ERRATA.
Page
8, note 1, au lieu de : act. I, sc. I, lisez : ac
Page 8, note 1, au lieu de : act. I, sc. I, lisez : act. III, sc. II.
Page
18, note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourdain, li
18, note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourdain, lisez : Mme Jourdain.
Page
53, ligne dernière, au lieu de : et, lisez : et à
Mme Jourdain. Page 53, ligne dernière, au lieu de : et, lisez : et à.
Page
55, lignes 12 et 13, au lieu de : pourtant, jusqu
s 12 et 13, au lieu de : pourtant, jusqu’à, lisez : pourtant jusqu’à.
Page
88, ligne 16 : Limousin. Note omise : Quoique la
estent que Molière en faisait une compatriote de M. de Pourceaugnac.
Page
95, ligne 14, au lieu de : linges, lisez : linge.
Pourceaugnac. Page 95, ligne 14, au lieu de : linges, lisez : linge.
Page
126, ligne 14, au lieu de : noblesse, lisez : nob
e. Page 126, ligne 14, au lieu de : noblesse, lisez : noblesse d’âme.
Page
129, ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez : étern
esse d’âme. Page 129, ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez : éternel.
Page
143, lignes 2 et 3, au lieu de : Diafoirus, ne, l
143, lignes 2 et 3, au lieu de : Diafoirus, ne, lisez : Diafoirus ne.
Page
212, ligne 9, au lieu de : du, lisez : de notre.
: Diafoirus ne. Page 212, ligne 9, au lieu de : du, lisez : de notre.
Page
215, ligne 4, au lieu de : vaniteux, ou, lisez :
Page 215, ligne 4, au lieu de : vaniteux, ou, lisez : vaniteux : ou.
Page
242, ligne 17, au lieu de : vingt après, lisez :
age 242, ligne 17, au lieu de : vingt après, lisez : vingt ans après.
Page
263, ligne 1, au lieu de : distraction suffisante
de la Vie de Molière. ô infortuné Petitot ! « Au contraire, sot. » (
Page
6.) « Plat écrivain. » (Page 21.) « Quelle lourde
rtuné Petitot ! « Au contraire, sot. » (Page 6.) « Plat écrivain. » (
Page
21.) « Quelle lourdeur de collège, pensées bourge
ourgeoises, les pensées de Johnson, le stile de Me Dudeffand. " (Même
page
.) « Qu’en sais-tu, bête ? » (Page 28.) Voici « l
, le stile de Me Dudeffand. " (Même page.) « Qu’en sais-tu, bête ? » (
Page
28.) Voici « le pauvre diable », lorsque Petitot
morceau de Hobbes sur le Rire, et le discours XXXV du Spectateur, la
page
de Saint-Lambert sur Molière, l’éloge de Molière
nque donc les ff. I-60 au manuscrit. — F. 2. verso : N’a pas (voir ma
page
129) : « Allons, monsieur. » mais il porte On
ive. Au verso de la reliure : « Hamlet 23 and 26 My author two
pages
feraient une bible. Ma illisible close itself se
La seconde brochure35 ne contient qu’une note au bas de la dernière
page
, mais cette note au crayon est une épitaphe et el
ers de 1580 Du reste parfait exemple du sublime 5 janvier 1830. À la
page
suivante, 25, une note répond à Hamlet parlant au
t de compassion, mais fort à agir est le contraire de Hamlet… » Même
page
(toujours au crayon, comme la précédente), le Spe
1 scent the morning air Déjà il a l’expérience de son nouvel état. »
Page
26 : Le Spectre : Cut off even in the blossoms o
(figure)43 ont passé leur tcms à orner leurs habits, moi à orner mes
pages
. Tout l’avantage est pour le tems où ni eux ni mo
e régiments pour sage-femme ». (Approfondissement pour la note de la
page
302.) « L’Italie a su dominer l’Europe parla seu
mmander embrassent toutes les facultés intellectuelles de l’homme ». (
Page
281.) « Jugez d’un gouvernement par ceux qu’il pl
robable, des tombeaux de Cornetto. Vous pourriez apprendre par cœur 8
pages
de Goldoni. J’ai l’honneur d’être, Monsieur, votr
ller de Préfecture délégué, [illisible]. VIII.Vauvenargues55
Page
xlvi de la Notice56 : CITATION DE VAUVENARGUES :
itude est celle qui agit sur un peuple en corrompant ses mœurs. » I,
page
32 : VAUVENARGUES : « Nous prenons quelquefois po
d insensible aux autres choses. » BEYLE : " Profondément vrai. » I,
page
35 : V :" Toutes les passions roulent sur le plai
est l’essence et le fonds. » B : « L’amour de soi. Helvétius. " I,
page
162 : V : « Chaulieu a su mêler avec une simplic
rle de Chaulieu. et ceux qu’il emploie en traitant deMolière. » Même
page
: V : « Molière me parait un peu répréhensible d’
rait un peu répréhensible d’avoir pris des sujets trop bas.… » II,
page
2 : V : « Il n’y aurait point d’erreurs qui ne pé
ent d’elles-mêmes, rendues clairement. » B : « Admirable » II, Même
page
: V : « Ce qui fait souvent le mécompte d’un écri
: « Voir mieux que nature, c’est être mal organisé. L. David. » II,
page
4 : V : « Le courage a plus de ressources contre
’est elle pas courageuse ? Serait-elle raison sans cela ? » II, même
page
: V : « La guerre n’est pas si onéreuse que la se
e est une invasion. » C’est le Commissaire des Guerres qui parle. II,
page
5 : V : « Nous n’avons pas droit de rendre miséra
rables ceux que nous ne pouvons rendre bons. » B : « Sublime. » II,
page
7 : V : « L’estime s’use comme l’amour. » B : «
arler de l’homme estimable, mais dans le cœur l’estime survit. » II,
page
8 : V : « Le trafic de l’honneur n’enrichit pas.
V : « Le trafic de l’honneur n’enrichit pas. » B : « Walpole. » II,
page
13 : V : « Ce qui est arrogance dans les faibles,
t à envahir que lorsqu’il est en révolution. Montesquieu. » II, même
page
: V :« On tire peu de service des vieillards. »
vieillards. » B :« L’expérience les a fatigués d’être bons. » II,
page
21 : V : « On ne fait pas beaucoup de grandes cho
’enthousiasme est l’entrepreneur des miracles. Montaigne. » II, même
page
: V : « La conscience est la plus changeante des
a plus changeante des règles. » B : « Et partant les remords. » II,
page
23 : V : « La pensée de la mort nous trompe ; car
s la mort et c’est ce qui fait la misère de leurs vieux jours. » II,
page
30 : V : « On peut aimer de tout son cœur ceux en
ennemis plus par nos défauts que par nos vertus. Mme de Staël. » II,
pages
30 et 31 : V : « Si nos amis nous rendent des ser
ur Amitié » B : « Que signifie donc ce mot devoir en amitié ? » II,
page
31 : V : « Pour se soustraire à la force, on a ét
tice. » B : « La justice c’est la force, suivant la majorité. " II,
page
43 : V : « La vigueur d’esprit ou l’a dresse ont
corps n’établit-elle pas une supériorité et par là un moyen ? » II,
page
49 : V : « On trouve dans l’histoire de grands pe
ont gouvernés » B : " La volupté ou l’amour est une passion. » II,
page
50 : V : « Le sot s’assoupit et fait la sieste en
un salon dit de bonne compagnie, vous verrez s’il ne s’endort. » II,
page
67 : V : « Nos passions se règlent ordinairement
(sic) sont presque nuisibles à nos besoins et à nos intérêts. » II,
page
68 : V : « Le peuple et les grands n’ont ni les m
ple et des grands diffèrent plus par la forme que par le fond. » II,
page
89 : V : « La licence étend toutes les vertus et
d toutes les vertus et tous les vices. » B : " Mirabeau. " II, même
page
: V : « La paix rend les peuples plus heureux et
et les plus utiles pour les peuples sont les guerres civiles. » II,
page
91 : V : « L’utilité de la vertu est si manifeste
e la vertu qu’afin de mieux tromper et de duper plus aisément. » II,
page
103 V :« La haine n’est pas moins volage que l’
et impitoyables sont plus tenaces que les affections douces. » II,
page
107 : V : « Le terme du courage est l’intrépidité
dans le péril. » B : « Justum et tenacem propositi, etc .57 » II,
page
108 : V : « Il n’y a point d’homme qui ait assez
d’esprit seraient bien embarrassés sans les sots. Talleyrand. » II,
page
110 : V : « Lorsqu’une pièce est faite pour être
vée par le parterre du théâtre pour lequel l’auteur l’a faite. » II.
page
117 : V : « Combien de vertus et de vices sont sa
tus et de vices sont sans conséquence ! » B : « Ko es verdad. » II,
page
120 : V: « Qui sait souffrir peut tout oser. » B
acrifice de sa vie est maître de la mienne. »( S. Shakespeare ?) II,
page
128 V : « L’éloquence vaut mieux que le savoir.
e de la plaisanterie. au lieu de fournir du comique78. * * * [Note i,
page
16 (édition in-8º de 1804).] Cette scène suppose
philosophe qui, dans mille ans, voudrait les connaître. * * * [Nº 2,
page
21.] Le coloris de cette scène ne prouve point en
ommentaire sur Molière, de Simonin, comparaison de Regnard à Molière,
page
.) 6e principe.] Une scène ne nous semble bonne qu
i-ci en venant parler à sa sœur n’est pas raisonnable. * * * [Note 3,
page
29.] Marmontel, tome 2, page 143, édition complèt
ur n’est pas raisonnable. * * * [Note 3, page 29.] Marmontel, tome 2,
page
143, édition complète, assure que Molière a mis l
e dialogue. Tout de suite quelque chose d’original qui réveille. ………
Page
131. Dialogue singulier. Silvestre … ; et je v
t faire semblant d’attendre qu’on lui découvre la grande difficulté.
Page
134. Un caractère plein de force et d’esprit. Pa
ande difficulté. Page 134. Un caractère plein de force et d’esprit.
Pages
136-7. Peinture vraie du commencement d’une passi
’esprit. Pages 136-7. Peinture vraie du commencement d’une passion.
Page
138. Stile rapide qui amuse. Pour que ces nuances
e III] Scène III Hyacinte, Octave, Scapin, Silvestre Hyacinthe
Page
140. Peinture vraie d’une jeune fille amoureuse.
re Hyacinthe Page 140. Peinture vraie d’une jeune fille amoureuse.
Page
140. J’ai ouï dire, … Remarquez l’exactitude du c
te premier, scène IV] Scène IV Octave, Scapin, Silvestre Scapin
Page
142. Contraste amusant du caractère ferme de Scap
I] Scène VI Argante, Scapin ; Silvestre, dans le fond du théâtre.
Page
145. Excellente scène de flatterie, et la plus di
mien ? Hé ? Géronte Comment ? Très piquant. On doit rire à ce mot.
Page
153. Exemple qui fait conclure au spectateur qu’i
ne IX Argante, Scapin ; Silvestre (déguisé en spadassin). Silvestre
Page
173… l’épée dans le ventre un petit ? augmente la
n rougissant de ses parents : Développement du premier désavantage,
page
2. Être ruiné par la famille noble. C’est un ridi
’ailleurs cet autre inconvénient que je les sais par cœur. Jusqu’ici (
page
11) je n’ai pas ri, je me suis seulement rappelé
dée est peut-être téméraire. (Voir les notes sur les Femmes savantes,
page
150.) Comédies classiques, par la facilité avec l
George Dandin Quoi donc ? On rit de la figure de Dandin ; après deux
pages
, l’expression est déjà faite, l’action a marché.
s cet autre inconvénient que je les sais presque par cœur, jusqu’ici (
page
n) je n’ai pas ri. Je me suis seulement souvenu q
x efforts du courroux ? Bonne plaisanterie, tirée du fond du sujet.
Page
123. Il faut dire sans crime en riant à cause du
ut dire sans crime en riant à cause du criminelle du cinquième vers.
Page
124. On rit d’autant plus d’Armande, qu’en qualit
doucement, et écoutant) ; Chrysale, Ariste On ne rit pas jusqu’à la
page
24. Bélise Ah ! chimères ! ce sont des chimères,
est ce qui est prouvé par plusieurs vers de la pièce. Le Sexe aussi,
page
49. Quelque bruit. page 64. Le gros du public ad
plusieurs vers de la pièce. Le Sexe aussi, page 49. Quelque bruit.
page
64. Le gros du public admire un grand dessein, ma
du Molière ; la date est mal écrite : probablement 1811, parce que la
page
suivante est marquée 1811 : mais peut-être 1815.
: …………….* * Voyez au Chapitre Livre la définition de ces mots. 78.
Page
73 - LE DISSIPATEUR ou l’honneste Friponne, Coméd
e mardi 22 février 1814 92. Ce passage sur le Comique est déjà donné
pages
84-85. Comparer les variantes. 93. On marche ve
uin est valet du capitaine Spavente. Une jeune Milanaise, déguisée en
page
, vient sous le nom de Lesbino offrir ses services
. scène III. Survient Lesbino que le capitaine consent à prendre pour
page
, après lui avoir fait quelques questions bouffonn
e récompense à Piombino. scène XV. Le capitaine s’entretient avec son
page
Lesbino de la passion que lui inspire la comédien
le dessein d’assassiner son maître. Arlequin injurie et maltraite le
page
. Flaminia et Isabelle interviennent. scène XVII.
promesse. Arlequin dit à Oratio qu’Isabelle et Flaminia ont enlevé un
page
de son maître, et qu’elles retiennent ce page che
Flaminia ont enlevé un page de son maître, et qu’elles retiennent ce
page
chez elles. Isabelle, saisissant l’occasion de ca
cause de tout ce bruit. Isabelle dit qu’Oratio a voulu lui enlever ce
page
. « Et que voulez-vous faire de ce page ? » repren
’Oratio a voulu lui enlever ce page. « Et que voulez-vous faire de ce
page
? » reprend Pantalon en colère. Isabelle raconte
uteurs des Ingannati : Regardez, messer Spavente, reconnaissez votre
page
, celui qui s’est fait votre serviteur si fidèle,
aisir à leur source les premières inspirations du génie, retrouver la
page
, la ligne, le mot, qui les ont éveillées, et sent
ppé Boileau ; voilà ce qui a dû exciter sa mauvaise humeur : quelques
pages
du livre lui ont fait condamner le livre tout ent
qu’il dînait en nombreuse compagnie avec M. le marquis de M…, dont le
page
, pour tout domestique, servait à boire, il souffr
ous prie, marquis, dit-il à M. de M…, donnez-nous la monnaie de votre
page
. » Chapelle se serait fait un scrupule de refuse
était inévitable. » (La Prison de M. d’Assoucy , Paris, Quenel, 1678,
page
70.) On aime à voir les hommes auxquels Molière s
a joui jusqu’à sa mort, arrivée le 2 avril 1713. (Parfait, tome VIII,
page
406.) F. BOIRON, dit BARON. Molière éleva e
ron, par Dallainval ; 2° Les Amusements littéraires de Cizeron-Rival,
pages
48 et 49 ; 3° Les Lettres de J.-B. Rousseau, tome
ensemble en Languedoc, et revinrent à Paris en 1658. (Frères Parfait,
page
410.) Loret, dans sa Muse historique du 31 mai 16
âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans. (Frères Parfait, tome XIII,
page
294.) L’ESPY. L’Espy, frère de Jodelet, ent
(Théâtre français, par Chapuzeau, p. 282 ; Frères Parfait, tome XIII,
page
296.) HUBERT. André Hubert, comédien de la
s à Beauval. (Note de M. Granval le père. — Frères Parfait, tome XII,
page
473.) LE NOIR DE LA THORILLIÈRE. Le Noir, s
nanciers, avec l’applaudissement du public. (Frères Parfait, tome XI,
page
326.) Actrices. Mademoiselle BÉJART.
1720, âgée environ de soixante-treize ans. (Frères Parfait, tome XIV,
page
527.) C’est mademoiselle Beauval qui créa le rôle
Elle se retira en 1672. Chapuseau, livre III de son Théâtre français,
page
206, met mademoiselle Marotte Beaupré au rang des
tait femme de Verneuil, comédien du Marais. (Frères Parfait, tome II,
page
302.) On raconte que mademoiselle Beaupré ayant e
duel, et il en parle dans ses Antiquités de Paris, tome II, livre X,
page
578. Mademoiselle DU CROISY. Femme de l’act
moiselle de Brie : on la nommait Marotte. (Frères Parfait, tome XIII,
page
299.) FIN DE L’HISTOIRE DE LA TROUPE DE MOLIÈRE.
les Porsile, en trois volumes qui forment ensemble plus de deux mille
pages
. 5. J’aurais cru manquer de justice envers M. A
t je les ai signées de son nom. 6. Palaprat, préface de ses œuvres,
page
30. 7. Étourdi, acte I, scène VI. 8. Voyez Nic
ie de Petit-Val, 1620. 10. Voyez la note de l’acte IV de l’Etourdi,
page
269. On trouve un exemple de cette locution popul
ud, par Guéret, pag. 212 14. Lettre de Boileau à Brossette, tome IV,
page
426 de l’édition de M. Amar. 15. A la tête de l’
te de la seconde édition publiée en 1837.) 23. Mémoires de Segrais,
page
173. 24. Les recherches précieuses de M. Beffar
aient quelquefois la noblesse. (Delort, Voyage aux environs de Paris,
page
199.) 25. Nous avons essayé de découvrir le no
prenait dès lors des leçons particulières de ce dernier. (Ménagiana,
page
9 ; et Vie de Scaramouche, par Mezzetin.) L’abbé
Mémoires manuscrits cités par M. Walckenaer (Histoire de La Fontaine,
page
73), dit que Molière avait d’abord étudié la théo
s poètes, quand ils deviennent fous. » (Dassoucy, Aventures d’Italie,
page
284.) 43. Ces acteurs ne faisaient pas partie de
i ; Paris, 1667, in-8°. Il y attaque les pièces de Molière. On y lit,
page
24 : Il n’y a rien de plus scandaleux que la cin
sement de ville en ville, son luth à la main, et suivi de deux jeunes
pages
qui ont beaucoup trop occupé la muse de Chapelle.
de mauvaises rencontres. » (Il perdit son argent au jeu, et un de ses
pages
l’abandonna.) « Ayant ouï dire qu’il y avait à Av
me il me fâchait fort de retourner en Piémont sans y amener encore un
page
de musique, et que je me trouvais tout porté dans
je suivis encore Molière à Narbonne. » (Aventures de Dassoucy, t. I,
page
309.) On regrette que Dassoucy ne soit pas entré
ns ce temps-là contre le cardinal de Mazarin. » (Mémoires de Segrais,
page
51.) Le prince de Conti avait été généralissime d
arrasin auprès de ce prince. (Mémoires du cardinal de Retz, livre II,
page
297, et livre III, page 60.) 50. A son retour de
nce. (Mémoires du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre III,
page
60.) 50. A son retour des états de Languedoc, au
ait d’abord servi qualité d’enseigne. (Les Frères Parfait, tome VIII,
page
221.) Une anecdote racontée par Boileau confirme
a le rôle à un autre acteur, et la pièce s’en trouva mieux. (Boléana,
page
106.) 60. Beauchâteau était gentilhomme. Il n’a
depuis on n’a pas eu de ses nouvelles. (Les Frères Parfait, tome IX,
page
411.) 61. L’Impromptu de Versailles fut joué
rès avoir joué ce rôle. Montfleury était gentilhomme, et il avait été
page
du duc de Guise. Chapuzeau le cite comme un excel
zeau le cite comme un excellent comédien. (Voyez Chapuzeau, liv. III,
pages
177 et 178 ; les Frères Parfait, tome VII, pages
Chapuzeau, liv. III, pages 177 et 178 ; les Frères Parfait, tome VII,
pages
129 et 130, et les Mémoires de Louis Racine, page
Parfait, tome VII, pages 129 et 130, et les Mémoires de Louis Racine,
page
38.) * Œuvres de J. Racine, avec les notes de tou
e rôles différents. » (Entretiens galants, Paris, Ribou, 1681, t. Il,
page
91.) Grandval, le père, disait de madame Molière
it piquante et capable d’inspirer une grande passion. (Cizeron Rival,
page
15, et les Frères Parfait.) 69. La conversation
’on avait voulu faire à Molière, en parut fort mécontent. (Molierana,
page
38.) Voici une anecdote du même genre, et que le
de lui faire des invitations. » (Mémoires de madame Campan, tome III,
page
8.) 76. Elle se nommait Laforest. Boileau lui a
s endroits n’y réussissaient point. » (Boileau, Réflexions critiques,
page
182, tome III des Œuvres) « Un jour Molière, pour
que vous n’y ayez pas ri du moins intérieurement. (Voyez le Bolaeana.
page
104) 78. Lisez : sa belle-sœur. 79. Il ne peut
t toute la beauté de son action. » (Vie de Scaramouche, par Mezzetin,
page
188.) Voici un autre passage tiré du Ménagiana. «
du une représentation de cet original italien. » (Ménagiana, tome II,
page
404.) Enfin nous citerons encore ces paroles de P
t sous les traits de Scaramouche ? » (Préface des Œuvres de Palaprat,
page
40.) Les études de Molière sur le jeu de Scaramou
s et tous ceux qu’il a copiés. » (Voyez Zélinde, comédie, scène VIII,
page
90, un volume in-12, imprimé en 1663.) 83. Voic
sies diverses. (Voyez la Préface de Palaprat à la tête de ses Œuvres,
page
30.) 84. Voyez l’Histoire de la troupe de Molièr
rs plus heureuses inspirations. (Voyez Mémoires sur la vie de Racine,
page
68 ; Vie de Molière, écrite en 1724 ; Commentaire
Commentaires de Brossette sur la quatrième satire de Boileau, tome V,
page
30, et tome IV, page 44.) 87. Rohault, célèbre
ette sur la quatrième satire de Boileau, tome V, page 30, et tome IV,
page
44.) 87. Rohault, célèbre physicien, auteur de
ière fit la connaissance de Mignard à Avignon en 1657. (Voyez la note
page
14.) 88. Les convives que Grimarest n’ose nommer
ci cette anecdote telle qu’elle se trouve dans le Ménagiana, tome IV,
page
174. Le grand Condé avait pour Molière une amitié
présentes l’épitaphe n’est-il en état de faire la tienne ! (tome II,
page
48.) 94. Ce fait est singulier, piquant ; il pla
véritablement content. » (Œuvres de Boileau, par Saint-Marc, tome I,
page
49.) Ce qui doit faire admirer encore plus la mod
vements naturels. » Voyez le Mercure galant, tome IV, première année,
page
302. Il est aussi parlé du talent de Molière comm
est aussi parlé du talent de Molière comme acteur dans Cizeron Rival,
page
. 17, et dans le Boléana et le Mercure de France,
tuffe, les Mémoires pour servir à la vie de Chapelle, par Saint-Marc,
pages
71 et 74.) 108. M. Despréaux. 109. Louis Racine
miral de Brézé. (Voyez le Tableau historique, par Taillefer, tome II,
page
124.) 117. Voici à quelle occasion Molière se v
ièce. Retournez-y, et examinez-la mieux. » (Mémoires de Louis Racine,
page
30. Voyez aussi Boléana, page 104, le Furetierana
-la mieux. » (Mémoires de Louis Racine, page 30. Voyez aussi Boléana,
page
104, le Furetierana page 73, et les Lettres en ve
Louis Racine, page 30. Voyez aussi Boléana, page 104, le Furetierana
page
73, et les Lettres en vers de Robinet, 20 décembr
sonnes qu’ils représentaient . (Perrault, Éloge des hommes illustres,
page
79.) * Le Théâtre Français, divisé en trois livre
ont morts à Argenteuil près de Paris, sans postérité. (Cizeron-Rival,
page
14.) 126. Voici une anecdote peu connue, trouvé
parlait dépendait du ministère de M. l’archevêque. » (Cizeron-Rival,
pages
23 et 24.) Ajoutons ici que le roi fit donner au
nant à la maison du chapelain. » (Titon du Tillet, Parnasse français,
page
320.) 128. L’enterrement fut fait par deux prêt
sur le génie de Molière. (Voyez les Œuvres de J.-B. Rousseau, tome V,
page
321, édition de Lefèvre.) 131. Molière ne nous
s de d’Assoucy le font aimer et le font plaindre ; ils renferment des
pages
excellentes, dignes d’être citées ; et ses poésie
Lettres sur Baron, par Dallainval. 135. Mélanges de Cizeron-Rival,
page
47. 136. Voyez Mercure de France, mai 1840, page
s de Cizeron-Rival, page 47. 136. Voyez Mercure de France, mai 1840,
page
847. 137. Frères Parfait, tome XII, page 471.
rcure de France, mai 1840, page 847. 137. Frères Parfait, tome XII,
page
471. 138. Mercure de France, mai 1740, page 846
ères Parfait, tome XII, page 471. 138. Mercure de France, mai 1740,
page
846. 139. Racine. 140. Mignard. 141. Frères P
page 846. 139. Racine. 140. Mignard. 141. Frères Parfait, tome X,
page
367.
Textes et documents I. —
Page
60. Les Gelosi ne sont pas sans doute, ainsi
. La Fortuna di Foresta, prencipessa di Moscou, opera regia. II. —
Page
75. La dernière scène du Vecchio geloso revien
ua moglie, cosi si fanno le nozze d’Oratio con Isabella. » III. —
Page
104. L’Emilia de Luigi Groto est une imitatio
ts de la morale qu’on a tant accusé Plaute d’avoir méconnus. IV. —
Page
141. Voici la traduction que M. Ch. Magnin a f
e jeu de mots qui termine ce second sonnet est intraduisible. V. —
Page
170. Nous pouvons donner une idée du talent po
è poësia ch’è muta : Merta fede chi parla, e non chi tace. VI. —
Page
268. EXTRAIT DES COMPTES DE LA COUR, POUR L’AN
jesté, les jour et an de l’autre part. Signé : Boileau. VII. —
Page
283. Liste des canevas de Dominique analys2s
unes de celles que nous venons d’énumérer en dernier lieu. VIII. —
Page
337. Ce qu’on a dit relativement à La Fausse P
à Saint-Germain. Voyez notre édition des Œuvres de Molière, tome VI,
page
112. 65. Brécourt, alors acteur à l’Hôtel de Bou
riez par hasard un volume de Corneille; vous savez où sont tes belles
pages
; vous relisez les grandes scènes de Polyeucte ou
Sophocle, Corneille, Racine et Molière peuvent se tendre la main. Les
pages
que M. Rambert donne à Molière sont parmi les mei
in. 1. Poètes du siècle de Louis XIV, par A. Vinet. Paris, 1861.
Page
180. Hâtons-nous de dire que ce dernier volume pu
rimant la pensée exacte, complète et définitive de Vinet. 2. Ibid.,
page
196. 3. Corneille, Molière et Racine, page 158.
ve de Vinet. 2. Ibid., page 196. 3. Corneille, Molière et Racine,
page
158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7
2. Ibid., page 196. 3. Corneille, Molière et Racine, page 158. 4.
Page
162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8
e 196. 3. Corneille, Molière et Racine, page 158. 4. Page 162. 5.
Page
303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9
rneille, Molière et Racine, page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6.
Page
250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9. Page 367. 1
re et Racine, page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7.
Page
496. 8. Page 499. 9. Page 367. 10. Page 501.
page 158. 4. Page 162. 5. Page 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8.
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499. 9. Page 367. 10. Page 501.
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367. 10. Page 501.
age 303. 6. Page 250. 7. Page 496. 8. Page 499. 9. Page 367. 10.
Page
501.
ne l’ai pas perfidement inventé pour le besoin de la cause. On lit,
page
373 de l’édition de Las Obros de Pierre Goudouli
bien l’air d’un autre mot qui arrangerait mes affaires. On lit, même
page
de Las Obros déjà citées : « Scouzentou. cherchez
tre langue qui s’intitule le Dictionnaire provençal français (tome I,
page
915). N’importe ! Je ne me borne pas à avoir tout
rme expresse et concluante du verbe mascarilha, barbouiller (Tome II,
page
289) ! Non, non ! quelque vraisemblable que cela
n’était pas un denier, surtout pour l’époque. 11. On lit, au tome I,
page
90, des Œuvres de Molière, édition Hachette : « M
a ruë saint Honoré. 3. Voici ce qu’en dit Grimarest, vie de Moliere,
page
312. Paris in-12. 1705. On s’étonnera peut-être q
rit le nom de la Fleur, & de Gros Guillaume. 6. Voyez Grimarest
page
24. . . . 7. Ibidem page 29. 8. Ces deux piéces
mp; de Gros Guillaume. 6. Voyez Grimarest page 24. . . . 7. Ibidem
page
29. 8. Ces deux piéces se trouvent dans le cabin
15. Voyez préface des fâcheux. 16. ibidem. 17. Voyez Grimarest,
page
125. 18. Voyez muse historique de Loret, lettre
our l’amour de l’humanité. 26. Voyez mercure galant, janvier 1677,
page
33. L’amour medecin, comédie en trois actes en p
urs. Voyez avis au lecteur de l’amour médecin. 28. Voyez Grimarest,
page
76. Le misantrope, comédie en cinq actes en vers
Ciel ! Pardonne-lui comme je lui pardonne. 38. Voyez Grimarest,
page
176. 39. par m. le premier président du parlemen
ce qui a toujours été depuis réguliérement exécuté. Voyez Grimarest,
page
196. Amphitrion, comédie en trois actes en vers,
n la Grange : on ne sçait ce qu’elles sont devenuës. [Voyez Grimarest
page
310.] Il avoit aussi traduit presque tout Lucrece
page 310.] Il avoit aussi traduit presque tout Lucrece. Voyez le même
page
311, & remarques sur la satyre 2 de Despreaux
1, & remarques sur la satyre 2 de Despreaux, in-folio, Amsterdam,
page
20, tome premier, 1718. 58. Voyez ép. II, de De
oyez ép. II, de Despréaux. 59. Voyez vie de Moliere, par Grimarest,
page
48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne II
s de sa maison n’entrassent à la comédie sans payer. Voyez Grimarest,
page
131. 69. Il avoit du Croisy en vûë, lorsqu’il co
rdre du Roi, pour faire entrer Baron dans sa troupe. Voyez Grimarest,
pages
95 & 101. 71. Baron étoit fils d’un comédien
e qu’elle étoit fille d’un gentilhomme d’Avignon, nommé Modéne, Voyez
page
21. 73. Son nom de famille étoit Mignot. 74. Ep
lui. Il arriva qu’un jour Moliere étant à la table de ce Prince, les
Pages
qui y servoient, ne cherchant qu’à badiner &
n’en fit qu’une bouchée jusqu’à l’os, qu’il remit sur l’assiete : le
Page
qui vint pour lui ôter son assiete, ne fut pas as
i en demanda la raison ; il lui répondit : Monseigneur, c’est que vos
Pages
ne sçavent pas lire, il prennent les O pour les L
re. Bayle, Dictionaire Critique. Brice, Description de Paris, tome 1.
page
459. & les suivantes. Baillet, Jugemens des S
belles Estampes & de plusieurs Vignettes. a. Menagiana, tome 2.
page
65. a. Oeuvres de Despréaux, édition de Geneve,
agiana, tome 2. page 65. a. Oeuvres de Despréaux, édition de Geneve,
page
433. a. Remarques sur le Vers 394. du troisiéme
Molière n’a pas joué la profession d’avocat. Citations (Note 1,
page
5. ) L’Étourdi, acte V, scène IV. La procès il f
ficultés et qui sont ignorants des détours de la conscience. (Note 2,
page
5) M. de Pourceaugnac, acte II, sc. XII. - Oui,
capable, La polygamie est un cas Est un cas pendable. Etc. (Note 2,
page
6.) Le Malade imaginaire, acte III, scène III. -
t de peindre les mœurs, sans vouloir toucher aux personnes. (Note 1,
page
7.) L’Amour médecin, acte II, scène IV - Je sout
Quelques
pages
à ajouter aux oeuvres de Molière On plaidait
ier pour une signature de Molière ; aujourd’hui, voici quatre ou cinq
pages
oubliées de ce grand homme, qu’un heureux hasard
nt unique, de la cérémonie du Malade imaginaire. Ce livre de dix-sept
pages
a été achevé d’imprimer à Rouen, le 24 mars 1673,
rnier feuillet : « Achevé d’imprimer le 34 de mars 1673. » La seconde
page
commence ainsi : Acta et ceremoniæ receptionis.
oir en sa place, à la représentation suivante. (Menagiana, Tome. III.
page
24.) V. Moliere s’est servi pour la composi
pour finir cette affaire. (Ana, ou Bigarrure Calotine premiere partie
page
18.) VII. La troisieme nouvelle de la trois
qui sera peu imité par les Auteurs du siecle présent. (Carpenteriana
page
38.) XVI. Le Latin Macaronique qui fait tan
r, C’est par ses beaux endroits, qu’il lui faut ressembler. (Bolœana,
page
23.) XXIII. Le mariage de Moliere avec la
re insérée dans le Mercure de France en Décembre 1739. premier volume
page
2914.) XXXIII. Le Perruquier dont parle M.
de deux Maîtres à danser. Deuxieme entrée de Ballet. Danse de deux
Pages
. Troisieme entrée de Ballet. Quatre Curieux de
spectacles, qui ont pris querelle ensemble pendant la danse des deux
Pages
, dansent en se battant l’épée à la main. Quatrie
ue les Procureurs, les Sergents y sont amenés de force, & que les
Pages
, les Curieux, les Maîtres à danser, les Suisses,
on l’appelait le gros Modène. Son fils, dont il s’agit ici, fut élevé
page
de Monsieur (Gaston), frère du roi Louis XIII, du
pendant le règne du connétable M. de Luynes. Quatrième édition, 1628,
pages
338 et 474. 5. Hist. de la noblesse du Comté Vé
rtation, p. 20. 10. L’Art de vérifier les dates. Paris, 1818, t. 6,
page
256. 11. Biographie universelle, t. 19, p. 199
fille du roi René. 16. Histoire des révolutions de Naples, tome 2,
page
245. 17. Id., t. 3, p. 260. 18. L’Art de véri
mière, Lettre de M** sur la vie et les ouvrages de Molière, occupe 21
pages
du Mercure de France d’août 1735. A cette date, t
plus distingués ». Nous en avons scrupuleusement collationné les 90
pages
consacrées à « Molière, aux particularités de sa
en tête de la belle édition in-4° de 1734, écrivent en 1747 (tome X,
page
86) : « La femme d’un des meilleurs comédiens
Mercures de France, je vous renvoie à celui du mois de février 1722,
page
121, pour la Princesse d’Elide, ou les Plaisirs d
ans la disgrâce de l’amiral de Chastillon, duquel il avoit été nourri
page
, dans la maison duquel il fut massacré et tué ave
ère dudit supliant, en Suisse, se retira en Allemagne, où il fut fait
page
de l’électeur palatin du Rhin, et depuis capitain
Paris, F. Muguet, 1674, in-12. 15. Deuxième partie : Réflexion XXVI,
pages
218219. 16. Dans les Observations de Ménage sur
. 5. 26. La Vie de M. de Moliere : Paris, 1705, in-12, p. 46. 27.
Pages
47, 48. 28. « Conçue, faite, apprise et représ
yacinthe. 39. En 1663. 40. Un an plus tôt, le 20 février 1662. 41.
Pages
62, 63. 42. Jacques Rohault (1620-1672). 43. Pi
apporte à l’une des trois dernières années de la vie de Molière. 45.
Page
215. 46. Voir, au sujet de cette traduction, ce
e de Molière) comme « trop fort contre l’immortalité de l’âme ». 48.
Pages
311 et suiv. 49. Della perfetta Poësia italiana
staf est un lourd animal qui projette de séduire Madame le Ford &
Madame Page
. Il écrit en même temps à toutes les deux : elles
se. Les deux époux sont instruits secrètement de l’amour de Falstaf :
M. Page
ne fait qu’en rire ; M. le Ford devient jaloux :
p; l’envie de faire un Volume de ce qui ne devroit remplir que peu de
pages
, sont cause que l’Histoire des Hommes célebres es
er lieu à de plus grands éclaircissemens. « Quelques curieux, dit-il,
page
11. ont conservé deux Pieces de Moliere dans le g
mère Olympia et introduite dans la maison de son père sous l’habit de
page
et sous le nom de Fabritio. Pantalon a perdu un d
romet de le lui faire retrouver au moyen d’un miroir magique. Le faux
page
, en regardant dans cette glace, feint d’y voir s’
à une fille, cette fille grandissant, venant à Rome, se déguisant en
page
pour entrer chez son père, et s’écriant enfin : “
areil fût réservé à la proposition qu’on lira dans mes deux dernières
pages
, celle de créer à Paris un Musée-Molière permanen
ou qu’il ne lui plaît d’en convenir : il l’a prouvé en d’excellentes
pages
de ses Études critiques sur la littérature frança
celle de Marivaux, dont on ne sait presque rien. Il y a d’excellentes
pages
dans les articles sur Madeleine et Armande Béjart
ellentes pages dans les articles sur Madeleine et Armande Béjart, des
pages
toutes brillantes de ces qualités littéraires qui
e vie nomade sur laquelle justement M. Larroumet nous donne une jolie
page
, les rapprochements constants, l’inévitable promi
le soulevait dans son âme, de n’avoir pu parler avec plus de retenue (
page
2). Du reste, il faut dire, à sa décharge, que Lu
passé dans leur maison. Leur certificat est imprimé tout au long à la
page
14 de la réponse de Guichard. Ce dernier nous rév
tion dans le jardin d’Auteuil, entre Chapelle et son illustre ami, la
page
la plus étonnante du livre, la plus impossible à
n ne saurait atteindre. On aura beau objecter que Molière, dans cette
page
admirable, parle de la folle passion que sa femme
eût évité l’ennui de s’entendre dire qu’il avait consacré moins de 40
pages
à son sujet et plus de 400 à ce qui ne l’est pas
il le fit. Il connaissait, et son procès-verbal en fait foi, certaine
page
de d’Olivet dans le second volume de la suite don
nnée par cet abbé à l’Histoire de l’Académie française, de Pellisson,
page
où il est dit que La Fontaine, mort le 13 avril 1
pe M. le comte d’Harcourt tenant vers la grande écurie. Au bas de la
page
petit in-folio qui contient ce devis se lisent le
Bovet, M. Etienne Charavay, l’archiviste paléographe bien connu, à la
page
244 (5e et 6e séries), où il décrit la pièce ache
té l’histoire à cette place. (Voir Le Moliériste du 1er juillet 1879,
page
108.) Mais un fait ignoré de la plupart, assuréme
ensemble ne comprend pas moins de trois volumes in-8, de près de 300
pages
chacun (N. B. — Cette même description a été, pre
ses Spectacles forains et la Comédie-Française (Paris, Dentu, 1875),
pages
6, 7, 25, 26 et 27. D’autres fois l’affiche a ser
es depuis peu contre la poésie (Paris, Ve Foucault, 1731, in-12 de 33
pages
). Voici ce qu’il dit de Molière dans cette épître
lle Châteauneuf, à Raisin, à Rosimond sont moins intéressants que les
pages
où il est parlé de Molière, et pourtant je me con
sujet, une lettre qu’il inséra dans la seconde édition de son livre (
page
248) : « Molière, lui disais-je, composait les
venir, que nous avons réimprimée aussi, d’après une édition in-4 de 6
pages
, sans nom de lieu et sans date, mais que M. Victo
raison, à l’année 1651. Or, Beauchamps (édit. in-4 de ses Recherches,
page
63 de la 3e partie) décrit aussi une autre éditio
n, et comme l’a prouvé Eudore Soulié dans ses Recherches sur Molière (
page
48) : il y passa plusieurs mois. On pouvait donc
fait rentrer Molière à Lyon, où il aurait demeuré jusqu’à l’automne (
page
33), puis il ne constate son retour qu’à la date
scrips. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8, 1821. tome VI,
page
186. 17. Vid. Chalmel, Histoire de Touraine. Pa
et l’Abbé Chevalier, Promenades en Touraine. Tours, 1869, grand in-8,
pages
385, 389. 18. Vid. Georges d’Heylli. Les Tombes
orges d’Heylli. Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris in-12, 1872,
page
99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821,
1872, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821, tome IV,
page
432, et Georges d’Heylli, Les Tombes royales de S
rges d’Heylli, Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris, in-12, 1872,
page
97. 20. Vid. Jules Claretie, Molière, sa vie et
es œuvres. Paris, Alph. Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (1873),
page
84, et aussi, page 165 (appendice.) Ce qu’il sera
lph. Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (1873), page 84, et aussi,
page
165 (appendice.) Ce qu’il serait intéressant de s
édiaire des chercheurs et curieux, Paris, in-8, première année, 1864,
page
26. 22. Vid. le Moniteur. Nº 281 de l’An XIII (
ête du premier volume, est signée Gélasire. 36. Ibid., p. 490. 37.
Pages
495-496. 38. Pages 497-499. 39. Lettre du 14 f
e, est signée Gélasire. 36. Ibid., p. 490. 37. Pages 495-496. 38.
Pages
497-499. 39. Lettre du 14 février, lendemain de
le cadet, Fernon le cadet, Rebel, Langeais, Deschamps, Morel, et deux
pages
de la musique de la chapelle. Huit Fleuves chanta
erignan, David, Aurat, Devellois, et Gillet. Amours chantants, quatre
pages
de la musique de la chambre. Huit Pêcheurs de cor
cadet, Deschamps, Morel, Aurat, David, Devellois, Serignan, et quatre
pages
de la musique de la chapelle, et deux de la chamb
ntaine : Tout prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des
pages
. « Cette faiblesse est précisément la même que c
el, Gingan l’aîné, Fernon, Deschamps, Gillet, Bernard, Noblet, quatre
pages
de la musique. Filles coquettes, les sieurs Janno
la musique. Filles coquettes, les sieurs Jannot, Pierrot, Renier, un
page
de la chapelle. Seconde entrée. Un Espagnol chant
ses ouvrages. a. Par l’extrait du Pédant joué de Cyrano, tome VIII,
page
première de cette Histoire, on verra que ce n’est
ère, et les chiffres qui marquent les renvois pour trouver au bas des
pages
les vers espagnols. Le même ordre est observé, da
édie du Menteur, les raisons qui l’ont empêché de joindre, au bas des
pages
, les vers imités de Lope de Vega, comme il avait
et la maîtresse qu’il n’a pas seulement daigné regarder se déguise en
page
, et fait le voyage, sans que le capitaine s’aperç
vient à Londres, sans secours, sans vaisseau et sans argent, avec son
page
et son ami, ne connaissant ni l’amitié de l’un, n
l’en convaincre mieux, cette honnête dame devient amoureuse du petit
page
, et veut le prendre à force ; mais comme il faut
il se trouve à la fin du compte que le capitaine se met à la place du
page
, couche avec son infidèle, fait cocu son traître
n coup d’épée au travers du corps, reprend sa cassette, et épouse son
page
. Vous remarquerez qu’on a encore lardé cette pièc
coboni, dans ses Observations sur la comédie, et le génie de Molière,
pages
130 et 131, met le dénouement du Mariage forcé au
té d’une action. » M. Riccoboni dans le même ouvrage ci-dessus cité,
page
148, dit : « Il y a, dans Le Mariage forcé, une s
rté sur le dessein de l’auteur des Observations ; en voici la preuve,
page
22 : À quoi songiez-vous, Molière, (dit l’auteur
ensée, votre Festin de Pierre ne serait pas si criminel. Et plus bas,
page
46 : “Savez-vous bien, monsieur, où tout ce beau
lle supposée, faits en Italie par ledit sieur Torelli. » 33. À la
page
6 de l’imprimé, on lit : « Flore sera représentée
, fera connaître qu’elle est une vraie lumière de l’harmonie. » À la
page
7 : « Cette scène sera chantée, et Thétis sera re
, laquelle à merveille fera connaître sa colère et son amour. » Même
page
: « Le prologue de cette pièce sera exécuté par l
meurt, il lui fera remettre ses tablettes dont elle occupe toutes les
pages
. Ils se mettent à table : Lindor s’émancipe, Mart
. . Lindor venoit d’obtenir une Compagnie de Cavalerie, au sortir des
Pages
. La fraîcheur de la jeunesse, l’impatience du des
Lindor. Il s’étoit passionné pour elle à la premiere visite. Un jeune
Page
est pressé d’aimer. Ma belle Cousine, lui dit-il
! Si cela continue, l’ouvrage sera court : je n’en ai fait que trois
pages
, & me voilà presque à la fin. Eh bien ! il en
la servante ne prit point le change ; et après avoir entendu quelques
pages
, elle soutint que son maître n’avait pas fait cet
vois guère de bonnes raisons d’accepter ce passage du livre comme une
page
d’Évangile alors qu’on repousse le reste avec hor
chagrins qu’elle put causer à son premier mari. Mais à côté de cette
page
où Molière a le beau rôle, il y en a d’autres où
ctuellement sur nos boulevards. On est donc forcé, pour corroborer la
page
de l’Évangile en question, de prendre ça et là, d
le parterre ! » répète-t-il à chaque paragraphe, et cela pendant dix
pages
, avec une fureur croissante. Vous voyez ? donc bi
au discours de M. Labiche. Qu’on me permette de citer cette charmante
page
; ce n’est pas une mince bonne fortune, pour un h
libelle qui porte contre Molière des accusations honteuses. Si cette
page
vous paraît si digne de foi, pourquoi rejetez-vou
uère cela : la main de Molière est trop reconnaissable, même dans ses
pages
les plus rapidement écrites, et la tirade porte s
di, un vert et original penseur, dont l’Histoire comique renferme des
pages
surprenantes de hardiesse. On ne peut donc former
ont les contemporains de l’opérette. Il y a dans ce livre bizarre 240
pages
de citations des « pères », tous abominant les sp
la situation… Tartuffe est l’athée en rabat noir ». Il y a dans cette
page
, d’un si excellent style, presque autant d’erreur
me de théâtre. Une telle conception vous fournira, à vous, poète, une
page
charmante ; à vous, philosophe, un portrait finem
re livre à nos risées. La Lettre sur l’lmposteur a là-dessus quelques
pages
excellentes : « La disconvenance est l’essence du
ablement il est fâché ou s’il est joyeux de sa découverte ? Voilà une
page
assez naïve… oui, mais dans sa grâce enfantine el
la se voit, à se douter que l’on serait un écrivain quelque jour. — Ô
page
innocente… ô page empreinte de mes premiers doute
outer que l’on serait un écrivain quelque jour. — Ô page innocente… ô
page
empreinte de mes premiers doutes ! peut-être aura
ez lu ? L’oubli c’est la règle, et le souvenir c’est l’exception. Une
page
oubliée au fond d’un journal devenu le jouet de l
lorsque tant de poèmes n’ont pas trouvé un acheteur ? Au moins, cette
page
errante à travers les caprices de la ville et les
ce ; ou bien quelque cité curieuse a voulu savoir ce que disait cette
page
enfouie aujourd’hui dans l’abîme, et alors cette
s aurez cette récompense et vous l’aurez tout de suite, que ces mêmes
pages
sérieuses qui ont impatienté le lecteur frivole h
votre passé, avec quelle joie et quelle fête vous les retrouverez ces
pages
sérieuses, cent fois plus vivantes que les colifi
s plus vivantes que les colifichets de vos meilleures matinées. Telle
page
, en effet, qui était pesante au journal, et qui i
prends ta place dans ces feuilles liées l’une à l’autre ; et toi, ma
page
folâtre, enivrée des parfums envolés du bouquet d
, partant de Molière j’arrive à Molière ; çà et là ramassant dans mes
pages
choisies ce que madame de Sévigné appelait si bie
urius est un de ces nombreux philosophes que vous rencontrez à chaque
page
du Pantagruel, une de ces perles que Molière a ra
ecrètes, dans les histoires particulières de chacun de nous, dans ces
pages
de l’âme que nous tenons en réserve pour nous en
ance, si M. de La Rochefoucauld écrivait ses Maximes pour remplir les
pages
dévorantes d’un journal ; dans un journal convena
connaître une parodie du doute, si fort recommandé dans les premières
pages
du Discours de la Méthode. Le lecteur me pardonne
ui reste à accomplir. Emile DOUMERGUE. NOTES SUR GASSENDI. Ces
pages
étaient déjà écrites quand a paru le livre de M.
eois gentilhomme, acte II, sc. vi. 6. J’emprunte, dans ces premières
pages
, la plupart de mes exemples historiques aux annal
. sc. II. 60. Serait-on tenté de voir ici une contradiction avec les
pages
(voir le premier article) où nous disons que Moli
un côté fantasque des mœurs de leur temps ; tous deux ont retracé une
page
bizarre de l’histoire morale de leur pays. CHA
e. Je ne vous saurais exprimer avec quelle grâce le plus agile de mes
pages
faisait dix lieues par jour, ni les louanges qu’i
ière, il emmena dans son carrosse le musicien Dassoucy, mais sans ses
pages
. La lettre de Dassoucy à Molière prouve que celui
L’École des femmes et de Don Juan ; mais Molière était alors hors de
pages
. « Mgr le prince de Conti avait eu en sa jeuness
ments. Nous tenons donc avec M. Brouchoud pour l’année 1654. Si cette
page
de Chorier était contemporaine des faits, il y au
me il me fâchait fort de retourner en Piémont sans y amener encore un
page
de musique, et que je me trouvais tout porté dans
aordinaires qu’elles débitent. Il n’est pas possible, en lisant cette
page
, de ne point penser aux Précieuses ridicules que
es savantes 42. Tel est le récit que nous trouvons dans les premières
pages
de l’histoire de La Fameuse comédienne. Que les d
JART : Junon et Andromède. DEBRIE : Neptune. L’ÉGUISÉ : Mercure et un
page
de Phynée. BÉJART : Le Soleil et Timante. Mlle DE
is les proportions d’un événement, se trouvait, comme on dit, hors de
pages
. Il avait alors près de trente-huit ans. Il est e
d’épée étaient journalières. La domesticité des grandes maisons, les
pages
, les valets, se croyaient au-dessus des lois. C’é
pit le dialogue pendant quelques instants. À la fin de la comédie, un
page
couvert d’une livrée jaune, appartenant à la mais
eux de s’en aller en paix, car, au coin de la porte de la comédie, le
page
qui avait donné les coups de bâton, le jeune homm
s de bâton, le jeune homme au justaucorps de velours noir et un autre
page
se pressaient pour parler au procureur du roi ; d
t à laquelle, d’ailleurs, on n’oserait plus prétendre. Aussi quelques
pages
de ce livre, qui ne méritait pas un tel honneur,
intérêt à la reproduire ici. L’impression qui ressort des nombreuses
pages
que Le Mercure galant consacra à l’oraison funèbr
émoignages d’elle comme actrice. Il faut à ce propos transcrire cette
page
de l’auteur anonyme des Entretiens galants (1681)
lui donnait ces différents noms (nous avons vu encore Mlle Le Baron,
page
102), Jeanne Auzoult ou Auzou fut une beauté célè
relative à Molière, la plaque d’Auteuil dont il est parlé ci-dessus,
page
283, et celle concernant le théâtre du Palais-Roy
celle concernant le théâtre du Palais-Royal dont il est question à la
page
345. L’histoire de la sépulture de Molière depuis
e dans notre seconde édition des Œuvres complètes de Molière, tome 1,
pages
313-385. 1. « Molière et Louis XIV », Revue d
e… » Voyez notre édition des Œuvres complètes de La Fontaine, tome V,
page
XXXIV. 6. Mot difficile à lire. 7. Elle avait
ublia un grand nombre de romans. 17. La Troupe de Molière à Agen, 8
pages
. Agen. Noubel, 1874. Deuxième tirage, Paris et Bo
fait la satire desprécieuses de Montpellier. On peut lire cette jolie
page
de leur Voyage, où Molière est devancé. (Édition
ue par M. Monval en 1890. 102. Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année,
page
12. 103. Voyez ci-devant, page 111. 104. Mercu
Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année, page 12. 103. Voyez ci-devant,
page
111. 104. Mercure de France, mai 1740. Lettre s
ns de son temps. (Voyez édition Monval, 1887.) 105. Voy., ci-devant,
page
154. 106. Voyez Les Médecins au temps de Molière
par Aug. Vitu ; Paris, Alphonse Lemerre, 1882. 115. Voyez ci-après,
page
306. 116. Cette relation, sans signature, a été
s historiques et artistiques sur les monnaies de France, 1850, in-8°,
page
193.M..B. Fillon en envoya l’autographe à M. Tasc
publié par M. P. Faugère ; Paris, Duprat, 1862. 118. Voyez ci-après,
page
308. 119. Note de Brossette sur l’épître vu de B
Boileau, reproduite dans L’Iconographie moliéresque de Paul Lacroix,
page
261. 120. Il mourut en venant de jouer une coméd
ujourd’hui la rue de l’École-de-Médecine. 135. Le Théâtre français,
page
85. 136. Voyez page 40. 137. Voyez Recherches s
l’École-de-Médecine. 135. Le Théâtre français, page 85. 136. Voyez
page
40. 137. Voyez Recherches sur Molière, par E. So
si, comme on peut le conjecturer, elle était née en 1624. 140. Voyez
page
229. 141. Histoire du Théâtre français, tome XI
es, La Fameuse comédienne ; Paris, Barraud, 1870, p. XX.) 147. Voyez
page
332. 148. Voyez Brouchoud, Les Origines du théât
ble. L’acte de décès doit la rajeunir de cinq ou six ans. 153. Voyez
page
78. 154. L’estampe est reproduite dans le volume
tutions, usages et costumes, publié à la librairie A.-F. Didot, in-4,
page
311. 155. Voyez page 103. 156. Variante : Allez
tumes, publié à la librairie A.-F. Didot, in-4, page 311. 155. Voyez
page
103. 156. Variante : Allez, belle marquise. C’es
nt adressés. 157. Racine. 158. Mignard. 159. Voyez la note 2 de la
page
356. 160. Voyez p. 90. 161. Recueillie par les
ar les frères Parfait, dans L’Histoire du Théâtre français, tome XII,
page
472. 162. Portraits des comédiennes de l’hôtel d
172. Depping, Correspondance administrative sous Louis XIV, tome IV,
page
571. 173. Œuvres diverses de M. de Segrais ; éd
n, mais il ne put s’y résoudre. » 177. Avocat alors en renom. 178.
Page
120, note 1. 179. Mémoire des principaux actes d
ntérêt, qu’il a malheureusement enfouis dans un gros in-octavo de 427
pages
, tiré à 300 exemplaires seulement : L’Instruction
le chapitre intitulé : « Molière est-il venu à Albi ? » occupe douze
pages
à peine (205 à 216). Le premier de ces textes, do
sérée dans son Musée des monuments français paru en l’an X, tome III,
pages
24 à 28, les mêmes détails, les mêmes énonciation
teur. Enfin, dans son Pariseum, Blanvillain disait également en 1802 (
page
223) : « On a détruit, il y a six mois, dans la r
bonne fortune de connaître Molière. Ce souvenir lui a dicté quelques
pages
du plus haut intérêt, et qui semblent cependant a
s, chez Claude Barbin, au signe de la Croix, 1669, petit in-12 de 172
pages
, y compris 5 feuillets préliminaires, et 67 pages
petit in-12 de 172 pages, y compris 5 feuillets préliminaires, et 67
pages
. Le frontispice gravé, qui compte dans les 5 feui
rents y eurent boutique. 9. Le Roman de Molière, in-12,1863. Dentu,
page
173. 10. Marque typique du temps. 11. Biographi
Archives Nationales, KK 1020 fº 64. 20. Voir le Nº 4 du Moliériste,
pages
113 et 117. 21. M. Duvivier est grainetier à l’e
ier et qui subsiste encore, au coin de la rue des Jardins St. Paul »,
page
125. 27. Par une particularité aussi curieuse, e
ssi logé Rabelais. (Voir Emmanuel Raymond, Molière dans le Languedoc,
pages
52, 53.) 28. Registre de La Grange, p. 3. Éd. d
a dit : Tout Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des
Pages
. Moliere s’est gardé de prendre pour son héros
llustre M. Diderot dit, dans ses réflexions sur la Poésie dramatique,
page
11 : « Que quelqu’un se propose de mettre sur la
impartial comme tous les grands hommes, dit encore dans sa Poétique,
page
31 : « Que j’aie un plan à former : sans que je
inira par demander pardon lui-même : elle a raison. Dans celle grande
page
de notre histoire, nous voyons le juge qui a mis
st triste. Molière, d’un bout à l’autre, sans excepter une œuvre, une
page
, une ligne, un mot, est navré et navrant. La plai
l’imprimer et de l’adresser au roi. Ce livre contient soixante et dix
pages
. À la première page il y a une figure d’Arlequin,
resser au roi. Ce livre contient soixante et dix pages. À la première
page
il y a une figure d’Arlequin, qui est de trois po
pillé de croches et de doubles-croches, fleure : l’art par toutes ses
pages
. « Notre côté à nous n’est pas celui de tout le m
us les coups de ciseaux des dames dont les larmes avaient mouillé les
pages
de ses romans. Quand il perdit son père à dix-hui
me le vitriol et le sucre. Ils ne dorment pas contents, si, dans leur
page
écrite le matin, ils n’ont pas trouvé moyen de fa
e Médecin malgré lui, Monsieur de Pourceaugnac, etc., et lisez-en une
page
. Puis, pour saisir par le contraste le caractère
contraste le caractère propre de cet esprit et de ce style, lisez une
page
de Shakespeare. Dans Shakespeare, la pensée march
érature anglaise, livre III, chap. i. 421. Taine, Ibid. 422. Voyez
page
32. 423. Saint-Simon, Mémoires. 424. La Feuilla
es sur la vie de Molière. 434. Bazin, Notes historiques. 435. Voyez
page
79 et suiv. 436. Michelet, Louis XIV. 437. La B
. 438. Cousin, La Société française au dix-septième siècle. 439. V.
page
82. 440. Louis Moland, Molière, sa vie et ses ou
t ses lettres, qu’on montrait en divers lieux, ressemblaient trop aux
pages
d’un livre écrit sans naturel, sans grâce et sans
teur, constaté par des éditions faites sous ses yeux (voyez tome Ier,
page
98, note 13). S’ils ont pu retrancher des Fourber
13). S’ils ont pu retrancher des Fourberies de Scapin (voy. t. VIII,
page
372, note 14) une portion de scène qui se trouve
n de la pièce, au lieu d’être, suivant la coutume, portées au bas des
pages
, où je continuerai de mettre celles qui n’offriro
au vanter le roi dans vos ouvrages, Et de ce nom sacré sanctifier vos
pages
; Qui méprise Cotin, n’estime point son roi, Et n
texte, que mademoiselle Mars régnât en chef et sans partage, dans ces
pages
où son souvenir apparaît, à chaque ligne, avec la
ntière, eh bien, qu’il la cherche çà et là, répandue à chacune de ces
pages
, et des pages qui viendront, plus tard, comme on
n, qu’il la cherche çà et là, répandue à chacune de ces pages, et des
pages
qui viendront, plus tard, comme on ramasse, dans
t glaçant d’une main lourde et dolente ? La vie où est-elle, dans ces
pages
que l’ennui frappe soudain de son plomb ? « La pe
ans toute sa grâce et dans tout son charme, le repos rustique ! Cette
page
heureuse exhale encore la suave odeur de nos saul
romis vérité ; il faut lui pardonner cette étourderie. À la vingtième
page
, il nous prépare adroitement au mariage de Molièr
aisanteries, puisqu’il le fait encore parler sur le même ton dans les
pages
suivantes, dans des aventures, qui sont même épis
ol, y est en habit de cavalier, avec Thérese sa suivante, déguisée en
Page
Thérese lui conseille, si elle veut passer pour u
la porte au nez. Bélise veut voir le téméraire qui a dispute avec son
Page
. La rage de Rodrigue augmente en voyant encore un
s ma chambre Don Célidoro, ce jeune cavalier qui t’a répondu avec son
page
; parle, n’est-ce pas la seule cause ? Rodrigue.
’exposerai bientôt tous ces portraits, qui aujourd’hui sont de vraies
pages
de l’histoire dramatique. Beaucoup de mes amis le
s comme il me fâchait de retourner en Piémont sans y amener encore un
page
de musique, et que je me trouvais tout porté dans
spérée. Dans La Fameuse comédienne, un pamphlet qui calomnie à chaque
page
, mais qui a aussi ses airs de vérité, on parle ai
jà dit ailleurs : Il y a là du vrai et du faux, comme dans toutes les
pages
de La Fameuse comédienne. Si la Du Parc eût trait
nes rivaux. Substituez marquise à princesse, et vous croirez lire une
page
des mémoires poétiques de Corneille : Je m’attac
es. Il jouait le rôle d’un homme de particule, toujours suivi de deux
pages
, habillé comme un gentilhomme ruiné, velours frip
, entrer au parterre avec les gardes du corps, les chevau-légers, les
pages
, les bourgeois, les étudiants ! nous saluerions d
ie juillet 1670. Signé Louis et plus bas Colbert. » Voici une autre
page
officielle d’après le Registre de La Grange : «
ait couru la province avec Molière. 16. Qui a le mieux peint en une
page
cette vie en plein orage avec de rares arcs-en-ci
t rimée sur celle de Moliere. Don Juan. Tout Marquis veut avoir des
Pages
. Il n’est rien si commode, Vois-tu ? l’hypocrisie
e prendre place dans notre récit, fût accompagnée de notes au bas des
pages
indiquant nos sources et justifiant nos dires. No
n faire connaître Molière et ses relations avec ses camarades que des
pages
plus brillantes et des phrases plus sonores : «
plus brillants, et auxquels Voltaire a cru devoir consacrer plusieurs
pages
, durent une partie de leur charme aux efforts réu
en lire quinze ou vingt vers. « L’arrêt qui imposait la lecture d’une
page
entière, dit Louis Racine, était l’arrêt de mort.
s son bienfaiteur. Il est triste de penser qu’on rencontre plus d’une
page
semblable dans la vie de l’auteur d’Athalie. Sa c
porains de l’auteur. L’Avare est, ainsi que Les Femmes savantes, une
page
immortelle de l’histoire de nos mœurs ; mais le v
e, Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des
pages
. Ce fut à Chambord, le 14 octobre 1670, que l’on
vive à jamais. Addition Nous avions trouvé (voir les notes des
pages
47 et 54) quelques détails relatifs à Molière dan
850-mai 1851), t. VII, p. 685 et 686. 3. Voir ci-après les notes des
pages
87, 192 et 207. 4. Revue française, 1857-58, t.
écourt. » — Nous lui signalerons également ces trois assertions de sa
page
xcv, à l’occasion du succès de vogue des Précieus
ue par M. Arnaud-Delcheverry, archiviste de la mairie de cette ville,
pages
12 et suivantes de son Histoire des théâtres de B
oire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond,
pages
103-106. On doit à l’auteur de cet ouvrage la déc
ents nouveaux sur Molière et ses camarades, celui que nous avons cité
page
14, celui-ci et deux autres que nous mentionneron
ites sans s’être bien rendu compte de leur portée, consacre cinquante
pages
à plaider pour Dufort contre Molière qu’il accuse
oire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond,
pages
119-120. 19. Histoire des pérégrinations de Mol
oire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond,
pages
120-122. 20. Notes historiques sur la vie de Mo
es 120-122. 20. Notes historiques sur la vie de Molière, par Bazin,
page
49. 21. Préface de l’édition des Œuvres de Moliè
et obtint le privilège dont nous avons donné un extrait au bas de la
page
57, et L’École des maris, achevée d’imprimer le 2
tout exprès un auteur sans réputation. » Boursault prend durant trois
pages
cette dédaigneuse plaisanterie au sérieux, et pro
que pour aller chez le Roi et chez Monsieur. 77. Voir précédemment,
page
54, note 2, et page 57, note 1. 78. Un historie
le Roi et chez Monsieur. 77. Voir précédemment, page 54, note 2, et
page
57, note 1. 78. Un historien littéraire de beau
arrondi, s’appelait Turcaret. 87. Ce que nous allons citer se trouve
pages
118-125 d’un appendice commençant à la page 91 et
s allons citer se trouve pages 118-125 d’un appendice commençant à la
page
91 et allant à 138 (136 seulement numérotées), pl
t Molière, comédien, au cimetière des morts-nés, à Paris », et se lit
page
27 de L’Apollon français, ou l’Abrégé des règles
sympathie. (Voir La Prison de Monsieur Dassoucy, Paris, 1678, in-12,
pages
71 et 160, et La Jeunesse de Molière, par M. Paul
La Jeunesse de Molière, par M. Paul Lacroix, Bruxelles, 1856, in-32,
pages
176-178.) 102. Chapelain, dans sa Correspondance
guère de la psychologie de Racine1, nous tenterons d’exposer dans les
pages
qui suivent ce que l’on peut appeler la philosoph
e ses intentions. secrètes ; nous y avons touché incidemment dans les
pages
précédentes ; mais comme la même question se repr
avant que de la combattre. » Peut-on croire que Pascal eût écrit ces
pages
si vives et saisissantes s il n’eût rencontré aut
, Notice, p. 343. 6. Notice, p. 34. 7. Œuvres de Molière, tome V,
page
217. 8. L’auteur de ce pamphlet parle d’un philo
béré n’est pas un maître ruiné, et c’est la succession qui paie. 13.
Page
142. 14. Voyez Sainte-Beuve, Port-Royal, tome II
esse, et que le rire qui éclate sur les lèvres d’un homme ou dans les
pages
d’un livre est un signe non équivoque de gaieté ?
ral, plus sage, Apprend à mener sa maison ; Car il rencontre à chaque
page
Des maximes pour sa raison Et des conseils pour s
pierre de l’angle. Nous nous contenterons de renvoyer le lecteur aux
pages
68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 323, 352, 36
. 11. Douzième leçon. 12. Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14.
Pages
69, 298, 299, 348 du tome Ier. 15. Deuxième leç
circonstances plus ou moins heureuses. — Septième leçon. 42. Voyez
page
44, note 2. 43. Le critique Aristophane. 44. Ve
ors aussi la province, avec son luth, son théorbe, et ses deux petits
pages
ou enfants de musique, société suspecte qui lui v
espoir que tous mes lecteurs me pardonneront d’avoir employé quelques
pages
à éclaircir, autant qu’il était en moi, une quest
té du style se joignent à la force et à l’élévation des pensées. 2.
Page
1057 et suivantes du tome VIII de l’édition en 12
e 1057 et suivantes du tome VIII de l’édition en 12 volumes in-8º, ou
page
360et suiv. du tome XLVIII de l’éd. de Kehl, 70 v
n pour être mis en tête de cet ouvrage (voirŒuvres de Racan, tome II,
page
211). François de Molière, sieur d’Essertines, au
n de sa composition, devant la duchesse de Savoie, par Pierrotin, Son
page
de musique, celui-ci, qui avait perdu la voix à f
, et les Italiens les autres jours. 45. Œuvres de Segrais, tome II,
pages
138 et 159 de l’édition en deux vol., Paris, 1755
ger son père, composa l’Impromptu de l’Hôtel de Condé. Voir tome III,
pages
331 et 332 de cette édition. 50. Œuvres de J. R
à la seconde représentation du Bourgeois gentilhomme(voir tome VIII,
pages
186 et 187 de cette édition). 61. Telle fut, en
sa conversation. » 122. Voir les Lettres de Bussy-Rabutin, tome IV,
pages
36 et 38. Treize jours étaient sans doute un demi
comme on pourrait le croire. L’extrait du registre de La Grange, cité
page
162, note 2, prouve que cette clôture du théâtre
Avant-propos Ces
pages
nouvelles sur Molière n’ont d’autre prétention qu
mmes, pourquoi ne nous ferait-il pas découvrir aussi quelque jour une
page
inconnue et tombée de leur plume, un cahier de pa
stérité n’a pas mieux dit. VI. Les calomniateurs de Molière Ces
pages
ne sont point — ai-je besoin de le dire à présent
èque de l’Arsenal. On éprouve une certaine tristesse à feuilleter ces
pages
vénéneuses et à se dire que chacun des traits emp
Bonne Foy couronnée, 1670, in-12, de 4 folios préliminaires et de 112
pages
). Elle est fort rare et à peu près introuvable. L
ues repeints exceptés, dans le bras, — mais encore c’est là comme une
page
d’histoire. On s’imagine, en la voyant, Molière p
peignit Mignard et que grava Nolin en 1685. Celui-là est vraiment une
page
d’histoire et, pour la critique littéraire, il es
omédiens français le 17 février 1773 (Paris, Callot, 1773, in-8 de 48
pages
). Nous trouvons encore cette pièce dans la Biblio
français le 18 février 1773 (Paris, Veuve Duchesne, 1773, in-8 de 64
pages
). L’auteur était l’abbé Lebeau de Schosne. Sa piè
ècle, par P. Laforest. (Limoges, Chapoulaud frères, 1862, in-8.) À la
page
6 : — Rencontrer à cent lieues de Paris, au fon
urs, sur la fièvre quarte. (Œuvres meslées, édit. de 1659, 2e partie,
pages
78-79) : Votre prudence est endormie De traiter
contre. 23. Voyez V. Fournel, Les Contemporains de Molière, tome II,
page
220.
e côté de l’histoire ni par celui de la critique, ni dire en quelques
pages
ce qui a produit tant de volumes, ni trancher pré
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, note 1, et plus haut,
page
227, note 2. 827. Préface du Tartuffe. Voir plu
les Disgraces d’Arlequin ; une Farce de Chevalier ; & une ou deux
pages
de Ne pas croire ce qu’on voit, histoire espagnol
m d’Auteur. Elles se trouvent dans le dernier Volume de cette Edition
Page
537. On excita Moliere à joindre à l’Edition de l
u’il dînoit en nombreuse compagnie avec M. le Marquis de M*** dont le
Page
, pour tout domestique, servoit à boire, il souffr
us prie, Marquis, dit il à M. de M*** donnez-nous la monnoye de vôtre
Page
. Chapelle se seroit fait un scrupule de refuser u
faire des vers Latins. Il écrivit les Hendecasyllabes, qu’on lit à la
page
483. du IV. Volume de cette Edition. Hic facund
ans la Vie de Moliere composa le Madrigal, qui se trouve dans la même
page
aussi bien que l’Epitaphe Latine, & la traduc
ue l’Epitaphe Latine, & la traduction Françoise qu’on lit dans la
page
suivante. La Fontaine ne voulant pas qu’un si gra
s, Sous ce tombeau gisent Plaute & Terence. On la trouve a la
page
472. du IV. Volume de cette Edition. Il n’y eut p
dans l’article, que l’on trouve dans le IV. Volume de cette Edition,
page
464. il ne seroit pas facile de justifier Moliere
malgré moi, cloué sur un ouvrage, Retouchant un endroit, effaçant une
page
, Enfin passant ma vie en ce triste métier, J’envi
uer, vos flûtes mieux d’accord. 25. L’Art de la Comédie, tome II,
page
6. 26. Voyez ci-contre Scapin, d’après la planch
, et le Festin de Pierre de 1665. Voir d’ailleurs plus haut, chap. I,
page
17, note 2 ; et plus loin, page 235. 750 751.
. Voir d’ailleurs plus haut, chap. I, page 17, note 2 ; et plus loin,
page
235. 750 751. Deut., cap. VI, v. 5 : « Dilig
ières espérances d’un règne heureux, et déjà l’on peut voir, dans ces
pages
, une profonde sécurité de toutes choses ! On y vo
ent de la journée, on ne vous demande qu’un journal, c’est-à-dire une
page
écrite en courant, au courant de la plume, en deh
a osé intituler : L’Argent, on se demande comment il se fait que ces
pages
athéniennes, d’un atticisme si pur, car c’est là
Pâtissière, la Dame de pique et la Dame de carreau : dames, écoliers,
pages
, chevaliers. On passait ensuite à la Mascarade du
vait indiquées dans ce ballet joué à Chambord : bourgeois babillards,
pages
éventés, filles coquettes, Suisses, Gascons, Impo
drame caché dont M. Bulwer et ses complices ont fait une parodie. Ces
pages
chrétiennes exhalent les angoisses et les douleur
l’esclave de Louis ! » Et cette folle, qu’on fait parler ainsi trois
pages
durant, c’est madame de Montespan, cette superbe
1. Voyez l’Histoire littéraire d’Italie, par M. Ginguené, tome VI,
page
299.
tements, un valet et un cheval à son service. Racan commença par être
page
de la chambre du même roi. Mainard était secrétai
utez cet autre fait rapporté par madame de Caylus dans ses Souvenirs,
page
89 : « L’aînée des enfants de madame de Montespan
r le nom de Mont-Espan par analogie avec Mont-Liban ? 124. Voyez les
pages
374 et suiv. ci-dessus. 125. Les documents fourn
notre troupe italienne. Deux volumes ne nous suffiroient pas : chaque
page
, à la vérité, nous feroit admirer de plus en plus
e contre la langue, ni une locution douteuse, sans les relever. 26.
Page
pénultième des Mémoires de Dumaurier, citée dans
eprésentation d’Amphitryon. Mademoiselle de Montpensier rapporte à la
page
déjà citée que peu après les propos dont elle rép
ux de la félicité de son ami. Arlequin blâme cette jalousie, quand un
page
de Dona Anna demande le Duc pour lui remettre une
n Juan affecte de lorgner Dona Anna ; elle n’y est pas insensible. Un
page
annonce au Commandeur qu’on le demande : il fort.
re de chaque semaine. À l’instant même je me mis à l’œuvre, et sur la
page
blanche j’écrivis le titre de mon nouveau chapitr
e les récompenses, qui est de les rendre meilleurs. » Ce sont là des
pages
admirables et tout à fait dignes que le critique
ne. Le Sosie latin débite à sa lanterne une narration de dix ou douze
pages
, sans qu’elle daigne répondre un seul mot : aussi
écidé le destin des principaux personnages, ils emploient souvent des
pages
entieres pour arranger les affaires des acteurs l
des personnages étrangers y venoient exercer ». Tome I, Section XXI,
page
157. Nil intentatum nostri liquêre poetæ, Nec m
est, par exemple, Lazare arrivant avec son faucon sur le poing et son
page
qui mène ses chiens après lui; Nabuchodonosor com
nthrope et Les Précieuses. 3. Sainte-Beuve. Poésie au XVIe siècle,
page
175 de l’édit de 1843. 4. M. Pingaud, transféré
par forme de supplément à l’article de cette pièce, que l’on trouvera
page
178 et suivantes de ce huitième volume. « Je ne
le à sa mode. » [*]Chappuzeau dans son Théâtre français, livre III,
pages
213 et 214, parle d’une troupe de comédiens espag
exactement connus que des seuls participans. Aussi, dès les premières
pages
, l’incrédulité naît chez le lecteur ; il voit tro
régals. L’abbé ne manquoit pas de lui envoyer tous les matins par un
page
le gage de leur traité et de l’aller voir toutes
me demeurant dans la même maison, ou bien que les allées et venues du
page
et de l’abbé ont passé inaperçues pour le mari, o
enta à M. le Prince l’Épitaphe suivante, dont on a parlé au bas de la
page
507, du Second Tome de cet ouvrage155. Ci-
en de Genève, directeur de pension à Paris, pour finir gouverneur des
pages
à la cour du duc de Zell (1682). Chargé d’une nom
joué : comédie en 5 actes et en prose. Selon la notice de la pléiade,
page
1471, tome II, les deux scènes insérées sont la s
tes Dramatiques) → représentations. 154. On retrouve cette anecdote
page
37 du Bolaeana datant 1742. « Au reste Monsieur D
ements d’auteurs. 155. La référence donnée est fausse. Certes, à la
page
507 on parle de cet abbé mais cela n’est pas dans
u tel, dont les noms figurent, en petits caractères, au bas de chaque
page
de ses œuvres dans les éditions Variorum. Et si
le humeur, lance aux loges des quolibets, auxquels les laquais et les
pages
, ces pestes du théâtre, mêlent quelques lardons.
pas l’intention d’analyser ce petit chef-d’œuvre, qui, dans ses vingt
pages
, nous en dit plus que les plus gros livres sur la
édition de son curieux volume. Je trouve cette anecdote, au tome II,
page
102, de la Mosaïque historique de Dusaulchoy, pub
entretien, répété à l’auteur de la Fameuse comédienne 8 est devenu la
page
la plus curieuse et la plus authentique en même t
nsi que l’était ce poète assez maltraité, dont parle Tristan dans son
Page
disgracié ; mais enfin, trouvant qu’être acteur v
était à Béziers avec sa troupe, augmentée de Dassoucy et de ses deux
pages
de musique. C’est alors aussi, ce qui vaut mieux,
e celle-ci au passage, et il la cloue aussitôt, sur sa vilaine petite
page
, par ces mots, qui — certes, il ne s’en doutait p
t le plus curieux : Qui nous apparaît, dans un coin de l’intéressante
page
et sur le premier plan ? Molière. Oui, Molière lu
ce jeune roi, que la mort de Mazarin venait à peine de mettre hors de
page
, on trouve, à ces vers, dits pour la première foi
fragment par fragment, et prit-il, chaque jour, dans le succès d’une
page
applaudie, le courage d’écrire la page suivante ?
que jour, dans le succès d’une page applaudie, le courage d’écrire la
page
suivante ? Ce qu’il nous a dit lui-même, au comme
ion des jardins de Versailles, adroitement glissée dans les premières
pages
du livre, était la principale cause de cette fave
l l’expiait, en n’étant pour rien dans une mauvaise action. C’est une
page
de Senécé, dans son pamphlet contre Lully, publié
e la plus vulgaire, si elle était à la gloire d’un roi. Parlant, à la
page
314 de son volume, de l’anecdote du déjeuner : «
atre, mais trois volumes seulement, et le fait se trouve non pas à la
page
4, mais à la 8e du tome III. Vétille ! dira-t-on.
conservateur adjoint des musées impériaux. Paris, 1863, in-8° de 387
pages
. 2. Le Roman de Molière, suivi de fragments sur
omédienne, pour désigner l’une des mines favorites de la Molière. 8.
Page
20. 9. Corresp. entre Boileau et Brossette, édi
article sur Don Juan, Revue des Deux-Mondes, 1er février 1847). 41.
Page
564. 42. Correspondance entre Boileau et Bross
que virent M. Beuchot et A Martin. 51. Tome 1, p. 303, n° 1306. 52.
Page
28. 53. A la suite de la Correspondance de Boile
la plus intéressante, dans l’Athenaeum français de 1856, p. 46. 103.
Page
47. 104. La Promenade de Saint-Cloud, par G. Gué
atoire et familier. (Note de l’Éditeur). 145. Voyez ci-dessus, à la
page
107, cette plaisante histoire, qui prouve que Gav
les Princes tragiques en petits-maîtres, & les petits-maîtres en
pages
; ceux qui veulent donner de l’emportement &
peut comparer ces scenes avec le Conte du sieur d’Ouville, partie I,
page
365. Tour subtil d’un Filou. Il y eut deux fre
yons les richesses que Moliere y a puisées. Nouvelle LXVIII, Tome 2,
page
133. Henry Berlinguier, riche marchand de Floren
E BOURGEOIS GENTILHOMME. Acte IV. Scene VI. CLÉONTE en Turc, TROIS
PAGES
portant la veste de Cléonte, M. JOURDAIN, COVIELL
II, et surtout chap. IX. 409. Voir plus haut, chap. IV, p. 78. 410.
Page
116, note 1. 411. M. de Pourceaugnac, act. I, s
orsqu’elle y vient à parler de la personne du roi, elle remplit trois
pages
de détails. Ces détails ont été remplacés par des
génie et de grandeur : l’an de grâce 1666 ! Au moment où j’écris ces
pages
funèbres, dans ce cabinet où si souvent elle est
rs m’écoute encore et — contente de son apothéose — elle sourit à ces
pages
où sa trace est restée. Hélas ! la trace est fugi
en 1788 ? Et qui donc a créé le rôle du grand Frédéric dans Les Deux
Pages
? Ô les belles questions à se faire, par Dieu ! E
la fidélité historique, témoin son rôle de Frédéric II dans Les Deux
Pages
. Longtemps avant la première représentation, Fleu
es tavernes où se boit à grands traits, le vin frelaté. Que de belles
pages
il a perdues ! Que de belles pages il a données à
its, le vin frelaté. Que de belles pages il a perdues ! Que de belles
pages
il a données à son voisin ! Que de livres il a fa
jours, en voici quelques-uns qui méritent un souvenir, même dans ces
pages
que nous arrachons à l’oubli, de toutes nos force
il fait rire les immortels ! Dans Le Jugement dernier de Michel-Ange,
page
terrible, le grand peintre a placé toutes sortes
son. Il n’y a que les honteux qui perdent. Au reste, on lit, quelques
pages
plus bas, un autre vers de Molière : Mon cousin,
édites de Diderot. — Tome IV — Paris 1834. 31. Amphitryon, scène i,
page
7. De l’édition Aldine, 1522. 32. Cicéron a dit
ut au plus être indiqués dans un ouvrage de trois cents quarante-huit
pages
, encore le quart est-il consacré à la parodie ; a
; mais il est nécessaire que nous parcourions auparavant une ou deux
pages
du Spectateur. Discours XXII.
oni. 51. Voyez l’Appendice, nº 7. 52. Arlequiniana publié en 1694,
page
2. 53. Cette scène faisait certainement partie d
mbattre la douleur du roi et ramener à une sainte résignation. Trente
pages
de La Beaumelle contiennent cette histoire presqu
usseau, Lettre à d’Alembert sur les Spectacles, plus loin, chap. Il1,
page
44, note 1. — « Oui, Molière a tourné l’honnêteté
iage, en trois tomes ; le chapitre des agréments contient la première
page
du premier feuillet du premier tome et le chapitr
âtre sous le nom de Montfleury, était un gentilhomme d’Anjou. D’abord
page
du duc de Guise, il le quitta bientôt pour courir
ires du théâtre, que La Harpe, dans son Cours de littérature (tome V,
page
421, de l’édition originale), attribue à ce même
et l’envie de faire un volume de ce qui ne devrait remplir que peu de
pages
, sont cause que l’histoire des hommes célèbres es
e, Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des
pages
. Cette faiblesse est précisément la même que cel
orcé de le dégrader contre la vérité du caractère. » Encore que cette
page
de critique ait une grande allure et contienne un
e de tourner en caricature, et, d’autre part, à travers la magnifique
page
de Jean-Jacques Rousseau : « C’est un de ces homm
soient bien naturelles. Ce qu’il y a de curieux, c’est que, quelques
pages
plus haut, Rousseau a soutenu cette double théori
exagération oratoire. Mais ce qui est remarque très juste dans cette
page
de Rousseau, c’est que les successeurs de Molière
oyais pas être Si plaisant que je suis ! et qui ne peut pas lire une
page
de Molière sans y trouver son antipode, son antip
i de l’honnêteté. » Et c’est tellement son véritable avis que, quatre
pages
plus loin, attaquant la mauvaise coquetterie, il
qu’elle fait d’eux ; je reconnais qu’il y a un grand sens dans cette
page
et je prie qu’on la marque ici d’une « oreille »
e ces deux hommes-là, il y avait incompatibilité radicale. Il y a une
page
célèbre de Sainte-Beuve que j’ai bien souvent cit
e, c’est… » Au fond et en résumé, il n’y a pas autre chose dans cette
page
que ceci : aimer Molière, c’est aimer la simplici
description desquels Voltaire n’a pas dédaigné de consacrer plusieurs
pages
, étaient dans ce goût moitié guerrier et moitié g
é faites. Laharpe dans son Cours de Littérature n’a consacré que cent
pages
à l’examen du théâtre le plus parfait que nous co
’aurais pu me contenter de mettre après ce titre une demi-douzaine de
pages
blanches. Mais la Comédie est la Comédie : le rép
du rossignol ne l’est point (avril 1865). 283. Voyez la note 1 de la
page
79. 284. Voyez la note 2 de la page 215. 285. C
65). 283. Voyez la note 1 de la page 79. 284. Voyez la note 2 de la
page
215. 285. C’est l’idée qu’Alexandre Vinet se fai
Fénelon, Lettre à l’Académie française, VII. Voir plus haut, chap. I,
page
18, note 1. — J.-J. Rousseau : « Vous ne sauriez
XII. 465. Le Misanthrope, act. IV et V. — Voir plus haut, chap. VI,
page
112. 466. Le Misanthrope, act. III, sc. IV-V
ançoises, Roman de M. de Challes. Comme cette histoire a plus de cent
pages
, nous allons l’extraire. Précis de l’Histoire de
t d’annoter Racine et disant : « Il suffit de mettre au bas de chaque
page
: admirable! admirable ! admirable !» Je suis à
amoureux. Les réflexions de Zucca ne remplissent pas moins de quatre
pages
de texte, et sont très impertinentes pour le sexe
te liste le portrait du Louvre, qui inspirait à Michelet une si belle
page
descriptive ; mais, longtemps classé sous le nom
tié qu’ils ont ressentie. Je n’essaierai point de refaire l’admirable
page
de Port-Royal, où Sainte-Beuve a défini la triste
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