ésite point à prononcer sur les titres de cette espece, ils sont tous
mauvais
. Tel est celui du Dépit Amoureux & du Festin
is nations différentes, aient puisé le titre d’une piece dans la plus
mauvaise
, la plus ridicule de ses scenes : c’est celle où
sans obstacle, de Destouches : ces titres sont non seulement toujours
mauvais
, mais ils peuvent encore prévenir le spectateur c
nnoncent un Caractere & une Intrigue. Titres encore toujours
mauvais
. Exemple. L’Etourdi ou les Contre-temps de Molier
Dénouement. On ne peut pas dire que ces titres soient précisément
mauvais
; mais ils sont mal-adroits, & je vais le pro
titres qui peuvent être excellents, médiocrement bons, ou tout-à-fait
mauvais
, selon qu’ils tiennent plus ou moins ce qu’ils pr
t servir d’exemple : mais les uns sont bons à suivre, les autres sont
mauvais
. Dans l’Asinaire, un jeune homme a besoin d’argen
t née à Paris pour être coquette ? non sans doute : le titre est donc
mauvais
. Dans les deux dernieres pieces, Arlequin & l
e titre est donc bon. Il est inutile de citer un plus grand nombre de
mauvais
titres : le lecteur en doit tant connoître !
ès comique. Polidore et Albert, craignant de s’annoncer tous deux une
mauvaise
nouvelle, et se demandant réciproquement pardon,
ème scène du premier acte du Malade imaginaire. LE BAL. La plus
mauvaise
des comédies de Regnard : rien à imiter, que le r
r se laisse mal mener et veut ensuite le faire dégainer. La pièce est
mauvaise
. Le rôle du marquis est un rôle de fat bien soute
E. Il faudrait, je crois, le réduire. LE FAUX HONNÊTE HOMME.
Mauvaise
pièce. LE FAUX INSTINCT. Mauvaise pièce, ma
LE FAUX HONNÊTE HOMME. Mauvaise pièce. LE FAUX INSTINCT.
Mauvaise
pièce, mais pleine d’esprit et d’intrigue. LE
lire et connaître comme lés pièces de Molière. LE FAUX SINCÈRE.
Mauvaise
pièce. DANCOURT. LE CHEVALIER À LA MODE.
et le mieux peint. LA MAISON DE CAMPAGNE. Très comique et bien
mauvaise
pièce. LES BOURGEOISES À LA MODE. Bonne com
L’AMANT DE SA FEMME. Joli sujet, mal traité. L’IMPATIENT.
Mauvaise
pièce, où le rôle de l’impatient est très bien fa
TROMPEURS. La meilleure de Boissi. LA SURPRISE DE LA HAINE.
Mauvaise
pièce. La sixième scène du second acte, où Arlequ
légèrement. Enfin mon Censeur a fait un petit magasin de bonnes et de
mauvaises
choses que l’on a dites contre mon Livre, pour en
r nom ceux à qui l’on doit de l’estime ou du respect, doit-on trouver
mauvais
que dans l’impression je me sois écarté de cette
n avec lui ? » J’ai représenté Molière dans son beau, comme dans son
mauvais
; mais j’ai jugé à propos de faire paraître ses s
Ouvrage est broché d’après des Mémoires de Mr le Baron : Donc il est
mauvais
; donc il n’est pas véritable. La plaisante et in
s Comiques pour n’en être pas persuadé. » Donc encore mon Ouvrage est
mauvais
et suspect. En vérité peut-on raisonner avec si p
pensé, et ce que je pense encore sans préjugé ; et je ne trouve point
mauvais
qu’un autre soit d’un sentiment opposé, comme le
nt dit qu’« avant et après Molière les Auteurs n’avaient donné que de
mauvais
Ouvrages ». Voici mes termes, courage, courage,
le Théâtre Comique était alors négligé ; et que l’on était fatigué de
mauvais
ouvrages avant Molière, comme nous l’avons été ap
nseur, les bonnes pièces de ma proposition. Je parle indéfiniment des
mauvaises
, qui sont en assez grand nombre, pour que je puis
n’être pas sincère, de supprimer des faits ; dans un autre il trouve
mauvais
que je dise la vérité. Il aurait voulu que je n’e
ais que je dise la vérité. Il aurait voulu que je n’eusse rien dit du
mauvais
ménage qui était entre Molière et sa femme, que j
l en parle plus souvent en mal, que je n’en ai parlé en bien ! Quelle
mauvaise
plaisanterie il en fait à l’occasion de Chapelle
vent. Mon Critique qui se fait tant ami de la sincérité trouve encore
mauvais
que j’aie fait voir les faiblesses de Molière. Po
age, aux intérêts qui y sont répandus ? Ainsi dût Mr Baile le trouver
mauvais
, je ne saurais lui passer d’avoir donné du poids
ur mon esprit. Voici donc de vous à moi ce que je trouve de bon et de
mauvais
dans celui-ci. Apparemment que l’Auteur n’a eu in
c a de fâcheuses préventions sur cet article : et il n’aurait pas été
mauvais
de produire des pièces justificatives de ce qu’av
’Auteur pour anéantir le préjugé général. Je ne lui sais pourtant pas
mauvais
gré d’avoir essayé de détruire l’opinion commune
n de les attaquer. Ceux-là avant et depuis Molière n’ont donné que de
mauvais
Ouvrages : ceux-ci ne savent point leur métier, e
n fade gouverneur. L’Auteur a fait tout ce qu’il a pu pour couvrir le
mauvais
de la Vie de Molière ; mais comme il aime la véri
le Philosophe dans le Bourgeois Gentilhomme ; cela est plat, et d’un
mauvais
caractère. Oh, mais, me dirait l’Auteur, cela est
lavisé, de se commettre avec lui : et tout cela est soutenu par de si
mauvaises
raisons, que je ne daigne pas vous en parler dava
humeur volontaire. Cependant l’Auteur se plaint que l’on ait fait de
mauvaises
histoires sur son compte ; et il attaque effronté
je suis, que les sentiments ne sont jamais généraux sur le bon ou le
mauvais
d’un Ouvrage, je ne voudrais pas répondre que ce
erreurs de goût, et réprimant les écarts et les bizarreries. Quelque
mauvais
que soit le goût de gens liés par une conversatio
de avait la liberté d’en frapper : d’abord on en mettrait beaucoup de
mauvaise
en circulation, avec une certaine quantité de bon
s l’anarchie du langage, il s’introduit une multitude de locutions de
mauvais
aloi ; mais ce qui ne s’entendra pas, ce qui s’en
st bien châtiée ; qu’un souris est fin, qu’un souris est amer ; qu’un
mauvais
poète est un bâtard d’Apollon ; que les peintres
style épistolaire ; on en avait de son cousin Bussy-Rabutin, homme de
mauvais
cœur, de mauvais esprit, mais d’assez bon goût ;
; on en avait de son cousin Bussy-Rabutin, homme de mauvais cœur, de
mauvais
esprit, mais d’assez bon goût ; En morale, on ava
d’Alceste le duc de Montausier ; dans Oronte, bel esprit qui fait de
mauvais
vers, le duc de Saint-Aignan, que madame de Sévig
re put croire que ce serait un coup de maître de faire maltraiter les
mauvais
auteurs par Montausier sous le nom d’Alceste, de
s esprit, et le poète sans talent ; de le montrer intraitable pour un
mauvais
ouvrage, quelque honnête, quelque estimable que f
assable Auteur, si j’en crois la voix publique ; je puis être un fort
mauvais
Secrétaire. Je divertis le Prince par les spectac
éâtre comique était alors bien négligé ; et que l’on était fatigué de
mauvais
Ouvrages avant Molière, comme nous l’avons été ap
teur beaucoup au-dessus de leur portée. Molière, outré à son tour des
mauvais
jugements que l’on portait sur sa pièce, les rama
point faire imprimer cette pièce, dont on fit dans le temps une très
mauvaise
Critique. C’était une question souvent agitée dan
es Médecins dans toutes les occasions qu’il en a pu amener, bonnes ou
mauvaises
. Il est vrai qu’il avait peu de confiance en leur
qui touchent à la première vue. Je me flatte qu’il ne trouvera point
mauvais
que je dise comment il excita Molière à lui voulo
aise depuis cinq ou six heures, que l’épinette en avait contracté une
mauvaise
odeur. Quoique le secret de Raisin fût découvert,
is elle m’a paru si singulière, que je ne crois pas que l’on me sache
mauvais
gré de l’avoir donnée. D’ailleurs on verra par la
Nymphe dodue, qui courait parmi le Peuple, faisait assez connaître la
mauvaise
disposition qu’il avait pour la Poésie. Il demand
lui dire qu’il était retenu ; et la Du-Parc n’avait garde de trouver
mauvais
que le jeune homme lui manquât de parole. Ils reg
chercher son Tailleur, pour le faire habiller, (car il était en très
mauvais
état) et il recommanda au Tailleur que l’habit fû
vorables dispositions qu’il avait pour le Théâtre, il restât en de si
mauvaises
mains. Ce fut cette fâcheuse situation qui toucha
devons représenter incessamment devant le Roi ? On donna beaucoup de
mauvaises
raisons, piquantes même, auxquelles Molière prit
t honnête homme ; je suis fâché que ses petites affaires soient en si
mauvais
état. Que croyez-vous, ajouta-t-il, que je doive
oint partager avec lui la jouissance du bien qu’il avait gagné, et ce
mauvais
traitement alla si loin, qu’il ne put y résister
ce même empressement : qu’on se lassait des bonnes choses, comme des
mauvaises
, et qu’ils auraient leur tour. Ce qui arriva auss
la mienne ; et peut-être qu’en ma place vous passeriez encore de plus
mauvais
quarts d’heure. Chapelle n’entrait pas si intim
faut pas manquer le mérite. On serait assez malin pour lui donner un
mauvais
jour, si nous nous noyons à l’heure qu’il est : o
faisait Chapelle, à l’envie de dire un bon mot, qui avait souvent de
mauvaises
suites. Je ne puis m’empêcher de rapporter celui
le théâtre, et peu s’en fallut que cette affaire n’eût encore de plus
mauvaises
suites pour lui ; on le menaçait de tous côtés. I
ontraire dans les commencements, même dans la Province, il paraissait
mauvais
Comédien à bien des gens ; peut-être à cause d’un
pas beaucoup de plaisir. On parla de santé. Molière rendit compte du
mauvais
état de la sienne à Bernier : Qui, au lieu de lui
ière tout mortifié, se tint caché dans sa chambre. Il appréhendait le
mauvais
compliment du Courtisan prévenu : Il envoyait seu
oyait seulement Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de
mauvaises
nouvelles. Toute la Cour était révoltée. Cependan
furent qu’exclamations. Et peu s’en fallut qu’ils ne trouvassent fort
mauvais
que le Misanthrope fît voir que ce sonnet était d
débité, et que l’on donne encore aujourd’hui dans le public plusieurs
mauvais
mémoires remplis de faussetés à l’égard de Molièr
, dans son Dictionnaire Historique, et sur l’autorité d’un indigne et
mauvais
Roman, ne fasse faire un personnage à Molière, et
ils répétaient toutes les calomnies, toutes les faussetés, toutes les
mauvaises
plaisanteries que des Poètes ignorants ou irrités
ecins vengés. C’était, disait-on, un homme sans mœurs, sans Religion,
mauvais
Auteur. L’envie et l’ignorance les soutenaient da
me sentiment qu’en entendant La Fontaine déclarer qu’il n’y a rien de
mauvais
dans ses Contes 829. Mais cette illusion n’est qu
fera en lui le bien ou le mal, suivant que cette femme sera bonne ou
mauvaise
. Pour des génies comme Molière, le rôle qu’ils jo
rofitable en ce qu’il a de bon, et moins dangereux dans ce qu’il a de
mauvais
. La part du bien est grande. Parler à une natio
inement pas un sens comme le sien pour discerner partout le bon et le
mauvais
; que, quand même ils l’auraient, ils ne songerai
linaires très-générales, et défend l’usage de ce qui est généralement
mauvais
, sans entrer dans le détail des circonstances où
cien pour ce qu’on appelait sa théorie des deux morales : c’était une
mauvaise
.querelle. Sans doute, la morale est absolument un
jouer uniquement son répertoire, prêtait son talent d’acteur aux plus
mauvaises
pièces, en sorte qu’un contemporain non assidu au
les pompes, les comédies, en leur substance, ne sont nullement choses
mauvaises
, ains indifférentes, pouvant être bien et mal exe
rmons1 » Décrire l’homme d’après nature, s’appesantir plutôt sur son
mauvais
que sur son bon côté moral ; exposer les effets d
is que des hommes très intelligents et fort instruits, n’ayant que de
mauvais
sentiments et manquant de ceux qui inspirent la j
folie, tout son concours lorsqu’elle fonctionne sous la direction des
mauvais
instincts et des passions. Et, de même que dans l
umain, dans le langage usuel, étant les éléments instinctifs, bons ou
mauvais
, de l’esprit, c’est-à-dire les sentiments et les
s qui le dominent, que ces éléments instinctifs soient de bonne ou de
mauvaise
nature. Or, comme ces éléments varient suivant le
ue ces facultés lui ont suggérées, celui dont tous les instincts sont
mauvais
, imparfaits, ou qui n’entend dans sa conscience q
on, (c’est-à-dire le vrai, le juste, le bien) les inspirations de ces
mauvais
instincts, et regarde comme irrationnels les sage
nables dans les circonstances où, en présence des inspirations de nos
mauvais
instincts, les bons, qui leur sont directement op
absurdes et ridicules ; et par contre, chaque adversaire aussi trouve
mauvaises
et sans valeur les meilleures raisons que son con
semblable, commettent les actes les plus odieux pour satisfaire leurs
mauvais
instincts, sans même que leurs désirs soient impé
; mais elle devient une circonstance qui met en relief un côté de ses
mauvais
instincts. Loin d’être humble, au moins par conve
timent puisque la nature l’en a privé; ce quelque chose est un de ses
mauvais
penchants, la lubricité. « Sais-tu, dit Don Jua
qui vise à exciter les bons sentiments et à apaiser, à affaiblir les
mauvais
; aussi ne peut-on espérer un succès que si l’ind
ans les paroles suivantes, que Scapin prononce à l’occasion d’un fort
mauvais
sujet : « C’est un de ces braves de profession q
evant l’idiotie morale qui les rend incapables de lutter contre leurs
mauvais
instincts, le système actuel, qui vise exclusivem
et surtout dénués de tout sentiment moral capable de combattre leurs
mauvais
instincts. Mais, outre ces anomalies générales do
dérobe-t-il d’une manière détournée. Son intelligence, dirigée par de
mauvais
instincts, loin de l’éclairer, ne fait que favori
parlant de Tartuffe dévoilé et arrêté par ordre supérieur : « A son
mauvais
destin laissez un misérable et ne vous joignez pa
imprimer une bonne direction aux esprits mal faits, chez lesquels les
mauvais
instincts l’emportent de beaucoup sur les sentime
alement constitués au point de vue moral, et qui, par le fait de leur
mauvaise
nature instinctive, se raidissent contre le droit
u plus que quatre pour cent sous le régime qui consiste à prendre les
mauvaises
natures en biaisant, comme dit Molière, en excita
sultent des procédés doux et humains, il ne manque pas de montrer les
mauvais
résultats que l’on obtient en disant aux passionn
avantage ses auditeurs et d’engager les vicieux à lutter contre leurs
mauvaises
tendances ; loin de l’en blâmer, on ne peut que l
r toute la famille. Les enfants mal dirigés, ayant continuellement de
mauvais
exemples sous les yeux, se conduiront infaillible
hant, inconvenant, criminel, il faut donc non seulement être animé de
mauvais
instincts qui fassent désirer les actes pervers,
exagérés et pervertis, soit par leur tendance naturelle, soit par la
mauvaise
direction que l’éducation leur a imprimée, soit p
perversion, parmi lesquelles il faut mettre en première ligne : 1° la
mauvaise
presse qui nourrit ses trop nombreux lecteurs des
loppée, au service des instincts pervers, des appétits matériels, des
mauvaises
passions, de la folie. Si l’instruction est en pr
ion, de mettre fin autant que possible à la manifestation éhontée des
mauvais
instincts, dont la nature essentiellement contagi
raux qui éclairent l’homme sur la nature extravagante ou perverse des
mauvais
sentiments, des inspirations passionnées. Si les
rien, ce n’est qu’un peu de gale. Je tâche à lui jouer pourtant d’un
mauvais
tour ; Je me frotte d’onguent cinq à six fois le
icus. On n’en savait pas encore assez pour trouver le sonnet d’Oronte
mauvais
: ce sonnet d’ailleurs est fait avec tant d’art,
ans le Prince jaloux, ou D. Garde de Navarre, espèce de tragicomédie,
mauvais
genre qui était fort à la mode, et qu’il eut la f
jouées quatre mois de suite avec le plus grand succès. Le jargon des
mauvais
romans, qui était devenu celui du beau monde ; le
la critique, par Visé ; et le Portrait du Peintre, par Boursault. Les
mauvais
écrivains ne manquent jamais de se réunir contre
e d’auteur à auteur, mais de théâtre à théâtre. Visé, comme auteur de
mauvaises
comédies, et de plus écrivain de Nouvelles, espèc
op absurde. Je ne l’ai citée que pour faire voir qu’en tout temps les
mauvais
critiques ont été aussi des hommes très-méchants,
ont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu! qu’ils sont
mauvais
, Et qu’un homme est pendable après les avoir fait
t mal des vers ? Est-ce là une vérité bien importante? Assurément les
mauvais
vers et la mauvaise prose sont le plus petit mal
t-ce là une vérité bien importante? Assurément les mauvais vers et la
mauvaise
prose sont le plus petit mal qu’il y ait au monde
. Qu’importe à la morale d’Alceste que le sonnet d’Oronte soit bon ou
mauvais
? Cette question nous ramène à la fameuse scène d
ans humeur n’eût-il pas trouvé tout simple qu’un poète, et surtout un
mauvais
poète, défendît ses vers à outrance? Est-ce encor
ien, et qu’il vaut encore mieux avoir un peu de complaisance pour les
mauvais
vers que de rompre avec le genre humain. Quand il
•vérité, et vous pourrez prévenir un arrêt injuste, c’est-à-dire une
mauvaise
action, un scandale, un mal réel. Que pourrait op
la risée publique, qu’il croit saisir cette intention jusque dans une
mauvaise
pointe que se permet Alceste , quand Philinte dit
er? Si la thèse de réception soutenue par le Malade imaginaire, si le
mauvais
latin, et la cérémonie et l’argumentation, ne son
n d’avoir raison en donnant des rendez-vous à son amant, ne soit d’un
mauvais
exemple au théâtre; et il peut être plus dangereu
exemple au théâtre; et il peut être plus dangereux de ne voir dans la
mauvaise
conduite de la femme que des tours plaisants, qu’
d’autres avantages sur Plaute. En établissant la mésintelligence d’un
mauvais
ménage entre Sosie et Cléanthis, il donne un résu
s point servi. Une pauvre servante au moins m’était restée, Qui de ce
mauvais
air n’était point infectée, Et voilà qu’on la cha
les anciens pour les imiter : c’est ce qui nous valut de lui de fort
mauvais
ouvrages. Il eut ensuite un tort encore plus gran
e prends mon bien ou je le trouve, car une idée perdue dans une assez
mauvaise
nouvelle que personne ne lit lui a fourni une scè
ise Paré, chirurgien de Charles IX, qui hacha si cruellement, avec de
mauvais
ciseaux, le doigt de l’amiral Coligny fracassé pa
euses : il les présente plutôt comme singulières, rivant du bon et du
mauvais
. Ce n’est point une apologie ; ce n’est point une
itiquer, à corriger ce que les autres écrivent. « Elles censurent les
mauvais
vers, dit de Pure, et corrigent les passables. El
on mérite : il est, selon les uns, un bon auteur, selon les autres un
mauvais
. Il arrive une autre fois qu’une précieuse pleure
tit Dictionnaire des Précieuses est un recueil de néologismes bons et
mauvais
, attribués aux précieuses du temps. Les discours
e et du mouvement de la conversation, n’étaient sûrement pas les plus
mauvais
. De Pure diffère à cet égard de Somaise : « L’obj
u’elles font solennellement vœu de pureté de style, d’extirpation des
mauvais
mots, de guerre immortelle aux pédants et aux pro
s ilotes de la république ; aussi se rencontrait-il des précieuses de
mauvais
caractère qui, oubliant la politique du corps, se
die ; les plus excellentes choses sont sujettes à être copiées par de
mauvais
singes. Les véritables précieuses auraient tort d
iosité n’était pas ignoble. Dans un siècle frivole, de bel esprit, de
mauvaises
mœurs, sous un gouvernement absolu, la satire, la
té la préface où Molière déclare que sa pièce regarde uniquement les
mauvais
singes , les ridicules copies des illustres pré
res comédies, qui étaient aussi bonnes pour son siècle, qu’elles sont
mauvaises
pour le nôtre, furent cause qu’une troupe de comé
our les provinces. Ces premiers essais très-informes tenaient plus du
mauvais
théâtre italien où il les avait pris, que de son
n maître pour bien juger. Molière eut des ennemis cruels, surtout les
mauvais
auteurs du temps, leurs protecteurs et leurs caba
te d’être rapportée, et la seule qui ne soit pas dans cette fausse et
mauvaise
histoire qu’on a mise jusqu’ici au devant de ses
emblable que Chapelain, homme alors très estimé, et cependant le plus
mauvais
poète qui ait jamais été, parlait lui-même le jar
de Molière. Cette pièce eut le sort des bons ouvrages, qui ont et de
mauvais
censeurs et de mauvais copistes. Un nommé Donneau
e eut le sort des bons ouvrages, qui ont et de mauvais censeurs et de
mauvais
copistes. Un nommé Donneau fit jouer à l’hôtel de
e impie de Don Juan, mais dont les esprits faibles pouvaient faire un
mauvais
usage, fut supprimée à la seconde représentation
grossières comme : Je sais l’art de traire les hommes ; et quelques
mauvaises
plaisanteries comme : Je marierais, si je l’avai
bileté du traducteur. Un poète anglais nommé Shadwell, aussi vain que
mauvais
poète, la donna en anglais du vivant de Molière.
ques surprises ; Toutes ses pièces sont d’agréables sottises : Il est
mauvais
poëte, et bon comédien ; Il fait rire, et de vrai
it pas fait scrupule d’y insérer deux scènes entières du Pédant joué,
mauvaise
pièce de Cyrano de Bergerac. On prétend que quand
lle n’inspire le bon goût. La meilleure satire qu’on puisse faire des
mauvais
poètes, c’est de donner d’excellents ouvrages ; M
qu’ils renfermoient entre deux chœurs. Comme notre orchestre, bon ou
mauvais
, tient parmi nous la place des chœurs, nous appel
ns ressource. Un acte défectueux est quelquefois trouvé d’autant plus
mauvais
, qu’il se trouve à côté d’un bon, & qu’on le
ocre en faveur du beau, on ne l’en juge que plus sévérement, & le
mauvais
fait oublier le bon. On a souvent demandé très sé
& s’il revient aussi-tôt que la musique assez courte & assez
mauvaise
a cessé, l’esprit des spectateurs est trop surpri
s aux regles d’Aristote d’avoir fait faire à l’Abbé d’Aubignac une si
mauvaise
tragédie ». L’Abbé d’Aubignac quêtoit des éloges
beaucoup murmurer, lorsque le machiniste lâcha un coup de sifflet. Un
mauvais
plaisant du parterre lui applaudit, tout le parte
ne action dans ses pieces, il n’auroit surement pas soutenu une aussi
mauvaise
cause, & auroit encore moins prétendu la défe
; il ne suffit pas, pour l’excuser, de dire que l’Avare l’embrasse ;
mauvaise
raison. Une piece dans laquelle un pere auroit di
ceque le caractere du pere les embrasseroit toutes ? Encore une fois,
mauvaise
, très mauvaise excuse. Deux intrigues ne sont per
ere du pere les embrasseroit toutes ? Encore une fois, mauvaise, très
mauvaise
excuse. Deux intrigues ne sont permises dans une
rtaines choses et honnête en d’autres », outre cela, il ne serait pas
mauvais
de savoir que la vertu même a plusieurs sources q
Parce qu’il aime le personnage complexe et mêlé en effet de bon et de
mauvais
et parce qu’il n’y a pas un personnage important
ui puissent concevoir un homme absolument tout bon ou absolument tout
mauvais
, ce qui n’existe pas, à très peu d’exceptions prè
« Après l’aventure du sonnet, comment Alceste ne s’attend-il pas aux
mauvais
procédés d’Oronte ? Peut-il en être étonné quand
ère fois que sa sincérité lui eût fait un ennemi ? » Ceci est la plus
mauvaise
des objections de Jean-Jacques Rousseau. Comment
ute ce n’est pas la première fois que la sincérité lui attire quelque
mauvaise
affaire. Mais c’est le propre du candide de toujo
ce me semble ; le dépit dicte des pointes, mais il n’en dicte que de
mauvaises
, et c’est le cas. Ce qui serait impossible à Alce
refuser à écouter. Il écoute, et ce nest pas parce que le sonnet est
mauvais
qu’il gronde et murmure, c’est parce que Philinte
rs que le misanthrope de Molière n’est pas vrai et que Molière use de
mauvais
procédés envers Alceste pour le rendre antipathiq
ai que le peuple ait faim ; qui, le gousset bien garni, trouvent fort
mauvais
qu’on déclame en faveur des pauvres ; qui, de leu
voir que l’ordre et la loi. Or je dis qu’engager un juge à faire une
mauvaise
action, c’est la faire soi-même, — et qu’il vaut
i-même, — et qu’il vaut mieux perdre une cause juste que de faire une
mauvaise
action. Cela est clair, net ; il n’y a rien à y r
l’on ne pût, décidément, pas tenir Philinte pour un égoïste, quelque
mauvaise
volonté que l’on y pût mettre. Eliante aime Alces
e et avec succès et dont les finances particulières sont dans le plus
mauvais
état du monde ; jusqu’à l’homme qui travaille ave
, je vais faire un instant comme Rousseau, peut-être perverti par son
mauvais
exemple. Comme lui, je me sens attaqué par Molièr
imable femme adultère ; et par conséquent George Dandin est une assez
mauvaise
action. Une certaine inconscience morale est souv
t aimer le fils insolent qui l’a faite en est-elle moins une école de
mauvaises
mœurs ? » Je comprends bien l’indignation de Rous
, s’écrie : « Comment ! vous inventez des hommes et vous les inventez
mauvais
! Votre devoir est de les inventer merveilleux, p
guère, et dans l’Avare il ne le fait pas du tout. L’Avare est la plus
mauvaise
de ses pièces. » Je ne sais trop et je crois même
elle rend impitoyable pour les peccadilles. Elle n’est pas « école de
mauvaises
mœurs », comme dit Rousseau ; mais elle n’est pas
ongé est chose à quoi il faudrait faire attention ; car, qu’ayant une
mauvaise
impression du théâtre, en général, de Molière, il
contestablement au pauvre qui refuse un louis plutôt que de jurer, le
mauvais
rôle n’est pas assez au gentilhomme qui donne le
déprave et rend cruel. Elle n’est pas autre chose qu’une des passions
mauvaises
et funestes du genre humain, qu’un des vices de l
prit de raillerie des femmes et des enfants ; et voilà évidemment une
mauvaise
action. Molière dit avec indignation : « Dans la
e que pour l’amour d’eux — il s’agit, tout compte fait, d’une passion
mauvaise
, d’une passion à base mauvaise ; et que quelques
’agit, tout compte fait, d’une passion mauvaise, d’une passion à base
mauvaise
; et que quelques fils et filles méprisent ou moq
a risée, ce qui est l’injustice même et ce qui paraît bien couvrir un
mauvais
dessein. Que dis-je et que parlé-je d’égalité ? O
ons du tout, puisque sans doute elle ne veut pas non plus de passions
mauvaises
; et elle réduirait l’auteur dramatique et tout a
u, il fait aimer le vice ; « son théâtre est une école de vices et de
mauvaises
mœurs plus dangereuse que les livres mêmes où l’o
ntrer les sots victimes des méchants, sans qu’on puisse, avec la plus
mauvaise
volonté du monde, croire surprendre chez lui plus
suffît pour que l’on craigne que le public ne remporte une impression
mauvaise
, mêlée au moins. Molière a un air d’approbation e
ntentions les meilleures un homme enclin au vice peut puiser les plus
mauvaises
leçons, les pires excitations et les plus funeste
ai, en hésitant, jusque-là, ne laisse- t-il pas de sourire un peu aux
mauvais
tours que les fripons leur jouent ; mais cette ir
a pas là de ma faute, » Il dit à M. Jourdain : « Vous n’êtes pas un
mauvais
homme ; la bonne familiarité avec laquelle vous c
e vous ; mais un peu moins. » Il dit à Argan : « Vous n’êtes pas plus
mauvais
qu’un autre ; mais vous êtes poltron. D’autres di
? Comment pouvez-vous croire : 1° que Molière inspire des sentiments
mauvais
et qu’il est responsable des sentiments mauvais q
nspire des sentiments mauvais et qu’il est responsable des sentiments
mauvais
qui peuvent se produire dans l’âme des spectateur
sément pour les caresser et pour les éprouver lui-même les sentiments
mauvais
, puisqu’il est foncièrement bon et n’apporte au t
est très bon ; la seconde, que, corrompu par la société, il est très
mauvais
; d’où il s’ensuit que, tantôt cédant à la premiè
er à l’admiration, à l’amour et à l’imitation de ce qu’il y a de plus
mauvais
dans la vérité qu’on lui montre. Cela est si vrai
ue l’homme est bon et va tout droit au bien. Il pense que l’homme est
mauvais
et tout pénétré de préjugés contraires à la vertu
qu’il ait été le législateur de tout cela. Il n’a point enseigné les
mauvaises
mœurs, non ; mais il n’a pas enseigné les bonnes.
r de certaines mœurs qui ne sont pas admirables, mais qui ne sont pas
mauvaises
, qui sont mœurs bourgeoises, qui sont mœurs monda
rès son grief hyperbolique : « la comédie de Molière est une école de
mauvaises
mœurs », il dit : « ou sa morale porte au mal, ou
er reproche à Molière est d’avoir dirigé la comédie française sur une
mauvaise
voie. Rousseau a nommé Dancourt et Regnard ; il a
par le goût que par l’honnêteté, qui firent longtemps l’amusement des
mauvaises
compagnies [Rousseau devrait dire « réintroduit »
eux, et qu’il ne les aperçoive pas ; que La Chaussée lui en donne, de
mauvais
il est vrai, et que, encore qu’ils soient mauvais
ée lui en donne, de mauvais il est vrai, et que, encore qu’ils soient
mauvais
, il ne dise point : « C’est cela que je demande,
e, de tout le théâtre, et cela fait qu’il ne distingue plus le bon du
mauvais
, ni ce qui peut devenir bon de ce qui demeure mau
plus le bon du mauvais, ni ce qui peut devenir bon de ce qui demeure
mauvais
. Enfin il a fait allusion à Marivaux, très probab
ractère de Don Juan, mais dont les esprits faibles pouvaient faire un
mauvais
usage, fut supprimée à la seconde représentation,
dans une sorte de solitude endormante et loin des excitations et des
mauvais
exemples. Sganarelle : Isabelle pourrait perdre
n bon chrétien, votre moitié fort sage ; Mais une femme habile est un
mauvais
présage ; Et je sais ce qu’il coûte à de certaine
t avoir dit le meilleur mot du monde Lorsqu’ils viennent, d’un ton de
mauvais
goguenard, Vous railler sottement sur l’amour d’u
sens dépravés des Grecs un spectacle charmant et propre à balancer le
mauvais
effet de leur indécente gymnastique. Quelque impr
ellement son véritable avis que, quatre pages plus loin, attaquant la
mauvaise
coquetterie, il la distingue de la bonne qui est
e chose. Elle était « stupide », c’est lui qui l’a dit ; ce n’est pas
mauvais
, mais il l’eût désirée aussi simple, un peu moins
éloïse et de l’Emile ; mais ils ne croyaient pas non plus qu’elle fût
mauvaise
. Ils professaient seulement que ses inspirations
lui persuade qu’il n’était pas sans mérite. Voltaire, qui le déclare
mauvais
poète et prédicateur plat, dit néanmoins qu’il ét
était de cette société, Boisrobert, l’âme damnée du cardinal, le plus
mauvais
sujet de Paris, n’en était pas. Segrais raconte q
elle, qui ne savait ce que c’était de prendre parti, et de rendre de
mauvais
offices à personne. Boisrobert lui dit que le car
lques personnages qui aient part à l’intrigue. Elle est plus ou moins
mauvaise
, selon que ces personnages, tout en faisant mouvo
te. Frontin. La goutte & les poitrines au lait font la moitié des
mauvais
ménages. Le Chevalier. Pour moi, qui aime la vie
es billets.) Prenez-les, & usez-en sagement. Nos affaires sont en
mauvais
état. Stukely. Et vous laisserai-je ainsi sans re
ne sais si c’est vous qui me les inspirez, ou si c’est mon bon ou mon
mauvais
destin qui les fait naître. Le sort qui m’attend
a louange de Bacchus. Les Prêtres de ce Dieu le trouverent alors fort
mauvais
, & s’en plaignirent, disant que dans ces épis
i que des pièces en vers. L’Avare était en prose : L’Avare donc était
mauvais
. On ne fit pas, on ne pouvait pas faire un autre
aimer le fils insolent qui l’a faite, en est-elle moins une école de
mauvaises
mœurs3 ? » Écartons les erreurs de fait, avant
t qui prévaudra dans leurs âmes sera celui de l’indignation contre un
mauvais
père, coupable d’avoir un mauvais fils, puisque,
ra celui de l’indignation contre un mauvais père, coupable d’avoir un
mauvais
fils, puisque, devant mériter son amour et sa vén
, si l’avare n’avait point d’enfants qu’il pût rendre victimes de ses
mauvais
traitements, pour devenir victime à son tour de l
it en propres termes, que nos meilleures pièces, maniées par les plus
mauvais
auteurs de son pays, y gagnent toujours ; qu’on p
urmandant Molière, et l’accusant d’avoir fait du théâtre une école de
mauvaises
mœurs, en nous montrant toujours le triomphe du v
mme d’abondantes sources de désordres et de vices ; elles peignent de
mauvaises
mœurs, mais pour combattre les travers qui les en
uses, ce qu’ils disent est assez bon, ce qu’ils prescrivent n’est pas
mauvais
: tout le malheur, c’est que Pourceaugnac n’a pas
V, satisfait de réussir dans son noble métier de roi, ne trouvait pas
mauvais
que les hommes de lettres fussent plus connaisseu
s peut-être encore plus rare, c’est de reconnaître qu’on en a fait un
mauvais
. Molière possédait à la fois l’un et l’autre. Mol
eux, insipide. Lucinde, second personnage de la piece, est encore une
mauvaise
copie de la Beline du Malade imaginaire ; elle fl
4 Février 1703, eut cinq représentations, & dut une partie de son
mauvais
succès à la fureur qu’avoit l’Auteur de copier pa
pourroit encore reprocher à l’Auteur d’avoir fait une troisieme &
mauvaise
copie du Tartufe dans son Faux Sincere, puisque l
and crime en rajeunissant une idée oubliée, & noyée dans une très
mauvaise
piece. En ce cas nous aurions rendu le plus mauva
ée dans une très mauvaise piece. En ce cas nous aurions rendu le plus
mauvais
service à Moliere en indiquant ses imitations, no
I) Molière n’avait pas la modestie du citoyen Champagne, auteur d’une
mauvaise
satire, qui parut il y a environ un an. Quelques
morceaux de sa satire, il traitait les journalistes d’ignorants et de
mauvais
connaisseurs, et finissait par avouer avec une ca
assable Auteur, si j’en crois la voix publique ; je puis être un fort
mauvais
Secretaire. Je divertis le Prince par les spectac
re Comique étoit alors bien négligé ; & que l’on étoit fatigué de
mauvais
Ouvrages ; ce sont les propres termes de Mr. Grim
es Medecins dans toutes les occasions qu’il en a pû amener, bonnes ou
mauvaises
. Il est vrai qu’il avoit peu de confiance en leur
qui touchent à la premiere vuë. Je me flatte qu’il ne trouvera point
mauvais
que je dise comment il excita Moliere à lui voulo
aise depuis cinq ou six heures, que l’Epinette en avoit contracté une
mauvaise
odeur. Quoique le secret de Raisin fût découvert,
is elle m’a paru si singuliere, que je ne crois pas que l’on me sache
mauvais
gré de l’avoir donnée. D’ailleurs on verra par la
Nymphe doduë, qui couroit parmi le Peuple, faisoit assez connoître la
mauvaise
disposition qu’il avoit pour la Poësie. Il demand
ui dire qu’il étoit retenu, & la Du-Parc n’avoit garde de trouver
mauvais
que le jeune homme lui manquât de parole. Ils reg
vorables dispositions qu’il avoit pour le Theâtre, il restât en de si
mauvaises
mains. Ce fut cette fâcheuse situation qui toucha
devons representer incessamment devant le Roi ? On donna beaucoup de
mauvaises
raisons, piquantes même, ausquelles Moliere prit
t honnête homme ; je suis fâché que ses petites affaires soient en si
mauvais
état. Que croyez vous, ajoûta-t’il, que je lui do
partager avec lui la jouissance du bien qu’il avoit gagné ; & ce
mauvais
traitement alla si loin, qu’il ne put y resister
ce même empressement : qu’on se lassoit des bonnes choses, comme des
mauvaises
, & qu’ils auroient leur tour. Ce qui arriva a
mienne ; & peut-être qu’en ma place vous passeriez encore de plus
mauvais
quarts d’heure. *L’Histoire de la Guerin contien
faut pas manquer le merite. On seroit assez malin pour lui donner un
mauvais
jour, si nous nous noyions à l’heure qu’il est :
faisoit Chapelle, à l’envie de dire un bon mot, qui avoit souvent de
mauvaises
suites. Je ne puis m’empêcher de rapporter celui
t qu’on avoit reproché à la Comedie de l’Avare. Les Savans trouvoient
mauvais
que Plaute en eût fourni quelques Scenes assez be
ersonne, on lui a rendu plus de justice & on ne lui a pas su plus
mauvais
gré de ses imitations qu’à Virgile de s’être appr
Theâtre, & peu s’en fallut que cette affaire n’eût encore de plus
mauvaises
suites pour lui ; on le menaçoit de tous côtez. I
contraire dans les commencemens, même dans la Province, il paroissoit
mauvais
Comedien à bien des gens ; peut-être à cause d’un
pas beaucoup de plaisir. On parla de santé. Moliere rendit compte du
mauvais
état de la sienne à Bernier : Qui au lieu de lui
aut que vous soyez bien yvre pour parler de la sorte, & vous avez
mauvaise
grace de plaisanter sur une affaire aussi serieus
iere tout mortifié se tint caché dans sa chambre : Il apprehendoit le
mauvais
compliment du Courtisan prévenu : Il envoyoit seu
oyoit seulement Baron à la découverte, qui lui rapportoit toujours de
mauvaises
nouvelles. Toute la Cour étoit revoltée. *Il fau
furent qu’exclamations. Et peu s’en fallut qu’ils ne trouvassent fort
mauvais
que le Misanthrope fît voir que ce Sonnet étoit d
odequins ne put plus se tenir. En effet jamais homme n’eût plus de
mauvais
censeurs à mépriser que n’en eut Moliere. Ils rev
moindre mot, ou que j’aie eu quelque raison à lui alléguer, bonne ou
mauvaise
? J’ai été muet : au lieu que si j’avois su ce qu
es Desmarets ont fait passer sur notre Théâtre l’emphase ridicule des
mauvais
Auteurs Italiens & Espagnols, & on les a
u’elle est, grippe, veut-il ou non, Pauvre, riche, poltron, vaillant,
mauvais
& bon. Mais je suis trop avant pour reculer a
loin de moi la peur & ses glaçons, Je veux être de ceux qu’on dit
mauvais
garçons. Mon cartel est reçu, je n’en fais point
élas ! plaise au Seigneur qu’il soit sot à tel point, Qu’il me tienne
mauvais
, & ne se batte point ! Mais les raisonnements
en est l’ornement & l’aigle, aura dans six mois le ton de la plus
mauvaise
, & fera soupçonner que l’Auteur n’en fréquent
u’il est beaucoup plus difficile de tirer un parti très médiocre d’un
mauvais
sujet, que de faire une excellente piece d’un suj
, quand sa joie est troublée par l’arrivée de Lucile, qui, outrée des
mauvais
procédés d’Eraste, vient s’en plaindre à Ascagne,
par le Dépit Amoureux, que si le pere du Tartufe n’a pu faire qu’une
mauvaise
piece d’un mauvais sujet, les jeunes Auteurs ne d
ux, que si le pere du Tartufe n’a pu faire qu’une mauvaise piece d’un
mauvais
sujet, les jeunes Auteurs ne doivent pas avoir la
à d’autres, la gaieté, les madrigaux, le jeu de théâtre, tout devient
mauvais
puisqu’il n’est pas à sa place. Je vois d’ici un
qu’elle fasse quelques sottises pour se procurer des armes contre ses
mauvais
propos. Elle a déja entre ses mains une lettre am
, & tient parole : à quoi tout cela sert-il ? à rien. Il est donc
mauvais
, sur-tout dans un cinquieme acte34. Voilà, je cro
nologues dialogués, comme celui que fait Sosie avec sa lanterne, sont
mauvais
. » Point du tout. Je les blâmerois beaucoup si o
éussi, & c’est parceque j’avois apparemment fait pis que les plus
mauvais
Artistes. Offrir des scenes, des situations, sans
tiere de l’édifice, devez-vous être étonnés que le public fasse un si
mauvais
accueil à vos monstres dramatiques ? Tout paroît
beau rôle que l’étourdi qui a décidé si lestement. Indépendamment du
mauvais
personnage qu’un homme, peu instruit des regles d
éterminer ; nous raisonnerons sur ce qui constitue les bons & les
mauvais
sujets. Nous traiterons ainsi toutes les diverses
plusieurs autres. Nous examinerons la maniere dont les bons & les
mauvais
Auteurs les ont traités ; & nous citerons tou
ble où il l’avoit laissée à la fin du précédent. Le public sait aussi
mauvais
gré aux acteurs qui l’ont abandonné pour rien, qu
est donc bon ; & par la même raison, celui que je vais citer est
mauvais
. L’AVARE. ACTE I. Scene X. Harpagon. Je m’en vai
ur l’étourdir sur la durée de l’entr’acte : d’ailleurs, il est bon ou
mauvais
: s’il est mauvais, il dure toujours trop ; s’il
a durée de l’entr’acte : d’ailleurs, il est bon ou mauvais : s’il est
mauvais
, il dure toujours trop ; s’il est bon, & qu’i
somption. Je ne décide point si les entr’actes d’Eugénie sont bons ou
mauvais
; mais il m’ont paru très contraires au goût, tou
om Quichotte. Ces romans étant excellents, les pieces ne peuvent être
mauvaises
que par la faute de l’imitateur. Passons à des
e prie son frere de l’accompagner pour que Carlos ne lui fasse pas un
mauvais
parti. LA PARISIENNE. Angélique a plusieurs aman
lui payer ses gages. LA TRAHISON PUNIE. Acte V. Cet acte est le plus
mauvais
de la piece. Don André y est tué par les assassin
tionné, Aigriroit contre vous Madame votre mere, Et donneroit un tour
mauvais
à cette affaire. Ces paysans Bretons sont les plu
ations, gardons-nous bien de la croire excellente. L’intrigue est une
mauvaise
copie de celle de Pourceaugnac. Le héros, sot com
’a attrapée ! M. Thomasseau. Cela ne vaut rien, mon gendre : voilà de
mauvaises
manieres. Vivien. Je vous proteste, Monsieur Thom
l’habit d’une femme, le croit fou, ne veut pas laisser sa niece en si
mauvaise
compagnie, & l’emmene pour la marier avec Dor
ce soit vous qui, par soupçon de ma conduite, me fassiez faire cette
mauvaise
plaisanterie. M. Bernard. Moi, je ne sais ce que
enture. Le Bailli. Mais le Meûnier & la Meûniere vivoient de très
mauvaise
intelligence, premiérement. Charlot. Oh ! pour st
t. La femme aura pris le temps de l’ivresse du mari pour exécuter son
mauvais
dessein. Charlot. Justement. Il avoit trop bu de
cabaretier & frere de Camille. Arlequin se retire. Scapin trouve
mauvais
que sa sœur soit dans la rue ; il la querelle &am
qu’elle est, grippe, vousit ou non, Pauvre, riche, poltron, vaillant,
mauvais
& bon. Mais je suis trop avant pour reculer a
oin de moi la mort & ses glaçons ; Je veux être de ceux qu’on dit
mauvais
garçons. Mon cartel est reçu, je n’en fais point
élas ! plaise au Seigneur qu’il soit sot à tel point, Qu’il me tienne
mauvais
& ne se batte point ! Mais les raisonnements
e enchanté du duc du Maine. — Il donne 100 000 f. à madame Scarron. —
Mauvais
procédés de la marquise de Montespan envers madam
crois pour toujours : cela, comme toute autre chose, a son bon et son
mauvais
côté : je suis assez contente. Je me porte bien10
ne marque de bienveillance à madame Scarron, la maîtresse le trouvait
mauvais
; elle maltraitait la gouvernante en particulier
ndifférence ne se brouille point. « Elle me dit sur tout cela de très
mauvaises
raisons et nous eûmes une conversation assez vive
trois Cousines, le Légataire, &c. Dira-t-on que ces ouvrages sont
mauvais
? J’en appelle à tous les connoisseurs. Rire à la
ant, Monsieur, ne vous déplaise, Pour trouver ma conduite à tel excès
mauvaise
? J’aime, je bois, je joue, & ne vois en cela
oin de corriger les mœurs, elle est plus propre à nous en inspirer de
mauvaises
. Ils n’osent pas dire tout-à-fait qu’on apprend à
usurier pour pouvoir s’entretenir. Dira-t-on que cette piece donne de
mauvaises
leçons, & que les enfants de famille y appren
versement. Au reste, si dans plusieurs pieces il y a des choses d’un
mauvais
exemple ; si, dans les Fourberies de Scapin, Léan
l’a bien prouvé dans ses autres pieces. Il a fourni de bons & de
mauvais
exemples. Je les ai mis sous les yeux de mes Lect
e d’un Philosophe, nous peindront une passion par ses beaux & ses
mauvais
côtés ? Point du tout : Démocrite n’a avec sa maî
e tout le monde. Il ne donne pas la préférence à un Auteur avoué pour
mauvais
; il choisit un Poëte célebre, que les plus grand
ropre intérêt, jouer de temps en temps l’Impromptu de Versailles. Les
mauvais
acteurs enrageroient, les bons y gagneroient ; &a
fortune n’avoit pas pris le même soin de son établissement, & sa
mauvaise
étoile avoit voulu qu’elle fût mariée avec un art
uelquefois envie de lui faire dire par mes freres, que je trouve fort
mauvais
qu’il en use de cette maniere ; mais considérant
: au reste, je vous avertis que vous ne tirerez aucun fruit de votre
mauvaise
intention, que cette femme est la vertu & la
sence : il embrasse la femme en présence du mari qui ne le trouve pas
mauvais
, & disparoît. Comparaison rapide de l’Ecole
end.Allez, vous êtes un vieux fou. ACTE IV. Scene VII. Déméa trouve
mauvais
que Micio soit assez bon pour recevoir une chante
oulu remettre, il y a quelque temps, la Coquette du même auteur, très
mauvais
ouvrage qui n’a eu aucun succès. On doit savoir d
premières satires, dont il a depuis retranché son nom. Il lui savait
mauvais
gré de s’être brouillé avec Molière, et c’est en
bon et dit ce qu’il doit dire, on en mit deux dont le second est fort
mauvais
: Qu’on me rend des honneurs qui ne sont pas pou
an qu’a brodé Regnard sur sa captivité d’Alger, et qui n’est pas plus
mauvais
que beaucoup d’autres. S’il avait écrit ainsi tou
ange avec le temps, les circonstances et les personnes, puisque cette
mauvaise
philosophie de Regnard n’a pas produit le plus pe
que ce grand satirique vient de mourir du chagrin que lui a causé le
mauvais
succès de ses derniers ouvrages. Il décrit son co
ter. On joue quelques pièces de Hauteroche : son Esprit follet est un
mauvais
drame italien, écrit en style de Scarron, et fait
nte qu’elle puisse être, car il a eu aussi ses chances de bonne et de
mauvaise
fortune. Emporté à Constantinople par M. Simonin,
’une rapsodie sans valeur. Celle de Jean Sambix, même date, est moins
mauvaise
, et la veuve de Molière, s’il faut en croire un é
marier avec une jeune fille, sa répugnance, dis-je, pour un nom de si
mauvais
augure, n’a donc rien que de très naturel. Si Mol
assable auteur, si j’en crois la voix publique ; je puis être un fort
mauvais
secrétaire. Je divertis le prince par les spectac
héâtre comique était alors bien négligé, et que l’on était fatigué de
mauvais
ouvrages avant Molière, comme nous l’avons été ap
teur beaucoup au-dessus de leur portée. Molière, outré à son tour des
mauvais
jugements que l’on portait sur sa pièce, les rama
point faire imprimer cette pièce, dont on fit dans le temps une très
mauvaise
critique70 . C’est une question souvent agitée d
es médecins dans toutes les occasions qu’il en a pu amener, bonnes ou
mauvaises
. Il est vrai qu’il avait peu de confiance en leur
qui touchent à la première vue. Je me flatte qu’il ne trouvera point
mauvais
que je dise comment il excita Molière à lui voulo
aise depuis cinq ou six heures, que l’épinette en avait contracté une
mauvaise
odeur. Quoique le secret de Raisin fût découvert,
is elle m’a paru si singulière, que je ne crois pas que l’on me sache
mauvais
gré de l’avoir donnée. D’ailleurs on verra par la
Nymphe dodue, qui courait parmi le peuple, faisait assez connaître la
mauvaise
disposition qu’il avait pour la poésie. Il demand
a lui dire qu’il était retenu, et la du Parc n’avait garde de trouver
mauvais
que le jeune homme lui manquât de parole. Ils reg
er chercher son tailleur pour le faire habiller (car il était en très
mauvais
état) ; et il recommanda au tailleur que l’habit
vorables dispositions qu’il avait pour le théâtre, il restât en de si
mauvaises
mains. Ce fut cette fâcheuse situation qui toucha
evons représenter incessamment devant le roi79 ? On donna beaucoup de
mauvaises
raisons, piquantes même, auxquelles Molière prit
t honnête homme ; je suis fâché que ses petites affaires soient en si
mauvais
état. Que croyez-vous, ajouta-t-il, que je doive
int partager avec lui la jouissance du bien qu’il avait gagné ; et ce
mauvais
traitement alla si loin, qu’il ne put y résister
ce même empressement83 ; qu’on se lassait des bonnes choses comme des
mauvaises
, et qu’ils auraient leur tour ; ce qui arriva aus
la mienne ; et peut-être qu’en ma place vous passeriez encore de plus
mauvais
quarts d’heure. » Chapelle n’entrait pas si inti
faut pas manquer le mérite. On serait assez malin pour lui donner un
mauvais
jour, si nous nous noyions à l’heure qu’il est ;
faisait Chapelle, à l’envie de dire un bon mot, qui avait souvent de
mauvaises
suites. Je ne puis m’empêcher de rapporter celui
le théâtre, et peu s’en fallut que cette affaire n’eût encore de plus
mauvaises
suites pour lui ; on le menaçait de tous côtés. I
ntraire, dans les commencements, même dans la province, il paraissait
mauvais
comédien à bien des gens ; peut-être à cause d’un
pas beaucoup de plaisir. On parla de santé : Molière rendit compte du
mauvais
état de la sienne à Bernier, qui, au lieu de lui
re, tout mortifié, se tint caché dans sa chambre ; il appréhendait le
mauvais
compliment du courtisan prévenu ; il envoyait seu
oyait seulement Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de
mauvaises
nouvelles. Toute la cour était révoltée. Cependan
furent qu’exclamations, et peu s’en fallut qu’ils ne trouvassent fort
mauvais
que le Misanthrope fît voir que ce sonnet était d
débité, et que l’on donne encore aujourd’hui dans le public plusieurs
mauvais
Mémoires remplis de faussetés à l’égard de Molièr
, dans son Dictionnaire historique, et sur l’autorité d’un indigne et
mauvais
roman, ne fasse faire un personnage à Molière et
ils répétaient toutes les calomnies, toutes les faussetés, toutes les
mauvaises
plaisanteries que des poètes ignorants ou irrités
s vengés 129. C’était, disait-on, un homme sans mœurs, sans religion,
mauvais
auteur. L’envie et l’ignorance les soutenaient da
car, au milieu de tant de caresses, je ne laissai pas d’y essuyer de
mauvaises
rencontres. » (Il perdit son argent au jeu, et un
urut à l’âge de quarante-trois ans, d’une fièvre chaude causée par un
mauvais
traitement que lui fit M. le prince de Conti. Ce
une opinion généralement répandue à Limoges que Molière se vengea du
mauvais
accueil qu’il reçut dans cette ville, en composan
’en croirai rien, parce qu’il est impossible que Molière ait fait une
mauvaise
pièce. Retournez-y, et examinez-la mieux. » (Mémo
its ; et qu’elle est la société où il ne se rencontre pas des gens de
mauvais
ton et de mauvais goût, parmi les personnes qui e
chie se mit dans le bel esprit et dans les usages de bienséance ; les
mauvaises
copies de l’hôtel de Rambouillet eurent la préten
éprobations, de deux côtés opposés, celle des mœurs dominantes ou des
mauvaises
mœurs, et celle du goût qui s’épurait malgré la c
chants garnements de Paris qu’il hantoit. . . . . . Ce filou, en fort
mauvais
équipage, & couvert seulement avec de vieux h
ver le marchand drapier, à qui il dit qu’il avoit une bonne & une
mauvaise
nouvelle à lui dire. La mauvaise étoit celle de l
dit qu’il avoit une bonne & une mauvaise nouvelle à lui dire. La
mauvaise
étoit celle de la mort de son frere Philippe d’Es
présente à Philippe d’Estampes, qui fut bien marri d’apprendre une si
mauvaise
nouvelle ; &, sachant que cet homme étoit ven
étoit le sujet de sa jalousie : mais elle n’eut pour réponse que les
mauvaises
raisons qu’on a coutume d’alléguer en pareil cas.
son mari n’eût poursuivi Robert. Ne sachant comment se tirer d’un si
mauvais
pas, elle se leva en diligence, & crut avoir
qu’étant ivre à son ordinaire, il est allé coucher avec une femme de
mauvaise
vie, & qu’après son réveil s’étant trouvé le
s qu’on a eues pour lui, va crier à minuit que vous êtes une femme de
mauvaise
vie. Mais, Messieurs, vous l’avez voulu, & c’
efait sa piece que pour prouver la différence qu’il y a d’un bon à un
mauvais
imitateur. Moliere fait d’un mauvais original une
fférence qu’il y a d’un bon à un mauvais imitateur. Moliere fait d’un
mauvais
original une copie qui est un petit chef-d’œuvre
des mœurs. Cette société faisait cause commune avec la cour contre le
mauvais
langage et les mauvaises manières, et eut peut-êt
é faisait cause commune avec la cour contre le mauvais langage et les
mauvaises
manières, et eut peut-être la plus grande part à
consacrez par ce moyen la bonne tradition ; dénoncez par ce moyen la
mauvaise
; resserrez ces observations et ces remarques dan
as qu’il s’est altéré sur la route, que nous avons enfin une bonne et
mauvaise
tradition, et que la dernière est par malheur la
e n’aperçois plus, dans ce petit être sautillant, qu’une pétulance de
mauvais
ton ? Je remarque principalement l’envie qu’il a
vos imitations, croyez qu’en suivant cette tradition, vous suivez la
mauvaise
; vous vous perdez, et vous gâtez votre rôle : ne
ts que les acteurs se permettent, tiennent aussi à une bonne ou à une
mauvaise
tradition ; et cette bonne ou mauvaise tradition,
ent aussi à une bonne ou à une mauvaise tradition ; et cette bonne ou
mauvaise
tradition, nous la devons aux comédiens qui aimen
fait présent de cette cassolette ; Léandre s’écrie : Fi ! cela sent
mauvais
et je suis tout gâté ; Nous sommes découverts, ti
l est inutile, je crois, de dire au spectateur que la cassolette sent
mauvais
. Le Dépit amoureux. Cette pièce parut à
l’ouvrage en a même deux, et c’est un grand défaut. L’exposition. —
Mauvaise
; il faut en convenir, puisqu’elle n’a lieu qu’au
égards. Sganarelle n’est que tuteur, me dira-t-on. Oui, mais sans ses
mauvais
procédés il devenait époux comme son frère. L’ex
renade a mille aventures que nous supprimons, et qui lui donnent très
mauvaise
opinion des femmes. Il prend cependant la résolut
impuissante, surtout chez les écrivains médiocres, leur dicta de fort
mauvais
ouvrages. Devisé crut se signaler par une comédi
les conversations si pitoyables en y prodiguant les turlupinades, les
mauvaises
plaisanteries, les insipides calembours. À vous,
lui a naguère communiqué une pièce intitulée, Théagène et Chariclée,
mauvaise
, à la vérité, mais annonçant les plus heureuses d
, avant de prononcer, l’imprudent Sganarelle bien sûr d’avoir fait un
mauvais
choix, forcé à coups de bâton d’épouser la femme
et celui de Cyrano se ressemblent beaucoup, cependant le dernier est
mauvais
, le premier est bon, et cela parce que Granger, q
ont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu, qu’ils sont
mauvais
, Et qu’un homme est pendable après les avoir fait
mille détours employés pour faire sentir à Oronte que son sonnet est
mauvais
ne cessent-ils pas d’être vraisemblables ? Si, d’
rchasse, comme Armand, le redoutable billet dans ma botte, et que ces
mauvais
lazzis achevassent de faire remarquer combien le
Molière, après nous avoir dit, dans L’École des maris, en parlant des
mauvais
procédés de ces messieurs : Et l’aigreur de la d
s. De la tradition. Les décorateurs aussi, ont leur bonne, leur
mauvaise
tradition : je vois journellement les machinistes
, doit plaisanter avec l’huissier qui le signifie ? Troisièmement, la
mauvaise
plaisanterie de Dorine, en faisant rire le parter
mbarrassés que les comédiens pour distinguer la bonne tradition de la
mauvaise
; mettons-nous d’abord à la place du machiniste ;
t ; et pour lui prouver, qu’il a, comme les acteurs, une bonne et une
mauvaise
tradition ; pour tâcher de lui faire sentir qu’en
dir à la noble fierté de celui-ci : Les grands hommes, Colbert, sont
mauvais
courtisans, Peu faits à s’acquitter de devoirs co
fait-il le spectateur ? Si elles n’ont pas ce mérite, mes farces sont
mauvaises
; mais si elles réunissent les qualités nécessair
oyait seulement Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de
mauvaises
nouvelles ; toute la cour était révoltée. Cependa
ballets dans plus d’un genre ; que les divertissements y sont bons ou
mauvais
, suivant qu’ils tiennent plus ou moins à l’action
, madame Jourdain surprend son époux à table avec Dorimène, et trouve
mauvais
qu’il l’envoie dîner chez sa sœur pour festiner l
s farces. Les farces qu’enfante une imagination sale et déréglée sont
mauvaises
, celles où l’auteur, armé du fouet du ridicule, p
s à soutenir que le théâtre de Molière était une école de vices et de
mauvaises
mœurs. Enfin, des beautés sans nombre recueillies
te, et Molière l’accabla… La meilleure satire qu’on puisse faire d’un
mauvais
poète, c’est de donner d’excellents ouvrages ; Mo
ssi généreux que l’autre est lâchement intéressé, offre de réparer le
mauvais
destin de toute la famille ; et ce procédé réunit
, bien fausse, ne peut nous intéresser, parce qu’elle annonce un très
mauvais
sujet ; et nous trouverons son père indulgent, lo
ée, et nous dit, en rentrant chez elle : « ah ! mes amis, que j’étais
mauvaise
! » 15. On nomme ainsi les rôles des jeunes aman
thrope. 23. Pas un vers qui soit inutile, celui-ci par exemple : Son
mauvais
œil, peut-être, est de ce côté-ci, ne paraît que
de ce côté-ci, ne paraît que plaisant à beaucoup de personnes ; et ce
mauvais
œil, annoncé sans prétention, va favoriser Valère
ut permission entière de la jouer publiquement. Il attaqua encore les
mauvais
Médecins par deux Pièces fort Comiques, dont l’un
du pouvoir de la Comédie ; car au lieu de se contenter de blâmer les
mauvais
Médecins, il attaqua la Médecine en elle-même, la
lques surprises, Toutes ses pièces sont d’agréables sottises ; Il est
mauvais
poète et bon comédien ; Il fait rire, et, de vrai
lier, c’est celui de tous les gens de bien, et il ne doit pas trouver
mauvais
que l’on défende publiquement les intérêts de Die
avec tant de succès sa fausse monnaie, et de duper tout Paris avec de
mauvaises
pièces. « Voilà en peu de mots ce que l’on peut d
, s’écrie l’auteur, si Molière voulait faire des versions de tous les
mauvais
livres étrangers ? De même qu’un homme qui se noi
rofit, et peut-être les nouveaux tartufes ne me sauront pas eux-mêmes
mauvais
gré de leur avoir fait connaître ce petit chef-d’
ne où voulaient l’attirer la haine des faux dévots et la jalousie des
mauvais
auteurs ; il ne répondit à tous les libelles que
Molière le nom de Tartuffe existait déjà, et qu’il se prenait en très
mauvaise
part, c’est qu’il l’avait d’abord changé en celui
ieux damner comme impie ; plus tard, ne pouvant le faire brûler comme
mauvais
chrétien, il se mit à le condamner comme mauvais
e faire brûler comme mauvais chrétien, il se mit à le condamner comme
mauvais
auteur. Les uns lui reprochaient d’avoir mis à co
ise. Elle le sera bien moins encore si le personnage n’en fait que de
mauvaises
, puisque alors ce n’est plus un honnête homme, c’
et Cléante ; l’hypocrite démasqué dénoncera son bienfaiteur comme un
mauvais
citoyen ; vous aurez pour un autre temps et pour
aît le tragique. Il consiste donc, non dans l’opposition du bon et du
mauvais
principe, de Dieu et de Satan, de l’esprit et de
redit pas, et que si des poètes comiques l’ont contredite, ce sont de
mauvais
comiques et de mauvais poètes. Aussi, bien que la
s poètes comiques l’ont contredite, ce sont de mauvais comiques et de
mauvais
poètes. Aussi, bien que la comédie soit le contra
à l’essence même de cet art. Ce petit peuple, bouffi d’ineptie et de
mauvaises
passions, qui déblatère et se démène contre la sa
e qui elles sont et ce qu’elles veulent215. Shakespeare ne met pas un
mauvais
sujet sur la scène, sans l’enrichir généreusement
t le chapelain du roi son père, un excellent sermon sur le danger des
mauvaises
compagnies ; il déclare que le monde est corrompu
ans les rapports du poète comique avec son public, ne sont pas choses
mauvaises
. Mais les auteurs n’ont que trop de facilité à gl
ce, une fausse image de ce qui est substantiel et vrai, ou ce qui est
mauvais
et petit en soi est le côté saillant, cependant l
meilleurs, vus de près et à ta lumière, ne sont, à la lettre, que de
mauvais
imbéciles, qui ont tout au plus assez d’esprit po
e pleurer, pendant que Voltaire paraît pleurer, Shakespeare serait un
mauvais
poète . T. I, p. 221. 221. Nées de l’imitation
e et fabuleux, l’honneur même, rendant ses oracles ; on se ferait une
mauvaise
affaire à prendre contre lui le parti d’Oronte, d
de cœur peut-être ; mais le peu qu’elle en avait, ne l’ayant pas plus
mauvais
qu’une autre. Voilà la femme de Molière,-et, dit-
ue Molière avait de quoi pardonner. Du reste, il ne s’éprenait pas en
mauvais
lieu. La de Brie était bonne et charmante ; et qu
blic avec les soi-disant blessures de leur cœur, et s’en consolant en
mauvais
lieu. Il eût bien vite démêlé le vrai et le faux
jeter dans cette société, pour en mettre en relief les côtés bons ou
mauvais
, l’homme le moins capable d’y vivre ; ce caractèr
d malotru. Cependant je n’en lis pas que de bons. Mais quoi ! bons ou
mauvais
, il y a toujours dedans une pensée, un labeur, un
, je ne tranche pas de l’infaillible ; je puis dire que des vers sont
mauvais
, je n’ajoute pas qu’un homme est pendable après l
suis tout consolé d’avance. Et puis, il faut être prudent. Il y a de
mauvais
vers que le temps a rendu bons. Qui ne se rappell
e devoir d’honneur, l’obligation morale qui force à trouver un sonnet
mauvais
? La religion, la famille et là propriété ont-ell
mes raisons, & jugez. « Je remarque d’abord que le contraste est
mauvais
dans le style. Voulez-vous que des idées grandes,
ais quel jugement on portera du Pere de famille ; mais s’il n’est que
mauvais
, je l’aurois rendu détestable en mettant le Comma
areils contrastes. Pour le prouver, jettons les yeux sur une des plus
mauvaises
, sur l’Etourdi. Ici, Lélie, divisé d’intérêt avec
, Les pois verts sont bientôt passés, Les artichauts fort avancés. Le
mauvais
temps nous importune ; Demain sera nouvelle lune.
rincipaux personnages de cette société, au lieu d’être des modèles de
mauvais
langage, contribuaient à corriger et à épurer les
ère, tout mortifié, se tint caché dans sa chambre. Il appréhendait le
mauvais
compliment du courtisan prévenu. Il envoyait seul
oyait seulement Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de
mauvaises
nouvelles. Toute la cour était révoltée. « Cepend
a dernière fois, J.-J. Rousseau attaque Molière, comme favorisant les
mauvaises
mœurs, comme immolant l’honnêteté sotte et ridicu
aigrefins. De ces deux avares, celui qui l’est le plus, est un aussi
mauvais
père qu’Harpagon ; et c’est celui-là même qui a u
ussi mauvais père qu’Harpagon ; et c’est celui-là même qui a un aussi
mauvais
fils que Cléante. Cléante se moque de la malédict
, faisant toujours sortir une grande moralité de la peinture des plus
mauvaises
mœurs, place, à côté d’un vice, le vice même qui
audit si elle lui plaît : il la siffle impitoyablement s’il la trouve
mauvaise
. Pour varier mes exemples, je les prendrai chez t
teurs a dérobés à l’autre. Si le public entroit dans les bons ou les
mauvais
procédés des Auteurs, & qu’il eût quelque éga
; je dis publiquement au Roi : Prince, il y a ici un traître qui a de
mauvais
desseins contre votre vie. Le Roi demanda avec em
? L’Auteur. Non vraiment ; ils siffleront ma piece, s’ils la trouvent
mauvaise
. Thibaut. Par la jarnonce, ça étant, à quoi est d
diment, n’en déplaise au goût du siecle, que ces reconnoissances sont
mauvaises
. Comment mauvaises ! Elles sont préparées, amenée
se au goût du siecle, que ces reconnoissances sont mauvaises. Comment
mauvaises
! Elles sont préparées, amenées, nouées, dénouées
’examinerai pas si ce mêlange de comique & de tragique est bon ou
mauvais
, & s’il convient, comme le dit Scarron, de mê
e hais ! Strabon. Qu’elle est laide à présent ! & qu’elle a l’air
mauvais
!56 Ceux qui voudront voir comment la Chaussée
glissés à la comédie, me répondra-t-on, parceque les ouvrages dans le
mauvais
genre y sont seuls en crédit, parceque la cabale,
il pas en notre pouvoir de jouer ce que nous voulons, de recevoir les
mauvaises
pieces, de condamner à l’oubli les bonnes, de fav
ion sera d’avoir un double afin de se faire desirer, & de l’avoir
mauvais
pour mieux ressortir. Il trouvera le secret d’écr
les rendent. De cette façon une troupe excellente ne peut que devenir
mauvaise
; & le public, qui perd de vue tout objet de
er tome et le chapitre des chagrins contient tout le reste. » Bon ou
mauvais
, vrai ou faux, tout cela ne nous vient pas d’au-d
ais, à propos de banqueroute, tenez-vous que cela puisse rétablir les
mauvaises
affaires d’un homme ? Ce serait un beau secret. A
rtant de grands crêpes aux chapeaux. ARLEQUIN. Vous ne trouverez pas
mauvais
, monsieur, que je vous présente les trois meilleu
n déguisé) approuve philosophiquement cette idée : « Il ne serait pas
mauvais
qu’il y eût à Paris un pareil marché aux maris. C
es deux Majestés, à Chambord, Ont reçu tout de plein abord, Harangues
mauvaises
ou bonnes, Des plus magistrales personnes. Et dep
comédie des Fourberies de Scapin deux scènes entières du Pédant joué,
mauvaise
pièce de Cyrano Bergeraca. On prétend que quand o
, sur le petit nombre d’auditeurs qu’il avait à ses sermonsa, fit une
mauvaise
satire contre lui, dans laquelle on lui reprochai
ière tout mortifié se tint caché dans sa chambre : il appréhendait le
mauvais
compliment du courtisan prévenu : il envoyait seu
oyait seulement Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de
mauvaises
nouvelles. Toute la Cour était révoltée. « Cepend
st plus Ménage) et l’abbé Cotin. Molière était en peine de trouver un
mauvais
ouvrage pour exercer sa critique, et M. Despréaux
ade imaginaire. Voici ses termes : « Il attaqua (Molière) encore les
mauvais
médecins par deux pièces fort comiques, dont l’un
du pouvoir de la comédie : car au lieu de se contenter de blâmer les
mauvais
médecins, il attaqua la médecine en elle-même, la
urs. Ces farces dont le sujet éternel est le train de vie des gens de
mauvaises
mœurs, sont autant contre les regles que contre l
les événements sont traités dans la vraisemblance. On se lasse de la
mauvaise
compagnie sur le théâtre comme dans le monde, &am
deuses d’huîtres ! vous, canailles ! vous, carognes ! vous, femmes de
mauvaise
vie ! vous, prostituées à des gens mariés ! c’est
olière entreprit la lutte contre les vains préjugés. Notre nature est
mauvaise
, disait le Christianisme : c’est de la prière, de
as absolument l’époux, mais les enfants et le ménage ; qui mettent un
mauvais
orgueil au cœur de Philaminte, l’entraînent à mal
t avoir dit le meilleur mot du monde Lorsqu’ils viennent, d’un ton de
mauvais
goguenard, Vous railler sottement sur l’amour d’u
udoyé son frère et va sacrifier sa fille… Tels sont les dangers qu’un
mauvais
directeur fait courir à une famille, et c’est bie
d’un nouveau « principe réprimant », faute duquel tous les instincts
mauvais
ne tarderaient pas à se déchaîner. Or, le princip
la à Orgon qui rentre de voyage et songe bien moins à s’étonner de la
mauvaise
santé de sa femme qu’à s’extasier sur le bon appé
es les classes de la société. En 1660, le Palais voyait, et d’un fort
mauvais
œil sans doute, se renouveler, auprès des « princ
s cures négligées, »des « vicaires ambulans. » On persista, malgré le
mauvais
succès, à harceler les curés et les évêques pour
un envahissement des Jésuites et de leurs partisans la raison de ses
mauvais
rapports avec le Jansénisme, mauvais rapports ant
leurs partisans la raison de ses mauvais rapports avec le Jansénisme,
mauvais
rapports antérieurs, du reste, à la grande batail
iversité d’opinions » si chaleureuse qu’elle produit entre elles de «
mauvaises
émulations » et des « jalousies »implacables. Ce
diversité d’opinions ; »il y eut, sur l’exécution de ce programme, «
mauvaise
émulation. » De l’association du Saint-Sacrement
ux du recueillement spéculatif et du silence pénitent. S’il n’est pas
mauvais
que les personnes de piété se groupent, c’est moi
dit-il, page 11. ont conservé deux Pieces de Moliere dans le genre du
mauvais
Théatre Italien ; l’une est le Médecin volant ; &
ntmor de l’Academie Françoise ait souffert qu’on lui ait dedié une si
mauvaise
Piece, & des injures atroces contre un des pl
teur. Ou il n’est pas présent, ou il est du secret. N’imitons pas les
mauvais
acteurs qui ne le perdent pas plus de vue que le
ps que dure le couplet de l’autre ; & leurs aparté seroient aussi
mauvais
qu’ils sont bons, mais par la faute du Poëte seul
er elle-même ; lui dit, pour l’y engager, que le Comte a tenu de fort
mauvais
propos contre lui, & elle fait si bien que dè
s ailes. Votre empressement est louable, & vous justifie bien des
mauvais
soupçons que l’on vouloit insinuer à votre égard.
ut point que cela vous surprenne. Tel est son caractere : elle a très
mauvaise
opinion des hommes. Mais pour moi, du premier cou
traversoit le lieu de la scene pour se rendre à son Gouvernement. Un
mauvais
plaisant (où n’en trouve-t-on point ?) s’attache
Picardie.Et moi pareillement. Ménechme. J’avois un certain frere, un
mauvais
garnement, Et dont, depuis quinze ans, je n’ai no
le un seul acteur jouera, sans nécessité, deux rôles, sera jugée très
mauvaise
, à moins qu’on ne lui fasse la grace de la regard
sa province ; on ne suivit plus l’intrigue, & la piece tomba. Les
mauvais
plaisants soutinrent que l’Auteur avoit bien remp
serons les deux uniques comédies de la Chaussée, toutes les deux très
mauvaises
, toutes les deux imitées, au meilleur de ses dram
lle. Dans ces deux pieces, les deux meres prévenues pour un fils très
mauvais
sujet lui sacrifient leurs autres enfants, &
e dialoguer des romans, qui pillent de bons ouvrages pour en parer de
mauvais
; ceux enfin qui font passer sur notre théâtre le
r à Molière une part de notre Révolution dans ce qu’elle a eu de plus
mauvais
, une part dans l’opposition systématique aux droi
me, et je ne pense pas que personne puisse aujourd’hui accepter cette
mauvaise
excuse, qui est celle de tous les méchants quand
rté de génie attaqua la société d’alors dans ce qu’elle avait de plus
mauvais
et de plus redoutable, la noblesse oisive. On fai
t aimer le fils insolent qui l’a faite en est-elle moins une école de
mauvaises
mœurs ? » (Lettre à d’Alembert sur les Spectacles
l’amour, de la colère, de la tromperie, de la gourmandise et des plus
mauvais
instincts du cœur humain. On nous dit : Mais n’es
ien, qui veut trop prouver. Comptez aussi, et pour beaucoup, pour ces
mauvais
résultats (en bonne comédie et en bonne morale) d
reproches de pleuvoir sur le père de cette enfant, qui était un très
mauvais
poète, un très bon comédien et qui s’appelait Mon
t touchante. Aujourd’hui, cette enfant accueillie à ses débuts de ces
mauvais
présages, s’appelle mademoiselle Mars ! Ce qui vo
nt, fortement, délicatement. » Il disait encore :« Amas d’épithètes,
mauvaises
louanges ; ce sont les faits qui louent et la man
e était alors de versifier les pièces en cinq actes, et le public sut
mauvais
gré à Molière d’avoir dérogé à cet usage. Il est
qui touchent à la première vue. Je me flatte qu’il ne trouvera point
mauvais
que je dise comment il excita Molière à lui voulo
aise depuis cinq ou six heures, que l’épinette en avait contracté une
mauvaise
odeur. Quoique le secret de Raisin fût découvert,
is elle m’a paru si singulière, que je ne crois pas que l’on me sache
mauvais
gré de l’avoir donnée. D’ailleurs on verra par la
Nymphe dodue, qui courait parmi le peuple, faisait assez connaître la
mauvaise
disposition qu’il avait pour la poésie. Il demand
a lui dire qu’il était retenu ; et la Duparc n’avait garde de trouver
mauvais
que le jeune homme lui manquât de parole. Ils reg
er chercher son tailleur pour le faire habiller (car il était en très
mauvais
état), et il recommanda au tailleur que l’habit f
favorables dispositions qu’il avait pour le théâtre, il restât en si
mauvaises
mains. Ce fut cette fâcheuse situation qui toucha
des scenes dans lesquelles ces deux qualités réunies feroient le plus
mauvais
effet, & dont le dialogue ne brille que par d
en entier par deux longues tirades. Dira-t-on que le dialogue en est
mauvais
, parcequ’il n’est pas coupé ? Voyons, étudions la
diment sur le premier Théâtre de l’Europe, qu’on trouve même dans les
mauvaises
éditions. Harpagon demande à Maître Jacques ce q
le bon goût sur la scène comique, n’avait pu en bannir entièrement le
mauvais
; il était obligé d’encenser quelquefois l’idole
notre ancien Théâtre, M. Riccoboni aurait vu que la Belle Plaideuse,
mauvaise
Comédie de Boisrobert, avait fourni à notre Poète
yait seulement Baron* à la découverte, qui lui rapportait toujours de
mauvaises
nouvelles. Au bout de cinq ou six jours, on joua
e, sur le petit nombre d’Auditeurs qu’il avait à ses Sermons, fit une
mauvaise
satire contre lui dans laquelle on lui reprochait
du satirique, et l’Abbé Cotin*. Molière était en peine de trouver un
mauvais
ouvrage pour exercer sa critique, et Despréaux lu
p. 161 1715, Ménagiana, tome I, p. 78 Quand Molière mourut, plusieurs
mauvais
Poètes lui firent des Épitaphes. L’un d’entre eux
’en croirai rien, parce qu’il est impossible que Molière ait fait une
mauvaise
Pièce ; retournez-y ; et examinez-la mieux » 18
le bon goût sur la scène comique, n’avait pu en bannir entièrement le
mauvais
; il était obligé d’encenser quelquefois l’idole
e, au-lieu que la servitude des rimes l’obligeait souvent à donner de
mauvais
voisins à des vers admirables : voisins que les M
fut mort, que Paris fut inondé d’épitaphes à son sujet ; toutes assez
mauvaises
, à l’exception de celle que le célèbre La Fontain
e Rousseau ; mais il n’avait connu la véritable notoriété que par une
mauvaise
traduction de l’Iliade en vers français qu’il fit
vra, ainsi que quelques opéras. Orgueilleux, agressif, il s’attire de
mauvaises
affaires, se venge en lançant contre le Régent se
e, au lieu que la servitude des rimes l’obligeait souvent à donner de
mauvais
voisins à des vers admirables, voisins que les ma
rtitudes disparaissent : « Enfin ! s’écrie-t-il, nous avons vaincu la
mauvaise
fortune, in ultimo habbiamo vinta ! » Excellent d
mmène avec lui, en promettant d’être plus sage à l’avenir, et dans la
mauvaise
comme dans la bonne fortune, il ne sait pas résis
! mon frère, arrêtez, Et ne descendez point à des indignités ; À son
mauvais
destin laissez un misérable, Et ne vous joignez p
le ; car, au contraire, la morale serait détruite, si chaque bonne ou
mauvaise
action entraînait immédiatement récompense ou pei
nicale, et il se sera vu obligé de remplacer un vers admirable par un
mauvais
vers. Ce qui justifie cette conjecture, c’est que
ranché les termes consacrés, dont on auroit eu peine à entendre faire
mauvais
usage. » Or ce sont ici des termes consacrés, pui
nquillement. Pour cet acte, aucun Auteur ne le réclamera, il est trop
mauvais
: nous ne comparerons pas les situations à la nat
et traité par Moliere & Cicognini. Marton & Pasquin sont deux
mauvais
bouffons, Damis & le Marquis deux sots inutil
dupe ? Si j’allois... C’est bien dit : que sert-il de rêver ? Bon ou
mauvais
, n’importe ; il faut tout éprouver. L’ANDRIENNE
ngements heureux qui sont arrivés dans sa fortune : Dave lui parle du
mauvais
traitement qu’on lui a fait, il l’oublie en voyan
une. « Ce n’est point assez que les mœurs du théâtre ne soient point
mauvaises
, il faut encore qu’elles soient instructives : il
rien de si ridicule que cette délicatesse d’honneur qui prend tout en
mauvaise
part, donne un sens criminel aux plus innocentes
; car, suivant un poète célèbre3 : La vertu seule est grasse, et les
mauvais
sujets Ont beau manger et boire, ils n’engraissen
rient, et sont tout surpris de rencontrer dans leur femme une variété
mauvaise
ou bonne que rien ne leur avait fait prévoir. Les
res bouillantes13 Où l’on plonge à jamais les femmes mal vivantes ?
Mauvais
moyen ! Inutile intimidation ! D’abord, à force d
e vers. Elle possède d’ailleurs des connaissances véritables, quelque
mauvais
usage qu’elle en fasse. Malgré sa prévention, ell
t avoir dit le meilleur mot du monde Lorsqu’ils viennent, d’un ton de
mauvais
goguenard, Vous railler sottement sur l’amour d’u
icus. On n’en savait pas encore assez pour trouver le sonnet d’Oronte
mauvais
. Ce sonnet d’ailleurs est fait avec tant d’art, i
it pas été bornée à cinquante-trois ans. On lui a reproché encore ses
mauvais
dénouements. Mais quand le plaisir du spectateur
nde maison isolée, avec des gens et un carrosse, il se trouva quelque
mauvaise
langue qui répandit, à petit bruit, ou que madame
te, l’abbé Testu, afin qu’on ne le soupçonnât pas d’avoir eu part aux
mauvais
propos, faisait dans sa lettre des remontrances s
t, dans ce vers de la troisième satire où il fait la description d’un
mauvais
repas. Molière avec Tartuffe y doit jouer son rô
e s’est pas borné à peindre dans son Avare, l’Avare amoureux, l’Avare
mauvais
père, l’Avare usurier ; son Harpagon est tout cel
. Je suis, dit-il, un acteur passable, et je serais peut-être un fort
mauvais
secrétaire. Si ce fait est vrai, il fait égalemen
Alcmene ; mais Moliere se garde bien de leur faire débiter toutes les
mauvaises
plaisanteries que le Comique Romain a mises dans
se pour son malheur. Sosie. Hélas ! aurois-je effectivement lâché une
mauvaise
odeur ? . . . . . . . . . Mercure. Une certaine v
cette scene, ne se passant qu’entre deux personnages subalternes, est
mauvaise
, puisqu’elle interrompt l’intrigue des principaux
s embarquez nullement Dans ces douceurs congratulantes ; C’est un
mauvais
embarquement : Et d’une & d’autre part, pour
our.... Argan. Non, non, en voilà assez. Cette comédie-là est de fort
mauvais
exemple. Le berger Tircis est un impertinent, &am
te un opéra nouveau, Que faut-il pour le rendre beau ? L’Ecolier. De
mauvais
vers & de bonne musique. Le Professeur. Dans
bon imitateur : par la même raison, si on les remplit mal, on est un
mauvais
imitateur. La fameuse scene des Femmes savantes,
ntes réflexions que nous avons faites sur les imitations bonnes &
mauvaises
de Moliere nous ont donné lieu de détailler insen
’est pas irréprochable, le second acte renferme quelque chose de plus
mauvais
encore, c’est la liaison ou plutôt l’absence de l
inexpliquée comme celle des avocats? Dire qu’il y a eu négligence ou
mauvaise
contexture, ne suffit pas. La logique des diverti
dernier acte « on voit le païsan dans le comble de la douleur par les
mauvais
traitements de sa femme. Enfin, un de ses amis lu
u’on craignit qu’il es « crevât. » La comédie inspira peut-être cette
mauvaise
plaisanterie au lieu de l’avoir copiée. 4. Pou
sublimes, qui peignent l’avarice poussée au dernier point. Il y a une
mauvaise
piece de Chappuzeau, qui a paru sous différents t
ui je fais le même jugement de vous. Euclion. Fi ! cet encens-là sent
mauvais
: l’affamé flaire mon or. Hé bien, Monsieur, de q
Euclion. Soit : puisque l’affaire est sérieuse, je ne suis pas assez
mauvais
pere pour empêcher la fortune de ma fille : je vo
e, quand j’y penserois, il ne me seroit pas possible d’exécuter un si
mauvais
dessein. Mégadore. Finissons donc. A la fin m’acc
ler toute sa philosophie : de cette façon, le rôle d’Anselme, qui est
mauvais
, seroit devenu bon & nécessaire à la piece. L
l’on insiste sur cela. Brécourt fut un très grand comédien et un très
mauvais
sujet. Suivant des mémoires du temps, où il ne pa
âle. Hors de la scène, Brécourt, à ce qu’il paraît, se fit souvent de
mauvaises
affaires, et ne s’en tira pas aussi bien que d’un
est bien assez d’un ; la réputation de Brécourt est déjà suffisamment
mauvaise
. Acteur et bretteur, Brécourt fut encore auteur d
urent l’avoir trouvé dans Boursault, auteur encore obscur de quelques
mauvaises
comédies, à qui Molière n’avait peut-être jamais
la vengeance des marquis ; c’est sous ce titre même que de Villiers,
mauvais
acteur de l’hôtel de Bourgogne, et plus mauvais a
même que de Villiers, mauvais acteur de l’hôtel de Bourgogne, et plus
mauvais
auteur, donna une pièce en un acte et en prose, d
’en croirai rien, parce qu’il est impossible que Molière ait fait une
mauvaise
pièce ; retournez-y : et examinez-la mieux. 195
elques situations plaisantes, jugea à propos de la débarrasser de ses
mauvais
vers, et que, pressé de donner quelques nouveauté
s suivantes. Lucile est de ce genre, mais Lucile se sent encore de la
mauvaise
compagnie où le théâtre avait vécu jusqu’à elle.
ême pensée. Le moraliste a voulu montrer que non-seulement c’était un
mauvais
expédient d’enfermer une femme d’esprit pour gard
as juste qu’on y réponde par la personnalité ? Les gens qui la trouve
mauvaise
ne doivent pas se la permettre: d’ailleurs Boursa
us qui pesaient sur la nation; il fallait lutter avec un ordre social
mauvais
, et le faire, en s’étreignant fortement, craquer
rale, et causa même de la jalousie à Mlle Molière qui eut pour lui de
mauvais
procédés. Plus tard, les sentiments changèrent. C
st pas présenté comme un modèle à suivre, mais comme un exemple de la
mauvaise
éducation que les fils de pères comme Harpagon, d
ronton du ministère des beaux-arts. Les grands hommes, Colbert, sont
mauvais
courtisans, Peu faits à s’acquitter des devoirs c
de Mademoiselle pour Lauzun. C’était, de la part de Molière, un assez
mauvais
tour joué à son puissant collaborateur, puisqu’ap
spectacle d’une monomanie dans le rôle d’Argan et le tableau des plus
mauvais
sentiments du cœur humain dans celui de Beliue, a
en composée ; on le jette à la porte sans façon, ainsi qu’un homme de
mauvaise
compagnie. On lui inculpe quelquefois, même à cou
tune de Mmede Pompadour et de MmeDubarry. Écoutez parler Maugrebleuce
mauvais
sujet de dragon des Vacances : « Il n’est, morble
êtes modeste, ne vous en défendez pas. Ce quatrain-là n’est pas trop
mauvais
: il ferait déshonneur à tout autre ; mais il est
er. Il envoyait Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de
mauvaises
nouvelles. Au bout de cinq à six jours, on joua c
re, tout mortifié, se tint caché dans sa chambre : il appréhendoit le
mauvais
compliment du courtisan prévenu : il envoyoit seu
oyoit seulement Baron à la découverte, qui lui rapportoit toujours de
mauvaises
nouvelles ; toute la Cour étoit révoltée. « Cepen
t par la procédure qu’il vient d’essuyer, pour avoir dit que des vers
mauvais
ne valaient rien. 287. Du Bos, ou Dubos Jean-b
on d’être sotte comme un panier. Il a de plus été le poète d’insignes
mauvais
sujets, tels que le duc de Vendôme, le prince de
y mettre tous les vers. — À quoi bon m’étaler cette bizarre école Du
mauvais
sens, dis-tu, prêché par une folle ? etc. Il est
ù se tiennent les bureaux du faux bel esprit, où s’étale une école de
mauvais
sens prêché par une folle ; aucun de ces traits n
t on se met en peine ; Je soutiendrai toujours, morbleu ! Qu’ils sont
mauvais
, Et qu’un homme est pendable après les avoir fait
faisant le bouffon, composant quelques farces2, ne quittant point la
mauvaise
compagnie. Un jour, le sieur d’Assouci, le drôle
t, il est certain que la comédie en doit être ; et je ne trouve point
mauvais
qu’elle soit condamnée avec le reste : mais suppo
cœur humain, soit qu’il ait déjà enfanté l’amour sensuel, soit que ce
mauvais
fruit ne soit pas encore éclos. « Saint Jacques n
aux hommes que ceux qu’ils sentent et qu’ils confessent, on est trop
mauvais
médecin de leurs maladies. Dans les âmes comme da
nt étudier la morale dans les pièces de Molière n’en sortent pas plus
mauvais
: de bonne foi, en sortent-ils meilleurs ? On a t
ien, mais qu’un instinct victorieux attache à tout ce qui est faux et
mauvais
. Les uns et les autres bravent également toute di
sont dans une position plus périlleuse, et que leurs bons comme leurs
mauvais
exemples ont des conséquences plus étendues, il e
d au dehors une contagion mortelle, et elle infecte les autres de son
mauvais
exemple : Jam fœtet.« Ainsi, un père vicieux per
si faible et si fort, qui fut si sincère chrétien et trop souvent si
mauvais
catholique. En écoutant la belle paraphrase de sa
ète, enflé de son triomphe, et de lui reprocher de n’avoir fait qu’un
mauvais
et coupable ouvrage. Ils lui diront : « La vérité
ien qui observe sa religion. II n’y a point de dévot, pour absurde et
mauvais
chrétien qu’on le suppose, qui ne sache qu’une pa
es plus saintes actions : on donnera à mes plus droites intentions un
mauvais
tour, et l’on en rira. Ainsi on demeure dans un é
ais qu’il n’est qu’un pauvre histrion mal apparenté, un homme que son
mauvais
destin oblige au vilain métier de divertir les ge
doivent enflammer la charité du chrétien qui sait et qui croit que ce
mauvais
esprit, que celte plume obscène, que cet art impu
se termine à prendre toujours, quoique sous de belles apparences, le
mauvais
parti ; que la cause de Dieu souffre toujours lor
ion. La nature ne lui a donné ni l’oreille sensible au grincement des
mauvais
vers, ni l’œil qui s’agace au chatoiement des per
son ingénuité de savant et de brave homme, tous ces gens-là sont des
mauvais
sujets plus ou moins facétieux, plongés dans l’in
arbitre et la Providence ; mais ses comparaisons seraient encore très
mauvaises
et très sottes. Les actes des hommes n’ont aucune
’être laissé arracher. Une marque signalée de ce fonds, malheureux et
mauvais
de notre premier poêle comique, c’est la peinture
ne vaine ostentation de bonnes œuvres n’empêche pas d’en commettre de
mauvaises
, que son extrême « délicatesse pour les choses de
C’est ainsi qu’on calme une rancune et surtout qu’on la manifeste. Si
mauvais
qu’eût été jugé Don Garcie, les morceaux en étaie
es de bonnes grâces pour tous ceux qu’elles veulent s’attacher, point
mauvaises
, mais très peu sûres et préférant leur salon à to
ur traiter ma tendresse avec tant de rigueur, Et faire un jugement si
mauvais
de mon cœur ? Quoi ! faut-il que de lui vous ayez
l’art de traire les hommes », ne peut-on pas s’étonner qu’il trouve «
mauvaise
plaisanterie » ce mot de la même Frosine : « Je m
sez plaisant en effet. À l’astrologue qui lui reproche de « donner de
mauvaises
plaisanteries » : « Vous en parlez fort à votre
ez inoffensifs. Le fond même de l’intrigue qui consiste à montrer les
mauvais
auteurs sous le rôle de coureurs de dots est asse
lle n’inspire le bon goût. La meilleure satire qu’on puisse faire des
mauvais
poètes c’est de donner d’excellents ouvrages ; Mo
jusqu’à : « Mais des trois comme reine… » ne sont peut-être pas aussi
mauvais
. Les suivants, depuis. « Mais des trois comme rei
dans l’ignorance et « l’idiotie », c’est qu’Arnolphe a choisi le plus
mauvais
moyen pour se faire aimer, c’est que les jeunes f
enté comme grotesque. Arnolphe disait : Mais une femme habile est un
mauvais
présage, Et je sais ce qu’il coûte à de certaines
t que des embarras inextricables, n’avoir aucune passion, ni bonne ni
mauvaise
, les mauvaises vous mettant très mal en point, ma
rras inextricables, n’avoir aucune passion, ni bonne ni mauvaise, les
mauvaises
vous mettant très mal en point, mais les bonnes v
en point, mais les bonnes vous faisant presque autant de mal que les
mauvaises
, n’être pas méchant, mais n’être pas bon, n’être
t respect pour leur père. Il ne faut pas sortir de sa classe : par de
mauvais
moyens et ridiculement, non ; mais en soi vouloir
e, cette terreur que les Français ont du ridicule est donc d’une très
mauvaise
morale. En France ce qui fait rire, c’est n’être
e. Il commence à railler. On voit qu’il va, pour se venger un peu du
mauvais
accueil et du souper manqué, dauber sur l’infortu
pièce où l’on fait aimer le fils insolent n’est-elle pas une école de
mauvaises
mœurs ? » — « Les honnêtes gens de Molière sont d
resque tout entier George Dandin, parce que George Dandin a commis la
mauvaise
action d’épouser une jeune fille sans s’être inqu
té de réfléchir. » Il dit à Monsieur Jourdain : « Vous n’êtes pas un
mauvais
homme et je ne vous confonds pas avec un Harpagon
de lui, mais un peu moins. » Il dit à Argan : « Vous n’êtes pas plus
mauvais
qu’un autre, mais vous ‘êtes couard. On dira peut
tres. Comment voulez-vous qu’Erophile, à qui le manque de parole, les
mauvais
offices, la fourberie, bien loin de nuire, ont mé
suivrait bien ses leçons ne serait pas méprisable, ne serait pas très
mauvaise
, serait même d’assez bon sens et d’assez bon goût
qu’ils sont et qui fait des caractères complexes, mêlés de bon et de
mauvais
, et qui trouve « qu’il n’est pas incompatible qu’
ait rien du tout au bon goût ; que debout et assis, on peut donner un
mauvais
jugement ; et qu’enfin, à le prendre en générai,
st le refuge ordinaire de vous autres, Messieurs les auteurs, dans le
mauvais
succès de vos ouvrages, que d’accuser l’injustice
e impie de Don Juan, mais dont les esprits faibles pouvaient faire un
mauvais
usage, fut supprimée à la seconde représentation
ne et fait abstinence ; mais à la fin de l’hiver, il tousse, il a une
mauvaise
poitrine, il a des vapeurs, il a eu la fièvre : i
t en jeu et en mouvement sans une excitation un peu vive.« Mon sonnet
mauvais
! Au diable la dot ! » Il ne se le dit pas ; il n
ure un peu austère du xviie siècle. Il est plaisant que cet homme de
mauvaises
mœurs, ce rouleur, ce cabotin, qui a vécu entouré
ant au sérieux et disant tout de suite que pour cela même ils étaient
mauvais
, n’étant pas du domaine de la comédie. Si Lysidas
e font ses yeux. […] Certes, voulez-vous que je dise ? Vous prenez un
mauvais
parti, Et la possession d’un cœur […] Je ne vous
e est le caractere général auquel on doit reconnoître un bon & un
mauvais
Drame. La vraisemblance est l’essence d’une coméd
lloit, lorsqu’il l’a surprise, chercher Lucrece, pour ne pas jouer un
mauvais
rôle durant toute cette intrigue. Qu’on admette p
regarda d’abord cette distraction, cette désertion ; elle examina les
mauvaises
excuses, les raisons peu sincères, les prétextes,
rron se souvint avec combien d’esprit vous avez soutenu autrefois une
mauvaise
cause, à la même place et sur le même tapis où no
réciant le Misanthrope : « Il est impossible que Molière ait fait une
mauvaise
comédie ; retournez-y et examinez-la mieux. » En
sait, plaida courageusement auprès de Colbert la cause de son ami, «
mauvais
courtisan, » qui donnait plus à l’étude qu’à a la
on appel ; le curé de la paroisse et l’archevêque firent preuve d’une
mauvaise
volonté où l’inintelligence avait autant de part
il tirait tout de lui-même et que, pauvre comédien errant, malgré les
mauvais
jours et les déboires, il avait la jeunesse, l’es
ssez contraire parfois à la nature même de la comédie. Si Molière fut
mauvais
acteur tragique, il excellait dans le comique, et
ain, l’homme lui-même, avec sa trempe morale, ce mélange de bon et de
mauvais
qui est dans toute créature humaine. Dans cette q
gendra, du reste, chez lui, ni l’imprudence, ni le parti-pris, ni les
mauvaises
manières, ni l’indulgence pour soi-même que l’on
l’École des femmes attira à Molière une nuée de critiques toutes plus
mauvaises
les unes que les autres ; plusieurs personnes mêm
mes documents sur Stendhal, en m’envoyant un volume qui porte sur la
mauvaise
reliure de son dos le titre que je transcris ci-d
cet accident le Rouge et le Noir, la Chartreuse de Parme et quelques
mauvaises
fiches en moins au département des Manuscrits de
leure posture. Ce n’est pas une plaisanterie (pour exagération). Une
mauvaise
cause connue pour telle, gagnée, augmente le créd
leçons sur ce qu’est l’opinion publique ? fichue scène, d’autant plus
mauvaise
qu’elle redouble le vice auquel l’ouvrage ne penc
ont dans le monde ce qu’ils sont sur la scène, et qui, quand ils sont
mauvais
comme Alex. Duval, portent sur la scène ce qu’ils
orts pressants, Du foible que pour vous vous voyez qu’ont les gens ?
Mauvais
stile de [maxime, ou Molière]…… qui jette une fro
our arriver au point où nous le voyons. Il convierait Orgon à quelque
mauvaise
action, les anciens principes d’honneur s’opposan
é le mérite de la vivacité. Il me semble évident que Boileau était un
mauvais
juge de la gaieté. Je trouve Les Fourberies de Sc
dire cela ; mais elle est dans un de ces moments trop rares pour les
mauvais
poètes, où l’homme se trahit. Clitandre Et, que
ner un vrai plaisir. Quel ridicule y a-t-il à cela ! celui d’avoir un
mauvais
jugement littéraire ? c’est un ridicule bien peti
bile est-il le désir de plaire à Clitandre ? en ce cas elle prend une
mauvaise
voie, comme Mme Necker pour porter son mari au mi
oir vu ses reproches manquer d’effet, c’est dans la position, la plus
mauvaise
et la plus susceptible d’être foudroyée par la pl
e contraignant effort de ces aveux en face. Derniers abois, dernière
mauvaise
ressource de Tartuffe. Tome VI, in-8º, 121, les q
ssi généreux que l’autre est lâchement intéressé, offre de réparer le
mauvais
destin de toute la famille, & ce bon procédé
qui m’est arrivée ? Davus. Non assurément ; mais je sais très bien la
mauvaise
fortune qui m’est arrivée depuis que je vous ai v
its, qu’en tous lieux on vantât ses écrits. Voltaire aussi le déclare
mauvais
poète, mais homme fort savant, et, ce qui est ét
foucauld étant devenu goutteux et madame de La Fayette maladive, leur
mauvaise
santé les rendit nécessaires l’un à l’autre. « Je
cateur et comme poète, fut joué sur le théâtre, par Molière, comme un
mauvais
poète, comme un pédant, et ce qui ne peut être ja
osé qu’on l’eût, tout est sujet au sort. Il est juste qu’on gagne une
mauvaise
cause, Puisqu’à perdre la bonne en plaidant on s’
p; je sais de leurs traits... Ne nous laissons jamais séduire par le
mauvais
exemple que les Poëtes étrangers nous donnent. Im
chent un titre ; & quand leur imagination a arrangé deux ou trois
mauvaises
scenes à peine propres à faire un proverbe 39, el
illerie. (Il lui donne des coups de bâton.) Apprenez que vous êtes un
mauvais
railleur. Maître Jacques, seul. Peste soit la sin
ais railleur. Maître Jacques, seul. Peste soit la sincérité, c’est un
mauvais
métier ; désormais j’y renonce, & je ne veux
; chez un contemporain, c’est lorsque ses productions, reconnues pour
mauvaises
, laissent cependant entrevoir quelque beauté qu’i
e vaine ostentation des bonnes œuvres n’empêche pas d’en commettre de
mauvaises
, ne fît prendre la vertu et le vice l’un pour l’a
l’Amphitryon latin ; mais l’auteur a eu le goût d’en écarter les plus
mauvaises
plaisanteries de l’original, et le talent d’y ajo
e vaine ostentation des bonnes œuvres n’empêche pas d’en commettre de
mauvaises
, que son extrême délicatesse pour les choses de l
ques surprises ; Toutes ses pièces sont d’agréables sottises ; Il est
mauvais
poète, et bon comédien ; Il fait rire, et, de vra
titres; et, soit comme amants, soit comme époux, adonnés à toutes les
mauvaises
passions, ils ne tardaient pas à les précipiter d
objet, ils s’abandonnaient sans pudeur et sans retenue à toutes leurs
mauvaises
passions. Quel frein aurait pu les arrêter, lorsq
plus que suspecte; et quand sa femme lui demande si, en raison de sa
mauvaise
réputation, elle peut l’admettre dans sa société,
ffet, par expérience, quelles tribulations, quelles vicissitudes leur
mauvais
vouloir et leurs caprices font éprouver à ceux qu
rien. Peu lui importe d’ailleurs que ces entreprises soient bonnes ou
mauvaises
, elle n’achète pas les actions pour les garder, m
ombre elle est l’heureux triomphe du jugement et de la raison sur les
mauvais
penchants du caractère. Or, Alceste a-t-il cette
ais faire indistinctement l’application, sous peine de le rendre très
mauvais
. Il est fort bien de dire ce que l’on pense avec
é, il n’obéit qu’à ses emportements, et demeure inébranlable dans ses
mauvaises
résolutions. Lui fait on observer que l’arrêt qui
violence, et qui, s’évertuant à ne montrer dans leurs écrits que les
mauvais
aspects de notre nature, à n’étaler aux yeux que
nt on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu’ils sont
mauvais
, Et qu’un homme est pendable après les avoir fait
mari de vous ne peut prendre d’ombrage. Pour mieux braver l’éclat des
mauvais
jugements, Il veut que nous soyons ensemble à to
la parole, les éclairs du regard, la violence du geste, de toutes les
mauvaises
passions qui bouleversent l’âme de Tartuffe à sa
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