/ 146
1 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
oie, marchande une piece de drap & l’emporte, en promettant de la payer lorsque Guillaume viendra souper. Guillaume part
sont folles ; il les met hors de cour. Patelin veut ensuite se faire payer par Agnelet. Le coquin lui répond bée, & pren
l’invite à manger une oie, marchande une piece de drap, promet de la payer en mangeant l’oie, & l’emporte sous sa robe.
ne vilaine action en prenant chez Guillaume un habit qu’il ne sauroit payer  : Patelin prétend qu’il est difficile d’être honn
faire trépaner, & le met hors de cour. Patelin veut ensuite être payé , Agnelet lui répond bée. Enfin on feint qu’Agnele
onsieur, dans les mémoires de feu mon pere, une dette qui n’a pas été payée , &c. M. Guillaume. Ce ne sont pas mes affaire
rois cents écus ; &, comme je suis homme d’honneur, je viens vous payer . M. Guillaume. Me payer ! Attendez, Monsieur, s’i
comme je suis homme d’honneur, je viens vous payer. M. Guillaume. Me payer  ! Attendez, Monsieur, s’il vous plaît : je me rem
. Patelin. Si tous ceux qui me doivent étoient aussi exacts que moi à payer leurs dettes, je serois beaucoup plus riche que j
elin. Je tiens que la premiere qualité d’un honnête homme est de bien payer ses dettes ; & je viens savoir quand vous ser
anger l’oie & toucher de l’argent, que Patelin le régale & le paie en sornettes, il se retire bonnement en disant qu
par la moe : Mais aussi fais que je me loe, Quand ce sera fait, de ta paye . Le Bergier. Monseigneur, si je ne vous paye, A v
uand ce sera fait, de ta paye. Le Bergier. Monseigneur, si je ne vous paye , A vostre mot ne me croyez Jamais. . . . . . . .
. . . . . . . . . . . Patelin. Nostre Dame ! moquin, moquat, Se tu ne payes largement. Le Bergier. Dieux ! A vostre mot, vrai
termes clairs à son Avocat de ne répondre que par bée & de ne le payer qu’avec son mot, c’est-à-dire, en disant bée. Les
ce de Blanchet, Agnelet & Guillaume sont hors de cour ; le berger paie l’Avocat en lui disant bée : tout est dit. Dans l
t bien par force que je laisse la chose comme elle est : mais vous me paierez les trois cents écus de votre pere. Patelin. Oui,
s l’avons mangée à dîner. M. Guillaume. A dîner !... Oh ! ce scélérat paiera pour tous, & sera pendu. Valere. Mon pere, il
ouer, il n’a rien fait que par mon ordre. M. Guillaume. Me voilà bien payé de mon drap & de mes moutons ! Cette récapit
ojette d’épouser Marine, mais Timante lui doit ses gages, & ne le paiera pas s’il est déshérité, raison de plus pour engag
ins. Io lo diro tibi, ego vi lo dirai. Le Baron, à part. Il veut être payé  : c’est un vrai Médecin. (Haut.) Tenez, Monsieur.
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
asse ? Je n’ai point d’argent. Le Marquis. Mais je ne vous dis pas de payer  : je vous dis de contenter. Contentez, vous dis-j
st-ce que je ne me fais pas entendre ? Le Tailleur. Me contenter sans payer  ! Ma foi, Monsieur, je l’en défie. Le Marquis. Ou
d’être si difficile, mon homme. Le Tailleur. Mais, Monsieur, qu’on me paie du moins ce que j’ai fourni depuis la derniere ca
Un mémoire de huit années n’est pas encore mûr. Il faut commencer par payer le vieux. L’Intendant. Des créanciers, Monsieur !
du bon côté, d’honneur, vous aurez de l’argent, quand je devrois vous payer moi-même sur mes menus plaisirs. Le Tailleur. Mai
délicatesse, sans probité, qui se fait un jeu de nier les dépôts, qui paie ses dettes en jurant qu’il ne doit rien, qui veut
à ne pas se marier ; & s’engagent, si elles prennent un époux, à payer chacune à Valere un dédit de cent mille livres. V
ret de lui plaire, & de la déterminer au mariage. Toutes les deux paient leurs dédits à Valere. Frontin se fait connoître
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
s tant. Quand mon pere mourut, il nous laissa pour vivre Ses dettes à payer , & sa maniere à suivre : C’est, comme vous vo
otre triomphe plus parfait. Monsieur, par la présente, il vous plaira payer à Damoiselle, en blanc, d’elle valeur reçue ; &am
’œil sur ce petit papier : « Monsieur, par la présente il vous plaira payer Deux mille écus comptant aussi-tôt lettre vue, A
ui persuadant que son fils s’est servi de cette somme pour achever de payer une fort belle maison dont il a fait emplette en
. Scene I. L’Usurier demande à Tranion si son maître ne veut pas lui payer au moins l’intérêt de la somme qu’il lui doit. Th
ela qu’on lui doit quarante-quatre mines d’or. Dites-lui que vous les paierez , afin qu’il s’en aille. Theuropide. Moi ; je prom
ierez, afin qu’il s’en aille. Theuropide. Moi ; je promettrois de les payer  ! Tranion. Promettez hardiment. Theuropide. Moi !
de cet argent-là ? Tranion. Il est en sureté. Theuropide. Cela étant, payez donc, puisque vous avez encore toute la somme ent
A-t-il fait cette acquisition-là ? Quoi ! une maison ! Il promet de payer l’usurier. LE RETOUR. Géronte veut voir la maiso
s. Theuropide. De bonne foi ? Tranion, à part. Oui assurément si vous payez bien le vendeur ; mais si vous le frustrez de son
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. » pp. 53-56
Novembre 1659. Elle eut un grand succès, puisque les comédiens firent payer double dès la seconde représentation, & qu’el
le superbement Germain son pensionnaire & dont il ne sauroit être payé . Celui-ci est mieux reçu. Alors des archers vienn
5 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
A. Pardonnez-lui, de grâce, seigneur capitaine, puisqu’il se résout à payer l’étrenne. SANGUINO. Il n’a point d’argent. MAMFU
après avoir essayé des croquignoles et des coups de bâton, finit par payer aux archers les six pistoles. Les vieillards de l
nt entre ses jambes. La vieille a mis dans son sac dix mocenighi pour payer la consultation. Mais quand elle voit le riche mo
6 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
hansons françaises, notamment une chanson à boire commençant ainsi : Paye chopine, Ma voisine… Dans Le Théâtre sans comédi
ssion du théâtre de la rue Mazarine. Les Italiens, à qui les Français payèrent une indemnité de 800 livres, allèrent jouer à la
uis ils se regardaient tous deux, faisant chacun des grimaces pour se payer de la même monnaie. Un moment après, Santeul s’av
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
toujours le dixieme de ce que je gagne ; c’est une dette que je dois payer à l’état malheureux où vous êtes & dont vous
ont vous ne voulez pas convenir. Voilà ma dette de cinq cents guinées payée  ; point de remerciement, point de reconnoissance 
Voilà bien de quoi pleurer. Allons, cherchez-lui une place, & je paierai  ; je ne veux pas d’un Jardinier tourné comme un Z
8 (1821) Scène ajoutée au Boulevard Bonne-Nouvelle, pour l’anniversaire de la naissance de Molière pp. -
des spectacles magnifiques et très chers. Tricot C’était vous qui payiez  ? L’Anglais Yes… On donnait les comédies à m
dont le libraire de London il offrait six mille guinées… et je devais payer les dettes à moi avec le roman de ma tante. Tr
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533
, malgré tous les fâcheux qui l’environnent, & de savoir s’il est payé de retour. Cléante. C’est proprement ici un peti
condamné à manger trente aulx, à recevoir trente coups de bâton, ou à payer cent écus. Il essaie des deux premiers supplices,
yer cent écus. Il essaie des deux premiers supplices, & finit par payer les cent écus. . . . . . . . . . C’est grand’pit
na de lui arracher chaque jour une dent, jusqu’à ce qu’il consentît à payer cette somme. Le Juif perdit sept dents, & pay
qu’il consentît à payer cette somme. Le Juif perdit sept dents, & paya . Cette anecdote paroît avoir donné naissance au c
10 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127
ndant qu’on les exécutait tous les jours pour la taille qu’il fallait payer au roi, qui prenait tout ce qu’ils avaient ; et q
t, qui viennent demander la taille à ces pauvres gens, et, à faute de payer , veulent exécuter. La femme commence à crier aprè
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Pieces intriguées par plusieurs Personnages. » pp. 169-175
aucoup à plusieurs marchands de son pays, & qu’il a promis de les payer avec la dot qu’il touchera. Comme il a besoin enc
ue dix louis ; il lui en rend six, & en retient quatre, deux pour payer le dîner qu’il a commandé lui-même, deux pour le
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
plus riche, quand il sait Chanter re mi fa sol ou danser un menuet ? Paiera-t -on des marchands la cohorte pressante Avec un vau
ire des amis : par politesse il oublie les cartes des dames, & il paie les hommes deux fois pour éviter les querelles. F
le à voir. Frontin. C’est un spectacle où vous n’entrerez jamais sans payer . Le Marquis. Voyez cela, Chevalier. Le Chevalier.
13 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
résolvait en une constitution de rente perpétuelle, dont l’intérêt se payait en exemption de certaines charges publiques. Tout
sse ancienne, au lieu d’une noblesse toute neuve qu’il leur eût fallu payer cher. Plus d’une fois, le gouvernement de Louis X
de musique, en attendant que paroisse le sot et riche bourgeois, qui paie leurs leçons sans en profiter, et salarie leurs t
ir de la vanité, rançonnent, en attendant, celle d’autrui, et se font payer par un fou des qualifications qu’un homme sensé p
entier ; je n’examinerai point si Boileau, dans ces mêmes vers où il paie un juste tribut de louange à Molière, n’exprime p
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
mme si vous en étiez passionnément amoureux. . . . . Quand vous aurez payé la rançon de cette musicienne, vous l’enverrez qu
p; vois ton artifice : A moins que de cela, l’eussé-je soupçonné ? Tu payes d’imposture, & tu m’en as donné. Tu m’avois p
au pere de son maître & à son beau-pere prétendu. Il les engage à payer Phormion, afin qu’il se charge de la femme d’Anti
15 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
lu d’épouser celle des deux sœurs qu’il a le bonheur de retrouver. Il paye Mezzetin et emmène Celia, qui, aimant Fulvio, n’e
venge, s’écrie-t-il, parce que je lui ai enlevé ses États ; il me le payera cher ! » On était alors, comme on le sait, au mil
16 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
e ; peut-être, à l’heure qu’il est, est-il le domestique battu et non payé d’un arracheur de dents. Galimafré est aujourd’hu
le nez au vent. Autrefois nous n’étions pas de grands seigneurs bien payés , bien repus, et les caisses d’épargnes n’étaient
ue cela est de bon goût pour une grande nation comme est la nôtre, de payer beaucoup trop les gens qui l’amusent, sauf à ne r
erre la supporte. Il se fatigue, il s’impatiente, il trouve que c’est payer trop cher un beau cri, un beau geste, un beau reg
dégraisser leurs gants ; elles y allaient bon jeu, bon argent : tant payé , tant dépensé. L’argent qu’on leur donnait pour s
diamants, et quand le public ne leur donnait pas assez d’argent pour payer tout cela, elles y mettaient du leur. Elles aurai
nseigneur ! » Alors le roi crie au comte : « Épouse-la ! épouse-la ! paie la dette de ton prince ! » Mais le comte de Rouss
 ! — À ces âmes en peine il accordait tous ses soins, se croyant trop payé et trop récompensé s’il avait retrouvé une lueur
ux temps, Tony Johannot qui vient de mourir, laissant à peine de quoi payer la pompe austère et chétive de ses funérailles, o
veux, elle crie à s’enrouer… Thaïs est plus sage ; elle a une dette à payer au capitaine Thrason, elle paiera sa dette ; elle
s est plus sage ; elle a une dette à payer au capitaine Thrason, elle paiera sa dette ; elle a promis d’accepter son dîner, el
le. Ajoutez (cela s’est vu, plus d’une fois dans la cité athénienne), payer de sa liberté, de sa fortune et de sa vie ces hor
tait la vraie gloire, et les avides ne trouvaient pas quelle fût trop payée  ! C’était la condition sine quâ non de toute gran
qui sortait de l’égalité, vous saviez à l’avance de quel prix serait payée votre domination. Pourtant j’imagine que plus d’u
ui enseigne quelque bon argument qui dispense un citoyen d’Athènes de payer ses dettes. — Il frappe, — la porte s’ouvre. — Au
seigne au jeune homme le grand art de satisfaire un créancier sans le payer . Voilà Strepsiade au comble de ses vœux. Grâce au
poésie, au chant, à la musique ; il parle à tort et à travers ; il ne paie pas ses créanciers, c’est vrai, mais, par suite d
s’est ruinée hier. — C’est du pain sur la planche, et d’ailleurs vous paierez tant par mois, et, quand vous n’en voudrez plus,
théâtre au café Procope ; il ne va au café Procope que lorsqu’il peut payer son écot. Celui-là, par la dignité de sa vie, par
x. Je ne sais pas si vous pensez comme moi, mais ces trois femmes qui paient le même homme, qui courent après lui, sans amour
colère. C’est tout simplement la colère d’une maîtresse de maison qui paie bien ses gens, et qui est mal servie. Pas un mot
e si elle l’aimait d’amour. Ce n’est pas là le propre d’une femme qui paie son amant. Lucinde, cette folle, est désormais co
, à la curée de l’homme à leur solde, et c’est toujours le même homme payé qui en donne à ces femmes, à peine pour leur arge
seur de Moncade se sont présentées trois dames, dans la matinée, pour payer les petites dettes de ce Moncade. Or, ces dames,
de quoi jouer, celle-ci arrête les comptes de son tailleur, celle-là paie ses meubles et son appartement, et toutes ses maî
rtement, et toutes ses maîtresses sont comme autant de fermes qui lui paient un gros revenu. » Il est impossible d’être plus
blent à Cathos et à Madelon ; il entre, le cocher de fiacre veut être payé  ; le vicomte prie Colombine de payer pour lui. — 
re, le cocher de fiacre veut être payé ; le vicomte prie Colombine de payer pour lui. — Molière est moins hardi que Regnard ;
ière est moins hardi que Regnard ; c’est le marquis de Mascarille qui paie lui-même ses porteurs. Ceci arrangé, notre vicomt
de Don Juan et de ses maîtresses… Vous savez avec quelle monnaie est payé M. Dimanche ; voilà le seul argent dont notre gen
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
rassez-moi, bonne femme ; je n’oublierai jamais ce service. Mais vous paierez le dédit, n’est-ce pas ? Mad. Abraham. Il le faut
ler moi-même, vous me seriez inutile, & que je serois fou de vous payer de gros gages ? Vous savez que je suis le meilleu
de son maître dont la vue chagrineroit les Dames, & s’engage à le payer . Leuson, ayant acheté les meubles de Béverley, le
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311
ui fit continuer une pension de deux mille livres dont il n’étoit pas payé depuis plusieurs années. Quand Vaugelas fut remer
omme il pourroit se trouver quelques créanciers qui ne seroient point payés quand même on auroit réparti le tout ; dans ce ca
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
aritable usurier, qui prête les quarante mines, à condition qu’on lui paiera un gros intérêt, & qu’il sera nanti de l’escl
... Toxile a beau brûler pour la belle, il faut que pour en jouir il paie comptant six cents nummes, somme très considérabl
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
de soin que vous avez, vous coûte quarante mille écus ; & c’est à payer cette somme, avec les dépens, que vous êtes conda
riée. Il devoit avoir mis que vous êtes priée Par arrêt de la Cour de payer au plutôt Quarante mille écus, & les dépens q
ouveautés dont mes yeux sont témoins, Et vous voyez le prix dont sont payés mes soins. . . . . . . . . . . . . . . . . Le per
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
ous ai rendu service sans intérêt, & je m’en crois déja trop bien payé  : mais si vous vous croyez obligé à quelque recon
n n’eut pas de peine non plus à retrouver. Le bon esclave de Ligourne paya libéralement le prix qui fut demandé, & rempl
Sans rançon. Me. Robert. C’est morgué bien dit ; les danseurs nous la paieront en cabrioles. Allons, mes enfants, réjouissez-vou
22 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
qui, voyant ma bourse assez bien garnie, que j’avais ouverte pour lui payer quelques achats, me dit : — Monsieur, tandis que
nts de charité qu’elle y exprime. Elle lègue sur son héritage de quoi payer chaque jour à perpétuité cinq sous, en l’honneur
es de la cour céleste du paradis. Item veut et entend ses dettes être payées et acquittées, etc., par son exécuteur testamenta
ontrat de fondation ou ce qu’il conviendra, et que pour ce qu’il soit payé et baillé telle somme qui sera jugée suffisante,
lles ses sœurs, pour, des fruits et revenus qui en proviendront, être payé par chacun jour, i perpétuité, à cinq pauvres qui
estimation, il a toujours peur d’être pris au mot et d’être forcé de payer ce qu’il estime, tant il estime peu. Les deniers
Quelle jolie chanson il chanta à la Du Parc, qui sans doute lui avait payé son droit de seigneur, mais qui gardait toujours
celui-là : D’un accueil si flatteur, et qui veut que j’espère, Vous payez ma visite alors que je vous voi, Que souvent à l’
a vengé Corneille, comme le comédien Guérin a vengé Molière. Tout se paie ici-bas, même les jeux cruels de la coquetterie.
ers de Molière, manuscrits, lettres, poésies, — des autographes qu’on paierait aujourd’hui un million — et de ne les avoir pas t
scène. Sans doute pendant longtemps elle tint le double emploi, mieux payée par la de Brie que parle théâtre ; mais l’heure g
rien. Il parait par ce vers deux fois impertinent qu’il lui fallait payer pour être aimée ou plutôt que son cœur ne donnait
de campagne M. et Mlle Beauval pour une part et demie, à la charge de payer 500 livres de la pension du sieur Bejard (qui s’é
23 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [7, p. 38] »
idicule sur la médecine. Il définissait un médecin, un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un ma
24 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [4, p. 36] »
orps, les gendarmes, les chevau-légers139 entraient à la comédie sans payer , et le parterre en était toujours rempli ; de sor
25 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
lui, mais ils se détachent de tout le reste. Ils ne se soucient ni de paye , ni de butin, ni de récompense ; ils ne songent n
e l’amour de la gloire qui, chez les peuples anciens, à Rome surtout, payait les plus grands services ; il s’exalte de nouveau
26 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
oupe, en effet, ne comptant que comme troupe de campagne, ne fait pas payer davantage. On s’installa, cependant. Le charpenti
re gratis, et, en attendant mieux, la liberté du chef de la bande lui paye ses chandelles. Molière adresse requête au lieute
tance générale de 1,905 livres qui lui ont été données ou qui ont été payées pour lui. Peu de temps auparavant, le 15 janvier
a bien peu de gens, dans ce pauvre faubourg, qui soient en état de se payer , même à bas prix, le plaisir du théâtre ; personn
’illustre protecteur, dont on connaît le goût pour les ballets, on se paye le luxe d’un danseur : on enlève Daniel Manet au
tre d’hôtel du roy ». Il ne leur faut pas moins que cette somme, pour payer leur loyer d’abord ; puis, pour acheter deux trag
en effet, ne comptant que comme troupe de campagne, ne peut pas faire payer davantage. On s’installe, cependant. Un charpenti
héâtre gratis, et, faute de mieux, la liberté du chef de la bande lui paiera ses chandelles. Molière adresse une requête au li
science du cœur, dont il ne voulait rien ignorer, dût son bonheur en payer les frais. Il ne faut donc pas les oublier ; c’es
me ; cet autre enfin, pour les parties plus frivoles, l’art de ne pas payer ses dettes, par exemple, dont la scène de M. Dima
qu’à regarder autour de lui, pour trouver vingt seigneurs capables de payer leur marchand d’étoffes des mêmes politesses que
monsieur, répondit le maquignon, il s’est moqué de moi, et m’a voulu payer en papillons. — Tu devais les prendre, repartit l
beaucoup à la pièce italienne Convitato di pietra ; mais lui seul sut payer avec usure la dette qu’il avait ainsi contractée
spectateurs à cinq sous, recrutés sur cette plage lointaine, avaient payé le parrainage67. Des deux côtés le nom fit fortun
ui à la sienne. Cependant Molière arriva, et, ayant demandé qu’on lui payât au moins les frais qu’on lui avait fait faire pou
il soumit cette conscience, dont la conversion lui était commandée et payée . Je ne sais si Orgon, avant que Tartuffe eût entr
Altesse ne dédaignait pas de répondre ; et partout ce fut pour faire payer chèrement à Tartuffe le bonheur de ce nouvel amou
espérer. Mais il était à bout d’efforts ; ces fêtes, où il avait tant payé de sa personne, venaient à peine de finir, qu’il
s Ier, mais avec un mélange de rigueur de sa part, car, si un jour il payait grassement Pontalais le farceur, une autrefois, p
la misère du temps, aggravée encore par les lourdes taxes qu’il faut payer , et pour l’acquit desquelles on a déjà saisi tous
dant qu’on les exécutoit tous les jours pour la taille, qu’il falloit payer au roy, qui prenoit tout ce qu’ils avaient, et qu
ller de la Cour des aydes, un commissaire et un sergent, et, faute de payer , veulent-exécuter. La femme commence à crier aprè
briqués. On le mit à une très forte amende pour cette fabrication. II paya l’amende avec ses écus, c’est-à-dire en fausse mo
ut ce que de Villiers avait fait ainsi, par un double jeu, et il l’en paya doublement. Dans L’Impromptu de Versailles, le po
il avait rappelé d’exil Antoine Arnauld. Le crédit des Jésuites, qui payaient ainsi un oubli de complaisance et un excès de zèl
ui d’une obéissance stérile, sa révolte contre des exigences trop peu payées par la bienveillance passagère d’un regard, s’y l
engagé pourtant, il vient de nous le dire, mais il faut que quelqu’un paye ce réengagement ; ce sera Louis XIV-Jupiter, deva
us à l’aise, de lui faire petit à petit rembourser ce qu’il lui avait payé de son dû. Molière y mit la plus parfaite bonne g
f, les frères Touchet, avaient fait le coup, et ne tardèrent pas à le payer . Ils furent roués vifs : on les avait pris dans l
é en voulant sortir de sa condition, un parvenu de campagne qui s’est payé de la noblesse en épousant à beaux deniers une fi
n des impôts. L’anobli par alliance, comme le gentilhomme de race, ne payait rien au fisc, et tout noble de plus était ainsi u
t l’escritoire », avoue, en toute franchise, que l’agrément de ne pas payer la taille est de tous ceux de sa fraîche noblesse
pas ma foiblesse, Et je me piquois de noblesse Seulement pour ne pas payer La taille et les impôts que paye un roturier. To
s de noblesse Seulement pour ne pas payer La taille et les impôts que paye un roturier. Tout cela n’était pas, on le pense
de la Noblesse, par un mariage noble, et il en est, après avoir bien payé . Qu’y gagne-t-il ? Vous le savez, car il nous le
à Bayonne, avec ordre audit courrier d’en faire la déclaration et en payer les droits dans le Bureau du convoi et comptablie
oi ledit courrier aurait voulu passer, sans faire la déclaration, n’y payer aucuns droits : pour raison de quoi ledit paquet
e au courrier, par écrit ou autrement, de faire ladite déclaration et payer les droits, en sorte qu’il peut être notoire, aud
eur de Brussy, que ledit courrier avait d’autres paquets, desquels il paya les droits ; partant, le sieur de Brussy a été en
remis le paquet de dentelle, et ledit sieur Geslin, audit nom, lui a payé réellement, et de fait et comptant, ladite somme
omme il verra être à faire pour la répétition de ladite somme par luy payée ,’faute par ledit courrier d’avoir fait sa decclar
r luy payée,’faute par ledit courrier d’avoir fait sa decclaration et payé les droits, suivant l’ordre qu’il en avait, et de
après la sienne. Molière, qui, lorsqu’il traitait avec Corneille, le payait argent comptant, au lieu de lui faire, comme à la
d’Attila dût le mettre en garde, il n’avait pas marchandé : il avait payé à Corneille la même somme, 2,000 livres, versée l
70 : « Bérénice, pièce nouvelle de M. Corneille l’aîné, dont on lui a payé 2,000 livres. » Pour la tragédie d’Attila, il ava
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
Pour lui signifier les ordres de mon pere ? Frontin. Je ne veux point payer , comme il a dit, pour tous. Adieu, Monsieur Damis
clave sur sa parole. Le fils, maître d’une grosse somme, se prépare à payer la rançon de celle qu’il aime, lorsqu’on lui pers
28 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
, et pour qu’elle fût du voyage de la Saint-Hubert, et que le roi lui payât ses habillements, il fallait qu’elle fût en perma
madame de Montespan, qui ne voyait pas avec plaisir cette acquisition payée par le roi, et qui craignait peut-être qu’il n’eû
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80
RE JACQUES. Valere, riant. A ce que je puis voir, Maître Jacques, on paie mal votre franchise. Maître Jacques. Morbleu, Mon
Je suis fort content de l’ouvrage ; (Bas à Hector.) Il faut vous le payer ... Songe par quel moyen Tu pourras me tirer de ce
lere. Et mais... si j’en avois... comptez que dans la vie Personne de payer n’eut jamais tant d’envie. Demandez... Hector. D
30 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
règles de la science, songez à la perfectionner sans cesse ; ne vous payez pas, et ne nous payez pas de mots, qu’ils soient
songez à la perfectionner sans cesse ; ne vous payez pas, et ne nous payez pas de mots, qu’ils soient latins ou grecs ; enfi
tère et de vénération ; et là, comme en toute autre matière, il ne se paye point de mots… La nature et l’honneur féminin
’enrage Lorsque j’entends tenir ces sortes de langage ! Dorine ne se paye ni d’apparences, ni de mots. Elle s’occupe des fa
31 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
aisser 8 000 livres de rente entre les mains de personnes qui les lui payaient régulièrement. Mr Luillier n’épargna rien pour do
in, plus avare que susceptible de honte, aima mieux se retirer que de payer sa place. Un traitement si offensant causa de la
On m’a assuré que Molière définissait un Médecin. Un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un ma
rps, les Gendarmes, et les Chevaux-Légers entraient à la Comédie sans payer  : et le Parterre en était toujours rempli : de so
Ordre pour qu’aucune personne de sa Maison n’entrât à la Comédie sans payer . Le Roi le lui accorda. Mais ces Messieurs ne tro
pables, et pour leur réitérer ses défenses d’entrer à la Comédie sans payer . Molière, qui aimait fort la harangue, fut en fai
s contre les Comédiens de Sa Majesté : Que d’entrer à la Comédie sans payer n’était point une prérogative que des personnes d
is ce temps-là la Maison du Roi n’est point entrée à la Comédie, sans payer . Quelque temps après le retour de Baron on joua u
ison d’être mortifié de l’avoir travaillé avec tant de soin pour être payé de sa peine par un mépris assommant. Et si j’ose
Cyrano : 12   D Défense à la Maison du Roi d’entrer à la Comédie sans payer  : 130 et suivantes Le Dépit Amoureux : 23, 34 De
32 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
e de les voir ; il faut demeurer d’accord que cette pensée ne se peut payer , et qu’il n’y a qu’un misanthrope qui puisse dire
tte les reçoit fort bien en apparence, et lui dit à son tour, pour la payer de cette obligation, qu’elle veut l’avertir de ce
able est que celle qui a parlé la première se fâche, quand l’autre la paie en même monnaie. « Ces deux femmes, après s’être
huit mille livres de rentes, entre les mains de personnes qui les lui payaient régulièrement. » *. [Note marginale] Voyez l’a
ussets ne blessa point nos hanches, Car alors, excepté les exempts de payer , Les parents de la troupe, et quelque batelier. N
qui fit défense aux personnes de sa maison d’entrer à la comédie sans payer . » (Voici de quelle façon Grimarest, Vie de Moliè
u corps, les gendarmes, les chevau-légers entraient à la comédie sans payer , et le parterre en était toujours rempli, de sort
rdre, pour qu’aucune personne de sa maison n’entrât à la comédie sans payer  : le roi le lui accorda ; mais ces messieurs ne t
pables, et pour leur réitérer ses défenses d’entrer à la comédie sans payer . Molière, qui aimait fort la harangue, sut en fai
s contre les comédiens de Sa Majesté ; que d’entrer à la comédie sans payer n’était point une prérogative que des personnes d
is ce temps-là, la maison du roi n’est point entrée à la comédie sans payer . » a. « Il avait Du Croisy en vue lorsqu’il c
33 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
trente-sept livres dix sous de récompense. Le commerce recherchait et payait cher, comme on se le figure aisément, ces positio
eur théâtre se retirer de lad. société, qu’il sera tenu de bailler et payer au profit des autres de la troupe la somme de tro
s où le prix des places était de dix sols, le parterre debout où l’on payait  cinq sols ; voilà à peu près dans quelles conditi
ussets ne blessa point nos hanches, Car alors, excepté les exempts de payer , Les parents de la troupe et quelque batelier, Nu
onze cents livres fait par messire Louis Baulot, prêt destiné tant à payer des pièces achetées aux auteurs, notamment le Scé
int-Paul qu’au faubourg Saint-Germain. Les fournisseurs n’étaient pas payés  ; Jean-Baptiste Poquelin, sieur de Molière, répon
rs Léonard Aubry, car on voit Jean Poquelin, le père, s’engager à lui payer , en l’acquit de son fils aîné et à sa prière, la 
C’est de quoi je vous prie, et de faire en sorte qu’ils puissent être payés . Je vous en aurai obligation en mon particulier a
mte, il leur fut accordé pour le dédommagement la somme de 500 livres payées et avancées par la susdite ville d’Albi, résultan
anciens registres de cette ville la mention suivante : « 16 mai 1649, payé  au sieur Dufresne et autres comédiens de sa troup
évidemment confiance à Messieurs du bureau des comptes, puisqu’il est payé bien avant l’expiration de la session, le 17 déce
lui à la sienne. Cependant Molière arriva et, ayant demandé qu’on lui payât au moins les frais qu’il avait fait faire pour ve
jart la somme de trois mille deux cents livres « pour les causes et à payer au terme y déclarés ». Le 22 du même mois, noble
: 1250 livres en espèces (il n’est pas sûr que ces 1250 livres furent payées ) et 3750 en une lettre de change tirée par Cassai
putés de cette compagnie pour les faire entrer à la comédie sans rien  payer , dans l’espérance de retirer quelque gratificatio
té de l’hôtel de retirer les billets qu’ils ont distribué et de faire payer , si bon leur semble, les députés qui iront à la c
ent leur accorder aucunes sommes, ni au trésorier de la bourse de les  payer , à peine de pure perte et d’en répondre en son pr
es, « Nota, dit La Grange, que les trois cents livres n’ont point été payées  ». Elle obtint en même temps la permission de jou
double, c’est-à-dire que le prix de certaines places fut doublé ; on paya trente sous au parterre au lieu de quinze. Le gaz
gazette : Notre Démocrite Gaulois, De la mort subissant les lois, À payé tribut à nature ; Et voici pour sa sépulture : « 
. La Fontaine, qui recevait les bienfaits du surintendant, et qui les paya d’une noble reconnaissance, assistait à la fête d
endre la personne et de la mettre à la porte. Ce contrôleur qui avait payé sa charge soixante ou quatre-vingt mille francs,
et créées avant la célébration dudit mariage, et, s’il y en a, seront payées par celui qui les aura faites et sur son bien, sa
omme de quatre mille livres tournois de douaire préfixe pour une fois payé , à l’avoir et prendre, quand il aura lieu, sur to
si y nommée, mère de ladite damoiselle Armande-Grésinde Béjard. lui a payé et d’elle confesse avoir reçu ladite somme de dix
nt à leur tour les jours extraordinaires, et, sur l’ordre du roi, ils payèrent aux Français la somme de deux mille livres pour m
nage et, c’est notez-le bien, un des défenseurs de Molière, qu’on fit payer au poète ses offenses : on pourrait alors compose
uvaient volontiers que c’était une impertinence de vouloir leur faire  payer leur place, de sorte que l’emploi du portier, cha
ploi du portier, chargé d’interdire l’entrée à ceux qui refusaient de payer , était un emploi dangereux, et qu’on était obligé
et les chevaux-légers, étaient en possession d’entrer au théâtre sans payer , et le parterre en était toujours rempli, au gran
end ordinairement la place de l’amour dans un cœur outragé, vous peut payer tous les chagrins que vous cause votre épouse, pu
que la Bérénice de Racine se donnait à l’hôtel de Bourgogne. Molière payait ces pièces au vieux Corneille deux mille livres,
ne troublèrent ni les satires personnelles ni les censures publiques, paya bientôt en plaisirs la dette de reconnaissance qu
tions, quelle âpre opposition ne dut-elle pas rencontrer ! On lui fit payer cher sans doute la supériorité que lui avait valu
ire une réparation verbale à Mlle Molière en présence de témoins et à payer  200 livres pour dommages-intérêts et dépens ; et
sentir le succès que peut avoir un ouvrage. Quelquefois les comédiens payent l’ouvrage comptant jusques à 200 pistoles et au d
ur Le Cocu imaginaire ; le 7 septembre, La Grange écrit : « Achevé de payer M. de Molière pour Le Cocu en lui donnant pour la
tieux Tout de bon y firent des mieux. Gros-René, chose très certaine, Paya de sa grosse bedaine. La perle des enfarinés, Jod
elle avait trouvés en possession de la faveur publique. » La troupe paya 800 livres aux comédiens italiens, qui allèrent s
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
Demoiselle dont il étoit aimé : il demande à Lucile s’il est toujours payé de retour : elle l’assure qu’oui : ils se disent
ien n’est plus touchant dans un tête à tête. Le Marquis. Que je vais payer cher ces instants pleins de charmes ! Mon bonheur
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
à danser ? Un Clerc. Non, Monsieur. Grapignant. Est-ce qu’il prétend payer son terme en gambades ? L’Auteur voudra sans dou
mp; ne pas le mettre dans le cas d’être révoqué ; lorsqu’il refuse de payer à sa femme une modique pension & qu’il se rui
36 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
bert. » Jamais en effet dette de reconnaissance ne fut plus amplement payée . Louis XIV, pendant les premières années, continu
cle, et en même temps, par une contradiction singulière et comme pour payer aussi leur tribut aux faiblesses du temps, ils co
que beaucoup de ces chefs-d’œuvre de commande vaillent ce qu’on les a payés  ? Quels que soient ces inconvéniens attachés aux
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. » pp. 290-293
la belle Grecque en la peignant, déclare ses feux, apprend qu’il est payé de retour : il n’est plus question que d’enlever
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. » pp. 420-425
die. Que nos jours étoient beaux, quand des soins les plus doux  Vous payiez ma flamme sincere ! Vénus me regardoit avec des y
39 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
ui à la sienne. Cependant Molière arriva, et, ayant demandé qu’on lui payât au moins les frais qu’on lui avait fait faire pou
duction, car, si la lettre de change fut difficilement et tardivement payée , l’assignation ne le fut jamais17. Durant ces div
putés de cette compagnie pour les faire entrer à la comédie sans rien payer , dans l’espérance de retirer quelques gratificati
de l’hôtel, de retirer les billets qu’ils ont distribués, et de faire payer , si bon leur semble, les députés qui iront à la c
ectement, leur accorder aucune somme, ni au trésorier de la bourse de payer , à peine de pure perte et d’en répondre en son pr
qui venait de leur être accordée, silence complet. Si quelqu’un avait payé pour cela, et ce n’est pas de notre part une supp
tion calomnieuse, car Loret affichait sa vénalité, si quelqu’un avait payé pour cela, il n’eut pas, on le voit, suivant l’ex
que ces deux pièces procurèrent à l’ensemble de la troupe, tous frais payés . Si nous insistons autant sur le produit des deux
ns pas si le rire de Loret était bien franc, car lorsqu’on le faisait payer , il faisait, quoi qu’il en dise ici, un effort vi
ue scène, chez le libraire Jean Ribou, qui devait plus tard fort bien payer le manuscrit du Tartuffe, mais qui, à cette époqu
s de Monsieur n’entrèrent pour rien, car il avait une troupe sans lui payer sa pension et sans la faire jouer, comme il avait
ucune pièce reçue et ayant vu mourir La Calprenède, à qui il en avait payé une d’avance, il songea à Racine, qui, l’année pr
ui dans le commencement recevait pour ses comédies une somme une fois payée , à cette époque était récompensé par deux parts c
sa maison militaire étaient en possession, d’entrer à la comédie sans payer , d’où il suivait que le parterre se trouvait souv
favoriser ces misérables contre eux ; que d’entrer à la comédie sans payer n’était point une prérogative que des personnes d
que depuis ce moment la maison du Roi n’entra plus à la comédie sans payer . Le même abus et des désordres encore plus grands
it, au 31 août, sur le Registre de La Thorillière : « Pour achever de payer un orfèvre pour M. Racine, 24 livres. » « Le ma
t valétudinaire lorsqu’il disait : « Un médecin est un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un ma
end ordinairement la place de l’amour dans un cœur outragé, vous peut payer tous les chagrins que vous cause votre épouse, pu
a Forêt n’aurait pas senti tout le piquant des conseils dont Célimène paye ceux d’Arsinoé ? » Nous répondrons, avec Rousseau
conduite d’un poète célèbre qui, après s’être dit son ami, ne sembla payer que par l’ingratitude les services qu’il en avait
. et mademoiselle de Beauval83 pour une part et demie, à la charge de payer cinq cents livres de la pension dudit sieur Béjar
ôt qu’il devait aux plaisirs de la cour. Cette dette envers le public payée , il vit Paris, auquel il n’avait pas depuis longt
vons sur le Registre de la Comédie, à la date du 14 décembre 1679 : «  Payé à M. Loyal, pour une signification, 1 livre 10 so
es frais de déplacement et de nourriture de la troupe étaient de plus payés dans toutes les occasions où le service du Roi le
oire, il manquait à la nôtre. Quelques années auparavant ils avaient payé un autre tribut tardif à la mémoire de ce grand h
on de « Bérénice, pièce nouvelle de M. de Corneille l’aîné, dont on a payé 2 000 livres ». La première représentation du Bou
40 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
in, quoique très piqué, plaisante sur l’humeur de cette femme qui lui paie toutes les sottises qu’elle lui écrit. Scapin sor
41 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
i d’un caractère) vient à bout, d’attraper une pièce de drap, sans la payer , à un vieux marchand avare et retors, est menée a
Regnard lui fit toucher une somme de douze mille livres, qui servit à payer sa rançon, celle de son valet de chambre et de la
me est celui des gens qui ne jouent pas, Rien ne porte malheur comme payer ses dettes ; tout cela est de la plus grande vér
42 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
cupé jusqu’à la fin de ces billevesées. Don Juan veut, à cette heure, payer ses dettes, rétablir son crédit, apaiser son père
à M. Dimanche, je puis bien me passer la fantaisie d’un pourpoint non payé . La table de mon maître est surchargée de vins et
i était le si mal venu dans ce drame de joie, de duels, de dettes non payées , d’enfants railleurs, de filles abusées, de pères
e, Monseigneur ! Oui, ce même M. Dimanche, qui vous présente un bon à payer de dix ans, comme si c’était une dette de la veil
 ! — On n’a pas voulu me croire, s’écrie Sganarelle, qui depuis s’est payé de ses gages sur la succession de son maître… C’e
n, impatientée, finissait par répondre à Lauzun : — « Insolent ! vous paierez cela ! » — Lauzun, en vrai compère de mélodrame,
oir bu ses sueurs. : « Un million de soldats ont versé leur sang pour payer vos lauriers, un million de paysans sont morts à
pour faire des portes en gomme indiennes. Nouvelles banques qui vous paient trois pour cent. — Je vois ce que c’est. — Elles
y avait à Paris de grands seigneurs qui se faisaient gloire de ne pas payer les marchands, et des marchands tout glorieux de
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499
elle qualité & condition qu’elle soit, d’entrer au spectacle sans payer . Pourquoi ne rendent-ils pas leurs réglements aus
aux Directeurs, aux Actionnaires de Province, qu’en les soumettant à payer la part d’Auteur durant les trois premieres repré
44 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
’initiative personnelle et d’inspiration indépendante. Entre la dette payée en toute hâte aux divertissements de Versailles o
l’avantage d’échapper à un malheur certain47. »Célimène, elle aussi, paye sa dette. « Son premier châtiment est de n’oser r
ie mélancolique était ce charmant et terrible amour qui ne sera point payé de retour, mais devra tirer de l’imagination plus
éâtrale qui ne l’empêche point de « battre ses gens »et de ne pas les payer , sa noire rancune qui vient jouir d’une vengeance
erra de même ; On se fait étouffer pour ouïr ce qu’il dit, Et l’on le paye mieux qu’un prêcheur de carême. Vaine prédiction
onhomme Géronte. Une fois maître d’Orgon, il croit pouvoir impunément payer d’audace, et use de telles licences que sa forfan
ments adressés à son teint frais et gaillard, il se garde bien de les payer . Quand la fine mouche lui fait le compte de la do
le mariage, pourvu qu’on lui restitue son trésor ; puis, sûr qu’il ne payera pas son habit de noces, les frais du mariage, et
brasse les gens que pour l’amour du grec. Sa vertu, elle la fait même payer assez cher à Chrysale pour qu’il n’en doute pas.
se garde bien de les gourmander en face : sa sœur, la pauvre Bélise, payera pour Philaminte ; c’est sur elle que se soulage,
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
né que de l’eau claire, sans le plus petit mêlange, qu’il auroit fait payer beaucoup. Pantalon parle à l’Apothicaire de la ma
mp; feint d’être très pressé. Dans trois scenes consécutives Pantalon paie Buona Testa parcequ’il a parlé latin, Merlino par
46 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
ertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon. On est Français ; on paie ses impôts ; on sait qu’une partie de ces impôts
célébrés avec scrupule, avec joie : on est tranquille là-dessus, on a payé pour l’être ; on voit la Comédie-Française, on vo
47 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
in, plus avare que susceptible de honte, aima mieux se retirer que de payer sa place. Un traitement si offensant causa de la
On m’a assuré que Moliere définissoit un Medecin : Un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un ma
, les Gendarmes, & les Chevaux-Legers entroient à la Comedie sans payer , & le Parterre en étoit toûjours rempli ; de
rdre, pour qu’aucune personne de sa Maison n’entrât à la Comedie sans payer . Le Roi le lui accorda. Mais ces Messieurs ne tro
les, & pour leur réïterer ses défenses d’entrer à la Comedie sans payer . Moliere, qui aimoit fort la harangue, fut en fai
s contre les Comediens de Sa Majesté : Que d’entrer à la Comedie sans payer , n’étoit point une prérogative que des personnes
uis ce temps-là la Maison du Roi n’est point entrée à la Comedie sans payer . Quelque temps après le retour de Baron, on joüa
end ordinairement la place de l’amour dans un cœur outragé, vous peut payer tous les chagrins que vous cause votre épouse, pu
son d’être mortifié de l’avoir travaillé avec tant de soin, pour être payé de sa peine par un mépris assommant. Et si j’ose
48 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
huit mille livres de rente, entre les mains de personnes qui les lui payaient régulièrement. M. Luillier n’épargna rien pour do
end ordinairement la place de l’amour dans un cœur outragé, vous peut payer tous les chagrins que vous cause votre épouse, pu
in, plus avare que susceptible de honte, aima mieux se retirer que de payer sa place. Un traitement si offensant causa de la
On m’a assuré que Molière, définissait un médecin, un homme que l’on paie pour conter des fariboles dans la chambre d’un ma
rps, les gendarmes, et les chevau-légers, entraient à la comédie sans payer , et le parterre en était toujours rempli ; de sor
ordre pour qu’aucune personne de sa maison n’entrât à la comédie sans payer . Le roi le lui accorda. Mais ces messieurs ne tro
pables, et pour leur réitérer ses défenses d’entrer à la comédie sans payer . Molière, qui aimait fort la harangue, fut en fai
s contre les comédiens de Sa Majesté ; que d’entrer à la comédie sans payer n’était point une prérogative que des personnes d
is ce temps-là, la maison du roi n’est point entrée à la comédie sans payer . Quelque temps après le retour de Baron (en 1670)
ison d’être mortifié de l’avoir travaillé avec tant de soin pour être payé de sa peine par un mépris assommant ; et si j’ose
on que Louis XIV lui avait donnée, parce que l’ordonnance portait : «  Payez au nommé Michel Boiron dit Baron135. » Baron mit
étieux Tout de bon y firent de mieux. Gros-René, chose très certaine, Paya de sa grosse bedaine. La perle des enfarinés, Jod
qui, voyant ma bourse assez bien garnie, que j’avais ouverte pour lui payer quelques rabats, me dit : Monsieur, tandis que vo
(selon la coutume de la consulter sur tout ce qu’il faisait), elle le paya en même monnaie par le récit d’une aventure qui l
49 (1843) Épître à Molière, qui a obtenu, au jugement de l’Académie française, une médaille d’or, dans le concours de la poésie de 1843 pp. 4-15
ovation ? Est-ce un prince ?… C’est plus, c’est une nation Jalouse de payer dans sa reconnaissance Deux siècles de plaisirs d
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. De l’Illusion Théâtrale. » pp. 426-433
sant à des personnes toujours respectables pour eux, puisqu’elles ont payé à la porte. Nos Anciens prenoient la liberté de r
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
ur ; mais il ne faut pas se dissimuler qu’il coûte cher, puisqu’on le paie de toute sa gloire. Regle générale, jamais un ouv
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
es manieres campagnardes à son faux air de grandeur ; elle veut faire payer un verre que sa servante casse par mégarde. Son c
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
is trompé. La peste ! le grand coup dont je suis échappé ! Mais tu me payeras la peur que tu m’as faite. (Il faut réciter ces v
soupçonner que l’Auteur n’en fréquente pas d’autre. N’est-il pas bien payé de ses soins ? La plupart des Auteurs, oubliant q
54 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341
issent réellement d’avec celles qui ne font que semblant. Pourquoi ne paie-t -on pas d’un coup de sifflet des polissonneries tr
esprit comme d’un surtout magnifique. On l’invite, dans l’idée qu’il paiera son écot en saillies, en épigrammes, en bons mots
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
troisieme ; elle appaise la faim d’un créancier. Une quatrieme ; elle paie les gages d’un flatteur. Une cinquieme ; cela cor
est pour faire au miracle crier. Gratis est mort : plus d’amours sans payer  : En beaux louis se comptent les fleurettes. Ce q
56 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
avaient toujours les yeux sur madame de Maintenon. Elle semblait leur payer une dette en s’élevant par le mérite qu’elle avai
… Là, on verra une décoration souvent profane, les places retenues et payées , des livres distribués comme au théâtre (le motet
57
C’est de quoi je vous prie et de faire en sorte qu’ils puissent être payés . Je vous en aurai obligation en mon particulier a
e, il leur fût accordé pour le dédommagement la fortune de 500 livres payées et avancées par la susdite ville d’Albi, résultan
z. Comme Dieu, par le commerce que vous faites, vous a donné du bien, payez une année de la taille à la décharge des habitant
ent deux lettres missives aux consuls d’Albi pour leur recommander de payer le transport des bagages de la troupe de leur vil
 » Et cela, moyennant la somme de 35 000 livres, dont partie dut être payée aux créanciers Le Camus. Enfin, le 28 octobre 168
ge de sa maîtresse ; elle rapporte la réponse ; mais il faut se faire payer sa peine et faire valoir à ces jeunes gens impétu
toutes les parties37, et on la rétribuait fort largement. Le roi lui payait une pension de 15 000 livres, plus du double de c
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296
us aurez beau dire, comme tantôt, j’appellerai, j’appellerai, vous me paierez tout ceci. Euphrosine, d’un ton railleur. Vous vo
59 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
er avec lui. Horace conclut de son poème de l’Iliade, que les peuples paient toujours les sottises des rois : c’est la conclus
60 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XII. Lo Ipocrito et Le Tartuffe » pp. 209-224
ue le patron soit ingrat envers vous. (À Brizio.) Allons, il faut lui payer son entremise. BRIZIO. Faites-vous un habit avec
61 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
s ne s’expriment pas aussi heureusement que la violette ; mais toutes paient un tribut plus ou moins flatteur. Les dix-huit no
62 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
e vous dites ! Est-il possible que M. et madame de La Fayette ne s’en payent pas et qu’ils aient peine à croire que j’aie supp
63 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
épense rendent exigeants à double titre, ne sont pas venus, n’ont pas payé pour écouter et voir exactement les mêmes hommes
, un homme qu’il connaissait peu l’ayant comblé de politesses, il l’a payé , comme il dit, en même monnaie. Cette grande colè
sse un habit neuf pour y figurer décemment, et, par-dessus le marché, paie les écritures du commissaire que lui-même il a fa
tance pour que ses tableaux fussent d’un intérêt durable. Après avoir payé mon tribut d’estime au Grondeur et à l’Avocat pat
e procurait ; mais, ce qu’elle aurait dû prévoir, les représentations payées furent beaucoup moins suivies que les représentat
e faction, retiraient ou accordaient leurs faveurs pour punir ou pour payer des défections politiques. Cependant les bourgeoi
(selon sa coutume de la consulter sur tout ce qu’il faisait), elle le paya en même monnaie par le récit d’une aventure qui l
roi Midas, il lui enseigna, comme une maxime d’assez grand prix pour payer sa rançon, que le mieux qui puisse arriver à l’ho
mérite d’être rapporté. Un médecin, disait-il, est un homme que l’on paie pour conter des fariboles dans la chambre d’un ma
64 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
font tapage ; ils prétendent, étant de la maison du roi, entrer sans payer  ; cas de querelle, et de temps en temps l’on tue
lui, de ces auteurs au faible cœur, qui tremblent et se dérobent ; il paie de sa personne ; il est constamment en scène, fai
te troupe ! — Oh ! il est censé leur faire une pension, mais il ne la paie pas. — Silence donc ! crie le parterre. On a comm
un père, qui la revendique, toujours pour la donner à Horace, et qui paiera Arnolphe, qui pis est… Sous cette pluie de camouf
65 (1802) Études sur Molière pp. -355
jeu de paume de la Croix-Rouge, et pour que le public coure en foule payer leurs plaisirs. Je vois encore Pocquelin suivre e
endre retour, ne devrait-il pas respirer ? ne devrait-il pas au moins payer d’un soupir tant d’expressions tendres, tant de t
Laforêt n’aurait pas senti tout le piquant des conseils dont Célimène paie ceux d’Arsinoé ? Mélicerte. Cette pastor
répètent les gens superficiels. Molière, reconnaissant, a-t-il voulu payer à son protecteur le tribut d’éloges qu’il lui dev
à l’humanité, si parfait que l’on fût, Toujours par quelque faible on paya le tribut. Oui, l’auteur immortel de Phèdre se p
 XIV fit mettre sa maison sous les armes, et la défense d’entrer sans payer lui fut réitérée. À ce triomphe remporté par Moli
voir dit, comme on le prétend, à ses amis : « Un médecin est un homme payé pour écouter et dire des fariboles dans la chambr
e les mains d’un filou déguisé en médecin, celui-ci prétend avoir été payé pour le guérir, et des apothicaires paraissent, l
isant, Dorante n’est point démasqué aux yeux de Dorimène ; cette dame paie au contraire de sa main les escroqueries du vil c
, c’est M. le comte qui donne tout ceci à madame. »— Et c’est moi qui paie . La multitude rit à la vérité, mais les gens de
ussi déplacée, prétend dit-on, avoir trouvé ce barbare c’est moi qui paie , dans une édition fort ancienne ; nous rejetteri
olière, et nous lui dirions, les quatre perfides mots, c’est moi qui paie , une fois prononcés, Dorante est démasqué aux ye
habitué, qui depuis trente ans faisait les honneurs du balcon, et qui payait généreusement son entrée en applaudissements, me
66 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
cule ouvrage; et quoique Chimène, en quelques endroits, eût elle-même payé le tribut à cette mode contagieuse de faire de l’
ner avec lui. Horace conclut de son poème de L’Iliade que les peuples paient toujours les sottises des rois; c’est la conclusi
se, qui est toujours de mise : Monsieur, je ne m’y connais pas; ou de payer l’amour-propre du rimeur de quelqu’une de ces phr
rocès, et qu’il lui détaille tout ce qu’on peut avoir à souffrir et à payer dès que l’on est entre les griffes de la chicane,
sur des dépenses indispensables, et l’on est contraint tôt au tard de payer des dettes usuraires. Molière d’ailleurs n’a rien
67 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
e fois, à l’ambition prussienne, bien plus exigeante quand elle ne se paye pas de mots ! C’est fort heureux, bon Goudouli, q
68 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
is pas, et je guéris. Il définissait un médecin, « Un homme que l’on paie pour conter des fariboles dans la chambre d’un ma
erie, l’entêtement de l’esprit de secte et de système, la manie de se payer de mots et d’imposer aux autres et à soi-même par
69 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
 ! malheureuse géniture, tu me coûtes plus d’or que tu n’es pesante ! Paie la rançon ; &, ce qui restera, emploie-le en
le est, j’avois besoin d’une femme qui m’apportât quelque argent pour payer mes dettes ; & encore aujourd’hui, si Démipho
oir six cents procès que de compter cette somme. Chrémès veut bien la payer . Les vieillards vont chez eux pour prendre de l’a
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252
vous danserez. J’ai ordre de Clarice de vous faire danser : elle m’a payé pour cela, &, ventrebleu, vous danserez. Empê
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. » pp. 426-435
porte Saint-Innocent. Ils ont amassé du bien à leurs enfants, qu’ils paient maintenant peut-être bien cher en l’autre monde ;
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
furent très surpris. Pour les guérir de la crainte où ils étoient de payer les frais du repas, le vieillard avança de l’arge
73 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
des gens de qualité, n’hésitaient pas, pour prendre pied à la cour, à payer chèrement telle charge de bas officier, comme de
onsent, lui permet de porter son nom, lui promet une pension qu’il ne paiera jamais, et le vingt-quatrième jour d’octobre 1658
ux. Les archives communales d’Albi contiennent la mention d’une somme payée , le 24 octobre 1647, à la troupe des comédiens de
de produire de très dangereux effets ». Molière, soutenu par le roi, paya d’audace et riposta, comme l’on sait, en écrivant
74 (1871) Molière
enait maintenant la comédie ; il était sûr de sa découverte. Il avait payé , sans doute, et par toutes les misères de l’inven
areil monstre, et le poser dans une lumière éternelle. Molière devait payer plus tard, sous la rude étreinte de Bossuet, plus
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
patience le mariage de M. de Pourceaugnac, parcequ’il a promis de les payer avec la dot qu’il doit toucher. De sorte que la p
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90
meur à brocarder les gens. Marille. Oui, c’étoit sa coutume ; elle la paye bonne. Badzin. C’est qu’il ne faut jamais se rail
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283
ure ? Peut-être, à mon profit, dans une affaire obscure, Un Juge bien payé verra plus clair que moi. On découvre que Falais
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
nts cerveaux,    Le mari, dans ces cadeaux,    Est toujours celui qui paie . Je pense que les gens de goût ne balanceront pa
à part. Ah ! sorciere maudite, empoisonneuse d’ames ! Puisse l’enfer payer tes charitables trames ! Agnès. Voilà comme il me
79 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
ympathies de leurs concitoyens, accueilleront favorablement l’idée de payer un juste tribut d’admiration à l’un des plus beau
f., prix de la sculpture des statues, à 22,000 f., qui suffiront pour payer les modèles en plâtre, lesquels doivent être fait
80 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
réduise sans peine à la vérité de la nature. Le Bourgeois gentilhomme paye les titres que lui donne un complaisant mercenair
cenaire, c’est ce qu’on voit tous les jours ; mais il avoue qu’il les paye , voilà pour le Monseigneur ; c’est en quoi il ren
édiens de province, de joüer à la foire saint-Germain, à la charge de payer par chacune année qu’ils joüeroient, deux écus au
81 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
t couvert de haillons ; aujourd’hui, l’ours est un jeune monsieur qui paie des actrices, qui hante l’Opéra et se dandine, en
a bonne heure ! mais avouez que ces instants de folle ivresse ont été payés avec usure ? Ajoutez à ces folies de la tête et d
ion à toucher cette faible somme, qu’elle devait trouver si chèrement payée , maintenant qu’elle était riche et âgée, une cert
82 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
end ordinairement la place de l’amour dans un cœur outragé, vous peut payer tous les chagrins que vous cause vôtre épouse, pu
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
e, Arlequin l’étranger arrive, poursuivi par Celio. Camille promet de payer pour lui. On abandonne le théâtre pour aller réun
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
e pension pour votre fils & pour vous, qui vous seront exactement payés . . . . . . Une nouvelle aussi singuliere révolta
85 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
sprit, n’a pas survécu longtemps à son jeune collaborateur, et n’a pu payer à sa mémoire le juste hommage qu’il se promettait
t, la mort du maître est précisément la seule chance qu’il ait d’être payé  : un maître obéré n’est pas un maître ruiné, et c
un maître obéré n’est pas un maître ruiné, et c’est la succession qui paie . 13. Page 142. 14. Voyez Sainte-Beuve, Port-Roy
86 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
à exploiter ces vanités roturières, dérogeaient sans difficulté pour payer leurs dettes, et faire une certaine figure dans l
de quoi jouer , celle-ci arrête les parties de son tailleur, celle-là paie les meubles de son appartement, et toutes ses maî
ux, choisissent chacune pour caissier le mari l’une de l’autre, et le paient d’espérances trompeuses. Ces deux imbéciles maris
que vive, la main ouverte pour recevoir, et très souvent prompte à se payer elle-même ; il est rare que ces messieurs n’aient
er dans une auberge de si belle apparence, où l’on ne peut manquer de payer fort cher. On sait que le Mari retrouvé est fondé
87 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
les soins qu’il prodigua au jeune Baron, qui devait, par légèreté, le payer d’une étrange ingratitude; et la manière dont il
elle leur a rendu un éminent service; mais tous les apprentissages se paient et celui-là ne fit point exception. De peur de ma
est encore chargée de tout le fardeau du linge: « Au moins, dit-elle, payez votre porteur. » Mais Église répond : Tu es trop
de cendre; lui qui a tracé le portrait de ce poète dont les vers sont payés par de bons bénéfices, et dont le génie en travai
nécessaire d’affranchir : celle-là seule y est préparée. La France a payé cher la fausse position qu’elle a faite à la femm
it des vertus; ce sont des titres qu’il lui faut. Mais il est bientôt payé de cette sotte et ridicule ambition : il souffre
fasse une distribution de peines et de récompenses, dont chacun sorte payé selon ses mérites ? Nullement. Les choses, en réa
e l’église avait jugé prudent de ménager l’hypocrisie; au XVIIIe elle paya cher cette prudence équivoque. Il eût été plus sa
88 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
elles répandent parleur chant. Mais, n’est-ce rien aux spectateurs de payer leur luxe, d’entretenir leur corruption, de leur
les médecins ? Don Juan suspendra-t-il le cours de ses équipées pour payer M. Dimanche, cette figure avilie et conspuée de l
térêts de la justice, exhortent, supplient, menacent. Quelquefois ils payent de la vie leur courageuse intervention. A la cour
le à sa femme, il va fidèlement à l’église, il fréquente son curé, il paye ce qu’il achète et il vend ce qu’il fait payer :
fréquente son curé, il paye ce qu’il achète et il vend ce qu’il fait payer  : Tartuffe ! Tartuffe et demi, si la popularité l
later celui du véritable homme de bien que je lui oppose. » Vous nous payez ici d’excuses colorées, Et toutes vos raisons, mo
nt pour tout soin de bien vivre, c’est-à-dire qui veillent à ne point payer de leur personne contre les ennemis de Dieu, il a
se : Lorsqu’un homme vous vient embrasser avec joie, Il faut bien le payer de la même monnoie, Répondre comme on peut à ses
89 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
Arlequin, pour avoir de l’argent, dit le diable de son maître, et est payé de chaque défaut, est charmante. LE BILLET DOU
90 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
Qui portent des crincrins et des tambours de basques, il faudra nous payer de ces paroles, et le rideau tombera dans le sile
91 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82
out en larmoyant, emprunte pour ces prétendues funérailles de quoi se payer des maîtresses239 ? Tout cela est si gaiement pré
92 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
 : « Mezzetin avait dédié une pièce à M. le duc de Saint-Aignan, qui payait généreusement les dédicaces. Dans le dessein de r
93 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
ur le pied du denier cinq, il conviendra que ledit premier emprunteur paie cet intérêt, sans préjudice du reste, attendu que
pponneries, apprenez-leur à les éviter : moins il y aura de dupes qui paient , logent, habillent & nourrissent un frippon p
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
mon courage ! je vais écrire moi-même au Comte. Viens... traître ! tu paieras cher les peines que tu nous causes ! Jeu d’entr
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468
ien. On est enchanté encore des arrangements que prend le Poëte pour payer ses dettes. Damis. Arrangeons-nous déja sur ce q
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
onc la tienne, D’autant que ton offense est moindre que la mienne. Je paie avec usure un bien que tu m’as fait ; Mais ce n’e
97 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
la troupe. Mis en liberté sous caution, ayant, à l’aide de ses amis, payé ses dettes, il se résolut de quitter Paris avec s
98 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
vendue dix louis ; il lui en rend six et en retient quatre, deux pour payer le dîner qu’il a commandé lui-même, deux pour le
99 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
i si excessivement tendres et obligeantes, qu’elle doit être plus que payée de tout ce qu’elle a fait. » Le roi, dont l’amou
100 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
t sans doute la vie errante de Ragotin. Sa troupe en somme était bien payée , bien traitée et presque honorée partout où elle
la main même de La Grange : « Les trois cents livres n’ont jamais été payées . » On trouvera dans ce registre du comédien, mon
D’ailleurs il lui préférait les bouffons italiens, ou du moins il les payait davantage. Ces acteurs italiens n’allaient-ils pa
in, plus avare que susceptible de honte, aima mieux se retirer que de payer sa place. Un traitement si offensant causa de la
n titre et le souffletait de son blason. Aussi bien Molière devait-il payer cher de telles audaces. La comédie de Dom Juan n’
condition que ce soit, même à celle de nostre maison d’y entrer sans payer , ni d’y faire aucun désordre à peine de punition
/ 146