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1 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
dont elle réprimanda Montespan, « madame de Montausier étant dans un passage derrière la chambre de la reine, où l’on met ordi
ressemblait à un fantôme, qui attendait madame de Montausier dans un passage obscur , pour lui faire des reproches sanglants
uc de Saint-Simon, qu’à la suite de l’apparition qui eut lieu dans le passage de l’appartement de la reine, madame de Montausie
ps : l’origine de son mal venait d’une peur qu’elle avait eue dans un passage derrière la chambre de la reine. » Mademoiselle c
2 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
où l’autorité fit disparaître, au moyen de nombreux cartons, tous les passages jugés répréhensibles. Vers le même temps, un libr
l’acquisition, et dans lequel ne sont point cartonnés la plupart des passages dont on avait exigé la suppression ou l’adoucisse
l’adoucissement, a servi de copie pour la présente édition. Quant aux passages moins nombreux et moins importants qui se trouven
n, mais encore qu’on retranchât ou qu’on adoucit un certain nombre de passages , dans lesquels Molière n’avait pas craint de fair
onna, la même année, la pièce de Molière même, avec les scènes et les passages supprimés ou adoucis ; et ce qu’il y a de vraimen
3 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
à la cabale des dévots, il retrancha avec un soin minutieux tous les passages que pouvait envenimer la malveillance jalouse de
la religion, il n’est peut-être pas hors de propos de citer quelques passages de cette scène ; j’aurai soin de choisir je ne di
me cabale lui adressa une épître de félicitations où l’on remarque ce passage  : Molière plaît assez, son génie est folâtre ; I
paru utile, sous plus d’un rapport, d’en faire revivre les principaux passages . Les gens de lettres y trouveront plus d’une fois
Molière dans son premier placet au roi ? Qu’on rapproche en effet les passages qu’on vient de lire des expressions mêmes du poèt
 ; et il est évident, par la comparaison du texte de ce placet et des passages du livre dont il se plaint, et qui était en effet
lité de l’extrait, l’enchaînement exact des scènes, les citations des passages les plus remarquables et même des vers les plus h
s de se vanter des avantages du monde. » Molière a donc transporté ce passage , et il l’a fait avec beaucoup de raison ; il est
est à coup sûr celui que Molière a fait au dénouement, dans ce fameux passage  : Nous vivons sous un prince ennemi de la fraude
e expression qui lui paraît impropre, celui-là découvre à la loupe un passage qui n’est pas rigoureusement conforme aux règles
plus, ou des expressions tombées en désuétude, qu’il éclaircisse des passages qui se rapportent à des anecdotes ou à des événem
qu’il accuse, c’est tout son théâtre qu’il proscrit. Signalons ici ce passage qui fait tache dans les œuvres d’un grand homme,
4
es expressions indécentes, ou peu naturelles et peu claires » 4. Les passages exceptés de la règle d’une traduction scrupuleuse
n âme. Le traducteur n’a pas cru pouvoir reproduire textuellement ce passage , et voici comment il termine la scène : RENATACC
er aux dépens de personnages populaires. J’ai supprimé entièrement le passage suivant, qui présente ce caractère :             
ais moi, nescio vos !… Pourquoi donc le traducteur a-t-il modifié ce passage  ? C’est que… sans doute le langage de Marinette e
es Petits-Augustins, — la « large tombe de pierre » dont parle, en ce passage , l’excellent historien de Molière, M. Jules Clare
et ne fait pas honneur au créateur de la comédie larmoyante ; mais le passage relatif au sonnet du Misanthrope n’en est pas moi
int le prix des places pour la première représentation, usage dont un passage de Tallemant des Réaux et un passage de l’abbé d’
re représentation, usage dont un passage de Tallemant des Réaux et un passage de l’abbé d’Aubignac paraissent établir dès lors
Molière et Tartuffe dans la préface des Plaideurs, où nous lisons le passage suivant : « Mais c’est en juillet 1659 que la tr
moins celles que je trouve dans ma bibliothèque. Rappelons d’abord le passage de Molière qui détermine le costume qu’il crut de
bon33. J’ai retrouvé dans La Précieuse, ou le Mystère de la ruelle le passage suivant qui, resté inconnu aux moliéristes, donne
mes jetées aux romans de Mlle de Scudéry : elles se trouvent dans des passages connus de tous et absolument populaires ; car il
connaître de quelque façon que ce soit. Je vous renvoie au reste du passage , que vous connaissez bien et qui est l’un des plu
ant d’aller jouer d’honnêtes gens comme les médecins ! C’est dans ce passage que, par un pressentiment douloureux, qu’on a sou
La Fontaine ? Ce qui est certain, c’est qu’il y a, dans ce délicieux passage de la Critique, le portrait d’un contemporain. Ai
en bâtiments, Et j’en crois merveilleux les divertissements. Un des passages les plus curieux, à cet égard, se trouve dans La
ent en haleine l’attention publique, il faut signaler un très curieux passage , emprunté encore à La Comtesse d’Escarbagnas. Ce
ôle que d’entendre de graves Arabes nous réciter, sans le savoir, des passages du Bourgeois gentilhomme. J’arrête ici, mon cher
’on m’offre, et ce serait tout à fait injuste. Il est évident que les passages relatifs à Mlle Châteauneuf, à Raisin, à Rosimond
té, comme toutes les œuvres de M. B. Fillon, nous reproduirons ici le passage relatif à Jean Nicolas, sieur de Tralage : « M. 
i jusqu’à Lyon, son quartier central habituel, comme on l’a vu par le passage de Chappuzeau, précédemment cité. Au cours de l’é
rrible, que le bateau de Naples à Marseille, que j’avais à prendre au passage , s’y fit attendre trois jours durant. Trois jours
vous seul. » Permettez-moi de mettre sous les yeux de vos lecteurs un passage d’un auteur contemporain, qui confirme pleinement
cœur est la proie « Plus de la peur que de la joie… » Dans les deux passages , le cabinet est bien le meuble où l’on serre les
e, M. Émile Picot reproduit, dans le dernier numéro du Moliériste, un passage d’une Lettre en vers de Robinet, bien que le sens
arelle dans les éditions de 1666 et de 1682 de L’Amour médecin, et un passage de Zélinde, 1665. 29. T. II, p. 501. 30. Édit.
5 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
jusqu’à citer presque textuellement le plus célèbre, à coup sûr, des passages de cet incomparable auteur : « Je soutiens qu’il
neste bonheur de plaire à Armande et à Philaminte. Mais dans tous ces passages , notre auteur ne dit rien autre chose que ce que
corps et de l’âme. Et ce n’est sans raison, selon nous, que, dans ce passage des Femmes savantes, on a cru voir une allusion a
éger, sa pensée à ce sujet me parait être parfaitement rendue dans ce passage que Molière appliquait à la mode, et que j’appliq
es critiques aient tort, de ses écrits il but encore effacer tous les passages  : 1° Où il nie l’existence des idées innées (Cinq
l passe à la biographie d’Hippocrate, discute en passant le sens d’un passage de Pindare, cite l’Odyssée, saint Jérôme, saint P
6 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
précédée de deux romances espagnoles, et d’une préface dont voici un passage qui servira de supplément à l’article de cette pi
m’avait obligé à me taire. » Au-devant d’Horace et de Cinna sont les passages latins de Tite-Live et de Sénèque d’où ces sujets
uivantes, et que c’était le 4 juin qu’on avait voulu mettre. Voici le passage de Loret : Muse historique du 17 juin 1661.     
gnès ; le jeu des personnages subalternes, tous formés pour elle ; le passage prompt et naturel de surprise en surprise, sont a
ère, in-12, Paris, Charles de Sercy, privilège du 30 octobre 1663. Un passage de la préface qui précède cette critique va donne
sieur Prévot. Loret, dans la lettre dont nous venons de rapporter un passage , au sujet de la première journée des plaisirs de
motifs sont naturels et puisés dans le sentiment ; les moyens et les passages , ingénieux et simples ; les degrés des passions s
inette de Raisin était découvert lorsque Loret en parla, car après le passage que nous venons de rapporter, cet auteur poursuit
car on trouve dans deux lettres de Robinet, de cette même année, deux passages où il est parlé de la Troupe du Dauphin jouant en
ns l’Histoire du théâtre français. Terminons cet article par les deux passages de Robinet dont nous venons de parler. Lettre du
12, Pépingué, 1665, permission du 10 mai, (signé, d’Aubray). Voici un passage de cette brochure qui pourra faire juger du goût
emières représentations produisirent par les traits injurieux dont ce passage est rempli. » La brochure de Rochemont ne resta
7 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
qui fait voir tout en beau aux amants dans l’objet aimé, imités d’un passage du IVe livre de Lucrèce1. Mais Molière a porté au
le de Hobbes, non moins qu’à celle de Gassendi. Cependant, d’après un passage de Grimarest, Molière semblerait avoir été Cartés
s toute cette discussion il n’est question que de physique, et que le passage de Grimarest se concilie très-bien avec le Gassen
8 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
d’Escarbagnas ; mais pour épargner au lecteur la peine de chercher ce passage dans la pièce, nous allons le rapporter ici. Aprè
le nom de Tricotin, qu’il changea depuis en celui de Trissotin. » Un passage du Menagiana 1 nous apprend jusqu’à quel point Mo
agea ; Richelet1, au mot reprocher, ne l’a [pas] dissimulé. (Voici le passage de Richelet.) Reprocher : verb. act. faire des re
gens qui croient qu’il est d’un bel esprit de trouver à redire. » Un passage de M. Bayle va nous apprendre l’effet que la comé
 Je crois qu’on se trompe (continue M. Bayle, après avoir rapporté le passage ci-dessus) quand on dit qu’une querelle de Molièr
ses Fourberies de Scapin, et non le dialogue mot à mot, ainsi que ce passage semble le faire entendre. [*]. [Note marginale]
mier, lettre du 19 mars 1672. 1. [Note marginale] Voyez ci-dessus le passage de De Visé, Mercure galant, tome I, lettre du 12 
9 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
’historique de la tragédie de Timocrate, nous en mettons ici quelques passages , par forme de supplément à l’article de cette piè
le roi (Louis XIV), et pour en rendre compte, nous allons employer un passage de la préface des Œuvres de Molière, édition de P
arquer au lecteur toute la malignité et la calomnie qui règne dans ce passage de M. de Visé. Cet auteur était ennemi secret des
r après la comédie du Misanthrope, représentée le 4 juin 1666. b. Le passage de la préface de 1682 que nous plaçons ici nous a
une pension de la reine, et sans doute à titre de ses comédiens ; un passage d’une lettre en vers de Robinet servira pour appu
10 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
olant sa bourse à Anselme : encore paraît-il avoir été suggéré par un passage de l’Emilia, où Polidoro — aussi bien qu’Anselme
ues dans l’Inavvertito, mais des serruriers ; ne sont-ce pas les deux passages du Parasite qui ont donné à Molière l’idée de cet
11 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
s nom, qui parut en 1695 et qui est attribué à Cotolendi, contient le passage suivant : « Si les comédiens italiens n’eussent j
ns une salle construite sur l’emplacement où se trouve aujourd’hui le passage du Pont-Neuf ; ils y jouèrent alternativement jus
12 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [47, p. 80] »
êtes du feu roi Louis XIV, parmi ceux qui accompagnaient ce prince au passage du Rhin : Vivonne, Nantouillet, et Coislin et Sal
13 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
février et non au mois de novembre. 130. Dans l’édition de 1855, un passage a été ajouté : « La farce du Médecin malgré lui,
La première représentation a eu lieu le 13 janvier 1668. 132. Autre passage ajouté dans l’édition de 1855 : « Pourceaugnac es
14 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
e collection, M. Paul Lacroix, tout en reconnaissant que « nombre de passages obscurs du Panégyrique de l’École des Femmes donn
ait impudemment copié le Mercure, en se bornant à transposer certains passages . Ce minutieux travail de comparaison nous a per
e Poisson pour le portrait, l’aurait aussi bien citée pour les autres passages de ses Mémoires, qui ont été presque entièrement
aits dans leur ordre chronologique. Les frères Parfaict, copiant un passage des Mémoires de La Serre, publiés en tête de la b
là à lui attribuer les deux lettres de 1740, dont l’une reproduit ce passage , il y a loin — comme on voit. D’ailleurs, les fr
s Mœurs de ce siècle. La citation n’est pas exacte. Voici le texte du passage (des Ouvrages de l’esprit) : « Il n’a manqué à Mo
15
portrait des Hommes illustres de Perrault, et décrit dès 1673 dans ce passage du Mercure galant : Ces Armes parlantes, dit l’O
ût pu dire, pour adoucir la chose, qu’elle eût été sérieuse. » De ce passage rapprochez les vers suivants du Misanthrope (acte
lliot, 1633, in-8º ; et chez A. de Sommaville, 1646, in-4º . Voici ce passage remarquable, dont nous empruntons le texte à l’éd
« estuves » contre 1538 livres de rentes et 5600 livres comptant, le passage suivant, que nous reproduisons également pour la
mpagne ; quant au vieux singe campé au pied de l’arbre, dont parle le passage de la même fable reproduit précédemment, il ne s’
Orléans dont faisaient partie Mignot et Dubois. On peut constater son passage à deux reprises différentes : une première fois,
vint pour aller faire le service des États en 1657. C’est à ce second passage à Albi qu’il faut rapporter les documents que j’a
les était située, non pas du côté de la rue Saint-Honoré, mais sur le passage de la rue de Rambuteau. C’est à cette seconde mai
du puits y a trois estages de galleries l’un sur l’autre, servant de passage pour aller audit puits servant tant audit corps d
ges de gallerie l’un sur l’autre en forme d’équerre, servant aussi de passage pour aller et revenir d’un corps de logis en l’au
cet avis d’un meilleur médecin quoique moins bon poète que lui ». Ce passage fort intéressant n’a pas encore été signalé ; le
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
ts par hasard. Ce n’est point par hasard que Mercure se trouve sur le passage de Sosie, & qu’il l’empêche d’entrer chez Alc
ur de Dom Félix, puisque la belle a soin de se trouver exprès sur son passage  : ce n’est point par hasard que Laura est jalouse
17 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
le cardinal de Retz. Ils font ensuite preuve d’érudition en citant le passage des Mémoires, sans s’embarrasser du peu de rappor
es Turlupins, les Jodelets6, etc. Lisez-vous, dans les Précieuses, le passage où Mascarille, après s’être vanté de son talent p
ste d’erreurs et d’oublis. Lorsqu’on lit, dans l’Ecole des femmes, ce passage où Arnolphe témoigne avec humeur sa répugnance po
dée, féconde en aperçus neufs et piquants, nous a été inspirée par le passage suivant de La Grange, ancien camarade de Molière 
particuliers amis ont remarqué bien des fois12. » Le souvenir de ce passage doit toujours être présent à la mémoire du commen
jours être présent à la mémoire du commentateur. Il en est de même du passage suivant, qui montre l’adresse avec laquelle Moliè
heur. J’ai déjà cité un trait de leur bienfaisante courtoisie dans un passage de la Vie de Molière tiré des Mémoires de d’Assou
vers, datée du 27 du même mois de septembre. Nous rapportons tout le passage , d’autant qu’il sert à la suite de cet article.
tte actrice y est caractérisée au mieux. Nous ne rapportons aucun des passages de ces prologues : il suffit de les indiquer au l
oup : on en voit la preuve dans son Impromptu de Versailles. Voici le passage  : MOLIÈRE, parlant à mademoiselle du Parc. Pour
re, avait longtemps joué la comédie, eut quelque part à ce choix. (Ce passage est extrait d’une Vie de Molière, peu connue, écr
ans de plus longs détails sur Molière et sur sa troupe ; cependant ce passage est d’autant plus précieux, qu’il renferme les se
e Beaubourg, qui avait remplacé Baron, et dont le jeu était outré. Ce passage est une nouvelle preuve que Grimarest a travaillé
ommait Laforest. Boileau lui a donné une espèce d’immortalité dans le passage suivant : « On dit que Malherbe consultait sur se
ction. » (Vie de Scaramouche, par Mezzetin, page 188.) Voici un autre passage tiré du Ménagiana. « Scaramouche, y est-il dit, é
s Femmes savantes, du Tartuffe, de l’Avare, du Misanthrope, etc. » Ce passage est précieux, mais que de regrets il fait naître,
fable bâtie sur la destinée du Misanthrope à sa naissance. (A.) — Un passage des Mémoires de Dangeau appuie les observations p
PARIS. Et au-dessous, MONSEIGNEUR MORANGE, avec paraphe. » *Ce passage confirme les observations de M. Beffara sur l’act
18 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
t au-delà, a le goût défectueux. » C’est du La Bruyère, aux meilleurs passages . Il a donné des règles excellentes de l’art d’écr
talent qu’on y déploie ; il prend son plaisir aux saines paroles, aux passages éloquents, aux gaietés, aux colères, à l’accent d
faut aimer les transitions tirées par les cheveux, et le plus simple passage nous suffit pour indiquer, à nos lecteurs, que no
branche de laurier sauvage ! » C’est merveilleux à entendre tout ce passage , et l’on se demande ce que veut dire ce mot : Pro
sque, de cette plaisanterie normande-saxonne, pour témoigner à chaque passage , à chaque mot, de son origine étrangère. Croyez-m
tte jeune cour. Le ballet qui se danse en ce moment est intitulé : Le Passage du Rhin. J’avoue que pour ma part ce ballet m’a f
mêmes de Bossuet, parmi les lettres de ce père de l’Église, plusieurs passages qui lui eussent montré les combats, les obstacles
Carmélites, une longue plaisanterie industrielle, dont voici quelques passages  : « À dire vrai, Messieurs, il y a eu de singuli
cette lugubre méditation. Savez-vous, dans notre langue, un plus beau passage que la plainte de ce vieillard déshonoré par son
nullum verbum insolens aut odiosum ponere solebat. » Ceci est un beau passage de Cicéron, et ce que dit l’orateur romain des or
19 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
enterie. Avant de finir cet article, nous croyons y devoir placer un passage tiré d’un in-4 de la bibliothèque de Saint-Victor
s ne l’avons employé que pour prévenir des personnes qui, trouvant ce passage dans le volume que nous venons de citer, pourraie
impudiques. » Les auteurs du Journal littéraire 1, en rapportant ce passage du discours du père Porée, ajoutent très judicieu
n ne trouvera pas beaucoup de partisans. Quoi qu’il en soit, voici le passage  : « [*]À l’égard de l’Amphitryon de Molière, qui
omédie du Tartuffe, il ne sera pas hors de place d’y joindre quelques passages de la préface que Molière mit au-devant de cette
qu’en général du début de la troupe sur les fossés de Nesle. Voici le passage , c’est Élomire le comédien, qui parle :       Ay
de Molière que lorsqu’il joua en Languedoc avec sa troupe en 1653. Ce passage nous apprend en même temps les noms de quelques a
ère représentation de l’Amphitryon au 13 juin 1668. Cependant, par le passage d’une lettre de Robinet, que nous rapportons ici,
us les connaisseurs en jugeaient favorablement. Je rapporterai ici un passage du Menagiana *, pour justifier ce que j’avance.
sé à ce ballet, ainsi que l’assure l’auteur, de qui nous employons le passage ci-dessus.) [*]. [Note marginale] Vie de Molièr
20 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
nous donne ici la lanterne magique avec des fantoches qu’il a pris au passage  ; si l’on découvre, à cette occasion, que le gran
utes proches, est plus concret et plus pittoresque, en deux, ou trois passages , qu’il n’est d’habitude, — sans compter qu’il a t
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
s ne l’avons employé que pour prévenir des personnes qui, trouvant ce passage dans le volume que nous venons de citer, pourroie
22 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
tent de supposer un cortège d’amis aussi nombreux que l’on voudra. Un passage du registre de La Grange donne à croire que le ma
au monde et goûter le plaisir de m’ouïr dire des douceurs. » Ces deux passages rappellent ce que nous apprend Grimarest du ménag
t qu’à me faire connaître ma faiblesse sans on pouvoir triompher ? Le passage est éloquent et une grande émotion s’en dégage ;
marest veut servir. Mais, en fait, il ne serait pas impossible que ce passage traduisit l’opinion moyenne des contemporains de
dont il couvrait Armande. Il est impossible de transcrire au long le passage qui la concerne ; quelques lignes feront juger du
23 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
la comédie de M. Molière. Il s’agissait surtout « d’adoucir certains passages qui avoient blessé les scrupuleux. » A vrai dire,
iennent plus, mais laissent sur le tissu du drame l’empreinte de leur passage . N’est-il pas, par exemple, bien remarquable que
24 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
’apercevoir le germe de l’idée morale développée par Molière, dans un passage de l’Aululaire de Plaute. Mégadore prie Euclion d
les yeux l’Aululaire, en composait son Avare, a pu être frappé de ce passage sur le danger des alliances inégales, et concevoi
ingénieuse et même plausible ; mais je dirai encore, Qu’est-ce qu’un passage de quelques vers, comparé à toute une comédie ? e
s, en ce qui regarde Pourceaugnac, cette identité est un fait dont un passage de l’Asinaire, de Plaute, m’a fourni la démonstra
25 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55
t ? » Il n’aimait pas non plus Sénèque. Costar lui en avait cité un passage en style fleuri. Il répond à Costar : « Je veux
26 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
parce qu’il n’a pas besoin de sortir du ton ni du genre national. Ce passage immédiat du chant à la parole, que Rousseau blâme
l’ensemble musical, ce n’est sûrement pas là un perfectionnement. Le passage brusque du chant à la parole, qui se renouvelle s
sion si pénible a remplacé la riche simplicité de l’original, que les passages mêmes qui sont traduits mot à mot, perdent en que
néral, les acteurs français considèrent un rôle comme une mosaïque de passages brillants qu’ils cherchent à faire valoir indépen
27 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
se en riant ce qu’elle adorait avec rage ; elle siffle, elle hurle au passage de cette beauté que tout à l’heure encore elle in
la recherche et des efforts du langage, vont demander à quoi bon ces passages qui ne sont que des longueurs ; pourquoi, par exe
n moi qui ai fait cela ? » et il pleurait, comme un enfant, aux beaux passages du Père de famille. « Oui, disait-il, parlant de
it changée en admiration, en louange, en adoration unanimes ! Ôtez ce passage hardi de monsieur Diderot, effacez quelques vifs
sur la trace d’une imitation qui n’a pas été remarquée. Vous savez ce passage du Mariage de Figaro, où il est dit que — Goddem 
ne. Cette petite voix douce et tendre suffit à réciter ces admirables passages d’un amour sincère et vrai, comme on n’en met guè
ère, le sourire est fin et railleur ; on dirait, au ton soutenu de ce passage , du vers même de Quinault, on dirait des vers de
ait que mettre au jour une traduction sèche et indigente de charmants passages déjà copiés mille fois par les maîtres ; et le vo
ue de vue ? « Fais-la-moi rencontrer, ô mon cher Parménon ! » Tout ce passage est d’une grâce infinie ; Molière n’a pas mieux f
bleau ! » Eh bien ! qui le croirait ? La Fontaine n’a pas traduit ce passage d’une énergie, digne des satyres de Régnier, nous
e, des pensées de Molière ! Il arrive ceci, en effet, à vos meilleurs passages  : vous avez beau faire, vous ne traduirez pas Tér
malheureux traducteur : il se trouve en effet que depuis longtemps ce passage de l’œuvre que vous ravaudez, avec tant de peine
subtilités, ces minuties, ces allusions aux hommes et aux choses, ces passages difficiles, et autres tours de force auxquels nou
e et de l’Injuste — C’est là un mouvement tout poétique, un très beau passage bien traduit par M. Hippolyte Lucas. Seulement il
nnez qu’ils aient tout renversé, tout brisé, tout bouleversé sur leur passage , ces mendiants de génie, et vous leur en voulez d
audevilles, étaient relevées, de temps à autre, par quelque bon petit passage bien écrit et bien pensé, si nous trouvions çà et
que historien ? Le mépris de La Bruyère pour Baron perce en plusieurs passages de cette vaste et vivante comédie : Les Caractère
omédie : Les Caractères de ce siècle. Vous rappelez-vous ce terrible passage sur Roscius ? « Roscius est occupé, dit La Bruyèr
28 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIV » pp. 251-258
er qu’à des culs. » À la représentation suivante, il changea ainsi ce passage  : « On voit bien que vous n’avez pas coutume de p
29 (1884) Tartuffe pp. 2-78
ai remarquer que la Relation des fêtes qui, à ce qu’on croit, dans le passage relatif à Tartuffe, fut inspirée, peut-être rédig
ur donner sa recette entière aux hospices des villes où elle était de passage . Madeleine Béjart fondait des messes par testamen
ré, plus vous me ferez rire, et si vous ne me faites pas rire dans ce passage , je dis que vous désobligerez Molière. Car ce que
a toute une gamme, depuis le hé hé de bonne compagnie qui salue au passage les fines railleries du Sicilien, jusqu’au hou h
30 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
tu des mains en riant. Vous vous rappelez, dans Le Dépit amoureux, le passage où Gros-René montre à Clarinette le morceau de fr
on emploi. Mais laissez-moi tranquille. Savez-vous bien qu’il y a tel passage des sermonnaires contre les mauvais riches, que n
plient à l’allure de la conversation. Prenez, ajoutait-il, prenez le passage qui au premier abord semble le plus enchevêtré et
tion de l’alexandrin ! J’ai pris là, pour l’analyser, un des moindres passages de Molière, un de ceux qui prêtent le plus à la c
pour éclaircir les choses. Tous trouverez dans Les Femmes savantes un passage qui est le désespoir des comédiens : Chrysale, qu
ise ses tabernes » les lettrés seuls sentent encore le plaisant de ce passage , car ils sont tout pleins de souvenirs de Ronsard
e et dans son débit tous les incidents de la chasse. À ce merveilleux passage  : Mon cerf débûche et passe une assez longue pla
uement de la prose. Voici comment M. Anatole de Montaiglon imprime le passage  : Don Pèdre. Je viens demander l’appui     De l
errer. 6 juillet 1896. IV. Orgon Tout le monde se rappelle ce passage où Orgon parle de Tartuffe à son frère : Mon frè
ons goûte une paix profonde, etc. La première fois que j’entendis le passage ainsi interprété, je fus bien surpris, et crus qu
sais bien pourquoi les comédiens tiennent à cette façon de rendre le passage  : c’est qu’elle prête à un effet. L’acteur dit le
par son dragon de femme. Il n’a aucun effort à faire pour rendre les passages où Molière marque cet effacement du bonhomme Chry
découvrir un trait inaperçu jusque-là, une façon d’être nouvelle ; le passage s’est enrichi de leurs découvertes. C’est ce qui
on cabinet, où il se barbouille de grec et de latin, où il annote les passages pillés par Cotin, et, quand il sort de sa retrait
e servir des expressions de l’abbé d’Olivet, « avait traduit certains passages de Lucrèce en vers assez beaux pour faire honneur
lière, je le répète, n’aurait pas commis cette faute de goût. Le seul passage analogue qu’on puisse citer est celui de L’Avare
cassette de Molière ! Et les vers ! Que de vieux amis qu’on salue au passage , sans être un grand clerc ! Ceci de L’Avare :    
c’est celui qu’indiquait Théophile Gantier d’une main légère dans le passage que j’ai cité tout à l’heure. Marivaux a, dans la
médiocres arrivent aux plus hauts emplois. Permettez-moi de citer ce passage qui est étincelant d’esprit : « Que trouve un je
la correspondance de Grimm et de Diderot dont je viens de détacher ce passage , et je tombai sur l’article de Grimm consacré au
r les petits hommes qui ont peur des petits écrits, n’a été saluée au passage que par les traditionnels bravos d’une maigre cla
r d’imagination qui lui donne tant de piquant ; on attend Figaro à ce passage , comme un cantatrice à une morceau de bravoure, d
onne. Les comédiens priaient un jour Piron de changer je ne sais quel passage qui leur déplaisait, et comme il s’en défendait,
de se dérober. Mais son père a été plus matinal que lui, l’arrête au passage , et lui demande pourquoi il sort de si bonne heur
prouvé par la censure, n’avait pu se tenir d’ajouter quelques-uns des passages dont la suppression lui avait été le plus sensibl
qu’il était, aura plus de ressort, et le personnage plus de jeu ; les passages de la fermeté à la tendresse seront marqués avec
31 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127
peindre sur le vif un caractère particulier, de saisir l’actualité au passage , d’exercer enfin l’esprit observateur et satiriqu
32 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VIII » pp. 70-76
enir lieu, Cicéron emploie cette locution : quod decet . De nombreux passages des odes d’Horace attestent la liberté, pourquoi
33 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
urs autres Pieces du Théatre Italien. Je rapporterai dans la fuite le passage entier. « Le crédit que Moliere avoit auprès du
34 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
talon, qui a justement besoin de faire réparer une serrure, arrête au passage Cintio qui est fort embarrassé, d’autant que Mezz
35 (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15
A peine trois ou quatre fois le mot est-il prononcé1, et dans le seul passage où Molière met deux avocats en scène, c’est pour
36 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
prend les licences pour être avocat ? Non, il n’y a pas trace de son passage , dans les archives que nous avons scrupuleusement
as être perdues ; elle portèrent coup. La même censure qui barrait le passage à Tartuffe s’acharna en détail sur Don Juan, et l
cune reçoive à son tour son coup et son injure, il arrête celle-ci au passage , et il la cloue aussitôt, sur sa vilaine petite p
i pouvaient choquer ; mais il n’en était pas ainsi : c’était de longs passages qu’il fallait faire disparaître. Le libraire avai
rendre : 1° sacrifier toutes les feuilles du volume, postérieures aux passages supprimés ; 2° remplacer les passages, par d’autr
les du volume, postérieures aux passages supprimés ; 2° remplacer les passages , par d’autres insignifiants et qu’il eût fait com
e l’expression, s’étaient-ils principalement gardés de reproduire les passages incriminés par lui et mis, pour ainsi dire, à l’i
l’exemplaire, sans les cartons que possédait M. de Soleinne. Pour ce passage , ils avaient infligé à l’œuvre de Molière cette c
ent ne conjura pas les coups de l’autre. Or, comme vous l’avez vu, ce passage était aussi l’un de ceux qui avaient été marqués,
in ; et, d’un autre côté, comment supposer, avec quelques-uns, que ce passage est de son invention, puisque, existant dans l’éd
mant des Réaux, dont aucun des commentateurs de Molière n’a relevé ce passage , qu’interroge, à l’article de la mort, par un con
III. Je vous ai dit qu’à chaque pas je trouve des prêtres sur son passage , et presque toujours le recherchant, le choyant,
tin, donnée par Chorier dans sa Vie de Boissat 68. Jusqu’ici même, le passage qu’il lui consacre, et dans lequel se trouve ench
oins, que pour le Festin de Pierre on n’eût point à s’y méprendre. Un passage qu’il prit presque textuellement dans la septième
ait à courir les ruelles, soyez sur que les comédiens l’arrêtaient au passage , et qu’ils l’enchâssaient au plus vite dans le ca
er champion du bon goût », ait échappé aux historiens de Voltaire. Le passage est précieux, comme on va voir, et pour la biogra
l’heure, Harpagon se moquer des gens de fausse noblesse, comme en ce passage  : « Le seigneur Anselme est un parti considérable
l’avaient tenu à distance de leur maison, et, s’il faut en croire un passage de la Notice de Bret, que nous avons tâché d’écla
mène une double intrigue avec la mère et la fille, et voici quelques passages d’un discours qu’il tient à cette dernière, pour
d’un discours qu’il tient à cette dernière, pour l’amener à ses fins, passage que j’ai voulu relire, les œuvres de Molière à la
notre savant correspondant, nous lui signalerons l’origine d’un autre passage du Tartuffe, qui jusqu’à présent est restée, je c
s de Molière, chez les Français et lçs latins anciens et modernes. Le passage dont je veux parler est celui-ci de la première s
’avouer vaincu. Citons, pour qu’il n’y ait plus le moindre doute, le passage de la fameuse Lettre sur la comédie de L’Imposteu
avez-vous confié à M. Auger le soin d’éclaircir, avec ses notes, des passages clairs comme le jour, et de commenter ce qui n’a
 entre Boileau et Brossette, etc., p. 478. 43. Voir, pour preuve, un passage de la Gazette de Robinet, 30 novembre 1669. 44.
scal avait fait justice » ; mais ils n’avaient pas rapproché les deux passages presque identiques. 116. Art. Molière, dans 1e P
qui renvoie à Molière ses accusations diaboliques, et d’après certain passage de la Muse Dauphine, à propos du Misanthrope, p.
37 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
ccuser d’irréligion, si bien qu’il fut obligé de supprimer ce curieux passage du Festin de Pierre : SGANARELLE Voilà un homme
n’est donc qu’une restitution, et c’est ainsi qu’on doit imprimer ce passage à l’avenir.   Aimé Martin, Œuvres de Molière.
38 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
ux habitudes de sa profession, il a voulu produire de l’effet dans un passage sans importance, produire de l’effet à tout prix,
is longtemps et depuis longtemps comprises, qu’elles n’offrent pas un passage d’une signification douteuse, et qu’il y a téméri
39 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
on de Hesnaut que l’invocation à Vénus, et de celle de Poquelin qu’un passage du quatrième livre sur l’aveuglement de l’amour,
quelin qu’un passage du quatrième livre sur l’aveuglement de l’amour, passage qu’il a adroitement introduit dans Le Misanthrope
ve que Molière a été avocat. » Il n’y a probablement de faux dans ce passage que la « double cascade », singulière aux yeux mê
faire qu’une seule chose du ballet et de la comédie ». On voit par ce passage que Molière est l’inventeur de la comédie-ballet,
n plus de raisons de croire que Molière ne l’avait pas oublié dans ce passage de son Impromptu. — Puis après avoir bien eu le s
e. Nous serions même porté à croire qu’il a pu sourire aux deux seuls passages un peu plaisants que renferme cette comédie : l’u
age de notre langue, en avait parlé plusieurs fois de la sorte. » Ce passage , ignoré de tous ceux qui se sont occupés de la vi
t l’ordre de faire disparaître, au moyen de cartons, non seulement le passage incriminé, mais plusieurs autres encore dont on é
obtenir de lui qu’il refit le dernier de ces vers de l’épître sur le passage du Rhin : Il apprend qu’un héros conduit par la
Pour donner une idée de ces critiques, nous rapporterons ici quelques passages d’un libelle publié en 1665, ayant pour titre : O
a plus cruelle injure pour les plus fieffés hypocrites ; que quelques passages , qui avaient eu plus particulièrement l’honneur d
appelée L’Imposteur, son principal personnage « Panulphe », tous les passages suspects furent supprimés, et l’hypocrite fut vêt
idélité, tant pour l’enchaînement des scènes que pour la citation des passages les plus remarquables et des vers les plus sailla
pris naissance chez les brachmanes. Voltaire donne la traduction d’un passage d’un livre des Indiens, écrit dans un langage que
lle pour M. de Lauzun, par l’amour d’Ériphile pour Sostrate. Voici le passage des Réflexions de Petitot sur cette pièce : « Un
sura bientôt et rogna lui-même, car on n’en trouve que quelques rares passages à la suite du petit nombre d’exemplaires qui subs
son égard lui semblait probablement la plus cruelle injure. Voici le passage où l’attaque leur est commune : Despréaux, sans
ouble attribut. Enfin, de quelque manière qu’on doive interpréter ce passage , on voit que Boileau, pour un jeu de scène, qui p
Nous devons dire que cette tradition, si ancienne et si constante, du passage de Molière et de sa troupe à Bordeaux au commence
ntateur de Molière et un biographe de P. Corneille ayant reproduit un passage d’une de ces lettres, relatif à La Clairière et à
à la date du 22 juin 1663, une lettre de lui à Colbert, renfermant le passage suivant : « … J’aurai dans peu de jours une ode f
40 (1910) Rousseau contre Molière
ritique proprement dite et nous pourrions ne nous point occuper de ce passage de Rousseau. Cependant ce portrait du vrai Philin
ommes réels. Nous ne nous entendrons jamais. — Il y a apparence. » Un passage de Rousseau est très significatif à cet égard, un
 » Un passage de Rousseau est très significatif à cet égard, un court passage où le Rousseau pessimiste en tant qu’homme et le
du reste ce qu’il a dit presque formellement, se souvenant du célèbre passage de Pascal sur les dangers du théâtre de Corneille
sa passion et ne joue le personnage de raisonneur qu’en un très court passage (« Je consens qu’une femme… » et presque dans un
et qui, pour cela, est raillée, un peu lourdement, par Molière (même passage , Critique de l’Ecole des femmes) — et la comédie
plus mauvais dans la vérité qu’on lui montre. Cela est si vrai qu’au passage même où il proclame l’amour du beau moral comme é
ntiment aussi naturel au cœur humain que l’amour de soi-même… », à ce passage même, il ajoute une note qui est celle-ci : « C’e
vais. Enfin il a fait allusion à Marivaux, très probablement, dans le passage suivant : « Dans cette décadence du théâtre, on s
s idées, enchaînement que Rousseau n’a pas marqué, ce qui fait que le passage reste obscur et que je me trompe peut-être en l’e
aussi exercer et développer infiniment sa coquetterie. Voici tout le passage de Jean-Jacques Rousseau sur la coquetterie, pass
e. Voici tout le passage de Jean-Jacques Rousseau sur la coquetterie, passage qui semble d’abord un pur hors-d’œuvre, qui, aprè
ie, il la distingue de la bonne qui est celle qu’il a décrite dans le passage que nous venons de transcrire : « Les couvents so
nges conseils Molière nous aurait donnés et qu’ils justifieraient les passages les plus violents des Maximes sur la Comédie. » I
ssages les plus violents des Maximes sur la Comédie. » Il fait, en ce passage , allusion au magnifique éloge du cocuage que pron
41 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
n voit de même un souvenir de la traduction du jeune Poquelin dans le passage du quatrième livre sur l’aveuglement de l’amour,
de-Nesle, en face de la rue de Guénégaud (où se trouve aujourd’hui le passage du Pont-Neuf). Or l’origine de cette troupe de Mo
Guyenne, au deuxième duc d’Épernon. Et dans cette dédicace il y a un passage ainsi conçu : « Cette protection et ce secours, m
hat, dont l’achevé d’imprimer est du 12 octobre 1646 ? À bien lire le passage de Magnon, c’est ce dernier cas qui parait probab
ompulsée avec soin par M. Arnaud Detcheverry, ne contient pas un seul passage pouvant se rapporter à eux ; que, de plus, Bordea
actrice qui peut bien être la Béjart, le titre porté par la troupe en passage à Albi, l’association indubitable de ces acteurs
s de l’Ouest, mais nous cessons d’avoir la preuve authentique de leur  passage . Une tradition fait mention de l’accueil tout à f
aires, étaient transportées aux frais des villes qui étaient sur leur  passage . Nous avons vu précédemment dans la lettre du com
ependant Molière ne borne pas là ses expériences : il entame un autre passage de la prétendue lettre. La guérison presque mirac
çu ordre exprès de l’assemblée de le composer. » Si l’on en croit un passage des Aventures de Dassoucy (Paris, 1679, in-12), l
Thomas Corneille à l’abbé de Pure, datée du 19 mai 1658, contient le passage suivant, ainsi imprimé dans les premières édition
s. Ainsi honteusement chassé de cette salle, il vint se placer sur le passage du roi dans la grande salle des gardes et, s’incl
relative à cette bonne Laforest, à qui il aurait lu parfois quelques passages de ses pièces, « sûr, disait-il, que ce qui produ
e qu’on ait une fiction sous les yeux. On a voulu voir dans plus d’un passage de cette comédie une confidence personnelle, la c
xtraits en prose. On peut signaler toutefois plus particulièrement ce passage où Boursault prend la défense de la religion, et
ait ; la critique rigoureuse serait tentée de le contester. Mais d’un passage de la Zélinde il ressort qu’il y a bien quelque c
anégyrique du roi Louis XIV est poussé jusqu’à l’idolâtrie, il y a un passage  contre Molière d’une violence extrême : « Un homm
orneille ; il fait allusion à cette manière d’être habituelle dans ce passage de la Critique de L’École des Femmes : « Vous con
avait changé le nom de Tartuffe en celui de Panulphe, adouci quelques passages . Il espérait peut-être, à l’aide de ces légers dé
désespère, Votre plus haut savoir n’est que pure chimère. Le curieux passage de la scène III du troisième acte, où Béralde, pa
ieuse campagne de Hollande, qui avait vu s’accomplir sous ses yeux ce passage du Rhin célébré par Boileau, avait-il l’esprit to
etit livre anonyme : Pèlerinage aux saintes reliques d’Argenteuil, un passage relatif à la fille de Molière. L’auteur du petit
commencement de notre siècle, s’exprimait ainsi : « Boileau, dans ce passage , reproche à Molière d’avoir composé ses tableaux 
er un personnage qui est si contraire à votre humeur. Il y a dans ce passage une raillerie légère : c’est précisément parce qu
ours au public. Chapuzeau nous apprend en quoi il consistait, dans le passage suivant : C’est, dit-il, à l’orateur de faire la
ne) en face de la rue de Guénégaud, sur l’emplacement où se trouve le passage du Pont-Neuf, une vaste salle qui avait servi aux
42 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
esure dans le commentaire, sans transcrire, pour le prouver, de longs passages d’une prose qui n’est point classique, et dont le
43 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
u’a fait Molière, auquel Bourdaloue fait ouvertement allusion dans un passage célèbre« Voilà, chrétiens, ce qui est arrivé lors
tre des mœurs partout où il surprend un effet plaisant, il le note au passage et nous le présente sur la scène sans rien blâmer
anet. 1. Voyez la Revue du 15 septembre 1875. 2. Voici la fin du passage  : « Voilà ce qu’ils ont prétendu, exposant sur le
te de ses leçons ». Nous ne savons pas quel est ce philosophe. 9. Le passage du moine bourru n’est pas dans l’édition publiée
44 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
ère inconsciente, qu’il suffirait à la rigueur de rapprocher certains passages de ses œuvres pour le bien connaître au point de
que la caricature de ces bons bourgeois accueillant des comédiens de passage  ; le même tableau est indiqué d’une touche plus v
es et ne pas bien choisir ses mots. Admettons qu’un ou deux traits du passage qu’on vient de lire soient grossis par maladresse
us haut degré de la bouffonnerie sur le théâtre. Avec quelques autres passages de ses œuvres, elles expliquent le reproche que l
45 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
indifférence des Parisiens, qui ont déjà pourtant une rue Molière, un passage Molière, deux cents établissemens Molière, les co
46 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
ues et imparfaits. Molière a transporté dans Le Misanthrope plusieurs passages de Dom Garcie, et ce simple changement de positio
n a été une véritable métamorphose : de médiocres qu’ils étaient, ces passages sont devenus excellents ; destinés originairement
47 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
uelques éditions de Molière, mais je ne sache pas qu’on ait tiré, des passages se rapportant à Georges Dandin, la preuve que cet
troupe, composée des bergers célébrant Bacchus et l’Amour. » Certains passages de cette relation des fêtes de 1668, ceux que j’a
48 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
en il y doit faire de pas, et toutes ses œillades sont comptées. » Ce passage prouve quelle importance et quel soin Molière met
trait ; on y parlait de son École des femmes, de sa Critique ; et des passages de ces deux pièces étaient malignement commentés 
Molière, à son tour, dans le rôle de César, de La Mort de Pompée. Le passage est trop curieux pour qu’on ne me pardonne pas de
49 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
e Montpellier. M. Aimé Martin a confirmé cette opinion par un curieux passage du philosophe Locke, qui, se trouvant à Montpelli
50 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
ur chef écroué au Châtelet. Je ne mentionne que pour mémoire un court passage de la troupe sur une troisième scène, au jeu de p
e paume loué par les comédiens, qu’on tardait à leur livrer. Quant au passage à Limoges, si c’est une légende, j’aurais peine à
lême. L’induction me semble bien hasardeuse  ! Nous ne dirons rien du passage à Vienne en 1641, car il était bien impossible à
mme.) Et ce ne sont pas là, on peut s’en convaincre aisément, de ces passages artificiellement choisis, dont on aurait peine à
51 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
entiment le plus sacré sort de la juste nature, Molière l’empoigne au passage , et en met à nu le ridicule. C’est ainsi qu’il mo
t sans réplique ; et je ne vois guère de bonnes raisons d’accepter ce passage du livre comme une page d’Évangile alors qu’on re
savoir pour l’avoir appris. Le feuilleton dont je vais vous citer un passage est extrait de l’Impromptu de Versailles. « Son
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
s mots. Il ne seroit pas surprenant que rencontrant quelqu’un sur son passage il lui racontât son désastre ; mais ses plaintes
53 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
t le nom d’hôtel de Longueville. Après avoir perdu son fils au fameux passage du Rhin du 12 juin 1672, elle s’établit à Port-Ro
54 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110
e pensée à une autre… (Traduction de M. Philarète Chasles.) C’est ce passage qui nous a suggéré l’idée du mode de division et
55 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
s une dispute qu’il avait eue avec Ménage. 3. Voici textuellement le passage de la description des Plaisirs de l’Île enchantée
ns l’édition de ses œuvres, donnée en 1682 par La Grange et Vinot, le passage est altéré d’une manière fort remarquable. Dans c
56 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
endant tout le cours du XVe siècle, comprenait la sortie d’Égypte, le passage de la mer rouge, l’histoire de Job, de Tobie, de
en eau pure mon haut créateur. » Vous voyez, Messieurs, même en ces passages choisis, percer cette infirmité de langage, que d
57 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
ne doutera pas que ce ne soit elle-même, quand on aura rapproché les passages que j’en vais extraire, de ceux de la satire IXe
us qu’une imitation, une ressemblance ; c’est une répétition. Tout le passage , depuis cette phrase de Scapin, Non, je suis sûr
1682 ont jugé à propos de retrancher Les Fourberies de Scapin tout ce passage , qui existe pourtant dans l’édition originale de
58 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
sieur Monsieur de Fiori à nº 10 Boulevard des Panoramas vis à vis le passage . Paris 47 C Hôtel Giacinta, 11 Jr [1834
vant-dernière feuille de garde duvolume IV du Molière, à propos de ce passage : Notes faites à une lecture avec Seyssins
ut tomber dans une extrémité. Péchez plutôt encor de cet autre côté. Passage mis pour la police de Parlement et de Mgr l’Arche
un peu l’habitude de cette philosophie de Scapin, et cela d’après ce passage -ci, mais elle ne donnait que du malheur cette phi
4. Répétition de Stendhal, voir p.VI. 25. Voici une variante du même passage tiré du vol. I, de Molière, p. LXXXII : « Hobbes,
1. Elle a été jouée le mercredi 9 et le mardi 22 février 1814 92. Ce passage sur le Comique est déjà donné pages 84-85. Compar
59 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
unestes. Molière avait cependant frayé cette bonne route, et, dans le passage de La Critique de l’Ecole des Femmes que nous avo
ci maintenant, parmi beaucoup d’exemples que nous pourrions citer, un passage de la pièce des Comédiens ; c’est la relation d’u
, Il ne saurait souffrir qu’on blâme ni qu’on loue. Je n’ai cité ces passages que comme arguments propres à corroborer ce que j
faudrait pas, à l’exemple de beaucoup de comédiens, débiter certains passages du rôle avec cet accent tendre et véhément que d’
t à son but, et ce qu’il importe alors de bien faire sentir, c’est ce passage où, tacticien habile, il explique à Elmire, au po
tages que trouvent les femmes à aimer les gens de son espèce. Dans ce passage , l’acteur doit baisser un peu la voix, ralentir s
60 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
btenir l’entrée du palais de bonnes fortunes. » On lit dans un autre passage , que dans le royaume, « il n’est pas défendu aux
, qu’elle oblige à desserrer les dents et les lèvres pour s’ouvrir un passage plus libre et comme pour donner aux paroles plus
61 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
e à convaincre Arnolphe qu’il fait fausse route, celui-ci, imitant un passage de Rabelais, répond à Chrysalde à peu près ce que
rçue aux yeux de certaines personnes. Nous en avons la preuve dans le passage suivant extrait d’un article écrit sur la Morale
sant que, pour être aimé, il faut se faire aimer. Après avoir cité le passage où Arnolphe essaye trop tard de conquérir l’affec
s ainsi qu’aux connaissances qu’elles procurent. Il y revient dans le passage suivant : « Il faut avouer (dit Sganarelle à Don
ant aux témoins de cette scène, il leur dit : « M’a-t-il frappé ?» Ce passage de l’Amphitryon appartient à Molière. Plaute ne l
62 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
t pas découvert une honte, et si votre instinct vous a guidé dans les passages difficiles, de façon à vous faire éviter les trap
nd homme parle bien des choses et des personnes ! Ceci me rappelle ce passage de la troisième lettre, à une demoiselle de Metz,
ient-il à la langue qui n’aime pas elle-même, de parler d’amour ? Son passage sur les comédiennes n’est pas moins remarquable q
irable le but, les moyens, les passions de la comédie. Il y a même un passage où il indique clairement Shakespeare en parlant d
ment. — « Qu’on est bien ainsi ! se disait Molière. » Il y a un autre passage où on lui crie : — Crève ! crève ! Cela ne sera p
n le pense. Mademoiselle Mars l’avait très bien compris, ce périlleux passage du génie à l’esprit, des mœurs sévères aux mœurs
63 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
ne l’a t’on employé que pour prévenir des personnes, qui trouvant ce passage dans le volume que l’on vient de citer, pourroien
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
Ecolier veut entrer chez sa fille, trouve un homme qui s’oppose à son passage . Acte III. Scene IV. DON FÉLIX, DON PEDRE. D
65 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
Petit-Niort, à l’abbé Gobelin, une lettre dans laquelle se trouve un passage remarquable : « J’ai dîné aujourd’hui à Pons, et
66 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
laquelle ne témoignent pas seulement des écrits oubliés, ni quelques passages des premières poésies de Boileau (alors ami et co
d. de dom Beauchet-Filleau, p- 168. 189, 203, 211. 26. On connaît le passage de Bossuet dans les Maximes et Réflexions sur la
67 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
a moins d’un siècle et demi que Molière est mort, et déjà de nombreux passages de ses comédies fatiguent vainement la sagacité d
ans le domaine de la Comédie, sans trouver au moins des traces de son passage , les ont suivies, ceux-ci avec une fidélité qui n
ièce duMisanthrope ainsi que dans le Tartuffe, il n’y ait beaucoup de passages où l’aisance et la pureté du style se joignent à
ois déesses à ses volontés. »Ce qu’il y a de plus remarquable dans ce passage , c’est le titre de grand homme donné à Molière pa
rut dans la même ville en 1706, âgée de quatre-vingt-dix ans. 85. Ce passage est tiré d’un ouvrage de l’abbé de Châteauneuf, i
partie, p. 224 et suivantes. 102. Remarques critiques sur quelques passages de Longin, Réflexion première. 103. Brossette.
68 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
lieu, vis-à-vis la fontaine6. Son rez-de-chaussée occidental forme le passage Hulot et conduit à la rue Montpensier, dans laque
castors imperméables ; au-dessous de celle de ses fenêtres qui livra passage à la dernière bouffée d’air que Molière respira,
s vers signifient que la pièce était de Molière. Mais j’enregistre ce passage d’une particularité évidemment assez curieuse20.
place vous passeriez encore de plus mauvais quarts d’heure 29 . » Le passage que j’ai souligné donnerait raison à George Sand,
e pseudonyme de Mascarille. Molière le força même à supprimer certain passage de La Mort de Lusse-tu-cru qu’il montrait lapidé
cement pour employés des deux sexes. Cette maison, qui s’ouvre sur le passage Hulot, est habitée par un marchand de vins, M. Gi
69 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
u de ce marécage. L’auteur ménage bien plus Molière que sa femme : un passage outrageant pour ses mœurs ne figure pas dans l’éd
er la forme du récit. Bayle ne s’y est pas trompé : il a accordé à ce passage toute la valeur d’un document historique. C’est b
ameuse Comédienne, en est une première preuve, que vient confirmer un passage du Journal des voyages de Monconys. L’abbé de Ric
votion sans qualificatif s’entendait exclusivement (cela résulte d’un passage de La Bruyère) de la fausse dévotion et était jus
70 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
ù ils allèrent à Avignon, à Pézénas, à Narbonne ; et partout sur leur passage ils laissèrent des souvenirs charmants de leur am
es chemins et les campagnes d’alors, faisant remarque de tout sur son passage , et apprenant jusqu’aux patois des pays qu’il tra
sait de temps en temps quelques vers, pour ses autres pièces ; et des passages entiers s’en retrouvent dans le Misanthrope, dans
comique que ne l’avait été ce procès ? qu’on en juge; voici un petit passage du discours des avocats de la danse : « Que, s’i
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
tint le chariot, & de sa main frappa les chevaux ; il s’ouvrit un passage entre les montagnes, & sauva la vie à Tchao-t
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
de s’expliquer davantage, son cœur s’ouvrit avec violence, & fit passage à une infinité de sanglots. Un pere à l’extrémité
73 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
n’y réussissoient point. » Boileau, Réflexions critiques sur quelques passages du rhéteur Longin, I. 33. A. de Musset, Namouna,
74 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
qualité de doyen, l’orateur de la troupe ? Non pas, mais il était de passage  : ses camarades en ont profité pour le prier de f
75 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
x) aucune intention de satire contemporaine, si ce n’est peut-être le passage où un bretteur du nom de La Rapière vient offrir
76 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
énie dans la comédie, il faut savoir écouter ses originaux, saisir au passage leurs paroles toutes chaudes, et les fixer sur le
Acte III, scène XII. 26. Boileau nous le donne à conjecturer par ce passage de sa belle épître à Racine : L’ignorance et l’e
77 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
e qui se trouve chez lui; que, dans le Tartufe, tu as mis a profit un passage de Scarron ; que l’idée principale du sujet de L’
en ont pas d’autre puissent se résoudre à y renoncer. Quand on lit ce passage de Molière , « La belle chose de faire entrer aux
de Visé avait augmenté avec le succès de Molière; car, dans un autre passage de ses Nouvelles, imprimées un an auparavant, il
78 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE X. Du Père, de la Famille, de l’Etat. » pp. 193-216
e heureux de voir ses idées si nettement développées : il y a même un passage traduit :   Ce long amas d’aïeux que vous diffa
79 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
sa richesse ; plus de sensibilité et de douce mélancolie que dans ce passage où respire l’âme de Virgile, avec le souvenir de
80 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
Ville, il fit aussi le portrait de la Cour. À la ville on s’attend au passage , dans une promenade publique, pour se regarder au
appeler toutes les mélodies envolées. Dans la rue on la saluait à son passage  ; au Théâtre (elle assistait volontiers aux premi
81 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
ue de Rabelais n’est pas plus vivante ! » Il aurait pu citer d’autres passages . L’Étourdi, qui est resté au théâtre, soutient tr
mpliment si l’on entend par là qu’il trouvait dans le Pédant joué des passages dignes d’être signés de Molière. Quoi qu’il en so
posent avec art ces attraits, ces douceurs Qui font à leurs leçons un passage en nos cœurs. Les suivants, depuis : « II nous é
i doctement ; revêtue… » sont bien meilleurs. Ils contiennent ce beau passage sur les plans, sur la distribution de l’ombre et
naturel » Qu’entend-il par naturel ? La ressemblance avec la vie. Le passage de l’Impromptu de Versailles sur la déclamation t
un portrait malicieux, elle traduira en raccommodant à sa manière un passage de Lucrèce, et quel passage ? Celui où le poète s
traduira en raccommodant à sa manière un passage de Lucrèce, et quel passage  ? Celui où le poète se moque des passions de l’am
dérouté dès le premier moment les contemporains, les uns prenant les passages tragiques comme des outrances du comique et comme
me change, n’est plus équilibré, n’est plus balancé, se rompt par des passages brusques de l’alexandrin à l’octosyllabe, sans du
82 (1900) Molière pp. -283
s le refus qu’il fit, à ce qu’il paraît, à Madame, de changer certain passage du Misanthrope, où il est question de « ce grand
fet on voit par là tout ce qu’il a souffert, on le voit dans tous les passages où l’intrus, désormais accepté dans l’honorable c
de Chrysale, c’est qu’il les a mises sous une forme ridicule dans ce passage du rôle d’Arnolphe, pour qui certes il ne prétend
’Homère et de Platon. Il m’était venu un doute à l’esprit sur quelque passage d’un auteur grec, et rencontrant par hasard Paul-
ur le cérémonial. Au fait, il fera beau voir Hannibal consulté sur le passage des Alpes. Il te répondra, ce lion de Libye, avec
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
re représentation de l’Amphitrion au 13 Juin 1668 : cependant, par le passage d’une lettre que nous rapporterons, on voit que c
84 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
si Molière ne l’a pas ? » Je n’entrerai point dans la discussion du passage entier ; je n’examinerai point si Boileau, dans c
85 (1871) Molière
innocentes. Il lisait, dans tous les livres anciens et nouveaux, les passages de la comédie, empruntant de toutes mains, sans r
86 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
qu’on ait composé sur cette matière, et dont Regnard cite souvent des passages et atteste l’autorité. Un des articles les plus c
87 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
fendre ses droits ; rien ne lui coûtait. Combien de soufflets sur son passage  ! c’était sa raison suprême, elle n’obéissait qu’
’était faite. Un soir, au sortir du théâtre, Dancourt se jeta sur son passage et, sans autre préambule, il l’enleva, littéralem
t disgracié ». Paul Lacroix. 2. Le bibliophile Jacob dit ici ; « Ce passage , où l’on remarque plusieurs vers frappés au coin
88 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
e occasion, sa véritable pensée, et nous rencontrerons bientôt divers passages qui nous donneront à réfléchir. Un homme n’en peu
89 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
c’est précisément en face de la fontaine projetée, dans la. maison du passage Hulot, rue Richelieu, que Molière a rendu le dern
90 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
ce dans la crainte de Dieu. » Ailleurs il développe sa pensée dans un passage que je rapporterai tout entier parce qu’il prête
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
e se trouver tête pour tête à la rencontre d’un Prince, & sur son passage , se reconnoître à peine, & n’avoir que le loi
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
le puisse la raconter, trouve par hasard le pere de son amant sur son passage , & lui rend naïvement sa propre histoire. Ell
93 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
’Agnès, le jeu des personnages subalternes, tous formés pour elle, le passage promt & naturel de surprise en surprise, sont
94 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
ues pour elle, comme celles de ce sophiste qui niait le mouvement. Passage du sentiment aux idées. Uranie a donc un senti
95 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
stinait cette pièce aux gens de goût, c’est qu’il a imité beaucoup de passages du Phormion de Térence. Il ne se serait pas donné
euses, que Molière a ridiculisées encore dans les Femmes savantes, ce passage dût paraître aussi scandaleux que le fameux le de
96 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
contraire à ce philosophe lui paroît faux : il aura toujours quelque passage d’Aristote à la bouche : il le citera en toutes s
97 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
reuve dans la première scène de son Impromptu de Versailles. Voici le passage  : Molière, parlant à Mademoiselle Duparc. Pour
98 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
e la portée. Ménage nous en fournit la preuve, lorsqu’il dit, dans le passage que nous venons de citer, que dès la première rep
oderne a fait une bonne œuvre. Il se peut que, comme monuments de son passage et de son triomphe, elle ne laisse pas beaucoup d
t, qui s’embusque toujours quelque part pour surprendre le méchant au passage , ne l’attend parfois que dans un autre monde. Si
99 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
, dans ses Réflexions sur la comédie, avait « rencontré » Molière. Ce passage , entre autres, prouve qu’il l’a cherché. Le Père
r dont j’ai déjà parlé, et qui contient tous les autres, s’attaque au passage que je viens de citer. Il prend soin d’abord d’en
fléchir aux temps. C’est fort bien, et je ne proteste pas contre le passage de saint Paul qui se trouve mot à mot dans cette
100 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
plus aimables. 5. Traduction de M. Cousin. — W. Schlegel rappelle ce passage au début de sa leçon sur l’ancienne comédie, la s
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