. Pour cet effet, elle feint d’être excédée des poursuites de Valere,
prie
son tuteur d’aller lui dire de sa part qu’elle a
nt de jetter dans sa chambre une boîte d’or avec une lettre, & le
prie
d’aller lui rendre le tout, sans décacheter le bi
ure commode pour aller au Couvent, demande à parler au Pere, & le
prie
de vouloir la confesser. Après sa confession, ell
par votre caractere, de lui faire des réprimandes. Dites-lui, je vous
prie
, de changer de conduite à l’avenir, & de me l
it tout naturellement qu’il ne savoit ce qu’il vouloit dire, & le
pria
de parler plus clairement, & de lui dire au m
n, que cette femme est la vertu & la sagesse même : ainsi je vous
prie
de la laisser en paix pour votre honneur ». Le je
p; faire croire que je l’avois reçu, je vous l’apporte, & je vous
prie
de le rendre vous-même, & de lui dire de la b
ertu : mais puisque vous avez commencé à suivre mes conseils, je vous
prie
, Madame, de permettre que je lui parle encore ava
a main, & demande pour toute grace un mois de délai. Ensuite elle
prie
son amant suranné de faire cesser l’inquiétude qu
faire un voyage, laisse sa femme sous la garde de Trapolin. Isabelle
prie
le Docteur de mettre ordre aux insolences de son
Léandre, qui avoue avoir eu la témérité de regarder plusieurs femmes,
prie
humblement son Précepteur de lui montrer la maiso
c. Son Pseudolus finit ainsi : Ballio. (On l’invite à boire.) Que ne
pries
-tu aussi ces Messieurs ? Pseudolus. Ils n’ont pas
ies-tu aussi ces Messieurs ? Pseudolus. Ils n’ont pas accoutumé de me
prier
, ni je ne les invite jamais. Mais si vous voulez,
gner que notre troupe & cette comédie vous ont contentés, je vous
prierai
pour demain60. Plaute finit encore son Rudens p
e à peu près de même. Demone, ayant pris le bras à son pere. Je vous
prierai
bien aussi, Messieurs ; mais je n’ai rien à vous
a rien de bon ni de prêt chez moi, & je veux croire que vous êtes
priés
en ville. Cependant, si vous voulez donner votre
ant, si vous voulez donner votre approbation à cette comédie, je vous
prie
de venir tous souper chez moi, d’aujourd’hui en s
& feint de sortir pour en faire la demande au Roi. La Princesse
prie
Aglante de repousser les vœux d’Euriale. Aglante
endresse du Prince pour Aglante ; elle se jette à ses pieds, & le
prie
de ne pas unir sa cousine avec un mortel qu’elle
qu’il a déja, Don Gaston, Comte de Fox, & le Prince de Béarn. Il
prie
son valet Polilla de l’aider dans son entreprise
n cou. Son pere ne veut pas la contraindre à prendre un époux ; il la
prie
seulement de voir les fêtes préparées par les Pri
enragera, le douzieme elle ira vous chercher, le treizieme elle vous
priera
». Son maître lui dit que si on lui fait quelque
Carlos l’a informé de son bonheur. Il va l’annoncer au Roi, & le
prier
de lui être favorable. La Princesse, seule, se pl
e a de plaire à Don Carlos, & lui demande son consentement. Diana
prie
sa cousine de maltraiter le Prince. Cintia n’en v
qui est un enfant dans ses jeux, mais un Dieu dans sa vengeance. Elle
prie
Cintia d’avoir pitié d’elle, & sort dans le p
s pas encore ce que je veux ; donnez-moi le temps d’y songer, je vous
prie
, & m’épargnez un peu la confusion où je suis.
asse de l’indifférence à l’amour le plus violent ; &, après avoir
prié
Scapin de détourner Lélio de ce mariage, & ce
. A peine est-elle entrée chez Lélio, que Scapin, qui l’a introduite,
prie
tout bas son maître de lui donner quelques coups
ur à Damis. On veut l’envoyer coucher, il n’en veut rien faire, &
prie
qu’on le laisse. Moncade dit à Pasquin de lui fa
x à Mariane : elle va parler du Marquis, quand Julie trop chagrine la
prie
de remettre l’entretien à une autre fois. Julie
re veut déguiser son amour pour Moncade ; tout la décele : sa mere la
prie
de cacher une partie de sa tendresse afin de guér
égiment le lendemain. Le frere de Julie écrit qu’il est malade, &
prie
sa sœur de se rendre chez lui ; elle y verra son
ier une ingrate. Moncade lui déclare qu’il ne sauroit l’aimer ; il la
prie
cependant de lui peindre les torts de Mariane. La
riage, du tort qu’il se fait en suivant les conseils d’un fourbe : il
prie
Dave de ne pas détourner Pamphile du mariage proj
femme indiquée par Archillis, parcequ’elle est sujette à boire : elle
prie
les Dieux de ne pas permettre que la sage-femme f
, Mysis seule redoute quelque malheur nouveau pour l’Andrienne, &
prie
les Dieux de ne pas l’abandonner. L’ANDRIENNE LAT
elle s’est donnée à lui ; il jure que rien ne pourra les séparer : il
prie
Mysis de ne point parler à sa maîtresse du mariag
it à part que son vieux maître s’attend à quelque fourberie. Simon le
prie
de lui dire la vérité, & lui demande si le ma
souper : diroit-on qu’il marie son fils ? Qui de mes amis pourrai-je
prier
à souper, un jour comme aujourd’hui ? Et ma foi a
les choses avec trop de lésine : je n’approuve pas cela. Simon. Je te
prie
de te taire. Dave, à part. Je lui en ai donné. Si
donc ? Dave. Comment donc ?Quoi ! dit-il, personne n’est commis Pour
prier
seulement nos parents, nos amis ! Pour un fils, p
Si j’osois... Simon. Il n’a pas tort, au moins. Si j’osois...Je t’en
prie
. Dave. Je vous accuserois d’un peu de ladrerie. S
: Glycerion se trouve fille de Chrémès : on la marie à Pamphile, qui
prie
son pere de faire délier Dave. Charinus cherche P
les gens de la noce, parceque la fête se fera dans la maison. Il les
prie
d’applaudir. L’ANDRIENNE FRANÇOISE. Acte V. Tout
e dans la forêt, et lui demande à quoi il y passe sa vie. Le Pauvre A
prier
Dieu pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumô
es honnêtes gens qui me donnent l’aumône. Dom Juan Tu passes ta vie à
prier
Dieu ? Si cela est, tu dois être fort à ton aise.
a ne se peut pas ; Dieu ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le
prient
du soir au matin : tiens, voilà un louis d’or, ma
& la persévérance d’un amant n’ont jamais émues... Voyons, je te
prie
, si celle de Camille est de cette nature, & é
mari qu’elle ne peut supporter plus long-temps son absence, & le
prie
de revenir bien vîte reprendre le soin de la mais
t que le pere de Léandre, échappé depuis peu d’une grande maladie, le
prie
de différer le mariage, parcequ’il espere que les
& va joindre Léandre. L’Olive veut, à l’imitation de son maître,
prier
Crispin d’éprouver Nérine. Acte II. Léandre s’ap
live dit que le secret est à lui aussi bien qu’à son maître. L’Olive
prie
Crispin de lui rendre auprès de Nérine le bon off
n, d’un air joyeux, que Julie le nomme un traître, un perfide ; il le
prie
de continuer à lui rendre des soins. Damon lui av
son cœur s’intéresse à la feinte ; Léandre en est enchanté, & le
prie
de persuader à Julie qu’un autre objet le captive
ge fait pour intéresser est déja amoureux de Julie lorsque son ami le
prie
de feindre auprès d’elle. Est-il honnête, ou du m
vient au contraire offrir à son amant tout ce qu’elle possede : il la
prie
de le laisser un moment avec ses faux amis ; il l
V. Timon a creusé son tombeau. Athenes lui envoie des députés pour le
prier
de revenir dans le sein de sa patrie : il va, dit
ous le poids de ses chagrins. Evandra veut en vain le consoler. Il la
prie
(comme nous l’avons dit en passant dans le premie
t aussi mariée secrètement ; elle est trop jeune pour cela, mais elle
prie
qu’on ne tarde pas à la mettre en ménage. On ne
urs l’ont affoibli au point qu’il n’a pas la force d’y descendre ; il
prie
Evandra, sa fidelle maîtresse, qui l’a suivi, de
e qu’un messager qui apporteroit la nouvelle d’un heureux mariage. Je
prie
le lecteur de réfléchir sur le cinquieme acte du
Apothicaire paroît. Nous comprenons dans leur scene, qu’Eraste a fait
prier
un Médecin de vouloir bien se charger de la guéri
blige. Pourceaugnac prend le Médecin pour l’Intendant d’Eraste, qu’il
prie
de ne le traiter qu’en ami. Eraste sort, & le
cene IV. Sbrigani se défait vîte de son déguisement. Pourceaugnac le
prie
de lui enseigner le logement de M. Oronte, parceq
lle. Sbrigani feint d’être surpris ; & après s’être beaucoup fait
prier
, & avoir consulté fort long-temps une bague q
eux point qu’on m’en fasse, que je n’y puisse répondre, & je vous
prie
de commencer par ne me point tant approcher. Euph
phrosine. Mais qu’est-ce donc que ce petit garçon-là ? Voyez, je vous
prie
, comme il est mutin ! Allons, qu’on baise tout-à-
de moi ; elles me caressoient & rioient comme des folles. Je les
priai
vainement de me dégager seulement un bras, une ma
qu’il veut surprendre, est en butte à leurs railleries, & il les
prie
en vain de lui laisser un bras libre, comme le hé
, & qu’on lui a promis de lui faire voir un géant d’un an ; elles
prient
en conséquence leur perfide amant de se laisser e
sa maîtresse, cherche par-tout Fédéric : elle le rencontre enfin, le
prie
de venir voir Victoire, l’entraîne en appellant V
on innocence, quand Flaminio vient demander Béatrix en mariage, &
prie
Magnifico de confirmer leur hymen secret. Magnifi
Magnifico veut confondre Flaminio, & appelle Béatrix. Flaminio la
prie
d’avouer la vérité, & de dire tout ce qui s’e
Flaminio jure le contraire, Arlequin aussi. Le Docteur survient, qui
prie
Magnifico de mettre fin à ce débat, en mariant Bé
, & la presse de conclure. Elle imagine d’écrire à Silvio pour le
prier
de différer encore son mariage de quelques jours.
io la lettre de Diane ; ils la lui enlevent. Flaminio y lit que Diane
prie
Silvio de différer son mariage de quelques jours.
trix ne le veut absolument épouser qu’après l’arrivée de ce frere. Il
prie
Arlequin de jouer le personnage de Lucindo. Arleq
t l’amour qui les a fait naître. Diane pardonne à son amant, & le
prie
de la ramener chez elle. Acte III. Brighella cra
er sa main à Flaminio, a écrit à Silvio, à qui on la destine, pour le
prier
de différer le mariage. On a encore vu que Flamin
t atanaton... Albert. Mon Dieu ! Maître éternel, laissez là, je vous
prie
, Les Grecs, les Albanois, avec l’Esclavonie, Et t
a journée, se prépare à se retirer, quand son berger Agnelet vient le
prier
d’être satisfait des coups qu’il lui a donnés, &a
très humble & très obéissant serviteur. Asseyez-vous là, je vous
prie
; asseyez-vous là. Patelin. Monsieur... M. Guilla
ionné, l’a suivie ; un fâcheux est cause qu’il l’a perdue de vue : il
prie
Parmenon de lui dire où elle est : Parmenon imagi
t ravoir Zaïde son éleve ; elle attend chez elle le Capitaine pour le
prier
de la lui rendre, elle n’est visible que pour lui
maison de la Comtesse pour éviter le Chevalier. Celui-ci la suit, la
prie
de rester. Marine les surprend, appelle à grands
la chose étoit nécessaire pour conserver l’héritage du pere. Le Baron
prie
le Capitaine d’accorder Zaïde à son fils : celui-
François se sont piqués de laisser à Térence cette fille de joie qui
prie
son favori de permettre qu’elle tire parti de ses
quelque chose à te demander. Frontin. Et quoi ? Simon. Dis-moi, je te
prie
, les muets rient-ils ? Frontin. Eh ! vraiment oui
être découverte... Encore ? Simon, revenant. Et dis-moi un peu, je te
prie
, comment rient les muets ? Je n’en ai jamais vu r
e la campagne, continuai-je, où j’ai demeuré quelques années, je vous
prie
de m’apprendre qui est un certain Comédien de la
pour lui que par les applaudissements qu’il reçut de ceux qu’il avait
priés
de les venir voir. Après le succès de ces deux Pi
, reçut des gens de qualité plus de mémoires que jamais, dont l’on le
pria
de se servir dans celles qu’il devait faire ensui
r un demi-Vers, tel pour un mot et tel pour une pensée dont il l’aura
prié
de se servir, ce qui fait croire justement que la
vez dit à sa gloire. Mais pour nous entretenir d’autre chose, je vous
prie
de me dire ce que c’est que Le Baron de la Crasse
tous les jours des exemples. Mais, pour changer de discours, je vous
prie
de me dire si vous avez vu la Sophonisbe. — Oui,
. PERSILLET. Monsieur de La Ressource, le secret au moins, je vous en
prie
. ARLEQUIN. Il ne nous faut pas recommander cela.
des civilités, et puis s’asseyent.) LE DOCTEUR. Monsieur, nous avons
prié
monsieur de La Ressource de vouloir nous introdui
nous introduire chez vous, pour vous demander une grâce que nous vous
prions
de ne nous pas refuser. PERSILLET. Si c’est chose
LLET. Ça, messieurs, que voulez-vous de moi ? En peu de mots, je vous
prie
, car il faut que je me rende au Bureau. ARLEQUIN.
e, et nous sommes trop contents. ARLEQUIN. Ma foi, monsieur, ils vous
prient
de trop bonne grâce pour les refuser. PERSILLET.
; mais puisque vous le souhaitez et que monsieur de La Ressource m’en
prie
… LE DOCTEUR. Ah ! monsieur, vous ne sortirez poin
sur ses pas. St, st, st, monsieur de La Ressource, dites-moi, je vous
prie
, d’où vient que ces messieurs-là sont en grand de
meurt d’envie. Don Lope feint de changer de conversation ; le Roi le
prie
de satisfaire sa curiosité. Don Lope l’entraîne h
funeste passion ; le Roi le lui promet. Pantalon sort content. Le Roi
prie
Delmire de couronner ses vœux. La Princesse le lu
e lui remettre ce qui leur en reste, & les congédie. La Princesse
prie
le Roi de joindre les deux morceaux de lettre. Il
de Delmire, arrive incognito. Il voudroit voir sa sœur en secret. Il
prie
Don Diegue, son confident, de lui en procurer que
nt, de lui en procurer quelque moyen. Florente paroît : Don Diegue le
prie
d’introduire Don Pedre chez la Princesse. Arlequi
re, part pour avertir le Roi. La Princesse embrasse son frere, qui la
prie
de lui laisser quelque temps garder l’incognito,
aussi sans doute. Le ridicule n’amuse pas long-temps. Enfin Rodrigue
prie
Don Pedre de passer dans son appartement, & d
quelques tête-bleu, veut prendre la lettre. Bélise se fait connoître,
prie
Florente de dire à Don Pedre qu’un inconnu le dem
sse de Tyrol dans le Peintre, il l’embrasse, Delmire aussi. Le Prince
prie
sa sœur de faire coucher avec elle Bélise ; la sœ
ger dans l’appartement de Delmire. Delmire sort, reconnoît le Prince,
prie
le faux Célidoro d’aller se remettre au lit. La j
té déshonorée par un homme, elle qui se moquoit tant des amants. Elle
prie
tous les pêcheurs de courir après le traître Don
son grand ami, lui jette une lettre à travers les barreaux, & le
prie
de la remettre au Marquis. Don Juan jure de le fa
’être dérangé par un brave qui fait sentinelle au bout de la rue ; il
prie
Don Juan d’aller reconnoître le terrein, & lu
int sa parole, il veut être maudit de Dieu. Don Juan ne se fait point
prier
; & veut, dit-il ; être tué par un homme mort
en même temps le goût le plus vif. Le Duc s’apperçoit de sa conquête,
prie
Isabelle de l’introduire chez elle pendant la nui
Don Juan éteint la lumiere. Don Pedre étonné menace, & finit par
prier
son adversaire de se nommer. Don Juan lui avoue l
iques emportent le mort : sa fille suit en pleurant. Acte IV. Le Duc
prie
le Roi d’ordonner bien vîte les apprêts de son ma
, mort du coup d’épée qu’il lui a donné. Il ordonne à son valet de la
prier
à dîner. La Statue accepte, se rend à l’invitatio
e Don Juan change tout-à-fait. Le supplice l’attend de tous côtés. Il
prie
Carino de le tuer : un coup de tonnerre lui rend
pçonne que Tartufe s’oppose au mariage de Marianne avec Valere, &
prie
Cléante de parler à son pere de cet hymen. Scene
rsqu’elle ira par le coche voir les parents de son époux. Marianne la
prie
de lui sauver l’horreur de cette union. Scene IV
e mérite pas que nous y fassions grande attention. Scene II. Lisette
prie
Pasquin de lui peindre le caractere de son maître
ACTE III. Scene II. Laurent, serrez ma haire avec ma discipline, Et
priez
que toujours le Ciel vous illumine. Si l’on vient
ayons au théâtre ; mais bientôt, & dans la même scene, il se fait
prier
pour prêter à sa maîtresse une somme qu’elle a pe
r y sont assemblés lorsqu’on y conduit Samson privé de la lumiere. Il
prie
le Seigneur de lui rendre sa premiere force, afin
r, je vais être jetté. (haut.) Riez-vous aisément, dites-moi, je vous
prie
? Sigismond. Non, je n’ai jamais ri depuis que je
voient des Députés à leurs Princesses réfugiées en Castille, pour les
prier
de revenir prendre possession d’un Royaume qui le
llerie. D. Manrique. Il n’en est pas saison, quand il faut qu’on vous
prie
. Carlos. Ne raillons, ni prions, & demeurons
st pas saison, quand il faut qu’on vous prie. Carlos. Ne raillons, ni
prions
, & demeurons amis. Je sais ce que la Reine en
ié. Oui, m’a-t-on répondu en riant, c’est un drame héroïque qu’on m’a
prié
de lire pour voir s’il est digne de la Scene Fran
aire passer avec son bien entre les mains d’un étranger. On a beau le
prier
, lui faire parler par son Confesseur, rien ne le
uis, que son fils renonce à toutes ses prétentions : il fait plus, il
prie
son ami de couronner les vœux des deux amants. Du
ort avec la comédie. Extrait de la Piece. Acte I. M. Dupuis a fait
prier
Desronais de descendre chez lui : mais, obligé de
r aux pieds de Mariane : elle desire d’être seule un moment, & le
prie
de la laisser. Desronais, seul, va chercher le m
. Desronais projette de faire un dernier effort auprès de Dupuis : il
prie
Mariane de rester dans la galerie prochaine, &
, des coquins pensionnés, & l’honnête homme vêtu de bure. Je vous
prie
, comment trouvez-vous Londres ? Le Meunier. Est-c
s’est évadée en attachant les rideaux de son lit à la fenêtre : elle
prie
Lucas de remettre une lettre à Richard, & sor
vous êtes le plus honnête homme de tous les Procureurs, je viens vous
prier
de m’aider de votre bon conseil dans une petite a
voleur de grand chemin. Voyez s’il y a la moindre apparence ! Je vous
prie
de me dire à-peu-près où peut bien aller cette af
ousse à bout un honnête homme comme vous. Le Patissier. Je viens vous
prier
de retenir un peu vos poursuites. (A son garçon,
pier. Le Patissier. Monsieur, je ne regarde point après vous. Je vous
prie
seulement de tirer mon affaire en longueur. Grapi
’à la priere de sa maîtresse il fait un commis de ce laquais naïf qui
prie
la dame de se servir toujours du même rouge, afin
au et plusieurs autres personnes de mérite. En attendant le dîner, on
pria
Despréaux de réciter la satire adressée à Molière
ançais, qu’il avait faite dans sa jeunesse. En attendant le dîner, on
pria
M. Despréaux de réciter la satire adressée à Moli
antalon accourent, s’affligent du malheur arrivé à Silvio. Le Docteur
prie
Pantalon de faire courir après l’adversaire. Scap
ueux ; Arlequin le traite de voleur en reconnoissant son habit. Celio
prie
Argentine de se retirer, & lui promet d’avanc
seul avec Arlequin, il lui raconte la vérité de toute l’aventure, le
prie
de feindre encore, & lui promet de le récompe
; celui-ci se leve pour le recevoir. Il le traite fort civilement, le
prie
de s’asseoir, & croit faire les honneurs de s
en longueur, qu’il a faim, & que la nuit est déja avancée, il la
prie
à souper ; elle rit, & si haut qu’elle le rév
Tranion. Vous avez raison, Monsieur : mais, encore une fois, je vous
prie
de m’écouter. Notre jeune maître me dit que le mo
impossible de me sauver. Theuropide. Fais donc venir quelqu’un, &
prie
qu’on me fasse voir la maison. Tranion. Mais, s’i
ître veut faire bâtir une maison sur le modele de la sienne, & le
prie
de permettre qu’il la visite. Le voisin y consent
é ; que son désespoir redouble toutes les fois qu’on lui en parle, le
prie
en conséquence de ménager la sensibilité du vende
on. Regardez bien ces poteaux, ces jambages de porte ; voyez, je vous
prie
, de quelle solidité, de quelle épaisseur ils sont
son temps ; elle mord tour à tour les deux oiseaux de proie. Je vous
prie
, regardez de mon côté, afin que la corneille vous
s. Il l’exhorte à fuir le piege, quand la courtisanne vient elle-même
prier
Menechme Sosicle d’entrer. Il la trouve jolie, il
fidélités & du vol de la robe ; il va chez la courtisanne pour la
prier
de lui rendre cette maudite robe, dont la perte i
’on lui annonce encore l’arrivée de Don Maurice son frere. Alors elle
prie
Carlos de mettre l’épée à la main & de sortir
tuer ; qu’elle a voulu prévenir ce malheur en cachant l’inconnu. Elle
prie
son frere de l’accompagner pour que Carlos ne lui
la vie au premier en le cachant dans son appartement. Elle finit par
prier
Damis d’escorter le prisonnier & de le condui
tre lui permet alors de lui continuer ses moralités. Don Garcie vient
prier
Don André de cesser ses assiduités auprès de Léon
empressement est pour son ami : il l’emmene chez sa future, & le
prie
de lui prêter Mogicon jusqu’au retour de son vale
amp; à partir tout de suite pour satisfaire aux devoirs d’un fils. Il
prie
Don André de veiller sur la conduite de son épous
LE TRAITRE PUNI. Acte IV. Don Juan n’a pas fermé l’œil. Don Félix le
prie
de lui raconter ce qui s’est passé la veille ; il
nemi : elle tremble pour les jours d’un frere & d’un amant ; elle
prie
Don Juan de les raccommoder. Don Juan demande que
: C’est un bien dont il faut malgré vous me saisir. Peut-être à m’en
prier
trouvez-vous quelque honte. Madame votre mere est
ez-vous pour voir jusqu’à quel point ils pousseroient leur insolence,
prient
M. Bernard & Lucas d’y aller déguisés en femm
cause une foiblesse. La femme de Sganarelle s’en apperçoit, & le
prie
d’entrer chez elle où il se remet. Lorsqu’il en s
érée de ne pas voir Arlequin ; elle craint d’en être abandonnée. Elle
prie
son frere de lui écrire une lettre ; elle fait me
lui raconter toutes les perfidies de sa femme avec son amant ; il la
prie
de lui prêter une chambre pour examiner la condui
n foiblesse, craint pour lui les suites d’un évanouissement, & le
prie
d’entrer dans sa maison, en attendant que son mal
ilitaires. scène IV. Flaminia, de sa fenêtre, appelle Arlequin et le
prie
de porter une lettre à un cavalier nommé Flavio q
milité15. Resté seul, Flavio lit la lettre, dans laquelle Flaminia le
prie
instamment de ne plus fréquenter la comédie. scèn
. Piombino salue le docteur de la part de la signora Vittoria ; il le
prie
de prêter à la comédienne un bassin d’argent avec
le capitaine, ainsi trompé, ne commît quelque violence, elles avaient
prié
le seigneur Oratio et le seigneur Flavio de prend
es. Mercure. Hé ! là, là, Madame la Nuit, Un peu doucement, je vous
prie
; Vous avez dans le monde un bruit De n’être pa
s il est pris dans les Fâcheux de Moliere, Acte III. Scene III. Ormin
prie
Eraste d’appuyer un projet de son invention, qui
ns. Valere. Ah ! Monsieur Maître Jacques, ne vous fâchez pas, je vous
prie
. Maître Jacques, à part. Il file doux. Je veux fa
avez trop de bonté pour moi. Don Juan. Et cela sans intérêt, je vous
prie
de le croire. M. Dimanche. Je n’ai point mérité c
z. Monsieur... Don Juan. Embrassez-moi donc, s’il vous plaît. Je vous
prie
encore une fois d’être persuadé que je suis tout
demande pardon de ma conduite passée. Consentez à ce mariage, je vous
prie
; on vous rendra votre argent. Géronte. Ah ! malh
des lettres qui l’obligent de se mettre vîte en route : Clairville le
prie
de rester pour parler en sa faveur à Rosalie qui
épandus sur la fortune de Rosalie & sur le retour de son pere, le
prie
de l’attendre. D’Orval se représente avec horreu
onné. D’Orval veut savoir la cause de son combat ; Clairville se fait
prier
, & dit enfin qu’il s’est battu contre deux ho
son caractere... ce changement de nom... tout a troublé son ame : il
prie
son ami de le laisser seul : celui-ci lui recomma
mieux confondre celui qui lui vole son nom & sa ressemblance, le
prie
de lui dire ce qu’il faisoit pendant que les deux
sion. Moliere s’adresse à la Nuit ; &, sous prétexte d’avoir à la
prier
de la part de Jupiter de ralentir le pas de ses c
n innocence. Après le raccommodement, Jupiter ordonne à Sosie d’aller
prier
le pilote Blépharon à dîner, pendant qu’il fera l
eces. Continuons, & notre surprise augmentera. Scene VI. Jupiter
prie
les convives d’aller se mettre à table. Sosie, qu
quatre, Mercure vient l’en empêcher, & le rosse. Sosie a beau le
prier
de permettre qu’il soit son ombre, son cadet, il
il l’est dans cette occasion. Amphitrion. D’où peut procéder, je te
prie
, Ce galimatias maudit ? Est-ce songe, est-ce iv
t un homme sans bras vient se dire un excellent maître d’armes, &
prie
Pantalon de lui procurer des écoliers. Ensuite pa
de ceux de nos patriotes qui en sont les curieux admirateurs, je vous
prie
, en toute humilité, de vouloir bien me choisir po
romis. De la chere, ai-je dit, la dose est trop peu forte Pour oser y
prier
des gens de votre sorte. Non, m’a-t-il répondu, j
t assez dit.... Moliere, qui n’entendoit rien au jargon de la chasse,
pria
le Comte de Soyecourt lui-même de lui indiquer le
nt, & je compte bien que ce sera moi qui ruinerai celui-ci. On le
prie
de se pourvoir d’un autre intendant. On donne Jul
sa poche. Monsieur le Marquis, voici mon dernier mémoire que je vous
prie
d’arrêter. Le Marquis. Vous continuez de me persé
kéli ; il la remercie du tendre intérêt qu’elle prend à lui, & la
prie
de couronner son amour en lui donnant sa main : e
e sa poche : il fait des réflexions sur la mort, sur ses suites, veut
prier
, n’en a pas la force, prend le verre, sent frémir
l’amour que D. Lope son frere a pour Jacinthe fille de Don Sanche. Il
prie
Alonse de persuader au vieillard offensé que Don
Don Alvar est avec Cassandre, lorsqu’Enrique paroît. Elle se trouble,
prie
Don Alvar d’empêcher qu’elle ne soit suivie par l
encontrent : ce dernier veut venger la mort de son frere : l’autre le
prie
de permettre qu’il soit digne de se mesurer avec
l’en punir. Don Pedre lui communique la lettre de son pere, & le
prie
de lui laisser venger l’affront fait à sa famille
agnifico remet à Célio tout le pouvoir qu’il a sur Arlequin, & le
prie
de lui donner des leçons. Il ne sera pas besoin
sa fille à lui continuer ses leçons, que de voir un maître de maison
prier
son commis de montrer la politesse à un domestiqu
ur savoir surement où je vais, où je suis, & qui je suis. Je vous
prie
, & par ce qu’il y a de plus sacré, je vous co
élas ! mes amis, je me recommande à vous tous ; secourez-moi, je vous
prie
! Je suis mort ! je suis perdu ! Enseignez-moi qu
retiennent pour eux tout ce qu’ils ont touché. Mégadore. Hé ! je vous
prie
, Euclion, faites-moi le plaisir de m’écouter un p
tourne à notre avantage commun !) je franchis le pas ; & je vous
prie
de m’accorder mademoiselle votre fille en mariage
e pas toutes ses actions. Harpagon, forcé de donner une collation,
prie
son intendant de renvoyer les restes au marchand.
assée, Tu t’allois renfermer, lorsque je t’ai laissée ; Et tu m’avois
prié
même, que mon retour T’y souffrît en repos jusque
désespoir Où j’ai précipité celui qu’elle aime à voir, Elle vient me
prier
de souffrir que sa flamme Puisse rompre un départ
ur achever de convenir de leurs faits, à l’insu d’Ariste, sa sœur l’a
priée
de lui prêter sa fenêtre pour parler à son amant
il lui fait présent de son portrait qu’on laisse sur une table. Celio
prie
Argentine de remettre à la fille aînée de Pantalo
avec dix louis, & une lettre anonyme. Il ne sait pas lire, &
prie
Scapin de lui faire lecture de l’épître ; celui-c
de mauvais offices à personne. Boisrobert lui dit que le cardinal la
priait
en amie de lui donner avis de ceux qui parlaient
osbois, chez Madame la Princesse, avec mademoiselle de Bourbon. Il la
prie
de faire que Leurs Altesses se souviennent de lui
é. Il tâche de réparer sa faute en lui procurant un meilleur sort. Il
prie
Hégion de voir l’action de Tindare du bon côté, &
jouir en ce moment de la lumiere du jour..... Mais dites-moi, je vous
prie
, est-il bien vrai que vous soyez mon pere ? Hégio
en contient un que vous pouvez lire. Philaminte lit. « Madame, j’ai
prié
Monsieur votre frere de vous rendre cette lettre,
ous vous êtes là justement récriée. Il devoit avoir mis que vous êtes
priée
Par arrêt de la Cour de payer au plutôt Quarante
ce qu’il possede : Belti est étonnée que Belton refuse : celui-ci la
prie
de le laisser avec son ami : elle est fâchée qu’i
ien ; il la taxe quatre cents sequins. Le vieillard les donne. Dornal
prie
en vain le vieillard de l’acheter en même temps.
les esclaves sur leur état, leur pays ; il veut racheter André qui le
prie
de donner la préférence à son malheureux maître.
é : mais si vous vous croyez obligé à quelque reconnoissance, je vous
prie
de l’exercer dans votre patrie envers quelques-un
Julie, jeune veuve qui voyage avec lui. A leur arrivée à Paris, Julie
prie
Damis de lui indiquer un hôtel garni. Celui-ci la
!... La belle invention ! Elle va m’illustrer !... Dites-moi, je vous
prie
, Si pendant douze jours j’arrête ici Julie, Si je
ndresse la plus vive : il est au désespoir d’avoir rendu l’argent. Il
prie
son esclave de réparer le mal qu’il a fait, &
ications de tout genre, reste encore inexpliquée. Quelle est, je vous
prie
, votre opinion sur Alceste ? D’où vient-il, ce ge
salon de Célimène qu’en passant et par hasard, de quel droit, je vous
prie
, vient-il dire à chacun ces vérités inattendues ?
it-il en les montrant du doigt ; et depuis ce jour-là, on eut beau le
prier
et le supplier de reparaître, il ne reparut plus.
J’ai une extrême envie d’acheter une terre et n’y puis parvenir. J’ai
prié
M. de Montchevreuil de former de ce qu’il y avait
J’en parlai hier au matin à madame de Montespan, et je lui dis que je
priais
le roi et elle de ne point regarder la mauvaise h
100 000 fr. ; ainsi, en voilà 200 000 que j’ai à votre service. » Je
prie
de remarquer ce mot à votre service : il veut dir
. Sganarelle. Messieurs, l’oppression de ma fille augmente : je vous
prie
de me dire vîte ce que vous avez résolu. M. Tomès
la bouteille d’eau sur son mémoire. Lélio, amoureux de Rosaura, vient
prier
le Docteur Onesti d’entretenir de lui sa belle ma
r la gazette. Le Docteur Buona Testa salue gravement Pantalon, qui le
prie
de voir sa fille. Il répond qu’il est trop couru,
e sa fille que lui-même. Colombine apporte une petite soupe. Pantalon
prie
sa fille d’en manger : elle refuse, & ne cons
r & les pas d’un ballet qu’il vient de composer ; Alcandre qui le
prie
de lui servir de second, & de porter un carte
ses malheurs dans une partie de piquet ; Oronte & Climene qui le
prient
de décider si un amant jaloux est préférable à ce
ent avouer à Laura qu’elle a un amant à l’insu de son frere, & la
prie
de lui prêter son appartement pour lui parler : L
e le rassurer, & ce n’est surement point par hasard. Dom Félix la
prie
d’aller chez Laura, de lui dire qu’elle s’est bro
on lui préfere. Scene III. Laura, persécutée par sa jalousie, vient
prier
Marcella de lui céder son appartement pour pouvoi
retourne à la porte qu’il trouve fermée, & commence à son tour à
prier
qu’on lui ouvre. La belle ne parlant plus en supp
és à sa femme, leur déclare qu’il ne veut jamais la revoir, & les
prie
de s’en charger. Les freres, outrés de ce qu’ils
est pas encore désenivré. Cependant ne vous formalisez point, je vous
prie
, de toutes les pauvretés qu’il vous a dites de mo
ui lui demandoit l’aumône, ayant appris de lui qu’il passoit sa vie à
prier
Dieu & qu’il n’avoit pas souvent de quoi mang
’il n’avoit pas souvent de quoi manger, ajoutoit : Tu passes ta vie à
prier
Dieu, il te laisse mourir de faim, prend cet arge
t & d’Aquin ; & comme Moliere vouloit déguiser leurs noms, il
pria
M. Despréaux de leur en faire de convenables. Il
rempli du désir de faire valoir le talent qu’il se connaissait, qu’il
pria
Monsieur le Prince de Conti de le laisser continu
x que ce fût. Ils le trouvèrent. Molière lui donna son projet ; et le
pria
de lui en apporter un acte par semaine, s’il étai
e ressource, et connaissant l’humeur bienfaisante de Molière, alla le
prier
de lui prêter son Théâtre pour trois jours seulem
voilà son ordre. La Raisin voyant qu’il n’y avait plus d’espérance,
pria
Molière de lui accorder du moins que le petit Bar
e moyen que cet enfant puisse tenir ; il en serait incommodé, je vous
prie
de le laisser. ― Oh parbleu, dit Mr de L…, la f
n me voyait aujourd’hui derrière. ― Jugez-nous, Molière, je vous en
prie
, dit Mr de Chapelle, j’en passerai par tout ce qu
ophique quand ils arrivèrent devant les bons Hommes. Le Religieux les
pria
qu’on le mît à terre. Il les remercia gracieuseme
e tout mon cœur, et je vous ferai plaisir dans les occasions. Je vous
prie
, ajouta-t-il, mettez-moi en contraste dans quelqu
e ; car le pauvre homme n’extravague pas mal. Faites cela, je vous en
prie
, je vous verrai souvent pour suivre votre travail
nt de passion plus forte, que celle de s’y attacher ; qu’il venait le
prier
de lui en procurer les moyens, et lui faire conna
n donner ailleurs ; la patience lui échappa à la fin. ― Eh ! je vous
prie
, Marquis, dit-il à Mr de M***, donnez-nous la mon
r ce personnage dans la pièce. Il envoya Baron chez Mr Rohaut pour le
prier
de lui prêter ce chapeau, qui était d’une si sing
des prières à son mari, qu’il n’y eut personne de ces gens-là qui ne
priât
Dieu de tout son cœur. Le Convoi se fit tranquill
i. Lisette, Flaminio, Brusco. Lisette vient de la part de Virginia
prier
Flaminio de ne souffrir pas qu’on aille ainsi lui
er le fait, craignant que Pandolfo ne joue l’ignorant par ruse. Il le
prie
de ne point maltraiter Fabio son fils, ni Virgini
s. Ricciardo ne pouvait croire ce qu’il lui disait. Alors Tebaldo l’a
prié
de pardonner au seigneur Pandolfo, si celui-ci lu
été convenu ; Tebaldo lui dit qu’il est très satisfait, et qu’il les
prie
tous de se rendre chez lui. Fabio demande si on l
ntalon, accourus, s’affligent du malheur arrivé à Ottavio, Le Docteur
prie
Pantalon de faire courir après l’adversaire. Triv
ux ; Arlequin le traite de voleur en reconnaissant son habit. Valerio
prie
Diamantine de se retirer, et lui promet d’avancer
seul avec Arlequin, il lui raconte la vérité de toute l’aventure, le
prie
de feindre encore, et lui promet de le récompense
le refuser, & tend la main par derriere pour le recevoir. Léandre
prie
Sganarelle de servir ses amours auprès de Lucinde
chantant : Ma bouteille, si la saveur De ce vin répond à l’odeur, Je
prie
Dieu & Sainte Héleine Qu’ils te maintiennent
rompu vos dévotions ! IPOCRITO. Être utile au prochain vaut mieux que
prier
; la charité l’emporte sur le jeûne. LISEO. Je su
remet une lettre.) ZEPHIRO. Heureux Zephiro !… Cet anneau que je vous
prie
d’accepter vous témoignera pour le moment l’oblig
nt son pouvoir en lui faisant, donner le fouet pour n’avoir pas voulu
prier
Dieu. Louis avait neuf ans et il était roi. Les h
r le commandement de la reine régente sa mère, pour n’avoir pas voulu
prier
Dieu. M. de Souvray n’y voulait mettre la main, j
rendant une fois, une seule fois au cercle d’une femme qui l’en avait
prié
, illustrait sa société : cette société se trouvai
ette importance, le nom de précieuses n’existait point encore ; et je
prie
mes lecteurs de tenir note de ce fait : que quand
vec dignité. Molière. Oh ! Oh ! Quel changement ! Dites-moi, je vous
prie
, Vous avez une sœur, la petite Thalie, Dont Picar
vaux, Quittez ce fier dédain pour vos amants nouveaux ; J’ose vous en
prier
: plusieurs, quoi qu’on en dise, Sont dignes de T
et, & qu’il y gagneroit une indigestion. Il rend la bourse, &
prie
qu’on lui donne seulement une vingtaine de sols p
es gants le plus lentement qu’il put ; & quand il les eut mis, il
pria
Béatrix de lui donner un verre d’eau, pour voir c
Quand vous... Mariane. Quand vous...Ne parlons pas de cela, je vous
prie
. Vous m’avez dit tout franc que je dois accepter
t de la ville, ayant rencontré Don Diegue assez près de son logis, le
pria
si poliment de vouloir souper avec lui, qu’il lui
stiné à être imprimé à la tête du Molière in-4°. édition de Paris. On
pria
un homme très-connu de faire cette vie et ces cou
, dont il avait été le domestique et le pensionnaire, eut la bonté de
prier
l’archevêque de Paris de le faire inhumer dans un
e de Soyecourt. Molière, qui n’entendait rien au jargon de la chasse,
pria
le comte de Soyecourt lui-même, de lui indiquer l
uan demandait à ce pauvre, à quoi il passait sa vie dans la forêt. À
prier
DIEU, répondait le pauvre, pour les honnêtes gens
e, pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumône. Tu passes ta vie à
prier
DIEU ? disait Don Juan : Si cela est, tu dois don
liquait Don Juan : DIEU ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le
prient
du soir au matin. Tiens, voilà un louis d’or ; ma
s sont dans le même cas. 249. BIGOT : Qui contrefait le dévot, qui
prie
Dieu avec hypocrisie. Se dit aussi de ceux qui on
eures ; et, comme Molière n’entendait rien au jargon de la chasse, il
pria
le comte de Soyecourt lui-même de lui indiquer le
rempli du desir de faire valoir le talent qu’il se connoissoit, qu’il
pria
Monsieur le Prince de Conti de le laisser continu
que ce fût. Ils le trouverent. Moliere lui donna son projet, & le
pria
de lui en apporter un Acte par semaine, s’il étoi
ssource, & connoissant l’humeur bien-faisante de Moliere, alla le
prier
de lui prêter son Theâtre pour trois jours seulem
: Voilà son ordre. La Raisin voyant qu’il n’y avoit plus d’esperance,
pria
Moliere de lui accorder du moins que le petit Bar
rançois, qu’il avoit faite dans sa jeunesse. En attendant le Diner on
pria
Mr. Despreaux de reciter la satyre addressée à Mo
e moyen que cet enfant puisse tenir ? Il en seroit incommodé, je vous
prie
de le laisser. Oh parbleu, dit M. de L .. la fête
l’on me voyoit aujourd’hui derriere. Jugez-nous, Moliere, je vous en
prie
, dit M. Chapelle, j’en passerai par tout ce que v
phique, quand ils arriverent devant les Bons Hommes. Le Religieux les
pria
qu’on le mit à terre. Il les remercia gracieuseme
out mon cœur, & je vous ferai plaisir dans les occasions, Je vous
prie
, ajoûta-t-il, mettez-moi en contraste dans quelqu
e ; car le pauvre homme n’extravague pas mal. Faites cela, je vous en
prie
, je vous verrai souvent pour suivre vôtre travail
int de passion plus forte que celle de s’y attacher ; qu’il venoit le
prier
de lui en procurer les moyens, & lui faire co
i en donner ailleurs ; la patience lui échappa à la fin. Eh ! je vous
prie
, Marquis, dit il à M. de M*** donnez-nous la monn
ce personnage dans la Piece. Il envoya Baron chez M. Rohaut, pour le
prier
de lui prêter ce chapeau, qui étoit d’une si sing
des prieres à son mari, qu’il n’y eut personne de ces gens-là qui ne
priât
Dieu de tout son cœur. Le Convoi se fit tranquill
ue l’honneur d’être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous
prie
de m’accorder. M. Jourdain. Avant que de vous ren
der. M. Jourdain. Avant que de vous rendre réponse, Monsieur, je vous
prie
de me dire si vous êtes gentilhomme. Cléonte. Mon
ntage pour fourvoyer un homme d’esprit. Défions-nous donc, je vous en
prie
, des interprétations à outrance. Cependant, je le
ances qu’on y voulait toujours trouver… Car pourquoi vouloir, je vous
prie
, appliquer tous ses gestes et toutes ses paroles
limène, est-ce que vous allez m’étrangler ? D’où vient donc, je vous
prie
, un tel emportement ? Oubliez-vous que vous parl
us croirez m’est de peu d’importance. ALCESTE De grâce… Le voilà qui
prie
: … montrez-moi, je serai satisfait, je vous cr
d’accord pour ma thèse, les littérateurs ne le sont point contre. Je
prie
M. de La Pommeraye de relire dans Jean-Jacques la
ns l’endroit écarté qu’il finit par aller chercher. Quel est, je vous
prie
, le devoir d’honneur, l’obligation morale qui for
Préface Je
prie
le lecteur de ne pas demander à cet ouvrage plus
s de Moliere. Horace apprend que son pere arrive pour le marier : il
prie
Arnolphe de parler en sa faveur, afin qu’on ne le
d nous avons parlé de la fin des actes, je ne le rapporterai pas ; je
prierai
seulement le lecteur d’examiner que rien n’est si
t très bien. Chrémès. Je vais la voir tout-à-l’heure. Allons, je vous
prie
, Criton, venez-y avec moi, car je crois qu’elle n
pourtant commandé que cela fût fait comme il faut. Pamphile. Je vous
prie
d’ordonner qu’on le délie. Simon. Allons, je le v
oit souvent avec un religieux. Elle va se confesser à ce moine, et le
prie
d’engager son ami à ne plus la fatiguer de ses so
ais leur faire. N’importe ; la voici : Acte II, scène ix 26, Valère
prie
Sganarelle de dire à sa pupille, ………………………… Qu’i
Fontainebleau. Molière, qui n’entendait rien au jargon de la chasse,
pria
un chasseur de lui indiquer les termes qu’il deva
es sentirent tout le piquant de cette plaisanterie, se radoucirent et
prièrent
Molière de donner bien vite une nouveauté. La com
aisse voir le tombeau de Gonzalo, surmonté de sa statue ; dom Juan la
prie
à dîner, elle s’y rend, l’invite à son tour à sou
tout à fait agréable : mes amis, mes chers amis, soupons, je vous en
prie
, sans parler de comédie. — Tu as raison, ma toute
précipitait avec humeur, et ce seul hémistiche, laissez-moi je vous
prie
, ainsi préparé, annonçait déjà son caractère. Co
chante : Ma bouteille, si la saveur, De ce vin répond à l’odeur, Je
prie
Dieu et Sainte Hélène, Qu’ils te maintiennent tou
quelle erreur ! c’était l’auteur d’une comédie en cinq actes ; il me
prie
d’entendre sa pièce, et de lui en dire franchemen
ons hasardées ; en voilà sans doute assez pour qu’une épouse délicate
prie
son mari ………………………… De ne l’exposer Qu’à ce qu’i
rs respectés ; c’est au tribunal du petit nombre que j’en appelle. Je
prie
sincèrement mes juges de me condamner, si j’ai to
ublic ; le Mercure du poème français, en s’adressant à la Nuit, qu’il
prie
de tripler le bonheur de Jupiter, ne détruit pas
i a fait, croit que Lyconide est le voleur de son trésor, et qu’il le
prie
de lui en faire un dom ; d’un autre côté, Lyconid
uve également leur avarice. Harpagon, forcé de donner une collation,
prie
son intendant de renvoyer les restes au marchand.
de leur mieux, lorsque Frosine, voulant admirer leur bonne grâce, les
prie
de se tourner et de marcher un peu, affectent au
ne la recevra qu’en présence de sa famille. Gite tâche de s’excuser,
prie
, conjure, menace de se noyer, ramasse une pierre
ne vieille, riche de cinquante mille écus. Lucas, tenté par la somme,
prie
Rodomont de le mettre à sa place ; alors Isabelle
a pas de louer son esprit : la mère, pour mieux justifier les éloges,
pria
le précepteur d’interroger son élève sur les dern
le d’Argan. L’élève. Il faudra donc, mon cher professeur, que j’aille
prier
feu Bonneval de me communiquer sa goutte. Le pro
, la voici : dom Juan demande à un pauvre à quoi il passe sa vie. — À
prier
Dieu pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumô
pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumône. — Tu passes ta vie à
prier
Dieu ? Tu dois être bien riche. — Hélas ! monsieu
a ne se peut pas ; Dieu ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le
prient
du soir au matin. Tiens, voilà un louis d’or, mai
Mais son fils Alcidas le remplace avec deux épées & un bâton : il
prie
fort poliment Sganarelle de se couper la gorge av
re un Docteur qui sait lire & écrire. Voilà qui est fait. Je vous
prie
de m’écouter. . . . . . . . . . . . . . . . Cett
ir de la cour ; c’est au-delà de ce que je voulais qu’il sut. Je vous
prie
de ne pas vous laisser surprendre par l’abbé, qui
irer ; elle écrit de Versailles à Gobelin le 15 juin au soir : « J’ai
prié
madame la duchesse de Richelieu de vous dire ce q
extrême ; Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir
prier
Dieu, m’aimer, coudre et filer… De tels propos,
et quand Arnolphe, étonné, dépité, désespéré, se trouve à ses pieds,
prie
, implore, elle est à son tour cruelle, elle se ve
vents silencieux, où des femmes à genoux consument leur vie entière à
prier
pour le salut des âmes en péril. Molière connaît
durement le père coupable qu’elle l’a doucement averti de sa folle et
prié
de se montrer meilleur ? Mais Dorine surtout, la
it, Guenaut et d’Aquin. Comme Molière voulait déguiser leurs noms, il
pria
son ami Boileau de leur en faire de convenables.
ar cœur ; que, dans ce même temps, un de ses amis en Province l’ayant
prié
de lui mander des nouvelles de cette Pièce, il la
ar cœur ; que, dans ce même temps, un de ses amis en Province l’ayant
prié
de lui donner des nouvelles de cette Comédie, il
pteur. On loua son esprit. La mère voulut justifier les éloges ; elle
pria
le Précepteur d’interroger son élève sur les dern
) Hélas ! Mes amis, je recommande à vous tous ; secourez-moi, je vous
prie
; je suis mort, je suis perdu. Enseignez-moi qui
eures ; et, comme Molière n’entendait rien au jargon de la chasse, il
pria
le Comte de Soyecourt lui-même, de lui indiquer l
ui lui demandait l’aumône, ayant appris de lui qu’il passait sa vie à
prier
Dieu71, et qu’il n’avait pas souvent de quoi mang
l n’avait pas souvent de quoi manger, ajoutait : « Tu passes ta vie à
prier
Dieu ; il te laisse mourir de faim ! Prends cet a
comme il faisait ordinairement, parce qu’il l’aimait ; et ensuite le
pria
de lui expliquer ces quatre vers, disant qu’il ne
en fut si fort touché, que, n’ayant pas le courage de l’enterrer, il
pria
un Prêtre de ses amis de faire la cérémonie à sa
ce que nous entendons par caractere. Avant d’entrer en matiere, je
prie
le Lecteur de voir avec moi ce qu’un Auteur qui a
aujourd’hui si l’on me voyait derrière. Jugez-nous, Molière, je vous
prie
, ajouta Chapelle* ; j’en passerai par tout ce que
oir de faire venir sa maîtresse. Arlequin, fort amoureux d’Argentine,
prie
Scapin de lui céder sa place. Scapin se fait beau
Argentine, prie Scapin de lui céder sa place. Scapin se fait beaucoup
prier
, & consent enfin. Arlequin ouvre le sac ; Sca
e temps ? Je m’en vais. Phédria. Et moi aussi. Antiphon. Eh ! je vous
prie
, si je contrefaisois ainsi l’assuré, seroit-ce as
lui ai dit aussi : Eh ! que pourroit-il donc faire davantage, je vous
prie
, s’il marioit sa propre fille ? Il n’a pas gagné
il est amoureux, s’il ne lui donne pas bien vîte de l’argent. Phédria
prie
Géta de lui en procurer. Celui-ci ne sait où en p
par-dessus toute chose751, est exprimé eu action par le Pauvre qui «
prie
le ciel tout le jour, et qui est bien mal reconnu
e corriger votre vie et de prévenir votre perte. Sauvez-vous, je vous
prie
, ou pour l’amour de vous, ou pour l’amour de moi.
je vous dis en vérité qu’ils ont reçu leur récompense. Et quand vous
priez
, ne soyez point comme les hypocrites, qui aiment
ant à part pour lui dire qu’il est obligé de se battre, & pour le
prier
de lui servir de second. Eraste s’excuse, revient
i se disputent sur la cause & les effets de la jalousie, & le
prient
de décider. Orphise paroît dans ce moment, devien
nous ne sommes pas liés ensemble par des nœuds indissolubles, je vous
prie
de prendre votre parti sans bruit, & de vous
rent aux V... où le Marquis, ayant embrassé tendrement son épouse, la
pria
d’oublier ses égarements. Précis de Mélanide.
oint d’autre passion plus forte que de s’y attacher ; qu’il venait le
prier
de lui en procurer les moyens, et lui faire conna
ux juifs fort riches, alla à midi chercher son frère Despréaux, et le
pria
de l’accompagner, l’assurant que ces Messieurs se
rempli du désir de faire valoir le talent qu’il se connaissait, qu’il
pria
M. le prince de Conti de le laisser continuer la
ix que ce fût. Ils le trouvèrent. Molière lui donna son projet, et le
pria
de lui en apporter un acte par semaine, s’il étai
e ressource, et connaissant l’humeur bienfaisante de Molière, alla le
prier
de lui prêter son théâtre pour trois jours seulem
oilà son ordre. » La Raisin, voyant qu’il n’y avait plus d’espérance,
pria
Molière de lui accorder du moins que le petit Bar
moyen que cet enfant puisse tenir ! il en serait incommodé ; je vous
prie
de le laisser. — Oh parbleu ! dit M. de L…, la fê
’on me voyait aujourd’hui derrière. — Jugez-nous, Molière, je vous en
prie
, dit M. Chapelle ; j’en passerai par tout ce que
phique, quand ils arrivèrent devant les Bons-Hommes. Le religieux les
pria
qu’on le mit à terre. Il les remercia gracieuseme
e tout mon cœur, et je vous ferai plaisir dans les occasions. Je vous
prie
, ajouta-t-il, mettez-moi en contraste dans quelqu
e, car le pauvre homme n’extravague pas mal : faites cela, je vous en
prie
; je vous verrai souvent pour suivre votre travai
int de passion plus forte que celle de s’y attacher ; qu’il venait le
prier
de lui en procurer les moyens, et lui faire conna
en donner ailleurs ; la patience lui échappa à la fin. « Eh ! je vous
prie
, marquis, dit-il à M. de M…, donnez-nous la monna
ce personnage dans la pièce. Il envoya Baron chez M. Rohault pour le
prier
de lui prêter ce chapeau, qui était d’une si sing
des prières à son mari, qu’il n’y eut personne de ces gens-là qui ne
priât
Dieu de tout son cœur 127. Le convoi se fit tran
fut si fort touché, qu’il n’eut pas le courage de l’enterrer ; et il
pria
un autre curé de ses amis de faire les cérémonies
ans avant sa mort, il fut bien aise de se décharger de cet emploi, et
pria
La Grange de le remplir. Celui-ci s’en acquitta t
votre travail ; ainsi je ne vous enverrai plus chercher, mais je vous
prie
, à toutes vos heures vides, de me venir trouver ;
ançais, qu’il avait faite dans sa jeunesse. En attendant le dîner, on
pria
Despréaux de réciter la satire adressée à Molière
allions voir ? Un autre dit, je le veux, allons, menez-nous, je vous
prie
. Nous allons, nous arrivons, nous voyons. Qu’elle
. Dès le lendemain il va trouver la vieille dont je t’ai parlé, il la
prie
de lui faire voir cette fille : elle le refuse, &
x, Votre oncle va vous voir vous livrer à vos goûts : Je l’en ai tant
prié
qu’à la fin il m’a crue. Moi-même, qui sur vous v
n de chicaner sur un bon mariage, Signerez au contrat sans vous faire
prier
. (A Géronte.) Pour vous, il vous sied bien, mon p
que comme il craint que le marchand ne la lui vende trop cher, il le
prie
de l’acheter lui-même. Le Docteur fait le marché.
ntier à votre fille. Alors le Docteur, donnant dans un nouveau piege,
prie
Scapin d’acheter lui-même Turqueta, & lui rem
. Arlequin paroît. Le Cadi lui fait donner la bastonnade. Le Barbier
prie
Arlequin de lui pardonner le traitement qu’il vie
oue son amour. Zulime vient se jetter aux pieds de son pere, pour le
prier
de l’unir avec Almanzor : le Cadi donne son conse
u second, la première du troisième ; il trace le scénario du reste et
prie
Corneille d’en trouver les vers, tandis que les p
je leur mettrais entre les mains l’Art de dire, de M. Leloir3, je les
prierais
de s’exercer d’après les conseils de ce jeune com
es les semaines cette piece, & tout le monde la sait par cœur. Je
prie
mes lecteurs de remarquer qu’ils ne sont frappant
surprise par Pantalon, lui dit qu’un téméraire la poursuit, & le
prie
d’aller lui en imposer. Pantalon la quitte un ins
LES FEMMES SAVANTES. ACTE I. Scene V. Clitandre, seul. Clitandre a
prié
Bélise de protéger l’amour qu’il a pour Henriette
que fait Clitandre tient & sert à la machine générale, puisqu’il
prie
l’oncle de sa maîtresse d’être favorable à son am
ours contentes ; mais les oreilles pudiques n’ont rien à craindre. Je
prie
donc les savants de me pardonner ce que mon disco
extrême : Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir
prier
Dieu, m’aimer, coudre et filer. Enfin, après l’a
puis se calme, et lui qui tout à l’heure accusait sa maîtresse, il la
prie
à genoux de se justifier : À vous prêter les mai
« lorsque l’on a du bien » ; c’est la condition indispensable, et je
prie
qu’on me permette à ce propos une courte digressi
poignarder. Il est touché de ses charmes & de sa jeunesse ; il la
prie
de ne le pas regarder, parcequ’il n’auroit jamais
our quelque autre fête. Vous en avez vu d’autres de sa façon, je vous
prie
d’examiner celle-ci20. Le peuple n’eut nul égard
u’en chantant. Scene II. Licandre paroît & chante. M. Oronte le
prie
de cesser de faire des compliments en musique : i
re affiche, je vous donne de l’argent pour rire, régalez-moi, je vous
prie
, d’un plaisir qui soit gai, & qui ne ressembl
votre service, mon pere. Mais ne m’appellez plus comme cela, je vous
prie
; cela vous feroit peut-être reprendre avec moi d
e l’Impromptu de Versailles, qui se déhanche si bien, et se fait tant
prier
pour lever un peu sa coiffe 291 ! Et cette servan
e ignore le mal ! « C’est assez pour elle, » dit Arnolphe, De savoir
prier
Dieu, m’aimer, coudre et filer330. Eh ! pauvre f
ésenter sur le doigt aux dames l’eau sacrée, C’est d’amourettes les
prier
. Si l’air du suppliant à quelque dame agrée, Ce
rdonne, il leur dit de supposer qu’il est le Docteur. Il se présente,
prie
qu’on le laisse entrer ; on lui refuse : il prie
eur. Il se présente, prie qu’on le laisse entrer ; on lui refuse : il
prie
encore ; on lui donne des coups de bâton : il s’é
sieur Francaleu « Puisse-t-il s’obtenir de même ! « Parlez, pressez,
priez
. Je desire à l’excès « Que sa fille aujourd’hui t
uchant son mérite, et m’en sois rapporté au sentiment de ceux qu’on a
prié
d’en juger. Je m’en tairais encore, si ce faux br
et demande seulement pour toute grâce un mois de délai ; ensuite elle
prie
le vieillard, en qualité de belle-mère future, de
e ressource, et connaissant l’humeur bienfaisante de Molière, alla le
prier
de lui prêter son théâtre pour trois jours seulem
, et ajoute : « Molière, qui n’entendait rien au jargon de la chasse,
pria
le comte de Soyecourt lui-même de lui indiquer le
ui lui demandait l’aumône, ayant appris de lui qu’il passait sa vie à
prier
Dieu, et qu’il n’avait pas souvent de quoi manger
il n’avait pas souvent de quoi manger, ajoutait : “Tu passes ta vie à
prier
Dieu, il te laisse mourir de faim, prend cet arge
vous croyez peut-être… Mais pour vous (Alceste)… Parlez-moi, je vous
prie
, avec sincérité. Et il taquine Alceste presque d
igne du noble poste où j’apprends qu’on l’a mis, Gardez-vous, je vous
prie
, au moins, mes chers amis, De souiller par vos so
agrines qu’il reçoit mal Alceste et qu’il est irrité quand Alceste le
prie
de solliciter pour son infortuné inconnu, « Voilà
moins. Le pauvre, en effet, dit à Don Juan : « Je ne manquerai pas de
prier
le ciel qu’il vous donne toutes sortes de biens.
qu’il vous donne toutes sortes de biens. » — « Eh ! répond Don Juan,
prie
le ciel qu’il te donne un habit, sans te mettre e
sont huit. » — « Quelle est ton occupation sous ces arbres ? » — « De
prier
le ciel tous les jours pour la prospérité des gen
la plus grande nécessité du monde. » — « Tu te moques ! Un homme qui
prie
le ciel tout le jour ne peut pas manquer d’être b
montrer au pauvre qu’en péchant il gagnera, le cas échéant, plus qu’à
prier
; et Sganarelle, représentant du bon sens populai
an demandait à ce pauvre à quoi il passait sa vie dans la forêt : « A
prier
Dieu, répondait le pauvre, pour les honnêtes gens
pour les honnêtes gens qui me donnent l’aumône. — Tu passes ta vie à
prier
Dieu, disait Don Juan ; si cela est, tu dois donc
liquait Don Juan ; Dieu ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le
prient
du soir au matin. Tiens, voilà un louis d’or ; ma
Rousseau et moi, nous en demandons trop. Je l’avouerai sans me faire
prier
; mais cependant nous sommes encore en pleine mon
extrême ; Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir
prier
Dieu, m’aimer, coudre et filer. Telle est la doc
disait : Et c’est assez pour elle, à vous en bien parler, De savoir
prier
Dieu, m’aimer, coudre et filer. Dans le programm
e que Chrysale a cinquante ans et n’a plus de prétentions à cela ; et
prier
Dieu n’apparaît point parce que, comme tous les p
te, je gagerais que sa tirade maîtresse (épouser une sotte… De savoir
prier
Dieu, m’aimer, coudre et filer) a été applaudie v
it d’eux ; je reconnais qu’il y a un grand sens dans cette page et je
prie
qu’on la marque ici d’une « oreille » pour la ret
ur attaque l’avarice. Harpagon veut savoir ce qu’on dit de lui, &
prie
Maître Jacques de le lui apprendre : Maître Jacqu
alterne, enchanté dans ce même arbre, lui adresse la parole, & le
prie
, en chantant, de le délivrer, en ne coupant qu’un
ue l’honneur d’être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous
prie
de m’accorder. M. Jourdain. Avant que de vous rép
’accorder. M. Jourdain. Avant que de vous répondre, Monsieur, je vous
prie
de me dire si vous êtes gentilhomme. Cléonte. Mon
re une. Orgon. Quoi ! vous croyez...Allons, point de bruit, je vous
prie
; Dénichons de céans, & sans cérémonie. Tartu
Va-t’en chez mon beau-pere & ma belle-mere, & dis que je les
prie
très instamment de venir tout à l’heure ici. Il
omme cela qui passent de la tête. Eraste. Embrassez-moi donc, je vous
prie
, & resserrons les nœuds de notre ancienne ami
nnée un volume de caractères, chaque année une comédie ! Eh ! je vous
prie
, si ce travail eût été fait, des mille nuances de
loureuse qu’il vient de faire en la personne de madame Agnès, et vous
prie
d’assister… » etc. C’est imprimé ! La comédie eût
s signes les avez-vous reconnues ? Comment sont-elles faites, je vous
prie
, d’où viennent-elles, et par quels efforts surnat
t flagellé par le rire. Vous direz de vous-même, sans trop vous faire
prier
, je suis un avare, un menteur, un débauché, un li
e ressource, et connaissant l’humeur bienfaisante de Molière, alla le
prier
de lui prêter son théâtre pour trois jours seulem
; voilà son ordre. » Raisin, voyant qu’il n’y avait plus d’espérance,
pria
Molière de lui accorder du moins que le petit Bar
curé en fut si touché, qu’il n’eut pas le courage de l’enterrer ; il
pria
un autre curé de ses amis de faire les cérémonies
mis dans la troupe de l’Hôtel de Bourgogne, à la réunion générale, on
pria
Hauteroche, qui était déjà avance en âge, de lui
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