du premier ve
ière, et les contournaient de leur fil blanc. J’inventai une valise — sœur cadette de celle que Molière perdit, à deux pas d
privation a mis au contraire les secrets aiguillons dans l’âme de sa sœur Isabelle. L’accessoire ici tient essentiellement
on, in-8, t. II, p. 40. 64. Voyez la Vie de Pascal, par Gilberte, sa sœur , dans la première édition du livre de M. Cousin,
79 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
l’autre exemple. Les Muses sont de grandes prometeuses, Et comme vos sœurs les causeuses Vous ne manqueriez pas sans doute p
per le bec. Le sens de l’Auteur est que sa Muse ressembleroit à ses sœurs qui ont beaucoup de babil ; mais selon la Grammai
80 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
s’en va tristement dans le voisinage de Livry. » (À Chelles, dont sa sœur avait été nommée abbesse.) Le 17, madame de Sévig
nges avait quatre carrosses à six chevaux, le sien à huit. Toutes ses sœurs y étaient avec elle ; mais tout cela si triste qu
81 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
uel intérêt Molière aurait-il pu avoir à poursuivre de ses satires la sœur de M. le prince, -vouée depuis treize ans aux pra
. Nisard, Histoire de la littérature française. 37. Armande Béjart, sœur et non fille de Madeleine Béjart, ainsi que le pr
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
ne VI. Le Chevalier veut persuader à Léandre de ne point épouser sa sœur . Le Chevalier. Je sais que vous voulez devenir m
vous voulez devenir mon beau-frere : C’est fort bien fait à vous. Ma sœur a de quoi plaire : Elle est riche en vertu. Pour
le céder à sa niece ? Est-il naturel que Démophon prétende cajoler sa sœur , & l’engager à donner son bien à sa fille, en
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
ieux. Maurice est surpris de ce procédé ; il en demande le sujet à sa sœur  : elle répond qu’étant dans la rue, elle a vu Don
se : je croyois, dit-il, qu’il venoit pour me défendre de parler à sa sœur qui m’adore ; mais ce qu’il m’a dit va tourner to
m’attendre ; Il vient de vous. Que j’ai de graces à vous rendre ! Ma sœur , ainsi que moi, sensible à vos bontés... Mad. Art
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260
 ; vous faites des merveilles. Le Philosophe est consterné, les deux sœurs fuient épouvantées, & les spectateurs rient.
85 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47
nne de Bretagne Clément Marot, fils de Jean, le poète de Marguerite, sœur de François Ier. Ronsard, le poète de Charles IX.
86 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
il voyait cette autorité ; se brouilla avec le prince de Condé et sa sœur qu’il aimait, mais en qui il voyait des rebelles.
87 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
parc, dit Gros-René, les deux frères Béjart et Madeleine Béjart, leur sœur , faisaient partie de la troupe errante dont il ét
incipe, uni d’intérêt avec les Béjart, il avait bientôt formé avec la sœur une liaison plus intime et plus tendre ; que, par
étendue, Madeleine Béjart, y figure, comme témoin, sous la qualité de sœur de la mariée. De plus, madame Molière, dans l’act
re, en épousant Armande, a pris pour femme, non pas la fille, mais la sœur de son ancienne maîtresse. Il semblerait que tout
commodaient à cette transformation. L’aïeule fut la mère, la mère une sœur , et l’oncle un frère : c’était comme une comédie
sait de Françoise une Armande, et d’une fille de Madeleine Béjart une sœur de cette comédienne, tout le monde demeura convai
ou deux de ces noms, soit d’en intervertir l’ordre. Si elle était la sœur et non la fille de Madeleine Béjart, leur prétend
reusement possible, mais extrêmement rare. Si madame Molière était la sœur de Madeleine Béjart, pourquoi celle-ci, comédienn
Hervé, mère de la mariée, Louis Béjard et Madelaine Béjard, frère et sœur de ladite mariée. Signatures. J.-B. Poquelin. J.
88 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
pe bourgeoise organisée depuis peu par les deux frères Béjart et leur sœur Madeleine. La comédie, pour les jeunes gens d’alo
comme il l’eût voulue ! Mais Madeleine avait auprès d’elle une petite sœur de quelques mois seulement. Molière, devant cette
nerai pas. » Et puis, comment quitter Madeleine Béjart et la petite sœur Armande ? D’autres raisons encore l’empêchaient d
t-il, allez dire à ma femme qu’elle monte. » Il resta assisté de deux sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinairement
Seigneur. Enfin, il rendit l’esprit entre les bras de ces deux bonnes sœurs ; le sang qui lui sortait par la bouche en abondan
ils le trouvèrent mort. » XXXIII. Ainsi se termina, entre deux sœurs de charité, cette vie si pleine, si agitée. J’aur
89 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
egistre mortuaire, entre deux actes de décès relatifs au père et à la sœur du baron de Florac (23 août 1654, 15 janvier 1655
90 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
travestissements, les méprises produites par deux Ménechmes frère et sœur , les substitutions de personnes, les reconnaissan
91 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
, tout ce qui était en relation d’amitié avec le grand Condé, avec sa sœur la duchesse de Longueville, avec le cardinal de R
92 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
a interdit les bals, les rubans, et jusqu’à la société de Léonor, sa sœur . Il la tient sous clef, non en jaloux, il est tro
 ; mais Isabelle lui persuade qu’il est plus séant qu’elle renvoie sa sœur , et qu’il se tienne caché, pour ne pas ajouter à
a pauvre fille. Elle entre dans sa chambre, simule des reproches à sa sœur , dont Sganarelle s’applaudit tout bas comme d’un
93 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
les raisonnements. Au surplus Armande n’était point la fille, mais la sœur de Madeleine. Louis XIV, méprisant ces mensonges,
age des Précieuses et nous parle de « l’agrément donné entre les deux sœurs (le lavement) ; et de la volupté de l’amour permi
espeare, mais ce sont vraiment des femmes, vivantes, aimantes, mères, sœurs et filles. Elles vivent non de la vie du rêve, ma
irent partie. Béjart (Joseph), l’aîné (1645-1659), le frère aîné des sœurs Béjart. — Joua avec Molière et Du Parc au Jeu de
e et les soubrettes dans la comédie. Hervé-Aubry (Geneviève Béjart), sœur des Béjart, femme du sieur Léonard de Loménie de
rué, mère de la mariée, et Louis Béiard et Madeleine Béiard, frère et sœur de lad. mariée et d’autres, avec dispense de deux
tion de l’acte authentique du mariage de Molière, qu’Armande était la sœur et non la fille de Madeleine Béjart. Mais le réci
le récit que voici n’en est pas infirmé pour cela. Armande, fille ou sœur de Madeleine, dut agir de même. (Voir le fac simi
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
n imprévue de quelque personnage. Melpomene en a beaucoup plus que sa sœur , graces au poignard que ses héros & ses héroï
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
s le Bovier, Avocat au Parlement de Rouen, & de Marthe Corneille, sœur du grand Corneille. Il mourut à Paris le 9 Janvie
96 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
ieu, où il mourut quelques instants après, entre les bras de ses deux sœurs , étouffé par le sang qui lui sortait par la bouch
97 (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76
lle, elle était jolie et gracieuse. Armande était élevée auprès de sa soeur , actrice de la troupe de Molière, et celui-ci la
98 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
’action, quoique peu développée, est froide et languissante. Les deux sœurs de Psyché sont, dans leur jalousie, d’une férocit
être tirées ; et quelques traits heureux d’une comédie de Rotrou, La Sœur , depuis longtemps exilée de la scène, lui avaient
99 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
e nouvelles protestations d’amour & de fidélité. Javotte, petite sœur d’Isabelle, surprend les amants, reconnoît Cléon,
ujet principal une partie du Jaloux désabusé, c’est-à-dire, une jeune sœur de l’époux inconstant, qui est sous la tutele de
100 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
ns son caractère, et uniquement pour déterminer son époux à marier sa sœur Julie à un honnête homme qui l’aime et qui en est
pièce où Dufrény ait été imitateur. La principale scène, où les deux sœurs se demandent pardon toutes deux et se mettent à g
/ 167