PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet
Ouvrage
. Les Arts, dans leur origine, ont dû nécessair
r la témérité de les mettre en usage : de là vient que leurs premiers
ouvrages
, s’ils n’ont pas ces beautés délicates, cette vig
é que celui de la comédie, peuvent tout au plus être indiqués dans un
ouvrage
de trois cents quarante-huit pages, encore le qua
ne mort précipitée ait empêché Moliere de faire le commentaire de ses
ouvrages
! il y auroit dévoilé toutes les finesses de son
prouve qu’il est initié dans tous les secrets de Thalie. Admirons son
ouvrage
; mais plaignons-nous de l’étendue de ses connois
davantage, & qui me va le moins à tous égards, je déclare que cet
ouvrage
est une restitution que je fais au public, &
769, l’Eloge de Moliere. On touchoit au moment fixé pour remettre les
ouvrages
, quand quelques amis, qui avoient vu mes réflexio
t du théâtre. Cet objet étant rempli dans plusieurs endroits de votre
ouvrage
sur la comédie, vous n’avez qu’à réunir & res
er de ma noble audace, lorsque j’appris « que l’Académie avoit lu mon
ouvrage
en entier ; qu’elle y avoit trouvé du savoir, une
et M. Duclos fit, dans la séance publique, une mention honorable de l’
ouvrage
qui avoit pour devise3 : C’est un homme... qui...
e digne de servir aux progrès de la bonne comédie, le corps même de l’
ouvrage
pourroit, à plus forte raison, être de quelque ut
est-ce pas le premier devoir de tout artiste ? J’avoue encore que mon
ouvrage
ne peut être utile aux Auteurs célebres, qui reço
et ses auditeurs à portée de juger par eux-mêmes du juste mérite de l’
ouvrage
. Je demande présentement s’il ne joue pas un plus
ce à ses lumieres, il jouira presque autant que lui. J’ai dit que mon
ouvrage
pouvoit être utile aux comédiens. Je demande d’ab
arbitres nés du goût. Quelques-uns, passe ; mais tous... hélas ! Mon
ouvrage
enfin peut être d’une grande utilité aux Auteurs
mmençons par régler notre marche. L’ordre est très nécessaire dans un
ouvrage
aussi étendu que compliqué. Supposons d’abord que
ion bien établie doivent rendre moins chatouilleux ; ils savent que l’
ouvrage
le plus parfait a ses défauts. Il faut les regard
édie, & que je ne présenterai au contraire mes réflexions sur les
ouvrages
des modernes, que comme des doutes. Je leur expos
ic décidera. Je le prie de se souvenir que si, dans le courant de cet
ouvrage
, je n’offre pas toutes mes remarques sur le ton d
ns le dessein de manquer aux procédés. On conçoit aisément combien un
ouvrage
d’une aussi longue haleine, & toujours hériss
ceux qu’il peut battre sans craindre de s’égarer. De cette façon mon
ouvrage
, s’il est bien fait, joindra le mérite de la vari
avoir occasion d’avertir les personnes citées dans le courant de cet
ouvrage
, que je suivrai là-dessus le caprice de ma plume
ets des comédies étrangeres que je rapporterai dans le courant de cet
ouvrage
; cependant je me crois obligé de les avertir que
, les vains efforts que firent les poètes dramatiques pour imiter les
ouvrages
immortels de M. Corneille. Dans le grand nombre d
Geôlier de soi-même ; Le Pédant joué, et Le Campagnard. Mais tous ces
ouvrages
ne présentaient point encore la véritable comédie
omique (du moins la plupart) s’étaient permis des licences dans leurs
ouvrages
, qui marquaient également la malignité de l’espri
En habit de marquis, en robe de comtesses, Venaient pour diffamer son
ouvrage
nouveau, Et secouaient la tête à l’endroit le plu
ine, et le récit de quantité de faits singuliers qui concernent leurs
ouvrages
, composeront la plus grande partie du neuvième vo
omptons ceux que nous avons tirés de la Muse historique de Loret. Cet
ouvrage
est rare et peu connu ; cependant il est plein d’
. Les faits qui concernent ces auteurs, sont dispersés dans plusieurs
ouvrages
; nous les avons rassemblés avec attention. Les a
olume. « Je ne doute point que je ne hasarde beaucoup en donnant cet
ouvrage
au public ; il a eu tant de bonheur au théâtre qu
oire d’Alcamène et de Ménalippe m’a fourni les premières idées de cet
ouvrage
. Il l’a traitée avec tant d’art dans la huitième
prits du temps, châtia le sien davantage. Le grand succès de ce petit
ouvrage
lui attira des critiques2 que L’Étourdi et Le Dép
au sujet d’un fait avancé par l’auteur des Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière, et par celui de la Vie de Molière, av
olière, et par celui de la Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
, qui disent également que la comédie des Précieus
de la gloire pour eux que l’on reconnût leurs impertinences dans ses
ouvrages
, et que l’on dît même qu’il avait voulu parler d’
ules. Elle est de Somaizea, auteur très ignoré, voici le titre de cet
ouvrage
: Les Véritables Précieuses, comédie en un acte,
Guillot-Gorju, qu’il a acheté de sa veuve, et dont il adopte tous les
ouvrages
. » La comédie qui suit cet avertissement renfer
depuis son établissement à Paris, avait perfectionné son style ; cet
ouvrage
est plus correctement écrit que ses deux première
vantes et délicates répandaient aussi leur critique ; le titre de cet
ouvrage
, disaient-ils, n’est pas noble, et puisqu’il a pr
t ceux de Sganarelle, qui était représenté par Molière. Au nombre des
ouvrages
qui parurent au sujet de la pièce du Cocu imagina
e peuple, qui dans Paris sait parfaitement bien juger de ces sortes d’
ouvrages
; quelques applaudissements toutefois que l’on ai
qu’elles n’ont fait toutes deux ensemble, puisqu’elle a passé pour l’
ouvrage
le plus charmant et le plus délicat qui ait jamai
premier avait été intime ami de l’auteur, et savait presque tous ses
ouvrages
par cœur, et l’autre, acteur de la troupe de M. d
u roi et à la reine mère.) Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
, in-12, Paris, Prault fils, 1739. a. « [*]M. De
toujours quelque chose de saillant et d’instructif dans ses moindres
ouvrages
. Selon lui, Molière pensait toujours juste, mais
de son premier feu, et qu’il lui était impossible de revenir sur ses
ouvrages
. » a. On a déjà dit1 que le théâtre du Petit-B
sous l’année 1673. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière, à la tête des Œuvres de cet auteur, é
ucoup de fautes contre la langue. Non seulement il se trouve dans les
ouvrages
de cet admirable auteur des vices de construction
que Le Menteur. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. L’auteur des Mémoires sur la vie
les ouvrages de Molière. a. L’auteur des Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière dit que c’est Éraste, mais il s’est mé
is il s’est mépris. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. 1. [Note marginale] Vie de Molière,
ère. 1. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et le
s sur ses ouvrages. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*]L’affluence des spectateurs
» [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. 2. [Note marginale] Nous en parlerons à la fin
rest. 3. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. *. [Note marginale] De M. Quinault. *. [Note m
a Cocue imaginaire. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. *. [Note marginale] Vie de Molière,
ère. *. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, par Grima
sa naissance, voulait avec ingratitude faire son coup d’essai sur mon
Ouvrage
: Mais la Critique qui m’occupe, est au-dessus de
élié que celui qui me reprend. Le nom du Libraire qui débite ce petit
Ouvrage
, m’a fait soupçonner qu’une plume accoutumée depu
paraît à porter son jugement. Je dis plus, je me suis imaginé que son
Ouvrage
n’est qu’un ramassis des différents sentiments qu
donner contre mon Livre. Mon Censeur s’étonne que j’aie intitulé mon
Ouvrage
, La Vie de Mr de Molière. « Un Comédien, dit-t-il
Comédien, mais comme Auteur : Et le mérite qu’il s’est acquis par ses
Ouvrages
exige de l’estime ; c’est à ce sentiment qu’il fa
ux, quoique reçue et employée depuis longtemps, ils condamnent tout l’
Ouvrage
. De sorte que les Auteurs, plus jaloux de la mati
Molière ; elle en est offusquée ; cela lui ôte, dit-il, la suite des
Ouvrages
de cet Auteur, qui touchent le plus les Gens de l
ucune attention. Et même je suis sûr que si je n’avais point mêlé mon
Ouvrage
, mon Censeur aurait été le premier à se récrier,
n à qui je dois toutes sortes d’égards. Mais que mon Censeur lise mon
Ouvrage
encore une fois, il y trouvera plus de choses qu’
ui est trop suspecte, pour croire que je lui aie donné la vérité. Mon
Ouvrage
est broché d’après des Mémoires de Mr le Baron :
dit-il, que le tout ensemble a coûté à l’Auteur ; il a travaillé son
Ouvrage
avec autant de soin que si c’était la Vie d’un Hé
. « Mais, ajoute-t-il, Baron est son ami ; seulement il a part à son
Ouvrage
: il le loue trop légèrement ; et il insulte trop
utres Auteurs Comiques pour n’en être pas persuadé. » Donc encore mon
Ouvrage
est mauvais et suspect. En vérité peut-on raisonn
de mon Auteur, si les Journaux ne lui imposent point pour juger d’un
Ouvrage
, le Public ne m’impose point aussi pour juger d’u
révention, avec caprice, avec ignorance. On voit avec empressement un
Ouvrage
assez commun ; on applaudit faiblement à un meill
n être bien informé ? Il me permettra de le dire, il a fait son petit
Ouvrage
un peu légèrement. À l’entendre parler, je suis u
u’« avant et après Molière les Auteurs n’avaient donné que de mauvais
Ouvrages
». Voici mes termes, courage, courage, Molière ,
re Comique était alors négligé ; et que l’on était fatigué de mauvais
ouvrages
avant Molière, comme nous l’avons été après l’avo
ur découvrir le sens de l’Auteur ; et donner s’il est possible, à son
Ouvrage
plus d’esprit qu’il n’y en a voulu mettre. Toutes
de bonne foi que la défense du Misanthrope est peut-être le meilleur
Ouvrage
de celui qui l’a faite ; mais le bon a ses mesure
ur cet article. Il est fort éveillé sur tout ce qui peut abaisser mon
Ouvrage
; car il ne raconte l’aventure de la Personne qui
c, au sujet de Molière. Il devait observer à la simple lecture, que l’
Ouvrage
qu’il cite à son occasion, comme vrai, déshonorai
aisément la malignité d’un Auteur aux expressions, à la conduite de l’
Ouvrage
, aux intérêts qui y sont répandus ? Ainsi dût Mr
mauvais, je ne saurais lui passer d’avoir donné du poids à un indigne
Ouvrage
fait contre la réputation d’un des grands hommes
it de quoi faire un Livre fort curieux. J’ai trouvé la matière de cet
Ouvrage
si délicate et si difficile à traiter, que j’avou
de Molière ; je ne donne que ma pensée. À tout prendre néanmoins cet
Ouvrage
pourrait avoir le plus grand nombre de son côté ;
rrassé de tout préjugé, je n’ai pas trouvé la Vie de Molière dans cet
Ouvrage
; l’expression ne m’a point dédommagé, elle est t
mme d’esprit mes dépens. Mais je me flatte, sans trop présumer de mon
Ouvrage
, que puisque le Public a daigné souffrir et agrée
que sa personne aurait peut-être exigés ; mais à juger de lui par son
ouvrage
, je ne puis me dispenser de dire qu’il a de l’esp
n ; mais tout cela ne m’impose point, et je juge, selon l’effet qu’un
Ouvrage
fait sur mon esprit. Voici donc de vous à moi ce
l’Auteur a mal fait, selon moi, d’y assujettir les Aventures dont son
Ouvrage
est rempli ; cela fait oublier la suite des Pièce
er : nous avons de Molière tout ce qui doit nous toucher, ce sont ses
Ouvrages
; et je me mets fort peu en peine de ce qu’il a f
ions aussi bien passés de la sienne. Et content de l’admirer dans ses
Ouvrages
, je m’embarrassais peu ni qui il était, ni d’où i
t. Pourquoi l’Auteur ne nous les a-t-il pas données ? Nous aurions un
ouvrage
intéressant. Mais entrons dans le détail de celui
tôt que secouru de quelqu’un contemporain de Molière, il a broché son
Ouvrage
, qui est négligé en quelques endroits ; et je jur
Après cela je ne puis douter que Baron n’ait donné la matière de cet
Ouvrage
, et que l’Auteur n’y est de part que pour l’expre
attaquer. Ceux-là avant et depuis Molière n’ont donné que de mauvais
Ouvrages
: ceux-ci ne savent point leur métier, et ne repr
faire plaisir à Baron. Ne serait-il point pour quelque chose dans ses
Ouvrages
, qu’il les élève si fortement ? Quant aux Comédie
eur n’est pas plus juste : Molière, dit-il, ne reconnaîtrait pas ses
Ouvrages
, s’il les voyait représenter aujourd’hui. Voilà
-ci était un terrible Poète alors de se charger de fournir ce pénible
Ouvrage
. Ce fait n’est absolument point dans la Nature ;
ce qu’ils n’ont pas fait, est, selon eux, détestable : cependant, cet
Ouvrage
dont Molière, ou notre Auteur fait tant de bruit,
fait des fautes que la matière exigeait de lui. Il a fait voir par l’
Ouvrage
qu’il a donné après celui-ci, qu’il est capable d
sujets. Je doute que la conversation de Chapelle avec Molière sur les
Ouvrages
de celui-ci soit véritable. Est-il naturel que ce
urait dû nous donner une Dissertation sur chacune. Ç’aurait été là un
Ouvrage
excellent ; mais cette suite d’aventures communes
e cette objection, y répond modestement à la fin de son Livre. Un tel
Ouvrage
, dit-il, est au-dessus de ma portée ; et quand je
les sentiments ne sont jamais généraux sur le bon ou le mauvais d’un
Ouvrage
, je ne voudrais pas répondre que ce Livre n’eût s
néanmoins que le tout ensemble a coûté à l’Auteur, il a travaillé son
Ouvrage
avec autant de soin que si c’était la Vie d’un Hé
t voulu lui fournir ses modèles, et s’associer ainsi à ses plus beaux
ouvrages
. De son côté Molière, observateur profond, avait
poète, voilà ce qu’on trouve dans l’auteur du Tartuffe : cet immortel
ouvrage
n’est pas seulement un monument pour les lettres,
fe était déjà un premier succès : l’auteur plaçait en quelque sorte l’
ouvrage
sous la protection du roi ; le fait seul de sa re
plus capables d’enflammer les sens n’avaient scandalisé personne : un
ouvrage
où la vraie piété est mise en honneur, et la scél
Molière n’ait pas su se rendre agréable à Louis XIV ; non seulement l’
ouvrage
, mais l’auteur lui-même étaient perdus pour la sc
s d’église et des vrais dévots. Pendant ce temps Molière achevait son
ouvrage
: prévoyant bien tous les orages qui allaient fon
re la plus habile, en lui empruntant une des meilleures scènes de son
ouvrage
. Il l’avait presque associé à son succès ; c’est
t point ; des prêtres fanatiques vouaient aux flammes de l’enfer et l’
ouvrage
et l’auteur ; les séides criaient de toutes parts
mier placet, où il sollicitait la permission de faire représenter son
ouvrage
en public ; il invoquait cette faveur comme le se
nt ses camarades qui, séduits par la vogue qu’avait obtenue le nouvel
ouvrage
, l’engagèrent à s’emparer de ce sujet, et qu’il n
ne fut point un acte de faiblesse ; il attaqua les hypocrites dans l’
ouvrage
même où il semblait vouloir se prémunir contre le
n qu’il avait obtenue du roi, donna la première représentation de cet
ouvrage
extraordinaire qui avait déjà fait tant de bruit,
it, aussi bien dans la conduite de ses affaires que dans celle de ses
ouvrages
, de cette étude approfondie qu’il avait faite des
? Peut-être Louis XIV à Versailles se serait cru forcé de défendre l’
ouvrage
; le roi ayant prononcé, il n’y avait plus de rec
ème placet qui se trouve imprimé dans presque toutes les éditions des
ouvrages
de Molière. Le monarque ne leva pas la défense, m
scène. Molière n’épargna ni peines ni soins pour la conservation d’un
ouvrage
dont il sentait tout le prix, et qui lui devenait
elle attire à peine les regards d’une multitude inattentive ; mais un
ouvrage
de théâtre captive un public qui se renouvelle de
r doit tous ses avantages ; C’est son bonheur qui fait le prix de ses
ouvrages
. Je sais que Le Tartuffe a passé son espoir, Que
s vers que la cabale exhala sa fureur ; on vit éclore une multitude d’
ouvrages
, ou plutôt de libelles en vile prose contre le be
la religion. « Il est vrai qu’il y a quelque chose de galant dans les
ouvrages
de Molière, et je serais bien fâché de lui ravir
re siècle ? Et vous dont l’esprit de faction proscrit ou dénature les
ouvrages
, vous qu’on repousse du sanctuaire des lettres au
âche d’en ruiner la créance dans leurs esprits par la licence de ses
ouvrages
. « Certes il faut avouer que Molière est lui-même
e qui est continuellement en peine de faire réformer ou supprimer ses
ouvrages
. » Qui ne reconnaît à ces derniers mots la noirc
dent, Amphitryon, L’Avare, et George Dandin ? Le premier de ces trois
ouvrages
peut donner lieu à une remarque curieuse. Il ne b
vais auteurs ; il ne répondit à tous les libelles que par de nouveaux
ouvrages
, à toutes les diatribes que par de nouveaux succè
re par un spectateur qui avait assisté à l’unique représentation de l’
ouvrage
; la fidélité de l’extrait, l’enchaînement exact
ue. Il est plus naturel de croire que cette défense du Tartuffe est l’
ouvrage
d’un des amis de Molière, qui la revit avec soin,
upent beaucoup plus des mots que des choses. Quand il s’agit d’un tel
ouvrage
, c’est une question à peu près oiseuse que celle
rtuffe, et c’est ainsi qu’il est appelé dans toutes les éditions de l’
ouvrage
. Ce n’est pas le seul changement qu’il ait fait à
est imprimée avec l’analyse détaillée de chaque scène que donne de l’
ouvrage
joué une seule fois en 1667 l’auteur de la Lettre
Scarron, les traits les plus vigoureux et les scènes heureuses de son
ouvrage
. Le commun des hommes qui a toujours un peu d’env
e comme l’abeille au milieu des fleurs. Il peut hardiment refaire les
ouvrages
ou essayer de nouveau les caractères tracés par u
de l’Arétin, et dans Le Bernagasse. Bayle avait déjà cité ce dernier
ouvrage
comme ayant beaucoup servi à Molière ; mais il n’
e qu’un aussi grand critique aurait dû prendre la peine de comparer l’
ouvrage
italien et la comédie française avant de hasarder
les hypocrites de tous les temps. » Certes, il faut n’avoir pas lu l’
ouvrage
français pour y trouver le rapport même le plus é
uvrage français pour y trouver le rapport même le plus éloigné avec l’
ouvrage
italien. Si Molière a fait quelques emprunts, c’e
: Scarron est plus célèbre par la scène du Tartuffe que par tous ses
ouvrages
; on ne cite plus guère ce burlesque poète que co
r. Mais Molière ne doit qu’à lui seul la conception vigoureuse de son
ouvrage
; où a-t-il puisé cette exposition si comique et
sser avant les scrupules de la grammaire. Le Tartuffe est de tous ses
ouvrages
celui où il a pénétré le plus avant dans les repl
trompait par ses grimaces. En ornant la scène française d’un immortel
ouvrage
, il a légué à tous les siècles le signalement de
mps, n’ait pas vivement senti les beautés supérieures de cet immortel
ouvrage
? Il a aussi dessiné un hypocrite, et il semble m
tieux ; et si Bourdaloue a écrit de bonne foi, il n’a certes pas lu l’
ouvrage
dont il fait une si injuste censure. Le personnag
e dans ses attaques contre Molière ; ce n’est pas seulement un de ses
ouvrages
qu’il accuse, c’est tout son théâtre qu’il proscr
composée par un cardinal et jouée devant un pape ? Molière, dans son
ouvrage
, nous offre une épouse fidèle à ses devoirs, et l
la sentence de Bossuet. Molière est le poète des philosophes, et ses
ouvrages
font les délices de tous les hommes raisonnables
Avertissement. Cet
ouvrage
était destiné à être imprimé à la tête du Molière
éférence à un nommé La Serre. C’est de quoi on a plus d’un exemple. L’
ouvrage
de l’infortuné rival de La Serre fut imprimé très
aux qu’insipides. On y ajoute souvent des critiques injustes de leurs
ouvrages
. C’est ce qui est arrivé dans l’édition de Racine
u’on a cru vrai et digne d’être rapporté ; et on ne hasardera sur ses
ouvrages
rien qui soit contraire aux sentiments du public
e Monchrétien, ou de Balthazar Baro. Ces auteurs leur vendaient leurs
ouvrages
dix écus pièce. Pierre Corneille tira le théâtre
e le Docteur amoureux, les Trois Docteurs rivaux, le Maître d’école :
ouvrages
dont il ne reste que le titre. Quelques curieux o
e que les ridicules des provinciales. Mais il se trouva depuis, que l’
ouvrage
pouvait corriger et la cour et la ville. Molière
joint avec les malignités du public, suffit pour faire tomber un bon
ouvrage
. Voilà pourquoi Britannicus et les Plaideurs de M
pe n’en eut qu’une de sept. La fortune qu’il fit par le succès de ses
ouvrages
le mit en état de n’avoir rien de plus à souhaite
e fausse et mauvaise histoire qu’on a mise jusqu’ici au devant de ses
ouvrages
: Tu réformas et la ville et la cour ; Mais quel
ucoup de fautes contre la langue. Non seulement il se trouve dans les
ouvrages
de cet admirable auteur, des vices de constructio
laquelle il est si difficile d’éviter la fadeur et l’affectation. Ses
ouvrages
, où il se trouve quelques vraies beautés avec tro
prits du temps, châtia le sien davantage. Le grand succès de ce petit
ouvrage
lui attira des critiques, que l’Étourdi et le Dép
gés et des moins heureux de Molière. Cette pièce eut le sort des bons
ouvrages
, qui ont et de mauvais censeurs et de mauvais cop
pièce de caractère et d’intrigue. Quand il n’aurait fait que ce seul
ouvrage
, il eût pu passer pour un excellent auteur comiqu
instabilité des fortunes de cour. Les Fâcheux ne sont pas le premier
ouvrage
en scènes absolument détachées, qu’on ait vu sur
, sur le théâtre du Palais-Royal, le 1er Juin 1663. C’est le premier
ouvrage
de ce genre qu’on connaisse au théâtre. C’est pro
nt plus grand tort de saisir ces petits défauts pour condamner un bon
ouvrage
. Boursault crut se reconnaître dans le portrait
1663 et à Paris le 4 Novembre de la même année. Molière fit ce petit
ouvrage
en partie pour se justifier devant le roi de plus
au milieu de tant de plaisirs, ne pouvait critiquer avec sévérité un
ouvrage
fait à la hâte pour embellir la fête. On a depuis
ièces de Molière, et elle dut lui donner de l’émulation. Rarement les
ouvrages
faits pour des fêtes réussissent-ils au théâtre d
, qui est l’une des premières compositions de Lulli. C’est le premier
ouvrage
dans lequel Molière ait joué les médecins. Ils ét
e sur le théâtre du Palais-Royal le 4 juin 1666. L’Europe regarde cet
ouvrage
comme le chef-d’œuvre du haut comique. Le sujet d
représentation les applaudissements qu’elle méritait. Mais c’était un
ouvrage
plus fait pour les gens d’esprit que pour la mult
la comédie pour rire, que pour être instruit. Le Misanthrope était l’
ouvrage
d’un sage qui écrivait pour les hommes éclairés ;
s. Le public n’a point regretté que l’auteur ait négligé de finir cet
ouvrage
: il est dans un genre qui n’était point celui de
rès : le public, qui à la longue se rend toujours au bon, donna à cet
ouvrage
les applaudissements qu’il mérite. On comprit alo
lic le 5 février 1669. On sait toutes les traverses que cet admirable
ouvrage
essuya. On en voit le détail dans la préface de l
e n’était pas la première fois que Louis XIV, qui sentait le prix des
ouvrages
de Molière, avait voulu les voir avant qu’ils fus
er président ne veut pas qu’on le joue. Pendant qu’on supprimait cet
ouvrage
, qui était l’éloge de la vertu et la satire de la
on goût reprochèrent à l’auteur d’avilir trop souvent son génie à des
ouvrages
frivoles qui ne méritaient pas d’examen ; mais Mo
ais il cherchait par ce divertissement plutôt à réjouir qu’à faire un
ouvrage
régulier. Lulli fit aussi la musique du ballet,
e qu’on puisse faire des mauvais poètes, c’est de donner d’excellents
ouvrages
; Molière et Despréaux n’avaient pas besoin d’y a
t galantes. Molière servit le roi avec précipitation. Il mit dans cet
ouvrage
deux personnages qu’il n’avait point encore fait
Ils étaient honorés dans Athènes, où ils représentaient de moins bons
ouvrages
. Il y a de la cruauté à vouloir avilir des hommes
italiens, quoiqu’il y eût presque autant de différence entre les deux
ouvrages
, que de distance entre les deux auteurs. Somaise,
vers ses Précieuses ridicules. Si Molière avait eu recours à quelque
ouvrage
pour composer le sien, ce n’est pas dans les Préc
nt sa dupe couverte de confusion, forme le dénouement commun aux deux
ouvrages
. Mais qu’est-il besoin d’aller chercher dans l’œu
ronde des vices et des travers réels. Molière, dans ses deux premiers
ouvrages
, avait suivi, comme tous ses devanciers et ses co
ni parmi les modèles. Ceux-ci se dispersèrent et disparurent ; mais l’
ouvrage
est resté et il restera toujours, parce que la pe
restera toujours, parce que la peinture d’une folie passagère y est l’
ouvrage
d’un pinceau immortel. C’est ainsi à peu près qu’
droits de la propriété littéraire, du moins quant à l’impression des
ouvrages
dramatiques ; car Neufvillenaine, en faisant impr
ut tout dire : Neufvillenaine ne s’était pas borné à faire imprimer l’
ouvrage
de Molière ; il avait mis du sien dans le volume,
d’exciter le rire et de dérider les fronts les plus mélancoliques. Un
ouvrage
dramatique qui a réussi, lorsqu’il est marqué d’u
lement un badinage ; mais c’est celui d’un homme supérieur. Quoique l’
ouvrage
n’ait pas de but moral, et ne prétende pas même o
yle du Cocu imaginaire l’emporte de beaucoup sur celui des précédents
ouvrages
de Molière. La remarque la plus importante peut-ê
le 4 février 1661, sur le théâtre du Palais-Royal. C’était le premier
ouvrage
nouveau que Molière donnait à ce théâtre, depuis
ême essayer si le jugement des lecteurs lui serait plus favorable : l’
ouvrage
ne fut imprimé qu’après sa mort, dans l’édition d
. Comme Molière avait rempli le principal rôle dans ses deux derniers
ouvrages
, et que la verve comique de son jeu y avait été f
éroïque et de comique, fidèlement exprimé par ce titre, n’est, dans l’
ouvrage
, que la confusion de deux genres inconciliables s
ons peut-être une cause particulière du peu de succès qu’a obtenu son
ouvrage
. Il a pris pour sujet la jalousie, déplorable mal
n genre, avait peut-être encore plus mal choisi son sujet, et que son
ouvrage
méritait doublement l’accueil plus que froid qu’i
gations à Dorimond. Une ou deux ressemblances fort légères entre deux
ouvrages
puisés à une source commune, n’autorisent point c
e Desmarets, avant Molière, avait fait paraître sur notre théâtre un
ouvrage
en scènes absolument détachées . Les scènes de la
de la pièce en soit dérangée. Les divers originaux mis en jeu dans l’
ouvrage
, au lieu de passer l’un après l’autre sur la scèn
de gens, sur le point d’aller à une assignation amoureuse. » C’est un
ouvrage
de Molière. Cet écrivain, par sa manière, Charme
cru pouvoir me dispenser de rapporter un fait qui est cité dans vingt
ouvrages
, n’est démenti dans aucun, et, après tout, n’a ri
est d’autant plus facile à justifier, que les principales scènes de l’
ouvrage
français se trouvent dans la comédie de Plaute. J
rer sans distinction tout ce qu’il a écrit, et d’attribuer à tous ses
ouvrages
la même importance. Menant de front les travaux l
le mérite d’Amphitryon, je suis loin de le ranger parmi les meilleurs
ouvrages
de l’auteur. C’a été sans doute pour Molière lui-
tryon, je n’entends pas affirmer par là que Molière, en composant cet
ouvrage
, n’a tenu compte ni de son temps, ni des épreuves
ec le bon sens le plus sévère et le plus clairvoyant. La fable de cet
ouvrage
, que Plaute n’a pas inventée, repose sur une donn
Sosie. Les négligences qu’un œil exercé découvre sans peine dans cet
ouvrage
peuvent servir à expliquer un juge ment de La Bru
homme. Pour peu cependant qu’on étudie et que l’on compare ces trois
ouvrages
, on ne s’étonne plus des paroles échappées à La B
teur. N’oublions pas que dans l’espace de vingt ans il a écrit trente
ouvrages
, et qu’il jouait un rôle important dans presque t
eprise du Philosophe marié ne me semble pas inopportune, car c’est un
ouvrage
composé avec soin, et qui peut servir à développe
médies de Molière et des tragédies de Racine. Le mérite supérieur des
ouvrages
de ces deux grands génies eut à combattre d’abord
rose. Molière laissa dissiper ce faux préjugé, et redonna ensuite son
ouvrage
, qui eut tout le succès qu’il s’en était promis.
acine eut moins d’ennemis, mais il eut autant de mauvais juges de ses
ouvrages
. Sa tragédie d’Andromaque fut à la vérité applaud
Racine dans la préface de Britannicus), ce qui arrivera toujours des
ouvrages
qui auront quelque bonté. Les critiques se sont é
rassemblé quantité d’anecdotes qui ne se trouvent que dans différents
ouvrages
, et qui rendent celui dont nous parlons très curi
le théâtre français. Ce que l’on a dit de cet écrivain dans quelques
ouvrages
est si peu instructif, et accompagné de tant de f
la versification, tout en est admirable. « [*]L’Europe regarde cet
ouvrage
comme le chef-d’œuvre du haut comique ; le sujet
représentation les applaudissements qu’elle méritait, mais c’était un
ouvrage
plus fait pour les gens d’esprit que pour la mult
du Misanthrope sera toujours regardé chez les nations polies comme l’
ouvrage
le plus parfait de la comédie française ; si l’on
sieurs ensemble, ne suffit pas pour décider au juste de l’effet qu’un
ouvrage
dramatique peut faire sur le théâtre. Cependant,
iment, ce jugement juste sur le choix d’un sujet, et sur l’effet d’un
ouvrage
dramatique, que Molière joignait dans un degré ém
e quelques autres tragédies du même auteur, Subligny, dis-je, dans un
ouvrage
en vers, intitulé : La Muse Dauphine a, s’exprime
ncipes de justesse qui lui ont servi de guides dans la plupart de ses
ouvrages
. « Le voyage de Louis XIII à Narbonne en 1641, in
’en 1651. Molière l’employa vraisemblablement à composer ses premiers
ouvrages
; la Béjart, comédienne de campagne, attendait, a
urait assez admirer. « Ce qui était cause de cette inégalité dans ses
ouvrages
, dont quelques-uns semblent négligés en comparais
istinguera toujours Molière de tous les auteurs comiques. « Comme ses
ouvrages
ne sont pas tous du même genre, il ne faut pas, p
cle, le sentiment de quelques auteurs célèbres sur la personne et les
ouvrages
de Molière. « [*]Molière récitait en comédien su
ères chapeaux1. » Voici le jugement que M. de La Bruyère a porté des
ouvrages
de Molière : « Il n’a manqué à Térence que d’être
s ; plein de maximes sensées et de bons mots. Il a rassemblé dans ses
ouvrages
presque tous ce qu’il y a de bon et de mauvais da
decin malgré lui. Il crut devoir rappeler les spectateurs par quelque
ouvrage
moins bon, mais plus amusant, dans l’espérance qu
la comédie pour rire que pour être instruit ; Le Misanthrope était l’
ouvrage
d’un sage, qui écrivait pour les hommes éclairés,
pastorale comique, et nullement de la pastorale héroïque. Ce dernier
ouvrage
n’aurait-il pas plutôt été placé à la quatrième e
davantage le caractère de la vraisemblance. « Nous n’avons, parmi les
ouvrages
des anciens, que deux modèles en ce genre, l’Amph
t les bergères dansent plus sérieusement. « On peut dire que dans cet
ouvrage
le sieur de Lully a trouvé le secret de satisfair
près. Le public, qui à la longue se rend toujours au bon, donna à cet
ouvrage
les applaudissements qu’il mérite. On comprit alo
ait licencieux à tous égards. S’il n’a pas mis la dernière main à son
ouvrage
, ce n’est pas à lui qu’il s’en faut prendre. On s
vec le temps. Peu à peu il développe son système, il perfectionne son
ouvrage
, et oblige enfin ce même public à proscrire ce qu
u’un seul tout ; et l’on peut dire qu’il est presque le seul dont les
ouvrages
plaisent à ceux qui entendent le théâtre et à ceu
médie de L’Avare quatre scènes qui soient inventées par Molière. « Un
ouvrage
aussi singulier et aussi difficile, car je suis p
servile qu’il est si difficile aux auteurs de ne pas laisser dans les
ouvrages
dont les idées ne leur appartiennent pas. Ajouton
’est de Molière seul que l’on peut apprendre à se servir de plusieurs
ouvrages
, pour en construire une fable d’imitation mixte,
faciles à séduire, les vrais dévots étaient mêmes alarmés, quoique l’
ouvrage
ne fût guère connua, ni des uns ni des autres. Un
uxa. Des prélats, et le légat1, après avoir entendu la lecture de cet
ouvrage
, en jugèrent plus favorablement, et le roi permit
on goût reprochèrent à l’auteur d’avilir trop souvent son génie à des
ouvrages
frivoles qui ne méritaient pas d’examen ; mais Mo
» [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. a. « [*]Molière ne laissait point languir le p
les précédentes. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*]Quoique Le Misanthrope soit
e Misanthrope les poètes jaloux, toujours aussi peu croyables sur les
ouvrages
de leurs concurrents que les femmes sur le mérite
rut en 1667, à Paris chez Claude Barbin. Subligny ne continua pas cet
ouvrage
. *. [Note marginale] 6 juin, par conséquent le 4
était un vendredi. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. Ces deux familles étaient établie
de Paris, en 1682. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. Le vendredi 17 février 1673, jour
ns en vers qui parurent sur la mort de Molière, mais encore plusieurs
ouvrages
en prose sur le même sujet, qui se trouvent dans
hours, sur Molière. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. Mlle Poisson, fille de Du Croisy,
Grâces, dans Psyché, en 1671. b. Molière faisait plus, il lisait ses
ouvrages
à sa servante ; c’est M. Despréaux qui nous appre
udrais pas conseiller à tout le monde de les imiter. » a. Outre les
ouvrages
rassemblés dans ses Œuvres, et plusieurs pièces q
. Voyez Grimarest, Vie de Molière, p. 310. Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. *. [Note marginale] Épître II à M. M
ale] Voyez tome VIII, p. 233. a. Dans les Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière, après avoir parlé du succès des deux
forme, du troisième acte de George Dandin. Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. Ce titre semble indiquer le canev
itre de conjecture. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. [*]. [Note marginale] Vie de Molière
re. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. *. [Note marginale] Chant II. [*]. [Note margi
Paris, in-12, 1739 [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*]Molière n’a jamais fait que
s. Le public n’a point regretté que l’auteur ait négligé de finir cet
ouvrage
, il est dans un genre qui n’était point celui de
Hôtel de Bourgogne. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. *. [Note marginale] La musique de ce
ly. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. a. Voici une preuve sans réplique que l’auteur
une preuve sans réplique que l’auteur des Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière s’est trompé en donnant le rôle d’Hali
er. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. a. « [*]Une des plus belles pièces de Plaute e
nouvelle invention n’a-t-il pas fallu que Molière ait inséré dans son
ouvrage
pour le mettre en état d’être applaudi comme il l
rni les pensées. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. *. [Note marginale] Voyez l’article
e de George Dandin. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. [*]. [Note marginale] Vie de Molière
re. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, par Grima
s commencements. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. *. [Note marginale] On ne sait pas p
temps L’Avare parut pour la première fois. Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. [*]. [Note marginale] Vie de Molière
re. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. [*]. [Note marginale] Examen de la comédie de L
Le sieur Du Croisy. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. 1. [Note marginale] Tome IX, p. 268.
ée ; et au même lieu le 9 novembre 1665. » Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. 3. [Note marginale] Premier placet s
ement exécuté. » Voyez Grimarest, p. 196. Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. b. « [*]La comédie du Tartuffe fut
arginale] Préface du Tartuffe. a. « [*]Pendant qu’on supprimait cet
ouvrage
(la comédie de Tartuffe), qui était l’éloge de la
et, du 12 octobre. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. b. « [*] Pourceaugnac est une farc
.) [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. 1. [Note marginale] Par la troupe de Molière.
réservé, et il y excellait. Un des détracteurs les plus acharnés de l’
ouvrage
, de Visé, a dit : « Jamais comédie ne fut si bien
le importance et quel soin Molière mettait à la représentation de ses
ouvrages
. Une pièce de lui, jouée par lui-même et par les
te occasion. Tandis que les gens du grand monde prononçaient contre l’
ouvrage
des décisions tranchantes, ils l’attaquaient avec
ccoutumé depuis nombre d’années à occuper uniquement le public de ses
ouvrages
, et importuné d’un succès qui venait, pour ainsi
ramatique, ai-je dit, est absolument le même. En effet, dans les deux
ouvrages
, c’est un homme qui, tenant dans sa dépendance un
le jaloux esprits, Molière, osent, avec mépris, Censurer son plus bel
ouvrage
: Sa charmante naïveté S’en va pour jamais, d’âg
trop avantageuses pour moi ; et j’eus peur que, si je produisais cet
ouvrage
sur notre théâtre, on ne m’accusât d’abord d’avoi
d d’avoir mendié les louanges qu’on m’y donnait. » Je soupçonne que l’
ouvrage
ne parut pas à Molière tout à fait aussi galant e
eurs, dont l’assemblage formait la cabale acharnée contre son dernier
ouvrage
. On y vit, dans le personnage de Climène, ces fem
celui du marquis, ces sots du grand monde, qui condamnent d’un mot l’
ouvrage
qu’ils connaissent à peine et qu’ils seraient hor
intre, ou la Contre-critique de l’École des femmes. Ce portrait est l’
ouvrage
d’un pinceau inhabile, et cette contre-critique n
comique sur les œuvres de M. de Molière, tel est le titre d’un autre
ouvrage
, dont on ne connaît pas l’auteur, et dont il est
pour leurs maîtresses, ennemies déclarées du poète comique et de ses
ouvrages
. Il n’y a pas moyen de se méprendre à l’intention
auteur de La Guerre comique, ou la Défense de l’École des femmes. Cet
ouvrage
, où la prose et les vers, la narration et le dial
ole des femmes fit époque comme Le Cid ; c’est que chacun de ces deux
ouvrages
était en France le premier chef-d’œuvre du genre
unes des objections les plus spécieuses qui aient été faites contre l’
ouvrage
, y sont réfutées avec habileté ; les autres sont
ures originales que Molière a placées depuis dans ses plus importants
ouvrages
, en leur donnant, à la vérité, le développement e
ments ridicules, leur vicieuse coutume d’assassiner les gens de leurs
ouvrages
, leur friandise de louanges, leur trafic de réput
ui est avéré sur les aventures très romanesques de Brécourt. Dans son
ouvrage
intitulé : Du Second Théâtre-Français, M. Lemerci
r à l’hôtel de Bourgogne, où il avait résolu de donner dorénavant ses
ouvrages
. Il y réussit ; et cette espèce d’enlèvement d’un
aginaire, de La Princesse d’Élide, etc., elle contribua au succès des
ouvrages
de Molière ; et, dans Le Parisien de Champmeslé,
en lui l’auteur ; et l’homme même n’était pas entièrement épargné. L’
ouvrage
eut ce succès de scandale qu’obtiendront toujours
dépit de ce qu’on avait voulu lui ravir le mérite et la gloire de son
ouvrage
, en le faisant passer pour un simple prête-nom. C
gnons aujourd’hui la disgrâce, en considération de deux ou trois bons
ouvrages
, et d’autant d’actions honnêtes qui recommandent
ux une seconde fois : c’était lui prescrire de recommencer son propre
ouvrage
, au risque de demeurer inférieur à lui-même, et d
ontanée du génie de Molière ; c’est ce qu’on est convenu d’appeler un
ouvrage
de commande. Louis XIV, alors âgé de vingt-six an
Telle est l’anecdote, peut-être apocryphe, que l’on cite dans vingt
ouvrages
, comme ayant fourni à Molière le sujet du Mariage
ce qui pouvait le faire excuser ; et l’on parut avoir raison contre l’
ouvrage
, quoiqu’on fût injuste envers l’auteur, lorsqu’on
n, sans l’Arrêt burlesque, de Boileau, à qui il fut donné d’achever l’
ouvrage
commencé par Molière. Ce qui n’est pas une bouffo
ngeance des marquis. Or, cette dernière pièce est incontestablement l’
ouvrage
du comédien de Villiers. 7. On ignore pourquoi l
cède, qu’on peut regarder la révolution opérée dans la langue comme l’
ouvrage
de deux sociétés distinctes qui se partageaient l
tyles, les différentes formes du langage, ne l’étaient pas : ce fut l’
ouvrage
de la société polie. Par sa conversation, la vie
récit d’un amour si sauvage Vous fait, en m’écoutant, rougir de votre
ouvrage
; D’un cœur qui s’offre à vous, quel farouche ent
latant de rares qualités. On remarquait comme précieux dans un autre
ouvrage
: que Daphné avait toute son âme dans ses jeux ;
eur court dans une assemblée. On lisait avec étonnement dans un autre
ouvrage
cette phrase : cet homme laisse mourir la convers
e l’habitude, a consacré ces locutions. Voici la liste des principaux
ouvrages
dont la France était en possession au milieu du x
la critique du Cid ; En poésie, les belles odes de Malherbe, quelques
ouvrages
de Racan, de Segrais, de Benserade ; les chefs-d’
eur, Rodogune. Nous avions plusieurs comédies de Molière : Plusieurs
ouvrages
de La Fontaine. Ce n’étaient pas encore les chefs
nt la naissante autorité de Louis XIV, en 1661. 57. La Bruyère, Des
ouvrages
de l’esprit, p. 96, édit. in-4°.
et, venons à quelques réflexions que nous croyons nécessaires sur les
ouvrages
qui parurent au théâtre français, jusqu’à la fin
té, soit indolence dans les auteurs qui suivirent ce grand homme, ses
ouvrages
occupèrent longtemps seuls le théâtre français, a
ant, Le Joueur, etc. Après la Phèdre de M. Racine, qui fut le dernier
ouvrage
que cet illustre auteur donna au théâtre français
galantes. Molière servait le roi avec précipitation. Il mit dans cet
ouvrage
deux personnages qu’il n’avait point encore fait
rent donnés à M. Ratabon (contrôleur des Bâtiments du roi) de hâter l’
ouvrage
, et au sieur Vigarani de préparer ses machines ;
trer à Mademoiselle, princesse qui se plaisait à ces sortes de petits
ouvrages
, et qui d’ailleurs considérait fort M. l’abbé Cot
Juvénal, etc. Cotin ne s’en tint pas à sa satire, il publia un autre
ouvrage
sous ce titre : La Critique désintéressée sur les
nage.) M. de Visé, qui entreprit au commencement de l’année 1672 son
ouvrage
périodique du Mercure galant, rendit compte du su
s produisit sur Cotin et sur les personnes qui avaient applaudi à ses
ouvrages
. « [*]Cotin, qui n’avait été déjà que trop expos
effet qu’on lui attribue ne convient point ·à un homme qui a fait des
ouvrages
qui ont eu une approbation aussi générale que ses
aire, qui est la dernière pièce qu’il a mise au jour. Il y a dans cet
ouvrage
un M. Fleurant apothicaire, brusque jusqu’à l’ins
négaud, année 1688. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*]Le roi, qui ne veut que des
» [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. [*]. [Note marginale] Voyez ci-dessous la lettr
le 25 du même mois. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*] Le Bourgeois gentilhomme f
té à la peine de se rétracter, et de s’avouer faibles connaisseurs en
ouvrages
. » a. « [*]En effet, y a-t-il rien de plus bea
ly. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. a. Par la date de la lettre de Robinet, on voit
la vie de Quinault, à la tête du théâtre de cet auteur. a. « [*]Cet
ouvrage
n’est pas tout d’une même main. Le Carnaval appro
e cardinal Mazarin. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*](Molière) ne put faire que
ner ses défauts. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*]Si Molière avait donné la f
ne. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. a. Par l’extrait du Pédant joué de Cyrano, tome
in-12, Paris, 1739. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. [*]. [Note marginale] Scène XVI de L
ntes, et pourrait bien être inventé par cet auteur, pour donner à son
ouvrage
un air de singularité sur les autres faits connus
tres faits connus. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. 1. [Note marginale] Histoire de l’Ac
Ménage) et l’abbé Cotin. Molière était en peine de trouver un mauvais
ouvrage
pour exercer sa critique, et M. Despréaux lui app
ius, il ne faut que lire la scène où il fait paraître ce savant ; ses
ouvrages
mêmes y sont désignés. 1. [Note marginale] Dicti
inale] In-12, 1666. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. M. Perrault, dans ses Éloges des
t étudiez la plûpart qu’à faire connoître l’Auteur, persuadez que des
ouvrages
si constamment applaudis n’avoient pas besoin d’é
ée Vie de la Guerin auparavant femme & veuve de Moliere. Ce petit
ouvrage
qui certainement n’a pas été composé pour faire p
nier siecle a entrepris de nous donner une Vie de Moliere ; & cet
ouvrage
a eu ses partisans comme ses censeurs. On l’a blâ
une vilaine crapule, tel que le depeint Mr. Grimarest. En un mot cet
ouvrage
na pas été épargné ; mais l’Auteur s’est defendu
. Mon but est de rassembler tout ce que je trouve dans ces differents
ouvrages
, d’en faire un tout suivi & complet, en y joi
te. Moliere aussi ne s’est-il pas fait un scrupule de placer dans ses
Ouvrages
plusieurs pensées que Cyrano avoit employées aupa
en Languedoc les Precieuses ridicules. Je crois qu’il se trompe, cet
ouvrage
parut à Paris pour la premiere fois lors qu’il y
les supprimer entiérement lorsqu’il vit sa reputation fondée sur des
Ouvrages
avec lesquels elles ne pouvoient pas bien figurer
presenté le mois suivant. Il fut près d’un an sans donner de nouveaux
ouvrages
au public, mais il le dédomagea de cette attente
ue étoit alors bien négligé ; & que l’on étoit fatigué de mauvais
Ouvrages
; ce sont les propres termes de Mr. Grimarest qui
ntes & délicates répandoient aussi leur critique. Le titre de cet
Ouvrage
, disoient-ils, n’est pas noble, & puisqu’il a
Prince Jaloux, que quelques-uns regardent comme l’un de ses derniers
Ouvrages
parce qu’il est dans le dernier Volume de son Rec
blic ; aussi ne la fit-il pas imprimer, & on ne l’a ajoutée à ses
Ouvrages
qu’après sa mort. Ce peu de réussite releva ses e
hoisi. Ses envieux ne purent pourtant s’empêcher de parler mal de son
Ouvrage
. Je ne voi pas, disoit un Auteur contemporain, qu
spectacles furent partagez. Bien des femmes se révolterent contre un
Ouvrage
dont la principale maxime semble insinuer que, qu
e se prêtent jamais à rien & qui incapables de sentir le bon d’un
Ouvrage
, saisissent un trait foible pour attaquer un Aute
Preface où il repondroit à ces Censeurs & rendroit compte de son
Ouvrage
. On s’attendoit qu’il ne perdroit pas cette occas
tte occasion de se justifier de tout ce qu’on avoit condamné dans ses
Ouvrages
. Mr. Corneille lui avoit frayé le chemin & do
unique du Philosophe dont nous avons les Oeuvres imprimées en corps d’
Ouvrages
. Le Commentateur de M. Despreaux m’apprend que ce
rdonnoient pas dans l’occasion. Il attaque leur mauvais goût pour les
Ouvrages
: il tâche d’ôter tout credit au jugement qu’ils
l de Bourgogne ; les Auteurs Tragiques y portoient presque tous leurs
Ouvrages
; Moliere en étoit fâché : de maniere qu’ayant sû
’exhorta de se perfectionner dans la Poësie avant que de hazarder ses
Ouvrages
au Public ; & il lui dit de revenir le trouve
u. On lui fit entendre que l’on n’avoit point d’honneur à remplir son
Ouvrage
de celui d’autrui ; que la Piece de Rotrou étoit
positions qu’il avoit, il falloit qu’il se fît honneur de son premier
Ouvrage
, pour disposer favorablement le Public à en recev
ritique de l’Andromaque, comme M. Racine le croyoit : il estimoit cet
Ouvrage
comme un des meilleurs de l’Auteur ; mais Moliere
sté, daigna l’honorer d’une pension de mille livres. On voit dans ses
Ouvrages
le remerciment qu’il en fit au Roi. Ce bienfait a
ravail ; il crut après cela qu’il pouvoit penser favorablement de ses
Ouvrages
; & il forma le dessein de travailler sur de
ion de trouver dans son commerce encore plus de solidité que dans ses
Ouvrages
. Et ce qu’il y avoit de plus agreable pour ses am
d’en parler dans la suite de sa Vie ; je reviens à l’histoire de ses
ouvrages
. La Princesse d’Elide,* qui fut representée dans
temps de versifier toute sa piece) tout fut trouvé excellent dans son
Ouvrage
. Mais le Mariage forcé, qui fut representé le der
int là son ambition : il vouloit meriter ceux de la posterité par des
ouvrages
où l’utilité fût jointe à l’agrément, & la re
parce qu’il lui faudroit un temps infini, s’il vouloit travailler ses
ouvrages
comme lui. » *Ce fait est remarquable à plusieurs
guir leur Theâtre. Pourquoi, lui disoient-ils, ne faites-vous pas des
ouvrages
qui nous soutiennent ? Faut-il que ces Farceurs d
in considerable de cette Piece ; & Moliere croyoit donner par cet
Ouvrage
une derniere main à sa reputation. Il avoit manié
toit la copie de plusieurs originaux de consequence, qui décrioient l’
ouvrage
de toute leur force. Je n’ai pourtant pû faire mi
ncesse. Elle regardoit cet endroit comme un trait indigne d’un si bon
Ouvrage
: Mais Moliere avoit son original, il vouloit le
ophile. Ainsi, disoit ce Pedant à son ami, si l’on examinoit bien les
Ouvrages
de Moliere, on les trouveroit tous pillez de cett
à son sujet dans les Comiques Latins, que ceux-ci d’avoir orné leurs
ouvrages
de ce qu’ils trouvoient dans les Comiques Grecs.
l’action. Mais s’il revenoit aujourd’hui, il ne reconnoîtroit pas ses
Ouvrages
dans la bouche de ceux qui les representent. Il e
n, à faire vivre, & à conduire, un Theâtre à soutenir ; & des
Ouvrages
à faire pour ménager vôtre reputation, vous n’aur
is d’humeur & en état de ne les point craindre. Et si j’avois des
Ouvrages
à faire, j’y travaillerois avec tranquillité, &am
de la farce. Si je travaillois pour l’honneur, répondit Moliere, mes
Ouvrages
seroient tournez tout autrement : Mais il faut qu
r avoir beaucoup de part à mes Pieces, je voudrois bien vous voir à l’
ouvrage
. Je travaille presentement sur un caractere, où j
comme le vôtre. Chapelle accepta le défi : Mais lorsqu’il apporta son
Ouvrage
à Moliere, celui-ci après la premiere lecture le
lutôt un recueil de bons mots sans place, que des Scénes suivies. Cet
ouvrage
de M. de Chapelle ne seroit-il point l’original d
à la peine de se retracter, & de s’avoüer foibles connoisseurs en
ouvrages
. Je pourrois rappeller ici qu’ils avoient été aup
il étoit indispensablement obligé d’avertir ses Lecteurs que tous les
Ouvrages
de Moliere n’étoient pas également dignes de lui.
utant moins estimable que son Auteur avoit fait voir par de très-bons
Ouvrages
qu’il étoit capable de faire mieux. La Comtesse
rai Philosophe ; & toûjours occupé de plaire à son Prince par ses
ouvrages
, & de s’assurer une reputation d’honnête homm
y a pourtant pas lieu de s’étonner du temps que Moliere mettoit à ses
ouvrages
; il conduisoit sa Troupe, il se chargeoit toûjou
l. Cette Piece eut l’applaudissement ordinaire que l’on donnoit à ses
ouvrages
, malgré les critiques qui s’éleverent. C’étoit le
demanda ce que l’on disoit de sa Piece. M. Baron lui répondit que ses
Ouvrages
avoient toûjours une heureuse réussite à les exam
voir remarqué par les traits de sa vie que j’ai rapportez : & ses
Ouvrages
font juger de son esprit beaucoup mieux que mes e
ues ! » Tous les Savans ont porté à peu près le même jugement sur les
Ouvrages
de Moliere ; mais il divertissoit tour à tour les
onnes dont je viens de parler ; & comme ils voyoient ensemble ses
Ouvrages
, ils en jugeoient suivant qu’ils en devoient être
unes entieres, qui n’ont jamais paru. Mais sa femme, peu curieuse des
Ouvrages
de son mari, les donna tous quelque temps après s
usqu’à sa mort. La femme de celui-ci ne fut pas plus soigneuse de ses
Ouvrages
que la Moliere : Elle vendit toute la Bibliothequ
: & il auroit achevé ce travail, sans un malheur qui arriva à son
ouvrage
. Un de ses domestiques, à qui il avoit ordonné de
amp le reste au feu. A mesure qu’il y avoit travaillé il avoit lû son
ouvrage
à M. Rohaut, qui en avoit été très-satisfait, com
t rire, est dans toute la rigueur des regles, voudroient que tous ses
Ouvrages
fussent aussi justes, & aussi travaillez que
ime avec douter. Il avoit encore le défaut sur-tout dans ses premiers
Ouvrages
de ne pouvoir quitter une pensée qu’il ne l’eût t
e, et presque ignorée, même des curieux. M. Joly, dernier éditeur des
ouvrages
de Corneille, en aurait sûrement fait usage si el
t dans les autres. Nous en avons extrait ceux qui conviennent à notre
ouvrage
, et nous les plaçons ici pour servir de supplémen
dont le fond même est vicieux, put contribuer au peu de succès de cet
ouvrage
; Molière, qui jouait le rôle de Dom Garcie, ne r
pièce de caractère et d’intrigue ; quand il n’aurait fait que ce seul
ouvrage
, il eût pu passer pour un excellent auteur comiqu
lques amis, Que si le bref temps eût permis, D’achever maint sublime
ouvrage
, Il en eût bien fait davantage. Le renommé Monsie
un même sujet, et qui sont cependant si nécessaires pour produire des
ouvrages
excellents. » Dans les Mémoires sur la vie et le
duire des ouvrages excellents. » Dans les Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière, voici le jugement que l’on porte de l
supprimer quelques-unes, en substituer d’autres, sans faire tort à l’
ouvrage
: mais le point essentiel était de soutenir l’att
lange plut par sa nouveauté, on eut peut-être de l’indulgence pour un
ouvrage
, conçu, fait, appris, et représenté en quinze jou
sage de la préface qui précède cette critique va donner l’idée de cet
ouvrage
. « On ajoute à cet avis que celui qui a écrit ce
i Lidamon et Lisandre s’y déclarent avec Bélise et Célante contre les
ouvrages
du sieur de Molière, Palamède et Crysolite, qui s
mmes, et l’autre la défend. On ne trouve rien de remarquable dans cet
ouvrage
, si on en excepte quelques personnalités contre M
oix, in-12, Paris, Pierre Bienfait, privilège du 13 février 1664. Cet
ouvrage
est, comme le précédent, en forme de dialogues. O
ser avancer le contraire. L’École des Femmes, enfin Doit passer pour
ouvrage
fin. Permettons à chacun d’en rire ; Défendons à
mille jaloux esprits, Molière, osent avec mépris, Censurer un si bel
ouvrage
: Ta charmante naïveté S’en va pour jamais d’âge
crois) demain. « [*]La Critique de l’École des femmes et le premier
ouvrage
de ce genre qu’on connaisse au théâtre, c’est pro
nt plus grand tort de saisir ces petits défauts pour condamner un bon
ouvrage
. » « [*]Molière n’opposa pendant longtemps que
que le feu et la vivacité d’une action. » M. Riccoboni dans le même
ouvrage
ci-dessus cité, page 148, dit : « Il y a, dans Le
est fin et caché tout ensemble. Mais comme on trouve difficilement un
ouvrage
qui soit parfait, le modèle qu’a choisi Molière n
it, et du plus fin, Lequel étant heureux et sage, En la fabrique de l’
ouvrage
, En a fait les secrets ressorts ; Qui sont deux j
et écrivain. « II est vrai qu’il y a quelque chose de galant dans les
ouvrages
de Molière, et je serais bien fâché de lui ravir
al, le 22 du même mois. « [*] L’Amour médecin est encore un de ces
ouvrages
précipités que l’on ne doit point juger avec rigu
à la vérité, qu’instructif. » « [*] L’Amour médecin, est le premier
ouvrage
dans lequel Molière ait joué les médecins ; ils é
ucoup divertir. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. Voyez la scène V de l’acte second
onsieur, et Madame. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. [*]. [Note marginale] Vie de Molière
re. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. [*]. [Note marginale] Article 8 du 2e livre, p.
ie. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. *. [Note marginale] C’est-à-dire le 16 août. a
plaisirs de la Maison du roi. a. Dans les Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière, et dans la Vie de Molière, avec des j
ges de Molière, et dans la Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
, on dit que la comédie des Fâcheux, après avoir é
te pièce. » L’auteur de la Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
, apporte ce fait, et ajoute : « Molière, qui n’en
nale] Mlle de Brie. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*]On se révolta généralement
re. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et le
s sur ses ouvrages. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. M. de Visé dans ses Nouvelles no
r des louanges. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. « [*]Il fut compris dans l’état
, tome III, p. 247. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. [*]Le fameux comte de Grammont a
e bouffonneries. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. *. [Note marginale] Le Festin de Pie
la vie de Molière. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. *. [Note marginale] Voyez l’article
sous l’année 1669. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. [*]. [Note marginale] Mémoires sur l
uvrages de Molière. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. a. Cette comédie, qui se joue souven
omédies de Molière. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. c. Il fut proposé, fait, appris et r
76. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
. [*]. Observations sur la comédie et sur le gén
de attention, et ils n’ont pas une médiocre influence sur le sort des
ouvrages
. On voudrait, en quelque sorte, qu’ils eussent to
ui le déparent, est peut-être encore la partie la plus brillante de l’
ouvrage
. En 1654, c’est-à-dire un an après que eut été re
position des incidents, en un mot l’action. Sous ce rapport, les deux
ouvrages
diffèrent entièrement. Du reste, la comédie de Qu
e ; et, s’il occupe aujourd’hui un rang inférieur parmi tant de beaux
ouvrages
dont notre scène est enrichie, c’est à Molière lu
e pèche jaunis par la pensée et les plus grandes corrections dont ses
ouvrages
fussent susceptibles, se borneraient presque touj
’Étourdi, Le Dépit amoureux est un emprunt fait au théâtre italien. L’
ouvrage
original, intitulé L’Interesse, est de Niccolo Se
ux qui la rendirent fort supérieure à son modèle, ainsi qu’aux autres
ouvrages
où était reproduit le même sujet. Du rôle insigni
e ne comportait pas Le Dépit amoureux ; mais la diction de ce dernier
ouvrage
, quoique chargée encore d’un assez grand nombre d
Idées sur Molière L’éloge d’un écrivain est dans ses
ouvrages
. Celui de Molière est dans les ouvragés de ses su
anevas italiens et les romans espagnols t’ont guidé dans tes premiers
ouvrages
; mais n’est-ce pas toi qui as inventé ce sublimé
e à un avare de bonne foi, qu’il y avait beaucoup à profiter dans cet
ouvrage
, et qu’on en pouvait tirer d’excellents principes
de Vadius qui, après avoir parlé comme Caton sur la manie de lire ses
ouvrages
, met gravement la main à la poche, en tire le cah
qu’il t’a fallu de courage et de génie pour concevoir le plan de cet
ouvrage
et l’exécuter dans un temps où le faux zèle était
e charme le plus sûr et le plus durable; c’est lui qui fait vivre les
ouvrages
, parce que c’est lui qui les fait aimer; c’est le
t dans sa tournure originale; le Joueur et le Légataire sont de beaux
ouvrages
; le Glorieux, la Métromanie et le Méchant ont des
négliger sa langue, et on a eu raison. Il aurait sûrement corrigé ses
ouvrages
, s’il avait eu plus de loisir, et si sa laborieus
te. Molière aussi ne s’est-il pas fait un scrupule de placer dans ses
Ouvrages
plusieurs pensées, que Cyrano avait employées aup
e bon sens, se défiait toujours de ses forces, eut peur alors que ses
ouvrages
n’eussent pas du Public de Paris autant d’applaud
Théâtre comique, peut-être ne se serait-il pas hasardé de livrer ses
Ouvrages
au Public. ― Je ne comprends, disait-il, à ses c
out à fait l’estime du Public en 1659, par les Précieuses ridicules ;
Ouvrage
qui fit alors espérer de cet Auteur les bonnes ch
mique était alors bien négligé ; et que l’on était fatigué de mauvais
Ouvrages
avant Molière, comme nous l’avons été après l’avo
avantes et délicates répandaient aussi leur critique. Le titre de cet
ouvrage
, disaient-ils, n’est pas noble ; et puisqu’il a p
a Pièce. Aussi ne la fit-il pas imprimer ; et on ne l’a ajoutée à ses
Ouvrages
qu’après sa mort. Ce peu de réussite releva ses e
hoisi. Ses envieux ne purent pourtant s’empêcher de parler mal de son
Ouvrage
. ― Je ne vois pas, disait un Auteur Contemporain
ne se prêtent jamais à rien, et qui incapables de sentir le bon d’un
Ouvrage
, saisissent un trait faible, pour attaquer un Aut
rdonnaient pas dans l’occasion. Il attaque leur mauvais goût pour les
ouvrages
: il tâche d’ôter tout crédit au jugement qu’ils
l de Bourgogne ; les Auteurs Tragiques y portaient presque tous leurs
Ouvrages
. Molière en était fâché. De manière qu’ayant su q
exhorta de se perfectionner dans la Poésie, avant que de hasarder ses
Ouvrages
au Public : et il lui dit de revenir le trouver d
u. On lui fit entendre que l’on n’avait point d’honneur à remplir son
ouvrage
de celui d’autrui ; que la pièce de Rotrou était
positions qu’il avait, il fallait qu’il se fît honneur de son premier
ouvrage
, pour disposer favorablement le Public à en recev
ritique de l’Andromaque, comme Mr Racine le croyait : il estimait cet
Ouvrage
, comme un des meilleurs de l’Auteur ; mais Molièr
sté, daigna l’honorer d’une pension de mille livres. On voit dans ses
Ouvrages
le remerciement qu’il en fit au Roi. Ce bienfait
ravail ; il crut après cela qu’il pouvait penser favorablement de ses
Ouvrages
, et il forma le dessein de travailler sur de plus
ion de trouver dans son commerce encore plus de solidité que dans ses
Ouvrages
. Et ce qu’il y avait de plus agréable pour ses am
temps de versifier toute sa pièce) tout fut trouvé excellent dans son
ouvrage
. Mais le Mariage forcé, qui fut représenté le der
r leur Théâtre. ― Pourquoi, lui disaient-ils, ne faites-vous pas des
ouvrages
qui nous soutiennent ? Faut-il que ces Farceurs d
gain considérable de cette pièce ; et Molière croyait donner par cet
Ouvrage
une dernière main à sa réputation. Il avait manié
tait la copie de plusieurs originaux de conséquence, qui décriaient l’
ouvrage
de toute leur force. ― Je n’ai pourtant pu faire
ncesse. Elle regardait cet endroit comme un trait indigne d’un si bon
Ouvrage
: Mais Molière avait son original, il voulait le
ophile. Ainsi, disait ce Pédant à son ami, si l’on examinait bien les
ouvrages
de Molière ; on les trouverait tous pillés de cet
l’action. Mais s’il revenait aujourd’hui il ne reconnaîtrait pas ses
ouvrages
dans la bouche de ceux qui les représentent. Il e
raison, à faire vivre, et à conduire ; un théâtre à soutenir ; et des
ouvrages
à faire pour ménager votre réputation, vous n’aur
suis d’humeur, et en état de ne les point craindre. Et si j’avais des
ouvrages
à faire, j’y travaillerais avec tranquillité, et
la farce. ― Si je travaillais pour l’honneur, répondit Molière, mes
ouvrages
seraient tournés tout autrement : Mais il faut qu
r avoir beaucoup de part à mes pièces, je voudrais bien vous voir à l’
ouvrage
. Je travaille présentement sur un caractère, où j
omme le vôtre. Chapelle accepta le défi : Mais lorsqu’il apporta son
ouvrage
à Molière, celui-ci après la première lecture le
lutôt un recueil de bons mots sans place, que des scènes suivies. Cet
ouvrage
de Mr de Chapelle ne serait-il point l’original d
té à la peine de se rétracter, et de s’avouer faibles connaisseurs en
ouvrages
. Je pourrais rappeler ici qu’ils avaient été aupa
n vrai Philosophe ; et toujours occupé de plaire à son Prince par ses
ouvrages
, et de s’assurer une réputation d’honnête homme,
y a pourtant pas lieu de s’étonner du temps que Molière mettait à ses
ouvrages
; il conduisait sa Troupe, il se chargeait toujou
l. Cette Pièce eut l’applaudissement ordinaire que l’on donnait à ses
ouvrages
; malgré les critiques qui s’élevèrent. C’était l
anda ce que l’on disait de sa Pièce. Mr le Baron lui répondit que ses
ouvrages
avaient toujours une heureuse réussite à les exam
l’avoir remarqué par les traits de sa vie que j’ai rapportés : et ses
Ouvrages
font juger de son esprit beaucoup mieux que mes e
ttaient rien pour les rendre publics par leurs discours, ou par leurs
Ouvrages
. Il y en a même encore aujourd’hui de ces Personn
nnent la conduite de Molière, qui cherchent les traits faibles de ses
ouvrages
pour le décrier. Mais j’ai de bons Garants de la
soin qu’il a pris d’attaquer le vice et de relever la vertu dans ses
ouvrages
, l’attention que l’on a eue de le mettre au nombr
es ! » Tous les savants ont porté à peu près le même jugement sur les
ouvrages
de Molière ; mais il divertissait tour à tour les
ersonnes dont je viens de parler ; et comme ils voyaient ensemble ses
ouvrages
, ils en jugeaient suivant qu’ils en devaient être
utrement que ce que j’en ai dit. J’avais fort à cœur de recouvrer les
ouvrages
de Molière, qui n’ont jamais vu le jour. Je savai
unes entières, qui n’ont jamais paru. Mais sa femme, peu curieuse des
ouvrages
de son mari, les donna tous quelque temps après s
usqu’à sa mort. La femme de celui-ci ne fut pas plus soigneuse de ces
ouvrages
que la Molière : Elle vendit toute la Bibliothèqu
ce ; et il aurait achevé ce travail, sans un malheur qui arriva à son
ouvrage
. Un de ses domestiques, à qui il avait ordonné de
amp le reste au feu. À mesure qu’il y avait travaillé il avait lu son
ouvrage
à Mr Rohault qui en avait été très satisfait, com
toujours quelque chose de saillant et d’instructif dans les moindres
ouvrages
de Molière. Répondant à la pensée de Boileau, nou
toujours quelque chose de saillant et d’instructif dans les moindres
ouvrages
de Molière. » Après avoir terminé notre Dictionn
et Le Mercier, ont rendu hommage au génie de Molière en étudiant ses
ouvrages
. D’autres écrivains, parmi lesquels on distingue
ntes qui faisaient rire nos pères ; enfin ne pas oublier le Francion,
ouvrage
vraiment remarquable, qui parut trente ans avant
c’est de chercher les passions et la vie d’un auteur dans ses propres
ouvrages
. Cette idée, féconde en aperçus neufs et piquants
des règles qui ne furent adoptées que longtemps après lui, et que ses
ouvrages
n’ont pas servi à établir ; car, s’il est un modè
t de la vie de Molière, écrivait Boileau, franchement ce n’est pas un
ouvrage
qui mérite qu’on en parle ; il est fait par un ho
emble décisive, c’est que dans toutes les critiques dirigées contre l’
ouvrage
de Grimarest, on ne trouve pas un seul grief impo
à l’humiliante nécessité de lui emprunter tout le fond de son propre
ouvrage
. Sa Notice spirituelle, mais froide, mais écourté
place que le talent même de Voltaire n’a pu lui enlever. En un mot, l’
ouvrage
restera, parce qu’il est d’un contemporain ; et m
l précieux de tout ce qui a été écrit d’intéressant sur la vie et les
ouvrages
de Molière dans le siècle où il a vécu 22. Un p
t les ouvrages de Molière dans le siècle où il a vécu 22. Un pareil
ouvrage
, pour être complet, devait être suivi de l’histoi
ille23. » J’ai emprunté une grande partie de ce travail à l’estimable
ouvrage
des frères Parfait, heureux de trouver cette occa
galeries, ont encore aujourd’hui le mérite d’avoir donné au public l’
ouvrage
le plus complet, le plus exact, et le plus judici
s exact, et le plus judicieux sur l’histoire du théâtre français. Cet
ouvrage
, ainsi que celui de Chapuzeau, la Gazette de Lore
ce que les critiques les plus distingués ont écrit sur la vie et les
ouvrages
de Molière, j’ai tracé, sans en avoir l’intention
suite. Molière aussi ne s’est pas fait un scrupule de placer dans ses
ouvrages
plusieurs pensées que Cyrano avait employées aupa
e bon sens, se défiait toujours de ses forces, eut peur alors que ses
ouvrages
n’eussent pas du public de Paris autant d’applaud
théâtre comique, peut-être ne se serait-il pas hasardé de livrer ses
ouvrages
au public. « Je ne comprends, disait-il à ses cam
tout à fait l’estime du public en 1659, par les Précieuses ridicules,
ouvrage
qui fit alors espérer de cet auteur les bonnes ch
omique était alors bien négligé, et que l’on était fatigué de mauvais
ouvrages
avant Molière, comme nous l’avons été après l’avo
vantes et délicates répandaient aussi leur critique : le titre de cet
ouvrage
, disaient-elles, n’est pas noble ; et puisqu’il a
Aussi Molière ne la fit-il pas imprimer ; et on ne l’a ajoutée à ses
ouvrages
qu’après sa mort Ce peu de réussite releva ses e
oisi ; ses envieux ne purent pourtant s’empêcher de parler mal de son
ouvrage
. « Je ne vois pas, disait un auteur contemporain
ne se prêtent jamais à rien, et qui, incapables de sentir le bon d’un
ouvrage
, saisissent un trait faible pour attaquer un aute
rdonnaient pas dans l’occasion. Il attaque leur mauvais goût pour les
ouvrages
; il tâche d’ôter tout crédit au jugement qu’ils
l de Bourgogne ; les auteurs tragiques y portaient presque tous leurs
ouvrages
: Molière en était fâché. De manière qu’ayant su
l’exhorta à se perfectionner dans la poésie avant que de hasarder ses
ouvrages
au public, et il lui dit de revenir le trouver da
64. On lui fit entendre qu’il n’y avait point d’honneur à remplir son
ouvrage
de celui d’autrui ; que la pièce de Rotrou était
positions qu’il avait, il fallait qu’il se fît honneur de son premier
ouvrage
, pour disposer favorablement le public à en recev
ritique de l’Andromaque, comme M. Racine le croyait ; il estimait cet
ouvrage
comme un des meilleurs de l’auteur ; mais Molière
sté, daigna l’honorer d’une pension de mille livres. On voit dans ses
ouvrages
le remerciement qu’il en fit au roi. Ce bienfait
ravail ; il crut après cela qu’il pouvait penser favorablement de ses
ouvrages
, et il forma le dessein de travailler sur de plus
ion de trouver dans son commerce encore plus de solidité que dans ses
ouvrages
; et ce qu’il y avait de plus agréable pour ses a
emps de versifier toute sa pièce), tout fut trouvé excellent dans son
ouvrage
: mais le Mariage forcé, qui fut représenté le de
ir leur théâtre. « Pourquoi, lui disaient-ils, ne faites-vous pas des
ouvrages
qui nous soutiennent ? Faut-il que ces farceurs d
n gain considérable de cette pièce, et Molière croyait donner par cet
ouvrage
une dernière main à sa réputation. Il avait marqu
tait la copie de plusieurs originaux de conséquence, qui décriaient l’
ouvrage
de toute leur force. « Je n’ai pu pourtant faire
ncesse. Elle regardait cet endroit comme un trait indigne d’un si bon
ouvrage
; mais Molière avait son original, il voulait le
ophile. Ainsi, disait ce pédant à mon ami, si l’on examinait bien les
ouvrages
de Molière, on les trouverait tous pillés de cett
’action : mais s’il revenait aujourd’hui, il ne reconnaîtrait pas ses
ouvrages
dans la bouche de ceux qui les représentent105.
nt raison, à faire vivre et à conduire, un théâtre à soutenir, et des
ouvrages
à faire pour ménager votre réputation, vous n’aur
suis d’humeur et en état de ne les point craindre ; et si j’avais des
ouvrages
à faire, j’y travaillerais avec tranquillité, et
e la farce. — Si je travaillais pour l’honneur, répondit Molière, mes
ouvrages
seraient tournés tout autrement : mais il faut qu
r avoir beaucoup de part à mes pièces, je voudrais bien vous voir à l’
ouvrage
: je travaille présentement sur un caractère où j
omme le vôtre. »Chapelle accepta le défi ; mais lorsqu’il apporta son
ouvrage
à Molière, celui-ci, après la première lecture, l
: c’était plutôt un recueil de bons mots que des scènes suivies. Cet
ouvrage
de M. Chapelle ne serait-il point l’original du T
été à la peine de se rétracter, et désavouer faibles connaisseurs en
ouvrages
. Je pourrais rappeler ici qu’ils avaient été aupa
n vrai philosophe, et, toujours occupé de plaire à son prince par ses
ouvrages
, et de s’assurer une réputation d’honnête homme,
y a pourtant pas lieu de s’étonner du temps que Molière mettait à ses
ouvrages
; il conduisait sa troupe, il se chargeait toujou
l. Cette pièce eut l’applaudissement ordinaire que l’on donnait à ses
ouvrages
, malgré les critiques qui s’élevèrent. C’était le
demanda ce que l’on disait de sa pièce. M. Baron lui répondit que ses
ouvrages
avaient toujours une heureuse réussite à les exam
l’avoir remarqué par les traits de sa vie que j’ai rapportés ; et ses
ouvrages
font juger de son esprit beaucoup mieux que mes e
ttaient rien pour les rendre publics par leurs discours, ou par leurs
ouvrages
. Il y en a même encore aujourd’hui, de ces person
nnent la conduite de Molière, qui cherchent les traits faibles de ses
ouvrages
pour le décrier. Mais j’ai de bons garants de la
soin qu’il a pris d’attaquer le vice et de relever la vertu dans ses
ouvrages
, l’attention que l’on a eue de le mettre au nombr
es ! » Tous les savants ont porté à peu près le même jugement sur les
ouvrages
de Molière ; mais il divertissait tour à tour les
ersonnes dont je viens de parler ; et comme ils voyaient ensemble ses
ouvrages
, ils en jugeaient suivant qu’ils en devaient être
utrement que ce que j’en ai dit. J’avais fort à cœur de recouvrer les
ouvrages
de Molière qui n’ont jamais vu le jour. Je savais
-unes entières qui n’ont jamais paru. Mais sa femme, peu curieuse des
ouvrages
de son mari, les donna tous, quelque temps après
usqu’à sa mort. La femme de celui-ci ne fut pas plus soigneuse de ces
ouvrages
que la Molière : elle vendit toute la bibliothèqu
èce, et il aurait achevé ce travail, sans un malheur qui arriva à son
ouvrage
. Un de ses domestiques, à qui il avait ordonné de
mp le reste au feu. A mesure qu’il y avait travaillé, il avait lu son
ouvrage
à M. Rohault, qui en avait été très satisfait, co
sentation des Précieuses ridicules. Béjart paraît être l’auteur d’un
ouvrage
intitulé : Recueil des titres, qualités, blasons
rase suivante, qui ne laisse aucun doute sur le véritable auteur de l’
ouvrage
. « J’avoue que Votre Altesse me rendit confus lor
ette actrice à l’Hôtel de Bourgogne, où il avait résolu de donner ses
ouvrages
; il en fit faire la proposition à mademoiselle d
la Dissertation sur Molière, par M. Beffara.) M. Delort, auteur d’un
ouvrage
plein de recherches précieuses, a découvert que c
sous le règne de Louis XIII. L’auteur d’une lettre sur la vie et les
ouvrages
de Molière et les comédiens de son temps dit, en
nue, écrite en 1724. Nous aurons plusieurs fois occasion de citer cet
ouvrage
, dont le rédacteur avait recueilli de la bouche d
it contre les spectacles. Il mourut à Pézenas le 21 février 1666. Son
ouvrage
est intitulé : Traité de la comédie et des specta
tation du Dépit amoureux, et par les Mémoires de Dassoucy. Ce dernier
ouvrage
nous fournit quelques détails pleins d’intérêt su
toujours quelque chose de saillant et d’instructif dans les moindres
ouvrages
de Molière. (Voyez le Boléana.) Outre ces deux fa
d orna ce recueil d’une préface. A onze ans, Beauchâteau présenta son
ouvrage
à l’Académie ; à quatorze ans, il passa en Anglet
ir l’y insérer, en avertissant toutefois qu’elle n’appartient pas à l’
ouvrage
de Grimarest. 70. Cette critique portait le titr
ations. Le libelliste Rochemont avait appelé la colère du roi sur cet
ouvrage
; intéressant la religion dans cette querelle, il
ouï quelques mots, elle soutint que son maître n’avait point fait cet
ouvrage
. » (Bross.) 77. Cette anecdote est douteuse. Il
e IV, page 44.) 87. Rohault, célèbre physicien, auteur de plusieurs
ouvrages
que les savants consultent encore. On croit qu’il
peut servir, au besoin, à consoler la vanité de quelque auteur dont l’
ouvrage
n’aura pas été accueilli au gré de ses espérances
s que j’attaque ici une centaine de recueils d’anecdotes, et autant d’
ouvrages
de critique littéraire. Je n’ai qu’une arme, mais
t cessé de jouer la première, le fut onze fois de suite avec d’autres
ouvrages
; après quoi, les deux pièces furent données ense
miers actes. Ce trait prouve la préférence qu’il donnait à ce dernier
ouvrage
. (B.) 97. On ignore le titre de ce livre. 98. L
vait raison. Cependant il était loin de croire à la perfection de ses
ouvrages
. Un jour, à la lecture de ce vers de Boileau parl
si a-t-on dit de lui qu’il était original même lorsqu’il imitait. Les
ouvrages
de Virgile et de Vida suffisent pour établir la d
ce genre qui se trouvent répétés plusieurs fois dans le cours de cet
ouvrage
. 102. Madame Dacier fit une dissertation pour p
ura toujours, quoiqu’ils se rendissent mutuellement justice sur leurs
ouvrages
… La première représentation des Plaideurs ayant é
orance, que bien des gens se sont corrigés à la représentation de ses
ouvrages
pleins de gaieté, ce qu’ils n’auraient pas fait a
tissante et utile. Mais Molière ne composait a pas seulement de beaux
ouvrages
, il s’acquittait aussi de son rôle admirablement,
r la vie de Molière, dont nous avons fait usage dans les notes de cet
ouvrage
. 130. Ces vers de Boileau, j’en demande pardon
Lefèvre.) 131. Molière ne nous a conservé qu’un seul morceau de cet
ouvrage
dans la scène v du deuxième acte du Misanthrope.
parce qu’il lui faudrait un temps infini s’il voulait travailler ses
ouvrages
comme lui. » Ce fait prouve que Molière travailla
depuis l’établissement du théâtre, sont inscrits, jour par jour, les
ouvrages
représentés, ainsi que leur produit, il n’est fai
irrécusable. Prévaudra-t-elle contre une erreur consignée dans vingt
ouvrages
qui se sont répétés l’un l’autre ? Des exemples q
ue le public revint de sa prévention, pour se déclarer en faveur de l’
ouvrage
. Je vous vis dernièrement, lui dit Racine, à la
férence essentielle, fondamentale, quelque avantage qu’elle donne à l’
ouvrage
moderne sur l’ouvrage ancien, le comique français
ondamentale, quelque avantage qu’elle donne à l’ouvrage moderne sur l’
ouvrage
ancien, le comique français n’en a pas moins de g
emprunts moins nombreux et moins importants. La plus belle scène de l’
ouvrage
peut-être, celle du moins où le comique a le plus
ur le poète : c’est l’art de la composition qui de ces traits fait un
ouvrage
, et c’est le génie qui de cet ouvrage fait un che
ition qui de ces traits fait un ouvrage, et c’est le génie qui de cet
ouvrage
fait un chef-d’œuvre. Le proverbe, À père avare,
ell et qui ne s’en croyait pas tant, a aussi traduit L’Avare ; et son
ouvrage
, approprié au goût de sa nation, a obtenu le plus
ser de l’imiter. Il aurait pu se dispenser lui-même, en réimprimant l’
ouvrage
de Félibien, d’y faire certains changements et mê
t qui était en état, par ses nombreux entours, de nuire beaucoup à un
ouvrage
où il se croirait insulté. Cet homme était fort a
première fois, dans Le Dolopathos, ou Roman du Roi et des Sept Sages,
ouvrage
bizarre, originairement composé en indien, cent a
Femme qui, ayant tort, parut avoir raison. La partie essentielle de l’
ouvrage
, les caractères et les mœurs appartiennent à Moli
e sujet, ainsi traité, eût porté jusqu’à la haute comédie de mœurs un
ouvrage
qui, par sa forme un peu vulgaire, semble n’appar
enchérit sur cette idée : « Une farce excellente, dit-il, n’est pas l’
ouvrage
d’un homme ordinaire. Elle suppose une gaîté orig
n’est pas, et ne pas voir ce qui est. Si l’on jugeait du mérite d’un
ouvrage
d’après le nombre des imitations qu’il a produite
que-là, s’était contenté de protéger, d’applaudir, de récompenser les
ouvrages
de Molière, cette fois s’associe au poète, et se
ce petit fait, Molière n’aurait pas voulu que les vers fussent crus l’
ouvrage
de Benserade ; mais il y aurait outré à dessein l
personne, en la condamnant à l’oubli. Après le mérite de faire un bon
ouvrage
, il y en a un autre, moins brillant sans doute, m
, dans le principe, l’Académie des inscriptions. Il composa plusieurs
ouvrages
, dont le plus estimé a pour titre, Entretiens sur
dont le plus estimé a pour titre, Entretiens sur les Vies et sur les
Ouvrages
des plus excellents peintres, anciens et modernes
lle abus se sont glissés à la comédie, me répondra-t-on, parceque les
ouvrages
dans le mauvais genre y sont seuls en crédit, par
ment, & deviendront, je pense, très convaincantes. Vous lisez les
ouvrages
des anciens : le desir de vous illustrer sur la s
s aux autres : vous avez beau faire voir combien il est absurde qu’un
ouvrage
de génie, sur lequel les gens de l’art peuvent à
remiere ne regardera plus comme une chose de peu de conséquence qu’un
ouvrage
soit refusé ou reçu : les petites haines, les rai
ur, de l’indolence, vous immole-t-elle à la protection ; portez votre
ouvrage
à une autre, ayez du succès, & vous voilà ven
on ; mais tous peuvent avoir tort. Vous sentez qu’en resserrant votre
ouvrage
, qu’en retranchant ses développements, vous allez
représentées avec fracas. Admettons un second théâtre, donnez-y votre
ouvrage
sous un autre titre, un jugement nouveau apprécie
t faire, n’est pas dégoûtée dès les premiers pas. L’un entreprend des
ouvrages
moins difficiles ; l’autre est détourné du plus p
le Joueur, Rhadamiste, le Glorieux, Mahomet, la Métromanie, tous ces
ouvrages
immortels, tous ces monuments éternels du génie f
e, sans sacrifier aucun Auteur : le voici. On pourroit jouer tous les
ouvrages
nouveaux durant l’été, & trois jours seulemen
? Ne donne-t-on pas journellement plus d’une piece ? La nature de cet
ouvrage
ne me permet pas d’entrer dans de plus grands dét
Coureur, les trois Cousines, le Légataire, &c. Dira-t-on que ces
ouvrages
sont mauvais ? J’en appelle à tous les connoisseu
suite, & sans mettre son esprit à la torture, le but moral de ces
ouvrages
. Bien s’en faut que les moralités de toutes les p
e temps les leçons les plus exquises ! Voilà ce qu’on admire dans les
ouvrages
de Moliere ; voilà ce qui le fera toujours regard
la partie comique est assez prouvée dans différents Chapitres de cet
ouvrage
. Je pourrois aussi facilement démontrer sa supéri
t Regnard : nous allons jetter un coup d’œil rapide sur chacun de ses
ouvrages
. LA SÉRÉNADE. Griffon, vieux usurier, veut se ma
heureux que les gens sensés ne jugent plus les Auteurs d’après leurs
ouvrages
. Nous ne l’accuserons donc point d’avoir été un d
mporte par quelle voie : mais nous pouvons, du moins, assurer que ses
ouvrages
sont pleins de cet esprit ; ils respirent une mor
use, & qui entraîneroit nécessairement des longueurs funestes à l’
ouvrage
! Loin de voir dans aucune des principes dangereu
même les personnes qu’ils ne connoissent pas, de la lecture de leurs
ouvrages
, tout en leur disant qu’ils ne sont point possédé
exprès, défend à tous ses sages L’indigne empressement de lire leurs
ouvrages
. Voici de petits vers, &c. Des importuns ne
mps, les mieux reçus à la Cour, les mieux pensionnés, briller par des
ouvrages
dénués des graces de la vérité, de celles de la b
ieres ; elles vont lui servir pour terrasser celle qui regne dans les
ouvrages
. Il réunit dans un sonnet la plus grande partie d
onnet la plus grande partie des fausses beautés qui caractérisent les
ouvrages
prétendus galants, & le fait débiter par un c
t. C’étoit là que Moliere l’attendoit pour pulvériser en même temps l’
ouvrage
& ses admirateurs par la bouche d’Alceste, qu
lui-même. Que fait-il pour éviter un pareil reproche ? Il attaque des
ouvrages
imprimés & connus de tout le monde. Il ne don
dans vos mains les armes les plus triomphantes : ne ménagez point les
ouvrages
toujours détestables de ces originaux. Livrez à l
e qui fait l’amour avec un autre homme. L’Auteur des Mémoires sur les
ouvrages
de Moliere, imprimés en 1733, est de cet avis. Vo
oute la piece, si nous voulions rapporter les traits éloquents de cet
ouvrage
. Ah ! Moliere ! combien ton ame sublime dut s’est
uites, & sur-tout dans celles qu’il a composées d’après plusieurs
ouvrages
différents. 74. Le poëte tragique fut désespé
du caractère de leur Nation. Des maximes utiles répandues dans leurs
ouvrages
, ont corrigé peut-être quelques particuliers. Les
s ridicules, et que pour en retrouver la trace il fallût recourir à l’
ouvrage
même qui les a pour jamais anéantis : voilà ce qu
ait daigné s’approprier. Combien ne dut-il pas regretter la perte des
Ouvrages
de Ménandre ! La Comédie avait pris sous lui une
a et la Mandragore de Machiavel n’avaient pu effacer cette honte. Ces
Ouvrages
, par lesquels de grands Hommes réclamaient contre
t sur la jalousie, vrai caractère de la Nation. Le titre de plusieurs
Ouvrages
annonçait même des Pièces de caractère. Mais ce t
que. Mais pour un homme tel que Molière, la Comédie existait dans des
ouvrages
d’un autre genre. Tout ce qui peut donner l’idée
ière ! On verrait quel artifice particulier a présidé à chacun de ses
Ouvrages
; avec quelle hardiesse il élève dans les premièr
nd Art, ouvrir toutes les sources du comique, et de l’ensemble de ses
Ouvrages
se former une Poétique complète de la Comédie. Fo
? Celui que Molière attaqua dans les Précieuses fut anéanti ; mais l’
ouvrage
survécut à l’ennemi qu’il combattait. Plût à Dieu
l eût intitulé sa pièce Le Célibataire, et enrichi notre Théâtre d’un
ouvrage
plus nécessaire aujourd’hui qu’il ne le fut le si
voir recours. Molière se délassait de tous ces Chefs-d’œuvre par des
Ouvrages
d’un ordre inférieur, mais qui, toujours marqués
le même personnage ; ni quelques Auteurs célèbres par un ou deux bons
Ouvrages
dans le genre où Molière en a tant donné : rien n
stacles multipliés ? Le génie. On a répété que si Molière donnait ses
Ouvrages
de nos jours, la plupart ne réussiraient point. O
fastueux de commentateur ; ensuite, de ne jamais oublier, que dans un
ouvrage
entièrement consacré à la comédie et à l’homme qu
ide. S’il est vrai qu’un auteur n’est jamais mieux peint que dans ses
ouvrages
, par le but qu’il s’y proposa, par les amis, par
ier l’un, pour ne m’occuper que de l’autre ; et c’est à la lin de cet
ouvrage
seulement, que le lecteur pourra se dire, je conn
de front, année par année. L’Étourdi ou les Contre-temps. Cet
ouvrage
parut à Paris le 3 novembre, on y reconnaît des d
rderie de Lélie, son caractère seul a le droit de donner un titre à l’
ouvrage
qu’il anime, et que le second est tout au moins i
les caractères du Fourbe et de l’Étourdi. Quelle différence avec ces
ouvrages
dans lesquels une seule idée bien répétée, bien t
e sans doute nombre de fautes grammaticales. Mais elle est le premier
ouvrage
de l’auteur. D’ailleurs, la versification de L’Ét
ulu mettre dans les vers, dans les caractères, dans l’ensemble de son
ouvrage
. Ces comédiens, nourris de l’esprit de l’auteur,
ène essentielle. Le genre. — D’intrigue, quoi qu’en dise Voltaire, l’
ouvrage
en a même deux, et c’est un grand défaut. L’expo
l’avant-scène à un personnage tout à fait nul. Les scènes. — Pas un
ouvrage
de Molière qui en offre un plus grand nombre de b
assez bien pour conseiller à nos Gros-René, à nos Mascarille, si cet
ouvrage
est jamais repris, d’imiter dans ces deux rôles A
vue que le ridicule des provinciales ; mais il se trouva depuis que l’
ouvrage
pouvait convenir à la cour et à la ville. » Je de
iaux que dans le grand livre du monde. Si l’on pouvait supposer qu’un
ouvrage
fait avant les Précieuses eût fourni à Molière l’
le titre de L’Académie des femmes. Jugeons, en peu de mots, les deux
ouvrages
. L’héroïne de Chappuzeau n’affecte que le ridicul
e théâtre du Petit-Bourbon, le 28 mai. Si l’on jugeait du mérite d’un
ouvrage
par le nombre de ses représentations, nous trouve
aginaire. Dans mon Art de la Comédie, j’ai fait connaître en entier l’
ouvrage
italien, parce que mon ambition était d’y comment
itations. Bret a imprimé que la pièce italienne n’avait servi à l’
ouvrage
de Molière que « comme quelques parties de l’écha
pièce ; mais si j’étais comédien, je chercherais la tradition dans l’
ouvrage
même. Nous emploierons quelquefois cette méthode
même. Nous emploierons quelquefois cette méthode dans le cours de cet
ouvrage
, et si nous parvenons à bien connaître Molière, e
1660, et l’on y représenta, Le Prince jaloux, le 4 février suivant. L’
ouvrage
fut généralement désapprouvé ; les premiers succè
isé l’intrigue de sa pièce. Resserrons les extraits de ces différents
ouvrages
dans les bornes qui nous sont prescrites. Extra
personnes séduites par le piquant des caractères, ils embellissent l’
ouvrage
, mais n’en font pas mouvoir les ressorts. Le tit
éfendait pas lorsqu’on le félicitait d’avoir contribué au succès de l’
ouvrage
. Mais Molière lui fit dire par Boileau qu’il avai
s intermèdes ? Oui, puisque Molière les retrancha lorsqu’il donna son
ouvrage
à Paris, et qu’il eut cependant le plus grand suc
uccès ; par conséquent les intermèdes n’étant pas intimement liés à l’
ouvrage
, les Suisses qui, après le dénouement, viennent à
s que la foule courait admirer ailleurs ou quelque acteur, ou quelque
ouvrage
nouveau : ils voyaient avec le plus grand chagrin
nt la gloire d’autrui le tourmentait. Un anonyme donna encore du même
ouvrage
une critique en six dialogues, intitulée Panégyri
re comique, ou la Défense de l’École des femmes. Voyons le précis des
ouvrages
qui furent de quelque utilité à Molière. La Pr
onnaissant les sources où il a puisé les beautés dont fourmillent ses
ouvrages
, il ne peut que les sentir ; et si, en les rendan
et il acheva de les immoler dans L’Impromptu de Versailles. Ces trois
ouvrages
vont nous prouver successivement s’il était prude
ogue ; c’est au lecteur à répondre et à dire : j’ai remarqué dans cet
ouvrage
des caractères fortement dessinés, et des scènes
nte, surtout chez les écrivains médiocres, leur dicta de fort mauvais
ouvrages
. Devisé crut se signaler par une comédie en un a
isé ; une ironie moins froide, mais sans comique, est l’âme de tout l’
ouvrage
; un bel esprit y prétend que la pièce où se trou
les ennemis de Molière ne parurent pas terrassés par le mérite de son
ouvrage
, mais par la toute-puissance. Remarquons, en fini
rticle de L’Impromptu de Versailles, que Molière a fait voir dans cet
ouvrage
un mérite bien rare, celui de parler de soi avec
ue, font applaudir leurs vers ; ils leur confient de préférence leurs
ouvrages
. Molière se rappelle qu’un jeune poète lui a nagu
e. » Nous avons vu notre auteur ne donner, l’année dernière, que des
ouvrages
destinés à sa justification, plaignons-le d’être
e qu’il annonce trop le dénouement. Le genre. — On remarque dans cet
ouvrage
, dit Voltaire, plus de bouffonnerie que d’art ; e
déterminaient Sganarelle à rompre son mariage. Molière, en donnant l’
ouvrage
à Paris, leur substitua la demoiselle promise à S
ties ; il est d’ailleurs bien embarrassant de juger un auteur sur des
ouvrages
plus commandés par les événements ou des ordres s
le Festin de Pierre, sur le théâtre du Palais-Royal, le 15 février. L’
ouvrage
ne réussit pas : la cabale la plus formidable s’é
sont, va-t-on me demander, les traits dignes d’être distingués dans l’
ouvrage
français ? La scène de M. Dimanche, le gros bon s
pour eux que pour lui, et de ne perdre jamais de vue l’ensemble d’un
ouvrage
? — Bah ! Quelques jours après, l’on représenta L
s, le 15 septembre, et réussit à Paris, le 22. Nous trouverons dans l’
ouvrage
, des choses qui paraissent imitées d’une pièce it
it ». Ajoutons que le spectateur n’était pas encore à la hauteur de l’
ouvrage
. Lisez la pièce de Molière. Des imitations.
n de Louis XIV fut-elle à peine suffisante pour dérober l’auteur et l’
ouvrage
aux serres ensanglantées du monstre. Le Sicili
dont il était aussi mécontent que ses amis ; il substitua, à ces deux
ouvrages
indignes de sa plume, Le Sicilien, ou l’Amour pei
is ne fût pas levée. L’historique des persécutions suscitées contre l’
ouvrage
et son auteur, est si intéressant qu’il est essen
er à y trouver des défauts, devraient tous dire avec Piron : « Si cet
ouvrage
sublime n’était pas fait, il ne se ferait jamais.
ards que mérite sa noble audace ; hélas ! j’ai beau chercher dans son
ouvrage
la moindre connaissance de l’art dramatique, je s
t lorsqu’elle doit frapper les regards, Mon Dieu ! que de ce point l’
ouvrage
est merveilleux ? Les actrices à qui l’on reproc
vare ; George Dandin. Avant de faire des observations sur ces trois
ouvrages
, nous devons, d’après la tâche que nous nous somm
es indécences de détail. Le genre. — D’intrigue dans l’un et l’autre
ouvrage
, mais d’intrigue surnaturelle, puisque la métamor
étendue Alcmène a même l’honnêteté de répondre à Sosie 62 ; et dans l’
ouvrage
latin, c’est au public seulement que Sosie s’adre
reprocher à Boileau qu’il l’avait vu rire aux représentations de cet
ouvrage
. Plaignons le grand homme ! Et répétons-lui avec
que lorsqu’ils mériteraient ce titre, par leur liaison intime avec l’
ouvrage
. De la tradition. Que dire de la tradition
r Molière aurait double part toutes les fois qu’on jouerait un de ses
ouvrages
. Le croira-t-on ? La gloire du Tartuffe fut balan
que le jour même où devait avoir lieu la reprise du Tartuffe, de cet
ouvrage
poursuivi avec tant d’acharnement, Molière se soi
t à Mignard, dans son poème sur le Val-de-Grâce. C’est en plaçant cet
ouvrage
à la suite des comédies de Molière, qu’on a accré
de Pourceaugnac sont certainement dans ce cas ; ce que j’ai cité des
ouvrages
imités le prouve. Sentiment sur la pièce.
dus enfants, des lavements qui le couchent en joue, et nous aurons un
ouvrage
des plus régulièrement fait d’un bout à l’autre.
courtisans se couvrirent par les critiques qu’ils firent d’abord de l’
ouvrage
, et par les éloges qu’ils lui prodiguèrent ensuit
voix, répétaient tant bien que mal ce que le roi venait de dire de l’
ouvrage
. Cet homme-là est inimitable, disait le même M. l
mille beautés, et d’un genre à mériter que Voltaire ne rangeât pas l’
ouvrage
au rang des pièces seulement plaisantes. De la
que dans l’emploi dont personne ne veut. Voilà pourquoi les meilleurs
ouvrages
manquent d’ensemble et ne font plus illusion ; vo
et Lulli, l’Orphée du temps, prête les charmes de sa musique à tout l’
ouvrage
. Les neuf Muses et leurs favoris semblent être d’
: il eût été difficile, sans doute, d’intéresser à la gloire du même
ouvrage
plusieurs demi-beaux esprits ; mais les hommes de
x qu’ils ressentaient. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur l’
ouvrage
et sur ses quatre auteurs. Lulli. Nous ne
lui donner quelques éloges sur le choix du sujet et sur le plan de l’
ouvrage
, quoique Lamotte ait trouvé inutile l’oracle qui
i. Convenons, en terminant cet article, que la principale gloire de l’
ouvrage
appartient à Corneille, mais disons aussi que Mol
de Rambouillet, dans celui de Longueville, déchiraient ses meilleurs
ouvrages
; il avait à les punir de l’insulte qu’elles fais
olière avait encore à se venger de Cotin, qui l’avait insulté dans un
ouvrage
intitulé La Critique désintéressée sur les Critiq
piste, un plagiaire et un imitateur ; celles qui pensent critiquer un
ouvrage
en le disant imité, en totalité ou en partie, de
on opinion en partie ; c’est au lecteur à prononcer. Thomas, dans son
ouvrage
Sur les Femmes, dit à notre auteur : Au lieu de
e qu’on puisse faire d’un mauvais poète, c’est de donner d’excellents
ouvrages
; Molière et Despréaux n’avaient pas besoin d’ajo
oindres grimaces, les moindres gestes exagérés, il gâte son rôle et l’
ouvrage
. Nous avons entendu Armande dire à Clitandre : E
te, qu’il fit paraître à Paris, avec succès, en juillet 1672. Voilà l’
ouvrage
dont nous devons nous occuper. Des imitations.
vrier. Pour cette fois, aucun ordre n’avait forcé Molière à gâter son
ouvrage
; mais les conquêtes de Louis XIV en Hollande ani
ette réflexion ; aussi, aucune moralité n’y paraissait nouvelle, et l’
ouvrage
, quoique rempli de beautés, n’a pas réussi. Les c
ur, point de faiblesse humaine. Nous avons dit, dans le cours de cet
ouvrage
, que Molière était né avec une santé faible, et q
les lectures à celle des journaux. On a depuis consulté Monvel sur un
ouvrage
qui n’était que l’extrait du mien, et M. Huet a r
s l’occasion de dire, en passant, que j’ai refusé de travailler à cet
ouvrage
tant que Bret a vécu ; il était aimable, honnête
i la faute ? en tout cas, je ne veux parler, je ne parlerai, dans cet
ouvrage
, que des Comédies de Molière, un acteur peut n’y
si vous le jugez à propos, et je vous promets de les insérer dans mon
ouvrage
. Une pareille discussion ne peut qu’être utile à
. 37. Sans négliger les plus petits détails, lorsque, sans nuire à l’
ouvrage
, ils peuvent plaire au public, Molière, dans la p
t Argan et Louison, mais Molière. M. le Texier, auteur d’un excellent
ouvrage
sur L’Art de bien lire, et toujours certain d’att
de ***, Le Malade imaginaire ; il rendit si bien tous les rôles que l’
ouvrage
fut généralement applaudi, surtout par les ambass
ite de la septième période). — Comédie du Misanthrope. — Motif de cet
ouvrage
. En 1666, Molière donna Le Misanthrope. On s’acc
’Alceste, de la même manière que Boileau et lui en usaient dans leurs
ouvrages
, c’est-à-dire de le montrer faisant la guerre au
, et le poète sans talent ; de le montrer intraitable pour un mauvais
ouvrage
, quelque honnête, quelque estimable que fut l’aut
uccès que Molière me paraît s’être promis d’allier, en faisant le bel
ouvrage
dont nous parlons ; et j’aime à penser qu’il se p
a connu naguère, dans les intervalles du catéchisme, à titre de petit
ouvrage
de piété. — Ainsi donc ces fruits du génie, ayant
t de s’honorer soi-même par leur commerce. Ils ont laissé de certains
ouvrages
qui ne se sont pas perpétués sur la scène de la m
iens pour les écoliers ; la raison de la réserve où sont demeurés ces
ouvrages
, c’est apparemment qu’ils étaient moins beaux et
ière. Les Fâcheux, comédie-ballet, c’est justement le premier de ces
ouvrages
(1661) ; Psyché, tragédie-ballet, c’est justement
, dans son Avis au lecteur : « Il serait à souhaiter que ces sortes d’
ouvrages
pussent toujours se montrer à vous avec les ornem
t dans ces conditions. Quant à Psyché, son affaire est plus nette. Un
ouvrage
mythologique à grand spectacle, une féerie, un op
rs libre, et le manier si bien qu’on reconnaît à peine le moment où l’
ouvrage
passe des mains de Molière dans les siennes : en
de l’accent gascon du capitan. On ne pense pas à remonter autrement l’
ouvrage
: on a raison. Ce n’est pas qu’on ne puisse être
euse, ou de la remplacer par une autre sans meurtrir impertinemment l’
ouvrage
? M. Porel y a renoncé, M. Claretie n’y songe pas
cle de Molière ; et d’ailleurs il avait peu de succès à attendre d’un
ouvrage
qui reproduisait la préciosité au moment où elle
e l’auteur s’est à peu près effacé et pour ainsi dire oblitéré dans l’
ouvrage
, et n’avoir point pénétré le motif de cette altér
en littérature, en politique, et surtout en morale, qui convertit des
ouvrages
d’imagination en écrits historiques, et fait d’un
répertoire d’anecdotes. Quand un auteur n’a pas déclaré lui-même son
ouvrage
allégorique, on n’est pas autorisé à le supposer
par quelques rapprochements arbitraires ; et même quand if donne son
ouvrage
pour allégorique, il a seul le droit d’en donner
elle demandait vengeance, avait eu le courage de déclarer la pièce un
ouvrage
parfaitement beau, au-dessus de tout reproche et
ns « qui, au lieu de prendre pour eux les divers traits semés dans un
ouvrage
, s’appliquent à découvrir lesquels et donnent au
ls marchent du moins sur ses traces, et, dans la composition de leurs
ouvrages
, ce qui les préoccupe avant tout, c’est la peintu
Chevalier à la mode, Les Bourgeoises de qualité, et beaucoup d’autres
ouvrages
. Il excellait aussi à peindre la nature rusée des
orriger la malice..... Mais si l’on ne rencontre pas dans les autres
ouvrages
de Regnard la peinture de mœurs et les éminentes
bles et sacrés auxquels il devait le bonheur ! Il est fâcheux que cet
ouvrage
, l’un des mieux conduits et des plus purement ver
s, Le Dissipateur a de grands partisans, qui n’estiment pas moins cet
ouvrage
que Le Glorieux. Ils y admirent surtout la créati
tés bizarres et exceptionnelles. Le Dissipateur n’en est pas moins un
ouvrage
très remarquable. On y trouve beaucoup d’intérêt
il excelle dans leur peinture, et, sous ce rapport, plusieurs de ses
ouvrages
, Les Fausses confidences, entre autres, resteront
es situations , et surtout l’incomparable éclat du style, placent cet
ouvrage
au rang de nos plus belles comédies. Quels nobles
cédent. Le croirait-on, ce que l’on a si justement admiré dans ce bel
ouvrage
: la franchise du comique, les oppositions habile
pas seulement parce que les situations originales et la gaieté de ces
ouvrages
l’intéressent et l’amusent, mais parce qu’il y tr
sans partager l’opinion de ce littérateur chagrin qui trouve dans cet
ouvrage
le germe de tout ce que la Révolution a depuis ac
emoiselle. Le comique de situation se fait surtout remarquer dans les
ouvrages
de Beaumarchais. C’est, en effet, celui qui convi
s les écrivains de ce genre, il est le seul, depuis Molière, dont les
ouvrages
, en reproduisant les mœurs du temps, ont si forte
les seuls sentiments que l’on y exaltait; ou du moins, dans certains
ouvrages
, ces sentiments mal compris et mal interprétés, l
tout distinguer : Le Philinte de Molière et Le Vieux Célibataire. Ces
ouvrages
, on doit le supposer, avaient été conçus, sinon e
e nouveau du Théâtre-Français et de l’Odéon ne se compose guère que d’
ouvrages
sans couleur, où l’on chercherait en vain la pein
; mais avant de les produire, nous devons revenir sur les deux grands
ouvrages
cités plus haut, Les Comédiens et L’Ecole des Vie
istingue surtout le talent de l’auteur, fait le principal mérite de l’
ouvrage
. Il est pur, élégant, élevé, plein d’énergie et d
e de l’élever. Nous avons dit que M. Scribe, dans une foule de petits
ouvrages
, avait reproduit fidèlement les mœurs de la Resta
ivante, nous aurons à parler avec détails de beaucoup d’autres de ses
ouvrages
plus importants, représentés sur la scène françai
nous trouvons accomplissant le mieux la mission du poëte comique. Ses
ouvrages
, depuis 1830, sont pour la plupart un reflet des
d’une comédie piquante, dont lé succès ne répondit pas au mérite de l’
ouvrage
, par la, raison qu’il relevait trop bien peut-êtr
e, on change de couleur sans que personne s’en aperçoive. » Tous ces
ouvrages
ne sont pas irréprochables sans doute, mais d’apr
de son talent. Il a, comme on sait, trop souvent substitué, dans ses
ouvrages
, le roman à la comédie, et c’est là surtout ce qu
néanmoins, nous persistons à le croire, elles font tache dans ce bel
ouvrage
, elles le déparent ; car, après tout, elles ne pr
ment. Les fautes de ce genre, trop peu rares malheureusement dans ses
ouvrages
, sont pour ainsi dire une conséquence forcée de l
nde que l’on s’entend bien mieux aujourd’hui que jadis à composer les
ouvrages
de théâtre, que sous ce rapport nous sommes en vé
gue est forte et chargée d’incidents, plus elle tient de place dans l’
ouvrage
, plus il faut consacrer de temps à préparer et fa
s, les surprises, les catastrophes, l’imprévu du dénouement, etc. Les
ouvrages
conçus d’après ces principes ont de grandes chanc
nous séparent du siècle de Louis XIV, et de les mettre en regard des
ouvrages
les plus importants représentés dans le cours de
toujours on regrettera qu’il leur ait fait une si large part dans ses
ouvrages
. S’ils lui sont pardonnés, ce sera, sans contredi
des mœurs que de la vérité historique; et cependant, excepté quelques
ouvrages
, Turcaret entre autres, chef-d’œuvre de fidélité,
du Misanthrope, dont la lecture, à la première représentation de cet
ouvrage
, excita, comme on sait, des bravos universels, et
lus difficile que l’ancien, celui qui les contraindrait, dans le même
ouvrage
, à faire rire et pleurer alternativement. Mais ex
ons si, en effet, les idées qui dirigeaient Molière, en composant ses
ouvrages
, sont aujourd’hui surannées et insuffisantes, et
rme plus d’importance qu’elle n’en mérite, et bien qu’à cet égard ses
ouvrages
soient dignes d’être imités, ce n’est pas, à coup
nous le répétons, sans s’astreindre à l’imitation de la forme de ses
ouvrages
, se pénétrer des idées et du grand but qui le dir
d’Élisabeth, qui, de l’aveu même de M. Guizot, dépare les plus beaux
ouvrages
de l’auteur d’Hamlet, et rend souvent son dialogu
exte modeste de demander des conseils, ne veulent que vous lire leurs
ouvrages
, et recevoir des compliments. Voyez par quelles f
et le Tartuffe du dix-septième siècle, qu’il nous a montrés dans ses
ouvrages
, c’est mieux que cela : c’est la misanthropie, l’
mes. » C’est d’après cette donnée que Fabre d’Églantine a composé un
ouvrage
qu’il n’a pas craint d’intituler Le Philinte de M
ids. Le personnage d’Eliante est tout juste ce qu’il doit être dans l’
ouvrage
pour servir les vues de l’auteur. Il n’y est pas
eût trouvé le bonheur ? Car remarquez bien qu’Éliante, à la fin de l’
ouvrage
, semble avoir fait un retour sur elle-même. On se
l a grand soin de nous prémunir, et dont chaque scène de son immortel
ouvrage
fait nettement ressortir les dangers. Mais quand
Tartuffe devrait considérer l’époque à laquelle Molière a composé son
ouvrage
; les susceptibilités religieuses qu’il avait à m
ôles. 1. Cette lettre et celles qui la suivent font partie d’un
ouvrage
sur l’art du comédien. Elles sont adressées à un
e Médecin volant, Le Docteur amoureux, La Jalousie de Barbouillé. Ces
ouvrages
sont perdus, mais on retrouve quelques traces des
donnés à sa troupe. C’est là qu’il fit représenter Le Dépit amoureux,
ouvrage
que quelques situations charmantes, et des scènes
e dialogue de Molière. Le prince de Conti fut frappé des beautés de l’
ouvrage
, et offrit à l’auteur la place de secrétaire de s
. C’est dans ces deux établissements qu’il mit au jour la plupart des
ouvrages
qui constituent sa gloire et celle de notre coméd
les principaux événements de la vie d’un écrivain ne sont-ils pas ses
ouvrages
? Nous avons déjà parlé de L’Étourdi et du Dépit
uement ; mais comme ils jetaient du mouvement et de la gaîté dans les
ouvrages
, on les regardait alors comme presque indispensab
les admit jamais dans ses pièces importantes. Après ces deux premiers
ouvrages
, il s’élance, avec autant de bonheur que d’audace
iquez-le plutôt d’avoir un peu sacrifié au goût de l’époque dans deux
ouvrages
, La Princesse d’Élide et Les Amants magnifiques.
’action, et les fréquents changements de lieu, font de cette pièce un
ouvrage
à part : il ne mérite pas moins d’être mis à côté
e Sicilien comme le premier essai d’opéra-comique : les scènes de cet
ouvrage
sont très bien coupées pour le chant et pour la d
es personnages, et qu’elle paraît ici moins étrange que dans d’autres
ouvrages
, par exemple, que dans Les Ménechmes de Regnard.
s Fourberies de Scapin se succédèrent en peu de temps ; chacun de ces
ouvrages
a des beautés particulières. M. et madame de Sote
ont Molière savait si habilement tirer des effets comiques ; tous ses
ouvrages
présentent des contrastes de quelque espèce. Dans
a tête de Toinette. Cette comédie du Malade imaginaire fut le dernier
ouvrage
de Molière. Elle suivit de près La Comtesse d’Esc
s doute privé la littérature de nouveaux chefs-d’œuvre. Tels sont les
ouvrages
qui placent Molière à une si grande élévation : a
rence entre les scènes de dépit, que trois fois il a placées dans ses
ouvrages
; Le Dépit amoureux, le Tartuffe et Le Bourgeois
obtinrent pas un accueil plus favorable ; mais comme, dans ce dernier
ouvrage
, Molière s’attaquait à une coterie puissante, on
ce comique du Misanthrope, mais l’impression que doivent produire ses
ouvrages
d’un ordre moins grave ; il juge qu’il a saisi ce
e présenta devant l’auteur du Misanthrope, une tragédie à la main ; l’
ouvrage
n’était pas susceptible d’être joué ; mais Molièr
eur était bègue ; il mourut en 1659. Béjart parait être l’auteur d’un
ouvrage
intitulé : Recueil des titres, qualités, blasons
uteur ; malheureusement on lui contesta la propriété de ses meilleurs
ouvrages
: est-ce à tort ou à raison ? La question est enc
faire passer à l’Hôtel de Bourgogne, où il avait résolu de donner ses
ouvrages
; il en fit faire la proposition à mademoiselle D
uel de la haute société dans la comédie de Mélite, qui est le premier
ouvrage
de Corneille. Cet ouvrage fit dans l’art dramatiq
ns la comédie de Mélite, qui est le premier ouvrage de Corneille. Cet
ouvrage
fit dans l’art dramatique une révolution dont Mol
une peinture de la conversation des honnêtes gens . Le succès de cet
ouvrage
, que l’auteur reconnaît être fort défectueux, « f
celle qui était en possession de s’y voir l’unique ». Toutefois, cet
ouvrage
qui, selon Corneille, peint si naïvement la conve
cunnus teterrima belli Causa, le chant séculaire (carmen seculare),
ouvrage
solennel, hymne national, renferme des expression
ux qu’insipides : on y ajoute souvent des critiques injustes de leurs
Ouvrages
». Il cite pour exemple de ce mauvais goût, l’Edi
a crû vrai & digne d’être rapporté, & on ne hasardera sur ses
Ouvrages
rien qui soit contraire aux sentimens du Public é
Gurgeo, qu’il a achetés de sa Veuve, & dont il s’adopte tous les
Ouvrages
» ? Voilà comme les Bavius, les Mevius & les
ille jaloux esprits, Moliere, osent avec mépris Censurer ton plus bel
Ouvrage
; Sa charmante naïveté S’en va pour jamais d’âge
Amour Médecin donne lieu a l’Auteur de remarquer que c’est le premier
Ouvrage
dans lequel Moliere ait joué les Médecins. « Ils
, mais une pièce de théâtre admirable et qui, avec huit ou dix autres
ouvrages
du même poète, représente ce que la comédie, ce q
ions deviennent possibles. C’est ce qui est arrivé à Molière et à ses
ouvrages
. Prenons, par exemple, Le Misanthrope. Qu’est-ce
parler de L’École des femmes ; mais justement il s’est passé avec cet
ouvrage
ce qui s’est passé avec les autres. Voilà une com
a nous répondre. Il y a, paraît-il, doute et obscurité dans un de ses
ouvrages
, nous allons chercher la lumière dans l’ouvrage à
urité dans un de ses ouvrages, nous allons chercher la lumière dans l’
ouvrage
à côté. Oh ! Attendez, mesdames et messieurs, je
pour la première et la seule fois de sa vie, a pris la défense de son
ouvrage
, et il a composé, vous le savez, une seconde comé
l n’est que trop souvent à même de connaître : c’est lorsqu’un de ses
ouvrages
est attaqué, discuté, controversé, et que devant
é, lorsque deux siècles d’admiration ont passé sur son nom et sur ses
ouvrages
, il est bien facile, si belles que soient ses œuv
re mieux, plutôt que d’attendre deux cents ans pour découvrir dans un
ouvrage
des mérites qui ne s’y trouvent pas, reconnaître
partout, et que tout cela d’ailleurs ne dépassait pas la moyenne des
ouvrages
courants. Ensuite on s’est attaqué à Arnolphe, un
hose de la comédie. On ne s’est pas arrêté là. De la grossièreté de l’
ouvrage
on a conclu tout naturellement à celle de l’auteu
neur blessé n’osant se plaindre, leur goût choqué décria hautement un
ouvrage
où il y avait à la fois de quoi motiver leur cour
confrères, il les mena tous à l’Opéra, où l’on représentait un de ses
ouvrages
: quarante graves personnages, en manteau noir et
s de grands services rendus à l’état par des ancêtres, et qui était l’
ouvrage
du temps seul, des hommes, enrichis dans un obscu
u’on y puisse reprendre, cette pièce ne peut être considérée comme un
ouvrage
médiocre, un ouvrage du second ordre : c’est plut
re, cette pièce ne peut être considérée comme un ouvrage médiocre, un
ouvrage
du second ordre : c’est plutôt ce qu’on pourrait
d’un homme ridicule et répréhensible, et non pas parce qu’ils sont l’
ouvrage
d’un homme élégant et vicieux. La moralité de la
e Roi ayant déclaré qu’il voulait voir plusieurs représentations de l’
ouvrage
avant le carême, il se vit trop pressé par le tem
i de Psyché. Fulgence, écrivain du sixième siècle, à qui l’on doit un
ouvrage
intitulé Mythologicum, y donne un précis de la fa
détaillé au philosophe de Madaure et à l’Athénien Aristophante : les
ouvrages
de celui-ci ne nous sont point parvenus, et nous
e Rome, ont gardé sur les aventures si poétiques de Psyché. Quant aux
ouvrages
du ciseau ou du burin antique qui en retracent qu
à nous la raconter. Il n’est point de mon sujet d’examiner son roman,
ouvrage
un peu long, un peu inégal, mais gracieux dans se
là, et comme sans dessein, les vers que laissait échapper sa Muse. L’
ouvrage
plut, le sujet devint populaire, et dès lors le t
qui est presque aussi singulier qu’une telle association, c’est que l’
ouvrage
qui en fut le résultat ne s’élève pas au-dessus d
Il ne suffit donc pas d’apprécier littérairement les beautés d’un tel
ouvrage
; il faut aussi en retracer historiquement l’orig
Molière conçut de bonne heure le sujet du Tartuffe. Ce fut le premier
ouvrage
considérable dont il s’occupa après L’École des f
t à ce qu’elle n’eût point de terme, il se vengea d’eux dans un autre
ouvrage
qui, en leur donnant de nouvelles raisons de le d
ons de le détester, leur fournit de nouveaux moyens de lui nuire. Cet
ouvrage
était Le Festin de Pierre. « La profession d’hypo
ce du public, de ceux qui ont eu le pouvoir d’écarter de la scène cet
ouvrage
entrepris pour les démasquer. Un curé de Paris pu
puisqu’il n’avait que ce moyen de prouver au public l’innocence d’un
ouvrage
si odieusement calomnié par ses ennemis. Ce fut l
il se plaignait amèrement de ce coup d’autorité qui, en frappant son
ouvrage
, enfreignait la volonté même du monarque. Le roi
ions les plus fines du poète et les beautés les plus délicates de son
ouvrage
sont dévoilées et rendues sensibles avec une comp
é, pour plusieurs personnes, un motif de croire que la Lettre était l’
ouvrage
de Molière lui-même. Les éloges que, dans leur hy
l pouvait suffire de prévenir ou de combattre les conséquences de son
ouvrage
. C’était surtout abuser des droits de la prédicat
lus exigeante, et l’envie avait eu le loisir de préparer ses armes. L’
ouvrage
remplit, surpassa même l’attente du public, dont
ouvelle invention n’a-t-il pas fallu que Molière ait insérés dans son
ouvrage
pour le mettre en état d’être applaudi comme il l
e de Cléanthis. Ce rôle toutefois n’était qu’un embellissement dont l’
ouvrage
pouvait se passer. Mais il est un point essentiel
r doit tous ses avantages : C’est son bonheur qui fait le prix de ses
ouvrages
. Je sais que le Tartuffe a passé son espoir, Que
tte nouvelle édition fût digne du grand homme dont elle reproduit les
ouvrages
. Le texte en a été scrupuleusement revu sur les v
riser à publier la cinquième édition de son Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière. Quant à l’exécution matérielle, le pu
blic est à même d’en juger. Préface de l’Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière La maison Furne, fondée par un hom
e réimprimer, pour la cinquième fois, notre Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière en tête d’une édition de ses Œuvres. C
encore dans une prochaine édition de notre Histoire de la vie et des
ouvrages
de Corneille, M. Édouard Fournier, que sa verve s
appris. Nous avions imprimé deux fois notre Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, quand il voulut, dans une note d’une
fendu de représenter . C’était prendre le nom d’un port pour un nom d’
ouvrage
. Mais ne voilà-t-il pas que le tout vient d’être
e ; perte du manuscrit. Ce que l’abbé de Marolles nous apprend de cet
ouvrage
. — 1665. Le Tartuffe, joué chez Monsieur et chez
s rapports avec Ninon de Lenclos et madame de La Sablière. Il lit ses
ouvrages
à mademoiselle de Bussy. Il est recherché par le
dé et les plus grands seigneurs. Il consultait sa gouvernante sur ses
ouvrages
. Racine porte son Alexandre à l’hôtel de Bourgogn
Illustre Théâtre ». Ces comédiens de société jouaient quelquefois des
ouvrages
nouveaux, et il existe une tragédie intitulée Art
elles seraient meilleures, ne doivent jamais être comptées parmi les
ouvrages
d’un homme de lettres ». Cependant Boileau regret
toujours quelque chose d’instructif et de saillant dans ses moindres
ouvrages
». C’est dans cette même année 1656 que Molière
u’à l’avenir ils n’accorderaient aucune gratification pour de pareils
ouvrages
, à moins qu’ils ne fussent expressément commandés
upes nomades, bien qu’il eût composé déjà pour elle ses deux premiers
ouvrages
, son nom comme artiste, comme auteur, était ignor
upinades de Scarron et par les intrigues romanesques de Rotrou. Aucun
ouvrage
n’avait encore rappelé la gaieté, la grâce séduis
urgogne28, malgré le silence obstiné des gazetiers, Molière, ses deux
ouvrages
et ses camarades furent à leur début bien vus du
généreux que celui que nous avons vu les États de Béziers faire à cet
ouvrage
. Le mardi 18 novembre, l’affiche portait : Cinna
n réussit ; la pièce ne fut pas moins heureuse. Avant d’apprécier cet
ouvrage
et de parler de son succès et de ses effets, un c
dmiration soudaine pour un comique si franc, un vieillard, auquel cet
ouvrage
révélait un Ménandre nouveau, s’écria du milieu d
opositions de deux auteurs qui s’étaient risqués à venir offrir leurs
ouvrages
à ces comédiens sans journaux. La première de ces
horus d’applaudissements vinrent encore se joindre ceux de la cour. L’
ouvrage
fut envoyé aux Pyrénées. Il y reçut le même accue
eux), et protester même que c’était contre son gré qu’il publiait son
ouvrage
. Il serait inexact de dire que cette victoire rem
s d’infortune ; on avait attribué par envie le succès de ses derniers
ouvrages
au mérite dont Molière avait fait preuve en en re
me il devait plus tard apprécier les qualités de son cœur : C’est un
ouvrage
de Molière : Cet écrivain, par sa manière, Charme
ille jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel
ouvrage
; Sa charmante naïveté S’en va pour jamais d’âge
ir que le Corneille son convive fût le Corneille dont il admirait les
ouvrages
. Molière, dans sa Critique de l’École des femmes,
e l’on fit un brouhaha qui dura fort longtemps… Je doute fort que cet
ouvrage
lui ait donné tant de plaisir qu’il le veut persu
ers torts en le désignant plus que suffisamment par les titres de ses
ouvrages
et en se livrant contre lui à d’odieuses insinuat
fficher cette ordonnance à la porte de l’hôtel de Bourgogne, auquel l’
ouvrage
avait été donné. Boursault, quelque temps après,
les siennes et les auteurs tragiques leur confier de préférence leurs
ouvrages
. Il résolut de monter une tragédie qui pût, mieux
à vu, une prédilection souvent malheureuse. Le jeune poète se mit à l’
ouvrage
. La Grange-Chancel raconte avoir entendu des amis
t triompher des entraves que le génie rencontre ordinairement dans un
ouvrage
de commande, et Le Mariage forcé, composé à la hâ
ui tous, dans les lectures particulières que je leur ai faites de mon
ouvrage
, se sont trouvés d’accord avec les sentiments de
parce qu’il lui faudrait un temps infini s’il voulait travailler ses
ouvrages
comme lui. » Le morceau d’Éliante du Misanthrope,
lus naturel de croire que cet auteur, attachant peu d’importance à un
ouvrage
de sa première jeunesse, qui ne pouvait être d’au
Ce passage, ignoré de tous ceux qui se sont occupés de la vie ou des
ouvrages
de Molière, renferme, sinon la preuve de la modes
e Paris, à défaut de représentations, recherchait les lectures de son
ouvrage
, durent consoler un peu l’amour-propre de notre a
es soins ; repousser les attaques d’ennemis acharnés, et composer des
ouvrages
qui, pour être bien accueillis du parterre, devai
, on ne le vit jamais faire d’allusion aussi directe, dans ses autres
ouvrages
, à ses trop justes douleurs. Des biographes de ce
lignité, ni la cabale, n’avaient de voix parmi eux. Ils adoraient les
ouvrages
des anciens, ne refusaient point à ceux des moder
la durée du voyage. Nous n’avons vu ce fait rapporté que dans ce seul
ouvrage
; mais il serait peu étonnant que Molière, contin
ce pour les jugements de ses amis. Molière, auquel il lisait tous ses
ouvrages
, ne put obtenir de lui qu’il refit le dernier de
it, Ninon de Lenclos et madame de La Sablière. Il soumettait tous ses
ouvrages
à la première, et attachait d’autant plus d’impor
a femme de La Mothe le Vayer, à laquelle Molière lisait également ses
ouvrages
avant la représentation : « Quand L’Avare sembla
scènes de La Noce de village de Brécourt, en les lui donnant pour son
ouvrage
. Mais elle ne prit point le change ; et, après av
mauvaise parodie d’Andromaque (La Folle Querelle, de Subigny) était l’
ouvrage
de Molière, il se joignit aux détracteurs de L’Av
suivant, et l’empêcha pendant un certain temps encore de donner aucun
ouvrage
nouveau à son théâtre. Lorsqu’il eut laissé expir
senté vingt et une fois de suite, nombre de représentations auquel un
ouvrage
atteignait difficilement alors, si l’on en except
er entièrement le projet qu’il avait formé de faire l’apologie de son
ouvrage
, et que le libraire se permit d’imprimer à la têt
quel donna le public, dut nécessairement nuire un peu à la vogue de l’
ouvrage
; mais il contribua indubitablement à augmenter l
nions tout à fait paradoxales que l’on rencontre quelquefois dans ses
ouvrages
et qui n’ont pas trouvé encore de partisans réflé
venu la couronner. Il y a deux choses seulement à reprendre dans cet
ouvrage
: la première, c’est le style, qui semble d’autan
ncesse. Elle regardait cet endroit comme un trait indigne d’un si bon
ouvrage
. Mais Molière avait son original, il voulait le m
ut apprécier dès la première représentation le dialogue rapide de cet
ouvrage
, l’esprit vif et naturel, les traits brillants, m
-Foix ; mais on a fait observer avec raison que Le Sicilien a sur les
ouvrages
de ce dernier auteur le mérite de la vraisemblanc
. Où est le temps où de semblables caprices enfantaient de semblables
ouvrages
? Le Ballet des Muses fut représenté une seconde
de politique Été grand ministre ou grand roia. Tel enfin est ce rare
ouvrage
Qu’il ne se sent point de son âge, Et que d’un ro
la religion. « Il est vrai qu’il y a quelque chose de galant dans les
ouvrages
de Molière, et je serais bien fâché de lui ravir
tâche d’en ruiner la créance dans leurs esprits par la licence de ses
ouvrages
. « Certes, il faut avouer que Molière est lui-mêm
, qui est continuellement en peine de faire réformer ou supprimer ses
ouvrages
… « Auguste fit mourir un bouffon qui avait fait r
ontre la souveraineté de Dieu. » Auteurs de nos jours, qui voyez vos
ouvrages
écartés de la scène par une politique ombrageuse,
ignorait jusqu’ici le nom de ce curé, sa paroisse et le titre de son
ouvrage
. Nous avons successivement fait et nous avons enr
et comme sollicitant sans cesse, mais en vain, la suppression de ses
ouvrages
. Néanmoins l’adroit prétexte de l’accusation le f
longtemps à ce qu’il confondît ses détracteurs par l’innocence de son
ouvrage
. Il permit donc, avant son départ pour l’armée de
re de Molière, qui ne connut de faiblesses qu’en amour. Rien dans ses
ouvrages
, dans ses actions, ne peut porter à croire qu’il
ommentateurs, entre autres Bret, ont prétendu que Molière, plein de l’
ouvrage
qu’il méditait, se trouvait un jour chez le nonce
olière de confondre les infâmes calomnies répandues contre lui et son
ouvrage
pour confier ce soin même à un ami. D’un autre cô
la conduite de ses ennemis. Certes, s’il est dans tout son théâtre un
ouvrage
où la décence soit presque continuellement blessé
mais des spectatrices qu’ils peuvent séduire. Toutefois ce vice de l’
ouvrage
n’en compromit pas un seul instant le succès. La
age, pourrait, par l’influence de sa famille, non seulement décrier l’
ouvrage
, mais même se venger de l’auteur. Molière chercha
n doit attribuer l’accueil peu empressé que reçoivent aujourd’hui ces
ouvrages
. Il y aura dans tous les temps des Célimènes : on
La Harpe, tout en rendant justice au dialogue vraiment comique de cet
ouvrage
, dit dans son Cours de littérature : « Si Molière
restée que parce que Molière ne trouva pas le temps de versifier son
ouvrage
, et qu’en la laissant échapper de sa plume il ne
ne fut pas heureux dans les changements qu’il fit subir au plan de l’
ouvrage
, sut du moins ajouter au dialogue de nouveaux tra
pour cette histoire. Molière, ici comme dans plusieurs autres de ses
ouvrages
, fait allusion à lui et aux siens ; il se plaint
resque consécutives satisfirent à peine76 ; et, depuis, cet admirable
ouvrage
n’a cessé de figurer au répertoire courant que da
u sa femme à un corsaire, excita tant d’empressement, que ce médiocre
ouvrage
obtint à peu près le même nombre de représentatio
, à attaquer la réputation littéraire de Molière, et le mérite de son
ouvrage
, dont on dit : Un si fameux succès ne lui fut ja
…………………… Souffre que, dans leur art s’avançant chaque jour, Par leurs
ouvrages
seuls ils te fassent leur cour. Le ministre ne f
s envieux de Molière aient procuré une sorte de succès à ce misérable
ouvrage
. Nous voyons cependant à cette époque le clergé s
de notre auteur, et ne put servir à lui déguiser la faiblesse de son
ouvrage
. Il ne le fit pas représenter sur son théâtre, et
le plaisir obligé que les courtisans devaient prendre en écoutant un
ouvrage
dont l’idée première appartenait eu quelque sorte
tobre 1670, que l’on représenta, pour la première fois, cet important
ouvrage
. La cour était alors rassemblée dans ce séjour, e
rs de Siam, qui venaient lui annoncer que leur monarque, ayant lu ses
ouvrages
, l’avait élevé à la dignité de mandarin ! Il accu
he. On se convainc de l’inexactitude de cette assertion en lisant cet
ouvrage
, qui d’ailleurs ne parut qu’en 1671, c’est-à-dire
n lui avait assigné, et n’ayant encore mis que la première main à son
ouvrage
, il prit le parti de s’adjoindre deux collaborate
loges et amphithéâtre, bancs et balcons, tant pour ce qui regarde les
ouvrages
de menuiserie que de tapisserie, et ornements et
ladite délibération de la troupe, on a commencé à travailler auxdits
ouvrages
de réparation et de décoration de la salle le xvi
é de mise en scène. La chronique prétend que la représentation de cet
ouvrage
fut pour l’honneur marital de Molière un écueil n
s de trois ans, il n’avait exercé son talent et son génie que sur des
ouvrages
réclamés pour les plaisirs de la cour. Cette sort
ns les plus remarquables. Les Fourberies de Scapin furent le premier
ouvrage
que notre auteur fit représenter après avoir acqu
t le monde une aversion d’autant plus injuste que ceux qui lisent mes
ouvrages
et m’entendent parler de vous savent très bien qu
ment abandonnée de la foule, moins frappée d’abord des beautés dont l’
ouvrage
est rempli que de l’apparente stérilité de son su
e nom de l’original au bas de la copie, par plus d’une allusion à ses
ouvrages
et à la guerre que Boileau leur avait déclarée, m
satire qu’on puisse faire des mauvais poètes, c’est de donner de bons
ouvrages
». Il est fâcheux toutefois que l’auteur de cette
l’auteur, et fut même des premiers à rendre justice au mérite de cet
ouvrage
; car, allant voir madame de Rambouillet après la
gne de son génie : « Si je travaillais pour l’honneur, disait-il, mes
ouvrages
seraient tournés tout autrement. Mais il faut que
las ! la Faculté devait être trop tôt vengée. Le succès de ce dernier
ouvrage
ne fut pas un seul instant incertain ; cependant,
crer une partie à l’élude de ses rôles. Il joua dans presque tous ses
ouvrages
; ce fut lui qui créa Mascarille de L’Étourdi et
ans les éloges que la coutume veut que l’on donne à l’auteur et à son
ouvrage
, et à la troupe qui le doit représenter. « Molièr
« Molière, dit le même historien, ne composait pas seulement de beaux
ouvrages
, il s’acquittait aussi de son rôle admirablement.
grâce aux succès de sa troupe et à la fréquente représentation de ses
ouvrages
, il vécut dans une aisance brillante, surtout pou
it rien ; un prix d’Académie ne saurait rien prouver : la plupart des
ouvrages
couronnés ne sont que des folies de jeunesse ». C
évère fut porté par Bailly lui-même ; et personne, après avoir lu son
ouvrage
, ne sera tenté d’en appeler. Pour donner plus de
et du Tartuffe, Boileau ne parla guère que deux fois de lui dans ses
ouvrages
: la première, et c’est celle où l’éloge fut le p
t de découvrir une sorte de réponse en vers, également anonyme, à cet
ouvrage
de circonstance, intitulée Le Songe du rêveur, Pa
en retira. Devons-nous souffrir cet outrage ? Quoi donc ? dérober un
ouvrage
? Le dérober impunément ? Oser le vendre assuréme
par Mgr le prince de Conti en la ville de Montpellier, l’année 1654,
ouvrage
qu’il dédia au prince ; et que l’année d’après, d
e partie : « L’honneur que Votre Altesse Sérénissime daigna faire à l’
ouvrage
que j’osai Lui présenter l’année passée m’a donné
e Languedoc, par M. Raymond, pages 103-106. On doit à l’auteur de cet
ouvrage
la découverte de quatre renseignements nouveaux s
uillot Gorju, qu’il a achetés de sa veuve, et dont il adopte tous les
ouvrages
? » (Préface des Véritables Précieuses, comédie e
ult. Mais, à vous dire le secret, bien des gens ont mis la main à cet
ouvrage
, et l’on en doit concevoir une assez haute attent
ir Le Mercure de France, mai 1740, p. 840. — Lettre sur la vie et les
ouvrages
de Molière et sur les comédiens de son temps (par
12. 69. Nous avons déjà cité la Lettre sur les Observations. L’autre
ouvrage
est intitulé Réponse aux Observations touchant le
nir. Il ne fallut rien moins que le Cid pour faire tomber ce ridicule
ouvrage
; et quoique Chimène, en quelques endroits, eût el
e pièce que la sottise et l’envie osèrent encore opposer aux premiers
ouvrages
de Molière. Corneille, entraîné par l’exemple, ne
Section première. De Molière. L’éloge d’un écrivain est dans ses
ouvrages
; on pourrait dire que l’éloge de Molière est dans
re à un avare de bonne foi qu’il y avait beaucoup à profiter dans cet
ouvrage
, et qu’on en pouvait tirer d’excellents principes
qu’il t’a fallu de courage et de génie pour concevoir le plan de cet
ouvrage
, et l’exécuter dans un temps ou le faux zèle étai
’Élide, les Amants magnifiques, ne sont pas des comédies; ce sont des
ouvrages
de commande, des fêtes pour la cour, ou l’on ne r
écrivain supérieur est quelquefois obligé de descendre à ces sortes d’
ouvrages
, qui ont pour objet de faire valoir d’autres tale
x, qui furent jours à Vaux devant le roi, n’en fit pas à la vérité un
ouvrage
régulier, puisqu’il n’y a ni plan ni intrigue, ma
ient ni plus vraisemblables ni plus décentes. C’est pourtant dans cet
ouvrage
, dont le fond est si vicieux, que Molière fit voi
tes, à deux ou trois vers près, qu’elles ont suffi pour faire vivre l’
ouvrage
; et ces deux scènes valent mieux que beaucoup de
deux scènes valent mieux que beaucoup de comédies. Dès son troisième
ouvrage
, il sortit entièrement de la route tracée, et en
jeune personne confiée à ses soins, et qu’il voulait épouser. De tels
ouvrages
sont l’école du monde, et leur utilité se perpétu
fois que l’on voulut désigner l’affectation d’être agréable. Ainsi l’
ouvrage
de Molière fit un changement dans la langue comme
té aussi des hommes très-méchants, et que, non contents de dénigrer l’
ouvrage
, ils se croient tout permis pour perdre l’auteur.
me celle des Italiens; car il faut remarquer que ce sont toujours les
ouvrages
faits pour la multitude qui ont de ces prodigieux
culté, et cette guerre dura jusqu’à la fin de sa vie; car son dernier
ouvrage
, le Malade imaginaire, fut encore fait contre les
re trop supérieur; mais on peut assurer que, dans tous les temps, des
ouvrages
d’un très-grand mérite, confondus d’abord dans l’
re que les spectateurs, en s’instruisant, devenaient plus dignes de l’
ouvrage
. Il était, depuis un siècle, en possession du pre
us : Oronte la demandait-il bien sérieusement ? Ceux qui lisent leurs
ouvrages
au premier venu demandent-ils la vérité ou des lo
lissement contraire aux bonnes mœurs. S’il n’eût attaqué que quelques
ouvrages
où en effet elles sont blessées, et qui ne sont q
entraîné un peu loin, je passe rapidement sur les autres parties de l’
ouvrage
, sur le contraste de la prude Arsinoé et de la co
ns l’estimer comme une comédie. Mais à cette tolérance en faveur de l’
ouvrage
ne se mêlera-t-il pas encore de l’estime pour l’a
vous ne pouvez pas croire, et je vous promets de vous divertir. Peu d’
ouvrages
sont aussi réjouissants qu’Amphytrion. On a remar
l’admiration, s’y refusa d’abord, et balança le plaisir que faisait l’
ouvrage
et le succès qu’il devait avoir. L’histoire du Mi
iens pour les imiter : c’est ce qui nous valut de lui de fort mauvais
ouvrages
. Il eut ensuite un tort encore plus grand, qui lu
bout du Tartufe. Il est vrai qu’elle est étendue et profonde, et son
ouvrage
seul pouvait nous la révéler. —L’hypocrisie, tell
en tirer par un ressort aussi extraordinaire que tout le reste de mon
ouvrage
. C’est l’histoire du Tartufe, et j’aurai plus d’u
ce dénouement n’est pas conforme aux règles ordinaires; mais dans un
ouvrage
où le talent de Molière lui avait appris à agrand
e française. — Opinion de l’hôtel de Rambouillet sur Le Cid. — Grands
ouvrages
, mis au jour par Corneille dans cette période.
grand Corneille. Scudéry lui reprochait d’avoir imité dans Le Cid un
ouvrage
du théâtre espagnol ; il ne voyait en lui qu’un t
e vers la fin de la période dont il traite (en 1637) parut le premier
ouvrage
de Descartes, celui qui l’ait son plus incontesta
bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences. Cet
ouvrage
écrit en français est d’un style pur et d’une lim
Avertissement de l’auteur du Commentaire Les
ouvrages
qui ont le plus besoin d’être commentés, sont inc
s judicieuses sur l’économie ainsi que sur l’exécution des principaux
ouvrages
! Je leur ai des obligations que je ne prétends p
st surprenant que cette vérité ait échappé à un critique pour qui les
ouvrages
de Molière ont été un objet d’étude et de travail
ence ou à la précipitation tout ce qu’on remarque de vicieux dans ses
ouvrages
. J’ai partagé longtemps ce préjugé ; mais une lec
ue toutes ses comédies avant que Boileau et Racine eussent publié ces
ouvrages
si élégants et si purs qui ont fixé l’idiome poét
objet est d’offrir un jugement sommaire de la pièce ; de rappeler les
ouvrages
dont elle a été l’imitation ou le type, ainsi que
art sont attentivement observés, non seulement fût l’histoire de ses
ouvrages
, mais même pût être considéré, en quelque sorte,
re considéré, en quelque sorte, comme l’histoire de son génie. Tout l’
ouvrage
est précédé d’un Discours préliminaire et d’une V
examine l’influence réciproque de la société sur son génie, et de ses
ouvrages
sur les mœurs. Ce Discours, si l’exécution répond
n de ses premiers biographes, ayant donné une étendue démesurée à son
ouvrage
, et l’ayant rempli d’une foule d’anecdotes apocry
» Ménandre représente aussi à lui seul la comédie nouvelle. Mais ses
ouvrages
ont disparu : il ne reste que son nom, de courts
es traducteurs de quelques comiques grecs de la troisième époque. Les
ouvrages
de ces deux poètes sont parvenus jusqu’à nous : d
ffisamment la pauvreté des idées et la barbarie du langage, brille un
ouvrage
qui a traversé les siècles, qui a donné des expre
es mœurs et des caractères : il fut donné à ce même génie d’achever l’
ouvrage
qu’il avait commencé. Le Menteur parut. La pièce
aibli la plupart des ridicules qu’il a frondés. Dans plusieurs autres
ouvrages
, il a introduit des personnages vicieux. Mais ce
te de son trésor. Je vais plus loin. Quand Molière, dans son plus bel
ouvrage
, a démasqué le plus détestable des vices, l’hypoc
e ne sont point des défauts ; ce sont les conditions nécessaires d’un
ouvrage
où le poète se proposait de peindre, dans des scè
dénouement du sujet, c’est-à-dire de la partie comique et morale de l’
ouvrage
. Si quelquefois Molière est faible ou même pèche
le plus mis à profit les pensées des autres. Mais aussi de combien d’
ouvrages
les siennes n’ont-elles pas été le germe ou l’orn
rès avoir payé mon tribut d’estime au Grondeur et à l’Avocat patelin,
ouvrages
de la bonne école, et avoir rendu un éclatant hom
en avait fait.Il importe peu de savoir au juste comment fut perdu un
ouvrage
peu regrettable sans doute. Molière semblait lui-
ière y commença ses représentations le 4 novembre 166048. Le premier
ouvrage
donné par Molière sûr ce nouveau théâtre fut don
rait sans utilité. J’ai osé, ailleurs, juger le poète et analyser ses
ouvrages
: c’est assez d’une fois ; je dois me contenter i
t chargée des divertissements de sa cour58, de goûter et de louer ses
ouvrages
, quelquefois même de s’associer, pour ainsi dire,
mutuellement justice, et se défendre réciproquement au sujet de leurs
ouvrages
.On vint annoncer à Racine que le Misanthrope étai
ur l’amusement du roi ; mais, plusieurs fois aussi, Molière, dans ses
ouvrages
, semble laisser échapper quelques traits de l’hum
arme, ni sans profit pour lui : il lui soumettait même volontiers ses
ouvrages
. L’abbé de Châteauneuf, le dernier amant de Ninon
nnu par l’homme de génie, homme de bien, qui fut un de ses plus beaux
ouvrages
. Le portrait de la personne de Molière nous a été
te même année vit paraître la IXesatire de Boileau, le premier de ses
ouvrages
où son talent se soit montré dans toute sa force.
ers sa perfection. 4. Voltaire, dans son Commentaire sur Corneille,
ouvrage
dont il est plus facile d’éviter les défauts que
se, et auteur de laGalerie historiquedes acteurs du Théâtre Français,
ouvrage
rempli de recherches aussi curieuses qu’exactes.
u par Lagrange. Ce registre, qui indique, jour par jour, le titre des
ouvrages
joués et le montant des recettes, m’a fait connaî
ur. Ces petits faits, qui servent en partie à constater le succès des
ouvrages
, ont été ignorés des historiens duthéâtre, ou rap
ux chefs-d’œuvre auxquels ils ont donné naissance. De la question des
ouvrages
, on passa bientôt à celle des hommes et des époqu
se ? Non : il a peint tous les hommes, tous font leurs délices de ses
ouvrages
, et tous sont fiers de son génie. Les petites div
du Pédant jouéreprésentée en 1654 eut beaucoup de succès. Ses autres
ouvrages
sont un Voyage de la Luneet une Histoire comique
non une tragédie. Racan a fait un sixain pour être mis en tête de cet
ouvrage
(voirŒuvres de Racan, tome II, page 211). Françoi
es de M. d’Assoucy, 1 vol. in-12, Paris, 1677. On voit, dans un autre
ouvrage
du même auteur, intituléAventures d’Italie, 1 vol
ézenas en décembre i654. Poète et prosateur ingénieux, ses principaux
ouvrages
sont,Dulot vaincu, onla Défaite des Bouts-rimés,
isait-il, quelque chose de saillant et d’instructif dans les moindres
ouvrages
de Molière. » 42. Ces trois farceurs avaient d’
aint-Sorlin, de Paris, né en 1595, mort en (676. Auteur, entre autres
ouvrages
, d’une traduction en vers de l’Imitation de J.-C.
réflexion est bien étrange de la part d’un homme qui avait étudié les
ouvrages
de Molière, et s’était exercé dans son art. Palap
les notes de tous les commentateurs, et une Histoire de la Vie et des
Ouvrages
de Molière.Ce jeune écrivain n’a pas cru devoir,
i point à m’informer des motifs qui ont pu porter à reproduire un tel
ouvrage
; mais je dois peut-être justifier le mépris avec
; et Voltaire ignorait alors(en 1730) ce que Despréaux avait dit de l’
ouvrage
de Grimarest dans des lettres dont le recueil ne
« Pour ce qui est de la Vie de Molière, franchement ce n’est point un
ouvrage
qui mérite qu’on en parle. Il est fait par un hom
tte misérable Vie, où on ne voit ni vérité, ni style, ni sens commun,
ouvrage
plus propre à rendre méprisable et ridicule cet i
tter le temps qu’on a perdu à les lire. » Les nouveaux éditeurs de l’
ouvrage
de Grimarest attestent qu’il fut écrit presque so
en 1706, âgée de quatre-vingt-dix ans. 85. Ce passage est tiré d’un
ouvrage
de l’abbé de Châteauneuf, intitulé Dialogue sur l
re la femme de Louis XIV, que de prendre pour modèle un des meilleurs
ouvrages
d’un des poètes les plus estimés de leur nation.
s sous le nom de Plaisirs de l’Île enchantée. Le roi ayant applaudi l’
ouvrage
, la cour crut l’avoir admiré. La ville l’accueill
olière n’eut que quinze représentations : c’eût été un succès pour un
ouvrage
raisonnable ; c’était presque une chute pour une
œuvres, divisée en deux parties, dont la seconde était consacrée aux
ouvrages
posthumes, ils comprirent dans celle-ci Le Festin
on intégrité, sinon un des plus beaux, du moins un des plus étonnants
ouvrages
qu’ait enfantés le génie de Molière. La pièce de
oins il y a unité de caractère. C’est à ce mérite, si brillant dans l’
ouvrage
, que Molière semble avoir sacrifié tous les autre
on en vers qu’en a faite Thomas Corneille. Il est impossible que deux
ouvrages
aient entre eux un rapport plus immédiat, et que
et de simples accessoires ne doivent pas être traités à l’égal de ses
ouvrages
. 1. Il existe une autre relation de ces fêtes
devait pas être reproché à Molière : il était consacré par plusieurs
ouvrages
, et devenu tout à fait populaire, quand il traita
licats se laissent pénétrer ! Et plût au ciel encor, pour couronner l’
ouvrage
, Que Montausier voulût leur donner son suffrage !
qu’il s’était ouverte. En 1670, il avait mis au théâtre Britannicus,
ouvrage
sévère, où l’on voit le peu de distance qui sépar
de pension. Depuis cette année jusqu’en 1677, Racine ne publia aucun
ouvrage
, non plus que Boileau. En 1677, il mit Phèdre au
gua contre la Phèdre de Racine ; secondement, que Boileau a défendu l’
ouvrage
de son ami contre les gens de l’hôtel Rambouillet
e de raison qu’à madame Deshoulières, à cause du sonnet qui était son
ouvrage
. Encore est-il plus sage de s’en tenir au doute q
lque chose rem péchait de se laisser aller au pathétique des premiers
ouvrages
de Racine, excepté à celui d’Andromaque. L’actric
tude maternelle qui disposait mal madame de Sévigné pour les premiers
ouvrages
de Racine ; Andromaque fut la première de ses piè
rgna moins les éloges au grand poète ; elle se livra au charme de ses
ouvrages
, à mesure que le temps de ces amours s’éloignait.
plus positive qu’ils n’avaient point à redouter les applications des
ouvrages
satiriques dont les auteurs leur faisaient la lec
parce qu’il lui faudrait un temps infini, s’il voulait travailler ses
ouvrages
comme lui. 278. Elle apparaît pour la première
uvres de Boileau de 1716. Brossette l’a introduit dans les notes de l’
ouvrage
. Voici la note : Elle [La satire II] fut faite en
parce qu’il lui faudrait un temps infini, s’il voulait travailler ses
ouvrages
comme lui. (Pierre Bonvallet, Molière de tous les
Préface Je prie le lecteur de ne pas demander à cet
ouvrage
plus d’amusement, d’intérêt, ni d’instruction que
nt aux dates des faits, aux âges des personnes, à la nomenclature des
ouvrages
; ma division en périodes, qui fait revenir souve
n extremis ridendus . Il faut de la jeunesse pour donner le fini à un
ouvrage
du genre de celui-ci. L’histoire de la société po
sur les hommes dans tous les temps, et qu’il y en a beaucoup dans cet
ouvrage
. Sans doute le procès de M. Guillaume contre un b
eure à toutes les tragédies du même auteur, est en effet son meilleur
ouvrage
; l’intrigue en est bien conçue, le principal cara
ettre, il y a quelque temps, la Coquette du même auteur, très mauvais
ouvrage
qui n’a eu aucun succès. On doit savoir d’autant
Je ne dois pas omettre ici une anecdote digne d’attention. Quand cet
ouvrage
fut représenté en 1701, on fit supprimer au théât
eux-mêmes, ne feront que répandre plus d’intérêt sur la notice de ses
ouvrages
dramatiques. Regnard, célèbre par ses comédies, a
roman y sont scrupuleusement observées. Comme il est le héros de son
ouvrage
, il commence par faire son portrait sous le nom d
age, l’histoire de la Laponie, écrite en latin par Joannes Tornœus, l’
ouvrage
le meilleur qu’on ait composé sur cette matière,
e mourir du chagrin que lui a causé le mauvais succès de ses derniers
ouvrages
. Il décrit son convoi : Mes yeux ont vu passer d
manquent ordinairement, c’est le Joueur, et c’est aussi son plus bel
ouvrage
, et l’un des meilleurs que l’on ait mis au théâtr
beaucoup que Démocrite et le Distrait soient de la même force que les
ouvrages
dont je viens de parler, qui sont les chefs-d’œuv
alogue sont, dans leur genre, d’un comique parfait. Mais s’il y a des
ouvrages
qu’une seule scène a fait vivre au théâtre, ils y
es traiter. La comédie de Regnard eut la plus complète réussite, et l’
ouvrage
de Dufrény échoua entièrement. En général, il fut
elle est placée à la vingt-une place. 169. Cette anecdote vient de l’
ouvrage
de La Serre, Les mémoires sur la vie et les ouvra
ecdote vient de l’ouvrage de La Serre, Les mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière, 1734. On peut la retrouve dans La Vie
n peut la retrouve dans La Vie de Molière, avec des jugements sur ses
ouvrages
de Voltaire, 1739. (Pierre Bonvallet, Molière de
premier jour, que les acteurs qui ont joué pour la première fois les
ouvrages
de Corneille, de Racine et de Molière, qui ont re
s, le Misanthrope, Tartuffe et les Femmes savantes. Le premier de ces
ouvrages
est de 1662, le dernier de 1672. Je consens à cro
ue les interprètes de Molière en savent moins sur le vrai sens de ses
ouvrages
qu’un homme attentif après une première lecture.
eprésentation du Misanthrope, il aurait grand’peine à reconnaître son
ouvrage
et demanderait ce qu’on joue. Il y a pourtant par
utrement graves que la représentation du Misanthrope. Dans ce dernier
ouvrage
, en effet, c’est à Célimène que s’adressent presq
oète, ma tâche est d’examiner comment cette pensée est rendue. Or cet
ouvrage
, que je considère comme l’expression la plus haut
forme à l’intention de l’auteur. Pour la représentation de ces grands
ouvrages
, le caprice et la routine sont plus souvent consu
souvent consultés que la raison. Ce que j’ai dit de ces quatre grands
ouvrages
, je pourrais le dire de bien d’autres conçus par
ui donneront un sens inattendu, un sens contredit par l’ensemble de l’
ouvrage
. Un tel sans-façon ne doit pas se perpétuer. Si l
ectateurs, et lorsque le public se serait familiarisé avec les grands
ouvrages
simplement conçus, écrits dans une langue harmoni
ncipes de justesse qui lui ont servi de guides dans la plûpart de ses
ouvrages
. Le voyage de Louis XIII à Narbonne en 1641, inte
’en 1652. Moliere l’employa vraysemblablement à composer ses premiers
ouvrages
. La Béjart, comédienne de campagne, attendoit ain
x, leur brouillerie & leur réconciliation, sont le morceau de cet
ouvrage
le plus justement admiré. Quoique la comédie des
s femmes admiroient par les mêmes côtés, qui depuis ont décrédité ces
ouvrages
, avoit passé dans les conversations ; enfin le vi
r depuis son établissement à Paris, avoit perfectionné son stile. Cet
ouvrage
est plus correctement écrit que ses deux premiere
ont le fonds même est vicieux, put contribuer au peu de succès de cet
ouvrage
; Moliere qui jouoit le rôle de Dom Garcie, ne ré
supprimer quelques-unes, en substituer d’autres, sans faire tort à l’
ouvrage
: mais le point essentiel étoit de soutenir l’att
ange plut par sa nouveauté ; on eut peut-être de l’indulgence pour un
ouvrage
conçû, fait, appris, & représenté en quinze j
es critiques sans nombre qui se répandirent dans le public contre son
ouvrage
, mais elle servit à l’en consoler. Soit malignité
. Cette piéce réussit, & la cour ne traita point avec sévérité un
ouvrage
fait à la hâte pour la divertir. Moliere n’avoit
le théatre du palais royal, le 22 du même mois. est encore un de ces
ouvrages
précipités, que l’on ne doit point juger avec rig
juin 1666. qui sera toujours regardé chez les nations polies, comme l’
ouvrage
le plus parfait de la comédie françoise. Si l’on
se rebuta point. Il crut devoir rappeller les spectateurs par quelque
ouvrage
moins bon, mais plus amusant, dans l’espérance qu
faciles à séduire ; les vrays dévots étoient même alarmés, quoique l’
ouvrage
ne fût guéres connu33 ni des uns ni des autres. U
Des prélats, &35 le légat, après avoir entendu la lecture de cet
ouvrage
, en jugérent plus favorablement ; & le Roi36
distinguera toujours Moliere de tous les auteurs comiques. Comme ses
ouvrages
ne sont pas tous du même genre, il ne faut pas, p
e a joué le rôle d’une des Graces dans Psiché en 1671. 57. Outre les
ouvrages
qu’on a rassemblés dans cette édition, & plus
qui veut mettra la France en ports de mer : voilà les beautés de cet
ouvrage
. L’ÉCOLE DES FEMMES. Chef-d’œuvre de comiqu
s les bois ; le dénouement enfin : voilà les beautés principales d’un
ouvrage
dans lequel il n’y a pas un vers qui n’ait rappor
où il interroge la malade : voilà les plus jolies scènes de ce petit
ouvrage
, qui soutint le Misanthrope. MÉLICERTE, PASTOR
ingulière, si belle et si hardie : voilà les principales beautés d’un
ouvrage
que l’Europe admire avec raison. AMPHITRYON.
it Dorimène, et fait de l’esprit avec elle : voilà les beautés de cet
ouvrage
, dont le cinquième acte ne vaut pas les autres.
in, Martine philosophant mieux que personne : voilà les scènes de cet
ouvrage
admirable qui doivent servir de modèles. LA CO
logue qui commence le cinquième acte : tout doit être étudié dans cet
ouvrage
. LA ROSE. Joli opéra comique. LE FAUX PR
ndue que le texte même. La première, Lettre de M** sur la vie et les
ouvrages
de Molière, occupe 21 pages du Mercure de France
te date, tout était nouveau en fait d’histoire théâtrale : le premier
ouvrage
sur les auteurs et les comédiens, la Bibliothèque
d il donna ses Mémoires pour servir à l’histoire de Molière et de ses
ouvrages
, qui furent avec raison préférés par les éditeurs
itique. G. M.-Monval, moliériste. LETTRE DE M** SUR LA VIE ET LES
OUVRAGES
DE MOLIERE (AOUT 1735) Il est vrai, Monsieur,
it peut-être pas tant de précautions à prendre pour la lecture de ses
ouvrages
. Pour surpasser 13 les autres poëtes comiques, c
XIV après qu’il l’eut honoré d’une pension de mille livres39, est un
ouvrage
des. plus spirituels, et une satire des plus fine
aduisit Lucrèce presque tout entier et en vers46 ; et l’on auroit cet
ouvrage
, si son valet de chambre n’avoit pas pris ces feu
s je vous promets quelque chose de plus remarquable sur la vie et les
ouvrages
de Moliere. Mémoires pour servir à l’histoire
e sujet qu’il se trouve, en mettant dans tout leur jour les excellens
ouvrages
des plus illustres auteurs et y substituant à la
ait avoir fait Hercule et Soliman 130 . Lettre sur la vie et les
ouvrages
de Molière et sur les comédiens de son temps (mai
1. « Cette pièce réussit, et la Cour ne traita point avec sévérité un
ouvrage
fait à la hâte, pour la divertir. Moliere n’avoit
sse pour le meilleur de toutes celles de Moliere, et l’on regarde cet
ouvrage
comme le chef d’œuvre des pièces en trois actes.
r 1725 et celui d’octobre 1726.) Deuxième lettre sur la vie et les
ouvrages
de moliere et sur les comédiens de son temps (jui
lle traita ce même sujet, sous le titre de l’Esprit folet 236, et cet
ouvrage
, quoique presque sans vraisemblance, et plutôt en
D. L. S. 12. Adrien Baillet, Jugemens des Sçavans sur les principaux
ouvrages
des auteurs, tome IV, contenant les poètes. Paris
e). 14. René Rapin, Réflexions sur la poétique d’Aristote et sur les
ouvrages
des poètes anciens et modernes. Paris, F. Muguet,
siècle. La citation n’est pas exacte. Voici le texte du passage (des
Ouvrages
de l’esprit) : « Il n’a manqué à Moliere que d’év
uellement reproduit de l’édition de 1734 : Mémoires sur la vie et les
ouvrages
de Molière. 136. Ces deux rôles furent joués d’o
ive qu’elle soit, si encombrée de romans nouveaux, nous gardons leurs
ouvrages
; nous les montrons à nos enfans, à peu près comm
iétaires et pensionnaires n’ont pas eu le loisir d’apprendre ce petit
ouvrage
. Pour le remplacer, ils ont demandé à l’auteur qu
néant ! Quant à Bajazet et Bérénice, des vieillards assurent que ces
ouvrages
ont été représentés à la Comédie-Française : nous
main gauche, lorsqu’on est amputé du bras droit. A ce petit nombre d’
ouvrages
conservés après la mort des auteurs ajoutez quelq
ourcy. Vous n’aurez plus, si vous désirez avoir la liste complète des
ouvrages
représentés au Théâtre-Français depuis un an et c
laideurs ; voici, répartis sur l’une et l’autre, à peu près les mêmes
ouvrages
de Molière que nous avons vus là-bas ; seulement,
tat que je signale. Vais-je crier à « l’obstruction » et dénoncer tel
ouvrage
nouveau parce qu’il encombre la scène au détrimen
ise, il serait surprenant que, les autres jours, ici où là, les mêmes
ouvrages
fussent rebutés : aussi ne le sont-ils pas. Athal
Comédie française. — Molière ; examen critique de ses
ouvrages
. — Scarron, Boursault, Regnard. — Comédies du tem
uteur français aurait surpassé les Grecs eux-mêmes, supposé que leurs
ouvrages
fussent parvenus jusqu’à nous. Plusieurs des suje
ans que son talent acquît la maturité qui lui aurait fait rejeter des
ouvrages
aussi peu soignés. Mais souvent il travaillait à
e son aveugle confiance. On voit là manifestement le but sérieux de l’
ouvrage
, et le panégyrique du roi n’est autre chose qu’un
. C’est un danger qui menace nécessairement l’auteur comique dont les
ouvrages
ne reposent pas de quelque manière sur une base p
e contraires à tous les élans de la véritable imagination. Pour qu’un
ouvrage
leur inspire de l’estime, il faut qu’il porte l’e
n est devenue plus que jamais un article de foi. Comme le plan de cet
ouvrage
ne me permet pas de parler des productions de cet
les travers qui dominaient de leur temps ? Cela peut être, mais leur
ouvrage
n’en était pas moins dangereux. Ils ne pouvaient
cle un succès marqué auprès de leurs contemporains, mais peu de leurs
ouvrages
leur ont survécu au théâtre. Destouches était un
culier. En fait de chefs-d’œuvre du haut comique, on cite encore deux
ouvrages
isolés de deux poètes qui, s’ils paraissent les a
ec plaisir qu’une certaine douceur de sentiments est lame de tout cet
ouvrage
. Après avoir fait quelques remarques sur des genr
une vie, un attrait, que je ne trouve souvent pas en France dans des
ouvrages
beaucoup plus soignés. Le succès marqué avec lequ
ore après plusieurs années, peut passer, parmi ces éphémères, pour un
ouvrage
classique qui a gagné la palme de l’immortalité.
sujet d’une de ses tragédies. Mais aussi, comme nous l’avons vu, cet
ouvrage
déplut si fort aux Athéniens, que pour en punir l
ort bien démontré les défauts de construction et l’incohérence de cet
ouvrage
. Du reste, le style de ces deux drames est en gén
ncipes de justesse, qui lui ont servi de guide dans la plupart de ses
ouvrages
. Le voyage de Louis XIII à Narbonne en 1641, inte
e littéraire, est réglé depuis longtemps. Pour juger du mérite de ses
ouvrages
, il suffit de les comparer avec tout ce que l’ant
ura toujours, quoiqu’ils se rendissent mutuellement justice sur leurs
ouvrages
. Un bel esprit se trouvant à un Sermon auprès d’u
osies : Point, point d’Amphitrion, où l’on ne dine point. Quant à l’
ouvrage
même, qui s’est si fort acquis la faveur du Publi
exactes, il a été démontré que la Pièce Italienne est postérieure aux
ouvrages
de Molière. Avec une plus grande connaissance de
er à Mademoiselle24, Princesse qui se plaisait à ces sortes de petits
ouvrages
; et qui, d’ailleurs, considérait fort l’Abbé Cot
toujours quelque chose de saillant et d’instructif dans ses moindres
ouvrages
. Selon lui, Molière pensait toujours juste, mais
de son premier feu, et qu’il lui était impossible de revenir sur ses
ouvrages
. 1801, Moliérana, 62, p. 100 Tome I, p. 27
le jaloux esprits, Molière, osent, avec mépris, Censurer ton plus bel
ouvrage
Sa charmante naïveté S’en va, pour jamais, d’âge
Cette petite Pièce [La Critique de l’École des femmes] est le premier
ouvrage
de ce genre qu’on connaisse au Théâtre ; c’est un
t Juvenal59. Cotin* ne s’en tint pas à sa satire ; il publia un autre
ouvrage
sous ce titre : La Critique désintéressée sur les
rique, et l’Abbé Cotin*. Molière était en peine de trouver un mauvais
ouvrage
pour exercer sa critique, et Despréaux lui apport
le spectacle qu’il lui demandait ; aussi ce Poète eut-il recours aux
ouvrages
d’un autre, pour y puiser une idée ; et c’est d’A
deux Reines, Espagnoles de naissance, l’imitation d’un des meilleurs
ouvrages
de Théâtre de leur Nation. Il fut si pressé, qu’i
me II, p. 169 Molière, bien moins satisfait que personne, des deux
ouvrages
qu’il avait joints au Ballet des Muses, donné par
t faciles à séduire. Les vrais dévots étaient même alarmés, quoique l’
ouvrage
ne fût guère connu ni des uns ni des autres. Un C
Des Prélats109 et le Légat110, après avoir entendu la lecture de cet
ouvrage
, en jugèrent plus favorablement ; et le Roi promi
Ce grand Comique lui ayant lu sa Comédie du Tartuffe, Ninon admira l’
ouvrage
et lui fit le récit d’une aventure pareille à cel
Tartuffe. Ce trait fait voir la préférence qu’il donnait à ce dernier
ouvrage
sur l’autre. Tome II, p. 206 Deux ans après
les yeux du Lecteur, que les traits qui frappent ouvertement sur cet
ouvrage
: « Onuphre119 ne dit point ma haine et ma discip
lui en demandèrent la raison : « Ah ! Messieurs, s’écria-t-il, si cet
ouvrage
n’était pas fait, il ne se ferait jamais. » 180
Tome II, p. 432 Le Roi de Prusse141 dit quelque part, dans ses
ouvrages
, à l’occasion des Pièces de ce genre, qu’il aimer
ncipes de justesse, qui lui ont servi de guide dans la plupart de ses
ouvrages
. Le voyage de Louis XIII à Narbonne en 1641, inte
e littéraire, est réglé depuis longtemps. Pour juger du mérite de ses
ouvrages
, il suffit de les comparer avec tout ce que l’ant
es récits du voyageur Tavenier. Son livre sur le théâtre est l’unique
ouvrage
qui, au XVIIe siècle, donne de nombreux renseigne
co (vers 1480 – 1557) Straparola, 1550–1553, Les Nuits facétieuses :
ouvrage
composé de 75 nouvelles. 43. ??? 44. L’École
il est le chroniqueur (Historia de la orden de la Merced). Outre des
ouvrage
édifiants, une partie de son œuvre en prose est c
t dans celle de Charles Guillaume en 1824.Taschereau utilise dans son
ouvrage
Histoire de la vie et des ouvrages de Molière. El
en 1824.Taschereau utilise dans son ouvrage Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière. Elle est notamment utilisée par Bazin
cher, puisqu’on le paie de toute sa gloire. Regle générale, jamais un
ouvrage
fait exprès pour une fête ne méritera l’immortali
i au milieu de tant de plaisirs ne pouvoit critiquer avec sévérité un
ouvrage
fait pour embellir la fête. « On a depuis représe
des circonstances heureuses qui l’avoient soutenue.... « Rarement les
ouvrages
faits pour des fêtes réussissent-ils au théâtre d
mp; dura plusieurs jours.... « La Cour ne traita pas avec sévérité un
ouvrage
fait pour la divertir. L’applaudissement du Princ
rnir en même temps tout ce que peut recueillir sur l’homme et sur ses
ouvrages
une érudition spéciale. C’est ce dernier parti qu
carrière au-delà. J’ai évité le plus que j’ai pu les répétitions d’un
ouvrage
à l’autre. Un seul document de quelque importance
aucoup d’autres écrivains du siècle dernier et du siècle présent. Les
ouvrages
de Louis Riccoboni dit Lelio, dans la première mo
créée avec une intelligence et une persévérance si remarquables, des
ouvrages
que j’avais demandés vainement aux plus grandes b
oir lu qu’en courant, et pour pouvoir dire qu’il les connaissait, les
ouvrages
qu’il juge avec une autorité si absolue et si brè
llent sur l’homme, sur la femme, sur l’amour, sur le mariage, sur les
ouvrages
de l’esprit, sur la patrie et sur la religion, ca
èrent de nouveau avec eux. » J. Taschereau, Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, liv. I, note 36. — À moins d’être un
la part d’un ami de Molière et des lettres (Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, liv. III). Le style de Molière a été
s de cœur, À un Questionneur. 813. La Bruyère, les Caractères, des
Ouvrages
de l’esprit, XXXVIII. Remarquez que ce paragraphe
es de Molière, 1823-1826. J. Taschereau, Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, 1825, avec Supplément, 1827. Saint
ur, le pouvant absolument » (J. Taschereau, Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, liv. III). 826. La Requeste à Monsei
isse de Saint-Eustache. Voir J. Taschereau, Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, liv. IV, note 1, et plus haut, page 2
Mémoires de mademoiselle de Montpensier, dont il était secrétaire. L’
ouvrage
de l’abbé d’Aubignac est une satire grossière, ré
, et non en province, pour la province. Mais la représentation de cet
ouvrage
à Béziers en 1654, durant la tenue des états de P
mbouillet. La satire de d’Aubignac et Les Précieuses de Molière, deux
ouvrages
de la même année 1654, prouvent l’existence des P
roman de Pure, intitulé La Précieuse ou Les Mystères des ruelles. Cet
ouvrage
ne ressemble pointa celui de d’Aubignac ; il ne p
corrigent les passables. Elles jugent des beaux discours et des beaux
ouvrages
; elles eu font elles-mêmes. » Voici quelques ex
rtisanismes modernes et de quelques singularités courtisanesques. Cet
ouvrage
est de Henri Étienne, le second des fameux imprim
ères belles éditions de nos auteurs grecs et latins, et le Thésaurus,
ouvrage
auquel aucun autre du même genre ne peut se compa
hors de l’amour vulgaire, et de rechercher J’estime par la beauté des
ouvrages
ou des discours ; de se donner aux plaisirs d’ima
sprit tourné vers les idées et les sentiments romanesques et vers les
ouvrages
de galanterie, et non des habitudes désordonnées
l’adresse de donner du prix à ses sentiments, de la réputation à ses
ouvrages
, d’assurer approbation à ses railleries, force à
s mœurs et la justice. Enfin, ayant déjà mis sur le théâtre plusieurs
ouvrages
où le langage et les actions étaient aussi libres
ahide ou L’Esclave reine, en 1660 ; et ensuite… une infinité d’autres
ouvrages
du même genre. Ce fut une grande gloire pour les
ent encore la vertu, & qu’elle voudroit pouvoir retrancher de ses
ouvrages
. J’en trouverai dans Amphitrion. Nous voyons clai
. Vivat Sosie.Hé quoi ! ma plainte a cet effet ! Tu ris après ce bel
ouvrage
! Sosie. Que je suis de moi satisfait ! Cléanthis
-il pas bien alors de manger, de boire, de renvoyer les curieux à ses
ouvrages
, & de laisser briller les agréables, qui ont
ue amoureuse. Si les Auteurs se peignent, comme on le dit, dans leurs
ouvrages
, Dufresny étoit généreux, il faisoit à très bon m
Moliere, non content de prendre un sonnet & un madrigal dans les
ouvrages
imprimés de Cotin, pour les analyser & les dé
vais acteur que détestable Auteur, qu’il refuse sa personne comme ses
ouvrages
, & qu’il se trompe s’il pense que des comédie
article qu’en rapportant quelques vers pris dans l’Epitre à l’Envie,
ouvrage
de M. de Voltaire. C’est ainsi que la terre avec
huit syllabes, par M. Boucher, Auteur qui n’est connu que par ce seul
ouvrage
. En voici le précis. Boniface, pere de Lise, veu
l’adresse qu’ont les Philosophes d’insérer des traits hardis dans les
ouvrages
qu’ils dictent à la vieille folle, & qu’elle
p d’essai. Cidalise cherche une préface pour mettre à la tête de son
ouvrage
, essaie plusieurs tournures, brusque son Secrétai
e sa main de très mauvaise grace, mais qu’il s’en moque. On parle des
ouvrages
de Cidalise. Valere méprise celui qui a pour titr
ge. Dortidius, sérieusement. Entre nous, cependant c’est son meilleur
ouvrage
. Le crois-tu de sa main ? Valere. Le crois-tu de
’un objet indéterminé ». Nous avons dit dans le second volume de cet
Ouvrage
, Chapitre XV, à quoi ressemblent le Rival par res
fait ? 33. Fils d’un Armurier du Roi : l’Amant Prothée est son seul
ouvrage
. 34. On lisoit dans une maison particuliere les
entielle de l’art d’écrire, le style qui est le garant du succès d’un
ouvrage
, ne se ressentira-t-il pas de la disette de l’aut
geois, le Chevalier à la Mode ? Ainsi, les auteurs de ces différents
ouvrages
ont enrichi le théâtre de nouvelles découvertes,
en convertissant son personnage, un auteur détruit lui-même tout son
ouvrage
; il ne peut atteindre le véritable but. Au théât
On appelle intérêt tout ce qui attache ou l’esprit ou le cœur. Un
ouvrage
dramatique qui manque par l’intérêt, quelque méri
rand mérite, professer une opinion toute contraire sur les plus beaux
ouvrages
de la scène, la soutenir même par des raisonnemen
nstante de ceux qui travaillent pour nos petits théâtres ; tous leurs
ouvrages
réussissent ; leurs spectateurs accoutumés versen
. Analyse du Misanthrope. Me voilà parvenu à l’examen d’un des
ouvrages
les plus parfaits qu’ait jamais conçus l’esprit h
enne à la fin d’un vers remplir la place vide. Ainsi, recommençant un
ouvrage
vingt fois, Si j’écris quatre mots, j’en effacera
n repos n’avoir jamais écrit. Tous les jours malgré moi, cloué sur un
ouvrage
, Retouchant un endroit, effaçant une page, Enfin
son nom verser la Chanmeslé. Ne crois pas toutefois, par tes savants
ouvrages
, Entraînant tous les cœurs gagner tous les suffra
élicats se laissent pénétrer. Et plût au Ciel encor, pour couronner l’
ouvrage
Que Montauzier voulût leur donner son suffrage. C
, 1861, p.244 et suivantes. 4. Taschereau, Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière. – Geoffroy, Cours de littérature dram
e du Dauphin. — Mme de Sévigné, Lettre du 4 août 1677. — Amédée Roux,
ouvrage
cité. — Le Père Petit, Biographie de Montausier.
ère d’Alceste a été l’objet depuis Molière jusqu’à nos jours. Dans un
ouvrage
récent, Montausier ou un misanthrope à la cour de
également vraies et ne peuvent convenir qu’à lui seul. » 11. Bazin,
ouvrage
cité, p. 143 12. On trouve le portait suivant da
, Nouveaux portraits. M. Sainte-Beuve dit encore dans son remarquable
ouvrage
Port-Royal, 2e édition, t. III, p. 226 : « Molièr
0. E. Geruzez, Études littéraires, 7e édit., p. 208. 31. Taschereau,
ouvrage
cité. 32. Ibid. 33. « Il est de mes amis. » (L
imer... Elle regardait cet endroit comme un trait indigne d’un si bon
ouvrage
. Mais Molière avait son original, il voulut le me
v. —Segraisiana, 1721, 1re partie. —-Grimarest, p. 202. — Tascheneau,
ouvrage
cité, livre III. « Le Misanthrope garde encore a
tout le monde reconnoît au ton noble & décent qui regne dans ses
ouvrages
, a distribué son terrein en deux parties : l’une
it des fables d’action double, on doive les imiter, & citer leurs
ouvrages
comme des modeles qu’on peut suivre. On a beau dé
gé, pour le Théâtre Italien, vingt-six canevas. Indépendamment de ses
ouvrages
dramatiques, nous avons de lui une histoire raiso
tion ; des observations sur la comédie & sur le génie de Moliere,
ouvrage
dont il est souvent question dans celui-ci ; des
érents Théâtres de l’Europe, avec des pensées sur la déclamation ; un
ouvrage
intitulé la Réformation, dans lequel il a souvent
cour spirituelle et galante. Il composa pour elle une foule de petits
ouvrages
remplis de grâce et de fraîcheur. On n’y voit poi
était un grand crime ; et M. Laujon déposa par prudence ces dangereux
ouvrages
chez son ami M. Després ; mais, peu de temps aprè
étonner les hommes les plus délicats. Le théâtre doit à M. Laujon des
ouvrages
agréables. Églé et l’Amoureux de quinze ans sont
yant imité les Grecs, n’ont point eu de théâtre national ; encore les
ouvrages
de Plaute et de Térence sont-ils d’excellents suj
e ; mais je ne la nommerai point, parce que, s’il est certain que cet
ouvrage
a signalé des sophistes dangereux, il n’est pas m
ers. D’ailleurs la gloire d’un comique y gagne considérablement. Si l’
ouvrage
peint l’homme de toutes les nations, on le tradui
sans contredit que celle du Malade imaginaire ; cependant le dernier
ouvrage
est certain de plaire chez un plus grand nombre d
e de ceux qui le sont par le fond seulement : on ne traduira pas leur
ouvrage
, mais on leur fera l’honneur de l’imiter ; c’est
s galantes, le cœur d’une Princesse. Nous passerons légérement sur un
ouvrage
que Moliere composa uniquement pour la Cour, qu’i
marquer les imperfections que j’ai cru voir dans quelques-uns de ses
ouvrages
, me fait donner ici la préférence à l’imitation d
deux scenes rapportées dans ce chapitre sont les plus charmantes des
ouvrages
dont elles font partie : preuve incontestable que
le ne dira pas comme Armande, Nous serons par nos loix les juges des
ouvrages
: Par nos loix prose & vers, tout nous sera s
u de bel esprit chez elle, où l’on jugera en dernier ressort tous les
ouvrages
nouveaux ; où elle ne manquera pas de critiquer l
e borne à changer seulement le vernis d’un tableau, il ne fait pas un
ouvrage
bien estimable. D’ailleurs Harpagon, forcé de don
n voit bien que ce trait ne regarde ni les excellents articles de cet
ouvrage
, ni les véritables Philosophes qui s’y sont immor
nsupportable que l’ignorance. Nul n’a jugé plus sainement que lui des
ouvrages
de l’esprit ; nul n’a mieux compris combien ils é
vre185. Molière et Boileau ont servi la morale en séparant, dans les
ouvrages
de l’esprit, le bon or du faux 186, et en frappan
utile quand elle proscrivait, de par le ridicule et le bon sens, tout
ouvrage
Où la droite raison trébuche à chaque page188.
d., act. I, sc. I. 134. Voir J. Tachereau, Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, liv. II ; A. Bazin, Notes historiques
sur la vie de Molière, 2e part. 162. La Bruyère, Les Caractères, Dès
ouvrages
de l’esprit. 163. Voir plus haut, chap. II, p.
eur (Psyché, 1671) ; mais ce fut par nécessité et par ordre, dans des
ouvrages
auxquels son insouciance l’empêchait d’attacher a
éforme scolaire se trompent (J. Taschereau, Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, liv. II). Molière ne se proposait pas
Molière. Souvent Collin m’en parle. La Jeune Thalie. À ses nombreux
ouvrages
Molière ne pourrait refuser ses suffrages. Moliè
que de la comédie, si Molière lui-même y voyait représenter certains
ouvrages
qu’il n’a pu que lire sur les tristes bords du Lé
vivants aux morts, trouverait-on dans tout le théâtre de Dancourt des
ouvrages
tels que Médiocre et Rampant, le Collatéral, l’En
pas l’honneur de connaître M. Picard ; mais ayant à retracer dans un
ouvrage
que je me propose de publier incessamment les mœu
émocrite amoureux Nous l’avons remarqué dans le premier volume de cet
ouvrage
, Chapitre XXIII, des Reconnoissances. Les héros d
AMOUR CASTILLAN. Nous avons encore vu dans le second volume de cet
ouvrage
, Chapitre XIX, des Pieces intriguées par un dégui
en forcé, s’il n’est tout-à-fait invraisemblable. Quant au reste de l’
ouvrage
, le Romancier a fourni le fonds, & même des s
aire passer tout cela dans une piece ? celle de changer le titre de l’
ouvrage
, voilà tout. Au lieu que pour transplanter sur no
la société, qui ne font que dialoguer des romans, qui pillent de bons
ouvrages
pour en parer de mauvais ; ceux enfin qui font pa
t pourquoi j’aurais mauvaise grâce de ne vous pas dire du bien de ses
ouvrages
, puisque tout le monde en dit, et je ne puis, san
s. Mais pour retourner au fameux comédien dont vous m’avez parlé, ses
ouvrages
n’ayant pas tout le mérite de sa personne, vous m
nt, puisque, par une bonté naturelle, il loue indifféremment tous les
ouvrages
qu’il voit et tous ceux que l’on lui montre en pa
de la gloire pour eux que l’on reconnût leurs impertinences dans ses
Ouvrages
et que l’on dît même qu’il avait voulu parler d’e
ue l’on peut, et même avec quelque sorte de succès, attaquer de beaux
Ouvrages
et en défendre de mé chants, et que l’esprit para
rmi les farces une petite comédie qui n’appartient point à ce genre d’
ouvrages
. Notice historique et littéraire sur Les Femme
prouver que Les Précieuses ridicules et Les Femmes savantes, ces deux
ouvrages
dont, en quelque sorte, l’un ouvre et l’autre fer
loya ni autant de temps ni autant de soin à l’exécution d’aucun autre
ouvrage
. Dans aucun autre, en effet, la versification n’e
le fond était trop stérile pour qu’il pût en sortir autre chose qu’un
ouvrage
languissant et froid, où le défaut d’action entra
actères. La prévention avait fasciné les yeux à ce point, qu’on vit l’
ouvrage
, non pas tel qu’il était, mais tel qu’on se l’éta
t scrupule de se nommer eux-mêmes, et de nommer les autres dans leurs
ouvrages
. On ne peut le nier, lorsque, sur le théâtre, on
fet, de la publicité des livres les plus répandus, à la publicité des
ouvrages
dramatiques : l’une, s’adressant à des lecteurs i
urel, sans grâce et sans facilité. Ainsi madame Necker, quoique aucun
ouvrage
sorti de sa main, ou du moins portant son nom, n’
ne, à qui l’on ne peut comparer que Nicole, a une place à part dans l’
ouvrage
, et il est impossible de la passer sous silence.
as le compte des libraires étrangers, toujours prêts à multiplier les
ouvrages
français, à leur profit et au détriment de nos au
ait monter à soixante-deux le nombre total des représentations. Aucun
ouvrage
de Molière n’en avait eu autant dans sa nouveauté
s goûts ; c’était surtout laisser sans appui un théâtre qui était son
ouvrage
, et des comédiens qu’il regardait comme ses enfan
nnocent faire un crime d’État. Vous aurez beau vanter le roi dans vos
ouvrages
, Et de ce nom sacré sanctifier vos pages ; Qui mé
santerie bien raffiné, est du moins gaie et dans le ton du reste de l’
ouvrage
. L’escrime qui, du temps de Molière, était un art
oir fait mouvoir lui seul tous les ressorts d’une machine, laisse son
ouvrage
imparfait, & ne contribue point au dénouement
ers à ma louange. Voilà de vos arrêts, Messieurs les gens de goût ! L’
ouvrage
est peu de chose, & le seul nom fait tout. Oh
nner un juste embonpoint ». D’accord. Mais voulez-vous donner à votre
ouvrage
un embonpoint qui ne lui soit pas contraire, mari
du monde poli70 : personne ne les souffrirait maintenant, ni dans un
ouvrage
de littérature, ni au théâtre, ni dans la convers
ut accusé d’obscénité par Jurieu. Il se défendit par la nature de son
ouvrage
; mais il avoua que ces mots dont on lui reprocha
à leur réprobation. Molière et Boileau ont eux-mêmes rayé dans leurs
ouvrages
quelques-uns de ces mots, d’après la critique qu’
leurs mouvements naturels. » 134. Selon Pierre Bonvallet, dans son
ouvrage
Molière de tous les jours, elle serait apparu dan
e tous les jours, elle serait apparu dans La lettre sur la vie et les
ouvrages
de Molière, et sur les comédiens de son temps en
au Historique en 1785. L’anecdote fut reprise par Taschereau dans son
ouvrage
Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, 18
fut reprise par Taschereau dans son ouvrage Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière, 1825. (Pierre Bonvallet, Molière de t
elles l’homme de bien est quelquefois exposé ; & je lui dis qu’un
ouvrage
dramatique dont ces épreuves seroient le sujet, f
du Fils naturel en cinq ; & mon dessein n’étant pas de donner cet
ouvrage
au théâtre, j’y joignis quelques idées que j’avoi
e l’invite à choisir parmi celles qui restent, & à en composer un
ouvrage
qui puisse nous plaire. « Je voudrois bien qu’on
coudes appuyés sur la table, & la tête penchée sur sa main : son
ouvrage
étoit tombé à ses pieds. J’entrai sans qu’elle m’
ne rapporterons pas la scene, parceque, dans le premier volume de cet
Ouvrage
, Chapitre XI du Dialogue, nous l’avons mise à côt
les , les longs verbiages d’amour commencèrent à être en vogue. Cet
ouvrage
, dit-il, en fit faire une foule d’autres qui enc
eu vieilli. Plusieurs causes ont concouru au prodigieux succès de cet
ouvrage
, dont la publication dura quinze ans. Un écrit de
ée furent reçues du public avec la même faveur que la première. « Ces
ouvrages
, dit Huet, furent reçus du public avec un applaud
Le Comte a la manie des gens d’esprit : il meurt d’envie de lire ses
Ouvrages
, & la satisfait tout en plaisantant ses parei
citer sans que vous me le demandiez, tant la démangeaison de lire ses
ouvrages
est un vice attaché à la qualité de poëte. SONNE
ti prend l’Auteur ? Il fait du Misanthrope le principal mobile de son
ouvrage
; il y joint en même temps les caracteres de la p
trois classes différentes. Celles qui font simplement la critique des
ouvrages
, & qui n’en veulent qu’à l’esprit. Celles qui
Muse chansonniere, avec ordre d’interdire l’entrée du Parnasse à tout
ouvrage
qui n’en sera pas digne. La Muse n’ignore pas la
Muse. Cela répond mieux au titre des Dehors trompeurs. Air. Ce bel
ouvrage
d’esprit Bien écrit, Où les plus beaux traits pé
lette des Dames, avec une liste détaillée de tout ce qui la compose ;
ouvrage
immense & digne de la curiosité publique. Tro
age plus désirable et plus flatteur que le culte intelligent de leurs
ouvrages
. Grace donc à cette heureuse pensée, conçue et m
as ! était alors nécessaire pour rouvrir la scène à un aussi charmant
ouvrage
; mais on conviendra que l’œuvre diplomatique et
la seule autorité, dit simplement, dans son Mémoire sur la vie et les
ouvrages
de Molière, « qu’on, fut blessé de quelques trait
la mise en scène, si ce n’est qu’elle égale le soin apporté à tout l’
ouvrage
? Je regretterais pourtant la beauté des décorati
re du théâtre-Français, t. XII, p. 61. 2. Mémoire sur la vie et les
ouvrages
de Molière. 3. Louis XIV aurait bien dû sommer c
l peut servir au besoin à consoler la vanité de quelque auteur dont l’
ouvrage
n’aura pas été accueilli au gré de ses espérances
s que j’attaque ici une centaine de recueils d’anecdotes, et autant d’
ouvrages
de critique littéraire. Je n’ai qu’une arme ; mai
t cessé de jouer la première, le fut onze fois de suite avec d’autres
ouvrages
; après quoi, les deux pièces furent données ense
Philinte de Molière, on put admirer du moins un égoïste véritable. L’
ouvrage
serait achevé peut-être, si l’auteur, n’empruntan
ns dramatiques, cette simplicité et cette lenteur dans la marche de l’
ouvrage
étaient autant de conditions nécessaires : une co
paysans dans ses grandes pièces, si l’on excepte Le Festin de Pierre,
ouvrage
sans conséquence, où il s’est affranchi de presqu
le zèle avait été mal secondé par son génie, s’empressa d’anéantir un
ouvrage
fait à la hâte, dont rien ne pouvait déguiser ni
lieu et de Mazarin. Ce titre seul, le Siècle de Louis XIV, donné à un
ouvrage
qui n’est que l’histoire du règne et non du siècl
u dauphin avant de songer à Bossuet. Cette éducation nous a valu deux
ouvrages
immortels ; mais s’il n’eût pas eu à écrire pour
es années, cette merveilleuse Athalie, si différente de ses précédens
ouvrages
, si peu comprise par les contemporains, il faut a
cadence. Quant aux inspirations nouvelles que l’on rencontre dans son
ouvrage
, et qui semblent un pressentiment du XVIIIe siècl
annoncé sous Mazarin, mais qui ne publia que plus tard ses principaux
ouvrages
, c’est avant tout un critique, épris d’une double
la fortune ; les rentes qu’il fait à ses écrivains, en achetant leurs
ouvrages
, sont bien autre chose que les maigres générosité
comédien ordinaire du roi dans sa troupe italienne, 1698, chap. 25. L’
ouvrage
est dédié à Madame, duchesse d’Orléans.) J’admets
leur Nation transplanté en Allemagnek. Il est plus difficile dans un
Ouvrage
de cette nature que dans d’autres de communiquer
uripides. Cette Dispute a fait naître de part & d’autre plusieurs
Ouvrages
, où l’on peut apprendre de très-bonnes choses. Ma
p; l’on ne sait quand elle viendra. Je croi pouvoir dire qu’en fait d’
Ouvrages
de plume, il n’y a gueres de choses où tant de ge
, & peut-être n’a-t-il rien fait de meilleur en matiere de petits
Ouvrages
. Considérez bien ces quatre Vers : il s’adresse à
de la chose qui leur étoit la plus nécessaire pour bien juger de cet
Ouvrage
. Ils n’ont point connu qu’il doit servir à toutes
il avoit été le Chef.] Voici ce que j’ai trouvé sur ce sujet dans un
Ouvrage
de Mr. Chappuzeau. Cette troupe avant que d’être
e le défendre ; je m’en vengerai peut-être assez dans le reste de cet
ouvrage
. Je conviens d’abord qu’on trouve plus d’amants t
’assister à sa toilette. La basse complaisance qui vous fera lire vos
ouvrages
à un ignorant titré, vous rendra l’ordonnateur de
qu’ils ont cru par-là ajouter beaucoup au comique ou au moral de leur
ouvrage
. Voyons donc l’effet que peuvent produire des nom
a toujours été connu sous le nom de Tout-voix. Un Auteur qui, dans un
ouvrage
à prétention, feroit usage de ces différents noms
e peine ; je sais encore moins pourquoi on les imprime à la tête de l’
ouvrage
. Il est des noms qui servent à intriguer la piece
pere avoit été Directeur de la Monnoie à Riom. Il a mis dans tous ses
ouvrages
des graces minaudieres qui lui ont enlevé pour to
à une sotte guerre, & me détourner, par cet artifice, des autres
ouvrages
que j’ai à faire : & cependant vous êtes asse
e ce vers et les suivants n’ont trait qu’à la censure exercée sur les
ouvrages
dramatiques. Nous nous plaisons à reconnaître la
ortance des travaux d’un ministre ne le condamnent pas à l’examen des
ouvrages
soumis à l’approbation de la Police, et les fonct
demandons pas la licence du Théâtre, plus dangereuse encore dans des
ouvrages
dramatiques que dans des écrits destinés à moins
de la Police jugent sans appel les productions du génie. Que tous les
ouvrages
reçus au Théâtre soient soumis à la censure, mais
e Télemaque sera ou ne sera point un poëme, il n’en sera pas moins un
ouvrage
excellent. On disputoit à Adisson que le Paradis
’Aristophane l’étoit peu. On ne peut, sans regretter sensiblement les
ouvrages
de ce poëte, lire l’éloge qu’en a fait Plutarque,
st joüé à Paris cette présente année mil cinq cent quarante-ung. Cet
ouvrage
fut commencé vers le milieu du xv. siecle par Arn
t en 1699. Nous n’avons dans ce genre que le Carnaval & la Folie,
ouvrage
de la Mothe, fort ingénieux & très-bien écrit
en 1704, qui soit resté au théatre. La musique est de Destouches. Cet
ouvrage
n’est point copie d’un genre trouvé. La Mothe a m
mp; c’est presque un genre neuf qu’il a créé. C’est dans ces sortes d’
ouvrages
qu’il a imaginés, où il a été excellent. Il étoit
er dans la suite de cet article, pour satisfaire à la nature de notre
ouvrage
. Voyez Geste, Déclamation, Intonation, &c.
uveront mauvais le dénouement ; tant mieux pour l’auteur & pour l’
ouvrage
. Le genre comique François, le seul dont nous tra
re odieux. Ce poëte a imprimé tellement son caractere personnel à ses
ouvrages
, qu’il leur a presque ôté celui de leur genre. Il
l’ame : mais il s’agit ici seulement de le considérer du côté de ses
ouvrages
, & d’en chanter tout le mérite. Né avec un be
& Moliere sont morts. (D. J.) POURPOINT POURPOINT, s. m. (
Ouvrage
de Tailleur.) le pourpoint est un vêtement dont o
ourte transition qu’on appelle la comédie moyenne, Ménandre, dont les
ouvrages
sont perdus, créa la nouvelle comédie, et la port
x un plus bel idéal qu’eux tous. Platon a écrit sur la politique deux
ouvrages
, l’un, intitulé la République, où il expose la th
de l’antiquité avait adopté la constitution développée dans le second
ouvrage
de Platon, les citoyens de cette ville auraient é
re de grands mots, » prétendent être, « par leurs lois, les juges des
ouvrages
» ; elles font des « règlements » nouveaux et des
grand modèle grec66. À la faveur de la perte à jamais regrettable des
ouvrages
de Ménandre, et grâce à l’ignorance des critiques
rop naïvement leur ridicule : Nous serons par nos lois les juges des
ouvrages
. Par nos lois, prose et vers, tout nous sera soum
e léger ils ont pris le poste d’honneur de la pédanterie ; pour qu’un
ouvrage
leur inspire de l’estime, il faut qu’il porte l’e
tombée, on verra de quel danger est menacé l’auteur comique dont les
ouvrages
n’ont pas de base poétique, et sont fondés unique
st, avec un événement véritable. — Septième leçon. 39. Pour qu’un
ouvrage
soit poétique, il faut premièrement qu’il forme u
. Une pièce telle que Le Désespoir de Jocrisse peut passer pour un
ouvrage
classique qui a gagné la palme de l’immortalité.
uteur français aurait surpassé les Grecs eux-mêmes, supposé que leurs
ouvrages
fussent parvenus jusqu’à nous. — Douzième leçon.
senté vingt et une fois de suite, nombre de représentations auquel un
ouvrage
atteignait difficilement alors, Le Misanthrope se
ns peut-être pas tant de précautions à prendre pour la lecture de ses
ouvrages
. Pour devancer les autres comme il a fait, il s’e
e répandue que le seul Molière avait pour en assaisonner les moindres
ouvrages
. M. Despréaux et M. Pradon ne sont pas les seuls
, qu’à son sens c’est le plus achevé et le plus singulier de tous les
Ouvrages
comiques qui aient jamais paru sur le théâtre9. N
t fort joli, vraiment, que, dans les quatre parties du monde, où leur
ouvrage
parviendra sans contredit, on vît que l’Auteur a
balcon ; mais elle y étoit occupée à recevoir, à l’aide de son sac à
ouvrage
pendu au bout d’un ruban, une lettre d’un quatrie
imprécations contre l’Amour, les femmes, les balcons & les sacs à
ouvrage
. La quatrieme dupe demanda la raison de tout cela
l’air naturel qu’auroit sa promenade mise en action, & son sac à
ouvrage
descendu par le balcon. Tout au contraire, ils se
omédie de l’Avare, quatre Scenes qui soient inventées par Moliere. Un
ouvrage
, dit M. Riccoboni dont je tire cet article, un ou
ar Moliere. Un ouvrage, dit M. Riccoboni dont je tire cet article, un
ouvrage
aussi singulier & aussi difficile, car je sui
ujours quelque chose de saillant & d’instructif dans ses moindres
ouvrages
, (Bolœana) XXVI. Moliere récitoit en Comédi
Gio-Ludovico Gleditsels. Cette traduction doit être regardée comme un
ouvrage
très-médiocre.
evé avec l’envie de faire une Tragédie. Il donne la derniere main à l’
ouvrage
, quand Dumont, voyant son maître dans les transpo
ose lui parler de son amour ; mais il peint sa passion dans de petits
ouvrages
qu’il a soin de faire tomber sous sa main. Il cor
mangent dès que je vois écrire : aussi porté-je toujours avec moi mon
ouvrage
. Allons, cédons au noble transport qui nous anime
ce peut être. Eraste. Le désagréable métier que celui de corriger des
ouvrages
! Voilà déja plus de dix fautes dans le premier f
Frontin. Comment diable ! j’écris comme un ange ! Si cela continue, l’
ouvrage
sera court : je n’en ai fait que trois pages, &am
, & de Marseille à Toulon. Eraste. On a bien raison de dire qu’un
ouvrage
n’est pas encore achevé quand il est entre les ma
elle personnification est de date toute moderne. Un écrivain dont les
ouvrages
sont une source inépuisable d’idées neuves et pat
re. Pour le comprendre tout entier, il ne suffit pas de connaître ses
ouvrages
, il faut connaître sa vie. Sans cette étude préli
ertu et par le génie, après une étude consciencieuse de la vie et des
ouvrages
de Molière, vint dire à la France : cet homme qu’
tte manifestation spontanée d’une noble pensée, dut être fière de son
ouvrage
, car c’était bien là son ouvrage : elle avait don
noble pensée, dut être fière de son ouvrage, car c’était bien là son
ouvrage
: elle avait donné l’impulsion. Et quelle joie de
sion cruelle qui fit le tourment de sa vie, et le charme de ses beaux
ouvrages
; en un mot, elle a compris le poète, elle a pein
e œuvre, péristyle modeste, qu’elle veut bien placer à la tête de son
ouvrage
, et que les lecteurs avides de beaux vers ne saur
t, aucune de leurs partitions n’étant restée. M. Eugène Sauzay cite l’
ouvrage
de Justin Cadeaux, « représenté à l’Opéra-Comique
s représenté qu’il faut dire, c’est tout simplement présenté, car cet
ouvrage
, reçu d’abord et même goûté de M. Perrin, ne fut
ent admirer aussi. Heureux & mille fois heureux l’Auteur dont les
ouvrages
peuvent ainsi contribuer aux plaisirs des Rois, &
es, très vieux & très bon. Voyons ce qui a quelque rapport avec l’
ouvrage
de Moliere. Célio, marié secrètement à Rosaura,
t-il pas de mauvaises ? Quoi qu’il en soit, il est essentiel pour mon
ouvrage
, que des imitations les plus anciennes je passe a
vers. J’ai vu sur un écran, & dans l’Esprit des Conversations,
ouvrage
de Gayot de Pitaval, une histoire qui a beaucoup
avons cité quelques Auteurs vivants, dans les premiers volumes de cet
ouvrage
, nous avons toujours laissé au Lecteur le droit d
taines règles fondamentales, et toutes ces règles se trouvent dans un
ouvrage
que je viens de publier, et qui est le dernier mo
verselle aberration au sujet de la Poétique, comme de tous les autres
ouvrages
de ce grand homme. Aristote n’avait pu faire, et
e détruire et qui n’a rien fondé. Lorsque Kant faisait ses admirables
ouvrages
de critique, ce n’était pas pour que les philosop
« salmigondis de Dante qu’on a pris pour un poème », de « cet énorme
ouvrage
où se trouve une trentaine de vers qui ne déparer
gnes de cette science. Nous pouvons placer en tête ou à la fin de nos
ouvrages
un hymne à la Nature ; mais il suffira de célébre
de notre réflexion, dans l’histoire littéraire, un seul fait, un seul
ouvrage
assez capricieux, assez étrange, pour ne pas rent
02 », qualem non candidiorem terra tulit 403, qui, pour composer ses
ouvrages
, s’enfonçait dans la campagne avec son chien, les
n homme de goût, l’artiste en profiterait, car il y a du bon dans son
ouvrage
. À la prochaine Exposition ? il nous donnerait qu
présentât et remplît la fonction du chœur antique438, il ajouta à son
ouvrage
les fameuses tirades de Cléante, qui firent, cinq
s dirai hardiment que toutes les tragédies grecques me paraissent des
ouvrages
d’écoliers, en comparaison des sublimes scènes de
urs sur Théophraste : « Que si quelques-uns se refroidissent pour cet
ouvrage
moral par les choses qu’ils y voient, qui sont du
siècle. 439. V. page 82. 440. Louis Moland, Molière, sa vie et ses
ouvrages
. 441. Louis Moland, ibid. 442. Date donnée par
450. Michelet, Louis XIV. 451. Louis Moland, Molière, sa vie et ses
ouvrages
. 452. Roederer, Mémoire pour servir à l’histoire
rtin, Histoire de France. 455. Taschereau, Histoire de la vie et des
ouvrages
de Molière. 456. Guy Patin. 457. Voyez Les Méde
le grand Corneille. Au moment où ce grand homme parut, trois genres d’
ouvrages
dramatiques défrayaient le théâtre : la tragédie,
st la première et la meilleure. Aucune de ces pièces ne vaut les bons
ouvrages
de Lope ; mais, comparé à ce qui se faisait alors
it pas plus ; et la preuve, c’est le succès de Mélite, le premier des
ouvrages
de Corneille, lequel n’excita guère moins d’appla
sonnage principal et la légèreté de la pièce, comparé à tant de vains
ouvrages
sans invention et mal écrits qui défrayaient alor
Mais il a suffi d’une absence de huit jours pour détruire tout ce bel
ouvrage
. Au retour d’Arnolphe, la simple Agnès est amoure
surpasser. Molière y venait de lui-même par ce mécontentement de ses
ouvrages
, qui est la marque, dans un esprit de cette tremp
as à faire vivre sa troupe ? Ne fallait-il pas trop de temps pour des
ouvrages
travaillés ? Le publie y prendrait-il le même pla
ouvrages travaillés ? Le publie y prendrait-il le même plaisir qu’aux
ouvrages
légers ? S’il se résigna enfin à faire mieux que
relire. Les changements même que la langue a reçus ou subis dans les
ouvrages
d’esprit ont profité à Molière. On fait des vocab
ièce du fichu de dentelles que porte Elmire, de ce « point » dont « l’
ouvrage
est merveilleux », prête à la femme d’Orgon un vê
rappelée, et dernièrement encore par M. Zola dans un feuilleton sur l’
ouvrage
nouveau de M. Jullien, Histoire du costume au thé
nion de son siècle a l’air de faire fausse route dans la critique des
ouvrages
d’esprit, il la ramène sur la voie. La comédie de
nu à qui le modeste Racine ne pardonnait pas le bruit insolent de ses
ouvrages
. Ah ! qu’il lui eût voulu moins d’insolence ! qu’
’étranger, surtout à la France, à compléter le répertoire. Les grands
ouvrages
de MM. Dumas, Augier, Sardou n’ont qu’à paraître
et se met à dessiner en hâte. Il n’avait pas tout à fait terminé son
ouvrage
quand un petit sifflement sec, tranchant, résonne
d’or », fait tout d’abord penser à la première représentation de cet
ouvrage
, qui a eu lieu en 1661 ; mais le mardi ne se trou
successeur des Comiques anciens, « Encor plus grand si dans tous ses
ouvrages
, « Il eût osé dédaigner les suffrages « Des fats
au courant de tout ce qui se passait à la Cour et à la Ville, et des
ouvrages
nouveaux. En peu de temps, il était parvenu à pre
condition, et qui, par une erreur d’esprit, donnait au mérite de ses
ouvrages
et de ses notions, ce qu’elle ôtait au droit des
derne, qui me semble le terme juste), le grand Comique cite aussi des
ouvrages
ridicules de son temps auxquels il assure ainsi (
rains de Pibrac, et les doctes Tablettes « Du conseiller Mathieu ; l’
ouvrage
est de valeur « Et plein de beaux dictons à récit
s. C’est Corneille, dans Les Fâcheux : « Je sais par quelles lois un
ouvrage
est parfait, « Et Corneille me vient lire tout ce
neille me vient lire tout ce qu’il fait. » C’est Lulli, dans le même
ouvrage
: « Baptiste le
rsonnages célèbres à d’autres titres que Molière mentionnera dans ses
ouvrages
. C’est Barbin, le libraire du Palais, le Michel-L
on d’or, fait tout d’abord penser à la première représentation de cet
ouvrage
, qui a eu lieu en 1661 ; mais le mardi ne se trou
ène du Marais expliquera suffisamment ce long retard. On sait que cet
ouvrage
fut composé pour Alexandre de Rieux, marquis de S
n du Neubourg, pour célébrer la paix, une fête dont ses machines et l’
ouvrage
de Corneille devaient faire le principal ornement
encouragèrent à reprendre son travail, puisque nous verrons bientôt l’
ouvrage
représenté au complet ; mais, de l’œuvre achevée
, Paris, Tross, 1861, in 8º (Lettre V, p. 68-73). Ce très intéressant
ouvrage
étant d’une extrême rareté, comme toutes les œuvr
on et l’autre à Béziers. Mon ami Claretie ayant dit dans son charmant
ouvrage
Molière, sa vie et ses œuvres (1873) : « Je ne pa
accompagnait : « Le 26 décembre, dit M. Loiseleur dans son excellent
ouvrage
: Les Points obscurs de la vie de Molière (p. 173
mpertinents (Les Amants maussades, ou les Impertinents). Il dédia cet
ouvrage
au duc de Newcastle, et dans sa préface, où il pr
e Lyon, ont parlé longuement de Nicolas Desfontaines. 47. Brouchoud,
ouvrage
cité. Le même écrivain dit, p. 45 : « En présence
s : le public, qui, à la longue, se rend toujours au bon, donna à cet
ouvrage
les applaudissements qu’il mérite. On comprit alo
ux de mots, les pointes, les épigrammes dont ils veulent remplir leur
ouvrage
, n’ont pas le moindre sel en prose. Ne croyons ni
angements essentiels en peu de temps l’étourdira sur les défauts de l’
ouvrage
, & la chûte s’ensuivra. Les beaux esprits dis
le premier par ses poésies, & le second par ses voyages, par ses
ouvrages
philosophiques, & sur d’autres matieres. Cett
médies de Moliere, & de mémoires instructifs sur la vie & les
ouvrages
du même comique. On a mis dans le dernier volume
la jouer le temps le plus favorable de l’année ; on l’étaie avec des
ouvrages
excellents ; l’Auteur achete les trois quarts du
IMPERTINENT, en cinq actes & en vers. Cette piece, le premier
ouvrage
dramatique de l’Auteur, est imitée d’une Nouvelle
ira le titre. LE DISSIPATEUR, en cinq actes & en vers. Cet
ouvrage
est imité d’une piece de Shakespeare, intitulée T
le principal rôle. Nous avons remarqué (dans le second volume de cet
Ouvrage
, Chapitre XXXIX, de l’action dans les pieces à ca
l’Auteur n’ait pas employé le même ton, le même coloris pour tous ses
ouvrages
dramatiques, & qu’il ait donné la préférence
elle dans le roman de Don Quichotte ; c’est dans la traduction de cet
ouvrage
que nous allons puiser. 21. Moliere dit dans l
serent ensemble la plus grande partie de leurs pieces ; puisque leurs
ouvrages
sont réunis dans le même recueil, nous allons con
s seulement qu’ils furent heureux lorsqu’ils résolurent d’imiter deux
ouvrages
auxquels ils doivent leur gloire la plus solide.
es Scenes des deux pieces comparées. Les principales scenes des deux
ouvrages
sont celles où Patelin cajole M. Guillaume pour l
épens de leur faiseur, nous disons avec raison, qu’ils ont fait leurs
ouvrages
avec leur teinturier. Dans la premiere piece, lor
pour celle d’Agnelet ? & ce dénouement forcé ne range-t-il pas l’
ouvrage
dans la classe des farces, malgré la bonne volont
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