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1 (1867) La morale de Molière « ERRATA. »
ERRATA. Page 8, note 1, au lieu de : act. I, sc. I, lisez : ac
Page 8, note 1, au lieu de : act. I, sc. I, lisez : act. III, sc. II. Page 18, note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourdain, li
18, note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourdain, lisez : Mme Jourdain. Page 53, ligne dernière, au lieu de : et, lisez : et à
Mme Jourdain. Page 53, ligne dernière, au lieu de : et, lisez : et à. Page 55, lignes 12 et 13, au lieu de : pourtant, jusqu
s 12 et 13, au lieu de : pourtant, jusqu’à, lisez : pourtant jusqu’à. Page 88, ligne 16 : Limousin. Note omise : Quoique la
estent que Molière en faisait une compatriote de M. de Pourceaugnac. Page 95, ligne 14, au lieu de : linges, lisez : linge.
Pourceaugnac. Page 95, ligne 14, au lieu de : linges, lisez : linge. Page 126, ligne 14, au lieu de : noblesse, lisez : nob
e. Page 126, ligne 14, au lieu de : noblesse, lisez : noblesse d’âme. Page 129, ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez : étern
esse d’âme. Page 129, ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez : éternel. Page 143, lignes 2 et 3, au lieu de : Diafoirus, ne, l
143, lignes 2 et 3, au lieu de : Diafoirus, ne, lisez : Diafoirus ne. Page 212, ligne 9, au lieu de : du, lisez : de notre.
: Diafoirus ne. Page 212, ligne 9, au lieu de : du, lisez : de notre. Page 215, ligne 4, au lieu de : vaniteux, ou, lisez :
Page 215, ligne 4, au lieu de : vaniteux, ou, lisez : vaniteux : ou. Page 242, ligne 17, au lieu de : vingt après, lisez :
age 242, ligne 17, au lieu de : vingt après, lisez : vingt ans après. Page 263, ligne 1, au lieu de : distraction suffisante
2 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
de la Vie de Molière. ô infortuné Petitot ! « Au contraire, sot. » ( Page 6.) « Plat écrivain. » (Page 21.) « Quelle lourde
rtuné Petitot ! « Au contraire, sot. » (Page 6.) « Plat écrivain. » ( Page 21.) « Quelle lourdeur de collège, pensées bourge
ourgeoises, les pensées de Johnson, le stile de Me Dudeffand. " (Même page .) « Qu’en sais-tu, bête ? » (Page 28.) Voici « l
, le stile de Me Dudeffand. " (Même page.) « Qu’en sais-tu, bête ? » ( Page 28.) Voici « le pauvre diable », lorsque Petitot
morceau de Hobbes sur le Rire, et le discours XXXV du Spectateur, la page de Saint-Lambert sur Molière, l’éloge de Molière
nque donc les ff. I-60 au manuscrit. — F. 2. verso : N’a pas (voir ma page 129) : « Allons, monsieur. » mais il porte On
ive. Au verso de la reliure : « Hamlet     23 and 26 My author two pages feraient une bible. Ma illisible close itself se
La seconde brochure35 ne contient qu’une note au bas de la dernière page , mais cette note au crayon est une épitaphe et el
ers de 1580 Du reste parfait exemple du sublime 5 janvier 1830. À la page suivante, 25, une note répond à Hamlet parlant au
t de compassion, mais fort à agir est le contraire de Hamlet… » Même page (toujours au crayon, comme la précédente), le Spe
1 scent the morning air Déjà il a l’expérience de son nouvel état. » Page 26 : Le Spectre : Cut off even in the blossoms o
(figure)43 ont passé leur tcms à orner leurs habits, moi à orner mes pages . Tout l’avantage est pour le tems où ni eux ni mo
e régiments pour sage-femme ». (Approfondissement pour la note de la page 302.) « L’Italie a su dominer l’Europe parla seu
mmander embrassent toutes les facultés intellectuelles de l’homme ». ( Page 281.) « Jugez d’un gouvernement par ceux qu’il pl
robable, des tombeaux de Cornetto. Vous pourriez apprendre par cœur 8 pages de Goldoni. J’ai l’honneur d’être, Monsieur, votr
ller de Préfecture délégué, [illisible]. VIII.Vauvenargues55 Page xlvi de la Notice56 : CITATION DE VAUVENARGUES :
itude est celle qui agit sur un peuple en corrompant ses mœurs. » I, page 32 : VAUVENARGUES : « Nous prenons quelquefois po
d insensible aux autres choses. » BEYLE : " Profondément vrai. » I, page 35 : V :" Toutes les passions roulent sur le plai
est l’essence et le fonds. » B : « L’amour de soi. Helvétius. " I, page 162 : V : « Chaulieu a su mêler avec une simplic
rle de Chaulieu. et ceux qu’il emploie en traitant deMolière. » Même page  : V : « Molière me parait un peu répréhensible d’
rait un peu répréhensible d’avoir pris des sujets trop bas.… »    II, page 2 : V : « Il n’y aurait point d’erreurs qui ne pé
ent d’elles-mêmes, rendues clairement. » B : « Admirable » II, Même page  : V : « Ce qui fait souvent le mécompte d’un écri
 : « Voir mieux que nature, c’est être mal organisé. L. David. » II, page 4 : V : « Le courage a plus de ressources contre
’est elle pas courageuse ? Serait-elle raison sans cela ? » II, même page  : V : « La guerre n’est pas si onéreuse que la se
e est une invasion. » C’est le Commissaire des Guerres qui parle. II, page 5 : V : « Nous n’avons pas droit de rendre miséra
rables ceux que nous ne pouvons rendre bons. » B : « Sublime. » II, page 7 : V : « L’estime s’use comme l’amour. » B : « 
arler de l’homme estimable, mais dans le cœur l’estime survit. » II, page 8 : V : « Le trafic de l’honneur n’enrichit pas. 
V : « Le trafic de l’honneur n’enrichit pas. » B : « Walpole. » II, page 13 : V : « Ce qui est arrogance dans les faibles,
t à envahir que lorsqu’il est en révolution. Montesquieu. » II, même page  : V :« On tire peu de service des vieillards. »
vieillards. » B :« L’expérience les a fatigués d’être bons. » II, page 21 : V : « On ne fait pas beaucoup de grandes cho
’enthousiasme est l’entrepreneur des miracles. Montaigne. » II, même page  : V : « La conscience est la plus changeante des
a plus changeante des règles. » B : « Et partant les remords. » II, page 23 : V : « La pensée de la mort nous trompe ; car
s la mort et c’est ce qui fait la misère de leurs vieux jours. » II, page 30 : V : « On peut aimer de tout son cœur ceux en
ennemis plus par nos défauts que par nos vertus. Mme de Staël. » II, pages 30 et 31 : V : « Si nos amis nous rendent des ser
ur Amitié » B : « Que signifie donc ce mot devoir en amitié ? » II, page 31 : V : « Pour se soustraire à la force, on a ét
tice. » B : « La justice c’est la force, suivant la majorité. " II, page 43 : V : « La vigueur d’esprit ou l’a dresse ont
corps n’établit-elle pas une supériorité et par là un moyen ? » II, page 49 : V : « On trouve dans l’histoire de grands pe
ont gouvernés » B : " La volupté ou l’amour est une passion. » II, page 50 : V : « Le sot s’assoupit et fait la sieste en
un salon dit de bonne compagnie, vous verrez s’il ne s’endort. » II, page 67 : V : « Nos passions se règlent ordinairement
(sic) sont presque nuisibles à nos besoins et à nos intérêts. » II, page 68 : V : « Le peuple et les grands n’ont ni les m
ple et des grands diffèrent plus par la forme que par le fond. » II, page 89 : V : « La licence étend toutes les vertus et
d toutes les vertus et tous les vices. » B : " Mirabeau. " II, même page  : V : « La paix rend les peuples plus heureux et
et les plus utiles pour les peuples sont les guerres civiles. » II, page 91 : V : « L’utilité de la vertu est si manifeste
e la vertu qu’afin de mieux tromper et de duper plus aisément. » II, page 103  V :« La haine n’est pas moins volage que l’
et impitoyables sont plus tenaces que les affections douces. »   II, page 107 : V : « Le terme du courage est l’intrépidité
dans le péril. » B : « Justum et tenacem propositi, etc .57  » II, page 108 : V : « Il n’y a point d’homme qui ait assez
d’esprit seraient bien embarrassés sans les sots. Talleyrand. » II, page 110 : V : « Lorsqu’une pièce est faite pour être
vée par le parterre du théâtre pour lequel l’auteur l’a faite. » II. page 117 : V : « Combien de vertus et de vices sont sa
tus et de vices sont sans conséquence ! » B : « Ko es verdad. » II, page 120 : V: « Qui sait souffrir peut tout oser. » B
acrifice de sa vie est maître de la mienne. »( S. Shakespeare ?) II, page 128  V : « L’éloquence vaut mieux que le savoir. 
e de la plaisanterie. au lieu de fournir du comique78. * * * [Note i, page 16 (édition in-8º de 1804).] Cette scène suppose
philosophe qui, dans mille ans, voudrait les connaître. * * * [Nº 2, page 21.] Le coloris de cette scène ne prouve point en
ommentaire sur Molière, de Simonin, comparaison de Regnard à Molière, page .) 6e principe.] Une scène ne nous semble bonne qu
i-ci en venant parler à sa sœur n’est pas raisonnable. * * * [Note 3, page 29.] Marmontel, tome 2, page 143, édition complèt
ur n’est pas raisonnable. * * * [Note 3, page 29.] Marmontel, tome 2, page 143, édition complète, assure que Molière a mis l
e dialogue. Tout de suite quelque chose d’original qui réveille. ……… Page 131. Dialogue singulier. Silvestre … ; et je v
t faire semblant d’attendre qu’on lui découvre la grande difficulté. Page 134. Un caractère plein de force et d’esprit. Pa
ande difficulté. Page 134. Un caractère plein de force et d’esprit. Pages 136-7. Peinture vraie du commencement d’une passi
’esprit. Pages 136-7. Peinture vraie du commencement d’une passion. Page 138. Stile rapide qui amuse. Pour que ces nuances
e III] Scène III Hyacinte, Octave, Scapin, Silvestre Hyacinthe Page 140. Peinture vraie d’une jeune fille amoureuse.
re Hyacinthe Page 140. Peinture vraie d’une jeune fille amoureuse. Page 140. J’ai ouï dire, … Remarquez l’exactitude du c
te premier, scène IV] Scène IV Octave, Scapin, Silvestre Scapin Page 142. Contraste amusant du caractère ferme de Scap
I] Scène VI Argante, Scapin ; Silvestre, dans le fond du théâtre. Page 145. Excellente scène de flatterie, et la plus di
mien ? Hé ? Géronte Comment ? Très piquant. On doit rire à ce mot. Page 153. Exemple qui fait conclure au spectateur qu’i
ne IX Argante, Scapin ; Silvestre (déguisé en spadassin). Silvestre Page 173… l’épée dans le ventre un petit ? augmente la
n rougissant de ses parents : Développement du premier désavantage, page 2. Être ruiné par la famille noble. C’est un ridi
’ailleurs cet autre inconvénient que je les sais par cœur. Jusqu’ici ( page 11) je n’ai pas ri, je me suis seulement rappelé
dée est peut-être téméraire. (Voir les notes sur les Femmes savantes, page 150.) Comédies classiques, par la facilité avec l
George Dandin Quoi donc ? On rit de la figure de Dandin ; après deux pages , l’expression est déjà faite, l’action a marché.
s cet autre inconvénient que je les sais presque par cœur, jusqu’ici ( page n) je n’ai pas ri. Je me suis seulement souvenu q
x efforts du courroux ? Bonne plaisanterie, tirée du fond du sujet. Page 123. Il faut dire sans crime en riant à cause du
ut dire sans crime en riant à cause du criminelle du cinquième vers. Page 124. On rit d’autant plus d’Armande, qu’en qualit
doucement, et écoutant) ; Chrysale, Ariste On ne rit pas jusqu’à la page 24. Bélise Ah ! chimères ! ce sont des chimères,
est ce qui est prouvé par plusieurs vers de la pièce. Le Sexe aussi, page 49. Quelque bruit. page 64. Le gros du public ad
plusieurs vers de la pièce. Le Sexe aussi, page 49. Quelque bruit. page 64. Le gros du public admire un grand dessein, ma
du Molière ; la date est mal écrite : probablement 1811, parce que la page suivante est marquée 1811 : mais peut-être 1815.
: …………….* * Voyez au Chapitre Livre la définition de ces mots. 78. Page 73 - LE DISSIPATEUR ou l’honneste Friponne, Coméd
e mardi 22 février 1814 92. Ce passage sur le Comique est déjà donné pages 84-85. Comparer les variantes. 93. On marche ve
3 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
uin est valet du capitaine Spavente. Une jeune Milanaise, déguisée en page , vient sous le nom de Lesbino offrir ses services
. scène III. Survient Lesbino que le capitaine consent à prendre pour page , après lui avoir fait quelques questions bouffonn
e récompense à Piombino. scène XV. Le capitaine s’entretient avec son page Lesbino de la passion que lui inspire la comédien
le dessein d’assassiner son maître. Arlequin injurie et maltraite le page . Flaminia et Isabelle interviennent. scène XVII.
promesse. Arlequin dit à Oratio qu’Isabelle et Flaminia ont enlevé un page de son maître, et qu’elles retiennent ce page che
Flaminia ont enlevé un page de son maître, et qu’elles retiennent ce page chez elles. Isabelle, saisissant l’occasion de ca
cause de tout ce bruit. Isabelle dit qu’Oratio a voulu lui enlever ce page . « Et que voulez-vous faire de ce page ? » repren
’Oratio a voulu lui enlever ce page. « Et que voulez-vous faire de ce page  ? » reprend Pantalon en colère. Isabelle raconte
uteurs des Ingannati : Regardez, messer Spavente, reconnaissez votre page , celui qui s’est fait votre serviteur si fidèle,
4 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
aisir à leur source les premières inspirations du génie, retrouver la page , la ligne, le mot, qui les ont éveillées, et sent
ppé Boileau ; voilà ce qui a dû exciter sa mauvaise humeur : quelques pages du livre lui ont fait condamner le livre tout ent
qu’il dînait en nombreuse compagnie avec M. le marquis de M…, dont le page , pour tout domestique, servait à boire, il souffr
ous prie, marquis, dit-il à M. de M…, donnez-nous la monnaie de votre page . » Chapelle se serait fait un scrupule de refuse
était inévitable. » (La Prison de M. d’Assoucy , Paris, Quenel, 1678, page 70.) On aime à voir les hommes auxquels Molière s
a joui jusqu’à sa mort, arrivée le 2 avril 1713. (Parfait, tome VIII, page 406.) F. BOIRON, dit BARON. Molière éleva e
ron, par Dallainval ; 2° Les Amusements littéraires de Cizeron-Rival, pages 48 et 49 ; 3° Les Lettres de J.-B. Rousseau, tome
ensemble en Languedoc, et revinrent à Paris en 1658. (Frères Parfait, page 410.) Loret, dans sa Muse historique du 31 mai 16
âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans. (Frères Parfait, tome XIII, page 294.) L’ESPY. L’Espy, frère de Jodelet, ent
(Théâtre français, par Chapuzeau, p. 282 ; Frères Parfait, tome XIII, page 296.) HUBERT. André Hubert, comédien de la
s à Beauval. (Note de M. Granval le père. — Frères Parfait, tome XII, page 473.) LE NOIR DE LA THORILLIÈRE. Le Noir, s
nanciers, avec l’applaudissement du public. (Frères Parfait, tome XI, page 326.) Actrices. Mademoiselle BÉJART.
1720, âgée environ de soixante-treize ans. (Frères Parfait, tome XIV, page 527.) C’est mademoiselle Beauval qui créa le rôle
Elle se retira en 1672. Chapuseau, livre III de son Théâtre français, page 206, met mademoiselle Marotte Beaupré au rang des
tait femme de Verneuil, comédien du Marais. (Frères Parfait, tome II, page 302.) On raconte que mademoiselle Beaupré ayant e
duel, et il en parle dans ses Antiquités de Paris, tome II, livre X, page 578. Mademoiselle DU CROISY. Femme de l’act
moiselle de Brie : on la nommait Marotte. (Frères Parfait, tome XIII, page 299.) FIN DE L’HISTOIRE DE LA TROUPE DE MOLIÈRE.
les Porsile, en trois volumes qui forment ensemble plus de deux mille pages . 5. J’aurais cru manquer de justice envers M. A
t je les ai signées de son nom. 6. Palaprat, préface de ses œuvres, page 30. 7. Étourdi, acte I, scène VI. 8. Voyez Nic
ie de Petit-Val, 1620. 10. Voyez la note de l’acte IV de l’Etourdi, page 269. On trouve un exemple de cette locution popul
ud, par Guéret, pag. 212 14. Lettre de Boileau à Brossette, tome IV, page 426 de l’édition de M. Amar. 15. A la tête de l’
te de la seconde édition publiée en 1837.) 23. Mémoires de Segrais, page 173. 24. Les recherches précieuses de M. Beffar
aient quelquefois la noblesse. (Delort, Voyage aux environs de Paris, page 199.) 25. Nous avons essayé de découvrir le no
prenait dès lors des leçons particulières de ce dernier. (Ménagiana, page 9 ; et Vie de Scaramouche, par Mezzetin.) L’abbé
Mémoires manuscrits cités par M. Walckenaer (Histoire de La Fontaine, page 73), dit que Molière avait d’abord étudié la théo
s poètes, quand ils deviennent fous. » (Dassoucy, Aventures d’Italie, page 284.) 43. Ces acteurs ne faisaient pas partie de
i ; Paris, 1667, in-8°. Il y attaque les pièces de Molière. On y lit, page 24 : Il n’y a rien de plus scandaleux que la cin
sement de ville en ville, son luth à la main, et suivi de deux jeunes pages qui ont beaucoup trop occupé la muse de Chapelle.
de mauvaises rencontres. » (Il perdit son argent au jeu, et un de ses pages l’abandonna.) « Ayant ouï dire qu’il y avait à Av
me il me fâchait fort de retourner en Piémont sans y amener encore un page de musique, et que je me trouvais tout porté dans
je suivis encore Molière à Narbonne. » (Aventures de Dassoucy, t. I, page 309.) On regrette que Dassoucy ne soit pas entré
ns ce temps-là contre le cardinal de Mazarin. » (Mémoires de Segrais, page 51.) Le prince de Conti avait été généralissime d
arrasin auprès de ce prince. (Mémoires du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre III, page 60.) 50. A son retour de
nce. (Mémoires du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre III, page 60.) 50. A son retour des états de Languedoc, au
ait d’abord servi qualité d’enseigne. (Les Frères Parfait, tome VIII, page 221.) Une anecdote racontée par Boileau confirme
a le rôle à un autre acteur, et la pièce s’en trouva mieux. (Boléana, page 106.) 60. Beauchâteau était gentilhomme. Il n’a
depuis on n’a pas eu de ses nouvelles. (Les Frères Parfait, tome IX, page 411.) 61. L’Impromptu de Versailles fut joué
rès avoir joué ce rôle. Montfleury était gentilhomme, et il avait été page du duc de Guise. Chapuzeau le cite comme un excel
zeau le cite comme un excellent comédien. (Voyez Chapuzeau, liv. III, pages 177 et 178 ; les Frères Parfait, tome VII, pages
Chapuzeau, liv. III, pages 177 et 178 ; les Frères Parfait, tome VII, pages 129 et 130, et les Mémoires de Louis Racine, page
Parfait, tome VII, pages 129 et 130, et les Mémoires de Louis Racine, page 38.) * Œuvres de J. Racine, avec les notes de tou
e rôles différents. » (Entretiens galants, Paris, Ribou, 1681, t. Il, page 91.) Grandval, le père, disait de madame Molière
it piquante et capable d’inspirer une grande passion. (Cizeron Rival, page 15, et les Frères Parfait.) 69. La conversation
’on avait voulu faire à Molière, en parut fort mécontent. (Molierana, page 38.) Voici une anecdote du même genre, et que le
de lui faire des invitations. » (Mémoires de madame Campan, tome III, page 8.) 76. Elle se nommait Laforest. Boileau lui a
s endroits n’y réussissaient point. » (Boileau, Réflexions critiques, page 182, tome III des Œuvres) « Un jour Molière, pour
que vous n’y ayez pas ri du moins intérieurement. (Voyez le Bolaeana. page 104) 78. Lisez : sa belle-sœur. 79. Il ne peut
t toute la beauté de son action. » (Vie de Scaramouche, par Mezzetin, page 188.) Voici un autre passage tiré du Ménagiana. «
du une représentation de cet original italien. » (Ménagiana, tome II, page 404.) Enfin nous citerons encore ces paroles de P
t sous les traits de Scaramouche ? » (Préface des Œuvres de Palaprat, page 40.) Les études de Molière sur le jeu de Scaramou
s et tous ceux qu’il a copiés. » (Voyez Zélinde, comédie, scène VIII, page 90, un volume in-12, imprimé en 1663.) 83. Voic
sies diverses. (Voyez la Préface de Palaprat à la tête de ses Œuvres, page 30.) 84. Voyez l’Histoire de la troupe de Molièr
rs plus heureuses inspirations. (Voyez Mémoires sur la vie de Racine, page 68 ; Vie de Molière, écrite en 1724 ; Commentaire
Commentaires de Brossette sur la quatrième satire de Boileau, tome V, page 30, et tome IV, page 44.) 87. Rohault, célèbre
ette sur la quatrième satire de Boileau, tome V, page 30, et tome IV, page 44.) 87. Rohault, célèbre physicien, auteur de
ière fit la connaissance de Mignard à Avignon en 1657. (Voyez la note page 14.) 88. Les convives que Grimarest n’ose nommer
ci cette anecdote telle qu’elle se trouve dans le Ménagiana, tome IV, page 174. Le grand Condé avait pour Molière une amitié
présentes l’épitaphe n’est-il en état de faire la tienne ! (tome II, page 48.) 94. Ce fait est singulier, piquant ; il pla
véritablement content. » (Œuvres de Boileau, par Saint-Marc, tome I, page 49.) Ce qui doit faire admirer encore plus la mod
vements naturels. » Voyez le Mercure galant, tome IV, première année, page 302. Il est aussi parlé du talent de Molière comm
est aussi parlé du talent de Molière comme acteur dans Cizeron Rival, page . 17, et dans le Boléana et le Mercure de France,
tuffe, les Mémoires pour servir à la vie de Chapelle, par Saint-Marc, pages 71 et 74.) 108. M. Despréaux. 109. Louis Racine
miral de Brézé. (Voyez le Tableau historique, par Taillefer, tome II, page 124.) 117. Voici à quelle occasion Molière se v
ièce. Retournez-y, et examinez-la mieux. » (Mémoires de Louis Racine, page 30. Voyez aussi Boléana, page 104, le Furetierana
-la mieux. » (Mémoires de Louis Racine, page 30. Voyez aussi Boléana, page 104, le Furetierana page 73, et les Lettres en ve
Louis Racine, page 30. Voyez aussi Boléana, page 104, le Furetierana page 73, et les Lettres en vers de Robinet, 20 décembr
sonnes qu’ils représentaient . (Perrault, Éloge des hommes illustres, page 79.) * Le Théâtre Français, divisé en trois livre
ont morts à Argenteuil près de Paris, sans postérité. (Cizeron-Rival, page 14.) 126. Voici une anecdote peu connue, trouvé
parlait dépendait du ministère de M. l’archevêque. » (Cizeron-Rival, pages 23 et 24.) Ajoutons ici que le roi fit donner au
nant à la maison du chapelain. » (Titon du Tillet, Parnasse français, page 320.) 128. L’enterrement fut fait par deux prêt
sur le génie de Molière. (Voyez les Œuvres de J.-B. Rousseau, tome V, page 321, édition de Lefèvre.) 131. Molière ne nous
s de d’Assoucy le font aimer et le font plaindre ; ils renferment des pages excellentes, dignes d’être citées ; et ses poésie
Lettres sur Baron, par Dallainval. 135. Mélanges de Cizeron-Rival, page 47. 136. Voyez Mercure de France, mai 1840, page
s de Cizeron-Rival, page 47. 136. Voyez Mercure de France, mai 1840, page 847. 137. Frères Parfait, tome XII, page 471.
rcure de France, mai 1840, page 847. 137. Frères Parfait, tome XII, page 471. 138. Mercure de France, mai 1740, page 846
ères Parfait, tome XII, page 471. 138. Mercure de France, mai 1740, page 846. 139. Racine. 140. Mignard. 141. Frères P
page 846. 139. Racine. 140. Mignard. 141. Frères Parfait, tome X, page 367.
5 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
Textes et documents I. —  Page 60. Les Gelosi ne sont pas sans doute, ainsi
. La Fortuna di Foresta, prencipessa di Moscou, opera regia. II. —  Page 75. La dernière scène du Vecchio geloso revien
ua moglie, cosi si fanno le nozze d’Oratio con Isabella. » III. —  Page 104. L’Emilia de Luigi Groto est une imitatio
ts de la morale qu’on a tant accusé Plaute d’avoir méconnus. IV. —  Page 141. Voici la traduction que M. Ch. Magnin a f
e jeu de mots qui termine ce second sonnet est intraduisible. V. —  Page 170. Nous pouvons donner une idée du talent po
è poësia ch’è muta : Merta fede chi parla, e non chi tace. VI. —  Page 268. EXTRAIT DES COMPTES DE LA COUR, POUR L’AN
jesté, les jour et an de l’autre part.   Signé : Boileau. VII. —  Page 283. Liste des canevas de Dominique analys2s
unes de celles que nous venons d’énumérer en dernier lieu. VIII. —  Page 337. Ce qu’on a dit relativement à La Fausse P
à Saint-Germain. Voyez notre édition des Œuvres de Molière, tome VI, page  112. 65. Brécourt, alors acteur à l’Hôtel de Bou
6 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
riez par hasard un volume de Corneille; vous savez où sont tes belles pages ; vous relisez les grandes scènes de Polyeucte ou
Sophocle, Corneille, Racine et Molière peuvent se tendre la main. Les pages que M. Rambert donne à Molière sont parmi les mei
in. 1. Poètes du siècle de Louis XIV, par A. Vinet. Paris, 1861. Page 180. Hâtons-nous de dire que ce dernier volume pu
rimant la pensée exacte, complète et définitive de Vinet. 2. Ibid., page 196. 3. Corneille, Molière et Racine, page 158.
ve de Vinet. 2. Ibid., page 196. 3. Corneille, Molière et Racine, page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7
2. Ibid., page 196. 3. Corneille, Molière et Racine, page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8
e 196. 3. Corneille, Molière et Racine, page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9
rneille, Molière et Racine, page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9. Page 367. 1
re et Racine, page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9. Page 367. 10. Page 501.
page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9. Page 367. 10. Page 501.
Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9. Page 367. 10. Page 501.
age 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9. Page 367. 10. Page 501.
7 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
ne l’ai pas perfidement inventé pour le besoin de la cause. On lit, page  373 de l’édition de Las Obros de Pierre Goudouli
bien l’air d’un autre mot qui arrangerait mes affaires. On lit, même page de Las Obros déjà citées : « Scouzentou. cherchez
tre langue qui s’intitule le Dictionnaire provençal français (tome I, page  915). N’importe ! Je ne me borne pas à avoir tout
rme expresse et concluante du verbe mascarilha, barbouiller (Tome II, page 289) ! Non, non ! quelque vraisemblable que cela
n’était pas un denier, surtout pour l’époque. 11. On lit, au tome I, page  90, des Œuvres de Molière, édition Hachette : « M
8 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
a ruë saint Honoré. 3. Voici ce qu’en dit Grimarest, vie de Moliere, page 312. Paris in-12. 1705. On s’étonnera peut-être q
rit le nom de la Fleur, & de Gros Guillaume. 6. Voyez Grimarest page 24. . . . 7. Ibidem page 29. 8. Ces deux piéces
mp; de Gros Guillaume. 6. Voyez Grimarest page 24. . . . 7. Ibidem page 29. 8. Ces deux piéces se trouvent dans le cabin
15. Voyez préface des fâcheux. 16. ibidem. 17. Voyez Grimarest, page 125. 18. Voyez muse historique de Loret, lettre
our l’amour de l’humanité. 26. Voyez mercure galant, janvier 1677, page 33. L’amour medecin, comédie en trois actes en p
urs. Voyez avis au lecteur de l’amour médecin. 28. Voyez Grimarest, page 76. Le misantrope, comédie en cinq actes en vers
Ciel ! Pardonne-lui comme je lui pardonne. 38. Voyez Grimarest, page 176. 39. par m. le premier président du parlemen
ce qui a toujours été depuis réguliérement exécuté. Voyez Grimarest, page 196. Amphitrion, comédie en trois actes en vers,
n la Grange : on ne sçait ce qu’elles sont devenuës. [Voyez Grimarest page 310.] Il avoit aussi traduit presque tout Lucrece
page 310.] Il avoit aussi traduit presque tout Lucrece. Voyez le même page 311, & remarques sur la satyre 2 de Despreaux
1, & remarques sur la satyre 2 de Despreaux, in-folio, Amsterdam, page 20, tome premier, 1718. 58. Voyez ép. II, de De
oyez ép. II, de Despréaux. 59. Voyez vie de Moliere, par Grimarest, page 48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne II
s de sa maison n’entrassent à la comédie sans payer. Voyez Grimarest, page 131. 69. Il avoit du Croisy en vûë, lorsqu’il co
rdre du Roi, pour faire entrer Baron dans sa troupe. Voyez Grimarest, pages 95 & 101. 71. Baron étoit fils d’un comédien
e qu’elle étoit fille d’un gentilhomme d’Avignon, nommé Modéne, Voyez page 21. 73. Son nom de famille étoit Mignot. 74. Ep
9 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
lui. Il arriva qu’un jour Moliere étant à la table de ce Prince, les Pages qui y servoient, ne cherchant qu’à badiner &
n’en fit qu’une bouchée jusqu’à l’os, qu’il remit sur l’assiete : le Page qui vint pour lui ôter son assiete, ne fut pas as
i en demanda la raison ; il lui répondit : Monseigneur, c’est que vos Pages ne sçavent pas lire, il prennent les O pour les L
re. Bayle, Dictionaire Critique. Brice, Description de Paris, tome 1. page 459. & les suivantes. Baillet, Jugemens des S
belles Estampes & de plusieurs Vignettes. a. Menagiana, tome 2. page 65. a. Oeuvres de Despréaux, édition de Geneve,
agiana, tome 2. page 65. a. Oeuvres de Despréaux, édition de Geneve, page 433. a. Remarques sur le Vers 394. du troisiéme
10 (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15
Molière n’a pas joué la profession d’avocat. Citations (Note 1, page 5. ) L’Étourdi, acte V, scène IV. La procès il f
ficultés et qui sont ignorants des détours de la conscience. (Note 2, page 5) M. de Pourceaugnac, acte II, sc. XII. - Oui,
capable, La polygamie est un cas Est un cas pendable. Etc. (Note 2, page 6.) Le Malade imaginaire, acte III, scène III. -
t de peindre les mœurs, sans vouloir toucher aux personnes. (Note 1, page 7.) L’Amour médecin, acte II, scène IV - Je sout
11 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
Quelques pages à ajouter aux oeuvres de Molière On plaidait
ier pour une signature de Molière ; aujourd’hui, voici quatre ou cinq pages oubliées de ce grand homme, qu’un heureux hasard
nt unique, de la cérémonie du Malade imaginaire. Ce livre de dix-sept pages a été achevé d’imprimer à Rouen, le 24 mars 1673,
rnier feuillet : « Achevé d’imprimer le 34 de mars 1673. » La seconde page commence ainsi : Acta et ceremoniæ receptionis.
12 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
oir en sa place, à la représentation suivante. (Menagiana, Tome. III. page 24.) V. Moliere s’est servi pour la composi
pour finir cette affaire. (Ana, ou Bigarrure Calotine premiere partie page 18.) VII. La troisieme nouvelle de la trois
qui sera peu imité par les Auteurs du siecle présent. (Carpenteriana page 38.) XVI. Le Latin Macaronique qui fait tan
r, C’est par ses beaux endroits, qu’il lui faut ressembler. (Bolœana, page 23.) XXIII. Le mariage de Moliere avec la
re insérée dans le Mercure de France en Décembre 1739. premier volume page 2914.) XXXIII. Le Perruquier dont parle M.
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
de deux Maîtres à danser. Deuxieme entrée de Ballet. Danse de deux Pages . Troisieme entrée de Ballet. Quatre Curieux de
spectacles, qui ont pris querelle ensemble pendant la danse des deux Pages , dansent en se battant l’épée à la main. Quatrie
ue les Procureurs, les Sergents y sont amenés de force, & que les Pages , les Curieux, les Maîtres à danser, les Suisses,
14 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
on l’appelait le gros Modène. Son fils, dont il s’agit ici, fut élevé page de Monsieur (Gaston), frère du roi Louis XIII, du
pendant le règne du connétable M. de Luynes. Quatrième édition, 1628, pages  338 et 474. 5. Hist. de la noblesse du Comté Vé
rtation, p. 20. 10. L’Art de vérifier les dates. Paris, 1818, t. 6, page  256. 11. Biographie universelle, t. 19, p. 199 
fille du roi René. 16. Histoire des révolutions de Naples, tome 2, page  245. 17. Id., t. 3, p. 260. 18. L’Art de véri
15 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
mière, Lettre de M** sur la vie et les ouvrages de Molière, occupe 21 pages du Mercure de France d’août 1735. A cette date, t
plus distingués ». Nous en avons scrupuleusement collationné les 90 pages consacrées à « Molière, aux particularités de sa
en tête de la belle édition in-4° de 1734, écrivent en 1747 (tome X, page 86) : «  La femme d’un des meilleurs comédiens
Mercures de France, je vous renvoie à celui du mois de février 1722, page 121, pour la Princesse d’Elide, ou les Plaisirs d
ans la disgrâce de l’amiral de Chastillon, duquel il avoit été nourri page , dans la maison duquel il fut massacré et tué ave
ère dudit supliant, en Suisse, se retira en Allemagne, où il fut fait page de l’électeur palatin du Rhin, et depuis capitain
Paris, F. Muguet, 1674, in-12. 15. Deuxième partie : Réflexion XXVI, pages 218­219. 16. Dans les Observations de Ménage sur
. 5. 26. La Vie de M. de Moliere : Paris, 1705, in-12, p. 46. 27. Pages 47, 48. 28. « Conçue, faite, apprise et représ
yacinthe. 39. En 1663. 40. Un an plus tôt, le 20 février 1662. 41. Pages 62, 63. 42. Jacques Rohault (1620-1672). 43. Pi
apporte à l’une des trois dernières années de la vie de Molière. 45. Page 215. 46. Voir, au sujet de cette traduction, ce
e de Molière) comme « trop fort contre l’immortalité de l’âme ». 48. Pages 311 et suiv. 49. Della perfetta Poësia italiana
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. M. BARTHE. » pp. 413-419
staf est un lourd animal qui projette de séduire Madame le Ford & Madame Page . Il écrit en même temps à toutes les deux : elles
se. Les deux époux sont instruits secrètement de l’amour de Falstaf : M. Page ne fait qu’en rire ; M. le Ford devient jaloux :
17 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
p; l’envie de faire un Volume de ce qui ne devroit remplir que peu de pages , sont cause que l’Histoire des Hommes célebres es
er lieu à de plus grands éclaircissemens. « Quelques curieux, dit-il, page 11. ont conservé deux Pieces de Moliere dans le g
18 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
mère Olympia et introduite dans la maison de son père sous l’habit de page et sous le nom de Fabritio. Pantalon a perdu un d
romet de le lui faire retrouver au moyen d’un miroir magique. Le faux page , en regardant dans cette glace, feint d’y voir s’
à une fille, cette fille grandissant, venant à Rome, se déguisant en page pour entrer chez son père, et s’écriant enfin : “
19 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
areil fût réservé à la proposition qu’on lira dans mes deux dernières pages , celle de créer à Paris un Musée-Molière permanen
ou qu’il ne lui plaît d’en convenir : il l’a prouvé en d’excellentes pages de ses Études critiques sur la littérature frança
celle de Marivaux, dont on ne sait presque rien. Il y a d’excellentes pages dans les articles sur Madeleine et Armande Béjart
ellentes pages dans les articles sur Madeleine et Armande Béjart, des pages toutes brillantes de ces qualités littéraires qui
e vie nomade sur laquelle justement M. Larroumet nous donne une jolie page , les rapprochements constants, l’inévitable promi
le soulevait dans son âme, de n’avoir pu parler avec plus de retenue ( page 2). Du reste, il faut dire, à sa décharge, que Lu
passé dans leur maison. Leur certificat est imprimé tout au long à la page 14 de la réponse de Guichard. Ce dernier nous rév
tion dans le jardin d’Auteuil, entre Chapelle et son illustre ami, la page la plus étonnante du livre, la plus impossible à
n ne saurait atteindre. On aura beau objecter que Molière, dans cette page admirable, parle de la folle passion que sa femme
eût évité l’ennui de s’entendre dire qu’il avait consacré moins de 40 pages à son sujet et plus de 400 à ce qui ne l’est pas 
il le fit. Il connaissait, et son procès-verbal en fait foi, certaine page de d’Olivet dans le second volume de la suite don
nnée par cet abbé à l’Histoire de l’Académie française, de Pellisson, page où il est dit que La Fontaine, mort le 13 avril 1
pe M. le comte d’Harcourt tenant vers la grande écurie. Au bas de la page petit in-folio qui contient ce devis se lisent le
Bovet, M. Etienne Charavay, l’archiviste paléographe bien connu, à la page 244 (5e et 6e séries), où il décrit la pièce ache
20
té l’histoire à cette place. (Voir Le Moliériste du 1er juillet 1879, page  108.) Mais un fait ignoré de la plupart, assuréme
ensemble ne comprend pas moins de trois volumes in-8, de près de 300 pages chacun (N. B. — Cette même description a été, pre
ses Spectacles forains et la Comédie-Française (Paris, Dentu, 1875), pages 6, 7, 25, 26 et 27. D’autres fois l’affiche a ser
es depuis peu contre la poésie (Paris, Ve Foucault, 1731, in-12 de 33  pages ). Voici ce qu’il dit de Molière dans cette épître
lle Châteauneuf, à Raisin, à Rosimond sont moins intéressants que les pages où il est parlé de Molière, et pourtant je me con
sujet, une lettre qu’il inséra dans la seconde édition de son livre ( page 248) : « Molière, lui disais-je, composait les
venir, que nous avons réimprimée aussi, d’après une édition in-4 de 6  pages , sans nom de lieu et sans date, mais que M. Victo
raison, à l’année 1651. Or, Beauchamps (édit. in-4 de ses Recherches, page  63 de la 3e partie) décrit aussi une autre éditio
n, et comme l’a prouvé Eudore Soulié dans ses Recherches sur Molière ( page  48) : il y passa plusieurs mois. On pouvait donc
fait rentrer Molière à Lyon, où il aurait demeuré jusqu’à l’automne ( page 33), puis il ne constate son retour qu’à la date
scrips. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8, 1821. tome VI, page  186. 17. Vid. Chalmel, Histoire de Touraine. Pa
et l’Abbé Chevalier, Promenades en Touraine. Tours, 1869, grand in-8, pages 385, 389. 18. Vid. Georges d’Heylli. Les Tombes
orges d’Heylli. Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris in-12, 1872, page  99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821,
1872, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821, tome IV, page  432, et Georges d’Heylli, Les Tombes royales de S
rges d’Heylli, Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris, in-12, 1872, page  97. 20. Vid. Jules Claretie, Molière, sa vie et
es œuvres. Paris, Alph. Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (1873), page  84, et aussi, page 165 (appendice.) Ce qu’il sera
lph. Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (1873), page 84, et aussi, page  165 (appendice.) Ce qu’il serait intéressant de s
édiaire des chercheurs et curieux, Paris, in-8, première année, 1864, page  26. 22. Vid. le Moniteur. Nº 281 de l’An XIII (
ête du premier volume, est signée Gélasire. 36. Ibid., p. 490. 37. Pages  495-496. 38. Pages 497-499. 39. Lettre du 14 f
e, est signée Gélasire. 36. Ibid., p. 490. 37. Pages 495-496. 38. Pages  497-499. 39. Lettre du 14 février, lendemain de
21 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
le cadet, Fernon le cadet, Rebel, Langeais, Deschamps, Morel, et deux pages de la musique de la chapelle. Huit Fleuves chanta
erignan, David, Aurat, Devellois, et Gillet. Amours chantants, quatre pages de la musique de la chambre. Huit Pêcheurs de cor
cadet, Deschamps, Morel, Aurat, David, Devellois, Serignan, et quatre pages de la musique de la chapelle, et deux de la chamb
ntaine : Tout prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages . « Cette faiblesse est précisément la même que c
el, Gingan l’aîné, Fernon, Deschamps, Gillet, Bernard, Noblet, quatre pages de la musique. Filles coquettes, les sieurs Janno
la musique. Filles coquettes, les sieurs Jannot, Pierrot, Renier, un page de la chapelle. Seconde entrée. Un Espagnol chant
ses ouvrages. a. Par l’extrait du Pédant joué de Cyrano, tome VIII, page première de cette Histoire, on verra que ce n’est
22 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
ère, et les chiffres qui marquent les renvois pour trouver au bas des pages les vers espagnols. Le même ordre est observé, da
édie du Menteur, les raisons qui l’ont empêché de joindre, au bas des pages , les vers imités de Lope de Vega, comme il avait
et la maîtresse qu’il n’a pas seulement daigné regarder se déguise en page , et fait le voyage, sans que le capitaine s’aperç
vient à Londres, sans secours, sans vaisseau et sans argent, avec son page et son ami, ne connaissant ni l’amitié de l’un, n
l’en convaincre mieux, cette honnête dame devient amoureuse du petit page , et veut le prendre à force ; mais comme il faut
il se trouve à la fin du compte que le capitaine se met à la place du page , couche avec son infidèle, fait cocu son traître
n coup d’épée au travers du corps, reprend sa cassette, et épouse son page . Vous remarquerez qu’on a encore lardé cette pièc
coboni, dans ses Observations sur la comédie, et le génie de Molière, pages  130 et 131, met le dénouement du Mariage forcé au
té d’une action. » M. Riccoboni dans le même ouvrage ci-dessus cité, page  148, dit : « Il y a, dans Le Mariage forcé, une s
rté sur le dessein de l’auteur des Observations ; en voici la preuve, page  22 : À quoi songiez-vous, Molière, (dit l’auteur
ensée, votre Festin de Pierre ne serait pas si criminel. Et plus bas, page  46 : “Savez-vous bien, monsieur, où tout ce beau
23 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
lle supposée, faits en Italie par ledit sieur Torelli. » 33. À la page  6 de l’imprimé, on lit : « Flore sera représentée
, fera connaître qu’elle est une vraie lumière de l’harmonie. » À la page  7 : « Cette scène sera chantée, et Thétis sera re
, laquelle à merveille fera connaître sa colère et son amour. » Même page  : « Le prologue de cette pièce sera exécuté par l
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
meurt, il lui fera remettre ses tablettes dont elle occupe toutes les pages . Ils se mettent à table : Lindor s’émancipe, Mart
. . Lindor venoit d’obtenir une Compagnie de Cavalerie, au sortir des Pages . La fraîcheur de la jeunesse, l’impatience du des
Lindor. Il s’étoit passionné pour elle à la premiere visite. Un jeune Page est pressé d’aimer. Ma belle Cousine, lui dit-il
 ! Si cela continue, l’ouvrage sera court : je n’en ai fait que trois pages , & me voilà presque à la fin. Eh bien ! il en
25 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [16, p. 46-47] »
la servante ne prit point le change ; et après avoir entendu quelques pages , elle soutint que son maître n’avait pas fait cet
26 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
vois guère de bonnes raisons d’accepter ce passage du livre comme une page d’Évangile alors qu’on repousse le reste avec hor
chagrins qu’elle put causer à son premier mari. Mais à côté de cette page où Molière a le beau rôle, il y en a d’autres où
ctuellement sur nos boulevards. On est donc forcé, pour corroborer la page de l’Évangile en question, de prendre ça et là, d
le parterre ! » répète-t-il à chaque paragraphe, et cela pendant dix pages , avec une fureur croissante. Vous voyez ? donc bi
au discours de M. Labiche. Qu’on me permette de citer cette charmante page  ; ce n’est pas une mince bonne fortune, pour un h
libelle qui porte contre Molière des accusations honteuses. Si cette page vous paraît si digne de foi, pourquoi rejetez-vou
27 (1884) Tartuffe pp. 2-78
uère cela : la main de Molière est trop reconnaissable, même dans ses pages les plus rapidement écrites, et la tirade porte s
di, un vert et original penseur, dont l’Histoire comique renferme des pages surprenantes de hardiesse. On ne peut donc former
ont les contemporains de l’opérette. Il y a dans ce livre bizarre 240 pages de citations des « pères », tous abominant les sp
la situation… Tartuffe est l’athée en rabat noir ». Il y a dans cette page , d’un si excellent style, presque autant d’erreur
me de théâtre. Une telle conception vous fournira, à vous, poète, une page charmante ; à vous, philosophe, un portrait finem
re livre à nos risées. La Lettre sur l’lmposteur a là-dessus quelques pages excellentes : « La disconvenance est l’essence du
28 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
ablement il est fâché ou s’il est joyeux de sa découverte ? Voilà une page assez naïve… oui, mais dans sa grâce enfantine el
la se voit, à se douter que l’on serait un écrivain quelque jour. — Ô page innocente… ô page empreinte de mes premiers doute
outer que l’on serait un écrivain quelque jour. — Ô page innocente… ô page empreinte de mes premiers doutes ! peut-être aura
ez lu ? L’oubli c’est la règle, et le souvenir c’est l’exception. Une page oubliée au fond d’un journal devenu le jouet de l
lorsque tant de poèmes n’ont pas trouvé un acheteur ? Au moins, cette page errante à travers les caprices de la ville et les
ce ; ou bien quelque cité curieuse a voulu savoir ce que disait cette page enfouie aujourd’hui dans l’abîme, et alors cette
s aurez cette récompense et vous l’aurez tout de suite, que ces mêmes pages sérieuses qui ont impatienté le lecteur frivole h
votre passé, avec quelle joie et quelle fête vous les retrouverez ces pages sérieuses, cent fois plus vivantes que les colifi
s plus vivantes que les colifichets de vos meilleures matinées. Telle page , en effet, qui était pesante au journal, et qui i
prends ta place dans ces feuilles liées l’une à l’autre ; et toi, ma page folâtre, enivrée des parfums envolés du bouquet d
, partant de Molière j’arrive à Molière ; çà et là ramassant dans mes pages choisies ce que madame de Sévigné appelait si bie
urius est un de ces nombreux philosophes que vous rencontrez à chaque page du Pantagruel, une de ces perles que Molière a ra
ecrètes, dans les histoires particulières de chacun de nous, dans ces pages de l’âme que nous tenons en réserve pour nous en
ance, si M. de La Rochefoucauld écrivait ses Maximes pour remplir les pages dévorantes d’un journal ; dans un journal convena
29 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
connaître une parodie du doute, si fort recommandé dans les premières pages du Discours de la Méthode. Le lecteur me pardonne
ui reste à accomplir. Emile DOUMERGUE. NOTES SUR GASSENDI. Ces pages étaient déjà écrites quand a paru le livre de M.
eois gentilhomme, acte II, sc. vi. 6. J’emprunte, dans ces premières pages , la plupart de mes exemples historiques aux annal
. sc. II. 60. Serait-on tenté de voir ici une contradiction avec les pages (voir le premier article) où nous disons que Moli
30 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
un côté fantasque des mœurs de leur temps ; tous deux ont retracé une page bizarre de l’histoire morale de leur pays. CHA
e. Je ne vous saurais exprimer avec quelle grâce le plus agile de mes pages faisait dix lieues par jour, ni les louanges qu’i
ière, il emmena dans son carrosse le musicien Dassoucy, mais sans ses pages . La lettre de Dassoucy à Molière prouve que celui
L’École des femmes et de Don Juan ; mais Molière était alors hors de pages . « Mgr le prince de Conti avait eu en sa jeuness
ments. Nous tenons donc avec M. Brouchoud pour l’année 1654. Si cette page de Chorier était contemporaine des faits, il y au
me il me fâchait fort de retourner en Piémont sans y amener encore un  page de musique, et que je me trouvais tout porté dans
aordinaires qu’elles débitent. Il n’est pas possible, en lisant cette page , de ne point penser aux Précieuses ridicules que
es savantes 42. Tel est le récit que nous trouvons dans les premières pages de l’histoire de La Fameuse comédienne. Que les d
JART : Junon et Andromède. DEBRIE : Neptune. L’ÉGUISÉ : Mercure et un page de Phynée. BÉJART : Le Soleil et Timante. Mlle DE
is les proportions d’un événement, se trouvait, comme on dit, hors de pages . Il avait alors près de trente-huit ans. Il est e
d’épée étaient journalières. La domesticité des grandes maisons, les pages , les valets, se croyaient au-dessus des lois. C’é
pit le dialogue pendant quelques instants. À la fin de la comédie, un page couvert d’une livrée jaune, appartenant à la mais
eux de s’en aller en paix, car, au coin de la porte de la comédie, le page qui avait donné les coups de bâton, le jeune homm
s de bâton, le jeune homme au justaucorps de velours noir et un autre page se pressaient pour parler au procureur du roi ; d
t à laquelle, d’ailleurs, on n’oserait plus prétendre. Aussi quelques pages de ce livre, qui ne méritait pas un tel honneur,
intérêt à la reproduire ici. L’impression qui ressort des nombreuses pages que Le Mercure galant consacra à l’oraison funèbr
émoignages d’elle comme actrice. Il faut à ce propos transcrire cette page de l’auteur anonyme des Entretiens galants (1681)
lui donnait ces différents noms (nous avons vu encore Mlle Le Baron,  page 102), Jeanne Auzoult ou Auzou fut une beauté célè
relative à Molière, la plaque d’Auteuil dont il est parlé ci-dessus, page 283, et celle concernant le théâtre du Palais-Roy
celle concernant le théâtre du Palais-Royal dont il est question à la page 345. L’histoire de la sépulture de Molière depuis
e dans notre seconde édition des Œuvres complètes de Molière, tome 1, pages 313-385. 1. « Molière et Louis XIV », Revue d
e… » Voyez notre édition des Œuvres complètes de La Fontaine, tome V, page XXXIV. 6. Mot difficile à lire. 7. Elle avait
ublia un grand nombre de romans. 17. La Troupe de Molière à Agen, 8 pages . Agen. Noubel, 1874. Deuxième tirage, Paris et Bo
fait la satire desprécieuses de Montpellier. On peut lire cette jolie page de leur Voyage, où Molière est devancé. (Édition
ue par M. Monval en 1890. 102. Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année, page 12. 103. Voyez ci-devant, page 111. 104. Mercu
Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année, page 12. 103. Voyez ci-devant, page 111. 104. Mercure de France, mai 1740. Lettre s
ns de son temps. (Voyez édition Monval, 1887.) 105. Voy., ci-devant, page 154. 106. Voyez Les Médecins au temps de Molière
par Aug. Vitu ; Paris, Alphonse Lemerre, 1882. 115. Voyez ci-après, page 306. 116. Cette relation, sans signature, a été
s historiques et artistiques sur les monnaies de France, 1850, in-8°, page 193.M..B. Fillon en envoya l’autographe à M. Tasc
publié par M. P. Faugère ; Paris, Duprat, 1862. 118. Voyez ci-après, page 308. 119. Note de Brossette sur l’épître vu de B
Boileau, reproduite dans L’Iconographie moliéresque de Paul Lacroix, page 261. 120. Il mourut en venant de jouer une coméd
ujourd’hui la rue de l’École-de-Médecine. 135. Le Théâtre français, page 85. 136. Voyez page 40. 137. Voyez Recherches s
l’École-de-Médecine. 135. Le Théâtre français, page 85. 136. Voyez page 40. 137. Voyez Recherches sur Molière, par E. So
si, comme on peut le conjecturer, elle était née en 1624. 140. Voyez page 229. 141. Histoire du Théâtre français, tome XI
es, La Fameuse comédienne ; Paris, Barraud, 1870, p. XX.) 147. Voyez page 332. 148. Voyez Brouchoud, Les Origines du théât
ble. L’acte de décès doit la rajeunir de cinq ou six ans. 153. Voyez page 78. 154. L’estampe est reproduite dans le volume
tutions, usages et costumes, publié à la librairie A.-F. Didot, in-4, page 311. 155. Voyez page 103. 156. Variante : Allez
tumes, publié à la librairie A.-F. Didot, in-4, page 311. 155. Voyez page 103. 156. Variante : Allez, belle marquise. C’es
nt adressés. 157. Racine. 158. Mignard. 159. Voyez la note 2 de la page 356. 160. Voyez p. 90. 161. Recueillie par les
ar les frères Parfait, dans L’Histoire du Théâtre français, tome XII, page 472. 162. Portraits des comédiennes de l’hôtel d
172. Depping, Correspondance administrative sous Louis XIV, tome IV, page 571. 173. Œuvres diverses de M. de Segrais ; éd
n, mais il ne put s’y résoudre. » 177. Avocat alors en renom. 178. Page 120, note 1. 179. Mémoire des principaux actes d
31
ntérêt, qu’il a malheureusement enfouis dans un gros in-octavo de 427  pages , tiré à 300 exemplaires seulement : L’Instruction
le chapitre intitulé : « Molière est-il venu à Albi ? » occupe douze pages à peine (205 à 216). Le premier de ces textes, do
sérée dans son Musée des monuments français paru en l’an X, tome III, pages 24 à 28, les mêmes détails, les mêmes énonciation
teur. Enfin, dans son Pariseum, Blanvillain disait également en 1802 ( page  223) : « On a détruit, il y a six mois, dans la r
bonne fortune de connaître Molière. Ce souvenir lui a dicté quelques pages du plus haut intérêt, et qui semblent cependant a
s, chez Claude Barbin, au signe de la Croix, 1669, petit in-12 de 172  pages , y compris 5 feuillets préliminaires, et 67 pages
petit in-12 de 172 pages, y compris 5 feuillets préliminaires, et 67  pages . Le frontispice gravé, qui compte dans les 5 feui
rents y eurent boutique. 9. Le Roman de Molière, in-12,1863. Dentu, page  173. 10. Marque typique du temps. 11. Biographi
Archives Nationales, KK 1020 fº 64. 20. Voir le Nº 4 du Moliériste, pages 113 et 117. 21. M. Duvivier est grainetier à l’e
ier et qui subsiste encore, au coin de la rue des Jardins St. Paul », page 125. 27. Par une particularité aussi curieuse, e
ssi logé Rabelais. (Voir Emmanuel Raymond, Molière dans le Languedoc, pages 52, 53.) 28. Registre de La Grange, p. 3. Éd. d
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Caracteres propres à tous les rangs. » pp. 328-330
a dit : Tout Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages . Moliere s’est gardé de prendre pour son héros
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
llustre M. Diderot dit, dans ses réflexions sur la Poésie dramatique, page 11 : « Que quelqu’un se propose de mettre sur la
impartial comme tous les grands hommes, dit encore dans sa Poétique, page 31 : « Que j’aie un plan à former : sans que je
34 (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-
inira par demander pardon lui-même : elle a raison. Dans celle grande page de notre histoire, nous voyons le juge qui a mis
st triste. Molière, d’un bout à l’autre, sans excepter une œuvre, une page , une ligne, un mot, est navré et navrant. La plai
35 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
l’imprimer et de l’adresser au roi. Ce livre contient soixante et dix pages . À la première page il y a une figure d’Arlequin,
resser au roi. Ce livre contient soixante et dix pages. À la première page il y a une figure d’Arlequin, qui est de trois po
36 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
pillé de croches et de doubles-croches, fleure : l’art par toutes ses pages . « Notre côté à nous n’est pas celui de tout le m
37 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
us les coups de ciseaux des dames dont les larmes avaient mouillé les pages de ses romans. Quand il perdit son père à dix-hui
me le vitriol et le sucre. Ils ne dorment pas contents, si, dans leur page écrite le matin, ils n’ont pas trouvé moyen de fa
e Médecin malgré lui, Monsieur de Pourceaugnac, etc., et lisez-en une page . Puis, pour saisir par le contraste le caractère
contraste le caractère propre de cet esprit et de ce style, lisez une page de Shakespeare. Dans Shakespeare, la pensée march
érature anglaise, livre III, chap. i. 421. Taine, Ibid. 422. Voyez page 32. 423. Saint-Simon, Mémoires. 424. La Feuilla
es sur la vie de Molière. 434. Bazin, Notes historiques. 435. Voyez page  79 et suiv. 436. Michelet, Louis XIV. 437. La B
. 438. Cousin, La Société française au dix-septième siècle. 439. V. page  82. 440. Louis Moland, Molière, sa vie et ses ou
38 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
t ses lettres, qu’on montrait en divers lieux, ressemblaient trop aux pages d’un livre écrit sans naturel, sans grâce et sans
teur, constaté par des éditions faites sous ses yeux (voyez tome Ier, page  98, note 13). S’ils ont pu retrancher des Fourber
 13). S’ils ont pu retrancher des Fourberies de Scapin (voy. t. VIII, page  372, note 14) une portion de scène qui se trouve
n de la pièce, au lieu d’être, suivant la coutume, portées au bas des pages , où je continuerai de mettre celles qui n’offriro
au vanter le roi dans vos ouvrages, Et de ce nom sacré sanctifier vos pages  ; Qui méprise Cotin, n’estime point son roi, Et n
39 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
texte, que mademoiselle Mars régnât en chef et sans partage, dans ces pages où son souvenir apparaît, à chaque ligne, avec la
ntière, eh bien, qu’il la cherche çà et là, répandue à chacune de ces pages , et des pages qui viendront, plus tard, comme on
n, qu’il la cherche çà et là, répandue à chacune de ces pages, et des pages qui viendront, plus tard, comme on ramasse, dans
t glaçant d’une main lourde et dolente ? La vie où est-elle, dans ces pages que l’ennui frappe soudain de son plomb ? « La pe
ans toute sa grâce et dans tout son charme, le repos rustique ! Cette page heureuse exhale encore la suave odeur de nos saul
40 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
romis vérité ; il faut lui pardonner cette étourderie. À la vingtième page , il nous prépare adroitement au mariage de Molièr
aisanteries, puisqu’il le fait encore parler sur le même ton dans les pages suivantes, dans des aventures, qui sont même épis
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
ol, y est en habit de cavalier, avec Thérese sa suivante, déguisée en Page Thérese lui conseille, si elle veut passer pour u
la porte au nez. Bélise veut voir le téméraire qui a dispute avec son Page . La rage de Rodrigue augmente en voyant encore un
s ma chambre Don Célidoro, ce jeune cavalier qui t’a répondu avec son page  ; parle, n’est-ce pas la seule cause ? Rodrigue.
42 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
’exposerai bientôt tous ces portraits, qui aujourd’hui sont de vraies pages de l’histoire dramatique. Beaucoup de mes amis le
s comme il me fâchait de retourner en Piémont sans y amener encore un page de musique, et que je me trouvais tout porté dans
spérée. Dans La Fameuse comédienne, un pamphlet qui calomnie à chaque page , mais qui a aussi ses airs de vérité, on parle ai
jà dit ailleurs : Il y a là du vrai et du faux, comme dans toutes les pages de La Fameuse comédienne. Si la Du Parc eût trait
nes rivaux. Substituez marquise à princesse, et vous croirez lire une page des mémoires poétiques de Corneille : Je m’attac
es. Il jouait le rôle d’un homme de particule, toujours suivi de deux pages , habillé comme un gentilhomme ruiné, velours frip
, entrer au parterre avec les gardes du corps, les chevau-légers, les pages , les bourgeois, les étudiants ! nous saluerions d
ie  juillet 1670. Signé Louis et plus bas Colbert. » Voici une autre page officielle d’après le Registre de La Grange : « 
ait couru la province avec Molière. 16. Qui a le mieux peint en une page cette vie en plein orage avec de rares arcs-en-ci
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. Des Caracteres de tous les siecles, & de ceux du moment. » pp. 331-336
t rimée sur celle de Moliere. Don Juan. Tout Marquis veut avoir des Pages . Il n’est rien si commode, Vois-tu ? l’hypocrisie
44 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
e prendre place dans notre récit, fût accompagnée de notes au bas des pages indiquant nos sources et justifiant nos dires. No
n faire connaître Molière et ses relations avec ses camarades que des pages plus brillantes et des phrases plus sonores : « 
plus brillants, et auxquels Voltaire a cru devoir consacrer plusieurs pages , durent une partie de leur charme aux efforts réu
en lire quinze ou vingt vers. « L’arrêt qui imposait la lecture d’une page entière, dit Louis Racine, était l’arrêt de mort.
s son bienfaiteur. Il est triste de penser qu’on rencontre plus d’une page semblable dans la vie de l’auteur d’Athalie. Sa c
porains de l’auteur. L’Avare est, ainsi que Les Femmes savantes, une page immortelle de l’histoire de nos mœurs ; mais le v
e, Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages . Ce fut à Chambord, le 14 octobre 1670, que l’on
vive à jamais. Addition Nous avions trouvé (voir les notes des pages  47 et 54) quelques détails relatifs à Molière dan
850-mai 1851), t. VII, p. 685 et 686. 3. Voir ci-après les notes des pages  87, 192 et 207. 4. Revue française, 1857-58, t.
écourt. » — Nous lui signalerons également ces trois assertions de sa page  xcv, à l’occasion du succès de vogue des Précieus
ue par M. Arnaud-Delcheverry, archiviste de la mairie de cette ville, pages  12 et suivantes de son Histoire des théâtres de B
oire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages  103-106. On doit à l’auteur de cet ouvrage la déc
ents nouveaux sur Molière et ses camarades, celui que nous avons cité page  14, celui-ci et deux autres que nous mentionneron
ites sans s’être bien rendu compte de leur portée, consacre cinquante pages à plaider pour Dufort contre Molière qu’il accuse
oire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages  119-120. 19. Histoire des pérégrinations de Mol
oire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages  120-122. 20. Notes historiques sur la vie de Mo
es 120-122. 20. Notes historiques sur la vie de Molière, par Bazin, page  49. 21. Préface de l’édition des Œuvres de Moliè
et obtint le privilège dont nous avons donné un extrait au bas de la page  57, et L’École des maris, achevée d’imprimer le 2
tout exprès un auteur sans réputation. » Boursault prend durant trois pages cette dédaigneuse plaisanterie au sérieux, et pro
que pour aller chez le Roi et chez Monsieur. 77. Voir précédemment, page  54, note 2, et page 57, note 1. 78. Un historie
le Roi et chez Monsieur. 77. Voir précédemment, page 54, note 2, et page  57, note 1. 78. Un historien littéraire de beau
arrondi, s’appelait Turcaret. 87. Ce que nous allons citer se trouve pages  118-125 d’un appendice commençant à la page 91 et
s allons citer se trouve pages 118-125 d’un appendice commençant à la page  91 et allant à 138 (136 seulement numérotées), pl
t Molière, comédien, au cimetière des morts-nés, à Paris », et se lit page  27 de L’Apollon français, ou l’Abrégé des règles
sympathie. (Voir La Prison de Monsieur Dassoucy, Paris, 1678, in-12, pages  71 et 160, et La Jeunesse de Molière, par M. Paul
La Jeunesse de Molière, par M. Paul Lacroix, Bruxelles, 1856, in-32, pages  176-178.) 102. Chapelain, dans sa Correspondance
45 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
guère de la psychologie de Racine1, nous tenterons d’exposer dans les pages qui suivent ce que l’on peut appeler la philosoph
e ses intentions. secrètes ; nous y avons touché incidemment dans les pages précédentes ; mais comme la même question se repr
avant que de la combattre. » Peut-on croire que Pascal eût écrit ces pages si vives et saisissantes s il n’eût rencontré aut
, Notice, p. 343. 6. Notice, p. 34. 7. Œuvres de Molière, tome V, page  217. 8. L’auteur de ce pamphlet parle d’un philo
béré n’est pas un maître ruiné, et c’est la succession qui paie. 13. Page 142. 14. Voyez Sainte-Beuve, Port-Royal, tome II
46 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
esse, et que le rire qui éclate sur les lèvres d’un homme ou dans les pages d’un livre est un signe non équivoque de gaieté ?
ral, plus sage, Apprend à mener sa maison ; Car il rencontre à chaque page Des maximes pour sa raison Et des conseils pour s
pierre de l’angle. Nous nous contenterons de renvoyer le lecteur aux pages  68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 323, 352, 36
. 11. Douzième leçon. 12. Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14. Pages 69, 298, 299, 348 du tome Ier. 15. Deuxième leç
circonstances plus ou moins heureuses. — Septième leçon. 42. Voyez page  44, note 2. 43. Le critique Aristophane. 44. Ve
47 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
ors aussi la province, avec son luth, son théorbe, et ses deux petits pages ou enfants de musique, société suspecte qui lui v
espoir que tous mes lecteurs me pardonneront d’avoir employé quelques pages à éclaircir, autant qu’il était en moi, une quest
té du style se joignent à la force et à l’élévation des pensées. 2. Page 1057 et suivantes du tome VIII de l’édition en 12
e 1057 et suivantes du tome VIII de l’édition en 12 volumes in-8º, ou page 360et suiv. du tome XLVIII de l’éd. de Kehl, 70 v
n pour être mis en tête de cet ouvrage (voirŒuvres de Racan, tome II, page 211). François de Molière, sieur d’Essertines, au
n de sa composition, devant la duchesse de Savoie, par Pierrotin, Son page de musique, celui-ci, qui avait perdu la voix à f
, et les Italiens les autres jours. 45. Œuvres de Segrais, tome II, pages 138 et 159 de l’édition en deux vol., Paris, 1755
ger son père, composa l’Impromptu de l’Hôtel de Condé. Voir tome III, pages 331 et 332 de cette édition. 50. Œuvres de J. R
à la seconde représentation du Bourgeois gentilhomme(voir tome VIII, pages 186 et 187 de cette édition). 61. Telle fut, en
sa conversation. » 122. Voir les Lettres de Bussy-Rabutin, tome IV, pages 36 et 38. Treize jours étaient sans doute un demi
comme on pourrait le croire. L’extrait du registre de La Grange, cité page 162, note 2, prouve que cette clôture du théâtre
48 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
Avant-propos Ces pages nouvelles sur Molière n’ont d’autre prétention qu
mmes, pourquoi ne nous ferait-il pas découvrir aussi quelque jour une page inconnue et tombée de leur plume, un cahier de pa
stérité n’a pas mieux dit. VI. Les calomniateurs de Molière Ces pages ne sont point — ai-je besoin de le dire à présent
èque de l’Arsenal. On éprouve une certaine tristesse à feuilleter ces pages vénéneuses et à se dire que chacun des traits emp
Bonne Foy couronnée, 1670, in-12, de 4 folios préliminaires et de 112  pages ). Elle est fort rare et à peu près introuvable. L
ues repeints exceptés, dans le bras, — mais encore c’est là comme une page d’histoire. On s’imagine, en la voyant, Molière p
peignit Mignard et que grava Nolin en 1685. Celui-là est vraiment une page d’histoire et, pour la critique littéraire, il es
omédiens français le 17 février 1773 (Paris, Callot, 1773, in-8 de 48  pages ). Nous trouvons encore cette pièce dans la Biblio
français le 18 février 1773 (Paris, Veuve Duchesne, 1773, in-8 de 64  pages ). L’auteur était l’abbé Lebeau de Schosne. Sa piè
ècle, par P. Laforest. (Limoges, Chapoulaud frères, 1862, in-8.) À la page 6 : —  Rencontrer à cent lieues de Paris, au fon
urs, sur la fièvre quarte. (Œuvres meslées, édit. de 1659, 2e partie, pages  78-79) : Votre prudence est endormie De traiter
49 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
contre. 23. Voyez V. Fournel, Les Contemporains de Molière, tome II, page  220.
50 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
e côté de l’histoire ni par celui de la critique, ni dire en quelques pages ce qui a produit tant de volumes, ni trancher pré
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, note 1, et plus haut, page 227, note 2. 827. Préface du Tartuffe. Voir plu
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
les Disgraces d’Arlequin ; une Farce de Chevalier ; & une ou deux pages de Ne pas croire ce qu’on voit, histoire espagnol
52 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
m d’Auteur. Elles se trouvent dans le dernier Volume de cette Edition Page 537. On excita Moliere à joindre à l’Edition de l
u’il dînoit en nombreuse compagnie avec M. le Marquis de M*** dont le Page , pour tout domestique, servoit à boire, il souffr
us prie, Marquis, dit il à M. de M*** donnez-nous la monnoye de vôtre Page . Chapelle se seroit fait un scrupule de refuser u
faire des vers Latins. Il écrivit les Hendecasyllabes, qu’on lit à la page 483. du IV. Volume de cette Edition. Hic facund
ans la Vie de Moliere composa le Madrigal, qui se trouve dans la même page aussi bien que l’Epitaphe Latine, & la traduc
ue l’Epitaphe Latine, & la traduction Françoise qu’on lit dans la page suivante. La Fontaine ne voulant pas qu’un si gra
s, Sous ce tombeau gisent Plaute & Terence. On la trouve a la page 472. du IV. Volume de cette Edition. Il n’y eut p
dans l’article, que l’on trouve dans le IV. Volume de cette Edition, page 464. il ne seroit pas facile de justifier Moliere
53 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
malgré moi, cloué sur un ouvrage, Retouchant un endroit, effaçant une page , Enfin passant ma vie en ce triste métier, J’envi
54 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
uer, vos flûtes mieux d’accord. 25. L’Art de la Comédie, tome II, page  6. 26. Voyez ci-contre Scapin, d’après la planch
55 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
, et le Festin de Pierre de 1665. Voir d’ailleurs plus haut, chap. I, page 17, note 2 ; et plus loin, page 235. 750 751.
. Voir d’ailleurs plus haut, chap. I, page 17, note 2 ; et plus loin, page 235. 750 751. Deut., cap. VI, v. 5 : « Dilig
56 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
ières espérances d’un règne heureux, et déjà l’on peut voir, dans ces pages , une profonde sécurité de toutes choses ! On y vo
ent de la journée, on ne vous demande qu’un journal, c’est-à-dire une page écrite en courant, au courant de la plume, en deh
a osé intituler : L’Argent, on se demande comment il se fait que ces pages athéniennes, d’un atticisme si pur, car c’est là
Pâtissière, la Dame de pique et la Dame de carreau : dames, écoliers, pages , chevaliers. On passait ensuite à la Mascarade du
vait indiquées dans ce ballet joué à Chambord : bourgeois babillards, pages éventés, filles coquettes, Suisses, Gascons, Impo
drame caché dont M. Bulwer et ses complices ont fait une parodie. Ces pages chrétiennes exhalent les angoisses et les douleur
l’esclave de Louis ! » Et cette folle, qu’on fait parler ainsi trois pages durant, c’est madame de Montespan, cette superbe
57 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
1. Voyez l’Histoire littéraire d’Italie, par M. Ginguené, tome VI, page  299.
58 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47
tements, un valet et un cheval à son service. Racan commença par être page de la chambre du même roi. Mainard était secrétai
59 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
utez cet autre fait rapporté par madame de Caylus dans ses Souvenirs, page  89 : « L’aînée des enfants de madame de Montespan
60 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412
r le nom de Mont-Espan par analogie avec Mont-Liban ? 124. Voyez les pages 374 et suiv. ci-dessus. 125. Les documents fourn
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
notre troupe italienne. Deux volumes ne nous suffiroient pas : chaque page , à la vérité, nous feroit admirer de plus en plus
62 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
e contre la langue, ni une locution douteuse, sans les relever. 26. Page pénultième des Mémoires de Dumaurier, citée dans
63 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
eprésentation d’Amphitryon. Mademoiselle de Montpensier rapporte à la page déjà citée que peu après les propos dont elle rép
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
ux de la félicité de son ami. Arlequin blâme cette jalousie, quand un page de Dona Anna demande le Duc pour lui remettre une
n Juan affecte de lorgner Dona Anna ; elle n’y est pas insensible. Un page annonce au Commandeur qu’on le demande : il fort.
65 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
re de chaque semaine. À l’instant même je me mis à l’œuvre, et sur la page blanche j’écrivis le titre de mon nouveau chapitr
e les récompenses, qui est de les rendre meilleurs. » Ce sont là des pages admirables et tout à fait dignes que le critique
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
ne. Le Sosie latin débite à sa lanterne une narration de dix ou douze pages , sans qu’elle daigne répondre un seul mot : aussi
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
écidé le destin des principaux personnages, ils emploient souvent des pages entieres pour arranger les affaires des acteurs l
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283
des personnages étrangers y venoient exercer ». Tome I, Section XXI, page 157. Nil intentatum nostri liquêre poetæ, Nec m
69 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
est, par exemple, Lazare arrivant avec son faucon sur le poing et son page qui mène ses chiens après lui; Nabuchodonosor com
nthrope et Les Précieuses. 3. Sainte-Beuve. Poésie au XVIe siècle, page 175 de l’édit de 1843. 4. M. Pingaud, transféré
70 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
par forme de supplément à l’article de cette pièce, que l’on trouvera page  178 et suivantes de ce huitième volume. « Je ne
le à sa mode. » [*]Chappuzeau dans son Théâtre français, livre III, pages  213 et 214, parle d’une troupe de comédiens espag
71 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
exactement connus que des seuls participans. Aussi, dès les premières pages , l’incrédulité naît chez le lecteur ; il voit tro
régals. L’abbé ne manquoit pas de lui envoyer tous les matins par un page le gage de leur traité et de l’aller voir toutes
me demeurant dans la même maison, ou bien que les allées et venues du page et de l’abbé ont passé inaperçues pour le mari, o
72 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
enta à M. le Prince l’Épitaphe suivante, dont on a parlé au bas de la page 507, du Second Tome de cet ouvrage155.      Ci-
en de Genève, directeur de pension à Paris, pour finir gouverneur des pages à la cour du duc de Zell (1682). Chargé d’une nom
joué : comédie en 5 actes et en prose. Selon la notice de la pléiade, page 1471, tome II, les deux scènes insérées sont la s
tes Dramatiques) → représentations. 154. On retrouve cette anecdote page 37 du Bolaeana datant 1742. « Au reste Monsieur D
ements d’auteurs. 155. La référence donnée est fausse. Certes, à la page 507 on parle de cet abbé mais cela n’est pas dans
73 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
u tel, dont les noms figurent, en petits caractères, au bas de chaque page de ses œuvres dans les éditions Variorum. Et si
le humeur, lance aux loges des quolibets, auxquels les laquais et les pages , ces pestes du théâtre, mêlent quelques lardons.
pas l’intention d’analyser ce petit chef-d’œuvre, qui, dans ses vingt pages , nous en dit plus que les plus gros livres sur la
74 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
édition de son curieux volume. Je trouve cette anecdote, au tome II, page 102, de la Mosaïque historique de Dusaulchoy, pub
entretien, répété à l’auteur de la Fameuse comédienne 8 est devenu la page la plus curieuse et la plus authentique en même t
nsi que l’était ce poète assez maltraité, dont parle Tristan dans son Page disgracié ; mais enfin, trouvant qu’être acteur v
était à Béziers avec sa troupe, augmentée de Dassoucy et de ses deux pages de musique. C’est alors aussi, ce qui vaut mieux,
e celle-ci au passage, et il la cloue aussitôt, sur sa vilaine petite page , par ces mots, qui — certes, il ne s’en doutait p
t le plus curieux : Qui nous apparaît, dans un coin de l’intéressante page et sur le premier plan ? Molière. Oui, Molière lu
ce jeune roi, que la mort de Mazarin venait à peine de mettre hors de page , on trouve, à ces vers, dits pour la première foi
fragment par fragment, et prit-il, chaque jour, dans le succès d’une page applaudie, le courage d’écrire la page suivante ?
que jour, dans le succès d’une page applaudie, le courage d’écrire la page suivante ? Ce qu’il nous a dit lui-même, au comme
ion des jardins de Versailles, adroitement glissée dans les premières pages du livre, était la principale cause de cette fave
l l’expiait, en n’étant pour rien dans une mauvaise action. C’est une page de Senécé, dans son pamphlet contre Lully, publié
e la plus vulgaire, si elle était à la gloire d’un roi. Parlant, à la page 314 de son volume, de l’anecdote du déjeuner : « 
atre, mais trois volumes seulement, et le fait se trouve non pas à la page 4, mais à la 8e du tome III. Vétille ! dira-t-on.
conservateur adjoint des musées impériaux. Paris, 1863, in-8° de 387 pages . 2. Le Roman de Molière, suivi de fragments sur
omédienne, pour désigner l’une des mines favorites de la Molière. 8. Page 20. 9. Corresp. entre Boileau et Brossette, édi
article sur Don Juan, Revue des Deux-Mondes, 1er février 1847). 41. Page 564. 42. Correspondance  entre Boileau et Bross
que virent M. Beuchot et A Martin. 51. Tome 1, p. 303, n° 1306. 52. Page 28. 53. A la suite de la Correspondance de Boile
la plus intéressante, dans l’Athenaeum français de 1856, p. 46. 103. Page 47. 104. La Promenade de Saint-Cloud, par G. Gué
atoire et familier. (Note de l’Éditeur). 145. Voyez ci-dessus, à la page 107, cette plaisante histoire, qui prouve que Gav
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93
les Princes tragiques en petits-maîtres, & les petits-maîtres en pages  ; ceux qui veulent donner de l’emportement &
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
peut comparer ces scenes avec le Conte du sieur d’Ouville, partie I, page 365. Tour subtil d’un Filou. Il y eut deux fre
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410
yons les richesses que Moliere y a puisées. Nouvelle LXVIII, Tome 2, page 133. Henry Berlinguier, riche marchand de Floren
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
E BOURGEOIS GENTILHOMME. Acte IV. Scene VI. CLÉONTE en Turc, TROIS PAGES portant la veste de Cléonte, M. JOURDAIN, COVIELL
79 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
II, et surtout chap. IX. 409. Voir plus haut, chap. IV, p. 78. 410. Page 116, note 1. 411. M. de Pourceaugnac, act. I, s
80 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
orsqu’elle y vient à parler de la personne du roi, elle remplit trois pages de détails. Ces détails ont été remplacés par des
81 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
génie et de grandeur : l’an de grâce 1666 ! Au moment où j’écris ces pages funèbres, dans ce cabinet où si souvent elle est
rs m’écoute encore et — contente de son apothéose — elle sourit à ces pages où sa trace est restée. Hélas ! la trace est fugi
en 1788 ? Et qui donc a créé le rôle du grand Frédéric dans Les Deux Pages  ? Ô les belles questions à se faire, par Dieu ! E
la fidélité historique, témoin son rôle de Frédéric II dans Les Deux Pages . Longtemps avant la première représentation, Fleu
es tavernes où se boit à grands traits, le vin frelaté. Que de belles pages il a perdues ! Que de belles pages il a données à
its, le vin frelaté. Que de belles pages il a perdues ! Que de belles pages il a données à son voisin ! Que de livres il a fa
jours, en voici quelques-uns qui méritent un souvenir, même dans ces pages que nous arrachons à l’oubli, de toutes nos force
il fait rire les immortels ! Dans Le Jugement dernier de Michel-Ange, page terrible, le grand peintre a placé toutes sortes
son. Il n’y a que les honteux qui perdent. Au reste, on lit, quelques pages plus bas, un autre vers de Molière : Mon cousin,
édites de Diderot. — Tome IV — Paris 1834. 31. Amphitryon, scène i, page  7. De l’édition Aldine, 1522. 32. Cicéron a dit
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
ut au plus être indiqués dans un ouvrage de trois cents quarante-huit pages , encore le quart est-il consacré à la parodie ; a
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
 ; mais il est nécessaire que nous parcourions auparavant une ou deux pages du Spectateur. Discours XXII.               
84 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
oni. 51. Voyez l’Appendice, nº 7. 52. Arlequiniana publié en 1694, page  2. 53. Cette scène faisait certainement partie d
85 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
mbattre la douleur du roi et ramener à une sainte résignation. Trente pages de La Beaumelle contiennent cette histoire presqu
86 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
usseau, Lettre à d’Alembert sur les Spectacles, plus loin, chap. Il1, page 44, note 1. — « Oui, Molière a tourné l’honnêteté
87 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
iage, en trois tomes ; le chapitre des agréments contient la première page du premier feuillet du premier tome et le chapitr
88 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
âtre sous le nom de Montfleury, était un gentilhomme d’Anjou. D’abord page du duc de Guise, il le quitta bientôt pour courir
ires du théâtre, que La Harpe, dans son Cours de littérature (tome V, page  421, de l’édition originale), attribue à ce même
89 (1739) Vie de Molière
et l’envie de faire un volume de ce qui ne devrait remplir que peu de pages , sont cause que l’histoire des hommes célèbres es
e, Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages . Cette faiblesse est précisément la même que cel
90 (1910) Rousseau contre Molière
orcé de le dégrader contre la vérité du caractère. » Encore que cette page de critique ait une grande allure et contienne un
e de tourner en caricature, et, d’autre part, à travers la magnifique page de Jean-Jacques Rousseau : « C’est un de ces homm
soient bien naturelles. Ce qu’il y a de curieux, c’est que, quelques pages plus haut, Rousseau a soutenu cette double théori
exagération oratoire. Mais ce qui est remarque très juste dans cette page de Rousseau, c’est que les successeurs de Molière
oyais pas être Si plaisant que je suis ! et qui ne peut pas lire une page de Molière sans y trouver son antipode, son antip
i de l’honnêteté. » Et c’est tellement son véritable avis que, quatre pages plus loin, attaquant la mauvaise coquetterie, il
qu’elle fait d’eux ; je reconnais qu’il y a un grand sens dans cette page et je prie qu’on la marque ici d’une « oreille »
e ces deux hommes-là, il y avait incompatibilité radicale. Il y a une page célèbre de Sainte-Beuve que j’ai bien souvent cit
e, c’est… » Au fond et en résumé, il n’y a pas autre chose dans cette page que ceci : aimer Molière, c’est aimer la simplici
91 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
description desquels Voltaire n’a pas dédaigné de consacrer plusieurs pages , étaient dans ce goût moitié guerrier et moitié g
92 (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32
é faites. Laharpe dans son Cours de Littérature n’a consacré que cent pages à l’examen du théâtre le plus parfait que nous co
93 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
’aurais pu me contenter de mettre après ce titre une demi-douzaine de pages blanches. Mais la Comédie est la Comédie : le rép
94 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
du rossignol ne l’est point (avril 1865). 283. Voyez la note 1 de la page  79. 284. Voyez la note 2 de la page 215. 285. C
65). 283. Voyez la note 1 de la page 79. 284. Voyez la note 2 de la page  215. 285. C’est l’idée qu’Alexandre Vinet se fai
95 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
Fénelon, Lettre à l’Académie française, VII. Voir plus haut, chap. I, page 18, note 1. — J.-J. Rousseau : « Vous ne sauriez
96 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
XII. 465. Le Misanthrope, act. IV et V. — Voir plus haut, chap. VI, page 112. 466.   Le Misanthrope, act. III, sc. IV-V
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
ançoises, Roman de M. de Challes. Comme cette histoire a plus de cent pages , nous allons l’extraire. Précis de l’Histoire de
98 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
t d’annoter Racine et disant : « Il suffit de mettre au bas de chaque page  : admirable! admirable ! admirable !» Je suis à
99 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
amoureux. Les réflexions de Zucca ne remplissent pas moins de quatre pages de texte, et sont très impertinentes pour le sexe
100 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
te liste le portrait du Louvre, qui inspirait à Michelet une si belle page descriptive ; mais, longtemps classé sous le nom
tié qu’ils ont ressentie. Je n’essaierai point de refaire l’admirable page de Port-Royal, où Sainte-Beuve a défini la triste
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