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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
’un air fâché qu’il l’a surpris à sa femme. Lélie pense que Célie est mariée  : le chagrin qu’il en ressent lui cause une foibl
usie des deux amants & des époux. Pour comble de bonheur, Valere, marié secrètement, ne peut s’opposer aux vœux de Célie
soit dans la rue ; il la querelle & lui dit ensuite qu’il veut la marier , lui ordonne de choisir un époux ; elle répond qu
pere d’Eléonora paroît sur la scene avec elle, lui dit qu’il veut la marier au Docteur : elle feint d’y consentir ; mais quan
ue son ami est à la campagne, que sa maîtresse est sur le point de se marier  ; mais il lui promet en même temps de faire son p
colere : Célio la défend encore. Acte IV. Le Docteur est en habit de marié  ; Magnifico l’accompagne. Ils veulent choisir une
les de la copie.   Piece Italienne, Acte II, Scene I. Magnifico veut marier Eléonora sa fille avec le Docteur qu’elle n’aime
o pour l’original du portrait. Désespoir de Célio, qui croit Eléonora mariée avec Arlequin. Scene VII. Célio frappe chez Scap
arrive avec Gros René son valet. On a dit au maître que Célie doit se marier incessamment, il est alarmé. Le domestique meurt
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. » pp. 426-435
ui fasse peur ; si je ne me trompe, elle n’a pas moins d’envie d’être mariée , que vous d’être Gouverneur ; & après tout, i
Gouverneur ; & après tout, il vaudroit bien mieux qu’elle fût mal mariée , que si elle faisoit quelque folie. Ecoute, ma fe
rtit Sancho, je te jure ma foi, que si je viens à être Gouverneur, je marierai si bien notre fille, qu’elle sera appellée Madame
ut le monde. O non pas, s’il vous plaît, mon mari, répondit Thérese ; mariez -la avec son égal, cela est bien plus sûr, & e
à son aune ? Vraiment, ce seroit une jolie chose que nous allassions marier notre fille avec quelque Baron, qui, quand il lui
; au lieu que nous ne verrons ni notre gendre ni elle si vous l’allez marier à la Cour & dans vos grands Palais, où person
épliqua Sancho ; pourquoi veux-tu, sans rime ni raison, m’empêcher de marier ma fille avec quelqu’un qui me donne de grands Se
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349
ois actes. Léandre, jeune homme de vingt ans, est sur le point de se marier avec Lucinde ; mais il frémit en songeant qu’il v
. . . . . . . . . . . Léandre. Et moi, moi, pour ton bien, je veux te marier . A prendre ce parti c’est l’honneur qui t’invite.
. . . . . . . . . . . Léandre, non content de prouver qu’on doit se marier & prendre un état, s’emporte contre le valet
er les talents, que de les mettre en place. Enfin Léandre parvient à marier Eraste à Lucinde, il obtient la main de son aimab
celles qu’ils présentent d’abord : tel est le caractere du Philosophe marié . Le titre de Philosophe m’annonce beaucoup ; le m
Philosophe marié. Le titre de Philosophe m’annonce beaucoup ; le mot marié qu’on y ajoute, met tout de suite mon imagination
se. Chaque fois que j’ai parlé d’un héritier que nos arbitres veulent marier à Lucie, vous m’avez demandé d’un ton curieux &am
4 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
occasionnés par les mœurs modernes, il est encore assez de mode de se marier  ; mais elle n’est pas aisée à acquérir. Les uns y
de l’expérience, croient en amasser beaucoup, reviennent chez eux, se marient , et sont tout surpris de rencontrer dans leur fem
qui la persiffle. Toute son étude est de faire aller sa maison et de marier sa fille ; et elle la mariera, car il s’est renco
étude est de faire aller sa maison et de marier sa fille ; et elle la mariera , car il s’est rencontré un homme assez sage pour
Et de Monsieur de l’Ile en prit le nom pompeux4. Il voudrait bien se marier  ; mais il craint les accidents qui peuvent suivre
té lui révélerait bientôt son ignorance ; car on ne saurait, une fois mariée , la tenir sous les grilles et les verrous. Malheu
tellement vaqué à la philosophie qu’elle n’ait trouvé le temps de se marier , d’avoir des enfants, et de mener Chrysale, en bê
fraye pas. Quand elle se croit ruinée, elle n’en persiste pas moins à marier sa fille avec Trissotin, le supposant assez génér
 La beauté ne peut être que nuisible à moins qu’elle ne serve à faire marier avantageusement une fille ; mais comment y servir
if avec lequel Molière a dressé l’état civil de ses personnages. Il a marié M. Jourdain, le bourgeois gentilhomme, parce que
ntérieur son rôle et son importance. Argan, le malade imaginaire, est marié , parce qu’autour d’un vieillard qui est, ou se cr
mprendraient pas dans une fille ; ils scandaliseraient dans une femme mariée  ; le veuvage sauve au moins les apparences. Célim
en un mot ne valent pas le diable. » Aussi est-il résolu à ne pas se marier . C’est aussi l’avis où s’arrête un autre Sganarel
merce dans lequel vous prévoyez qu’elle devra entrer, quand elle sera mariée . » Ces occupations, c’est le vrai rôle et la dign
; mais sous un autre nom vous reconnaîtrez la même personne. Elle est mariée à Orgon qui l’a épousée en secondes noces, et lui
piègle. Laure par obéissance renonce à George qu’elle aime, se laisse marier malgré elle à M. Richard, un banquier qu’elle ne
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
à point nommé. Julie dit à sa fille qu’elle va tout préparer pour la marier à Moncade. Mariane la remercie, veut, avant que d
ulie toute troublée emmene Mariane. Moncade se persuade que Julie va marier Mariane au Marquis, & qu’elle le force à part
NDRIENNE LATINE, Scene II. Simon se doute que son fils refusera de se marier  ; il a trop bien remarqué le trouble de Dave à la
énavant tu entreprends quelque fourberie pour empêcher mon fils de se marier , ou que tu veuilles en cette occasion faire brill
it à-peu-près les mêmes réflexions : mais l’Andrienne est secrètement mariée à Pamphile depuis un an : il n’est pas question q
mon pere a-t-il dépensé dix drachmes pour le souper : diroit-on qu’il marie son fils ? Qui de mes amis pourrai-je prier à sou
Je ne le saurai point ? Dave. Je ne le saurai point ?Il dit qu’on le marie Sans éclat ; qu’on l’expose à la plaisanterie...
e. Dave sort de chez Glycerion, exhorte encore Simon à faire venir la mariée  : il rapporte qu’un homme arrivé de l’isle d’Andr
, en donne des preuves : Glycerion se trouve fille de Chrémès : on la marie à Pamphile, qui prie son pere de faire délier Dav
ès égal à Destouches, lorsque celui-ci fait entrer dans le Philosophe marié , son portrait, celui de sa famille, & les cir
roche qu’on pourroit faire à la plupart des personnages du Philosophe marié . Nous avons déja dit que ce qui paroît fort de si
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
e de la trouver très courte, & en reconnoissance il lui promet de marier sa fille Dona Anna avec Don Juan. Ils sortent. Do
t par son fils à la Duchesse Isabelle. Le Roi indigné ne veut plus le marier à Dona Anna, fille de Gonzalo, & le bannit. O
e Don Juan se mêle parmi les gens de la noce. Don Juan vient, voit la mariée , la trouve à son gré, s’assied auprès d’elle, la
sied auprès d’elle, la caresse, & l’accompagne ensuite, malgré le marié qui meurt de jalousie. Troisieme Journée. Le mar
nsuite, malgré le marié qui meurt de jalousie. Troisieme Journée. Le marié , qui se nomme Patricio, est très jaloux de Don Ju
tenir à deux mains. La scene représente apparemment la chambre de la mariée . Bélisa y dit à la belle Aminta que son mari vien
mp; rend triste ce qu’elle aime. Don Juan entre dans la chambre de la mariée , qui n’est pas peu surprise, & se fâche. Don
on fasse sortir Isabelle du couvent où elle s’est retirée. Il veut la marier à Don Juan. Le Duc vient demander au Roi la permi
 : Don Juan promet, s’amuse en attendant à prendre de force une jeune mariée  ; ensuite il va voir l’Ombre, qui fait couvrir la
mi lui annonce le bonheur de sa fille, lui apprend que le Roi veut la marier avec le Duc Octave son neveu. Dona Anna rougit, p
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
que les parents & les amis eurent fait leurs visites aux nouveaux mariés , il crut qu’il devoit retrancher les siennes, &am
propres à retarder le mariage de son maître. Géronte se félicite de marier bientôt sa fille. L’Olive paroît en faisant claqu
ux intrigues comparées. Dans la Nouvelle, Anselme & Camille sont mariés . Il eût été indécent de mettre sur la scene les i
l eût été indécent de mettre sur la scene les infidélités d’une femme mariée  ; d’accord : mais le héros de la Comédie ne risqu
barras que lui causent son fils & sa fille ; il voudroit bien les marier , mais il voudroit en même temps ne pas se défaire
au lieu d’employer tant de gens pour réjouir sa fille, il n’a qu’à la marier . Oronte feint de ne pas l’entendre. Nérine conse
a maîtresse de jetter les yeux sur quelque honnête homme, & de se marier sans l’aveu de son pere. Isabelle avoue que la ch
de la tyrannie de leur pere : Isabelle avoue à son frere qu’elle est mariée  : Valere enchanté lui rend confidence pour confid
on masque ; Javotte s’avance ; son pere lui demande si elle est aussi mariée secrètement ; elle est trop jeune pour cela, mais
nconstant, qui est sous la tutele de ce dernier : il ne veut point la marier , pour jouir de son bien ; il est cependant obligé
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425
comparons à ceux qu’il connoît déja, celui qui est dans le Philosophe marié . Je ne le trouve pas merveilleux. Il est pourtant
élite. Quelle obstination ! Votre oncle & votre pere Veulent vous marier , est-il temps de vous taire ? Ariste. Sur cet art
ra ! Mon cher beau-frere, autant que je puis m’y connoître, Vous êtes marié , mais très honteux de l’être. Mélite. Prenez votr
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
dit-il, la cause de la maladie de Lucinde. Elle a grande envie d’être mariée . Il dit tout bas au pere qu’il va flatter sa mani
Médecin, dit à Sganarelle que sa fille ayant la manie de vouloir être mariée , il faut se prêter à sa folie ; qu’il va feindre
ir être mariée, il faut se prêter à sa folie ; qu’il va feindre de se marier avec elle, & que l’homme qui écrit ses remede
sentes. Là donc, dépêchez-vous d’accorder votre fils à Mademoiselle : mariez -les. Granger. Comment marier ! C’est une comédie.
s d’accorder votre fils à Mademoiselle : mariez-les. Granger. Comment marier  ! C’est une comédie. Corbineli. Hé bien ! ne save
Au reste, vous n’avez pas sujet de vous plaindre, car vous nous avez mariés vous-même, vous-même vous avez signé les articles
caire. Rosaura se trouve soulagée. Le Médecin conseille à Pantalon de marier sa fille. Pantalon annonce une consultation. Le D
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
fournir un exemple qu’il faut bien se garder de suivre. LE PHILOSOPHE MARIÉ ,OULE MARI HONTEUX DE L’ÊTRE. ACTE I. Scene I. (L
tre appartement toujours contrarié, Ici, je suis garçon ; là, je suis marié . Marié ! C’est en vain que l’on se fortifie, Par
artement toujours contrarié, Ici, je suis garçon ; là, je suis marié. Marié  ! C’est en vain que l’on se fortifie, Par le grav
ès heureux & qui valent, à mon sentiment, la tirade du Philosophe marié . Si bien donc que ce mois j’ai pris une, deux, t
r Tartufe pour époux. Dorine feint de ne le pas croire assez fou pour marier Marianne avec un homme qui n’a rien. Orgon vante
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
riage de son fils, il doit plutôt s’accommoder avec les parents de la mariée , & leur donner l’argent qu’il dépenseroit en
amante de Léandre, est reconnue fille d’Argante ; & l’Etrangere, mariée avec Octave, se trouve la fille même que Géronte
es. Tabarin trouve fort singulier que Piphagne, à son âge, songe à se marier , & dit.... des choses trop indécentes pour le
’en prends à témoin le Lecteur. Henri veut déterminer son maître à se marier avec la fille qu’on lui destine. LA MASCARADE. Ac
st la substance du premier acte, où Léandre est dans le dessein de se marier à une autre. (Dans ce récit il contrefait la voix
e : mais c’est cependant une chose dure, que de forcer quelqu’un à se marier malgré lui ; ce seroit proprement appuyer les fon
ême jour. Si Monsieur n’est pas curieux de tout ce tracas, il peut se marier d’abord sans toutes ces cérémonies. . . , . . . .
tre. Ce matin même. Octave. Et qu’il revient dans la résolution de me marier  ? Sylvestre. Oui. Octave. Avec une fille du Seign
p; s’offrir pour exemple. PHORMION, Acte I. Scene IV. Antiphon s’est marié pendant l’absence de son pere : on vient lui anno
. Le Gouverneur est au désespoir. Démiphon sait déja que son fils est marié . On lui dit qu’il a été forcé par la loi, parcequ
p; sur-tout la fille qu’il alloit y chercher. Son dessein étoit de la marier à son neveu Antiphon. Démiphon lui conte qu’il y
e qu’il y a un autre empêchement à ce mariage, puisque son fils s’est marié à une étrangere. Géta est charmé d’avoir deux cor
12 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
pelaient ses propres chagrins. Lorsqu’il écrivit Amphitryon, il était marié depuis deux ans, et ne s’abusait pas sur la fidél
éâtre-Français à tenter de nouvelles reprises. On parle du Philosophe marié , de Turcaret. On ne peut qu’approuver de tels cho
Destouches m’inspire une médiocre sympathie, la reprise du Philosophe marié ne me semble pas inopportune, car c’est un ouvrag
13 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
et la passait en revue : alors il n’avait pas encore atteint l’âge où Marié de Médicis faisait donner le fouet à Louis XIII.
n de celles de ses nièces qui étaient en âge de fixer les regards. Il maria Laure Mancini au duc de Vendôme. Il fit épouser M
e Vendôme. Il fit épouser Marie Martinozzi par le prince de Conti. Il maria au comte de Soissons Olympe Mancini. La maison de
14 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
exemple, les aphorismes humoristiques qu’on y prodigue : « Une femme mariée , dit Arlequin, est comme une maison dont le propr
ne font que babiller jusqu’au jour de la noce ; aussi, quand ils sont mariés , ils n’ont plus rien à dire à leurs femmes. Je co
l faudrait mettre du côté de l’épée le million que vous cherchez pour marier votre fille, acheter un duché et établir votre fi
moi à coup sûr. ARLEQUIN. Ces messieurs ayant appris que vous vouliez marier mademoiselle votre fille, donner une charge consi
essieurs, de votre honnêteté. (À La Ressource.) Mettez que c’est pour marier ma fille, donner une charge à mon fils, acheter d
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
ous point de la vie de garçon ? Le Marquis. Pas encore, qheu... Je me marierai , qheu, quand j’aurai la goutte. Frontin. La goutt
sque d’unir deux contraires ensemble. Destouches, dans son Philosophe marié ou son Mari honteux de l’être, n’a-t-il pas marié
dans son Philosophe marié ou son Mari honteux de l’être, n’a-t-il pas marié à la philosophie, principe de toute sagesse, la f
cchus. Il en est de même des caprices de Céliante, dans le Philosophe marié . Mais lorsque nous verrons Harpagon avare avec se
16 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
uée. Il advint que le frère, qui n’avait d’autre désir que de la bien marier , se lia d’amitié avec un certain capitaine, leque
nt ce que son frère projetait, lui déclara qu’elle ne voulait plus se marier . Tourmentée par Cinthio à ce sujet, Isabelle (c’é
irions aujourd’hui), Stefanello, Vénitien, est en correspondance pour marier sa fille Ortensia à un jeune homme de Gênes nommé
pu13. Dans Le Burle d’Isabella (les Ruses d’Isabelle), Pantalon ayant marié sa servante Franceschina à Burattino l’hôtelier,
17 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
e, par sa passion effrénée pour Charlotte de Montmorency, qu’il avait mariée au prince de Condé, son neveu, et, selon plusieur
s amours du roi, qui n’avaient plus l’excuse de la jeunesse. Rien que mariée à l’un de ces fidèles d’Angennes qui servaient He
nri IV. Henri aimait passionnément mademoiselle de Montmorency. Il la maria au prince de Condé (qui passait pour être son fil
des sarcasmes. « Vous voulez, disait-elle au roi avant le mariage, la marier à votre fils (car vous m’avez dit qu’il l’était),
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
lets dans la même maison. Acte i. Scene iii. Magnifico a dessein de marier sa fille Eléonora ; il parle de ce mariage à Céli
é. L’Avare de Moliere. Acte i. Scene vii. Harpagon veut absolument marier sa fille à un vieillard qui la prend sans dot. On
nd mal entre un commis & la fille de son bourgeois ; mais Valere, marié secrètement à Elise, ne peut que frémir en avouan
nt la préférence : la belle se trouve ensuite fille du Docteur. On la marie à Célio.   Voilà encore un fond italien qui a fou
demande point de dot. Mais Valere, qu’il reconnoît pour son fils, est marié secrètement à cette même Elise : il obtient pour
s ainsi seul ? Euclion. Je déplore ma misere. J’ai une grande fille à marier , & je n’ai point de dot à lui donner : person
z point de cela, Euclion ; ayez bon courage : on vous donnera de quoi marier votre fille : moi-même, je m’offre à vous assiste
néant, & le plus gueux de tous les humains. Cela supposé : si je marie ma fille avec vous, je m’imaginerai que vous êtes
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
p; dictés par la scélératesse même. Nous en avons dans Plaute, qui se marient pour céder leur femme à leur patron. La Cassine.
Le dernier se charge de la vengeance ; il prend les ajustements de la mariée , il rosse dans l’obscurité le métayer & son m
sur-tout à Paris. Depuis quand la mode a-t-elle donc si fort changé ? Marions -nous au plus vîte sur la parole de l’Auteur. Mais
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
dans sa tête, agite, renonce, balance, prend sa résolution : le voilà marié avec elle depuis trois jours. Certainement tous
une famille ? Madame Grognac. Oui. Valere. Oui.Vous ne voulez point marier votre fille ? Mad. Grognac. Non. Valere. Non.Qua
bes deviennent comiques. Tout au contraire, quand, dans le Philosophe marié , Géronte arrive, qu’il voit son neveu occupé à ég
le ruban. Si le spectateur étoit du secret, comme dans le Philosophe marié , s’il savoit ce qu’Horace a pris à Agnès, cette s
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
ses pieces qui sont restées au théâtre. Voyons d’abord le Philosophe marié , ou le Mari honteux de l’être. Quel doit être le
nce. Que promet-il tel qu’il est annoncé ? Un homme qui, après s’être marié , en rougit & n’ose l’avouer. Supposons quelqu
qu’elles mettroient en contraste avec ce personnage. « Un Philosophe marié , me répondront-elles surement, qui soutiendra qu’
amp; plus propres par conséquent à nous instruire. Dans le Philosophe marié , le caractere vif, plaisant, & bien dessiné d
22 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
e de Sganarelle et de Géronimo, où le premier demande conseil pour se marier , est pleine de comique et de raison. La scène six
si jolie ; la seizième, où Alcidas veut que Sganarelle se batte ou se marie , est un modèle de bon comique. Voilà tout ce qu’i
me, où l’avare prend l’amant de sa fille pour juge de son refus de se marier  ; la scène sixième du deuxième acte, dans laquell
an compte ses mémoires ; la cinquième, où il propose à sa fille de se marier , Angélique croyant qu’il parle de son amant ; sa
23 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
avait. La troupe (les) lui accorda, pour lui ou pour sa femme s’il se mariait . » Le contrat de mariage fut signé, le 23 janvier
e l’état civil douteux de sa femme et pour éviter le bruit, se serait marié un mardi gras, jour où les églises sont désertes,
s plus directes à son ménage. Il ne serait pas impossible qu’aussitôt marié il ait entendu de la bouche de sa femme la déclar
ppellent ce que nous apprend Grimarest du ménage de Molière. Aussitôt mariée , Armande « se croit une duchesse, » se pare avec
et ce serait trop en tirer que d’y prendre un argument contre Armande mariée depuis deux ans à peine. Bientôt, un comédien de
. L’ORVIETAN. On ne dit pas qu’encor vous le soyez actu ; Mais, étant marié , c’est chose très certaine Que vous l’êtes, du mo
s dates, l’invraisemblance devient une impossibilité. Armande s’était mariée le 20 février 1662, et, le 10 janvier 1664, elle
ueur à qui lui revenait. Mais il est fâcheux pour Molière qu’une fois marié il n’ait pas pris à son égard une attitude nette
c’est-à-dire par sa profession et son inconduite ; « avant que d’être mariée , elle a toujours vécu dans une prostitution unive
ujours vécu dans une prostitution universelle ; pendant qu’elle a été mariée , elle a toujours vécu dans un adultère public ; e
24 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
punition, se présente, épouse Aurelia et donne à Arlequin de quoi se marier avec Diamantine. Citons encore un canevas de la m
s de la même époque : Arlequin, dupe vengée : Arlequin, nouvellement marié avec Diamantine, mange souvent en ville par écono
xtrême indécence. Ainsi, il escaladait, dit-on, le balcon d’une femme mariée et y reparaissait de temps en temps, en disant co
pauvre Scaramouche, et il faut que je sois assez malheureux pour être marié  ; car, sans cela, dans le chagrin où je suis, je
25 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
Coulanges. Ce fut chez la maréchale d’Albret que madame de Montespan, mariée en 1663, à l’âge de 22 ans, fit connaissance avec
lante, mais probablement plus aimable. C’était madame de La Sablière. Mariée à l’âge de 17 ans avec un homme riche, spirituel
femme du chancelier Le Tellier, cousine germaine du ministre Louvois, mariée fort jeune à un homme de robe devenu célèbre par
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
ocher tant bien que mal les unes aux autres. Parcourons le Philosophe marié , de Destouches. ACTE I. Scene I. Monologue de tr
marche infiniment plus rapide. Valere, dans le Dépit amoureux, s’est marié secrètement Mascarille, son valet, craint que l’a
ue je ne vois pas un exemple ailleurs. ACTE II. Scene V. Damis s’est marié sans le consentement de son pere. Il espere qu’en
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
s quiproquo très plaisants, il imagine de lire que celui qui écrit va marier son fils. Eraste, satisfait, jure de par Newton q
& ne sait trop s’il doit l’épouser, parceque Newton ne s’est pas marié . Bélise, sœur d’Eraste, paroît la larme à l’œil
ie. Lisimon son ami, homme sensé, l’en dissuade, & l’exhorte à se marier . Eraste avoue qu’il a projetté d’épouser sa pupil
28 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
er de la plus jeune sœur de la duchesse, Angélique Claire d’Angennes, mariée en 1658 au comte de Grignan, le même qui, après u
, nous voyons donc la marquise, âgée de 70 à 80 ans, sa seconde fille mariée au comte de Grignan et de temps à autre madame de
’âge de 5 ans, élevée par un oncle respectable, instruite par Ménage, mariée à 18 ans, veuve à 26, retirée pendant deux années
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
e son établissement, & sa mauvaise étoile avoit voulu qu’elle fût mariée avec un artisan, qui n’avoit d’autre mérite que b
le jeune homme qu’on éleve avec une honnête indulgence, en abuse, se marie en secret, &, non content de faire des folies
os modernes, ne pouvoit pas décemment mettre sur le théâtre une femme mariée & amoureuse, encore moins un confesseur. Il a
ujours avec qui chanter ! Micio. Pourquoi non ? Déméa. Et la nouvelle mariée apprendra aussi ces belles chansons ? Micio. Sans
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. Pieces intriguées par un événement ignoré de la plupart des Acteurs. » pp. 192-198
r de la part de son pere pour le ramener en Provence, où l’on veut le marier . Le Marquis lui dit qu’il est déja lié à Emilie,
! pourquoi ? La Fleur. Vous rappelle. Hé ! pourquoi ?C’est pour vous marier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le Marquis.
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XL. Du dénouement des Pieces à caractere. » pp. 469-474
tte nuit faire un autre voyage. Vous n’y songez donc plus ? Vous êtes marié . Léandre. Tu m’en fais souvenir ; je l’avois oubl
s donner à votre ouvrage un embonpoint qui ne lui soit pas contraire, mariez vos épisodes à votre caractere principal. Ceci mé
32 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
age pour lequel son père a donné parole, il imagine de dire qu’il est marié , et à trois mois d’être père, et qu’il fasse ce c
es deux arts, quelqu’un qui pose. Le Gorgibus de Sganarelle, qui veut marier sa fille à un homme qu’elle n’aime pas, c’était l
i voit tous ses plans tourner contre lui, une fille qui craint d’être mariée malgré elle, n’ont pas le loisir d’avoir du trait
l’amant qu’on ne lui enlève sa maîtresse, à la maîtresse qu’on ne la marie de force ; on demandait la représentation d’un vi
honnête maison, voilà la pensée de la pièce. Une mère bel esprit veut marier sa fille à un méchant poète dont elle est entiché
il avait fait voir ses beaux côtés dans le rôle d’Ariste. Plus tard, marié et malheureux, mais n’ayant pas perdu l’espoir de
e sel. Dans le Phormion de Térence, Démophon apprend que son fils est marié sans son aveu. Il veut se préparer des consolatio
rée dans la maison d’un jaloux, qui veut se sauver de son tyran et se marier honnêtement ? Une autre fois Molière met en actio
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
D’un autre côté le valet de Valere avoue à Polidore que son fils est marié secrètement avec la fille d’Albert. Polidore, tro
lequin va trouver le Docteur, & lui dit que son fils Flaminio est marié secrètement avec Béatrix ; qu’il s’introduit chaq
aminio vient troubler sa joie, en lui disant qu’il va incessamment se marier avec Béatrix. Pantalon lui répond que cela ne se
antalon lui répond que cela ne se peut point, parcequ’elle ne veut se marier qu’après l’arrivée de Lucindo. Béatrix accourt, &
nio. Il lui donne sa fille. Silvio épouse Béatrix, & Colombine se marie avec Brighella.   Moliere, en rejettant tout le
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du point où doit commencer l’action d’une fable comique. » pp. 172-177
sauver par une double intrigue, comme Destouches, dans le Philosophe marié , & la Chaussée, dans le Préjugé à la mode. An
Analysons en passant ce dernier exemple. Durval & Constance sont mariés depuis long-temps. Constance n’a pas cessé d’ador
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
e à souper ; elle rit, & si haut qu’elle le réveille. Lui-même se marie le matin, l’oublie le soir, & découche la nui
tte nuit faire un autre voyage. Vous n’y songez donc plus ? vous êtes marié . Léandre. Tu m’en fais souvenir ; je l’avois oubl
’appeller son fils dix fois le jour. Il a pris la résolution aussi de marier son fils à la fille d’un homme d’affaires, &
ce qu’il dit quand son accès le prend.   Regnard a fort bien fait de marier les deux idées de Plaute : mais par quelle raison
-Scene. Menechme, marchand Sicilien, eut un fils nommé Moschus, qu’il maria fort jeune, & de qui naquirent deux jumeaux t
orsqu’il se fut égaré dans la foule, qu’il avoit adopté depuis, & marié en lui donnant tout son bien. Action. Menechme l
geois un paysan & une paysanne, âgés d’environ quarante ans & mariés ensemble, furent chez un Notaire de cette ville,
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168
vain. Je ne m’étonne plus s’il a joué d’adresse. La Tante. Seroit-il marié  ? Léandre. Seroit-il marié ?Non pas ; mais. . .
’il a joué d’adresse. La Tante. Seroit-il marié ? Léandre. Seroit-il marié  ?Non pas ; mais. . . . La Tante. Seroit-il marié
Léandre. Seroit-il marié ?Non pas ; mais. . . . La Tante. Seroit-il marié  ? Non pas ; mais. . . .Hé bien, qu’est-ce ? Léand
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80
e...Vous cousez si mal... Mad. Adam. Je... Vous cousez si mal...Nous marions ma fille. Valere. Quoi ! vous la mariez ! Elle es
.. Vous cousez si mal...Nous marions ma fille. Valere. Quoi ! vous la mariez  ! Elle est vive & gentille ; Et son époux fut
is, Vous plaira dans la suite autant & plus qu’à moi : Je vais me marier tout-à-fait ; & mon pere Avec mes créanciers
les dénouements. MOLIERE. Les Femmes savantes. Philaminte veut marier sa fille Henriette avec Trissotin ; Chrisale veut
38 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
ni traduit, ni même imité Terence. Les deux frères ici ne sont point mariés  ; ils sont les tuteurs de deux filles qu’un de le
qualité de ministre de la R. P. R., après le décès de laquelle il se maria en la province de Brie, où il embrassa la vraie r
is capitaine de cavalerie dans les troupes du duc de Savoye, où il se maria , après avoir aussi embrassé la vraie religion. Ce
orts avant Molière; mais sa fille, Esprit-Madeleine, lui survécut, se maria avec M. Rachel de Montalant, et mourut à Argenteu
septembre 1639, mort en 1685. 80. Françoise, née le 3 novembre 1642, mariée le 28 février 1661 à Mathieu Dennebault, commis d
rale en Guienne. 81. Mlle Dupin (Louise Jacob), née le 3o mars 1649, mariée le 8 avril 1665 à Joseph Du Landas, dit Dupin. 8
aient pas. » 87. Elle s’appelait Jeanne de La Chappe, et avait été mariée en premières noces à P. Rousseau, sieur Du Clos.
ince. On croit qu’elle mourut en Hollande. 164. Elisabeth Dispanet, mariée à Jean Valliot le 22 septembre 1620, mourut en 16
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410
voit épousé une belle jeune fille, nommée Gitte. Il ne fut pas plutôt marié , qu’il devint le plus jaloux de tous les hommes.
oient d’une grande antiquité ! Si j’en avois été crue, on vous auroit mariée , ma fille, à un homme de votre qualité, & vou
se fut passé en bal & festins, il fut question d’aller coucher la mariée  ; son homme ne tarda guere. Comme il fut dans le
40 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
Arnolphe, le personnage principal de la pièce, a pris le parti de se marier . C’est un homme qui ne manque ni d’intelligence,
’au moment où Agnès retrouve son père qui la reprend à Arnolphe et la marie à Horace. Je m’arrêterai seulement sur la scène c
condition, un paysan, qui avait pris, lui aussi, la résolution de se marier . Il ne ressemble pas à Arnolphe bien qu’il ait un
ort ridicules et fort pauvres ; qu’elle aurait beaucoup de peine à se marier  ; qu’un bon parti se présentait pour elle ; qu’el
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
s qui aiment le repos & qui font consister le bonheur à ne pas se marier  ; que son frere au contraire a passé ses jours à
s le Cocu imaginaire, Célie sait bien que Gorgibus, son pere, veut la marier à un homme qu’elle n’aime pas ; cependant le publ
it, & je le lui apporte. J’ai oui dire que son jeune maître s’est marié , & je ne doute nullement que cet argent ne so
nullement que cet argent ne soit pour faire un présent à la nouvelle mariée . Quelle injustice, bons Dieux ! faut-il que les p
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
ancier, a une fille nommée Julie qu’il fait sortir du couvent pour la marier . Il amene Dorante à sa campagne, lui laissant esp
avois oublié, j’ai tort. Monsieur Pot-de-vin, c’est ce soir que je me marie . Pot-de-vin. Monsieur le Marquis, je le sais. Le
arquis. Ils ne savent donc pas que je me sacrifie pour eux, que je me marie ... Il me semble que c’est assez bien m’exécuter.
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311
émies de province, dût-il être mis constamment sous le tapis. Elle ne mariera pas Henriette avec Trissotin, Parcequ’il a l’hon
êtu en Moine, monte la nuit, par une échelle, à la fenêtre d’un femme mariée , & y reparoît de temps en temps, en disant, q
44 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
44 ; alors enfin il lui restait encore un obstacle à franchir pour se marier  ; c’était sa religion. Montausier était calvinist
de Nortlingen. Enfin, en 1658, elle se sépara de sa plus jeune fille, mariée avec ce même comte de Grignan qui épousa ensuite
45 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
est prise dans le Bourgeois gentilhomme. La 7e entrée: Les Nouveaux mariés (Philis, Idas, Lycas), avec le morceau : Répands
couplets pour un musicien et deux musiciennes. — Une danse pour deux mariés ; 3° Après la sérénade viennent les airs de danse
mier acte de la comédie. « Le sujet est qu’un riche païsan, s’estant marié à la fille d’un gentilhomme de campagne, ne reçoi
venait le deuxième acte: « C’est une suite des déplaisirs du païsan marié , qui se trouve encore interrompu par la mesme ber
46 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [45, p. 77-78] »
e Jeanne Imbert et son père Étienne Mignot. Le 28 février 1666, il se marie avec Angélique Messa. Il meurt en 1678. (César.or
47 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [48, p. 80-81] »
français. Il fait partie de la troupe du Marais de 1660 à 1665. Il se maria avec Marie Boldville ou Belleville. Selon Grimare
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
chacun de ses ouvrages. LA SÉRÉNADE. Griffon, vieux usurier, veut se marier avec une jeune personne nommée Léonor. Valere, fi
us les diables que de s’opposer à leur mariage. LE BAL. Géronte veut marier sa fille à M. de Sotencour. La Demoiselle, éprise
la piece ce qu’on entreprend contre lui. Le bon homme a dessein de se marier  ; mais il cede sa maîtresse à son neveu Eraste, &
e impardonnable, d’avoir mis dans sa piece de George Dandin une femme mariée qui fait l’amour avec un autre homme. L’Auteur de
s personnes se révolterent contre une comédie dans laquelle une femme mariée donne rendez-vous à son amant. Elles pourraient c
49 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
il aime beaucoup sa niece, lui demande d’un ton dur si elle veut être mariée , oui ou non, &, sur sa réponse, lui promet de
amp; l’autre. Dépêchez-vous donc. Voulez-vous me fâcher ? Là, je vous marie , soyez heureux, & ayez meilleure opinion de m
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
es les politesses que sa jeunesse & son sexe méritent. Il veut la marier au fils d’un de ses amis, jeune homme qui a tout
ilà jusqu’où s’étend toute sa dépense. Quant au Lisimon du Philosophe marié , il est aussi ferme que le Lisimon du Glorieux es
u Glorieux est foible : ce bout de scene va le prouver. LE PHILOSOPHE MARIÉ . ACTE III. Scene XIII. Géronte. Je me fais appe
raison dans toutes ses comédies. Les plus estimées sont le Philosophe marié & le Glorieux. Dans la derniere de ces pieces
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
ouchantes sur son malheur & celui de sa fille qu’il a immolée, se marient agréablement avec les ris qu’Arlequin excite lors
verser des larmes. Marion pleure, Marion crie, Marion veut qu’on la marie . Voilà l’analyse de nos comédies modernes, du mo
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
e que la maladie de sa fille n’a d’autre principe que le desir d’être mariée  : il ajoute que, pour donner plus surement à ses
’y vais. Pour vous, Messieurs, n’attendez pas qu’ils sortent : ils se marieront dans la maison ; & s’il y a quelque autre cho
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74
ir : Ils n’ont vécu que par magie, Le sommeil les a fait mourir. Le Marié sans le savoir de M. Fagan paroît ensuite, &
cole des Maris ; que la folle Comtesse est une échappée du Philosophe marié . Mais je plais, il suffit. La Muse. Croyez-moi, o
54 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [36, p. 64-67] »
esse, sœur de Condé, qui avait épousé en 1642 le duc de Longueville. [ Mariée en 1657], spectatrice de la Fronde, elle regretta
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366
son. Une piece dans laquelle un pere auroit dix filles qu’il voudroit marier ou ne pas marier, selon ses caprices, pourroit do
ns laquelle un pere auroit dix filles qu’il voudroit marier ou ne pas marier , selon ses caprices, pourroit donc avoir dix intr
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
e par Champagne est le mari d’Ismene, pere d’Isabelle, & qu’il la marie avec Accante. Lorsque j’ai conseillé de prendre l
itté Bourdeaux ; &, pour la fixer à Paris, il veut absolument l’y marier  : de sorte que Damis est obligé de lui révéler le
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
r Alcantor, pere de la Demoiselle, pour lui dire qu’il ne veut pas se marier . Alcantor lui répond que les volontés sont libres
ndre sa réponse. Il lui propose encore une fois de se battre ou de se marier , & sur le refus qu’il en fait, il recommence
58 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
es des Prés de Montpezat, sa première femme5. Cette dame, qui s’était mariée pour la première fois en 16146, devait être beauc
calomnie de Montfleuri, qui était alors plausible. Elle se supposait mariée à dix-sept ans au lieu de vingt-quatre ; elle s’é
59 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341
, & l’indécence de la situation naît de celle du sujet. Une femme mariée qui déteste son mari, qui est amoureuse d’un autr
is, il vient lui en témoigner sa joie. Moncade. Je ne veux point me marier . Eraste. Comment donc ? Moncade. Cela est ainsi.
Je ne vois pas que c’en soit une bonne marque, de ne vouloir point se marier . Eraste. Adieu, Moncade ; vous ne serez peut-être
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
t peu de son esprit. La noce finit de bonne heure, & les nouveaux mariés demeurerent seuls. Don Pedre fit coucher ses vale
TE III. Scene II. Les Maximes du mariage, ou les devoirs de la femme mariée , avec son exercice journalier. Maxime I.   Cell
t à la vieille qu’il falloit bien que ce gentilhomme n’eût jamais été marié , & que c’étoit elle qui se promenoit dans sa
des Cocus, en vers & en un acte, par Dorimon. Le Capitan veut se marier  ; le Docteur lui conseille de n’en rien faire, &a
61 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
ière a substitué un Vieillard au Confesseur ; et, au lieu d’une femme mariée , il a pris une jeune pupille dont le vieillard am
vêtu en Moine, monte la nuit par une échelle à la fenêtre d’une femme mariée , et y reparaît de temps en temps, en disant : Que
La Grange n’avait qu’une fille unique qu’il aimait beaucoup, et qu’il maria à un homme qui la trompa ; il en mourut de chagri
fille d’Anne de la Fontaine, seigneur d’Esches et d’Orgerus. Elle fut mariée le 8 mai 1643 à Louis de Mornay (1619-1691), mili
buées : Les Ramoneurs (1662) et L’Apothicaire dévalisé (1666). Il fut marié deux fois à des comédiennes ; la seconde Mlle de
tes et en vers. 93. Colin (Brécourt, 1666, La Noce de village) : le marié . 94. Brécourt, sieur Guillaume Marcoureau dit,
le genre de la comédie larmoyante, avec en particulier le Philosophe marié (1727). [...]. (DET, M. de Rougemont p. 489) 98.
français de l’Hôtel de Bourgogne à partir de 1638. fils de comédiens, marié à une comédienne qui lui donnera six enfants ; de
dre la troupe à la cour et dans des procès, surtout après 1673. Il se marie tard à trente-sept ans en 1672 avec Marie Raguene
e Jeanne Imbert et son père Étienne Mignot. Le 28 février 1666, il se marie avec Angélique Messa. Il meurt en 1678. (César.or
62 (1735) Moliere (Supplément au Grand Dictionnaire historique) « MOLIERE, (Jean-Baptiste Poquelin) poëte comique, etc. » p. 82
i, qu’il n’en eut jamais qu’une qui était de mille livres. Moliere se maria , choisit fort mal sa compagne, et fut très malheu
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
dit. Dans la piece nouvelle, le dénouement est plus marqué, puisqu’on marie Valere avec Henriette, & qu’on force M. Guill
de Zaïde. Cette derniere se trouve fille du Marquis de Sardan, on la marie au Chevalier, & la Comtesse à Timante.   Les
Frontin vient sous la robe d’un Médecin persuader au Baron qu’il doit marier le Chevalier avec Zaïde, est encore prise dans le
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
amants. Dupuis, déconcerté, est obligé de convenir qu’il ne veut pas marier sa fille : il a cependant une grande amitié pour
je vous envoie, pour me persuader que vous étiez sur le point de vous marier à une autre ; c’est cette pensée que je n’ai pu s
rétion, lui reproche d’être amoureux comme un roman 45, & veut le marier pour l’en punir. Il le renvoie en lui disant qu’i
65 (1769) Éloge de Molière pp. 1-35
s montrant Harpagon dans le plus beau moment de sa vie, le jour qu’il marie ses enfants, qu’il se marie lui-même, le jour qu’
plus beau moment de sa vie, le jour qu’il marie ses enfants, qu’il se marie lui-même, le jour qu’il donne à dîner. Enfin on v
e son existence ? Molière le met en scène avec un Vieillard prêt à se marier , qui le consulte sur le danger de cet engagement.
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
ple plaisant. Une vieille tante ne veut pas consentir que sa niece se marie , & veut elle-même épouser Oronte, amant de la
nt de la jeune personne, ou Léandre ami d’Oronte. Comme on a parlé de marier la vieille folle à un certain Baron d’Albikrac qu
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
vrage, Chapitre XXIII, des Reconnoissances. Les héros de la Chaussée, mariés comme chez Regnard, se sont quittés par antipathi
x pieds du Marquis, qui reconnoît ses torts, embrasse sa femme, & marie Darviane avec Rosalie.   La Chaussée ajoute au r
68 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
uefois sentir dans cette pièce la joie expansive d’un homme qui va se marier ... Il y eut grand spectacle, ballet, décorations
laisse emporter […] Sa grâce est la plus forte. IX. Molière se maria le 20 février 1662, à Saint-Germain-l’Auxerrois,
surtout, ouvert à cent sortes de gens, l’exposèrent, dès qu’elle fut mariée , à la lâche assiduité des marquis désœuvrés, qui
le, je n’ai pas laissé de tomber dans le désordre où tous ceux qui se marient sans réflexion ont accoutumé de tomber. » Et le
on ! Il le met en scène dans le plus beau jour de sa vie, celui où il marie son fils, où il marie sa fille, où il va se marie
e dans le plus beau jour de sa vie, celui où il marie son fils, où il marie sa fille, où il va se marier lui-même. Et que d’h
sa vie, celui où il marie son fils, où il marie sa fille, où il va se marier lui-même. Et que d’heureuses circonstances ! Il m
e, où il va se marier lui-même. Et que d’heureuses circonstances ! Il marie sa fille sans dot au seigneur Anselme, qui est un
entrée dans la capitale. Il vient pour être présenté au roi, pour se marier , se montrer à la cour... C’est le point glorieux
69 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
amour ; mais leur scene est très piquante, puisque Lélie croit Célie mariée à Sganarelle, que d’un autre côté Célie croît Lél
tendre. Tout d’un coup Forlis, pere de Lucile, forme le dessein de la marier au Baron, & la confie en attendant à la sœur
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
captive l’amitié de ce fils, gagne sa confiance, & l’engage à se marier sans le consentement de sa mere. Mais cet homme,
ient de cet avis, elles exhortent au contraire leur neveu à ne pas se marier  ; & s’engagent, si elles prennent un époux, à
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
e du bel esprit, qu’elle en est ensorcelée, & veut en conséquence marier sa fille avec Valere : elle lui dit pourtant d’es
plus décidée pour Trissotin. Le pere de Rosalie vouloit avant sa mort marier sa fille avec Damis : Chrisale, vivant, veut unir
72 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
quitter le monde, elle a su renoncer aux triomphes mondains. Quoique mariée à un homme âgé qui ne l’apprécie pas, elle ne son
IV, sc. II, III ; act. V, sc. I, VII. — Voir d’ailleurs sur la femme mariée et la mère de famille, plus loin, chap. VIII. 37
73 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
tres par le secours de la mémoire… Le geste et l’inflexion de voix se marient toujours avec le propos au théâtre, tandis que, d
ge : « Comment, à ton âge, grande comme te voilà, et ma foi ! bonne à marier , tu ne sais pas encore donner un coup de pioche o
74 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
s la mort de Scarron, elle écrivit à son frère : « Je n’ai jamais été mariée  : dans mon union avec Scarron le cœur entrait pou
rès son mariage, en 1660. Elle était alors âgée de vingt-deux ans, et mariée à Scarron. Elle écrivit une relation de cette ent
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. » pp. 290-293
n. Voyons ce qui a quelque rapport avec l’ouvrage de Moliere. Célio, marié secrètement à Rosaura, fille du Docteur, est cach
76 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
qu’il compte retrouver avec sa cassette et sa fidélité : il la trouve mariée avec l’honnête fripon à qui il s’était confié, et
e théâtre, et que nos mœurs défendaient aussi d’y présenter une femme mariée et amoureuse, comme l’a fait Boccace, Molière a s
nce le confident de sa pupille que le confesseur ne l’est d’une femme mariée . Dans Boccace, elle ne court aucun risque en mett
l’oncle ne veut pas qu’il épouse sa nièce, mais qu’il veut encore la marier avec un autre le lendemain ? Comment se peut-il q
demande, et lui propose en même temps, pour empêcher le prince de se marier avec sa cousine, de le choisir elle-même pour son
t que la maladie de sa fille n’a d’autre principe que le désir d’être mariée . Il ajoute que pour donner plus sûrement à ses re
ari, que tout ce qui vient de se passer est réel, et que sa fille est mariée dans toutes les formes. « Depuis que les moderne
77 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
tiné à racheter ce qui manque à la liberté de leur choix quand ils se marient  ; mais il n’oubliera pas ce qu’il doit à sa couro
78 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
t de son âme ; et, dans Argan, cette manie pusillanime qui le porte à marier l’aînée de ses filles à un sot, et à les déshérit
ulant établir sa fille, est préoccupé d’une seule pensée, celle de la marier sans dot ; et sans dot est tout ce qu’il peut rép
u désabusé de ses rêves de grandeur, qu’il se retire en croyant avoir marié sa fille au fils du grand Turc. Chrysale couronne
deleine Béjart, y figure, comme témoin, sous la qualité de sœur de la mariée . De plus, madame Molière, dans l’acte de son seco
ec dispense de deux bans, qui présente Molière et sa femme fiancés et mariés tout à la fois, où la signature du curé n’est pas
et, s’il était vrai, d’ailleurs, que Molière et sa femme eussent été mariés un peu mystérieusement, comme ils l’ont été d’une
aussi par M. Beffara, le père et la mère de Molière furent fiancés et mariés neuf mois avant l’époque de son baptême. Faudrait
t, tous deux de cette paroisse, vis-à-vis le Palais royal, fiancés et mariés tout ensemble, par permission de M. de Comtes, do
e Retz, archevêque de Paris, en présence dudit Jean Poquelin, père du marié , et de André Boudet, beau-frère du marié, de ladi
dudit Jean Poquelin, père du marié, et de André Boudet, beau-frère du marié , de ladite Marie Hervé, mère de la mariée, Louis
André Boudet, beau-frère du marié, de ladite Marie Hervé, mère de la mariée , Louis Béjard et Madelaine Béjard, frère et sœur
la mariée, Louis Béjard et Madelaine Béjard, frère et sœur de ladite mariée . Signatures. J.-B. Poquelin. J. Poquelin. Boudet.
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
ès tendre, & se découvre enfin. Arlequin l’épouse, & Celio se marie avec la fille aînée de Pantalon. On peut décider
80 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
ipes ni dans son caractère, et uniquement pour déterminer son époux à marier sa sœur Julie à un honnête homme qui l’aime et qu
re, en mettant sur la scène un homme de trente ans qui ne veut pas se marier . Les Ménechmes sont, après le Légataire, le fond
loin que La Bruyère. Ménalque oublie, le soir de ses noces, qu’il est marié ; mais on ne nous dit pas du moins qu’il ait épous
81 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
n propre compte, expérimenté la jalousie, quoiqu’il ne fût pas encore marié  : il voulut peindre tous les tourments de cette s
it exact, puisqu’il s’agit de deux personnages qui ne sont pas encore mariés , offre deux systèmes d’éducation à l’égard des je
comédie, car il a su fondre Térence et Boccace, substitua à une femme mariée une fille libre dont on veut contrarier le désir.
leury eut môme la lâcheté d’accuser, auprès du roi, Molière de s’être marié avec sa propre fille; cette odieuse insinuation n
. Elmire est la plus honnête femme qui ait été imaginée par un poète. Mariée à un imbécile, elle est néanmoins fidèle à son ma
rire quelquefois déshonnête, en voyant ce bon Limousin venir pour se marier à Paris , et puis s’en retourner dans sa ville, b
, l’élève à la poésie, et en fait un type de perfection. Forcée de se marier avec un niais du genre d’Orgon, elle serait aussi
s doute aussi. Chrysalde se détermine à faire un coup d’autorité et à marier de lui-même sa fille à Clitandre, il dit à ce der
Lui ! du respect ! C’est un petit dénaturé qui ne veut pas que je me marie . Lisette Le petit ridicule ! Madame Argante Il po
82 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre premier. » pp. 5-11
catesses de leurs modèles. Au milieu du siècle, quand la marquise eut marié sa fille Julie au duc de Montausier, qui était go
83 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
mps La Critique du Légataire, par Regnard ; La Critique du Philosophe marié , par Destouches ; Le Procès de la Femme juge et p
eut, il ne conserva qu’une fille qu’il aimait beaucoup ; et, l’ayant mariée à un homme qui la rendit malheureuse, il en mouru
on profit. Panurge, consultant tout le monde pour savoir s’il doit se marier et s’il sera cocu (ce sont les propres termes don
que l’Angélique, femme de George Dandin. Ce que fait celle-ci, étant mariée , l’autre se promet de le faire, quand elle le ser
84 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
mps la première représentation, que le Roi finit par permettre. Il se maria en 1661, à l’âge d’Arnolphe avec une de ses coméd
’il trouve « mauvaise plaisanterie » ce mot de la même Frosine : « Je marierais , si je l’avais entrepris, le Grand Turc avec la R
et dominatrice qui a des prétentions à l’infaillibilité, qui prétend marier sa fille avec qui elle a choisi et qui en définit
ue l’on pourra vous faire. Pour moi, qui ne vous ai point dit de vous marier avec moi et que vous avez prise sans consulter me
ie fille qui a de la fortune et obtenir les faveurs d’une jolie femme mariée est aussi très naturel, et Trissotin n’est pas co
la maison, et il n’y a aucun naturisme là-dedans, la seconde est qu’à marier une fille contre son gré, il y a un grand danger
us inspirera sans doute que cette idée que vous n’auriez pas dû vous marier , et quelques avares, dans le parterre, venus au t
sottise devenue manie vous rend méchant où au moins dur. Vous voulez marier votre fille à un médecin, comme Orgon veut marier
ns dur. Vous voulez marier votre fille à un médecin, comme Orgon veut marier la sienne à un homme qui est bien avec Dieu, et P
ussi bien, Monsieur Dandin n’avez-vous pas mémoire que vous vous êtes marié pour avoir des enfants gentilshommes ? Après cela
deux amants qui n’ont pas le même caractère ; les jeunes gens qui se marient à là lin sont des personnages secondaires, li n’y
me genre à cet égard. Il a donc vécu ainsi depuis son enfance, pieux, marié jeune par sa mère à une ménagère économe, veuf, r
Ce vice vient de l’égoïsme et le renforce. Le malade imaginaire veut marier sa fille avec un médecin pour avoir toujours un m
ecin pour avoir toujours un médecin sous la main, comme le dévot veut marier sa fille avec un ami de Dieu peut être toujours s
pour s’en apercevoir — ce qui est un sacrifice, le salon d’une femme mariée qui est honnête étant moins fréquenté que celui d
hargé de trente ans de plus qu’elle. Madame Pernelle la déteste qui a marié une première fois son fils avec une fille riche,
ande8 — toujours naturelle, et elle n’a jamais d’autre idée que de se marier et de se marier avec un jeune homme, ce qui est c
naturelle, et elle n’a jamais d’autre idée que de se marier et de se marier avec un jeune homme, ce qui est ce qu’il y a de p
en a, qui n’a pas gardé le sentiment de l’honneur, à preuve qu’il se marie avec le ferme propos d’abandonner sa femme et qu’
ut à fait contre leur gré, et parce qu’il est ce qu’il est, il allait marier sa fille à un médecin idiot et Dieu sait, mais vo
lle avec sa très bonne femme pour courir après des marquises et il va marier sa fille avec le fils du Grand Turc, lisez, déduc
ait ; un certain mystère sur les premières années de la jeune fille à marier et sur ses origines. Un dénouement postiche n’est
85 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
et qui renferme Les maximes du mariage ou les devoirs de la femme mariée … avec son exercice journalier… Tout cela est
. Horace me veut pour femme, … Et vous m’avez prêché, Qu’il se faut marier pour ôter le péché. — Oui, dit Arnolphe, enragea
ariage terrible ; lui, … Il le fait si rempli de plaisirs Que de se marier , il donne des désirs. — Ah ! c’est que vous l’ai
on voit le dénouement tourner contre le traître ! Il veut que ce père marie promptement Horace : le père y donne les mains, m
ement Horace : le père y donne les mains, mais c’est à Agnès qu’il le marie  ; et Agnès, par un de ces coups du ciel qui se pr
86 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
le demande, dans la raison d’un homme qui refuse, je ne dis pas de se marier , ce qui se comprend, après tout, mais de se laiss
e, et parlons de mon affaire. Je viens vous dire que j’ai envie de me marier . MARPHURIUS. Je n’en sais rien. SGANARELLE. Je vo
osine qui voulait faire épouser l’Adriatique au Grand Turc, elle veut marier sa sœur à la philosophie Qui donne à la raison l
87 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
t plusieurs personnes pour jouer le même rôle. Ainsi il y avait trois Maries , l’une pour Marie âgée de trois ans, une deuxième
le tour du monde ; dans le Conte d’hiver Perdita naît, grandit et se marie en une seule soirée. Quant à la géographie et à l
vret, s’assied Notre-Dame à terre et prend Jésus en son giron, et les Maries sont auprès. » C’est tout à fait le groupe de Lig
88 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
s ridicule, c’est le bourgeois enrichi. Cette fois Sganarelle veut se marier et se marie malgré lui, excellente occasion pour
’est le bourgeois enrichi. Cette fois Sganarelle veut se marier et se marie malgré lui, excellente occasion pour Molière de n
le, se met en devoir de lui donner un bon conseil. Sganarelle veut se marier , mais d’abord, dit Géronimo, — Quel âge pouvez-vo
stance, met en avant des raisons sans réplique. — Il est résolu de se marier . — C’est une fille qui lui plaît et qu’il aime de
er : — Vous avez raison ! je me suis trompé ; vous ferez bien de vous marier  ; — mariez-vous promptement, — et invitez-moi à v
avez raison ! je me suis trompé ; vous ferez bien de vous marier ; —  mariez -vous promptement, — et invitez-moi à votre noce.
qu’il faut avoir une complaisance mutuelle, et qu’on ne se doit point marier pour se faire enrager l’un l’autre. » Puis elle a
omme qui ne s’est jamais mêlé de tenir une épée, aime encore mieux se marier avec la sœur que de se battre avec le frère, mais
au plus cruel ridicule ; à ce point, qu’une jeune fille qui s’allait marier , après avoir assisté à la première représentation
-je ? Elmire, Henriette, c’est la même femme. Elmire, c’est Henriette mariée à un bourgeois sur le retour. M. Orgon a vieilli
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
ition, se présente, épouse Rosaura, & donne à Arlequin de quoi se marier avec Argentine. Il faudroit avoir de l’humeur pou
90 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37
ns, sa malheureuse passion pour Charlotte de Montmorency, qu’il avait mariée au prince de Condé, les jalousies de Marie de Méd
91 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
rt, qui se fait prier, Si sa petite sœur Armande N’est pas d’âge à se marier  ! Cependant, comme dit La Grange dans son regist
é Molière, premier gentilhomme de l’esprit français. Quand Molière se maria , on le croyait un peu l’amant de toutes les femme
nture. Deux ans après, le jeudi 27 novembre 1664, Geneviève Béjart se maria à son tour, elle avait eu le temps d’essuyer ses
Grange écrit sur son registre : — « Je fus fiancé lundi 25e et je fus marié à Saint-Germain l’Auxerrois avec Mlle Marie Rague
que de Lyon un ordre qui défendait à tous les curés de son diocèse de marier ces deux fous. Que fit la fille ? Un dimanche, el
rier ces deux fous. Que fit la fille ? Un dimanche, elle s’habille en mariée et va à la messe, cachant sa couronne d’oranger s
guignon pour sa légitime épouse. L’archevêque conseilla à Paphetin de marier ces amoureux résolus, pour effacer un peu le scan
pourpoint et le manteau de satin couleur de musc de Sganarelle. Il se marie entre deux représentations de L’École des maris,
92 (1910) Rousseau contre Molière
jeune fille. « Ne faites pas cela, lui dit une vieille dame. J’ai été mariée ainsi. J’ai élé épouvantablement malheureuse. — E
homme, il veut savoir tout ce que savent les gentilshommes et il veut marier sa fille avec la fille du Grand Turc. Il n’est gu
r erreur : « Vous nous donnez pour honnête homme un écornifleur », il marie Dorante à Dorimène à la fin de la pièce. C’est un
ante pour toute sa vie. Ce ne fut que pour un temps, et voilà Dorante marié à Dorimène et l’instrument détruit par lequel Dor
r votre mari, c’est que nous nous servirons du même notaire pour nous marier , Madame et moi. » En d’autres termes, pour le pub
ue l’on pourra vous faire. Pour moi, qui ne vous ai point dit de vous marier avec moi et que vous avez prise sans consulter me
mérite. Aussi bien, Monsieur, qu’il vous souvienne que vous vous êtes marié pour avoir des enfants gentilshommes. » Voilà, sa
emme… » ; devient enfin méchant, maudit son fils, force sa fille à se marier contre son gré, devient enfin aussi « abominable
’en conclurez sans doute rien, sinon que vous auriez dû ne vous point marier , et quelques avares dans le parterre, venus au th
et devenue manie. Vous faites le malheur de votre fille en la voulant marier à un médecin stupide, comme Orgon la sienne à un
xagénaire ; et il n’y a pas quatre mois encore, qu’étant prête d’être mariée , elle rompit tout net le mariage sur ce que son a
dans son cloître. Il faudrait donc faire pour les jeunes filles qu’on marie comme on fait ou comme on doit faire pour celles
it mieux les mœurs. Une sorte de coquetterie est permise aux filles à marier  ; s’amuser est leur grande affaire. Les femmes on
mme doit être tout entière relative à l’homme. Les pères dans Molière marient leurs filles pour eux : « C’est pour moi que je l
ns Molière marient leurs filles pour eux : « C’est pour moi que je la marie avec ce médecin, et une fille de bon naturel doit
le semble avoir très peu lu étant jeune fille, et, depuis qu’elle est mariée , elle semble ne plus lire du tout. Julie n’est au
est scandaleux que Tartuffe commande dans la maison ; la seconde qu’à marier une fille à quelqu’un qui ne lui plaît pas, il y
93 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Pieces intriguées par plusieurs Personnages. » pp. 169-175
e dont je veux parler. ARLEQUIN, DUPE VENGÉE. Arlequin, nouvellement marié avec Argentine, aime fort de manger en ville pour
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
qui n’est que de suif, de son garde-meuble qui est son grenier. Elle marie des manieres campagnardes à son faux air de grand
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. M. BARTHE. » pp. 413-419
italien par la troupe lyrique, un Conte m’a fourni l’idée du nouveau Marié , ou les Importuns, opéra comique d’un acte. La Bu
96 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
uent, à la mort de sa mère. Ce fils, Giovanni-Battista Andreini était marié depuis 1601 à Virginia Ramponi, actrice qui porta
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
, nous pouvons maintenant passer très rapidement dessus. Oronte veut marier sa fille Julie avec M. de Pourceaugnac qu’il n’a
98 (1802) Études sur Molière pp. -355
é digne d’être imité. Précis de l’acte italien. Magnifico veut marier Eleonora, sa fille, avec le Docteur qu’elle n’aim
pour l’original du portrait ; désespoir de Celio, qui croit Eleonora mariée avec Arlequin ; il abandonne la scène ; Eleonora
permet les démarches les plus hasardées. Dans Boccace, l’héroïne est mariée , Molière nous épargne cette indécence. La premièr
s que Molière n’ait pensé que ses stances sur les devoirs de la femme mariée méritaient les honneurs du titre. Les caractères
t imiter son père et tous ceux de sa race qui ne se sont jamais voulu marier  ». Malleville avait dit : Résous-toi d’imiter to
ier ». Malleville avait dit : Résous-toi d’imiter ton père, Tu ne te marieras jamais. Sentiment sur la pièce. Le titre.
les reçoit très mal, et se mêle à une noce champêtre pour séduire la mariée .   TROISIÈME JOURNÉE. Dom Juan s’introduit dans l
e ; dans la française, Harpagon est un avare. Magnifico a dessein de marier sa fille ; il consulte Célio ; celui-ci croit d’a
ge Dandin est tiré. Précis de la Nouvelle LXIV. Tome II. Gite, mariée à Tofan, profite du sommeil de son mari pour se l
fâché de n’avoir pas trouvé sa fille à Lemnos, parce qu’il voulait la marier à son neveu Antiphon ; Demiphon, encore plus fâch
eu Antiphon ; Demiphon, encore plus fâché de trouver ce même Antiphon marié . L’un et l’autre sont furieux contre Geta, quand
ins que je suis dans son cœur ; Par un prompt désespoir souvent on se marie  : Qu’on s’en repent, après, tout le temps de sa v
doigt de son père l’a trahie. Le professeur. Béline ne pouvant être mariée avec Argan que depuis peu de temps, Béline parlan
retourne avec vous pour finir cette affaire. 40. Vers du Philosophe marié . 41. Voltaire nous a conservé une scène que M
99 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
uffiana qui ne montre le bout de sa cornette, quand Frosine essaye de marier Harpagon à la belle Marianne. Et, sauf ce dernier
100 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
enfants, à renoncer à la succession de son défunt mari. Marie Hervé, mariée le 6 octobre 1615, avait eu onze ou douze enfants
public ou d’homme faisant des travaux d’écriture. Georges Pinel était marié , car pour l’obligation du 1er août, sa femme, Ann
ableaux dans les églises du Maine. » Madeleine du Freigne qu’il avait mariée à Lyon en 1543, à François de La Cour, était sans
tous deux de cette paroisse77, vis-à-vis le Palais-Royal, fiancés et mariés tout ensemble, par permission de M. Comtes, doyen
l de Retz, archevêque de Paris, en présence de Jean Poquelin, père du marié , et de André Boudet, beau-frère dud. marié, et de
de Jean Poquelin, père du marié, et de André Boudet, beau-frère dud.  marié , et de ladite dame Hervé, mère de la mariée, et L
ré Boudet, beau-frère dud. marié, et de ladite dame Hervé, mère de la mariée , et Louis Bejard et Magdelaine Bejard, frère et s
a mariée, et Louis Bejard et Magdelaine Bejard, frère et sœur de lad. mariée , et d’autres, avec dispense de deux bans. Jean B
rt. J. Poquelin. Boudet. Marie HERVÉ. LOUIS BÉJARD. BÉJART. Ainsi la mariée était la sœur des Béjart ; c’était cette « petite
naissance illégitime, dit M. Bazin, aurait pu révolter la famille du marié . Le père, Jean Poquelin, le beau-frère, André Bou
dage que M. Fournier a laborieusement élevé. Le comte de Modène était  marié  ; il ne devint veuf qu’en 164982, alors que la pe
évrier 166288. C’est là qu’il est dit que les époux furent fiancés et mariés  tout ensemble, par permission de Mgr le cardinal
qu’il avait. La troupe lui accorda, pour lui ou pour sa femme s’il se mariait … » Et d’une écriture plus petite : « M. de Moliè
e la vienne enlever jusque sur la moustache, Lorsqu’elle est avec moi mariée à demi ! Non, parbleu ! non, parbleu ! Sans dout
elle agit mal ; enfin, ces Maximes du mariage ou Devoirs de la femme mariée avec son exercice quotidien, tout cela ressemblai
ouchante Bérénice : Marion pleure, Marion crie, Marion veut qu’on la marie  ; partisan déclaré de la comédie, et contradicte
s des coups de la fortune. Henriette est la plus aimable des filles à  marier  : c’est non pas sans doute la fiancée idéale que
ù Joseph Béjart et Marie Hervé avaient été fiancés le 7 septembre, et maries  le 8 octobre 1615, et elle était restée comme la
furent apaisées que deux ans plus tard, le 26 septembre 1693. Elle se maria le 29 juillet 1705, à l’âge de quarante ans, avec
ommait Mlle Hervé, du nom de sa mère Marie Hervé. Geneviève Béjart se maria deux fois ; elle épousa, le jeudi 27 novembre 166
acomo de Gorla était à Lyon depuis une vingtaine d’années lorsqu’il y maria sa fille152. Il y vendait des drogues comme l’Orv
a Grange, semblent en tout cas avoir été de Paris, où ils avaient été mariés le 5 mai 1634 à Saint-Germain l’Auxerrois. Le pèr
do, 24e Avril 1672, je fus fiancé, et le lendemain lundi, 25e, je fus marié à Saint-Germain de l’Auxerrois, avec mademoiselle
upe ». Il n’eut qu’une fille unique qu’il aimait beaucoup ; « l’ayant mariée , dit Granval père, à un homme qui la rendit malhe
déclaration analogue, et par suite de cet éclat, on fut obligé de les marier . M. Brouchoud n’a rien trouvé qui confirmât ces p
nécessaires pour contracter mariage avec Hortense. Mais il était déjà marié , et sa femme vivant encore s’opposa à son nouveau
ns en 1638. Elle serait née. par conséquent, en 1643 ; elle se serait  mariée à dix ans. Ce qui n’est pas possible. L’acte de d
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