é, de Cyrano ; le Phormion, de Térence ; la finta Ammalata, la feinte
Malade
, de Goldoni. Cette piece fut représentée à Versa
duit par l’officieuse Lisette auprès de Sganarelle & de la feinte
malade
. Le Docteur devine, dit-il, la cause de la maladi
à cette feinte, qui devient une réalité, parceque le Médecin & la
malade
s’évadent ensemble, & que Sganarelle signe un
ecin pour servir les amours d’Octave & d’Eularia qui feint d’être
malade
. Dans le Médecin volant de Boursault, piece calqu
alon. Vous vous trompez, Monsieur le Médecin ; c’est ma fille qui est
malade
, & non pas moi. Arlequin. N’avez-vous jamais
Prenez-y garde.O Dieux ! quelle triste nouvelle ! Je suis donc bien
malade
, ô Monsieur ? Crispin. Je suis donc bien malade,
! Je suis donc bien malade, ô Monsieur ? Crispin. Je suis donc bien
malade
, ô Monsieur ?Vous ? pourquoi ? Fernand. Vous n’av
as de Sganarelle. ACTE III. Scene V. Clitandre. Votre fille est bien
malade
. Sganarelle. Vous connoissez cela ici ? Clitandre
Dans la premiere, les Médecins, au lieu de consulter sur l’état de la
malade
, racontent les courses que leurs mules ont faites
i méritent de nous servir de modele. La finta Ammalata, ou la fausse
Malade
. (La scene représente la boutique d’un Apothica
& lui donne cette pratique. Le Chirurgien le suit, en cas que le
malade
ait besoin d’une saignée. L’Apothicaire revient à
outeille d’eau de son puits, parceque Rosaura, n’étant pas réellement
malade
, n’a besoin que de remedes qui tranquillisent son
e Rosaura, vient prier le Docteur Onesti d’entretenir de lui sa belle
malade
, & de le servir auprès d’elle. Le Médecin lui
toutes les fois qu’on lui parle de son Médecin : elle conclut que la
malade
en est amoureuse. Pantalon demande à sa fille com
revient, en reprochant au Chirurgien Tarquino qu’il a fait saigner le
malade
pour lui plaire, & que le pauvre diable en mo
arcequ’on lui annonce le Médecin Onesti. Le Docteur Onesti donne à sa
malade
l’eau de puits qu’il a ordonnée chez l’Apothicair
tre. Le Docteur, seul, réfléchit sur les coups d’œil que lui lance sa
malade
. S’il étoit sûr qu’elle fût éprise de lui, il ces
n conduit sa fille par la main. Buona Testa soutient qu’elle est très
malade
; Onesti, qu’elle se porte bien : Merlino est alt
place devant la porte de Pantalon, pour apprendre des nouvelles de la
malade
. Buona Testa sort. Lélio lui demande comment va R
ès mal. Lélio s’afflige. Tarquino sort à son tour, dit à Lélio que la
malade
sera guérie avec une saignée. Lélio se réjouit. L
ne sait que répondre à Lélio. Il lui dit tantôt que Rosaura est bien
malade
, tantôt qu’elle guérira bien vîte. Il le renvoie
’honneur lui défend d’en profiter : on l’accuseroit d’avoir séduit sa
malade
. Il jure de ne plus mettre le pied chez Pantalon.
apacité. Tout cela déplaît à Lucas, mari de Jacqueline. On conduit la
malade
. Sganarelle, voyant qu’elle ne parle pas, devine
lle le présente à Géronte, en lui disant que sa fille en a besoin. La
malade
paroît. Le Médecin ordonne aux faux apothicaire d
troduira, sous l’habit de Médecin, auprès d’Eularia, qui feint d’être
malade
, & qu’il servira leurs amours. Arlequin y con
ve, & promet de guérir Eularia. Pantalon. Monsieur, ma fille est
malade
; je me flatte que vous la guérirez. Arlequin. Sa
aïphe, je la guérirai, vous dis-je. Il demande si les matieres de la
malade
sont dures ou liquides : il demande à voir de son
ucrece est aimée de Cléon, & n’est pas ingrate. Elle feint d’être
malade
. Fernand, pere de Lucrece, envoie chercher un Méd
présente sous l’habit d’un Docteur : il demande à voir l’urine de la
malade
, la boit, en demande encore, & fait une scene
parlant à tort & à travers d’Hippocrate & des matieres de la
malade
, d’une façon moins grossiere pourtant qu’Arlequin
ere le dos pour recevoir de l’argent, & l’enlevement de la fausse
malade
; mais la vengeance de la femme, & l’idée si
possible d’en rencontrer encore. Avertissement du commentateur [Le
Malade
imaginaire] La comédie du Malade imaginaire,
vertissement du commentateur [Le Malade imaginaire] La comédie du
Malade
imaginaire, sous le rapport de l’impression, prés
de leur en fabriquer une. Il parut, en 1674, chez Daniel Elzévir, un
Malade
imaginaire, croquis informe de celui de Molière,
tout le mois de janvier que nous achevons ; à ce compte, je suis plus
malade
ce mois-ci que l’autre. Plus, vingt-deux lavement
année 1674, Jean Sambix, libraire de Cologne, fit paraître un nouveau
Malade
imaginaire. Le texte de celui-ci est le même, en
ère, donnée par La Grange et Vinot. Ceux-ci annoncèrent la comédie du
Malade
imaginaire, comme corrigée sur l’original de l’a
r la seule raison peut-être qu’elle est répétée littéralement dans Le
Malade
imaginaire, n’ont-ils pas pu introduire, dans le
de Paris, qui, deux ans seulement après la première représentation du
Malade
imaginaire, et quand cette comédie faisait encore
ifférences peu importantes. Notice historique et littéraire sur Le
Malade
imaginaire Les comédies-ballets, composées p
nt d’ordre du roi, et que ce fut de son propre mouvement qu’il fit Le
Malade
imaginaire. On peut même douter que le projet de
où sont chantés les glorieux exploits de la campagne de Hollande. Le
Malade
imaginaire fut représenté, pour la première fois,
llu que La Thorillière apprît le rôle d’Argan, les représentations du
Malade
imaginaire ne purent être reprises que le vendred
leurs effets est de conduire un homme à la triste manie de se croire
malade
, quand il ne l’est pas, et de se traiter pour des
de se traiter pour des maux dont il est exempt. Il y a deux sortes de
malades
imaginaires. Les uns, improprement appelés de ce
celui-ci, elles tombent dans la crainte de celui-là. Se croire ainsi
malade
, c’est l’être véritablement et de la manière la p
ation viciée, se transforme successivement en une foule d’autres. Les
malades
imaginaires de cette espèce appartiennent à la mé
s guérir, à moins qu’elle ne parvienne à les faire rire eux-mêmes. Le
malade
vraiment imaginaire, celui qui est justiciable de
amille contre l’odieux étranger qui en veut la ruine entière. Dans Le
Malade
imaginaire, au contraire, c’est la belle-mère ell
es figures grotesques de MM. Purgon et Diafoirus père et fils dans Le
Malade
imaginaire, pourraient encore laisser la question
ouve invinciblement que Molière, à l’époque du moins où il écrivit Le
Malade
imaginaire, n’avait aucune foi à la médecine, Bér
re, non pas qu’il aurait tort de se confier à la médecine, s’il était
malade
, mais qu’il fait mal de s’y livrer, puisqu’il se
s les expositions, n’en a pas fait une qui soit supérieure à celle du
Malade
imaginaire. Quel dialogue, quelle scène en action
ant en avait beaucoup lui-même, a eu la singulière idée de refaire Le
Malade
imaginaire, en changeant le sexe du principal per
e Malade imaginaire, en changeant le sexe du principal personnage. Sa
malade
sans maladie est une femme visionnaire, qui se cr
il le dénaturait entièrement ? Un homme sain et robuste, qui se croit
malade
et infirme, appartient essentiellement à la coméd
ffrance. Il n’est pas toujours facile de discerner celles qui se font
malades
par air, ou qui croient l’être quand elles ne le
ui mériterait d’être un objet de pitié. Voilà pourquoi le sujet de La
Malade
sans maladie n’est nullement comique. Le travers
effectueront pas le mariage projeté par eux pour leur fille. Entre Le
Malade
imaginaire et Les Fourberies de Scapin, c’est plu
on, et je suis méchant quand je veux , se trouve mot pour mot dans Le
Malade
imaginaire, avec cette seule différence qu’Argan
originale de 1671. Est-ce Molière qui l’a transporté lui-même dans Le
Malade
imaginaire ? Sont-ce les comédiens après sa mort
e de cette manière par quelques-uns de ses contemporains, médecins on
malades
superstitieux, quand, dans le siècle suivant, on
lettres, et partout. 338. Les Femmes savantes, act. III. 339. Le
Malade
imaginaire, act. II, sc. VII. 340. Le Misanthro
ceaugnac, act. I, sc. IV, Julie ; les Femmes savantes, Henriette ; le
Malade
imaginaire, act. III, sc. XX et suiv., Angélique.
. L’Avare, act. V, sc. V. 350. Les Femmes savantes, Henriette ; le
Malade
imaginaire, Angélique. 351. Le Tartuffe, l’Avar
Tartuffe, l’Avare, le Bourgeois gentilhomme, les Femmes savantes, le
Malade
imaginaire. Remarquer particulièrement le mot à A
i veut faire jouer à Argan le premier personnage dans la Cérémonie du
Malade
imaginaire : « Mais, mon oncle, il me semble que
Orgon. 368. Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act. V, sc. II. 369. Le
Malade
imaginaire, act. I, sc. VII-IX ; act. II, sc. VII
fe, act. I, sc. I-V ; act. II, sc. II-IV ; act. III, sc. I. 375. Le
Malade
imaginaire, act. I, sc. IV, V, X ; act. II, sc. I
. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. II-VIII, X-XIII. 378. Le
Malade
imaginaire, voir note 4. 379. Les Femmes savant
us dans une ancienne édition, probablement unique, de la cérémonie du
Malade
imaginaire. Ce livre de dix-sept pages a été ache
ne histoire instructive et amusante à faire des premières éditions du
Malade
imaginaire. Cette comédie-ballet, composée à la f
ne veux m’occuper aujourd’hui que du nouveau texte de la cérémonie du
Malade
imaginaire. Tous les critiques conviennent que ce
gence du sujet et des paroles. Aussi le prologue et les intermèdes du
Malade
imaginaire, dont Charpentier avait composé la mus
éunit l’année suivante en quatre volumes in-12. Dans sa traduction du
Malade
imaginaire, cet auteur a donné la cérémonie telle
grammes de 1673 et 1674, et les plaça en tète de la fausse comédie du
Malade
imaginaire. Il eut la pudeur de séparer par un ti
87231] 1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 508-509 Dans le
Malade
imaginaire, la dernière pièce que Molière ait mis
olence, qui vient, une seringue à la main, pour donner un lavement au
malade
. Un honnête homme, frère de ce prétendu malade, q
donner un lavement au malade. Un honnête homme, frère de ce prétendu
malade
, qui se trouve là dans le moment, le détourne de
Comparons l’exposition qu’il fait de son caractere avec celle que le
Malade
imaginaire fait du sien. ACTE I. Scene I. Argan
être civil, il faut être aussi raisonnable, & ne pas écorcher les
malades
. Trente sous un lavement ! je suis votre serviteu
». Ah ! Monsieur Fleurant, c’est se moquer ; il faut vivre avec les
malades
: mais Monsieur Purgon ne vous a pas ordonné de m
s’il vous plaît : si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être
malade
.... . . . . . . . . . . On ne voudra plus être
dra plus être malade.... . . . . . . . . . . On ne voudra plus être
malade
! voilà des mots très heureux & qui valent, à
de ce qu’on fait dans sa maison. Dorine lui annonce que Madame a été
malade
; il l’interrompt pour lui dire : Et Tartufe ? Do
isimon, & amant de Lisette, accourt : il feint de croire son pere
malade
, & veut envoyer chercher le Médecin. Il n’est
ou par des femmes qu’ils aimeront. (Voir la suite de la scène.) Le
Malade
imaginaire, acte I, scène IX. Ce n’est point à de
polygamie est un cas Est un cas pendable. Etc. (Note 2, page 6.) Le
Malade
imaginaire, acte III, scène III. - C’est un bon i
esse d’Escarbagnas, scène XVI. Le mot avocat est pris au figuré. — Le
Malade
imaginaire, acte I, scène IX. C’est un éloge de l
lément et l’abbé de La Porte. — Barbier, Dict. des Anonymes. 4. Le
Malade
imaginaire, acte III, scène III. 5. L’Amour méd
acte III, scène III. 5. L’Amour médecin, acte II, scène IV. 6. Le
Malade
imaginaire, acte III, scène III. 7. La Bruyère,
farce du Médecin volant 199, et ne se termina que par la cérémonie du
Malade
imaginaire où il mourut200, il y a quelque chose
tre les docteurs qui causent de leurs petites affaires pendant que le
malade
agonise201 ; contre ceux qui laissent mourir le m
pendant que le malade agonise201 ; contre ceux qui laissent mourir le
malade
pour régler entre eux une querelle de préséance20
et 29. 173. Les Femmes savantes (1672), act. II, sc. VII. 174. Le
Malade
imaginaire (1673), act. I, sc. V, VIII, IX ; act.
5 ; le Médecin malgré lui, 1666 ; Monsieur de Pourceaugnac, 1669 ; le
Malade
imaginaire, 1673. 201. L’Amour médecin, act. II
amen attentif inclinait déjà avec l’un de ses collègues à épargner au
malade
une nouvelle émission de sang ; mais je ne sais q
, qui se moquait si bien des prescriptions et des remèdes, se sentait
malade
: avec une dose ordinaire de faiblesse, il aurait
ait, mais le ridicule de la médecine, » ce qui était juste alors. (Le
Malade
imaginaire, act. III, sc. III). — Voir sur cette
alde. 214. Le Tartuffe, Cléante ; les Femmes savantes, Ariste ; le
Malade
imaginaire, Béralde. 215. Les Femmes savantes,
finit par s’amoindrir, et disparaît même aux yeux de certains esprits
malades
de délicatesse ou de tempérament. Molière, dans l
526. Le Mari confondu, act. I, sc. I. 527. Les Femmes savantes, le
Malade
imaginaire. 528. Le Mariage forcé, le Mari con
Le Mariage forcé, le Mari confondu. 529. Les Femmes savantes, Le
Malade
imaginaire. 530. Le cocu imaginaire, les deux
537. Le Tartuffe, le Bourgeois gentilhomme, les Femmes savantes, le
Malade
imaginaire. 538. Elmire dans le Tartuffe ; Mme
Femmes savantes, act. I, sc. I. 543. Id., act. I, sc. I. 544. Le
Malade
imaginaire, act. III, sc. IV. Comparez, l’Avare,
lhomme, act. III, sc. XII. 551. L’Avare, act. I, sc. VII. 552. Le
Malade
imaginaire, act. II, sc. VII. 553. L’Etourdi, a
ntes, act. V, sc. V. 558. Le Misanthrope, act. V, sc. V. 559. Le
Malade
imaginaire, act. II, sc. VII. 560. Le Prince ja
e de l’Avare y de celles de Philaminte, du Bourgeois gentilhomme, du
Malade
imaginaire ? On ne parle pas de celles de M. de S
lhomme. 661. Henriette dans les Femmes savantes, Angélique dans le
Malade
imaginaire. 662. Cléante dans l’Avare et dans
re. 662. Cléante dans l’Avare et dans le Tartuffe, Béralde dans le
Malade
imaginaire, Ariste dans les Femmes savantes. 66
are, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. II, III ; act. IV, sc. III ; Le
Malade
imaginaire, act. I. sc. V ; act. II, sc. VII, VII
2. Les Fourberies de Scapin. 683. Les Femmes savantes. 684. Le
Malade
imaginaire. 685. Les Femmes savantes, le Bourg
t. II, sc. I-IV, IX ; act. IV, sc. VII ; act. V, sc. IV, V. 692. Le
Malade
imaginaire, act. II, sc. XII ; act. III, sc. I-IX
698. Les Femmes savantes. Voir plus haut, chap. V, p. 91. 699. Le
Malade
imaginaire. Voir plus haut, chap. VI, p. 109. 70
act. I, sc. X ; le Tartuffe, act. V, sc. VII ; Psyché, Prologue ; le
Malade
imaginaire, Prologue, sc. III, IV. Il va sans dir
imé ce qui fut dit à son sujet, et sa triste catastrophe. 1673. Le
Malade
imaginaire. Comédie-ballet, en trois actes, en
ur le théâtre du Palais-Royal, le vendredi 10 février. (La musique du
Malade
imaginaire est de M. Charpentier.) « [*] Le Ma
(La musique du Malade imaginaire est de M. Charpentier.) « [*] Le
Malade
imaginaire fut la dernière production de Molière.
que le fond de leur arta. Par le rôle de Béralde, comme dans celui du
Malade
imaginaire, il joue la faiblesse la plus universe
une lettre à l’évêque de Langres, rapporte un fait sur la comédie du
Malade
imaginaire qui peut être placé ici. « [*]Notre l
ées ; et Molière, tout Molière qu’il était, s’en aperçut bien dans Le
Malade
imaginaire, qui est la dernière pièce qu’il a mis
solence, qui vient une seringue à la main, pour donner un lavement au
Malade
imaginaire. Un honnête homme, frère de ce prétend
lavement au Malade imaginaire. Un honnête homme, frère de ce prétendu
Malade
, qui se trouve là dans ce moment, le détourne de
ustres, à l’article de Molière, parle d’un ton piqué de la comédie du
Malade
imaginaire. Voici ses termes : « Il attaqua (Mol
es fort comiques, dont l’une est Le Médecin malgré lui, et l’autre Le
Malade
imaginaire. On peut dire qu’il se méprit un peu d
re médecin, et voilà sans doute la raison pour laquelle il attaqua Le
Malade
imaginaire.) a. « [*]Tout le monde sait la ré
uffe. b. « [*]Le latin macaronique qui fait tant rire à la fin du
Malade
imaginaire fut fourni à Molière par son ami Despr
s clair de dire que M. Despréaux donna l’idée du latin macaronique du
Malade
imaginaire.) c. « [*] Le Malade imaginaire… c’
nna l’idée du latin macaronique du Malade imaginaire.) c. « [*] Le
Malade
imaginaire… c’est une de ces farces de Molière, d
acher ; et qu’alors le comte de Vexin et le duc du Maine étaient fort
malades
. Cette dernière circonstance accrédite l’assertio
a fatigue. Madame Scarron avait passé trois nuits près de ces enfants
malades
, et elle croyait n’avoir encore rien fait. Le roi
omissement et un dévoiement. Mademoiselle de Nantes vient de retomber
malade
. Je me partage entre eux et je les sers comme une
elle, ne vont pas si bien que les miennes. M. de Louvois est toujours
malade
. Mais le roi a entendu parler de ce que, vous d
ourra vous accorder. Je me porte fort bien. Les princes sont toujours
malades
. Le petit duc parle souvent de vous. » Le roi a e
ie des Femmes savantes est bien meilleure sans contredit que celle du
Malade
imaginaire ; cependant le dernier ouvrage est cer
ne s’ensuit pas de ce que j’ai dit, qu’il vaille mieux avoir fait le
Malade
imaginaire que les Femmes savantes ; mais je sout
ar exemple que, dans quelque pays que ce soit, l’on puisse peindre un
Malade
imaginaire & corriger ses pareils, si l’on ne
c’est-à-dire à conclure que Le Misanthrope, Tartuffe, le Dom Juan, Le
Malade
imaginaire, ne sont pas des œuvres communes, et q
ière.) Passez ensuite tout à fait à la fin du théâtre de Molière, au
Malade
imaginaire, aux dernières lignes que Molière, à l
en jouant cette pièce, a tracées de sa main défaillante. Il s’agit du
Malade
qu’on reçoit docteur, et à qui les assistants sou
tout ce qu’il faut qu’ait Charlotte en cette circonstance. Passez au
Malade
imaginaire, voici un mot tout simple : M. ARGAN
e brigandage où l’on est exposé aux mensonges les plus assassins ; le
malade
imaginaire qui se fait recevoir docteur, tout cel
ncé dans la vie, on réfléchit un peu ; la course aux apothicaires, le
malade
docteur, le mamamouchi, on trouve tout cela impos
mises sur aucun théâtre. Voyez plutôt la petite Louison, la fille du
Malade
imaginaire, qui fait si galamment la morte quand
lamment la morte quand son père la menace du fouet, son père, qui est
malade
, ou que tout au moins elle croit malade, et qu’el
e du fouet, son père, qui est malade, ou que tout au moins elle croit
malade
, et qu’elle peut tuer en lui donnant cette émotio
ntrer l’une en face de l’autre, dans la même situation, Angélique, du
Malade
imaginaire, et Rosine, du Barbier de Séville : vo
rche à y rentrer, il dit que Basile, maître de musique de Rosine, est
malade
, et l’a chargé, lui Almaviva (Lindor), de venir l
que la plupart d’entre vous doivent avoir oublié la leçon de chant du
Malade
imaginaire, et que vous vous rappelez tous la leç
édie la plus éblouissante, peut-être sa comédie la plus étonnante, Le
Malade
imaginaire. Je m’y arrêterai ; je veux vous montr
a mis de lui-même dans son théâtre, dans L’École des femmes, dans Le
Malade
imaginaire et toutes les inventions de génie qui
cuser et à tout pardonner ; cet homme imagina, à quarante ans sonnés,
malade
(sa poitrine était déjà atteinte), usé par les fa
comédie avec plus d’audace encore. C’est à Paris, en 1662, qu’il est
malade
, c’est en 1666 qu’il éprouve la première des troi
si c’étaient des maîtres d’hôtel, et eux avec lui comme si c’était un
malade
. — Quels sont ces personnages-ci, se demande M. d
tation cérébrale, je me porte extrêmement bien ! — Il ne se croit pas
malade
, signe suprême de folie, disent tranquillement le
re, non. Il a été plus loin ; de défi en défi, il est arrivé jusqu’au
Malade
imaginaire. La tradition des critiques classiques
omment La Harpe, dont le jugement est très sain en général, traite Le
Malade
imaginaire ? Il le traite de bas comique et de ca
t, si je ne l’admire pas moins que je n’admire Tartuffe, c’est que Le
Malade
imaginaire n’est pas autre chose — je vais essaye
nt le rôle d’Argan, et en prononçant le fatal juro de la cérémonie du
Malade
imaginaire, ce mot qui blasphémait à la fois la m
remières atteintes de la maladie. Nous n’avons qu’à prendre Argan, le
Malade
imaginaire lui-même, ce n’est pas purement et sim
dre toute la force de cette conception, au lieu d’appeler la pièce Le
Malade
imaginaire, appelez-la simplement Le Malade ; sup
ieu d’appeler la pièce Le Malade imaginaire, appelez-la simplement Le
Malade
; supposez qu’Argan soit réellement malade, et qu
, appelez-la simplement Le Malade ; supposez qu’Argan soit réellement
malade
, et que la fin réelle de la comédie doive être la
n personnage qu’on mettrait devant vous sur la scène. Quand Louis XI,
malade
et mourant, fait appeler François de Paule, quand
privation de la vie ». — C’est ce qui me fait dire que sous ce nom de
Malade
imaginaire, Molière a écrit la comédie de la mala
as ; je ne mets Dom Juan ni au-dessus ni au-dessous du Tartuffe et du
Malade
imaginaire ; mais je dis seulement que toutes les
plus parfaite, c’est du moins la plus grandiose de Molière. Comme Le
Malade
imaginaire, c’est un mode caractéristique de son
es scènes de Monsieur de Pourceaugnac, du Bourgeois gentilhomme et du
Malade
imaginaire. Eh bien, avec cette imagination effré
ourd’hui encore, trouver l’occasion d’écrire, en les transformant, Le
Malade
imaginaire, Les Femmes savantes, George Dandin, T
e femme, au lieu de la prendre dans la boutique ou l’usine d’à côté !
Malades
parents, malades tuteurs, prenez garde à vous ! P
de la prendre dans la boutique ou l’usine d’à côté ! Malades parents,
malades
tuteurs, prenez garde à vous ! Prenez garde à ce
renez garde à ce médecin que vous chérissez, à ce médecin pour qui le
malade
, suivant leur affreux langage, est un sujet, un c
edoutables ; elles l’aident, oui, elles l’aident à faire Tartuffe, Le
Malade
imaginaire, où il donne toute latitude à sa viole
La Rochefoucauld, Réflexions ou sentences et Maximes morales. 8. Le
Malade
imaginaire, scène finale. 9. Le Dépit amoureux,
it amoureux, Acte I, sc. i. 17. Dom Juan, Acte II, sc. ii. 18. Le
Malade
imaginaire, Acte II, sc. ii. 19. Dom Juan, dern
ules, sc. iv : « Madelon ». 21. Ibid., sc. v : « Cathos ». 22. Le
Malade
imaginaire, Acte III, sc. iii. 23. Dom Juan, Ac
fe, Acte I, sc. i. 25. Les Femmes savantes, Acte I, sc. i. 26. Le
Malade
imaginaire, Acte II, sc. III. 27. Le Barbier de
es femmes, Acte V, sc. iv. 32. Amphitryon, Acte I, sc. ii. 33. Le
Malade
imaginaire, Acte III, sc. iv. 34. Tartuffe, Act
pieces qui eurent un grand succés. La derniere de ses Comedies fut Le
malade
imaginaire. Il en donna la quatriéme reprrsentati
ur.] Le principal personnage de la derniere Comedie de Moliere est un
malade
qui fait semblant d’être mort. Moliere représento
e Moliere ne mourut pas de cette façon : il eut le tems, quoique fort
malade
, d’achever son rôle. Voici ce qu’on conte dans sa
a vie « Lea 17. Fevrierb 1673, jour de la quatriéme representation du
Malade
Imaginaire, il fut si fort travaillé de sa fluxio
encore au grand travail qu’il faisoit. Un jour qu’il devoit joüer le
Malade
imaginaire, piece nouvelle alors, & la dernie
ait à la médecine la ridicule infatuation d’un vieillard qui se croit
malade
, comme Argan ; quel tort lui font les raisonnemen
t gourmander ses confrères, qui, au lieu de s’entendre aux dépens des
malades
, se querellent au détriment de leurs intérêts, et
mplorent le secours au premier frisson de la fièvre, Molière était un
malade
tristement désabusé, qui n’avait plus de confianc
Un homme que l’on paie pour conter des fariboles dans la chambre d’un
malade
, jusqu’à ce que la nature l’ait guéri, ou que les
ttre suivante : « On joue présentement à l’hôtel de Bourgogne L’Amour
malade
. Tout Paris y va en foule, pour voir représenter
les principales circonstances du fait qu’il raconte, prenant L’Amour
malade
pour L’Amour médecin, l’hôtel de Bourgogne pour l
rement sa fille ; il perd la tête de douleur en apprenant qu’elle est
malade
: mais il s’aime encore plus lui-même ; il trouve
l est veuf ; en l’amusant, s’il s’ennuie ; et en le gardant, s’il est
malade
. Il est possible que cette manie de Sganarelle ai
CHAPITRE XXV. Le
Malade
Imaginaire, comédie ballet, en trois actes, en pr
, ainsi qu’à vous, M’est un cruel supplice. Le premier intermede du
Malade
est imaginé en partie d’après un conte de la Font
laisant, si vous en exceptez la consultation qu’elle va faire pour un
malade
mort la veille. Voyons présentement les scenes it
e nom de Medecin volant, huit ans avant la premiere représentation du
Malade
imaginaire. Crispin, valet de Lélio, s’habille
urner chez lui ; mais il ne veut pas le voir. Il sort pour visiter un
malade
qui l’attend. Scene XVIII. Fernand se félicite d
sante que lui. Bien des gens prétendent que la réception burlesque du
Malade
imaginaire est aussi imitée des Italiens : je n’a
liere, à moins que de copier ses ouvrages depuis son Etourdi jusqu’au
Malade
imaginaire, & depuis leurs premiers mots jusq
’un Tartufe, je tâte cet habit, l’étoffe en est moelleuse ; à quelque
Malade
imaginaire, mon Médecin m’a ordonné de faire dans
epose un qu’on dit être mort ; Je ne sais s’il vit, ou s’il dort. Le
Malade
imaginaire Ne saurait l’avoir fait mourir ; C’est
Quoiqu’il en soit, ci gît Molière ; Comme il était comédien ; Pour un
malade
imaginaire, S’il fait le mort, il le fait bien.
si dans toutes les Pièces qu’il a fait représenter, il donna celle du
Malade
imaginaire, par laquelle il a fini sa carrière à
u’il commença les représentations de cette agréable Comédie, il était
malade
en effet d’une fluxion sur la poitrine qui l’inco
r le surmonter. Le 17 Février, jour de la quatrième représentation du
Malade
imaginaire, il fut si fort travaillé de sa fluxio
opos de converser. Le Lecteur observa que sur la fin de la Comédie Le
Malade
imaginaire qui était représenté par cet excellent
ble exemple : un peu plus d’un an après la première représentation du
Malade
imaginaire, les Italiens en donnèrent une grossiè
ourut le 17 février 1673, en jouant pour la quatrième fois le rôle du
Malade
imaginaire. Sa mort fut suivie d’une révolution d
oitrine. La fièvre s’y étant jointe, il ne fut pas plus de huit jours
malade
, et après avoir renoncé au théâtre, il mourut le
uffonneries d’Arlequin. « En ce cas, je suis mort, répondit le pauvre
malade
, car c’est moi qui suis Arlequin. » La différenc
ions, le lieu de la scene, & par conséquent avec la nature. LA
MALADE
SANS MALADIE, comédie en prose, en cinq actes.
On ne sauroit définir le caractere de l’héroïne ; c’est une espece de
Malade
imaginaire, ou plutôt une folle, une imbécille, q
u plutôt une folle, une imbécille, qui joint au ridicule de se croire
malade
sans l’être, un amour extravagant, & qui joue
copie de la Beline du Malade imaginaire ; elle flatte la manie de la
Malade
, lui persuade qu’elle est très mal, le tout pour
s gauchement Tartufe. Tout en feignant de refuser une donation que la
Malade
veut faire en sa faveur, elle l’accepte & tra
laquelle Sganarelle fait le médecin ; la sixième, où il interroge la
malade
: voilà les plus jolies scènes de ce petit ouvrag
ne élève : voilà ce qu’il y a de plus comique dans cette pièce. LE
MALADE
IMAGINAIRE. Excellente comédie. La première sc
arler de Géronte, est pillée de la cinquième scène du premier acte du
Malade
imaginaire. LE BAL. La plus mauvaise des co
meilleure2. LA NOCE INTERROMPUE. Au-dessous de Dufresny. LE
MALADE
SANS MALADIE. Le rôle de la malade, celui de l
Au-dessous de Dufresny. LE MALADE SANS MALADIE. Le rôle de la
malade
, celui de la fausse et caresseuse Lucinde, celui
on inclination le porta au Théâtre, où il se distingua et où il tomba
malade
, en représentant son Malade Imaginaire, en 1672.
héâtre, où il se distingua et où il tomba malade, en représentant son
Malade
Imaginaire, en 1672. Il mourut peu de jours après
inal de Mazarin, le grand introducteur de l’Opéra3. Le cardinal était
malade
; il se mourait, désespéré de quitter la vie, et
nac ! quelle fête Le Bourgeois gentilhomme ! Quel sublime bouffon, Le
Malade
imaginaire, et quel dramaturge avec Don Juan ! En
e siècle. Cette plaisanterie était la dernière ; elle venait après Le
Malade
imaginaire, où Molière lui-même s’était représent
dans tout l’éclat de la jeunesse et de la santé, riaient de ce triste
malade
. Ils trouvaient un grand charme à la toux de Moli
grand charme à la toux de Molière, et disaient qu’il représentait le
malade
à merveille. Certes, nous comprenons toutes vos g
ée d’un bonnet et affaissé dans ses coussins, ne diriez-vous pas d’un
malade
véritable ? N’est-ce pas que cette agonie est amu
: « La postérité saura la fin de ce poète-comédien qui, en jouant son
Malade
imaginaire ou son Médecin par force, reçut la der
yn, 1663. — La Désolation des filoux sur la défense des armes, ou les
Malades
qui se portent bien, comédie (1 a. v. de 4 pieds)
ns Lucinde. La complaisance que je suis obligé d’avoir pour une tante
malade
, me fait rester ici dans une étrange solitude. N’
; le sot bel esprit croient avilir en les nommant des farces. Dans le
Malade
imaginaire, par exemple, on apporte un lavement :
n qu’il a faite à son neveu en faveur de son mariage avec la fille du
Malade
imaginaire, & ne veut plus avoir aucune liais
roi prit part, ballet italien-français intitulé Amor malato, l’Amour
malade
. Deux grands médecins, le Temps et le Dépit, et l
tres s’y opposent et décident que le moyen de procurer la guérison du
malade
, c’est de le distraire par une suite de divertiss
érieur de vingt-six ans au Bene, bene respondere de la cérémonie du
Malade
imaginaire : LI DOTTORI. Oh ! bene, oh ! bene, o
d’une larronnesse Qui fouille dans son gousset. Le ballet de L’Amour
malade
avait laissé de si joyeux souvenirs parmi les con
p le théâtre, prenaient un titre pour l’autre et parlaient de L’Amour
malade
, de Molière, que Paris allait voir en foule. Pend
ries de Scapin, de la Comtesse d’Escarbagnas, des Femmes savantes, du
Malade
imaginaire 446 ? Dieux, princes, bergers, bourgeo
I, sc. I. 430. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. III. 431. Le
Malade
imaginaire, act. I, sc. V. 432. Voir plus haut,
dans l’Avare ; Henriette dans les Femmes savantes ; Angélique dans le
Malade
imaginaire. 456. Voir surtout l’Avare, M. de Pou
tes, act. III, sc. II, la Comtesse d’Escabargnas, sc. I, XV, XVI ; le
Malade
imaginaire, act. II, sc. VI. 486. Le Dépit amou
es Femmes savantes, act. I, sc. II, III ; act. IV, sc. VII, VIII ; le
Malade
imaginaire, act. II, sc. IV-VI, XI ; act. III, sc
t Chien. — Les Femmes savantes, act. III, sc. VI ; act. V, sc. I ; le
Malade
imaginaire, act. II, sc. VI, VII. 490. La Princ
pression. » Il l’aurait eue pour collaboratrice dans la cérémonie du
Malade
imaginaire, composée, paraît-il, au cours d’un dî
; déjà saisi par la mort, il le chantait encore dans un intermède du
Malade
imaginaire. Au penchant vers l’amour et le plaisi
ans, qu’il avait toujours beaucoup aimés. Le rôle de Louison, dans le
Malade
imaginaire, où il fait parler une petite fille av
cause, toute physique, vint s’ajouter à ces causes morales : il était
malade
, d’une maladie particulièrement douloureuse, et q
exacte et complète à laquelle un aliéniste ne trouve rien à dire. Le
Malade
imaginaire est la description non moins exacte d’
l’Amour médecin, le Médecin malgré lui, Monsieur de Pourceaugnac, le
Malade
imaginaire, donnent une place étonnante à la mala
e recevoir la gloire des heureux succès ; ils profitent du bonheur du
malade
et voient attribuer à leurs remèdes tout ce qui v
u mieux avec un « fort honnête médecin, dont il a l’honneur d’être le
malade
, » car il sollicite pour lui la faveur royale et
ne elle-même parlante et agissante. Enfin, dans sa dernière pièce, le
Malade
imaginaire, qu’il compose et joue avec la mort à
esse de mépris et de dérision contre la médecine, les médecins et les
malades
; il revient au procédé brutal de l’Amour médecin
e peut s’expliquer que par des raisons personnelles au poète. Souvent
malade
, il demande la guérison aux médecins ; ils la lui
tation où elle est décrite avec une complaisance singulière. Quant au
Malade
imaginaire, ce n’est, comme nous l’avons vu tout
me histoire : maladie, convalescence relative, rechute, irritation du
malade
, consultation demandée aux médecins en renom, rec
uteur ; & dans la representation de sa derniere piece, qui fut le
Malade
Imaginaire, il sembloit s’être surpassé lui-même.
fut le Malade Imaginaire, il sembloit s’être surpassé lui-même. Tout
malade
qu’il étoit, & pressé d’une fluxion sur la po
ries de Scapin, les Femmes Savantes, la Comtesse d’Escarbagnas, et le
Malade
imaginaire. Molière avait encore composé, pour la
Un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un
malade
, jusqu’à ce que la Nature l’ait guéri, ou que les
a dernière production de Molière. Le jour qu’il devait représenter le
Malade
Imaginaire pour la troisième fois, il se sentit p
! Tome I, p. 507-50879 Dans le temps que Molière composait le
Malade
Imaginaire, il cherchait un nom pour un Levrier d
nant le vôtre ! Le Clistériseur80 qu’il a mis sur le Théâtre, dans le
Malade
Imaginaire, s’appelle Fleurant. Comme on sut l’hi
’insolence, vient, une seringue à la main, pour donner un lavement au
malade
. Un honnête-homme, frère de ce prétendu malade, q
donner un lavement au malade. Un honnête-homme, frère de ce prétendu
malade
, qui se trouve là dans ce moment, le détourne de
plus de réputation alors, fut le rôle de Thomas Diaforius 81, dans le
Malade
Imaginaire, qu’il jouait supérieurement. On dit q
1705, Grimarest, p. 71-75 Peu de jours avant les représentations du
Malade
Imaginaire, les Mousquetaires, les Gardes-du-corp
de la Serva amoroso 106 de M. Goldoni107, qui lui-même a pris dans le
Malade
Imaginaire de Molière, la plus grande partie du s
ries de Scapin, les Femmes Savantes, la Comtesse d’Escarbagnas, et le
Malade
imaginaire. Molière avait encore composé, pour la
l entra à la troupe du Marais où il reprit le rôle de Molière dans Le
Malade
imaginaire. Il mourut dans les mêmes circonstance
illustre prédécesseur, en sortant de scène juste après avoir joué le
Malade
imaginaire, et les siens connurent les mêmes diff
de Hyacinte. 76. Molière, 1664, Le Grand benet de fils : modèle du
Malade
imaginaire (selon les Anecdotes Dramatiques). 77
maginaire (selon les Anecdotes Dramatiques). 77. Diaforius, Thomas (
Malade
imaginaire) : Fils de M. Diaforius et amant d’Ang
Néologisme, médecin qui fait des lavements. 81. Diaforius, Thomas (
Malade
imaginaire) : Fils de M. Diaforius et amant d’Ang
inaire) : Fils de M. Diaforius et amant d’Angélique. 82. Toinette (
Malade
imaginaire) : servante. 83. GRATIS : Ce mot est
) assurant lui-même aussi des mises en scène (Iphigénie de Racine, le
Malade
imaginaire de Molière en 1674). (DET, M. Freydefo
transes, à ses délires ? où est le comédien, qui tôt ou tard, vieux,
malade
, infirme, délaissé, abandonné, privé de sa beauté
vus bien joués que dans ses rêves, — Tartuffe, — Le Misanthrope, — Le
Malade
imaginaire, — Le Bourgeois gentilhomme. Quels bea
ait un jour la femme du jeune comte. Justement le roi de France était
malade
, et pas un médecin ne répondait de cette guérison
et amas de prose et de vers qui se brouillent soudain dans ce cerveau
malade
! Ô pauvre cervelle en proie ail désordre ! Tout
r, à rasséréner les grandes âmes plus facilement, et plus cruellement
malades
que toutes les autres. Celui-là donc était le bie
blic, et tant et tant de causes qui pèsent incessamment sur ces têtes
malades
; ces fièvres, ces spasmes, ces délires, ces rêve
llée ou sur sa terrasse de Passy ? On ne peut pas dire ici le nom des
malades
du bon docteur Blanche ; il était le premier à ta
e cet autre mot : Un bandit ! il passait, sans le saluer, à côté d’un
malade
sauvé par lui ! Il ne les reconnaissait plus, tan
dans les jardins de l’univers habité. Il a accompli dans ces esprits
malades
, des miracles d’habileté et d’intelligence ! — Te
l a tiré, plus d’une fois, vingt lignes de bonne politique. Un de ses
malades
lui lisait une tragédie, et la tragédie, écoutée
sants qui veulent produire, à toute forces, on ne sait quelles œuvres
malades
. Mais autant il était sans pitié pour les humilia
apaisait, il calmait, il consolait, il relevait, il encourageait son
malade
. Il le ramenait dans les sentiers connus ; il le
si est-il. Cependant le public veut le revoir. Plus on dit : — Il est
malade
! et plus le parterre répond : — Qu’il paraisse !
o sautillant, vif et léger, et preste et charmant, a-t-il remplacé le
malade
de ce matin, tout comme la veste de velours brodé
la coulisse, cet homme est-il encore Figaro ? ou bien redevient-il le
malade
du docteur Blanche ? Quand il est là prodiguant l
à la comédie grecque, la joie inépuisable des jeunes amours ? La
Malade
i maginaire Il faut cependant que nous nous d
s causes, vous n’aurez plus que ce petit chapitre qui est la suite du
Malade
imaginaire, et le chapitre suivant où l’on voit M
ur. Vous saurez tout à l’heure le nom du nouveau poète qui a écrit La
Malade
imaginaire. Il est étranger, il a étudié avec un
notre auteur a lu Molière ; et parmi les chefs-d’œuvre de Molière, Le
Malade
imaginaire a bien étonné le nouvel inventeur. Ce
cachée sous cet immense éclat de rire ; si bien qu’en dépouillant Le
Malade
imaginaire de toutes les précautions joyeuses don
’indulgence pour un si vilain personnage ? Pourquoi donc immoler à ce
malade
imaginaire tous les médecins d’un grand royaume ?
s tard, la fièvre est la fièvre. À peine si l’on vous pardonne d’être
malade
. Quant aux nerfs, aux vapeurs, aux malaises, aux
sa belle-fille, qui supporte ces dégoûts et ces fatigues. En ceci, la
malade
imaginaire nous paraît plus logique et plus sincè
la malade imaginaire nous paraît plus logique et plus sincère que le
malade
imaginaire. — Ce digne M. Argan n’est guère à cha
ême n’en prend qu’à son aise. — Si vraiment cet homme se sentait bien
malade
, il serait d’une tout autre exigence ; il ferait
il serait égoïste, il serait impitoyable, il serait insupportable. Le
malade
de Molière est un grand enfant, mais madame Sturm
de Molière est un grand enfant, mais madame Sturmer est le véritable
malade
imaginaire ; on rit de celui-là, mais on déteste
on. Une fois seulement, par une pluie battante, madame de Sturmer, la
malade
imaginaire, ordonne à la douce Anna d’aller cherc
ssement ? À l’acte suivant, le docteur Loewe se fait annoncer chez la
malade
imaginaire, madame de Sturmer, et certes il est l
peut faire, et encore par amour pour miss Anna, c’est d’ordonner à la
malade
des boulettes de mie de pain. En même temps, plus
finit par mettre aux pieds d’Anna sa fortune et sa main. En véritable
malade
imaginaire, madame de Sturmer ne demande pas mieu
r nous réjouir quelque peu, les transes sans cesse renaissantes de la
malade
imaginaire, les gaillardises de la soubrette, mad
vous saviez le nom de l’auteur, vous trouveriez qu’il faut être bien
malade
pour trouver de la politique dans ses comédies. —
se marier à l’aide d’un faux contrat. Chacun est heureux, et même la
malade
imaginaire, qui pourra tout à l’aise consulter le
es légères et murmurantes esquisses ? Nous parlions tout à l’heure du
Malade
imaginaire de Molière, de cette comédie faite pou
de frais ! Maintenant, si vous voulez savoir le nom de l’auteur de La
Malade
imaginaire, — eh bien ! saluez Son Altesse Royale
: Les Fourberies de Scapin, Le Cocu imaginaire, Le Mariage forcé, Le
Malade
imaginaire, Amphitryon, ces heureux instants de c
es, d’une soubrette plus qu’égrillarde, d’un neveu fripon, d’un oncle
malade
, d’un faux testament, d’un vieillard qui meurt et
nt de cercueil », ainsi dit Plaute ! Cette fois il ne s’agit pas d’un
malade
imaginaire comme celui de Molière, mais d’un bel
s d’un malade imaginaire comme celui de Molière, mais d’un bel et bon
malade
qui va mourir pour tout de bon, et qui déjà crach
on occupera bientôt tout l’amphithéâtre d’un laquais qui siffle, d’un
malade
dans sa garde-robe, d’un homme ivre qui dort ou q
ce que je passe !) que si près du Misanthrope que dis-je ? si près du
Malade
imaginaire, la Muse de la comédie se permette de
r ; qu’on lise ou qu’on voye representer les Fourberies de Scapin, le
Malade
imaginaire, le Bourgeois Gentilhomme ? n’y trouve
. La Comtesse d’Escarbagnas, Comédie en Prose, un Acte, 1672. XXX. Le
Malade
imaginaire, Comédie en Prose, trois Actes avec de
teur, qui mourut cinq ou six heures après qu’il y eut joué le rôle du
Malade
imaginaire. La plus grande partie des Pieces de M
presque à la sortie du théatre, où il se força pour jouer le rôle du
Malade
imaginaire, étant très-incommodé de la poitrine,
i va de sa première pièce, le Médecin volant, jusqu’à sa dernière, le
Malade
imaginaire, sinon par haine de l’école, de cette
il l’a aimée jusqu’à sa fin : bien plus, il s’est sacrifié pour elle.
Malade
, mourant presque, à la vue de ses compagnons qui
précède. 1. Voir la Revue chrétienne du 5 décembre 1869. 2. Le
Malade
imaginaire, 3e intermède. 3. Le Malade imaginai
du 5 décembre 1869. 2. Le Malade imaginaire, 3e intermède. 3. Le
Malade
imaginaire, 3e intermède. 4. Le Mariage forcé,
ecin malgré lui, acte I, sc. III. 19. Id, acte II, sc. III 20. Le
Malade
imaginaire, acte II, sc. vi. Gui Patin appelle Va
mes savantes, acte II, sc. vii. 42. Id., acte III, sc. ii. 43. Le
Malade
imaginaire, acte II, sc. vi. 44. « Nempe sol n
Gassendi à Campanella, mai 1683.) — Cette lettre parut eu 1658, et le
Malade
imaginaire est de 1672. Il faut ajouter que Gasse
isan, il expira quelques heures après avoir joué une dernière fois le
Malade
imaginaire, le 17 février 1673 à l’âge de cinquan
é son bonheur à rainer le bonheur conjugal des autres. Il n’était pas
malade
imaginaire l’étant très réellement et bravant plu
ble comme deux gouttes d’eau se ressemblent (souvenir de cela dans le
Malade
imaginaire) ; il se présente au père de famille t
l’imagination est bien saisi dans cette pièce et en la rapprochant du
Malade
imaginaire on voit que Molière a bien entendu cet
aux réels puisqu’aussi bien il serait moins douloureux d’être cocu et
malade
réellement que de l’être imaginairement. Don G
ù Molière se soit moqué des médecins. Il commençait sans doute à être
malade
. Il ne perdit pas l’habitude de railler la Facult
Les Femmes savantes, comme l’Avare, comme le Tartuffe, comme aussi le
Malade
Imaginaire, sont le tableau d’une famille désorga
justice. Oui, je crois en être sûr, Molière est aigri parce qu’il est
malade
. Voltaire ne songe pas à lui-même, comme aussi bi
e et Despréaux n’avaient pas besoin d’y ajouter des injures. » Le
Malade
imaginaire Je fais sur le Malade imaginaire un
d’y ajouter des injures. » Le Malade imaginaire Je fais sur le
Malade
imaginaire une observation analogue à une de cell
à une de celles que j’ai faites sur les Femmes savantes, c’est que le
Malade
imaginaire est un mélange de comédie et de farce.
est guère je crois qu’un divertissement, à dire qu’Argan n’est pas un
malade
imaginaire, mais un vrai malade, à savoir un neur
ssement, à dire qu’Argan n’est pas un malade imaginaire, mais un vrai
malade
, à savoir un neurasthénique. Je le veux bien ; ma
part d’imagination dans la neurasthénie que le neurasthénique est un
malade
au moins à moitié imaginaire. Il est à remarquer
ié imaginaire. Il est à remarquer encore que la folle « cérémonie »du
Malade
imaginaire n’est point très différente, les érudi
est épousé, et qui n’est pas vaincu, mais qui est vainqueur. Dans le
Malade
imaginaire ? — Cette fois, vous en conviendrez, d
ans le Malade imaginaire ? — Cette fois, vous en conviendrez, dans le
Malade
imaginaire, Molière s’attaque à un préjugé : la c
rtuffe par peur de l’enfer. Il me semble que c’est bien là le fond du
Malade
imaginaire. C’est précisément pour cela que son f
soin de vous, qu’il vous enverra en l’autre monde . Voilà le fond du
Malade
imaginaire : la peur de la mort mène à la mort et
resses ne sont pas un préjuge social. Donc l’essence de la comédie du
Malade
imaginaire, c’est la terreur de la mort, l’hypnot
t être des ménagères et qu’il ne faut pas trop s’écouter quand on est
malade
. La supériorité de Molière en fait d’idées, c’est
u’il le soit de l’autre et réciproquement. Voyez. S’il ridiculise les
malades
imaginaires, c’est que le demi-malade qui « s’éco
alde, Arnolphe est exaspéré… Moi, je serais cocu ? — Vous voilà bien
malade
! Mille gens le sont bien, sans vous faire bravad
arfaitement mal raisonné. À ce compte les personnages sympathiques du
Malade
imaginaire seraient les Purgon et les Diafoirus q
Il dit à Harpagon : « Vous, vous êtes tellement sot que vous en êtes
malade
. Vous croyez que tout le bonheur possible consist
vous ‘êtes couard. On dira peut-être plus tard que vous n’êtes point
malade
imaginaire, que vous êtes vraiment malade, d’une
tard que vous n’êtes point malade imaginaire, que vous êtes vraiment
malade
, d’une maladie qui tient des vapeurs, de l’état d
ntendre une Turlupinade Que… — Par ma foi, Marquis » notre siècle est
malade
. Le Boulanger de Chalussay, Élomire hypocondre :
n, le Misanthrope, le Tartuffe, l’Avare, le Bourgeois gentilhomme, le
Malade
imaginaire, la Coquette, la Femme savante. Ajouto
homme de qualité et que son père n’était pas bon gentilhomme ? Le
Malade
imaginaire nous ramène à ces types primitifs q
e veut pas mourir. Toutes ses facultés tendent vers ce but unique. Le
malade
imaginaire n’est pas autre chose que l’avare, un
ous les maux, se surchargent de toutes les incommodités ; ce sont les
malades
imaginaires et ceux qui ont peur d’être malades,
modités ; ce sont les malades imaginaires et ceux qui ont peur d’être
malades
, et de même que l’avare s’inflige la pauvreté, de
l’avare s’inflige la pauvreté, de peur de devenir pauvre, de même le
malade
imaginaire s’inflige l’état valétudinaire de peur
e malade imaginaire s’inflige l’état valétudinaire de peur de devenir
malade
. Ce vice vient de l’égoïsme et le renforce. Le ma
peur de devenir malade. Ce vice vient de l’égoïsme et le renforce. Le
malade
imaginaire veut marier sa fille avec un médecin p
ne vertu qu’à la condition qu’on en ait au moins quelques autres. Le
Malade
imaginaire va plus loin ou plutôt il va d’un autr
r abdomen, écoutent tous les borborygmes de leur âme ; qui, comme les
malades
, on l’a remarqué cent fois, sont flattés de leurs
u’il y ait une répétition générale où elles ne soient et qui seraient
malades
, non pas de n’y pas être, mais de ne pas pouvoir
lle ramène, qu’elle repousse encore et qui ont Ta faiblesse d’en être
malades
et d’en mourir. Son instinct est admirable à disc
t, il n’a pas mal réussi avec Philinte et avec Éliante. Angélique, du
Malade
imaginaire, est, comme presque toutes les jeunes
e sont la peinture de toute une maison, de toute une famille. Dans le
Malade
imaginaire, un père, une femme, une grande fille,
amille désorganisée par la passion de ne pas vouloir mourir, c’est le
Malade
imaginaire. Parce qu’Argan est ce qu’il est, il e
peureux, un homme qui a l’effroi de mourir de faim, donc une sorte de
malade
, et négligeant les autres traits.(volonté de puis
icule, ce merveilleux trio de peureux, le peureux en face de la mort,
Malade
imaginaire, le peureux en face de l’enfer, Orgon,
caractère du personnage principal, ni du reste d’aucun personnage. Le
malade
imaginaire, le bourgeois gentilhomme, Tartuffe, A
approchera peu à peu de l’église, disant, surtout s’il se sent un peu
malade
, qu’il a toujours eu et depuis son enfance des se
et ; l’un est un âpre homme d’affaires et l’autre est un maniaque, un
malade
, Molière sent très bien cela et il fait dire par
souvent joués sur le théâtre. La dernière pièce qu’il composa fut le
Malade
imaginaire ; il y avait quelque temps que sa poit
vulsion en prononçant Juro, dans le divertissement de la réception du
Malade
Imaginaire, il acheva la représentation. On le ra
le goût et la politesse s’y sont introduits. Pastorale comique. Le
Malade
Imaginaire , comédie-ballet, en trois actes en pr
ive impression dans la tête et une si grande crainte qu’elle en tomba
malade
. » Le duc de Saint-Simon raconte ce fait singuli
e de l’appartement de la reine, madame de Montausier rentra chez elle
malade
, ne sortit plus de sa chambre que pour quitter la
u Bouloir. Elle alla à son retour voir madame de Montausier qui était
malade
à Paris depuis longtemps : l’origine de son mal v
uteur ; & dans la représentation de sa derniere piéce, qui fut le
Malade
imaginaire, il sembloit s’être surpassé lui-même.
fut le Malade imaginaire, il sembloit s’être surpassé lui-même. Tout
malade
qu’il étoit, & pressé d’une fluxion sur la po
Pieces qui eurent un grand succés. La derniere de ses Comédies fut Le
malade
imaginaire. Il en donna la quatriéme représentati
ur.] Le principal personnage de la derniere Comédie de Moliere est un
malade
qui fait semblant d’être mort. Moliere représento
e Moliere ne mourut pas de cette façon : il eut le tems, quoique fort
malade
, d’achever son rôle. Voici ce qu’on conte dans sa
sa Vie. « Le 17 Fevrier 16731, jour de la quatriéme représentation du
Malade
Imaginaire, il fut si fort travaillé de sa fluxio
encore au grand travail qu’il faisoit. Un jour qu’il devoit joüer le
Malade
imaginaire, piece nouvelle alors, & la dernie
ité de l’allégorie satyrique. Nous ne citerons point la Farce du Pape
malade
, quoiqu’elle soit très propre à prouver aux jeune
amp; moins audacieuse, puisqu’elle attaque une Puissance. LA HOLLANDE
MALADE
, Comédie en vers & en un acte, par Poisson. L
duite, selon les Ministres qu’ils y attelent. La piece de la Hollande
malade
ne passeroit pas présentement. La politesse &
est-elle condamnée ? Ne faire qu’un repas dans toute une journée ! Un
malade
, entre nous, se conduiroit-il mieux75 ? La criti
de la livrée de la mort, semblent vouloir avancer les jours de leurs
malades
, autant par leur jargon & leur attirail, que
que par leurs ordonnances. Moliere leur prouve leur ridicule dans le
Malade
imaginaire, le Médecin malgré lui, l’Amour Médeci
ables. Ils ne font, à la vérité, que changer de ridicule ; mais si le
malade
n’en voit pas moins le sombre bord, il a l’avanta
hommes victimes des Médecins. Ceux-ci les font non seulement devenir
malades
tout de bon & précipitent leurs jours, mais l
nstruit à se conduire, même lorsqu’ils sont réellement incommodés. LE
MALADE
IMAGINAIRE. ACTE III. Scene III. Argan. Que fair
IMAGINAIRE. ACTE III. Scene III. Argan. Que faire donc quand on est
malade
? Beralde. Rien, mon frere. Argan. Rien ! Beralde
olière suffit à tout, à force d’énergie, lutta jusqu’au bout, quoique
malade
et rongé de soucis, mourut enfin à son poste en j
époux à sa pupille ; d’un médecin qui fait périr dans les règles ses
malades
à grand renfort de purges et de saignées ; d’un d
veut mêler d’en guérir un autre… Argan. Que faire donc quand on est
malade
? Béralde. Rien, mon frère… il ne faut que deme
a naïveté : La poule ne doit point chanter devant le coq. Argan, le
malade
imaginaire, préoccupé surtout de se choisir un ge
e Tartuffe déchaînera bientôt sur le logis. Sa maîtresse vient d’être
malade
, elle l’a soignée, elle a passé la nuit à son che
er d’une longue robe noire et parler latin, il n’en tue pas moins ses
malades
; Monsieur Lysidas invoque Aristote et fait d’exé
et l’autre une fille pauvre. Dans Le Bourgeois gentilhomme et dans Le
Malade
imaginaire, c’est la situation qui contraste avec
ce roturier, le fils d’un marchand de draps ; Argan, qui prétend être
malade
, jouit d’une santé robuste ; il est assez vigoure
eter une douzaine d’oreillers à la tête de Toinette. Cette comédie du
Malade
imaginaire fut le dernier ouvrage de Molière. Ell
Henriette, la malheureuse fille de L’Avare, et la fille vertueuse du
Malade
imaginaire ? Tous ses jeunes amoureux ont une phy
es savantes ? Quoi de plus pathétique et de plus profond que celui du
Malade
imaginaire ? Ce grand homme, quand il voulait des
mort le surprit au milieu d’un succès. Sa troupe venait de monter Le
Malade
imaginaire ; la foule se pressait pour voir cette
’il se fit porter au Palais-Royal à la troisième représentation, tout
malade
qu’il était. Les comédiens de l’Hôtel de Bourgogn
réputation alors, fut le rôle de Thomas Diafoirus dans la comédie du
Malade
imaginaire, qu’il joua supérieurement. On dit que
uffe, Psyché, Lucile dans Le Bourgeois gentilhomme, Angélique dans Le
Malade
imaginaire, Léonore dans L’Homme à bonnes fortune
lecteur Ne se sentaient des lieux que fréquentait l’auteur. Dans Le
Malade
imaginaire, de Molière, le malade disait à un apo
que fréquentait l’auteur. Dans Le Malade imaginaire, de Molière, le
malade
disait à un apothicaire : « Allez, monsieur, on v
ntre ses boutons et lui mit le visage en sang. Rentré chez lui, l’âme
malade
et tout en pleurs, qui trouvait-il pour pleurer a
pas à nous étonner de le voir, malgré Boileau, jouer la comédie tout
malade
, persistant jusqu’à son dernier jour, jusqu’à son
ncore de souffrance. Accablé de tristesse, de solitude, Molière tomba
malade
. Sa poitrine, qui avait toujours été faible, et q
; et quelles belles choses disaient-ils ? Ils se battaient chez leurs
malades
au sujet de la circulation et du vin émétique. De
fille ! » Ils arrivent à quatre, en grande cérémonie; ils tâtent la
malade
, s’asseyent, toussent, causent: l’un de sa mule,
Grands débats : Un troisième prétend (c’est Monsieur Macroton) que la
malade
[...] a u-ne ma-la-di-e chro-ni-que, et qu’el-le
ois, tant il y vint de monde, fit plus de mille écus. Molière, un peu
malade
, n’était pas allé voir le petit Baron dans les de
hambre du roi, cent personnes à conduire et les trois quarts du temps
malade
, il fallait bien que tout chez lui fût arrangé, r
ils venaient, disaient-ils, pour se bien divertir. Molière, qui était
malade
, but son lait devant eux et alla se coucher, en a
première représentation, qui eut lieu à Saint-Germain, Molière tomba
malade
. Il fut repris de sa toux, de sorte que le Sicili
lle à celle du Grand-Turc, et où il est lui-même reçu Mamamouchi. Le
malade
imaginaire, au moment où il va être sacré médecin
s pièces en cinq actes (mais en prose) se succédaient coup sur coup.
Malade
, mourant presque, mais chargé par le roi d’une co
utes sur sa maladie même, il voulut écrire et jouer, tout mourant, Le
malade
imaginaire. Votre plus haut savoir n’est que pu
ier 1673, jour où « l’on devait donner la troisième représentation du
Malade
imaginaire, dit Grimarest, Molière se trouva tour
des spectateurs s’aperçut qu’en prononçant juro, dans la cérémonie du
Malade
imaginaire, il lui prit une convulsion. Ayant rem
donné, le jour du mardi gras, son spectacle habituel du carnaval, Le
Malade
imaginaire, accompagné de la cérémonie ; ce même
boursouflés qu’on nous montre dans la trilogie de L’Amour médecin, du
Malade
imaginaire et du Médecin malgré lui ? La création
e Lenclos acheva d’irriter ses poumons. Depuis quinze ans sa poitrine
malade
le dévorait d’un feu intérieur et lui donnait cet
promis de travailler avec lui au latin macaronique de la cérémonie du
Malade
imaginaire. Je donne l’anecdote pour ce qu’elle v
évrier 1673, jour où devait avoir lieu la quatrième représentation du
Malade
imaginaire, Molière, sentant que le mal était déc
e tant renommé bouffon N’a jamais su si bien faire Le
malade
imaginaire Qu’il a fait le mort tout de bon5 ! L
que ce qu’on a étudié. Le latin macaronique, où s’amusait l’auteur du
Malade
imaginaire, en compagnie de Boileau et de La Font
pendant une représentation de Psyché. Molière, quoique mourant, fort
malade
, déploya en cette circonstance une grande énergie
as (divertissement). Chrysale dans Les Femmes savantes. Argan dans Le
Malade
imaginaire. Au dire de ses ennemis, Molière ne va
dien, on disait de lui qu’il savait faire jouer jusqu’aux enfants (Le
Malade
imaginaire) et qu’il ferait, s’il le fallait, jou
prise sur le public par ce charme souffrant et musical de sa voix de
malade
. « Bref, conclut La Martinière, dans les intéres
où il rendit le dernier soupir, après la quatrième représentation du
Malade
imaginaire. On a décrit, dans le style judiciaire
éré, Ne trouva rien plus à leur gré, Que le
Malade
Imaginaire ; Mais comme par malheur il manquait u
int ce discours en parlant de Molière : S’il avait eu le temps d’être
malade
, il ne serait pas mort sans médecin. Il n’était p
’avais fait faire une Chaise, parce que Molière devait venir jouer Le
Malade
Imaginaire chez moi, et qu’elle lui servirait. Il
grand philosophe. » « Il a joué les Jeunes, les Vieux, les Sains, les
Malades
, les Cocus, les Jaloux, les Marquis, les Villageo
qui s’appelle L’Étourdi, jusqu’à ce rictus douloureux qui se nomme Le
Malade
imaginaire. Que de personnages s’agitent entre ce
euses, petits marquis et grandes coquettes, fripons et honnêtes gens,
malades
et médecins, philosophes de hasard et savants de
aître d’armes dans Le Bourgeois gentilhomme et Diafoirus père dans Le
Malade
imaginaire. Brécourt (Guillaume Marcoureau, sieu
avec succès les rôles de niais, Diafoirus fils, par exemple, dans Le
Malade
imaginaire. Longchamp (Henri Pitel, sieur de), s
fille du pâtissier-poète. Elle était fort laide. Joua Béline dans Le
Malade
imaginaire. Du Croisy (Marie-Claveau, demoiselle
urni à Poquelin de Moliere des Scénes accessoires, pour sa Comédie du
Malade
imaginaire, qui ont si fort diminué parmi le Peup
». Le Chirurgien exagere peut-être un peu les maux que la Comédie du
Malade
imaginaire a fait à la Médecine. L’Auteur prétend
jours, « C’est-à-dire, un esprit chaussé tout à rebours, « Une raison
malade
et toujours en débauche, « Un envers de bon sens,
médecin, sert les amours de son maître avec Eularia, qui feint d’être
malade
, et, pour connaître le genre de sa maladie, il tâ
vant la princesse, risque mille singeries, et les efforts que fait la
malade
pour rire la débarrassent de l’arête. Lisez la
d’élève en médecine, chez Eularia ; il demandé si les matières de la
malade
sont dures ou liquides ; il feint de refuser l’ar
frappait, derrière les coulisses, la tête contre un mur ; on le crut
malade
: « Non, dit-il, mais je viens d’entendre débiter
nter Elmire, lui dit : « Eh quoi ! madame, oubliez-vous que vous êtes
malade
? » les autres en répétant, d’après madame Pernel
un homme payé pour écouter et dire des fariboles dans la chambre d’un
malade
, jusqu’à ce que la nature l’ait guéri, ou que les
rt la nuit entière ? S’il boit du vin blanc ou du rouge ? Le prétendu
malade
se fâche, le docteur s’opiniâtre à vouloir le gué
ottise Qu’on voit faire à ces messieurs-là80. » Année 1673. Le
Malade
imaginaire. Le Malade imaginaire, cette pièce
ces messieurs-là80. » Année 1673. Le Malade imaginaire. Le
Malade
imaginaire, cette pièce qu’on intitule comédie-ba
le lui laissant, s’écria : « où la vertu va-t-elle se loger ! » Le
Malade
imaginaire obtint aussi les honneurs de la critiq
njecturent de là que Montaigne a pu fournir à Molière le caractère du
Malade
imaginaire. C’est voir les choses de loin ; eh !
oins de misanthropes et de faux dévots, d’avares même, qu’il n’est de
malades
imaginaires livrés aux coups meurtriers et mercen
ins minutieux auxquels elle le condamne. Les scènes. — En parlant du
Malade
imaginaire, Voltaire dit : « C’est une de ces far
dignes de la haute comédie. » N’aurait-il pas mieux fait de dire : Le
Malade
imaginaire est une de ces pièces où, parmi des sc
ve qui se rapprochent de la farce ? Encore faudrait-il ajouter, si Le
Malade
imaginaire est bien joué, on ne peut ranger, dans
ême ; Argan refuse de le prendre ; Purgon furieux, vient accabler son
malade
de reproches, le menace de toutes les maladies en
la naïveté, peut-être poussée trop loin, fait le principal mérite du
Malade
imaginaire ». Jusqu’ici, je n’avais pas cru qu’on
hé de prendre le ton de la pièce dont vous parliez : d’après cela, Le
Malade
imaginaire ne vous encourage-t-il pas à redoubler
le auquel il se destine. Mon projet est de vous faire débuter dans Le
Malade
imaginaire, et pour ne compromettre ni ma figure
r et une voix grêle ne contrastent pas assez avec l’accoutrement d’un
malade
, d’un autre côté, trop d’embonpoint ressemble à d
oup. Bonneval, assez médiocre comédien, jouait à merveille le rôle de
Malade
imaginaire, parce que, ni trop gras ni trop maigr
bien assuré ; songez-vous qu’il n’est ni facile de parler raison à un
malade
imaginaire, sans être un froid raisonneur, ni de
ocilité, ils pourront risquer dans peu de temps une représentation du
Malade
imaginaire, surtout s’ils se pénètrent bien de l’
lite, une excellente parodie de la réception burlesque qui termine Le
Malade
imaginaire ; elle fut donnée avec beaucoup de suc
Nous touchons au moment le plus funeste pour le théâtre comique : Le
Malade
imaginaire est la dernière production de Molière
l redoubla le jour qu’on devait donner la quatrième représentation du
Malade
imaginaire ; il fut affecté de son état, et dit à
femme ; mais l’heure fatale sonne, et pendant l’absence de Baron, le
malade
, suffoqué par le sang qu’il rendait en abondance,
ez mal. Nous rendrons compte de cette séance académique en parlant du
Malade
imaginaire. 75. Et c’était sa manière. Voyez l’a
ançaise, lut, dans son dernier voyage à Paris, chez madame de ***, Le
Malade
imaginaire ; il rendit si bien tous les rôles que
lle les deux Docteurs débitent des raisons pour lui prouver qu’il est
malade
. Passons à la maniere dont Eraste feint de renoue
ais. 42. La Désolation des filous sur la défense des armes, ou les
Malades
qui se portent bien, piece dédiée à Mademoiselle.
ur 649 ; et, pour aller jusqu’au bout, les chansons des Mores dans le
Malade
imaginaire : Profitez du printemps De vos beaux
de Pourceaugnac, act. II, sc. II, VI, VII, X ; act. III, sc. III ; le
Malade
imaginaire, act. II, sc. VI. 614. « Il faudra b
érité saura peut-être la fin de ce poète comédien, qui, en jouant son
Malade
imaginaire ou son Médecin par force, reçut la der
d., act. III, sc. I ; troisième intermède ; act. V, sc. VI. 650. Le
Malade
imaginaire, deuxième intermède. 651. « M. de La
rs divertissemens qui avoient déjà été représentés devant le Roi. Le
malade
imaginaire Le malade imaginaire, comédie-ballet,
avoient déjà été représentés devant le Roi. Le malade imaginaire Le
malade
imaginaire, comédie-ballet, en trois actes en pro
e le fond52 de leur art, par le rôle de Béralde, comme, dans celui du
malade
imaginaire, il jouë la foiblesse la plus universe
n’en est pas plus vraysemblable. Le jour qu’il devoit représenter le
malade
imaginaire pour la troisiéme fois, il se sentit p
sur la scéne :64 dans l’étourdi,65 dans l’école des maris,66 dans le
malade
imaginaire, des amans, qui ne peuvent s’expliquer
palais royal, le 8 juillet de la même année. Pastorale comique. Le
malade
imaginaire, comédie-ballet, en trois actes en pro
qu’avoit eu le jeune Baron les deux premiers jours, résolut, quoique
malade
, de se faire porter au palais royal à la troisiém
upe ducale de Meiningen de nous avoir rendu il y a quelques années Le
Malade
imaginaire, et hier Les Femmes savantes. [1880-01
; et la « longe de veau de rivière » ; et les « petits pruneaux » du
Malade
imaginaire ; mais un tel assemblage nous ayant pa
Garraud, Baillet, Prudhon, Boucher ; Mmes Croizette et Favart), et Le
Malade
imaginaire avec la Cérémonie, séparés par un à-pr
du Misanthrope (M. Pujol jouant Alceste pour la première fois), et Le
Malade
imaginaire (M. Noël Martin, Argan ; M. Cressonnoi
rôle d’Elmire, parce que le luxe des vêtements ne convient pas à une
malade
. On voit généralement dans le Tartuffe des person
à penser que cette anecdote est fausse. En effet, si Elmire n’est pas
malade
, elle n’a aucune raison de n’avoir pas son costum
ucune raison de n’avoir pas son costume habituel. Or, elle n’est plus
malade
; elle n’a même eu qu’une légère indisposition qu
appuyé le blâme de Molière, puisqu’il est faux qu’Elmire soit encore
malade
au moment où se passe l’action ? Admettra-t-on, d
ment où se passe l’action ? Admettra-t-on, d’ailleurs, qu’Elmire soit
malade
au moment de la grande scène du quatrième acte ?
il est aujourd’hui populaire. Il n’en est pas de même du Fauteuil du
Malade
imaginaire, conservé depuis deux siècles à la Com
ier ; deux tiges de fer, sortant des bras, servent à placer devant le
malade
la petite tablette sur laquelle on range les diff
’ami de Molière. On ne le porte sur le théâtre que pour le service du
Malade
, représenté successivement par Guérin d’Estriché
st mon désespoir, « Je n’y vois personne s’asseoir « Que le
Malade
imaginaire ! » Après la Révolution, qui dispersa
s cette époque, soustrait aux chances de dégradation ? On sait que Le
Malade
est une des pièces de Molière restées au répertoi
e général commun, et traduites par divers auteurs. C’est ainsi que Le
Malade
imaginaire, par exemple, a été traduit en italien
dans les œuvres de Molière, mais une de ses fables est citée, dans Le
Malade
imaginaire, à côté d’un conte de Perrault ; car l
sté, d’ailleurs, par le Registre de La Grange. Mieux encore : dans Le
Malade
imaginaire, Molière écrit son propre nom tout au
des médecins, je me vengerais de son impertinence ; et quand il sera
malade
, je le laisserais mourir sans secours. Il aurait
et si pimpante, qu’il eut bien de la peine à reconnaître cette Elmire
malade
, souffrante et triste, qu’on a saignée la veille,
tre, ou pour mieux dire il tomba sur son champ de bataille. À voir Le
Malade
imaginaire, en songeant à la catastrophe finale,
ristes accidents de l’humaine nature, que pas un d’eux, à l’aspect du
malade
, ne puisse faire un retour sur soi-même et se dir
Figurez-vous, Mylord, que le roi et sa cour ont ri comme des fous, au
Malade
imaginaire ; que le roi n’a pas pu s’en lasser, e
les uns et les autres, ils étaient tous mortels. Car on a beau dire :
Malade
imaginaire ; imaginaire tant que vous voudrez : c
aire ; imaginaire tant que vous voudrez : cet homme est en effet très
malade
. Que je meure d’un mai de poitrine ou de la peur
laideur jette le frisson dans toute la salle. Le moyen que je rie du
Malade
imaginaire, au milieu d’un pareil malaise ? C’éta
ûr, il lui est impossible de s’amuser beaucoup à la représentation du
Malade
imaginaire. En un mot, l’histoire de M. Argan res
, pour ceux qui savent quel homme était Molière, la représentation du
Malade
imaginaire ajoute encore cette tristesse du souve
e que Molière est mort. Pauvre homme ! Depuis longtemps déjà il était
malade
, et il disputait courageusement les restes précie
dispenser des plus simples devoirs de leur profession ! — Madame est
malade
… lisez : « madame est au bal ! » Monsieur est pri
ée d’un bonnet et affaissé dans ses coussins, ne diriez-vous pas d’un
malade
véritable ? N’est-ce pas qu’il est amusant à voir
ses entrailles ! Entrait Toinette, Toinette brisait la tête du pauvre
malade
, et cependant Molière, entendant rire Toinette, r
. « La postérité saura la fin de ce poète-comédien qui, en jouant son
Malade
imaginaire ou son Médecin par force, reçut la der
andin, L’École des maris, L’École des femmes, Les Femmes savantes, Le
Malade
imaginaire, en un mot toutes ces excellentes et a
re, indignation qui n’était pas même permise à Jean-Jacques Rousseau,
malade
, ruiné et proscrit, était encore moins permise à
ues, tome I, p. 506 Molière était incommodé lorsqu’on représenta le
Malade
imaginaire. Sa femme et Baron* le pressèrent de p
des grands écrivains, a bien souvent écrit sous la dictée de son cœur
malade
, et que l’état de son âme a dû se refléter plus d
Le Tartuffe, Lucile dans Le Bourgeois gentilhomme, Angélique dans Le
Malade
imaginaire sont autant de caractères charmants de
anie gentilhommière lui font perdre le respect. Et cette Toinette, du
Malade
imaginaire, quelle heureuse et fine nature ! Que
un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un
malade
, jusqu’à ce que la nature l’ait guéri, ou que les
t auteur ; et dans la représentation de sa dernière pièce, qui fut le
Malade
imaginaire, il sembloit s’être surpassé lui-même.
fut le Malade imaginaire, il sembloit s’être surpassé lui-même. Tout
malade
qu’il étoit et pressé d’une fluxion de poitrine,
Quoi qu’il en soit, cy gît Moliere : Comme il étoit comédien, Pour un
malade
imaginaire, S’il fait le mort, il le fait bien.
fort puissante et de bonne mine. Elle chantoit dans les intermèdes du
Malade
imaginaire. De Villiers114, poète comique, et tr
voix, et chantoit ordinairement avec la Grange dans le second acte du
Malade
imaginaire 156. Genevieve Bejar157, sa sœur cadet
èse ; Le petit Hubert ; La petite Beauval (Louise), la Louison de son
Malade
imaginaire. 151. Mémoires sur la vie, etc. 17
ctions de la vie animale ; le Médecin malgré lui, l’Amour médecin, le
Malade
imaginaire, contiennent à ce sujet des traits d’u
ls tâtent le pouls de la société aussi fréquemment que celui de leurs
malades
, afin de savoir comment il faut en user avec les
la vie; comprennent-ils mieux la mort ? Nous reviendrons, à propos du
Malade
Imaginaire, plus sérieusement sur ce sujet. Nous
il était le médecin, et lui pardonnait spirituellement à cause de ce
malade
un peu brusquement envoyé dans l’autre monde, tou
us les caractères de sa pièce, il a joint une scène du second acte du
Malade
imaginaire, scène dans laquelle Cléante donne une
un homme bien portant livré à des médecins qui veulent le traiter en
malade
. M. de Pourceaugnac fut cet homme, espèce de poli
honnêtes gens comme les médecins. » Voilà ce que Molière fait dire au
malade
imaginaire, et le vieil Argan n’a peut-être pas t
n homme à être médecin, et dans l’autre on veut qu’un bon vivant soit
malade
, il ne restait plus qu’à peindre les travers d’un
vivant soit malade, il ne restait plus qu’à peindre les travers d’un
malade
imaginaire. L’auteur n’y a pas manqué. Il l’a fai
a. Je ne sais pourquoi le Théâtre-Français semble avoir consacré Le
Malade
imaginaire à l’anniversaire de Molière, lorsque c
ec beaucoup trop de facilité. La supercherie inspirée par Toinette au
malade
imaginaire, ce conseil de faire le mort à l’imita
heminée, lorsqu’ils se persuadaient n’en être ni vus, ni entendus. Le
malade
aimait assez M. de Biron, mais point du tout sa f
pas, ni les épigrammes non plus. Il avait succombé en représentant le
Malade
imaginaire, et les petits auteurs, ses rivaux, fi
. 291. Il y a ici une erreur ce n’est pas Le Cocu imaginaire mais Le
Malade
Imaginaire.
un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un
malade
, jusqu’à ce que la nature l’ait guéri, ou que les
je vois aussi peu le cocu réel qui prend son mal en patience. Dans le
Malade
imaginaire, trouvons-nous un homme vraiment infir
-t-on. Pourquoi cela ? Le Géronte du Légataire universel n’est-il pas
malade
tout de bon ? Si vous n’en croyez pas ses létharg
ses talents lui valurent depuis, s’étant trouvé aux eaux de Bourbon,
malade
et sans argent, Boursault, qui se rencontra par h
presque diaphane Par les jeûnes cruels auxquels il se condamne, Tombe
malade
enfin : déjà de toutes parts Le joyeux héritier p
veux les ais et la serrure. Un avide Esculape, en cette extrémité, Au
malade
aux abois assure la santé, S’il veut prendre un s
ès médiocre. Le Chevalier joueur, ta Noce interrompue, la Joueuse, la
Malade
sans maladie, le Faux honnête homme, le jaloux ho
onfie la musique et les intermèdes de sa dernière comédie-ballet : Le
Malade
imaginaire ; manifestation exemplaire d’un mariag
ne VIII. Le Médecin arrive, dit que tout est prêt pour la guérison du
malade
, & M. de Pourceaugnac survient bien vîte pour
je l’ai déja dit. ACTE II. Scene I. Le Médecin dit à Sbrigani que le
malade
a pris la fuite, mais qu’il va trouver le beau-pe
’user de la permission, & d’envoyer dormir les personnages de son
Malade
imaginaire entre le premier & le second acte.
les couplets suivants, dans un opéra comique intitulé les Spectacles
malades
. LA COMÉDIE ITALIENNE. Air : Quand le péril est
t séparée d’elle, lui jetant les bras au cou, & l’assurant que le
malade
n’en mourroit pas. Interrompons un instant le Se
da d’abord pourquoi le gentilhomme n’étoit pas venu, & s’il étoit
malade
. Il n’est pas malade, dit la vieille, & il n’
e gentilhomme n’étoit pas venu, & s’il étoit malade. Il n’est pas
malade
, dit la vieille, & il n’a pas manqué d’y veni
n’est pas venu me voir. . . . Le malheureux Don Pedre feignit d’être
malade
, & se représentant qu’il avoit choisi une fem
uffe, ni dans Les Femmes savantes, ni dans Le Misanthrope, ni dans Le
Malade
imaginaire, ni même dans quelques farces de lui q
omédie, a voulu l’égayer par quelques grotesques, comme il a égayé Le
Malade
imaginaire par les Diafoirus et Purgon. Mais voye
r eux-mêmes et par l’appareil qui les entoure. Faites d’Argan un vrai
malade
et de Bélise la meilleure femme du monde, de Cléa
sera emporter à cette allure rapide. Le Molière de Dandin, et même du
Malade
imaginaire, c’est du Labiche avec plus d’envergur
t l’esprit comme le Tartuffe, Le Misanthrope, Les Femmes savantes, Le
Malade
imaginaire et tant d’autres. Elle a encore cet in
mande des nouvelles de la maison ; Dorine lui répond que sa femme est
malade
; et lui de s’écrier : « Et Tartuffe ! » Et il ré
endre pour exemple, précisément, Le Bourgeois gentilhomme et aussi Le
Malade
imaginaire. Il lui déplaisait qu’on jouât cette d
trefois, et jouer, par exemple, Le Dépit amoureux en cinq actes ou Le
Malade
imaginaire, qui est déjà fort long sous sa forme
savent reconnaître une erreur et la réparer. 14 août 1871. « Le
Malade
imaginaire » I. Argan [A] Je n’ai p
I. Argan [A] Je n’ai pas beaucoup aimé la façon dont Le
Malade
imaginaire a été joué. C’est ma grande querelle a
d’avoir plus d’une fois causé de son rôle avec Molière. Cadet fait du
Malade
imaginaire une simple farce de tréteaux. Il y a t
eu mon dernier feuilleton, du jeu de Coquelin cadet dans l’Argan, du
Malade
imaginaire ? Si vous l’avez oublié, la lettre qui
itions, un modèle abominable pour les élèves du Conservatoire dans Le
Malade
imaginaire et dans L’Avare. Il faut pourtant s’ex
uvé que j’étais dans la véritable tradition de Molière. L’Avare et Le
Malade
ont été traduits en Russie, en Roumanie, en Serbi
ans son fauteuil ; il est bougon, colérique, plein de santé, comme le
malade
imaginaire. Il n’est pas neurasthénique… oh ! non
idée fixe : la maladie, et il devient le pantin de cette maladie. Le
Malade
imaginaire est une comédie de caractère admirable
n’est peut-être pas la bonne. Vous parlez de Saint-Léon qui jouait le
malade
imaginaire, et que vous soupçonnez d’avoir causé
tre feuilleton, qu’un vieil abonné est venu me dire au foyer après Le
Malade
imaginaire : « Mes compliments tout de même, mons
un tréteau et que, quand Molière composait, sur la fin de sa vie, Le
Malade
imaginaire, peut-être avait-il une autre idée en
qui n’est pas de première conséquence dans l’œuvre de Molière (car Le
Malade
imaginaire, quoi qu’en dise Coquelin, n’est pas u
lutôt de tout le monde, qu’Argan est, en effet et très réellement, un
malade
imaginaire, un hypocondriaque, si l’on aime mieux
ent, s’irrite, s’emballe, jusqu’à ce qu’un mot lui rappelle qu’il est
malade
et très malade. Le comique de la pièce, un comiqu
s’emballe, jusqu’à ce qu’un mot lui rappelle qu’il est malade et très
malade
. Le comique de la pièce, un comique très profond,
e pour que l’éclat jaillisse. Savez-vous bien, mon cher Cadet, que Le
Malade
imaginaire, c’est la comédie la plus rosse que l’
son œuvre manquent de bonté. Jamais il n’a poussé si loin que dans Le
Malade
imaginaire ce que l’on appelle aujourd’hui la ros
dit Toinette à Argan, doit épouser un mari pour elle, et, n’étant pas
malade
, il n’est pas nécessaire de lui donner un médecin
C’est pour moi que je lui donne ce médecin, répond inconsciemment le
malade
. Tous les jeunes gens de l’école réaliste et brut
oir placé une personne de ce tempérament près d’un homme qui se croit
malade
, enfoncé dans la contemplation de ses maux, trist
par le contraste. C’est elle qui plantera un oreiller sur la tête du
malade
en lui disant : — Et celui-ci pour vous garder d
cins, et elle fait comme eux. À chaque symptôme que leur déclarait le
malade
, ils ne manquaient pas de dire gravement : « C’es
t que le plaisir du public ne soit troublé par aucune dissonance. Le
Malade
imaginaire est une comédie, et l’impression génér
le. Eh bien ! moi, spectateur, qui viens d’écouter les trois actes du
Malade
imaginaire, les insanités d’Argan, les folles ima
seul à traiter de pareils sujets ; Molière, avant lui, avait écrit Le
Malade
imaginaire. Mais pourquoi rions-nous aujourd’hui
Le Malade imaginaire. Mais pourquoi rions-nous aujourd’hui encore au
Malade
imaginaire ? Parce qu’il est imaginaire… Dans Le
ien de semblable. Dès le premier acte, Géronte est vraiment gravement
malade
; sa paralysie, sa colique, sa toux, son air d’om
Mars déjà. Le vieux Préville, reparut même deux ou trois fois dans Le
Malade
imaginaire. Un pareil moment ne se reproduira plu
is, Les Fourberies de Scapin 3 fois, Le Médecin malgré lui 4 fois, Le
Malade
imaginaire 2 fois, Le Dépit amoureux 2 fois, L’Éc
étaient les fenêtres de la maison où, le 17 février 1673, l’auteur du
Malade
imaginaire fut rapporté mourant, où il rendit le
atelle. Il connut par là les goûts du siècle, il vit bien qu’il était
malade
et que les bonnes choses ne lui plaisaient pas. I
Précieuses, au Louvre, chez S. Ém. M. le cardinal Mazarin, qui était
malade
dans sa chaise. Le roi vit la comédie incognito,
ni au mariage ; il n’y a rien à conclure de là : elle pouvait être ou
malade
ou absente, ou même éprouver du mécontentement de
utre compositeur que Lulli, à Marc-Antoine Charpentier, la musique du
Malade
imaginaire. L’abbé Le Vayer, fils de La Mothe Le
est ce « fort honnête médecin dont Molière avait l’honneur d’être le
malade
», et pour lequel il sollicite du roi, dans un pl
ne les fais pas, et je guéris. » Mais ce que disait le docteur à son
malade
n’était pas perdu, et, en effet, il eut une certa
le, le 22 septembre, il écrit encore : « On joue présentement L’Amour
malade
; tout Paris y va en foule pour voir représenter
Guy Patin, et ne s’accordaient pas de l’espèce de la maladie dont le
malade
mourait. Brayer dit que la rate est gâtée, Guénau
Ne voilà pas des habiles gens ? »Guénaut eut le dessus, et emporta le
malade
. On raconte qu’étant un jour engagé dans un embar
édecin. Sire, Un fort honnête médecin, dont j’ai l’honneur d’être le
malade
, me promet et veut s’obliger par-devant notaire d
ais-Royal, Armande Béjart (Mlle Molière) était tombée assez gravement
malade
. C’est ce que Robinet constate dans sa lettre du
. Lors de Psyché coadjutrice, Jouait son rôle et le jouera Tandis que
malade
sera Mademoiselle de Molière. Le même nouvellist
ie ? Toujours est-il qu’une réconciliation eut lieu dix mois avant Le
Malade
imaginaire, c’est-à-dire en avril 1672 seulement
tion de corps et d’esprit où était Molière au moment où il composa Le
Malade
imaginaire, cette pièce nous apparaît sous un jou
dénouement se perd dans le fantastique. La première représentation du
Malade
imaginaire eut lieu le 10 février 1673, au Palais
e nouvelle musique à Charpentier, rival du Florentin. De même pour Le
Malade
imaginaire, c’est à Charpentier qu’il eut recours
luante de ce fait. Nous y lisons en tête des premiers morceaux : « Le
Malade
imaginaire avant les défenses. Ouverture du prolo
: « Le Malade imaginaire avant les défenses. Ouverture du prologue du
Malade
imaginaire dans sa splendeur ». Et plus loin : «
rologue du Malade imaginaire dans sa splendeur ». Et plus loin : « Le
Malade
imaginaire avec les défenses. Ouverture. » Il n’
spectateurs s’aperçurent qu’en prononçant juro, dans la cérémonie du
Malade
imaginaire, il lui prit une convulsion. Ayant rem
ère mourut dans sa maison, rue de Richelieu, ayant joué le rôle dudit
Malade
imaginaire, fort incommodé d’un rhume et fluxion
, Attire aujourd’hui tout Paris Par le dernier de ses écrits, Où d’un
Malade
imaginaire Il vous dépeint le caractère Avec les
espréaux, écrivait à un savant professeur de Padoue qui venait d’être
malade
d’une affection de poitrine : « Notre Molière, le
: Ci-gît dessous ce monument Le corps de l’illustre Molière, Qui de
malade
imaginaire Le devint véritablement. Et comme la f
ire Qui ne trouva dedans sa fin Ni Dieu, ni loi, ni médecin ; Car son
Malade
imaginaire. Lui faisant fermer la paupière. L’en
jours. Sa carrière comique, depuis Les Précieuses ridicules jusqu’au
Malade
imaginaire, avait été d’un peu plus de treize ans
École des Femmes ou L’Impromptu, ni dans Le Bourgeois gentilhomme, Le
Malade
imaginaire, Le Médecin malgré lui, Pourceaugnac,
. Tout le reste de ses comédies, depuis Bon Garde de Navarre jusqu’au
Malade
imaginaire, a été joué au Palais-Royal. On peut d
le jour de la neuvième, à 2278 livres, La première représentation du
Malade
imaginaire produisit 1992 livres. Malgré la diffé
mort de Molière, par Grimarest, nous apprend que la représentation du
Malade
imaginaire commençait à quatre heures et finissai
de Psyché atteignent par jour à 351 livres. Les frais journaliers du
Malade
imaginaire, à cause de la musique, de la danse, e
partie de la troupe de Monsieur que pendant quelques mois ; il tomba
malade
le 11 mai 1659, dans une représentation de L’Étou
’auteur anonyme des Entretiens galants (1681) : Cette belle scène du
Malade
imaginaire (la leçon de chant) que Célinde vient
ourgeois gentilhomme ; Henriette, des Femmes savantes ; Angélique, du
Malade
imaginaire, etc. Dans le Parisien, de Champmeslé,
e. Mélicerte, Les Amants magnifiques, La Comtesse d’Escarbagnas et Le
Malade
imaginaire, que Molière n’avait pas édités de son
ur avait à remplir ces rôles. Beauval représenta Thomas Diafoirus, du
Malade
imaginaire, avec le plus grand succès. On rapport
Misanthrope. » Baron remplissait, à vingt ans, le rôle d’Alceste. Le
Malade
imaginaire fut repris le vendredi, 3 mars, avec L
page 261. 120. Il mourut en venant de jouer une comédie intitulée Le
Malade
imaginaire, où il parlait des médecins. (Note de
nt. Il n’y en a point dans l’Avare, point (à peine une ombre) dans le
Malade
imaginaire, point dans les farces, point dans le
ourberies, et ne songe point à Tartuffe, à Don Juan, à Amphitryon, au
Malade
imaginaire ni aux Femmes savantes, il faut cepend
rainte de l’hypothèse aventureuse, Amphitryon, Don Juan, Tartuffe, le
Malade
imaginaire et les Femmes savantes. II est bien é
’il l’attaquât. Je dirai, comme on pense bien, très peu de chose du
Malade
imaginaire négligé par Rousseau. II y avait peu d
e s’y moque des médecins que Rousseau n’aimait pas ; il s’y moque des
malades
imaginaires, et Rousseau l’était ; mais il ne sav
r voisin. En dehors de cela, aucun honnête homme n’est raillé dans le
Malade
imaginaire. Argan n’étant ni honnête ni malhonnêt
ais ce qui le dérobe au système ordinaire de critique de Rousseau. Le
Malade
imaginaire ne pouvait pas entrer dans la suite de
seulement ceci, par subrécot : Si Rousseau avait un instant songé au
Malade
imaginaire, il l’aurait écarté, lui qui n’aime pa
à Molière et comme le mettant assez haut dans l’estime des hommes. Le
Malade
imaginaire est un petit acte d’héroïsme ; Molière
de imaginaire est un petit acte d’héroïsme ; Molière, très réellement
malade
, se moque des malades imaginaires, de la terreur
petit acte d’héroïsme ; Molière, très réellement malade, se moque des
malades
imaginaires, de la terreur de la mort, de la mort
n a que dans l’Ecole des maris, l’Ecole des femmes, le Tartuffe et le
Malade
imaginaire où encore il est plutôt un satirique q
un autre ; mais vous êtes poltron. D’autres diront qu’il n’y a pas de
malade
imaginaire et que vous êtes dûment malade, mais d
s diront qu’il n’y a pas de malade imaginaire et que vous êtes dûment
malade
, mais d une maladie nerveuse. J’y vais par moins
-ci par surprise et à son dam ; car il l’a troublée jusqu’à la rendre
malade
, et telle jeune fille, élevée comme elle, est mor
lle est punie. Ce brillant homme de lettres était un pleutre. Dans le
Malade
imaginaire ? — Cette fois vous donnerez les mains
le Malade imaginaire ? — Cette fois vous donnerez les mains. Dans le
Malade
imaginaire, Molière s’attaque à un préjugé : la c
entre les mains de Tartuffe par peur de l’enfer. C’est là le fond du
Malade
imaginaire. Et c’est bien pour cela que son frère
de vous qu’il vous enverra en l’autre monde. » Voilà le fond même du
Malade
imaginaire : la peur de la mort mène à la mort et
nt assez ridicules pour se croire utiles à la société, et ce sont les
malades
qui sont assez naïfs pour avoir confiance en ces
t être des ménagères et qu’il ne faut pas trop s’écouter quand on est
malade
. En empruntant ces vérités au sens commun de son
ial de son temps, comme du sens commun de son temps. S’il attaque les
malades
imaginaires, c’est que le demi-malade « qui s’éco
pis encore, qu’elle est médiocre, qu’elle est dégénérée, qu’elle est
malade
, qu’elle est une « décrépitude » de l’humanité, q
la reine, disait naïvement qu’on ne saurait attraper l’écu blanc des
malades
, si on ne les trompait. On le vit près du lit de
dit Guy Patin, et ne s’accordaient pas de l’espèce de maladie dont le
malade
mourait. Brayer dit que la rate est gâtée, Guénau
ssus, et, à l’aide de sa panacée universelle, l’antimoine, emporta le
malade
. Avec ce remède, il avait déjà tué sa femme, sa f
ans son âme délicate et fière, dans son cœur sensible, dans son corps
malade
, une source vive de souffrances. Jean Poquelin n’
saurait persuader ce qu’il sait si bien faire. » Enfin Molière était
malade
, et dans son fait à l’égard des médecins et de la
salutaire ; Et tout votre caquet ne peut être reçu Que d’un
malade
imaginaire465. On lit dans le registre de La Gra
. Molière mourut dans sa maison, rue Richelieu, ayant joué le rôle du
Malade
imaginaire, fort incommodé d’un rhume et d’une fl
e, voir Eud. Soulié, Recherches sur Molière. 465. Second prologue du
Malade
imaginaire.
ent du drap. Guillemette, femme de Patelin, lui dit que son époux est
malade
depuis six semaines. Le faux malade paroît, feint
atelin, lui dit que son époux est malade depuis six semaines. Le faux
malade
paroît, feint d’avoir le transport au cerveau, &a
ie : il est fort surpris quand Mad. Patelin lui dit que son époux est
malade
depuis long-temps. Patelin vient lui-même confirm
hysique et non plus la logique de l’école, lorsqu’il fait répondre au
malade
imaginaire que l’opium fait dormir parce qu’il a
nts et superstitieux adorateurs des anciens. Dans cette même pièce du
Malade
imaginaire, qu’estime le plus Diafoirus en son fi
es de les accuser et de faire impression sur le public. Argan, vieux,
malade
, ne serait point ridicule à prendre médecine et à
point : Molière va au-delà. En écoutant Le Misanthrope, Tartuffe, Le
Malade
imaginaire même, le public communie réellement da
deleine Béjart. — 1673. Aggravation de l’état de santé de Molière. Le
Malade
imaginaire. Comment l’auteur transforme une plais
l’apothicaire Fleurant. Origine de la cérémonie pour la réception du
Malade
imaginaire. Molière, quoique souffrant, s’obstine
re jouer la même pièce pour le Roi. « M. Béjart, dit La Grange, tomba
malade
, et acheva son rôle de L’Étourdi avec peine. » Il
Pâques et la réouverture du théâtre, le 12 avril, la Reine mère tomba
malade
d’une fièvre double-tierce qui mit sa vie en dang
et sa convalescence. C’est à Versailles, le 29 mai, qu’il était tombé
malade
, et comme, avant de reconnaître le caractère de l
it pas de cette science comme un homme qui bien portant la ravale, et
malade
y recourt ; il était valétudinaire lorsqu’il disa
un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un
malade
jusqu’à ce que la nature l’ait guéri ou que les r
norables pour les deux corps et fort peu rassurantes pour les pauvres
malades
, auxquels il demeura démontré qu’ils n’accordaien
énaut répétait sans cesse « qu’on ne saurait attraper l’écu blanc des
malades
si on ne les trompait ». Accusé d’avoir tué, à l’
ille, son neveu, deux de ses gendres et un très grand nombre d’autres
malades
, tous les crimes de son ignorance lui furent pard
s et de leur ignorance, il attaqua dans une autre de ses comédies, Le
Malade
imaginaire, et cette confiance aveugle qui a sa s
acile à parcourir ; car nous retrouvons dans L’Amour médecin, dans Le
Malade
imaginaire, plus d’un trait satirique de l’auteur
econnaître que, si notre premier comique ne dessilla pas les yeux des
malades
, il ne fut pas étranger aux améliorations que sub
spréaux et Molière s’amusèrent à composer la cérémonie macaronique du
Malade
imaginaire. Tallemant, dans ses Historiettes, cit
térité saura peut-être la fin de ce poète comédien qui, en jouant son
Malade
imaginaire e ou son Médecin de force, reçut la de
on dit. Le médecin a été appelé chez le barbier pour y voir quelqu’un
malade
; dès qu’il fut entré dans la chambre, où il fais
e récit donnent à entendre que la femme du barbier était le véritable
malade
que le médecin allait visiter de temps à autre, e
ées, n’ayant plus rien désormais à leur donner ? » — Bientôt après Le
Malade
imaginaire devint l’occasion d’un nouveau mécompt
decins, qu’il se prépara à leur porter le coup le plus redoutable. Le
Malade
imaginaire, ce chant du cygne, fut représenté le
à l’époque où il se trouvait à Lyon, était bien loin de songer à son
Malade
imaginaire, représenté vingt ans plus tard, se se
a burlesque cérémonie par laquelle Molière eut l’idée de terminer son
Malade
imaginaire fut improvisé en commun à un souper ch
belle-sœur, Molière, qui remplissait le rôle d’Argan, se sentit plus
malade
que de coutume. Baron et tous ceux qui l’entourai
uvrirent que le 24 février par Le Misanthrope. Les représentations du
Malade
imaginaire reprirent le 3 mars suivant. Ce fut La
encore aujourd’hui à la Comédie-Française pour les représentations du
Malade
imaginaire, et auquel on a donné, comme à celui d
à tous comédiens autres que ceux de la rue Mazarine de représenter Le
Malade
imaginaire, tant que la pièce n’aurait pas été re
des Fourberies, Chrysale des Femmes savantes, et enfin Argan dans Le
Malade
imaginaire. Nous avons déjà eu occasion de dire,
de M. Scarron, Paris, 1660, p. 8, imprimé à la suite de Le Burlesque
malade
, Paris, 1660, in-12. — De Luyne et ses coassociés
on de titres emmêlés en un seul par préméditation. 39. Le Burlesque
malade
, Paris, 1660, p. 16. 40. « Notre amé Jean-Baptis
euses, au Louvre, chez Son Éminence M. le cardinal Mazarin, qui était
malade
dans sa chaise. Le Roi vit la comédie incognito,
73, à Ottavio Ferrari, savant professeur de Padoue, qui venait d’être
malade
d’une affection de poitrine : « Notre Molière, le
lait qu’il suspendit, pendant deux mois, ses représentations ! Ainsi,
malade
lui-même d’âme et de corps, souffrant, de plus, d
ula depuis la Psyché, faite en collaboration avec Corneille, jusqu’au
Malade
imaginaire,il semble pourtant avoir eu plus de tr
avec la vanité de la chanteuse, et lui fit accepter de jouer dans le
Malade
imaginaire ; quelques conseils de Chapelle et du
après l’auteur de la Fameuse comédienne. Molière venait d’achever son
Malade
. Dans l’intention d’offrir à sa femme le rôle d’A
ver24, avait été écrit par Charpentier, le même qui fit la musique du
Malade
imaginaire, lorsque Molière, trompé par Lully dan
tard, il s’en souvint à point, quand il composa le second acte de son
Malade
imaginaire. L’excellente scène de M. Diafoirus et
artuffe. Les Bonnefoy, auxquels Molière avait emprunté son notaire du
Malade
imaginaire, étaient dans la robe, de père en fils
eur. Il a ri de tout ce qui le touchait lui-même, excepté de cela. Le
malade
Argant, vous le savez, c’est encore lui, inquiet,
e Racine, se trouvait sans pièce nouvelle à offrir au public, et que,
malade
lui-même, il était hors d’état, non seulement d’i
pour le carnaval de 1667, et il avait besoin de lui. Quoique toujours
malade
, Molière obéit : il mit au service de ces impérie
ions par des détails de costume, comme le prouve ce qu’il fit dans le
Malade
Imaginaire, où il s’affubla, pour le rôle d’Argan
ement littéraire pour être comprise du public tout entier, il joua le
Malade
imaginaire, de même qu’après l’École des femmes é
dans les Fourberies de Scapin ; celle de Gros-René écolier,, dans le
Malade
imaginaire. La farce n’existait plus, elle s’éta
r ? C’est probable. Je croirais même qu’il y donna une ébauche de son
Malade
imaginaire, car un des types en vint, tout baptis
ouvé, qu’il ne voulut plus le perdre. Il le reprit plus tard, pour le
Malade
imaginaire, qui l a fait immortel. Ces sortes de
dentité du personnage et sa très proche parenté avec l’apothicaire du
Malade
imaginaire, que par cette petite taquinerie d’exa
urdi, qui est une comédie si étonnante, surtout comme début, jusqu’au
Malade
imaginaire, qui est un chef-d’œuvre, Molière a pa
re triste, désenchantée, où, riche, mais souffrant d’âme et de corps,
malade
, et encore plus chagrin, riant encore et surtout
t rire, même de ce qu’il souffrait, il se traîna jusqu’au fauteuil du
Malade
imaginaire, et fut le trop réel Argan, après avoi
ce au milieu des préoccupations dont elle était la source amère, que,
malade
et n’ayant qu’à peine la force de se traîner sur
on temps. Ailleurs, même en ses pièces les plus bourgeoises, comme le
Malade
imaginaire, il se prend aux caractères. Ici, je l
celui de Zéphyre, qui n’a qu’une scène. Ce fut, avec le personnage du
Malade
imaginaire, le dernier rôle où on l’ait vu. Onze
ieux : eh bien ! je les regarderai du même œil qu’un médecin voit des
malades
. » Pour clore la comparaison, et conclure sur le
notre théâtre en son plus beau temps. X - Un mot d’histoire sur le
Malade
imaginaire Le dimanche 15 janvier 1860, on f
reprendre, avec le simple appareil consacré depuis longues années, le
Malade
imaginaire, pièce de rigueur en cette circonstanc
la bouffonnerie, pourquoi s’en plaindre ? Si, par exemple, réellement
malade
lui-même, et voulant jouer ceux qui ne le sont qu
solant lui-même. Ceux-ci, en pleine santé, se persuadent qu’ils sont
malades
: lui, souffre vraiment, et il veut persuader qu’
histoire, afin qu’elle ne vous échappe plus, lorsque vous reverrez le
Malade
imaginaire et son intermède de Polichinelle, à la
détails me suffisent comme indice, — être dominé, quand il écrivit le
Malade
imaginaire, par quelques idées ayant trait à la m
t il eut, comme par le passé, autant de chanteurs qu’il lui plut. Son
Malade
imaginaire fut joué, peu après ; or, c’est, j’en
heureusement Molière mourut bientôt. A la quatrième représentation du
Malade
, il fallut l’emporter, tout couvert du sang qu’il
d’ordinaire en pareille occasion, le Dépit, le Médecin malgré lui, le
Malade
, etc., lui ont rendu si cher ? Ne l’aimera-t-il p
ditions en d’autres rôles : ceux de L’Avare du Médecin malgré lui, du
Malade
, etc., devrait être recueilli avec soin, d’après
ieux : eh bien ! je les regarderai du même œil qu’un médecin voit des
malades
. » Pour clore la comparaison, et conclure sur le
palmes. L’homme qui doit toujours vivre ne se voit pas assez sous le
malade
qui meurt ; la mort enfin pèse trop sur l’immorta
ouffrit tant. L’intercalation du troisième acte et de la cérémonie du
Malade
imaginaire est heureuse et habile. Le dernier act
nt très éloquemment les éclairs. Dans la pièce même et dans l’acte du
Malade
, Dumaine est surprenant. Quelle incomparable pâte
si excellemment fait sa partie chaque soir, dans l’acte intercale du
Malade
Imaginaire, n’avions-nous pas là Roger, l’ancien
re fut frappé à mort sur le théâtre, en contrefaisant le mort dans le
Malade
imaginaire, circonstance qui a fourni des épigram
fin, l’a-t-il volé à M. de Boissy pour le mettre en musique dans son
Malade
imaginaire 54 qui a paru soixante ans avant l’Hom
t pas l’idée qu’ils devroient avoir de l’intérêt théâtral ! 54. LE
MALADE
IMAGINAIRE. ACTE II. Scene VI. Cléante. Belle P
e 38.) XVI. Le Latin Macaronique qui fait tant rire à la fin du
Malade
Imaginaire, fut fourni à Moliere par son ami Desp
. (Bolœana, par M. de Monchenay.) XVII. La premiere fois que le
Malade
Imaginaire fut joué, Beralde répondoit aux invect
’Étourdi à Paris ; un roi de trente-cinq ans, lorsque Molière joua le
Malade
imaginaire et mourut ; et quel roi, depuis cette
ne tient pas compte du dessein qu’avait formé l’auteur de composer le
Malade
imaginaire pour le même objet. Dans l’intervalle,
. Notre amour va au ciel. Depuis Werther jusqu’à René, voyez tous ces
malades
: que demandent-ils ? l’infini. Ils se pressent e
ds commun qui les supporte, — au détail des maladies, sans étudier le
malade
lui-même, l’homme. N’ayant pas pénétré dans l’int
re qu’excite la farce : Patelin, par exemple, lorsqu’il contrefait le
malade
, et que, feignant de prendre M. Guillaume pour so
l’auteur lu en aimait la satire et la bagatelle, que le siècle était
malade
, et que les bonnes choses ne lui plaisaient pas.
n de plaire, et que si les Précieuses firent voir que le siècle était
malade
, ce n’est pas parce que le tableau fut applaudi,
tte guerre dura jusqu’à la fin de sa vie; car son dernier ouvrage, le
Malade
imaginaire, fut encore fait contre les médecins.
se d’Escarbagnas, le Médecin malgré lui, les Fourberies de Scapin, le
Malade
imaginaire, M. de Pourceaugnac, sont dans ce genr
quelque jour d’en profiter? Si la thèse de réception soutenue par le
Malade
imaginaire, si le mauvais latin, et la cérémonie
monie et l’argumentation, ne sont qu’une caricature, le personnage du
Malade
imaginaire, tel qu’il est dans le reste de la piè
ces fort Comiques, dont l’un est le Médecin malgré lui, et l’autre le
Malade
imaginaire. On peut dire qu’il se méprit un peu d
rs, si l’on peut appeler vers un bavardage rimé tel que le sien. Déjà
malade
, il ne put, dans la lettre qui parut le 14 févrie
l’Amour médecin, qu’il nomme, par une singulière distraction, l’Amour
malade
. Heureusement Thomas Corneille nous apprend lui-
elui de l’Avare, du Bourgeois gentilhomme, des Femmes savantes, ou du
Malade
imaginaire ? et qui pourrait ne pas attribuer cet
compter les escarmouches ; et, en songeant à sa dernière comédie, le
Malade
imaginaire, on peut dire qu’il est mort en les co
raordinaire ? Sans contredit de ce que Molière était presque toujours
malade
et ne pouvait être guéri ni même soulagé. Après l
onne santé et d’une complexion robuste. Cet homme, à coup sûr, est un
malade
imaginaire. Lui-même, par quelques réflexions don
du Misanthrope et des Femmes savantes, du Bourgeois gentilhomme et du
Malade
imaginaire. Le sujet de deux ou trois des premièr
s de ce qu’il avait fait sa pièce avant d’entendre le récit de Ninon.
Malade
incrédule ou plutôt désabusé86, Molière n’en avai
ien qu’il l’entendait ainsi.Le jour de la quatrième représentation du
Malade
imaginaire, il souffrait de la poitrine plus qu’à
santhrope, les Femmes savantes, l’Avare, le Bourgeois gentilhomme, le
Malade
imaginaire, etc., les valets ne tiennent pas une
ce qu’il disait contre les médecins. « S’il avait eu le temps d’être
malade
, dit-il, il ne saurait pas mort sans médecin… Mol
un homme que l’on paie pour conter des fariboles dans la chambre d’un
malade
, jusqu’à ce que la nature l’ait guéri ou que les
gentilhomme ;Zéphyre, de Psyché ;Géronte, des Fourberieset Argan, du
Malade
imaginaire. 92. Madame Molière avait un petit t
olière mourut dans sa maison, rue de Richelieu, ayant joué le rôle du
malade
imaginaire, fort incommodé d’un rhume et d’une fl
Pourceaugnac, avec l’apothicaire, L’a presque rendu guilleret, Et Le
Malade
imaginaire, Il l’avait guéri tout à fait. Il fais
s impatient de vous verser rasade, Et ce sera bientôt. Mais êtes-vous
malade
? A votre froide mine, à votre sombre accueil...
n’est que dans les farces. Moliere, qui l’a senti, a nommé, dans son
Malade
imaginaire, un Médecin, M. Diafoirus, un autre, M
e. Moliere n’a pas jugé à propos de prendre cette précaution dans son
Malade
imaginaire, quant il appelle un Notaire M. Bonnef
et qu’elle et sa fille Julie, alors âgée de 24 ans, ne quittèrent le
malade
que quand la mort lui eut fermé les yeux, bien qu
est cet empressement de la cour à se rendre chez madame de Montausier
malade
, presque mourante, au moment où chancelait la fav
tte façon, si, après les premieres représentations, un Comédien étoit
malade
ou fatigué, son double le remplaceroit ; le publi
la nouveauté, se prêteroit volontiers à l’arrangement. Quand l’Acteur
malade
ou fatigué reparoîtroit, il donneroit une nouvell
l où il venait de représenter pour la quatrième fois le personnage du
Malade
Imaginaire. Des prêtres fanatiques lui refusèrent
stérité saura peut-être la fin de ce poète comédien qui en jouant son
Malade
Imaginaire ou son Médecin par Force reçut la dern
u soir en 1673, âgé de 51 ans. A quatre heures, il avait joué dans le
Malade
Imaginaire. Après la représentation, se trouvant
mas du Louvre, paroisse Saint-Germain de l’Auxerrois, gisante au lit,
malade
de corps, en une cinquième chambre ayant vue sur
l’un d’eux, l’autre, présent lu et relu en ladite chambre où elle est
malade
, l’an mil six cent soixante-douze, le neuvième jo
une couronne Si l’on couronnait à la beauté. Quoique d’amour je sois
malade
, Qu’une autre règne dans mon cœur, Vous pouvez, d
de Molière, car il était là au Dépit amoureux ; il y était encore au
Malade
imaginaire. Vingt-deux rôles où ce merveilleux co
is bien que la mort baisse le rideau. » Quand Molière fit répéter Le
Malade
imaginaire, Mlle Beauval, chargée du rôle de Toin
C’est elle qui, à l’âge de huit ans, créa le rôle de Louison dans Le
Malade
imaginaire ; elle était vive et emportée comme sa
ntier, n’est qu’un événement à sensation qui fera une réclame pour Le
Malade
imaginaire. Jouée quelques jours après cette date
e funèbre, la comédie verra ses recettes augmentées d’un tiers, et Le
Malade
imaginaire bénéficiera ainsi de la mort de Molièr
Pourceaugnac, le Bourgeois gentilhomme, la Comtesse d’Escarbagnas, le
Malade
imaginaire, qui sont autant de comédies-ballets j
. . . . . . . . . Damon, croyant son amour rejetté par Lucile, tombe
malade
. Dorval est alarmé par la maladie de son ami ; il
r notre scène comique. C’est encore Molière qui, dans un intermède du
Malade
imaginaire, lui a donné le plus grand rôle ; mais
r lâcheté envers Le Lion devenu vieux, leur bassesse dans Les Animaux
malades
de la peste ; le danger des maîtresses dans Le Li
Un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un
malade
, jusqu’à ce que la nature l’ait guéri, ou que les
’il se fit porter au Palais Royal à la troisième représentation, tout
malade
qu’il était. Les Comédiens de l’Hôtel de Bourgogn
t sa fluxion sur la poitrine. Cependant il ne laissa pas d’achever le
Malade
imaginaire, qu’il avait commencé depuis du temps
modement avec sa femme il donna, le 10 de Février de l’année 1673, le
Malade
Imaginaire, dont on prétend qu’il était l’origina
n coup. Le jour que l’on devait donner la troisième représentation du
Malade
Imaginaire, Molière se trouva tourmenté de sa flu
Spectateurs s’aperçurent qu’en prononçant, Juro, dans la cérémonie du
Malade
Imaginaire, il lui prit une convulsion. Ayant rem
uillier : 10, 11 M Madame défunte : 189 Le Maître d’École : 30 Le
Malade
Imaginaire : 283 et suiv. Margane Avocat : 89 Le
Un homme que l’on paye pour conter des fariboles dans la chambre d’un
malade
, jusques à ce que la nature l’ait gueri, ou que l
’il se fit porter au Palais Royal à la troisiéme representation, tout
malade
qu’il étoit. Les Comediens de l’Hôtel de Bourgogn
; sa fluxion sur la poitrine. Cependant il ne laissa pas d’achever le
Malade
Imaginaire, qu’il avoit commencé depuis du temps
ent avec sa femme, il donna le dixiéme de Fevrier de l’année 1673. le
Malade
Imaginaire, dont on pretend qu’il étoit l’origina
urs ne s’accordent pas entre eux sur le nombre des representations du
Malade
imaginaire, qui precederent la mort de Moliere. L
mort. Le 17. de Fevrier 1673. jour de la quatriéme representation du
Malade
Imaginaire, il fut si fort travaillé de sa fluxio
vie. *Le jour que l’on devoit donner la troisiéme representation du
Malade
Imaginaire, Moliere se trouva tourmenté de sa flu
Spectateurs s’apperçûrent qu’en prononçant Juro, dans la ceremonie du
Malade
Imaginaire, il lui prit une convulsion. Ayant rem
secret. M. Rathery a comparé le début du fameux monologue d’Argan, le
malade
imaginaire, à l’entrée en matière de la farce du
absorbait et le dominait complètement, ainsi que cela a lieu chez les
malades
de cerveau qui sont atteints de folie instinctive
te toujours, se trouvent encore plus spécialement mentionnées dans le
Malade
imaginaire. Nous y voyons d’abord Toinette froiss
l’imagination engendre les idées délirantes chez les passionnés, soit
malades
du cerveau, soit en santé. Molière exprime ainsi
te l’attention des philosophes et des aliénistes. Comme chez les fous
malades
, l’évidence matérielle est impuissante chez Belis
hotte. Toute la différence qui existe entre le fou en santé et le fou
malade
est que les passions qui aveuglent le premier app
unes gens qu’elle rencontre. Il en est absolument de même chez le fou
malade
. Pendant le siège de Paris en 1870-71, les aliéné
mme en santé est, au point de vue psychologique, semblable à celle du
malade
; que les passions naturelles au caractère produi
ousineau qui « de présent étant en cette ville de Paris gisant au lit
malade
en l’hostel du Cinge, néanmoins sain de pensée, n
’on les joue rarement. Nos théâtres donnent ordinairement L’Avare, Le
Malade
imaginaire et Tartuffe. Le Tartuffe gagne du terr
ait interdite dans bon nombre de villes d’Allemagne et d’Autriche. Le
Malade
imaginaire prend la vogue de plus en plus depuis
gen une Bernhardt, un Got, un Coquelin aîné. La troupe ducale joue Le
Malade
imaginaire, dans l’adaptation de la Comédie-Franç
pour la première fois le 20 mai 1838 ; L’Avare, le 26 juin 1861 ; Le
Malade
imaginaire, le 3 mai 1870, Les Femmes savantes, l
s, pour cela, qu’il ait ruiné le métier, car, s’il arrive qu’on tombe
malade
au sortir de ses représentations, on ne laisse pa
à un chrétien qui n’y doit penser qu’en tremblant. Quant aux pauvres
malades
qu’il prend tant de plaisir à railler, comme les
; tire celle de l’Evêque de ** qu’il vient de quitter, qu’il a trouvé
malade
auprès de son feu, & dont, avant que de prend
ire ; que Crispin se jette dans un fauteuil avec tout l’attirail d’un
malade
à l’agonie, & dicte un testament par lequel i
e par conséquent tout-à-fait la nature. Figurons-nous la chambre d’un
malade
: le testateur est au fond d’une alcove obscure,
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