re. Arlequin demande au premier comment il s’appelle ; son soldat lui
répond
Parla : Arlequin croit qu’il n’entend pas bien du
é où il est, & passe de l’autre : il interroge de nouveau, on lui
répond
Parla ; il repasse de l’autre côté, & après b
Il rit, & demande à M. Parla le nom de sa famille : M. Parla lui
répond
Demain. Arlequin se fâche, veut savoir le nom dan
recs par morceaux. Ulysse, à qui il demande comment il s’appelle, lui
répond
que son nom est Personne : il lui fait présent de
pas a-t-il pu vous nuire ? Le Cyclope. Vous m’insultez, misérables !
Répondez
: où est-il ? Le Chœur. Qui ? Le Cyclope. Personn
e signifieroit-il que ce qu’on entend bien ? M. Brice. Qu’avez-vous à
répondre
à cela, ma sœur ? Mad. Josse. Qu’avez-vous à rép
Qu’avez-vous à répondre à cela, ma sœur ? Mad. Josse. Qu’avez-vous à
répondre
à cela, ma sœur ?Rien. C’est un extravagant, qui
os besicles. . . . . . . . . . M. Brice. Vous m’impatientez, ma sœur.
Répondez
donc. Tout parle en sa faveur, & tout vous es
louis.... . . . . . . . . . M. Griffet, à Mad. Josse. Qu’avez-vous à
répondre
à tout ce que j’ai dit ? Mad. Josse. Que mes fill
nd, ne le voit plus, en demande des nouvelles à Sganarelle : celui-ci
répond
qu’il est mieux connu de sa femme que de lui. Cél
ensuite qu’il veut la marier, lui ordonne de choisir un époux ; elle
répond
que le choix est fait. Arlequin se présente, il n
s mains d’Arlequin ; il lui demande de qui il le tient ; Arlequin lui
répond
que c’est de sa femme. Célio croit qu’Eléonora es
; Camille lui ouvre la porte, lui fait beaucoup de politesses. Celio
répond
à ses honnêtetés, & veut lui faire un présent
n vîte, demande à Arlequin ce que le pélerin est devenu. Celui-ci lui
répond
qu’il l’ignore, mais qu’il sait seulement que le
ue son époux l’a fait cornette, & qu’elle veut le tuer ; Arlequin
répond
que c’est sa femme qui le cocufie, & qu’il ve
d’un inconnu, lui demande où il a pris cette miniature : l’autre lui
répond
que c’est dans les mains de sa femme. Colere d’Ar
Camille paroît. Célio lui demande s’il peut parler à son frere ; elle
répond
qu’oui, & le fait entrer. Scene VIII. Arlequ
Célio : elle vient demander ce qu’il est devenu à Arlequin. Celui-ci
répond
qu’il l’ignore ; mais qu’il sait, à n’en pas dout
à Sganarelle s’il connoît l’homme avec qui il étoit ; Sganarelle lui
répond
que c’est un damoiseau qui le fait cocu. Célie, o
peu d’indignation, envie d’en faire un Comédien ? ― Plût à Dieu, lui
répondit
le grand-père, qu’il fût aussi bon Comédien que
ur place je n’y trouverais aucun goût. ― Eh ! ne craignez rien, lui
répondit
un de ses amis ; l’homme qui veut rire se diverti
u, Tarte à la crème. ― Mais, Tarte à la crème n’est point un défaut,
répondit
le bon esprit, pour décrier une Pièce comme vous
ne, s’il était possible. Le jeune Auteur, ardent et de bonne volonté,
répondit
à l’empressement de Molière ; mais celui-ci remar
t à Molière : « Voilà donc votre Médecin ? Que vous fait-il ? — Sire,
répondit
Molière, nous raisonnons ensemble ; il m’ordonne
s encore : cependant il récite continuellement des vers. ― Et bien,
répondit
l’Avocat, que ne le mettez-vous dans cette petite
ppartement de Molière pour le remercier. ― C’est bien mon intention,
répondit
le petit homme, mais je ne crois pas qu’il soit e
terait le plus alors ? ― D’être avec vous le reste de mes jours, lui
répondit
Baron, pour vous marquer ma vive reconnaissance d
aron jouât encore trois jours dans sa Troupe. ― Non seulement trois,
répondit
Molière, mais huit ; à condition pourtant qu’il n
r soutenir, et augmenter la réputation qu’il s’était acquise, et pour
répondre
aux bontés que le Roi avait pour lui. Il consulta
re faisait à Baron déplaisait à sa femme : sans se mettre en peine de
répondre
à l’amitié qu’elle voulait exiger de son mari, el
raisons, piquantes même, auxquelles Molière prit le parti de ne point
répondre
; il se retrancha à tâcher d’adoucir le jeune hom
; et comme s’il avait été assuré que Baron adhérerait à sa prière, et
répondrait
au bien qu’il lui faisait, il lui envoya un nouve
ôta la parole. Molière demanda à Baron s’il avait de l’argent. Il lui
répondit
qu’il n’en avait que ce qui était resté de répand
ait dans la cuisine, où Baron lui avait fait donner à manger. ― Non,
répondit
Molière, je veux que vous déterminiez ce que je d
tendre qu’il avait tort de s’abandonner à ses déplaisirs. ― Eh ! lui
répondit
Molière, je ne saurais être Philosophe avec une f
qu’il s’en était fait une habitude. Mais Molière ne pouvait plus lui
répondre
de ce côté-là, à cause de son incommodité ; ainsi
raindre ; mais ils lui demandèrent du moins Baron. ― Messieurs, leur
répondit
Molière, je vous vois en humeur de vous divertir
tous côtés dans cette vie-ci ! ― Tu as parbleu raison, mon cher ami,
répondit
J. en l’embrassant ; sans ce plaisir-ci que ferio
nous faire moins que de les en punir ? ― Comment ! Vous avez raison,
répondit
Molière. Sortez d’ici, coquins, que je ne vous as
nous lui faisions. Viens donc te noyer avec nous. ― Oh ! doucement,
répondit
Molière ; ce n’est point ici une affaire à entrep
ivres. Saisissons le moment qui nous fasse le plus d’honneur, et qui
réponde
à notre conduite. Demain sur les huit à neuf heur
à un Valet de figurer avec moi. ― Vous ne savez ce que vous dites,
répondit
Godemer, Monsieur sait que je suis en possession
e pièce, et que l’on s’est tant récrié contre le Tartuffe ? — C’est,
répondit
ce Prince, que Scaramouche joue le Ciel et la Rel
t reproché à lui-même, je ne sais s’il n’aurait pas eu raison de leur
répondre
que le commun du Public aime les charges, et que
t compte du mauvais état de la sienne à Bernier : Qui, au lieu de lui
répondre
, lui dit qu’il avait conduit heureusement celle d
N’est-il pas vrai, mon Père , ajouta Molière, au Minime. Le Religieux
répondit
par un hom !hom ! qui faisait entendre aux Philo
sser de rien il fût toujours préparé à la joie. ― Oh ! Monsieur, lui
répondit
Molière, vous êtes bien plaisant. Il vous est ais
s de vous faire bien des ennemis, croyez-moi. ― Mon pauvre Molière,
répondit
Chapelle, tous ces ennemis seront mes amis dès qu
ez quitter le goût de la farce. ― Si je travaillais pour l’honneur,
répondit
Molière, mes ouvrages seraient tournés tout autre
le titre d’Extravagant ; serait-il bien vrai ? ― Moi, Monsieur ! lui
répondit
Molière, je n’ai jamais eu dessein de travailler
Vous eût-on reconnu dans un caractère si opposé au vôtre ? — Tubleu,
répondit
le Comte, il ne faut qu’un geste qui me ressemble
ne de votre rang, doit vous être garant de mon silence. ― Ah ! bon,
répondit
le Comte, je suis bien aise que vous soyez de mes
sent assez dans le monde, personne ne vous ignore. ― Cela est vrai,
répondit
le Comte ; mais je serais ravi que vous les rappr
n , lui dit Molière. ― Mon père est un Avocat assez à son aise , lui
répondit
le jeune homme. ― Eh bien, lui répliqua Molière,
dit-il, un excellent Comédien ! ― On ne vous consulte pas sur cela ,
répondit
Molière à Chapelle. Représentez-vous, ajouta-t-i
nez point au dessein que vous avez pris ; faites-vous Avocat, je vous
réponds
du succès. ― Avocat ! dit Chapelle, et fi ! il
u public s’il ne se fait Prédicateur, ou Comédien. ― En vérité, lui
répond
Molière, il faut que vous soyez bien ivre pour pa
. ― Je ne serai pas fâché de jouir de celui qui peut m’être permis ,
répondit
le fils de l’Avocat. ― Eh bien donc, répliqua Ch
oilà mon Harangueur qui triomphe, s’écria Chapelle, mais morbleu vous
répondrez
du peu de succès que Monsieur fera dans le parti
à qui est fait, mon cher ami, je vais entièrement me mettre en règle,
répondit
Chapelle, la larme à l’œil tant il était touché ;
gement. Il n’y avait personne, quelque attention qu’il eût, qui y pût
répondre
: une fenêtre ouverte ou fermée un moment devant
qu’elle n’a pas le sens commun. ― Je sais tout cela, Monsieur, lui
répondit
Molière ; mais je suis accoutumé à ses défauts ;
il fasse. ― Vous êtes Philosophe ! vous êtes plutôt le Diable , lui
répondit
ce pauvre garçon, qui fut plus de vingt-quatre he
n’eût pas B… parce que cette pièce lui aurait fait honneur, Baron lui
répondit
qu’il en était fort aise, pour n’avoir point à fa
isfait de la remontrance de Molière à Baron, prit le parti de ne rien
répondre
, et de se retirer. J’ai cependant entendu parler
on, et il lui demanda ce que l’on disait de sa Pièce. Mr le Baron lui
répondit
que ses ouvrages avaient toujours une heureuse ré
a-t-il, vous me paraissez plus mal que tantôt. — Cela est vrai, lui
répondit
Molière, j’ai un froid qui me tue. Baron après l
qui était celui que l’on portait en terre ? ― Et c’est ce Molière ,
répondit
-elle. Une autre femme qui était à sa fenêtre et q
lui dit-il, un excellent comédien ! On ne vous consulte pas sur cela,
répondit
Molière à Chapelle*. « Représentez-vous, ajouta-t
ez point au dessein que vous avez formé ; faites-vous avocat, je vous
réponds
du succès ». Avocat ! dit Chapelle*, et fi ! Il a
it au public, s’il ne se fait prédicateur ou comédien. En vérité, lui
répondit
Molière, il faut que vous soyez bien ivre pour pa
mme ? ― Je ne serai pas fâché de goûter celui qui peut m’être permis,
répondit
le fils de l’avocat. ― Eh bien donc, répliqua Cha
là mon harangueur qui triomphe, s’écria Chapelle* ; mais morbleu vous
répondrez
du peu de succès que monsieur fera dans le parti
à Don Lope qu’il entretient le Prince dans sa jalousie. Don Lope lui
répond
qu’il faut flatter les foiblesses des Rois. Don G
qu’elle a fait d’une lettre qu’elle lui avoit confiée. La confidente
répond
qu’elle n’en a plus qu’une partie, parceque Don L
ndre son cœur à la premiere beauté qui l’avoit captivé ; elle ne peut
répondre
à son amour, parcequ’elle veut se retirer dans un
élia n’a pas fait réponse à une lettre qu’il lui a écrite : Délia lui
répond
qu’elle n’a pu écrire elle-même, parcequ’elle s’e
ù l’hymen va combler tous ses vœux, en l’unissant à Delmire. Pantalon
répond
au Prince, que son chagrin est causé par la crain
de Delmire. Il demande à Arlequin de qui il tient la lettre. Celui-ci
répond
qu’elle étoit dans les mains de Florente & de
partement. Le Roi lui dit de laisser là ses compliments, & de lui
répondre
. Il lui demande s’il n’est point entré d’homme ch
nt entré d’homme chez elle. Elle cherche dans sa mémoire avant que de
répondre
. Florente vient en cherchant sa manchette. Le Roi
& à Délia ce qu’ils ont fait d’une lettre qu’elle a écrite : ils
répondent
qu’ils n’en ont qu’une partie, parcequ’Arlequin l
gue. Il lui demande ce qu’elle a fait depuis qu’il l’a quittée : elle
répond
qu’elle s’est jettée sur son lit : elle y a rêvé,
as quelque nouvelle accusation à former, parle ; sinon, attends à me
répondre
, que j’aie achevé mon discours. Rodrigue. Parlez
nt d’avoir vu dans ma chambre Don Célidoro, ce jeune cavalier qui t’a
répondu
avec son page ; parle, n’est-ce pas la seule caus
non pas pour les innocents. Mais revenons à notre premier discours ;
réponds
: Pourquoi, avant que de traiter Delmire en infam
ne conduite qui ne peut se pardonner. Rodrigue. Et que m’aurois-tu pu
répondre
, quand bien même, refusant d’en croire mes propre
e pas de pouvoir m’abuser par tes impostures. Delmire. Je ne veux pas
répondre
par des emportements aux termes offensants que vo
igneur, songez à vous-même, ne vous inquiétez point de moi ; pensez à
répondre
à ce que je vous demande : si je ne vous satisfai
quand Elise reproche à Don Lope son indigne métier, lorsque Don Lope
répond
qu’on ne parvient auprès des Grands qu’en flattan
pour un souper qu’il veut donner à sa maîtresse. Voici ce qu’on fait
répondre
à Maître Jacques. Eh bien, il faudra quatre gran
p; demandant à Léandre ce qu’il lui sembloit de cette personne, il me
répondit
froidement qu’il la trouvoit assez jolie. Je fus
au dialogue rapide. La rapidité du dialogue consiste, dit-on, à faire
répondre
juste, vîte & en peu de mots, chaque personna
pour savoir distinguer les situations qui veulent qu’un interlocuteur
réponde
prestement aux questions qu’on lui fait, ou à cel
e Philosophe. Vous voulez éluder un éclaircissement ; Mais il faut me
répondre
, & positivement. Ariste. Oui, je vous répondr
; Mais il faut me répondre, & positivement. Ariste. Oui, je vous
répondrai
, la chose m’est facile. Mais je voudrois vous voi
s d’un sang Qui peut vous égaler aux gens du plus haut rang. Géronte.
Répondez
-moi. Ariste. Répondez-moi.De plus, vous avez l’a
us égaler aux gens du plus haut rang. Géronte. Répondez-moi. Ariste.
Répondez
-moi.De plus, vous avez l’avantage De n’avoir poin
out homme, & qui craint sans cesse qu’on lui enleve sa maîtresse,
répond
brusquement : Albert. Vous vous trompez, Monsieu
instruite par l’amour bien mieux qu’Albert ne l’est par la jalousie,
répond
ingénieusement : Agathe. Hélas ! rien n’est plus
gan paroît ensuite, & dit que son papa l’estime fort. La Muse lui
répond
: Air : Lon la. Cet Auteur, chez Apollon, Va t
e qui trouve dans son intrigue un double intérêt. La Critique a tort,
répond
la Muse, & l’intérêt ne peut être double où l
. Elle lui demande si elle est l’Agnès de l’Ecole des Femmes : Nenni,
répond
la jeune fille, je suis les Dehors trompeurs. La
e Baron ou l’Homme du jour est-il plus décidé que moi ? La Muse. Cela
répond
mieux au titre des Dehors trompeurs. Air. Ce b
ficulté, & peut-être l’inutilité de cette démarche. La Vérité lui
répond
qu’elle ne se présentera pas aux humains nue comm
z Trente villages ruinés, Item, quelque petite ville. Oh ! frere, a
répondu
l’autre hibou, d’accord, Cinq cents si vous voule
temps tes appas soient flétris ! Que ton injustice est extrême, Lui
répondit
la corme ! eh ! n’es-tu pas de même Par l’effet
peut-être pourroit-on à la rigueur nommer ainsi celles où la Divinité
répond
par une allégorie ; encore la piece n’est-elle po
eux. Aurelia frémit à cette nouvelle, nie que ce soit Valerio. On lui
répond
qu’elle a déjà avoué le contraire. Son désespoir
à Dominique : « Voilà une mauvaise pièce. — Dites cela tout bas, lui
répondit
Arlequin, parce que, si le roi le savait, il me c
Arlequin. Ils se demandent alors réciproquement : “Qui es-tu ?” et se
répondent
en même temps : “Arlequin.” Le véritable est tout
, et lui demande un remède pour le mal de dents : « Prenez une pomme,
répond
Arlequin, coupez-la en quatre parties égales : me
ainsi la tête dans un four, jusqu’à ce que la pomme soit cuite, et je
réponds
que votre mal de dents se trouvera guéri. » Voilà
es, et entre autres, lui demande combien il a de pères ? Arlequin lui
répond
qu’il n’en a qu’un, Octave, faisant semblant de s
Perchè non hay che un padre ? lui dit-il. « Je suis un pauvre homme,
répond
Arlequin, je n’ai pas moyen d’en avoir davantage.
ise de cet appareil, lui demande ce qu’il veut faire. « Rien, madame,
répond
-il, vous trépaner seulement, pour vous désennuyer
qu’il n’était entré dans la chambre que pour le surprendre. La belle
répond
qu’en attendant il voulait l’embrasser et qu’elle
de Molière ne disent mot de celle de Scaramouche” ; à quoi le prince
répondit
: “La raison de cela, c’est que la comédie de Sca
lui demande ce qu’il cherche là et de qui est cette lettre. Arlequin
répond
qu’un nommé Flavio la lui a donnée pour remettre
t et que la signora Vittoria est une dame honorable. Oratio, furieux,
répond
qu’il en a menti. Ils mettent la main à leur épée
itaine demande à Oratio s’il veut se couper la gorge avec lui. Oratio
répond
qu’il est prêt. Le capitaine dit alors qu’il va é
dont elle a besoin dans une pièce qu’elle va représenter. Le docteur
répond
qu’il les fera porter par Pedrolino. Piombino lui
; il lui demande s’il n’a jamais éprouvé d’autre amour. Le capitaine
répond
qu’il a été amoureux, à Milan, d’une très belle j
ratio, saluant Vittoria, réclame le portrait d’Isabelle. Vittoria lui
répond
en riant qu’elle ne sait ce qu’il veut dire, et e
t à leurs maris si la comédie est déjà terminée. scène XXII. Pantalon
répond
qu’une rixe l’a interrompue, et qu’il n’a pas ape
iller sur leur maison et sur la conduite de leurs femmes ; et ceux-ci
répondent
que c’est ce qu’ils feront désormais. Tout le mon
lui donner de l’amour. On lui peint le danger de l’entreprise ; elle
répond
d’elle. Acte II. Dans l’entr’acte, Euriale a rem
rince a éprouvés. Elle lui demande pourquoi il fuit le beau sexe ; il
répond
que c’est par insensibilité. Elle ajoute que tell
prie son valet Polilla de l’aider dans son entreprise ; celui-ci lui
répond
du succès. Il compare Diana à une figue sur le ha
illa demande à son maître pourquoi il a nié sa tendresse ; Carlos lui
répond
que, pour vaincre la fierté de son inhumaine, il
i fait quelque avance, il ne pourra s’empêcher de céder. « Fort bien,
répond
le valet ; une jeune fille ne diroit pas mieux ».
s douceurs pendant toute la journée, & que la Dame est forcée d’y
répondre
. « Je sais, lui dit-il, que la Princesse veut tir
e ce qu’il feroit s’il étoit aimé d’une Princesse comme elle : il lui
répond
qu’il ne pourroit s’empêcher d’être ingrat : il p
comme un polisson d’école. Il lui conseille d’oublier l’ingrat ; elle
répond
qu’elle est plus intéressée à le réduire. Elle so
rs nomme malignement Cintia. Il exalte sa beauté. La Princesse piquée
répond
qu’elle est surprise de le voir soupirer pour une
uses à la Princesse, qui force sur-tout la Princesse à les écouter, à
répondre
favorablement. Quelle situation attachante ! quel
e. Harpagon veut donner à dîner ; il consulte maître Jacques, qui lui
répond
par une longue kyrielle de mets suffisants pour f
VI du 1er acte. Ici le sens est interrompu, les interlocuteurs ne se
répondent
pas ; ils cessent de s’entendre. Ce n’est donc pa
se de saillant et d’instructif dans les moindres ouvrages de Molière.
Répondant
à la pensée de Boileau, nous publions aujourd’hui
un peu d’indignation, envie d’en faire un comédien ? Plût à Dieu, lui
répondit
le grand-père, qu’il fût aussi bon comédien que B
place je n’y trouverais aucun goût. » — « Eh ! ne craignez rien, lui
répondit
un de ses amis ; l’homme qui veut rire se diverti
bleu ! tarte à la crème. Mais tarte à la crème n’est point un défaut,
répondit
le bon esprit, pour décrier une pièce comme vous
crier une pièce comme vous le faites. Tarte à ta crème est exécrable,
répondit
le courtisan. Tarte à la crème, bon Dieu ! avec d
ne, s’il était possible. Le jeune auteur, ardent et de bonne volonté,
répondit
à l’empressement de Molière ; mais celui-ci remar
t voir que le plus ridicule de tous était d’aimer une personne qui ne
répond
pas à la tendresse qu’on a pour elle. Pour moi, l
rompit pour lui demander s’il n’avait jamais été amoureux. — Oui, lui
répondit
Chapelle, je l’ai été comme un homme de bon sens
er si incertain. — Je vois bien que vous n’avez encore rien aimé, lui
répondit
Molière, et vous avez pris la figure de l’amour p
certain ascendant que le tempérament lui donne d’ordinaire. Pour vous
répondre
donc sur la connaissance parfaite que vous dites
t à Molière : « Voilà donc votre médecin ? Que vous fait-il ? — Sire,
répondit
Molière, nous raisonnons ensemble ; il m’ordonne
as encore : cependant il récite continuellement des vers. — Hé bien !
répondit
l’avocat, que ne le mettez-vous dans cette petite
appartement de Molière pour le remercier. « C’est bien mon intention,
répondit
le petit homme ; mais je ne crois pas qu’il soit
aiterait le plus alors. « D’être avec vous le reste de mes jours, lui
répondit
Baron, pour vous marquer ma vive reconnaissance d
Baron jouât encore trois jours dans sa troupe. « Non-seulement trois,
répondit
Molière, mais huit, à condition pourtant qu’il n’
ur soutenir et augmenter la réputation qu’il s’était acquise, et pour
répondre
aux bontés que le roi avait pour lui. Il consulta
re faisait à Baron déplaisait à sa femme : sans se mettre en peine de
répondre
à l’amitié qu’elle voulait exiger de son mari, el
raisons, piquantes même, auxquelles Molière prit le parti de ne point
répondre
; il tâcha seulement d’adoucir le jeune homme, qu
; et comme s’il avait été assuré que Baron adhérerait à sa prière, et
répondrait
au bien qu’il lui faisait, il lui envoya un nouve
ôta la parole. Molière demanda à Baron s’il avait de l’argent. Il lui
répondit
qu’il n’en avait que ce qui était resté de répand
rait dans la cuisine, où Baron lui avait fait donner à manger. « Non,
répondit
Molière, je veux que vous déterminiez ce que je d
ntendre qu’il avait tort de s’abandonner à ses déplaisirs. « Eh ! lui
répondit
Molière, je ne saurais être philosophe avec une f
qu’il s’en était fait une habitude. Mais Molière ne pouvait plus lui
répondre
de ce côté-là, à cause de son incommodité ; ainsi
traindre ; mais ils lui demandèrent du moins Baron. « Messieurs, leur
répondit
Molière, je vous vois en humeur de vous divertir
e tous côtés dans cette vie ! — Tu as, parbleu, raison, mon cher ami,
répondit
J… en l’embrassant ; sans ce plaisir-ci que ferio
-nous faire moins que de les en punir ? — Comment ! vous avez raison,
répondit
Molière. Sortez d’ici, coquins, que je ne vous as
e nous lui faisions. Viens donc te noyer avec nous. — Oh ! doucement,
répondit
Molière ; ce n’est point ici une affaire à entrep
ivres. Saisissons le moment qui nous fasse le plus d’honneur, et qui
réponde
à notre conduite. Demain, sur les huit à neuf heu
it à un valet de figurer avec moi. — Vous ne savez ce que vous dites,
répondit
Godemer ; monsieur sait que je suis en possession
ie de Molière, ne disent pas un mot de celle de Scaramouche. — C’est,
répondit
le prince, que la comédie de Scaramouche joue le
it compte du mauvais état de la sienne à Bernier, qui, au lieu de lui
répondre
, lui dit qu’il avait conduit heureusement celle d
’est-il pas vrai, mon père ? » ajouta Molière au minime. Le religieux
répondit
par un hom ! hom ! qui faisait entendre aux phil
rasser de rien il fût toujours préparé à la joie. « Oh, monsieur, lui
répondit
Molière, vous êtes bien plaisant. Il vous est ais
ne laissent pas de vous faire bien des ennemis. — Mon pauvre Molière,
répondit
Chapelle, tous ces ennemis seront mes amis dès qu
riez quitter le goût de la farce. — Si je travaillais pour l’honneur,
répondit
Molière, mes ouvrages seraient tournés tout autre
le titre d’Extravagant ; serait-il bien vrai ? — Moi ? monsieur, lui
répondit
Molière ; je n’ai jamais eu dessein de travailler
vous eût-on reconnu dans un caractère si opposé au vôtre ? — Tubleu !
répondit
le comte, il ne faut qu’un geste qui me ressemble
sonne de votre rang doit vous être garant de mon silence. — Ah, bon !
répondit
le comte, je suis bien aise que vous soyez de mes
issent assez dans le monde, personne ne vous ignore. — Cela est vrai,
répondit
le comte ; mais je serais ravi que vous les rappr
ien ? lui dit Molière. — Mon père est un avocat assez à son aise, lui
répond
le jeune homme. — Eh bien ! lui répliqua Molière,
, dit-il, un excellent comédien ! — On ne vous consulte pas sur cela,
répond
Molière à Chapelle. Représentez-vous, ajouta-t-il
nez point au dessein que vous avez pris ; faites-vous avocat, je vous
réponds
du succès. — Avocat ! dit Chapelle ; eh fi ! il a
t au public s’il ne se fait prédicateur ou comédien. — En vérité, lui
répond
Molière, il faut que vous soyez bien ivre pour pa
e. — Je ne serais pas fâché de jouir de celui qui peut m’être permis,
répondit
le fils de l’avocat. — Eh bien donc, répondit Cha
qui peut m’être permis, répondit le fils de l’avocat. — Eh bien donc,
répondit
Chapelle, mettez-vous dans la tête que malgré tou
mon harangueur qui triomphe, s écria Chapelle ; mais, morbleu ! vous
répondrez
du peu de succès de monsieur dans le parti que vo
à qui est fait, mon cher ami, je vais entièrement me mettre en règle,
répondit
Chapelle, la larme à l’œil, tant il était touché
gement. Il n’y avait personne, quelque attention qu’il eût, qui y pût
répondre
: une fenêtre ouverte ou fermée un moment devant
et qu’elle n’a pas le sens commun. — Je sais tout cela, monsieur, lui
répondit
Molière ; mais je suis accoutumé à ses défauts ;
’il fasse. — Vous êtes philosophe ! vous êtes plutôt le diable, » lui
répondit
ce pauvre garçon, qui fut plus de vingt-quatre he
s Alexandre, parce que cette pièce lui aurait fait honneur, Baron lui
répondit
qu’il en était fort aise, pour n’avoir point affa
isfait de la remontrance de Molière à Baron, prit le parti de ne rien
répondre
, et de se retirer. J’ai cependant entendu parler
de Baron, et lui demanda ce que l’on disait de sa pièce. M. Baron lui
répondit
que ses ouvrages avaient toujours une heureuse ré
uta-t-il, vous me paraissez plus mal que tantôt. — Cela est vrai, lui
répondit
Molière ; j’ai un froid qui me tue. » Baron, aprè
mme qui était celui qu’on portait en terre. « Hé, c’est ce Molière, »
répondit
-elle. Une autre femme qui était à sa fenêtre et q
personnage de Toinette. Cette actrice, peu endurante, après lui avoir
répondu
assez brusquement, ajouta : « Vous nous tourmente
ropre fille : imputations infâmes auxquelles Molière ne daigna jamais
répondre
. Cependant on avait ignoré jusqu’à ce jour qu’Arm
, mais qu’elle fut jouée deux fois par jour. C’était le seul moyen de
répondre
au désir de la foule. A cette époque, le spectacl
Montfleury n’est point écouté à la cour *. » Molière ne daigna point
répondre
à cette attaque, et l’on doit peut-être le blâmer
de Molière, et lui donnait le nom de Louis. C’est ainsi que Louis XIV
répondit
toujours aux ennemis de Molière. Toutes les calom
erribles punitions contre l’auteur, qu’il traitait d’impie. Louis XIV
répondit
en comblant Molière de ses bienfaits. Déjà depuis
lui avait accordée après le succès de l’École des Femmes, comme pour
répondre
aux nombreux détracteurs de ce chef-d’œuvre. 75.
’Avare, et vous riiez tout seul sur le théâtre — Je vous estime trop,
répondit
Boileau, pour croire que vous n’y ayez pas ri du
r le poème de la Pucelle en présence de Chapelain, celui-ci lui avait
répondu
: « C’est bien à vous d’en juger, vous qui ne sa
uvent dans l’original, nous frappe à coup sûr dans la copie : il nous
répondit
que c’est parce que nous le voyons alors par les
ouples avec vous, sentiront mieux votre supériorité, « Ah ! monsieur,
répondit
Molière, que me dites-vous là ? il y a un honneur
orité a quelque chose de si respectable, qu’il fallait renoncer à lui
répondre
, ou lui opposer un adversaire digne de lui. Le mo
un peu d’indignation, envie d’en faire un Comedien ? Plût à Dieu, lui
répondit
le grand-pere, qu’il fût aussi bon Comedien que B
s’il étoit possible. Le jeune Auteur, ardent & de bonne volonté,
répondit
à l’empressement de Moliere ; mais celui-ci remar
dit à Moliere : Voilà donc vôtre Medecin : « Que vous fait il ? Sire,
répondit
Moliere, nous raisonnons ensemble : il m’ordonne
point encore : cependant il recite continuellement des vers. Et bien,
répondit
l’Avocat, que ne le mettez-vous dans cette petite
l’appartement de Moliere pour le remercier. C’est bien mon intention,
répondit
le petit homme, mais je ne crois pas qu’il soit e
haiteroit le plus alors : D’être avec vous le reste de mes jours, lui
répondit
Baron, pour vous marquer ma vive reconnoissance d
t Baron joüât encore trois jours dans sa Troupe. Non seulement trois,
répondit
Moliere, mais huit ; à condition pourtant qu’il n
tenir & augmenter la reputation qu’il s’étoit acquise, & pour
répondre
aux bontez que le Roi avoit pour lui. Il consulto
re faisoit à Baron déplaisoit à sa femme : sans se mettre en peine de
répondre
à l’amitié qu’elle vouloit exiger de son mari, el
raisons, piquantes même, ausquelles Moliere prit le parti de ne point
répondre
; il se retrancha à tâcher d’adoucir le jeune hom
ôta la parole. Moliere demanda à Baron s’il avoit de l’argent. Il lui
répondit
qu’il n’en avoit que ce qui étoit resté de répand
voroit dans la cuisine, où Baron lui avoit fait donner à manger. Non,
répondit
Moliere, je veux que vous déterminiez ce que je d
entendre qu’il avoit tort de s’abandonner à ses déplaisirs. Eh ! lui
répondit
Moliere, je ne saurois être Philosophe avec une f
qu’il s’en étoit fait une habitude. Mais Moliere ne pouvoit plus lui
répondre
de ce côté-là, à cause de son incommodité, ainsi
ontraindre ; mais ils lui demanderent du moins Baron. Messieurs, leur
répondit
Moliere, je vous vois en humeur de vous divertir
de tous côtez dans cette vie-ci ! Tu as parbleu raison, mon cher ami,
répondit
J... en l’embrassant ; sans ce plaisir-ci que ser
que nous lui faisions. Vien donc te noyer avec nous. Oh ! doucement,
répondit
Moliere ; ce n’est point ici une affaire à entrep
res. Saisissons le moment qui nous fasse le plus d’honneur, & qui
réponde
à nôtre conduite. Demain sur les huit à neuf heur
toit à un Valet de figurer avec moi. Vous ne savez ce que vous dites,
répondit
Godemer, Monsieur sait que je suis en possession
e Piece, & que l’on s’est tant recrié contre le Tartuffe ? C’est,
répondit
ce Prince, que Scaramouche jouë le Ciel & la
nt reproché à lui-même, je ne sai s’il n’auroit pas eu raison de leur
répondre
que le commun du Public aime les charges, & q
it compte du mauvais état de la sienne à Bernier : Qui au lieu de lui
répondre
, lui dit qu’il avoit conduit heureusement celle d
N’est-il pas vrai, mon Pere, ajoûta Moliere au Minime ? Le Religieux
répondit
par un hom ! hom ! qui faisoit entendre aux Philo
rrasser de rien il fût toûjours preparé à la joye. Oh ! Monsieur, lui
répondit
Moliere, vous êtes bien plaisant. Il vous est ais
t pas de vous faire bien des ennemis, croyez moi. Mon pauvre Moliere,
répondit
Chapelle, tous ces ennemis seront mes amis dès qu
auriez quitter le goût de la farce. Si je travaillois pour l’honneur,
répondit
Moliere, mes Ouvrages seroient tournez tout autre
us le titre d’Extravagant ; seroit-il Bien vrai ? Moi, Monsieur ! lui
répondit
Moliere, je n’ai jamais eu dessein de travailler
? Vous eût-on reconnu dans un caractere si opposé au vôtre ? Tubleu,
répondit
le Comte, il ne faut qu’un geste qui me ressemble
rsonne de vôtre rang, doit vous être garand de mon silence. Ah ! bon,
répondit
le Comte, je suis bien-aise que vous soyez de mes
roissent assez dans le monde, personne ne vous ignore. Cela est vrai,
répondit
le Comte ; mais je serois ravi que vous les rappr
bien ? lui dit Moliere. Mon pere est un Avocat assez à son aise, lui
répond
le jeune homme. Et bien, lui repliqua Moliere, je
là, dit-il, un excellent Comedien ! On ne vous consulte pas sur cela,
répond
Molieré à Chapelle. Representez-vous, ajoûta-t-il
it au public, s’il ne se fait Predicateur ou Comedien. En verité, lui
répond
Moliere, il faut que vous soyez bien yvre pour pa
omme. Je ne serai pas fâché de jouïr de celui qui peut m’être permis,
répondit
le fils de l’Avocat. Eh bien donc, repliqua Chape
a qui est fait, mon cher ami, je vais entierement me mettre en regle,
répondit
Chapelle la larme à l’œil, tant il étoit touché ;
gement. Il n’y avoit personne, quelque attention qu’il eût, qui y pût
répondre
: une fenêtre ouverte ou fermée un moment devant
& qu’elle n’a pas le sens commun. Je sai tout cela, Monsieur, lui
répondit
Moliere ; mais je suis accoutumé à ses défauts ;
r qu’il fasse. Vous êtes Philosophe ! vous êtes plutôt le Diable, lui
répondit
ce pauvre garçon, qui fut plus de vingt-quatre he
ût pas B... parce que cette piece lui auroit fait honneur ; Baron lui
répondit
qu’il en étoit fort aise, pour n’avoir point affa
isfait de la remontrance de Moliere à Baron, prit le parti de ne rien
répondre
, & de se retirer. Il vivoit en vrai Philosoph
n’y a que ma fluxion qui me prend de temps en temps : à quoi Frosine
répond
: vôtre fluxion ne vous sied pas mal & vous a
on, & il lui demanda ce que l’on disoit de sa Piece. M. Baron lui
répondit
que ses Ouvrages avoient toûjours une heureuse ré
joûta-t-il, vous me paroissez plus mal que tantôt. Cela est vrai, lui
répondit
Moliere, j’ai un froid qui me tuë. Baron après lu
mme, qui étoit celui que l’on portoit en terre ? Et c’est ce Moliere,
répondit
-elle. Une autre femme, qui étoit à sa fenêtre &am
t résoudre votre cœur. Les suites de ce mot, quand je les envisage,
répond
Henriette, Me font voir un mari, des enfants, un
n esprit À consentir pour vous à ce dont il s’agit. À quoi Clitandre
répond
avec une dureté trop méritée : Il est trop tard,
et qu’à sa demande, s’il n’a point exigé d’elle d’autre remède, elle
répond
: Non, vous pouvez juger, s’il en eût demandé, Q
nde : N’est-ce rien que les soins d’élever votre enfance ? Elle lui
répond
avec un grand sens : Vous avez là-dedans bien op
nsport, Il faut que notre honneur se gendarme si fort ? Et ne peut-on
répondre
à tout ce qui le touche Que le feu dans les yeux
penchant de l’âge a sevré leurs désirs. Avec quelle fine ironie elle
répond
aux questions d’Orgon, qui, à son retour de la ca
s’écrie : Je vous dis qu’il me faut apprendre d’elle à vivre ! elle
répond
: Vous n’en feriez que mieux de suivre mes leçon
je ne songeais pas : Vous n’avez qu’à mourir pour sortir d’embarras,
répond
-elle. Et sur le reproche de Mariane qu’elle ne co
ière tant d’esprit et de bon sens, notre spirituel compatriote a déjà
répondu
d’avance en rappelant l’exemple de cette brave La
-je... Tudieu, comme il bat votre pouls ! J’aurois bien de la peine à
répondre
de vous, Et votre maladie est sans doute mortelle
le Médecin & sa fille s’évadent : il demande où ils sont ; on lui
répond
qu’ils sont allés achever le reste du mariage. Da
fille du Grand Mogol. Il l’annonce au Docteur Merlino : celui-ci lui
répond
qu’il s’en embarrasse peu. L’Apothicaire est sour
lui sa belle malade, & de le servir auprès d’elle. Le Médecin lui
répond
qu’il ne se mêle que de sa profession. Lélio est
uona Testa salue gravement Pantalon, qui le prie de voir sa fille. Il
répond
qu’il est trop couru, & qu’il n’aura pas le t
est amoureuse. Pantalon demande à sa fille comment va sa santé : elle
répond
qu’elle est très mal. Béatrice assure qu’un mari
ona Testa sort. Lélio lui demande comment va Rosaura ; le Médecin lui
répond
qu’elle est très mal. Lélio s’afflige. Tarquino s
ie avec une saignée. Lélio se réjouit. Le Docteur Merlino ne sait que
répondre
à Lélio. Il lui dit tantôt que Rosaura est bien m
antôt qu’elle guérira bien vîte. Il le renvoie au Médecin Onesti, qui
répond
de la vie de Rosaura. Lélio conclut de là que les
ela est beau ! comme tout cela tient bien au caractere du héros &
répond
bien au titre de la piece ! On est dans le même e
, me voilà joliment installé. Lisette. Installé tout des mieux ! j’en
réponds
. Dorante. Installé tout des mieux ! j’en réponds
ut des mieux ! j’en réponds. Dorante. Installé tout des mieux ! j’en
réponds
.Quelle audace ! Quoi ! tu peux sans rougir me reg
ffisant, un impertinent, un présomptueux. Ces mots sont synonymes, me
répondra-t
-on. Point du tout. Il n’est pas question de décid
mte. Sur l’état de mes biens on t’interrogera. Sans entrer en détail,
réponds
en assurance, Que ma fortune au moins égale ma na
le est éprise, pour Harpagon. Scene IX. Harpagon paroît. Marianne ne
répond
rien à ses compliments. Frosine dit que c’est par
cene XIII. On vient dire au héros qu’un étranger veut lui parler ; il
répond
qu’il n’a pas le temps de l’écouter. On ajoute qu
III. Harpagon demande à son fils comment il trouve Marianne. Cléante
répond
froidement qu’il n’en est pas émerveillé. Tant pi
mon mari, qui m’aime plus que sa vie, & qui ne me refuse rien. Je
réponds
à son amour comme je dois. Je serois la personne
r les prétendues persécutions qu’il faisoit à la Dame. Le jeune homme
répondit
tout naturellement qu’il ne savoit ce qu’il voulo
richesse extraordinaire. « Votre colere ne me surprend point, Madame,
répondit
le Religieux. Elle est sans doute juste, & bi
voyé : le reconnoissez-vous » ? « Je n’ai plus rien à dire, mon Pere,
répondit
le Cavalier qui faisoit semblant d’être confus :
ivre mon premier dessein, cela ne me seroit pas arrivé. Mais, Madame,
répondit
le bon Pere tout confus, ne vous êtes-vous point
riner. Il faut faire une folie une fois en sa vie, mon Révérend Pere,
répondit
le Cavalier avec une feinte honnêteté. Je passe c
jeune homme lui dit tout bas qu’il souhaiteroit de l’embrasser ; elle
répond
qu’elle fera semblant de tomber, & que se tro
ment des avances à des hommes qui ne songent point à elles : Isabelle
répond
à une passion dont elle connoît toute la sincérit
e, & vous ryez tout seul sur le Théatre. Je vous estime trop, lui
répondit
son ami, pour croire que vous ni ayez pas ri, du
n Ane, & qu’elle est aussi Docteur que lui ; & le Docteur lui
répond
: Toi Docteur ? Vraiment je crois que tu es un pl
Comte de Grammont, n’avez-vous rien oublié à Londres ? Pardonnez-moi,
répondit
le Comte, qui devinoit leur intention, j’ai oubli
romise, & trois semaines après, on représenta cette Piece. Je lui
répondis
là-dessus, qu’il n’étoit pas possible qu’une auss
souples avec vous, sentiront mieux votre supériorité. Ah, Monsieur !
répondit
Moliere, que me dites-vous là ? Il y a un honneur
e, & vous ryez tout seul sur le Théatre. Je vous estime trop, lui
répondit
son ami, pour croire que vous n’y ayez pas ri, du
mitié & de grandes offres de service à Alceste ; & ou Alceste
répond
à chaque fois, d’un air froid & embarrassé :
ment Don Juan, je suis encore en vie ; sinon, je suis bien trépassé”,
répond
Arlequin. « Entrent le duc Ottavio et Pantalon, s
ein, et représente combien le ciel en serait offensé. Don Juan ne lui
répond
que par un soufflet, et lui fait signe de le suiv
fort tenté. Le gourmand, qui ne veut pas perdre un seul coup de dent,
répond
par monosyllabes, comme le frère Fredon de Rabela
don de Rabelais. “De quelle taille est-elle ? dit Don Juan. — Courte,
répond
Arlequin. — Comment s’appelle-t-elle ? — Anne. —
lle a vingt ans. « — Et la signera Lisetta ? — Je viens de chez elle,
répond
Arlequin, et ne l’ai pas trouvée. — Tu mens. — Si
u commandeur. Arlequin se lève, emplit son verre, obéit, et la statue
répond
à la courtoisie en inclinant la tête. Arlequin, é
ions ; il a des idées… quelquefois. Je sais bien ce que vous allez me
répondre
: il en change. Eh oui, certainement, il en chang
ports. Ainsi il rentre dans l’esprit de la comédie. Et Agnès, comment
répond
-elle à cette déclaration désespérée ? Elle pourra
isée, savante, habile, me ferait courir trop de risques ; Molière lui
répond
: avec une simple et une ignorante, ce sera bien
’y a rien d’étonnant qu’Agnès le trouve insupportable. Je n’ai rien à
répondre
. Oui, il pourrait plaire à Agnès s’il était autre
? Mais nous allons interroger Molière, et c’est lui-même qui va nous
répondre
. Il y a, paraît-il, doute et obscurité dans un de
ersé, et que devant toutes ces interprétations si différentes il peut
répondre
en souriant : non, ce n’est pas ça ; vous n’y ête
e universelle, auquel on reprochait sa manière de comprendre Molière,
répondait
par ces mots : « tant pis pour lui s’il est autre
ompris la lune ! « J’y vois ceci ! » disait l’un, « J’y vois cela ! »
répondait
un autre ! « J’y vois tout ! » reprenait un trois
deux moitiés d’un même tout, ne se proposent expressément pour but de
répondre
à l’éternelle et redoutable question : Comment fa
uent ses lettres, & promettent de se venger du fat en feignant de
répondre
à sa tendresse. Les deux époux sont instruits sec
Dans les Fausses Infidélités, Dorimene détermine son amie Angélique à
répondre
au billet doux de Mondor, & lui dicte cette l
. Dorimene, dictant. « Je ne sais, Monsieur, si je fais bien de vous
répondre
. Angélique. Je sais que je fais mal. Dorimene,
omédie ; ensuite je lui demandai s’il aimoit les chats : Oh ! oui, me
répondit
-il bien vîte, en cessant de se deshabiller ; quan
nt conseillé de la faire représenter. Votre Pièce est excellente, lui
répondirent
-ils ; mais vous la donnez à une Troupe qui n’ente
re ; et vous riiez tout seul sur le Théâtre. Je vous estime trop, lui
répondit
son ami, pour croire que vous n’y ayez pas ri, du
trouver la compagnie pour se faire recevoir : mais ces Messieurs lui
répondirent
unanimement, qu’ils ne voulaient point de farceur
i dit que les Secrétaires du Roi avaient raison. Quoi ! Monsieur, lui
répondit
Lully*, si le Roi vous ordonnait, tout Ministre q
ser devant lui, vous le refuseriez ? M. de Louvois ne sachant que lui
répondre
, lui expédia un ordre qui le fit recevoir. Tom
ur le Théâtre un homme comme moi ! »... « De quoi vous plaignez-vous,
répond
son ami ? Il vous a peint du beau côté, en ne fai
Pédagogue : Quem habuit successorem Belus Rex assyriorum ? Ninum 32,
répondit
le jeune Marquis. Mde. de Villarceaux, frappée de
étonna fort Mlle Molière*, qui ne connaissait pas le Président. Elle
répondit
sur un ton d’aigreur qui ne fit qu’irriter cet Am
Duc : Tarte à la crème. Mais Tarte à la crème, n’est point un défaut,
répondit
le Bel-esprit, pour la décrier comme vous faites.
e à Cyrano*. Quand on reprochait à Molière cette sorte de plagiat, il
répondait
: « Ces deux Scènes sont assez bonnes : cela m’ap
, Et qu’avec tant de peine il te faut arracher. Et cet avare écho qui
répond
par ta bouche, Serait plus indulgent à l’amour qu
plaire, la vit, et la voit encore avec plaisir. Il était même aisé de
répondre
aux critiques, que Molière a bien su lui-même dis
u’il est un âne, et qu’elle est aussi Docteur que lui : et le Docteur
répond
: Toi docteur ? Vraiment je crois que tu es un pl
ssèrent de prendre du repos, et de ne pas jouer. « Hé ! Que feraient,
répondit
-il, tant de pauvres ouvriers ? Je me reprocherais
omme vos Gagistes ; sentiront mieux votre supériorité. Ah ! Monsieur,
répondit
Molière, que me dites-vous là ? Il y va de mon ho
nt vous nommez-vous, reprit Molière » ? Le Postillon d’Hippocrate lui
répondit
qu’il s’appelait Fleurant. Molière l’embrassa, en
sa sorte sont capables. À la première représentation, l’honnête-homme
répondait
à l’Apothicaire : « Allez, Monsieur, on voit bien
sonnage de Toinette 82. Cette Actrice, peu endurante, après lui avoir
répondu
assez brusquement, ajouta : « Vous nous tourmente
Comte de Grammont, n’avez-vous rien oublié à Londres ? Pardonnez-moi,
répondit
le Comte, qui devinait leur intention ; j’ai oubl
it à Molière d’avoir donné cette farce [Monsieur de Pourceaugnac], il
répondait
qu’il était Comédien aussi bien qu’Auteur, et qu’
quoi il s’avisait de faire des sermons ? « Pourquoi sera-t-il permis,
répondit
-il, au Père Maimbourg, de faire des Comédies en c
nt fait rire un Courtisan, le Roi voulut en savoir le motif. Le rieur
répondit
que Sa Majesté pouvait se tranquilliser sur le co
moins le surplus appartenait de droit à la dépositaire ; elle ne lui
répondit
qu’en le menaçant de faire jeter la cassette par
de Molière, ne disent rien de celle de Scaramouche*. À quoi le Prince
répondit
: La raison de cela, Sire, c’est que la Comédie d
éprouver pas la même sensation, leur en demanda la cause. « Sire, lui
répondirent
-ils, il faudrait, pour bien sentir toutes les fin
vez-vous envie, lui dit-il, d’en faire un Comédien ? Plût à Dieu, lui
répondit
le grand-père, qu’il fût aussi bon Comédien que B
ur le coup, votre prudence était endormie !... » « Et où est l’homme,
répondait
Despréaux, à qui il n’échappe jamais une sottise
t attaqué dans son Traité des causes de la corruption du goût, il lui
répondit
par les Réflexions sur la critique, […]. Grand ru
hé de lui : « Mon Maître, dit-il, il y a bien des nouvelles. Et quoi,
répondit
Maître Raimon ? Que diriez-vous, dit Nérin, que j
me vît, & tout incontinent après il se partit. Est-il possible ?
répondit
Maître Raimon. S’il est possible ! repartit Nérin
amp; a gâté tout le mystere. Comme donc avez-vous fait à vous sauver,
répondit
Maître Raimon ? Je me suis, dit-il, caché dedans
je vous veux raconter une chose qui vous plaira grandement. Et quoi ?
répondit
Maître Raimon. J’ai échappé, dit Nérin, le plus e
nt leur sommeil, armées de toutes pieces comme elle étoit ». Elle lui
répondit
par deux ou trois révérences ordinaires qui ne fi
r, si elle le trouvoit bon. « En vérité, je lui en suis fort obligée,
répondit
l’innocente Laure, & j’aurois son service for
que vous dites, que je ne sais où le mettre. Puisque cela est ainsi,
répondit
l’ambassadrice de Satan, & que vous ne vous s
heure, dit Laure, personne ne l’en empêche. Voilà qui est fort bien,
répondit
la vieille ; mais il seroit encore mieux que vos
e vos valets & vos servantes n’en sussent rien. Il est fort aisé,
répondit
Laure, car mes servantes ne couchent point dans m
Enfin il lui demanda ce qu’elle vouloit faire de ces armes. Elle lui
répondit
en riant, qu’elle ne pouvoit les quitter ni passe
voit des deux yeux. Je crois que non, dit le mari : je crois que si,
répond
la femme : faisons une expérience. Elle lui couvr
de tous côtés dans cette vie-ci. Tu as parbleu raison ! Mon cher ami,
répondit
J… en l’embrassant ; la vie est un pauvre partage
uvons-nous faire moins que de les punir ? Comment ! Vous avez raison,
répondit
Molière. Sortez d’ici, coquins ! que je ne vous a
que nous lui faisons. Viens donc te noyer avec nous. Oh ! doucement,
répondit
Moliere : ce n’est point ici une affaire à entrep
charmés de le connaître. Despréaux, qui avait quelques affaires ; lui
répondit
qu’il n’était pas en humeur de s’aller réjouir. P
juger, lui dit Chapelain, vous qui ne savez pas lire. » Puy-Morin lui
répondit
: « Je ne sais que trop lire, depuis que vous fai
e rencontrant un jour dans la rue, lui en voulut parler. Chapelle lui
répondit
: « J’ai résolu de m’en corriger ; je sens la vér
, s’il le faut ; voilà comme je suis fait ; je m’appelle Freeport. Je
réponds
de la vertu de la fille autant que je peux, mais
eut partir sans faire perdre cinq cents guinées à Freeport ; celui-ci
répond
: Oh ! qu’à cela ne tienne : quoiqu’elle ait je
PICARD, M. GÉRONTE. Picard. Monsieur ? M. Géronte. Coquin ! tu ne
réponds
pas ? Picard. Pardonnez-moi, Monsieur ; me voilà.
on part. M. Géronte, très fâché. Ah ! pendard ! est-ce ainsi que l’on
répond
à son maître ? (Il le menace & le fait recul
vantail : pourquoi ne pas lui donner un autre métier ? Eh ! Monsieur,
répond
le pere la larme à l’œil, il ne peut faire que ce
Pays, quoiqu’il ne l’eût jamais vu que cette fois-là. Je ne sais, lui
répondit
Mendoce, si je suis de votre pays ou non, mais j’
ays ou non, mais j’ai bien de la peine à vous reconnoître. Bon Dieu !
répondit
l’artificieux Ordogno, je n’en crois rien : vous
arde, moins je me souviens de vous avoir vu. S’il ne tient qu’à cela,
répondit
le perfide Ordogno, vous m’allez connoître à la p
à la premiere chose que je dirai. De quel pays êtes-vous ? Aragonois,
répondit
Mendoce. Justement, reprit le frippon Ordogno. Vo
en donne à Gusman, & lui demande ce qu’il vient faire. Gusman lui
répond
qu’il est l’Ecuyer d’Elvire, jeune personne de qu
se, & s’il se détermine enfin à donner la main à sa sœur : il lui
répond
que le ciel s’oppose à cette union, & qu’il n
lle la garde. Le Roi accourt au bruit. Il demande qui va là. Don Juan
répond
en plaisantant, que c’est un homme avec une femme
furieux. Don Juan lui commande de le laisser sortir. Le vieillard lui
répond
qu’il ne passera que par la pointe de son épée. D
n lui demande si le pays est beau, si la poésie y est en crédit. Elle
répond
à tout avec la tête. On la régale de quelques cou
ans sa chapelle, & se retire. Don Juan veut l’éclairer ; elle lui
répond
qu’elle n’en a pas besoin, parceque son ame est e
puisse se confesser à lui & recevoir l’absolution : la Statue lui
répond
qu’il s’y prend trop tard. Don Juan tombe mort. L
la somme. « Comment cela, demande Pantalon » ? « La chose est simple,
répond
Arlequin. J’irai dire au Roi que vous avez tué le
uin a peur : il fait de grands raisonnements sur l’ame : Don Juan lui
répond
des impiétés. Ils se retirent. Le Duc & le Do
nt des questions, & pour l’engager à lui être favorable. Arlequin
répond
sans perdre un coup de dent. Don Juan. De quelle
que, s’il ne lui ouvroit, elle le perdroit. Et que peux-tu me faire,
répondit
le mari ? Plutôt que de souffrir, repliqua-t-elle
, & demandent la raison d’un si grand bruit. C’est ce malheureux,
répondit
la belle en pleurant, qui revient ivre toutes les
nous dire au vrai ce qui en est. Je ne sais ce que vous voulez dire,
répondit
la belle avec beaucoup de sang froid, & j’ai
z battue ? car pour moi je n’en ai aucune mémoire. Comment, perfide !
répondit
Berlinguier, ne nous couchâmes-nous pas hier au s
nai-je pas mille coups ? & ne vous coupai-je pas les cheveux ? Je
réponds
aux deux premiers articles, répliqua la belle, pa
e à Claudine un petit baiser, en rabattant sur leur mariage. Claudine
répond
: Hé que nenni, j’y ai déja été attrapée. Cette p
lle heure son maître a resté avec Béatrix la nuit derniere : Arlequin
répond
, jusqu’au jour. Silvio lui donne un soufflet, en
comment elle a pu faire pour n’être pas reconnue par son époux : elle
répond
qu’elle avoit soin de prendre un habit de sa sœur
rer sa passion au faux Fédéric. On se doute bien que le faux Cavalier
répond
très mal à sa flamme. L’acte finit. Acte II. Arl
e équivoque, le Docteur s’explique : enfin Magnifico rentre sans rien
répondre
, accable sa fille de reproches. Grand désespoir d
l laissa au maillot à Naples, quand il vint s’établir à Rome. Béatrix
répond
qu’elle se déterminera après l’arrivée de Lucindo
lui disant qu’il va incessamment se marier avec Béatrix. Pantalon lui
répond
que cela ne se peut point, parcequ’elle ne veut s
les Dieux du Ciel, mon amour, mon innocence, & vous, ingrat, qui
répondez
à une tendresse aussi vive avec la plus grande in
curiosité, il lui dit de demander des nouvelles à son tour : l’autre
répond
qu’il n’est pas curieux. Arlequin le force, à gra
raconter moi-même mes exploits, de vanter mon courage ? Arlequin lui
répond
naïvement qu’il a tort de lui faire ce reproche,
n assurer en faisant à l’autre des questions auxquelles lui seul peut
répondre
. Il lui demande d’abord quel est le présent qu’Am
bord quel est le présent qu’Amphitrion destine à Alcmene. Mercure lui
répond
en homme très instruit, que c’est une coupe d’or
serai que je ne suis plus moi, mais que c’est toi qui es ma personne.
Réponds
. Mercure répond en effet très juste à cette derni
uis plus moi, mais que c’est toi qui es ma personne. Réponds. Mercure
répond
en effet très juste à cette derniere question. So
. Amphitrion, étonné du galimatias que lui fait Sosie, lui ordonne de
répondre
par ordre à ses discours, lui demande quel est le
raire qui l’a battu, qui l’a empêché d’exécuter ses ordres. Sosie lui
répond
toujours que c’est lui ; non pas le lui présent,
ne, qu’il suppose être Alcmene : mais chez Moliere, la fausse Alcmene
répond
à Sosie ; ce qui devient bien plus plaisant. Le S
la maison. Amphitrion. Ecoute, observe ici l’ordre que je desire, Et
réponds
mot pour mot à ce que je vais dire : Quel est pre
cette confusion. Rappelle tous tes sens, rentre bien dans ton ame, Et
réponds
mot pour mot à chaque question. Sosie. Mais, de
nterroge, & il est déja bien loin de vous quand vous songez à lui
répondre
: ou bien il vous demande en courant comment se p
rit en lui-même, il éclate d’une chose qui lui passe par l’esprit, il
répond
à sa pensée, il chante entre ses dents, il siffle
e. Le valet arrive, à qui il demande fiérement d’où il vient : il lui
répond
qu’il vient de l’endroit où il l’a envoyé, &
re oui ; & où il dit oui, croyez qu’il veut dire non. La, en vous
répondant
si juste, les yeux fort ouverts ; mais il ne s’en
brouille, il regarde sans voir : Quand on lui parle blanc, soudain il
répond
noir. Il vous dit non pour oui ; pour oui, non :
sur un événement, & lui demande si cela est arrivé : Ménalque lui
répond
, oui, Mademoiselle. Il revient une fois de la cam
: pas un ne reste ici pour garder la maison, ni pour ouvrir, ni pour
répondre
. Peu s’en est fallu que je n’aie enfoncé les deux
it piqué, se loue d’avoir un fils qui lui ressemble par son économie,
répond
de la dette à l’usurier, & promet de le satis
, allons donc ; c’est moi qui vous le commande. Theuropide. Mais toi,
réponds
-moi : quel usage a-t-on fait de cet argent-là ? T
attendois pas à cette demande-là : je suis perdu. Theuropide. Veux-tu
répondre
quand je t’interroge ? Tranion. Oui, Monsieur, je
ranion. Autre coup assommant ! me voilà encore réduit à ne savoir que
répondre
. Voilà un nouvel écueil contre lequel les vagues
confie à un drôle qu’il ne connut jamais, & dont personne ne lui
répond
? Un Gascon, à qui le Chevalier doit cent louis,
reste seul avec Arlequin, à qui il demande qui il est : celui-ci lui
répond
qu’il est un gentilhomme bouffon, ou bien un gent
pour prendre l’air ; on lui demande s’il est le Prince Sigismond : il
répond
, comme le Sganarelle du Médecin malgré lui : oui
ecin malgré lui : oui & non, selon ce que vous lui voulez. On lui
répond
que l’illustre Sophronie, armée en sa faveur, vie
ie, armée en sa faveur, vient le proclamer Souverain de l’Empire ; il
répond
: En ce cas-là je suis le Prince Sigismond. Les
re suffrage la fit reléguer dans les provinces. M. de Voltaire va lui
répondre
. Corneille prétend que le refus d’un illustre s
ue. Un drame héroïque, grands Dieux ! me suis-je écrié. Oui, m’a-t-on
répondu
en riant, c’est un drame héroïque qu’on m’a prié
XIX. Le Capitaine reproche à Maugrebleu qu’il est ivre : celui-ci lui
répond
: Maugrebleu. Comme de coutume je ne hausse ni n
l la voit, il lui reproche ses escampativos nocturnes ; Angélique lui
répond
qu’il n’y a pas grand mal à prendre le frais de l
faisois autant, je passerois chez vous Pour un franc étourdi. Là, là,
répondez
-nous. Valere. J’ai tort ; mais.... Le Chevalier.
bourbeux, Et de Monsieur de l’Isle en prit le nom pompeux. Arnolphe
répond
avec raison, Vous pourriez vous passer d’exemple
ait une comédie intitulée le Docteur ignorant. Le Docteur offensé lui
répond
qu’il a fait aussi une piece qui a pour titre le
randi : faro il comico, se vi degnate accettarmi). A cela le Chef lui
répond
avec mépris, qu’il est un misérable, qu’il seroit
e de Lise, veut mettre auprès de sa fille un surveillant capable d’en
répondre
. Cléandre, son amant, se présente à Boniface, &am
ras d’Orgon. Il tâche de s’excuser : Orgon lui dit de sortir : il lui
répond
fiérement, qu’en vertu d’une bonne donation, il e
r, ce que Moliere doit au Docteur Italien ; & l’Europe entiere me
répondra
certainement, rien. Le Docteur est, à la vérité,
re, l’accuse d’être un cruel, un homicide. Arlequin, tout étonné, lui
répond
qu’il lui a cependant donné une aumône assez honn
ce qu’il a une servante très jolie, dont on veut le priver. Célio lui
répond
qu’il le débarrassera de ses persécuteurs par le
de à Célio ce qui le met dans l’état violent où il le voit, Célio lui
répond
qu’il est ainsi toutes les fois qu’il voit une fe
il en prend ; il éternue. Célio lui dit : Cela est bon. Arlequin lui
répond
: Cela est mauvais. Célio le renvoie encore vers
dans la chambre de sa maîtresse que pour le surprendre. La belle lui
répond
qu’en attendant il vouloit l’embrasser, & qu’
ut le reste. Je veux sortir encore plus matin, s’il m’en prend envie,
répondit
Blanche, que les dernieres paroles du jaloux Don
na là-dessus son mari, qui, entendant malice au tic, lui conseilla de
répondre
tac ; ce qu’elle fit. Le galant charmé ajouta : Q
charmé ajouta : Quand viendrai-je ? La femme, instruite par son mari,
répondit
, dès le lendemain, ce soir. Voilà l’amoureux qui
ès, Giliole le rencontre, & lui dit, en se moquant, tic Rossi lui
répond
en branlant la tête : Ni pour tic, ni pour tac,
nger. Va-t’en donc leur dire de ma part que je suis tout prêt de leur
répondre
pardevant Notaire, que le premier des leurs qui m
qu’avec tant de peine il te faut arracher ; Et cette avare Echo, qui
répond
par ta bouche, Seroit plus indulgente à l’ennui q
arracher les mots de la bouche. . . . . . . Ergaste & Sylvestre
répondent
aux questions qu’on leur fait, en peu de mots, ou
me voilà ? Géta. Vous y êtes. Ne changez pas ; & souvenez-vous de
répondre
parole pour parole, & de lui bien tenir tête,
chez de vous composer par étude : un peu de hardiesse, & songez à
répondre
résolument sur ce qu’il vous pourra dire. Octave.
Scapin. Bon ! Imaginez-vous que je suis votre pere qui arrive, &
répondez
-moi fermement comme si c’étoit à lui-même. « Comm
ns le consentement de ton pere, de contracter un mariage clandestin !
Réponds
-moi, coquin, réponds-moi. Voyons un peu tes belle
ton pere, de contracter un mariage clandestin ! Réponds-moi, coquin,
réponds
-moi. Voyons un peu tes belles raisons »... Oh ! q
comme elles sont, & respecter les ouvrages des grands hommes. Je
répondrai
à cela que c’est le langage de la paresse ou de l
us qu’à présent on le nomme Le petit Harpagon ? À quoi le vieillard
répond
: « Vous me flattez. » Tout cela ne nous semble g
re de quoi entretenir l’état que vous portez ? C’est que je joue, lui
répond
son fils, et que je mets sur moi tout l’argent qu
grand danger qu’elle courut dans l’eau...— Eh ! que m’importe cela ?
répond
Harpagon ; il valait bien mieux pour moi qu’il te
it Suzanne, que le jour du départ sera la veille des larmes. » Figaro
répond
à sa fiancée, qui lui promet de l’aimer beaucoup:
à son ancien valet ce que c’est que le docteur Bartholo. « C’est, lui
répond
-il, un beau, gros, court, jeune vieillard, gris-p
n de sa mauvaise réputation, elle peut l’admettre dans sa société, il
répond
: Sans contredit On en parle assez mal, mais ell
ez, monsieur, je vous prenais pour un brave. —Il n’y a pas de quoi, »
répond
M. Calicot. Oui, de tous ceux que je gouverne C
vidus, lui fournit le sujet d’une comédie piquante, dont lé succès ne
répondit
pas au mérite de l’ouvrage, par la, raison qu’il
, peux-tu arranger cela avec ta position et tes opinions ?—Très bien,
répond
-il; par ma naissance et ma fortune, je suis d’un
les chefs-d’œuvre mêmes de l’ancien répertoire. Ne pourrait-on leur
répondre
: Le but que se proposaient les anciens auteurs (
sans feinte, Vous alliez me trahir et me déguiser rien. Il finit par
répondre
: Puisqu’il en est ainsi, monsieur, je le veux b
perte de son procès, Et qu’il est en justice aisé d’y revenir ; il
répond
: Quelque sensible tort que cet arrêt me fasse,
qui sait apprécier son mérite, serait un choix plus digne de lui, il
répond
: Il est vrai, la raison me le dit chaque jour,
une conduite diamétralement opposée à celle qu’on lui voit tenir, il
répond
: Je sais que vous parlez, monsieur, le mieux du
i pas sur ma langue un assez grand empire ; De ce que je dirais je ne
répondrais
pas, Et je me jetterais cent choses sur les bras.
on disait que Molière l’avait eu en vue en composant son Misanthrope,
répondit
« que rien ne pouvait le flatter davantage, et qu
e me haïr : Faites-le, j’y consens. — Hé ! Le puis-je, traîtresse ?
répond
Alceste; Puis-je ainsi triompher de toute ma ten
semble, si son cœur eût conservé pour lui les mêmes sentiments. Elle
répond
au contraire : Vous pouvez suivre votre pensée :
e. S’il se trouvait, en effet, un acteur assez heureusement doué pour
répondre
, sous le rapport de l’ampleur des moyens, de la p
t plus gouvernés; Je cède aux mouvements d’une juste colère, Et je ne
réponds
pas de ce que je puis faire. La Béjart non plus
mêmes qu’il réprimande; aussi madame Pernelle ne manque-t-elle pas de
répondre
à Dorine : Et tout ce qu’il contrôle est fort bi
st vous faire une offense. le fourbe sait bien qu’EImire est femme à
répondre
: Oui, je tiens que jamais de tous ces vains pro
eul, et pour mieux le confondre, Que mon âme à ses vœux va feindre de
répondre
, J’aurai lieu de cesser dès que vous vous rendrez
Son esprit est rusé, Et peut-être à surprendre il sera malaisé. Elle
répond
: Non ; on est aisément dupé par ce qu’on aime,
tes bontés que vous avez pour moi. Elmire, pressée et embarrassée de
répondre
à ses vives instances, a recours pour les éluder
nce et s’exposer à compromettre l’objet de leur unique ambition, nous
répondrons
que, posée comme règle absolue, cette opinion ne
ours on est sûr du secret. Le soin que nous prenons de notre renommée
Répond
de toute chose à la personne aimée ; Et c’est en
elles il ne faut pas attacher grande importance. À cela il y aurait à
répondre
que d’abord les divers changements apportés dans
l’étude et ne profite plus. « Vous avez grand tort de vous plaindre,
répond
Lelio, car le fruit que vous verrez prochainement
ent que Virginia, ou par honte ou par colère, ne nie la vérité. Zucca
répond
qu’il y a trop de témoins pour que cela soit poss
arrête et demande à son fils pourquoi il est si bien armé. Fabio lui
répond
qu’il ne fait que se conformer à ses avis, qu’il
saire bien redoutable. Fabio demande de qui il veut parler. Ricciardo
répond
que c’est de Lelio. Fabio se moque de cet adolesc
nt où il lui annonce un combat qu’il lui peint si terrible. Ricciardo
répond
qu’il attend Tebaldo, et que, dès que celui-ci se
chez lui. Fabio demande si on lui donnera Virginia pour femme. On lui
répond
qu’il aura celle qu’il a épousée. Fabio s’apaise
fils, pour lui faire partager sa colère. Mais c’est Virginia qui lui
répond
et qui se présente. Fabio, Pandolfo, Ricciardo so
t à Molière : « Voilà donc votre médecin ? Que vous fait-il ? » Sire,
répondit
Molière, nous raisonnons ensemble ; il m’ordonne
« Voilà donc votre médecin. Que fait-il ? ― Nous raisonnons ensemble,
répondit
Molière, il m’ordonne des remèdes, je ne les fais
» quand ces maux touchent l’endroit sensible de sa vanité, et Alceste
répond
au tableau même que Rousseau a tracé des faibless
t fait observer qu’il y faut un peu plus longtemps que cela, Oronte a
répondu
que c’était là parler en homme très sage. Qu’est
u sévère dans ses jugements littéraires. « C’est ce que je demande »,
répond
Oronte. Alors soit, répond Alceste, retombant dan
littéraires. « C’est ce que je demande », répond Oronte. Alors soit,
répond
Alceste, retombant dans son défaut persistant, la
r. Remarquez la franchise d’Alceste à ce début de scène. Il aurait pu
répondre
: « Ne lisez pas. Je n’entends rien aux vers », m
de faire une mauvaise action. Cela est clair, net ; il n’y a rien à y
répondre
. La morale du monde a d’autres maximes ; je ne l’
: « Vous diriez à Emilie qu’elle est vieille coquette ? » Alceste va
répondre
: « Oui », mais il veut le lui faire dire. Il sai
feu fût à sa maison. « La maison brûle, lui criait-on. Que m’importe,
répondait
-il, je n’en suis que le locataire. » A la fin, le
ela sans vous mettre en courroux ? Et c’est à cela même que Philinte
répond
: « Oui. » « Encore des paroles, me dira-t-on, et
in, s’écrie Alceste, la justice commande… — La justice est peut-être,
répond
Philinte, du côté de cet homme que vous n’avez ja
c raison de dire : tout est bien. Voilà de belle économie politique,
répond
Alceste, et voilà comment les heureux de la terre
este aujourd’hui. « Je préfère nous aujourd’hui et Alceste demain »,
répond
Philinte. Demain sera t-il temps de prévenir l’o
dans l’enthousiasme. « Ah ! mon ami ! » — Rayez cela de vos papiers,
répond
Alceste ; j’ai pu l’être ; mais c’est où je ne re
Donc Molière aime les coquins. » C’est aller trop loin. Mais Rousseau
répond
: « Non. Dorante n’a-t-il pas pour lui l’intérêt
t pour me convaincre. Elle ne convainc pas non plus George Dandin qui
répond
: « C’est ainsi que vous satisfaites aux engageme
ents reproches, et, quand ce père irrité lui donne sa malédiction, de
répondre
d’un air goguenard qu’il n’a que faire de ses don
c’est très vrai ». dit le Rousseau pessimiste. — Eh bien alors ! lui
répondrai
-je. — Eh bien alors, il ne faut pas le dire, répo
en alors ! lui répondrai-je. — Eh bien alors, il ne faut pas le dire,
répond
le Rousseau idéaliste. Il ne faut pas qu’un auteu
’Avare est donné comme personnage sympathique par l’auteur, j’ai déjà
répondu
à ce grief à propos d’une autre pièce. Comment pe
es haïr et les mépriser tous les deux ? — On prend toujours parti, me
répondra-t
-on ; quand deux hommes combattent devant vous, il
(« Onuphre ne calomnie pas, ne décrie pas, il sourit, il soupire, ne
répond
rien et il a raison : il en a assez dit ». La Bru
t ceci est d’un intérêt assez général. A son censeur Molière pourrait
répondre
: « Je suis bien forcé de donner, sinon quelques
trop, je veux dire un peu trop facilement. Molière pourrait seulement
répondre
qu’on lui en demande plus qu’il ne faut ; peut-êt
r en ôter le plus malin poison qu’elles contiennent. Molière pourrait
répondre
ainsi assez pertinemment ; car la prétention des
Molière et qu’il n’a rien de très moralisateur. Mais Molière pourrait
répondre
que ce système n’est que l’observation exacte de
: sots victimes des méchants, c’est le monde lui-même. — Sans doute,
répond
immédiatement Rousseau ; « ce n’est que trop vrai
est lui manquer de respect. » Molière, dit-on, fut interdit. Mais il
répondit
pourtant dans sa préface du Tartuffe. Il répondit
t interdit. Mais il répondit pourtant dans sa préface du Tartuffe. Il
répondit
: pourquoi non ? Il répondit : « Je sais bien que
pourtant dans sa préface du Tartuffe. Il répondit : pourquoi non ? Il
répondit
: « Je sais bien que, pour réponse, ces messieurs
n je crois, pourtant ils ne le font pas exprès. —Je n’en sais rien »,
répondait
-il. C’est la différence entre les « défauts natur
dément des sots et des vicieux, lesquels détestez-vous le plus ? » il
répondrait
sans doute : « A un certain degré, autant les uns
u-nement défendu de croire que ce fût par sympathie . Supposons-le,
répond
Rousseau ; mais Molière reste coupable plus par c
rquis se demande si Molière n’est pas à bout de sujets et il lui fait
répondre
: « Plus de matière ! Eh ! mon pauvre marquis, no
forcée d’être historique, parce qu’au reproche d’invraisemblance elle
répond
: « c’est vrai ; cela a eu lieu », ce qui ferme l
d’avoir livré au mépris public l’idée de patrie dans les Horaces ? Il
répondrait
sans doute : « Ce n’a pas été mon intention. » On
fesser, réponse à tout. A ceux qui disent que le théâtre moralise, il
répond
que ce n’est pas le théâtre qui moralise, mais l’
de prier le ciel qu’il vous donne toutes sortes de biens. » — « Eh !
répond
Don Juan, prie le ciel qu’il te donne un habit, s
à ce pauvre à quoi il passait sa vie dans la forêt : « A prier Dieu,
répondait
le pauvre, pour les honnêtes gens qui me donnent
dire que toute idée religieuse paraît étrangère, qui ne trouve, pour
répondre
à la grossière déclaration de Tartuffe, aucun des
r, en matière si grave, une femme, Dorine, ou même Mme Orgon, je vous
répondrai
qu’on ne peut pas avoir plus raison que vous ne l
u’on vienne à lui dire à son tour : « Qu’y met-on ? » Je veux qu’elle
réponde
: « Une tarte à la crème ; » En un mot, qu’elle s
il reçoive ma foi : Il s’y peut assurer ; mais sachez que mon âme Ne
répondrait
de rien, si j’étais votre femme. De ce vieillard
ris ainsi par la majorité du public. La preuve en est que Dorante qui
répond
à Lysidas ne le réfute nullement sur ce point, ne
te homme ». En conséquence, quelle éducation lui donnera- t-on ? Pour
répondre
à cette question, il n’y a qu’à se demander pourq
sseau, très évidemment, a hésité, a réfléchi très longuement et s’est
répondu
: « Non, malheureusement, ce ne peut pas être tou
e prosateurs et de poètes, tout ce que recommandait Fénelon. Non pas,
répond
Rousseau, l’instruction est inutile, l’éducation
st-il bon ? mais par cette autre à laquelle il n’est pas plus aisé de
répondre
: Quel effet cela fera-t-il ? Dans ce premier âge
olle résistance : voilà le langage que la nature leur donne pour vous
répondre
… » Tout cela, c’est le portrait de Célimène, corr
n : il faut bien cependant que la jeune femme ne soit pas idiote ; il
répond
: « d’accord », en considération seulement de cec
nes. Voilà une différence essentielle entre Julie et Sophie. Rousseau
répondrait
peut-être qu’il s’agit d’un mari qui n’a pas de r
e l’abandonnement aux instincts et au tempérament. Et que, si l’on me
répondait
que précisément le mouvement naturel de Molière é
x de la nature qui l’inspire et qui le guide et qu’il aime. — Vous me
répondrez
: c’est prétendre guérir, et cela seulement, qui
mphe Dorine, qui est dévouée au culte de Diane, & qui ne veut pas
répondre
à sa tendresse. L’Amour, piqué de l’indifférence
jour sur la netteté de ses idées & sur la clarté de son style, il
répondit
: j’ai toujours tâché de m’entendre. Si je tenois
e. Sa maîtresse lui fit infidélité : il vole chez la perfide, qui lui
répond
: Fontenelle, lorsque je vous pris, c’étoit sans
le besoin, lui écrit : vous avez mille écus, envoyez-les-moi. Il lui
répondit
: J’allois placer mille écus ; je ne croyois pas
t licencieuse, ou des fadeurs soporifiques, formaient un dialogue qui
répondait
à tout le reste. Un Bertrand de Cigarral disait à
cules. Tu honorais la vertu en lui donnant une leçon, et Montausier a
répondu
il y a longtemps à l’orateur genevois. Est-il vra
s, il dit à Valentin : Laisse-moi lui couper le nez, et que Valentin
répond
froidement : Laissez-le aller ; Que feriez-vous ,
re rendre l’âme» et que M. Guillaume, toujours occupé de son affaire,
répond
brusquement : «Eh ! je voudrais qu’elles t’eussen
s, Crysale dit : Une femme stupide est donc votre marotte ! Arnolphe
répond
: Tant, que j’aimerais mieux une laide fort sotte
dit qui le possède, N’a-t-il pas exigé de vous d’autre remède? Elle
répond
: Non : vous pouvez juger, s’il en eût demandé,
ans la bouche d’une jeune fille, on sent qu’il est impossible qu’elle
réponde
autrement. Tout ce rôle d’Agnès est soutenu d’un
de l’épouser, son jaloux lui fait une querelle épouvantable. Elle ne
répond
à toutes ses injures que par des raisons très-con
lui-là qui est un sot, malgré son âge et son expérience; et celle qui
répond
: Que ne vous êtes-vous fait aimer? dit ce qu’il
ue de l’École des Femmes, petite pièce fort jolie, qu’il composa pour
répondre
à ses censeurs, et qui fut jouée avec beaucoup de
ur C’est là qu’il se fait dire: «Quoi! toujours des marquis ! » Et il
répond
: « Oui, toujours des marquis. Que diable voulez-v
quelqu’un : Monsieur, trouvez-vous que j’aie de l’esprit? Faut-il lui
répondre
: Non ? Eh bien ! c’est justement la question que
qu’il ait cru que la vérité ne l’offenserait pas. Mais lorsqu’Oronte
répond
: Et moi, je vous soutiens que mes vers sont for
vers de messieurs tels, le parterre rit, il est vrai; mais la raison
répond
à cette boutade plaisante, que si la sagesse est
orbleu , sont faits de cette sorte ! le parterre rit, mais la raison
répond
: Oui, c’est ainsi qu’ils sont faits, et ils ont
e j’ai cités, Rousseau conclut: Il fallait faire rire le parterre. Je
réponds
: Oui, c’est ce que doit faire le poète comique;
nriette, qui n’a que de l’esprit naturel et de la sensibilité, et qui
répond
si à propos à Trissotin qui veut l’embarrasser :
e. On peut s’attendre à tout d’un homme qui, arrivant dans sa maison,
répond
à tout ce qu’on lui dit par cette seule question
a parure des choses, elle en était l’idée intime ; l’élément poétique
répondait
aux meilleures parties de notre être; il ne pouva
u de Cinna. Que vous disent ces nobles et hautes figures ? Elles vous
répondent
en répétant l’une après l’autre : « Peu importe l
, dit Jupiter lorsqu’on a partagé la terre ? — J’étais auprès de toi,
répond
le poète. Le regard fixé sur ta face, l’oreille t
et-il qu’on les instruise ? Si on le pressait sur ce point, peut-être
répondrait
-il en alléguant des motifs tirés des avantages qu
e soin. Quel est, dans ces pièces, l’idéal qui se révèle ? « C’est,
répond
M. Rambert7, celui que rêvait l’élite de la socié
la cour, menacés par une feinte sévérité. « Il est toujours délicat,
répond
M. Rambert à cette question10, il l’est surtout p
e Tartufe. Tartufe peut parler d’accommodements avec le ciel, Alceste
répond
par le vers le plus admirable peut-être que Moliè
pour le péché l’indulgence pour le pécheur. Ses perpétuelles colères
répondent
mal à l’esprit de cette religion qui, par une har
rsonnage, ne sont que les instruments de ses fourberies. On pourra me
répondre
que le Crispin rival, de Le Sage, est un petit ch
eux intrigants, qui, chacun à leur tour, imaginent & agissent. Je
réponds
à cela que Crispin rival n’a qu’un acte. Si la pi
s fourbes, auroit bientôt cessé de l’être en amenant la monotonie. Je
réponds
encore que dans une piece plus longue la Branche
ous ces vieux porteurs de calottes et de lunettes ne me feront jamais
répondre
un seul mot à propos. CONCLUSIONS MORALES. «
ous ? Y a-t-il sûreté à traiter avec la cour ? — Nulle, Monsieur, lui
répondis
-je, à moins que de s’aider soi-même par de bonnes
ans prendre des mesures avec moi ? — Je vous avais dit, Monsieur, lui
répondis
-je, que la reine me l’avait dit ; mais que les ci
s, si on ne l’avait retenu. Je ne lui en donnai pas lieu ; car je lui
répondis
froidement et sans m’échauffer : “Sans doute, Mon
. — Le peuple n’est-il pas toujours à moi ? reprit le duc. — Oui, lui
répondis
-je. — M. le Prince ne reviendra-t-il pas, si je l
a Demoiselle, pour lui dire qu’il ne veut pas se marier. Alcantor lui
répond
que les volontés sont libres. Mais son fils Alcid
dis : Maître Savate, vous êtes un impertinent, entendez-vous ; il me
répondit
que j’étois un sot : je lui répliquai qu’il étoit
outez un peu les gens ! On vous parle une heure durant, & vous ne
répondez
pas à ce qu’on vous dit. Pancrace. Je vous demand
Comte de Gramont, n’avez-vous rien oublié à Londres ? Pardonnez-moi,
répondit
le Comte, j’ai oublié d’épouser votre sœur, &
ppartenait le privilège de défendre la vraie religion ; mais le monde
répondait
que, toute question de piété mise à part, la fami
rès avoir posé intrépidement cette redoutable objection, Bourdaloue y
répond
de haut et avec non moins, de hardiesse : « Je ve
ste, pour insinuer plus facilement son venin ? N’est-ce pas le cas de
répondre
à Bourdaloue par ses propres paroles : Pourquoi,
abstrait. Il a dû discuter avec le pouvoir civil, et, pour le dehors,
répondre
aux préventions qui s’élevaient contre son œuvre
t d’Onuphre, qui passe avec raison pour une critique de Molière. On a
répondu
que « l’optique du théâtre a ses lois nécessaires
Juan, il joue l’impiété. Il semble qu’il ait saisi cette occasion de
répondre
aux attaques dont Tartuffe était l’objet. J’ai si
nt si insolemment des choses divines, que quelqu’un, nous dit Pascal,
répondit
un jour à l’un d’eux : « Si vous continuez à me p
hlet, sont l’indice d’une conspiration secrète contre la religion. On
répondra
sans doute à ces imputations que Molière a bien p
est le méchant qui est puni ; l’athée est foudroyé. « Mais ce foudre,
répond
l’accusateur, n’est qu’un foudre en peinture qui
t-il pas de sage dans la pièce ? L’un des deux apologistes de Molière
répond
très bien à cette objection : « Il eût fallu pour
squ’il ne fait pas même peur à un valet grossier et superstitieux. On
répondra
peut-être que ce trait n’est pas de Molière et qu
en tire. L’erreur de Rousseau et en même temps des critiques qui lui
répondent
est de croire que l’on blâme nécessairement ce do
st, comme il le dit lui-même (sc. i), parce qu’il a peur de lui. Nous
répondons
que, pour le valet, la mort du maître est précisé
citez, sont-elles dans une tragédie bourgeoise ou de qualité ? Fi, me
répondra-t
-on ! elles sont dans une bonne & belle comédi
distingué. Alors mon homme, aidé du simple sens commun, pourroit lui
répondre
, je pense : « Puisque la satisfaction du cœur a d
re émue. Ah ! ma fille, je cede à des transports si doux ! Agnès ne
répond
rien à ce propos touchant, & ce n’est pas bie
auva avec moi du naufrage. Mariane. Hélas ! à vos paroles je puis ici
répondre
, moi, que vous n’imposez point ; & tout ce qu
me rapproche alors, je jase, l’on babille : On m’interroge, & je
réponds
; On se trouble, & je me confonds. On insist
oncer aux applaudissements qu’il lui procure. Mascarille, va-t-on me
répondre
, donne des coups de bâton à son maître ; il peut
’ils veulent rompre. Sentiment sur la pièce. Le titre. — Il ne
répond
qu’à une seule scène essentielle. Le genre. — D’
dira peut-être : employa-t-il ce temps à composer un acte ? Nous lui
répondrons
avec notre auteur : voyons, monsieur, le temps ne
accourt, et, ne le voyant pas, demande ce qu’il est devenu ; Arlequin
répond
qu’il l’ignore, mais qu’il sait, à n’en pas doute
l’être, n’est pas une comédie, mais un dialogue ; c’est au lecteur à
répondre
et à dire : j’ai remarqué dans cet ouvrage des ca
e à la chose37. Le but. — Celui de se venger, va-t-on s’écrier ; que
répondre
? Relisez la pièce, hommes superficiels, et vous
ique de supprimer la satire de Boursault et celle de Molière. » Nous
répondrons
: si Devisé, Boursault, et tous ceux que Molière
e bienfait assure sa fortune, dit-elle ; — non seulement trois jours,
répond
Molière, mais huit. Dès ce moment, Molière regard
n révérend père ? demandez au révérend père . À quoi le révérend père
répondait
par un prudent hom hom, qui, flattant ou piquant
obligé de lui dire des douceurs, et la dame ne peut se dispenser d’y
répondre
; l’on se doute que, grâce aux soins de la prince
pour les mettre dehors, il ne manquait pas de la parodier, et de lui
répondre
sur le même ton. Je demande aux vrais connaisseur
Larivey. Une femme y chante : Ma bouteille, si la saveur, De ce vin
répond
à l’odeur, Je prie Dieu et Sainte Hélène, Qu’ils
pas voulu que ce vers fût adressé directement à Loyal, puisqu’il n’y
répond
pas, lui qui, dans le reste de la scène, se montr
lui-ci, Mon frère, ce discours sent le libertinage ; à quoi Cléante
répond
: Voilà de vos pareils les discours ordinaires,
er beau-frère, avez-vous tout dit ? et c’est le public qui aurait dû
répondre
………………………………………………… Oui. Dorine nous a fait vo
e vous alliez vêtue ainsi qu’une princesse. Nos élégantes françaises
répondront
, aux unes et aux autres, que le négligé d’une con
est beau, lui disaient-ils, de mettre la vertu dans son jour ; « oui,
répondait
Molière, mais je vois, par ce qu’il m’en coûte, q
’il suppose être Alcmène ; la prétendue Alcmène a même l’honnêteté de
répondre
à Sosie 62 ; et dans l’ouvrage latin, c’est au pu
parler point assez simplement pour exprimer toutes les passions… Je
répondis
à mon collègue, que le meilleur écrivain pouvait
e partie de l’exposition, pourquoi applaudissez-vous ? Le parterre me
répond
, belle demande ! Parce que je me suis accoutumé p
ue vous fait votre médecin ? » lui demandait un jour le roi : « Sire,
répondit
Molière, nous raisonnons ensemble ; il m’ordonne
, que vous me donnassiez quelques enseignes. S’il ne tient qu’à cela,
répondit
le perfide Ordogno, de quel pays êtes-vous ? — Ar
a, répondit le perfide Ordogno, de quel pays êtes-vous ? — Aragonais,
répondit
Mendoce. — Justement, reprit le fripon Ordogno ;
e dîner chez sa sœur pour festiner les dames en son absence ; Dorante
répond
que c’est lui qui régale, et que M. Jourdain prêt
nière dont elle riait dans son rôle de Nicole ; je dois ce succès, me
répondit
-elle, plutôt à la nature qu’à mon talent ; vous ê
es montagnes, les vallées, les forêts, les étoiles ; il les presse de
répondre
à ses gémissements ; il reproche aux dieux de don
frirez que cet impertinent de Molière nous joue de la sorte ? Madame,
répondit
Ménage, j’ai vu la pièce ; elle est parfaite : on
rien rencontré de plus ingénieux. La critique à laquelle je viens de
répondre
est de Bussi Rabutin, et Bret convient qu’il part
sances et de s’instruire, il fallait les y encourager. Clitandre va
répondre
à l’académicien : Je consens qu’une femme ait de
a sacrifiée, lorsqu’elle s’en plaindra à sa mère, et que celle-ci lui
répondra
: Ce ne sera pas vous que je leur sacrifie, Et v
édagogue : « Quem habuit successorem Belus, rex Assiriorum ? Ninum »,
répondit
le jeune marquis. « Madame de Villarceaux, frappé
autres comiques du temps eurent là-dessus des ordres de Colbert. Je
répondis
tout de suite à Louvet ; il refusa de publier ma
decine elle-même. Perrault avait son frère médecin ; et Toinette lui
répondra
poliment : la bonne cause est bonne . Les médeci
pour lui, avec quelque ombre de vraisemblance. Je vous entends, nous
répond
-il, mais rassurez-vous ; avec du blanc, du rouge,
n’en agacerai pas moins les jolies femmes des loges, et si aucune ne
répond
à mes mines, j’en adresserai, morbleu, aux cariat
oix d’Arlequin, les voix de Polichinelle, semblent se défier et ne se
répondre
qu’en parcourant l’octave entière. — Ah ! monsieu
la crème : si après avoir dit, acte I, scène ire , je veux qu’elle
réponde
, ils s’arrêtaient pour chercher dans leur tête u
mte de Grammont, n’avez-vous rien oublié à Londres ? — Pardonnez-moi,
répondit
le comte, j’ai oublié d’épouser votre sœur, et j’
jour M. de Montausier, sur le personnage du Misanthrope, celui-ci lui
répondit
: « mon cher duc, le ridicule du poète de qualité
e Molière, ne disent mot de celle de Scaramouche ? ; à quoi le prince
répondit
, la raison de cela, c’est que la comédie de Scara
euses d’Aristophane, Praxagora parle à sa lampe, mais la lampe ne lui
répond
pas. 63. Boileau trouvait que la galanterie de J
ont pas tant un crime qu’un faux goût et qu’un sot entêtement ». Nous
répondrons
à ce grand critique, eh ! le Tartuffe ! 77. C’es
cour. Patelin veut ensuite se faire payer par Agnelet. Le coquin lui
répond
bée, & prend la fuite. Extrait de la Piece
les moutons qu’il a dit morts de la clavelée : Patelin lui ordonne de
répondre
bée à toutes les questions qu’on lui fera. Acte
e écus couleur de marron. On le croit fou ; on interroge Agnelet, qui
répond
toujours bée : le Juge lui dit d’aller se faire t
amp; le met hors de cour. Patelin veut ensuite être payé, Agnelet lui
répond
bée. Enfin on feint qu’Agnelet est mort en se fai
te. Dès ce moment Agnelet promet en termes clairs à son Avocat de ne
répondre
que par bée & de ne le payer qu’avec son mot,
ntin d’avoir engagé son frere dans une démarche extravagante. Frontin
répond
que la chose étoit nécessaire pour conserver l’hé
e ne t’importunerai pas davantage. J’acheverai puisque j’ai commencé,
répondit
Lothaire, & je suis bien assuré que je ferai
a dans un étonnement incroyable d’une déclaration si peu attendue, ne
répondit
pas une parole ; elle se leva seulement du lieu o
comprend par ce billet que Lothaire a parlé, il en est enchanté ; il
répond
froidement à l’avis de sa femme : elle en est piq
de à Damon son maître pour quelle raison il revient à la ville. Damon
répond
que c’est pour plaire à son ami Léandre ; il est
ns pour différer son bonheur : elle l’avoue à sa maîtresse. Julie lui
répond
que Léandre l’a conjurée d’attendre son ami Damon
comment Julie a reçu la nouvelle de sa fausse infidélité : Damon lui
répond
que Julie l’aime toujours & veut le voir ; il
venir, dit-il, pour célébrer la convalescence de sa fille. Nérine lui
répond
qu’au lieu d’employer tant de gens pour réjouir s
: qu’est-ce qu’il aura dit ? N’étant instruit de rien, je ne sais que
répondre
. La Tante. Hé bien, sais-je la carte, & ce qu
n dont elle se charge, le ton qu’elle prend, celui avec lequel on lui
répond
, tout nous confirmeroit dans cette idée. Les pers
e j’aime peu le monde. Léandre. Pensez-vous qu’au Couvent cette ligne
réponde
? Oronte. Celle-ci qui s’étend le dénote encor mi
sur le rôle de Léandre, notre troisieme intrigant, & voyons s’il
répond
bien galamment à la déclaration amoureuse de la T
été malade ; il l’interrompt pour lui dire : Et Tartufe ? Dorine lui
répond
qu’il se porte bien, & veut continuer à parle
le pense de Tartufe, & lui dit de bien prendre garde à ce qu’elle
répondra
. Scene II. Orgon annonce à sa fille qu’il veut l
ufe : il vole pour s’informer si la nouvelle est vraie : Marianne lui
répond
que son pere lui a nettement déclaré ses volontés
. Scene V. Lisimon demande si le Comte de Tufiere boit sec : Pasquin
répond
que son maître est le plus fort buveur du Régimen
plaisir de l’entendre discourir. — Tout ce que je vous puis dire, me
répondit
-il froidement et avec un souris dédaigneux, c’est
nt pas de leur sentiment. — Tout ce que vous dites est véritable, lui
répondit
Clorante, mais je ne suis pas tout seul cause de
Buisson, qui est un des plus galants hommes du siècle. — J’avoue, lui
répondit
Clorante, que cet illustre Abbé en a fait une et
scours, je vous prie de me dire si vous avez vu la Sophonisbe. — Oui,
répondit
Clorante. — Eh bien ! qu’en dites-vous ? repartit
bien les habitudes de Célimène sont en désaccord avec les siennes, il
répond
naïvement : Il est vrai ; ma raison me le dit ch
ra purger son âme. — Si vous faites cela, vous ne ferez pas peu, lui
répond
Philinte, et en effet la tâche est difficile ; ma
aucoup d’esprits timorés que cette critique inquiétait ont essayé d’y
répondre
. On a dit que le spectateur ne rit pas de la vert
faut cela, sans doute ; mais de plus une femme qui le comprenne, qui
réponde
à ses sentiments, qui console ses chagrins, qui r
d Léonor, de L’École des Maris, personne si sage, si réservée, et qui
répond
si dignement à la confiance de son tuteur. Il n’a
hacun, voulant se rendre agréable, fait cet hommage à sa beauté. Moi,
répond
-elle avec le dépit du bon sens, … Je ne vois rie
u logis il s’efforce de plaire. Avec quelle malicieuse bonhomie elle
répond
à Bélise qui lui reproche de faire une étrange fi
roit que toute autre flamme soit morte dans le cœur de Clitandre. Que
répond
-elle ? Il me l’a dit, ma sœur, et pour moi, je l
l’âge. Son acariâtre belle-mère ne la ménage pas ; cependant elle lui
répond
poliment, lui fait honneur, la reconduit. Elle vo
s de ceux du siecle passé ». Oui, rien n’est plus certain, leur ai-je
répondu
quelquefois en plaisantant ; il est vrai qu’ils l
u moins, dans votre Dictionnaire, le mot pension ». Non, Monseigneur,
répondit
Vaugelas, & moins encore celui de reconnoissa
uction de Quinte Curce. Voiture le railloit à ce sujet ; Vaugelas lui
répondit
qu’il n’auroit jamais achevé, parceque dans le te
perte pour moi : je ne veux point qu’on m’en fasse, que je n’y puisse
répondre
, & je vous prie de commencer par ne me point
-je, ôtez-moi donc tous ces langes. Voilà comme nous vous voulons, me
répondirent
-elles. Elles me mirent dans mon lit entre deux dr
: je les menaçai de leur faire l’affront de m’endormir ; elles ne me
répondirent
qu’en m’insultant sur les bonnes fortunes que je
éclamation. « J’ai toujours eu inclination de paraître en public, lui
répondit
celui-ci; les régents sous qui j’ai étudié ont c
qui se trouvaient déshonoré de manger avec le poète; le jour où, pour
répondre
à d’odieuses calomnies, il voulut être le parrain
ge au sérieux, et il aimait Mlle Molière. Malheureusement elle ne lui
répondit
que par une froideur glaciale. Molière, dit-on, e
t voir que le plus ridicule de tout était d’aimer une personne qui ne
répond
pas à la tendresse qu’on a pour elle. « Pour moi,
mpit pour lui demander s’il n’avait jamais été amoureux. — « Oui, lui
répondit
Chapelle, je l’ai été comme un homme de bon sens
s doit l’être... — Je vois bien que vous n’avez encore rien aimé, lui
répondit
Molière, et vous avez pris la figure de l’amour p
nous l’ascendant que le tempérament lui donne d’ordinaire. Pour vous
répondre
donc sur la connaissance parfaite que vous dites
de toutes leurs intrigues. J’ai voulu que l’innocence de mon choix me
répondit
de mon bonheur : j’ai pris ma femme pour ainsi di
peut dire en général ce que Corneille disait de Paris : L’effet n’y
répond
pas toujours à l’apparence ; On s’y laisse duper
homme habitué à manier la flatterie amoureuse, et Cléophile pourrait
répondre
en se bornant à taquiner le héros macédonien sur
n’a à reprochera Xipharès aucune gaucherie; mais elle ne saurait lui
répondre
que sérieusement et en livrant le secret de son c
e et d’Horace. Uranie et Dorante, les deux défenseurs de Molière, lui
répondent
ainsi : URANIE. Je vous avoue que je n’ai aucune
Ils ont ri des efforts de leurs adversaires et se sont bornés à leur
répondre
: « Et cependant j’ai réussi. » Mais dans Molièr
nimé d’un enthousiasme solitaire. Il lui faut des échos, des voix qui
répondent
à sa voix et la soutiennent. Le poète entonne ; m
de Molière ne disent mot de celle de Scaramouche.— La raison de cela,
répondit
le prince de Condé, c’est que la comédie de Scara
ue je tenais à poser et à laquelle, je l’avoue, je suis embarrassé de
répondre
. Peut-être pour démêler toutes les causes qui ont
olière l’a corrompue en la forçant à devenir sérieuse. À cela on peut
répondre
deux choses : on peut d’abord écarter l’objection
d’Eudoxe, il sourit ou il soupire: on l’interroge, on insiste, il ne
répond
rien; et il a raison, il en a assez dit. » Ainsi
inaperçu de la plupart des critiques : il n’y a qu’à le relever pour
répondre
à la fois aux observations de La Bruyère et à cel
exaspéré, plus il aurait besoin d’aimer et de s’abandonner. Célimène
répond
à sa tendresse, en lui offrant ce que le goût du
ceste, si Célimène voulait l’y suivre. Que ne trouve-t-il une âme qui
réponde
à la sienne ? Il aimerait avec l’abandon d’un enf
au du linge: « Au moins, dit-elle, payez votre porteur. » Mais Église
répond
: Tu es trop pauvre crocheteur Pour porter quelq
ue de siècle en siècle : ce sont les deux voix de la poésie. Elles se
répondent
l’une à l’autre, et la foule leur prête tour à to
et de généreux dans la haute société française, à côté de Racine, qui
répond
si bien aux goûts d’élégance, de politesse exquis
je dois être oublié, moi le plus fidèle de tes enfants. »Mais Jupiter
répond
: « Si tu t’es attardé dans le pays des rêves, ne
manqué ? Voilà de nombreuses questions, auxquelles nous chercherons à
répondre
en partie aujourd’hui, en partie dans nos leçons
trouvent réunies dans un espace assez restreint pour s’entendre et se
répondre
, donnent lieu parfois à des reprises, à des duos,
s points elles ne cadrent plus avec nos mœurs, dans leur esprit elles
répondent
à cet amour de la perfection poussée jusqu’au bou
met-il qu’on les instruise? Si on le pressait sur ce point, peut-être
répondrait
-il aussi en alléguant des motifs tirés des avanta
le avec avantage ? La question n’est pas de celles auxquelles on peut
répondre
d’un mot. À n’en juger que par les tableaux que l
crit nombre de comédies pour satisfaire aux exigences du moment, pour
répondre
à la cour et à la ville, qui lui criaient sans ce
Tartuffe. Tartuffe peut parler d’accommodements avec le ciel, Alceste
répond
parle vers le plus admirable peut-être que Molièr
pour le péché l’indulgence pour le pécheur. Ses perpétuelles colères
répondent
mal à l’esprit de cette religion, qui, par une ha
disait un Anglais à un autre Anglais. L’Anglais, prudent : — Les uns,
répondit
-il, disent qu’il va bien, et je ne le crois pas ;
— Tu vas suivre le premier aveugle que tu rencontreras en ton chemin,
répond
l’oracle, et il te conduira ! Aussitôt dit, aussi
ourquoi t’arrêter chez un pareil gueux ? — Parce que je suis aveugle,
répond
l’argent. — Et si on te rendait la vue, ami Plutu
, dit le bourgeois, tu es si puissant ! — Moins puissant que Jupiter,
répond
l’Argent. — Jupiter ! Jupiter ! voilà un pauvre d
hâteau de Versailles ; la sentinelle crie : Qui vive ? le monsieur ne
répond
pas, il se précipite, au péril de ses jours, dans
quoi la jeune demoiselle d’honneur : — « Je vais me mettre au lit »,
répond
-elle. Alors la voix grondeuse s’éloigne, et c’est
n pauvre hère qui donne la réplique à Lauzun, et qui n’a pas un mot à
répondre
à personne. — Grammont : « Sa Majesté est froide
ement que je doute fort qu’en pareille circonstance la mère Agnès ait
répondu
: — Vous plaisantez, Monsieur ! Le roi qui ne pla
n avoués excitent votre zèle pour les conversions. » Et moi, je vous
réponds
que le roi Louis XIV n’a jamais tenu un pareil la
cette énergie qui ressemble au sentiment, etc. » Madame de Montespan
répondait
à Lauzun : « Je sais que tu as été l’architecte d
nfants lui demandaient des nouvelles de leur mère : — Elle est morte,
répondait
M. de Montespan. Une scène auparavant, quand mada
ntespan parle comme une bacchante à jeun, Louis XIV, de son côté, lui
répond
comme le vieux célibataire ne répondrait pas à sa
eun, Louis XIV, de son côté, lui répond comme le vieux célibataire ne
répondrait
pas à sa servante Babet : « Belle dame quand tu p
ciers me pressent. » Madame de Montespan, impatientée, finissait par
répondre
à Lauzun : — « Insolent ! vous paierez cela ! » —
, elle, la duchesse de Vaujours, à un fripon. Que voulez-vous qu’elle
réponde
? Vous lui parlez un langage qu’elle n’entend pas
uestion que fait un de vos personnages, à coup sûr l’autre personnage
répondra
, tout au moins, à cette insolence, par une bêtise
ation de l’Édit de Nantes, et le règne de madame de Maintenon. Et que
répond
le roi à ces injures ? Le roi répond par trois bê
e de madame de Maintenon. Et que répond le roi à ces injures ? Le roi
répond
par trois bêtises insupportables : Première bêti
l, il aime seul, il parle seul ; — à Sganarelle lui-même, si Don Juan
répond
parfois, Don Juan répond comme un homme qui ne sa
seul ; — à Sganarelle lui-même, si Don Juan répond parfois, Don Juan
répond
comme un homme qui ne sait pas ce qu’on lui a dit
. Boursault compose Le Portrait du peintre contre Molière. Celui-ci y
répond
par L’Impromptu de Versailles, et a le tort d’y n
l excepte Floridor, acteur aimé du public. Montfleury fils et De Visé
répondent
à L’Impromptu par deux comédies. Portrait satiriq
était marquée ailleurs qu’au magasin de son père. Le jeune Poquelin
répondit
par des progrès rapides aux soins qui lui furent
éclamation. « J’ai toujours eu inclination de paraître en public, lui
répondit
celui-ci ; les régents sous qui j’ai étudié ont c
les rideaux : “Il serait difficile, madame, que je vous reconnusse”,
répondit
-il. Elle les fait tous lever et ouvrir toutes les
prince de Conti que je m’étais engagé à Molière sur ses ordres, il me
répondit
qu’il s’était depuis lui-même engagé à la troupe
ni au trésorier de la bourse de payer, à peine de pure perte et d’en
répondre
en son propre et privé nom18. » Il ne parut sans
être cocu ? » demanda aussitôt la duchesse. « C’est le duc, madame »,
répondit
la spirituelle interlocutrice, et l’on ne dit pas
tu m’empêches de dormir. — Est-ce que c’est à toi que je parle ? lui
répondit
sérieusement le naïf M. de Soyecourt. Nous avons
fixe, évêque de Rodez, à suivre son exemple ; le prélat s’empressa de
répondre
avec affectation qu’il n’avait en pareil jour qu’
orsque l’évêque fut sorti, il voulut en savoir le motif. Le rieur lui
répondit
qu’il pouvait se tranquilliser sur le compte de M
e s’est bien portée : « Hors les puces qui m’ont la nuit inquiétée »,
Répond
Agnès. Voyez quelle adresse a l’auteur ! Comme il
nt sur l’épithète de tragique appliquée à L’École des femmes, Dorante
répond
: Mais je sais le théâtre, et j’en lis la Pratiq
de Versailles. Dans sa préface, Boursault, ne sachant que dire et que
répondre
, se borne à s’indigner de ce qu’un personnage de
a comédie de Molière n’était qu’un « impromptu » longtemps médité, et
répondit
surtout aux traits dirigés contre le talent de so
pare ses paroles ; Et lorsque l’on lui dit : « Et commandez ici », Il
répond
: « Con-nais-sez-vous Cé-sar, de lui par-ler ain-
frère un maître baladin. — S’il fallait pour faire votre cour au Roi,
répondit
Lulli au ministre, faire pis que moi, vous seriez
n’avez-vous rien oublié à Londres ? — Pardonnez-moi, messieurs, leur
répondit
le fuyard, tant soit peu étonné de la rencontre ;
n, soit qu’il fût occupé par une autre passion, le comte de Guiche ne
répondit
pas aux avances de mademoiselle Molière. Celle-ci
doucis, dans le principal rôle de sa pièce. Deux partisans de Molière
répondirent
à ces calomnies : ils eurent bien soin toutefois
aire oublier leurs persécutions par un bienfait. Déjà nous l’avons vu
répondre
aux détracteurs de L’École des femmes par le brev
inquiétudes de son amour, sont un pesant fardeau pour la femme qui ne
répond
pas à son ardeur ; elle semble n’y voir qu’un piè
t voir que le plus ridicule de tous était d’aimer une personne qui ne
répond
pas à la tendresse qu’on a pour elle. — “Pour moi
rompit pour lui demander s’il n’avait jamais été amoureux.— “Oui, lui
répondit
Chapelle, je l’ai été comme un homme de bon sens
er si incertain. — Je vois bien que vous n’avez encore rien aimé, lui
répondit
Molière ; et vous avez pris la figure de l’amour
nous l’ascendant que le tempérament lui donne d’ordinaire. Pour vous
répondre
donc sur la connaissance parfaite que vous dites
de toutes leurs intrigues. J’ai voulu que l’innocence de mon choix me
répondît
de mon bonheur : j’ai pris ma femme pour ainsi di
une troupe qui n’avait de ressources qu’en lui et dont l’ensemble ne
répondait
pas toujours à ses soins ; repousser les attaques
ne femme qui, disait-il, avait beaucoup de défauts. « Je les connais,
répondit
Molière, j’y suis accoutumé, et il faudrait que j
elle portait le système de Gassendi aux nues. « Passe pour la morale,
répondit
Molière ; mais le reste ne vaut pas la peine que
ajouta-t-il en s’adressant au minime. « Le religieux, dit Grimarest,
répondit
par un hom ! hom ! qui faisait entendre aux philo
de chambre : « Voilà donc votre médecin ? Que vous fait-il ? — Sire,
répondit
Molière, nous raisonnons ensemble ; il m’ordonne
e nous lui faisions. Viens donc te noyer avec nous. — Oh ! doucement,
répondit
Molière, ce n’est point ici une affaire à entrepr
ivres. Saisissons le moment qui nous fasse le plus d’honneur, et qui
réponde
le mieux à notre conduite. Demain, sur les huit o
r une « demoiselle de très bon goût et qui ne se trompe guère m’avait
répondu
du succès.” En effet, ajoute Tallemant, la pièce
ut le piquant des conseils dont Célimène paye ceux d’Arsinoé ? » Nous
répondrons
, avec Rousseau, à Cailhava : « Non, elle ne l’aur
t si faible. Vous pouvez m’en croire ; j’y étais. — Vous y étiez, lui
répondit
Racine, et je n’y étais pas ; cependant je n’en c
mières représentations de ce chef-d’œuvre. « Je vous estime trop, lui
répondit
le satirique, pour croire que vous n’y ayez pas r
aissant échapper qu’en s’emportant contre Philinte, parce qu’il avait
répondu
avec affabilité à l’accueil empressé d’un homme q
ridicule, était évidemment dirigé par un intérêt personnel, c’est de
répondre
à un homme dont le goût, non moins pur que son âm
u’il déplorait, mais qu’il ne pouvait ni maîtriser ni combattre. Non,
répond
Alceste aux représentations de Philinte, comme Mo
rtuffe, ne disent rien de celle de Scaramouche ? — La raison de cela,
répondit
le prince, c’est que la comédie de Scaramouche jo
ille, le second des placets qui précèdent Le Tartuffe. Le prince leur
répondit
qu’à son retour « il ferait de nouveau examiner l
s les griefs que la cabale pouvait avoir déjà contre lui. « Pourquoi,
répondit
-il à ceux qui lui faisaient un reproche d’avoir p
tion, il n’est pas une seule idée, il n’est pas un seul détail qui ne
réponde
à la sagesse, à la perfection de l’ensemble. Moli
l, qui faisait Toinette. Cette actrice peu endurante, après lui avoir
répondu
assez brusquement, ajouta : « Vous nous tourmente
ants reproches, et, quand un père irrité lui donne sa malédiction, de
répondre
d’un air goguenard qu’“il n’a que faire de ses do
tel ne l’a fait en cette occasion, nous laisserons ce littérateur lui
répondre
. « Supposons que, dans un sermon, l’orateur dit
ent qui s’était fait dans le cœur de la Molière en sa faveur, qu’il y
répondit
aussitôt. Il fut le premier qui rompit le silence
du monde si l’on disposait les choses de la même manière. La Molière
répondit
que les louanges que l’on donnait à un homme comm
ravement : Quem habuit successorem Belus, rex Assyriorum ? — Ninum ,
répondit
le petit prodige. Cette réponse choqua beaucoup s
nez, Chez le sot campagnard gagne de bons dîners. Despréaux à ce jeu
répond
par sa grimace, Et fait, en bateleur, cent tours
Ce libelle parut en 1666, et Molière prit encore le parti de ne pas
répondre
à un homme dont il avait dédaigné la folie, dont
eprésentation, à laquelle cette dame avait assisté, il se borna à lui
répondre
, lorsqu’elle lui dit : « Souffrirez-vous que cet
étier de comédien vous épuise ; que n’y renoncez-vous ? — Hélas ! lui
répondit
Molière en soupirant, c’est le point d’honneur. —
t en vain de ne pas jouer : « Comment voulez-vous que je fasse ? leur
répondit
-il ; il y a cinquante pauvres ouvriers qui n’ont
lui demandant un jour l’âge qu’elle avait : « Quinze ans et demi, lui
répondit
-elle tout bas ; mais, ajouta-t-elle en souriant,
ns plusieurs chapitres de son Bonnet de nuit : entreprenons encore de
répondre
à quelques autres de ses détracteurs. L’envie et
crivain de son siècle. « Sire, c’est Molière. — Je ne le croyais pas,
répondit
le roi ; mais vous vous y connaissez mieux que mo
qui sont charmées, enchantées des scenes amoureuses ? Les femmes, me
répondra-t
-on. Oui, ces beautés superficielles qui, n’allant
élie, lui montrant Sganarelle. Tourne, tourne les yeux, sans me faire
répondre
. Lélie. Ah ! je vois..... Célie. Ah ! je vois...
suis enchanté ! Ce moment, comme moi, l’avez-vous souhaité ? Vous ne
répondez
rien ! & votre cœur soupire ! Lucile. A peine
e Marquis va l’agacer par quelque petite gentillesse, à laquelle elle
répondra
de reste. Le Marquis. Oui, charmante Lucile ! il
e Dufresny demande dans quel temps on lui donnera de l’argent, on lui
répond
qu’il est un maraud bien curieux. Je veux croire
r pour une certaine fille qu’on nomme la Comtesse de Frétille. Acaste
répond
que cela est vrai : le Procureur va chercher les
lui-ci lui dit qu’il n’a pas ordre de lui en donner. Le Procureur lui
répond
: . . . . . . Serviteur. Sans argent, il n’est p
h ! vous croyez en vain éviter mon courroux, Un couvent dès demain me
répondra
de vous. Extrait du Dédit de Dufresny. Valere
de la vertu, & quelque idée de la foiblesse humaine. « Hélas ! me
répondit
-il en soupirant, vous avez eu la même idée que mo
n devoir. Ah ! d’Orval, lui dis-je, si j’osois... Je vous entends, me
répondit
-il. . . . . . « Nous nous séparâmes d’Orval &
e Rosalie. D’Orval, poursuivi par l’amour, la honte & le remords,
répond
au billet. Charles annonce qu’on assassine Clair
ue ma sœur, instruite des circonstances de votre naissance... D’Orval
répond
que si Constance étoit capable d’un pareil préjug
omas Diafoirus, lorsque Cléante parle de son rival & qu’Angélique
répond
, Ah ! je le hais plus que la mort ; Et sa présen
pour voir jusqu’à quel point le Médecin lui ressemble : elle sort en
répondant
qu’elle a autre chose à faire. Scene XIII. Argan
eux qu’un cabri, Je le sais. Mais chez vous que peut-il aller faire ?
Répondez
, s’il vous plaît. Fernand. Répondez, s’il vous p
z vous que peut-il aller faire ? Répondez, s’il vous plaît. Fernand.
Répondez
, s’il vous plaît.Pardonner à son frere. Il étoit
in. Tu vois bien. Philipin. Tu vois bien.Pour le moins que son frere
réponde
; Il le doit. Fernand, à Crispin. Il le doit.Vot
n qui les trouve jolies, mais il a besoin d’un prologue. L’Auteur lui
répond
qu’il pourra peut-être trouver ce qu’il cherche e
r la fortune, ou tout au moins de se donner du bon temps. » Et Racan
répondait
à son ami : — « Je continue à écrire, incapable d
étonner, que le parti religieux en France, eût laissé passer, sans y
répondre
, un pareil argument. Mais voici que cette Préface
e M. le dauphin, un évêque de France, pouvait-il se commettre jusqu’à
répondre
à un comédien, à un excommunié, ce comédien s’app
ent théatin. Mais ce n’était pas là le compte de Bossuet ; il voulait
répondre
à Molière, il cherchait une occasion, un prétexte
dit que quelques Pères de l’Église approuvaient la comédie ; Bossuet
répond
au P. Caffaro que saint Thomas lui-même, dans son
t qu’avec lui on s’estime heureux lorsqu’il espère de la posséder ! »
Répondez
donc, si vous avez quelque chose à répondre, mon
espère de la posséder ! » Répondez donc, si vous avez quelque chose à
répondre
, mon digne théatin ! Mais laissons en paix l’honn
e disait Molière, tout à l’heure, des divertissements permis, Bossuet
répond
au Père théatin que le théâtre n’est bon « qu’à s
ue Bossuet, et la dispute, finit faute de combattant qui fût digne de
répondre
à ce rude docteur. À Dieu ne plaise que Bossuet a
inquante-deux ans, seigneur Sganarelle, songez-y ! Mais Sganarelle de
répondre
: — Est-ce qu’on songe à cela ? Et puis, j’ai l’œ
j’ai l’œil vif, la poitrine forte, le jarret nerveux… À quoi Géronimo
répond
, de son côté, « que le mariage est en soi une fol
ait, comme son amant, M. Lycaste. Tout à l’heure, elle n’a pas daigné
répondre
un seul mot aux compliments de son grotesque fian
ne un soufflet au valet d’Adraste, en disant : Qui va là ! À quoi Ali
répond
par un soufflet avec ce mot : Ami ! Je donnerais,
la nécessité de repousser brutalement la main qui vous est tendue, de
répondre
à une politesse par un outrage. Philinte sait trè
vivement rendue. On eût offert cette scène à Molière, que Molière eût
répondu
: J’accepte ! « Au reste, s’était écrié Jean-Jacq
fût à la maison. — La maison brûle ! lui criait-on. — Que m’importe !
répondait
-il, je n’en suis que le locataire. À la fin, le f
rasse. Philinte sera jeté en prison s’il ne donne caution ; — Alceste
répond
pour Philinte, en présence d’un agent et cet agen
, de son temps, qu’Alceste c’était M. de Montausier, M. de Montausier
répondait
que, s’il était vrai, Molière lui avait fait trop
e sur le fait, pressée de s’excuser, et relevant fièrement la tête en
répondant
: — Il ne me plaît pas, moi ! s’il y en a un seu
é tous ses crimes, si elle eût voulu l’aimer un peu, tout seul ; elle
répondit
comme Célimène : — Il ne me plaît pas, moi ! Et
i accusent les autres d’en trop avoir. — Courez donc après l’esprit !
répondait
Marivaux à ses critiques, je parie pour l’esprit
l’esprit, on lui reprochait encore de n’être pas naturel ; à quoi il
répondait
, avec beaucoup de finesse et de raison : « croyez
Istæc vero vilis est ! Trente mines ! C’est hors de prix !
répond
l’esclave. — C’est pour rien ! réplique l’amoureu
qui la remplacerait après la première enfance. Ces personnes auront à
répondre
à la France entière du dépôt qui leur sera confié
leur sera confié ; et le monarque est en quelque sorte chargé de lui
répondre
de leur convenance. Sur qui jettera-t-il les yeux
n saisit, & prend le parti de sa copie : il menace Scapin qui lui
répond
par un soufflet. Arlequin, étourdi du coup, ne sa
oir. Arlequin demande à Argentine si elle aime la peinture ; elle lui
répond
qu’oui : Arlequin lui fait voir son portrait ; Ar
e l’on a dites contre mon Livre, pour en former sa Critique. J’y vais
répondre
pour ôter au Public la prévention que des termes
e, du moins il me paraît tel : Il m’a attaqué en détail ; je vais lui
répondre
de même. Ma probité n’est pas assez bien établie
jours qu’il doit être applaudi, et les rôles qui lui conviennent. Je
réponds
donc avec assurance à mon Censeur qu’il n’entend
Mais, diront quelques Lecteurs indifférents, voilà bien sérieusement
répondu
à une faible Critique ! On est aisément piqué, qu
de ses expressions, que je doute que ses sentiments et sa conduite y
répondent
: mais il est peu d’accord avec lui-même : car ta
d’autre satisfaction à lui donner sur cet article que de ne lui point
répondre
, c’est une question décidée dans le public depuis
t voir que le plus ridicule de tous étoit d’aimer une personne qui ne
répond
pas à la tendresse qu’on a pour elle. Pour moi, l
rrompit pour lui demander s’il n’avoit jamais été amoureux : ouï, lui
répondit
Chapelle, je l’ai été comme un homme de bon sens
uver si incertain. Je vois bien que vous n’avez encore rien aimé, lui
répondit
Moliere, & vous avez pris la figure de l’amou
nous l’ascendant que le temperament lui donne d’ordinaire. Pour vous
répondre
donc sur la connoissance parfaite que vous dites
notre Hôtel seroit peu frequenté, & je vous répons ce que Cinthio
répondit
autrefois à saint Evremont, que l’on verroit mour
qu’il avoit apparemment envoyé à la découverte d’Eschinus. Storax ne
répond
pas. Micio conclut de là qu’Eschinus n’est pas re
résulteront du mariage proposé, comme il fait dans cette tirade, qui
répond
au vers de Célie : Que marmotez-vous là, petite
es yeux, & demander tant de fois, quelle heure est-il ? Ont-elles
répondu
que oui & non à tout ce que nous avons pu leu
l air la nature l’a dessiné, & si l’ajustement qui l’accompagne y
répond
comme il faut. Mais, pour son esprit, je vous ave
ans l’Andrienne, on se demande, que veut cet homme ? Et les plaisants
répondent
, il vient pour faire le dénouement. En revanche,
trop honnête & trop rempli d’égards pour mes Lecteurs, pour leur
répondre
sur ce ton ; mais ils me permettront de leur dire
oureux du galant, croit qu’ils s’adressent réellement à elle, & y
répond
avec la plus grande bonté. Don Juan, encouragé p
e l’hôtel de Rambouillet que la première visite de Montausier. Ce nom
répond
de la considération des maîtres qui l’habitaient,
parlaient de lui dans les assemblées qui se tenaient chez elle : elle
répondit
qu’ils étaient si follement persuadés de la consi
scene dialoguée, dans laquelle les personnages doivent être occupés à
répondre
prestement aux questions qu’ils se font mutuellem
sa lanterne une narration de dix ou douze pages, sans qu’elle daigne
répondre
un seul mot : aussi la scene est-elle très ennuye
dame, ce m’est trop d’honneur, Et mon destin doit faire envie. Bien
répondu
! Comment se porte Amphitrion ? Madame, en homm
us avez un médecin, dit le roi à Molière ; que vous fait-il ? — Sire,
répondit
Molière, Nous causons ensemble, il m’ordonne des
emanda à Baron combien il croyait qu’il fallait lui donner ? Celui-ci
répondit
au hasard : Quatre pistoles. — Donnez-lui quatre
se justifier devant le roi de plusieurs calomnies, et en partie pour
répondre
à la pièce de Boursault. C’est une satire cruelle
t à ce pauvre, à quoi il passait sa vie dans la forêt. À prier DIEU,
répondait
le pauvre, pour les honnêtes gens qui me donnent
, Mercure dit à Sosie : Tu viens avec des fourberies cousues. Sosie
répond
: Je viens avec des habits cousus. Tu as menti,
ouvrages frivoles qui ne méritaient pas d’examen ; mais Molière leur
répondait
qu’il était comédien aussi bien qu’auteur, qu’il
no de Bergerac. On prétend que quand on lui reprochait ce plagiat, il
répondait
: Ces deux scènes sont assez bonnes ; cela m’app
nveloppe, Je ne reconnais plus l’auteur du Misanthrope. On pourrait
répondre
à ce grand critique que Molière n’a point allié T
ion. Or, quand on lui demandait quelle note produisait une cloche, il
répondait
toujours : « Elle ne fait pas une note, elle en f
in n’est pas de tradition ? Ce n’est pas l’air de Molière ! — Non, me
répondit
-il ; il est probable que Molière, qui était pauvr
des femmes, cet homme est distingué de toutes façons et mérite qu’on
réponde
à sa passion. L’insensibilité de la femme n’est a
après son petit accident : Mais tournez-vous, de grâce, et l’on vous
répondra
. Le 20 avril 1868. « Le Misanthrope » I.
Y a-t-il un raisonnement plus exact, plus sincère, plus serré ? Que
répondre
à cette argumentation si pressante ? Aussi Célimè
Que répondre à cette argumentation si pressante ? Aussi Célimène n’y
répond
-elle point. Alceste est trop philosophe pour ne p
aître fidèle Et je m’efforcerai, moi, de vous croire telle. Célimène
répond
comme toutes les femmes feraient en pareille circ
soyez parfaitement heureuse avec un autre. » Et la douce Éliante lui
répond
: — Tout ce que vous dites est fort juste. J’avou
r et le plus enviable des mariages, dans nos préjugés actuels. Ce que
répond
Éliante, c’est ce que pensent toutes les mères de
Pèdre, demander l’appui de la justice contre cette action. — Je veux,
répond
le sénateur, que vous voyiez cela ; on va la répé
quintessenciées tout à la fois que lui débite Mounet-Sully, mais elle
répond
avec la timidité d’une jeune fille qui sort du co
us basez cette foi parfaite en son honnêteté. Je vous mets au défi de
répondre
tout de suite. Vous vous écrierez comme Orgon :
e commissaire à maître Jacques. — Je le crois sur ce que je le crois,
répond
maître Jacques. C’est l’explication de tous les e
tout son ridicule. Il demande des nouvelles de la maison ; Dorine lui
répond
que sa femme est malade ; et lui de s’écrier : «
ais, voyons, sur quoi vous êtes-vous ainsi coiffé de lui ? Et lui, il
répond
aussi, comme tous ceux qui sont dans son cas : —
un méchant, un coupable…etc. Vous connaissez la scène. La tirade ne
répond
à aucun des faits allégués, elle ne les dément pa
lle est habituée à entendre tout ce qui se dit à mots couverts et à y
répondre
sans hausser le ton d’une voix paisible et moqueu
redise l’affaire à mon époux ? À cette phrase, un héros de Dumas fils
répond
en semblable occasion : « Est-ce qu’une femme d’e
tuffe est rusé, et qu’il sera peut-être malaisé à surprendre : — Non,
répond
-elle. Non, on est aisément dupé par ce qu’on aim
xtasie sur sa dentelle, qui est, dit-il, merveilleuse. — Il est vrai,
répond
-elle. Mais parlons un peu de notre affaire. Ell
un autre, auraient langui plus de trois mois ! » Et comme Éraste lui
répond
, d’un ton d’ironie cachée, qu’il fait bon avoir d
de toutes parts ; deux ou trois voix crient bis, et toute la salle y
répond
par des bis répétés. Les acteurs ne recommençaien
s’écrie le frère. — Moi, point ; à Dieu ne plaise. — Et qu’avez-vous
répondu
? — Rien… C’est ce rien, que Barré dit d’un air à
onner de mon impression, que cette impression même, Delaunay pourrait
répondre
, et fort justement, qu’il a, lui-même, un goût tr
l n’y a rien à répliquer. Huit rappels et des rappels de Serbes, cela
répond
à tout. Voilà qui est entendu Ce n’est pas pourta
lui donner un médecin. — C’est pour moi que je lui donne ce médecin,
répond
inconsciemment le malade. Tous les jeunes gens de
ne songe qu’à complaire à Monsieur en toutes choses. Mlle Dinah Félix
répond
cela d’un ton doucereux et qui sonne faux ; elle
nus, avais-je l’air charmant ? Le port noble et divin ? le chevalier
répond
: Le plus divin du
ir entre triste et gai. Le deuil vous sied-il bien ? Et le chevalier
répond
: Si c’est comme héritier, ma foi, je n’en sais
intention de faire, s’il prendra charge à la cour ou à l’armée. Et il
répond
avec bonhomie : Mon âme dans ce choix est indéte
revenez, Je vous fais de la porte un masque sur le nez. Et Ménechme
répond
: Quand j’irai, je consens, pour punir ma folie,
avec moi l’admirateur le plus fervent de notre vieille littérature, a
répondu
par avance dans un des feuilletons les plus étinc
s, N’a pas dû vous laisser, je crois, beaucoup d’enfants. Et Crispin
répond
: Rien que neuf ; mais, le cœur tout gonflé d’am
aillard est gourmet ; il boira du meilleur. — Qu’il ne l’épargne pas,
répond
M. Orgon. Et le rideau tombe. C’est là le texte :
n flagrant délit de vol de confitures. Son frère l’agace, et elle lui
répond
d’un joli petit air dépité qui est d’une gaîté dé
ue-là ! Bonne opinion, juste ciel, bonne opinion ! Que faut-il que je
réponde
à cela ? Qu’est-ce que cela veut dire ? À qui par
émêler si c’est là le personnage qu’elle nous a rendu. Elle pourra me
répondre
ce que disait jadis Théophile Gautier et précisém
t. À l’exclamation de Lisette : Votre naïveté me fait rire, Angélique
répond
: Mais est-ce que je n’ai pas raison ? serait-ce
viens demander mon congé, dit-elle en terminant. — Je vous le donne,
répond
Araminte. Ce je vous le donne est célèbre. Mme P
hais. Quelle langue prétentieuse et souvent entortillée ! — Fi donc !
répond
Suzanne à Figaro qui lui a promis de dire sa véri
e trouvent-ils en antithèse dans le dialogue de Beaumarchais : — Oui,
répond
Brid’oison, on ferait bien mieux de nous les donn
matiques. — Oui, l’on ferait bien mieux de nous les donner pour rien,
répondait
Brid’oison, et ce même public battait encore des
taillé à facettes, parce qu’il est à effet, mais surtout parce qu’il
répondait
à un autre ordre de préoccupations, depuis longte
stiques mettent plus de temps à s’habiller que les maîtres. Et Figaro
répond
: — C’est qu’ils n’ont pas de valets pour les y a
de la vérité. Il est absurde ; oncques valet (s’appelât-il Figaro) ne
répondit
de la sorte à son maître. Sur cette phrase impert
ibunal, le magistrat s’oublie et ne voit plus que la loi ! — La loi !
répond
Figaro, indulgente aux grands, dure aux petits.
de celles que nous attendions n’est pourtant arrivée ! Et Figaro lui
répond
: — Le hasard a mieux fait que nous tous, ma peti
interrogé dans le temps Samson et M. Régnier : l’un et l’autre m’ont
répondu
: Je ne sais pas ! L’habitude du respect et de l’
qui s’impose. Lesage plaide fort bien sa cause dans l’épilogue, où il
répond
aux critiques qui lui étaient déjà adressées de s
ui demanda la baronne, est-elle sortie de chez ses maîtres ? — C’est,
répond
Frontin, qu’elle servait des personnes qui mènent
Voltaire, qui témoignait de plus de complaisance : « M. de Voltaire,
répondit
-il, travaille en marqueterie ; moi je jette en br
e avec une menace de compassion cavalière et hautaine. — C’est vrai,
répondait
gaiement Piron ; mais je m’en… moque, c’est comme
ncore des acclamations que souleva Delaunay, il y a trente ans, quand
répondant
à son oncle qui l’accablait sous ce vers magnifiq
personnes qui ont pratiqué le théâtre avant moi ; elles m’ont toutes
répondu
que l’impression faite par la pièce de Sedaine av
; Louis l’engagea à y prendre part : « Je ne ferai qu’une collation,
répondit
le prélat, parce que c’est aujourd’hui vigile et
n public ; il invoquait cette faveur comme le seul moyen qu’il eût de
répondre
à ses ennemis ; car il est à remarquer que sa com
ffe, ne disent rien de celle de Scaramouche 4. » « La raison de cela,
répondit
le prince, c’est que la comédie de Scaramouche jo
r la haine des faux dévots et la jalousie des mauvais auteurs ; il ne
répondit
à tous les libelles que par de nouveaux ouvrages,
ème acte qu’Orgon prétend que Tartuffe est gentilhomme, et que Dorine
répond
: Oui, c’est lui qui le dit. D’après la Lettre su
me demandez-vous ? Je vous regarde comme un saint. — Ma chère enfant,
répond
l’hypocrite, ne soyez point surprise ; ceci n’emp
foi Et vous donner sa fille. Est-il vrai, dites-moi ? il se hâte de
répondre
: Il m’en a dit deux mots ; mais, madame, à vrai
n est fait, je renonce à tous les gens de bien ! le sage Cléante lui
répond
: Quoi ! parce qu’un fripon vous dupe avec auda
Mais au vrai zèle aussi n’allez point faire injure. Ces seuls vers
répondent
à tous les reproches de Bourdaloue, qui d’ailleur
les des chrétiens ! Comment des milliers de voix ne lui ont-elles pas
répondu
que les pièces les plus obscènes furent composées
combien de grains de sel on doit mettre dans un œuf, & le médecin
répondre
gravement six, huit, dix, par les nombres pairs ;
ent peut-on connoître qu’un acte est fini ? & j’ai encore entendu
répondre
fort savamment, d’après le célebre Donnat, que c’
as-tu commandé le soupé ? fera-t-on grand’chere ? Frontin. Je vous en
réponds
, Madame : demandez à Lisette de quelle maniere je
our prouver le sentiment opposé à celui que j’expose ; d’ailleurs, je
répondrai
à l’objection, que Plaute & Térence ont pu se
ser la Réconciliation Normande, comédie en cinq actes de Dufresny. Je
répondrai
qu’une sœur & un frere qui se détestent, peuv
ait est plus sûr d’être haï long-temps. Tu me fais appétit de haïr,
répond
la Marquise. Elle & son frere ont un procès p
génie, et de ses ouvrages sur les mœurs. Ce Discours, si l’exécution
répond
à mon dessein, doit réunir, comme en un foyer, to
ccusé d’avoir fait du théâtre une école de mauvaises mœurs. La raison
répond
sans peine à ce reproche d’une philosophie chagri
des Maris, est convaincu que les grilles et les verrous peuvent seuls
répondre
de la Vertu des filles, et celle qu’il renferme s
sée, celle de la marier sans dot ; et sans dot est tout ce qu’il peut
répondre
à chacune des objections de Valère. Des esprits b
ommes rassemblés à dessein, mais sans choix, doit être d’un effet qui
réponde
au nombre des auditeurs, à la diversité de leurs
fussent absolument obligés de le faire. Ils peuvent avoir dédaigné de
répondre
à une imputation méprisée qu’ils avaient toujours
qui avaient honoré la France pendant son règne : Sire c’est Molière,
répondit
-il sans hésiter. Je ne le croyais pas, répliqua l
ouvent dans l’original, nous frappe à coup sûr dans la copie. Il nous
répondit
que c’est parce que nous le voyons alors par les
vais état. Que croyez-vous que je doive lui donner ? Quatre pistoles,
répondit
en hésitant Baron. Je vais lui donner quatre pist
es, avec joie leur bonheur, avec compassion leur misère. Ses manières
répondaient
à la noblesse de son âme et à la supériorité de s
i-là ? » et Michot crut l’avoir atterré du coup. « Oh ! pour Molière,
répondit
froidement l’Anglais, c’est autre chose. Molière
gion ; et, comme on lui objectait la piété exemplaire de Gassendi, il
répondait
: « C’est qu’il dissimule,metu atomorum ignis(dan
’il avait vus, celui qu’il aimerait le mieux habiter.La Suisse, Sire,
répondit
-il. Le roi lui tourna le dos. SesVoyagessont touj
ce sonnet à Colbert, qui demanda si le roi y était offensé. Non, lui
répondit
-on.Je ne le suis donc pas, reprit-il. Hesnault pa
un ignorant, et qui ne savez pas même lire. Je ne sais que trop lire,
répondit
Puimorin,depuis que vous faites imprimer.Il fut s
sait à Ninon :Il ne lui manque rien, qu’un peu de mémoire. Tant mieux
répondit
Ninon, elle ne citera pas. 56. Boileau disait :
qu’il fut écrit presque sous la dictée de Baron. Rousseau leur avait
répondu
d’avance. Engageant Brossette, qui songeait aussi
mentez tous, et vous ne dites mot à mon mari. J’en serais bien fâché,
répondit
Molière ;je lui gâterais son jeu : la nature lui
demandait de quoi il s’avisait aussi de faire des sermons. Pourquoi,
répondit
-il, sera-t-il permis au père Maimbourg de faire d
nte-quatre. Ainsi, trente mille francs de revenu du temps de Molière,
répondaient
à plus de cinquante-quatre mille francs d’aujourd
’à quelle profondeur la terre était sainte. Jusqu’à quatre pieds, lui
répondit
-on. Eh bien ! qu’on l’enterre à cinq.L’anecdote e
femme qui était celui qu’on portait en terre. Hé ! c’est ce Molière,
répondit
-elle. Une autre femme, qui était à sa fenêtre et
l soit digne des bontés de sa mere. Marton gronde Mariane ; celle ci
répond
qu’elle veut guérir Moncade de sa jalousie. La C
rojetté. Dave feint de ne pas comprendre ce qu’il veut dire. Hé bien,
répond
Simon, je veux me rendre plus intelligible. Simo
la premiere, Dave demande à Mysis des nouvelles de l’Andrienne ; elle
répond
que sa maîtresse appréhende de voir casser son ma
outenir, comme les autres, que Glycerion est citoyenne : Pamphile lui
répond
qu’on l’assure. Criton vient certifier la chose,
’on m’a voulu faire. Je tâcherai d’imiter encore Térence, & je ne
répondrai
à mes envieux que ce qu’il répondit au calomniate
iter encore Térence, & je ne répondrai à mes envieux que ce qu’il
répondit
au calomniateur qui l’accusoit de ne prêter que s
dit à Molière : Voilà donc votre médecin ? Que vous fait-il ? Sire,
répondit
Molière, nous raisonnons ensemble ; il m’ordonne
ussi longtemps qu’on verra l’homme consulter son propre intérêt, pour
répondre
à ceux qui le consultent sur le leur, on se rappe
la pièce était tombée, et que rien n’était plus froid. Retournez-y,
répondit
Racine, et examinez-la mieux. Il est impossible q
trouver entre Alceste et lui : Ne voyez-vous pas, mon cher duc, lui
répondit
-il, que le ridicule du poète de qualité vous dési
plus grossièrement que lui. Il est probable que si les atellanes, qui
répondaient
à nos farces, étaient parvenues jusqu’à nous, nou
iglio {bis) (4 fois) Car avocato mio Consiglio {bis). L’avocat lui
répond
en chantant fort lentement, et traînant ses parol
aînant ses paroles : La polygamie est un cas pendable. Pourceaugnac
répond
: Già so che chi due volte è maritato Dev’ esser
ssus). Due donne, etc. L’avocat, parlant fort vite et bredouillant,
répond
; Votre fait est clair et net, Et tout le droit
est un cas, Est un cas pendable (bis). Pourceaugnac, au désespoir,
répond
à l’avocat bredouilleux : Tinque! (9 fois) tin!
esto, Pigliate (ter) lo presto Pigliate (bis) lo presto Pourceaugnac
répond
qu’il ne veut pas le prendre et chante : Non lo
avoir baisé la main, et qu’il souhaiterait aussi de l’embrasser. Elle
répond
que la chose sera facile, qu’elle fera semblant d
entrée : Magiciens et Démons. « Sganarelle interroge les Démons, ils
répondent
par lignes, et sortent en lui faisant les cornes.
i donner pour la troisième fois des coups de bâton, et que celui-ci a
répondu
, j’épouserai, j’épouserai, le père arrive qui, ap
, revenu de l’étonnement où l’a jeté le discours de la princesse, lui
répond
: [*] Qu’il admire la conformité de leurs sentime
cette cousine ; le prince, s’apercevant que la princesse les écoute,
répond
au père, qu’il n’est pas venu à la Cour dans le d
édain par le dédain ; alors le prince, lui demandant qui il est, elle
répond
: toi seul, et lui donne en même temps la main. L
cuter de sa propre main l’arrêt qu’elle prononcera ; la princesse lui
répond
: Non, non, prince, ce sont les termes de Molière
le prince et obligé de lui parler d’amour, et elle est engagée à lui
répondre
: ce qui produit une situation fort théâtrale. Ce
» La brochure de Rochemont ne resta pas sans réplique. Un anonyme y
répondit
sous le titre suivant : Réponse aux Observations
r que le sieur de Rochemont est un nom supposé, puisque celui qui lui
répond
en parle ainsi : Mais lorsque je vois le livre de
ette Réponse est une apologie de Molière. » Un second auteur anonyme
répondit
encore au prétendu Rochemont. Cette réponse est i
mte de Grammont, n’avez-vous rien oublié à Londres ? — Pardonnez-moi,
répondit
le comte, qui devinait leur intention, j’ai oubli
e et conscience, ayant étudié le personnage, je ne trouvais pas qu’il
répondit
à l’idée que l’on se doit faire d’un homme de bie
ult et Racine et qui inquiétait la conscience de Corneille. Molière y
répond
comme aux autres, en passant gaillardement à côté
t en présence de la reine qu’il débitait celle morale ! Le prince lui
répond
par un discours où il décrit longuement l’histoir
ssait bien mériter autant de courroux. A quoi un grand prince (Condé)
répondit
: « La raison de cela, c’est que la comédie de Sc
e réponse directe à quelques assertions de l’illustre comédien : « On
répond
que le théâtre purifie l’amour ; la scène, toujou
ns un instant de franchise, objecté l’intérêt de la morale, il aurait
répondu
: « Que la scène soit vive, que le roi s’amuse, q
me, et cette odeur du sang qui caresse tant de voluptés terribles, ne
répondrait
pas assez aux vœux de la secrète dépravation dont
tout cela s’est terminé à une vaine et misérable fortune qui n’a pas
répondu
à votre attente, et qui s’est trouvée bien au-des
n’étaient malheureux que parce qu’ils étaient insatiables. Et moi, je
réponds
: Mais pourquoi, malgré les faveurs dont le monde
re, vous serez content de moi ; Mmede Montespan est à Clagny. — Sire,
répondit
le prédicateur, Dieu serait bien plus content, si
ns laquelle Orgon, apprenant que Tartuffe a voulu corrompre sa femme,
répond
à cette dénonciation, confirmée par Elmire, en fa
age plus terrible, reprochez à la vipère d’avoir la dent creuse, elle
répondra
avec orgueil : « Par ce creux, mon venin passe !
stacle à mon bien. A Polyeucte comme à Orgon, Cléante aurait sujet de
répondre
: Les sentiments humains, mon frère, que voilà !
ours on est sûr du secret. Le soin que nous prenons de notre renommée
Répond
de toute chose à la personne aimée ; Et c’est en
tra plus hardie. Veut-on savoir ce que les apologistes de Molière ont
répondu
à Bourdaloue ? Ils ont dit que Bourdaloue n’avait
— Que sais-je, dit-il, ce qui se passe dons l’âme, et si l’intérieur
répond
à ces beaux dehors qui frappent les yeux ? Et moi
ndale de votre faiblesse ; et si vous y succombiez, que pourriez-vous
répondre
à Jésus-Christ, je ne dis pas dans le jugement ex
lui propose des pensées plus dignes d’un homme et d’un chrétien ? On
répondra
que ce sont là les conseils de la chaire et non c
mais choquer le monde, croient avoir le secret de contenter Dieu. Que
répondront
-ils à Jésus-Christ, quand il leur dira que l’un e
r tous les tons que c’est ainsi qu’il en faut user : « En user ainsi,
répond
Bourdaloue, c’est donner aux ennemis de Dieu, à l
ontiers de ce qu’ils ignorent. — Eh bien ? lui dis-je. — Eh bien, me
répondit
-il avec son ingénuité de savant et de brave homme
vient embrasser avec joie, Il faut bien le payer de la même monnoie,
Répondre
comme on peut à ses empressements, Et rendre offr
seils, suivant que nous voulons mériter une plus grande récompense et
répondre
plus généreusement à l’amour de Dieu pour nous. L
amoureux ; La cour sera toujours du parti de vos vœux. Mais Titus ne
répond
pas comme le prince de Molière :Tu chatouilles mo
stacle à mon bien. A Polyeucte comme à Orgon, Cléante aurait sujet de
répondre
: Les sentiments humains, mon frère, que voilà !
ours on est sûr du secret. Le soin que nous prenons de notre renommée
Répond
de toute chose à la personne aimée ; Et c’est en
e doit-il être compté parmi ces moralistes? A cette question, on peut
répondre
en cherchant dans ses œuvres s’il existe des maxi
he qu’il fait fausse route, celui-ci, imitant un passage de Rabelais,
répond
à Chrysalde à peu près ce que Pantagruel répond à
passage de Rabelais, répond à Chrysalde à peu près ce que Pantagruel
répond
à Panurge : « Pressez-moi de me joindre à femme
ens à prendre pour faire cesser la mélancolie de sa fille, Sganarelle
répond
: « Tous ces conseils sont admirables assurément
s qui lui étaient adressées par l’aumônier de la prison, il se prit à
répondre
ironiquement : « Mais couvrez-vous donc, Monsie
Aussi ce fanatique aveuglé reste-t-il intraitable, et, n’ayant rien à
répondre
, il s’en tire par des moyens détournés, et finale
point sur ma langue un assez grand empire ; de ce que je dirais je ne
répondrais
pas, et je me jetterais cent choses sur les bras.
scussion par un faux-fuyant qui prouve que, bien qu’elle n’ait rien à
répondre
, elle reste inébranlable dans la manière de voir
lui seul est raisonnable, se défend par des paroles ironiques qui ne
répondent
à rien et qui prouvent la persistance de son aveu
poursuivre le projet insensé de marier sa fille avec Tartuffe, Orgon
répond
en colère par une phrase ironique qui ne dit rien
on que c’est Valère qui lui a dérobé sa cassette. Or, quoique Jacques
réponde
tout de travers au sujet de cette cassette qu’il
et demandant à Léandre ce qu’il lui semblait de cette personne, il me
répondit
froidement qu’il la trouvait jolie. Je fus piqué
vous accoutumer. Imaginez-vous que je suis votre père qui arrive, et
répondez
-moi fermement comme si c’était à lui-même. — Comm
ans le consentement de ton père, de contracter un mariage clandestin?
Réponds
-moi, coquin, voyons un peu tes belles raisons… —
morale est tout autre que celle d’Octave, suppose que celui-ci pourra
répondre
avec audace et effronterie à son père afin de le
avantage qu’elle est dans le vrai ; puis, lorsqu’elle n’a plus rien à
répondre
, elle s’en tire par l’ironie ; et enfin, de dépit
ces pièces excellentes qui mettaient la vertu dans tout son jour , il
répondit
: Cela est vrai, mais je trouve qu’il est très d
t pas moins dignes de blâme que ceux qui les font ; et par ce que lui
répond
son ami, il fait voir que son dessein est de romp
ante ; et ce qu’il lui doit faire connaître l’adresse de l’auteur qui
répond
sitôt à ses désirs. « Cette seconde scène réjouit
t également des protestations d’amitié à tout le monde, et ceux qui y
répondent
avec le même emportement, après l’avoir ouï parle
maîtresse, il voudrait l’obliger à ne les pas voir, et comme elle lui
répond
que l’un d’eux la sert dans un procès, il lui dit
ou tout au plus tard un mois après, on représenta cette pièce. Je lui
répondis
dessus qu’il n’était pas possible qu’une aussi be
èrent de prendre du repos et de ne point jouer. Hé ! que feront, leur
répondit
-il, tant de pauvres ouvriers, je me reprocherais
u désir d’exécuter promptement les ordres du roi, il ne songeait qu’à
répondre
, au moins par son zèle, à la confiance que lui té
. « [*]Il n’y avait personne, quelque attention qu’il eût, qui y pût
répondre
. Une fenêtre ouverte ou fermée un moment devant o
e, Mercure dit à Sosie : Tu viens avec des fourberies cousues ; Sosie
répond
: Je viens avec des habits cousus ; tu as menti,
pas ordinairement deux laquais et un intendant. Un maître de l’art me
répondra
peut-être que cinq domestiques chez Harpagon sont
Lélio, d’une façon équivoque, l’indignité de son action, et Lélio lui
répond
de même sur l’amour de Flaminia : cette scène est
de Molière, ne disent rien de celle de Scaramouche, à quoi le prince
répondit
: La raison de cela, c’est que la comédie de Scar
ouvrages frivoles qui ne méritaient pas d’examen ; mais Molière leur
répondait
qu’il était comédien aussi bien qu’auteur, qu’il
ui fit-il avec indignation, d’en faire un comédien ? Plût à Dieu, lui
répondit
le grand-père, qu’il fût aussi bon comédien que B
ur soutenir et augmenter la réputation qu’il s’était acquise, et pour
répondre
aux bontés que le roi avait pour lui. Il consulta
pouvoir ne doit point compter sur l’obéissance sans affection. L’âne
répond
à son maître poursuivi par des voleurs et qui veu
de vous : Mais Rome prise enfin, seigneur, où courons-nous ? Pyrrhus
répond
, qu’après avoir pris Home, il conquerra le pays l
t voir que le plus ridicule de tous étoit d’aimer une personne qui ne
répond
pas à la tendresse qu’on a pour elle. Pour moi, l
rrompit pour lui demander s’il n’avoit jamais été amoureux : ouï, lui
répondit
Chapelle, je l’ai été comme un homme de bon sens
nous l’ascendant que le temperament lui donne d’ordinaire. Pour vous
répondre
donc sur la connoissance parfaite que vous dites
raille la physique et non plus la logique de l’école, lorsqu’il fait
répondre
au malade imaginaire que l’opium fait dormir parc
tre venu pour lui demander conseil sur une petite affaire, Marphurius
répond
: « Changez, s’il vous plaît, cette façon de parl
e Descartes et Gassendi. O esprit, dit Gassendi à Descartes; ô chair,
répond
Descartes à Gassendi. Ainsi Armande dit à Henriet
u cabaret ; Pantalon lui demande ce qu’il a fait de son bel habit. Il
répond
qu’il l’a envoyé vendre. Pantalon lui présente sa
nace de le tuer s’il persiste à vouloir épouser Rosaura. Arlequin lui
répond
que Pantalon le veut absolument. Silvio lui conse
te maison ? quelle affaire vous y amene si souvent ? Mais pourquoi ne
répondez
-vous point ? êtes-vous devenue muette ? C’est à v
dre bien vîte. Je suis demeuré immobile. Croyez-vous que j’aie pu lui
répondre
le moindre mot, ou que j’aie eu quelque raison à
rieuse que je vous prie de m’accorder. M. Jourdain. Avant que de vous
répondre
, Monsieur, je vous prie de me dire si vous êtes g
plus gouvernés ; Je cede aux mouvements d’une juste colere, Et je ne
réponds
pas de ce que je puis faire. La diction de cette
’éprouver pas la même sensation, leur en demanda la cause : Sire, lui
répondirent
-ils, il faudroit, pour bien sentir toutes les fin
rusquement, pour toute réponse, serviteur. Toute scene dont la fin ne
répond
pas au milieu & au commencement ; disons mieu
u commencement ; disons mieux, toute scene dont une de ces parties ne
répond
pas aux deux autres, ou dont l’intrigue particuli
nt entrer pour rien dans la piece. Continuons, & voyons si la fin
répondra
mieux au commencement, que le milieu. Alceste. A
is il n’a rien fait de ce que j’attendois sur sa parole. Patience, me
répondra-t
-on ; il dit, deux scenes après, quand il est obli
puissiez faire, c’est de mourir le plus tôt que vous pourrez688, » et
répondent
à leur malédiction : « Je n’ai que faire de vos d
ux perdre sa maîtresse que se déshonorer par un titre usurpé. Cléonte
répond
à M. Jourdain, qui, avant de lui accorder sa fill
roc736. Et quand Mlle Molière lui dit : « Toujours des marquis ! » il
répond
devant toute la cour : « Oui, toujours des marqui
nts reproches ; et, quand ce père irrité lui donne sa malédiction, de
répondre
d’un air goguenard qu’il n’a que faire de scs don
elles en viendraient bientôt à bout. Il était trop civil pour ne pas
répondre
à leur prière en galant homme. Rosalie (madame de
irée. Extraordinaire,extraordinaire. Efficace, éficace. Respondre,
répondre
. Accomode, acomode. Grands, grans. Defferat, dé
osant plus de la puissance de la vogue et de la mode, n’avait point à
répondre
de leurs écarts ? Mais ce qui n’admet point de ré
rent de tout leur cœur52. Il faut se persuader que la satire du poète
répondait
au goût et aux opinions de madame de Rambouillet,
ir V. M. jouer tous les jours, et que mon père ne joue plus ; elle me
répondit
que cela était vrai… » À l’occasion du siège de D
ne point écouter, et autorise une distraction quand on ne vent point
répondre
. L’habitude du travail en famille, la réunion de
-vous envie, lui dit-il, d’en faire un comédien ? Plut à Dieu, avait
répondu
le grand-père, qu’il fut aussi bon comédien que B
on. Ses amis le blâmèrent de refuser un emploi si avantageux; il leur
répondit
que chacun avait son rôle en ce monde, que le sie
dames, leur demandait-il dans le rôle de Mascarille. À rien du tout,
répond
Cathos. Leurs minauderies, leur jargon inintellig
endre femme est à vous un coup bien téméraire. À quoi, peut-être, il
répondait
, au moins intérieurement : À des charmes si doux
s amis lui faisaient de la peine avec leurs sages paroles, il ne leur
répondait
guère. D’ailleurs, ils avaient tant d’esprit; c’é
n ne devait pas railler l’une par respect pour l’autre ? Mais on leur
répondait
par les vers de Molière : Eh quoi ! vous ne fere
tait aussi que plus épouvantée et plus violente. Ils n’avaient rien à
répondre
; ils publièrent que l’auteur du Tartuffe était u
e chose il souhaitait le plus : « - De rester avec vous toute la vie,
répond
Baron. - Eh bien ! lui dit Molière, c’est une ch
ait à un valet de figurer avec moi. Vous ne savez ce que vous dites,
répondit
Godemer, Monsieur sait que je suis en possession
e éloigné de sa femme et de ne pouvoir s’en faire aimer. Chapelle lui
répondit
qu’il l’avait cru au-dessus de ces sortes de chos
calme, lui demanda s’il avait jamais été amoureux. « - Je l’ai été,
répondit
Chapelle, comme doit l’être un homme raisonnable
vous, sentiront mieux votre supériorité. - Ah ! Monsieur Despréaux,
répondit
Molière, que me dites-vous là ? Il y a un honneur
de Baron, et lui demanda ce que l’on disait de sa pièce. M. Baron lui
répondit
que ses ouvrages avaient toujours une heureuse ré
-il, vous paraissez plus mal que ’’tantôt’’. » - Cela est vrai, lui
répondit
Molière, j’ai un froid qui me tue. » Baron, après
possible d’exposer avec plus d’esprit les objections ; impossible d’y
répondre
avec plus de bon sens. Mais cette conférence, qui
Périgourdin près de nous demande de qui est la pièce. Son voisin lui
répond
; il est distrait, sans doute, car il répond en r
la pièce. Son voisin lui répond ; il est distrait, sans doute, car il
répond
en rimes : C’est une pièce de Molière ; Cet écriv
Et qu’on vienne à lui dire à son tour : Qu’y met-on ? Il veut qu’elle
réponde
: Une tarte à la crème ! A ce mot qui fait éclat
fait aimer ! Je ne vous en ai pas empêché, que je pense… Qu’a-t-il à
répondre
?… Qu’il a fait ce qu’il a pu : qu’il n’a pas réu
son original. …… Quelqu’un lui demanda : Molière, qu’en dis-tu ? Lui,
répondit
d’abord de son ton agréable : Admirable, morbleu
et que ces deux portraits, qui sont deux croûtes ? — Vous croyez ? me
répondit
-il. Moi, je les trouve ressemblants. Cela lui suf
rsqu’à la fin il la voit insensible à ses sottises, il s’emporte ; il
répond
à la confiance de ce pauvre Horace par une trahis
voir, toujours paisible, résoudre son cœur aux suites de ce mot, elle
répondrait
avec Henriette : Les suites de ce mot, quand je
eance des marquis, pièce en un acte et eu prose, par laquelle il crut
répondre
à L’Impromptu de Versailles, est au-dessous de ri
s habile que de Villiers, Montfleury fils, ne fut pas plus heureux en
répondant
à Molière : L’Impromptu de l’hôtel de Condé est l
épare ses paroles ; Et, lorsque l’on lui dit : Et commandez ici. (Il
répond
:) Connaissez-vous César de lui parler ainsi ? e
t, n’avez-vous rien oublié à Londres ? Pardonnez-moi, messieurs, leur
répondit
-il, j’ai oublié d’épouser votre sœur, et je retou
rge est l’original de Sganarelle. Trouillogan, philosophe pyrrhonien,
répondant
aux questions de Panurge avec cette horreur de l’
vaillent d’après les ordres d’un roi. Cette comédie, d’ailleurs, pour
répondre
à sa destination primitive, devait être arrangée
a est fort douteux. L’art de la comédie y a-t-il perdu ? Les faits ne
répondent
que trop clairement à cette seconde question.
erdu tous les soins qu’il a pris pour lui plaire lui-même ; Agnès lui
répond
: Vraiment, il en sait donc là-dessus plus que
a pas eu de peine. Alors il se dit à part : Voyez comme raisonne et
répond
la vilaine ! Peste ! une précieuse en dirait-elle
d’autres services que d’avoir fait rire le Roi ! — Hé ! têtebleu, lui
répondit
Lulli, vous en feriez autant, si vous le pouviez.
t le royaume, que le maréchal de La Feuillade et Lulli qui eussent pu
répondre
à M. de Louvois de ce ton-là. En effet, le franc-
iste vulgaire, la fausseté palpable de ces arguments dispenserait d’y
répondre
, surtout une troisième fois ; mais on doit à un h
l’intérêt ! Non : le mépris est son seul partage ; et tous les cœurs
répondent
à celui de madame Jourdain, lorsqu’elle lui repro
utôt de ses élèves. Deux siècles après, la France a, pour ainsi dire,
répondu
au signal donné par l’Italie. Le couple charmant
du spectacle de vos propres misères ? À quoi un père de l’Église vous
répond
, à la façon antique : — « On s’accoutume ainsi à
théâtre, demande quel est l’âge de cette belle enfant ? Alors on lui
répond
qu’elle a seize ans à peine, que ce limpide regar
lt contre son poète ; il avait donc ordonné positivement à Molière de
répondre
, et Molière ne se fit guère prier ; il était natu
vous, si vous étiez à ma place ? s’écrie Molière. À quoi sa femme lui
répond
comme une femme frivole et qui n’y voit pas plus
u pied : — Taisez-vous, ma femme, vous êtes une bête ! Et la femme de
répondre
: — Grand merci ! monsieur mon mari ! Voilà ce qu
? disait le petit-fils. — Je le veux bien, mais nous serons grondés,
répondait
le grand-père ! Et le lendemain, le fils du tapis
anarelle. « Eh ! mon Dieu, monsieur, ne soyez point en peine. Je vous
réponds
que je ferai aussi bien mourir une personne qu’au
se demande, en effet, s’il peut aller plus loin ? À cette demande ont
répondu
deux voix souveraines, qui traverseront les âges
i donnerais dix écus, reprit Baron. — Ce n’est pas trop de cent écus,
répondit
Molière, tu les donneras en ton nom, et par-dessu
rts la plus touchante, ô grand Bossuet !), Molière à peine ait daigné
répondre
à ces accusations de libertinage, un mot qui voul
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