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1 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
es personnes dont on avait pu le croire éloigné. Dans cette année, il publia son épître y à Guilleragues, secrétaire du cabine
de La Sablière que s’appliquent ces quatre vers de sa dixième satire, publiée en 1693, dix-neuf ans après l’épître critiquée, p
énie regardait comme une injure ; mais qu’il aura été détourné de les publier par la crainte de se mettre subitement en contrad
nnait d’avoir protégé Pradon contre Racine. Dans cette année 1677, il publia son épître à Racine ; là il marqua fortement le d
ître à Racine, jusqu’en 1693, temps où parut la satire des Femmes, ne publia aucun autre écrit que son discours de réception à
cun 3 000 fr. de pension. Depuis cette année jusqu’en 1677, Racine ne publia aucun ouvrage, non plus que Boileau. En 1677, il
e personne comme admirateur de Pradon. La dixième satire de l’auteur, publiée en 1693 contre les femmes, parle d’une          
me Deshoulières avait quarante-trois ans, et on 1693, quand Boileau a publié sa dixième satire, elle en avait cinquante-neuf.
2 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
ce que s’expliqueront aisément ceux des lecteurs qui savent que j’ai publié une édition des œuvres de Molière avec toutes les
is, deux manières de concevoir une édition des œuvres de Molière : ou publier le texte dans sa nudité magistrale, ou fournir en
oitié du dix-huitième siècle, l’Histoire de l’ancien théâtre italien, publiée par les frères Parfait en 1753, celle de Des Boul
 ; les deux volumes intitulés Masques et bouffons de M. Maurice Sand, publiés en 1862 ; un article de M. Jules Guillemot sur le
3 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
c’est seulement en 1664 et 1665 que Boileau, pour la première fois, a publié des épigrammes contre Chapelain. Or, en cette ann
e partie, des lettres qui lui ont été écrites par des dames. « Il les publie , dît-il dans sa préface, pour faire valoir l’espr
us piquantes, les plus variées, les plus charmantes. Dans les lettres publiées on voit un peu trop peut-être la mère de madame d
sprit, mais j’ai réformé son cœur. »C’était à l’occasion des Maximes, publiées en 1665, qu’ils faisaient l’utile échange de leur
me de La Fayette, auteur de Zaïde, de La Princesse de Clèves, a aussi publié La Comtesse de Tendes, La Princesse de Montpensie
4 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
la Sablière h la composer en commun. M. Frédéric Hillemacher vient de publier , chez Lemerre, la cinquième édition de l’ouvrage
ritable compte d’apothicaire contemporain, compte que le Moliériste a publié  : les Parties de M. Parties de Montredon. Une de
trés n’ont certainement pas perdu le souvenir d’une élude sur Molière publiée dans le numéro du journal le Temps du 19 mars 188
vient de la plaider à nouveau dans la Revue des Deux-Mondes, où il a publié deux articles, l’un sur Madeleine Béjart, l’autre
i, dans un appendice à sa savante édition de la Fameuse Comédienne, a publié des fragments d’un des factums de Guichard et de
re dans ces ténèbres. J’espère y parvenir tant au moyen des documents publiés par M. Livet qu’avec le secours d’autres pièces q
sur une alliée et rencontrait une ennemie. Dans un des mémoires qu’il publia pour sa défense, il fit remarquer d’abord à quel
rai tout à l’heure, et qui a écrit un panégyrique en règle d’Armande, publié à la fois par le Gaulois et le Figaro. Mais j’ai
e mourut au n° 40 de la rue Richelieu, mais c’est l’archéologue qui a publié les titres de quantité d’autres maisons qui n’ont
qualités, si c’est le disciple de Taschereau ou celui de Caumont qui publie , dans le Bulletin et dans les Mémoires de cette’
xcellentes éditions savamment annotées de quelques pièces de Molière, publia , dans le Temps du 2 octobre, un curieux article o
t13, qu’est due cette hypothèse. Il l’a émise dans un curieux travail publié par le Moliériste de juin 1884, sous ce titre : L
nd qui semble y avoir été initié. Il s’appelait Les-Isles-Le-Bas et a publié , en 1674, un an après la mort de l’auteur du, un
des études qui précèdent, M. Ch.-L. Livet a adressé au Temps, qui l’a publiée dans son numéro du 7 novembre 1884, la lettre sui
Deux mots à M. Loiseleur, à propos de Molière. M. Loiseleur vient de publier dans le Temps une nouvelle série de ses savantes
a fait sa nouvelle trouvaille. Ce document, dont un fac-similé a été publié dans le Moliériste de novembre 1885, est ainsi co
e 1656. Dans la bibliographie qui termine le premier volume récemment publié de sa seconde édition des œuvres de Molière, M. L
st seulement dans la troisième édition du Dictionnaire de l’Académie, publiée en 1740, qu’on voit apparaître un accent sur les
esquelles une lettre de Raphaël, la soumit à M. Gabriel Charavay, qui publia son opinion dans l’Amateur d’autographes du 1er j
èse de Gorla, si célèbre depuis sous le nom de Mlle Duparc : il a été publié par M. Brouchoud dans ses Origines du théâtre de
que en entier, puisqu’aussi bien il est toujours de saison, l’article publié par le Temps (n° du 20 juin 1879) où j’ai examiné
tre le seul authentique des autographes de Molière qu’on connaisse, a publié , en 1877, un petit livré intitulé : le Tartuffe p
Joseph, dans cette curieuse correspondance que la Revue historique a publiée  : « Je suis ennuyé de la nature humaine ! J’ai be
cette réimpression (le premier par la tomaison) n’était point encore publié . Il a paru peu après, précédé d’une biographie de
on peut répondre aujourd’hui par un document que M. Georges Monval a publié dans le Moliériste d’avril 1881. C’est une délibé
Misanthrope, au t. V, p. 380 de cette magnifique édition de Molière, publiée par la maison Hachette, et où il se montre le dig
5 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
tagée. Le premier est Le Royaume de Coquetterie, de l’abbé d’Aubignac publié en 1654 ; le second est le roman de l’abbé de Pur
e l’abbé de Pure, intitulé La Précieuse, ou Les Mystères des ruelles, publié en 1656, un vol. in-8° ; le troisième est le Dict
656, un vol. in-8° ; le troisième est le Dictionnaire des Précieuses, publié en 1660 par Somaise, secrétaire de la princesse C
n vol. in-18 ; le quatrième est Le Grand Dictionnaire des Précieuses, publié par le même Somaise en 1661, deux volumes in-12.
auteur d’une Vie de Molière, rédigée sur les témoignages de Baron, et publiée en 1705, l’affirme. Il n’a été alors contredit pa
té en 1648, et fini en 1652. Aussi de Pure dit-il dans ce même roman, publié en 1656, que le mot de précieuse « est un mot du
ens qui ne leur en donnent pas de sujet. »Huet, évêque d’Avranches, a publié , en 1659, les portraits écrits par Mademoiselle,
poque elle avait fait des romans, mais elle sciait bien gardée de les publier sous son nom. En 1641, elle fait paraître, sous l
Scudéry, son frère, Ibrahim ou L’Illustre Passa. En 1650 encore, elle publia , toujours sous le nom de son frère, Artamène ou L
rand Cyrus, en 10 vol. Mais quand sa ruelle fut bien accréditée, elle publia sous son nom le roman de Clélie, en 1656, 1658, 1
de Clélie, héros des deux premiers romans que mademoiselle de Scudéry publia sous son nom après la dispersion de l’hôtel de Ra
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
acine nous apprend que ce même Despréaux fut sa satire sur Le Festin, publiée en 1665, chez le comte de Brancas en présence de
point ; mais les mémoires de Tallemant-des-Réaux, qui viennent d’être publies , la vengent de cet oubli, à la vérité de manière
complétait, corrigeait, soumettait à la critique les Maximes qu’il a publiées en 1665, que madame de Sablé les jugeait, et les
e Corbeau, la Gazelle, la Tortue et le Rat. À madame de La Sablière. ( Publiée en 1678.) 69. Lettre 587.
7 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [90, p. 134] »
vreur. Il a composé Mes rêveries, ou Mémoires sur l’art de la guerre, publié par l’abbé Pérau, en 1757, 2 vol., in-4°, avec un
ol., in-4°, avec une notice biographique. En 1794, le général Grimard publia  : Lettres et Mémoires choisis parmi les papiers o
8 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
élèbre Molière, sur lequel une dissertation curieuse qui vient d’être publiée par M. Beffara, a dirigé particulièrement notre a
mi les rebelles. Le duc de Guise crut devoir faire arrêter Modène, et publia un manifeste à ce sujet, le 17 février 164817. Ma
l’écrivain contemporain de sa vie, de laquelle il y eut deux éditions publiées en 1688 et 1690, conséquemment avant sa mort, cit
Molière en se remariant, et sous lequel sa vie avait été composée et publiée de son vivant ; car elle n’est morte que le 30 no
9
ierry, Fournier, V. Fournel, etc., après les excellentes monographies publiées par MM. Moland, Campardon, Claretie, B. Fillon, L
ire intéressant. Nous venons signaler à notre tour ce même acte et le publier in extenso. Il se trouve dans un registre, proven
aine Malingre et Catherine Bourgeois, dont le fac-similé vient d’être publié par M. G. Desjardins dans le magnifique recueil q
de Molière ; si l’on veut se rappeler aussi que Le Roman comique fut publié peu de temps après une apparition de Molière à Pa
germe, l’œuf pour ainsi dire, dans les Satyres de Jacques Du Lorens, publiées  : à Paris, chez Gervais Alliot, 1633, in-8º ; et
va consacrer à la reproduction du journal volumineux de son père, il publiera  : une lettre d’Alexandre adressée en nivôse an X
liériste les documents relatifs à la troupe du duc d’Épernon que j’ai publiés dans l’Histoire littéraire de la ville d’Albi. Pe
iens en ce qui concerne les maisons déjà connues, en attendant que je publie des faits nouveaux et inédits, à commencer par la
, aux Petits-Augustins, aujourd’hui École des Beaux-Arts. Lenoir en a publié le dessin au t. III, p. 24, nº 557 de sa descript
’importance à l’impression de ses pièces : Les Précieuses avaient été publiées malgré lui, et l’histoire du Cocu imaginaire édit
urs sans la raconter de nouveau. Ouvrons maintenant l’édition de 1682 publiée par Vinot et La Grange, et nous allons comprendre
est alors qu’un topographe fit un travail d’un immense intérêt, qu’il publia il y a environ douze ou quatorze ans dans le Jour
nom de ce topographe Parisien, la date du Journal des baigneurs qui a publié son travail, voilà ce que celui qui écrit ces lig
ique théâtrale pour se livrer à ces études sur Molière, comme il en a publié quelques-unes dans Le Temps. Le Moliériste a ins
a propagation du culte de Molière en Allemagne. Il y a sept ans qu’il publiait un petit volume sous le titre de Molière, supplém
e de Moliériste : « Molière und seine Buehne » (Molière et sa scène), publié par M. le Dr Schweitzer, vénérable vieillard qui
les premiers à imprimer une traduction de Molière. Abraham Peys, qui publia en 1670 une version hollandaise de l’Amphitryon,
ents se sont occupés de Molière. Lisez les Conversations avec Goethe, publiées par Eckermann — qui était à Goethe à peu près ce
rop grande partie du Moliériste en citant tous les livres qui ont été publiés en Allemagne sur Molière. Les traducteurs du poèt
le plus souvent. Henri Zschokke, célèbre nouvelliste suisse, a aussi publié une édition de tout l’œuvre de Molière. Voici d’a
embre 1879, p. 261-264. L’auteur de la comédie d’Élomire hypocondre, publiée en 1670 chez Ch. de Sercy, n’est connu que par ce
aux États de Languedoc. Quoi qu’il en soit, Le Boulanger de Chalussay publia d’abord cet ouvrage en prose et en vers : Morale
10 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
e imprimer lui-même ; elle fit partie de l’ample description que l’on publia en 1665 pour éterniser le souvenir de la fête, in
erre] Voici la première fois qu’en France Le Festin de Pierre est publié tel que l’a composé Molière. On n’a fait que suiv
ges jugés répréhensibles. Vers le même temps, un libraire de Hollande publia Le Festin de Pierre, sinon mutilé par la censure,
L’organe du parti fut un sieur de Rochemont, avocat en parlement, qui publia , sous le titre d’Observations sur le Festin de Pi
as Castelli, auteur d’une traduction italienne des œuvres de Molière, publiée , pour la première fois, en 1697, a traduit Le Fes
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et prospérité ; puis M. Garraud a dit sa poésie : À Molière, que nous publions en tête de cette livraison, et qui a été chaleure
e II, nº 14, 1er mai 1880, p. 35-43. En 1794 et années suivantes fut publiée en Italie une « Bibliothèque choisie des composit
eilli, retenu. Ses premières études sur Molière remontent à 1852 : il publia dans L’Illustration les « Reliques de Molière » q
entant au préjudice des droits de la Comédie, et dont M. Bonnassies a publié le texte dans ses Spectacles forains et la Comédi
membre de la Société de l’Histoire de Paris, M. Philéas Colardeau, a publié , il y a trois ans, sur cette salle de théâtre au
Dans le 13e numéro du Moliériste (1er avril 1880), Édouard Thierry a publié une très intéressante étude : Molière et Tartuffe
n trouve dispersée dans ma traduction anglaise des Œuvres de Molière, publiée à Édimbourg, 1875-1877. Il est à regretter que, j
a première fois en 1667, et fut représentée trente-trois fois. On l’a publiée l’année suivante sans nom d’auteur. Sir Martin es
e trois traductions littérales du Dépit amoureux, l’une par M. Ozell, publiée en 1714, l’autre en 1732 par MM. Miller et Baker,
e en 1714, l’autre en 1732 par MM. Miller et Baker, et une troisième, publiée sous les auspices de l’acteur et auteur dramatiqu
n’a aucun talent, et que Dryden a attaqué dans une de ses satires, a publié , en 1667, une imitation des Précieuses, avec des
Précieuses ridicules, tandis qu’une autre, probablement de Foote, fut publiée en 1742. M. Miller, pasteur protestant, a fait re
ne (La Fortune du soldat), une des comédies les plus obscènes qu’il a publiées , jouée pour la première fois en 1681, a pris la n
e pièce fût remplie d’obscénités, elle n’eut aucun succès. M. Ozell a publié une traduction littérale de Sganarelle, en 1714 ;
a publié une traduction littérale de Sganarelle, en 1714 ; Baker en a publié une autre en 1732. Le dernier traducteur, dans un
s curieux de Paris avec leur demeure et la qualité de leur curiosité, publiée par P. Jacob Spon dans sa Recherche des antiquité
 octobre 1880, p. 216-217. Notre savant collaborateur Paul Lacroix a publié récemment, chez Jouaust, dans la Nouvelle collect
son cabinet et une rente de 2 000 livres sur l’hôtel de ville41. Il a publié quelques cartes et travaux d’histoire et de géogr
inouïes, les pièces inconnues ou rarissimes, que j’ai rassemblées et publiées sous le titre de Ballets et mascarades de cour so
son Account of the Dramatic Poets (Histoire des poètes dramatiques), publiée en 1688, admet, en parlant du Jardin des mûriers,
ier acte, et la seconde et la troisième scène du second acte. Ozell a publié aussi une traduction littérale des Fâcheux, et un
oliéristes, celui de Victoire de la Chappe, marraine. Parmi les actes publiés par M. Brouchoud, l’un des plus riches en signatu
7 et 21 mars 1664 (Soulié, Recherches, p. 205-208). II Un acte, publié l’an dernier dans cette Revue, rappelle que Moliè
ville que mourut François de la Cour, dont M. Brouchoud a retrouvé et publié l’acte de mariage déjà rappelé ci-dessus et que v
12 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
ade du Louvre ; en 1666, s’élève l’Académie des sciences. En 1667, on publie cette fameuse ordonnance concernant la procédure
alanterie qui régnait dans toutes ses habitudes. En 1662, La Fontaine publie Joconde, ouvrage composé pour l’amusement de la d
13 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
endroits, comme l’atteste ce vers de la troisième satire de Boileau, publiée en 1665 : Molière avec Tartuffe y doit jouer son
e la scène cet ouvrage entrepris pour les démasquer. Un curé de Paris publia contre Molière un livre où sa comédie était quali
preuve certaine dans une Lettre sur la comédie de l’Imposteur qui fut publiée quinze jours après la représentation du 5 août 16
juste discernement. » Cette citation est tirée de l’édition originale publiée , en 1665, par Ballard, et plusieurs fois réimprim
était âgée de dix-sept ans seulement ; et ce n’est qu’en 1683 qu’elle publia sa traduction de trois comédies de Plaute. La dis
nc pu être détournée par la crainte des Femmes savantes, du projet de publier une dissertation contre l’Amphitryon moderne. 6
14 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
avail, que nous venons de relire avec profit, M. E. Burat de Gurgy, a publié , en 1838, dans Le Monde dramatique (4e année, t. 
que M. Henri de la Garde découvrit chez un libraire d’Avignon et que publia dans le Journal des Débats Joseph d’Ortigues ; d’
Scapin 19 ? Molière écrivit même alors des ballets et M. P. Lacroix a publié le ballet des Incompatibles, à huit entrées, dans
Édouard Thierry, dont l’érudition fait loi en matière théâtrale, aura publié le Manuscrit de La Grange (Varlet), — cet honnête
st gros : Documents inédits sur J.-B. Poquelin Molière, découverts et publiés par M. Émile Campardon, archiviste aux Archives n
’Aimé Martin avait vu et que M. Paul Lacroix découvrit en 1822, a été publié dans la Collection Moliéresque. On y lit que Moli
ond, et à côté des dévots il y a des despotes. M. Louis Moland, qui a publié une édition nouvelle de Molière36, a eu l’idée de
e M. P. Lacroix nous dénonce comme le curé d’une paroisse de Paris37, publiait un pamphlet odieux dans lequel il attaquait à la
enté par M. Trissotin, dit le Mercure, a donné lieu à ce qui s’en est publié . Mais Molière s’est suffisamment justifié de cela
ine, mais aussi celui qu’un contemporain, l’auteur du Livre sans nom ( publié à Lyon, chez Baritel l’aîné, MDCCXI), plaçait déj
des pamphlets les moins odieux, et pourtant les plus amers, qu’on ait publiés sur Molière, c’est Le Mariage sans mariage du com
n Ch. Jaulnay, doyen et chantre de l’église de Saint-Roulé, à Senlis, publia une longue pièce de vers, L’Enfer burlesque, tiré
langer de Chalussay, que nous allons rencontrer tout à l’heure, avait publié son Élomire hypocondre, ce nom d’Élomire, cet ana
lnay, défenseur imprévu de la morale, n’avait pas rougi dans un livre publié par lui, Les Questions d’amour, de poser des ques
son livre absolument étonnant et définitif, Recherches sur Molière, a publié l’inventaire de la maison de Molière. On a invent
à ma mère ! » 28. Voyez l’édition de l’Histoire de la Guérin, qu’a publiée , avec une préface et des notes, M. Jules Bonnassi
rault, l’auteur des Contes, et le Dictionnaire de Bayle (t. IV). 42. Publié d’après l’édition de Paris, 1670. J. Gay et fils
872. 51. M. P. Lacroix, si érudit en tout ce qui concerne Molière, a publié sur Molière le plus curieux des livres, c’est la
’artifice qu’il s’avisa de faire vis-à-vis sa maison en l’année 1674, publièrent partout que, s’il n’avait pas réussi dans ce feu-
d’imitation de Molière au chapitre intitulé Molière comédien. 58. Publié par M. A. Jal. 59. Publié par M. Benjamin Fillon
chapitre intitulé Molière comédien. 58. Publié par M. A. Jal. 59. Publié par M. Benjamin Fillon. 60. Tiré du Mercure gala
15 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
encore la connaître. Cependant on lit en tête d’Il Postumio, comédie publiée par Flaminio Scala à Lyon en 1601, un sonnet dell
625. Giovanni-Battista Andreini perdit son père vers cette époque. Il publia , dans le cours de l’année 1624, un opuscule intit
16 (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243
l aurait grand tort de le faire, puisqu’il fait profession ouverte de publier en plein Théâtre les vérités de tout le monde. Ce
n plein Théâtre les vérités de tout le monde. Cette raison m’oblige à publier les siennes plus librement que je ne ferais. Je n
nce à la porte des Temples, puisque, loin de se fâcher de ce que l’on publiait leurs sottises, ils s’en glorifiaient. Et de fait
17 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
, et dont l’auteur semble convenir en partie dans l’examen qu’il en a publié . Le plus remarquable de ces défauts est l’épisode
l aurait grand tort de le faire, puisqu’il fait profession ouverte de publier en plein théâtre les vérités de tout le monde : c
plein théâtre les vérités de tout le monde : cette raison m’oblige à publier les siennes plus librement que je ne ferais. Je n
ence à la porte des temples, puisque loin de se fâcher de ce que l’on publiait leurs sottises, ils s’en glorifiaient : et de fai
t fait de bruit que les ennemis même de Molière ont été contraints de publier ses louanges, mais non pas sans faire connaître p
18 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
le royaume de Tendre, dont mademoiselle de Scudéry n’eut l’idée et ne publia la carte que dix ans plus tard. Ils en font, en u
’elle avait été de la société de Julie de Rambouillet, elle les avait publiés sous le nom de son frère. Dégagée de toute contra
19 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
Observations sur l’édition des Œuvres de Molière publiée en 1682 par La Grange Au moment de publier ce
des Œuvres de Molière publiée en 1682 par La Grange Au moment de publier cette troisième édition des œuvres de Molière, no
ère, c’est-à-dire au monde littéraire tout entier. L’édition de 1682, publiée par La Grange, acteur de la troupe de Molière, et
non cartonnée, nous l’avons collationnée sur les éditions originales publiées du vivant de l’auteur, et c’est le résultat de ce
une supériorité incontestable sur celui de toutes les autres éditions publiées en Hollande. La servante de Molière ne s’y serait
moindres ouvrages de Molière. Répondant à la pensée de Boileau, nous publions aujourd’hui, non le Docteur amoureux, qu’on n’a p
èles, Gautier Garguille, Turlupin et Gros-Guillaume. Ces deux farces, publiées en 1819 par Désoer, ne furent tirées qu’à petit n
avail est difficile, il sera long ; toutefois nous espérons encore le publier à la fin de cette édition L. AIMÉ-MARTIN. Paris,
L. AIMÉ-MARTIN. Paris, 3 mars 1845. Préface de la première édition publiée de 1824 à 1826. Quel que soit le nombre des au
grand nombre de faits nouveaux, et de toutes les observations que je publie aujourd’hui sous la forme d’un variorum. S’il m’
bonté. Les personnes qui voudront bien se souvenir que dans le Racine publié en 1820 j’ai donné le premier modèle d’un varioru
ses d’Ovide, mises en rondeaux par Benserade, tandis que Benserade ne publia son livre que dix-sept ans après la première repr
cependant, il faut le dire, non-seulement ces documents, qui ont été publiés , ne contredisent en rien la Vie de Molière par Gr
ignoré. Que ne signalaient-ils ses erreurs et ses omissions ? Que ne publiaient -ils de nouveaux Mémoires ? Et pourquoi ne pas fai
te, du 12 septembre 1731. 4. Cette édition est peu connue ; elle fut publiée à Naples en 1690, chez Charles Porsile, en trois
dition de M. Amar. 15. A la tête de l’édition des œuvres de Molière, publiée en 1682. 16. Mercure, mois de mai 1740. 17. Vo
n-Rival ; nous avons tout recueilli. 19. Œuvres de J.-B. Rousseau, publiées par M. Amar, tom.V, p.291 et 327. 20. Lettres de
d’une brochure intitulée Vie de Molière, 1739.) 22. Ces notes furent publiées en 1824. Déjà M. Taschereau avait donné une Vie d
e moi, je n’ai point copié M. Taschereau. (Note de la seconde édition publiée en 1837.) 23. Mémoires de Segrais, page 173.
a secrètement. Cette découverte précieuse est due à M. Beffara, qui a publié l’acte de mariage de Molière, acte qu’il ne sera
n 1682, et on ne la trouve pas dans la seconde édition du Misanthrope publiée chez Claude Barbin, un peu plus d’un an après la
eulement dix ans après la mort de Molière, en 1683, que madame Dacier publia sa traduction des trois comédies de Plaute, avec
istoire de la troupe de Molière à la suite de ces Mémoires. La Grange publia en 1682 une édition des Œuvres de Molière, et il
20 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
était sincère, et ce n’est point par courtisanerie que, dans un livre publié à Berlin où il s’était réfugié, il exalte avec ta
emps tous ses chefs-d’œuvre, et Pascal, dont les Provinciales étaient publiées depuis cinq ans ! Louis XIV, il est vrai, vit mou
au, qui s’était déjà, comme Racine, annoncé sous Mazarin, mais qui ne publia que plus tard ses principaux ouvrages, c’est avan
e : c’est MmeCampan qui, la première, l’a racontée dans ses Mémoires, publiés en 1822, un siècle et demi après la mort de Moliè
21 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
ef-d’œuvre de Sheridan : The School for scandal. L’édition de Molière publiée à Londres en 1732 est une des premières éditions
Les travaux sur l’auteur comique se multiplièrent. En 1802, Cailhava publiait ses études sur Molière. Plus tard, Népomucène Lem
c un zèle égal à celui que nous déployons en France. M. Paul Lindau a publié sur Molière plusieurs ouvrages distingués. Messie
éricains, Molière est au même niveau que chez les Anglais. Un article publié dans le North American Review, en 1828, mérite d’
e qui concerne Molière, sa vie et ses œuvres, jusqu’à la date où nous publions ce volume, dans lequel nous avons cherché à recue
nze années de cette union. L’inventaire, après décès de Marie Cressé, publié par M. E. Soulié, révèle une large aisance, un co
e dette de deux mille six cents livres, ainsi qu’il résulte des actes publiés par M. Eud. Soulié. Molière et ses compagnons ne
us positifs. M. Jules Rolland, dans son Histoire littéraire d’Albi, a publié des documents dignes d’attention. Le premier de c
êmes provinces, un peu plus tard, en 1657. Nous voyons, par des actes publiés par M. Jules Rolland19, qu’elle avait un bagage p
é découvertes par M. L. de la Pijardière, archiviste de l’Hérault, et publiés par lui dans Le Moliériste de novembre 1885. Elle
le fut donnée aux époux le 23 fevrier. Les actes authentiques ont été  publiés par M. Brouchoud. Un événement beaucoup plus rema
du trésorier de la bourse de Languedoc, pour la session de 1650-1651, publié  par M. de La Pijardière, que ces allocations aux
recouvrer et peut-être ne le fut jamais intégralement. Joseph Béjart publia un « Recueil des titres, qualités, blasons et arm
. Un extrait des procès-verbaux de la session des États de 1655-1656, publié par M. Galifert et cité par M. J. Loiseleur, étab
style forcé. » Mais le Menagiana, il est bon de le remarquer, ne fut publié qu’en 1693, c’est-à-dire trente-quatre ans plus t
ence à la porte des temples puisque, loin de se fâcher de ce que l’on publiait leurs sottises, ils s’en glorifiaient. » Ni les
célébrer le talent du poète et celui du comédien. La pièce fut ainsi publiée au mois d’août 1660. Le nom de l’auteur n’y était
chambre du roi. C’est bien de lui qu’il s’agit dans L’État de France, publié en 1663, où sont indiqués, au nombre des huit tap
olière et d’Armande Béjart fut signé le 23 janvier 1662. Ce document, publié en 1863 par M. E. Soulié, est si important qu’il
ermain-l’Auxerrois, en présence des deux familles. L’acte de mariage, publié d’abord par Beffara, a été réimprimé par M. Jal.
par la découverte de l’acte de mariage et des documents authentiques publiées par M. Eud. Soulié, semble avoir déçu et irrité c
Retz, ami de Molière et alors archevêque de Paris, qu’un seul serait publié  ; puis, à bas bruit, sans autres témoins que les
èle à cet engagement. Quoique ses adversaires se fussent empressés de publier leurs satires, il ne fit même pas imprimer L’Impr
s n’avaient pas cessé d’être très productives. Cette pièce ne fut pas publiée du vivant de Molière, et ne le fut, dans l’éditio
u seul nom de satire… Ce sont eux que l’on voit d’un discours insensé Publier dans Paris que tout est renversé Au moindre bruit
chef-d’œuvre inimitable ! » De Vizé, l’ancien détracteur de Molière, publia une longue lettre apologétique que le libraire Ri
t de Saint-Séverin de vous signifier la présente ordonnance, que vous publierez en vos prônes aussitôt que vous l’aurez reçue, en
ire hypocondre ou les Médecins vengés, par Le Boulanger de Chalussay, publiée en 1670. Il est fort difficile toutefois de recon
M. Parent de Rosan a communiqué à M..J. Loiseleur et que ce dernier a  publié dans son ouvrage sur les Points obscurs de la vie
e Bergerac est auteur d’une comédie intitulée Le Pédant joué, qui fut publiée chez Ch. de Sercy, in-4° et in-12, en 1654, mais
ine, écurie et remise au rez-de-chaussée, caves et greniers. Le bail, publié par M. Eudore Soulié, est du 26 juillet. Cette ma
les plus intéressants sur les derniers moments de Molière. Elle a été publiée pour la première fois en 1800, dans « Le Conserva
n’empêche pas qu’on le regrette tous les jours… Samuel Chapuzeau qui publia en 1674 un précieux petit volume sur le Théâtre f
fut commencé le 13 mars et dura six jours. M. E. Soulié a retrouvé et publié ce document, qui donne une idée du grand luxe don
Hercule mourant va te rendre immortel ; Au ciel comme en la terre il publiera ta gloire, Et, laissant ici-bas un temple à sa mé
it été blessé assez souvent pour en garder des traces. M. Campardon a publié une plainte de Louis Béjart, à la date du 31 mai
ne pas négliger Le Dossier de La Grange, formé par M. E. Thierry, et publié à la suite de la notice dans la brochure à part.
et publié à la suite de la notice dans la brochure à part. La Grange publia , avec un nommé Vinot qui avait été, disent les fr
pour enseigne l’image de Saint-Christophe et dont M. Eudore Soulié a publié l’acte d’acquisition. Cette maison devint le domi
t qui demeurait, comme il résulte de plusieurs des actes authentiques publiés par M. Soulié, « sous les piliers de la Tonneller
la littérature ; elle fit représenter des tragédies, des comédies, et publia un grand nombre de romans. 17. La Troupe de Mol
septembre 1884. 21. Mémoires de Daniel de Cosnac, archevêque d’Aix, publiés par la Société de l’histoire de France, par le co
ue ce nom est écrit de Bieule dans les procès verbaux des États. 40. Publié à Francfort, en 1688, chez Fraus Rottemberg. 41.
e se sert d’une expression un peu plus crue. Racine le fils, quand il publia la lettre de son père, voulant atténuer cette exp
livre de comptes de la troupe. Le premier registre (1663-1664) a été publié dans la Collection moliéresque par M. Monval en 1
Voyez ci-après, page 306. 116. Cette relation, sans signature, a été publiée par M., Benjamin Fillon dans les Considérations h
. Voyez le Journal du voyage de deux Hollandais à Paris en 1657-1658, publié par M. P. Faugère ; Paris, Duprat, 1862. 118. Vo
de M. Paul Lacroix : XVIIe siècle, institutions, usages et costumes, publié à la librairie A.-F. Didot, in-4, page 311. 155.
x invisible et L’Ombre de Molière, dans Les contemporains de Molière, publiés par M. Fournel, t. I, p. 478. Voyez aussi un arti
22 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [81, p. 127] »
econd Théâtre-Français et seront rééditées jusqu’en 1802, année où il publie aussi des Essais sur Molière. (DET, M de Rougemon
23 (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32
française un commentaire complet des comédies de Molière. Bret a bien publié une édition des œuvres de ce grand comique, avec
éminence que le théâtre français a sur tous les autres. Mais ayant de publier mon travail, j’ai cru devoir soumettre au public
j’ai fait sur la Comédie, et qui précédera les Œuvres de Molière. Je publie aussi l’analyse raisonnée du Misanthrope et du Ta
24 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
s médiocres dessinées par Brissart et Sauvé pour l’édition de Molière publiée en 1682. L’on aurait ainsi tous les élémens néces
e l’être pas sur un détail essentiel ; quant à Brissart et Sauvé, ils publièrent leur suite moins de dix ans après la mort de Moli
, Qui, seule, épuise l’art de la Savonnerie. Les papiers de Molière, publiés par Eudore Soulié, nous introduisent, en effet, d
t Molière n’écrit rien contre elle, mais dans la préface de Tartuffe, publiée en 1669, il semble faire amende honorable : « La
mé. Je veux parler de cet Elomire hypocondre, ou les Médecins vengés, publié en 1670 par Le Boulanger de Chalussay. Le titre d
omaize, ou des amateurs trop enthousiastes, comme Neufvillenaine, les publiaient sans sa permission. Mais, le manuscrit une fois l
lier : une lettre de Louis Riccoboni, leLéliode la comédie italienne, publiée par M. G. Monval dans leMoliéristed’avril 1Ï85, c
25 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
rance un plaisir ignoré. De pèlerins, dit-on, une troupe grossière En publie à Paris y monta la première ; Et sottement zélée
s l’exposé que j’avais à vous présenter, à peu près tout ce qui s’est publié autrefois ou récemment sur les origines de l’art
t pièces dramatiques qui l’ont précédé. Le grand d’Aussy, jésuite qui publia d’après les manuscrits, en 1780, un fragment du J
ncore plus ennuyeuse et d’un genre absurde.» M. Onésime Le Roy, qui a publié un gros livre sur les mystères, a beau se révolte
26 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
fin, M. Taschereau a bien voulu revoir, compléter et nous autoriser à publier la cinquième édition de son Histoire de la vie et
celle dont l’achevé d’imprimer porte la date du 6 juin 1669, Molière publia trois placets successivement adressés par lui au
iographie, et depuis trente-huit ans que notre première édition a été publiée , presque chaque jour, en dépit de la conscience d
Festin de Pierre et du libelle du curé de Saint-Barthélemy. La cabale publie un affreux libelle sous le nom de Molière. Condit
plus avantageux), et protester même que c’était contre son gré qu’il publiait son ouvrage. Il serait inexact de dire que cette
on de l’auteur ; comme aussi, d’un autre côté, dès qu’une pièce était publiée , les troupes rivales de celle qui l’avait mise à
ès de lui son procédé en alléguant que, s’il n’avait pris le parti de publier cette leçon très exacte, il en allait paraître d’
ette incroyable boutade. Boileau, à cette époque, n’avait encore rien publié , mais il avait composé trois de ses satires, en a
rince dit dans son Traité de la comédie et des spectacles, qui ne fut publié qu’un an après sa mort, arrivée au commencement d
dame, Henriette d’Angleterre, en accepta la dédicace quand Molière la publia , le 17 mars. Peu après Pâques et la réouverture d
tous les cas, le voyage aurait été inutile, car la Gazette du 17 mai  publiait  : « Ce grand monarque est soigneux de retrancher
sachant le fond de l’affaire. On voit, par l’article de la Gazette publié dès le 17 mai, combien on cherchait à envenimer l
rre Roullès ou Roullé, curé de Saint-Barthélemy, docteur en Sorbonne, publia peu après une sorte de panégyrique de Louis XIV,
conde édition d’une version en prose française de Lucrèce qu’il avait publiée dix ans auparavant, sous les auspices dédicatoire
représentation, et ne put jamais, malgré un privilège accordé67, être publiée du vivant de Molière. Ils étaient même parvenus à
e ces deux villes pour empiétement de droits. Les mémoires qui furent publiés de part et d’autre à cette occasion dévoilèrent d
La Fontaine fit paraître en 1664 son conte intitulé Joconde. On avait publié en 1663 les œuvres posthumes de M. de Bouillon, d
e ces critiques, nous rapporterons ici quelques passages d’un libelle publié en 1665, ayant pour titre : Observations sur une
t de Saint-Séverin de vous signifier la présente Ordonnance, que vous publierez en vos prônes aussitôt que vous l’aurez reçue, en
une orgueilleuse satisfaction, il se mit dans cet intervalle à courir publier de tous côtés l’honneur que Molière lui faisait,
plusieurs années s’était exercé à usurper les droits de Molière ou à publier les satires dirigées contre lui, au lieu de conti
rendre éditeur avoué et légitime de ses œuvres. Il avait précédemment publié , en 1667, Le Misanthrope et Le Médecin malgré lui
de juin, c’est-à-dire moins de trois mois après, il était obligé d’en publier une seconde qu’il fit précéder des trois Placets
erreur si l’on regardait le poème de La Gloire du Val-de-Grâce, qu’il publia la même année pour rendre hommage au talent de Mi
que notre édition ne parût pas moins complète que celles qui ont été publiées dans ces derniers temps et qui ont reproduit les
ses, Paris, 1661, t. Il, p. 77 et suiv. 34. Bien que nous ayons déjà publié ces détails il y a nombre d’années, la même mésav
de l’une et p. 50 de l’autre des éditions de ce pamphlet, toutes deux publiées chez Jean Ribou, en 1660, in-12. 35. De M. Quina
ravail. «  Le 6 de ce mois, dit la Gazette du 13 novembre 1660, on a publié ici des défenses à toutes personnes de faire trav
son correspondant lui dit : « Vous ne fîtes jamais mieux que de faire publier , avant que de faire jouer votre Critique, que l’o
1669, tandis qu’Élomire hypocondre, non représenté, ne fut imprimé et publié qu’en janvier 1670. C’est d’ailleurs un infâme li
27 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
le dans un fauteuil. Etendez la main vers ces admirables éditions que publie la maison Hachette, vers cette collection des Gra
é l’approche des vacances. Louis GANDERAX. 1. Nouvelles éditions publiées sous la direction de M. Ad. Régnier, in-8° ; Hach
28 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
françaises qui accompagnent l’édition du divertissement de Chambord, publiée chez Ballard, (indiquée comme imprimée en 1670, i
er qu’évidemment, si l’on admet l’ordre indiqué par le divertissement publié chez les Ballard, l’ordre des scènes y eût gagné.
oir été, comme tant d’autres pièces de Molière, corrigée avant d’être publiée . La tradition résultant de représentations nombre
29 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XX » pp. 215-219
. Dans l’année 1665 parurent les Maximes de La Rochefoucauld. Boileau publia dans le même temps son Discours au roi, dont j’ai
30 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
rniers mots, dans les exemplaires non cartonnés des Œuvres de Molière publiées par La Grange et Vinot, sur les propres manuscrit
yez tome VII, p. 177-179 de l’édit, de 1682. 8. En 1813, M. Simonnin publia pour la première fois, d’après l’édition de 1683,
31 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
cette analyse se trouve dans l’Histoire de l’ancien théâtre italien, publiée par les frères Parfait, en 175351. Des canevas qu
talien de Riccoboni. 51. Voyez l’Appendice, nº 7. 52. Arlequiniana publié en 1694, page 2. 53. Cette scène faisait certain
32 (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605
ce poëte comique. On doit à M. Joly l’édition des œuvres de Moliere, publiée en 1734, en 4 volumes, in:4º. Le même en a donné
33 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
s. C’est celui de Madeleine de Scudéry. Mais elle n’avait encore rien publié alors ; ses premiers écrits n’ont paru qu’après l
34 (1884) Tartuffe pp. 2-78
e Lagrange. préface E. Thierry, p. 78. 6. Moliériste, N° 31, lettre publiée par M. le duc d’Aumale ; n» 32, article de M. Rég
le de M. Régnier. 7. Corresp. entre Boileau-Despréaux et Brossette, publiée en 1858; citée par M. Mesnard, éd. des Grands écr
58; citée par M. Mesnard, éd. des Grands écrivains de la France. 8. Publiée clans l’éd. Mosnard. 9. Histoire de France, éd.
meilleure épitaphe. 16. Le Traité de la comédie et des spectacles, publié sans nom d’auteur. — Biblioth. de l’Arsenal. 17.
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171
rence produit de grands effets. 23. On ne croit pas que le théâtre publié sous le nom de Baron, soit de lui ; mais il étoit
36 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
e de ses contemporains. Il y a vingt ans que notre regretté confrère publiait sous ce titre : le Roman de Molière, un petit liv
jusque-là faute d’éléments de critique et de contrôle, Eudore Soulié publiait ses Recherches sur Molière et sur sa famille. Soi
entis ! Tous les livres sur Molière vont en être bouleversés. J’en ai publié un, moi-même, il a quelque temps2, où j’aurai à r
cdote, au tome II, page 102, de la Mosaïque historique de Dusaulchoy, publiée en 1818 : « Il a, dit-il, existé à…, deux visitan
Retz, ami de Molière et alors archevêque de Paris, qu’un seul serait publié  ; puis, à bas bruit, sans autres témoins que les
terdam, et d’après elle, il avait donné, dans son édition de Molière, publiée la même année, les deux scènes depuis si longtemp
tes du fragment des Mémoires de Brossette que M. Laverdet a récemment publié pour la première fois53, sont on ne peut plus pré
ontre ces maudits du théâtre, un opuscule dévot, qui ne fut toutefois publié qu’un an après sa mort. En voici le titre : Trait
doce, la direction des urnes. Voici quelques fragments de son factum, publié sans date, sous le titre étrange de : Le Roy glor
y songea plus. D’un autre côté, comme, sans perdre de temps, il avait publié , pendant la quinzaine qu’avait durée la clôture d
t récréative du Galand qui a faict le coup. A Lyon, en 1606, on avait publié le Valet ci tout faire, une vraie farce du bon te
n 1612. Il est évident que les sept farces qui s’y trouvent n’ont été publiées « et mises en meilleur ordre et meilleur langage 
ans l’édition dont il s’était donné le soin. Elles ne furent même pas publiées à part. Vingt ans après, elles étaient, même pour
Viollet le Duc, les retrouve, et de peur de disparition nouvelle, les publie en une brochure charmante, chez le libraire Désoe
fut qu’une mesure amiable et sans éclat. Charles de Sercy, qui avait publié Élomire, ayant été bien et dûment averti, coupa c
a écrit, dans ses Réflexions critiques sur la Poésie et la Peinture, publiées en 1719 : " Plusieurs personnes dignes de foi m’o
alheur que je réparerai ici pour le plus précieux des trois fragments publiés par M. d’Ortigues, celui que j’ai appelé dans la
fin imprimer complètement ce que le comédien auteur s’était permis de publier par parties. Après la scène du Don Juan s’en trou
ssique. Selon l’opinion commune, la première édition de l’Aloysia fut publiée à Grenoble, vers 1660 (sept ans avant la première
ise action. C’est une page de Senécé, dans son pamphlet contre Lully, publié sous le titre de Lettre de Clément Marot à M. de
. « Il nous a encore, dit Brossette dans un fragment de ses mémoires publié il y a quelques années, il nous a encore récité c
e signalerai celui de M. René Delorme, Musée de la Comédie Française, publié à la librairie Ollendorff, avec un luxe typograph
riotique. Bret, qui, à ce même moment, choisi d’ailleurs tout exprès, publia sa remarquable édition de Molière, trouva moyen d
Ceci a été écrit vers 1858. (Note de l’éditeur.) 26. Ils n’ont été publiés que dans le Bulletin du bibliophile, 1853-1854, p
obinet, 22 décembre 1668. 100. Tallemant, idem, p. 38. 101. Auger a publié , d’après les manuscrits de Conrart, le sonnet et
la lettre que cette mort inspira à Molière. 102. M. Taschereau en a publié , d’après le seul exemplaire connu, la partie la p
intérêts à Bordeaux, les articles et conditions la régissant y furent publiés dans un volume, déjà signalé par Francisque Miche
s. Chaque fois qu’il y est question, comme dans celle du 13 mars 1663 publiée par M. Clément (Cor. de Colbert, n, p. ccm), de «
évidemment la vraie, je renverrai à une très curieuse petite brochure publiée à petit nombre chez Techener : De L’orthographe d
37 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
3). C’est bien de l’honneur qu’on lui a fait là. La seconde lettre, publiée par le Mercure de mai 1738 (p. 826 à 836), sous l
upart ont été contemporains de Molière », avec le texte préalablement publié par le Mercure, et notre conclusion peut se résum
. Les frères Parfaict, copiant un passage des Mémoires de La Serre, publiés en tête de la belle édition in-4° de 1734, écrive
les Anciens et les Modernes, stances irrégulières.) 53. Le 21. 54. Publiée pour la première fois en 1677, Cologne. 55. Merc
38 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
ue ressentaient particulièrement en France les comédiens italiens. Il publia dans ce but « La Supplica, discours familier de N
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
nt, Gulphar alla tout droit Conter ce cas, le corner par la ville, Le publier , le prêcher sur les toits. De l’en blâmer il sero
ame regarde le Comte comme un monstre, surtout lorsqu’il la menace de publier son aventure & de montrer sa lettre, si elle
40 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
nt de gens m’ont accosté sur le boulevard en me disant : « Allez-vous publier votre Théâtre-Femme? » que j’ai accepté ce titre,
eurs de ces pays-là ne montent pas si volontiers sur leurs toits pour publier la misère du foyer. Il n’y a que la France, c’est
41 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
ffe. 771.   Ce sont eux que l’on voit, d’un discours insensé,   Publier dans Paris que tout est renversé,   Au moindre b
ustification de celle pièce, la lettre sur la comédie de l’Imposteur, publiée le 20 août 1667, et dont Molière peut être regard
42 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
de la Compagnie du Saint-Sacrement ? Nous l’ignorons; ce fripon, qui publiait , nous dit-on, en 165937, un livre édifiant intitu
la Compagnie du Saint-Sacrement, par le comte René Voyer d’Argenson. publiées par le R. P. dom Beauchet-Filleau, Paris et Marse
de la Compagnie dans les si intéressans Mémoires du chanoine Hermant, publiés pur M. Gazier, notamment, au t. IV, p. 392 et sui
43 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
st un recueil curieux que celui de tous les libelles qui furent alors publiés contre lui ; on y trouve rassemblé tout ce que la
a violence et la perfidie de sa critique. Dans les observations qu’il publia sur cette dernière pièce, il débute avec le ton p
colère des hypocrites de royalisme et de religion, écoutez ce qu’ils publiaient contre le grand poète auquel la postérité décerne
ait des notes très utiles dans l’édition de Molière qu’il a récemment publiée .
44 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
Les Grands Écrivains de la France, nouvelles éditions publiées sous la direction de M. Ad. Regnier, de l’Institu
ies de Molière, et, au nombre des volumes de la collection, récemment publiés , il y a deux volumes de ce grand poète, les tomes
s moments à notre imagination : « Une religieuse débauchée et dont on publie la prostitution, un pauvre à qui on donne l’aumôn
e philosophe. 9. Le passage du moine bourru n’est pas dans l’édition publiée par Molière, mais il est dans l’édition de Hollan
45 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
le à ceux qui nous vantent si fort la morale de M. de Molière, et qui publient hautement dans Paris, qu’il a corrigé plus de déf
46 (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13
. Picard ; mais ayant à retracer dans un ouvrage que je me propose de publier incessamment les mœurs d’une époque qu’il a si bi
47 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
ite, mais en en rajeunissant l’orthographe, l’édition de Tristan qu’a publiée M. Edmond Girard à la Maison des Poètes. 3. M.
48 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
lettres à la fin de la 6e période du xviie  siècle. La Bruyère qui a publié ses Caractères en 1687, mais qui a passé vingt an
49 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
nuptial, entretiens comiques, que l’auteur, Samuel Chappuzeau, avait publiés en 1656, et qu’il fit représenter, arrangés pour
uvrage ne fut imprimé qu’après sa mort, dans l’édition de ses œuvres, publiée par Vinot et La Grange. L’accueil fait aux Précie
50 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
ion fût saisie aujourd’hui d’une manière favorable pour l’acteur ; le publie n’accepte plus le talent en compensation des infi
entations consécutives. Molière ne la fit point imprimer ; elle a été publiée , pour la première fois, dans l’édition de ses œuv
, et peut-être seront-ils surpris de la sévérité de l’éditeur. Je les publie , ces arguments, parce qu’il y a toute apparence q
51 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
imité Horace et Juvénal, etc. Cotin ne s’en tint pas à sa satire, il publia un autre ouvrage sous ce titre : La Critique dési
end être représenté par M. Trissotina, a donné lieu à ce qui s’en est publié , mais M. Molière s’est suffisamment justifié de c
une scène fort curieusea. Mais que direz-vous du sieur Richelet qui a publié que l’on enterra l’abbé à Saint-Merry l’an 1673 ?
52 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul, m’apporta un jour un Molière, publié en 1814, chez Nicolle, en 6 volumes in-S, annoté
euillets contenant les notes manuscrites furent reliés dans l’édition publiée en 1814 chez Nicolle, en 6 volumes in-S annotés p
de l’édition stéréotype de Firmin Didot, 17999. Les pièces dont nous publions les notes se trouvent dans les volumes suivants :
portait pour titre ; Vie de César, sous la condition de n’avoir à les publier que dix ans après sa mort. M. Crozet, en m’en acc
usant réception, me disait qu’il allait les mettre en ordre, pour les publier à l’époque indiquée. Le fait est que, jusqu’à pré
’époque indiquée. Le fait est que, jusqu’à présent, ils n’ont pas été publiés , bien qu’ils auraient pu l’être en 52, Stendhal é
ie peu considérable des Commentaires qui d’ailleurs ne pouvaient être publiés qu’avec le fil conducteur de l’exemplaire de M. l
53 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30
, l’on verra l’un des capitans les plus renommés, Francesco Andreini, publier ses Bravure, ses bravacheries, divisées en plusie
54 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
sformé en comédie écrite. C’est là l’histoire des pièces que Ruzzante publia à la fin de sa vie d’improvisateur et d’acteur, l
55 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
de Molière,comédie qui ne pouvait être autre que Les Femmes savantes, publiée au mois de mai de cette année ; le second, c’est
56 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
donné presque toutes ses comédies avant que Boileau et Racine eussent publié ces ouvrages si élégants et si purs qui ont fixé
première comédie de Molière, l’Étourdi. Suivant l’édition originale, publiée en 1663, Mascarille dit à Lélie qui vient, pour l
ble texte. Ce texte se trouve seulement dans les éditions partielles, publiées du vivant de Molière et jusqu’à l’année de sa mor
iennes, dont elles n’étaient souvent qu’une imitation. On a récemment publié deux de ces pièces, les seules qui aient été cons
ani, dans le recueil de ses lettres à madame d’Épinay, qu’on vient de publier récemment, fait éclater à ce sujet la plus plaisa
. Raoul-Rochette, de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, a publié , en 1825, une traduction de ces Fragments de Ména
age 211). François de Molière, sieur d’Essertines, auteur dePolyxène, publia , en 1620, un autre roman intituléla Semaine amour
dit de l’ouvrage de Grimarest dans des lettres dont le recueil ne fat publié que longtemps après (en 1770). Despréaux écrivait
57 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
se dans l’édition complète des Œuvres de l’auteur, en 2 vol. in-fol., publiée en 1665, après sa mort, par l’abbé Cassaigne, son
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
emede, & que si tu m’obliges d’employer le secours d’un autre, je publie moi-même mon extravagance, & je hasarde l’hon
n trésor. L’or qu’il voit ne peut le tenter : cependant il veut faire publier dans Athenes qu’il ne fut jamais plus opulent. Ev
59 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
acine et Molière en étaient les grandes figures. C’est ce cours qu’il publie aujourd’hui. II. M. Rambert voit dans Corne
net. Paris, 1861. Page 180. Hâtons-nous de dire que ce dernier volume publié de Vinet, composé de fragments de l’auteur et, en
60 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
rions point embarrassés. Nous prendrions les scherzi et les contrasti publiés après la mort d’Isabelle Andreini et qui contienn
61 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
ondé de son allusion, et la preuve c’est que, dans un recueil par lui publié en cette même année 1663, les Nouvelles nouvelles
la mémoire d’Armande, à la Fameuse Comédienne. C’est un petit livre, publié à Francfort en 1688, réimprimé jusqu’à cinq fois
ue au parallèle, de même que la reine fut salie par un infâme libelle publié à Londres par Mme de La Motte, Armande eut à subi
62 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
 Je puis affirmer, dit M. Auger dans l’avertissement de celle qu’il a publiée , que dans toutes les éditions, sans en excepter l
nous avons consulté en même temps les éditions originales. L’édition publiée en 6 vol., petit in-12, par Wettstein (Amsterdam,
ommait Marotte. L. B. Picard. 1. Œuvres complètes de Molière, publiées avec un commentaire par M. Auger. (Paris, Desoer,
63 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
imité Horace58 et Juvenal59. Cotin* ne s’en tint pas à sa satire ; il publia un autre ouvrage sous ce titre : La Critique dési
harles Quint, il écrivit pour lui l’Institution du prince chrétien et publia également son Novum Testamentum et la première éd
sité universelle, il fut reçu à l’Académie en 1639, et comme il avait publié en 1640 un livre intitulé : De l’Instruction de M
ntins), il est surtout le romancier des fameuses Lettres portugaises, publiées en 1669, dont la paternité et le statut ont longt
ribution à des œuvres collectives et à diverses commandes, Boisrobert publie en 1633 à 1657 une quinzaine de pièces inégalemen
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
oût ; l’époux s’enfonce dans sa perruque, & disparoît : Marton va publier l’aventure. Deux jours après, la Présidente est i
65 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
’on n’avait pas coutume de faire pour ces sortes d’ouvrages. Quand on publiait une pièce jouée à l’impromptu, on écrivait ordina
66 (1818) Épître à Molière pp. 6-18
l’humanité, et l’on jugera s’il y aurait aujourd’hui de la prudence à publier pour la première fois l’Essai sur les mœurs et l’
67 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
s. Les lettres étaient la conversation des absents ; on en lit, on en publia d’innombrables recueils14… Mais il ne s’agit ici
68 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
la scurrilité. Le règne des Précieuses n’est pas consommé. Somaize a publié cette année môme’ leur grand Dictionnaire. Leurs
aleries ; la division se marque plus fort que jamais, entré le commun publie , ravi des amours d’Agnès et passionnément désireu
mort du petit chat, qui ensanglante la scène. Cependant Molière avait publié , à l’occasion de sa pension, le Remerciement au R
69 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
ne en 1588 : des recueils de lettres et des fragments en prose furent publiés après sa mort. Elle faisait partie de l’Académie
70 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
L’Emilia de Luigi Groto est une imitation de l’Epidicus. Elle fut publiée pour la première fois en 1579, et jouit d’une lon
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
lexandre, devenu maître de la terre, lui écrivit. « J’apprends que tu publies tes Traités Acroatiques : quelle supériorité me r
72 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
lle avait conquis les bonnes grâces de la reine mère. Elle composa et publia à Paris, en 1659, une comédie intitulée : L’Ingan
73 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
er. Elle parut, pour la première fois, dans le recueil de ses œuvres, publié en 1682. Elle fut remise, au théâtre de la rue de
e n’ai point un moment de bon temps. » 6. On lit, dans le Bolœana, publié par Brossette, l’anecdote suivante : « On dit que
74 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
es âmes étaient emportées par le succès du Cid. De plus, le roi avait publié , en 1641, une déclaration par laquelle il défenda
ur de Rochemont, tout tremblant de Tartuffe, quoique ne l’osant dire, publia des Observations sur une comédie de Molière, inti
plus épouvantée et plus violente. Ils n’avaient rien à répondre; ils publièrent que l’auteur du Tartuffe était un démon vêtu de
edans, il ajoute : Ce sont eux que l’on voit, d’un discours insensé Publier dans Paris que tout est renversé, Au moindre brui
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
ts sur ses profits. « Un Académicien de la Rochelle (M. de Chassiron) publia , dit M. de Voltaire, une Dissertation ingénieuse
76 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
ce et les Placets de Molière ; Lettre sur la Comédie de l’Imposteur, publiée en 1667, et certainement inspirée, sinon écrite p
77 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
ne ne se sont mis en scène ; Molière n’y a pas songé davantage. On ne publiait pas alors de confessions. On était tout bonnement
ière, la théorie de M. Coquelin est celle de tous les acteurs qui ont publié des études sur le caractère d’Alceste ; les litté
78 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
théâtre. Chacun d’eux porte la marque de l’originalité. IV Je publie un premier volume aujourd’hui. Je commence par Le
on Hercule mourant va te rendre immortel, Au ciel comme sur terre, il publiera sa gloire. Et laissant ici-bas un temple à sa mém
dèle du galant homme, aussi Molière en fit-il son ami. Ce fut lui qui publia la première édition des œuvres du maître, une édi
renville, joué par Molière. 5. Toutes ces poésies de Molière ont été publiées par le Bibliophile Jacob dans le petit volume édi
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
avec quelle simplicité, Palestre se plaint. Palestre. Tout ce qu’on publie de la rigueur & de la cruauté impitoyable du
80 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
e moment ses fables n’avaient pas encore paru, et lorsqu’elles furent publiées , ni Boileau ni Racine ne soupçonnèrent qu’elles l
81 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
pas fait la moindre mention du défunt, on ne vit aucun inconvénient à publier sa réponse ; et elle nous a été conservée. Telle
mêmes libraires, Thierry et Barbin, qui, sept ans plus tard, en 1682, publièrent l’édition des Œuvres de Molière, donnée par La Gr
82 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
en latin quelque chose d’approchant qu’on avait traduit, amplifié et publié sans son concours. « Je m’étais, dit-il, naïvemen
n ; Racine donnait Andromaque, les Plaideurs et Britannicus ; Boileau publiait les Satires VIII et IX ; la Fontaine, le VIe livr
intérêt j’ai enfin à me purger de cette imposture et à faire voir au publie que ma comédie n’est rien moins que ce qu’on veut
des turbulents qui exaspèrent ces pauvres impies, des indiscrets qui publient que Dieu fait encore des miracles, des Vandales q
dire en passant, qui n’exclut pas l’écrivain même laïque, soit qu’il publie des livres, soit qu’il écrive un journal. Tous le
es Morts. Tome VIII de la belle et définitive édition de Louis Vivès, publiée par les soins de M. F. Lâchât, Paris, 1802. Il su
83 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
plir ce rôle et atteindre ce but. Extrait d’un article de A. Claveau. Publié dans La Patrie du 30 août 1886.
84 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
e de deux mille écus. Sa femme accoucha d’une fille. Par cupidité, il publia qu’il lui était né un garçon. La nourrice, qui ét
85 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
iconque ose rire : Ce sont eux que l’on voit, d’un discours insensé, Publier dans Paris que tout est renversé, Au moindre brui
at souverain108, et l’Ordonnance que l’archevêque de Paris se hâta de publier , le 11 août, six jours après la soirée du Palais-
mphe ne mit pas fin aux hostilités. Sans parler d’une parodie en vers publiée au commencement de 1670, et qui mérite à peine un
plus sensibles si on les cherche dans une nouvelle que Scarron avait publiée neuf années auparavant, et où il racontait avec e
86 (1900) Molière pp. -283
te salle de l’Athénée qu’il fit ces conférences sur Molière, que nous publions aujourd’hui pour la première fois. Elles sont ass
e chronique théâtrale, de critique du lundi, que nous avons récemment publiés , sous plusieurs titres différents, et dont l’heur
es Dialogues [Avant-propos] Les deux dialogues que nous publions ici, à titre purement de curiosité littéraire, da
out ce qu’il imaginait d’ajouter à la mienne ? Mais quels édits ai-je publiés pour forcer les Romains à croire que je fusse die
— On peut voir dans la savante notice de M. Paul Mesnard sur Molière publiée en 1889 (dans le dixième volume de la grande édit
87 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
idérables, sans en être pour cela plus fiers ni plus orgueilleux. On publia de même à Paris, lorsque la Coquette & l’Homm
88 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
tes si précieuses de M. Aimé Martin (dans la belle édition de Molière publiée par le libraire Lefebvre) ne laissent aucun doute
89 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
thode que la Mothe-le-Vayer, le coryphée des douteurs du temps, avait publié son grand ouvrage sceptique ? Huet et Bayle ne pr
90 (1802) Études sur Molière pp. -355
a aux plus grands excès. On traita l’auteur de scélérat, d’athée ; on publia , sous son nom, des livres séditieux ; Bourdaloue
n sortant de la première représentation du Misanthrope, s’empressa de publier que Molière y jouait monsieur de Montausier, il a
ordres de Colbert. Je répondis tout de suite à Louvet ; il refusa de publier ma réponse : quelques-uns de ses confrères furent
la palme académique, a pu connaître si mal son maître, son héros, et publier l’anecdote dont il est question ? Si elle parvien
cé ce vers : Rien ne manque à sa gloire, il manquait à la nôtre. Je publiai , dans le même temps, une brochure intitulée : Dis
91 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
hrope, IV, 3. 29. Misanthrope, V, 7. 30. Lettre de madame de Staël publiée pour la première fois par M. le baron de Gérando,
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
vue : Il tint à peu ; je n’en fus retenue Que pour n’oser un tel cas publier  : Même à dessein qu’il ne le pût nier, Je fis sem
93 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
it sur Molière, à propos de la biographie que M. Taschereau venait de publier . Il l’appelle, à plusieurs reprises, le prince de
rançaise. M. Larroumet et M. Livet ont chacun, presque en même temps, publié une édition nouvelle des Précieuses ridicules de
ien connu des lecteurs du Temps, a, dans l’excellente édition qu’il a publiée des Femmes savantes de Molière, longuement insist
ix fût-il décerné, que ce fut dans les revues des avalanches d’études publiées l’une après l’autre par des concurrents malheureu
’il a revêtues, l’autre y cherchant plutôt le moraliste. M. Reinach a publié également dans une revue un morceau très étudié q
thèque classique de Jouaust. Ce sont les Œuvres choisies de Chamfort, publiées avec préface et notes de M. de Lescure. Le grand
bai sur l’article de Grimm consacré au Candide que Voltaire venait de publier sans nom d’auteur. C’était alors une assez vive d
94 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
ec la nature, inséré dans le 5e cahier du journal intitulé Prométhée, publié par Léon de Seckendorff. 4. Je me souviens d’avo
95 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
e ? Ne fallait-il pas trop de temps pour des ouvrages travaillés ? Le publie y prendrait-il le même plaisir qu’aux ouvrages lé
96 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
e donne à moi-même d’excellentes et irrésistibles raisons pour ne pas publier , tout à la fois, ces trois chapitres, il s’élève
du carrefour. La seconde étude, à propos du Don Juan de Molière, fut publiée au plus beau moment de la révolution de juillet,
97 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
ment faire réfléchir les littérateurs de notre temps, si empressés de publier leurs ouvrages, eux qui se tuent quelquefois dès
génie. Avant d’avoir atteint cet âge, tous nos grands hommes ont déjà publié leurs œuvres complètes. Comme Molière eût souri,
98 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
x comédies que madame Dacier a traduites en françois, & qu’elle a publiées avec des notes. Jean-Baptiste Pocquelin, si céleb
99 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
qu’un prince même du sang royal de France, le prince de Conti, qui a publié , lui aussi, un Traité de la comédie et des specta
ie et le zèle qu’il portait dans toutes les choses qu’il aimait. Il a publié une bonne édition des Œuvres de Marivaux, avec de
100 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
ns calomnieuses et de scandales de coulisses. La vie de M. de Molière publiée en 1705 par Grimarest ne fait pas plus autorité.
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