es personnes dont on avait pu le croire éloigné. Dans cette année, il
publia
son épître y à Guilleragues, secrétaire du cabine
de La Sablière que s’appliquent ces quatre vers de sa dixième satire,
publiée
en 1693, dix-neuf ans après l’épître critiquée, p
énie regardait comme une injure ; mais qu’il aura été détourné de les
publier
par la crainte de se mettre subitement en contrad
nnait d’avoir protégé Pradon contre Racine. Dans cette année 1677, il
publia
son épître à Racine ; là il marqua fortement le d
ître à Racine, jusqu’en 1693, temps où parut la satire des Femmes, ne
publia
aucun autre écrit que son discours de réception à
cun 3 000 fr. de pension. Depuis cette année jusqu’en 1677, Racine ne
publia
aucun ouvrage, non plus que Boileau. En 1677, il
e personne comme admirateur de Pradon. La dixième satire de l’auteur,
publiée
en 1693 contre les femmes, parle d’une
me Deshoulières avait quarante-trois ans, et on 1693, quand Boileau a
publié
sa dixième satire, elle en avait cinquante-neuf.
ce que s’expliqueront aisément ceux des lecteurs qui savent que j’ai
publié
une édition des œuvres de Molière avec toutes les
is, deux manières de concevoir une édition des œuvres de Molière : ou
publier
le texte dans sa nudité magistrale, ou fournir en
oitié du dix-huitième siècle, l’Histoire de l’ancien théâtre italien,
publiée
par les frères Parfait en 1753, celle de Des Boul
; les deux volumes intitulés Masques et bouffons de M. Maurice Sand,
publiés
en 1862 ; un article de M. Jules Guillemot sur le
c’est seulement en 1664 et 1665 que Boileau, pour la première fois, a
publié
des épigrammes contre Chapelain. Or, en cette ann
e partie, des lettres qui lui ont été écrites par des dames. « Il les
publie
, dît-il dans sa préface, pour faire valoir l’espr
us piquantes, les plus variées, les plus charmantes. Dans les lettres
publiées
on voit un peu trop peut-être la mère de madame d
sprit, mais j’ai réformé son cœur. »C’était à l’occasion des Maximes,
publiées
en 1665, qu’ils faisaient l’utile échange de leur
me de La Fayette, auteur de Zaïde, de La Princesse de Clèves, a aussi
publié
La Comtesse de Tendes, La Princesse de Montpensie
la Sablière h la composer en commun. M. Frédéric Hillemacher vient de
publier
, chez Lemerre, la cinquième édition de l’ouvrage
ritable compte d’apothicaire contemporain, compte que le Moliériste a
publié
: les Parties de M. Parties de Montredon. Une de
trés n’ont certainement pas perdu le souvenir d’une élude sur Molière
publiée
dans le numéro du journal le Temps du 19 mars 188
vient de la plaider à nouveau dans la Revue des Deux-Mondes, où il a
publié
deux articles, l’un sur Madeleine Béjart, l’autre
i, dans un appendice à sa savante édition de la Fameuse Comédienne, a
publié
des fragments d’un des factums de Guichard et de
re dans ces ténèbres. J’espère y parvenir tant au moyen des documents
publiés
par M. Livet qu’avec le secours d’autres pièces q
sur une alliée et rencontrait une ennemie. Dans un des mémoires qu’il
publia
pour sa défense, il fit remarquer d’abord à quel
rai tout à l’heure, et qui a écrit un panégyrique en règle d’Armande,
publié
à la fois par le Gaulois et le Figaro. Mais j’ai
e mourut au n° 40 de la rue Richelieu, mais c’est l’archéologue qui a
publié
les titres de quantité d’autres maisons qui n’ont
qualités, si c’est le disciple de Taschereau ou celui de Caumont qui
publie
, dans le Bulletin et dans les Mémoires de cette’
xcellentes éditions savamment annotées de quelques pièces de Molière,
publia
, dans le Temps du 2 octobre, un curieux article o
t13, qu’est due cette hypothèse. Il l’a émise dans un curieux travail
publié
par le Moliériste de juin 1884, sous ce titre : L
nd qui semble y avoir été initié. Il s’appelait Les-Isles-Le-Bas et a
publié
, en 1674, un an après la mort de l’auteur du, un
des études qui précèdent, M. Ch.-L. Livet a adressé au Temps, qui l’a
publiée
dans son numéro du 7 novembre 1884, la lettre sui
Deux mots à M. Loiseleur, à propos de Molière. M. Loiseleur vient de
publier
dans le Temps une nouvelle série de ses savantes
a fait sa nouvelle trouvaille. Ce document, dont un fac-similé a été
publié
dans le Moliériste de novembre 1885, est ainsi co
e 1656. Dans la bibliographie qui termine le premier volume récemment
publié
de sa seconde édition des œuvres de Molière, M. L
st seulement dans la troisième édition du Dictionnaire de l’Académie,
publiée
en 1740, qu’on voit apparaître un accent sur les
esquelles une lettre de Raphaël, la soumit à M. Gabriel Charavay, qui
publia
son opinion dans l’Amateur d’autographes du 1er j
èse de Gorla, si célèbre depuis sous le nom de Mlle Duparc : il a été
publié
par M. Brouchoud dans ses Origines du théâtre de
que en entier, puisqu’aussi bien il est toujours de saison, l’article
publié
par le Temps (n° du 20 juin 1879) où j’ai examiné
tre le seul authentique des autographes de Molière qu’on connaisse, a
publié
, en 1877, un petit livré intitulé : le Tartuffe p
Joseph, dans cette curieuse correspondance que la Revue historique a
publiée
: « Je suis ennuyé de la nature humaine ! J’ai be
cette réimpression (le premier par la tomaison) n’était point encore
publié
. Il a paru peu après, précédé d’une biographie de
on peut répondre aujourd’hui par un document que M. Georges Monval a
publié
dans le Moliériste d’avril 1881. C’est une délibé
Misanthrope, au t. V, p. 380 de cette magnifique édition de Molière,
publiée
par la maison Hachette, et où il se montre le dig
tagée. Le premier est Le Royaume de Coquetterie, de l’abbé d’Aubignac
publié
en 1654 ; le second est le roman de l’abbé de Pur
e l’abbé de Pure, intitulé La Précieuse, ou Les Mystères des ruelles,
publié
en 1656, un vol. in-8° ; le troisième est le Dict
656, un vol. in-8° ; le troisième est le Dictionnaire des Précieuses,
publié
en 1660 par Somaise, secrétaire de la princesse C
n vol. in-18 ; le quatrième est Le Grand Dictionnaire des Précieuses,
publié
par le même Somaise en 1661, deux volumes in-12.
auteur d’une Vie de Molière, rédigée sur les témoignages de Baron, et
publiée
en 1705, l’affirme. Il n’a été alors contredit pa
té en 1648, et fini en 1652. Aussi de Pure dit-il dans ce même roman,
publié
en 1656, que le mot de précieuse « est un mot du
ens qui ne leur en donnent pas de sujet. »Huet, évêque d’Avranches, a
publié
, en 1659, les portraits écrits par Mademoiselle,
poque elle avait fait des romans, mais elle sciait bien gardée de les
publier
sous son nom. En 1641, elle fait paraître, sous l
Scudéry, son frère, Ibrahim ou L’Illustre Passa. En 1650 encore, elle
publia
, toujours sous le nom de son frère, Artamène ou L
rand Cyrus, en 10 vol. Mais quand sa ruelle fut bien accréditée, elle
publia
sous son nom le roman de Clélie, en 1656, 1658, 1
de Clélie, héros des deux premiers romans que mademoiselle de Scudéry
publia
sous son nom après la dispersion de l’hôtel de Ra
acine nous apprend que ce même Despréaux fut sa satire sur Le Festin,
publiée
en 1665, chez le comte de Brancas en présence de
point ; mais les mémoires de Tallemant-des-Réaux, qui viennent d’être
publies
, la vengent de cet oubli, à la vérité de manière
complétait, corrigeait, soumettait à la critique les Maximes qu’il a
publiées
en 1665, que madame de Sablé les jugeait, et les
e Corbeau, la Gazelle, la Tortue et le Rat. À madame de La Sablière. (
Publiée
en 1678.) 69. Lettre 587.
vreur. Il a composé Mes rêveries, ou Mémoires sur l’art de la guerre,
publié
par l’abbé Pérau, en 1757, 2 vol., in-4°, avec un
ol., in-4°, avec une notice biographique. En 1794, le général Grimard
publia
: Lettres et Mémoires choisis parmi les papiers o
élèbre Molière, sur lequel une dissertation curieuse qui vient d’être
publiée
par M. Beffara, a dirigé particulièrement notre a
mi les rebelles. Le duc de Guise crut devoir faire arrêter Modène, et
publia
un manifeste à ce sujet, le 17 février 164817. Ma
l’écrivain contemporain de sa vie, de laquelle il y eut deux éditions
publiées
en 1688 et 1690, conséquemment avant sa mort, cit
Molière en se remariant, et sous lequel sa vie avait été composée et
publiée
de son vivant ; car elle n’est morte que le 30 no
ierry, Fournier, V. Fournel, etc., après les excellentes monographies
publiées
par MM. Moland, Campardon, Claretie, B. Fillon, L
ire intéressant. Nous venons signaler à notre tour ce même acte et le
publier
in extenso. Il se trouve dans un registre, proven
aine Malingre et Catherine Bourgeois, dont le fac-similé vient d’être
publié
par M. G. Desjardins dans le magnifique recueil q
de Molière ; si l’on veut se rappeler aussi que Le Roman comique fut
publié
peu de temps après une apparition de Molière à Pa
germe, l’œuf pour ainsi dire, dans les Satyres de Jacques Du Lorens,
publiées
: à Paris, chez Gervais Alliot, 1633, in-8º ; et
va consacrer à la reproduction du journal volumineux de son père, il
publiera
: une lettre d’Alexandre adressée en nivôse an X
liériste les documents relatifs à la troupe du duc d’Épernon que j’ai
publiés
dans l’Histoire littéraire de la ville d’Albi. Pe
iens en ce qui concerne les maisons déjà connues, en attendant que je
publie
des faits nouveaux et inédits, à commencer par la
, aux Petits-Augustins, aujourd’hui École des Beaux-Arts. Lenoir en a
publié
le dessin au t. III, p. 24, nº 557 de sa descript
’importance à l’impression de ses pièces : Les Précieuses avaient été
publiées
malgré lui, et l’histoire du Cocu imaginaire édit
urs sans la raconter de nouveau. Ouvrons maintenant l’édition de 1682
publiée
par Vinot et La Grange, et nous allons comprendre
est alors qu’un topographe fit un travail d’un immense intérêt, qu’il
publia
il y a environ douze ou quatorze ans dans le Jour
nom de ce topographe Parisien, la date du Journal des baigneurs qui a
publié
son travail, voilà ce que celui qui écrit ces lig
ique théâtrale pour se livrer à ces études sur Molière, comme il en a
publié
quelques-unes dans Le Temps. Le Moliériste a ins
a propagation du culte de Molière en Allemagne. Il y a sept ans qu’il
publiait
un petit volume sous le titre de Molière, supplém
e de Moliériste : « Molière und seine Buehne » (Molière et sa scène),
publié
par M. le Dr Schweitzer, vénérable vieillard qui
les premiers à imprimer une traduction de Molière. Abraham Peys, qui
publia
en 1670 une version hollandaise de l’Amphitryon,
ents se sont occupés de Molière. Lisez les Conversations avec Goethe,
publiées
par Eckermann — qui était à Goethe à peu près ce
rop grande partie du Moliériste en citant tous les livres qui ont été
publiés
en Allemagne sur Molière. Les traducteurs du poèt
le plus souvent. Henri Zschokke, célèbre nouvelliste suisse, a aussi
publié
une édition de tout l’œuvre de Molière. Voici d’a
embre 1879, p. 261-264. L’auteur de la comédie d’Élomire hypocondre,
publiée
en 1670 chez Ch. de Sercy, n’est connu que par ce
aux États de Languedoc. Quoi qu’il en soit, Le Boulanger de Chalussay
publia
d’abord cet ouvrage en prose et en vers : Morale
e imprimer lui-même ; elle fit partie de l’ample description que l’on
publia
en 1665 pour éterniser le souvenir de la fête, in
erre] Voici la première fois qu’en France Le Festin de Pierre est
publié
tel que l’a composé Molière. On n’a fait que suiv
ges jugés répréhensibles. Vers le même temps, un libraire de Hollande
publia
Le Festin de Pierre, sinon mutilé par la censure,
L’organe du parti fut un sieur de Rochemont, avocat en parlement, qui
publia
, sous le titre d’Observations sur le Festin de Pi
as Castelli, auteur d’une traduction italienne des œuvres de Molière,
publiée
, pour la première fois, en 1697, a traduit Le Fes
et prospérité ; puis M. Garraud a dit sa poésie : À Molière, que nous
publions
en tête de cette livraison, et qui a été chaleure
e II, nº 14, 1er mai 1880, p. 35-43. En 1794 et années suivantes fut
publiée
en Italie une « Bibliothèque choisie des composit
eilli, retenu. Ses premières études sur Molière remontent à 1852 : il
publia
dans L’Illustration les « Reliques de Molière » q
entant au préjudice des droits de la Comédie, et dont M. Bonnassies a
publié
le texte dans ses Spectacles forains et la Comédi
membre de la Société de l’Histoire de Paris, M. Philéas Colardeau, a
publié
, il y a trois ans, sur cette salle de théâtre au
Dans le 13e numéro du Moliériste (1er avril 1880), Édouard Thierry a
publié
une très intéressante étude : Molière et Tartuffe
n trouve dispersée dans ma traduction anglaise des Œuvres de Molière,
publiée
à Édimbourg, 1875-1877. Il est à regretter que, j
a première fois en 1667, et fut représentée trente-trois fois. On l’a
publiée
l’année suivante sans nom d’auteur. Sir Martin es
e trois traductions littérales du Dépit amoureux, l’une par M. Ozell,
publiée
en 1714, l’autre en 1732 par MM. Miller et Baker,
e en 1714, l’autre en 1732 par MM. Miller et Baker, et une troisième,
publiée
sous les auspices de l’acteur et auteur dramatiqu
n’a aucun talent, et que Dryden a attaqué dans une de ses satires, a
publié
, en 1667, une imitation des Précieuses, avec des
Précieuses ridicules, tandis qu’une autre, probablement de Foote, fut
publiée
en 1742. M. Miller, pasteur protestant, a fait re
ne (La Fortune du soldat), une des comédies les plus obscènes qu’il a
publiées
, jouée pour la première fois en 1681, a pris la n
e pièce fût remplie d’obscénités, elle n’eut aucun succès. M. Ozell a
publié
une traduction littérale de Sganarelle, en 1714 ;
a publié une traduction littérale de Sganarelle, en 1714 ; Baker en a
publié
une autre en 1732. Le dernier traducteur, dans un
s curieux de Paris avec leur demeure et la qualité de leur curiosité,
publiée
par P. Jacob Spon dans sa Recherche des antiquité
octobre 1880, p. 216-217. Notre savant collaborateur Paul Lacroix a
publié
récemment, chez Jouaust, dans la Nouvelle collect
son cabinet et une rente de 2 000 livres sur l’hôtel de ville41. Il a
publié
quelques cartes et travaux d’histoire et de géogr
inouïes, les pièces inconnues ou rarissimes, que j’ai rassemblées et
publiées
sous le titre de Ballets et mascarades de cour so
son Account of the Dramatic Poets (Histoire des poètes dramatiques),
publiée
en 1688, admet, en parlant du Jardin des mûriers,
ier acte, et la seconde et la troisième scène du second acte. Ozell a
publié
aussi une traduction littérale des Fâcheux, et un
oliéristes, celui de Victoire de la Chappe, marraine. Parmi les actes
publiés
par M. Brouchoud, l’un des plus riches en signatu
7 et 21 mars 1664 (Soulié, Recherches, p. 205-208). II Un acte,
publié
l’an dernier dans cette Revue, rappelle que Moliè
ville que mourut François de la Cour, dont M. Brouchoud a retrouvé et
publié
l’acte de mariage déjà rappelé ci-dessus et que v
ade du Louvre ; en 1666, s’élève l’Académie des sciences. En 1667, on
publie
cette fameuse ordonnance concernant la procédure
alanterie qui régnait dans toutes ses habitudes. En 1662, La Fontaine
publie
Joconde, ouvrage composé pour l’amusement de la d
endroits, comme l’atteste ce vers de la troisième satire de Boileau,
publiée
en 1665 : Molière avec Tartuffe y doit jouer son
e la scène cet ouvrage entrepris pour les démasquer. Un curé de Paris
publia
contre Molière un livre où sa comédie était quali
preuve certaine dans une Lettre sur la comédie de l’Imposteur qui fut
publiée
quinze jours après la représentation du 5 août 16
juste discernement. » Cette citation est tirée de l’édition originale
publiée
, en 1665, par Ballard, et plusieurs fois réimprim
était âgée de dix-sept ans seulement ; et ce n’est qu’en 1683 qu’elle
publia
sa traduction de trois comédies de Plaute. La dis
nc pu être détournée par la crainte des Femmes savantes, du projet de
publier
une dissertation contre l’Amphitryon moderne. 6
avail, que nous venons de relire avec profit, M. E. Burat de Gurgy, a
publié
, en 1838, dans Le Monde dramatique (4e année, t.
que M. Henri de la Garde découvrit chez un libraire d’Avignon et que
publia
dans le Journal des Débats Joseph d’Ortigues ; d’
Scapin 19 ? Molière écrivit même alors des ballets et M. P. Lacroix a
publié
le ballet des Incompatibles, à huit entrées, dans
Édouard Thierry, dont l’érudition fait loi en matière théâtrale, aura
publié
le Manuscrit de La Grange (Varlet), — cet honnête
st gros : Documents inédits sur J.-B. Poquelin Molière, découverts et
publiés
par M. Émile Campardon, archiviste aux Archives n
’Aimé Martin avait vu et que M. Paul Lacroix découvrit en 1822, a été
publié
dans la Collection Moliéresque. On y lit que Moli
ond, et à côté des dévots il y a des despotes. M. Louis Moland, qui a
publié
une édition nouvelle de Molière36, a eu l’idée de
e M. P. Lacroix nous dénonce comme le curé d’une paroisse de Paris37,
publiait
un pamphlet odieux dans lequel il attaquait à la
enté par M. Trissotin, dit le Mercure, a donné lieu à ce qui s’en est
publié
. Mais Molière s’est suffisamment justifié de cela
ine, mais aussi celui qu’un contemporain, l’auteur du Livre sans nom (
publié
à Lyon, chez Baritel l’aîné, MDCCXI), plaçait déj
des pamphlets les moins odieux, et pourtant les plus amers, qu’on ait
publiés
sur Molière, c’est Le Mariage sans mariage du com
n Ch. Jaulnay, doyen et chantre de l’église de Saint-Roulé, à Senlis,
publia
une longue pièce de vers, L’Enfer burlesque, tiré
langer de Chalussay, que nous allons rencontrer tout à l’heure, avait
publié
son Élomire hypocondre, ce nom d’Élomire, cet ana
lnay, défenseur imprévu de la morale, n’avait pas rougi dans un livre
publié
par lui, Les Questions d’amour, de poser des ques
son livre absolument étonnant et définitif, Recherches sur Molière, a
publié
l’inventaire de la maison de Molière. On a invent
à ma mère ! » 28. Voyez l’édition de l’Histoire de la Guérin, qu’a
publiée
, avec une préface et des notes, M. Jules Bonnassi
rault, l’auteur des Contes, et le Dictionnaire de Bayle (t. IV). 42.
Publié
d’après l’édition de Paris, 1670. J. Gay et fils
872. 51. M. P. Lacroix, si érudit en tout ce qui concerne Molière, a
publié
sur Molière le plus curieux des livres, c’est la
’artifice qu’il s’avisa de faire vis-à-vis sa maison en l’année 1674,
publièrent
partout que, s’il n’avait pas réussi dans ce feu-
d’imitation de Molière au chapitre intitulé Molière comédien. 58.
Publié
par M. A. Jal. 59. Publié par M. Benjamin Fillon
chapitre intitulé Molière comédien. 58. Publié par M. A. Jal. 59.
Publié
par M. Benjamin Fillon. 60. Tiré du Mercure gala
encore la connaître. Cependant on lit en tête d’Il Postumio, comédie
publiée
par Flaminio Scala à Lyon en 1601, un sonnet dell
625. Giovanni-Battista Andreini perdit son père vers cette époque. Il
publia
, dans le cours de l’année 1624, un opuscule intit
l aurait grand tort de le faire, puisqu’il fait profession ouverte de
publier
en plein Théâtre les vérités de tout le monde. Ce
n plein Théâtre les vérités de tout le monde. Cette raison m’oblige à
publier
les siennes plus librement que je ne ferais. Je n
nce à la porte des Temples, puisque, loin de se fâcher de ce que l’on
publiait
leurs sottises, ils s’en glorifiaient. Et de fait
, et dont l’auteur semble convenir en partie dans l’examen qu’il en a
publié
. Le plus remarquable de ces défauts est l’épisode
l aurait grand tort de le faire, puisqu’il fait profession ouverte de
publier
en plein théâtre les vérités de tout le monde : c
plein théâtre les vérités de tout le monde : cette raison m’oblige à
publier
les siennes plus librement que je ne ferais. Je n
ence à la porte des temples, puisque loin de se fâcher de ce que l’on
publiait
leurs sottises, ils s’en glorifiaient : et de fai
t fait de bruit que les ennemis même de Molière ont été contraints de
publier
ses louanges, mais non pas sans faire connaître p
le royaume de Tendre, dont mademoiselle de Scudéry n’eut l’idée et ne
publia
la carte que dix ans plus tard. Ils en font, en u
’elle avait été de la société de Julie de Rambouillet, elle les avait
publiés
sous le nom de son frère. Dégagée de toute contra
Observations sur l’édition des Œuvres de Molière
publiée
en 1682 par La Grange Au moment de publier ce
des Œuvres de Molière publiée en 1682 par La Grange Au moment de
publier
cette troisième édition des œuvres de Molière, no
ère, c’est-à-dire au monde littéraire tout entier. L’édition de 1682,
publiée
par La Grange, acteur de la troupe de Molière, et
non cartonnée, nous l’avons collationnée sur les éditions originales
publiées
du vivant de l’auteur, et c’est le résultat de ce
une supériorité incontestable sur celui de toutes les autres éditions
publiées
en Hollande. La servante de Molière ne s’y serait
moindres ouvrages de Molière. Répondant à la pensée de Boileau, nous
publions
aujourd’hui, non le Docteur amoureux, qu’on n’a p
èles, Gautier Garguille, Turlupin et Gros-Guillaume. Ces deux farces,
publiées
en 1819 par Désoer, ne furent tirées qu’à petit n
avail est difficile, il sera long ; toutefois nous espérons encore le
publier
à la fin de cette édition L. AIMÉ-MARTIN. Paris,
L. AIMÉ-MARTIN. Paris, 3 mars 1845. Préface de la première édition
publiée
de 1824 à 1826. Quel que soit le nombre des au
grand nombre de faits nouveaux, et de toutes les observations que je
publie
aujourd’hui sous la forme d’un variorum. S’il m’
bonté. Les personnes qui voudront bien se souvenir que dans le Racine
publié
en 1820 j’ai donné le premier modèle d’un varioru
ses d’Ovide, mises en rondeaux par Benserade, tandis que Benserade ne
publia
son livre que dix-sept ans après la première repr
cependant, il faut le dire, non-seulement ces documents, qui ont été
publiés
, ne contredisent en rien la Vie de Molière par Gr
ignoré. Que ne signalaient-ils ses erreurs et ses omissions ? Que ne
publiaient
-ils de nouveaux Mémoires ? Et pourquoi ne pas fai
te, du 12 septembre 1731. 4. Cette édition est peu connue ; elle fut
publiée
à Naples en 1690, chez Charles Porsile, en trois
dition de M. Amar. 15. A la tête de l’édition des œuvres de Molière,
publiée
en 1682. 16. Mercure, mois de mai 1740. 17. Vo
n-Rival ; nous avons tout recueilli. 19. Œuvres de J.-B. Rousseau,
publiées
par M. Amar, tom.V, p.291 et 327. 20. Lettres de
d’une brochure intitulée Vie de Molière, 1739.) 22. Ces notes furent
publiées
en 1824. Déjà M. Taschereau avait donné une Vie d
e moi, je n’ai point copié M. Taschereau. (Note de la seconde édition
publiée
en 1837.) 23. Mémoires de Segrais, page 173.
a secrètement. Cette découverte précieuse est due à M. Beffara, qui a
publié
l’acte de mariage de Molière, acte qu’il ne sera
n 1682, et on ne la trouve pas dans la seconde édition du Misanthrope
publiée
chez Claude Barbin, un peu plus d’un an après la
eulement dix ans après la mort de Molière, en 1683, que madame Dacier
publia
sa traduction des trois comédies de Plaute, avec
istoire de la troupe de Molière à la suite de ces Mémoires. La Grange
publia
en 1682 une édition des Œuvres de Molière, et il
était sincère, et ce n’est point par courtisanerie que, dans un livre
publié
à Berlin où il s’était réfugié, il exalte avec ta
emps tous ses chefs-d’œuvre, et Pascal, dont les Provinciales étaient
publiées
depuis cinq ans ! Louis XIV, il est vrai, vit mou
au, qui s’était déjà, comme Racine, annoncé sous Mazarin, mais qui ne
publia
que plus tard ses principaux ouvrages, c’est avan
e : c’est MmeCampan qui, la première, l’a racontée dans ses Mémoires,
publiés
en 1822, un siècle et demi après la mort de Moliè
ef-d’œuvre de Sheridan : The School for scandal. L’édition de Molière
publiée
à Londres en 1732 est une des premières éditions
Les travaux sur l’auteur comique se multiplièrent. En 1802, Cailhava
publiait
ses études sur Molière. Plus tard, Népomucène Lem
c un zèle égal à celui que nous déployons en France. M. Paul Lindau a
publié
sur Molière plusieurs ouvrages distingués. Messie
éricains, Molière est au même niveau que chez les Anglais. Un article
publié
dans le North American Review, en 1828, mérite d’
e qui concerne Molière, sa vie et ses œuvres, jusqu’à la date où nous
publions
ce volume, dans lequel nous avons cherché à recue
nze années de cette union. L’inventaire, après décès de Marie Cressé,
publié
par M. E. Soulié, révèle une large aisance, un co
e dette de deux mille six cents livres, ainsi qu’il résulte des actes
publiés
par M. Eud. Soulié. Molière et ses compagnons ne
us positifs. M. Jules Rolland, dans son Histoire littéraire d’Albi, a
publié
des documents dignes d’attention. Le premier de c
êmes provinces, un peu plus tard, en 1657. Nous voyons, par des actes
publiés
par M. Jules Rolland19, qu’elle avait un bagage p
é découvertes par M. L. de la Pijardière, archiviste de l’Hérault, et
publiés
par lui dans Le Moliériste de novembre 1885. Elle
le fut donnée aux époux le 23 fevrier. Les actes authentiques ont été
publiés
par M. Brouchoud. Un événement beaucoup plus rema
du trésorier de la bourse de Languedoc, pour la session de 1650-1651,
publié
par M. de La Pijardière, que ces allocations aux
recouvrer et peut-être ne le fut jamais intégralement. Joseph Béjart
publia
un « Recueil des titres, qualités, blasons et arm
. Un extrait des procès-verbaux de la session des États de 1655-1656,
publié
par M. Galifert et cité par M. J. Loiseleur, étab
style forcé. » Mais le Menagiana, il est bon de le remarquer, ne fut
publié
qu’en 1693, c’est-à-dire trente-quatre ans plus t
ence à la porte des temples puisque, loin de se fâcher de ce que l’on
publiait
leurs sottises, ils s’en glorifiaient. » Ni les
célébrer le talent du poète et celui du comédien. La pièce fut ainsi
publiée
au mois d’août 1660. Le nom de l’auteur n’y était
chambre du roi. C’est bien de lui qu’il s’agit dans L’État de France,
publié
en 1663, où sont indiqués, au nombre des huit tap
olière et d’Armande Béjart fut signé le 23 janvier 1662. Ce document,
publié
en 1863 par M. E. Soulié, est si important qu’il
ermain-l’Auxerrois, en présence des deux familles. L’acte de mariage,
publié
d’abord par Beffara, a été réimprimé par M. Jal.
par la découverte de l’acte de mariage et des documents authentiques
publiées
par M. Eud. Soulié, semble avoir déçu et irrité c
Retz, ami de Molière et alors archevêque de Paris, qu’un seul serait
publié
; puis, à bas bruit, sans autres témoins que les
èle à cet engagement. Quoique ses adversaires se fussent empressés de
publier
leurs satires, il ne fit même pas imprimer L’Impr
s n’avaient pas cessé d’être très productives. Cette pièce ne fut pas
publiée
du vivant de Molière, et ne le fut, dans l’éditio
u seul nom de satire… Ce sont eux que l’on voit d’un discours insensé
Publier
dans Paris que tout est renversé Au moindre bruit
chef-d’œuvre inimitable ! » De Vizé, l’ancien détracteur de Molière,
publia
une longue lettre apologétique que le libraire Ri
t de Saint-Séverin de vous signifier la présente ordonnance, que vous
publierez
en vos prônes aussitôt que vous l’aurez reçue, en
ire hypocondre ou les Médecins vengés, par Le Boulanger de Chalussay,
publiée
en 1670. Il est fort difficile toutefois de recon
M. Parent de Rosan a communiqué à M..J. Loiseleur et que ce dernier a
publié
dans son ouvrage sur les Points obscurs de la vie
e Bergerac est auteur d’une comédie intitulée Le Pédant joué, qui fut
publiée
chez Ch. de Sercy, in-4° et in-12, en 1654, mais
ine, écurie et remise au rez-de-chaussée, caves et greniers. Le bail,
publié
par M. Eudore Soulié, est du 26 juillet. Cette ma
les plus intéressants sur les derniers moments de Molière. Elle a été
publiée
pour la première fois en 1800, dans « Le Conserva
n’empêche pas qu’on le regrette tous les jours… Samuel Chapuzeau qui
publia
en 1674 un précieux petit volume sur le Théâtre f
fut commencé le 13 mars et dura six jours. M. E. Soulié a retrouvé et
publié
ce document, qui donne une idée du grand luxe don
Hercule mourant va te rendre immortel ; Au ciel comme en la terre il
publiera
ta gloire, Et, laissant ici-bas un temple à sa mé
it été blessé assez souvent pour en garder des traces. M. Campardon a
publié
une plainte de Louis Béjart, à la date du 31 mai
ne pas négliger Le Dossier de La Grange, formé par M. E. Thierry, et
publié
à la suite de la notice dans la brochure à part.
et publié à la suite de la notice dans la brochure à part. La Grange
publia
, avec un nommé Vinot qui avait été, disent les fr
pour enseigne l’image de Saint-Christophe et dont M. Eudore Soulié a
publié
l’acte d’acquisition. Cette maison devint le domi
t qui demeurait, comme il résulte de plusieurs des actes authentiques
publiés
par M. Soulié, « sous les piliers de la Tonneller
la littérature ; elle fit représenter des tragédies, des comédies, et
publia
un grand nombre de romans. 17. La Troupe de Mol
septembre 1884. 21. Mémoires de Daniel de Cosnac, archevêque d’Aix,
publiés
par la Société de l’histoire de France, par le co
ue ce nom est écrit de Bieule dans les procès verbaux des États. 40.
Publié
à Francfort, en 1688, chez Fraus Rottemberg. 41.
e se sert d’une expression un peu plus crue. Racine le fils, quand il
publia
la lettre de son père, voulant atténuer cette exp
livre de comptes de la troupe. Le premier registre (1663-1664) a été
publié
dans la Collection moliéresque par M. Monval en 1
Voyez ci-après, page 306. 116. Cette relation, sans signature, a été
publiée
par M., Benjamin Fillon dans les Considérations h
. Voyez le Journal du voyage de deux Hollandais à Paris en 1657-1658,
publié
par M. P. Faugère ; Paris, Duprat, 1862. 118. Vo
de M. Paul Lacroix : XVIIe siècle, institutions, usages et costumes,
publié
à la librairie A.-F. Didot, in-4, page 311. 155.
x invisible et L’Ombre de Molière, dans Les contemporains de Molière,
publiés
par M. Fournel, t. I, p. 478. Voyez aussi un arti
econd Théâtre-Français et seront rééditées jusqu’en 1802, année où il
publie
aussi des Essais sur Molière. (DET, M de Rougemon
française un commentaire complet des comédies de Molière. Bret a bien
publié
une édition des œuvres de ce grand comique, avec
éminence que le théâtre français a sur tous les autres. Mais ayant de
publier
mon travail, j’ai cru devoir soumettre au public
j’ai fait sur la Comédie, et qui précédera les Œuvres de Molière. Je
publie
aussi l’analyse raisonnée du Misanthrope et du Ta
s médiocres dessinées par Brissart et Sauvé pour l’édition de Molière
publiée
en 1682. L’on aurait ainsi tous les élémens néces
e l’être pas sur un détail essentiel ; quant à Brissart et Sauvé, ils
publièrent
leur suite moins de dix ans après la mort de Moli
, Qui, seule, épuise l’art de la Savonnerie. Les papiers de Molière,
publiés
par Eudore Soulié, nous introduisent, en effet, d
t Molière n’écrit rien contre elle, mais dans la préface de Tartuffe,
publiée
en 1669, il semble faire amende honorable : « La
mé. Je veux parler de cet Elomire hypocondre, ou les Médecins vengés,
publié
en 1670 par Le Boulanger de Chalussay. Le titre d
omaize, ou des amateurs trop enthousiastes, comme Neufvillenaine, les
publiaient
sans sa permission. Mais, le manuscrit une fois l
lier : une lettre de Louis Riccoboni, leLéliode la comédie italienne,
publiée
par M. G. Monval dans leMoliéristed’avril 1Ï85, c
rance un plaisir ignoré. De pèlerins, dit-on, une troupe grossière En
publie
à Paris y monta la première ; Et sottement zélée
s l’exposé que j’avais à vous présenter, à peu près tout ce qui s’est
publié
autrefois ou récemment sur les origines de l’art
t pièces dramatiques qui l’ont précédé. Le grand d’Aussy, jésuite qui
publia
d’après les manuscrits, en 1780, un fragment du J
ncore plus ennuyeuse et d’un genre absurde.» M. Onésime Le Roy, qui a
publié
un gros livre sur les mystères, a beau se révolte
fin, M. Taschereau a bien voulu revoir, compléter et nous autoriser à
publier
la cinquième édition de son Histoire de la vie et
celle dont l’achevé d’imprimer porte la date du 6 juin 1669, Molière
publia
trois placets successivement adressés par lui au
iographie, et depuis trente-huit ans que notre première édition a été
publiée
, presque chaque jour, en dépit de la conscience d
Festin de Pierre et du libelle du curé de Saint-Barthélemy. La cabale
publie
un affreux libelle sous le nom de Molière. Condit
plus avantageux), et protester même que c’était contre son gré qu’il
publiait
son ouvrage. Il serait inexact de dire que cette
on de l’auteur ; comme aussi, d’un autre côté, dès qu’une pièce était
publiée
, les troupes rivales de celle qui l’avait mise à
ès de lui son procédé en alléguant que, s’il n’avait pris le parti de
publier
cette leçon très exacte, il en allait paraître d’
ette incroyable boutade. Boileau, à cette époque, n’avait encore rien
publié
, mais il avait composé trois de ses satires, en a
rince dit dans son Traité de la comédie et des spectacles, qui ne fut
publié
qu’un an après sa mort, arrivée au commencement d
dame, Henriette d’Angleterre, en accepta la dédicace quand Molière la
publia
, le 17 mars. Peu après Pâques et la réouverture d
tous les cas, le voyage aurait été inutile, car la Gazette du 17 mai
publiait
: « Ce grand monarque est soigneux de retrancher
sachant le fond de l’affaire. On voit, par l’article de la Gazette
publié
dès le 17 mai, combien on cherchait à envenimer l
rre Roullès ou Roullé, curé de Saint-Barthélemy, docteur en Sorbonne,
publia
peu après une sorte de panégyrique de Louis XIV,
conde édition d’une version en prose française de Lucrèce qu’il avait
publiée
dix ans auparavant, sous les auspices dédicatoire
représentation, et ne put jamais, malgré un privilège accordé67, être
publiée
du vivant de Molière. Ils étaient même parvenus à
e ces deux villes pour empiétement de droits. Les mémoires qui furent
publiés
de part et d’autre à cette occasion dévoilèrent d
La Fontaine fit paraître en 1664 son conte intitulé Joconde. On avait
publié
en 1663 les œuvres posthumes de M. de Bouillon, d
e ces critiques, nous rapporterons ici quelques passages d’un libelle
publié
en 1665, ayant pour titre : Observations sur une
t de Saint-Séverin de vous signifier la présente Ordonnance, que vous
publierez
en vos prônes aussitôt que vous l’aurez reçue, en
une orgueilleuse satisfaction, il se mit dans cet intervalle à courir
publier
de tous côtés l’honneur que Molière lui faisait,
plusieurs années s’était exercé à usurper les droits de Molière ou à
publier
les satires dirigées contre lui, au lieu de conti
rendre éditeur avoué et légitime de ses œuvres. Il avait précédemment
publié
, en 1667, Le Misanthrope et Le Médecin malgré lui
de juin, c’est-à-dire moins de trois mois après, il était obligé d’en
publier
une seconde qu’il fit précéder des trois Placets
erreur si l’on regardait le poème de La Gloire du Val-de-Grâce, qu’il
publia
la même année pour rendre hommage au talent de Mi
que notre édition ne parût pas moins complète que celles qui ont été
publiées
dans ces derniers temps et qui ont reproduit les
ses, Paris, 1661, t. Il, p. 77 et suiv. 34. Bien que nous ayons déjà
publié
ces détails il y a nombre d’années, la même mésav
de l’une et p. 50 de l’autre des éditions de ce pamphlet, toutes deux
publiées
chez Jean Ribou, en 1660, in-12. 35. De M. Quina
ravail. « Le 6 de ce mois, dit la Gazette du 13 novembre 1660, on a
publié
ici des défenses à toutes personnes de faire trav
son correspondant lui dit : « Vous ne fîtes jamais mieux que de faire
publier
, avant que de faire jouer votre Critique, que l’o
1669, tandis qu’Élomire hypocondre, non représenté, ne fut imprimé et
publié
qu’en janvier 1670. C’est d’ailleurs un infâme li
le dans un fauteuil. Etendez la main vers ces admirables éditions que
publie
la maison Hachette, vers cette collection des Gra
é l’approche des vacances. Louis GANDERAX. 1. Nouvelles éditions
publiées
sous la direction de M. Ad. Régnier, in-8° ; Hach
françaises qui accompagnent l’édition du divertissement de Chambord,
publiée
chez Ballard, (indiquée comme imprimée en 1670, i
er qu’évidemment, si l’on admet l’ordre indiqué par le divertissement
publié
chez les Ballard, l’ordre des scènes y eût gagné.
oir été, comme tant d’autres pièces de Molière, corrigée avant d’être
publiée
. La tradition résultant de représentations nombre
. Dans l’année 1665 parurent les Maximes de La Rochefoucauld. Boileau
publia
dans le même temps son Discours au roi, dont j’ai
rniers mots, dans les exemplaires non cartonnés des Œuvres de Molière
publiées
par La Grange et Vinot, sur les propres manuscrit
yez tome VII, p. 177-179 de l’édit, de 1682. 8. En 1813, M. Simonnin
publia
pour la première fois, d’après l’édition de 1683,
cette analyse se trouve dans l’Histoire de l’ancien théâtre italien,
publiée
par les frères Parfait, en 175351. Des canevas qu
talien de Riccoboni. 51. Voyez l’Appendice, nº 7. 52. Arlequiniana
publié
en 1694, page 2. 53. Cette scène faisait certain
ce poëte comique. On doit à M. Joly l’édition des œuvres de Moliere,
publiée
en 1734, en 4 volumes, in:4º. Le même en a donné
s. C’est celui de Madeleine de Scudéry. Mais elle n’avait encore rien
publié
alors ; ses premiers écrits n’ont paru qu’après l
e Lagrange. préface E. Thierry, p. 78. 6. Moliériste, N° 31, lettre
publiée
par M. le duc d’Aumale ; n» 32, article de M. Rég
le de M. Régnier. 7. Corresp. entre Boileau-Despréaux et Brossette,
publiée
en 1858; citée par M. Mesnard, éd. des Grands écr
58; citée par M. Mesnard, éd. des Grands écrivains de la France. 8.
Publiée
clans l’éd. Mosnard. 9. Histoire de France, éd.
meilleure épitaphe. 16. Le Traité de la comédie et des spectacles,
publié
sans nom d’auteur. — Biblioth. de l’Arsenal. 17.
rence produit de grands effets. 23. On ne croit pas que le théâtre
publié
sous le nom de Baron, soit de lui ; mais il étoit
e de ses contemporains. Il y a vingt ans que notre regretté confrère
publiait
sous ce titre : le Roman de Molière, un petit liv
jusque-là faute d’éléments de critique et de contrôle, Eudore Soulié
publiait
ses Recherches sur Molière et sur sa famille. Soi
entis ! Tous les livres sur Molière vont en être bouleversés. J’en ai
publié
un, moi-même, il a quelque temps2, où j’aurai à r
cdote, au tome II, page 102, de la Mosaïque historique de Dusaulchoy,
publiée
en 1818 : « Il a, dit-il, existé à…, deux visitan
Retz, ami de Molière et alors archevêque de Paris, qu’un seul serait
publié
; puis, à bas bruit, sans autres témoins que les
terdam, et d’après elle, il avait donné, dans son édition de Molière,
publiée
la même année, les deux scènes depuis si longtemp
tes du fragment des Mémoires de Brossette que M. Laverdet a récemment
publié
pour la première fois53, sont on ne peut plus pré
ontre ces maudits du théâtre, un opuscule dévot, qui ne fut toutefois
publié
qu’un an après sa mort. En voici le titre : Trait
doce, la direction des urnes. Voici quelques fragments de son factum,
publié
sans date, sous le titre étrange de : Le Roy glor
y songea plus. D’un autre côté, comme, sans perdre de temps, il avait
publié
, pendant la quinzaine qu’avait durée la clôture d
t récréative du Galand qui a faict le coup. A Lyon, en 1606, on avait
publié
le Valet ci tout faire, une vraie farce du bon te
n 1612. Il est évident que les sept farces qui s’y trouvent n’ont été
publiées
« et mises en meilleur ordre et meilleur langage
ans l’édition dont il s’était donné le soin. Elles ne furent même pas
publiées
à part. Vingt ans après, elles étaient, même pour
Viollet le Duc, les retrouve, et de peur de disparition nouvelle, les
publie
en une brochure charmante, chez le libraire Désoe
fut qu’une mesure amiable et sans éclat. Charles de Sercy, qui avait
publié
Élomire, ayant été bien et dûment averti, coupa c
a écrit, dans ses Réflexions critiques sur la Poésie et la Peinture,
publiées
en 1719 : " Plusieurs personnes dignes de foi m’o
alheur que je réparerai ici pour le plus précieux des trois fragments
publiés
par M. d’Ortigues, celui que j’ai appelé dans la
fin imprimer complètement ce que le comédien auteur s’était permis de
publier
par parties. Après la scène du Don Juan s’en trou
ssique. Selon l’opinion commune, la première édition de l’Aloysia fut
publiée
à Grenoble, vers 1660 (sept ans avant la première
ise action. C’est une page de Senécé, dans son pamphlet contre Lully,
publié
sous le titre de Lettre de Clément Marot à M. de
. « Il nous a encore, dit Brossette dans un fragment de ses mémoires
publié
il y a quelques années, il nous a encore récité c
e signalerai celui de M. René Delorme, Musée de la Comédie Française,
publié
à la librairie Ollendorff, avec un luxe typograph
riotique. Bret, qui, à ce même moment, choisi d’ailleurs tout exprès,
publia
sa remarquable édition de Molière, trouva moyen d
Ceci a été écrit vers 1858. (Note de l’éditeur.) 26. Ils n’ont été
publiés
que dans le Bulletin du bibliophile, 1853-1854, p
obinet, 22 décembre 1668. 100. Tallemant, idem, p. 38. 101. Auger a
publié
, d’après les manuscrits de Conrart, le sonnet et
la lettre que cette mort inspira à Molière. 102. M. Taschereau en a
publié
, d’après le seul exemplaire connu, la partie la p
intérêts à Bordeaux, les articles et conditions la régissant y furent
publiés
dans un volume, déjà signalé par Francisque Miche
s. Chaque fois qu’il y est question, comme dans celle du 13 mars 1663
publiée
par M. Clément (Cor. de Colbert, n, p. ccm), de «
évidemment la vraie, je renverrai à une très curieuse petite brochure
publiée
à petit nombre chez Techener : De L’orthographe d
3). C’est bien de l’honneur qu’on lui a fait là. La seconde lettre,
publiée
par le Mercure de mai 1738 (p. 826 à 836), sous l
upart ont été contemporains de Molière », avec le texte préalablement
publié
par le Mercure, et notre conclusion peut se résum
. Les frères Parfaict, copiant un passage des Mémoires de La Serre,
publiés
en tête de la belle édition in-4° de 1734, écrive
les Anciens et les Modernes, stances irrégulières.) 53. Le 21. 54.
Publiée
pour la première fois en 1677, Cologne. 55. Merc
ue ressentaient particulièrement en France les comédiens italiens. Il
publia
dans ce but « La Supplica, discours familier de N
nt, Gulphar alla tout droit Conter ce cas, le corner par la ville, Le
publier
, le prêcher sur les toits. De l’en blâmer il sero
ame regarde le Comte comme un monstre, surtout lorsqu’il la menace de
publier
son aventure & de montrer sa lettre, si elle
nt de gens m’ont accosté sur le boulevard en me disant : « Allez-vous
publier
votre Théâtre-Femme? » que j’ai accepté ce titre,
eurs de ces pays-là ne montent pas si volontiers sur leurs toits pour
publier
la misère du foyer. Il n’y a que la France, c’est
ffe. 771. Ce sont eux que l’on voit, d’un discours insensé,
Publier
dans Paris que tout est renversé, Au moindre b
ustification de celle pièce, la lettre sur la comédie de l’Imposteur,
publiée
le 20 août 1667, et dont Molière peut être regard
de la Compagnie du Saint-Sacrement ? Nous l’ignorons; ce fripon, qui
publiait
, nous dit-on, en 165937, un livre édifiant intitu
la Compagnie du Saint-Sacrement, par le comte René Voyer d’Argenson.
publiées
par le R. P. dom Beauchet-Filleau, Paris et Marse
de la Compagnie dans les si intéressans Mémoires du chanoine Hermant,
publiés
pur M. Gazier, notamment, au t. IV, p. 392 et sui
st un recueil curieux que celui de tous les libelles qui furent alors
publiés
contre lui ; on y trouve rassemblé tout ce que la
a violence et la perfidie de sa critique. Dans les observations qu’il
publia
sur cette dernière pièce, il débute avec le ton p
colère des hypocrites de royalisme et de religion, écoutez ce qu’ils
publiaient
contre le grand poète auquel la postérité décerne
ait des notes très utiles dans l’édition de Molière qu’il a récemment
publiée
.
Les Grands Écrivains de la France, nouvelles éditions
publiées
sous la direction de M. Ad. Regnier, de l’Institu
ies de Molière, et, au nombre des volumes de la collection, récemment
publiés
, il y a deux volumes de ce grand poète, les tomes
s moments à notre imagination : « Une religieuse débauchée et dont on
publie
la prostitution, un pauvre à qui on donne l’aumôn
e philosophe. 9. Le passage du moine bourru n’est pas dans l’édition
publiée
par Molière, mais il est dans l’édition de Hollan
le à ceux qui nous vantent si fort la morale de M. de Molière, et qui
publient
hautement dans Paris, qu’il a corrigé plus de déf
. Picard ; mais ayant à retracer dans un ouvrage que je me propose de
publier
incessamment les mœurs d’une époque qu’il a si bi
ite, mais en en rajeunissant l’orthographe, l’édition de Tristan qu’a
publiée
M. Edmond Girard à la Maison des Poètes. 3. M.
lettres à la fin de la 6e période du xviie siècle. La Bruyère qui a
publié
ses Caractères en 1687, mais qui a passé vingt an
nuptial, entretiens comiques, que l’auteur, Samuel Chappuzeau, avait
publiés
en 1656, et qu’il fit représenter, arrangés pour
uvrage ne fut imprimé qu’après sa mort, dans l’édition de ses œuvres,
publiée
par Vinot et La Grange. L’accueil fait aux Précie
ion fût saisie aujourd’hui d’une manière favorable pour l’acteur ; le
publie
n’accepte plus le talent en compensation des infi
entations consécutives. Molière ne la fit point imprimer ; elle a été
publiée
, pour la première fois, dans l’édition de ses œuv
, et peut-être seront-ils surpris de la sévérité de l’éditeur. Je les
publie
, ces arguments, parce qu’il y a toute apparence q
imité Horace et Juvénal, etc. Cotin ne s’en tint pas à sa satire, il
publia
un autre ouvrage sous ce titre : La Critique dési
end être représenté par M. Trissotina, a donné lieu à ce qui s’en est
publié
, mais M. Molière s’est suffisamment justifié de c
une scène fort curieusea. Mais que direz-vous du sieur Richelet qui a
publié
que l’on enterra l’abbé à Saint-Merry l’an 1673 ?
le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul, m’apporta un jour un Molière,
publié
en 1814, chez Nicolle, en 6 volumes in-S, annoté
euillets contenant les notes manuscrites furent reliés dans l’édition
publiée
en 1814 chez Nicolle, en 6 volumes in-S annotés p
de l’édition stéréotype de Firmin Didot, 17999. Les pièces dont nous
publions
les notes se trouvent dans les volumes suivants :
portait pour titre ; Vie de César, sous la condition de n’avoir à les
publier
que dix ans après sa mort. M. Crozet, en m’en acc
usant réception, me disait qu’il allait les mettre en ordre, pour les
publier
à l’époque indiquée. Le fait est que, jusqu’à pré
’époque indiquée. Le fait est que, jusqu’à présent, ils n’ont pas été
publiés
, bien qu’ils auraient pu l’être en 52, Stendhal é
ie peu considérable des Commentaires qui d’ailleurs ne pouvaient être
publiés
qu’avec le fil conducteur de l’exemplaire de M. l
, l’on verra l’un des capitans les plus renommés, Francesco Andreini,
publier
ses Bravure, ses bravacheries, divisées en plusie
sformé en comédie écrite. C’est là l’histoire des pièces que Ruzzante
publia
à la fin de sa vie d’improvisateur et d’acteur, l
de Molière,comédie qui ne pouvait être autre que Les Femmes savantes,
publiée
au mois de mai de cette année ; le second, c’est
donné presque toutes ses comédies avant que Boileau et Racine eussent
publié
ces ouvrages si élégants et si purs qui ont fixé
première comédie de Molière, l’Étourdi. Suivant l’édition originale,
publiée
en 1663, Mascarille dit à Lélie qui vient, pour l
ble texte. Ce texte se trouve seulement dans les éditions partielles,
publiées
du vivant de Molière et jusqu’à l’année de sa mor
iennes, dont elles n’étaient souvent qu’une imitation. On a récemment
publié
deux de ces pièces, les seules qui aient été cons
ani, dans le recueil de ses lettres à madame d’Épinay, qu’on vient de
publier
récemment, fait éclater à ce sujet la plus plaisa
. Raoul-Rochette, de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, a
publié
, en 1825, une traduction de ces Fragments de Ména
age 211). François de Molière, sieur d’Essertines, auteur dePolyxène,
publia
, en 1620, un autre roman intituléla Semaine amour
dit de l’ouvrage de Grimarest dans des lettres dont le recueil ne fat
publié
que longtemps après (en 1770). Despréaux écrivait
se dans l’édition complète des Œuvres de l’auteur, en 2 vol. in-fol.,
publiée
en 1665, après sa mort, par l’abbé Cassaigne, son
emede, & que si tu m’obliges d’employer le secours d’un autre, je
publie
moi-même mon extravagance, & je hasarde l’hon
n trésor. L’or qu’il voit ne peut le tenter : cependant il veut faire
publier
dans Athenes qu’il ne fut jamais plus opulent. Ev
acine et Molière en étaient les grandes figures. C’est ce cours qu’il
publie
aujourd’hui. II. M. Rambert voit dans Corne
net. Paris, 1861. Page 180. Hâtons-nous de dire que ce dernier volume
publié
de Vinet, composé de fragments de l’auteur et, en
rions point embarrassés. Nous prendrions les scherzi et les contrasti
publiés
après la mort d’Isabelle Andreini et qui contienn
ondé de son allusion, et la preuve c’est que, dans un recueil par lui
publié
en cette même année 1663, les Nouvelles nouvelles
la mémoire d’Armande, à la Fameuse Comédienne. C’est un petit livre,
publié
à Francfort en 1688, réimprimé jusqu’à cinq fois
ue au parallèle, de même que la reine fut salie par un infâme libelle
publié
à Londres par Mme de La Motte, Armande eut à subi
Je puis affirmer, dit M. Auger dans l’avertissement de celle qu’il a
publiée
, que dans toutes les éditions, sans en excepter l
nous avons consulté en même temps les éditions originales. L’édition
publiée
en 6 vol., petit in-12, par Wettstein (Amsterdam,
ommait Marotte. L. B. Picard. 1. Œuvres complètes de Molière,
publiées
avec un commentaire par M. Auger. (Paris, Desoer,
imité Horace58 et Juvenal59. Cotin* ne s’en tint pas à sa satire ; il
publia
un autre ouvrage sous ce titre : La Critique dési
harles Quint, il écrivit pour lui l’Institution du prince chrétien et
publia
également son Novum Testamentum et la première éd
sité universelle, il fut reçu à l’Académie en 1639, et comme il avait
publié
en 1640 un livre intitulé : De l’Instruction de M
ntins), il est surtout le romancier des fameuses Lettres portugaises,
publiées
en 1669, dont la paternité et le statut ont longt
ribution à des œuvres collectives et à diverses commandes, Boisrobert
publie
en 1633 à 1657 une quinzaine de pièces inégalemen
oût ; l’époux s’enfonce dans sa perruque, & disparoît : Marton va
publier
l’aventure. Deux jours après, la Présidente est i
’on n’avait pas coutume de faire pour ces sortes d’ouvrages. Quand on
publiait
une pièce jouée à l’impromptu, on écrivait ordina
l’humanité, et l’on jugera s’il y aurait aujourd’hui de la prudence à
publier
pour la première fois l’Essai sur les mœurs et l’
s. Les lettres étaient la conversation des absents ; on en lit, on en
publia
d’innombrables recueils14… Mais il ne s’agit ici
la scurrilité. Le règne des Précieuses n’est pas consommé. Somaize a
publié
cette année môme’ leur grand Dictionnaire. Leurs
aleries ; la division se marque plus fort que jamais, entré le commun
publie
, ravi des amours d’Agnès et passionnément désireu
mort du petit chat, qui ensanglante la scène. Cependant Molière avait
publié
, à l’occasion de sa pension, le Remerciement au R
ne en 1588 : des recueils de lettres et des fragments en prose furent
publiés
après sa mort. Elle faisait partie de l’Académie
L’Emilia de Luigi Groto est une imitation de l’Epidicus. Elle fut
publiée
pour la première fois en 1579, et jouit d’une lon
lexandre, devenu maître de la terre, lui écrivit. « J’apprends que tu
publies
tes Traités Acroatiques : quelle supériorité me r
lle avait conquis les bonnes grâces de la reine mère. Elle composa et
publia
à Paris, en 1659, une comédie intitulée : L’Ingan
er. Elle parut, pour la première fois, dans le recueil de ses œuvres,
publié
en 1682. Elle fut remise, au théâtre de la rue de
e n’ai point un moment de bon temps. » 6. On lit, dans le Bolœana,
publié
par Brossette, l’anecdote suivante : « On dit que
es âmes étaient emportées par le succès du Cid. De plus, le roi avait
publié
, en 1641, une déclaration par laquelle il défenda
ur de Rochemont, tout tremblant de Tartuffe, quoique ne l’osant dire,
publia
des Observations sur une comédie de Molière, inti
plus épouvantée et plus violente. Ils n’avaient rien à répondre; ils
publièrent
que l’auteur du Tartuffe était un démon vêtu de
edans, il ajoute : Ce sont eux que l’on voit, d’un discours insensé
Publier
dans Paris que tout est renversé, Au moindre brui
ts sur ses profits. « Un Académicien de la Rochelle (M. de Chassiron)
publia
, dit M. de Voltaire, une Dissertation ingénieuse
ce et les Placets de Molière ; Lettre sur la Comédie de l’Imposteur,
publiée
en 1667, et certainement inspirée, sinon écrite p
ne ne se sont mis en scène ; Molière n’y a pas songé davantage. On ne
publiait
pas alors de confessions. On était tout bonnement
ière, la théorie de M. Coquelin est celle de tous les acteurs qui ont
publié
des études sur le caractère d’Alceste ; les litté
théâtre. Chacun d’eux porte la marque de l’originalité. IV Je
publie
un premier volume aujourd’hui. Je commence par Le
on Hercule mourant va te rendre immortel, Au ciel comme sur terre, il
publiera
sa gloire. Et laissant ici-bas un temple à sa mém
dèle du galant homme, aussi Molière en fit-il son ami. Ce fut lui qui
publia
la première édition des œuvres du maître, une édi
renville, joué par Molière. 5. Toutes ces poésies de Molière ont été
publiées
par le Bibliophile Jacob dans le petit volume édi
avec quelle simplicité, Palestre se plaint. Palestre. Tout ce qu’on
publie
de la rigueur & de la cruauté impitoyable du
e moment ses fables n’avaient pas encore paru, et lorsqu’elles furent
publiées
, ni Boileau ni Racine ne soupçonnèrent qu’elles l
pas fait la moindre mention du défunt, on ne vit aucun inconvénient à
publier
sa réponse ; et elle nous a été conservée. Telle
mêmes libraires, Thierry et Barbin, qui, sept ans plus tard, en 1682,
publièrent
l’édition des Œuvres de Molière, donnée par La Gr
en latin quelque chose d’approchant qu’on avait traduit, amplifié et
publié
sans son concours. « Je m’étais, dit-il, naïvemen
n ; Racine donnait Andromaque, les Plaideurs et Britannicus ; Boileau
publiait
les Satires VIII et IX ; la Fontaine, le VIe livr
intérêt j’ai enfin à me purger de cette imposture et à faire voir au
publie
que ma comédie n’est rien moins que ce qu’on veut
des turbulents qui exaspèrent ces pauvres impies, des indiscrets qui
publient
que Dieu fait encore des miracles, des Vandales q
dire en passant, qui n’exclut pas l’écrivain même laïque, soit qu’il
publie
des livres, soit qu’il écrive un journal. Tous le
es Morts. Tome VIII de la belle et définitive édition de Louis Vivès,
publiée
par les soins de M. F. Lâchât, Paris, 1802. Il su
plir ce rôle et atteindre ce but. Extrait d’un article de A. Claveau.
Publié
dans La Patrie du 30 août 1886.
e de deux mille écus. Sa femme accoucha d’une fille. Par cupidité, il
publia
qu’il lui était né un garçon. La nourrice, qui ét
iconque ose rire : Ce sont eux que l’on voit, d’un discours insensé,
Publier
dans Paris que tout est renversé, Au moindre brui
at souverain108, et l’Ordonnance que l’archevêque de Paris se hâta de
publier
, le 11 août, six jours après la soirée du Palais-
mphe ne mit pas fin aux hostilités. Sans parler d’une parodie en vers
publiée
au commencement de 1670, et qui mérite à peine un
plus sensibles si on les cherche dans une nouvelle que Scarron avait
publiée
neuf années auparavant, et où il racontait avec e
te salle de l’Athénée qu’il fit ces conférences sur Molière, que nous
publions
aujourd’hui pour la première fois. Elles sont ass
e chronique théâtrale, de critique du lundi, que nous avons récemment
publiés
, sous plusieurs titres différents, et dont l’heur
es Dialogues [Avant-propos] Les deux dialogues que nous
publions
ici, à titre purement de curiosité littéraire, da
out ce qu’il imaginait d’ajouter à la mienne ? Mais quels édits ai-je
publiés
pour forcer les Romains à croire que je fusse die
— On peut voir dans la savante notice de M. Paul Mesnard sur Molière
publiée
en 1889 (dans le dixième volume de la grande édit
idérables, sans en être pour cela plus fiers ni plus orgueilleux. On
publia
de même à Paris, lorsque la Coquette & l’Homm
tes si précieuses de M. Aimé Martin (dans la belle édition de Molière
publiée
par le libraire Lefebvre) ne laissent aucun doute
thode que la Mothe-le-Vayer, le coryphée des douteurs du temps, avait
publié
son grand ouvrage sceptique ? Huet et Bayle ne pr
a aux plus grands excès. On traita l’auteur de scélérat, d’athée ; on
publia
, sous son nom, des livres séditieux ; Bourdaloue
n sortant de la première représentation du Misanthrope, s’empressa de
publier
que Molière y jouait monsieur de Montausier, il a
ordres de Colbert. Je répondis tout de suite à Louvet ; il refusa de
publier
ma réponse : quelques-uns de ses confrères furent
la palme académique, a pu connaître si mal son maître, son héros, et
publier
l’anecdote dont il est question ? Si elle parvien
cé ce vers : Rien ne manque à sa gloire, il manquait à la nôtre. Je
publiai
, dans le même temps, une brochure intitulée : Dis
hrope, IV, 3. 29. Misanthrope, V, 7. 30. Lettre de madame de Staël
publiée
pour la première fois par M. le baron de Gérando,
vue : Il tint à peu ; je n’en fus retenue Que pour n’oser un tel cas
publier
: Même à dessein qu’il ne le pût nier, Je fis sem
it sur Molière, à propos de la biographie que M. Taschereau venait de
publier
. Il l’appelle, à plusieurs reprises, le prince de
rançaise. M. Larroumet et M. Livet ont chacun, presque en même temps,
publié
une édition nouvelle des Précieuses ridicules de
ien connu des lecteurs du Temps, a, dans l’excellente édition qu’il a
publiée
des Femmes savantes de Molière, longuement insist
ix fût-il décerné, que ce fut dans les revues des avalanches d’études
publiées
l’une après l’autre par des concurrents malheureu
’il a revêtues, l’autre y cherchant plutôt le moraliste. M. Reinach a
publié
également dans une revue un morceau très étudié q
thèque classique de Jouaust. Ce sont les Œuvres choisies de Chamfort,
publiées
avec préface et notes de M. de Lescure. Le grand
bai sur l’article de Grimm consacré au Candide que Voltaire venait de
publier
sans nom d’auteur. C’était alors une assez vive d
ec la nature, inséré dans le 5e cahier du journal intitulé Prométhée,
publié
par Léon de Seckendorff. 4. Je me souviens d’avo
e ? Ne fallait-il pas trop de temps pour des ouvrages travaillés ? Le
publie
y prendrait-il le même plaisir qu’aux ouvrages lé
e donne à moi-même d’excellentes et irrésistibles raisons pour ne pas
publier
, tout à la fois, ces trois chapitres, il s’élève
du carrefour. La seconde étude, à propos du Don Juan de Molière, fut
publiée
au plus beau moment de la révolution de juillet,
ment faire réfléchir les littérateurs de notre temps, si empressés de
publier
leurs ouvrages, eux qui se tuent quelquefois dès
génie. Avant d’avoir atteint cet âge, tous nos grands hommes ont déjà
publié
leurs œuvres complètes. Comme Molière eût souri,
x comédies que madame Dacier a traduites en françois, & qu’elle a
publiées
avec des notes. Jean-Baptiste Pocquelin, si céleb
qu’un prince même du sang royal de France, le prince de Conti, qui a
publié
, lui aussi, un Traité de la comédie et des specta
ie et le zèle qu’il portait dans toutes les choses qu’il aimait. Il a
publié
une bonne édition des Œuvres de Marivaux, avec de
ns calomnieuses et de scandales de coulisses. La vie de M. de Molière
publiée
en 1705 par Grimarest ne fait pas plus autorité.
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