dont elle réprimanda Montespan, « madame de Montausier étant dans un
passage
derrière la chambre de la reine, où l’on met ordi
ressemblait à un fantôme, qui attendait madame de Montausier dans un
passage
obscur , pour lui faire des reproches sanglants
uc de Saint-Simon, qu’à la suite de l’apparition qui eut lieu dans le
passage
de l’appartement de la reine, madame de Montausie
ps : l’origine de son mal venait d’une peur qu’elle avait eue dans un
passage
derrière la chambre de la reine. » Mademoiselle c
où l’autorité fit disparaître, au moyen de nombreux cartons, tous les
passages
jugés répréhensibles. Vers le même temps, un libr
l’acquisition, et dans lequel ne sont point cartonnés la plupart des
passages
dont on avait exigé la suppression ou l’adoucisse
l’adoucissement, a servi de copie pour la présente édition. Quant aux
passages
moins nombreux et moins importants qui se trouven
n, mais encore qu’on retranchât ou qu’on adoucit un certain nombre de
passages
, dans lesquels Molière n’avait pas craint de fair
onna, la même année, la pièce de Molière même, avec les scènes et les
passages
supprimés ou adoucis ; et ce qu’il y a de vraimen
à la cabale des dévots, il retrancha avec un soin minutieux tous les
passages
que pouvait envenimer la malveillance jalouse de
la religion, il n’est peut-être pas hors de propos de citer quelques
passages
de cette scène ; j’aurai soin de choisir je ne di
me cabale lui adressa une épître de félicitations où l’on remarque ce
passage
: Molière plaît assez, son génie est folâtre ; I
paru utile, sous plus d’un rapport, d’en faire revivre les principaux
passages
. Les gens de lettres y trouveront plus d’une fois
Molière dans son premier placet au roi ? Qu’on rapproche en effet les
passages
qu’on vient de lire des expressions mêmes du poèt
; et il est évident, par la comparaison du texte de ce placet et des
passages
du livre dont il se plaint, et qui était en effet
lité de l’extrait, l’enchaînement exact des scènes, les citations des
passages
les plus remarquables et même des vers les plus h
s de se vanter des avantages du monde. » Molière a donc transporté ce
passage
, et il l’a fait avec beaucoup de raison ; il est
est à coup sûr celui que Molière a fait au dénouement, dans ce fameux
passage
: Nous vivons sous un prince ennemi de la fraude
e expression qui lui paraît impropre, celui-là découvre à la loupe un
passage
qui n’est pas rigoureusement conforme aux règles
plus, ou des expressions tombées en désuétude, qu’il éclaircisse des
passages
qui se rapportent à des anecdotes ou à des événem
qu’il accuse, c’est tout son théâtre qu’il proscrit. Signalons ici ce
passage
qui fait tache dans les œuvres d’un grand homme,
es expressions indécentes, ou peu naturelles et peu claires » 4. Les
passages
exceptés de la règle d’une traduction scrupuleuse
n âme. Le traducteur n’a pas cru pouvoir reproduire textuellement ce
passage
, et voici comment il termine la scène : RENATACC
er aux dépens de personnages populaires. J’ai supprimé entièrement le
passage
suivant, qui présente ce caractère :
ais moi, nescio vos !… Pourquoi donc le traducteur a-t-il modifié ce
passage
? C’est que… sans doute le langage de Marinette e
es Petits-Augustins, — la « large tombe de pierre » dont parle, en ce
passage
, l’excellent historien de Molière, M. Jules Clare
et ne fait pas honneur au créateur de la comédie larmoyante ; mais le
passage
relatif au sonnet du Misanthrope n’en est pas moi
int le prix des places pour la première représentation, usage dont un
passage
de Tallemant des Réaux et un passage de l’abbé d’
re représentation, usage dont un passage de Tallemant des Réaux et un
passage
de l’abbé d’Aubignac paraissent établir dès lors
Molière et Tartuffe dans la préface des Plaideurs, où nous lisons le
passage
suivant : « Mais c’est en juillet 1659 que la tr
moins celles que je trouve dans ma bibliothèque. Rappelons d’abord le
passage
de Molière qui détermine le costume qu’il crut de
bon33. J’ai retrouvé dans La Précieuse, ou le Mystère de la ruelle le
passage
suivant qui, resté inconnu aux moliéristes, donne
mes jetées aux romans de Mlle de Scudéry : elles se trouvent dans des
passages
connus de tous et absolument populaires ; car il
connaître de quelque façon que ce soit. Je vous renvoie au reste du
passage
, que vous connaissez bien et qui est l’un des plu
ant d’aller jouer d’honnêtes gens comme les médecins ! C’est dans ce
passage
que, par un pressentiment douloureux, qu’on a sou
La Fontaine ? Ce qui est certain, c’est qu’il y a, dans ce délicieux
passage
de la Critique, le portrait d’un contemporain. Ai
en bâtiments, Et j’en crois merveilleux les divertissements. Un des
passages
les plus curieux, à cet égard, se trouve dans La
ent en haleine l’attention publique, il faut signaler un très curieux
passage
, emprunté encore à La Comtesse d’Escarbagnas. Ce
ôle que d’entendre de graves Arabes nous réciter, sans le savoir, des
passages
du Bourgeois gentilhomme. J’arrête ici, mon cher
’on m’offre, et ce serait tout à fait injuste. Il est évident que les
passages
relatifs à Mlle Châteauneuf, à Raisin, à Rosimond
té, comme toutes les œuvres de M. B. Fillon, nous reproduirons ici le
passage
relatif à Jean Nicolas, sieur de Tralage : « M.
i jusqu’à Lyon, son quartier central habituel, comme on l’a vu par le
passage
de Chappuzeau, précédemment cité. Au cours de l’é
rrible, que le bateau de Naples à Marseille, que j’avais à prendre au
passage
, s’y fit attendre trois jours durant. Trois jours
vous seul. » Permettez-moi de mettre sous les yeux de vos lecteurs un
passage
d’un auteur contemporain, qui confirme pleinement
cœur est la proie « Plus de la peur que de la joie… » Dans les deux
passages
, le cabinet est bien le meuble où l’on serre les
e, M. Émile Picot reproduit, dans le dernier numéro du Moliériste, un
passage
d’une Lettre en vers de Robinet, bien que le sens
arelle dans les éditions de 1666 et de 1682 de L’Amour médecin, et un
passage
de Zélinde, 1665. 29. T. II, p. 501. 30. Édit.
jusqu’à citer presque textuellement le plus célèbre, à coup sûr, des
passages
de cet incomparable auteur : « Je soutiens qu’il
neste bonheur de plaire à Armande et à Philaminte. Mais dans tous ces
passages
, notre auteur ne dit rien autre chose que ce que
corps et de l’âme. Et ce n’est sans raison, selon nous, que, dans ce
passage
des Femmes savantes, on a cru voir une allusion a
éger, sa pensée à ce sujet me parait être parfaitement rendue dans ce
passage
que Molière appliquait à la mode, et que j’appliq
es critiques aient tort, de ses écrits il but encore effacer tous les
passages
: 1° Où il nie l’existence des idées innées (Cinq
l passe à la biographie d’Hippocrate, discute en passant le sens d’un
passage
de Pindare, cite l’Odyssée, saint Jérôme, saint P
précédée de deux romances espagnoles, et d’une préface dont voici un
passage
qui servira de supplément à l’article de cette pi
m’avait obligé à me taire. » Au-devant d’Horace et de Cinna sont les
passages
latins de Tite-Live et de Sénèque d’où ces sujets
uivantes, et que c’était le 4 juin qu’on avait voulu mettre. Voici le
passage
de Loret : Muse historique du 17 juin 1661.
gnès ; le jeu des personnages subalternes, tous formés pour elle ; le
passage
prompt et naturel de surprise en surprise, sont a
ère, in-12, Paris, Charles de Sercy, privilège du 30 octobre 1663. Un
passage
de la préface qui précède cette critique va donne
sieur Prévot. Loret, dans la lettre dont nous venons de rapporter un
passage
, au sujet de la première journée des plaisirs de
motifs sont naturels et puisés dans le sentiment ; les moyens et les
passages
, ingénieux et simples ; les degrés des passions s
inette de Raisin était découvert lorsque Loret en parla, car après le
passage
que nous venons de rapporter, cet auteur poursuit
car on trouve dans deux lettres de Robinet, de cette même année, deux
passages
où il est parlé de la Troupe du Dauphin jouant en
ns l’Histoire du théâtre français. Terminons cet article par les deux
passages
de Robinet dont nous venons de parler. Lettre du
12, Pépingué, 1665, permission du 10 mai, (signé, d’Aubray). Voici un
passage
de cette brochure qui pourra faire juger du goût
emières représentations produisirent par les traits injurieux dont ce
passage
est rempli. » La brochure de Rochemont ne resta
qui fait voir tout en beau aux amants dans l’objet aimé, imités d’un
passage
du IVe livre de Lucrèce1. Mais Molière a porté au
le de Hobbes, non moins qu’à celle de Gassendi. Cependant, d’après un
passage
de Grimarest, Molière semblerait avoir été Cartés
s toute cette discussion il n’est question que de physique, et que le
passage
de Grimarest se concilie très-bien avec le Gassen
d’Escarbagnas ; mais pour épargner au lecteur la peine de chercher ce
passage
dans la pièce, nous allons le rapporter ici. Aprè
le nom de Tricotin, qu’il changea depuis en celui de Trissotin. » Un
passage
du Menagiana 1 nous apprend jusqu’à quel point Mo
agea ; Richelet1, au mot reprocher, ne l’a [pas] dissimulé. (Voici le
passage
de Richelet.) Reprocher : verb. act. faire des re
gens qui croient qu’il est d’un bel esprit de trouver à redire. » Un
passage
de M. Bayle va nous apprendre l’effet que la comé
Je crois qu’on se trompe (continue M. Bayle, après avoir rapporté le
passage
ci-dessus) quand on dit qu’une querelle de Molièr
ses Fourberies de Scapin, et non le dialogue mot à mot, ainsi que ce
passage
semble le faire entendre. [*]. [Note marginale]
mier, lettre du 19 mars 1672. 1. [Note marginale] Voyez ci-dessus le
passage
de De Visé, Mercure galant, tome I, lettre du 12
’historique de la tragédie de Timocrate, nous en mettons ici quelques
passages
, par forme de supplément à l’article de cette piè
le roi (Louis XIV), et pour en rendre compte, nous allons employer un
passage
de la préface des Œuvres de Molière, édition de P
arquer au lecteur toute la malignité et la calomnie qui règne dans ce
passage
de M. de Visé. Cet auteur était ennemi secret des
r après la comédie du Misanthrope, représentée le 4 juin 1666. b. Le
passage
de la préface de 1682 que nous plaçons ici nous a
une pension de la reine, et sans doute à titre de ses comédiens ; un
passage
d’une lettre en vers de Robinet servira pour appu
olant sa bourse à Anselme : encore paraît-il avoir été suggéré par un
passage
de l’Emilia, où Polidoro — aussi bien qu’Anselme
ues dans l’Inavvertito, mais des serruriers ; ne sont-ce pas les deux
passages
du Parasite qui ont donné à Molière l’idée de cet
s nom, qui parut en 1695 et qui est attribué à Cotolendi, contient le
passage
suivant : « Si les comédiens italiens n’eussent j
ns une salle construite sur l’emplacement où se trouve aujourd’hui le
passage
du Pont-Neuf ; ils y jouèrent alternativement jus
êtes du feu roi Louis XIV, parmi ceux qui accompagnaient ce prince au
passage
du Rhin : Vivonne, Nantouillet, et Coislin et Sal
février et non au mois de novembre. 130. Dans l’édition de 1855, un
passage
a été ajouté : « La farce du Médecin malgré lui,
La première représentation a eu lieu le 13 janvier 1668. 132. Autre
passage
ajouté dans l’édition de 1855 : « Pourceaugnac es
e collection, M. Paul Lacroix, tout en reconnaissant que « nombre de
passages
obscurs du Panégyrique de l’École des Femmes donn
ait impudemment copié le Mercure, en se bornant à transposer certains
passages
. Ce minutieux travail de comparaison nous a per
e Poisson pour le portrait, l’aurait aussi bien citée pour les autres
passages
de ses Mémoires, qui ont été presque entièrement
aits dans leur ordre chronologique. Les frères Parfaict, copiant un
passage
des Mémoires de La Serre, publiés en tête de la b
là à lui attribuer les deux lettres de 1740, dont l’une reproduit ce
passage
, il y a loin — comme on voit. D’ailleurs, les fr
s Mœurs de ce siècle. La citation n’est pas exacte. Voici le texte du
passage
(des Ouvrages de l’esprit) : « Il n’a manqué à Mo
portrait des Hommes illustres de Perrault, et décrit dès 1673 dans ce
passage
du Mercure galant : Ces Armes parlantes, dit l’O
ût pu dire, pour adoucir la chose, qu’elle eût été sérieuse. » De ce
passage
rapprochez les vers suivants du Misanthrope (acte
lliot, 1633, in-8º ; et chez A. de Sommaville, 1646, in-4º . Voici ce
passage
remarquable, dont nous empruntons le texte à l’éd
« estuves » contre 1538 livres de rentes et 5600 livres comptant, le
passage
suivant, que nous reproduisons également pour la
mpagne ; quant au vieux singe campé au pied de l’arbre, dont parle le
passage
de la même fable reproduit précédemment, il ne s’
Orléans dont faisaient partie Mignot et Dubois. On peut constater son
passage
à deux reprises différentes : une première fois,
vint pour aller faire le service des États en 1657. C’est à ce second
passage
à Albi qu’il faut rapporter les documents que j’a
les était située, non pas du côté de la rue Saint-Honoré, mais sur le
passage
de la rue de Rambuteau. C’est à cette seconde mai
du puits y a trois estages de galleries l’un sur l’autre, servant de
passage
pour aller audit puits servant tant audit corps d
ges de gallerie l’un sur l’autre en forme d’équerre, servant aussi de
passage
pour aller et revenir d’un corps de logis en l’au
cet avis d’un meilleur médecin quoique moins bon poète que lui ». Ce
passage
fort intéressant n’a pas encore été signalé ; le
ts par hasard. Ce n’est point par hasard que Mercure se trouve sur le
passage
de Sosie, & qu’il l’empêche d’entrer chez Alc
ur de Dom Félix, puisque la belle a soin de se trouver exprès sur son
passage
: ce n’est point par hasard que Laura est jalouse
le cardinal de Retz. Ils font ensuite preuve d’érudition en citant le
passage
des Mémoires, sans s’embarrasser du peu de rappor
es Turlupins, les Jodelets6, etc. Lisez-vous, dans les Précieuses, le
passage
où Mascarille, après s’être vanté de son talent p
ste d’erreurs et d’oublis. Lorsqu’on lit, dans l’Ecole des femmes, ce
passage
où Arnolphe témoigne avec humeur sa répugnance po
dée, féconde en aperçus neufs et piquants, nous a été inspirée par le
passage
suivant de La Grange, ancien camarade de Molière
particuliers amis ont remarqué bien des fois12. » Le souvenir de ce
passage
doit toujours être présent à la mémoire du commen
jours être présent à la mémoire du commentateur. Il en est de même du
passage
suivant, qui montre l’adresse avec laquelle Moliè
heur. J’ai déjà cité un trait de leur bienfaisante courtoisie dans un
passage
de la Vie de Molière tiré des Mémoires de d’Assou
vers, datée du 27 du même mois de septembre. Nous rapportons tout le
passage
, d’autant qu’il sert à la suite de cet article.
tte actrice y est caractérisée au mieux. Nous ne rapportons aucun des
passages
de ces prologues : il suffit de les indiquer au l
oup : on en voit la preuve dans son Impromptu de Versailles. Voici le
passage
: MOLIÈRE, parlant à mademoiselle du Parc. Pour
re, avait longtemps joué la comédie, eut quelque part à ce choix. (Ce
passage
est extrait d’une Vie de Molière, peu connue, écr
ans de plus longs détails sur Molière et sur sa troupe ; cependant ce
passage
est d’autant plus précieux, qu’il renferme les se
e Beaubourg, qui avait remplacé Baron, et dont le jeu était outré. Ce
passage
est une nouvelle preuve que Grimarest a travaillé
ommait Laforest. Boileau lui a donné une espèce d’immortalité dans le
passage
suivant : « On dit que Malherbe consultait sur se
ction. » (Vie de Scaramouche, par Mezzetin, page 188.) Voici un autre
passage
tiré du Ménagiana. « Scaramouche, y est-il dit, é
s Femmes savantes, du Tartuffe, de l’Avare, du Misanthrope, etc. » Ce
passage
est précieux, mais que de regrets il fait naître,
fable bâtie sur la destinée du Misanthrope à sa naissance. (A.) — Un
passage
des Mémoires de Dangeau appuie les observations p
PARIS. Et au-dessous, MONSEIGNEUR MORANGE, avec paraphe. » *Ce
passage
confirme les observations de M. Beffara sur l’act
t au-delà, a le goût défectueux. » C’est du La Bruyère, aux meilleurs
passages
. Il a donné des règles excellentes de l’art d’écr
talent qu’on y déploie ; il prend son plaisir aux saines paroles, aux
passages
éloquents, aux gaietés, aux colères, à l’accent d
faut aimer les transitions tirées par les cheveux, et le plus simple
passage
nous suffit pour indiquer, à nos lecteurs, que no
branche de laurier sauvage ! » C’est merveilleux à entendre tout ce
passage
, et l’on se demande ce que veut dire ce mot : Pro
sque, de cette plaisanterie normande-saxonne, pour témoigner à chaque
passage
, à chaque mot, de son origine étrangère. Croyez-m
tte jeune cour. Le ballet qui se danse en ce moment est intitulé : Le
Passage
du Rhin. J’avoue que pour ma part ce ballet m’a f
mêmes de Bossuet, parmi les lettres de ce père de l’Église, plusieurs
passages
qui lui eussent montré les combats, les obstacles
Carmélites, une longue plaisanterie industrielle, dont voici quelques
passages
: « À dire vrai, Messieurs, il y a eu de singuli
cette lugubre méditation. Savez-vous, dans notre langue, un plus beau
passage
que la plainte de ce vieillard déshonoré par son
nullum verbum insolens aut odiosum ponere solebat. » Ceci est un beau
passage
de Cicéron, et ce que dit l’orateur romain des or
enterie. Avant de finir cet article, nous croyons y devoir placer un
passage
tiré d’un in-4 de la bibliothèque de Saint-Victor
s ne l’avons employé que pour prévenir des personnes qui, trouvant ce
passage
dans le volume que nous venons de citer, pourraie
impudiques. » Les auteurs du Journal littéraire 1, en rapportant ce
passage
du discours du père Porée, ajoutent très judicieu
n ne trouvera pas beaucoup de partisans. Quoi qu’il en soit, voici le
passage
: « [*]À l’égard de l’Amphitryon de Molière, qui
omédie du Tartuffe, il ne sera pas hors de place d’y joindre quelques
passages
de la préface que Molière mit au-devant de cette
qu’en général du début de la troupe sur les fossés de Nesle. Voici le
passage
, c’est Élomire le comédien, qui parle : Ay
de Molière que lorsqu’il joua en Languedoc avec sa troupe en 1653. Ce
passage
nous apprend en même temps les noms de quelques a
ère représentation de l’Amphitryon au 13 juin 1668. Cependant, par le
passage
d’une lettre de Robinet, que nous rapportons ici,
us les connaisseurs en jugeaient favorablement. Je rapporterai ici un
passage
du Menagiana *, pour justifier ce que j’avance.
sé à ce ballet, ainsi que l’assure l’auteur, de qui nous employons le
passage
ci-dessus.) [*]. [Note marginale] Vie de Molièr
nous donne ici la lanterne magique avec des fantoches qu’il a pris au
passage
; si l’on découvre, à cette occasion, que le gran
utes proches, est plus concret et plus pittoresque, en deux, ou trois
passages
, qu’il n’est d’habitude, — sans compter qu’il a t
s ne l’avons employé que pour prévenir des personnes qui, trouvant ce
passage
dans le volume que nous venons de citer, pourroie
tent de supposer un cortège d’amis aussi nombreux que l’on voudra. Un
passage
du registre de La Grange donne à croire que le ma
au monde et goûter le plaisir de m’ouïr dire des douceurs. » Ces deux
passages
rappellent ce que nous apprend Grimarest du ménag
t qu’à me faire connaître ma faiblesse sans on pouvoir triompher ? Le
passage
est éloquent et une grande émotion s’en dégage ;
marest veut servir. Mais, en fait, il ne serait pas impossible que ce
passage
traduisit l’opinion moyenne des contemporains de
dont il couvrait Armande. Il est impossible de transcrire au long le
passage
qui la concerne ; quelques lignes feront juger du
la comédie de M. Molière. Il s’agissait surtout « d’adoucir certains
passages
qui avoient blessé les scrupuleux. » A vrai dire,
iennent plus, mais laissent sur le tissu du drame l’empreinte de leur
passage
. N’est-il pas, par exemple, bien remarquable que
’apercevoir le germe de l’idée morale développée par Molière, dans un
passage
de l’Aululaire de Plaute. Mégadore prie Euclion d
les yeux l’Aululaire, en composait son Avare, a pu être frappé de ce
passage
sur le danger des alliances inégales, et concevoi
ingénieuse et même plausible ; mais je dirai encore, Qu’est-ce qu’un
passage
de quelques vers, comparé à toute une comédie ? e
s, en ce qui regarde Pourceaugnac, cette identité est un fait dont un
passage
de l’Asinaire, de Plaute, m’a fourni la démonstra
t ? » Il n’aimait pas non plus Sénèque. Costar lui en avait cité un
passage
en style fleuri. Il répond à Costar : « Je veux
parce qu’il n’a pas besoin de sortir du ton ni du genre national. Ce
passage
immédiat du chant à la parole, que Rousseau blâme
l’ensemble musical, ce n’est sûrement pas là un perfectionnement. Le
passage
brusque du chant à la parole, qui se renouvelle s
sion si pénible a remplacé la riche simplicité de l’original, que les
passages
mêmes qui sont traduits mot à mot, perdent en que
néral, les acteurs français considèrent un rôle comme une mosaïque de
passages
brillants qu’ils cherchent à faire valoir indépen
se en riant ce qu’elle adorait avec rage ; elle siffle, elle hurle au
passage
de cette beauté que tout à l’heure encore elle in
la recherche et des efforts du langage, vont demander à quoi bon ces
passages
qui ne sont que des longueurs ; pourquoi, par exe
n moi qui ai fait cela ? » et il pleurait, comme un enfant, aux beaux
passages
du Père de famille. « Oui, disait-il, parlant de
it changée en admiration, en louange, en adoration unanimes ! Ôtez ce
passage
hardi de monsieur Diderot, effacez quelques vifs
sur la trace d’une imitation qui n’a pas été remarquée. Vous savez ce
passage
du Mariage de Figaro, où il est dit que — Goddem
ne. Cette petite voix douce et tendre suffit à réciter ces admirables
passages
d’un amour sincère et vrai, comme on n’en met guè
ère, le sourire est fin et railleur ; on dirait, au ton soutenu de ce
passage
, du vers même de Quinault, on dirait des vers de
ait que mettre au jour une traduction sèche et indigente de charmants
passages
déjà copiés mille fois par les maîtres ; et le vo
ue de vue ? « Fais-la-moi rencontrer, ô mon cher Parménon ! » Tout ce
passage
est d’une grâce infinie ; Molière n’a pas mieux f
bleau ! » Eh bien ! qui le croirait ? La Fontaine n’a pas traduit ce
passage
d’une énergie, digne des satyres de Régnier, nous
e, des pensées de Molière ! Il arrive ceci, en effet, à vos meilleurs
passages
: vous avez beau faire, vous ne traduirez pas Tér
malheureux traducteur : il se trouve en effet que depuis longtemps ce
passage
de l’œuvre que vous ravaudez, avec tant de peine
subtilités, ces minuties, ces allusions aux hommes et aux choses, ces
passages
difficiles, et autres tours de force auxquels nou
e et de l’Injuste — C’est là un mouvement tout poétique, un très beau
passage
bien traduit par M. Hippolyte Lucas. Seulement il
nnez qu’ils aient tout renversé, tout brisé, tout bouleversé sur leur
passage
, ces mendiants de génie, et vous leur en voulez d
audevilles, étaient relevées, de temps à autre, par quelque bon petit
passage
bien écrit et bien pensé, si nous trouvions çà et
que historien ? Le mépris de La Bruyère pour Baron perce en plusieurs
passages
de cette vaste et vivante comédie : Les Caractère
omédie : Les Caractères de ce siècle. Vous rappelez-vous ce terrible
passage
sur Roscius ? « Roscius est occupé, dit La Bruyèr
er qu’à des culs. » À la représentation suivante, il changea ainsi ce
passage
: « On voit bien que vous n’avez pas coutume de p
ai remarquer que la Relation des fêtes qui, à ce qu’on croit, dans le
passage
relatif à Tartuffe, fut inspirée, peut-être rédig
ur donner sa recette entière aux hospices des villes où elle était de
passage
. Madeleine Béjart fondait des messes par testamen
ré, plus vous me ferez rire, et si vous ne me faites pas rire dans ce
passage
, je dis que vous désobligerez Molière. Car ce que
a toute une gamme, depuis le hé hé de bonne compagnie qui salue au
passage
les fines railleries du Sicilien, jusqu’au hou h
tu des mains en riant. Vous vous rappelez, dans Le Dépit amoureux, le
passage
où Gros-René montre à Clarinette le morceau de fr
on emploi. Mais laissez-moi tranquille. Savez-vous bien qu’il y a tel
passage
des sermonnaires contre les mauvais riches, que n
plient à l’allure de la conversation. Prenez, ajoutait-il, prenez le
passage
qui au premier abord semble le plus enchevêtré et
tion de l’alexandrin ! J’ai pris là, pour l’analyser, un des moindres
passages
de Molière, un de ceux qui prêtent le plus à la c
pour éclaircir les choses. Tous trouverez dans Les Femmes savantes un
passage
qui est le désespoir des comédiens : Chrysale, qu
ise ses tabernes » les lettrés seuls sentent encore le plaisant de ce
passage
, car ils sont tout pleins de souvenirs de Ronsard
e et dans son débit tous les incidents de la chasse. À ce merveilleux
passage
: Mon cerf débûche et passe une assez longue pla
uement de la prose. Voici comment M. Anatole de Montaiglon imprime le
passage
: Don Pèdre. Je viens demander l’appui De l
errer. 6 juillet 1896. IV. Orgon Tout le monde se rappelle ce
passage
où Orgon parle de Tartuffe à son frère : Mon frè
ons goûte une paix profonde, etc. La première fois que j’entendis le
passage
ainsi interprété, je fus bien surpris, et crus qu
sais bien pourquoi les comédiens tiennent à cette façon de rendre le
passage
: c’est qu’elle prête à un effet. L’acteur dit le
par son dragon de femme. Il n’a aucun effort à faire pour rendre les
passages
où Molière marque cet effacement du bonhomme Chry
découvrir un trait inaperçu jusque-là, une façon d’être nouvelle ; le
passage
s’est enrichi de leurs découvertes. C’est ce qui
on cabinet, où il se barbouille de grec et de latin, où il annote les
passages
pillés par Cotin, et, quand il sort de sa retrait
e servir des expressions de l’abbé d’Olivet, « avait traduit certains
passages
de Lucrèce en vers assez beaux pour faire honneur
lière, je le répète, n’aurait pas commis cette faute de goût. Le seul
passage
analogue qu’on puisse citer est celui de L’Avare
cassette de Molière ! Et les vers ! Que de vieux amis qu’on salue au
passage
, sans être un grand clerc ! Ceci de L’Avare :
c’est celui qu’indiquait Théophile Gantier d’une main légère dans le
passage
que j’ai cité tout à l’heure. Marivaux a, dans la
médiocres arrivent aux plus hauts emplois. Permettez-moi de citer ce
passage
qui est étincelant d’esprit : « Que trouve un je
la correspondance de Grimm et de Diderot dont je viens de détacher ce
passage
, et je tombai sur l’article de Grimm consacré au
r les petits hommes qui ont peur des petits écrits, n’a été saluée au
passage
que par les traditionnels bravos d’une maigre cla
r d’imagination qui lui donne tant de piquant ; on attend Figaro à ce
passage
, comme un cantatrice à une morceau de bravoure, d
onne. Les comédiens priaient un jour Piron de changer je ne sais quel
passage
qui leur déplaisait, et comme il s’en défendait,
de se dérober. Mais son père a été plus matinal que lui, l’arrête au
passage
, et lui demande pourquoi il sort de si bonne heur
prouvé par la censure, n’avait pu se tenir d’ajouter quelques-uns des
passages
dont la suppression lui avait été le plus sensibl
qu’il était, aura plus de ressort, et le personnage plus de jeu ; les
passages
de la fermeté à la tendresse seront marqués avec
peindre sur le vif un caractère particulier, de saisir l’actualité au
passage
, d’exercer enfin l’esprit observateur et satiriqu
enir lieu, Cicéron emploie cette locution : quod decet . De nombreux
passages
des odes d’Horace attestent la liberté, pourquoi
urs autres Pieces du Théatre Italien. Je rapporterai dans la fuite le
passage
entier. « Le crédit que Moliere avoit auprès du
talon, qui a justement besoin de faire réparer une serrure, arrête au
passage
Cintio qui est fort embarrassé, d’autant que Mezz
A peine trois ou quatre fois le mot est-il prononcé1, et dans le seul
passage
où Molière met deux avocats en scène, c’est pour
prend les licences pour être avocat ? Non, il n’y a pas trace de son
passage
, dans les archives que nous avons scrupuleusement
as être perdues ; elle portèrent coup. La même censure qui barrait le
passage
à Tartuffe s’acharna en détail sur Don Juan, et l
cune reçoive à son tour son coup et son injure, il arrête celle-ci au
passage
, et il la cloue aussitôt, sur sa vilaine petite p
i pouvaient choquer ; mais il n’en était pas ainsi : c’était de longs
passages
qu’il fallait faire disparaître. Le libraire avai
rendre : 1° sacrifier toutes les feuilles du volume, postérieures aux
passages
supprimés ; 2° remplacer les passages, par d’autr
les du volume, postérieures aux passages supprimés ; 2° remplacer les
passages
, par d’autres insignifiants et qu’il eût fait com
e l’expression, s’étaient-ils principalement gardés de reproduire les
passages
incriminés par lui et mis, pour ainsi dire, à l’i
l’exemplaire, sans les cartons que possédait M. de Soleinne. Pour ce
passage
, ils avaient infligé à l’œuvre de Molière cette c
ent ne conjura pas les coups de l’autre. Or, comme vous l’avez vu, ce
passage
était aussi l’un de ceux qui avaient été marqués,
in ; et, d’un autre côté, comment supposer, avec quelques-uns, que ce
passage
est de son invention, puisque, existant dans l’éd
mant des Réaux, dont aucun des commentateurs de Molière n’a relevé ce
passage
, qu’interroge, à l’article de la mort, par un con
III. Je vous ai dit qu’à chaque pas je trouve des prêtres sur son
passage
, et presque toujours le recherchant, le choyant,
tin, donnée par Chorier dans sa Vie de Boissat 68. Jusqu’ici même, le
passage
qu’il lui consacre, et dans lequel se trouve ench
oins, que pour le Festin de Pierre on n’eût point à s’y méprendre. Un
passage
qu’il prit presque textuellement dans la septième
ait à courir les ruelles, soyez sur que les comédiens l’arrêtaient au
passage
, et qu’ils l’enchâssaient au plus vite dans le ca
er champion du bon goût », ait échappé aux historiens de Voltaire. Le
passage
est précieux, comme on va voir, et pour la biogra
l’heure, Harpagon se moquer des gens de fausse noblesse, comme en ce
passage
: « Le seigneur Anselme est un parti considérable
l’avaient tenu à distance de leur maison, et, s’il faut en croire un
passage
de la Notice de Bret, que nous avons tâché d’écla
mène une double intrigue avec la mère et la fille, et voici quelques
passages
d’un discours qu’il tient à cette dernière, pour
d’un discours qu’il tient à cette dernière, pour l’amener à ses fins,
passage
que j’ai voulu relire, les œuvres de Molière à la
notre savant correspondant, nous lui signalerons l’origine d’un autre
passage
du Tartuffe, qui jusqu’à présent est restée, je c
s de Molière, chez les Français et lçs latins anciens et modernes. Le
passage
dont je veux parler est celui-ci de la première s
’avouer vaincu. Citons, pour qu’il n’y ait plus le moindre doute, le
passage
de la fameuse Lettre sur la comédie de L’Imposteu
avez-vous confié à M. Auger le soin d’éclaircir, avec ses notes, des
passages
clairs comme le jour, et de commenter ce qui n’a
entre Boileau et Brossette, etc., p. 478. 43. Voir, pour preuve, un
passage
de la Gazette de Robinet, 30 novembre 1669. 44.
scal avait fait justice » ; mais ils n’avaient pas rapproché les deux
passages
presque identiques. 116. Art. Molière, dans 1e P
qui renvoie à Molière ses accusations diaboliques, et d’après certain
passage
de la Muse Dauphine, à propos du Misanthrope, p.
ccuser d’irréligion, si bien qu’il fut obligé de supprimer ce curieux
passage
du Festin de Pierre : SGANARELLE Voilà un homme
n’est donc qu’une restitution, et c’est ainsi qu’on doit imprimer ce
passage
à l’avenir. Aimé Martin, Œuvres de Molière.
ux habitudes de sa profession, il a voulu produire de l’effet dans un
passage
sans importance, produire de l’effet à tout prix,
is longtemps et depuis longtemps comprises, qu’elles n’offrent pas un
passage
d’une signification douteuse, et qu’il y a téméri
on de Hesnaut que l’invocation à Vénus, et de celle de Poquelin qu’un
passage
du quatrième livre sur l’aveuglement de l’amour,
quelin qu’un passage du quatrième livre sur l’aveuglement de l’amour,
passage
qu’il a adroitement introduit dans Le Misanthrope
ve que Molière a été avocat. » Il n’y a probablement de faux dans ce
passage
que la « double cascade », singulière aux yeux mê
faire qu’une seule chose du ballet et de la comédie ». On voit par ce
passage
que Molière est l’inventeur de la comédie-ballet,
n plus de raisons de croire que Molière ne l’avait pas oublié dans ce
passage
de son Impromptu. — Puis après avoir bien eu le s
e. Nous serions même porté à croire qu’il a pu sourire aux deux seuls
passages
un peu plaisants que renferme cette comédie : l’u
age de notre langue, en avait parlé plusieurs fois de la sorte. » Ce
passage
, ignoré de tous ceux qui se sont occupés de la vi
t l’ordre de faire disparaître, au moyen de cartons, non seulement le
passage
incriminé, mais plusieurs autres encore dont on é
obtenir de lui qu’il refit le dernier de ces vers de l’épître sur le
passage
du Rhin : Il apprend qu’un héros conduit par la
Pour donner une idée de ces critiques, nous rapporterons ici quelques
passages
d’un libelle publié en 1665, ayant pour titre : O
a plus cruelle injure pour les plus fieffés hypocrites ; que quelques
passages
, qui avaient eu plus particulièrement l’honneur d
appelée L’Imposteur, son principal personnage « Panulphe », tous les
passages
suspects furent supprimés, et l’hypocrite fut vêt
idélité, tant pour l’enchaînement des scènes que pour la citation des
passages
les plus remarquables et des vers les plus sailla
pris naissance chez les brachmanes. Voltaire donne la traduction d’un
passage
d’un livre des Indiens, écrit dans un langage que
lle pour M. de Lauzun, par l’amour d’Ériphile pour Sostrate. Voici le
passage
des Réflexions de Petitot sur cette pièce : « Un
sura bientôt et rogna lui-même, car on n’en trouve que quelques rares
passages
à la suite du petit nombre d’exemplaires qui subs
son égard lui semblait probablement la plus cruelle injure. Voici le
passage
où l’attaque leur est commune : Despréaux, sans
ouble attribut. Enfin, de quelque manière qu’on doive interpréter ce
passage
, on voit que Boileau, pour un jeu de scène, qui p
Nous devons dire que cette tradition, si ancienne et si constante, du
passage
de Molière et de sa troupe à Bordeaux au commence
ntateur de Molière et un biographe de P. Corneille ayant reproduit un
passage
d’une de ces lettres, relatif à La Clairière et à
à la date du 22 juin 1663, une lettre de lui à Colbert, renfermant le
passage
suivant : « … J’aurai dans peu de jours une ode f
ritique proprement dite et nous pourrions ne nous point occuper de ce
passage
de Rousseau. Cependant ce portrait du vrai Philin
ommes réels. Nous ne nous entendrons jamais. — Il y a apparence. » Un
passage
de Rousseau est très significatif à cet égard, un
» Un passage de Rousseau est très significatif à cet égard, un court
passage
où le Rousseau pessimiste en tant qu’homme et le
du reste ce qu’il a dit presque formellement, se souvenant du célèbre
passage
de Pascal sur les dangers du théâtre de Corneille
sa passion et ne joue le personnage de raisonneur qu’en un très court
passage
(« Je consens qu’une femme… » et presque dans un
et qui, pour cela, est raillée, un peu lourdement, par Molière (même
passage
, Critique de l’Ecole des femmes) — et la comédie
plus mauvais dans la vérité qu’on lui montre. Cela est si vrai qu’au
passage
même où il proclame l’amour du beau moral comme é
ntiment aussi naturel au cœur humain que l’amour de soi-même… », à ce
passage
même, il ajoute une note qui est celle-ci : « C’e
vais. Enfin il a fait allusion à Marivaux, très probablement, dans le
passage
suivant : « Dans cette décadence du théâtre, on s
s idées, enchaînement que Rousseau n’a pas marqué, ce qui fait que le
passage
reste obscur et que je me trompe peut-être en l’e
aussi exercer et développer infiniment sa coquetterie. Voici tout le
passage
de Jean-Jacques Rousseau sur la coquetterie, pass
e. Voici tout le passage de Jean-Jacques Rousseau sur la coquetterie,
passage
qui semble d’abord un pur hors-d’œuvre, qui, aprè
ie, il la distingue de la bonne qui est celle qu’il a décrite dans le
passage
que nous venons de transcrire : « Les couvents so
nges conseils Molière nous aurait donnés et qu’ils justifieraient les
passages
les plus violents des Maximes sur la Comédie. » I
ssages les plus violents des Maximes sur la Comédie. » Il fait, en ce
passage
, allusion au magnifique éloge du cocuage que pron
n voit de même un souvenir de la traduction du jeune Poquelin dans le
passage
du quatrième livre sur l’aveuglement de l’amour,
de-Nesle, en face de la rue de Guénégaud (où se trouve aujourd’hui le
passage
du Pont-Neuf). Or l’origine de cette troupe de Mo
Guyenne, au deuxième duc d’Épernon. Et dans cette dédicace il y a un
passage
ainsi conçu : « Cette protection et ce secours, m
hat, dont l’achevé d’imprimer est du 12 octobre 1646 ? À bien lire le
passage
de Magnon, c’est ce dernier cas qui parait probab
ompulsée avec soin par M. Arnaud Detcheverry, ne contient pas un seul
passage
pouvant se rapporter à eux ; que, de plus, Bordea
actrice qui peut bien être la Béjart, le titre porté par la troupe en
passage
à Albi, l’association indubitable de ces acteurs
s de l’Ouest, mais nous cessons d’avoir la preuve authentique de leur
passage
. Une tradition fait mention de l’accueil tout à f
aires, étaient transportées aux frais des villes qui étaient sur leur
passage
. Nous avons vu précédemment dans la lettre du com
ependant Molière ne borne pas là ses expériences : il entame un autre
passage
de la prétendue lettre. La guérison presque mirac
çu ordre exprès de l’assemblée de le composer. » Si l’on en croit un
passage
des Aventures de Dassoucy (Paris, 1679, in-12), l
Thomas Corneille à l’abbé de Pure, datée du 19 mai 1658, contient le
passage
suivant, ainsi imprimé dans les premières édition
s. Ainsi honteusement chassé de cette salle, il vint se placer sur le
passage
du roi dans la grande salle des gardes et, s’incl
relative à cette bonne Laforest, à qui il aurait lu parfois quelques
passages
de ses pièces, « sûr, disait-il, que ce qui produ
e qu’on ait une fiction sous les yeux. On a voulu voir dans plus d’un
passage
de cette comédie une confidence personnelle, la c
xtraits en prose. On peut signaler toutefois plus particulièrement ce
passage
où Boursault prend la défense de la religion, et
ait ; la critique rigoureuse serait tentée de le contester. Mais d’un
passage
de la Zélinde il ressort qu’il y a bien quelque c
anégyrique du roi Louis XIV est poussé jusqu’à l’idolâtrie, il y a un
passage
contre Molière d’une violence extrême : « Un homm
orneille ; il fait allusion à cette manière d’être habituelle dans ce
passage
de la Critique de L’École des Femmes : « Vous con
avait changé le nom de Tartuffe en celui de Panulphe, adouci quelques
passages
. Il espérait peut-être, à l’aide de ces légers dé
désespère, Votre plus haut savoir n’est que pure chimère. Le curieux
passage
de la scène III du troisième acte, où Béralde, pa
ieuse campagne de Hollande, qui avait vu s’accomplir sous ses yeux ce
passage
du Rhin célébré par Boileau, avait-il l’esprit to
etit livre anonyme : Pèlerinage aux saintes reliques d’Argenteuil, un
passage
relatif à la fille de Molière. L’auteur du petit
commencement de notre siècle, s’exprimait ainsi : « Boileau, dans ce
passage
, reproche à Molière d’avoir composé ses tableaux
er un personnage qui est si contraire à votre humeur. Il y a dans ce
passage
une raillerie légère : c’est précisément parce qu
ours au public. Chapuzeau nous apprend en quoi il consistait, dans le
passage
suivant : C’est, dit-il, à l’orateur de faire la
ne) en face de la rue de Guénégaud, sur l’emplacement où se trouve le
passage
du Pont-Neuf, une vaste salle qui avait servi aux
esure dans le commentaire, sans transcrire, pour le prouver, de longs
passages
d’une prose qui n’est point classique, et dont le
u’a fait Molière, auquel Bourdaloue fait ouvertement allusion dans un
passage
célèbre« Voilà, chrétiens, ce qui est arrivé lors
tre des mœurs partout où il surprend un effet plaisant, il le note au
passage
et nous le présente sur la scène sans rien blâmer
anet. 1. Voyez la Revue du 15 septembre 1875. 2. Voici la fin du
passage
: « Voilà ce qu’ils ont prétendu, exposant sur le
te de ses leçons ». Nous ne savons pas quel est ce philosophe. 9. Le
passage
du moine bourru n’est pas dans l’édition publiée
ère inconsciente, qu’il suffirait à la rigueur de rapprocher certains
passages
de ses œuvres pour le bien connaître au point de
que la caricature de ces bons bourgeois accueillant des comédiens de
passage
; le même tableau est indiqué d’une touche plus v
es et ne pas bien choisir ses mots. Admettons qu’un ou deux traits du
passage
qu’on vient de lire soient grossis par maladresse
us haut degré de la bouffonnerie sur le théâtre. Avec quelques autres
passages
de ses œuvres, elles expliquent le reproche que l
indifférence des Parisiens, qui ont déjà pourtant une rue Molière, un
passage
Molière, deux cents établissemens Molière, les co
ues et imparfaits. Molière a transporté dans Le Misanthrope plusieurs
passages
de Dom Garcie, et ce simple changement de positio
n a été une véritable métamorphose : de médiocres qu’ils étaient, ces
passages
sont devenus excellents ; destinés originairement
uelques éditions de Molière, mais je ne sache pas qu’on ait tiré, des
passages
se rapportant à Georges Dandin, la preuve que cet
troupe, composée des bergers célébrant Bacchus et l’Amour. » Certains
passages
de cette relation des fêtes de 1668, ceux que j’a
en il y doit faire de pas, et toutes ses œillades sont comptées. » Ce
passage
prouve quelle importance et quel soin Molière met
trait ; on y parlait de son École des femmes, de sa Critique ; et des
passages
de ces deux pièces étaient malignement commentés
Molière, à son tour, dans le rôle de César, de La Mort de Pompée. Le
passage
est trop curieux pour qu’on ne me pardonne pas de
e Montpellier. M. Aimé Martin a confirmé cette opinion par un curieux
passage
du philosophe Locke, qui, se trouvant à Montpelli
ur chef écroué au Châtelet. Je ne mentionne que pour mémoire un court
passage
de la troupe sur une troisième scène, au jeu de p
e paume loué par les comédiens, qu’on tardait à leur livrer. Quant au
passage
à Limoges, si c’est une légende, j’aurais peine à
lême. L’induction me semble bien hasardeuse ! Nous ne dirons rien du
passage
à Vienne en 1641, car il était bien impossible à
mme.) Et ce ne sont pas là, on peut s’en convaincre aisément, de ces
passages
artificiellement choisis, dont on aurait peine à
entiment le plus sacré sort de la juste nature, Molière l’empoigne au
passage
, et en met à nu le ridicule. C’est ainsi qu’il mo
t sans réplique ; et je ne vois guère de bonnes raisons d’accepter ce
passage
du livre comme une page d’Évangile alors qu’on re
savoir pour l’avoir appris. Le feuilleton dont je vais vous citer un
passage
est extrait de l’Impromptu de Versailles. « Son
s mots. Il ne seroit pas surprenant que rencontrant quelqu’un sur son
passage
il lui racontât son désastre ; mais ses plaintes
t le nom d’hôtel de Longueville. Après avoir perdu son fils au fameux
passage
du Rhin du 12 juin 1672, elle s’établit à Port-Ro
e pensée à une autre… (Traduction de M. Philarète Chasles.) C’est ce
passage
qui nous a suggéré l’idée du mode de division et
s une dispute qu’il avait eue avec Ménage. 3. Voici textuellement le
passage
de la description des Plaisirs de l’Île enchantée
ns l’édition de ses œuvres, donnée en 1682 par La Grange et Vinot, le
passage
est altéré d’une manière fort remarquable. Dans c
endant tout le cours du XVe siècle, comprenait la sortie d’Égypte, le
passage
de la mer rouge, l’histoire de Job, de Tobie, de
en eau pure mon haut créateur. » Vous voyez, Messieurs, même en ces
passages
choisis, percer cette infirmité de langage, que d
ne doutera pas que ce ne soit elle-même, quand on aura rapproché les
passages
que j’en vais extraire, de ceux de la satire IXe
us qu’une imitation, une ressemblance ; c’est une répétition. Tout le
passage
, depuis cette phrase de Scapin, Non, je suis sûr
1682 ont jugé à propos de retrancher Les Fourberies de Scapin tout ce
passage
, qui existe pourtant dans l’édition originale de
sieur Monsieur de Fiori à nº 10 Boulevard des Panoramas vis à vis le
passage
. Paris 47 C Hôtel Giacinta, 11 Jr [1834
vant-dernière feuille de garde duvolume IV du Molière, à propos de ce
passage
: Notes faites à une lecture avec Seyssins
ut tomber dans une extrémité. Péchez plutôt encor de cet autre côté.
Passage
mis pour la police de Parlement et de Mgr l’Arche
un peu l’habitude de cette philosophie de Scapin, et cela d’après ce
passage
-ci, mais elle ne donnait que du malheur cette phi
4. Répétition de Stendhal, voir p.VI. 25. Voici une variante du même
passage
tiré du vol. I, de Molière, p. LXXXII : « Hobbes,
1. Elle a été jouée le mercredi 9 et le mardi 22 février 1814 92. Ce
passage
sur le Comique est déjà donné pages 84-85. Compar
unestes. Molière avait cependant frayé cette bonne route, et, dans le
passage
de La Critique de l’Ecole des Femmes que nous avo
ci maintenant, parmi beaucoup d’exemples que nous pourrions citer, un
passage
de la pièce des Comédiens ; c’est la relation d’u
, Il ne saurait souffrir qu’on blâme ni qu’on loue. Je n’ai cité ces
passages
que comme arguments propres à corroborer ce que j
faudrait pas, à l’exemple de beaucoup de comédiens, débiter certains
passages
du rôle avec cet accent tendre et véhément que d’
t à son but, et ce qu’il importe alors de bien faire sentir, c’est ce
passage
où, tacticien habile, il explique à Elmire, au po
tages que trouvent les femmes à aimer les gens de son espèce. Dans ce
passage
, l’acteur doit baisser un peu la voix, ralentir s
btenir l’entrée du palais de bonnes fortunes. » On lit dans un autre
passage
, que dans le royaume, « il n’est pas défendu aux
, qu’elle oblige à desserrer les dents et les lèvres pour s’ouvrir un
passage
plus libre et comme pour donner aux paroles plus
e à convaincre Arnolphe qu’il fait fausse route, celui-ci, imitant un
passage
de Rabelais, répond à Chrysalde à peu près ce que
rçue aux yeux de certaines personnes. Nous en avons la preuve dans le
passage
suivant extrait d’un article écrit sur la Morale
sant que, pour être aimé, il faut se faire aimer. Après avoir cité le
passage
où Arnolphe essaye trop tard de conquérir l’affec
s ainsi qu’aux connaissances qu’elles procurent. Il y revient dans le
passage
suivant : « Il faut avouer (dit Sganarelle à Don
ant aux témoins de cette scène, il leur dit : « M’a-t-il frappé ?» Ce
passage
de l’Amphitryon appartient à Molière. Plaute ne l
t pas découvert une honte, et si votre instinct vous a guidé dans les
passages
difficiles, de façon à vous faire éviter les trap
nd homme parle bien des choses et des personnes ! Ceci me rappelle ce
passage
de la troisième lettre, à une demoiselle de Metz,
ient-il à la langue qui n’aime pas elle-même, de parler d’amour ? Son
passage
sur les comédiennes n’est pas moins remarquable q
irable le but, les moyens, les passions de la comédie. Il y a même un
passage
où il indique clairement Shakespeare en parlant d
ment. — « Qu’on est bien ainsi ! se disait Molière. » Il y a un autre
passage
où on lui crie : — Crève ! crève ! Cela ne sera p
n le pense. Mademoiselle Mars l’avait très bien compris, ce périlleux
passage
du génie à l’esprit, des mœurs sévères aux mœurs
ne l’a t’on employé que pour prévenir des personnes, qui trouvant ce
passage
dans le volume que l’on vient de citer, pourroien
Ecolier veut entrer chez sa fille, trouve un homme qui s’oppose à son
passage
. Acte III. Scene IV. DON FÉLIX, DON PEDRE. D
Petit-Niort, à l’abbé Gobelin, une lettre dans laquelle se trouve un
passage
remarquable : « J’ai dîné aujourd’hui à Pons, et
laquelle ne témoignent pas seulement des écrits oubliés, ni quelques
passages
des premières poésies de Boileau (alors ami et co
d. de dom Beauchet-Filleau, p- 168. 189, 203, 211. 26. On connaît le
passage
de Bossuet dans les Maximes et Réflexions sur la
a moins d’un siècle et demi que Molière est mort, et déjà de nombreux
passages
de ses comédies fatiguent vainement la sagacité d
ans le domaine de la Comédie, sans trouver au moins des traces de son
passage
, les ont suivies, ceux-ci avec une fidélité qui n
ièce duMisanthrope ainsi que dans le Tartuffe, il n’y ait beaucoup de
passages
où l’aisance et la pureté du style se joignent à
ois déesses à ses volontés. »Ce qu’il y a de plus remarquable dans ce
passage
, c’est le titre de grand homme donné à Molière pa
rut dans la même ville en 1706, âgée de quatre-vingt-dix ans. 85. Ce
passage
est tiré d’un ouvrage de l’abbé de Châteauneuf, i
partie, p. 224 et suivantes. 102. Remarques critiques sur quelques
passages
de Longin, Réflexion première. 103. Brossette.
lieu, vis-à-vis la fontaine6. Son rez-de-chaussée occidental forme le
passage
Hulot et conduit à la rue Montpensier, dans laque
castors imperméables ; au-dessous de celle de ses fenêtres qui livra
passage
à la dernière bouffée d’air que Molière respira,
s vers signifient que la pièce était de Molière. Mais j’enregistre ce
passage
d’une particularité évidemment assez curieuse20.
place vous passeriez encore de plus mauvais quarts d’heure 29 . » Le
passage
que j’ai souligné donnerait raison à George Sand,
e pseudonyme de Mascarille. Molière le força même à supprimer certain
passage
de La Mort de Lusse-tu-cru qu’il montrait lapidé
cement pour employés des deux sexes. Cette maison, qui s’ouvre sur le
passage
Hulot, est habitée par un marchand de vins, M. Gi
u de ce marécage. L’auteur ménage bien plus Molière que sa femme : un
passage
outrageant pour ses mœurs ne figure pas dans l’éd
er la forme du récit. Bayle ne s’y est pas trompé : il a accordé à ce
passage
toute la valeur d’un document historique. C’est b
ameuse Comédienne, en est une première preuve, que vient confirmer un
passage
du Journal des voyages de Monconys. L’abbé de Ric
votion sans qualificatif s’entendait exclusivement (cela résulte d’un
passage
de La Bruyère) de la fausse dévotion et était jus
ù ils allèrent à Avignon, à Pézénas, à Narbonne ; et partout sur leur
passage
ils laissèrent des souvenirs charmants de leur am
es chemins et les campagnes d’alors, faisant remarque de tout sur son
passage
, et apprenant jusqu’aux patois des pays qu’il tra
sait de temps en temps quelques vers, pour ses autres pièces ; et des
passages
entiers s’en retrouvent dans le Misanthrope, dans
comique que ne l’avait été ce procès ? qu’on en juge; voici un petit
passage
du discours des avocats de la danse : « Que, s’i
tint le chariot, & de sa main frappa les chevaux ; il s’ouvrit un
passage
entre les montagnes, & sauva la vie à Tchao-t
de s’expliquer davantage, son cœur s’ouvrit avec violence, & fit
passage
à une infinité de sanglots. Un pere à l’extrémité
n’y réussissoient point. » Boileau, Réflexions critiques sur quelques
passages
du rhéteur Longin, I. 33. A. de Musset, Namouna,
qualité de doyen, l’orateur de la troupe ? Non pas, mais il était de
passage
: ses camarades en ont profité pour le prier de f
x) aucune intention de satire contemporaine, si ce n’est peut-être le
passage
où un bretteur du nom de La Rapière vient offrir
énie dans la comédie, il faut savoir écouter ses originaux, saisir au
passage
leurs paroles toutes chaudes, et les fixer sur le
Acte III, scène XII. 26. Boileau nous le donne à conjecturer par ce
passage
de sa belle épître à Racine : L’ignorance et l’e
e qui se trouve chez lui; que, dans le Tartufe, tu as mis a profit un
passage
de Scarron ; que l’idée principale du sujet de L’
en ont pas d’autre puissent se résoudre à y renoncer. Quand on lit ce
passage
de Molière , « La belle chose de faire entrer aux
de Visé avait augmenté avec le succès de Molière; car, dans un autre
passage
de ses Nouvelles, imprimées un an auparavant, il
e heureux de voir ses idées si nettement développées : il y a même un
passage
traduit : Ce long amas d’aïeux que vous diffa
sa richesse ; plus de sensibilité et de douce mélancolie que dans ce
passage
où respire l’âme de Virgile, avec le souvenir de
Ville, il fit aussi le portrait de la Cour. À la ville on s’attend au
passage
, dans une promenade publique, pour se regarder au
appeler toutes les mélodies envolées. Dans la rue on la saluait à son
passage
; au Théâtre (elle assistait volontiers aux premi
ue de Rabelais n’est pas plus vivante ! » Il aurait pu citer d’autres
passages
. L’Étourdi, qui est resté au théâtre, soutient tr
mpliment si l’on entend par là qu’il trouvait dans le Pédant joué des
passages
dignes d’être signés de Molière. Quoi qu’il en so
posent avec art ces attraits, ces douceurs Qui font à leurs leçons un
passage
en nos cœurs. Les suivants, depuis : « II nous é
i doctement ; revêtue… » sont bien meilleurs. Ils contiennent ce beau
passage
sur les plans, sur la distribution de l’ombre et
naturel » Qu’entend-il par naturel ? La ressemblance avec la vie. Le
passage
de l’Impromptu de Versailles sur la déclamation t
un portrait malicieux, elle traduira en raccommodant à sa manière un
passage
de Lucrèce, et quel passage ? Celui où le poète s
traduira en raccommodant à sa manière un passage de Lucrèce, et quel
passage
? Celui où le poète se moque des passions de l’am
dérouté dès le premier moment les contemporains, les uns prenant les
passages
tragiques comme des outrances du comique et comme
me change, n’est plus équilibré, n’est plus balancé, se rompt par des
passages
brusques de l’alexandrin à l’octosyllabe, sans du
s le refus qu’il fit, à ce qu’il paraît, à Madame, de changer certain
passage
du Misanthrope, où il est question de « ce grand
fet on voit par là tout ce qu’il a souffert, on le voit dans tous les
passages
où l’intrus, désormais accepté dans l’honorable c
de Chrysale, c’est qu’il les a mises sous une forme ridicule dans ce
passage
du rôle d’Arnolphe, pour qui certes il ne prétend
’Homère et de Platon. Il m’était venu un doute à l’esprit sur quelque
passage
d’un auteur grec, et rencontrant par hasard Paul-
ur le cérémonial. Au fait, il fera beau voir Hannibal consulté sur le
passage
des Alpes. Il te répondra, ce lion de Libye, avec
re représentation de l’Amphitrion au 13 Juin 1668 : cependant, par le
passage
d’une lettre que nous rapporterons, on voit que c
si Molière ne l’a pas ? » Je n’entrerai point dans la discussion du
passage
entier ; je n’examinerai point si Boileau, dans c
innocentes. Il lisait, dans tous les livres anciens et nouveaux, les
passages
de la comédie, empruntant de toutes mains, sans r
qu’on ait composé sur cette matière, et dont Regnard cite souvent des
passages
et atteste l’autorité. Un des articles les plus c
fendre ses droits ; rien ne lui coûtait. Combien de soufflets sur son
passage
! c’était sa raison suprême, elle n’obéissait qu’
’était faite. Un soir, au sortir du théâtre, Dancourt se jeta sur son
passage
et, sans autre préambule, il l’enleva, littéralem
t disgracié ». Paul Lacroix. 2. Le bibliophile Jacob dit ici ; « Ce
passage
, où l’on remarque plusieurs vers frappés au coin
e occasion, sa véritable pensée, et nous rencontrerons bientôt divers
passages
qui nous donneront à réfléchir. Un homme n’en peu
c’est précisément en face de la fontaine projetée, dans la. maison du
passage
Hulot, rue Richelieu, que Molière a rendu le dern
ce dans la crainte de Dieu. » Ailleurs il développe sa pensée dans un
passage
que je rapporterai tout entier parce qu’il prête
e se trouver tête pour tête à la rencontre d’un Prince, & sur son
passage
, se reconnoître à peine, & n’avoir que le loi
le puisse la raconter, trouve par hasard le pere de son amant sur son
passage
, & lui rend naïvement sa propre histoire. Ell
’Agnès, le jeu des personnages subalternes, tous formés pour elle, le
passage
promt & naturel de surprise en surprise, sont
ues pour elle, comme celles de ce sophiste qui niait le mouvement.
Passage
du sentiment aux idées. Uranie a donc un senti
stinait cette pièce aux gens de goût, c’est qu’il a imité beaucoup de
passages
du Phormion de Térence. Il ne se serait pas donné
euses, que Molière a ridiculisées encore dans les Femmes savantes, ce
passage
dût paraître aussi scandaleux que le fameux le de
contraire à ce philosophe lui paroît faux : il aura toujours quelque
passage
d’Aristote à la bouche : il le citera en toutes s
reuve dans la première scène de son Impromptu de Versailles. Voici le
passage
: Molière, parlant à Mademoiselle Duparc. Pour
e la portée. Ménage nous en fournit la preuve, lorsqu’il dit, dans le
passage
que nous venons de citer, que dès la première rep
oderne a fait une bonne œuvre. Il se peut que, comme monuments de son
passage
et de son triomphe, elle ne laisse pas beaucoup d
t, qui s’embusque toujours quelque part pour surprendre le méchant au
passage
, ne l’attend parfois que dans un autre monde. Si
, dans ses Réflexions sur la comédie, avait « rencontré » Molière. Ce
passage
, entre autres, prouve qu’il l’a cherché. Le Père
r dont j’ai déjà parlé, et qui contient tous les autres, s’attaque au
passage
que je viens de citer. Il prend soin d’abord d’en
fléchir aux temps. C’est fort bien, et je ne proteste pas contre le
passage
de saint Paul qui se trouve mot à mot dans cette
plus aimables. 5. Traduction de M. Cousin. — W. Schlegel rappelle ce
passage
au début de sa leçon sur l’ancienne comédie, la s
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