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1 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47
eurent des conséquences que nous verrons plus loin. Ici il suffit de remarquer que le trouble et le désordre étaient dans la mai
à applaudir aux Précieuses ridicules de Molière. Voiture s’était fait remarquer , dès l’âge de quinze ans, par une longue épitre a
Julie de Rambouillet, et avait assez d’esprit pour être sa compagne. Remarquons que ces nouvelles recrues en hommes de lettres et
annoncent pas davantage les ridicules qu’on lui attribue. Ici je dois remarquer que l’accueil fait aux hommes de lettres par la m
2 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
ation n’a pas été plus loin que le ridicule des précieuses, de ne pas remarquer qu’elles eurent leur côté estimable, et ne servir
t pas médiocrement au progrès de la socialité. On n’a pas le droit de remarquer leur mauvais goût, sans remarquer aussi qu’elles
a socialité. On n’a pas le droit de remarquer leur mauvais goût, sans remarquer aussi qu’elles étaient une école de bonnes mœurs
inie, leur régné devait commencer, leurs sociétés fleurir et se faire remarquer , prendre un nom et s’attirer tout à la fois deux
3 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
lui suis très obligé de tout le bien qu’il dit de moi ; j’ai pourtant remarqué un peu de vivacité dans sa Critique ; et j’ai bie
stifier les égards que j’ai eus pour lui. Mais faut-t-il que je fasse remarquer à mon Censeur que c’est lui-même qui ne sait pas
t fait ses lectures avec attention, s’il avait du commerce, il aurait remarqué que je n’ai rien hasardé. La noblesse et le choix
l a lui-même eu du ménagement avec moins de raison, comme je le ferai remarquer dans la suite. Quand même on me l’aurait permis,
ais plus d’honneur de me défendre contre lui. Car peut-il n’avoir pas remarqué que Molière avait depuis longtemps entrée chez le
reprocher à mon Censeur qu’il ne les connaît pas, puisqu’il n’a point remarqué que la plupart des Comédiens ne les observent poi
doit point appuyer sur les termes, mais sur l’expression entière ; et remarquer le mot qui détermine la pensée afin de l’élever u
s plaintes en l’autre monde. Cependant je ne puis m’empêcher de faire remarquer au Lecteur le travers de mon Critique ; qui trouv
’est un morceau de Pièce tout fait pour le Théâtre. » Mais il n’a pas remarqué que cette aventure aurait été plate, si je n’avai
4 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
restait d’empire sur ce prince. Madame Scarron faisait toujours plus remarquer sa douceur, son aménité, son respect, à mesure qu
me un sacrifice méritoire, de rester à sa cour. Ai-je besoin de faire remarquer cette promesse d’acquérir une profonde indifféren
e suit la déclaration de son peu d’aptitude à une vie contemplative ? Remarquerai -je le rappel de la volonté du directeur, vous vou
 fr. ; ainsi, en voilà 200 000 que j’ai à votre service. » Je prie de remarquer ce mot à votre service : il veut dire : pour vous
5 (1910) Rousseau contre Molière
solument qu’il se fâche, et qu’il peste, et qu’il dise qu’il pestera. Remarquez que le mépris de l’argent que vous dites qu’il do
candeur, et du reste ne pouvant guère faire autrement que d’écouter. Remarquez la franchise d’Alceste à ce début de scène. Il au
aux gens, à qui, d’autre part, il veut donner une leçon de sincérité. Remarquez qu’ensuite, quand Alceste a abandonné sa figure d
du monde. Il est très honnête homme d’autre manière encore. Vous avez remarqué que dans la scène des portraits, c’est-à-dire des
e l’égoïste borné que Rousseau y voit. Or, c’est ici qu’il faut faire remarquer que Molière, non seulement n’a pas fait du tout d
n égoïste et d’un homme apte seulement à supporter les maux d’autrui. Remarquez qu’Alceste, en une autre scène, lui fait lui-même
au que « développe », comme dirait un photographe, Fabre d’Eglantine. Remarquez que, quoique Fabre ait intitulé sa pièce le Phili
ent, comme l’a reconnu Rousseau, il fût assez honnête homme. Je ferai remarquer cependant que le sieur George Dandin ne laisse pa
ière d’une absolue inconscience et d’une absolue immoralité. Il y a à remarquer que « l’honnête homme », que l’homme sensé qui ti
n trop noir ? Rousseau avait certes de quoi récriminer. Mais je ferai remarquer , sur quoi j’aurai à revenir à propos de Tartuffe,
le distingue du personnage que nous dessinions tout à l’heure ; mais remarquez combien tard il a assumé ce rôle et combien vite
nt intéressants, et quelquefois ils le sont… Il faut cependant faire remarquer à Rousseau qu’il y a un raisonneur de Molière qui
ouvement et pour étaler dans toute son ampleur la bêtise d’Orgon ; et remarquez que les défauts ainsi livrés à notre risée sont d
n homme très bon, non plus que le satirique, non plus que La Bruyère. Remarquez -vous que, quand il est bon, il prend un détour ?
it de dures vérités, et il les aime ; il les fustige, et il les aime. Remarquez , ce qui me paraît très important, qu’il leur met
n’est les coquins. Celui qui rit du crime est le plus criminel. Aussi remarquez  : quand Molière peint un vice, pour rester dans l
graves et qui fait réfléchir. Dès ses débuts à Paris, Molière le fait remarquer , et précisément pour accoutumer le public à ces p
ue de ce qu’on prétend qu’il aurait pu faire et qu’il n’a point fait. Remarquez qu’il a essayé très diligemment de la comédie sér
une pièce antipatriotique ; c’est le poème même de l’antipatriotisme. Remarquez en effet que le seul personnage sympathique de la
ille s’est déclarée par elle et s’est exprimée par elle tout entière. Remarquez de plus que la pièce tout entière est pénétrée, c
rompu ». Puis, le plaçant en face de l’œuvre de Molière, il nous fait remarquer qu’il est impossible que ce public ne prenne pas
son de voir Molière à travers ses successeurs. Il pourrait même faire remarquer — mais il ne le fait pas parce que ce serait à l’
cises ou plus vastes que nous ne les avions nous-mêmes ; soit pour en remarquer l’absence et nous étonner et en vouloir à l’auteu
es sujets, et il faut observer le ton contempteur avec lequel il fait remarquer , dans une note du Contrat social, que les diction
loigné de ce défaut-là qu’il ne serait naturel au siècle où il vécut. Remarquez -vous que là où une pensée religieuse serait à sa
les détracteurs de la pièce. Brunetière (ici) a bien raison, qui fait remarquer à quel point Cléante est étranger à la pièce, si
nête homme raisonnable était de le faire religieux ? En sens inverse, remarquez donc qu’Orgon n’est pas le seul dévot ridicule de
vertueux : « Ces gens-là ne sont pas de mon domaine. » Mais cependant remarquez la nuance : le grand vice n’est pas ridicule du t
à 1672, son public a exercé sur lui une grande influence.   Il est à remarquer que de 1659 à 1673 la double évolution de Molière
je le crois, sans doute ; mais encore, non pas tout à fait. Avez-vous remarqué que dans la Critique de l’École des Femmes, que l
donnera ne serviront de rien pour leur bonheur ni pour le nôtre. »   Remarquez maintenant que, parce que l’éducation des femmes
lise.  » Le mari catéchiste de sa femme, je n’ai pas besoin de faire remarquer que c’est précisément la scène d’Arnolphe et Agnè
psychologie mondaine, la coquetterie. Le babil, cela va de soi ; car remarquez que le but est de plaire. Or « le talent de parle
terie que l’on n’eut point attendus de la plume de Rousseau. Il est à remarquer que la Julie de la Nouvelle Héloïse n’a pas l’omb
pas me presser furieusement pour faire que je le confesse. Cependant remarquez que, malgré les contradictions et la marche à l’a
our les plaisirs d’un homme et ses petites commodités. Vous avez bien remarqué que quand il rencontre l’objection : il faut bien
temps en temps, avoir un peu de monde autour de soi ; et voilà tout. Remarquez du reste qu’après cet élargissement en quelque so
ouvelle Héloïse et Sophie des différences sensibles. Je ferai d’abord remarquer que ces différences au fond ne sont pas très gran
c ferveur. Elle élève, il est vrai, ses enfants sans catéchisme, mais remarquez que ce sont tous deux des garçons et que l’opinio
plus tard, en écrivant Sophie, il est revenu des dames — pour jamais, remarquez -le ; — il a de la rancune à leur égard, surtout à
la manière de Rabelais, de Montaigne et de Diderot ? En nous faisant remarquer  : 1° que dans Molière les préjugés sociaux sont v
malades qui sont assez naïfs pour avoir confiance en ces médecins-là. Remarquez , en effet, que le ridicule de la pièce, encore qu
sentiment qui est dans la nature autant qu’il est possible d’y être. Remarquez que sept fois sur dix, c’est la vanité que Molièr
seur » par la la classe moyenne des deux siècles qui l’ont suivi. Or, remarquez bien, qu’est-ce que c’est en son fond et en son e
être de plus en plus individualiste, de plus en plus isolé, capable, remarquez -le bien, de mépriser les invitations et les faveu
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
e. Entre les femmes honnêtes, spirituel les et polies, que nous avons remarquées à la fin de la période précédente, une doit faire
vec sa vie, plus de vingt ans après. Le duc de Saint-Simon a lui-même remarqué madame Scarron dans la maison de cet ami, la meil
aissées, une expression que je n’aurais sûrement pas été le premier à remarquer . « La reine, dit-elle, dut se coucher hier au soi
nous avons été entretenus jusqu’à présent, si seulement je puis faire remarquer quelques traits échappés aux recherches et à la s
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425
piece, & tout le monde la sait par cœur. Je prie mes lecteurs de remarquer qu’ils ne sont frappants que parcequ’ils sont cop
qui le composent, si le Marquis ne prenoit la peine de les lui faire remarquer . Scene VII. Le Marquis, après avoir observé que
8 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
in de s’en offenser, riaient eux-mêmes du ridicule qu’il leur faisait remarquer en eux. Son nom fut Jean-Baptiste Poquelin ; il é
rge de Valet de Chambre où il se rendait très assidu. Ainsi il se fit remarquer à la Cour pour un homme civil et honnête, ne se p
ssait dans son domestique. C’est ce que ses plus particuliers amis on remarqué bien des fois. En 1661 il donna la Comédie de L’É
9 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
s couleurs quelques vers qui rappellent un peu la longue tirade qu’on remarquera dans le livret de Rouen. Ce livret offre le texte
cere7 ? BACHELIERUS. Clysterium donare, etc., etc. SEXTUS DOCTOR. On remarquera dans le couplet du sixième docteur la mention qu’
ronique se retrouve plus loin dans le nouveau texte. 8. On a déjà dû remarquer , au milieu de tout ce latin burlesque, plus d’une
10 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
Italie et ne revint qu’en 1670. Mais la grande innovation qu’il faut remarquer et qui nous oblige de fixer à cette date le point
ues qui, à coup sûr, avaient passé par là scène française. Nous avons remarqué précédemment que le Convitato di pietra fit très
era andato in Allemagna Servire al signor Brandebourg una campagna… Remarquez aussi le titre de ces versions amplifiées : Recep
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
e dont parloit Angelo, & tout m’a confirmé dans mon opinion. J’ai remarqué dans le Misanthrope quelques vers de détail pris
ere, en lisant la piece espagnole pour composer son Festin de pierre, remarqua cette pointe, la compara intérieurement aux jeux
12 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
lerie et de raccommodement des deux amoureux. Comme sa très bien fait remarquer Voltaire, le prototype de ces scènes de rupture e
bserver, à propos des Précieuses ridicules, que « l’envie de se faire remarquer a ramené depuis le style des précieuses » et il n
d’autres les ouvrages où ils ne mettent que du talent. Voltaire fait remarquer que la même année où la Princesse d’Élide échoua
e qu’il n’y a dans Don Juan aucune imitation de l’antiquité. Il a été remarqué que le type de Don Juan est absolument inconnu, d
plus jaillissante. C’est encore une satire contre les médecins, mais remarquez ce très heureux détour. Les médecins n’y sont pas
lle qui a parlé du cœur à droite et du foie à gauche, à qui l’on fait remarquer que c’est l’inverse et qui répond : « Oui, cela é
pte fait, est pardonnable. La Pastorale Comique Il n’y a rien à remarquer sur ces six pages de petits vers simplement desti
upé par tous ceux qui vivent de la vanité des autres. Tout le monde a remarqué que les quatre premiers actes du Bourgeois gentil
e neurasthénique est un malade au moins à moitié imaginaire. Il est à remarquer encore que la folle « cérémonie »du Malade imagin
is qui existait chez eux et qui chez Molière (comme dans Shakespeare, remarquez -le) n’existe pas. Molière n’est pas athée militan
re et n’en témoignez rien. Comme dirait Calvin, c’est un Nicodémite. Remarquez encore qu’Orgon a été « assoté » par Tartuffe, so
ous venons de dire (c’est la seule manière d’être complet) et faisons remarquer qu’il y a, même au point de vue des idées, plusie
prime d’une façon que voudraient avoir trouvée tous ceux qui les ont. Remarquez de plus, et c’est ce qui explique le succès intel
ciale très analogue à celle des ecclésiastiques — et je fais toujours remarquer qu’il y a beaucoup d’analogie entre Orgon et Arga
té, même un peu drôle, et se distingue des autres, et tout le monde a remarqué que de leurs excentriques, même sans génie, les A
ure dite et trouve Arnolphe bougon et très peu poli, ce qui l’incite, remarquez bien cela, à se moquer de lui : Eh bien, soupero
e j’ai dites, reste sa marque, et ce qui indique, comme l’a très bien remarqué Rousseau, une préoccupation de faire rire qui che
pièce, qui du reste est un chef-d’œuvre, est proprement infâme. Car, remarquez bien, c’est une pièce où l’amant ne trompe pas se
s le début, il apportait des pièces où il n’y a pas de sujet du tout. Remarquez que la première de ses comédies jouées à Paris es
L’École des femmes manque d’action ; Lysidas n’oublie pas de le faire remarquer dans la Critique de l’École des femmes. L’École
Ecoutez-moi : « Te le dirai-je, Araspe… ». Voyez-vous celle posture ? Remarquez bien cela. Là, appuyez comme il faut le dernier v
ait aisément tous les jours sans le secours d’Horace et d’Aristote. » Remarquez bien ces mots : « Ce ne sont que quelques observa
uques. L’homme primitif dans ces conditions est vaincu de tous côtés. Remarquez bien que c’est un type éternel, car il est essent
in se dégrader pour manger ; je n’en parle pas si ce n’est pour faire remarquer comment Voltaire a compris cette scène ce qui est
interprétation-ci que j’incline le plus. Et il ne faut pas manquer de remarquer enfin que Don Juan, en tout cas, n’est pas si ill
très ridicule. » Il y a du vrai et du faux ici. Du vrai : j’ai fait remarquer moi-même que, pour que Tartuffe cherche à séduire
vertu de Tartuffe et que cette épreuve ne lui ménage qu’un triomphe. Remarquez en effet ce qu’il dit à Elmire quand celle-ci lui
sposé. Harpagon est l’avare de son bien, Argan est l’avare de sa vie. Remarquez en passant qu’Argan est avare aussi de son bien,
ent tous les borborygmes de leur âme ; qui, comme les malades, on l’a remarqué cent fois, sont flattés de leurs maladies, les tr
centrai, pour ainsi parier, et dans ses variétés secondaires. Il faut remarquer qu’il n’a pas voulu peindre, jamais, la femme de
on, mais le supporte, supporte sa mère, aux aigres propos de laquelle remarquez qu’elle ne répond rien, supporte Tartuffe, est en
ent s’il l’épouse. Il y a peut-être là quelque chose de trop. On peut remarquer dans les Femmes savantes l’absence de servante ga
remarquer dans les Femmes savantes l’absence de servante gaillarde et remarquer aussi que ce personnage est tenu de temps en temp
quelquefois même contre la passion qui le domine, et tout le monde a remarqué les libéralités, très rares, mais brusques et exa
’il n’a pas le même âge à tous les actes de la pièce, mais comme j’ai remarqué aussi qu’il y a au premier acte quelques promesse
re complexe ni à l’un ni à l’autre. Encore est-il, comme je l’ai fait remarquer ailleurs, qu’il a donné un défaut à Philinte, la
olière vient de lire la Marmite de Plaute. Vous n’êtes pas sans avoir remarqué qu’il y a deux avares dans la Marmite de Plaute c
sais qui est nécessaire, par la fermeté des lignes générales. Chose à remarquer que c’est au théâtre, où l’on n’a pas le temps de
, sans aucune imprécation de théâtre ce que Molière a cm devoir foire remarquer comme nous l’allons voir, absolument naturelle :
es dénouements n’ont pas étonner le moins du monde le public de 1660. Remarquez que, du reste, ces accidents arrivaient à. cette
éparations comme trop facile pour qu’il fût soigneux de s’en occuper. Remarquez qu’il n’a donné à ses dénouements accidentels que
a Princesse d’Élide, dans la Pastorale comique, dans l’Amour peintre. Remarquez cette particularité très notable de la Pastorale
er dans sa prose beaucoup de vers alexandrins, ce que tout le monde a remarqué , mais il les mêlait souvent à des vers octosyllab
ouvait dire. C’est ainsi préparé qu’il écrivit Amphitryon et il est à remarquer que l’Amour peintre est de 1667 et Amphitryon de
qu’une jeune fille. 9. À la tendresse d’Alceste pour Célimène. 10. Remarquez , préface des Plaideurs : « On n’osait rire de cho
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
elui de voir Sganarelle donner dans les pieges qu’il a voulu tendre ! Remarquons que lorsque Moliere a conduit ses dupes au point
; les spectateurs jouissent tout-à-coup de la plus agréable surprise. Remarquons dans cet exemple même, que Moliere a évité un déf
rs. D’Aubignac qui éleve aux nues les dénouements de Térence, n’a pas remarqué sans doute celui de l’Andrienne. Nous apprenons à
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
ais elle ne savoit pas comment l’instruire de son bonheur. Elle avoit remarqué que son amant voyoit souvent un Religieux, qui, p
nte de la Fontaine. La Fontaine a presque traduit le conte de Bocace. Remarquons cependant qu’il a substitué au Confesseur une par
reste de la fable n’a aucun rapport avec le point principal. On peut remarquer en passant que la Fontaine s’est servi de cette d
s dans cette scene ! quel comique ! quelle fécondité ! Il faut encore remarquer que les héroïnes de Bocace, de la Fontaine, de Lo
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
Acte I, Scene I. Baron a traduit cette scene mot à mot. Nous avons remarqué dans le premier volume de cet ouvrage, Chapitre V
I. Simon se doute que son fils refusera de se marier ; il a trop bien remarqué le trouble de Dave à la nouvelle du mariage. L’AN
e le dis, Cet hymen ne fait-il quelque peine à mon fils ? N’as-tu pas remarqué quelque trouble en son ame A cause de l’amour qu’
ttendre ce compliment comme quelque chose de flatteur. Il faut encore remarquer que Térence finit l’acte sans préparer le troisie
que les deux vieillards consentent à l’unir avec Pamphile. Nous avons remarqué combien il étoit ridicule & contre nature, qu
, des changements heureux qu’il a faits ; nous avons pris soin de les remarquer à mesure qu’ils passoient sous nos yeux. Nous nou
16 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIV » pp. 251-258
ours aux lois de la bienséance et de la morale. Une circonstance déjà remarquée favorisa cette influence : à la tête du parti des
e au bordel. Ce terme grossier, dit Voltaire, n’est pas tolérable71. Remarquons , à cette occasion, qu’avant le milieu du xviie  s
17 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
non-seulement du temps de Molière, mais de nos jours78. Ce qu’il faut remarquer , ici, c’est, la moralité absolue d’une œuvre où,
(Bourdaloue, Sermon cité plus haut. Voir toute la 1e partie). Il faut remarquer que l’archevêque de Paris et Bourdaloue ont pris
re, et dans le Tartare, il a réservé une place aux tartuffes : « Il y remarqua beaucoup d’impies hypocrites, qui faisant semblan
V. 94. Id., act. I, sc. III : à l’occasion de cette scène, on doit remarquer avec quelle légèreté parle Fénelon (Lettre à l’Ac
18 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
n parallaxe… Pour moi, etc. Madame de La Sablière eut le malheur de remarquer que l’astrolabe sert à mesurer la hauteur des ast
avoir éprouvé à la lecture d’une critique de Bérénice, et n’avait pas remarqué que ce qu’elle appelle la folle passion de cette
ue la première. » Il n’avait pas lu enfin ce qu’elle dit d’Esther, ni remarqué ce sentiment profond des beautés nouvelles que Ra
t naturel. » Quoiqu’elle n’ait rien dit de trop ici, il faut pourtant remarquer que homme à qui elle écrivait lui avait témoigné
19 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
ia (bis) Metta la testa à basso Vo signoria ! Ce couplet, on peut le remarquer , remplace complètement la scène XV du premier act
opérateurs, sauf un couplet de ceux-ci, qui, comme nous l’avons fait remarquer , remplace la scène XV du premier acte, les parole
argument en faveur d’un premier modèle de M. de Pourceaugnac. A-t-on remarqué , à propos de la nationalité passagère du rôle de
nt en faveur d’un premier Pourceaugnac, gentilhomme italien ? On peut remarquer qu’évidemment, si l’on admet l’ordre indiqué par
de spectacle ? Pourquoi ne le supprima-t-il pas simplement ? 11 est à remarquer que Molière n’a jamais écrit une pièce en deux ac
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Pieces intriguées par plusieurs Personnages. » pp. 169-175
rejaillit sur les personnes qui se chargent de la faire réussir, j’ai remarqué qu’il aime à ne suivre que la marche d’un seul pe
c moins content n’auroit peut-être pas écouté la piece. Je dois faire remarquer qu’il y a un grand défaut dans la piece que je vi
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60
nœud. Mes Lecteurs ne seront pas, je pense, de son avis : ils auront remarqué dans l’extrait non seulement une exposition simpl
la plus grande partie des pieces à scenes détachées, c’est, comme l’a remarqué Riccoboni, une Divinité personnifiée qui joue le
est cependant entre elles quelques différences qu’il est bon de faire remarquer . 6. Cette piece parut en 1683 : elle fut d’abor
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410
’exécution de son dessein. Entre les autres défauts de son mari, elle remarqua qu’il aimoit fort à boire. Non seulement elle l’a
assez raisonner sur une chose qu’il étoit bon, à la vérité, de faire remarquer , mais sur laquelle nous ferions mal de nous appes
lque expédient pour se voir, elle crut en avoir trouvé un. Elle avoit remarqué que son mari s’endormoit difficilement, mais qu’é
23 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
ou se marie, est un modèle de bon comique. Voilà tout ce qu’il y a à remarquer dans cette pièce. LE FESTIN DE PIERRE. Cett
Scapin tire de l’argent de Géronte par le comité de la galère, sont à remarquer . Dans le troisième, la scène du sac me semble peu
s comiques. LA MÉTROMANIE. Chef-d’œuvre ; tout en est presque à remarquer . Au premier acte, la scène sixième entre Damis et
24 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
n amour, la mythologique Alcmène 356. Peut-être Elmire est-elle moins remarquée que d’autres parmi les femmes de Molière : ce man
le Bourgeois gentilhomme, les Femmes savantes, le Malade imaginaire. Remarquer particulièrement le mot à Angélique à son oncle B
attirerait beaucoup de monde, Mlle Molière avait à cœur de s’y faire remarquer par l’éclat de sa toilette ; elle commanda donc u
25 (1802) Études sur Molière pp. -355
èce de Molière. Des imitations. L’on n’a pas lu la pièce, sans remarquer que le sujet et l’intrigue appartiennent à Beltra
e devrait porter le seul titre de Contre-temps ; mais le lecteur a pu remarquer que tous les contre-temps devant leur naissance,
comédiens dignes de ce titre, car il en est, pourquoi ils ne font pas remarquer à leurs camarades le ridicule de ces coupures, je
èce. Le genre. — Plutôt de caractère que d’intrigue. Le titre. —  Remarquons -en toute l’adresse. La contagion était poussée à
bien plus utile à l’intrigue, puisqu’il en fait le principal ressort. Remarquons encore que la dame de Florence fait des avances à
e est en action. Le style. — Facile, coulant, élégant même, laissant remarquer peu de négligences, encore faut-il les reprocher
nner la sienne ; il nomme bien distinctement Isabelle, Ariste le fait remarquer à son frère : est-il possible que Sganarelle n’ou
et se faisant ressortir mutuellement, témoin, comme nous l’avons déjà remarqué , la naïveté de l’innocente Agnès, avec les ruses
édie, mais un dialogue ; c’est au lecteur à répondre et à dire : j’ai remarqué dans cet ouvrage des caractères fortement dessiné
ut, pour mériter d’être appelée une comédie ? Le lecteur a sans doute remarqué aussi que Molière, au lieu de perdre son temps à
a reconnaissance dicta ce remerciement. Lisez le Remerciement. Nous remarquons , dans ce remerciement, que Molière, dominé par so
terrassés par le mérite de son ouvrage, mais par la toute-puissance. Remarquons , en finissant l’article de L’Impromptu de Versail
me, nommé Carlos, entreprend de venger l’amour, en feignant de ne pas remarquer la beauté de la princesse, qui, de son côté, piqu
ui doit aussi le déguisement d’un de ses personnages en médecin, mais remarquons qu’ici c’est le maître lui-même, et non le valet,
billet dans ma botte, et que ces mauvais lazzis achevassent de faire remarquer combien le ton de cette scène est étranger à celu
ules le privilège d’être continuellement près du boudoir ; faites-lui remarquer encore que son esprit doit lui conseiller de reje
te de surprise, ait besoin de s’arrêter froidement, et de nous faire remarquer , par un signe de réminiscence, qu’il a oublié de
 ; le triomphe d’Elmire ne redouble-t-il pas ? ne doit-elle pas faire remarquer à son mari que Tartuffe, en même temps impie et l
blés sur la table, ne doit-elle pas craindre que Tartuffe, ayant déjà remarqué l’opiniâtreté de son rhume, ne remarque encore l’
ffectation d’un bel esprit qui débite ses madrigaux, et veut en faire remarquer la pointe63. L’infortune du général thébain n’est
ifice de l’Avare renonçant à son amour pour revoir sa chère cassette. Remarquons que Molière a bien mieux fouillé dans les replis
s le nom de l’acteur, par égard pour ses talents ; mais je dois faire remarquer aux jeunes gens qu’un grand comédien, dès qu’il c
ont les vieillards de le rompre, à favoriser la tendresse de Phedria. Remarquons encore que dans l’une et l’antre pièce, deux four
Beautés à distinguer. Le lecteur ne se bornera pas sans doute à remarquer combien il a fallu d’invention pour trouver cinq
ouvrage, quoique rempli de beautés, n’a pas réussi. Les commentateurs remarquent encore que Térence a, dans son Hecyre, une belle-
llera petite masque 82. L’élève. Je sens tout ce que vous me faites remarquer  ; ma fille le prouvera. Le professeur. À la bonn
otre travail, et je signe ; tant de loyauté méritait que je lui fisse remarquer à quel point il s’exposait en donnant une nouvell
pas à propos qu’on lui fit connaître et respecter sa langue ? 28. On remarquera dans la préface, que Molière y promet un examen d
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102
es genres de titres que les comiques ont employés jusqu’ici, & de remarquer avec lui ce que quelques-uns peuvent avoir de dan
sa tragi-comédie eut quelque succès. Je crois très à propos de faire remarquer ici que les Italiens, & Moliere après eux, on
27 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
jusqu’au ridicule, est si rempli de faiblesse pour une coquette ; de remarquer la conversation, le contraste charmant d’une prud
soutiendra bien son caractère, puisqu’il commence si bien de le faire remarquer . « Dans cette première scène, il blâme ceux qui s
dépit qu’il veut s’en aller. C’est ici où l’esprit de Molière se fait remarquer , puisqu’en deux vers joints à quelque action qui
une adresse de l’auteur qui prépare la fin de sa pièce, comme vous le remarquerez dans la suite. « Il y a dans le même acte une scè
Les vers de ce récit sont tout à fait beaux ; mais ce que l’on y doit remarquer est que le caractère du Misanthrope est soutenu a
trop délicatement traitée ; mais je puis assurer que tout le monde a remarqué qu’elle était bien écrite, et que les personnes d
e de valet de chambre, où il se rendait très assidu. Ainsi, il se fit remarquer à la Cour pour un homme civil et honnête, ne se p
se passait dans son domestique. Ce que ses plus particuliers amis ont remarqué bien des fois. « La troupe qui représentait ses c
hefs-d’œuvre. « Semblable au peintre habile, qui, toujours attentif à remarquer dans les expressions extérieures des passions, le
s Le Sicilien 4, on peut du moins, dans la comparaison de ces scènes, remarquer le progrès du génie et des talents de Molière ; c
lus grand nombre, et où les gens de goût, sans en approuver le genre, remarquaient des traits que l’usage a consacrés, et fait passe
qu’il lui fait acheter si cher. « Malgré les défauts que je viens de remarquer dans L’Avare de Molière, et malgré ceux qui peut-
            Arlequin, dévaliseur de maison. Scapin fait remarquer à Flaminia, maîtresse de Pantalon, le diamant que
28 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [24, p. 52] »
figure dans l’édition de 1855 à la vingt-deuxième place. Nous pouvons remarquer que la faute d’orthographe sur le nom Vadius n’a
29 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [18, p. 48] »
allet argue que cette anecdote est invraisemblable. On peut également remarquer que celle-ci ressemble beaucoup à l’anecdote sur
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
ison de la Prudoterie, il y a plus de trois cents ans qu’on n’a point remarqué qu’il y ait eu une femme, Dieu merci, qui ait fai
uelles en sont les sources les plus sures, les plus abondantes, & remarquons l’adresse avec laquelle il y a puisé. Premiéremen
31 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
vous pas qu’il est déguisé, qu’il a volé ce manteau ? N’avez-vous pas remarqué qu’il voulait prendre la fuite ? MARCA. Oui, mai
’avait transmis, c’est la vieille entremetteuse, la Ruffiana. Il faut remarquer qu’elle est dans la comédie italienne ce qu’elle
32 (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32
ices des grands, toujours exposés aux regards de la multitude, et que remarquent avidement ceux nés dans la classe ordinaire ; de
uvrages ont enrichi le théâtre de nouvelles découvertes, se sont fait remarquer par des observations profondes, un naturel, une g
mple de la cour, toutes les autres classes de la société se faisaient remarquer par leur piété. C’était un moment heureux pour le
33 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre V » pp. 48-49
ciété d’élite un mélange heureux de personnes des deux sexes ; nous y remarquons la parité, je dirais volontiers la domination ou
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
elle à la vie, & s’unit à lui par les nœuds de l’hymen21. On a du remarquer dans cette piece des situations & des tableau
les situations trop voluptueuses des pastorales. Celle que nous avons remarquée dans Mylas est ici la même à quelque chose près.
35 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE X. Du Père, de la Famille, de l’Etat. » pp. 193-216
nservait le sentiment de ces choses sacrées. On ne saurait trop faire remarquer cette étonnante et désastreuse lacune dans la mor
nt pas seuls ce traitement. Dans ce hardi petit chef-d’œuvre, il faut remarquer la scène des Porteurs 723, où le sentiment des dr
r à votre ignominie.   En vain, etc., (v. 59).   Il est curieux de remarquer que cette idée, qui est de Juvénal (Satire VIII,
36 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
ndamné généralement la comédie et les comédiens, il est nécessaire de remarquer quelle n’a jamais vu là ni une question de dogme
sa discipline suivant les temps et les pays. Et sur ce point, on peut remarquer encore que plus d’un Père de l’Église s’est appli
813. La Bruyère, les Caractères, des Ouvrages de l’esprit, XXXVIII. Remarquez que ce paragraphe n’a été introduit par La Bruyèr
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
aturel que le beau sexe a reçu en partage, je me contenterai de faire remarquer aux Dames qui seront en ceci d’un avis contraire
, de la comparer dans la suite avec celle de ses dernieres, & d’y remarquer à quel point l’Auteur avoit su châtier son style.
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
une autre batterie pour rendre le beau-pere aussi dupe que le gendre. Remarquez qu’il a l’adresse de ne pas nous expliquer ce qu’
rigani le laisse avec Oronte qui paroît. Surement tout homme qui aura remarqué l’art avec lequel l’entrevue d’Oronte & de Po
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
lé de prendre l’intrigue de cette piece pour modele, j’ai voulu faire remarquer les ressorts que Laurette met en usage. Ils sont
, de bonne foi, pour qui tous les vœux des spectateurs se réunissent. Remarquons encore que cette faute en entraîne nécessairement
40 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
pas surtout qu’on en répande le bruit. Ce n’était pas le cas de faire remarquer la sincérité de son reproche. On s’en convaincra
ravi de ce qui s’est passé. » (Ravi ne peut être là qu’ironiquement.) Remarquez que madame de Maintenon ne dit pas à Gobelin : « 
41 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
vue de la morale universelle ; mais on ne peut s’empêcher pourtant de remarquer qu’à une époque où les rois dansaient en costume
e. 593. Amphitryon, act. II, sc. VI. 594. Id., act. III, sc. II. Remarquez encore que Mercure, en jouant cet odieux rôle, a
ngueville ou le duc de Lauzun : voir plus haut, note 2, p. 176. 641. Remarquez l’immoralité de rendre Dieu créateur responsable
42 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
i on les compare aux préfaces de notre temps. Vous aurez probablement remarqué , mesdames et messieurs, que nos écrivains aujourd
tout entière ; on a relevé jusqu’à ses moindres mots, sans seulement remarquer la lettre qu’elle écrit à Horace, un modèle inimi
rait est le plus terrible, son homme, c’est Trissotin. On a déjà fait remarquer , je crois, que Les Femmes savantes et Tartuffe se
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
ue j’en prétends faire ? Il faut..... Mais sortons d’ici auparavant. Remarquez avec quelle adresse l’Auteur, après avoir rendu c
p; des portraits qui sont étrangers au sujet, comme nous venons de le remarquer , mais encore de tous les détails, à moins qu’ils
i pût servir à la justification de Géta & de l’Auteur. J’ai enfin remarqué qu’à la fin de la deuxieme scene du premier acte,
44 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
ses compositions. Cela doit paraître hors de doute, si l’on veut bien remarquer que nulle part, excepté dans le Festin de Pierre
, ni loup-garou » (le Festin de Pierre, act. I, sc. I). Enfin on peut remarquer dans les Amants magnifiques (act. I, sc. II) une
laisse tomber dans un puits). 778. Préface du Tartuffe. — Il faut remarquer que l’arrêt du parlement du 17 novembre 1548, don
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
qu’on consulte là-dessus M. de Voltaire. Voici son avis. « J’ai cru remarquer aux spectacles, qu’il ne s’éleve presque jamais d
e de la Présidente lui parut sur-tout un champ bien vaste. Il la fait remarquer au Maréchal, & lui dit ensuite, avec un air d
46 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
, en face même du grand roi, contre l’adultère et la volupté. Il fait remarquer que Molière, lui, n’a jamais écrit de sermon cont
xercés, à des yeux qui peut-être, sans cette aide, ne les eussent pas remarqués dans le monde réel. Notre expérience personnelle
fois plus avant l’idée dans l’esprit du public. N’avez-vous donc pas remarqué , vous qui êtes un philosophe, que les hommes, dan
ces deux chefs-d’œuvre une bonne part de ma semaine. N’avez-vous pas remarqué combien le comique qui ne résulte que de certaine
, qui m’a résolu la difficulté et découvert le pot aux roses. Vous ne remarquez pas, me dit-il, ce mot tympanisées et cette locut
e cette représentation un de mes correspondants habituels ; avez-vous remarqué ces deux familles qui étaient aux stalles de seco
ont trop spéciales pour que je les rapporte, et il termine en faisant remarquer que les instruments de cuivre très courts et très
, celle qu’a exposée un de nos confrères, M. Bourde, quand il faisait remarquer que les mots, pour parler le langage de la nouvel
autre nom dans la langue contemporaine. Ils s’appellent les raseurs. Remarquez pourtant qu’il y a une nuance. On est raseur par
se chez Arnolphe le feu d’une passion violente pour ce jeune tendron. Remarquez -le, s’il vous plaît. Arnolphe, au début, n’aime p
t qui restera éternellement l’honneur de la nature humaine. Avez-vous remarqué combien il est difficile et rare, dans la vie pra
ntage ; car l’Amphitryon est l’inimitable modèle du vers libre. Mais, remarquez -le : l’Amphitryon est la pièce qui a suivi immédi
autorité ; il ne risquerait rien à se livrer davantage. Je lui ferai remarquer aussi que dans le prologue il parle ou trop vite
auche et sa voix un peu faible n’ont étonné personne. On a simplement remarqué son élégance aimable, sa diction juste et mesurée
e vois L’Avare, en moyenne trois ou quatre fois par an, il m’a semblé remarquer que le public, sans trop se l’avouer, en était co
lez en maître La maison m’appartient… Et je supplie mon ami Weiss de remarquer que je ne parle pas de la beauté du coup de théât
lle va recevoir une déclaration. Oui, elle le sait, car Dorine a déjà remarqué l’amour de Tartuffe, et elle en parle, comme elle
omme tel que : « Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde. » Remarquez que si vous n’adoptez pas cette interprétation, l
sibilité douce et gaie tout ensemble que tous les commentateurs ? ont remarqué , mais que les artistes semblent avoir négligé. Ch
exposerai un jour, soit en conférence, soit en feuilleton, me faisait remarquer qu’il n’y aurait rien de si facile que de mettre
rchande à la Halle et la femme du maréchal d’Ancre, Léonora Galigaï. Remarquez que dans cette dernière pièce l’intérêt vient, co
ier 1885. Marivaux Le théâtre de Marivaux J’ai déjà fait remarquer à plusieurs reprises que Marivaux ne fut pas esti
i avouer son trouble, lui demander conseil ! Et la mère, elle, a bien remarqué l’inquiétude de sa fille, elle en a aisément devi
une fois il en est sorti, la comédie est terminée. « On a très bien remarqué , dit Sainte-Beuve, que dans ses comédies en génér
les classes, les maîtres devenus serviteurs, et vice versa. Ils font remarquer qu’au xviie  siècle aucun écrivain ne se fut avis
ul mot de révolution eût effarouché singulièrement Marivaux. Il est à remarquer que presque tous ses personnages sont de bonnes g
met pas qu’avec ces préjugés on puisse être indulgent. Sainte-Beuve a remarqué que les valets et les soubrettes de Marivaux ont
Marivaux avec un homme qui le connaît si bien. Je ferai tout d’abord remarquer à M. Larroumet que ces additions (lazzis et jeux
n a-t-on plusieurs ? Et Figaro part : — Oh ! que oui ! depuis qu’on a remarqué qu’avec le temps vieilles folies deviennent sages
té une pièce révolutionnaire. Geoffroy, l’ancien critique des Débats, remarquait déjà de son temps que le succès en était plus ou
ond de la langue anglaise, sans que tout le parterre éclatât de rire. Remarquez bien que la scène est inutile ; il y a mieux, ell
même au-dessus de la critique. Il nous est sans doute permis de faire remarquer que ce n’est point là du grand art, qu’il n’y en
prendre une femme de chambre qui connaît des prudes de cette espèce. Remarquez de plus que cet esprit n’est pas pétillant, qu’il
47 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
ré ; et vous verrez s’évanouir l’énergie et le charme des vers cités. Remarquez au reste, comme preuve de la force ajoutée par la
t combattue par d’autres précieuses. Mademoiselle de Montpensier en a remarqué parmi elles qui font les dévotes par politique, e
nt des niaiseries, dont elles rient aux éclats quand on les leur fait remarquer … — Ah ! madame, c’est qu’on ne songe pas à ce qu’
épétitions contre les personnes à qui cette maison doit sa célébrité. Remarquez d’abord qu’en 1609, quand parurent Les Précieuses
48 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [76, p. 115-117] »
fin le prédicateur et le nouveau converti s’enivrèrent. Nous pouvons remarquer que le nom du frère de Boileau n’est pas le même
49 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
lle aux discours des galants, mais elle peut s’y habituer. Nous avons remarqué que dans la distribution des rôles faite par Moli
nature d’Alceste, eu le tenant pour un parfait honnête homme, on peut remarquer qu’il est guidé par des sentiments personnels, et
es, jusqu’à M. Loyal, ce type des huissiers; Tartufe, ainsi qu’on l’a remarqué , véritable hypocrite, à moins qu’il ne soit empor
n’ont été retracés avec une plus adorable expression. Nous avons fait remarquer , à plusieurs reprises, comment Alceste ne sappe q
rsonne, et dont le seigneur Jupiter a fait les honneurs ? Nous devons remarquer que les convenances les plus strictes, non pas da
épousent une fille sans consulter son cœur. Nous avons eu occasion de remarquer que le mariage étant une des choses les plus impo
lui fallait supporter : la fatuité des hommes, nous l’avons déjà fait remarquer , et la coquetterie des femmes lui étaient à charg
sion. Voici ces vers que nous aimons et que d’autres personnes auront remarqués sans doute aussi. Chrysalde se détermine à faire
le raccommode ? Nos poètes, mieux rétribués de leurs œuvres, se font remarquer par leur tenue élégante et recherchée ; ils ne so
charmants; toutes ont un sujet comique vivement développé. Nous avons remarqué dans les Fêtes du Cours une intrigue de bal masqu
50 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
qu’à lui choisir pour Precepteur le celebre M. de Gassendi, qui ayant remarqué dans Moliere toute la docilité & toute la pen
Gascogne, se glissa dans la societé des disciples de Gassendi, ayant remarqué l’avantage considerable qu’il en tireroit. Il y f
e delibere pas beaucoup sur le nom sous lequel il veut se masquer. Je remarquerai ici que Monsieur Bayle dit que bien des gens lui
lors qu’il y fut établi avec sa Troupe. Mr. le Prince de Conti* ayant remarqué en peu de tems toutes les bonnes qualitez de Moli
e bonne volonté, répondit à l’empressement de Moliere ; mais celui-ci remarqua qu’il avoit pris presque tout son travail dans la
utant plus qu’il étoit naturellement très-liberal. Et l’on a toûjours remarqué qu’il donnoit aux pauvres avec plaisir ; & qu
ncore vivante qui étoit alors à la Cour. Quant à l’execution il est à remarquer que Lulli qui étoit aussi excellent Grimacier qu’
ur & la rejouïrent. » Pour bien comprendre cette querelle il faut remarquer que Bensserade s’étoit fait un merite unique à la
d’en avoir, & de n’être goutées qu’aprés la reflexion. Et l’on a remarqué qu’il n’y a gueres eu que les Precieuses. Ridicul
la ceremonie du Malade Imaginaire, il lui prit une convulsion. Ayant remarqué lui même que l’on s’en étoit apperçû, il se fit u
ens peu communs parmi les personnes de sa naissance ; on doit l’avoir remarqué par les traits de sa vie que j’ai rapportez : &am
51 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
e de Louis XIV, avec celle qui va suivie, il est impossible de ne pas remarquer une différence et dans l’inspiration des écrivain
t de vue assez peu élevé, le règne de Louis XIV mérite sa réputation. Remarquons d’abord qu’il est parfaitement faux de dire, comm
que pouvait être l’histoire sous l’ancien régime. Ce qu’il importe de remarquer dans cette liste, c’est que, parmi les écrivains
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. » pp. 420-425
ommes, que la distance de leurs genres met hors de toute comparaison, remarquons plutôt que les deux scenes rapportées dans ce cha
53 (1696) Molière (Les Hommes illustres) « JEAN-BAPTISTE POQUELIN. DE MOLIERE. » pp. 79-80
u’elles furent d’une grande utilité pour bien des Gens. Molière avait remarqué que les Français avoient deux défauts bien consid
54 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
érences avec le texte des autres exemplaires de la même édition. On y remarquait surtout une nouvelle leçon de la scène du pauvre
ait dans son domestique ; c’est ce que ses plus particuliers amis ont remarqué bien des fois12. » Le souvenir de ce passage doi
u’à lui choisir pour précepteur le célèbre M. de Gassendi, qui, ayant remarqué dans Molière toute la docilité et toute la pénétr
Gascogne, se glissa dans la société des disciples de Gassendi, ayant remarqué l’avantage considérable qu’il en tirerait. Il y f
’il donnait à la province, pendant qu’il en tint les états ; et ayant remarqué en peu de temps toutes les bonnes qualités de Mol
e bonne volonté, répondit à l’empressement de Molière ; mais celui-ci remarqua qu’il avait pris presque tout son travail dans la
tant plus qu’il était naturellement très libéral ; et l’on a toujours remarqué qu’il donnait aux pauvres avec plaisir, et qu’il
es d’en avoir, et de n’être goûtées qu’après la réflexion ; et l’on a remarqué qu’il n’y a guère eu que les Précieuses ridicules
la cérémonie du Malade imaginaire, il lui prit une convulsion. Ayant remarqué lui-même que l’on s’en était aperçu, il se fit un
nts peu communs parmi les personnes de sa naissance ; on doit l’avoir remarqué par les traits de sa vie que j’ai rapportés ; et
uait admirablement bien les rôles de rois et de paysans. Cependant on remarquait un défaut en lui, qui était d’avoir un visage ria
inoé dans le Misanthrope. Un fait assez curieux et qui n’a point été remarqué , c’est que Molière, les deux Corneille, Racine et
ns à l’époque de cette catastrophe. Elle dut le frapper, car il est à remarquer que dans aucune de ses pièces il n’a introduit de
ure de France, mai 1740.) Ses talents supérieurs n’empêchèrent pas de remarquer ses défauts. Scarron, dans son Roman comique, fai
avait pas de jour qu’il ne se battit en duel, et l’auteur de sa Vie a remarqué que ce fut presque toujours en qualité de second.
che. Le même auteur trace ainsi son portrait et celui de La Grange, «  Remarquez , dit-il, que la Molière et La Grange font voir be
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
les traitant comme Plaute, Térence, Moliere, dont je ferai également remarquer les grandes beautés & les choses qui pourroie
étail chez toutes les nations. Quel seroit mon bonheur si, en faisant remarquer chez lui des beautés dans tous les genres, je pou
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
ites choses auxquelles vous ne sauriez prendre garde vous-même, & remarqué de l’autre qu’il se commet tous les jours de lour
maison d’un parfumeur, &c. . . . . . . . Je crois devoir faire remarquer en passant que l’Auteur Anglois, en imitant le pl
57 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
époque d’une existence plus élevée. Il est au reste, inutile de faire remarquer ces mots : une terre que le roi m’a donnée ; ils
n ouvrage qui a pour objet l’histoire de la société d’élite, de faire remarquer dans ces lettres de madame de Sévigné, des 28 jui
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
Je me suis assujetti jusqu’ici à des soins aussi minutieux pour faire remarquer que les meilleures comédies ont souvent été les m
gît Timon. Lecteur, que le Ciel te confonde ! On a dû nécessairement remarquer dans cette piece les traits les plus mâles, les s
Dufresne, Comédien auquel il destinoit le principal rôle. Nous avons remarqué (dans le second volume de cet Ouvrage, Chapitre X
59 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
en parle. J’en aurais donc parlé comme il convient, et j’aurais fait remarquer , tant de beautés éparses, moins populaires que vo
passais à L’Épreuve nouvelle, de Molière à Marivaux, et j’aurais fait remarquer à la jeune débutante que parfois elle manque de n
élas ! il faudrait tout citer de cette rhétorique en action) : « J’ai remarqué une chose de ces messieurs-là, c’est que ceux qui
60 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
u’à lui choisir pour Précepteur le célèbre Mr de Gassendi ; qui ayant remarqué dans Molière toute la docilité et toute la pénétr
Gascogne, se glissa dans la société des Disciples de Gassendi, ayant remarqué l’avantage considérable qu’il en tirerait. Il y f
u’il donnait à la Province, pendant qu’il en tint les États. Et ayant remarqué en peu de temps toutes les bonnes qualités de Mol
e bonne volonté, répondit à l’empressement de Molière ; mais celui-ci remarqua qu’il avait pris presque tout son travail dans la
utant plus qu’il était naturellement très libéral. Et l’on a toujours remarqué qu’il donnait aux pauvres avec plaisir, et qu’il
ces d’en avoir, et de n’être goûtées qu’après la réflexion. Et l’on a remarqué qu’il n’y a guère eu que les Précieuses Ridicules
la cérémonie du Malade Imaginaire, il lui prit une convulsion. Ayant remarqué lui-même que l’on s’en était aperçu, il se fit un
ents peu communs parmi les personnes de sa naissance, on doit l’avoir remarqué par les traits de sa vie que j’ai rapportés : et
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. Des Caracteres de tous les siecles, & de ceux du moment. » pp. 331-336
à peine formés, de peindre sa laideur dès qu’elle commence à se faire remarquer , & de rendre cependant le portrait frappant.
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. M. DORAT. » pp. 463-467
onomies ; les uns ressemblent en beau, les autres en laid.   J’ai cru remarquer quelques ressemblances dans l’avant-scene des deu
63 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre premier. » pp. 5-11
ses ridicules ont paru. Les écrivains qui accréditent cette erreur ne remarquent pas que si leur opinion était juste, la gloire de
64 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
prédicateur plat, dit néanmoins qu’il était aimable dans le monde34. Remarquez aussi que si l’abbé Cottin était de cette société
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
ction de Tindare du bon côté, & de lui pardonner : il lui en fait remarquer toute la magnanimité, mais il ne peut rien obteni
mais ils sont au-dessous de l’original. 26. Le lecteur a sans doute remarqué qu’aucune femme ne paroît dans le courant de la p
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
e pour lui faire des questions ; elle a répondu de son mieux ; elle a remarqué avec plaisir qu’on rioit ; elle est surprise de n
horrible d’Inkle qui vend sa bienfaitrice & sa maîtresse. On a dû remarquer que M. de Chamfort s’est aussi gardé de faire ent
67 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
les honnêtes gens, etc. » (Premier placet sur le Tartuffe.) Il est à remarquer qu’on ne trouve que là, dans tout Molière, l’idée
a fait là vraiment deux fameux élèves. » Molière, act. III, sc. I. —  Remarquez d’ailleurs que c’est par la pédante Armande et pa
68 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102
ce qu’on entend par préciosité. Mais il n’est pas sans importance de remarquer que ce défaut commença par être une qualité au te
te façonnière, etc. (v. 438).   Voir la suite à la note précédente. Remarquez encore que la dissection est prise du Malade imag
69 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
art, comme sont tous les artistes supérieurs, M. Regnier, s’avisa de remarquer dans une lettre adressée à M. de Rambuteau, préfe
r soupir ; et veuillez excuser la liberté que je prends de vous faire remarquer que, si l’on considère cette circonstance et la p
our y apporter leur offrande. Une pauvre vieille femme surtout se lit remarquer  : toute tremblante, elle déposa son obole en déto
70 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
nous pouvons souscrire à cette conclusion, qui est une espèce d’aveu. Remarquons cependant que les compositions alors en vogue, le
d’indiquer composent tout l’inventaire dramatique du XIIIe siècle) ; remarquons , dis-je, que ces compositions, tout en offrant un
à voir le désert d’Égypte, le palais d’Hérode, etc. Cependant on peut remarquer une certaine attention, disons même un certain ar
71 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
son profit des conseils d’autrui. » Il nous paraît superflu de faire remarquer au lecteur toute la malignité et la calomnie qui
u Petit-Bourbon une pièce de lui, nommée Zénobie. Il est vrai qu’on y remarquait un grand défaut, et ce défaut en un mot est que c
, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbon, le 28 maic. « [*]On remarqua , dans Le Cocu imaginaire, que l’auteur, depuis so
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XL. Du dénouement des Pieces à caractere. » pp. 469-474
ne nous reste donc que bien peu de chose à dire sur les dénouements. Remarquons seulement que si le personnage à caractere doit,
73 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401
nt madame de Caylus, paraît occuper le roi. Madame de Montespan avait remarqué que madame de Soubise mettait des pendants d’orei
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
ince lui dit galamment que les beautés du jardin l’avoient empêché de remarquer ses charmes. Il sort. La Princesse est désespérée
sortent tous en chantant, sans dire un mot à Diana. Polilla lui fait remarquer leur gaieté : Ils ressemblent, dit-il, à des Prie
75 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
e, quand je vois Corneille et Racine en si mauvais point ! Il faut le remarquer pourtant, si j’avais intitulé cette revue : « le
ieux, spirituel, original Marivaux, — le seul de nos comiques, on l’a remarqué avec justesse, qui ne doive rien à Molière, — il
76 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
e la nature, qui montre l’empire de la vérité sur l’esprit humain. On remarqua dans le cocu imaginaire, Sganarelle, ou le cocu i
squ’aux moindres négligences ; le défaut le plus essentiel ne fut pas remarqué  : il est des images dangereuses, qu’on ne doit ja
chef-d’œuvres. Semblable au peintre habile, qui, toujours attentif à remarquer , dans les expressions extérieures des passions, l
s le sicilien,63 on peut du moins, dans la comparaison de ces scénes, remarquer le progrès du génie & des talens de Moliere.
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
a doit à l’adresse avec laquelle il met ses caracteres en opposition. Remarquez , de grace, comme je m’exprime ; je parle de mettr
78 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
leur déplairois pas tant. L’Amour Médecin donne lieu a l’Auteur de remarquer que c’est le premier Ouvrage dans lequel Moliere
79 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
ensemble ou dans tel développement qui lui est propre. En ce cas, on remarquerait tout d’abord que, dans la galerie des types ou de
80 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
uvait ne voir qu’une femme de petite condition, précieuse et pédante. Remarquez enfin dans la lettre de madame de Coulanges le mo
81 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
fallût quitter L’amour de ma mie, Je dirais, d’amour ravi, etc. Nous remarquons , dans la scène des portraits, la variante qu’il a
. En Pologne, en Russie, la faveur de Molière n’a point diminué. On a remarqué , il est vrai, que pendant une certaine période, M
ducation aussi complète qu’il fût possible de la recevoir alors. On a remarqué qu’elle dut avoir un caractère marqué de libre es
domicile est désigné rue de Thorigny, paroisse Saint-Paul. On a fait remarquer que Madeleine Béjart possédait une petite maison
gnée ainsi, sans les initiales J-B. P., et avec la particule. On peut remarquer l’absence de tous les Béjart. L’acte d’engagement
’a fait observer dans une lettre à M. Loiseleur18, à février 1650. On remarquera que les comédiens avertissent tout simplement les
oyez devoir disputer cet hiver d’éclat avec la sienne. Au moins ai-je  remarqué en Mlle Réjac grande envie de jouer à Paris, et j
part des auteurs qui avaient alors la vogue acceptaient ses lois : on remarquait parmi eux les Scudéry, Gomberville, La Calprenède
u galimatias et du style forcé. » Mais le Menagiana, il est bon de le remarquer , ne fut publié qu’en 1693, c’est-à-dire trente-qu
aquelle la rime même n’apporte aucune gêne ni aucune entrave. Il faut remarquer dans cette pièce le personnage de Sganarelle, qui
r à Sa Majesté le divertissement qu’elle semblait attendre. On a fait remarquer avec raison qu’il y a dans cette manière de se pr
e de Marin Prévost, bourgeois de Paris, et d’Anne Brillart, et l’on a remarqué  qu’il se qualifie dans cet acte public : Jean-Bap
e le nomme au contraire en toutes lettres : M. Lafosse ou de Lafosse. Remarquons qu’en 1773, lorsqu’il s’agit de célébrer le premi
théâtre qui avait coûté deux mille cinq cents livres. « On a toujours remarqué , dit Grimarest, qu’il donnait aux pauvres avec pl
autres témoins que les indispensables, parmi lesquels même se faisait remarquer l’absence de la sœur de Madeleine, on signa le co
autres témoins que les indispensables, parmi lesquels même se faisait remarquer l’absence de la sœur de Madeleine… » Cinq témoins
ar moment une concurrence redoutable à la Comédie française ; on peut remarquer en passant l’origine de cette dernière dénominati
ntradiction de ces deux témoignages également irrécusables. Il a fait remarquer que le duc d’Enghien ne s’enquiert, dans sa lettr
ochain spectacle, ainsi que cela se pratiquait alors. M. Taschereau a remarqué , en consultant les registres de La Thorillière, q
marquise ridicule, placée au milieu de l’assemblée. » On a beaucoup remarqué cette note, et elle mérite en effet de l’être ; e
une discrétion extrême, c’est pour exprimer quelque plainte. On a pu remarquer le début de la lettre de Chapelle que nous avons
it par bien des points à la réalité ; ayant soin, toutefois, de faire remarquer d’autre part combien il y touchait discrètement.
devant le prince de Condé, Monsieur le duc d’Orléans et Madame. On a remarqué aussi qu’un grand apaisement eut lieu à cette épo
la cérémonie du Malade imaginaire, il lui prit une convulsion. Ayant  remarqué lui-même que l’on s’en était aperçu, il se fit un
e-chausse de panne rouge, une camisole de panne bleue (M. Soulié fait remarquer avec raison mie dans la seconde scène du Bourgeoi
, avec une dame encore jeune qui paraissait plus grande que lui. J’ai  remarqué , chez l’un comme chez l’autre, dit-il, un air de 
é cent fois cette réflexion plus loin que vous, reprit Bérélie ; j’ai remarqué souvent que la Molière et La Grange font voir bea
e gueux154. » Ses contradicteurs, qui sont le plus grand nombre, font remarquer que Marquise, Marquèse, Marquesa ou Marquesia, es
9. Mémoire des principaux actes de vertu qu’une personne de probité a remarqués en feu Monseigneur le Dauphin (1712).
82 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVIII » pp. 198-205
ur se soustraire aux honnêtes désirs d’un vieillard. Je me bornerai à remarquer dans cet ouvrage quelques sorties contre les préc
83 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
isparu, tout est mort ! Ô cendre et poussière ! Ô misère ! ô vanité ! Remarquez cependant que de petites choses du bagage ancien,
lons ; celui-là rêve, la veille, par où et comment il pourra se faire remarquer le jour suivant. « Zélie est riche, elle rit aux
le langage attique42: « On ne manquera pas, disait le Feuilleton, de remarquer dans les biographies qui viendront, plus tard, de
beauté était célèbre dans un temps où il était difficile de se faire remarquer parmi tant de beaux visages. Elle débuta le 1er j
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
us, Que du sage parti se voir seul contre tous76. Il est à propos de remarquer qu’on ne doit pas trop se livrer au plaisir de cr
eintre en miniature. Une piece peut être morale par le fond du sujet. Remarquons que la moralité doit être à la portée de tout le
issement pour faire les hommes à bonnes fortunes, & elle lui fera remarquer l’air de pitié avec lequel tout le monde les rega
85 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
Molière, Le Case svaligiate (les Maisons dévalisées), Scapin faisait remarquer à Flaminia, qui était aimée de Pantalon, le diama
86 (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15
ue nous avons cité la Bruyère, nous ne pouvons nous empêcher de faire remarquer que lui qui traçait aussi des caractères, loin de
87 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
onfidence du secret paternel, en se rappelant les changements qu’il a remarqués en elle depuis quelque temps, il est convaincu qu
ants dont la savante Bologne fut la cité natale. Il y a autre chose à remarquer dans ces petites pièces dont Molière, suivant ses
88 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
est compatible avec la dignité de l’art 36  » Comme on l’a très bien remarqué , L’École des maris marque l’avènement de la perso
e passait dans son domestique; c’est ce que ses amis particuliers ont remarqué bien des fois. » (Voir Sainte- Beuve, Nouveaux po
89 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
a pris chez une paysanne, chargée de famille, une jeune fille qu’il a remarquée dès l’âge de quatre ans pour son air doux et posé
ces précautions et toute cette morale n’ont pu empêcher Agnès d’être remarquée par le jeune Horace. Celui-ci est tout miel et to
ondition. Enfin, elle est veuve ; et je profiterai de l’occasion pour remarquer l’art attentif avec lequel Molière a dressé l’éta
90 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
en être que l’heureux imitateur. J’ai cru qu’il suffisait de le faire remarquer à mesure dans le commentaire, sans transcrire, po
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260
ns le secours d’aucune liaison forcée, seroit brillant. Il est bon de remarquer que si la regle ordinaire exige qu’on annonce l’a
92
L’auditoire était des plus élégants et des plus aristocratiques ; on remarquait S. E. le baron d’Hoffmann, qui devrait être notre
et finit par attaquer. Qui attaque-t-il ? On ne l’a pas encore assez remarqué jusqu’ici : Tartuffe et Molière. Une des impressi
il pas, en effet, sous le sens, que Denon qui avait, comme on a pu le remarquer , voué un culte si sincère et si profond à la mémo
en plutôt que par Tartuffe, d’un mariage possible avec Marianne. Mais remarquez combien peu Tartuffe tient à ce mariage, et combi
lement mettre fin aux réclamations d’une partie du clergé, en faisant remarquer que Tartuffe est un laïc, ne fait même pas allusi
homme de cour et d’avoir accès auprès du Roi, ainsi que je l’ai fait remarquer dans ma première note. Je regrette de donner sur
e de lui donner aujourd’hui un certain attrait. Je n’ai pas besoin de remarquer , d’abord, toutes les allusions que fait Molière à
Lysidas, la défense de cette même Cour, à qui Molière devait tant : «  Remarquez bien, lui dira-t-il, Qu’à le bien prendre au fon
ajesté en Languedoc ». Les biographes de Molière n’ont pas fait assez remarquer que sa présence dans ce pays se lie irrévocableme
93 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
omme le seul moyen qu’il eût de répondre à ses ennemis ; car il est à remarquer que sa comédie n’était pas connue de la plupart d
du quatrième acte que ces vers se trouvaient d’abord placés. Cléante remarquait même à ce sujet « qu’il sied mal à ces sortes de
ue. M. Petitot, dans l’édition qu’il a donnée de Molière, a justement remarqué que le poète avait encore emprunté à la nouvelle
s sublimes auxquels le génie se soit jamais élevé. La Bruyère n’a pas remarqué qu’après avoir asservi l’époux à force de patelin
94 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
la familiarité, pleine de bonhomie, dans laquelle il vivait avec eux. Remarquons , cependant, qu’il y eut chez lui plusieurs La For
n intérieur, qu’il en avait de terribles au dehors. Bazin a justement remarqué que, s’il a subi de violentes attaques, il a lui-
lque chose dans la tristesse que tous ses contemporains s’accordent à remarquer chez lui et qui complète sa physionomie morale.
brutalement à sa destination naturelle, qui est de « faquiniser. » On remarquera que, dans tous les renseignements qui nous parvie
95 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
ction ou s’y sont associés. Tout récemment encore, l’un d’eux faisait remarquer , dans un recueil autorisé, qu’a part deux ou troi
ne ennemie. Dans un des mémoires qu’il publia pour sa défense, il fit remarquer d’abord à quel point il était invraisemblable qu’
ailleurs : « L’accusation qui pesait sur lui fut reconnue fondée. On remarquera la sévérité avec laquelle la justice frappait à d
la Princesse d’Elide fut représentée pour la première fois. M. Bazin remarquait de plus qu’à cette époque, des trois amants prêté
lle s’interdit d’être coquette ». Je ne puis cependant me défendre de remarquer que c’est très peu de temps après cette conquête
le eût élevé le monument sur une sépulture qu’elle savait vide ? Car, remarquons -le, M. Moland suppose que la bière fut déplacée d
96 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
ide de mouvement et de plaisirs. À la tête de ce mouvement se faisait remarquer le jeune roi qui bâtissait Versailles ; du parti
une époque où l’on n’avait encore abusé de rien dans l’art poétique. Remarquez en outre combien l’habile et infâme diplomatie de
ce règne illustre, c’était Molière aussi bien que le prince de Condé. Remarquez aussi comme Molière parle hardiment, au roi, du m
mon digne théatin ! Mais laissons en paix l’honnête Père théatin, et remarquez , je vous en prie, quel grand écrivain de feuillet
— C’est ainsi que le poète comique est créateur ! Vraiment ceci est à remarquer . Ce fut une grande originalité à notre poète, de
ses-tu qu’elle ira se servir de ses oreilles amoureuses à t’écouter ? Remarquez en passant comment Molière force les turlupins et
heureux ! Si M. le comte de Guiche est tourné en ridicule, vous aurez remarqué sans peine que M. de Lauzun est encore plus maltr
Mémoires de Mademoiselle de Montpensier. S’il vous plaît aussi, vous remarquerez la belle tirade d’Éliante : L’amour pour l’ordin
97 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
les meilleurs yeux, durant qu’il paraissait lui-même sur son théâtre, remarqua plus facilement ce qui avait tant imposé au monde
98 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
ellent Lexique des noms propres qui se rencontrent dans Molière, fait remarquer que Mascarilla est le diminutif de l’espagnol mas
99 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
trouvera pleinement expliqué. * ** Ce n’est pas tout. On a peut-être remarqué tout à l’heure ce mot de Fripesauces à Lisandre :
100 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
vait aussi dans Corneille Un concert éclatant de rares qualités. On remarquait comme précieux dans un autre ouvrage : que Daphné
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