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1 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
les des pièces de notre auteur, fera jouer par exemple, à la première représentation des Précieuses ridicules, mademoiselle Du Parc et
le Du Parc et Brécourt, qui étaient alors au Marais ; — à la première représentation de L’École des maris, Armande Béjart, qui ne mont
âtre que quand elle fut devenue la femme de Molière ; — à la première représentation de L’École des femmes, en 1662, mademoiselle Beau
pour obtenir la levée de l’interdiction qui avait longtemps arrêté la représentation publique et l’impression de ce chef-d’œuvre. Dans
ne tragédie de sa composition ; à Lyon ; à Vienne en Dauphiné, où ses représentations sont très suivies. — 1648. Il obtient moins de su
ore son fauteuil. Aventure galante dont il est le héros. Il donne des représentations dans plusieurs petites villes voisines. — 1654. I
 ; exclamation d’un vieillard au parterre. Interdiction de la seconde représentation levée au bout de quinze jours. On double le prix
cine lui demande des conseils et reçoit des preuves de sa générosité. Représentation de L’École des femmes ; cabale contre cette pièce
Boileau à Molière. Pension accordée à Molière ; Remerciement au Roi. Représentation de La Critique de l’École des femmes. De Visé l’a
tu de Versailles, et a le tort d’y nommer Boursault. Il assiste à une représentation du Portrait du peintre ; fin de leur querelle. Be
valet de chambre du Roi ; Louis XIV fait asseoir Molière à sa table. Représentation à la cour du ballet Le Mariage forcé, dans lequel
de Versailles : La Princesse d’Élide ; détails sur les fous de cour ; représentation des trois premiers actes de Tartuffe. Libelle du
ée du théâtre ; présence d’esprit de Béjart cadet ; frayeur d’Hubert. Représentation de La Princesse d’Élide à la ville. Mort de Du Pa
. — 1665. Le Tartuffe, joué chez Monsieur et chez le prince de Condé. Représentation du Festin de Pierre ; fureur de la cabale. Éditio
it le portrait du perruquier L’Amour. Plaisanterie du président Rose. Représentation de Mélicerte et de La Pastorale comique. Mademois
Le Ballet des Muses. — 1667. Une indisposition de Molière retarde la représentation du Sicilien à la ville. Livre troisième. 1667-
onditions auxquelles le Roi lève l’interdiction de la pièce. Première représentation de L’Imposteur ; défense par le Parlement de le j
Molière, quoique souffrant, s’obstine à jouer le jour de la quatrième représentation . Il est pris d’une convulsion sur la scène. Ramen
ne Poquelin, qui l’avait pris en affection, le menait quelquefois aux représentations de l’hôtel de Bourgogne, auxquelles Bellerose dan
omédie par amusement, la joua par spéculation. Elle donna d’abord des représentations aux fossés de la porte de Nesle, sur l’emplacemen
premières années de cette période assez peu connue de sa carrière les représentations que la Vie de Boissat, de l’Académie française, é
s, dont l’accouchée était peut-être l’ingénue, et ils y donnèrent des représentations , comme le prouve l’aventure suivante, qui date du
le théâtre de La Grange. Cette troupe ne réussit pas dans sa première représentation au gré de madame de Calvimont, ni par conséquent
ntpellier à la robe de Rabelais. De Pézenas Molière allait donner des représentations dans les petites villes voisines, Marseillan, Agd
ontribution fut établie sur les habitants pour indemniser Molière des représentations qu’il y avait données. Il est probable que ses c
encement de 1657. Il paraît y avoir donné, au profit des pauvres, une représentation le 19 février, et une autre le 11 juin suivant, p
la Reine mère, et Molière parvint ainsi à être autorisé à donner des représentations à Paris. Laissons maintenant parler La Grange dan
nt alors si bien valoir l’hôtel de Bourgogne étaient présents à cette représentation . La pièce étant achevée, M. de Molière vint sur l
Il fut convenu de plus que les Italiens conserveraient leurs jours de représentations , auxquels ils devaient tenir, car c’était ce qu’o
écesseurs, et à ses contemporains ; mais il n’osait encore aborder la représentation de la vie humaine, unique source du vrai comique,
ant usage des hôtels de Bourgogne et du Marais, de ne donner à chaque représentation qu’une seule pièce en cinq actes, et, soit que le
ce qu’on y jouait. » On doit se demander comment une troupe, sur les représentations de laquelle la prose ni les vers des gazettes ne
la veille et le jour du spectacle, n’entrait dans les frais de chaque représentation que pour sept livres dix sous. Mais l’affiche n’é
l de Bourgogne, de Villiers, comédien-auteur, pour les deux premières représentations de la reprise d’Amaryllis, pastorale de Rotrou ar
heva son rôle de L’Étourdi avec peine. » Il mourut le 21, et après la représentation du 20 mai, le registre ajoute : « Interruption à
gistre ajoute : « Interruption à cause de la mort de M. Béjart. » Les représentations ne furent reprises que le 2 juin. Cette suspensio
ableau força tous les suffrages. « J’étais, dit Ménage, à la première représentation des Précieuses ridicules. Mademoiselle de Ramboui
s brûlé.” Cela arriva comme je l’avais prédit, et, dès cette première représentation , on revint du galimatias et du style forcé. » Em
amour-propre et le plus grand triomphe de la vérité 32  ». La seconde représentation de la pièce fut annoncée pour le vendredi 21 ; ma
e fut de nature à vaincre la ligue silencieuse : elle n’eut que trois représentations dont le produit fut peu élevé. La seconde fut jou
onsécutives, ne produisit presque rien à la seconde et à la troisième représentation , et à la quatrième fit, le Registre le dit, « un
uses ridicules, n’avait jamais dépassé 393 livres, qui, à la première représentation de cette pièce, n’avait atteint encore que 563 li
degré d’élévation de son genre, le succès en fut tel dès la première représentation , donnée le 28 mai, qu’elle attira constamment la
u’elle attira constamment la foule pendant une série de trente-quatre représentations , uniquement interrompue par la fermeture du théât
ieur de Neuf-Villenaine s’en étant procuré une copie, ou l’ayant, aux représentations , écrit sous la dictée des acteurs, sollicita et o
t moi. La salle du Petit-Bourbon, où la troupe de Molière donnait ses représentations , fut abattue vers la fin d’octobre, lorsqu’on eut
olière la salle du Palais-Royal. Richelieu l’avait fait bâtir pour la représentation de Mirame, tragédie jouée en 1639, sous le nom de
. C’est cette même salle qui, consacrée après la mort de Molière à la représentation des tragédies lyriques, appelées depuis opéras, f
appris avoir été lu de côté et d’autre par Molière avant la première représentation des Précieuses de novembre 1659, Dom Garcie de Na
rances de la cabale. La pièce disparut de l’affiche après la septième représentation . Mais un grand succès naît quelquefois d’un grand
ser à Molière un reproche d’omission : « Voilà », lui dit-il après la représentation , en voyant passer M. de Soyecourt, son grand vene
n moins de vingt-quatre heures. » Et le Roi eut la satisfaction, à la représentation de cette comédie donnée à Fontainebleau le 25 du
endant deux mois et à ne la redonner que le 1er juin avec la première représentation de La Critique de l’École des femmes. Le calcul a
uin au 12 août suivant, le spectacle se composa constamment, à chaque représentation , de L’École et de La Critique, qui furent ainsi j
egistre, le Roi nous honora de sa présence en public ». Et pour cette représentation , donnée un jour en dehors des jours du théâtre, a
ge, a dit M. Étienne : il écouta, il écrivit. » Huit mois après, à la représentation des trois premiers actes du Tartuffe, à Versaille
rangère à la détermination que celui-là prit plus tard d’autoriser la représentation de ce chef-d’œuvre, malgré les menées d’une cabal
t consacré qu’une phrase aux comédiens rivaux assistant à la première représentation de L’École des femmes, et qui, ajoute-t-il, « en
ient affiché son Portrait du peintre, et promet d’aller à la première représentation rire avec tous les autres de ce portrait qu’on av
as connaître plus que celui de La Thorillière le jour précis de cette représentation . Celle du Portrait du peintre dut avoir lieu à l’
t donc encore entre ces deux dates que se trouve enclavée cette autre représentation incertaine. Oui, Molière tint parole ; il y vint
voulut revoir chez lui, le 22 décembre, ces Fâcheux, dont la première représentation avait en quelque sorte déterminé la chute de son
es luttes sur les comédiens rivaux, il ne voyait pas sans dépit leurs représentations plus suivies que les siennes et les auteurs tragi
même dans un tel discrédit, que Lulli ayant été chargé, à la première représentation du Bourgeois gentilhomme à Chambord, du rôle du M
sin essaya d’attirer la foule par d’autres divertissements ; mais ses représentations avaient perdu leur principal attrait : elles cess
dans les gratifications allouées à la compagnie. Tout cela, avec les représentations qui en furent ensuite données de loin à loin, ne
âques prochain. » — Le dimanche 9 du même mois fut donnée la première représentation à la ville de La Princesse d’Élide, montée à gran
udir à son talent, l’avide curiosité avec laquelle Paris, à défaut de représentations , recherchait les lectures de son ouvrage, durent
gnation factice, que l’auteur fut forcé de la retrancher à la seconde représentation  ; que la pièce elle-même, qui valait à la troupe
lle n’avait jamais atteint encore66, fut interdite après la quinzième représentation , et ne put jamais, malgré un privilège accordé67,
ont on était arrivé à rendre également l’esprit suspect. La quinzième représentation du Festin de Pierre avait été donnée le 20 mars 1
as vu au théâtre des personnages sous le masque, depuis les premières représentations des Précieuses ridicules, où Molière avait rempli
ins de quelques-uns de leurs ridicules pédantesques. Un mois avant la représentation de L’Amour médecin, le 4 août, mademoiselle Moliè
e le Vayer, à laquelle Molière lisait également ses ouvrages avant la représentation  : « Quand L’Avare sembla être tombé : “Cela me su
’il s’était montré ingrat envers l’homme. Le lendemain de la première représentation du Misanthrope, représentation qui fut assez froi
s l’homme. Le lendemain de la première représentation du Misanthrope, représentation qui fut assez froide, un spectateur, croyant lui
. Il reprochait un jour à Boileau d’avoir ri seul à une des premières représentations de ce chef-d’œuvre. « Je vous estime trop, lui ré
nger à sa manière des procédés de son ennemi. Assistant à la première représentation des Plaideurs, qui furent joués dans la même anné
oduction, ou plutôt l’accueil glacial qu’elle essuya dès la troisième représentation , et la nécessité où se trouva l’auteur, pour la s
Grange fait foi que, représenté vingt et une fois de suite, nombre de représentations auquel un ouvrage atteignait difficilement alors,
elles sont faciles à reconnaître, puisque ce ne fut qu’à la douzième représentation de cette farce qu’on la donna avec ce chef-d’œuvr
troupe du Palais-Royal avait donné le 5 octobre précédent la première représentation de sa Mère Coquette, devint le plus chaud partisa
upture, conservé pour elle des sentiments qu’elle ne méritait pas. La représentation du Misanthrope rouvrit nécessairement toutes les
s qu’il ne pouvait ni maîtriser ni combattre. Non, répond Alceste aux représentations de Philinte, comme Molière à celles de Chapelle,
gré lui fut applaudi le 6 août 1666. On sut apprécier dès la première représentation le dialogue rapide de cet ouvrage, l’esprit vif e
galement lié avec Despréaux et Racine. Peu de jours après la première représentation du Médecin malgré lui, le président, se trouvant
entir qu’il devait du moins attendre, pour exécuter ce projet, que la représentation devant le Roi eût eu lieu. Il s’enrôla immédiatem
n ne fut joué à la ville que le 10 juin suivant, avec la dix-huitième représentation d’Attila. Robinet nous apprend, dans sa Lettre du
isanthrope. Il voulait parler du Tartuffe. En abordant le récit de la représentation de ce chef-d’œuvre, nous pourrions dire aussi aux
ernelle suspension du Tartuffe. Huit jours après qu’il eut ajourné la représentation de ce chef-d’œuvre, on joua au spectacle de la co
ge un autre nom que celui de Tartuffe qui était devenu, même avant la représentation , la plus cruelle injure pour les plus fieffés hyp
t lieu de se repentir de son triomphe. Le lendemain de cette première représentation , le premier président de Lamoignon, au nom du par
revinrent à Paris ; et le théâtre de Molière, qui avait suspendu ses représentations pendant toute la durée de leur absence, les repri
es ana que le 7 août, au moment où le public, accouru pour la seconde représentation , comptait voir commencer ses jouissances, la toil
« Messieurs, nous comptions avoir l’honneur de vous donner la seconde représentation du Tartuffe, mais M. le premier président ne veut
ffet dangereux de souffrir que la véritable piété fût blessée par une représentation si scandaleuse et que le Roi même avait ci-devant
paroissiens combien il importe à leur salut de ne point assister à la représentation ou lecture de la susdite ou semblables comédies.
c un habit magnifique sans en rien dire à son mari, et, le jour de la représentation , elle se mit de très bonne heure en devoir de s’e
eur. Il est vrai que, s’il fallait les observer toutes fidèlement, la représentation de ce chef-d’œuvre serait aujourd’hui impossible 
n’avaient ni entendu de lectures particulières ni assisté à l’unique représentation de la pièce : c’était pour elles une bonne fortun
raisonné, que l’auteur anonyme donne comme écrit de mémoire après la représentation , offre un extrait d’une scrupuleuse fidélité, tan
différencient L’Imposteur et Le Tartuffe. Cinq mois après la première représentation de ce chef-d’œuvre, au milieu des orages qui s’am
tre du Palais-Royal. S’il nous faut en croire Tallemant des Réaux, la représentation fut encore égayée par une plaisanterie qui porte
tte comédie obtint un succès des plus grands, constaté par vingt-neuf représentations consécutives. Imprimée dans la même année, elle p
Folle Querelle, ou La Critique d’Andromaque. Cette pièce eut dix-sept représentations consécutives. La Préface de son véritable auteur,
fut froidement accueillie dans sa nouveauté ; aujourd’hui encore les représentations en produisent peu d’effet. Cherchons à expliquer
trouva un appui dans la sottise. Il n’eut, dans le principe, que neuf représentations , pas même consécutives. Repris deux mois après, i
u’il causa à un avare de bonne foi, auquel on entendit dire, après la représentation  : « Il y a beaucoup à profiter dans la pièce de M
rtuffe fut rendu à la juste impatience du public, que quarante-quatre représentations presque consécutives satisfirent à peine76 ; et,
gtemps uniquement connue. La tradition prétend aussi qu’à la première représentation , celle d’août 1667, Panulphe disait, dans la scèn
itoribus nostris de l’Oraison dominicale, il fut forcé, à la seconde représentation , de remplacer ce vers par celui que dit aujourd’h
essement, que ce médiocre ouvrage obtint à peu près le même nombre de représentations que le chef-d’œuvre de notre scène. « Ce dernier
on, la platitude et l’odieux de ce pamphlet dialogué, en rendaient la représentation impossible. Son auteur, Le Boulanger de Chalussay
vres de la pension dudit sieur Béjart, et trois livres chaque jour de représentation à Château neuf, gagiste de la troupe. » Nous fer
lus productif que ne le fut celui de cette comédie-ballet. Après neuf représentations fort peu suivies, ils se virent forcés de l’aband
ne passion pareille, mais qui fut bien moins heureuse. Un an avant la représentation des Amants magnifiques, Louis XIV avait ordonné à
n’est fondée que sur un anachronisme. Petitot dit qu’« un an avant la représentation des Amants magnifiques Louis XIV avait ordonné à
éminent. L’impénétrable impassibilité que le Roi conserva pendant la représentation , et la crainte qu’eurent les courtisans d’émettre
ils répétèrent tous à l’envi pendant cinq grands jours que la seconde représentation se fit attendre. Nous disons cinq grands jours :
in il arriva, ce jour qu’il redoutait même en le désirant. La seconde représentation fut aussi calme que la première ; mais le Roi dit
ait pas eu le bonheur de plaire, dit à Molière, peu avant la première représentation à Chambord, qu’il fallait la remplacer. Le jour d
ondescendance ; mais elle s’empressa néanmoins de courir en masse aux représentations de ce nouvel enfant prodigue. M. Jourdain eut seu
y était point ci-devant ; plus d’avoir dorénavant, à toutes sortes de représentations , tant simples que de machines, un concert de douz
ines, un concert de douze violons, ce qui n’a été exécuté qu’après la représentation de Psyché. « Sur ladite délibération de la troupe
e et de ce luxe inusité de mise en scène. La chronique prétend que la représentation de cet ouvrage fut pour l’honneur marital de Moli
le-ci, le 24 mai, et revenir la voir pendant un assez grand nombre de représentations . À cette farce charmante, la veine de Molière fit
aiser. La Comtesse d’Escarbagnas fut donnée à ses quatorze premières représentations consécutives avec Le Mariage forcé, que Molière f
es spectacles qu’à l’Académie royale de musique d’employer dans leurs représentations plus de six chanteurs et de douze violons. Il dem
le théâtre du Palais-Royal. Accueillie assez froidement aux premières représentations , la pièce fut peu après entièrement abandonnée de
avons déjà dit avec quel tact Molière savait choisir ses acteurs. La représentation des Femmes savantes en fournit une preuve piquant
s où Molière était poursuivi le plus vivement par les ennemis que les représentations particulières et les lectures de son Tartuffe lui
s du succès des Précieuses ridicules, « s’étant trouvés à la première représentation du Misanthrope, dit l’abbé D’Olivet, poussèrent l
la harangue qu’il prit la peine de faire deux jours avant la première représentation pour détourner le parterre de l’idée d’y chercher
se rappelant que la dispute de Trissotin et de Vadius n’était que la représentation d’une semblable scène dont Ménage et Cotin avaien
et ouvrage ; car, allant voir madame de Rambouillet après la première représentation , à laquelle cette dame avait assisté, il se borna
t faits les échos de ce bruit ridicule. Cotin mourut dix ans après la représentation des Femmes savantes, à l’âge de soixante-dix-huit
qu’à des c… » Le parterre manifesta son improbation, et, à la seconde représentation , Béralde fit subir à sa phrase cette variante ing
culté et bon nombre d’expressions techniques. Le jour de la quatrième représentation du spectacle nouveau, le 17 février 1673, premier
n seul jour, le pouvant absolument. » Il fut convenu seulement que la représentation aurait lieu à quatre heures précises. Sa fluxion
ectateurs, et qu’il essaya aussitôt de déguiser par un rire forcé. La représentation ne fut pas interrompue ; mais immédiatement après
rs, et ils ne le rouvrirent que le 24 février par Le Misanthrope. Les représentations du Malade imaginaire reprirent le 3 mars suivant.
fauteuil qui sert encore aujourd’hui à la Comédie-Française pour les représentations du Malade imaginaire, et auquel on a donné, comme
n de mademoiselle Molière : aussi, à la rentrée de Pâques, vit-on les représentations suspendues par suite de l’émigration de Baron, de
ais-Royal fut accordée à Lulli, qui avait obtenu un privilège pour la représentation des tragédies lyriques. Sans théâtre et sans prem
on, ce qui valut peu après à cette comédie une reprise de trente-sept représentations consécutives. À cette compagnie, sept ans plus ta
ordait des indemnités pour les costumes des pièces dont les premières représentations étaient données devant lui. Tout cela, complèteme
certain du moins que, grâce aux succès de sa troupe et à la fréquente représentation de ses ouvrages, il vécut dans une aisance brilla
rtout pour le temps. Il avait presque constamment, depuis la première représentation de L’École des femmes, quatre parts de sociétaire
oiselle Molière, qui y remplissait un rôle, dut donner du piquant aux représentations de cette pièce. On a déjà fait remarquer que cett
Elle fut accueillie avec indifférence, et l’insuffisant produit d’une représentation , donnée dans ce but par la Comédie-Française, eut
istre de La Grange, à la date du 18 janvier 1664, jour de la première représentation de cette comédie, porte : « Pièce nouvelle de M. 
 » Pour éviter toute confusion, il faut dire d’abord qu’à la première représentation le prix fut, c’est le Registre de La Grange qui l
embre 1659 : « À l’ordinaire, quinze sous au parterre. » À la seconde représentation , le 2 décembre, on en doubla le prix, et le bille
te époque le spectacle commençait entre trois et quatre heures : deux représentations étaient donc possibles ». M. Moland, on le voit,
registre de compte tenu par Hubert pour l’année 1672. Quant aux deux représentations par jour, elles sont démenties et par le Registre
r d’aucune autorité, que Molière et ses camarades ne donnèrent pas de représentations à Montpellier pendant la tenue des États, ignorai
jour de promenade, surtout aux académies et aux collèges. La première représentation d’une pièce nouvelle se donne toujours le vendred
Ier, p. 254-256. Voici comment Scarron, dans l’affiche de sa première représentation , s’adresse, pour les convoquer à sa pièce, à des
se trouve accompli sous son règne. » 42. À l’occasion d’une de ces représentations au Louvre, on lit dans le Registre de La Grange :
t bien n’être pas encore né en 1659, et dont le dire, démenti par une représentation nouvelle, aurait mérité de n’être pas tiré de l’o
res » ; au 29 : « Pour le portier blessé, 9 livres » ; et encore à la représentation suivante, qui n’eut lieu que le vendredi 4 juille
utre, la troupe prit le soin de faire venir la garde presque à chaque représentation de ce mois ; puis enfin en regard des frais de ce
in de Pierre. Paris, G. Quinet, 1663, in-12, p. 12. 66. La cinquième représentation , donnée le mardi 24 février, produisit 2 390 livr
ation, donnée le mardi 24 février, produisit 2 390 livres. Les quinze représentations , du 15 février au 20 mars, valurent à la troupe 1
, G. Quinet, 1665, in-12. 70. On avait jusqu’ici toujours fixé cette représentation à la Cour au 16 ; le manuscrit intitulé Journal d
scrits, Supplément français, nº 2566.) 76. La recette de la première représentation se monta à 2 860 livres ; jamais spectacle n’avai
l, jour de la clôture, on donna uniquement Le Tartuffe, et, outre les représentations publiques, on alla le jouer cinq fois en visite,
s mêmes termes. 84. La Grange enregistre au 28 novembre la première représentation de « Bérénice, pièce nouvelle de M. de Corneille
de M. de Corneille l’aîné, dont on a payé 2 000 livres ». La première représentation du Bourgeois gentilhomme produisit 1 397 livres,
deux pièces ayant été jouées presque simultanément, on en alterna les représentations  : Le Bourgeois gentilhomme en obtint vingt-quatre
tes sur la Vie de Corneille, p. xxxvij), lui fait, à l’occasion de la représentation de Psyché, placer le vieux Corneille, malgré ses
par suite de cette habitude, inscrit sur son Registre, à la douzième représentation , le 29 avril 1671 : Les Femmes savantes ou Trisso
é écrivait, le mercredi 9 mars 1672, surveille du jour de la première représentation , à l’occasion d’un voyage du cardinal de Retz, qu
2 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
quée, et qu’il crachait quelquefois du sang ; le jour de la troisième représentation , il se sentit plus incommodé qu’auparavant ; on l
le divertissement de la réception du Malade Imaginaire, il acheva la représentation . On le rapporta mourant chez lui, rue de Richelie
u suivant, où l’on verra d’un seul coup d’œil, la date de la première représentation de chaque pièce, et le jugement qu’on en doit por
onnées au Théâtre par Molière. 122. Il y a une erreur sur l’année de représentation . Cette pièce a été représentée en 1658. 123. Le
n des paragraphes qui suivent l’annonce des pièces. 124. La première représentation a eu lieu le 14 juin 1659. 125. Coquille : Ganar
anarelle. Cette faute a été corrigée dans l’édition de 1855. 126. La représentation a eu lieu en mai et non en mars. 127. La représe
55. 126. La représentation a eu lieu en mai et non en mars. 127. La représentation s’est déroulée le 26 décembre 1662. 128. En 1664
le 26 décembre 1662. 128. En 1664 et non en 1663. 129. La première représentation s’est déroulée au mois de février et non au mois
sage se déguisât en farceur pour à la multitude ». 131. La première représentation a eu lieu le 13 janvier 1668. 132. Autre passage
3 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
e considérable dont il s’occupa après L’École des femmes ; car, de la représentation de cette dernière comédie, en 1662, aux fêtes de
s intentions de l’auteur, n’en avait pas moins cru devoir défendre la représentation publique d’une comédie qui, quoique dirigée contr
publiée en 1665 : Molière avec Tartuffe y doit jouer son rôle. Ces représentations privées et ces lectures particulières ne le conso
sion malheureusement n’était que verbale. Le lendemain de la première représentation qui fut donnée le 5 août 1667, les comédiens reçu
re, recevant la défense au moment même où allait commencer la seconde représentation , dit aux nombreux spectateurs qu’elle avait attir
lendemain 6, et c’est le dimanche 7 que devait être donnée la seconde représentation . Il est donc faux déjà que la défense ait été not
n trop grand nombre de rôles pour qu’il fût possible de donner aucune représentation utile en leur absence. Ces détails sont minutieux
calomniait Molière lui-même1. Quand le premier président défendit les représentations du Tartuffe, quels furent ses véritables motifs ?
tous notés en leur lieu, la pièce, telle- qu’on la vit à la première représentation , ne différait pas de ce qu’elle fut à la seconde,
e sur la comédie de l’Imposteur qui fut publiée quinze jours après la représentation du 5 août 1667. Cette lettre, qui serait un effor
mis. Cette si parfaite exactitude d’un compte rendu d’après une seule représentation a été, pour plusieurs personnes, un motif de croi
fut enfin accordée, et, le 5 février 1669, Le Tartuffe eut sa seconde représentation publique qui fut suivie de quarante-trois autres
fidèle des attaques auxquelles Molière fut en butte avant et après la représentation du Tartuffe. Si ces attaques n’avaient été dirigé
sant concevoir d’injustes soupçons de la vraie piété, par de malignes représentations de la fausse. Voilà ce qu’ils ont prétendu, expos
itryon Amphitryon fut joué le 13 janvier 1668, et eut vingt-neuf représentations consécutives. Le sujet, d’origine grecque, fut tr
faut qu’il puisse y avoir chez nous la même vérité théâtrale dans la représentation des deux pièces : le défaut de masques en est la
ir du reproche d’inconséquence le monarque qui finit par permettre la représentation de cette même pièce qu’il avait d’abord jugé impo
x dates. C’est dix ans après la mort de Molière, et onze ans après la représentation des Femmes savantes, que madame Dacier a songé à
4 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
e scènes qu’il en faut pour donner à une pièce la durée ordinaire des représentations  : c’est un remplissage de dialogues semés de bons
gentilhomme est plaisant. » Voici le compte que Robinet rendit de la représentation du Bourgeois gentilhomme à Chambord. Lettre en ve
tre suivante du 22 novembre, Robinet, après avoir annoncé la première représentation de la tragédie de Bérénice, de M. Corneille l’aîn
nt chanté et dansé dans Le Bourgeois gentilhomme, comédie-ballet, aux représentations de Chambord et de Saint-Germain-en-Laye. Dans l
te du programme in-4º du ballet de Psyché. « Le lieu destiné pour la représentation , et pour les spectateurs de cet assemblage de tan
u, de plus riche et de plus éclatant. » Cette salle ne servit qu’aux représentations que le roi fit faire de la tragi-comédie de Psych
s en musique par Lully. La magnificence royale que l’on étala dans la représentation , et le concours des auteurs illustres dont les ta
 de Rambouillet. Ce dernier allant voir cette dame, après la première représentation des Femmes savantes, où elle s’était trouvée, ell
la par une harangue qu’il fit au public, deux jours avant la première représentation de sa pièce : et puis ce prétendu original de cet
personnes de poids, qui, à leur retour de Paris, après les premières représentations de la comédie des Femmes savantes, racontèrent en
mieux faire condamner.) Tous les auditeurs qui étaient à la première représentation s’en indignèrent, au lieu qu’on fut ravi à la sec
e 1688, mais elle ne fut pas goûtée du public, et elle n’eut que neuf représentations  : la neuvième le 31 du même mois d’octobre. Regis
bre. a. Robinet, dans sa lettre du 22 novembre, annonce la première représentation du Bourgeois gentilhomme sur le théâtre du Palais
oltée. « Cependant on joua cette pièce pour la seconde fois. Après la représentation , le roi, qui n’avait point encore porté son jugem
re à Molière : je ne vous ai point parlé de votre pièce à la première représentation , parce que j’ai appréhendé d’être séduit par la m
t le 14 octobre : ce qui nous indique clairement celle de la première représentation du Bourgeois gentilhomme à Chambord. *. [Note ma
ochait, et les ordres pressants du roi, qui voulait en voir plusieurs représentations avant le Carême, obligèrent Molière à avoir recou
s ne pouvons pas assurer que l’on s’est trompé en mettant la première représentation de Psyché au 24 juillet 1671, mais nous trouvons
nous trouvons sur le Registre de Molière de l’année 1672 la première représentation de cette pièce le 11 novembre de cette même année
cette pièce le 11 novembre de cette même année ; elle eut trente-deux représentations , dont la dernière est du dimanche 22 janvier 1673
de cour et pour le peuple.” Le roi n’avait point parlé à la première représentation de cette pièce, mais à la seconde qui se donna à
n Misanthrope *. « L’abbé Cotin et Ménage se trouvèrent à la première représentation , et tous deux au sortir de là, ils allèrent sonne
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499
dit hautement dans tous les cercles, au spectacle même, sur tout aux représentations des nouveautés. Les Auteurs écrivent que c’est la
epuis l’instant où elles sont offertes aux Comédiens jusqu’après leur représentation  ; les preuves de ce que j’avance s’accumuleront n
, parceque l’Auteur est titré, ou parcequ’il abandonne le produit des représentations . Soyez surpris, avec raison, de voir la qualité &
sifflé pour son propre compte ? Enfin vous obtenez les honneurs de la représentation  : mais l’un des Acteurs est mécontent de son rôle
mp; lorsque la moitié de Paris est à la campagne. Il est vrai que les représentations sont peu nombreuses : aussi n’expose-t-on alors s
Les drames qui ne se traîneroient qu’avec peine jusqu’à la troisieme représentation , seroient retirés pour toujours ; ceux qui fourni
eureux changements ; les personnes qui auroient assisté aux premieres représentations voudroient voir les corrections ; les autres cour
en les soumettant à payer la part d’Auteur durant les trois premieres représentations de toutes les nouveautés : qu’y perdront-ils ? Ri
r ? Ils ont une méthode que nous devrions adopter : après la premiere représentation d’une piece, les amateurs envoient souscrire pour
teurs & par les doubles ; de cette façon, si, après les premieres représentations , un Comédien étoit malade ou fatigué, son double
6 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
rince avoit connu Moliere au collége, & s’étoit amusé à Paris des représentations de l’illustre théatre, qu’il avoit plusieurs fois
ut, on applaudit en se corrigeant. Ménage qui assistoit à la premiere représentation , dit à Chapelain, nous approuvions vous & moi
né du sujet, attira un grand nombre de spectateurs12 pendant quarante représentations , quoique ce fût en été, & que le mariage du R
ont le Roi14 avoit donné l’idée à Moliere, fut depuis ajoûtée dans la représentation de saint Germain. Cette espéce de comédie est pre
te où la tient son tuteur. Moliere n’opposa pendant long-tems que les représentations toujours suivies de sa piéce, aux critiques que l
née. ainsi intitulé parce que le Roi y avoit dansé une entrée dans la représentation qui en fut faite au louvre le 29 janvier 1664, pa
essé de quelques traits hazardés que25 l’auteur supprima à la seconde représentation . En 1669, Dorimond, comédien de Mademoiselle, &am
rapporte un fait singulier qui peut y avoir contribué. A la premiére représentation , après la lecture du sonnet d’Oronte, le parterre
atre du palais royal, le 10 juin de la même année. suivit de près les représentations de ces deux pastorales. C’est une comédie d’intri
1667. L’ordre qui lui fut envoyé39 le40 lendemain, d’en suspendre la représentation , le rendit moins sensible aux applaudissemens qu’
énérale ; l’auteur qui avoit été obligé de le retirer47 à la septiéme représentation , le fit reparoître sur la scéne en 1668. On fut f
mieux, & rassûra l’auteur alarmé du peu de succès de la premiére représentation . Paris fut frappé de la vérité du tableau qu’on l
s en musique par Lulli. La magnificence royale que l’on étala dans la représentation , & le concours des auteurs illustres dont les
elle.53 Il éxigea, ce jour-là, de ses camarades que l’on commençât la représentation à quatre heures précises. Sa femme & Baron le
, & qui ne jugeoit du mérite d’une comédie, que par le nombre des représentations , & par l’affluence des spectateurs. Ce sont a
, pour juger, par l’impression qu’elle en recevoit, de l’effet que la représentation produiroit sur le théatre. Il est peu vraysemblab
isir, flatés par quelque succès, voulurent tirer de l’argent de leurs représentations , & s’établirent dans le jeu de paûme de la cr
e des spectateurs obligea les comédiens à faire payer, dès la seconde représentation , le double du prix ordinaire. La piéce se soutint
ne ; elle pria Moliere, en 1664, de lui prêter son théatre pour trois représentations  : Moliere, informé du succès qu’avoit eu le jeune
ut, quoique malade, de se faire porter au palais royal à la troisiéme représentation , & obtint le lendemain un ordre du Roi, pour
7 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
ion faiblit. Louis XIV ne peut, en 1700, assister jusqu’au bout à une représentation de L’Avare. À la fin de sa vie, son goût pour Mol
a nouvelle salle de spectacle qu’on était en train de construire. Une représentation exceptionnelle fut donnée à la Comédie française,
la plus pauvre et la plus sensible de la nation reçut l’annonce de la représentation avec le plus grand enthousiasme, mais que les bel
icus sine exemplo, […] Nuremberg, 1695. L’Allemagne déploya, dans les représentations surtout, le zèle le plus vif pour le poète frança
opéra-comique (1791), introduisaient le Ça ira révolutionnaire. À la représentation , on corrigeait ses pièces. Au panégyrique de Loui
est incontestablement le premier. L’Athenœum, à propos d’une série de représentations qui avaient été données à Londres par Mlle Mars e
is, jugeait Molière, qui avait fait en grande partie les frais de ces représentations , avec non moins d’abnégation patriotique « We cer
uve, lorsque, deux fois la Comédie française alla en corps donner des représentations à Londres, au mois d’avril 1871 et au mois de jui
M. Despois a relevé, sur les registres de la Comédie française, 2051 représentations de Molière de 1851 à 1870. Les recherches si heur
le souvenir de Molière n’a pas été absent. Ceux qui ont assisté à la représentation diurne de la Comédie française, le 16 janvier 187
Molière fut installé dans le foyer du théâtre. Des conférences et des représentations diurnes eurent lieu du 15 au 22 mai. Du moins, la
le, et il y conduisait son petit-fils. Ils allaient voir ensemble les représentations de l’hôtel de Bourgogne, et c’est là que le fils
: leur liaison a toute l’apparence d’une association dont le goût des représentations scéniques aurait été et le principe et la fin. Je
nger de résolution ; et il ajoute que Molière, après avoir écouté les représentations de cet ambassadeur, répliqua par une si agréable
tallation dans la salle du Petit-Bourbon, le 3 novembre 1658, ni à la représentation qu’elle avait donnée au Louvre devant le roi, le
e depuis quelque temps et s’était déjà exercée, probablement dans des représentations de société. J.-B. Poquelin s’était distingué parm
upe ainsi constituée, il s’agissait d’avoir une salle pour donner des représentations . Les associés jetèrent les yeux sur un jeu de pau
ue Molière s’est mis à écrire ses grandes comédies au lendemain de la représentation du Menteur ? Mieux instruits des commencements du
là à peu près dans quelles conditions on jouait alors la comédie. Les représentations , quoiqu’elles fussent éclairées par les chandelle
t. C’est donc vers cette époque, si le charpentier fut exact, que les représentations de l’Illustre Théâtre purent recommencer. Molière
t à cinq sous pour le parterre et dix sous pour la galerie ; puis une représentation au profit des hospices. Une autre sorte d’actes n
pagne ne comptaient guère qu’une dizaine d’artistes tout au plus. Les représentations , inaugurées à Nantes le 17 mai, n’eurent pas beau
e, qui fut autorisé, le 24 mai, à organiser « jeux de marionnettes et représentations à machines ». Leur séjour à Nantes paraît avoir é
e Pâques, et les troupes ambulantes interrompaient probablement leurs  représentations pendant un espace plus long encore. Leurs acteurs
let 1651 - 10 janvier 1652), la troupe y était évidemment avec lui en représentations . CHAPITRE IV. LES COMÉDIENS DE MONSEIGNEUR LE
e 1682, a consigné sur son registre manuscrit la date de 1655 pour la  représentation de la première comédie de Molière. Il faut donner
riage avec l’acteur Duparc ; on a donc quelque motif de croire que la représentation de la pièce avait eu lieu dans les premières sema
erra enfin qu’en 1655 il est assez difficile de trouver place pour la représentation de L’Étourdi à Lyon. Molière écrivain, à en juger
le théâtre de la Grange. Cette troupe ne réussit pas dans sa première représentation au gré de Mme de Calvimont, ni par conséquent au
le plaisir de ce divertissement, et, ne se contentant pas de voir les représentations du théâtre, il conférait souvent, avec le chef de
. Les difficultés furent levées, et les comédiens purent donner leurs représentations . C’est alors que l’incident dont nous allons parl
urrait s’appliquer qu’à L’Étourdi, et attesteraient par conséquent la représentation antérieure de cette pièce. Mais, écrit plus tard,
thelot. C’est ici, après leur retour à Lyon, qu’il faudrait placer la représentation de L’Étourdi, si l’on adoptait la date consignée
r n’en eût fait aucune mention. À plus forte raison si cette première représentation mémorable avait eu lieu en sa présence. Un extrai
ire des excursions dans les pays d’alentour ; ils allèrent donner des représentations dans les châteaux et les villages. Il y a tout un
uèrent cette délibération avaient-ils été distribués pour la première représentation du Dépit amoureux ? En ce cas, la décision aurait
sion aurait précédé de deux ou trois jours, selon toute apparence, la représentation de cette pièce. Les états n’ont pas dû attendre à
s n’ont pas dû attendre à la dernière heure pour leur déclaration. La représentation pourrait donc être fixée vers le 19 ou 21 décembr
le est désignée dans la permission qui lui est accordée de donner des représentations au tripot de la Poissonnerie. Mais on peut être p
ive de l’installation de la troupe à Rouen. En cette année 1658, deux représentations furent données au profit des pauvres de l’Hôtel-D
7 deniers ; l’autre le 21 août, qui produisit 44 livres 15 sols. Ces représentations avaient-elles été données par la troupe de Molièr
paumier, copropriétaires dudit jeu de paume, lequel servait déjà aux représentations théâtrales, puisque les loges, décorations de thé
imer. On ne sait à quel moment de ces huit dernières années fixer la représentation de L’Andromède de P. Corneille, dont on voit la d
e de L’Estang, qu’épousera La Grange. À quelle date aurait eu lieu la représentation d’Andromède ainsi distribuée ? La Grange a consig
egistre que son beau-père Ragueneau mourut à Lyon le 18 août 1654. La représentation où il a un rôle est donc antérieure à cette date.
par une maladie ou quelque autre cause, ou faut-il faire remonter la représentation avant l’année 1653, où elle entra dans la troupe 
embarrassantes. En tout cas, ce n’est pas à Rouen, en 1658, que cette représentation aurait été donnée, car la composition de la troup
pour ainsi dire, il les joue. » Il ne sépare pas la composition de la représentation  ; ses acteurs et ses actrices sont pour lui ce qu
1659), le jeune patron de la troupe daigna honorer de sa présence une  représentation de l’une de ces comédies. C’est le 12 février qu’
France pour s’en retourner dans leur pays, et Molière fixa alors ses représentations aux jours qu’on appelait ordinaires, c’est-à-dire
ur le ridicule : on lit dans le Menagiana, à propos de cette première représentation  : « La pièce fut jouée avec un applaudissement gé
brûlé. » Cela arriva comme je l’avais prédit ; et, dès cette première représentation , on revint du galimatias et du style forcé. » Mai
pouvaient se croire blessées par la comédie nouvelle, en défendit les  représentations . Le succès avait été toutefois trop éclatant pour
e la supprimer sans façon. La défense fut levée, en effet. La seconde représentation eut lieu quatorze jours après la première, le 2 d
riosité de la foule et l’enthousiasme des spectateurs. Cette deuxième représentation eut lieu au double, c’est-à-dire que le prix de c
u’il s’était prémuni, à la date du 31 mars 1660 (trois jours après la représentation du Cocu imaginaire) d’un privilège, non seulement
le que le cardinal de Richelieu avait fait construire en 1639 pour la représentation de Mirame. Elle était située dans l’aile droite d
s 16, 21 et 26 octobre. Le 26, ce fut chez le cardinal Mazarin que la représentation eut lieu. Ce ministre, de qui l’on disait qu’il c
ieur, pendant qu’elle se trouva sans abri, ne donna pas seulement des représentations au Louvre ; elle alla en visite, comme on disait,
que reçut sa comédie héroïque le détermina à la retirer à la septième représentation . Il ne fut pas toutefois désillusionné aussi prom
re du Palais-Royal, en l’accompagnant de la première et de la seconde représentation de L’Impromptu. Il interjeta enfin plus d’un appe
avait laissée. Le succès fut confirmé, douze jours après la première  représentation , devant un illustre public. Le 11 juillet, la tro
n était même plus complète, si l’on en croit de Vizé qui, parlant des représentations du Palais-Royal, se plaint à ce propos de la comp
Fâcheux furent joués à Paris, le 4 novembre, et eurent quarante-deux représentations consécutives. Vers la fin de ce mois, le 20 novem
« Le mardi 14 février, Molière et ses acteurs, après avoir donné leur représentation publique au Palais-Royal, allèrent jouer L’École
les autres à l’indécence, les autres à l’impiété. C’est aux premières représentations de L’École des femmes qu’on peut surtout applique
’Autriche, qui s’était rendue à Villers-Cotterets, n’assista pas à la représentation  ; elle revint à Vincennes le 18, et il n’est pas
ce voyage de novembre 1664, et il fut un de ceux qui assistèrent à la représentation qui y fut donnée par Molière et sa troupe, or cet
la représentation qui y fut donnée par Molière et sa troupe, or cette représentation fut la première du Tartuffe en cinq actes, La Gra
fiancé de Marianne, devait être renseigné mieux que personne sur les représentations auxquelles il avait pris part. Et d’ailleurs, lor
aucun doute ce billet est du mois d’octobre 1665 et se rapporte à la représentation du Tartuffe qui eut lieu au Raincy, le 8 novembre
si la pièce eût été faite de mon temps, je n’en aurais pas permis la représentation . » À l’origine, selon toute vraisemblance, les
ué, car la pièce disparut brusquement de l’affiche après la quinzième représentation . Don Juan ou le Festin de Pierre tend à occuper
Molière dut supprimer presque toute la scène du pauvre à la deuxième représentation . Le Festin de Pierre est plus audacieux, plus av
insi compris, aggrava ce qu’il semblait vouloir réparer. Après quinze représentations , la clôture annuelle survint. Don Juan disparut d
r blessé, 12 livres ; le 29, pour le portier blessé, 9 livres. » À la représentation suivante, qui eut lieu, non le mardi 1er juillet,
utre, la troupe prit le soin de faire venir la garde presque à chaque représentation de ce mois. Enfin, en regard de celle du 24, on l
t nous ignorons l’issue. Enfin, pour épuiser ce sujet en une fois, la représentation de Psyché, le 13 janvier 1673, fut grandement tro
lée. Une trentaine de gens d’épée, entrés au parterre, empêchaient la représentation « par des hurlements, chansons dérisionnaires et
mence la comédie, nous voulons nous divertir pour notre argent ! » La représentation fut, en effet, recommencée, et suivit son cours t
re de La Grange (Le Favori seulement dans l’imprimé), avait eu treize représentations jusqu’au 22 mai, avec de médiocres recettes. Elle
tre témoignage que l’anecdote que nous avons rapportée à propos de la représentation des Fâcheux 105. Racine, âgé de vingt-cinq ans, a
e L’Avare. Il reprochait à Boileau devoir ri seul à une des premières représentations de cette comédie, qui soulevait une certaine oppo
l 1672) qui portait défense aux autres théâtres d’employer dans leurs représentations  plus de six chanteurs et de douze violons. Cette
our l’accompagner, fut joué vingt et une fois de suite ; ce nombre de représentations constituait alors un succès. Il fut apprécié à sa
en 1665 et avait demandé à Molière de lui prêter sa salle pour trois représentations . À la troisième de ces représentations, Molière a
lui prêter sa salle pour trois représentations. À la troisième de ces représentations , Molière assista et fut frappé des dispositions d
obtenir, c’est que Baron jouerait son personnage de Myrtil. Après la représentation , celui-ci eut la hardiesse de demander au roi, à
rconstance qui détourna Molière d’achever la pièce. Dans la suite des  représentations du Ballet des Muses, il substitua à Mélicerte la
nt, de la part du premier président de Lamoignon, défendre la seconde représentation , qui devait avoir lieu le dimanche. Il fallait de
’est de dire que Votre Majesté avait eu la bonté de m’en permettre la  représentation , et que je n’avais pas cru qu’il fût besoin de de
ffet dangereux de souffrir que la véritable piété fût blessée par une représentation si scandaleuse et que le roi même avait ci-devant
paroissiens combien il importe à leur salut de ne point assister à la représentation  de la susdite ou semblables comédies, Donné à Par
l’on ne vit pas jouer Le Tartuffe. La troupe, qui avait suspendu ses représentations depuis le départ de La Grange et de La Thorillièr
jour-là le théâtre rouvrit par Le Misanthrope. Robinet, parlant de la représentation du 25 septembre ou de celles qui la suivirent imm
née sur son théâtre le 28 octobre110. On ne voit pas son nom dans les représentations  données à Versailles du 6 au 9 novembre. Cependan
oidement accueilli par le public ; il n’eut dans le principe que neuf représentations , et, repris deux mois plus tard, il eut à peine u
e de vous voir l’envie Me coûte peut-être la vie ! » Quarante-quatre représentations consécutives suffirent à peine à apaiser la curio
isant concevoir d’injustes soupçons de la vraie piété par de malignes représentations  de la fausse. Voilà ce qu’ils ont prétendu, expos
s madrigaux aux illustres danseurs. Le roi prit-il part lui-même à la représentation  ? Boileau, dans une lettre à Monchesnai sur la co
l’élève de Molière, le jeune Baron, qui avait quitté Paris depuis les représentations de Mélicerte, en 1661, revint et eut une part dan
livres de la pension de Louis Béjart, et trois livres, chaque jour de représentation , à Châteauneuf, gagiste de la troupe. CHAPITRE
du voyage de La Grange et de La Thorillière à Lille, à la suite de la représentation de L’Imposteur du 5 août 1667, Molière loua une h
échappées de Rabelais. » Il paraîtrait que le succès de la première représentation à Chambord ne fut pas décisif. C’est Grimarest qu
imarest qui raconte à ce sujet l’anecdote suivante : « À la première représentation , le roi n’avait donné aucun signe de satisfaction
évoltée. Cependant on joua cette pièce pour la seconde fois. Après la représentation , le roi, qui n’avoit point encore porté son jugem
à Molière : « Je ne vous ai point parlé de votre pièce à la première représentation , parce que j’ai appréhendé d’être séduit par la m
t rencontrée que lui. » Nous voyons, dans la Gazette, que la seconde représentation eut lieu le 16 octobre, trois jours, par conséque
plans de Gaspard Vigarani, la vaste salle des machines destinée à la représentation des pièces à grand spectacle. Molière fut chargé
Psyché y fut jouée le 24 juillet, et n’eut pas moins de trente-huit représentations consécutives. C’était, en ce temps-là, un grand s
Fameuse comédienne, dont nous avons déjà parlé, raconte que, dans ces représentations , l’aversion qui existait entre ces deux personnag
RE ŒUVRE ET MORT DE MOLIÈRE Au mois de septembre 1671, pendant les représentations de Psyché au théâtre du Palais-Royal, Armande Béj
sur votre théâtre, tout enfin devrait vous déterminer à renoncer à la représentation . N’y a-t-il que vous dans la troupe qui puisse ex
téméraire, et le dénouement se perd dans le fantastique. La première représentation du Malade imaginaire eut lieu le 10 février 1673,
était l’âme depuis si longtemps. Le 17 février, jour de la quatrième représentation , Molière se sentit plus souffrant. Il faut s’en t
rit et le vice et l’ignorance que bien des gens se sont corrigés à la représentation de ses ouvrages pleins de gaieté, ce qu’ils n’aur
ens. Voici les principaux articles qu’on y trouve : Un habit pour la représentation du Bourgeois gentilhomme, consistant en une robe
nts, avec un chapeau garni de plumes aurore et vert. Un habit pour la représentation de Pourceaugnac consistant en un haut-de-chausses
et un manteau de taffetas noir, une paire de souliers. L’habit de la représentation de L’Amphitryon, contenant un tonnelet de taffeta
nture et un jupon, et un bonnet brodé or et argent fin. L’habit de la représentation de Tartuffe (rôle d’Orgon), consistant en pourpoi
t ronds de souliers et souliers pareillement garnis. Les habits de la représentation de George Dandin, consistant en haut-de-chausses
rore, garni de pareils boutons faux, et la ceinture. Les habits de la représentation du Misanthrope, consistant en haut-de-chausses et
ste de brocart d’or, les bas de soie et jarretières. Les habits de la représentation des Médecins, consistant en un pourpoint de petit
s de velours à fond d’or, garni de ganse et boutons. Les habits de la représentation de L’Avare consistant en un manteau, chausses et
rf, une paire de bas à botter, de toile jaune. Un habit servant à la représentation des Femmes savantes frôle de Chrysale) composé de
d’or, un pourpoint à fleurs du Festin de Pierre. Les habits pour la représentation du Médecin malgré lui, consistant en pourpoint, h
mêmes qu’à l’hôtel de Bourgogne. Dans une affiche rimée, annonçant la représentation de L’Amarillis de Rotrou par les comédiens de l’h
jouait quelquefois au double, autrement à l’extraordinaire. Dans ces représentations l’on doublait le prix de certaines places. Le pri
chiffre fut seulement atteint le mardi 2 décembre 1659, à la seconde représentation des Précieuses ridicules, jouées à l’extraordinai
hiffre bien plus élevé. Ainsi elles montèrent, le jour de la première représentation du Tartuffe (reprise du 5 février 1669), à 2860 l
(reprise du 5 février 1669), à 2860 livres ; le jour de la cinquième représentation , à 2320 livres ; le jour de la neuvième, à 2278 l
n, à 2320 livres ; le jour de la neuvième, à 2278 livres, La première représentation du Malade imaginaire produisit 1992 livres. Malgr
très diverses et très fréquentes les obligeassent à interrompre leurs représentations . Les heures pendant lesquelles le spectacle avait
e. Le récit de la mort de Molière, par Grimarest, nous apprend que la représentation du Malade imaginaire commençait à quatre heures e
quelques jets de flamme, quelques feux d’artifice. Pendant les quinze  représentations du Festin de Pierre, les capucins sont mandés rég
zeau135, est de faire entrer l’auteur pour deux parts dans toutes les représentations de sa pièce jusques à un certain temps. Par exemp
ie de Racine fut jouée seule, sans petite pièce, jusqu’à la cinquième représentation . Molière, auteur, fut rétribué suivant l’un et l’
que pendant quelques mois ; il tomba malade le 11 mai 1659, dans une représentation de L’Étourdi donnée au Louvre, et il mourut le 21
es ? qui ? ce bègue et ce borgne boiteux ? Et à propos des premières représentations du Dépit amoureux à Paris, Élomire ou Molière nou
lière. Robinet, dans sa lettre du 20 février, où il rend compte de la représentation de La Comtesse d’Escarbagnas, à Saint-Germain-en-
, le rôle d’Axiane dans la tragédie d’Alexandre, pendant les quelques représentations qu’eut cette tragédie sur le théâtre du Palais-Ro
de la Richardière. Elles avaient ensemble trois livres chaque jour de représentation . Chose assez singulière, cette dame Gobert, propo
s absolument vraie ; Brécourt joua encore deux fois après la dernière représentation de Timon à Versailles, et mourut trois mois et de
ation de Timon à Versailles, et mourut trois mois et demi après cette représentation . Ses dettes montaient à plus de 20000 livres au d
667, une tragédie intitulée Marc-Antoine et Cléopâtre. Elle eut douze représentations , ce qui indique quelque succès, et ne fut cependa
, Armande Béjart donna, dit-on, un soufflet au jeune acteur. Après la représentation du Ballet des Muses, dont Mélicerte faisait parti
l’Amour dans Psyché. Nous avons rapporté précédemment171 comment les représentations de Psyché donnèrent naissance à une anecdote qui
2. Mlle Beauval entra dans la troupe de Molière quelque peu avant les représentations du Bourgeois gentilhomme. Robinet, dans sa lettre
e trouve le passage du Pont-Neuf, une vaste salle qui avait servi aux représentations en musique données par Perrin et Cambert, pendant
d à Paris pour n’en faire à l’avenir qu’une seule, afin de rendre les représentations des comédies plus parfaites par le moyen des acte
Banquettes. 68. Cette salle consacrée après la mort de Molière à la représentation des tragédies lyriques appelées opéras, fut détru
8 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
anges que le Duc de Montausier donna au Misanthrope après la premiere représentation . Despréaux après avoir vu la troisieme, soutint à
de vendre tout son bien pour faire le voyage d’outre-mer. Lors de la représentation de cette Piece, tout le monde fit l’application d
e qui lui donna le sujet, & voici comme. Au sortir de la premiere représentation de cette Comédie, qui se fit chez Mr. Fouquet ; l
atre heures, & le Roi eut le plaisir de la voir en sa place, à la représentation suivante. (Menagiana, Tome. III. page 24.) V.
qui blesserent les gens scrupuleux, & qu’il supprima à la seconde représentation de cette Piece. Entr’autres celui-ci. Don Juan da
de Rambouillet. Ce dernier allant voir cette Dame. Après la premiere représentation des Femmes Savantes, ou elle s’étoit trouvée ; el
me de ne parler qu’à des culs. Tous les Auditeurs qui étoient à cette représentation s’en indignerent, au lieu qu’on fut ravi à la sui
sur votre Théatre, tout enfin devroit vous déterminer à renoncer à la représentation . N’y-a-t-il que vous dans la troupe, qui puisse e
9 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
première fois à Chambord, devant le Roi, le 14 octobre 1670. À cette représentation , le Roi n’avait donné aucun signe de satisfaction
oltée. « Cependant on joua cette pièce pour la seconde fois. Après la représentation , le Roi, qui n’avait point encore porté son jugem
re à Molière : Je ne vous ai point parlé de votre pièce à la première représentation , parce que j’ai appréhendé d’être séduit par la m
ition avec ceux de son amusement. Une circonstance qui s’attache à la représentation même du Bourgeois gentilhomme nous en fournit une
rangs. La pièce, jouée à Paris, le 23 novembre 1670, eut vingt-quatre représentations . On prétendit, dans le temps, que Molière avait p
du troisième. Mais, le Roi ayant déclaré qu’il voulait voir plusieurs représentations de l’ouvrage avant le carême, il se vit trop pres
e, elle parut sur le théâtre du Palais-Royal, où elle eut trente-huit représentations consécutives. Deux fois reprise dans le courant d
eux fois reprise dans le courant de l’année suivante, elle eut treize représentations la première fois, et trente-une la seconde1. De t
s qui suivirent, la plus brillante fut celle de 1703, dont vingt-neuf représentations attestèrent le succès, et où deux acteurs jeunes
outes les ressources de son génie pour la mécanique, ne servit qu’aux représentations de Psyché, et fut abandonnée jusqu’en 1716, époqu
de Molière parut. Tous les arts qui concourent à l’embellissement des représentations théâtrales firent de leur mieux pour orner celle
uée sur le théâtre du Palais-Royal, le 24 mai 1671, et elle eut seize représentations consécutives. Tirée presque entièrement du Phormi
Parfaict, ordinairement si exacts, ont prise pour le premier cours de représentations , qui commença et finit en 1671. 2. Psyché, est
10 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
our la préserver de l’oubli, elle contient une mention curieuse de la représentation des trois premiers actes du Tartuffe. Des éditeur
ant, il fut joué sur le théâtre du Palais-Royal, où il eut vingt-cinq représentations consécutives. Ce nombre peut étonner, si, même en
sans doute, dans ce choix de circonstances, un moyen de rattacher la représentation de sa comédie aux autres épisodes d’une fête héro
qui réussit le moins. Le Festin de Pierre de Molière n’eut que quinze représentations  : c’eût été un succès pour un ouvrage raisonnable
esque une chute pour une production monstrueuse3. Ce premier cours de représentations passé, la pièce ne fut pas reprise une seule fois
déchaînement, que Molière fut obligé de les retrancher dès la seconde représentation . Le courroux des rigoristes n’en fut point désarm
s coups portés à l’hypocrisie, travaillait sans relâche à empêcher la représentation publique de ce chef-d’œuvre. Molière en était jus
icité qui n’avait ni le même éclat, ni les mêmes inconvénients que la représentation  ; il semble qu’il eût dû au moins être, permis de
lie dans l’état on Molière l’avait réduite lui-même après la première représentation . Comme il est presque sans exemple qu’un livre su
11
re a été donnée au Ring-Theater, l’ancien Opéra-Comique Viennois, une représentation des Femmes savantes par la troupe, en ce moment a
n cette créature insupportable, en cet éternel bas-bleu : Armande. La représentation avait un but qui se renouvelle souvent à Vienne,
de science, de littérature. La pièce a obtenu l’effet d’une première représentation  ; l’attention et le succès ont été croissants, et
atteintes du mal qui devait l’emporter, le soir même de la quatrième représentation de son dernier chef-d’œuvre. Ce vénérable meuble,
n tour, il n’eût jamais souffert aux Italiens d’introduire dans leurs représentations , le lendemain de ses spectacles, autre chose qu’u
’auteur jaloux ! On va bientôt le comprendre : La date de la première représentation des Plaideurs est tout à fait incertaine3. Robine
sion, lui avait appris à se taire. À défaut de la date de la première représentation , ce serait déjà quelque chose que de retrouver ce
ésentation, ce serait déjà quelque chose que de retrouver celle de la représentation à la Cour ; on la cherche où il y a la seule chan
stèrent à Saint-Germain, les comédiens du Palais-Royal donnèrent cinq représentations , quatre de George Dandin, une de L’Avare. Il y e
un de ces deux jours-là ou plutôt ce dernier jour, qu’ait eu lieu la représentation des Plaideurs devant le Roi ; or, puisque Racine
s : le 6 janvier, la revanche des Plaideurs, suivie de la reprise des représentations  ; le 5 février, ce grand événement, la reprise tr
Je les rapproche surtout pour chercher la différente physionomie des représentations , à l’origine, sur les deux théâtres. Si L’Avare a
sifflets, n’osèrent pas d’abord, dit Valincour, donner une troisième représentation . Malgré les applaudissements qui lui revinrent, s
lière au Théâtre-Français. Il aime à noter les moindres détails de la représentation , sachant qu’à son retour ses amis vont l’interrog
ce plutôt par tradition que par goût qu’on continue à maintenir cette représentation annuelle. Les autres pièces du poète tragique se
urs beautés sont de celles qui ressortent plutôt à la lecture qu’à la représentation . Quant à la comédie hollandaise du xviie  siècle,
Conqueste de la Toison d’or », fait tout d’abord penser à la première représentation de cet ouvrage, qui a eu lieu en 1661 ; mais le m
plètes. La Grange ne donne avec précision que les dates des premières représentations  ; plus tard même, les petites pièces sont parfois
a comédie. On sait que ce sonnet fut vivement applaudi, à la première représentation , par le public, qui donna tort ainsi à Alceste co
lui, que Molière ne doubla point le prix des places pour la première représentation , usage dont un passage de Tallemant des Réaux et
conclure. La recette de 533 livres est une bonne recette de première représentation , qui ne laisse supposer aucune, négligence de la
s des Précieuses ridicules se dessina surtout à partir de la deuxième représentation  ; l’interdiction momentanée qu’elles subirent, co
e linge uni : d’où il résulte que, en s’éloignant de la période où la représentation du Tartuffe avait rencontré tant de difficultés,
vendredi 13 du même mois. Toutes deux donnent comme très prochaine la représentation d’une pièce à machines, La Conquête de la Toison
a Conqueste de la Toison d’or, fait tout d’abord penser à la première représentation de cet ouvrage, qui a eu lieu en 1661 ; mais le m
es affiches du Marais annonçaient une reprise et non pas une première représentation  ? En 1660, le 3 février tombait un mardi et le 13
es livres que j’ai eus entre les mains, la date exacte de la première représentation de cette pièce ; mais si nous nous reportons aux
ient cet intervalle de plus d’un an entre les annonces et la première représentation  ? Il me semble qu’une étude attentive des circons
Tallemant, convenir du prix avec Corneille, et l’on put croire que la représentation n’aurait pas lieu. Mais les difficultés s’aplanir
s calculs des deux Corneille, comme dans ceux du marquis, la première représentation de La Toison d’or, — non pas au château de Neubou
e donnait déjà lieu au Théâtre du Marais, annonce-t-il cette première représentation tant retardée dans les termes suivants : « La Co
jouaient dans la belle salle du Marais. Il s’y donnait de brillantes représentations qui attiraient la foule ; après quoi, le public d
Et d’abord, Molière prêta-t-il lui-même son concours de comédien à la représentation  ? Il y a bien de l’apparence. Molière aurait donc
avance de cent louis). Les Frères ennemis en étaient à leur douzième représentation , lorsque la troupe fut appelée à Fontainebleau. L
iens du Palais-Royal partirent pour Fontainebleau et y donnèrent cinq représentations , quatre de La Princesse d’Élide dont la Cour ne s
rnière. Le chiffre du surlendemain, descendu à 170 livres, arrêta les représentations de la pièce. Les Frères ennemis furent donc joué
les études avec un intérêt tout particulier, il en avait conduit les représentations aussi loin qu’il avait pu, leur épargnant le fort
résentés grâce à la présence du Roi qui avait indéfiniment ajourné la représentation de la pièce ; mais sur la liste des spectacles de
pour contrevenir à sa défense, si toutefois la défense concernait les représentations données par ordre de Monsieur. Après tout, rien
dépenses supplémentaires pareil à celui du Mariage forcé. La première représentation paie « plusieurs frais extraordinaires » ; mais c
assistants habituels — qui avaient soutenu par un peu d’agrément les représentations des Frères ennemis. Le calcul de Molière était ju
n ordre de M. le Prince, la troupe de Monsieur partit pour donner une représentation au Raincy, chez la princesse Palatine. [1880-10]
rologues et divertissements ajoutés par Molière à ses pièces pour les représentations de la Cour sont remplis de vers qu’il avait faits
is de vers qu’il avait faits dès longtemps en province, soit pour les représentations chez le prince de Conti, soit pour d’autres repré
pour les représentations chez le prince de Conti, soit pour d’autres représentations dans les châteaux du Languedoc. » Les deux ball
ors de France. Mais ce qui n’était pas le côté le moins curieux de la représentation , c’était l’entière bonne foi des spectateurs, qui
-496. 38. Pages 497-499. 39. Lettre du 14 février, lendemain de la représentation annoncée par l’affiche du Marais. 40. Suivant l
12 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
-Français. Je vais plus loin, et après avoir suivi avec attention les représentations de l’ancien répertoire, je suis arrivé à penser q
e la signification philosophique de la composition, est dénaturé à la représentation . Molière avait quarante ans quand il écrivit l’Éc
iginalité. J’imagine que si l’auteur pouvait assister maintenant à la représentation du Misanthrope, il aurait grand’peine à reconnaît
ute opinion pour prendre la peine d’articuler toutes les syllabes. La représentation de Tartuffe soulève des objections bien autrement
ation de Tartuffe soulève des objections bien autrement graves que la représentation du Misanthrope. Dans ce dernier ouvrage, en effet
re-Français d’une manière conforme à l’intention de l’auteur. Pour la représentation de ces grands ouvrages, le caprice et la routine
céder à mon insu au besoin de médire, ils m’accuseront d’éplucher la représentation des comédies de Molière avec la ferme résolution
on n’a qu’à écouter les conversations du foyer le jour d’une première représentation . Pour un spectateur qui ose dire : Je m’ennuie, o
mpersonnalité, qui n’est pas de la modestie, nuit singulièrement à la représentation des comédies de Molière. Si les spectateurs en ef
bénéfice la nation pourrait-elle retirer d’une telle institution ? La représentation serait moins instructive que la lecture. Il suffi
13 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
oit aussi volontiers pour des grimaces et des singeries, que pour des représentations naïves et sensées.  Il joua toujours dans l’Etour
temps que Moliere donnoit à la composition de ses pièces, ou à leurs représentations , ne l’empêchoit pas de penser à la philosophie et
sa satyre. Il étoit aussi bon acteur qu’excellent auteur ; et dans la représentation de sa dernière pièce, qui fut le Malade imaginair
ue. Cet habile acteur mourut par le trop d’ardeur qu’il avoit dans la représentation des personnages qu’il jouoit. M. de Saint-Evremon
en poète, comédie en cinq actes de Montfleury84. On donna la premiere représentation de cette pièce sur le théâtre de la rue Mazarine,
e theatre du Petit Bourbon, le 28 may 1660, et l’on en donna quarante représentations de suite, quoiqu’en été142. Elle a pour intrigue
s les comediens étoient excellens, et ils les faisoient valoir par la représentation . » N. Valiote, morte avant 1673164, mere de la D
romaine. C’étoit une excellente actrice, grande et bien Faite, d’une représentation avantageuse, morte en Allemagne, dans la troupe d
comédie de l’École des femmes, et elle raporta 29,963 livres en 32204 représentations . On assure que le poète Boursaut crût se reconnoî
, ainsi intitulé206 parce que le Roy y avoit dansé une entrée dans la représentation qui en fut faite au Louvre le 29 janvier 1664. El
a réduit jusqu’à présent ledit supliant dans l’impossibilité de leur représentation par devant lesdits sieurs commissaires : requeroi
e celles des acteurs, ce qui n’eût pas été juste, attendu qu’à chaque représentation on avait retiré de la recette et remis entre les
interruptions. 141. 15 sols (Registre de La Grange, p. 13). 142. 34 représentations au Petit-Bourbon, 2 à Vincennes pour le Roy et 1
eptembre, avec plusieurs interruptions. 143. Elle eut cependant sept représentations . 144. Dans le tome VII de l’édition de 1682. 14
202. Le mardi 26. 203. Le 13, étant un lundi, n’était pas jour de représentation . C’est 12 qu’il faut lire. 204. Lisez 33. 205.
ertissement, fut représenté pour la première fois le 9 juin 1684 : 13 représentations . 235. Première représentation le 22 février. 23
la première fois le 9 juin 1684 : 13 représentations. 235. Première représentation le 22 février. 236. 1641. 237. Avec la collabor
. Avec la collaboration de Thomas Corneille. 238. Première et unique représentation le 5 juillet. 239. C’est le sous-titre d’une com
ctes, représentée dix ans plus tard (13 juillet 1700). 240. Première représentation le 26 juillet 1690. 241. Antérieur à cette date,
14 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
e notre siècle, peut donner idée de ce qu’étaient jadis en France les représentations dramatiques. Vous vous rappelez ce brave Pierre G
rent données par Charles VI les lettres-patentes qui autorisaient les représentations des confrères de la Passion. C’est à ce moment qu
elques années plus tard, n’ait été une conséquence gracieuse de cette représentation . Le mystère de Griselidis, marquise de Saluces, e
les maisons seigneuriales ou princières, il y eut quelques germes de représentations dramatiques, quelques ébauches de mise en scène.
omène des gargouilles, des animaux fabuleux : c’est là sans doute une représentation , un spectacle public ; mais on est pardonnable de
iaux, voilà quels seraient les antécédents de notre théâtre avant les représentations des Confrères. Ne vaudrait-il pas mieux, sans vou
ple ne fût-ce que pour ne plus y revenir, ce qu’étaient ces anciennes représentations théâtrales. Si le véritable art dramatique y fait
ens, amphithéâtres des cirques romains. Ainsi, à Bourges, en 1536, la représentation fut faite, selon un vieil historien du Berry, « s
ou Fosse des Arènes. »Il n’y aurait donc rien d’étonnant à ce que la représentation de 1437 à Metz ait eu lieu dans la vaste et remar
ïeux se sont contentés pendant près de deux siècles. Ils aimaient ces représentations vivantes d’une histoire, si dramatique par elle-m
de Mystères, qu’à leur désir de rendre plus vivante et plus réelle la représentation des récits sacrés. L’illusion du spectateur était
Ie n’ont fait que traduire en marbre ou sur la toile les saisissantes représentations des mystères. Ainsi, pour n’en citer qu’un exempl
15 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
18 novembre 1659. Elle eut un succès extraordinaire ; dès la seconde représentation , les comédiens furent obligés de doubler le prix
jouait le rôle de Mascarille ; il se servit d’un masque aux premières représentations  ; mais ensuite il le quitta, persuadé avec raison
l qu’il se trouve dans le Ménagiana. « J’étais, dit-il, à la première représentation des Précieuses ridicules. Mademoiselle de Ramboui
s brûlé. Cela arriva comme je l’avais prédit ; et, dès cette première représentation , l’on revint du galimatias et du style forcé. »
ors de Paris, cette pièce fut très suivie : elle eut plus de quarante représentations consécutives. Un particulier, nommé Neufvillenain
rce commune, n’autorisent point cette opinion, et d’ailleurs les deux représentations furent tellement rapprochées que Molière n’eût pa
précipitation ne nuisit point à son succès, qui fut complet. Après la représentation , le Roi dit à Molière, en lui montrant le marquis
ures, et le Roi eut le plaisir de la voir dans son cadre à la seconde représentation , qui fut donné à Fontainebleau huit jours après l
ses applaudissements à ceux de la cour. La pièce eut quarante-quatre représentations de suite, et fut imprimée en février 1662. Cette
villenaine, fit imprimer cette pièce qu’il avait apprise par cœur aux représentations , et la dédia à Molière lui-même, en essayant de l
16 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
paraissent pas parfaitement exactes ; il y a erreur sur la date de la représentation  ; le nombre des entrées est mal indiqué, et si Qu
 L’anecdote du gentilhomme provincial dont Loret parle à propos de la représentation à Paris (car il ne dit rien, malheureusement, de
de Molière, corrigée avant d’être publiée. La tradition résultant de représentations nombreuses sur la scène ordinaire avait fait oubl
divertissements ordinaires de la Cour, la date du jour de la première représentation . Cette date était de règle, car les livrets étaie
e, mais bien selon la forme que Molière a donnée à son œuvre pour les représentations qui ont suivi. Car nous ne prétendons pas que Pou
raste (acte III, scène X). Ces mots semblent ajoutés ; l’époque de la représentation de Pourceaugnac ne fait nullement penser au diver
les comédiens de l’Hôtel de Bourgogne, s’avança sur la scène après la représentation , remercia le roi, et demanda l’autorisation de jo
les Trois docteurs rivaux et le Maître d’école. Louis XIV autorisa la représentation de la première de ces deux pièces, et ce fut aprè
hambord, 6 octobre 1669. — Retour à Saint-Germain, 90 octobre 1689. —  Représentation de Pourceaugnac à Paris, 15 novembre 1889. — Publ
m Cl. Barbin, in-12, 1678. — Brouille de Molière et de Lully, 1672. —  Représentation du Carnaval, 1675. — Mort de Molière, 17 février
17 (1739) Vie de Molière
médiens assistèrent au début de la nouvelle troupe. Molière, après la représentation de Nicomède, s’avança sur le bord du théâtre, et
du Palais-Royal. Le cardinal de Richelieu l’avait fait bâtir pour la représentation de Mirame tragédie, dans laquelle ce ministre ava
aquée, et qu’il crachait quelquefois du sang. Le jour de la troisième représentation , il se sentit plus incommodé qu’auparavant : on l
eindre les mœurs. Le théâtre n’était point, comme il le doit être, la représentation de la vie humaine. La coutume humiliante pour l’h
naire, qui n’était alors que de dix sous au parterre. Dès la première représentation , Ménage, homme célèbre dans ce temps-là, dit au f
odies sont tombées dans l’oubli qu’elles méritaient. On sait qu’à une représentation des Précieuses ridicules, un vieillard s’écria du
de cette seule manière qu’on le représente aujourd’hui. À la première représentation du Festin de Pierre de Molière, il y avait une sc
faibles pouvaient faire un mauvais usage, fut supprimée à la seconde représentation  ; et ce retranchement fut peut-être cause du peu
es pièces de Molière la plus fortement écrite. Elle eut à la première représentation les applaudissements qu’elle méritait. Mais c’éta
chercher dans le cœur humain la raison de cette tiédeur du public aux représentations du Misanthrope, peut-être les trouverait-on dans
e dialogue particulières à sa nation, et sa pièce a eu près de trente représentations , succès très rare à Londres, où les pièces qui on
btint du roi une permission verbale de jouer Le Tartuffe. La première représentation en fut donc faite à Paris le 5 août 1667. Le lend
essaires pour soutenir Molière contre ses ennemis. Dans les premières représentations , l’imposteur se nommait Panulphe. Et ce n’était q
théâtre du Palais-Royal le 15 novembre de la même année. Ce fut à la représentation de cette comédie, que la troupe de Molière prit p
e honte, mais Molière l’accabla. Trissotin était appelé aux premières représentations Tricottin. L’acteur qui le représentait avait aff
18 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
al, sur les auteurs, les acteurs et les pièces, et parfois aussi, les représentations . Alexandra Dias Veira en a tiré ici toutes les an
n surtout de M. Filding12, qui eut à Londres, en 1733, plus de trente représentations , passe pour une des meilleures. Tome I, p. 128
peau pour le donner à Du Croissy*. Tome I, p. 155 À la première représentation de cette Pièce[Le Bourgeois gentilhomme], le Roi
cinq ou six jours, on joua cette Pièce pour la seconde fois. Après la représentation , le Roi, qui n’avait pas encore porté son jugemen
it à Molière : je ne vous ai point parlé de votre Pièce à la première représentation , parce que j’ai appréhendé d’être séduit, par la
ui passait pour un grand Philosophe, était sur le Théâtre, pendant la représentation  ; et à tous les éclats de rire que le Parterre fa
conçue, faite, apprise, et représentée en quinze jours. À la première représentation de cette Pièce, dès que la toile fut levée, Moliè
II, p. 24 1705, Grimarest, p. 26-27 Le Roi, en sortant de la première représentation des Fâcheux, dit à Molière, en voyant passer le C
au sujet de son Bourgeois Gentilhomme. Car ce ne fut qu’à la seconde représentation , qui fut donnée à Saint Cloud, que Sa Majesté dit
de Rambouillet : ce dernier allant voir cette Dame après la première représentation des Femmes Savantes où elle s’était trouvée, elle
it sujet. Il exigea, ce jour-là, de ses camarades, qu’on commençât la représentation à quatre heures précises. Sa femme et Baron* le p
umons sur votre Théâtre, tout devrait vous déterminer à renoncer à la représentation . N’y a-t-il que vous dans la Troupe qui puisse ex
impertinences dont les gens de sa sorte sont capables. À la première représentation , l’honnête-homme répondait à l’Apothicaire : « Al
de parler qu’à des culs. Tous les Auditeurs qui étaient à la première représentation , s’en indignèrent ; au-lieu qu’on fut ravi à la s
ome I, p. 509-511 1705, Grimarest, p. 71-75 Peu de jours avant les représentations du Malade Imaginaire, les Mousquetaires, les Gard
eure Comédie [Le Misanthrope] qui ait jamais été faite. À la première représentation , après la lecture du Sonnet d’Oronte, le Parterre
’indisposa contre la Pièce. Despréaux, après en avoir vu la troisième représentation , soutint que cette Comédie aurait bientôt un succ
acine. Un Flatteur crut faire plaisir à ce dernier, après la première représentation , en lui disant : « La Pièce est tombée ; rien n’e
La Troupe de Molière fit doubler, pour la première fois, à la seconde représentation de cette Pièce[Les Précieuses ridicules], le prix
marest, p. 19-20 Tout l’Hôtel de Rambouillet* se trouva à la première représentation des Précieuses ridicules : La Pièce fut jouée ave
n102 et Vigarani103 au Château des Tuileries, ne servit qu’aux seules représentation de Psyché, et fut abandonnée jusqu’en 1716. On en
Tome II, p. 208 Molière se donnait beaucoup de peines pour la représentation de ses Pièces, et pour former le jeu de ses camar
déclara en même-temps, que les Comédiens réservaient le produit de la représentation à l’érection de la Statue de Molière. Tome II,
1715, Ménagiana, tome 4, p. 173-174 On était assemblé pour la seconde représentation du Tartuffe, lorsqu’il arriva une défense du Parl
re son jeu. 1. Coquille : représentions (Anecdotes Dramatiques) → représentations . 2.  ??? 3. Érasme, Didier (Rotterdam v. 1469
ridicule de Palaprat. Comédie en un Acte et en prose dont la première représentation serait de 1689 et la première publication de 1694
t attaché pour le public à quelques titres rendus prestigieux par les représentations qui en ont été données au XXe siècle, et pour les
e au XVIII siècle veut que la substitution ait été effectuée lors des représentations de la troupe de Molière. » (note 21, p. 1403). 1
ère, 1690). 153. Coquille : représentions (Anecdotes Dramatiques) → représentations . 154. On retrouve cette anecdote page 37 du Bol
19 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
s acteurs consommés, s’imaginèrent de tirer profit et gloire de leurs représentations , et d’ouvrir leur théâtre au public. Le projet ét
, en 1650, il reparaît à Paris, et s’y essaie de nouveau par quelques représentations chez le prince de Conti, frère du grand Condé et
mpe. Cela ne rendait pas la place très enviable. Il continua donc les représentations du Dépit Amoureux. Cette pièce est moins que l’Ét
a troupe, présentée au roi par Monsieur, fut admise à l’honneur d’une représentation devant la cour. VI. Le théâtre, comme décor
ce temps-là sont de la même beauté que le lieu où l’on en faisait la représentation . Ensuite on les joua à la chandelle, et le théâtr
cours fut charmant, plein d’adresse, et plut beaucoup. Cette première représentation se termina donc par le Docteur Amoureux. Après av
vraie et de bon sens que lui seul a eue. On s’étouffait aux premières représentations  : il fallut doubler, tripler le prix des places p
fit que mieux connaissance avec les nouveaux comédiens ; et quarante représentations ne suffirent point à l’empressement du public. Ap
point à l’empressement du public. Après ce succès, il y eut, dans les représentations de Molière, une suspension : il lui fallut déména
édie, que le courtisan désoccupé lui en conta. » Molière lui fit les représentations les plus tendres, les plus sensées, sur la condui
uelles scènes Molière achevait d’écrire le Tartuffe, et préparait les représentations du Misanthrope. Personne, plus que lui, cependant
rosité de Molière, vint le prier de lui prêter son théâtre pour trois représentations seulement, afin de pouvoir, par le gain qu’elle e
emiers jours; mais on lui en dit tant de merveilles, qu’à la dernière représentation , quoique souffrant, il se fit porter au Palais-Ro
parce qu’alors on ne jouait que de deux jours l’un), eut vingt-et-une représentations consécutives avec foule, quoique joué seul et dan
remuées avaient tout à fait altéré sa santé. Il fallut suspendre les représentations ; il s’enferma chez lui, se mit au repos, et écriv
otesques; Mais Boileau ne l’y pouvait voir ; cela lui faisait mal. La représentation du Ballet des Muses terminée, Baron « persista, d
mencement de la nouvelle année 1667, ayant demandé, pour une deuxième représentation du Ballet des Muses, une autre comédie d’un nouve
ne put être jouée de sitôt à la ville, parce qu’après cette première représentation , qui eut lieu à Saint-Germain, Molière tomba mala
fe de Molière. Je ne sais comment on a pu en empêcher si longtemps la représentation . Si je me sauve, je lui devrai mon salut. La dévo
e pièce dont le succès avait été si grand, n’eut d’abord que quelques représentations et peu suivies. Messieurs les marquis critiquaien
la prose ? » Boileau était, dit-on, le seul qui eût ri aux premières représentations de cette pièce, que bientôt après pourtant tout l
et confondrait l’intrigue, de venir donner chez lui, à Chantilly, une représentation de sa pièce proscrite. Cette représentation eut l
hez lui, à Chantilly, une représentation de sa pièce proscrite. Cette représentation eut lieu le 20 septembre 1668, à la grande satisf
enthousiasme, vengea l’auteur de toutes les cabales. Quarante-quatre représentations , coup sur coup, suffirent à peine à satisfaire la
de cette pièce. Le roi, à la vérité, ne dit son avis qu’à la deuxième représentation  ; mais les beaux esprits se courroucèrent: « Moli
pour le théâtre, n’eut point de succès. XXX. Six mois après la représentation des Femmes savantes, en septembre 1672, Armande d
être mari en secret) de Madeleine. Madeleine Béjart, un mois après la représentation des Femmes savantes, en février, était morte. Béj
sur votre théâtre, tout enfin devrait vous déterminer à renoncer à la représentation  ; n’y a-t-il que vous dans la troupe qui puissiez
e vendredi 17 février 1673, jour où « l’on devait donner la troisième représentation du Malade imaginaire, dit Grimarest, Molière se t
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Des Pieces à spectacle. » pp. 30-36
ouse, &c. qui sont des pieces très bonnes, & l’on s’amuse aux représentations du Turban enchanté, d’Arlequin cru Prince, de Cam
plus grave, l’homme le plus ami du bon genre, de ne pas s’amuser aux représentations de cette comédie, toute monstrueuse qu’elle est ;
le Carlin un mot bien précieux, que je rapporterai : c’étoit après la représentation d’une comédie à grand spectacle, dans laquelle il
ntre ses ennemis, & des danseurs pour l’amuser. Après la premiere représentation de cette piece, je montai dans la loge de Carlin,
21 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
uisque les nombreuses Assemblées qu’on voit encore tous les jours aux représentations des Comédies de ce fameux Auteurs, font assez con
nt alors si bien valoir l’Hôtel de Bourgogne, étaient présent à cette représentation . La Pièce étant achevée, Monsieur de Molière vint
ère, ce que le vieux Poète était pour Térence. Lorsqu’il commença les représentations de cette agréable Comédie, il était malade en eff
nqué de forces pour le surmonter. Le 17 Février, jour de la quatrième représentation du Malade imaginaire, il fut si fort travaillé de
é ; à la réserve de la Salle du Palais Royal qui fut destinée pour la représentation des Opéras en Musique. Ce changement obligea les
22 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
édie du Tartuffe est un des chefs-d’œuvre de notre littérature, et sa représentation un des grands événements de notre histoire : à au
uelque sorte l’ouvrage sous la protection du roi ; le fait seul de sa représentation à Versailles devenait une sauvegarde. L’occasion
lui-même à ce qu’il parut ; après trois ans d’épreuve il en permit la représentation . Mais ce n’était pas seulement dans la protection
ui, après tant d’obstacles, allait enfin paraître au grand jour de la représentation . Le cinquième acte du Festin de Pierre peut être
usant de la permission qu’il avait obtenue du roi, donna la première représentation de cet ouvrage extraordinaire qui avait déjà fait
c assemblé : « Nous nous proposions de vous donner ce soir la seconde représentation de Tartuffe, mais monsieur le premier président n
même essayée. Si le timide Racine fut disgracié pour d’insignifiantes représentations , quel sort n’eût pas été celui de Molière déclara
les trois premiers actes du Tartuffe, qu’il avait assisté depuis à la représentation de la pièce tout entière, et qu’il n’y avait rien
uribond revient à la charge avec une nouvelle violence à propos de la représentation du Festin de Pierre. Veut-on connaître le secret
ain qu’il fut présenté au roi dans l’intervalle qui s’écoula entre la représentation des trois premiers actes à Versailles, et le mome
er tous les ressorts de son esprit, et traitant pour ainsi dire de la représentation du Tartuffe avec tout l’art et toute la dextérité
e et écrite de mémoire par un spectateur qui avait assisté à l’unique représentation de l’ouvrage ; la fidélité de l’extrait, l’enchaî
qu’en 1667 Molière, sur une permission verbale du roi, donna l’unique représentation de sa comédie, il y avait fait quelques changemen
Tartuffe par le premier président, que le roi en permit de nouveau la représentation . Depuis cette époque il n’a pas été un seul insta
; les camarades de Molière voulurent qu’il eût double part par chaque représentation , et cette décision honorable fut fidèlement exécu
d’une manière brillante ; peut-être s’était-il aperçu, à la première représentation , qu’après la scène délicieuse de la brouillerie e
ième du cinquième acte paraît avoir été composée par Molière après la représentation de L’Imposteur ; du moins l’écrivain qui en a don
harlatans s’il n’y avait pas de dupes ? En assistant aujourd’hui à la représentation du Tartuffe, ne reconnaît-on pas les grimaciers r
23 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
joie que les lettrés ne ressentent pas seuls, à coup sûr, puisque ces représentations font salle comble et que nos théâtres nationaux r
. Le vendredi 17 février 1673, jour où devait avoir lieu la quatrième représentation du Malade imaginaire, Molière, sentant que le mal
ût son monument8. Le jeudi 10 mai 1838, le Théâtre-Français donna une représentation extraordinaire, composée de L’Impromptu de Versai
a mort de Molière, en 1773, la Comédie-Française avait déjà donné une représentation solennelle dont la recette fut appliquée à l’érec
nde dramatique, une intéressante étude de M. Em. de Géricourt sur une représentation du premier centenaire de Molière, représentation
de Géricourt sur une représentation du premier centenaire de Molière, représentation qui n’a pas eu son pendant cette année. Ce fut su
moire de ce grand homme », donnerait le produit entier de la première représentation d’une pièce nouvelle, L’Assemblée. Il fallait seu
et de motiver dans les journaux que le bénéfice entier de la première représentation de L’Assemblée, qui doit être jouée mercredi proc
rès des beaux-arts. Il s’agirait de disposer du bénéfice entier de la représentation qui sera donnée à l’occasion de la centenaire de
olière, mais je ne suis embarrassé que des moyens. Croyez-vous que la représentation de la centenaire suffira pour cet objet ? D’aille
n plaisir de nos supérieurs, de consacrer le bénéfice entier de cette représentation à l’érection de la statue de Molière, de cet homm
çaise pour écouter Tartuffe et la pièce nouvelle. La recette de cette représentation solennelle fut de trois mille six cents livres se
le Roman comique, la pauvreté à combattre et l’avenir à préparer, les représentations à Bordeaux, en pleine guerre civile, la troupe de
Molière. Le comédien abandonna au profit de l’Hôtel-Dieu la première représentation qu’il donna à Rouen (juin 1658). Il devait, au mo
uen (juin 1658). Il devait, au mois d’août suivant, donner encore une représentation au bénéfice de ce même Hôtel-Dieu. A Lyon, dit M.
se prit de querelle avec des spectateurs, et troubla ridiculement la représentation . Mais je pense que l’idée de cette bouffonnerie d
de, de Corneille ; le succès fut modéré. Molière, sentant bien que la représentation semblait au roi une déception, demanda à jouer un
en, monument sans prix et sans équivalent, la liste de ces visites ou représentations de la troupe de Molière chez le roi, les princes,
nt pas toujours aussi aveugle en regardant sa femme et, à la première représentation du Tartuffe, la voyant parée comme une châsse pou
arrivés à la Comédie du Palais-Royal, le 13 janvier 1673, pendant une représentation de Psyché. Molière, quoique mourant, fort malade,
s, les fanfarons de vertu prêts au combat. Lorsque, six mois après la représentation des trois premiers actes à Versailles, Molière fi
cette pécore ? Molière dut supprimer la scène du pauvre à la seconde représentation de Dom Juan, et la rancune des ennemis du pauvre
mais, à côté de ce public de goût qui se pressait aux quarante-quatre représentations consécutives de l’ouvrage (c’était là un chiffre
e représentations consécutives de l’ouvrage (c’était là un chiffre de représentations considérable pour le temps), il y avait un autre
ant animal ! Il vécut avec une meute à ses trousses. Au lendemain des représentations de La Femme juge et partie de « ce grand homme »
e Molière. Je ne sais pas comment on a pu en empêcher si longtemps la représentation . Si je me sauve, je lui devrai mon salut. La dévo
si la pièce eût été faite de mon temps, je n’en aurais pas permis la représentation .” » Cet aveu ne prouve qu’une chose, c’est que l
dies, comme des engins de guerre ? Ce fut une date que cette première représentation de Dom Juan, où un acteur put dire une telle véri
dans ces perfides accusations. N’oublions pas que trois ans avant la représentation du Festin de Pierre, un poète, Claude le Petit, a
e 1672 (t. I, p. 207) nous montre Molière venant, deux jours avant la représentation des Femmes savantes, se défendre contre le bruit
ela par une harangue qu’il fit au public deux jours avant la première représentation de sa pièce. Et puis ce prétendu original de cett
ant de personnes, et qui fournissait abondamment aux grands frais des représentations . C’est à la faveur de ces sortes de compositions
rcel, d’abord fort lié avec Molière, se réconcilia avec lui depuis la représentation du Mariage sans mariage, à en juger par les épita
si qu’on le vit s’asseoir, en plein théâtre, parmi les marquis, à une représentation du Portrait du peintre, où Boursault raillait L’É
dans cette maison où il rendit le dernier soupir, après la quatrième représentation du Malade imaginaire. On a décrit, dans le style
’instruction pour la jeunesse ; Lui accordons privilége de donner ses représentations pendant le cours de vingt années à dater du prése
unesse de Molière (Bruxelles, avec préface de F. Delbasse). 21. Les représentations ne devinrent quotidiennes qu’après la mort de Mol
 ; à la réserve de la salle du Palais Royal, qui fut destinée pour la représentation des opéra en musique. Ce changement obligea les c
 ». Pierre Roulès mourut le 8 juillet 1666, deux ans et demi avant la représentation de Tartuffe, qui eut lieu le 5 février 1669. 35.
père au bateleur Despréaux ». Molière, quoi qu’il en ait dit avant la représentation , se vengea de Charles Cotin en mettant en scène c
24 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
es pièces de Molière la plus fortement écrite. Elle eut à la première représentation les applaudissements qu’elle méritait, mais c’éta
chercher dans le cœur humain la raison de cette tiédeur du public aux représentations du Misanthrope, peut-être les retrouverait-on dan
rapporte un fait singulier qui peut y avoir contribué. À la première représentation , après la lecture du sonnet d’Oronte, le parterre
le remit au théâtre un mois aprèsa, et le fit précéder, à la première représentation , du Fagotier, ou du Médecin malgré lui, farce qu’
bon sens, le trouveront sans doute bon ; j’en vis même, à la première représentation de cette pièce, qui se firent jouer pendant qu’on
n demeurent pas d’accord. » Le froid accueil du public aux premières représentations du Misanthrope est moins surprenant que le silenc
e prince avait connu Molière au collège, et s’était amusé à Paris des représentations de l’Illustre Théâtre, qu’il avait plusieurs fois
ituelleb. Il exigea ce jour-là de ses camarades que l’on commençât la représentation à quatre heures précises ; mais sa femme et Baron
pas, et qui ne jugeait du mérite d’une comédie que par le nombre des représentations et par l’affluence des spectateurs. Ce sont appar
, pour juger, par l’impression qu’elle en recevait, de l’effet que la représentation produirait sur le théâtre. Il est peu vraisemblab
suivant. « [*] Le Sicilien, ou l’Amour peintre suivit de près les représentations (de la Pastorale comique, et la pastorale héroïqu
s de Robinet, qui présente un récit qui n’est pas moins curieux de la représentation de George Dandin. Lettre en vers de Robinet, du 2
énérale ; l’auteur, qui avait été obligé de le retirer* à la septième représentation , le fit reparaître sur la scène en 1668. On fut f
qu’un pareil caractère pourrait diminuer, dans un fils qui verrait la représentation de L’Avare, les sentiments de respect qu’il doit
t 1667a. L’ordre, qui lui fut envoyé le lendemainb, d’en suspendre la représentation le rendit moins sensible aux applaudissements qu’
en que sa propre gloire. » Voici de quelle façon Robinet parle de la représentation de Pourceaugnac devant le roi et la Cour, à Chamb
du Misanthrope, il le donna au public, mais il sentit dès la première représentation que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admir
au Médecin malgré lui, pour soutenir Le Misanthrope ; dont la seconde représentation fut encore plus faible que la première, ce qui l’
prochant, que la troupe avait représentée (en province). La troisième représentation du Misanthrope fut encore moins heureuse que les
suffrage général n’ait été déclaré en sa faveur qu’après huit ou dix représentations , quand on fait réflexion aux circonstances où Mol
ope qui était écrit dans le bon goût. Mais après un certain nombre de représentations , le monde comprit que la manière de traiter la co
es que M. le duc de Montausier donna au Misanthrope après la première représentation . Despréaux, après avoir vu la troisième, soutint
cteur, dont voici le commencement : « Le Misanthrope, dès sa première représentation , ayant reçu du théâtre l’approbation que le lecte
sir, flattés par quelque succès, voulurent tirer de l’argent de leurs représentations , et s’établirent dans le jeu de paume de la Croix
ges de Molière. a. Le vendredi 17 février 1673, jour de la quatrième représentation du Malade imaginaire, mourut M. Molière à dix heu
e. a. Toutes les éditions des Œuvres de Molière marquent la première représentation de l’Amphitryon au 13 juin 1668. Cependant, par l
e toutes les éditions des Œuvres de Molière, qui marquent la première représentation de L’Avare au 9 septembre 1668. Cependant on sait
Ô Ciel, pardonnez-moi comme je lui pardonne. » c. Ce fut sur cette représentation du 5 août 1667 qu’un auteur anonyme composa une b
btint du roi une permission verbale de jouer Le Tartuffe. La première représentation en fut donc faite à Paris le 5 août 1667. Le lend
nous comptions avoir aujourd’hui l’honneur de vous donner la seconde représentation du Tartuffe ; mais M. le premier président ne veu
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. » pp. 53-56
rand succès, puisque les comédiens firent payer double dès la seconde représentation , & qu’elle se soutint pendant quatre mois de
n’en sais rien ; mais je sais qu’on n’en parle plus. Je sais qu’à la représentation des Précieuses, un vieillard, frappé par la vérit
oilà la bonne Comédie : je sais que Ménage, en sortant de la premiere représentation , dit à Chapelain : « Nous approuvions, vous &
26 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
e de recettes très productives : celle, entre autres, de la cinquième représentation s’éleva à 2,390 livres, somme très considérable p
dans la lettre qui parut le 14 février, la veille même de la première représentation de Don Juan, que faire l’annonce de cette pièce,
e rabattit, sur la scène du pauvre et la fit supprimer dès la seconde représentation . Aujourd’hui, en présence de cet épisode replacé
n, fut blessé de quelques traits hasardés, que l’auteur supprima à la représentation . » De plus, la scène dont il s’agit a-t-elle été
e, mais qui ressort pour moi avec évidence de l’effet produit par les représentations qui viennent d’avoir lieu. Chose étrange ! pendan
our toujours dans nos bibliothèques, et étudions, au grand jour de la représentation , la vraie, la poétique, la profonde création du m
27 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
fit alors deux éditions sur des copies rédigées à la hâte pendant les représentations de la pièce. L’édition de Daniel Elzevier, 1674,
ie qu’à un effort de la mémoire d’une personne qui en a vu plusieurs représentations . Certes, ce n’était pas le moyen de donner du cr
lgré lui. Ainsi commença Molière ; ainsi il s’essayait en sortant des représentations de ses premiers modèles, Gautier Garguille, Turlu
que Benserade ne publia son livre que dix-sept ans après la première représentation des Précieuses. Êtes-vous frappé de ce vers pron
i ont le discernement assez heureux pour sentir à la lecture, ou à la représentation de ses pièces, toutes les beautés qu’il y a répan
aginant être de bons acteurs, s’avisèrent de tirer du profit de leurs représentations . Ils pensèrent bien sérieusement aux moyens d’exé
uées pendant quatre mois de suite. M. Ménage, qui était à la première représentation de cette pièce, en jugea favorablement. « Elle fu
ons brûlé. Cela arriva comme je l’avais prédit, et dès cette première représentation , l’on revint du galimatias et du style forcé. »
 ; que ce fut le roi qui lui donna ce sujet en sortant de la première représentation de cette pièce, qui se donna chez M. Fouquet. Sa
ment, afin que le petit gain qu’elle espérait de faire dans ses trois représentations lui servît à remettre sa troupe en état. Molière
dit tant de bien, qu’il se fit porter au Palais-Royal à la troisième représentation , tout malade qu’il était. Les comédiens de l’hôte
la tranquillité domestique des familles. Enfin ceux qui faisaient ces représentations au roi donnèrent de bonnes raisons, puisque Sa Ma
laissa passer quelque temps avant que de hasarder une seconde fois la représentation du Tartuffe ; et l’on donna pendant ce temps-là S
Misanthrope, il le donna au public ; mais il sentit, dès la première représentation , que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admi
au Médecin malgré lui, pour soutenir le Misanthrope, dont la seconde représentation fut encore plus faible que la première, ce qui l’
amp dans les commencements ; il n’avait qu’à transcrire. La troisième représentation du Misanthrope fut encore moins heureuse que les
iter qu’il ne se fût point avisé de défendre sa pièce. A la quatrième représentation du Misanthrope il donna son Fagotier, qui fit bie
ope 98 et avant le Médecin malgré, et qu’ainsi la date de la première représentation de ces deux dernières pièces, que l’on a mise dan
pour le philosophe du Bourgeois gentilhomme ; et afin d’en rendre la représentation plus heureuse, Molière fit dessein d’emprunter un
ière dans une bagatelle fait connaître celle qu’il avait à rendre ses représentations heureuses : il savait que, quelque recherche qu’i
ccès de ses pièces causa de la mortification à sa femme à la première représentation du Tartuffe. Comme cette pièce promettait beaucou
évoltée. Cependant on joua cette pièce pour la seconde fois. Après la représentation , le roi, qui n’avait point encore porté son jugem
à Molière : « Je ne vous ai point parlé de votre pièce à la première représentation , parce que j’ai appréhendé d’être séduit par la m
de cour et pour le peuple. » Le roi n’avait point parlé à la première représentation de cette pièce ; mais à la seconde, qui se donna
ient pris tout d’un coup. Le jour que l’on devait donner la troisième représentation du Malade imaginaire, Molière se trouva tourmenté
tourdi et le Dépit amoureux, car il mourut en 1659, avant la première représentation des Précieuses ridicules. Béjart paraît être l’a
l’hôtel de Bourgogne, et leur dit qu’on sortait toujours triste de la représentation de leurs pièces, et qu’il leur ordonnait de s’ass
dit auprès du prince de Conti. Cette date est établie par la première représentation du Dépit amoureux, et par les Mémoires de Dassouc
e époque, le spectacle commençait entre trois et quatre heures : deux représentations étaient donc possibles. 57. Comment ose-t-on écr
re ne fut pas représenté avant le 9 septembre 1668. Il eut alors neuf représentations , et onze deux mois après. Ces premières représent
ut alors neuf représentations, et onze deux mois après. Ces premières représentations , il est vrai, furent presque désertes ; mais Boil
ons vu de nos jours. Molière, original français, n’a jamais perdu une représentation de cet original italien. » (Ménagiana, tome II, p
Molière lui-même, qui nous la raconta peu de jours avant la première représentation du Tartuffe. On parlait du pouvoir de l’imitation
recevant la défense au moment même où on allait commencer la seconde représentation , dit aux nombreux spectateurs qu’elle avait attir
e lendemain 6, et c’est le dimanche 7 que devait se donner la seconde représentation . Il est donc faux que la défense ait été notifiée
la saison la plus défavorable aux spectacles, et il eut vingt et une représentations consécutives dont il fit seul tous les frais, auc
ièce, ni ancienne, ni nouvelle, n’ayant été donnée à la suite. De ces représentations , dont le nombre suffisait alors pour constater un
1664, à la sixième journée des Plaisirs de l’Ile enchantée ; mais la représentation de la pièce entière n’eut lieu que le 5 août 1667
e Montausier, c’est-à-dire plus de vingt-quatre ans après la première représentation du Misanthrope. Nous prouverons dans la suite que
ec cet habit que le rôle fut joué. 115. Ce fut peu de temps après la représentation des Femmes savantes que Louis XIV demanda à Boile
dans le premier intermède et dans le sixième. Ils furent ajoutés aux représentations suivantes. 118. On croit que c’est Boileau de P
ls se rendissent mutuellement justice sur leurs ouvrages… La première représentation des Plaideurs ayant été mal reçue, Molière, qui é
quaient méritaient qu’on se moquât d’eux… Le lendemain de la première représentation du Misanthrope, qui fut très malheureuse, un homm
sur votre théâtre, tout enfin devrait vous déterminer à renoncer à la représentation  ; n’y a-t-il que vous dans la troupe qui puissiez
it et le vice et l’ignorance, que bien des gens se sont corrigés à la représentation de ses ouvrages pleins de gaieté, ce qu’ils n’aur
et la victime. 133. Sans doute en 1662, puisqu’il joua à la première représentation de l’École des Femmes. 134. Lettres sur Baron,
28 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
Lulli, fut joué, le 15 septembre 1665, à Versailles, où il eut trois représentations de suite. Le 22 du même mois, il fut joué à Paris
ssoires de danse et de musique dont il était orné à la cour, et cette représentation fut suivie de vingt-six autres sans interruption.
et Esprit. Gui Patin a consigné, dans ses Lettres, la nouvelle de la représentation de L’Amour médecin, d’une manière inexacte, mais
ans la saison la plus défavorable aux spectacles, et il eut vingt-une représentations consécutives dont il fit seul tous les frais, auc
ièce, ni ancienne, ni nouvelle, n’ayant été donnée à la suite. De ces représentations , dont le nombre suffisait alors pour constater un
été préparée à goûter Le Misanthrope. De Visé, témoin de la première représentation , a écrit, et l’on a mille fois répété d’après lui
érêt plus vil encore, vint dire à Racine, le lendemain de la première représentation du Misanthrope, que la pièce était tombée, et que
fut joué, pour la première fois, le 6 août 1666, et il eut vingt-six représentations de suite : c’était cinq de plus que Le Misanthrop
29 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
mes fut jouée, pour la première fois, le 26 décembre 1662, eut trente représentations de suite, et fut imprimée au commencement de 1663
Ce passage prouve quelle importance et quel soin Molière mettait à la représentation de ses ouvrages. Une pièce de lui, jouée par lui-
Voltaire, La Harpe, et beaucoup d’autres, trompés apparemment par la représentation , où la tyrannique division des emplois nous fait
s : « L’idée de ce dialogue me vint après les deux ou trois premières représentations de ma pièce. Je la dis, cette idée, dans une mais
’il donnerait suite à son projet, et ce ne fut que cinq mois après la représentation de L’École des femmes, qu’il fit jouer La Critiqu
, le 2 décembre 1667, une tragédie intitulée Cléopâtre. Elle eut onze représentations , ce qui annonce quelque succès ; et ne fut cepend
gne de Ruel. Montfleury mourut en décembre 1667, pendant le cours des représentations d’Andromaque. Racine lui avait confié le rôle d’O
itesse avec laquelle elle fut faite et mise au théâtre. La date de la représentation donnée devant le roi est indécise. Le 4 novembre
 novembre suivant, la pièce fut jouée à Paris, et elle y eut dix-neuf représentations consécutives. Molière ne la fit point imprimer ;
attaquer ; et Boileau aima mieux employer son crédit pour empêcher la représentation de la pièce, que son talent pour en châtier l’aut
le théâtre du Palais-Royal, le 15 février suivant ; elle y eut douze représentations de suite, et ne fut imprimée que quatre ans après
’il passait pour un grand philosophe, assistant, sur le théâtre, à la représentation de L’École des femmes, haussait les épaules à cha
30 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [18, p. 48] »
173-174 1775, Anecdotes dramatiques, tome III, p. 347 La première représentation du Tartuffe fit un bruit étonnant dans Paris. Les
nt défendit de jouer cette comédie. On était assemblé pour la seconde représentation , lorsque la défense arriva. « Messieurs, dit Moli
31 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
seulement, il figure sous le titre de pièce nouvelle ; et, après neuf représentations qui ne furent pas tout à fait consécutives, il di
aît pour ne se remontrer que plus de deux mois après, et obtenir onze représentations , à la faveur de je ne sais quelle farce nouvelle.
ieu de se borner à extraire de cette Relation, les intermèdes dont la représentation de la comédie fut accompagnée à Versailles seulem
ce fut jouée à Paris, sans les intermèdes, et elle eut une dizaine de représentations presque consécutives. Molière se disposait, dit-o
même année, ne fit pas moins rire la ville que la cour, et eut vingt représentations consécutives. On prétendit, dans le temps, que Po
bereau. Robinet, dans sa gazette rimée, rendant compte de la première représentation donnée au public, s’exprime en ces termes : L’or
e, pour le rendre plus ridicule et plus absurde encore. Ici, c’est la représentation fidèle et point exagérée d’une consultation au di
théâtre de la rue de Guénégaud, le 15 octobre 1688, et elle eut neuf représentations . Au commencement du siècle suivant, le 21 juin 17
la chambre où Anne d’Autriche le mettait au monde. Vingt ans avant la représentation des Amants magnifiques, un nommé Morin, qui, ne t
ue le héros grec se montre modeste. Ce fut très peu de temps après la représentation des Amants magnifiques, que Mademoiselle fit conf
qu’un pareil caractère pourrait diminuer, dans un fils qui verrait la représentation de L’Avare, les sentiments de respect qu’il doit
32 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [12, p. 43-44] »
cinq à six jours, on joua cette pièce pour la seconde fois. Après la représentation , le roi, qui n’avait pas encore porté son jugemen
à Molière : « Je ne vous ai point parlé de votre pièce à la première représentation parce que j’ai appréhendé d’être séduit par la ma
33 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
e la lecture n’y laisse découvrir des défauts que les agréments de la représentation semblent avoir jusqu’ici assez heureusement dégui
nt alors si bien valoir l’Hôtel de Bourgogne étaient présents à cette représentation . La pièce étant achevée, M. de Molière vint sur l
de Molière (in-12, 1705), qui est le premier et le seul qui parle des représentations des Précieuses en province, et nous trouvons deux
e public. » Un particulier nommé Neufvillenaine, qui, en cinq ou six représentations , avait retenu toute cette comédie, la fit imprime
evoir rapporter la préface, qui contient plusieurs faits tant sur les représentations du Cocu imaginaire que sur la comédie des Précieu
argeur, et d’autant de profondeur. » Ce théâtre servit longtemps aux représentations des comédiens français de l’Hôtel de Bourgogne et
e des spectateurs obligea les comédiens à faire payer, dès la seconde représentation , le double du prix ordinaire. La pièce se soutint
int pendant quatre mois de suite. » b. « [*]J’étais à la première représentation des Précieuses ridicules de Molière, au Petit-Bou
ns brûlé.” Cela arriva comme je l’avais prédit, et dès cette première représentation , l’on revint du galimatias, et du style forcé. »
34 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
s inégales de la pièce comique, dont l’une précède et l’autre suit la représentation de ce divertissement, furent comptées chacune pou
ons aujourd’hui, sur le théâtre du Palais-Royal, où elle eut quatorze représentations consécutives. Molière, dans sa jeunesse, avait be
est mille ; elle n’est qu’une suite de conversations, que suspend la représentation d’un divertissement, interrompue elle-même par l’
grande maîtresse de l’ordre des précieuses, avait précédé d’un an la représentation des Femmes savantes. Rien n’est moins raisonnable
théâtre du Palais-Royal, le 11 mars 1672, et elle n’eut que dix-neuf représentations , dont les neuf premières seulement furent un peu
erre. De Visé, dans son Mercure galant, rendant compte de la première représentation , dit que, deux jours auparavant, Molière s’en ét
t ans ; il aurait dû aussi ajouter qu’entre cette mort et la première représentation des Femmes savantes, il ne s’était pas écoulé moi
ti du poète calomnié ou méconnu, depuis Les Précieuses ridicules à la représentation desquelles il eut le courage de proclamer l’aboli
res considérables de Paris, qui, deux ans seulement après la première représentation du Malade imaginaire, et quand cette comédie fais
chef-d’œuvre de gaieté comique. Le vendredi 17, jour de la quatrième représentation , Molière, qui remplissait le rôle d’Argan, se sen
çât à quatre heures précises. Il fit, pour aller jusqu’à la fin de la représentation , des efforts qui sans doute aggravèrent beaucoup
. Comme il avait fallu que La Thorillière apprît le rôle d’Argan, les représentations du Malade imaginaire ne purent être reprises que
ois de suite ; ce qui fait monter à soixante-deux le nombre total des représentations . Aucun ouvrage de Molière n’en avait eu autant da
35 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
i ont le discernement assez heureux pour sentir à la lecture, ou à la représentation de ses Pièces, toutes les beautés qu’il y a répan
aginant être de bons Acteurs, s’avisèrent de tirer du profit de leurs représentations . Ils pensèrent bien sérieusement aux moyens d’exé
uées pendant quatre mois de suite. Mr Ménage, qui était à la première représentation de cette Pièce, en jugea favorablement. « Elle fu
ns brûlé. Cela arriva, comme je l’avais prédit, et dès cette première représentation l’on revint du galimatias, et du style forcé. »
: que ce fut le Roi qui lui donna ce sujet, en sortant de la première représentation de cette Pièce, qui se donna chez Mr Fouquet. Sa
ment, afin que le petit gain qu’elle espérait de faire dans ses trois représentations lui servît à remettre sa Troupe en état. Molière
dit tant de bien, qu’il se fit porter au Palais Royal à la troisième représentation , tout malade qu’il était. Les Comédiens de l’Hôte
c de bonnes raisons, puisque Sa Majesté jugea à propos de défendre la représentation du Tartuffe. Cet ordre fut un coup de foudre pour
laissa passer quelque temps avant que de hasarder une seconde fois la représentation du Tartuffe : Et l’on donna pendant ce temps-là S
Misanthrope ; il le donna au Public : Mais il sentit dès la première représentation que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admir
au Médecin malgré lui, pour soutenir le Misanthrope, dont la seconde représentation fut encore plus faible que la première : Ce qui l
amp dans les commencements ; il n’avait qu’à transcrire. La troisième représentation du Misanthrope fut encore moins heureuse que les
iter qu’il ne se fût point avisé de défendre sa pièce. À la quatrième représentation du Misanthrope il donna son fagotier, qui fit bie
, et avant le Médecin malgré lui : Et qu’ainsi la date de la première représentation de ces deux dernières pièces, que l’on a mise dan
pour le Philosophe du Bourgeois Gentilhomme ; et afin d’en rendre la représentation plus heureuse, Molière fit dessein d’emprunter un
ière dans une bagatelle fait connaître celle qu’il avait à rendre ses représentations heureuses. Il savait que quelque recherche qu’il
cès de ses pièces, causa de la mortification à sa femme à la première représentation du Tartuffe. Comme cette pièce promettait beaucou
évoltée. Cependant on joua cette pièce pour la seconde fois. Après la représentation , le Roi, qui n’avait point encore porté son jugem
à Molière. ―  Je ne vous ai point parlé de votre pièce à la première représentation , parce que j’ai appréhendé d’être séduit par la m
de Cour, et pour le Peuple. Le Roi n’avait point parlé à la première représentation de cette pièce. Mais à la seconde qui se donna à
ient pris tout d’un coup. Le jour que l’on devait donner la troisième représentation du Malade Imaginaire, Molière se trouva tourmenté
36 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
et coulisses, qui servaient déjà dans le tripot des Métayers, et les représentations commencent. Trois mois après, tout va mal encore 
etc. Quand la troupe se croit organisée et a fait quelques essais de représentations « en visite », comme on disait, chez quelque gran
et coulisses, qui servaient déjà dans le tripot des Métayers ; et les représentations commencent. Trois mois après, tout va de mal en p
ent rien sans lui, il fallait qu’il suspendit, pendant deux mois, ses représentations  ! Ainsi, malade lui-même d’âme et de corps, souff
oire une tradition transmise par Grimarest, à l’époque de la première représentation du Bourgeois gentilhomme, qui fut, on le sait, do
vance et qu’il portait même déjà14, l’empêchèrent de prendre part aux représentations de la troupe. Il ne s’y mêla que comme conseiller
et je jurerais que, si le talent de Molière était nécessaire dans les représentations , son petit avoir ne l’était pas moins, pour suppl
nement rappelèrent bientôt en Provence, ne put assister à la première représentation du Festin de Pierre. Quant à la maison natale de
n cinq actes et en vers, comme celle de Dorimond, et dont la première représentation eut lieu au commencement de 1653, de Villiers exp
qu’Anne d’Autriche n’était peut-être pas la dernière à empêcher : la représentation du Tartufe. L’occasion était bonne, car justement
re, en faisant venir en France une troupe de comédiens espagnols, aux représentations desquels elle apportait une assiduité, qu’elle dé
de ce qui s’était dit dans le monde dévot, dès le soir de la première représentation , ne devaient pas être perdues ; elle portèrent co
des gens de la Comédie. Quand Molière ne fut plus là pour imposer la représentation de sa pièce, elle disparut de l’affiche, à la gra
a que de Visé, son ami, fit, dans le Mercure galant, à l’époque de la représentation de la pièce mise en vers, le petit article cité t
plus hardi ? Ce n’est pas tout : Rochemont sait qu’après la première représentation , le téméraire épisode a été supprimé, et il veut
petite note, qui, comme le reste, a bien son prix : « En la première représentation . » De cette façon, il apprend indirectement à ceu
ussi, il fait acte de conscience : à ceux qui, n’ayant assisté qu’aux représentations qui suivirent, s’étonneraient de ce qu’il dit, il
l qu’il existait dans le manuscrit de Molière, le soir de la première représentation , et sur cette copie que Voltaire disait avoir vue
e théâtre de la Grange. Cette Troupe ne réussit pas, dans sa première représentation , au gré de madame de Calvimont, ni, par conséquen
e petite cour, qu’on ne dédaignait même pas de prendre du plaisir aux représentations de comédiens de campagne, et qu’au lieu d’une com
ts, quand on y connut la pièce, soit par la lecture, soit même par la représentation  ; car les loges grillées existaient déjà, et plus
e dévote contre Molière, c’est que les récits partout répandus sur la représentation de Versailles et sur les lectures qu’il avait fai
à Villers-Cotterets, devant Monsieur, son protecteur. Mais toutes ces représentations d’essai ne devaient aboutir, comme résultat, qu’à
as la date de ce premier placet, mais il est certain qu’il devança la représentation du Festin de Pierre. Il est, en effet, cité dans
ster contre ce qu’elles avaient d’insupportable. Peu de mois après la représentation de Don Juan, ce nouveau prétexte d’intolérance po
nge avait mis sur son Registre : « Vendredi 4 décembre 1665. Première représentation du Grand Alexandre et de Porus, pièce nouvelle de
réditer près des honnêtes gens et de rendre encore plus impossible la représentation du Tartuffe ; et cet homme, qui, sans paraître un
les fureurs de l’abbé Roquette contre 1 auteur du Tartuffe. Depuis la représentation de la pièce à Versailles, à Villers-Cotterets, au
e pas sentir, mais qu’il songea de lui-même à réparer pour la seconde représentation du Ballet, renvoyée au mois de janvier suivant. I
son esprit le courage et la sérénité : le roi venait de permettre la représentation du Tartuffe. XIV. Si les délais sont néces
outait les criailleries dévotes, il s’arrangea aussi de sorte que les représentations de la comédie n’eussent lieu que pendant son abse
, qui venait, de la part de M. le président de Lamoignon, défendre la représentation affichée. Il n’y avait qu’à se soumettre ; Molièr
la part de Louis XIV, si elles justifiaient Molière d’avoir donné une représentation , ne lui permettaient pas d’en donner de nouvelles
compte-rendu que fit paraître madame de Villedieu, après la première représentation de la pièce à Taris. Cette analyse, exacte le jou
n esprit nouveau, ajoutait sans doute, par l’imprévu, au charme de la représentation , mais elle empêchait aussi qu’une comédie de form
e confiance en la bonté du roi. Voici ce que raconte l’Estoile, de la représentation et de ce qui s’ensuivit : Le vendredi, 26 de ce
l’Hôtel de Bourgogne, et si, par exemple, c’eût été au Louvre que la représentation eût eu lieu, nous serions embarrassé de savoir qu
s à l’honneur de l’amuser, le soir, dans sa chambre. Elle donnait des représentations publiques à l’hôtel d’Argent, vieille maison situ
que ces privilégiés fainéants prétendaient pouvoir exiger par chaque représentation . Richelieu laissa l’étrange légalité du monopole
s principaux de la Troupe de l’Hôtel de Bourgogne, leur dit que leurs représentations étaient d un ennui mortel, auprès du plaisant spe
(— Nous savons aujourd’hui qu’il joua à Dijon, — ) en Bretagne (— Les représentations qu’il donna à Nantes sont un fait depuis longtemp
lités étaient alors de mise ; la farce, par laquelle on finissait les représentations théâtrales, n’avait même pas d’autres ressources
ode de leur pays, c’est-à-dire en renouvelant le dialogue pour chaque représentation , au hasard de l’esprit et de l’inspiration de cha
qui le redemandait à Paris. C’était en juillet 1661, un mois avant la représentation des Fâcheux. Fouquet, pour s’entendre avec lui au
vengeance de l’autre chagrin : il parla.’ Six mois après la première représentation de l’École des Femmes, Molière, auquel rien n’ava
réponse à Celles de Molière, surtout à la dernière. Par allusion à la représentation solennelle que Condé en avait fait donner chez lu
trait qu’on a fait de lui », il ne ment pas. On le vit, un soir, à la représentation du Portrait du Peintre, bien en vue, riant même e
toujours Misantrope), c’est l’édition originale de 1666, année de la représentation , qu’il faut suivre, et non pas celle de 1682, arr
laisant, sans être trop ridicule », écrivait, quelques jours après la représentation , le journaliste Donneau de Visé, dans une Lettre
e par l’inventaire : « Item. Une autre boite où sont les habits de la représentation du Misanthrope, consistant en haut de chausses et
ublic se remît de cette émotion, en épuisant peu à peu, par cinquante représentations consécutives, données de deux jours l’un, le succ
e temps qui le vit naître est une époque sans pareille. II. Les représentations de Tartuffe, sur toute la ligne des théâtres éman
mois qui s’écoulèrent, entre la révélation de ce nouveau roman et la représentation de sa pièce, lui auront suffi pour que celle-ci f
res, loin d’interdire le théâtre aux élèves, les y exerçaient par des représentations de pièces antiques, on de comédies et tragédies q
de satisfaction qui ne se peut exprimer. Je vous ai fort désiré, à la représentation de ces deux pièces. » A la suite de l’une et de
aujourd’hui des mots. — Il en eut une des plus amusantes à l’une des représentations des Sosies. Le fracas dont est accompagné le dép
it pas à la pièce. Une fois dite, on la lui fit répéter à chacune des représentations . Elles durèrent longtemps, et, après avoir amusé
s choisies, quand, à son arrivée en quelque ville, elle préparait ses représentations dans le jeu de paume le plus commode, nous donnen
nt, lorsque, avec les Béjard, il courait la province. Cet exercice de représentations sans cesse renouvelées, devant des publics aussi
re. Le 22 septembre 1668, par exemple, quinze jours après la première représentation , Monsieur, frère du Roi, et Madame, qui voulaient
traduction en vers de Thomas Corneille avait seule les honneurs de la représentation . Les comédiens l’avaient ainsi voulu, et aussi le
re fois presque de suite. En janvier 1673, deux ans après la première représentation , on la donnait encore. Molière y parut, moins d’u
Aloysia fut publiée à Grenoble, vers 1660 (sept ans avant la première représentation du Tartuffe), aux frais de M. Du May, avocat géné
l avait non-seulement assisté à la composition de la pièce, mais à sa représentation  ? et que, par conséquent, tout ce qui s’y trouve,
e et ce que nous apprend le Registre de Lagrange. Au retour d’une représentation du Bourgeois gentilhomme, l’occasion étant bonne
a pas de celle que, l’année d’auparavant, avait produite la cinquième représentation de Tartuffe : 2,310 livres. La seconde du Bourgeo
r longtemps, avait, à son ordinaire été généreux. Quoique la dernière représentation d’Attila dût le mettre en garde, il n’avait pas m
eille la même somme, 2,000 livres, versée le jour même de la première représentation de sa tragédie nouvelle. Lagrange écrit, en effet
ère recette n’alla pas à moins de 1,913 livres, et pendant les autres représentations , qui alternèrent à chiffres presque égaux avec ce
ont pas seulement, en effet, l’intérêt de gaîté qu’ils jettent sur la représentation , ils ont encore, et sous plus d’un point de vue,
faux dans la moisson d’autrui, en demandant au roi le privilège de la représentation des opéras. Voilà ma faute ; en voici la punition
prédilection. Malheureusement Molière mourut bientôt. A la quatrième représentation du Malade, il fallut l’emporter, tout couvert du
et pour le seul plaisir d’enseigner. Or, nous n’avons guère là qu’une représentation de professeurs, où chacun avait l’air de vouloir
ay et riant à plus belles dents. Garraud lui tient fort bien tète. La représentation a donc été excellente. Le peuple-roi s’est amusé
gloire et cette fortune, va vous le dire. On y lisait au total de ses représentations  : 4,394,234 francs 10 centimes. Je dépose en vos
t de motiver dans les journaux, que le bénéfice entier de la première représentation de L’Assemblée, qui doit être jouée, mercredi pro
Mémoires secrets , on a ajouté, sur l’affiche, que le profit de cette représentation serait consacré à une statue en l’honneur du gran
le, et dans la journée, et le soir ; c’était le terme marqué pour les représentations , mai- il a semblé qu’en raison de cette affluence
sien, aura, en France, à Paris, sombré, sans échos, dans le vide. Les représentations , que nous avons suivies le plus assidûment possib
ine, Dorine, et, par dessus tout, la Marinette du Dépit amoureux ! La représentation du Misanthrope est de celles qui, dans toute la s
, d’ailleurs, juger de l’aspect de la maison natale de.Molière par la représentation que Vincent en a donnée dans son tableau du prési
d’une lecture du Misanthrope. Je pense plutôt que ce dut être à cette représentation , donnée pour elle et dont Grimarest ne semble pas
pour faire connaître sa comédie, lorsqu’il y avait des obstacles à sa représentation . » 144. La première partie de cette étude, sur
37 (1818) Épître à Molière pp. 6-18
nos censeurs : quel est celui d’entre eux qui aurait osé autoriser la représentation du Tartuffe, qui fait autant d’honneur à Louis XI
à eux que s’adressent mes humbles remontrances. Cependant, à une des représentations du Solliciteur, l’expression de figure féodale, d
chatouilleuses on l’avouera, et cette plaisanterie fut supprimée à la représentation suivante. N’a-t-on pas lieu de s’étonner de cette
, les baïonnettes de la gendarmerie employées à maintenir l’ordre aux représentations orageuses du Combat des Montagnes, où les méconte
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
e monde. LA PARISIENNE, d’un acte en prose. Cette piece eut neuf représentations . Les scenes les plus plaisantes sont prises de l’
LA TRAHISON PUNIE, en cinq actes en vers. Cette comédie eut sept représentations . D’Ancourt l’a faite d’après le Traître puni, com
cependant le crédit de d’Ancourt la fit traîner jusqu’à la cinquieme représentation . L’Auteur a transporté dans sa comédie presque to
en prose. Quoique cette piece ait eu dans sa nouveauté vingt-sept représentations , gardons-nous bien de la croire excellente. L’int
ire. LE TUTEUR, en un acte & en vers. Cette piece eut seize représentations . MM. Parfait disent, dans leur Histoire du Théâtr
MARI RETROUVÉ, en un acte en prose. Cette comédie eut vingt-trois représentations . Deux histoires réelles ont fourni à d’Ancourt le
« Cette petite comédie a extrêmement diverti tous ceux qui ont vu les représentations , & je me suis étonnée moi-même que, sans aucu
tte piece fut jouée à Paris le Jeudi 13 Décembre 1685 ; elle eut neuf représentations . Elle n’a jamais été imprimée en France ; elle le
fut en Hollande en 1696, sous le nom de Palaprat, douze ans avant les représentations de Madame Artus. 17. Regnard, dans son Retour i
39 (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32
uent avidement ceux nés dans la classe ordinaire ; de l’autre, par la représentation des grandes infortunes et des excès affreux auxqu
ut le reste, n’a pas franchi toujours heureusement. Ici, c’est par la représentation vive et animée des objets qui ont frappé l’auteur
ersellement connues. Unité d’action. Une pièce de théâtre est la représentation d’un fait unique, elle ne peut montrer à la fois
aîtres, il y a des invraisemblances ; et cependant à la lecture, à la représentation , elles échappent ; ce n’est qu’après un examen ap
signalés ! Quelle impression n’éprouve-t-on pas à la lecture ou à la représentation de ce chef-d’œuvre ; qui n’est pas ému, attendri
40 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
c’était la première fois de l’année qu’ils s’y montraient. Combien de représentations , depuis le 1er janvier jusqu’au 1er juin, en cinq
de lui Racine ! Oh ! pour celui-ci, son affaire est nette. Combien de représentations depuis le 1er janvier ? Zéro. Vous lisez bien : z
on nous demanderons comment L’Avare, en dix-sept mois, a mérité seize représentations et le Misanthrope seulement neuf, Les Femmes sava
re que Le Député de Bombignac, en 1884, n’atteigne pas cinquante-sept représentations , et la Duchesse Martin cinquante-deux ? Que Denis
e. Le Testament de César Girodot se serait contenté assurément de dix représentations , l’année dernière, ou L’Ami Fritz de douze, ou Le
41 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
l. Cette leçon n’est pas la seule : on voit encore, dans don Juan, la représentation du bandeau funeste qui vient fermer l’esprit du m
t pas le lieu non plus de raconter l’histoire de cette pièce, dont la représentation fut une affaire d’Etat, non-seulement du temps de
si la pièce eût été faite de mon temps, je n’en aurais pas permis la représentation . » (Cité par Ch. Louandre, Œuvres de Molière, édi
isant concevoir d’injustes soupçons de la vraie piété par de malignes représentations de la fausse. Voilà ce qu’ils ont prétendu, expos
onti aux états de Montpellier, moins de deux ans avant l’époque de la représentation du Dépit amoureux à Béziers, était d’avoir obligé
42 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre IV. — Molière. Chœur des Français » pp. 178-183
ière règle de la comédie, c’est de peindre l’homme de tous les temps. Représentation de la nature humaine244, l’art comique a pour con
me règle de la comédie, c’est de peindre les originaux d’une société. Représentation des mœurs sociales dans le cercle de la vie privé
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
e, pour la premiere fois, le mercredi 27 Février 1692 ; elle eut neuf représentations . Dufresny y parodie cette fameuse scene du Festin
iece, jouée pour la premiere fois le samedi 24 Février 1703, eut cinq représentations , & dut une partie de son mauvais succès à la
ésentée pour la premiere fois le vendredi 12 Mai 1719, n’eut que sept représentations  ; elle en méritoit certainement un plus grand nom
pour la premiere fois le vendredi 14 Février 1721 ; elle eut dix-huit représentations . L’aventure du faux Martin Guerre a fourni le fon
44 (1802) Études sur Molière pp. -355
payer leurs plaisirs. Je vois encore Pocquelin suivre exactement les représentations des comédiens italiens, qui, de temps en temps, s
un théâtre élevé dans la salle des gardes du Vieux-Louvre10. Après la représentation de cette pièce, Molière prononça un discours dans
mblablement indiqué, leur a développé, aux répétitions, aux premières représentations , tout ce qu’il avait voulu mettre dans les vers,
ien à faire des poupées avec sa ceinture, et que, dans le reste de la représentation , je n’aperçois plus, dans ce petit être sautillan
fut pas moins jouée quatre mois de suite, et cependant dès la seconde représentation , les comédiens doublèrent le prix des places17. L
té par notre auteur, devint son plagiaire, en profitant des premières représentations des Précieuses pour corriger sa pièce ; il la fit
e 28 mai. Si l’on jugeait du mérite d’un ouvrage par le nombre de ses représentations , nous trouverions celui-ci excellent ; il en eut
ent pas à lui faire des amis. Le Prince jaloux n’eut que très peu de représentations , et dès la seconde, les huées contraignirent Moli
son nouveau théâtre. Ce fut le 4 juin, quatre mois après la première représentation de l’infortuné Dom Garcie, que L’École des maris
pièce » ; et la scène indiquée, ou plutôt ordonnée, fut prête pour la représentation qui eut lieu le 27 du même mois, à Fontainebleau.
Plapisson, ne rougit pas de se donner en spectacle pendant plusieurs représentations de cette même pièce, haussant les épaules à chaqu
es du courtisan désœuvré. Son époux eut beau risquer quelques tendres représentations , elle se retrancha, comme tant d’autres, derrière
; il fut donné sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 juin. La première représentation fut orageuse ; « le public ayant prodigué les plu
lisons dans l’abbé du Bos : « Despréaux, après avoir vu la troisième représentation du Misanthrope, soutint à Racine, qui n’était pas
malgré lui. Molière, voyant déserter son théâtre dès la troisième représentation du Misanthrope, sentit que le public, accoutumé à
aiblie, le contraignit non seulement à mettre cet intervalle entre la représentation de la cour et celle de la ville, mais encore à se
er, Qu’en dirons-nous grands dieux ! et par où commencer ? Après la représentation des trois premiers actes de cette comédie, qui eu
e ne fut pas trompé dans son espérance ; le roi permit verbalement la représentation du Tartuffe : il fut joué sur le théâtre du Palai
ferait jamais. » De la tradition. Pendant l’une des premières représentations du Tartuffe, Molière se frappait, derrière les co
ticles spectacles. Dès le même soir, je me trouve à côté de lui à une représentation du Tartuffe ; et la pièce finie, nous voilà aux p
ardait d’applaudir ; ce qu’il fit de main de maître, pendant toute la représentation . J’eus le malheur de ne point partager son enthou
j’avais glissé, et que je me vois forcé de dénoncer aujourd’hui. À la représentation du Tartuffe qui précédait celle dont je rends com
elles éparses du feu sacré ? Précis historique de ce qui suivit la représentation du Tartuffe. La première représentation du Tar
orique de ce qui suivit la représentation du Tartuffe. La première représentation du Tartuffe enleva les suffrages ; l’on afficha l
Nous comptions avoir aujourd’hui l’honneur de vous donner la seconde représentation du Tartuffe ; mais monsieur le premier Président
e obligé de céder à l’ascendant d’un dieu. Quelle différence avec ces représentations où l’on voit journellement l’esclave courir après
commencement de février ; l’auteur, forcé de la retirer à la septième représentation , ne la fit reparaître que le 9 septembre suivant,
re L’Avare, au point de reprocher à Boileau qu’il l’avait vu rire aux représentations de cet ouvrage. Plaignons le grand homme ! Et rép
a tradition. Que dire de la tradition à suivre ou à éviter dans la représentation de cette pièce ? Que Molière l’a consignée dans c
Molière : « je ne vous ai point parlé de votre comédie à la première représentation , parce que j’ai appréhendé d’être séduit par la m
et obtinrent du pape, à force d’argent, un ordre qui en défendait la représentation . Sentiment sur la pièce. Le genre. — De ca
éressée sur les Critiques du temps, et qui, en sortant de la première représentation du Misanthrope, s’empressa de publier que Molière
s’ils ont de la docilité, ils pourront risquer dans peu de temps une représentation du Malade imaginaire, surtout s’ils se pénètrent
er sa toux. Son mal redoubla le jour qu’on devait donner la quatrième représentation du Malade imaginaire ; il fut affecté de son état
i sait peindre. 19. Un nommé Neuvillenaire assista aux six premières représentations de cette pièce, l’apprit par cœur, la fit imprime
vé une scène que Molière fut obligé de retrancher après les premières représentations , la voici : dom Juan demande à un pauvre à quoi i
uoi ! vous avez, le front de trouver cela beau ? 54. À la première représentation elle était intitulée L’Imposteur, et le héros s’a
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. » pp. 426-435
talie ; c’est parceque les Juifs ont obtenu un ordre qui en défend la représentation . On prétend que Moliere a peint son Bourgeois Gen
tée. « Cependant l’on joua cette piece pour la seconde fois. Après la représentation , le Roi, qui n’avoit pas encore porté son jugemen
re à Moliere : Je ne vous ai point parlé de votre piece à la premiere représentation , parceque j’ai appréhendé d’être séduit par la ma
46 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
est profondément marquée dans cette École des maris, dont la première représentation ne précéda son mariage que de quelques mois. Je n
e de La Grange donne à croire que le mardi précédent, au sortir d’une représentation « en visite » chez M. d’Équevilly, Molière avait
voir aborder le rôle avec tous ses avantages : le jour de la première représentation publique, elle s’était parée si magnifiquement qu
d’argent et soie verte. » Elle n’eut qu’une part secondaire dans les représentations de Mélicerte, du Sicilien et d’Amphitryon : on ne
s la sèche description du notaire qui inventoria « les habits pour la représentation de Psyché : en tout cinq costumes, un par acte. »
trait du peintre : j’y en comptai un jour jusqu’à trente et un. Cette représentation ne manqua pas d’approbateurs : trente de ces c…s
omédienne de faire durer sa liaison avec Mlle Molière jusqu’après les représentations de la Princesse d’Elide, à Chambord ; or cette pi
ouvelle et double aventure se serait greffée sur celle-là, Durant les représentations de la Princesse, « Armande devint folle du comte
e temps, le libelle place une nouvelle intrigue d’Armande. Durant les représentations de Psyché, au carnaval de 1671, elle se serait ép
s en secret de sa prétendue bonne fortune ; il suivait assidûment les représentations d’Armande, mais il gardait sur le théâtre une rés
47 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
eur caprice, ou que la volonté des comédiens avait introduits dans la représentation , etc.1.» Nos soins particuliers se sont naturel
de se signaler, en la faisant débuter en présence de Louis XIV. Cette représentation eut lieu le 24 octobre 1658, dans la salle des Ga
On connaît l’exclamation qu’un vieillard laissa échapper à la seconde représentation des Précieuses : « Courage, Molière, voilà la bon
miration. L’auteur fut obligé de retirer sa comédie après la septième représentation  : l’usage était alors de versifier les pièces en
comme il ne fut joué que longtemps après avoir été composé, et que sa représentation tient à des circonstances particulières, il trouv
Boileau nous a laissé le tableau de ce qui se passait à ces premières représentations  : L’ignorance et l’erreur à ses naissantes pièce
, depuis Le Cid, n’avait attiré une aussi grande affluence : quarante représentations consécutives ne suffirent point pour satisfaire l
dans laquelle l’auteur remplissait le principal rôle. À la quatrième représentation , au moment de la cérémonie, Molière, en prononçan
ment, afin que le petit gain qu’elle espérait de faire dans ces trois représentations lui servît à remettre sa troupe en état. Molière
dit tant de bien, qu’il se fit porter au Palais-Royal à la troisième représentation , tout malade qu’il était. Les comédiens de l’Hôte
48 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
ent rapportées d’Italie. Il n’est point aisé d’offrir un spécimen des représentations que donnaient alors ces comédiens qui vinrent s’é
que, devant un auditoire qui n’était pas italien, cette partie de la représentation était de beaucoup la plus intelligible et la plus
du spectacle ; comme ils n’avaient pas eu grand succès à la première représentation , Dominique les redouble : il inscrit sur son livr
Ces corrections ont fait leur effet et ont mieux réussi à la seconde représentation . » Tout cela est, comme on le voit, purement funa
49 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
porter les diverses particularités relatives à sa composition et à sa représentation  ; enfin, de rassembler, en faits et en réflexions
eur caprice, ou que la volonté des comédiens avait introduits dans la représentation . Ces changements, considérés en eux-mêmes, peuven
u plaisir qu’elle procurait ; mais, ce qu’elle aurait dû prévoir, les représentations payées furent beaucoup moins suivies que les repr
oir, les représentations payées furent beaucoup moins suivies que les représentations gratuites. Poquelin fut, dès ce moment, comédien
ancien condisciple, chef alors de l’Illustre Théâtre, pour donner des représentations . Le roi l’ayant envoyé en 1654 tenir les états de
vieux Louvre. Les comédiens de l’Hôtel de Bourgogne assistaient à la représentation . Ils étaient venus, plus disposés à la pitié qu’à
s44. Elle obtint le titre de Troupe de Monsieur, et donna sa première représentation le 3 novembre. Paris, pris à son tour pour juge d
47 de la détestable tragédie de Mirame, avait fait construire pour la représentation de cette pièce, avec une magnificence qui trahiss
qu’un incendie détruisit en 1768. La troupe de Molière y commença ses représentations le 4 novembre 166048. Le premier ouvrage donné p
ement que rendaient plus impérieux pour lui les augustes ennuis de la représentation , lui donnait, si je puis parler ainsi, du faible
Molière lui-même, qui nous la raconta peu de jours avant la première représentation du Tartuffe. On parlait du pouvoir de l’imitation
? A quel point de perfection presque idéale ne devait pas s’élever la représentation d’une pièce de Molière, où, faisant lui-même le p
se sentaient d’un certain goût pour la magnificence, l’apparat et la représentation . Ayant un revenu annuel de près de trente mille f
. Il prouva trop bien qu’il l’entendait ainsi.Le jour de la quatrième représentation du Malade imaginaire, il souffrait de la poitrine
de Molière ont été représentées pour la première fois, quel nombre de représentations elles ont eu, enfin combien elles ont valu d’arge
celui où il s’est assis dans le rôle d’Argan. Il sert encore pour les représentations duMalade imaginaire. 34. Ces détails sont tirés
iens de l’Hôtel de Bourgogne de se les associer, afin de rendre lents représentations plus gaies. « Gros-Guillaume, disent les historie
magnifiques. 60. C’est exactement ce que fit Louis XIV à la seconde représentation du Bourgeois gentilhomme(voir tome VIII, pages 18
ne fréquentait pas encore, et sur la pièce, dont il venait de Voir la représentation . 78. C’est ainsi que L. Racine rapporte ce mot.
et que vous avez essayé de détruire par votre cabale, dès la première représentation . »Plus loin, il dit : « Le poète qui fait profess
ller dans sa profession d’acteur. On assure qu’il ne manquait pas une représentation du fameux Scaramouche (Tiberio Fiurilli), le meil
son mari, un habit magnifique. Molière, entrant dans sa loge avant la représentation , et, la voyant ainsi parée, s’écria : Comment don
sur votre théâtre, tout enfin devrait vous déterminer à renoncer à la représentation . N’y a-t-il que vous dans la troupe, qui puissiez
exécuta plus tard. Comme on ne jouait que trois fois par semaine, les représentations du dimanche 19 et du mardi 21 furent les seules q
50 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
tance, savoir : la maladie dont est morte madame de Montausier, et la représentation de l’Amphitryon de Molière. Je prie donc qu’on me
du roi avec madame de Montespan et de la colère du mari, la première représentation de la comédie d’Amphitryon, qui eut lieu le 3 jan
ue, qui ne pouvait être que Montespan travesti, était antérieure à la représentation d’Amphitryon. Mademoiselle de Montpensier rapport
51 (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605
satyre. Il étoit aussi bon acteur qu’excellent auteur ; & dans la représentation de sa derniere piéce, qui fut le Malade imaginair
malheur, & sont morts de maladies qu’ils avoient gagnées dans la représentation du même personnage : on nomme entr’autres, Brécou
52
mesquins. Treize vaisseaux de guerre, il ne demande pas moins pour la représentation de sa Seigneuresse ; et, comme tout le monde se r
tables et des rideaux. Mais le point capital est la cheminée. Dans la représentation du Tartuffe de l’Odéon, la cheminée joue le même
, la cheminée joue le même rôle que le large divan du milieu, dans la représentation de la Zaïra italienne. Et vous croyiez, ô bonnes
par l’accent de sa caricature. Moins il tirait des accessoires de la représentation , plus il tirait de lui-même. La troupe de Molière
ry à la Revue dramatique du Moniteur universel, qui rendit compte des représentations de Fechter à l’Odéon. G. M. Paul Lacroix :
Mlle Périga a de la grâce. Elle serait digne de jouer Elmire dans une représentation du Tartuffe toute simple, tout ordinaire et sans
s’appelle Elmire, Mlle Bérengère s’appelle Marianne. Il n’y a plus de représentation , si Damis n’est pas avec Marianne comme un frère
Le Dépit amoureux se jouait alors en cinq actes, mais pour abréger la représentation , un certain nombre de vers ne se disaient pas au
ns la pièce imprimée sans jamais frapper l’oreille de l’auteur ni aux représentations ni aux répétitions. Mais cette faute a-t-elle été
grossière que l’erreur d’un imprimeur lui fait commettre à toutes les représentations du Dépit amoureux. [1879-09] Alexis MARTIN22
Molière. Dernièrement encore, la Comédie-Française, en inaugurant ses représentations à Londres, unissait ces deux grands noms dans une
s les premières années qui suivirent la mort du cardinal Mazarin, les représentations des italiens devinrent tout à fait bigarrées. Les
giana rapporte que « Molière, original français, n’a jamais perdu une représentation de cet original italien » 42. C’est à bon droit q
de l’anecdote suffisamment démentie selon laquelle Molière, avant la représentation du Tartuffe annoncée pour le 6 août 1667, aurait
s. Par exemple, on projette dans la ville où je demeure, une série de représentations solennelles pour l’anniversaire de Molière en 188
fall, surintendant du théâtre de la Cour R. de Munich, un tableau des représentations des comédies de Molière qui ont eu lieu à Munich.
ruiné le métier, car, s’il arrive qu’on tombe malade au sortir de ses représentations , on ne laisse pas d’avoir recours à des ignorants
er, étant fils d’un Valet-de-chambre du Roi. 2. Cette pièce eut neuf représentations . 3. Toulouse, Éd. Privat, 1879 ; et se trouve à
53 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
uin. Dans toutes les éditions des Œuvres de M. Molière, la première représentation de L’École des maris est marquée le 24 juin. Cepe
ire, C’est que pour extrêmement rire, Faut voir avec attention, Cette représentation , Qui peut dans son genre comique, Charmer le plu
et que vous avez essayé de détruire par votre cabale, dès la première représentation , l’auteur, dis-je, de cette pièce, fait conter à
r un bon ouvrage. » « [*]Molière n’opposa pendant longtemps que les représentations , toujours suivies, de L’École des femmes aux crit
t avec quelques changements en un acte, le 15 février suivanta. Douze représentations . Registre de Molière. Muse historique de Loret,
. » Après avoir parlé des fêtes qui précédèrent, et qui suivirent la représentation de La Princesse d’Élide, il est nécessaire de rev
ment, afin que le petit gain qu’elle espérait de faire dans ces trois représentations lui servît à remettre sa troupe en état. Molière
s fois dans l’année 1664*. On peut juger de l’effet que ces premières représentations produisirent par les traits injurieux dont ce pas
même qui lui donna le sujet, et voici comme, au sortir de la première représentation de cette comédie, qui se fit chez M. Fouquet ; le
-quatre heures, et le roi eut le plaisir de la voir en sa place, à la représentation suivante de cette pièce. » L’auteur de la Vie de
[Note marginale] Scipion. *. [Note marginale] Elle eut trente et une représentations , la dernière le 12 août, Registre de Molière. [*
Dans toutes les éditions des Œuvres de M. Molière, on met la première représentation du Mariage forcé sur le théâtre du Palais-Royal,
du Palais-Royal, le dimanche 9 novembre 1664, et elle eut vingt-trois représentations . La dernière, le dimanche 4 janvier 1665. Registr
54 (1884) Tartuffe pp. 2-78
pas à en douter5. Donc, à la date du 29 novembre 1664, jour de cette représentation mémorable, la pièce est non pas seulement achevée
Justement, vers cette époque, Condé en réclame à Molière une seconde représentation . Et, chose curieuse ! il lui fait demander si so
uveau quatrième acte ; le remaniement de la pièce est commencé‌.6 La représentation a lieu, en cinq actes, le 8 novembre, et toujours
açant Molière d’excommunication majeure, suit de trois jours l’unique représentation . — La bataille s’acharne ; l’Église fait tonner s
i spirituel et si profond. Cependant, que se produisit-il après cette représentation  ? Que la pièce resta interdite ; qu’un an après,
et. En un mot il était d’église. De quoi en effet, au lendemain de la représentation des trois premiers actes, le curé Roullé accusait
sur l’Imposteur, qui débute par un précieux compte rendu de l’unique représentation de 1667. En suivant pas à pas ce compte rendu, on
l’ouvrage où son esprit se reflète le mieux — son chef-d’œuvre, et la représentation de sa plus haute action sur le monde. L’Allemagne
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
our la premiere fois le mercredi 19 Décembre 1692 ; elle eut dix-huit représentations . Nous avons déja dit ailleurs qu’on accuse l’Aute
e pour la premiere fois le lundi 2 de Décembre 1697 ; elle eut quatre représentations . Ce ne fut que trente-quatre ans après, & pen
ntée, pour la premiere fois, le jeudi 11 Février 1700 ; elle eut huit représentations . Le sujet est tiré de la Mostellaria de Plaute, q
, pour la premiere fois, le mardi 15 Janvier 1704 ; elle eut quatorze représentations . Sa tournure tout-à-fait italienne fait soupçonne
, pour la premiere fois, le vendredi 4 Décembre 1705 ; elle eut seize représentations . Elle est précédée d’un prologue tout-à-fait calq
sur-tout dans cette derniere imitation. Je consens qu’on s’amuse à la représentation de ses Menechmes, quand on n’a pas vu ceux du Poë
omédie pour la premiere fois le lundi 9 Janvier 1708 ; elle eut vingt représentations  ; & peut-être en eût-elle mérité davantage pa
56 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
arrivé du premier coup à la perfection, il se bornait au succès de la représentation  ; et avant les Précieuses ridicules, comédie qui
roi et à la reine, il parvint à obtenir l’autorisation de donner une représentation à Paris, en dépit des privilèges de l’Hôtel de Bo
t été le coup d’essai. Comme dut être heureux, s’il assistait à cette représentation , le vieillard du parterre qui avait jeté naguère
cune, le duc de La Feuillade rencontre Molière quelque temps après la représentation du spirituel panégyrique composé par l’auteur. Il
pièce, représentée le 15 janvier 1665, n’eut un succès que de quinze représentations . Cependant Molière, dans le Festin de Pierre, s’e
ever, mais dont les faux dévots s’étaient mis en devoir d’empêcher la représentation . Don Juan, c’est Satan fait homme, mais Satan, l’
âme bien située ne commettrait pas une basse action en sortant d’une représentation du Misanthrope… Rousseau était donc bien malvenu
nce conjugale des deux personnages, eurent un intérêt de plus dans la représentation de cette pièce. Mlle Molière représentait à ravir
édecin malgré lui qui succéda au Misanthrope, et obtînt même quelques représentations de plus que ce chef d’oeuvre, dans sa nouveauté,
de scène consacrés par la tradition, ne manquent jamais d’égayer les représentations de l’Avare. Nous en avons vu une marquée par un p
ord devant le roi le 14 octobre 1670, n’eût de succès qu’à la seconde représentation , parce que le roi ne s’était pas prononcé dès la
tte pièce, rappelle au contraire, sa mort, qui en suivit la quatrième représentation . C’est une des plus vraies, mais en même temps un
ieu de nous livrer à ces critiques d’analyse qui suivent une première représentation , et dont il n’est pas besoin vis-à-vis d’auteurs
à faux bourdon. Gabrillon Il y a certaines pièces comme cela que les représentations gâtent. Si j’étais de vous, puisqu’elles réussiss
savons trop à la rigueur s’il existe encore un parterre. Une première représentation est d’ordinaire une fête de famille, à laquelle l
ier et deux aimables dames, dans une loge du théâtre, en attendant la représentation des Trois cousines. Dancourt lui-même est sur le
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171
pectateurs & non pas auditeurs, puisqu’enfin le lieu qui sert aux représentations est connu sous le nom de théâtre & non pas d’
fermiers, un jour qu’on représentoit une tragédie de Racine. Après la représentation on demanda au paysan s’il s’étoit bien amusé : à
58 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
Ce ne sera pas un des souvenirs les moins curieux du siège que cette représentation . Le canon grondait et faisait rage sur la rive ga
ine n’apparaît qu’une fois sur l’affiche, Molière compte vingt et une représentations . Ses marionnettes elles-mêmes, on en a la preuve,
are au-dessous de lui. Quand Mlle Mars s’en alla donner à Londres des représentations dont Molière fit presque tous les frais, les jour
huit jours de distance, le Speechh day, à Hanw, était consacré à une représentation de mélanges dramatiques, où figurait Le Bourgeois
’on peut raisonnablement lui demander, c’est en effet d’en donner une représentation fidèle, qui en fasse jaillir les côtés obscurs, m
la chose. « Vous étiez là hier soir, m’écrivait le lendemain de cette représentation un de mes correspondants habituels ; avez-vous re
pas été joué depuis une trentaine d’années. C’est une des plus belles représentations où j’aie assisté de ma vie, et tous ceux qui l’on
es fois, il est arrivé que Leslie manquait de Mascarille. La dernière représentation de L’Étourdi nous offre les noms de Menjaud et de
e vieilles pièces, dont il saurait ne pouvoir tirer qu’une dizaine de représentations peu fructueuses. Si l’on nous a joué L’Étourdi ce
e jeunesse, de verve et de bonne humeur. On se fût cru à une première représentation d’Alexandre Dumas fils. Et encore, non ; la compa
ndu dans Paris. Contre toute attente, la recette a monté à la seconde représentation , et il est fort possible que la pièce fasse de l’
Madelon ; l’effet s’en est bien affaibli. Observez ce qui arrive à la représentation . Le début de la pièce est toujours un peu froid ;
u de chaussettes. Je n’ai pas besoin de vous dire qu’en sortant de la représentation , nous continuâmes tous deux de philosopher sur ce
lassique sans le connaître que par la lecture, il suit assidûment les représentations de la Comédie-Française et de l’Odéon. Or, je mai
lière, et j’y ai toujours pris le même plaisir. Don Juan m’énerve. La représentation en est insoutenable. Hier, de l’orchestre, j’exam
s avec tous les traits de ce visage. Aussi n’emportons-nous pas de la représentation , dans notre mémoire, une physionomie très distinc
oindre agrément et qu’il fallut la retirer au bout de trois ou quatre représentations . On en sortait oppressé et triste à mourir. Le sp
e : et ils ont du succès. Des cabotins de province veulent donner une représentation solennelle : ils choisissent Tartuffe, ils le réc
ie-Française à elle-même. Il est clair que, si, au lieu de voir cette représentation rue Richelieu, j‘y eusse assisté sur une scène in
e la pièce La Comédie-Française a, comme on sait, célébré par une représentation de gala l’anniversaire de la deux-centième année
e turque. Je sais bien que l’on ne peut guère s’en dispenser dans une représentation du Bourgeois gentilhomme. Mais, au moins, l’écout
ées. Je ferai observer à mon correspondant, qui évidemment a suivi la représentation sur le livre, que ces changements ne sont pas, po
spaces réservés au dialogue étaient, passé les sept ou huit premières représentations , remplis ad libitum par les acteurs en scène. Mol
’assister à la reprise que M. Perrin fit du Joueur. Elle n’eut qu’une représentation . M. Perrin, qui affichait l’horreur de Regnard, a
n 1866 comme en 1861 Le Joueur ne fit qu’un médiocre plaisir, que les représentations en furent peu nombreuses et peu suivies. Il faut
journal que M. Ballande, au cours de ses matinées, en avait donné une représentation . Je ne conteste pas le fait, tout ce que je puis
’est à peine si nous avons, sous son long principat, vu deux ou trois représentations du Joueur ; on a beaucoup parlé de la reprise du
raison de se montrer bons princes. La pièce eut en sa nouveauté seize représentations d’affilée. C’est comme qui dirait cent aujourd’hu
le danger a été grand ; il y a eu chez les spectateurs de la première représentation un moment de stupeur, puis de révolte ; la violen
e par hypothèse. Je n’ai pas eu le loisir d’aller revoir une des deux représentations qui ont suivi la première ; on m’assure que Ramea
sodes inutiles, comme la scène de l’apothicaire (qu’on retranche à la représentation ), ou nuisibles comme le projet de mariage de Géro
i pour les pères, et Margarita Rusca pour les soubrettes) la première représentation du Jeu de l’amour et du hasard, qui fut un des ra
elle mettait de « l’esprit et des intentions partout ». Aux premières représentations , stylée par son auteur, elle « prenait assez bien
vec une verve irrésistible : un peu de naïveté n’eût pas nui. Dans la représentation d’il y a lundi quinze jours, la Comédie-Française
dramatiques qui connaît le mieux ce charmant auteur. J’ai vu, dans la représentation de lundi, en dépit des contre-sens accumulés par
n apparence, mais auxquels Marivaux tenait et qu’il rétablissait à la représentation même, car la plupart de ces corrections, d’une éc
arde. Marivaux disait… Allons bon ! Je m’étais promis d’apporter à la représentation un esprit vierge de tout souvenir, et voilà que j
ffiche, vous ne devineriez jamais ce que Le Barbier de Séville eut de représentations dans sa nouveauté : trente-deux ! Et encore fallu
e devait lui attribuer la postérité. Je ne parle point de la première représentation , où la pièce tomba à plat, mais même des suivante
est pour cela, peut-être, qu’on ne riait plus trop dans la salle ! La représentation , dans son ensemble, a été morne, malgré la verve
ur ce point encore la lecture est plus favorable à cette pièce que la représentation  ? Les plaisanteries n’ont pas toutes le relief qu
fort bien qu’ils ne pourraient donner de la nièce que trois ou quatre représentations pendant l’été ; que, dans la saison d’hiver, ils
oses pour les trois quarts du public. Ils ne se sont pas trompés : la représentation a été froide, plus froide même qu’il y a trente a
eureusement pas été assez mis en dehors et pas assez senti dans cette représentation , c’est que le démon des vers planes sur toute la
t article un paragraphe qui semble avoir été écrit au lendemain de la représentation à laquelle nous venons d’assister : « Roxelane r
e fardeau à porter ; les proportions étaient ôtées ; je désire que la représentation , en quelque lieu qu’elle se fasse, assure la just
e que Sedaine prévoyait et désirait le jour où l’on restituerait à la représentation son véritable drame. Il est étrange que personne
courir au manuscrit original de Sedaine. Nous aurons donc bientôt une représentation qui sera le pendant de celle que Grimm conte si p
crois avoir suffisamment éclairci. On ne saurait se dissimuler que la représentation d’hier soir a été froide. Bien des gens ont mis s
ai pas encore le mot. Le fait en lui-même n’est pas contestable. À la représentation , Le Philosophe n’intéresse plus guère et la lectu
59 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
te à Paris, pour Paris, et non en province, pour la province. Mais la représentation de cet ouvrage à Béziers en 1654, durant la tenue
Paris. Quand nous parlerons de cette comédie à la date de sa première représentation dans la capitale, nous verrons que, quelle qu’ait
suivantes, jusqu’à l’année 1659, où Molière donna à Paris la première représentation des Précieuses ridicules. Toutefois, dans l’inter
ce semble donner elle-même la date du temps et du lieu de la première représentation . C’est dans la scène d’exposition de son sujet. U
sa souffrante vieillesse du spectacle des Précieuses, à leur première représentation , bien assurée sans doute de rire un moment à leur
re », ajoute-t-il en note. 52. « J’étais, dit Ménage, à la première représentation des Précieuses ridicules. Mademoiselle de Ramboui
60 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
ur Don Juan malgré toutes les éditions, qui, ne tenant compte que des représentations publiquement permises, placent celui-ci avant cel
icate encore de tendances et d’intentions. Lors de l’interdiction des représentations de Tartuffe par le premier président de Lamoignon
une étape dans la voie de la sécularisation sociale, ce n’est pas la représentation qui eût été interdite, c’eût été l’ouvrage lui-mê
pas exactement la date, mais qui ne doit pas être très éloignée de la représentation publique de Tartuffe, c’est-à-dire dans les envir
uvelées, et la pièce fut obligée de disparaître après quinze jours de représentation . On nous a conservé le virulent pamphlet qui fut
nt pamphlet qui fut écrit contre Don Juan, aussitôt après la première représentation , sous le nom d’un M. de Rochemont, mais attribué
auteur des Observations sur Don Juan, qui avait assisté à la première représentation , se retrouve seulement dans les éditions de Holla
anarelle, un mot qui a beaucoup blessé les spectateurs de la première représentation et que Molière a fait disparaître dans les éditio
e. C’est probablement un trait supprimé par Molière après la première représentation . 10. Sentiments des pères de l’Église sur la co
61 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
8. Amphitryon, act. III, sc. XI. 599. En 1668, année de la première représentation d’Amphitryon, la marquise de Montespan était véri
ière, et qui est faite uniquement pour le roi et la cour. La première représentation est du 7 septembre 4670 : Mlle de la Vallière com
és de Mlle de Molière commencèrent en 1664, à Versailles, pendant les représentations des Plaisirs de l’Ile enchantée. Voir J. Taschere
nse, et plaisent sans être aperçus ; » chap. IV, S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par acci
62 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
e roi. C’était un roi de vingt ans, lorsque Molière donna la première représentation de l’Étourdi à Paris ; un roi de trente-cinq ans,
me en de moindres pompes, alors que Molière dispose lui-même toute la représentation , elle n’est qu’un accessoire de la fête, ou du mo
Mais, hors ce moment, et malgré les petits plaisirs que j’ai dits, la représentation est froide : ces plaisirs même sont plutôt des bé
63 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
assa, était venue à Paris en 1570 et avait donné un certain nombre de représentations publiques. Mais nous n’avions pas eu encore de tr
la salle du Petit-Bourbon. Cette salle fut affectée ordinairement aux représentations théâtrales, quoiqu’elle eût de temps en temps une
cter leur privilège. La cour défendit aux Italiens de continuer leurs représentations . Les Gelosi présentèrent les lettres patentes qu’
64 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
ancienne date ; tous les historiens décrivent notamment la magnifique représentation de La Calandra, qui eut lieu devant Henri II et C
eux un ensemble de renseignements qui permet de se rendre compte des représentations qu’ils donnaient. Le recueil de Flaminio Scala me
femme de Mezzetin, qui n’avait rien promis. » 64. Il y eut quatre représentations à Chambord et trois à Saint-Germain. Voyez notre
65 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
avec sa troupe7, à Rouen, au jeu de paume des Deux Maures, donner des représentations . On peut consulter plusieurs historiens de cette
ière. Naturellement Corneille fut parmi les spectateurs aux premières représentations , quoiqu’on y jouât Amalazonie, une tragédie de Qu
’hôtel de Bourgogne. La charmeuse lui forçait le pas. Ainsi, après la représentation des Amours de Diane et d’Endymion, où Mlle Du Par
mi ses adorateurs. Mais ce n’était pas encore sa nuit. À la fin de la représentation , il lui crayonna ces vers : Si la Lune et la Nui
Romaine. C’était une excellente artiste, grande et bien faite, d’une représentation avantageuse. « Mlle Du Parc était belle et bien f
ux d’aller au parterre où nous nous tiendrons debout pendant toute la représentation . Nous n’attendrons pas que le spectacle soit comm
la troupe de Filandre au temps où la troupe de Paphetin y donnait des représentations . « Les deux directeurs ne s’associèrent point ; i
ieur Bejard (qui s’était retiré à Pâques), et 3 livres chaque jour de représentation à Chasteauneuf, gagiste de la troupe18. » Mlle B
r la première fois « le samedi 5e juin 1659 ». L’ouvrage eut quelques représentations en 1660, 1662, 1663 et fut représenté pour la der
onné par MmeMolière au jeune acteur, quelques jours avant la première représentation de Mélicerte c’est-à-dire de 1660 à 1665. Une Laf
ntion suivante : « Dimitrius, tragédie nouvelle de M. Aubry, première représentation au Simple, 509 l. ». La feuille sur laquelle sont
le Henri Lavoix, dans son excellentissime petit livre sur La Première Représentation du Misanthrope ? « Il faut sans cesse renouveler
anteau de satin couleur de musc de Sganarelle. Il se marie entre deux représentations de L’École des maris, données dans la même soirée
est dit que Laforest était la servante de Molière, au moment de cette représentation de Don Quichotte dont il vient d’être question. C
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
ont parlé ne sont pas d’accord sur les dates de ces trois différentes représentations . Les uns assurent même qu’elle fut jouée pour la
hasseur qui n’y étoit pas alors14, & qu’il en ordonna une seconde représentation pour Fontainebleau, le 27 Août de la même année15
le sujet de son chasseur, & voici comme. Au sortir de la premiere représentation de cette comédie, qui se fit chez M. Fouquet, le
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102
ueux qui charment tout le monde, échauffent toutes les têtes avant la représentation , & font dire ensuite au spectateur malin : La
la femme de l’Auteur, comédienne aussi, lui adressa après la premiere représentation de la piece : Encore que je sois ta femme, Et qu
68 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
un fond de vérité et de morale. Il plaît autant à la lecture qu’à la représentation , ce qui n’est arrivé qu’à Racine et à lui ; et mê
le théâtre, pour n’avoir pas voulu leur faire perdre le profit d’une représentation . Il écoutait volontiers les avis, quoique probabl
69 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
ls de famille qui, sous le titre de l’Illustre Théâtre, donnaient des représentations à la porte de Nesle et rue de Bussy, au faubourg
ade imaginaire 31 où il jouait le rôle d’Argan, lorsqu’à la quatrième représentation , le vendredi 17 février 1673, il se sentit plus i
la peinture définitive du cœur humain et de la société. « La première représentation , dit Voltaire, eut l’applaudissement qu’elle méri
pe si attachant à la lecture ; mais c’est peut-être ce qui en rend la représentation un peu froide ; car le théâtre veut de l’action ;
abord en partie, puis dans son ensemble, avant la fin de 1664, en des représentations particulières dont la première eut lieu, à Versai
Roi, malgré sa bienveillance personnelle, crut devoir interdire toute représentation publique d’un ouvrage qui alarmait les conscience
oulait avoir Molière, pour lui entendre réciter le Tartuffe 95. » Une représentation des trois premiers actes fut même autorisée le 25
récentes n’avaient pas eu l’autorité d’un engagement103. Première représentation publique de L’Imposteur, 5 août 1667. Interdit pr
e la police en l’absence du Roi, signifier l’ordre de suspendre toute représentation . La porte du théâtre fut même fermée, et ne se ro
même, au milieu d’un enthousiasme que n’épuisèrent pas cinquante-cinq représentations consécutives. Au moment où il ressuscitait, le Ro
qui atteste l’éveil d’une curiosité très vive. Cependant, après neuf représentations qui ne furent pas consécutives130, il y eut relâc
e parut, au Palais-Royal, le 11 mars 1672160. Elle n’eut que dix-neuf représentations , et les neuf premières seules furent assez suivie
teur. Molière jouait Mascarille. « J’étais, dit Ménage, à la première représentation . Au sortir de la comédie, prenant M. Chapelain pa
103. « Votre Majesté, dit-il, avait eu la bonté de m’en permettre la représentation . » 104. Un petit chapeau, de grands cheveux, un
la traduire en vers. 134. À la mort de Molière, L’Avare avait eu 47  représentations . Il fut joué 127 fois sous Louis XIV, 305 fois so
ié par une harangue qu’il fit au public, deux jours avant la première représentation . » 164. Il donna un instant son nom à la pièce.
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
xpose sans crainte au grand jour. Les Grands, qui ont été invités aux représentations particulieres, crient : voilà qui est divin ! les
s la même année avec le prologue qui suit. Prologue de la seconde représentation de l’Hecyre. Cette comédie se nomme l’Hecyre
riere, le prologue ne lui en imposa pas. Il avoit donné à la premiere représentation la préférence à des danseurs de corde, il la donn
71 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [71, p. 105-106] »
05-106] 1705, Grimarest, p. 58 L’Avare de Molière eut à peine sept représentations lorsqu’il parut. La prose dérouta le public. Comm
72 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
alors dans la conscience du monde, puis dans l’art dramatique, cette représentation idéale que l’Humanité se donne à elle-même du dra
plus pure, plus générale et plus philosophique, qui supprime dans les représentations de l’art le détail et l’accident, pour dégager et
. 203. L’art est appelé à manifester la vérité sous la forme de la représentation sensible, et à ce titre il a son but en lui-même
sentation sensible, et à ce titre il a son but en lui-même dans cette représentation et cette manifestation. T. I, p. 51. 204. L’a
comique, avait fait de ce dernier caractère seulement la base de ses représentations . Cependant, plus tard, déjà dans la comédie grecq
che d’autant plus et se trouve d’autant plus malheureux, une pareille représentation manque de ce qui est l’essence du comique. Il en
te de la forme particulière de l’ordre social, qui est accessible aux représentations de l’art, on n’a qu’à jeter un coup d’œil sur cel
73 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [32, p. 61-62] »
Racine. Un flatteur crut faire plaisir au dernier, après la première représentation , en lui disant : la pièce est tombée ; rien n’est
74 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [38, p. 68-69] »
s dramatiques, tome I, p. 336-337 Le roi, en sortant de la première représentation des Fâcheux, dit à Molière, en voyant passer le c
75 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [13, p. 44] »
1775, Anecdotes dramatiques, tome II, p. 95 J’étais à la première représentation des Précieuses Ridicules de Molière, dit Ménage,
76 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [96, p. 140-141] »
x suivantes qui font allusion à l’accident mortel qui lui arriva à la représentation de son Cocu imaginaire 291 :   Ci gît, sans nul
77 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [65, p. 101-102] »
ame Rambouillet. Ce dernier allant voir cette dame, après la première représentation des Femmes savantes, où elle s’était trouvée, ell
78 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
0 février 1673, et interrompue le 27 du même mois, après la quatrième représentation , dans laquelle Molière expirant ne put qu’à grand
d, seul imprimeur du roi pour la musique, et une seconde fois pour la représentation de Versailles du 19 juillet 1674, chez Guillaume
79 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
voici un remarquable exemple : un peu plus d’un an après la première représentation du Malade imaginaire, les Italiens en donnèrent u
avec une rigueur qui ne fut dépassée que par l’Allemagne où, dans une représentation solennelle, le pauvre Arlequin fut brûlé en effig
80 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [53, p. 87] »
ateurs furent révoltés de cette grossièreté ; au lieu qu’à la seconde représentation , on entendit, avec plaisir, allez, monsieur, on v
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
amp; l’est encore. Le même préjugé porta un coup mortel aux premieres représentations de l’Avare. Cette piece, qui sera toujours regard
jours regardée des connoisseurs comme un chef-d’œuvre, n’eut que cinq représentations . « Moliere, dit M. de Voltaire, pour ne pas heurt
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
de ce qui s’est passé sous mes yeux précisément pendant les premieres représentations de sa comédie. Une Dame venoit d’acheter deux ou
emmes savantes & ses meilleures pieces sont tombées aux premieres représentations , auroit-il été le maître de les faire reprendre d
83 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [31, p. 59-61] »
grâce de la meilleure comédie qui ait jamais été faite. À la première représentation , après la lecture du sonnet d’Oronte, ainsi conçu
84 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [93, p. 136-138] »
s des hypocrites et des faux dévots. Elle fut supprimée à la deuxième représentation . Voici cette scène très courte que Voltaire nous
85 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
i mes termes, courage, courage, Molière , s’écria ce Vieillard, à la représentation des Précieuses, voilà la bonne Comédie. Ce qui f
e donner ne conviennent point à l’Acteur Comique. La Tragédie est une représentation grave et sérieuse d’une action funeste qui s’est
d’esprit et d’étude il en connaissait les règles. La Comédie est une représentation naïve et enjouée d’une aventure agréable entre de
efois les Comédiens les recevaient des Auteurs qui leur confiaient la représentation de leurs Pièces ; mais aujourd’hui ces Auteurs se
86 (1871) Molière
menant l’aimable reine et la paix dans Paris enchanté, interrompit la représentation de Sganarelle. En même temps, la salle du Petit-B
dans l’intervalle, les comédiens ordinaires de Monsieur donnèrent des représentations dans les belles maisons où ils étaient conviés. C
auspices, mais déjà le roi savait le nom de son poète. À la cinquième représentation disparut son ennui, Don Garcie ; on n’a jamais so
biographie. Il a fallu plus de génie et de volonté pour arriver à la représentation de Tartuffe, que pour accomplir le chef-d’œuvre.
87 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
le tableau « des farceurs, » et dans le repos, la détente qui suit la représentation , sans les « roulemens d’yeux extravagans » et les
es airs, les laçons de dire de la noble assemblée ; avant et après la représentation , tandis qu’il reçoit ordres ou complimens avec la
l’art menteur et ses adeptes, le Médecin malgré lui, dont la première représentation est du 6 août 1666. Cette fois, le naturel du poè
lgré les deux petits marquis, malgré Basque, il est un peu froid à la représentation  ; que, si les lettrés l’applaudissent avec un ent
D’abord, il avait « l’annonce, » cette petite harangue qui suivait la représentation et servait non-seulement à annoncer le prochain s
ncore par une simple analyse : celle qu’il intercala dans sa première représentation devant Louis XIV et celle où il annonçait les Fem
tout aux exigences de la scène, Molière faisait passer l’effet de la représentation bien avant celui de la lecture. Aussi voulait-il
88 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
ro805, où se lisait, au profit dudit Boursault, une justification des représentations théâtrales en général, et de la comédie française
abord évident que, dans la répugnance de l’Église catholique pour les représentations théâtrales, il y a un souvenir des abominables je
s dirigent des collèges où les élèves ont souvent pour récréation des représentations dramatiques empruntées au génie antique et païen
89 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [40, p. 69-70 ] »
qui passait pour un grand philosophe, était sur le théâtre pendant la représentation  ; et à tous les éclats de rire que faisait le par
90 (1899) Salut à Molière, dit par Coquelin cadet, le soir du 15 janvier, pour le 277e anniversaire de la naissance de Molière, sur la scène de la Comédie-française pp. 3-8
sur la scène, offre sa mort en spectacle pour ne pas faire manquer la représentation du soir. Il meurt à cinquante ans, n’ayant dit qu
91 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
’inquiètent beaucoup plus de savoir en quelle année Molière donna des représentations à Angoulême ou à Montauban, que de pénétrer le se
qui concerne les pérégrinations en province et les dates surtout des représentations . Plus tard, en 1821, le laborieux mais naïf Beffa
la troupe de l’Illustre Théâtre va dresser la scène de ses premières représentations . Le succès fut loin de répondre au titre présompt
’Etourdi. Les érudits ne s’accordent pas sur la date précise de cette représentation . Quoi qu’il en soit, il est très certain que l’Et
soit au mois de novembre, soit au mois de décembre 1656, la première représentation du Dépit amoureux. Cette fois, les États montrère
Piron, La Chaussée, Beaumarchais  : ont-ils autant que lui donné une représentation de la vie moyenne, une sensation pénétrante des i
tufe, en 1669, parut enfin publiquement sur la scène. L’épreuve de la représentation décida du sens de la pièce. Jésuites ou jansénist
92 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
re de ses Comédies fut Le malade imaginaire. Il en donna la quatriéme représentation le 17 de Février 1673, & mourut le même jour
qu’on conte dans sa Vie. « Le 17 Fevrier 16731, jour de la quatriéme représentation du Malade Imaginaire, il fut si fort travaillé de
croit d’autres Ecrivains, Moliere n’eut pas la force d’assister à la représentation jusques à la fin ; il falut l’emporter chez lui a
93 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
contribution aux dépenses faites par eux dans la salle, et donna ses représentations les jours où ils ne jouaient pas, c’est-à-dire le
moureux, valut principalement à la nouvelle troupe, dans l’importante représentation du 24 octobre, la faveur du roi et de la cour. Où
jour de promenade, surtout aux académies et aux collèges. La première représentation d’une pièce nouvelle se donne toujours le vendred
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
la nature. Je demande encore ce que c’est que la comédie ? — C’est la représentation d’une aventure vraie ou vraisemblable. — Le spect
e ou vraisemblable. — Le spectateur est-il censé être témoin de cette représentation  ? — Non, puisque l’aventure est censée se passer
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
laisir singulier. Voici ce qu’il dit sous le nom de son éditeur. « La représentation de cette comédie eût été un des événements les pl
quante qu’il ne croit, si on l’eût jouée. Le soir même de sa premiere représentation , on devoit donner aux Italiens un canevas intitul
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
n plus magnifique. Quatre de nos plus gros acteurs vont commencer une représentation la plus éblouissante : ils ont cavé chacun trois
r sur le tapis : cela ne se voit pas tous les jours. Le Chevalier. La représentation en sera pathétique ; mais je vous jure... Le Marq
97 (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243
est faite, l’on l’ait jouée presque tous les jours de Comédie, chaque représentation y fait découvrir de nouvelles beautés, et si cet
eux qui louent. Cependant, com me la foule qui se trouve à toutes les représentations d’une Pièce en fait la bonté, comme nous avons vu
98 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
dire créateurs. Le Misanthrope aussi nous paraît imparfait, non à la représentation , mais à l’étude. Il a deux ou trois vers, quelque
venu métaphysicien, et la spirituelle Uranie, assistant en 1862 à une représentation de L’École des femmes, juste deux siècles après l
chefs-d’œuvre de Molière, et un homme d’esprit319 a constaté qu’à la représentation du Tartuffe, le public ne rit pas plus de deux ou
275. Voyez l’Introduction, p. 14 et 16. 276. Date de la première représentation de La Critique de l’École des femmes. 277. Boil
r si une chose est belle ou ne l’est pas, nous n’en rapportons pas la représentation à son objet au moyen de l’entendement et en vue d
99 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
ue une morale positive ; je ne lui demande même pas de s’interdire la représentation de la ruse, du mensonge, de l’égoïsme, des mauvai
n argument sans réplique cette exclamation : Sans dot ! à toutes les représentations de Valère sur le mariage d’Élise. Elle est fort a
e doucement son éducation, Molière lui proposait comme récompense une représentation du Médecin malgré lui 98. On venait voir la petit
-Vert et s’égayer au moins de ces bêtises. C’est qu’on n’est pas à la représentation du Misanthrope pour s’amuser : Ah ! ne plaisante
omédie fait foi que, représenté vingt et une fois de suite, nombre de représentations auquel un ouvrage atteignait difficilement alors,
elles sont faciles à reconnaître, puisque ce ne fut qu’à la douzième représentation de cette farce qu’on la donna avec ce chef-d’œuvr
100 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
êtes dont elle fut si longtemps le jouet. Molière. — Histoire de la représentation de Tartuffe. — L’Anathème de Bossuet S’il vous
es difficultés de tout genre qui se présentaient de toutes parts à la représentation d’une pareille comédie, les calculs du poète étai
ever, quand arriva l’ordre de M. le premier président de suspendre la représentation de Tartuffe jusqu’à nouvel ordre de S. M. En effe
montra digne de la supplique ; il autorisa cette fois, par écrit, la représentation de Tartuffe. En ceci il fut peut-être sinon plus
e, je ne vous raconte pas la plus terrible. Le jour de cette première représentation si décisive, il trouva sa femme qui jouait le rôl
avec de nouveaux rires, sans que jamais, à lui et aux siens, à cette représentation fidèle des tortures de l’espèce humaine, l’idée l
lui-là, soyez-en sûr, il lui est impossible de s’amuser beaucoup à la représentation du Malade imaginaire. En un mot, l’histoire de M.
ais tout à l’heure, pour ceux qui savent quel homme était Molière, la représentation du Malade imaginaire ajoute encore cette tristess
tristesse du souvenir à toutes les tristesses ; c’est à la troisième représentation de cette pièce que Molière est mort. Pauvre homme
ancêtres bien-aimés ! De nos jours cependant une des bonnes et belles représentations de cette comédie informe et charmante dont nous a
ssi facile à vivre que Philinte. Pour moi, je n’assiste jamais à une représentation du Misanthrope sans me figurer que j’entends Moli
ne jeune fille qui s’allait marier, après avoir assisté à la première représentation du Misanthrope, ne voulut plus être marquise. Qua
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