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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
. Pour cet effet, elle feint d’être excédée des poursuites de Valere, prie son tuteur d’aller lui dire de sa part qu’elle a
nt de jetter dans sa chambre une boîte d’or avec une lettre, & le prie d’aller lui rendre le tout, sans décacheter le bi
ure commode pour aller au Couvent, demande à parler au Pere, & le prie de vouloir la confesser. Après sa confession, ell
par votre caractere, de lui faire des réprimandes. Dites-lui, je vous prie , de changer de conduite à l’avenir, & de me l
it tout naturellement qu’il ne savoit ce qu’il vouloit dire, & le pria de parler plus clairement, & de lui dire au m
n, que cette femme est la vertu & la sagesse même : ainsi je vous prie de la laisser en paix pour votre honneur ». Le je
p; faire croire que je l’avois reçu, je vous l’apporte, & je vous prie de le rendre vous-même, & de lui dire de la b
ertu : mais puisque vous avez commencé à suivre mes conseils, je vous prie , Madame, de permettre que je lui parle encore ava
a main, & demande pour toute grace un mois de délai. Ensuite elle prie son amant suranné de faire cesser l’inquiétude qu
faire un voyage, laisse sa femme sous la garde de Trapolin. Isabelle prie le Docteur de mettre ordre aux insolences de son
Léandre, qui avoue avoir eu la témérité de regarder plusieurs femmes, prie humblement son Précepteur de lui montrer la maiso
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. De l’Illusion Théâtrale. » pp. 426-433
c. Son Pseudolus finit ainsi : Ballio. (On l’invite à boire.) Que ne pries -tu aussi ces Messieurs ? Pseudolus. Ils n’ont pas
ies-tu aussi ces Messieurs ? Pseudolus. Ils n’ont pas accoutumé de me prier , ni je ne les invite jamais. Mais si vous voulez,
gner que notre troupe & cette comédie vous ont contentés, je vous prierai pour demain60. Plaute finit encore son Rudens p
e à peu près de même. Demone, ayant pris le bras à son pere. Je vous prierai bien aussi, Messieurs ; mais je n’ai rien à vous
a rien de bon ni de prêt chez moi, & je veux croire que vous êtes priés en ville. Cependant, si vous voulez donner votre
ant, si vous voulez donner votre approbation à cette comédie, je vous prie de venir tous souper chez moi, d’aujourd’hui en s
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
& feint de sortir pour en faire la demande au Roi. La Princesse prie Aglante de repousser les vœux d’Euriale. Aglante
endresse du Prince pour Aglante ; elle se jette à ses pieds, & le prie de ne pas unir sa cousine avec un mortel qu’elle
qu’il a déja, Don Gaston, Comte de Fox, & le Prince de Béarn. Il prie son valet Polilla de l’aider dans son entreprise 
n cou. Son pere ne veut pas la contraindre à prendre un époux ; il la prie seulement de voir les fêtes préparées par les Pri
enragera, le douzieme elle ira vous chercher, le treizieme elle vous priera  ». Son maître lui dit que si on lui fait quelque
Carlos l’a informé de son bonheur. Il va l’annoncer au Roi, & le prier de lui être favorable. La Princesse, seule, se pl
e a de plaire à Don Carlos, & lui demande son consentement. Diana prie sa cousine de maltraiter le Prince. Cintia n’en v
qui est un enfant dans ses jeux, mais un Dieu dans sa vengeance. Elle prie Cintia d’avoir pitié d’elle, & sort dans le p
s pas encore ce que je veux ; donnez-moi le temps d’y songer, je vous prie , & m’épargnez un peu la confusion où je suis.
asse de l’indifférence à l’amour le plus violent ; &, après avoir prié Scapin de détourner Lélio de ce mariage, & ce
. A peine est-elle entrée chez Lélio, que Scapin, qui l’a introduite, prie tout bas son maître de lui donner quelques coups
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
ur à Damis. On veut l’envoyer coucher, il n’en veut rien faire, & prie qu’on le laisse. Moncade dit à Pasquin de lui fa
x à Mariane : elle va parler du Marquis, quand Julie trop chagrine la prie de remettre l’entretien à une autre fois. Julie
re veut déguiser son amour pour Moncade ; tout la décele : sa mere la prie de cacher une partie de sa tendresse afin de guér
égiment le lendemain. Le frere de Julie écrit qu’il est malade, & prie sa sœur de se rendre chez lui ; elle y verra son
ier une ingrate. Moncade lui déclare qu’il ne sauroit l’aimer ; il la prie cependant de lui peindre les torts de Mariane. La
riage, du tort qu’il se fait en suivant les conseils d’un fourbe : il prie Dave de ne pas détourner Pamphile du mariage proj
femme indiquée par Archillis, parcequ’elle est sujette à boire : elle prie les Dieux de ne pas permettre que la sage-femme f
, Mysis seule redoute quelque malheur nouveau pour l’Andrienne, & prie les Dieux de ne pas l’abandonner. L’ANDRIENNE LAT
elle s’est donnée à lui ; il jure que rien ne pourra les séparer : il prie Mysis de ne point parler à sa maîtresse du mariag
it à part que son vieux maître s’attend à quelque fourberie. Simon le prie de lui dire la vérité, & lui demande si le ma
souper : diroit-on qu’il marie son fils ? Qui de mes amis pourrai-je prier à souper, un jour comme aujourd’hui ? Et ma foi a
les choses avec trop de lésine : je n’approuve pas cela. Simon. Je te prie de te taire. Dave, à part. Je lui en ai donné. Si
donc ? Dave. Comment donc ?Quoi ! dit-il, personne n’est commis Pour prier seulement nos parents, nos amis ! Pour un fils, p
Si j’osois... Simon. Il n’a pas tort, au moins. Si j’osois...Je t’en prie . Dave. Je vous accuserois d’un peu de ladrerie. S
 : Glycerion se trouve fille de Chrémès : on la marie à Pamphile, qui prie son pere de faire délier Dave. Charinus cherche P
les gens de la noce, parceque la fête se fera dans la maison. Il les prie d’applaudir. L’ANDRIENNE FRANÇOISE. Acte V. Tout
5 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [93, p. 136-138] »
e dans la forêt, et lui demande à quoi il y passe sa vie. Le Pauvre A prier Dieu pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumô
es honnêtes gens qui me donnent l’aumône. Dom Juan Tu passes ta vie à prier Dieu ? Si cela est, tu dois être fort à ton aise.
a ne se peut pas ; Dieu ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le prient du soir au matin : tiens, voilà un louis d’or, ma
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
& la persévérance d’un amant n’ont jamais émues... Voyons, je te prie , si celle de Camille est de cette nature, & é
mari qu’elle ne peut supporter plus long-temps son absence, & le prie de revenir bien vîte reprendre le soin de la mais
t que le pere de Léandre, échappé depuis peu d’une grande maladie, le prie de différer le mariage, parcequ’il espere que les
& va joindre Léandre. L’Olive veut, à l’imitation de son maître, prier Crispin d’éprouver Nérine. Acte II. Léandre s’ap
live dit que le secret est à lui aussi bien qu’à son maître. L’Olive prie Crispin de lui rendre auprès de Nérine le bon off
n, d’un air joyeux, que Julie le nomme un traître, un perfide ; il le prie de continuer à lui rendre des soins. Damon lui av
son cœur s’intéresse à la feinte ; Léandre en est enchanté, & le prie de persuader à Julie qu’un autre objet le captive
ge fait pour intéresser est déja amoureux de Julie lorsque son ami le prie de feindre auprès d’elle. Est-il honnête, ou du m
vient au contraire offrir à son amant tout ce qu’elle possede : il la prie de le laisser un moment avec ses faux amis ; il l
V. Timon a creusé son tombeau. Athenes lui envoie des députés pour le prier de revenir dans le sein de sa patrie : il va, dit
ous le poids de ses chagrins. Evandra veut en vain le consoler. Il la prie (comme nous l’avons dit en passant dans le premie
t aussi mariée secrètement ; elle est trop jeune pour cela, mais elle prie qu’on ne tarde pas à la mettre en ménage.   On ne
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
urs l’ont affoibli au point qu’il n’a pas la force d’y descendre ; il prie Evandra, sa fidelle maîtresse, qui l’a suivi, de
e qu’un messager qui apporteroit la nouvelle d’un heureux mariage. Je prie le lecteur de réfléchir sur le cinquieme acte du
Apothicaire paroît. Nous comprenons dans leur scene, qu’Eraste a fait prier un Médecin de vouloir bien se charger de la guéri
blige. Pourceaugnac prend le Médecin pour l’Intendant d’Eraste, qu’il prie de ne le traiter qu’en ami. Eraste sort, & le
cene IV. Sbrigani se défait vîte de son déguisement. Pourceaugnac le prie de lui enseigner le logement de M. Oronte, parceq
lle. Sbrigani feint d’être surpris ; & après s’être beaucoup fait prier , & avoir consulté fort long-temps une bague q
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296
eux point qu’on m’en fasse, que je n’y puisse répondre, & je vous prie de commencer par ne me point tant approcher. Euph
phrosine. Mais qu’est-ce donc que ce petit garçon-là ? Voyez, je vous prie , comme il est mutin ! Allons, qu’on baise tout-à-
de moi ; elles me caressoient & rioient comme des folles. Je les priai vainement de me dégager seulement un bras, une ma
qu’il veut surprendre, est en butte à leurs railleries, & il les prie en vain de lui laisser un bras libre, comme le hé
, & qu’on lui a promis de lui faire voir un géant d’un an ; elles prient en conséquence leur perfide amant de se laisser e
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
sa maîtresse, cherche par-tout Fédéric : elle le rencontre enfin, le prie de venir voir Victoire, l’entraîne en appellant V
on innocence, quand Flaminio vient demander Béatrix en mariage, & prie Magnifico de confirmer leur hymen secret. Magnifi
Magnifico veut confondre Flaminio, & appelle Béatrix. Flaminio la prie d’avouer la vérité, & de dire tout ce qui s’e
Flaminio jure le contraire, Arlequin aussi. Le Docteur survient, qui prie Magnifico de mettre fin à ce débat, en mariant Bé
, & la presse de conclure. Elle imagine d’écrire à Silvio pour le prier de différer encore son mariage de quelques jours.
io la lettre de Diane ; ils la lui enlevent. Flaminio y lit que Diane prie Silvio de différer son mariage de quelques jours.
trix ne le veut absolument épouser qu’après l’arrivée de ce frere. Il prie Arlequin de jouer le personnage de Lucindo. Arleq
t l’amour qui les a fait naître. Diane pardonne à son amant, & le prie de la ramener chez elle. Acte III. Brighella cra
er sa main à Flaminio, a écrit à Silvio, à qui on la destine, pour le prier de différer le mariage. On a encore vu que Flamin
t atanaton... Albert. Mon Dieu ! Maître éternel, laissez là, je vous prie , Les Grecs, les Albanois, avec l’Esclavonie, Et t
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
a journée, se prépare à se retirer, quand son berger Agnelet vient le prier d’être satisfait des coups qu’il lui a donnés, &a
très humble & très obéissant serviteur. Asseyez-vous là, je vous prie  ; asseyez-vous là. Patelin. Monsieur... M. Guilla
ionné, l’a suivie ; un fâcheux est cause qu’il l’a perdue de vue : il prie Parmenon de lui dire où elle est : Parmenon imagi
t ravoir Zaïde son éleve ; elle attend chez elle le Capitaine pour le prier de la lui rendre, elle n’est visible que pour lui
maison de la Comtesse pour éviter le Chevalier. Celui-ci la suit, la prie de rester. Marine les surprend, appelle à grands
la chose étoit nécessaire pour conserver l’héritage du pere. Le Baron prie le Capitaine d’accorder Zaïde à son fils : celui-
François se sont piqués de laisser à Térence cette fille de joie qui prie son favori de permettre qu’elle tire parti de ses
quelque chose à te demander. Frontin. Et quoi ? Simon. Dis-moi, je te prie , les muets rient-ils ? Frontin. Eh ! vraiment oui
être découverte... Encore ? Simon, revenant. Et dis-moi un peu, je te prie , comment rient les muets ? Je n’en ai jamais vu r
11 (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243
e la campagne, continuai-je, où j’ai demeuré quelques années, je vous prie de m’apprendre qui est un certain Comédien de la
pour lui que par les applaudissements qu’il reçut de ceux qu’il avait priés de les venir voir. Après le succès de ces deux Pi
, reçut des gens de qualité plus de mémoires que jamais, dont l’on le pria de se servir dans celles qu’il devait faire ensui
r un demi-Vers, tel pour un mot et tel pour une pensée dont il l’aura prié de se servir, ce qui fait croire justement que la
vez dit à sa gloire. Mais pour nous entretenir d’autre chose, je vous prie de me dire ce que c’est que Le Baron de la Crasse
tous les jours des exemples. Mais, pour changer de discours, je vous prie de me dire si vous avez vu la Sophonisbe. — Oui,
12 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
. PERSILLET. Monsieur de La Ressource, le secret au moins, je vous en prie . ARLEQUIN. Il ne nous faut pas recommander cela.
des civilités, et puis s’asseyent.) LE DOCTEUR. Monsieur, nous avons prié monsieur de La Ressource de vouloir nous introdui
nous introduire chez vous, pour vous demander une grâce que nous vous prions de ne nous pas refuser. PERSILLET. Si c’est chose
LLET. Ça, messieurs, que voulez-vous de moi ? En peu de mots, je vous prie , car il faut que je me rende au Bureau. ARLEQUIN.
e, et nous sommes trop contents. ARLEQUIN. Ma foi, monsieur, ils vous prient de trop bonne grâce pour les refuser. PERSILLET.
; mais puisque vous le souhaitez et que monsieur de La Ressource m’en prie … LE DOCTEUR. Ah ! monsieur, vous ne sortirez poin
sur ses pas. St, st, st, monsieur de La Ressource, dites-moi, je vous prie , d’où vient que ces messieurs-là sont en grand de
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
meurt d’envie. Don Lope feint de changer de conversation ; le Roi le prie de satisfaire sa curiosité. Don Lope l’entraîne h
funeste passion ; le Roi le lui promet. Pantalon sort content. Le Roi prie Delmire de couronner ses vœux. La Princesse le lu
e lui remettre ce qui leur en reste, & les congédie. La Princesse prie le Roi de joindre les deux morceaux de lettre. Il
de Delmire, arrive incognito. Il voudroit voir sa sœur en secret. Il prie Don Diegue, son confident, de lui en procurer que
nt, de lui en procurer quelque moyen. Florente paroît : Don Diegue le prie d’introduire Don Pedre chez la Princesse. Arlequi
re, part pour avertir le Roi. La Princesse embrasse son frere, qui la prie de lui laisser quelque temps garder l’incognito,
aussi sans doute. Le ridicule n’amuse pas long-temps. Enfin Rodrigue prie Don Pedre de passer dans son appartement, & d
quelques tête-bleu, veut prendre la lettre. Bélise se fait connoître, prie Florente de dire à Don Pedre qu’un inconnu le dem
sse de Tyrol dans le Peintre, il l’embrasse, Delmire aussi. Le Prince prie sa sœur de faire coucher avec elle Bélise ; la sœ
ger dans l’appartement de Delmire. Delmire sort, reconnoît le Prince, prie le faux Célidoro d’aller se remettre au lit. La j
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
té déshonorée par un homme, elle qui se moquoit tant des amants. Elle prie tous les pêcheurs de courir après le traître Don
son grand ami, lui jette une lettre à travers les barreaux, & le prie de la remettre au Marquis. Don Juan jure de le fa
’être dérangé par un brave qui fait sentinelle au bout de la rue ; il prie Don Juan d’aller reconnoître le terrein, & lu
int sa parole, il veut être maudit de Dieu. Don Juan ne se fait point prier  ; & veut, dit-il ; être tué par un homme mort
en même temps le goût le plus vif. Le Duc s’apperçoit de sa conquête, prie Isabelle de l’introduire chez elle pendant la nui
Don Juan éteint la lumiere. Don Pedre étonné menace, & finit par prier son adversaire de se nommer. Don Juan lui avoue l
iques emportent le mort : sa fille suit en pleurant. Acte IV. Le Duc prie le Roi d’ordonner bien vîte les apprêts de son ma
, mort du coup d’épée qu’il lui a donné. Il ordonne à son valet de la prier à dîner. La Statue accepte, se rend à l’invitatio
e Don Juan change tout-à-fait. Le supplice l’attend de tous côtés. Il prie Carino de le tuer : un coup de tonnerre lui rend
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
pçonne que Tartufe s’oppose au mariage de Marianne avec Valere, & prie Cléante de parler à son pere de cet hymen. Scene
rsqu’elle ira par le coche voir les parents de son époux. Marianne la prie de lui sauver l’horreur de cette union. Scene IV
e mérite pas que nous y fassions grande attention. Scene II. Lisette prie Pasquin de lui peindre le caractere de son maître
ACTE III. Scene II. Laurent, serrez ma haire avec ma discipline, Et priez que toujours le Ciel vous illumine. Si l’on vient
ayons au théâtre ; mais bientôt, & dans la même scene, il se fait prier pour prêter à sa maîtresse une somme qu’elle a pe
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Des Comédies Héroïques. » pp. 9-29
r y sont assemblés lorsqu’on y conduit Samson privé de la lumiere. Il prie le Seigneur de lui rendre sa premiere force, afin
r, je vais être jetté. (haut.) Riez-vous aisément, dites-moi, je vous prie  ? Sigismond. Non, je n’ai jamais ri depuis que je
voient des Députés à leurs Princesses réfugiées en Castille, pour les prier de revenir prendre possession d’un Royaume qui le
llerie. D. Manrique. Il n’en est pas saison, quand il faut qu’on vous prie . Carlos. Ne raillons, ni prions, & demeurons
st pas saison, quand il faut qu’on vous prie. Carlos. Ne raillons, ni prions , & demeurons amis. Je sais ce que la Reine en
ié. Oui, m’a-t-on répondu en riant, c’est un drame héroïque qu’on m’a prié de lire pour voir s’il est digne de la Scene Fran
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
aire passer avec son bien entre les mains d’un étranger. On a beau le prier , lui faire parler par son Confesseur, rien ne le
uis, que son fils renonce à toutes ses prétentions : il fait plus, il prie son ami de couronner les vœux des deux amants. Du
ort avec la comédie. Extrait de la Piece. Acte I. M. Dupuis a fait prier Desronais de descendre chez lui : mais, obligé de
r aux pieds de Mariane : elle desire d’être seule un moment, & le prie de la laisser. Desronais, seul, va chercher le m
. Desronais projette de faire un dernier effort auprès de Dupuis : il prie Mariane de rester dans la galerie prochaine, &
, des coquins pensionnés, & l’honnête homme vêtu de bure. Je vous prie , comment trouvez-vous Londres ? Le Meunier. Est-c
s’est évadée en attachant les rideaux de son lit à la fenêtre : elle prie Lucas de remettre une lettre à Richard, & sor
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
vous êtes le plus honnête homme de tous les Procureurs, je viens vous prier de m’aider de votre bon conseil dans une petite a
voleur de grand chemin. Voyez s’il y a la moindre apparence ! Je vous prie de me dire à-peu-près où peut bien aller cette af
ousse à bout un honnête homme comme vous. Le Patissier. Je viens vous prier de retenir un peu vos poursuites. (A son garçon,
pier. Le Patissier. Monsieur, je ne regarde point après vous. Je vous prie seulement de tirer mon affaire en longueur. Grapi
’à la priere de sa maîtresse il fait un commis de ce laquais naïf qui prie la dame de se servir toujours du même rouge, afin
19 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [83, p. 127-128] »
au et plusieurs autres personnes de mérite. En attendant le dîner, on pria Despréaux de réciter la satire adressée à Molière
ançais, qu’il avait faite dans sa jeunesse. En attendant le dîner, on pria M. Despréaux de réciter la satire adressée à Moli
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
antalon accourent, s’affligent du malheur arrivé à Silvio. Le Docteur prie Pantalon de faire courir après l’adversaire. Scap
ueux ; Arlequin le traite de voleur en reconnoissant son habit. Celio prie Argentine de se retirer, & lui promet d’avanc
seul avec Arlequin, il lui raconte la vérité de toute l’aventure, le prie de feindre encore, & lui promet de le récompe
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
; celui-ci se leve pour le recevoir. Il le traite fort civilement, le prie de s’asseoir, & croit faire les honneurs de s
en longueur, qu’il a faim, & que la nuit est déja avancée, il la prie à souper ; elle rit, & si haut qu’elle le rév
Tranion. Vous avez raison, Monsieur : mais, encore une fois, je vous prie de m’écouter. Notre jeune maître me dit que le mo
impossible de me sauver. Theuropide. Fais donc venir quelqu’un, & prie qu’on me fasse voir la maison. Tranion. Mais, s’i
ître veut faire bâtir une maison sur le modele de la sienne, & le prie de permettre qu’il la visite. Le voisin y consent
é ; que son désespoir redouble toutes les fois qu’on lui en parle, le prie en conséquence de ménager la sensibilité du vende
on. Regardez bien ces poteaux, ces jambages de porte ; voyez, je vous prie , de quelle solidité, de quelle épaisseur ils sont
son temps ; elle mord tour à tour les deux oiseaux de proie. Je vous prie , regardez de mon côté, afin que la corneille vous
s. Il l’exhorte à fuir le piege, quand la courtisanne vient elle-même prier Menechme Sosicle d’entrer. Il la trouve jolie, il
fidélités & du vol de la robe ; il va chez la courtisanne pour la prier de lui rendre cette maudite robe, dont la perte i
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
’on lui annonce encore l’arrivée de Don Maurice son frere. Alors elle prie Carlos de mettre l’épée à la main & de sortir
tuer ; qu’elle a voulu prévenir ce malheur en cachant l’inconnu. Elle prie son frere de l’accompagner pour que Carlos ne lui
la vie au premier en le cachant dans son appartement. Elle finit par prier Damis d’escorter le prisonnier & de le condui
tre lui permet alors de lui continuer ses moralités. Don Garcie vient prier Don André de cesser ses assiduités auprès de Léon
empressement est pour son ami : il l’emmene chez sa future, & le prie de lui prêter Mogicon jusqu’au retour de son vale
amp; à partir tout de suite pour satisfaire aux devoirs d’un fils. Il prie Don André de veiller sur la conduite de son épous
LE TRAITRE PUNI. Acte IV. Don Juan n’a pas fermé l’œil. Don Félix le prie de lui raconter ce qui s’est passé la veille ; il
nemi : elle tremble pour les jours d’un frere & d’un amant ; elle prie Don Juan de les raccommoder. Don Juan demande que
 : C’est un bien dont il faut malgré vous me saisir. Peut-être à m’en prier trouvez-vous quelque honte. Madame votre mere est
ez-vous pour voir jusqu’à quel point ils pousseroient leur insolence, prient M. Bernard & Lucas d’y aller déguisés en femm
23 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
cause une foiblesse. La femme de Sganarelle s’en apperçoit, & le prie d’entrer chez elle où il se remet. Lorsqu’il en s
érée de ne pas voir Arlequin ; elle craint d’en être abandonnée. Elle prie son frere de lui écrire une lettre ; elle fait me
lui raconter toutes les perfidies de sa femme avec son amant ; il la prie de lui prêter une chambre pour examiner la condui
n foiblesse, craint pour lui les suites d’un évanouissement, & le prie d’entrer dans sa maison, en attendant que son mal
24 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
ilitaires. scène IV. Flaminia, de sa fenêtre, appelle Arlequin et le prie de porter une lettre à un cavalier nommé Flavio q
milité15. Resté seul, Flavio lit la lettre, dans laquelle Flaminia le prie instamment de ne plus fréquenter la comédie. scèn
. Piombino salue le docteur de la part de la signora Vittoria ; il le prie de prêter à la comédienne un bassin d’argent avec
le capitaine, ainsi trompé, ne commît quelque violence, elles avaient prié le seigneur Oratio et le seigneur Flavio de prend
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80
es. Mercure.  Hé ! là, là, Madame la Nuit,  Un peu doucement, je vous prie  ;  Vous avez dans le monde un bruit  De n’être pa
s il est pris dans les Fâcheux de Moliere, Acte III. Scene III. Ormin prie Eraste d’appuyer un projet de son invention, qui
ns. Valere. Ah ! Monsieur Maître Jacques, ne vous fâchez pas, je vous prie . Maître Jacques, à part. Il file doux. Je veux fa
avez trop de bonté pour moi. Don Juan. Et cela sans intérêt, je vous prie de le croire. M. Dimanche. Je n’ai point mérité c
z. Monsieur... Don Juan. Embrassez-moi donc, s’il vous plaît. Je vous prie encore une fois d’être persuadé que je suis tout
demande pardon de ma conduite passée. Consentez à ce mariage, je vous prie  ; on vous rendra votre argent. Géronte. Ah ! malh
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
des lettres qui l’obligent de se mettre vîte en route : Clairville le prie de rester pour parler en sa faveur à Rosalie qui
épandus sur la fortune de Rosalie & sur le retour de son pere, le prie de l’attendre. D’Orval se représente avec horreu
onné. D’Orval veut savoir la cause de son combat ; Clairville se fait prier , & dit enfin qu’il s’est battu contre deux ho
son caractere... ce changement de nom... tout a troublé son ame : il prie son ami de le laisser seul : celui-ci lui recomma
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
mieux confondre celui qui lui vole son nom & sa ressemblance, le prie de lui dire ce qu’il faisoit pendant que les deux
sion. Moliere s’adresse à la Nuit ; &, sous prétexte d’avoir à la prier de la part de Jupiter de ralentir le pas de ses c
n innocence. Après le raccommodement, Jupiter ordonne à Sosie d’aller prier le pilote Blépharon à dîner, pendant qu’il fera l
eces. Continuons, & notre surprise augmentera. Scene VI. Jupiter prie les convives d’aller se mettre à table. Sosie, qu
quatre, Mercure vient l’en empêcher, & le rosse. Sosie a beau le prier de permettre qu’il soit son ombre, son cadet, il
il l’est dans cette occasion. Amphitrion.  D’où peut procéder, je te prie ,  Ce galimatias maudit ?  Est-ce songe, est-ce iv
28 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
t un homme sans bras vient se dire un excellent maître d’armes, & prie Pantalon de lui procurer des écoliers. Ensuite pa
de ceux de nos patriotes qui en sont les curieux admirateurs, je vous prie , en toute humilité, de vouloir bien me choisir po
romis. De la chere, ai-je dit, la dose est trop peu forte Pour oser y prier des gens de votre sorte. Non, m’a-t-il répondu, j
t assez dit.... Moliere, qui n’entendoit rien au jargon de la chasse, pria le Comte de Soyecourt lui-même de lui indiquer le
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
nt, & je compte bien que ce sera moi qui ruinerai celui-ci. On le prie de se pourvoir d’un autre intendant. On donne Jul
sa poche. Monsieur le Marquis, voici mon dernier mémoire que je vous prie d’arrêter. Le Marquis. Vous continuez de me persé
kéli ; il la remercie du tendre intérêt qu’elle prend à lui, & la prie de couronner son amour en lui donnant sa main : e
e sa poche : il fait des réflexions sur la mort, sur ses suites, veut prier , n’en a pas la force, prend le verre, sent frémir
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
l’amour que D. Lope son frere a pour Jacinthe fille de Don Sanche. Il prie Alonse de persuader au vieillard offensé que Don
Don Alvar est avec Cassandre, lorsqu’Enrique paroît. Elle se trouble, prie Don Alvar d’empêcher qu’elle ne soit suivie par l
encontrent : ce dernier veut venger la mort de son frere : l’autre le prie de permettre qu’il soit digne de se mesurer avec
l’en punir. Don Pedre lui communique la lettre de son pere, & le prie de lui laisser venger l’affront fait à sa famille
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
agnifico remet à Célio tout le pouvoir qu’il a sur Arlequin, & le prie de lui donner des leçons.   Il ne sera pas besoin
sa fille à lui continuer ses leçons, que de voir un maître de maison prier son commis de montrer la politesse à un domestiqu
ur savoir surement où je vais, où je suis, & qui je suis. Je vous prie , & par ce qu’il y a de plus sacré, je vous co
élas ! mes amis, je me recommande à vous tous ; secourez-moi, je vous prie  ! Je suis mort ! je suis perdu ! Enseignez-moi qu
retiennent pour eux tout ce qu’ils ont touché. Mégadore. Hé ! je vous prie , Euclion, faites-moi le plaisir de m’écouter un p
tourne à notre avantage commun !) je franchis le pas ; & je vous prie de m’accorder mademoiselle votre fille en mariage
e pas toutes ses actions.   Harpagon, forcé de donner une collation, prie son intendant de renvoyer les restes au marchand.
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
assée, Tu t’allois renfermer, lorsque je t’ai laissée ; Et tu m’avois prié même, que mon retour T’y souffrît en repos jusque
désespoir Où j’ai précipité celui qu’elle aime à voir, Elle vient me prier de souffrir que sa flamme Puisse rompre un départ
ur achever de convenir de leurs faits, à l’insu d’Ariste, sa sœur l’a priée de lui prêter sa fenêtre pour parler à son amant 
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
il lui fait présent de son portrait qu’on laisse sur une table. Celio prie Argentine de remettre à la fille aînée de Pantalo
avec dix louis, & une lettre anonyme. Il ne sait pas lire, & prie Scapin de lui faire lecture de l’épître ; celui-c
34 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
de mauvais offices à personne. Boisrobert lui dit que le cardinal la priait en amie de lui donner avis de ceux qui parlaient
osbois, chez Madame la Princesse, avec mademoiselle de Bourbon. Il la prie de faire que Leurs Altesses se souviennent de lui
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
é. Il tâche de réparer sa faute en lui procurant un meilleur sort. Il prie Hégion de voir l’action de Tindare du bon côté, &
jouir en ce moment de la lumiere du jour..... Mais dites-moi, je vous prie , est-il bien vrai que vous soyez mon pere ? Hégio
en contient un que vous pouvez lire. Philaminte lit. « Madame, j’ai prié Monsieur votre frere de vous rendre cette lettre,
ous vous êtes là justement récriée. Il devoit avoir mis que vous êtes priée Par arrêt de la Cour de payer au plutôt Quarante
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
ce qu’il possede : Belti est étonnée que Belton refuse : celui-ci la prie de le laisser avec son ami : elle est fâchée qu’i
ien ; il la taxe quatre cents sequins. Le vieillard les donne. Dornal prie en vain le vieillard de l’acheter en même temps.
les esclaves sur leur état, leur pays ; il veut racheter André qui le prie de donner la préférence à son malheureux maître.
é : mais si vous vous croyez obligé à quelque reconnoissance, je vous prie de l’exercer dans votre patrie envers quelques-un
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
Julie, jeune veuve qui voyage avec lui. A leur arrivée à Paris, Julie prie Damis de lui indiquer un hôtel garni. Celui-ci la
!... La belle invention ! Elle va m’illustrer !... Dites-moi, je vous prie , Si pendant douze jours j’arrête ici Julie, Si je
ndresse la plus vive : il est au désespoir d’avoir rendu l’argent. Il prie son esclave de réparer le mal qu’il a fait, &
38 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
ications de tout genre, reste encore inexpliquée. Quelle est, je vous prie , votre opinion sur Alceste ? D’où vient-il, ce ge
salon de Célimène qu’en passant et par hasard, de quel droit, je vous prie , vient-il dire à chacun ces vérités inattendues ?
it-il en les montrant du doigt ; et depuis ce jour-là, on eut beau le prier et le supplier de reparaître, il ne reparut plus.
39 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
J’ai une extrême envie d’acheter une terre et n’y puis parvenir. J’ai prié M. de Montchevreuil de former de ce qu’il y avait
J’en parlai hier au matin à madame de Montespan, et je lui dis que je priais le roi et elle de ne point regarder la mauvaise h
100 000 fr. ; ainsi, en voilà 200 000 que j’ai à votre service. » Je prie de remarquer ce mot à votre service : il veut dir
40 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
. Sganarelle. Messieurs, l’oppression de ma fille augmente : je vous prie de me dire vîte ce que vous avez résolu. M. Tomès
la bouteille d’eau sur son mémoire. Lélio, amoureux de Rosaura, vient prier le Docteur Onesti d’entretenir de lui sa belle ma
r la gazette. Le Docteur Buona Testa salue gravement Pantalon, qui le prie de voir sa fille. Il répond qu’il est trop couru,
e sa fille que lui-même. Colombine apporte une petite soupe. Pantalon prie sa fille d’en manger : elle refuse, & ne cons
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
r & les pas d’un ballet qu’il vient de composer ; Alcandre qui le prie de lui servir de second, & de porter un carte
ses malheurs dans une partie de piquet ; Oronte & Climene qui le prient de décider si un amant jaloux est préférable à ce
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
ent avouer à Laura qu’elle a un amant à l’insu de son frere, & la prie de lui prêter son appartement pour lui parler : L
e le rassurer, & ce n’est surement point par hasard. Dom Félix la prie d’aller chez Laura, de lui dire qu’elle s’est bro
on lui préfere. Scene III. Laura, persécutée par sa jalousie, vient prier Marcella de lui céder son appartement pour pouvoi
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410
retourne à la porte qu’il trouve fermée, & commence à son tour à prier qu’on lui ouvre. La belle ne parlant plus en supp
és à sa femme, leur déclare qu’il ne veut jamais la revoir, & les prie de s’en charger. Les freres, outrés de ce qu’ils
est pas encore désenivré. Cependant ne vous formalisez point, je vous prie , de toutes les pauvretés qu’il vous a dites de mo
44 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
ui lui demandoit l’aumône, ayant appris de lui qu’il passoit sa vie à prier Dieu & qu’il n’avoit pas souvent de quoi mang
’il n’avoit pas souvent de quoi manger, ajoutoit : Tu passes ta vie à prier Dieu, il te laisse mourir de faim, prend cet arge
t & d’Aquin ; & comme Moliere vouloit déguiser leurs noms, il pria M. Despréaux de leur en faire de convenables. Il
45 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
rempli du désir de faire valoir le talent qu’il se connaissait, qu’il pria Monsieur le Prince de Conti de le laisser continu
x que ce fût. Ils le trouvèrent. Molière lui donna son projet ; et le pria de lui en apporter un acte par semaine, s’il étai
e ressource, et connaissant l’humeur bienfaisante de Molière, alla le prier de lui prêter son Théâtre pour trois jours seulem
voilà son ordre. La Raisin voyant qu’il n’y avait plus d’espérance, pria Molière de lui accorder du moins que le petit Bar
e moyen que cet enfant puisse tenir ; il en serait incommodé, je vous prie de le laisser. ―  Oh parbleu, dit Mr de L…, la f
n me voyait aujourd’hui derrière. ―  Jugez-nous, Molière, je vous en prie , dit Mr de Chapelle, j’en passerai par tout ce qu
ophique quand ils arrivèrent devant les bons Hommes. Le Religieux les pria qu’on le mît à terre. Il les remercia gracieuseme
e tout mon cœur, et je vous ferai plaisir dans les occasions. Je vous prie , ajouta-t-il, mettez-moi en contraste dans quelqu
e ; car le pauvre homme n’extravague pas mal. Faites cela, je vous en prie , je vous verrai souvent pour suivre votre travail
nt de passion plus forte, que celle de s’y attacher ; qu’il venait le prier de lui en procurer les moyens, et lui faire conna
n donner ailleurs ; la patience lui échappa à la fin. ―  Eh ! je vous prie , Marquis, dit-il à Mr de M***, donnez-nous la mon
r ce personnage dans la pièce. Il envoya Baron chez Mr Rohaut pour le prier de lui prêter ce chapeau, qui était d’une si sing
des prières à son mari, qu’il n’y eut personne de ces gens-là qui ne priât Dieu de tout son cœur. Le Convoi se fit tranquill
46 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
i. Lisette, Flaminio, Brusco. Lisette vient de la part de Virginia prier Flaminio de ne souffrir pas qu’on aille ainsi lui
er le fait, craignant que Pandolfo ne joue l’ignorant par ruse. Il le prie de ne point maltraiter Fabio son fils, ni Virgini
s. Ricciardo ne pouvait croire ce qu’il lui disait. Alors Tebaldo l’a prié de pardonner au seigneur Pandolfo, si celui-ci lu
été convenu ; Tebaldo lui dit qu’il est très satisfait, et qu’il les prie tous de se rendre chez lui. Fabio demande si on l
47 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
ntalon, accourus, s’affligent du malheur arrivé à Ottavio, Le Docteur prie Pantalon de faire courir après l’adversaire. Triv
ux ; Arlequin le traite de voleur en reconnaissant son habit. Valerio prie Diamantine de se retirer, et lui promet d’avancer
seul avec Arlequin, il lui raconte la vérité de toute l’aventure, le prie de feindre encore, et lui promet de le récompense
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
le refuser, & tend la main par derriere pour le recevoir. Léandre prie Sganarelle de servir ses amours auprès de Lucinde
chantant : Ma bouteille, si la saveur De ce vin répond à l’odeur, Je prie Dieu & Sainte Héleine Qu’ils te maintiennent
49 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XII. Lo Ipocrito et Le Tartuffe » pp. 209-224
rompu vos dévotions ! IPOCRITO. Être utile au prochain vaut mieux que prier  ; la charité l’emporte sur le jeûne. LISEO. Je su
remet une lettre.) ZEPHIRO. Heureux Zephiro !… Cet anneau que je vous prie d’accepter vous témoignera pour le moment l’oblig
50 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47
nt son pouvoir en lui faisant, donner le fouet pour n’avoir pas voulu prier Dieu. Louis avait neuf ans et il était roi. Les h
r le commandement de la reine régente sa mère, pour n’avoir pas voulu prier Dieu. M. de Souvray n’y voulait mettre la main, j
51 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
rendant une fois, une seule fois au cercle d’une femme qui l’en avait prié , illustrait sa société : cette société se trouvai
ette importance, le nom de précieuses n’existait point encore ; et je prie mes lecteurs de tenir note de ce fait : que quand
52 (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13
vec dignité. Molière. Oh ! Oh ! Quel changement ! Dites-moi, je vous prie , Vous avez une sœur, la petite Thalie, Dont Picar
vaux, Quittez ce fier dédain pour vos amants nouveaux ; J’ose vous en prier  : plusieurs, quoi qu’on en dise, Sont dignes de T
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322
et, & qu’il y gagneroit une indigestion. Il rend la bourse, & prie qu’on lui donne seulement une vingtaine de sols p
es gants le plus lentement qu’il put ; & quand il les eut mis, il pria Béatrix de lui donner un verre d’eau, pour voir c
Quand vous... Mariane. Quand vous...Ne parlons pas de cela, je vous prie . Vous m’avez dit tout franc que je dois accepter
t de la ville, ayant rencontré Don Diegue assez près de son logis, le pria si poliment de vouloir souper avec lui, qu’il lui
54 (1739) Vie de Molière
stiné à être imprimé à la tête du Molière in-4°. édition de Paris. On pria un homme très-connu de faire cette vie et ces cou
, dont il avait été le domestique et le pensionnaire, eut la bonté de prier l’archevêque de Paris de le faire inhumer dans un
e de Soyecourt. Molière, qui n’entendait rien au jargon de la chasse, pria le comte de Soyecourt lui-même, de lui indiquer l
uan demandait à ce pauvre, à quoi il passait sa vie dans la forêt. À prier DIEU, répondait le pauvre, pour les honnêtes gens
e, pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumône. Tu passes ta vie à prier DIEU ? disait Don Juan : Si cela est, tu dois don
liquait Don Juan : DIEU ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le prient du soir au matin. Tiens, voilà un louis d’or ; ma
55 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [66, p. 102-103] »
s sont dans le même cas. 249. BIGOT : Qui contrefait le dévot, qui prie Dieu avec hypocrisie. Se dit aussi de ceux qui on
56 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [38, p. 68-69] »
eures ; et, comme Molière n’entendait rien au jargon de la chasse, il pria le comte de Soyecourt lui-même de lui indiquer le
57 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
rempli du desir de faire valoir le talent qu’il se connoissoit, qu’il pria Monsieur le Prince de Conti de le laisser continu
que ce fût. Ils le trouverent. Moliere lui donna son projet, & le pria de lui en apporter un Acte par semaine, s’il étoi
ssource, & connoissant l’humeur bien-faisante de Moliere, alla le prier de lui prêter son Theâtre pour trois jours seulem
: Voilà son ordre. La Raisin voyant qu’il n’y avoit plus d’esperance, pria Moliere de lui accorder du moins que le petit Bar
rançois, qu’il avoit faite dans sa jeunesse. En attendant le Diner on pria Mr. Despreaux de reciter la satyre addressée à Mo
e moyen que cet enfant puisse tenir ? Il en seroit incommodé, je vous prie de le laisser. Oh parbleu, dit M. de L .. la fête
l’on me voyoit aujourd’hui derriere. Jugez-nous, Moliere, je vous en prie , dit M. Chapelle, j’en passerai par tout ce que v
phique, quand ils arriverent devant les Bons Hommes. Le Religieux les pria qu’on le mit à terre. Il les remercia gracieuseme
out mon cœur, & je vous ferai plaisir dans les occasions, Je vous prie , ajoûta-t-il, mettez-moi en contraste dans quelqu
e ; car le pauvre homme n’extravague pas mal. Faites cela, je vous en prie , je vous verrai souvent pour suivre vôtre travail
int de passion plus forte que celle de s’y attacher ; qu’il venoit le prier de lui en procurer les moyens, & lui faire co
i en donner ailleurs ; la patience lui échappa à la fin. Eh ! je vous prie , Marquis, dit il à M. de M*** donnez-nous la monn
ce personnage dans la Piece. Il envoya Baron chez M. Rohaut, pour le prier de lui prêter ce chapeau, qui étoit d’une si sing
des prieres à son mari, qu’il n’y eut personne de ces gens-là qui ne priât Dieu de tout son cœur. Le Convoi se fit tranquill
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. » pp. 426-435
ue l’honneur d’être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous prie de m’accorder. M. Jourdain. Avant que de vous ren
der. M. Jourdain. Avant que de vous rendre réponse, Monsieur, je vous prie de me dire si vous êtes gentilhomme. Cléonte. Mon
59 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
ntage pour fourvoyer un homme d’esprit. Défions-nous donc, je vous en prie , des interprétations à outrance. Cependant, je le
ances qu’on y voulait toujours trouver… Car pourquoi vouloir, je vous prie , appliquer tous ses gestes et toutes ses paroles
limène, est-ce que vous allez m’étrangler ? D’où vient donc, je vous prie , un tel emportement ? Oubliez-vous que vous parl
us croirez m’est de peu d’importance. ALCESTE De grâce… Le voilà qui prie  : … montrez-moi, je serai satisfait, je vous cr
d’accord pour ma thèse, les littérateurs ne le sont point contre. Je prie M. de La Pommeraye de relire dans Jean-Jacques la
ns l’endroit écarté qu’il finit par aller chercher. Quel est, je vous prie , le devoir d’honneur, l’obligation morale qui for
60 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Préface » pp. -
Préface Je prie le lecteur de ne pas demander à cet ouvrage plus
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
s de Moliere. Horace apprend que son pere arrive pour le marier : il prie Arnolphe de parler en sa faveur, afin qu’on ne le
d nous avons parlé de la fin des actes, je ne le rapporterai pas ; je prierai seulement le lecteur d’examiner que rien n’est si
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
t très bien. Chrémès. Je vais la voir tout-à-l’heure. Allons, je vous prie , Criton, venez-y avec moi, car je crois qu’elle n
pourtant commandé que cela fût fait comme il faut. Pamphile. Je vous prie d’ordonner qu’on le délie. Simon. Allons, je le v
63 (1802) Études sur Molière pp. -355
oit souvent avec un religieux. Elle va se confesser à ce moine, et le prie d’engager son ami à ne plus la fatiguer de ses so
ais leur faire. N’importe ; la voici : Acte II, scène ix 26, Valère prie Sganarelle de dire à sa pupille, ………………………… Qu’i
Fontainebleau. Molière, qui n’entendait rien au jargon de la chasse, pria un chasseur de lui indiquer les termes qu’il deva
es sentirent tout le piquant de cette plaisanterie, se radoucirent et prièrent Molière de donner bien vite une nouveauté. La com
aisse voir le tombeau de Gonzalo, surmonté de sa statue ; dom Juan la prie à dîner, elle s’y rend, l’invite à son tour à sou
tout à fait agréable : mes amis, mes chers amis, soupons, je vous en prie , sans parler de comédie. — Tu as raison, ma toute
précipitait avec humeur, et ce seul hémistiche, laissez-moi je vous prie , ainsi préparé, annonçait déjà son caractère. Co
chante : Ma bouteille, si la saveur, De ce vin répond à l’odeur, Je prie Dieu et Sainte Hélène, Qu’ils te maintiennent tou
quelle erreur ! c’était l’auteur d’une comédie en cinq actes ; il me prie d’entendre sa pièce, et de lui en dire franchemen
ons hasardées ; en voilà sans doute assez pour qu’une épouse délicate prie son mari ………………………… De ne l’exposer Qu’à ce qu’i
rs respectés ; c’est au tribunal du petit nombre que j’en appelle. Je prie sincèrement mes juges de me condamner, si j’ai to
ublic ; le Mercure du poème français, en s’adressant à la Nuit, qu’il prie de tripler le bonheur de Jupiter, ne détruit pas
i a fait, croit que Lyconide est le voleur de son trésor, et qu’il le prie de lui en faire un dom ; d’un autre côté, Lyconid
uve également leur avarice. Harpagon, forcé de donner une collation, prie son intendant de renvoyer les restes au marchand.
de leur mieux, lorsque Frosine, voulant admirer leur bonne grâce, les prie de se tourner et de marcher un peu, affectent au
ne la recevra qu’en présence de sa famille. Gite tâche de s’excuser, prie , conjure, menace de se noyer, ramasse une pierre
ne vieille, riche de cinquante mille écus. Lucas, tenté par la somme, prie Rodomont de le mettre à sa place ; alors Isabelle
a pas de louer son esprit : la mère, pour mieux justifier les éloges, pria le précepteur d’interroger son élève sur les dern
le d’Argan. L’élève. Il faudra donc, mon cher professeur, que j’aille prier feu Bonneval de me communiquer sa goutte. Le pro
, la voici : dom Juan demande à un pauvre à quoi il passe sa vie. — À prier Dieu pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumô
pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumône. — Tu passes ta vie à prier Dieu ? Tu dois être bien riche. — Hélas ! monsieu
a ne se peut pas ; Dieu ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le prient du soir au matin. Tiens, voilà un louis d’or, mai
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
Mais son fils Alcidas le remplace avec deux épées & un bâton : il prie fort poliment Sganarelle de se couper la gorge av
re un Docteur qui sait lire & écrire. Voilà qui est fait. Je vous prie de m’écouter. . . . . . . . . . . . . . . . Cett
65 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
ir de la cour ; c’est au-delà de ce que je voulais qu’il sut. Je vous prie de ne pas vous laisser surprendre par l’abbé, qui
irer ; elle écrit de Versailles à Gobelin le 15 juin au soir : « J’ai prié madame la duchesse de Richelieu de vous dire ce q
66 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
extrême ; Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre et filer… De tels propos,
et quand Arnolphe, étonné, dépité, désespéré, se trouve à ses pieds, prie , implore, elle est à son tour cruelle, elle se ve
vents silencieux, où des femmes à genoux consument leur vie entière à prier pour le salut des âmes en péril. Molière connaît
durement le père coupable qu’elle l’a doucement averti de sa folle et prié de se montrer meilleur ? Mais Dorine surtout, la
67 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
it, Guenaut et d’Aquin. Comme Molière voulait déguiser leurs noms, il pria son ami Boileau de leur en faire de convenables.
ar cœur ; que, dans ce même temps, un de ses amis en Province l’ayant prié de lui mander des nouvelles de cette Pièce, il la
ar cœur ; que, dans ce même temps, un de ses amis en Province l’ayant prié de lui donner des nouvelles de cette Comédie, il
pteur. On loua son esprit. La mère voulut justifier les éloges ; elle pria le Précepteur d’interroger son élève sur les dern
) Hélas ! Mes amis, je recommande à vous tous ; secourez-moi, je vous prie  ; je suis mort, je suis perdu. Enseignez-moi qui
eures ; et, comme Molière n’entendait rien au jargon de la chasse, il pria le Comte de Soyecourt lui-même, de lui indiquer l
ui lui demandait l’aumône, ayant appris de lui qu’il passait sa vie à prier Dieu71, et qu’il n’avait pas souvent de quoi mang
l n’avait pas souvent de quoi manger, ajoutait : « Tu passes ta vie à prier Dieu ; il te laisse mourir de faim ! Prends cet a
comme il faisait ordinairement, parce qu’il l’aimait ; et ensuite le pria de lui expliquer ces quatre vers, disant qu’il ne
en fut si fort touché, que, n’ayant pas le courage de l’enterrer, il pria un Prêtre de ses amis de faire la cérémonie à sa
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. De ce que nous entendons par caractere. » pp. 259-260
ce que nous entendons par caractere. Avant d’entrer en matiere, je prie le Lecteur de voir avec moi ce qu’un Auteur qui a
69 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [43, p. 73-77] »
aujourd’hui si l’on me voyait derrière. Jugez-nous, Molière, je vous prie , ajouta Chapelle* ; j’en passerai par tout ce que
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
oir de faire venir sa maîtresse. Arlequin, fort amoureux d’Argentine, prie Scapin de lui céder sa place. Scapin se fait beau
Argentine, prie Scapin de lui céder sa place. Scapin se fait beaucoup prier , & consent enfin. Arlequin ouvre le sac ; Sca
e temps ? Je m’en vais. Phédria. Et moi aussi. Antiphon. Eh ! je vous prie , si je contrefaisois ainsi l’assuré, seroit-ce as
lui ai dit aussi : Eh ! que pourroit-il donc faire davantage, je vous prie , s’il marioit sa propre fille ? Il n’a pas gagné
il est amoureux, s’il ne lui donne pas bien vîte de l’argent. Phédria prie Géta de lui en procurer. Celui-ci ne sait où en p
71 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
par-dessus toute chose751, est exprimé eu action par le Pauvre qui «  prie le ciel tout le jour, et qui est bien mal reconnu
e corriger votre vie et de prévenir votre perte. Sauvez-vous, je vous prie , ou pour l’amour de vous, ou pour l’amour de moi.
je vous dis en vérité qu’ils ont reçu leur récompense. Et quand vous priez , ne soyez point comme les hypocrites, qui aiment
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60
ant à part pour lui dire qu’il est obligé de se battre, & pour le prier de lui servir de second. Eraste s’excuse, revient
i se disputent sur la cause & les effets de la jalousie, & le prient de décider. Orphise paroît dans ce moment, devien
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
nous ne sommes pas liés ensemble par des nœuds indissolubles, je vous prie de prendre votre parti sans bruit, & de vous
rent aux V... où le Marquis, ayant embrassé tendrement son épouse, la pria d’oublier ses égarements. Précis de Mélanide.
74 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [74, p. 108-114] »
oint d’autre passion plus forte que de s’y attacher ; qu’il venait le prier de lui en procurer les moyens, et lui faire conna
75 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [76, p. 115-117] »
ux juifs fort riches, alla à midi chercher son frère Despréaux, et le pria de l’accompagner, l’assurant que ces Messieurs se
76 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
rempli du désir de faire valoir le talent qu’il se connaissait, qu’il pria M. le prince de Conti de le laisser continuer la
ix que ce fût. Ils le trouvèrent. Molière lui donna son projet, et le pria de lui en apporter un acte par semaine, s’il étai
e ressource, et connaissant l’humeur bienfaisante de Molière, alla le prier de lui prêter son théâtre pour trois jours seulem
oilà son ordre. » La Raisin, voyant qu’il n’y avait plus d’espérance, pria Molière de lui accorder du moins que le petit Bar
moyen que cet enfant puisse tenir ! il en serait incommodé ; je vous prie de le laisser. — Oh parbleu ! dit M. de L…, la fê
’on me voyait aujourd’hui derrière. — Jugez-nous, Molière, je vous en prie , dit M. Chapelle ; j’en passerai par tout ce que
phique, quand ils arrivèrent devant les Bons-Hommes. Le religieux les pria qu’on le mit à terre. Il les remercia gracieuseme
e tout mon cœur, et je vous ferai plaisir dans les occasions. Je vous prie , ajouta-t-il, mettez-moi en contraste dans quelqu
e, car le pauvre homme n’extravague pas mal : faites cela, je vous en prie  ; je vous verrai souvent pour suivre votre travai
int de passion plus forte que celle de s’y attacher ; qu’il venait le prier de lui en procurer les moyens, et lui faire conna
en donner ailleurs ; la patience lui échappa à la fin. « Eh ! je vous prie , marquis, dit-il à M. de M…, donnez-nous la monna
ce personnage dans la pièce. Il envoya Baron chez M. Rohault pour le prier de lui prêter ce chapeau, qui était d’une si sing
des prières à son mari, qu’il n’y eut personne de ces gens-là qui ne priât Dieu de tout son cœur‌ 127. Le convoi se fit tran
fut si fort touché, qu’il n’eut pas le courage de l’enterrer ; et il pria un autre curé de ses amis de faire les cérémonies
ans avant sa mort, il fut bien aise de se décharger de cet emploi, et pria La Grange de le remplir. Celui-ci s’en acquitta t
votre travail ; ainsi je ne vous enverrai plus chercher, mais je vous prie , à toutes vos heures vides, de me venir trouver ;
ançais, qu’il avait faite dans sa jeunesse. En attendant le dîner, on pria Despréaux de réciter la satire adressée à Molière
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
allions voir ? Un autre dit, je le veux, allons, menez-nous, je vous prie . Nous allons, nous arrivons, nous voyons. Qu’elle
. Dès le lendemain il va trouver la vieille dont je t’ai parlé, il la prie de lui faire voir cette fille : elle le refuse, &
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
x, Votre oncle va vous voir vous livrer à vos goûts : Je l’en ai tant prié qu’à la fin il m’a crue. Moi-même, qui sur vous v
n de chicaner sur un bon mariage, Signerez au contrat sans vous faire prier . (A Géronte.) Pour vous, il vous sied bien, mon p
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
que comme il craint que le marchand ne la lui vende trop cher, il le prie de l’acheter lui-même. Le Docteur fait le marché.
ntier à votre fille. Alors le Docteur, donnant dans un nouveau piege, prie Scapin d’acheter lui-même Turqueta, & lui rem
80 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
. Arlequin paroît. Le Cadi lui fait donner la bastonnade. Le Barbier prie Arlequin de lui pardonner le traitement qu’il vie
oue son amour. Zulime vient se jetter aux pieds de son pere, pour le prier de l’unir avec Almanzor : le Cadi donne son conse
81 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
u second, la première du troisième ; il trace le scénario du reste et prie Corneille d’en trouver les vers, tandis que les p
je leur mettrais entre les mains l’Art de dire, de M. Leloir3, je les prierais de s’exercer d’après les conseils de ce jeune com
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425
es les semaines cette piece, & tout le monde la sait par cœur. Je prie mes lecteurs de remarquer qu’ils ne sont frappant
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. » pp. 290-293
surprise par Pantalon, lui dit qu’un téméraire la poursuit, & le prie d’aller lui en imposer. Pantalon la quitte un ins
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
LES FEMMES SAVANTES. ACTE I. Scene V. Clitandre, seul. Clitandre a prié Bélise de protéger l’amour qu’il a pour Henriette
que fait Clitandre tient & sert à la machine générale, puisqu’il prie l’oncle de sa maîtresse d’être favorable à son am
85 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
ours contentes ; mais les oreilles pudiques n’ont rien à craindre. Je prie donc les savants de me pardonner ce que mon disco
extrême : Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre et filer. Enfin, après l’a
puis se calme, et lui qui tout à l’heure accusait sa maîtresse, il la prie à genoux de se justifier : À vous prêter les mai
« lorsque l’on a du bien » ; c’est la condition indispensable, et je prie qu’on me permette à ce propos une courte digressi
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. M. DORAT. » pp. 463-467
poignarder. Il est touché de ses charmes & de sa jeunesse ; il la prie de ne le pas regarder, parcequ’il n’auroit jamais
87 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
our quelque autre fête. Vous en avez vu d’autres de sa façon, je vous prie d’examiner celle-ci20. Le peuple n’eut nul égard
u’en chantant. Scene II. Licandre paroît & chante. M. Oronte le prie de cesser de faire des compliments en musique : i
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
re affiche, je vous donne de l’argent pour rire, régalez-moi, je vous prie , d’un plaisir qui soit gai, & qui ne ressembl
votre service, mon pere. Mais ne m’appellez plus comme cela, je vous prie  ; cela vous feroit peut-être reprendre avec moi d
89 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102
e l’Impromptu de Versailles, qui se déhanche si bien, et se fait tant prier pour lever un peu sa coiffe 291 ! Et cette servan
e ignore le mal ! « C’est assez pour elle, » dit Arnolphe, De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre et filer330. Eh ! pauvre f
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
ésenter sur le doigt aux dames l’eau sacrée,   C’est d’amourettes les prier . Si l’air du suppliant à quelque dame agrée,   Ce
rdonne, il leur dit de supposer qu’il est le Docteur. Il se présente, prie qu’on le laisse entrer ; on lui refuse : il prie
eur. Il se présente, prie qu’on le laisse entrer ; on lui refuse : il prie encore ; on lui donne des coups de bâton : il s’é
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XL. Du dénouement des Pieces à caractere. » pp. 469-474
sieur Francaleu  « Puisse-t-il s’obtenir de même ! « Parlez, pressez, priez . Je desire à l’excès « Que sa fille aujourd’hui t
92 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
uchant son mérite, et m’en sois rapporté au sentiment de ceux qu’on a prié d’en juger. Je m’en tairais encore, si ce faux br
et demande seulement pour toute grâce un mois de délai ; ensuite elle prie le vieillard, en qualité de belle-mère future, de
e ressource, et connaissant l’humeur bienfaisante de Molière, alla le prier de lui prêter son théâtre pour trois jours seulem
, et ajoute : « Molière, qui n’entendait rien au jargon de la chasse, pria le comte de Soyecourt lui-même de lui indiquer le
ui lui demandait l’aumône, ayant appris de lui qu’il passait sa vie à prier Dieu, et qu’il n’avait pas souvent de quoi manger
il n’avait pas souvent de quoi manger, ajoutait : “Tu passes ta vie à prier Dieu, il te laisse mourir de faim, prend cet arge
93 (1910) Rousseau contre Molière
vous croyez peut-être… Mais pour vous (Alceste)… Parlez-moi, je vous prie , avec sincérité. Et il taquine Alceste presque d
igne du noble poste où j’apprends qu’on l’a mis, Gardez-vous, je vous prie , au moins, mes chers amis, De souiller par vos so
agrines qu’il reçoit mal Alceste et qu’il est irrité quand Alceste le prie de solliciter pour son infortuné inconnu, « Voilà
moins. Le pauvre, en effet, dit à Don Juan : « Je ne manquerai pas de prier le ciel qu’il vous donne toutes sortes de biens. 
qu’il vous donne toutes sortes de biens. » — « Eh ! répond Don Juan, prie le ciel qu’il te donne un habit, sans te mettre e
sont huit. » — « Quelle est ton occupation sous ces arbres ? » — « De prier le ciel tous les jours pour la prospérité des gen
la plus grande nécessité du monde. » — « Tu te moques ! Un homme qui prie le ciel tout le jour ne peut pas manquer d’être b
montrer au pauvre qu’en péchant il gagnera, le cas échéant, plus qu’à prier  ; et Sganarelle, représentant du bon sens populai
an demandait à ce pauvre à quoi il passait sa vie dans la forêt : « A prier Dieu, répondait le pauvre, pour les honnêtes gens
pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumône. — Tu passes ta vie à prier Dieu, disait Don Juan ; si cela est, tu dois donc
liquait Don Juan ; Dieu ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le prient du soir au matin. Tiens, voilà un louis d’or ; ma
Rousseau et moi, nous en demandons trop. Je l’avouerai sans me faire prier  ; mais cependant nous sommes encore en pleine mon
extrême ; Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre et filer. Telle est la doc
disait : Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre et filer. Dans le programm
e que Chrysale a cinquante ans et n’a plus de prétentions à cela ; et prier Dieu n’apparaît point parce que, comme tous les p
te, je gagerais que sa tirade maîtresse (épouser une sotte… De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre et filer) a été applaudie v
it d’eux ; je reconnais qu’il y a un grand sens dans cette page et je prie qu’on la marque ici d’une « oreille » pour la ret
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171
ur attaque l’avarice. Harpagon veut savoir ce qu’on dit de lui, & prie Maître Jacques de le lui apprendre : Maître Jacqu
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Des Pieces à spectacle. » pp. 30-36
alterne, enchanté dans ce même arbre, lui adresse la parole, & le prie , en chantant, de le délivrer, en ne coupant qu’un
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
ue l’honneur d’être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous prie de m’accorder. M. Jourdain. Avant que de vous rép
’accorder. M. Jourdain. Avant que de vous répondre, Monsieur, je vous prie de me dire si vous êtes gentilhomme. Cléonte. Mon
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
re une. Orgon. Quoi ! vous croyez...Allons, point de bruit, je vous prie  ; Dénichons de céans, & sans cérémonie. Tartu
Va-t’en chez mon beau-pere & ma belle-mere, & dis que je les prie très instamment de venir tout à l’heure ici. Il
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
omme cela qui passent de la tête. Eraste. Embrassez-moi donc, je vous prie , & resserrons les nœuds de notre ancienne ami
99 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
nnée un volume de caractères, chaque année une comédie ! Eh ! je vous prie , si ce travail eût été fait, des mille nuances de
loureuse qu’il vient de faire en la personne de madame Agnès, et vous prie d’assister… » etc. C’est imprimé ! La comédie eût
s signes les avez-vous reconnues ? Comment sont-elles faites, je vous prie , d’où viennent-elles, et par quels efforts surnat
t flagellé par le rire. Vous direz de vous-même, sans trop vous faire prier , je suis un avare, un menteur, un débauché, un li
100 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
e ressource, et connaissant l’humeur bienfaisante de Molière, alla le prier de lui prêter son théâtre pour trois jours seulem
; voilà son ordre. » Raisin, voyant qu’il n’y avait plus d’espérance, pria Molière de lui accorder du moins que le petit Bar
curé en fut si touché, qu’il n’eut pas le courage de l’enterrer ; il pria un autre curé de ses amis de faire les cérémonies
mis dans la troupe de l’Hôtel de Bourgogne, à la réunion générale, on pria Hauteroche, qui était déjà avance en âge, de lui
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