omment va la santé de Madame Hollande ? Frelingue. Chacun dit que son
mal
prend un fort mauvais cours. Goulemer. Comment ?
ment ?C’est qu’on le voit empirer tous les jours. Goulemer. Elle a le
mal
de mer, & la fievre la serre. Frelingue. Elle
Elle a le mal de mer, & la fievre la serre. Frelingue. Elle a le
mal
de mer ; elle a le mal de terre ; Elle a.... que
& la fievre la serre. Frelingue. Elle a le mal de mer ; elle a le
mal
de terre ; Elle a.... que sais-je enfin ? elle n’
, la cure sera belle. . . . . . . . . . Marille. Chacun la tient fort
mal
. Badzin. Chacun la tient fort mal.Oui, je la vie
. . Marille. Chacun la tient fort mal. Badzin. Chacun la tient fort
mal
.Oui, je la viens de voir. Marille. Elle doit pren
Je ne sais, l’on diroit de la poudre à canon. Badzin. C’est cela. Ce
mal
la prit avec violence. Marille. C’est un air empe
ettre..... Marille. A peine trouve-t-elle une place à se mettre ; Son
mal
la prend par-tout. Badzin. Son mal la prend par-
-elle une place à se mettre ; Son mal la prend par-tout. Badzin. Son
mal
la prend par-tout.Qu’on change en peu de temps !
moqués. Marille. Fût-ce Nostradamus, auroit-il pu comprendre Que des
maux
si fâcheux dussent jamais la prendre Dans le meil
ée par-dessous les bras, & mise dans une chaise. Ah ! Beline, mon
mal
pénetre jusqu’aux os ! Beline. Si vous pouviez un
s ces forces pourtant ne me servent de rien. Beline. En ces sortes de
maux
les forces sont utiles. La Hollande. Elles agisse
On vous le va querir, Madame, tout-à-l’heure. La Hollande. Quand mon
mal
commença, j’en prenois tous les jours ; Il n’a pu
amp; que j’en crains un autre ! Marille. Jamais canon ne fit moins de
mal
que le vôtre. Madame Flandres rend visite à Mada
res rend visite à Madame Hollande ; elle prend beaucoup de part à son
mal
: elle en a été attaquée, elle en connoît toute l
e, elle en connoît toute la malignité, dit-elle. Je l’ai bien eu sté
mal
, c’est ly plus grand dy tous. Gy ly fus pourtant
ixanty-sep gy l’en fus attaquée. . . . . . . . . . Il est michant sti
mal
, jel save bien, mon foi ; Il m’emporte d’un coup
decins concluent à faire danser Madame la Hollande. L’Anglois. Votre
mal
n’étant pas un mal fort ordinaire, Il vous faut u
faire danser Madame la Hollande. L’Anglois. Votre mal n’étant pas un
mal
fort ordinaire, Il vous faut un remede aussi hors
. Il n’en est point pour moi.Bon ! nous en avons un Qui contre votre
mal
est souverain, Madame. Vous avez, dites-vous, que
pharmacie Ne la peuvent sauver. Le François. Ne la peuvent sauver.Le
mal
augmentera. L’Espagnol. Pour moi, je ne sais plus
is. Ma foi, ni moi non plus. L’Espagnol. Ma foi, ni moi non plus.Ses
maux
sont déplorables. Le François. Que l’on la fasse
ment l’Etat sous l’allégorie d’une charrue ou d’une charrette bien ou
mal
conduite, selon les Ministres qu’ils y attelent.
fait ce reproche aussi légèrement qu’il l’accuse de parler « souvent
mal
, d’approcher du galimatias, » et d’avoir été « gê
terie un peu libre et qu’on croit sans conséquence peut faire plus de
mal
que n’a fait de bien un beau discours sur la vert
ra, et que la séduction dont elle est armée fera en lui le bien ou le
mal
, suivant que cette femme sera bonne ou mauvaise.
Molière, il faut avec respect, mais avec fermeté, peser le bien et le
mal
qu’elle a fait ; et puisqu’elle semble destinée à
l’ensemble des tableaux, où le bien domine, et où on peut dire que le
mal
est rarement approuvé d’une manière formelle ; ma
liant absolument de juger si cet attachement s’applique au bien ou au
mal
. Pour s’attacher au mal, il n’y a qu’à suivre tou
r si cet attachement s’applique au bien ou au mal. Pour s’attacher au
mal
, il n’y a qu’à suivre tout droit la route des joy
our le bien, comme un théâtre immoral est celui qui passionne pour le
mal
. Molière passionne pour l’un et quelquefois pour
s émus le calme nécessaire pour discerner équitablement le bien et le
mal
. Quand même ce plaisir ne serait pas universellem
ie morale de chacun que dépend pour lui l’usage de ce qui est bien ou
mal
: nous ne laissons point nos enfants boire à leur
té. de bien faire, une connaissance assez nette de ce qui est bien ou
mal
pour rester maître de son jugement au milieu du p
ts inspire la congrégation de l’Index dans ses interdictions, souvent
mal
comprises par ceux qui ne se placent pas à son po
nullement choses mauvaises, ains indifférentes, pouvant être bien et
mal
exercées. » Saint François de Sales, Introductio
vous n’ignorez pas que Quand on a réussi, on est justifié, quelque
mal
que l’on ait fait et quelque mal que l’on continu
a réussi, on est justifié, quelque mal que l’on ait fait et quelque
mal
que l’on continue de faire. C’est pourquoi j’aura
e en dit, et je ne puis, sans hasarder ma réputation, vous en dire du
mal
, quand même je dirais la vérité, ni m’opposer au
t qui entraînent les opinions de quelques gens faciles qui croiraient
mal
faire et devoir être raillés de ne pas témoigner
s choses dans un excès qui doit être condamné. Les uns disent trop de
mal
, les autres trop de bien ; les uns blâment quelqu
l fit quelque temps la Comédie à la Campagne et, quoiqu’il jouât fort
mal
le Sérieux et que dans le Comique il ne fût qu’un
inq Actes. Tous ceux qui l’ont vue sont demeurés d’accord qu’elle est
mal
nommée et que c’est plutôt L’École des maris que
bonne. Mais, pour vous en dire mon sentiment, c’est le sujet le plus
mal
conduit qui fût jamais et je suis prêt de souteni
réussir sa Pièce. Il voudrait que la moitié de Paris en vînt dire du
mal
, ce serait un signe qu’elle ne serait pas tout à
riette sa fille. Madame Patelin est au désespoir de voir son époux si
mal
vêtu, mais elle est encore plus fâchée de voir br
ain matin à cinq heures. Patelin. A cinq heures, soit. J’ai peut-être
mal
pris mon temps, Monsieur Guillaume ; je crains de
in ; Patelin le vole ; Agnelet trompe ce dernier : il n’y a pas grand
mal
à cela. J’ai détaillé la farce de Patelin, pour f
Simon ! Et un homme d’épée, là, un cavalier du bel air ? (Simon copie
mal
un homme d’épée.) Fort mal, fort mal. Ce n’est pa
là, un cavalier du bel air ? (Simon copie mal un homme d’épée.) Fort
mal
, fort mal. Ce n’est pas ainsi que je t’ai dit : f
valier du bel air ? (Simon copie mal un homme d’épée.) Fort mal, fort
mal
. Ce n’est pas ainsi que je t’ai dit : fi ! on dir
ntre, & Simon l’imite.) Oui-dà, oui-dà ; cela n’est pas déja trop
mal
. Et lorsqu’une femme de qualité aura été au logis
ce tour de corps. Allons, à toi. (Simon tâche de l’imiter.) Eh ! pas
mal
, pas mal : cela viendra avec un peu d’exercice. E
de corps. Allons, à toi. (Simon tâche de l’imiter.) Eh ! pas mal, pas
mal
: cela viendra avec un peu d’exercice. En voilà a
isant signe qu’on lui a coupé la langue, on le croit tourmenté par le
mal
de dents, & qu’on envoie chercher le dentiste
a veritablamente non potest parlare. Le Baron. Il a d’abord connu son
mal
. Frontin. Bota crispo, bovi pecaire, à balisco, q
te inveterare lo malo... Le Baron. Hé bien, si on laisse invétérer le
mal
?... Frontin. Causatum per amorem & per magia
urez, prestare, preparare, accommodare per un remedio che non li fara
male
. Servitor a vo Seignoria. Cette scene est dans p
up de génie à faire nettement celte distinction qu’Alceste ignore, du
mal
même que je hais, et de l’homme, qui peut en être
éflexions font comprendre la prédilection de Molière pour cette œuvre
mal
entendue par ses contemporains134. Un tel génie d
ui est inférieur dans une âme aussi élevée et aussi peu accessible au
mal
que celle du Misanthrope. Cette distinction, je l
’est pas chargé de corriger, il veut qu’on aille déclarer à chacun le
mal
qu’on pense de lui136. Il a raison de s’indigner
resse à un homme comme lui141 ; mais il exprime ridiculement un amour
mal
fait pour une âme comme la sienne, et mal placé s
prime ridiculement un amour mal fait pour une âme comme la sienne, et
mal
placé sur une femme incapable de le comprendre142
serois fâché d’être sage à leurs yeux. PHILINTE. Vous voulez un grand
mal
à la nature humaine ? ALCESTE. Oui, j’ai conçu po
noccupée, qui pense bien faire tant qu’elle ne fait pas clairement le
mal
. Nul n’échappe au fléau du ridicule 162 dont s’es
ut que, toujours maître de soi, l’honnête homme supporte bravement le
mal
sans jamais se laisser faire le bien213 ; que, ma
rel. Alors elle n’était point encore assez bien avec le roi pour être
mal
avec madame de Montespan. Elle lui écrivait d’Anv
e, moi qui en ai toute la tendresse et qui partage avec vous tous ses
maux
. » À la même, Anvers, 20 avril 1674 : « Madame,
e plus sérieux ; que je voyais à n’en pouvoir douter que j’étais très
mal
avec elle et qu’elle m’avait brouillée avec le ro
orte un peu mieux, le duc du Maine fait pitié. Je partage en mère ses
maux
. Il est entre les mains des médecins et des chiru
irer. Je suis inutile ici pour moi et pour les autres On nourrit très
mal
cet enfant… On écoute mes conseils, quelquefois o
la gouvernante à la cour. 99. Cette lettre du 25 mai est évidemment
mal
placée parmi celles de 1675, puisqu’au mois de ma
uel plaisir alors de s’aimer but à but ! Car, ne pouvant causer qu’un
mal
de cœur extrême, Tel qu’on l’auroit pour vous, vo
ur extrême, Tel qu’on l’auroit pour vous, vous l’auriez tout de même.
Mal
de cœur, en amour, est un drôle de mal. Mais qui
s, vous l’auriez tout de même. Mal de cœur, en amour, est un drôle de
mal
. Mais qui de notre tante est donc l’original ? Li
tats, de différents sexes, pour filer une intrigue qui se dénoue très
mal
. Si un seul personnage en eût été chargé, on lui
plus noble est sans contredit le sens moral, sentiment du bien et du
mal
, toujours accompagné du sentiment du devoir. Rich
Et plus loin : « Ne vous fâchez pas tant, ma très chère madame ; mon
mal
vous touche trop et vous me fendez l’âme.» En v
able aux vrais intérêts de l’individu, cet entêtement absurde dans le
mal
, semblent tellement incompréhensibles, qu’il est
» Dorimène, du Mariage forcé, présente une variété de ces caractères
mal
conformés originellement qui appartiennent aux mo
ien, vous n’en avez point aussi, et vous savez que sans cela on passe
mal
le temps au monde, et, qu’à quel prix que ce soit
ec exactitude en disant que, dès qu’il lui vient un désir de faire le
mal
, rien dans sa conscience ne le détourne de l’acco
âtiments qu’il ne manquera pas de s’attirer) n’allons point songer au
mal
qui peut nous arriver, et songeons seulement à ce
rchent point à s’étourdir ; l’on verra que, s’ils ne songent point au
mal
qu’ils commettent, c’est parce que leur conscienc
il expose sa perversité, c’est-à-dire les instincts qui le portent au
mal
. En général, les criminels commettent le crime, n
commettent le crime, non parce qu’ils trouvent du plaisir à faire le
mal
comme mal, mais pour satisfaire quelqu’une des pa
t le crime, non parce qu’ils trouvent du plaisir à faire le mal comme
mal
, mais pour satisfaire quelqu’une des passions nat
Mais il y a un excès de perversité qui trouve sa satisfaction dans le
mal
lui-même. Le mal devient alors pour ces monstres
cès de perversité qui trouve sa satisfaction dans le mal lui-même. Le
mal
devient alors pour ces monstres de l’ordre moral
eine causée par le bonheur d’autrui et de la jouissance causée par le
mal
, non pas tant pour en tirer profit que pour le ma
ance causée par le mal, non pas tant pour en tirer profit que pour le
mal
lui-même ! De même que les sentiments moraux ont
t leur raffinement. Si la délicatesse des premiers est blessée par le
mal
, le raffinement des seconds l’est par le bien. No
est par le bien. Non seulement Don Juan éprouve du plaisir à faire le
mal
, mais encore il éprouve une jouissance à faire co
re le mal, mais encore il éprouve une jouissance à faire commettre le
mal
par autrui, pour le méchant plaisir de le lui voi
aine, hélas ! a des limites du côté du bien, il semble que du côté du
mal
elle n’a pas de bornes. L’expérience prouve que d
indubitablement cet acte, plutôt que de les saisir seulement quand le
mal
est accompli ? Mais pour pouvoir adopter pleineme
oral d’Alceste l’oblige d’être vivement choqué par ce qu’il trouve de
mal
, partout où il le rencontre, même chez la personn
les défauts d’autrui se trouve érigée en principe, puisqu’ils sont un
mal
involontaire, inhérent à la nature humaine, et qu
ils sont un mal involontaire, inhérent à la nature humaine, et que ce
mal
peut devenir une source de bien. On ne pouvait pr
ité, s’interpose charitablement entre eux. Mais cet étranger est fort
mal
payé du service qu’il voulait rendre. Martine lui
n de gouverner les hommes, d’imprimer une bonne direction aux esprits
mal
faits, chez lesquels les mauvais instincts l’empo
et un chiffre effrayant de récidivistes. Cependant, parmi ces esprits
mal
conformés, un certain nombre seraient guérissable
r les vices rejaillissent forcément sur toute la famille. Les enfants
mal
dirigés, ayant continuellement de mauvais exemple
ment de mauvais exemples sous les yeux, se conduiront infailliblement
mal
; ils s’aideront du concours des Mascarilles, ils
e l’amour qui les anime. En nous montrant chez les bons un alliage de
mal
, loin d’avoir commis une faute, Molière nous a ex
es personnes qui sont aveuglées par une passion exagèrent toujours en
mal
et dénaturent les opinions de leurs adversaires,
sprit n’est point du tout ce qu’il faut en ménage. Les livres cadrent
mal
avec le mariage ; et je veux, si jamais on engage
? Non ; c’est que l’un plaide bien sa cause, & que l’autre défend
mal
la sienne ». Après avoir admiré M. Diderot sur p
aire de Philinte un sot ; de bien plaider la cause du Misanthrope, de
mal
plaider celle du prétendu Philanthrope ; mais à l
. ACTE I. Scene I. ALCESTE, PHILINTE. Philinte. Vous voulez un grand
mal
à la nature humaine ! Alceste. Oui, j’ai conçu po
me pénetre de la solidité de ce raisonnement. Chaque succès, bien ou
mal
mérité, fait établir de nouvelles regles sur la s
tant de bruit pour rien, je vois aussi peu le cocu réel qui prend son
mal
en patience. Dans le Malade imaginaire, trouvons-
’amant pour la donner à Valere. Il l’annonce à sa fille qui se trouve
mal
de chagrin, & laisse tomber le portrait de Lé
e Célio qu’elle aime, prend son portrait, s’attendrit & se trouve
mal
. Piece Françoise, Acte I. Scene II. Célie fait a
portrait de Lélie, est bien fâchée qu’il soit absent, & se trouve
mal
. Célie a une suivante ; Eléonora n’en a point
la figure de Sganarelle, qu’il croit son rival, & pour se trouver
mal
. Scene V. La femme de Sganarelle sort, voit Léli
issement, & le prie d’entrer dans sa maison, en attendant que son
mal
soit passé. Scene VI. Sganarelle revient avec un
de faire remarquer ici que les Italiens, & Moliere après eux, ont
mal
traduit le titre espagnol. El Combidado di piedra
le couple amoureux au désespoir. Il est question de briser des nœuds
mal
assortis, pour en former de plus heureux. Le spec
e paroître sous son nom, pour dénouer la piece ; aussi est-elle aussi
mal
dénouée que mal intitulée. Titres qui promett
son nom, pour dénouer la piece ; aussi est-elle aussi mal dénouée que
mal
intitulée. Titres qui promettent des Moralité
Strepsiade. Doucement, mon fils, s’il vous plaît : ne dites point de
mal
de ces Sages qui ont tant de lumieres, & qui
ur combattre le génie de son rival. Les Romains cependant reconnurent
mal
ses soins, & blâmerent son affectation à ne p
la plupart : on y reconnoît le grand Corneille ; mais ils sont aussi
mal
placés dans une comédie, qu’ils le seroient bien
: Je crois que de sa vie il n’a fait autre chose ; Et nonobstant les
maux
que telle action cause, Tout pauvre que je suis,
re étoit marchand, tant pis pour lui ; mais pour le mien, ce sont des
mal
avisés qui disent cela. Tout ce que j’ai à vous d
un honnête homme riche & bien fait, qu’un gentilhomme gueux &
mal
bâti. Nicole. Cela est vrai. Nous avons le fils d
eurs ont la force de lutter contre le goût du siecle ; & voilà le
mal
. Ils savent qu’on ne veut, qu’on ne demande plus
Molière a conçu son caractère ; qu’Alceste « hait dans les hommes les
maux
qu’ils se font et les vices dont ces maux sont l’
« hait dans les hommes les maux qu’ils se font et les vices dont ces
maux
sont l’ouvrage » [dans l’ordre inverse ce serait
un secret plaisir d’y voir la corruption de leurs cœurs ; qu’un petit
mal
ne lui donne souvent une grande colère et qu’en l
plaisir à démêler la corruption des cœurs », « colère pour de petits
maux
» quand ces maux touchent l’endroit sensible de s
r la corruption des cœurs », « colère pour de petits maux » quand ces
maux
touchent l’endroit sensible de sa vanité, et Alce
onc de quel côté le caractère du misanthrope doit porter ses défauts [
mal
écrit, veut dire sans doute : les défauts d’Alces
ime sa colère avec un immense effort. On conviendra que le moment est
mal
choisi par Dubois ; ou plutôt qu’il est admirable
tend bien qu’ils la lui feront à leur tour. S’il n’avait pas prévu le
mal
que lui fera sa franchise, elle serait une étourd
: … Quoi ? vous iriez dire à la vieille Emilie Qu’à son âge il sied
mal
de faire la jolie… …………… À Dorilas qu’il est tro
ndu que Dieu les a doués d’une douceur très méritoire à supporter les
maux
d’autrui. » Il n’est pas seulement égoïste, il es
e la société avec un flegme stoïque et se mettre en fureur au moindre
mal
qui s’adressait directement à lui. En effet, j’ob
e contraire d’un égoïste et d’un homme apte seulement à supporter les
maux
d’autrui. Remarquez qu’Alceste, en une autre scèn
rêt de l’auteur était de rendre Alceste ridicule, Molière aurait bien
mal
pris ses intérêts propres, car je crois avoir mon
voit toujours le bon côté de toutes choses, qui n’est attristé ni des
maux
généraux de l’humanité ni des malheurs qui l’atte
ui l’atteignent lui-même et dont la maxime définitive est : Que nos
maux
se réduisent à rien ; Et qu’on a grand sujet de d
uver l’évidence. L’adresse avec succès a volé l’imprudence : C’est un
mal
[mais] …………………………… Que le fripon triomphe, il lui
aux opulents sans entrailles qui sont rendus indifférents à tous les
maux
des autres par la conscience de ceux qu’ils ont f
es malheurs d’autrui peuvent un jour l’atteindre, Il prendra part aux
maux
qu’il a raison de craindre. Après Alceste, c’est
on ami, redoutez un peu moins vos dangers. A qui fait son devoir les
maux
sont plus légers, Rappelez, croyez-moi, votre cœ
t un peu parce qu’il est dans ces dispositions chagrines qu’il reçoit
mal
Alceste et qu’il est irrité quand Alceste le prie
auteur étant de plaire à des esprits corrompus, ou sa morale porte au
mal
, ou le faux bien qu’elle prêche est plus dangereu
orte au mal, ou le faux bien qu’elle prêche est plus dangereux que le
mal
lui-même… » Voilà la raison générale pour quoi Ro
et soit qu’elle peigne le bien pour y attirer, soit qu’elle peigne le
mal
pour le faire fuir ; et il se pourrait bien qu el
ésence d’une très grande question et que, tout en riant, il n’est pas
mal
à propos de réfléchir. Les Fourberies de Scapin n
méchant, le méchant, « le grand seigneur méchant homme » qui fait le
mal
parce que le mal est amusant, l’homme qui jouit m
ant, « le grand seigneur méchant homme » qui fait le mal parce que le
mal
est amusant, l’homme qui jouit moins de posséder
ne science D’étendre les liens de notre conscience Et de rectifier le
mal
de l’action Avec la pureté de notre intention ;
e pour le Don Juan ; car dans Don Juan, c’est Dieu qui est attaqué et
mal
défendu : or Rousseau tient à Dieu ; et dans Tart
’ils la fassent ? Oui. Donc la peinture du vrai, encore qu’il soit le
mal
, est légitime et même utile. Cette peinture du vr
, je vous reproche de la défendre en un lieu que l’on peut tenir pour
mal
propre à cet office et où s’occuper d’elle, soit
mal propre à cet office et où s’occuper d’elle, soit en bien, soit en
mal
, est lui manquer de respect. » Molière, dit-on, f
nez garde. Il y a des gens, dira quelqu’un, un de ces jours, qui sont
mal
logés, mal couchés, mal habillés, plus mal nourri
Il y a des gens, dira quelqu’un, un de ces jours, qui sont mal logés,
mal
couchés, mal habillés, plus mal nourris ; qui ess
ns, dira quelqu’un, un de ces jours, qui sont mal logés, mal couchés,
mal
habillés, plus mal nourris ; qui essuient les rig
un de ces jours, qui sont mal logés, mal couchés, mal habillés, plus
mal
nourris ; qui essuient les rigueurs des saisons ;
e je dis, c’est que si vous ne vous en corrigez pas du tout, tout ira
mal
dans votre maison, sans que vous en soyez cause q
it appeler l’intellectualisme. A cause de cela, vos filles sont assez
mal
élevées ; l’une, donnant dans vos idées, se guind
s donnent et dont toutes les flatteries ont une douceur fade qui fait
mal
au cœur à ceux qui les écoutent ? N’a-t-il pas ce
us attache à ce qui est honnête et nous inspire de l’aversion pour le
mal
est en nous et non dans les pièces. Il n’y a poin
auteur étant de plaire à des esprits corrompus, ou sa morale porte au
mal
, ou le faux bien qu’elle prêche est plus dangereu
orte au mal, ou le faux bien qu’elle prêche est plus dangereux que le
mal
lui-même, en ce qu’il séduit par une apparence de
est une école de mauvaises mœurs », il dit : « ou sa morale porte au
mal
, ou… », mais il dit que le faux bien qu’elle prêc
mais il dit que le faux bien qu’elle prêche est plus dangereux que le
mal
même. Quel est ce faux bien ? C’est précisément l
e faux bien que prêche la morale de Molière est plus dangereux que le
mal
même », on le voit maintenant, c’est que ce bien,
me mettre sous les dents. » — « Voilà qui est étrange, et tu es bien
mal
reconnu de tes soins. Ah ! ah ! je m en vais te d
l’auras pas. » — Sganarelle : « Va, va, jure un peu ; il n’y a pas de
mal
. » « Prends, le voilà, prends, te dis-je, mais ju
lles séduites, familles déshonorées, parents outragés, femmes mises à
mal
, maris poussés à bout, tout le monde est content.
enfers des chaudières bouillantes Où l’on plonge à jamais les femmes
mal
vivantes. C’est le ridicule Arnolphe qui dit à A
lui-ci même. Cette religion dont, du reste, je ne songe pas à dire de
mal
, c’est la tolérance ; mais ce n’est que cela, abs
teindre, lui ou les siens. Il ne rit que du grand vice qui ne fait de
mal
qu’à celui qui en est atteint, avarice, passion d
e : Leur sexe aime à jouir d’un peu de liberté ; On le retient fort
mal
par tant d’austérité ; Et les soins défiants, les
’aime bien mieux, pour moi, qu’en épluchant ses herbes Elle accommode
mal
les noms avec les verbes, Et redise cent fois un
qui ne m’accommoderaient pas. Frosine : Ah ! que vous la connaissez
mal
! C’est encore une particularité que j’avais à vo
que d’en conclure qu’il ne peut jamais faire de sottises, ce qui est
mal
connaître les hommes. » Adversaires et défenseurs
? Dans ce premier âge, où, ne pouvant discerner encore le bien et le
mal
, elles ne sont les juges de personne, elles doive
r du monde : « Le monde est le livre des femmes. Quand elles y lisent
mal
, c’est leur faute, ou quelque passion les aveugle
garder. Le bal, les festins, les jeux, même le théâtre ; tout ce qui,
mal
vu, fait le charme d’une imprudente jeunesse, peu
tantôt Fabre a de très jolis vers, tantôt et plus souvent écrit très
mal
. 4. Il faut faire attention ici. Brunetière, pou
viétan, pour lui remplacer son pître, pendu pour ses mérites ou mis à
mal
par les médecines de son maître. — Et qui est la
omme le veulent ces deux rangs de marquis en demi-cercle ? — C’est un
mal
dont on a pris son parti ; et l’on ne supprime ce
lève les bras au ciel d’un air de pitié. Voilà une pièce qui commence
mal
. Comment prend-on Molière au mot ? Ne voit-on pas
cheux examen d’un mystère fatal Où l’examinateur souffre seul tout le
mal
! Il faut savoir pourtant jusqu’où ce pendard a
parle des chaudières bouillantes Où l’on plonge en enfer les femmes
mal
vivantes. Quand il a clos ce sermon, en l’invita
ions vu personne encore ; des personnages, de noir vêtus, crasseux et
mal
en point, s’y révèlent par des effarouchements pi
Et qui, dès qu’il se sent, par une humeur ingrate, Cherche à faire du
mal
…. La pauvre enfant a grand peur tout d’abord ; m
ent tête. — Pourquoi me criez-vous ? dit-elle. Je n’entends point de
mal
à tout ce que j’ai fait. Horace me veut pour fem
Et je n’y songeais pas lorsque se fit la chose… D’ailleurs, …… Quel
mal
cela peut-il vous faire ? — Il est vrai, j’ai suj
eût fait acte méritoire, il offre la paix ; il consent à pardonner le
mal
dont il est fauteur ; en retour il demande qu’on
de l’honneur conjugal, et celui qui fait bouillir en enfer les femmes
mal
vivantes. Et ce catéchisme sera l’unique entretie
et sans penser le faire… ? Et Agnès effectivement. …Ne voit pas de
mal
à tout ; ce qu’elle a fait. Le daubeur est daubé
die ; où l’on pleurait sur ce pauvre Holopherne si ; méchamment mis à
mal
par Judith ! — Car Agnès a mille raisons. : que m
d’ailleurs qu’une chose si douce ne saurait être condamnable. Car le
mal
, c’est ce qu’on fait avec peur. Elle n’a pas eu p
uer. Pourquoi ? Ah ! c’est que là vraiment elle craint un peu d’avoir
mal
fait. Ce ruban, c’est Arnolphe qui lui en avait f
ous, et que je serais bien aise d’être à vous. Peut-être qu’il y a du
mal
à dire cela ; mais enfin je ne puis m’empêcher de
ation où je me trouve, interrompit le vieux Marquis, d’un ton de voix
mal
assuré, & les yeux remplis de larmes ? — Ah !
arle au Marquis, qui, trop épris de Rosalie, avoue que Mélanide prend
mal
son temps pour se faire reconnoître. Cependant Da
toujours ceux qu’on rend malheureux. Darviane. Cet aveu n’adoucit mes
maux
qu’en apparence, Si vous ne me voyez qu’avec indi
re Que vous ne prenez pas le parti de mon pere. Le Marquis. Il seroit
mal
aisé de le justifier. Darviane. En vous entiéreme
excuser : Ils étoient trop flatteurs pour ne pas m’abuser. On m’avoit
mal
instruit. Rentrons dans la misere. Avant que de s
de Dieu s’appesantit sur lui, & punit son amour pour Dalila. Mon
mal
redouble, hélas ! mes sens s’évanouissent, Mes ye
oi : C’en est fait... Dieu puissant, j’espere encore en toi : Sur les
maux
de Samson jette un regard propice ; Ta clémence t
pperçoit Clotalde son gardien : la présence de cet homme redouble ses
maux
; il l’interroge, & veut savoir ce qu’il est.
erser dans mon ame charmée Le desir de la gloire & l’oubli de mes
maux
; Pour la seule vertu je la sens enflammée : Et d
que les Auteurs des deux pieces que vous venez de citer l’ont traité
mal
. Il n’y a qu’à supprimer les deux Arlequins, &
e juge, il faut vous adoucir. Carlos. Vous y pourriez peut-être assez
mal
réussir. Quittez ces contretemps de froide raille
; Et je ne puis vouloir, dans mon destin fatal, Aux Poëtes assez de
mal
De leur impertinence extrême, D’avoir, par une
fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu’on seroit
mal
venu de me le disputer. Je me vois dans l’estime,
CQUES. Valere, riant. A ce que je puis voir, Maître Jacques, on paie
mal
votre franchise. Maître Jacques. Morbleu, Monsieu
anche, approchez. Que je suis ravi de vous voir, & que je veux de
mal
à mes gens de ne vous pas faire entrer d’abord !
ux ou trois endroits. M. Galonier. Je... Hector. Je...Vous cousez si
mal
... Mad. Adam. Je... Vous cousez si mal...Nous ma
Hector. Je...Vous cousez si mal... Mad. Adam. Je... Vous cousez si
mal
...Nous marions ma fille. Valere. Quoi ! vous la m
Dans ces deux dénouements une fausse nouvelle fait rompre un mariage
mal
assorti pour en cimenter un autre desiré par la p
négligeant son ménage pour cultiver son esprit, fût cause qu’il dînât
mal
et qu’il fût mal servi. Cet homme, s’il parlait c
nage pour cultiver son esprit, fût cause qu’il dînât mal et qu’il fût
mal
servi. Cet homme, s’il parlait comme Chrysale, pa
le ou plutôt le synonyme du sien. Thomas, si je l’ose dire, en voulut
mal
à Molière : il se persuada, du moins, qu’il avait
antages de l’ignorance, qui lui paraît être le seul remède à tous ces
maux
: Clitandre, victime aussi de la pédanterie, ne m
a représentation, des efforts qui sans doute aggravèrent beaucoup son
mal
; et, au moment où, dans la cérémonie de la récep
de se croire malade, quand il ne l’est pas, et de se traiter pour des
maux
dont il est exempt. Il y a deux sortes de malades
tte affection subsiste imaginent que leur vie est menacée par quelque
mal
: affranchies de la peur de celui-ci, elles tombe
étudinaire, prend mille soins pour préserver ou soulager son corps de
maux
qui n’existent que dans son esprit, et, à force d
tort de se confier à la médecine, s’il était malade, mais qu’il fait
mal
de s’y livrer, puisqu’il se porte bien. Il est ai
s les deux seules peut-être qui eussent pu arrêter les progrès de son
mal
; il continua d’être époux et comédien : ses doul
testament ab irato contre une science qui ne pouvait ni soulager ses
maux
, ni prolonger ses jours. Sans vouloir, par un jeu
le conseil de renoncer à tout ce qui pou voit hâter le progrès de son
mal
et avancer le terme de ses jours ? Il méprisa ce
lle lui est nécessaire, opposée par droiture à Béline, malgré tout le
mal
qu’elle en doit craindre et tout le bien qu’elle
e-temps et rompre les mesures. * (1) * Variante. Ah ! voilà tout le
mal
! c’est cela qui nous perd. Ma foi ! mon cher pat
e de nos jours n’a ôté plus injurié pour avoir dit ou que Dieu est le
Mal
, ou que Dieu n’est pas. J’avoue que cet accueil m
histoire littéraire. Et cette histoire, pour le dire en passant, sera
mal
connue tant qu’une plume savante et sincère ne l’
-légère ; et le moqueur des maris malheureux était et se savait aussi
mal
marié que possible. On connaît les conseils de sa
r l’inhumation en terre sainte, que Molière, lorsqu’il s’ôtait trouvé
mal
, avait demandé un prêtre afin de recevoir les der
visage De la beauté d’une âme est un clair témoignage ; Et qu’il est
mal
aisé que, sans être amoureux, Un jeune prince soi
it pas à pas, fibre par fibre, l’origine, les progrès, les ravages du
mal
. Abrégeons cette belle page de philosophie chréti
qu’on adhère à ces premières complaisances des sens émus, on aide le
mal
à éclore ; qui saurait faire sentir à un chrétien
fait de leur union un enchaînement qui nous entraîne dans l’abîme du
mal
. Il faut distinguer dans l’opération de nos sens
e goutte à goutte : à la fin, on n’en est pas moins submergé. On a le
mal
dans le sang et dans les entrailles avant qu’il é
blissement est déjà un commencement de chute. « Si l’on ne connaît de
maux
aux hommes que ceux qu’ils sentent et qu’ils conf
main en prêchant la sédition. A la vérité, il sait réparer ce dernier
mal
, en prêchant la servitude. Revenons à Molière. No
es politiques, qui avoueront volontiers que le goût du théâtre est un
mal
; mais c’est un mal agréable, ils l’érigent en ma
voueront volontiers que le goût du théâtre est un mal ; mais c’est un
mal
agréable, ils l’érigent en mal nécessaire. Ils ét
du théâtre est un mal ; mais c’est un mal agréable, ils l’érigent en
mal
nécessaire. Ils établissent une censure pour mett
lupart des œuvres de bienfaisance vivent par elle ; l’enseignement du
mal
n’a pas de contrepoids plus puissant. La chaire,
orde divine de leur accorder aussi plus de secours pour s’abstenir du
mal
et accomplir le bien. Un savant religieux observe
moins de tomber dans le libertinage de l’esprit. Il s’abandonnait au
mal
, mais en gémissant, et non pas avec une stupide i
t, et non pas avec une stupide indifférence ; il ne disait pas que le
mal
est le bien. On voyait encore « une manière de re
it à quarante-deux ans, il régna de longues années encore, et déjà un
mal
irréparable était fait ; le règne avait pris sa p
y est trahie. Vous connaissez bien le parterre, mais vous connaissez
mal
le cœur humain, ou vous ne le connaissez que pour
s son dessein qu’une légitime et honnête satire de la piété feinte ou
mal
conçue ? Nous l’avons dit, Molière était plus maî
uver voisin, je ne voyais véritablement pas que personne pût penser à
mal
. Les deux premiers actes passèrent avec langueur
’hypocrisie, l’orateur entreprend de combattre ceux qui, « raisonnant
mal
sur le sujet de l’hypocrisie, ou en tirent de mal
nsoutenables et frivoles ; « de faire voir au libertin combien il est
mal
fondé, quand pour se confirmer dans son libertina
er exactement sa peinture : je sais qu’il n’est qu’un pauvre histrion
mal
apparenté, un homme que son mauvais destin oblige
C’est par leurs actions qu’ils reprennent les nôtres. L’apparence du
mal
a chez eux peu d’appui, Et leur âme est portée à
t ardent, tel que je tâche de vous l’inspirer, bien loin de guérir le
mal
, ne servira souvent qu’à l’irriter. Quand cela se
tres le zèle ne vous obligerait pas moins à vous déclarer. Quoique le
mal
s’aigrît et s’irritât, vous auriez fait votre dev
ur le permettre ainsi ; mais l’intention de Dieu ne serait pas que le
mal
qu’il voudrait permettre fût ménagé et toléré par
honnête homme ; elle afflige le cœur humain comme tout spectacle d’un
mal
sans remède. Du moins, le remède à ce mal n’est p
n comme tout spectacle d’un mal sans remède. Du moins, le remède à ce
mal
n’est pas de son ressort. Alceste, dit Donneau de
est pas l’histrion, ni le savant, ni même l’ami ; c’est le prêtre. Ce
mal
n’a d’autre dictame que les sacrements. La nature
e l’œuvre, et en même temps il nous révèle que si Molière n’était pas
mal
satisfait du caractère d’Alceste, il se mirait et
a non jubet. Nous devons la charité aux hommes, non au diable, non au
mal
, non à l’erreur, non à l’hérésie qui tuent la rai
fondés sur la nature des choses. Ainsi l’honnête Philinte résout très
mal
, sur les données de la sagesse la plus vaine et l
et la plus vulgaire, des questions que l’emportement d’Alceste a très
mal
posées. Mais où ce sage de salon, plus misanthrop
ine. La nature humaine n’est que faible ; elle ne se contraint pas au
mal
en dépit des illuminations de la conscience de la
si des hommes peuvent être haïssables, ce sont ceux qui disent que le
mal
est le bien, enseignant ainsi à faire le mal avec
t ceux qui disent que le mal est le bien, enseignant ainsi à faire le
mal
avec sécurité. Célimène est de cette espèce infâm
tte espèce infâme et monstrueuse. Elle ne se borne pas à pratiquer le
mal
, elle le professe et trouve qu’elle fait bien, qu
frir que de vains et ridicules rhéteurs, esclaves de la popularité du
mal
, entassent leurs phrases farcies d’adjectifs pour
on, & il dit à Lélie : Suffit, vous savez bien ou le bât me fait
mal
: Mais votre conscience & le soin de votre am
prouver. Il a voulu nous donner un tableau de la dévotion bien &
mal
entendue. On sait que tout humain pense différemm
int jusqu’à Lisette qui ne s’avise de parler un langage poétique très
mal
à propos : mais M. Piron n’a pas eu dessein de la
idicule, & de corriger par-là ceux qui lui ressemblent ; voilà le
mal
. Il n’avoit pas, comme Moliere, cet esprit philos
r divertir notre grand Roi. . . . . . . . Jamais ouvrage ne fut plus
mal
reçu, & ne donna plus de chagrin à son auteur
tre Gouverneur ; & après tout, il vaudroit bien mieux qu’elle fût
mal
mariée, que si elle faisoit quelque folie. Ecoute
un honnête homme riche & bien fait, qu’un gentilhomme gueux &
mal
bâti. Nicole. Cela est vrai. Nous avons le fils d
ges par les courtisans, qui tous d’une voix répétoient, tant bien que
mal
, ce que le Roi venoit de dire à l’avantage de cet
-il réfléchir, avant de décider si telle ou telle comédie est bien ou
mal
comprise, bien ou mal rendue ? Je n’essaierai pas
e décider si telle ou telle comédie est bien ou mal comprise, bien ou
mal
rendue ? Je n’essaierai pas de convertir les indi
sée sans consulter personne, est une conduite dangereuse ; le moindre
mal
qui puisse vous arriver en pareille occasion est
e mal qui puisse vous arriver en pareille occasion est de passer pour
mal
élevé. Juger par soi-même ! y pensez-vous ? Mais
n s’efforce de ressembler à son voisin, et tout va bien. Qu’un esprit
mal
fait s’avise de parler à sa guise, et tout se dér
ntre l’évidence. Puisqu’il est démontré que les comédiens comprennent
mal
et rendent mal les comédies de Molière, pourquoi
. Puisqu’il est démontré que les comédiens comprennent mal et rendent
mal
les comédies de Molière, pourquoi donc hésiterait
solution, quand Lisette vient lui annoncer que sa fille s’est trouvée
mal
. Sganarelle fait vîte appeller des Médecins pour
e pouls de Pantalon. Arlequin. Monsieur, vous me paroissez être très
mal
. Pantalon. Vous vous trompez, Monsieur le Médecin
plusieurs fois aux genoux de mon pere, le conjurant d’avoir pitié des
maux
que je souffre ; & je m’en vais savoir de mon
demande à sa fille comment va sa santé : elle répond qu’elle est très
mal
. Béatrice assure qu’un mari la guérira radicaleme
i demande comment va Rosaura ; le Médecin lui répond qu’elle est très
mal
. Lélio s’afflige. Tarquino sort à son tour, dit à
s consulter. Enfin, dans le reste de la piece, Rosaura se trouve plus
mal
. L’Apothicaire accourt pour lui appliquer les vés
ce, & se retire sans dire un mot. Elle a enfin mis, tant bien que
mal
, son héros dans une situation qui contrarie son c
e.) Pour vous, il vous sied bien, mon petit Financier, Fier d’un bien
mal
acquis, de blâmer l’alliance D’une fille d’honneu
vous me retiendrez encore après cela ! Lisimon. Madame, il vous sied
mal
de prendre ce ton-là ; Et l’air dont vous venez d
e ce ton-là ; Et l’air dont vous venez de parler à mon frere, Me fait
mal
augurer de votre caractere. Céliante. Tant pis po
cher à Destouches de ne pas savoir faire des oppositions, mais de les
mal
placer. Les scenes que Destouches ménage à sa cap
aquelle Don Juan, après avoir querellé ses gens parcequ’ils reçoivent
mal
M. Dimanche son créancier, le renvoie satisfait s
ous importuner jusques dans cette maison. Le Marquis. Il n’y a pas de
mal
à cela, mon bon-homme ; j’écoute tout le monde en
êtes trop fanfaron pour un homme de qualité. Le Marquis. Vous prenez
mal
les choses ; je suis votre ami. Fanchon, toujours
re ; elle flatte la manie de la Malade, lui persuade qu’elle est très
mal
, le tout pour l’engager à lui donner son bien. Lu
e pour disparoître, ou sont inutiles ; l’intrigue est traînante &
mal
combinée. La piece de Dufresny offre au contraire
l se pouvait croire autorisé à penser que la sienne ne tournerait pas
mal
. Il était glorieux, il était riche, il était bon
raient tort de se piquer lorsqu’on joue les ridicules qui les imitent
mal
». Au vrai, et on le voit par les textes emprunté
est la mère de l’imagination et que par l’imagination elle donne des
maux
plus grands que les maux réels puisqu’aussi bien
tion et que par l’imagination elle donne des maux plus grands que les
maux
réels puisqu’aussi bien il serait moins douloureu
malheureuse. Don Garcie est une pièce froide un peu guindée et assez
mal
faite. Elle n’eut aucun succès et n’en pouvait av
t bas De me forcer à taire un tourment que j’endure, Pour déclarer un
mal
que je ne ressens pas. Faut-il que vos beaux yeux
rdinaire il entre beaucoup d’un travers qui consiste à s’exagérer ses
maux
et du reste à exagérer tout ce qui peut nous chag
aucune passion, ni bonne ni mauvaise, les mauvaises vous mettant très
mal
en point, mais les bonnes vous faisant presque au
ant très mal en point, mais les bonnes vous faisant presque autant de
mal
que les mauvaises, n’être pas méchant, mais n’êtr
re gloire, Et qu’une âme bien née ait à se reprocher L’injustice d’un
mal
qu’on ne peut empêcher ? Pourquoi voulez-vous, di
qui sont opposés à Harpagon dont Molière se moque. C’est parfaitement
mal
raisonné. À ce compte les personnages sympathique
tes faible. Si vous ne vous corrigez pas de cette faiblesse, tout ira
mal
dans votre maison sans qu’on puisse vous reproche
servante ou dans votre mari. Par suite (savez-vous ?) vos filles sont
mal
élevées : l’une donne dans vos travers et n’est q
aut une passion parce qu’ils sont hommes. — -Il y a des gens qui sont
mal
logés, mal couchés, mal habillés, qui essuient le
sion parce qu’ils sont hommes. — -Il y a des gens qui sont mal logés,
mal
couchés, mal habillés, qui essuient les rigueurs
’ils sont hommes. — -Il y a des gens qui sont mal logés, mal couchés,
mal
habillés, qui essuient les rigueurs des saisons,
tes bouffi, comme tes trois quarts des bourgeois. C’est proprement le
mal
français. Prenez garde ! En vous prenant par là
donnent, et dont toutes les flatteries ont une douceur fade qui fait
mal
au cœur à ceux qui les écoutent ? N’a-t-il pas ce
orte au mai, ou je faux bien qu’elle prêche est plus dangereux que le
mal
lui-même, en ce qu’il séduit par une apparence de
Pure avec une satisfaction visible que les Comédiens de Monsieur ont
mal
joué une certaine tragédie de M. de la Clairière
selon les règles, il faudrait de nécessité que les règles eussent été
mal
faites ? Moquons-nous donc de cette chicane où il
Enfers des chaudières bouillantes Où l’on plonge à jamais les femmes
mal
vivantes et que si elle fait la moindre faute à
’appelant le grand seigneur méchant homme. Il est l’homme qui aime le
mal
pour le mal, qui aime à faire le mal parce que fa
grand seigneur méchant homme. Il est l’homme qui aime le mal pour le
mal
, qui aime à faire le mal parce que faire du mal e
omme. Il est l’homme qui aime le mal pour le mal, qui aime à faire le
mal
parce que faire du mal est amusant. Il est néroni
i aime le mal pour le mal, qui aime à faire le mal parce que faire du
mal
est amusant. Il est néronien, c’est Néron. Comme
t intérêt personnel, est méchant pour le plaisir de l’être et aime le
mal
pour le mal. Détail secondaire, mais à ne pas oub
rsonnel, est méchant pour le plaisir de l’être et aime le mal pour le
mal
. Détail secondaire, mais à ne pas oublier. Molièr
té des pauvres et la méchanceté des lâches ; elle consiste à faire du
mal
par petites piqûres, cruelles déjà, mais sans dan
der, Et jamais il ne faut se faire regarder… Mais je tiens qu’il est
mal
, sur quoi que l’on se fonde, De fuir obstinément
pêcher sûrement que l’on sût jamais rien Et d’ôter toute preuve ou du
mal
ou du bien. C’était certainement, en meilleurs v
lement vivant. Toutes les fois que Molière a touché à la vanité, « le
mal
français » comme a dit La Fontaine, il avait les
ïque qu’il n’accomplisse pour la défendre. « Il y a des gens qui sont
mal
logés, mal habillés et plus mal nourris… Ce sont
n’accomplisse pour la défendre. « Il y a des gens qui sont mal logés,
mal
habillés et plus mal nourris… Ce sont les avares.
défendre. « Il y a des gens qui sont mal logés, mal habillés et plus
mal
nourris… Ce sont les avares. » Il y a des gens qu
et vivent calfeutrés comme des prisonniers, qui, pour éviter tous les
maux
, se surchargent de toutes les incommodités ; ce s
éré. En conséquence elle dira à chacun quelques douceurs et un peu de
mal
de tous les autres, ce qui est presque une nécess
Alceste aime cette femme du monde qui est Célimène. Même en disant du
mal
de lui elle indique très bien ce qui lui plaît en
quetterie (et qui par parenthèse, du consentement de Molière, la joue
mal
), mais c’est une honnête femme, douce, impassionn
ts de tout notre entretien. Enfin elle commence par s’en tirer assez
mal
et Tartuffe flaire le panneau : Ce langage à com
s à Tartuffe. Elle est si honnête et si bonne qu’elle ne croit pas au
mal
au-delà de certaines limites et que, devant la cr
l’innocence et l’insensibilité d’une force de la nature à l’égard du
mal
qu’elle fait à celui qu’elle n’aime pas. Je n’en
u mal qu’elle fait à celui qu’elle n’aime pas. Je n’entends point de
mal
à tout ce que j’ai fait. […] Et pourquoi, s’il es
is-je pas ? […] Le moyen de chasser ce qui fait du plaisir ? […] Quel
mal
cela vous peut-il faire ? C’est une petite fille
tiques les types les plus contraires à eux qui se pussent, il n’a pas
mal
réussi avec Philinte et avec Éliante. Angélique,
plus probable qu’il est complexe, puisqu’il faut se donner un peu de
mal
pour prouver qu’il ne l’est pas. Mon opinion dern
moralisateur. D’où viennent les vices ou défauts, ce qu’ils sont, le
mal
qu’ils font autour d’eux, voilà tout le programme
’Harpagon est avare son fils est voleur et sa fille est au moins très
mal
élevée et quelque peu aventureuse. Une famille dé
llant, c’est le satanisme - plus ou moins prononcé, c’est le désir du
mal
pour le mai, c’est le goût de faire le mal parce
rononcé, c’est le désir du mal pour le mai, c’est le goût de faire le
mal
parce que le mal est amusant, à preuve que si le
désir du mal pour le mai, c’est le goût de faire le mal parce que le
mal
est amusant, à preuve que si le libertin n’avait
ne serait pas Don Juan du tout, tandis que c’est parce qu’il jouit du
mal
qu’il a fait et jouit d’avance, en recommençant,
u’il jouit du mal qu’il a fait et jouit d’avance, en recommençant, du
mal
qu’il va faire qu’il court d’entreprise en entrep
uance très vraie, très simple et c’est exquis : « Ah ! Que vous savez
mal
vous défendre pour un homme de cour et qui doit
n qu’ils ont fondée tout aille de travers et les enfants soient assez
mal
élevés, et que Philaminte finalement soit stupéfa
e temps, peut-être assez long, passera au camp des libertins, dira du
mal
des gens d’église, sera ce que nous appelons anti
omme Fénelon et La Bruyère au xviie , assuraient que Molière écrivait
mal
. Les autres, Ferdinand Brunetière en tête, souten
et simple de ce qui vient d’être dit et quelquefois en le disant plus
mal
. Il est bien des endroits où la pleine franchise
mples. Pour ce qui est de la théorie qu’un auteur comique doit écrire
mal
parce qu’il fait parler des bourgeois qui ne parl
re en vient à dire que, quoique le devoir d’un auteur comique soit de
mal
écrire, cependant Molière a le style bourgeois, c
me bien mieux sa prose que ses vers ». Par exemple l’Avare est moins
mal
écrit que les pièces qui sont en vers. Il est vra
’être pas corrupteur et j’ai cru montrer qu’il fallait avoir l’esprit
mal
fait pour trouver Molière tel. L’honnête homme ne
ré pour aller de chez elle chez la reine, elle trouva une femme assez
mal
mise qui l’arrêta, lui fit des reproches sanglant
gens de la maltraiter, et tout éperdue remonta chez elle, s’y trouva
mal
, et tomba incontinent dans une maladie de langueu
personne déguisée. Il semble assez simple d’imaginer que cette femme
mal
mise, qui ressemblait à un fantôme, qui attendait
ntausier qui était malade à Paris depuis longtemps : l’origine de son
mal
venait d’une peur qu’elle avait eue dans un passa
t pour sa défense me laissèrent si convaincu que mes soupçons étaient
mal
fondés, que je lui demandai pardon d’avoir été si
hait et qui attaque, c’est de la vertu révolutionnaire — Alceste est
mal
nommé le misantrope, il aime l’humanité, mais il
e lui a imprimé aussi le cachet de l’imperfection. Mais est-elle plus
mal
partagée que le misantrope ? Qu’on en juge. L’imp
tel qu’il est, l’homme avec ses passions, ses instincts de bien et de
mal
, ses sentimens de calme et d’agitation, d’abattem
et homme-là ne le rend pas traitable, Il faut que son orgueil soit un
mal
incurable. Qu’on donne au Glorieux un peu plus d
e temps d’être morale, puisqu’elle n’offre plus le tableau d’un amour
mal
assorti, & de ses ridicules. Nous pouvons enc
n le dit naïvement comme on le sent... La Comtesse. Il n’y a point de
mal
alors. On a toujours bonne grace : voilà ce que j
& nous n’avons plus de piece. Du Rang. Graces à la vanité
mal
entendue des Auteurs qui ont succédé à Moliere, i
nt la premiere. J’ai dit que nous avions cette obligation à la vanité
mal
entendue des Auteurs, & je le soutiens. Qui l
ur ouvrage. Voyons donc l’effet que peuvent produire des noms bien ou
mal
choisis. Les uns peignent la profession d’un pers
ans beaucoup de regret, à son fils ; puisqu’il se laisse traiter fort
mal
par le Comte de Tufiere, & lui donne ensuite
vouloir beaucoup à l’Auteur ? Je crois que non. Il seroit sans doute
mal
que, dans une piece à caractere, le principal per
aveugle dans un précipice : mais je suis malade, Lothaire, & d’un
mal
qui s’irrite incessamment... Je t’ai long-temps c
p; d’un mal qui s’irrite incessamment... Je t’ai long-temps caché mon
mal
dans l’espérance de le surmonter, je n’ai pu m’en
peut. Crispin fait les premieres tentatives auprès de Nérine, il est
mal
reçu. Crispin annonce à Julie le retour de Damon
étourner le peu d’intérêt qui pourroit rejaillir sur eux. La jalousie
mal
fondée de Lothaire, l’aveu qu’il fait au mari dan
de dire, convenons que nombre d’Auteurs auroient peut-être imité plus
mal
la Nouvelle espagnole, & que la comédie ne mé
a, lui déclare qu’il veut sans cesse le tenir caché pour prévenir les
maux
dont on le feroit l’instrument. Evandra approuve
re les Athéniens par leurs charmes, & couvrir la terre de plus de
maux
qu’il n’en sortit de la boîte de Pandore. Alcibia
hes, voulant nous donner simplement le portrait d’un Glorieux, a très
mal
fait de ne pas laisser à son modele ce qui, loin
t pour sa défense me laissèrent si convaincu que mes soupçons étaient
mal
fondés, que je lui demandai pardon d’avoir été si
sive produisit ses effets ordinaires. Je ne voudrais pas dire trop de
mal
de la belle compagnie qui se réunissait à l’hôtel
e de peu de renom, et en tout cas bien inférieur à Molière, n’a point
mal
rendu cette situation remarquable. Voici comment
ien obligé à la fin de se faire une douce violence et de dire tout le
mal
qu’il pense de l’œuvre de son rival. Lysidas offr
lon les règles, il faudrait, de nécessité, que les règles eussent été
mal
faites. Moquons-nous donc de cette chicane, où il
ier le sera aussi aujourd’hui et demain ; mais les diverses formes du
mal
et de l’erreur sont obligées de se renouveler. Le
Le jour où Molière peignit les jalousies d’Alceste, il souffrait d’un
mal
dont plusieurs souffraient avec lui, et, depuis d
déjà que Voltaire a été absous, au moins sur ce chef d’accusation. Le
mal
date de bien plus loin. Ce qui le prouve, c’est q
conscience proteste; et la protestation est d’autant plus vive que le
mal
est plus grand. L’hypocrite a beau se cacher : il
me est capable dans chaque direction, soit pour le bien, soit pour le
mal
. La France a poussé à l’extrême quelques-unes des
ien, d’une critique étroite et conventionnelle qui a fait beaucoup de
mal
en France. L’Allemagne nous a donné plusieurs exe
r que ceux qui le mettent en contradiction avec Aristophane entendent
mal
Aristophane, et se refuser nettement à reconnaîtr
nt, Tartuffe est un homme vil. C’est dans la solitude que le génie du
mal
s’est emparé du cœur de Iago ; c’est dans la soci
inconséquences et en bizarreries ! Je veux bien que l’avarice s’allie
mal
avec les affections désintéressées et généreuses;
justice, loin de rafraîchir son âme, ne ferait plus que l’irriter: le
mal
a au moins l’avantage de lui donner raison. Il a
t par là seulement que, dans tous les esprits, Vous pouvez réparer le
mal
de vos écrits, Et qu’après cet éclat qu’un noble
pour Alceste le coup de grâce; elle le révolterait plus encore que le
mal
lui-même. Alceste est une de ces fières natures q
y monta ce fut par un accès de gaîté qu’il dissimula les atteintes du
mal
dont il allait mourir; mais auparavant que de lar
e a été généralement blâmée. Aujourd’hui un poète comique serait très
mal
venu à suivre l’exemple de Molière. Il n’y a plus
uer les écrits de Philaminte ; il ose même en sa présence parler fort
mal
de la science pédante. Trissotin n’a pas de ces s
ience : sa philosophie le rassure contre tous les malheurs des unions
mal
assorties, et sa vanité lui fait espérer qu’il sa
les grands sots, et non pas la science. CLITANDRE. Vous avez cru fort
mal
, et je vous suis garant Qu’un sot savant est sot
ue petit savant qui veut venir au monde. Il ne faut pas dire trop de
mal
de cette critique à la loupe des beautés et des d
rs il envisage l’univers comme une vaste machine dont les pièces sont
mal
assorties, une machine qui crie et qui frotte, et
(je dis la joie, car Argant est un de ces malades qui vivent de leurs
maux
, et qui mourraient s’ils avaient le malheur de gu
ellement théologique et philosophique, qui représentait tant bien que
mal
, mais très réellement, l’antique culture grecque
à ce beau fruit qui croissait sur l’arbre de la science du bien et du
mal
, l’ignorance parfaite n’existe plus ici-bas. À dé
action personnelle, celui dont la nature est le seul maître est assez
mal
partagé. D’ailleurs le monde est ainsi fait de no
toute Agnès le sort de notre mère commune. Est-ce un bien? Est-ce un
mal
? D’autres le diront; mais il est de fait que la v
choquante, De se rendre savante afin d’être savante, cela s’explique
mal
aisément : ce malheur ne lui est point naturel; e
are qui aime beaucoup plus son or que son fils. Cléante est un enfant
mal
élevé, qui dresse contre les trésors de son père
ts énergiques : il va droit au fait, et, d’une main hardie, montre le
mal
produisant tousses fruits. La malédiction qui pès
icule ambition : il souffre tous les malheurs de quiconque se déplace
mal
à propos et se déclasse. Sa femme le traite en de
nous loin de prétendre que la lecture de Molière n’ait jamais fait de
mal
; mais les meilleures choses peuvent en faire, lo
eté une idée plus haute et plus pure, il lui a donné une intuition du
mal
plus vive et plus profonde. En faisant abonder la
d sur le cœur humain sans que l’on entrevoie au fond le noir abîme du
mal
. Mais si nous nous plaçons à un autre point de vu
aloue fut en général celle du XVIIe siècle; mais la religion s’en est
mal
trouvée. La vérité n’a pas à écouter les conseils
éché l’indulgence pour le pécheur. Ses perpétuelles colères répondent
mal
à l’esprit de cette religion, qui, par une hardie
is sur sa propre conduite, pour achever ses études, qu’il avait assez
mal
commencées en Gascogne, se glissa dans la société
ctacles que je lui donne ; je le rebuterai par un travail sérieux, et
mal
conduit. Et pensez-vous d’ailleurs, ajouta-t-il,
’il avait choisi. Ses envieux ne purent pourtant s’empêcher de parler
mal
de son Ouvrage. ― Je ne vois pas, disait un Aute
outre tout, disait-on ; il est inégal dans ses peintures ; il dénoue
mal
. Toutes les dissertations malignes que l’on faisa
re, qui connaissait l’action par principes, était indigné d’un jeu si
mal
réglé, et des applaudissements que le Public igno
était temps que le pauvre enfant sortît de sa prison, où il était si
mal
à son aise depuis cinq ou six heures, que l’épine
tres dont Raisin avait formé une Troupe, représentaient tant bien que
mal
. Ils avaient deux petites pièces qu’ils faisaient
Palais Royal, rien n’avançait ; et il criait comme un Forcené par le
mal
qu’on lui faisait, et dans la peur qu’il avait qu
ent, répondit Molière ; ce n’est point ici une affaire à entreprendre
mal
à propos : c’est la dernière action de notre vie,
it la tête comme un possédé : Champmêlé crut qu’il tombait de quelque
mal
, et il était fort embarrassé. Mais Molière, qui s
plusieurs personnes assurent qu’ayant voulu le tenter, il réussit si
mal
la première fois qu’il parut sur le théâtre, qu’o
ez un peu, lui dit le Comte ; et j’étais étonné que vous m’eussiez si
mal
observé. Je venais arrêter votre travail ; car je
ma foi, lui repartit le Comte ; car le pauvre homme n’extravague pas
mal
. Faites cela, je vous en prie, je vous verrai sou
amis, qui était surpris qu’un homme aussi délicat que Molière, eût si
mal
placé son inclination voulut le dégoûter de cette
nges par les Courtisans, qui tous d’une voix répétaient tant bien que
mal
ce que le Roi venait de dire à l’avantage de cett
e homme. Mr de P…k lui répliqua qu’il était bien hardi de lui parler
mal
de son ami. Baron animé ne fit pas de façon de so
u sujet de la querelle, dit à Baron qu’il avait grand tort de dire du
mal
de R… à Mr P… ; qu’il savait bien que c’était son
out le monde ; mais qu’il se donnait bien de garde d’en venir dire du
mal
à Mr P… qui quoique très mal satisfait de la remo
donnait bien de garde d’en venir dire du mal à Mr P… qui quoique très
mal
satisfait de la remontrance de Molière à Baron, p
it, plus on les goûtait. — Mais, ajouta-t-il, vous me paraissez plus
mal
que tantôt. — Cela est vrai, lui répondit Moliè
n a même encore aujourd’hui de ces Personnes toujours portées à juger
mal
d’un homme qu’ils ne sauraient imiter, qui soupço
être jamais permis, à moins que la personne ne soit infâme, comme un
mal
honnête homme, du moins comme un homme sans délic
ù Cotin venait réciter son sonnet, lorsque Ménage entra, et en dit du
mal
de la manière exactement dont le fait est représe
e Livre n’a point d’autre ordre que celui des temps ; mais l’Auteur a
mal
fait, selon moi, d’y assujettir les Aventures don
r un Théâtre Comique : et lorsqu’il y est arrivé, il se défie de lui,
mal
à propos ; puisque c’est après avoir plu au Roi ;
Métier de Comédien a de [trop] grands principes, pour que des gens si
mal
élevés puissent les savoir. Si on le pressait de
ais épargner à l’Auteur la confusion publique de l’avoir maltraité si
mal
à propos. Je suis assez content de l’Histoire du
et Baron, qui est le cheval de bataille de l’Auteur, m’y semble fort
mal
amené, et y faire un personnage impertinent. Mais
ma tendresse vers Léonor. Mogicon a beau lui représenter qu’il pense
mal
, il persiste dans sa résolution. Don Félix entre
at son penchant ; ce qui n’est pas honnête. Tous les deux se trouvent
mal
dès que Don Félix présente à sa fille Don Juan en
qu’il en soit, la Léonor de d’Ancourt n’est pas fille à passer aussi
mal
son temps que l’autre Léonor : elle consent que s
MADAME ARTUS, en cinq actes & en vers. Le Public reçut très
mal
cette piece ; cependant le crédit de d’Ancourt la
Ah ! fi, Dorante.Hé bien, je l’avois deviné, Que quelqu’un du pays,
mal
intentionné, Aigriroit contre vous Madame votre m
it un tour mauvais à cette affaire. Ces paysans Bretons sont les plus
mal
appris... Voyez : vouloir brouiller la mere avec
le intention... Voyez-vous, cela part de mon invention : Et si l’on a
mal
fait, j’en conviens, c’est ma faute. Kerkameau le
votre serviteur, Madame. Vivien. Voilà une grande fille qui n’est pas
mal
faite. Mad. Dubuisson. Hé ! comment ! c’est Madem
e a raison. Un peu de complaisance une fois en votre vie. Y a-t-il du
mal
à se promener ? L’Olive, à voix très basse. Je su
; mais elles n’étoient pas dignes d’être imitées, ou l’imitateur y a
mal
réussi, puisque les ouvrages dont elles sont l’am
plaisirs qu’il lui fallait, et de cette espèce de mensonge qu’un art
mal
entendu voulait substituer à la nature. Les point
et qu’il lui dit, eu parlant du jeune Horace : Mais pour guérir du
mal
qu’il dit qui le possède, N’a-t-il pas exigé de v
oins en faire une sotte. Quelle leçon elle donne au tuteur qui l’a si
mal
élevée, lorsqu’il lui reproche les soins qu’il a
ous? ARNOLPHE. J’ai grand tort en effet. AGNÈS. Je n’entends point de
mal
dans tout ce que j’ai fait. ARNOLPHE. Suivre un g
ez-vous pas que c’était me déplaire? AGNÈS. Moi ? point du tout. Quel
mal
cela peut-il vous faire ? ARNOLPHE. Il est vrai,
les gens d’autour d’une maison, ce qui est très-vrai en soi-même, pas
mal
trouvé pour Alain, et fort bien exprimé à sa mani
se, qui en arrivant se jette sur un fauteuil, prête à s’évanouir d’un
mal
de cœur affreux, pour avoir vu cette méchante rap
qui, avec un ton fort discret et fort ménagé, finit par dire plus de
mal
que personne de la pièce de Molière. Enfin, il le
e la meilleure des pièces de Molière. En revanche, il dit beaucoup de
mal
des Précieuses ridicules, dont la réussite fit c
ce qui l’est ici? Est-ce la vertu d’Alceste, ou sa mauvaise humeur si
mal
placée, et son amour si mal entendu pour la vérit
vertu d’Alceste, ou sa mauvaise humeur si mal placée, et son amour si
mal
entendu pour la vérité ? La grande importance mis
mais quelle règle de morale nous oblige à dire à un homme qu’il fait
mal
des vers ? Est-ce là une vérité bien importante?
? Assurément les mauvais vers et la mauvaise prose sont le plus petit
mal
qu’il y ait au monde. Qu’importe à la morale d’Al
nir. C’en est une bien nouvelle assurément que celle-ci : « Molière a
mal
saisi le caractère du Misanthrope. Pense-t-on que
r un arrêt injuste, c’est-à-dire une mauvaise action, un scandale, un
mal
réel. Que pourrait opposer à ce raisonnement un h
de finir par un roman postiche, tout semblable à celui qui termine si
mal
l’Ecole des Femmes ; et il est reconnu que les dé
’aime bien mieux, pour moi, qu’un épluchant ses herbes Elle accommode
mal
les noms avec les verbes, Qu’elle dise cent fois
e toujours souffrant, et ayant en vain demandé l’adoucissement de ses
maux
à des hommes qui se vantaient du pouvoir de les g
foie ; Valot, du poumon ; et Desfougerais, du mésentère. Leur avidité
mal
déguisée transformait un art en métier, une scien
elques-uns nous ont été conservés par la tradition ; mais ou ils vont
mal
aux figures, ou ils sont trop peu connus pour int
rd’hui démontré à tous les bons esprits que Rousseau, confondant très
mal
à propos, dans le personnage d’Alceste, la vertu
n quolibets et en reparties grivoises ; fiers de quelques grands mots
mal
appris et plus mal employés qui les font admirer
eparties grivoises ; fiers de quelques grands mots mal appris et plus
mal
employés qui les font admirer de leurs égaux ; do
été imprimé. On croit que Molière, dont cette fois le zèle avait été
mal
secondé par son génie, s’empressa d’anéantir un o
. de Pourceaugnac laisse dans l’esprit 1’idée d’une chose incomplète,
mal
finie, soit dès 1’origine, soit par suite d’un re
a erreur sur la date de la représentation ; le nombre des entrées est
mal
indiqué, et si Quinault ou Benserade (et non les
o remedio Che va cercar d’a basso’ al fronte spizio. Balegr’ e non sa
male
A tutti fa servitio Per questo lo chiamiamo Serv
augnac, gentilhomme italien, le mélange de sa langue avec le français
mal
baragouiné (mélange excusé et expliqué par la nat
u travers de l’intrigue, chose usuelle à la Cour, mais qui eût semblé
mal
justifiée à la Comédie, sans quelques mots de pré
n’a pas encore parlé et que nous signalons, si l’on trouve qu’il est
mal
résolu par nous. Certaines probabilités, certaine
bligent d’entrer avec eux un riche païsan qu’ils rencontrent, et qui,
mal
satisfait de son mariage, n’a l’esprit remply que
is sur sa propre conduite, pour achever ses études, qu’il avoit assez
mal
commencées en Gascogne, se glissa dans la societé
cles que je lui donne ; je le rebuterai par un travail serieux, &
mal
conduit. Et pensez-vous d’ailleurs, ajoûta-t-il,
’il avoit choisi. Ses envieux ne purent pourtant s’empêcher de parler
mal
de son Ouvrage. Je ne voi pas, disoit un Auteur c
l outre tout, disoit-on ; il est inégal dans ses peintures, il dénouë
mal
. Toutes les Dissertations malignes que l’on faiso
re, qui connoissoit l’action par principes, étoit indigné d’un jeu si
mal
reglé, & des applaudissemens que le Public ig
out dans un siécle, où l’on trouvoit les esprits disposez à croire le
mal
& fort éloignez de juger des choses avec indu
Moliere, il ne laisse pas d’être vrai que jamais mariage ne fut plus
mal
assorti que celui-là quant à l’humeur des Epoux.
simond autre Comedien la traita aussi en vers & s’en aquita moins
mal
; pour Moliere il se contenta de mettre ce sujet
étoit temps que le pauvre enfant sortît de sa prison, où il étoit si
mal
à son aise depuis cinq ou six heures, que l’Epine
res, dont Raisin avoit formé une Troupe, representoient tant bien que
mal
. Ils avoient deux petites pieces qu’ils faisoient
ais Royal ; rien n’avançoit ; & il crioit comme un forcené par le
mal
qu’on lui faisoit, & dans la peur qu’il avoit
par là seulement que dans tous les Esprits, Vous pouvez reparer le
mal
de vos écrits, Et qu’après cet éclat qu’un nobl
it la tête comme un possedé : Champmêlé crut qu’il tomboit de quelque
mal
, & il étoit fort embarrassé. Mais Moliere, qu
plusieurs personnes assurent qu’ayant voulu le tenter, il réussit si
mal
la premiere fois qu’il parut sur le Theâtre, qu’o
un peu, lui dit le Comte ; & j’étois étonné que vous m’eussiez si
mal
observé. Je venois arrêter vôtre travail ; car je
ma foi, lui repartit le Comte ; car le pauvre homme n’extravague pas
mal
. Faites cela, je vous en prie, je vous verrai sou
amis, qui étoit surpris qu’un homme aussi delicat que Moliere eût si
mal
placé son inclination, voulut le dégoûter de cett
nges par les Courtisans, qui tous d’une voix repetoient tant bien que
mal
ce que le Roi venoit de dire à l’avantage de cett
r du Misanthrope. On a reproché au Satyrique à son tour d’avoir dit
mal
à propos que Scapin s’envelope dans un Sac, au li
t à souhaiter que ceux qui ont donné après lui des Farces encore plus
mal
digerées que celles-là, nous en eussent dedomagez
e homme. M. de P... lui repliqua qu’il étoit bien hardi de lui parler
mal
de son ami. Baron animé ne fit pas de façon de so
u sujet de la querelle, dit à Baron qu’il avoit grand tort de dire du
mal
de R... à M. de P... qu’il savoit bien que c’étoi
tout le monde, mais qu’il se donnoit bien de garde d’en venir dire du
mal
à M. de P.. qui, quoique très-mal satisfait de la
mps en temps : à quoi Frosine répond : vôtre fluxion ne vous sied pas
mal
& vous avez grace à tousser. Ce fut cependant
ntoit, plus on les goûtoit. Mais, ajoûta-t-il, vous me paroissez plus
mal
que tantôt. Cela est vrai, lui répondit Moliere,
rd qu’il n’excédoit pas les vingt-quatre heures : mais Moliere a très
mal
fait d’user de la permission, & d’envoyer dor
décoration détruisent du moins l’illusion, & c’est un très grand
mal
. Je ne dis point qu’un Auteur doive resserrer son
ser le nécessaire à ses enfants, conseiller à son fils, qui se trouve
mal
, de boire un verre d’eau, parceque l’eau ne coûte
nnage. Vous en pouvez être soulagée ; Mais, pour guérir à fond votre
mal
, Je crois que vous serez obligée D’aller prendre
’auras point pitié de mon affreux destin ! Frontin. Puis-je guérir le
mal
qu’a fait votre imprudence ? . . . . . . . . . .
dans un fauteuil, & se caresse en riant. Je dicterai. Voyons.Pas
mal
!... Damis. Je dicterai. Voyons. Pas mal !...Dép
t. Je dicterai. Voyons.Pas mal !... Damis. Je dicterai. Voyons. Pas
mal
!...Dépêche-toi. Frontin. Oh ! tout beau, s’il vo
u désespoir d’avoir rendu l’argent. Il prie son esclave de réparer le
mal
qu’il a fait, & d’avoir soin de ses affaires.
l’on fait ici ne peut avoir d’intérêt qu’à la condition de blâmer le
mal
avec autant d’énergie qu’on en met à louer le bie
deux bergères qui se demandent si l’on doit croire de l’amour « ou le
mal
ou le bien, » et qui concluent en chantant : Aim
un évêque, qu’importait le beau, le bon, le sublime, quand la part du
mal
était si grande653 ? Si les arts ont un pouvoir f
x examen d’un mystère fatal, Où l’examinateur souffre seul tout le
mal
! avec cette différence que la scène de l’Éco
point si femme de bien, Et me romps un peu moins la tête... Un
mal
d’opinion ne touche que les sots, Et je prendr
le roi aux scandales de l’adultère ! Molière devait être le génie du
mal
aux yeux de Bossuet. Voir la même cause d’indigna
Chapitre premier. Ce que devient l’esprit
mal
dépensé Nous entrons maintenant dans une crit
ts fragments de ton esprit d’autrefois ! Malheur à qui s’attriste, et
mal
conseillé qui se plaint de la cruauté des temps.
ur le génie et le talent de Molière) : — « En pensant bien, il parle
mal
. Il se sert des phrases les plus forcées et les m
effet très malade. Que je meure d’un mai de poitrine ou de la peur du
mal
, toujours est-il que ceux qui sont morts, sont mo
de là ; je suis un pauvre homme que le froid a saisi ce matin, qui a
mal
dîné peut-être, car il a dîné tout seul ; le ciel
ul ; le ciel est gris et terne ; la rue est fangeuse ; le théâtre est
mal
disposé ; mon voisin de droite est une épaisse cr
et soucieux ; dans les galeries sont assises toutes sortes de femmes
mal
vêtues, à l’air hébété, et dont la laideur jette
me est malade… lisez : « madame est au bal ! » Monsieur est pris d’un
mal
subit. — Lisez « Monsieur se promène » ; il fait
devoirs de sa profession. Il avait promis de jouer, et déjà frappé du
mal
qui allait le tuer en plein théâtre, il voulut te
rrible, mille fois, que la statue du Commandeur. Enfin, tant bien que
mal
, se termina cette sublime bouffonnerie. La mort e
es plus brillantes et plus légères, qui se peuvent comparer à du vent
mal
tissu ! Il faut donc accepter avec joie ces vieil
à ton insu l’admiration qu’on t’a imposée ; tu es trop vieux et trop
mal
élevé, et trop ignorant des choses poétiques pour
à la grâce de Dieu ! Le reste (dix chefs-d’œuvre !) ne ressemble pas
mal
au hasard qui a dicté cette comédie : L’Étourdi.
in, c’est le plus spirituel des fripons, c’est le diable ! Il fait le
mal
, uniquement pour le plaisir de faire le mal ; il
st le diable ! Il fait le mal, uniquement pour le plaisir de faire le
mal
; il n’aime personne, il aime l’intrigue ; il se
e, et vous n’en avez point aussi, or vous savez qu’avec cela on passe
mal
le temps au monde. J’ai embrassé cette occasion d
porte un trompette. Ce n’était donc pas la peine de se donner tant de
mal
pour remettre à Rosine une lettre que le barbier
u’il faut être vraiment un misanthrope, c’est-à-dire un homme presque
mal
élevé, pour faire tant de bruit contre cette monn
de salon qui s’attache où elle peut ; mais, au fait, où est le grand
mal
? Et croyez-vous aussi que Philinte soit d’assez
it pas une tête vulgaire. On a répété, bien souvent, que la pièce est
mal
écrite, et je trouve qu’on a été sévère. Sans dou
e parle pas, soyez sûr que vous n’aurez rien à regretter. Ils étaient
mal
venus ; elles étaient peu intelligentes ; ils éta
n prix je ne voudrais dire à une femme : — Vous êtes laide, vous êtes
mal
faite, votre voix est aussi rauque que votre main
jeune homme à tête ronde ; il était fort intelligent et ne disait pas
mal
les vers de Molière ! Mais, grand Dieu ! s’écriai
i craquait de toutes parts, haut perché et portant une perruque aussi
mal
peignée que des cheveux naturels, notre débutant,
bourgeois, restons des bourgeois, et surtout ne donnons pas la patte,
mal
à propos. « Pour faire un civet de lièvre, prene
cènes, mais déjà plus brusque et plus malheureux ; ses amours vont si
mal
, et même en fermant les yeux, il va découvrir, l’
roire. L’abbé de Richelieu, agissant en malhonnête homme qui se venge
mal
du mépris d’une coquette, avait fait tenir à Moli
r son rôt en lisant quelque histoire, las d’être méprisé injustement,
mal
servi dans une demeure d’où le raisonnement a ban
la femme ait le droit de satisfaire à ses caprices, de vivre bien ou
mal
comme il lui plaît ? « Non pas », répond Molière.
le : Leur sexe aime à jouir d’un peu de liberté ; On le retient fort
mal
par tant d’austérité ; Et les soins défiants, les
ndresse naturelle du père pour les siens et sera souvent tenté d’user
mal
de son influence spirituelle, afin de contenter d
e science D’étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le
mal
de l’action Avec la pureté de notre intention. De
sir, et n’ayez point d’effroi ; Je vous réponds de tout, et prends le
mal
sur moi. Molière n’aime pas les directeurs, mais
aitable : Ils ne censurent point toutes nos actions… … L’apparence du
mal
a chez eux peu d’appui, Et leur âme est portée à
ne rien dire… Mais ces vers ne signifient en aucune façon que : Le
mal
n’est jamais que dans l’éclat qu’on en fait. Le s
petillent d’esprit, les vers en sont beaux. Eh bien ! elles sont donc
mal
placées ; ce qui est à-peu-près la même chose. La
; & la Chaussée pouvoit se dispenser de le copier pour faire plus
mal
que lui. Regnard a fait une bonne reconnoissance
ine. Il ne s’attend à rien moins qu’à celle-ci ; & il ne sera pas
mal
étonné. Maugrebleu. Je suis curieux de savoir com
Maugrebleu. Je suis curieux de savoir comme il me recevra. Il en usa
mal
avec moi la derniere fois que nous nous rencontrâ
ttitudes pittoresques : mais si la reconnoissance est froide, forcée,
mal
amenée, tout-à-fait contre nature, les comédiens
sse se corrompre, toutes ces qualités admirables tournèrent bientôt à
mal
. Les femmes s’imaginèrent que pour être du bel ai
oit jaloux ou point jaloux288 ! Et cette autre Climène, qui se trouve
mal
pour avoir vu l’École des Femmes, et qui pousse l
dire. Leur sexe aime à jouir d’un peu de liberté ; On le retient fort
mal
par tant d’austérité, Et les soins défiants, les
fermer une femme dans la stupidité, afin d’être sûr qu’elle ignore le
mal
! « C’est assez pour elle, » dit Arnolphe, De sa
t au bord d’un précipice qu’on ne voit pas. Le vrai mérite connaît le
mal
et sait l’éviter. Arnolphe a fait l’impossible po
et f. 125 recto les réflexions de Stendhal, 30 juin 1817 : « Tout le
mal
est pletore, et stagnation du sang dans le côté d
aunou » Au bas de la p. 76, la dernière : “My letter on Richard III
mal
traduite in the Examiner of the 24 décembre 1821,
nes. Après la prise de Veïes, le peuple voulait quitter un territoire
mal
sain pour aller à Veïes. Il en fut empêché par le
ès ce tems il y avait Varia cultiva. « Rome fut bâtie sur un terrain
mal
choisi. Les montagnes voisines offrent aujourd’hu
rrain difficile, pour éloigner l’ennemi. Quoiqu’il en soit, une ville
mal
saine et qui a le moral pollué par les prêtres, n
erçoit ou qu’il les sent. « B : « Voir mieux que nature, c’est être
mal
organisé. L. David. » II, page 4 : V : « Le cour
guerre n’est pas si onéreuse que la servitude. » B : « De tous les
maux
qui peuvent accabler une nation, le pire est une
z-vous, madame, que j’y fisse ? Il répond trop au long. Il dogmatise
mal
à propos. C’est comme si à cette question simple
’y prend avec plus de grâce. La nuance est bien placée, mais elle est
mal
peinte. La fin de cet acte est froide. [Acte I
s il ne faut jamais dire de maxime générale à un sot, vous lui faites
mal
à l’esprit, vous le faites soufrir, ce n’est pas
leux attraits ……… Même remarque. Malgré son adresse Tartuffe emploie
mal
à propos les termes de dévotion, et étant d’un es
fait jamais de confidences à personne. Ses confidences auraient fait
mal
au cœur. De qui rit-on dans cette pièce ? Il faut
i, mais elle ne donnait que du malheur cette philosophie Pour moi des
maux
de bien loin, la plus cruelle [sic], c’est de pré
sortir. Pour un autre tempérament, la surprise, la chute imprévue des
maux
, serait peut-être ce qu’ils auraient de plus rigo
reçoit pas. Il a une altercation ridicule avec un valet qui l’annonce
mal
en estropiant son titre. II a cette susceptibilit
à laquelle on doit porter toute sorte de respect ; et que c’est fort
mal
fait à vous d’en user comme vous faites. (Angéliq
vous faites. (Angélique fait signe de la tête à Clitandre.) Oui, oui,
mal
fait à vous. On voit Dandin à la fois trompé et
e, Clitandre, Claudine, Lubin Claudine Madame, si vous avez à dire du
mal
de votre mari, dépêchez vite, car il est tard. C
ournure au ou mettre le je et on la tournerait au sentiment. Elle est
mal
écrite Angélique Mon cœur se portera jusqu’aux e
dicule aux yeux de tous, et d’une manière très aisée à comprendre, un
mal
moral (selon lui) qui consiste à ce qu’une femme
cène IV] Scène IV Chrysale, Ariste Ariste Mon frère, il n’est pas
mal
d’avoir son agrément, Allons… Chrysale Vous moque
l serait du ton du pamphlet, où les personnages disent d’eux-mêmes le
mal
qu’on en pense. C’est pour n’avoir pas fait cette
lant plaire à son amant à force de savoir pédantesque. Elle n’est pas
mal
, cet homme l’aimait, mais à force de l’accabler d
ière. 28. Cette note est tirée du vol. III, du Molière ; la date est
mal
écrite : probablement 1811, parce que la page sui
elle alors, & la derniere qu’il avoit composée, il se trouva fort
mal
avant que de commencer, & fut prest de s’excu
l’imitateur dans une Comedie, Pour trop bien reüssir, y reüssit fort
mal
; Car la Mort en estant ravie, Trouva si belle la
ur tout dans un siecle où l’on trouvoit les esprits disposez à croire
mal
, & fort éloignez de juger des choses avec ind
plus d’éclat que jamais – – – – – 12. « Moliere averti, par des gens
mal
intentionnez pour son repos, de la conduite de so
santeries, luy dis-je, ne sont pas desagréables dans vos Comedies, le
mal
est qu’elles ne sont pas toutes également bonnes.
ire de cela, dit l’un ; que m’importe, dit l’autre, qu’un tel ait été
mal
marié : à quoi bon tant de Citations, tant de pen
nt je n’ai pas besoin. . . . . . . . . Oui, je sors de chez vous fort
mal
édifiée. L’exposition du Tartufe est un chef-d’œ
lie. Au reste, mon amour, quand je l’ait fait paroître, N’a point été
mal
vu des yeux qui l’ont fait naître ; Mais Léandre
? Ne vaudroit-il pas mieux qu’il employât le temps à nous peindre les
maux
qu’on essuie au service d’un brelandier ? il ress
ez, Monsieur, ne dois-je pas être trop content s’il ne m’arrive aucun
mal
pour votre beau mariage, sans que vous m’engagiez
hon. Ah ! ne crains rien ; nous partagerons ensemble le bien & le
mal
. Géta. Combien d’argent vous faut-il ? dites. Phé
qu’il a reçu de Dave ; & il s’ensuit de là qu’il veut beaucoup de
mal
à l’Auteur de l’avoir annoncé, ou à Géta de ne l’
elle alors, & la derniere qu’il avoit composée, il se trouva fort
mal
avant que de commencer, & fut prest de s’excu
l’imitateur dans une Comedie, Pour trop bien reüssir, y reüssit fort
mal
; Car la Mort en estant ravie, Trouva si belle la
ur tout dans un siecle où l’on trouvoit les esprits disposez à croire
mal
, & fort éloignez de juger des choses avec ind
sa vie avec plus d’éclat que jamais.... gMoliere averti par des gens
mal
intentionnez pour son repos, de la conduite de so
monstre d’Horace, composés de parties prises dans la nature, mais si
mal
placées, si mal assorties qu’elles font un ensemb
e, composés de parties prises dans la nature, mais si mal placées, si
mal
assorties qu’elles font un ensemble détestable. C
pour toujours à ce qu’ils aiment ; par la peinture de leur amour, des
maux
, des tourments qu’ils éprouvent, de ceux qu’ils s
s personnages ; l’autre qui naît de la peinture des contrariétés, des
maux
ordinaires que l’on éprouve dans la société. Mais
ence même, les inutiles efforts qu’elle ferait pour les corriger, les
maux
inévitables qu’elle s’attirerait ; de l’autre, il
table piété. Il montra, en outre, le trouble, le désordre et tous les
maux
que sème l’hypocrisie. Mais avec quelles couleurs
nt où un vil dénonciateur plonge une famille entière dans un abîme de
maux
! Honneur au talent dramatique de Molière ! gloir
t, de fait, les ayant à peine lus une première fois, il les lit assez
mal
. M. Fabié raconte une anecdote de la vie de Corne
ropos de plus ou de moins, et des vers récités ou lus, et bien lus ou
mal
, si l’œuvre de l’auteur qu’il s’agit de célébrer
Plaideurs ont été tirés une fois de la remise : eh ! ce n’est pas si
mal
. D’ailleurs nous sommes dans la maison de Molière
es en tragédie : seront-elles jamais couronnées ? Pour la comédie, le
mal
n’a pas encore empiré à ce point. Au Théâtre-Fran
n compositeur de musique. Il y a deux ans déjà, nous avons signalé le
mal
: s’aperçoit-on qu’il est temps d’y porter remède
st une grande maladresse de la part d’un Auteur ; & s’il est plus
mal
de blesser l’esprit que les yeux, du moins la fau
iere. Il s’ensuit donc clairement de là que deux scenes sont toujours
mal
liées quand, dans l’intervalle qui les sépare, l’
qui le fait tiennent à la piece, sans quoi le remede est pire que le
mal
. On dit, dans les Fourberies de Scapin, au bon Gé
ire un second voyage à Barèges avec le duc du Maine. Elle vivait fort
mal
avec madame de Montespan, qui, par les lettres qu
, dans l’édition de Nancy, renferme ces mots : « Ne vous croyez point
mal
à la cour, nous nous y soutiendrons. » Ce que ma
t avec un compas : Il faut que je crève ces yeux-là, qui font tant de
mal
. — Crevez-les, madame, puisqu’ils n’ont pas fait
ama l’excellence de la pièce contestée ; quant à Racine, s’il jugeait
mal
l’Avare, il répondait à un complaisant qui croyai
tre, fut obligé de brusquer son entrée, emporté par l’âne, qui savait
mal
son rôle. La première surtout de ces deux anecdot
ation ; malgré tout, il est impossible de méconnaître qu’il balançait
mal
son actif et son passif. Armande n’était pas femm
faire maintenant de larges coupures. Une dernière fois, la passion a
mal
servi le poète ; pour un moment, elle est parvenu
n peut induire avec quelque vraisemblance l’influence profonde que le
mal
dont il souffrait exerça sur son caractère. Que l
là un premier accès d’irritation, qui coïnciderait avec Don Juan. Son
mal
s’aggrave, et, bien qu’il ait jugé les guérisseur
un anévrisme, un autre la phtisie. Ce qui est certain, c’est que son
mal
siégeait dans la poitrine, qu’il avait une toux c
se nourrir que de lait. Ce qui parait aussi certain, c’est que, à ces
maux
physiques, vint se joindre une affection morale,
très près. Ces médecins ne purent manquer de lui signaler, outre ses
maux
physiques, le mal moral dont il souffrait. Prit-i
ecins ne purent manquer de lui signaler, outre ses maux physiques, le
mal
moral dont il souffrait. Prit-il leur avis au sér
ent sceptiques, ne lui gardent, disent-ils, aucune rancune d’avoir si
mal
traité leurs devanciers. Pourtant seraient-ils in
son fameux parallèle entre la comédie et la tragédie, il y avait pas
mal
de rancune dans le dédain qu’il affectait pour ce
eut être pour son fils ; aussi se borne-t-il à lui dire : «C’est fort
mal
fait à vous; si vous êtes heureux au jeu, vous en
illes folies deviennent sagesse, et qu’anciens petits mensonges assez
mal
plantés ont produit de grosses, grosses vérités,
l’on y exaltait; ou du moins, dans certains ouvrages, ces sentiments
mal
compris et mal interprétés, loin d’exercer sur l’
t; ou du moins, dans certains ouvrages, ces sentiments mal compris et
mal
interprétés, loin d’exercer sur l’esprit du peupl
mettre dans sa société, il répond : Sans contredit On en parle assez
mal
, mais elle a du crédit : Elle est très recherchée
la jeunesse sont ridicules et vous déplaisent, Qu’à son âge il sied
mal
de faire la jolie, Et que le blanc qu’elle a scan
re que d’abord il refuse d’être le juge d’Oronte : Monsieur, je suis
mal
propre à décider la chose \ Veuillez m’en dispen
esse d’exprimer librement sa pensée, comme il le fait. Molière aurait
mal
compris son personnage, et n’aurait pas atteint s
bien déblatéré contre la perversité humaine ! Combien de gens aussi,
mal
préparés, mal armés pour une lutte que cependant
é contre la perversité humaine ! Combien de gens aussi, mal préparés,
mal
armés pour une lutte que cependant ils devraient
uneste précurseur du suicide ? La sombre humeur d’Alceste est donc un
mal
plus commun qu’on ne croit. Grand nombre d’indivi
la société avec un flegme stoïque, et se mettre en fureur au moindre
mal
qui s’adressait directement à lui. En effet, j’ob
t par là seulement que, dans tous les esprits, Vous pouvez réparer le
mal
de vos écrits, Et qu’après cet éclat qu’un nobl
le de la haine ou du dégoût, mais pour nous apprendre à supporter des
maux
inévitables. De quelque façon qu’on s’y prenne, e
raie que nous nous faisons d’un personnage que nous le jouons bien ou
mal
, rien de ce qui peut nous éclairer, même faibleme
perfidie; mais n’est-on pas aussi un peu en colère de le lui voir si
mal
placer? Cet amour, d’ailleurs, pour être bien int
Si d’un tel refus vous êtes en courroux, Que le cœur d’une femme est
mal
connu de vous ! Et que vous savez peu ce qu’il ve
e dans les organisations, même les plus fortes, soit eu bien, soit en
mal
, on rencontre souvent des penchants contradictoir
ues et furtifs, la voix tremblante, la respiration gênée, le maintien
mal
assuré, tout ce qui trahit enfin une émotion extr
près soi, et Tartuffe ne peut concevoir qu’il soit possible de ne pas
mal
faire lorsqu’on est certain du secret; aussi lui
t; aussi lui dit-il : Vous êtes assurée ici d’un plein secret, Et le
mal
n’est jamais que dans l’éclat qu’on fait. Le scan
l’égard de la conception ou de l’exécution, entre ce qui n’est point
mal
et ce qui serait bien, la différence n’est souven
t à côté de cette troupe des gens tels que d’Assoucy, l’homme le plus
mal
famé de son temps, au lieu de dire sa troupe, je
orneille, — comédie charmante de cape et d’épée dont je ne dis pas de
mal
, — était un sommet qu’on ne surpasserait jamais e
’il sait qu’on applaudit à outrance dans Paris, et vous aurez le même
mal
, ressenti par Molière bien plus violemment que pa
mieux, ils disaient : tant mieux ! Si on les pillait pour faire plus
mal
, ils disaient : tant mieux ! encore. Ils aimaient
e, comme, dans les scènes de paysans, le langage des paysans les plus
mal
façonnés. Il attrape également le patois de nos p
saignées, et ne balance aucune chose. Il ne lui faut point vouloir de
mal
de tout ce qu’il pourra vous faire ; c’est de la
ncée. La crédulité, la vanité, même la vanité méchante, l’instinct du
mal
, voilà surtout de quoi il nous les montre pétries
mon Dieu, monsieur. — Ah ! mon Dieu, monsieur. BARTOLO Elle se trouve
mal
! Seigneur Alonzo. ROSINE Non, je ne me trouve pa
Elle se trouve mal ! Seigneur Alonzo. ROSINE Non, je ne me trouve pas
mal
. Mais c’est qu’en me tournant… Ah ! C’est le com
né, madame ! ROSINE Ah ! oui, le pied m’a tourné. Je me suis fait un
mal
horrible27. Comme cela est naturel, comme cela e
burlesques. La Fontaine est aussi profondément indifférent à tous ces
maux
que Molière lui-même ! La Fontaine est plein de m
l défiait la maladie, en niant les remèdes, il s’efforçait de nier le
mal
, cherchant ainsi à surmonter cette humeur noire,
rt, en revanche elle n’en déloge plus ; que cette idée provienne d’un
mal
réel ou d’un mal imaginaire, ses effets sont abso
lle n’en déloge plus ; que cette idée provienne d’un mal réel ou d’un
mal
imaginaire, ses effets sont absolument les mêmes
son sein, qui observe avec inquiétude et calcule tous les progrès du
mal
, qui n’ose pas faire un geste, un pas, ni dire un
pas alors, à vrai dire, un bien grand succès. C’était une pièce assez
mal
faite. Elle n’est ni bien composée ni bien agencé
ue je voudrai. Je m’érigerai en censeur des actions d’autrui, jugerai
mal
de tout le monde, et n’aurai bonne opinion que de
n 1665, n’existait nulle part (pas plus que la dévotion outrée) comme
mal
social, comme vice social, comme état général, ou
ue Dom Louis Tenorio ne dit pas à Dom Juan : « Un gentilhomme qui vit
mal
est un monstre dans la nature43. » Il l’entend e
dans la nature43. » Il l’entend en ce sens qu’un gentilhomme vivant
mal
, dans une société où il a l’idée de se servir de
servir de ses prérogatives et des avantages de son rang pour faire le
mal
, devient un vrai monstre déchaîné. C’est ainsi qu
mettre sous les dents. DOM JUAN Voilà qui est étrange, et tu es bien
mal
reconnu de tes soins. Il y a là une révolte amèr
ble, dans un de ces moments de crise qui sont rares, en bien comme en
mal
, dans l’histoire des peuples, et où l’émotion uni
arianne48 ; ce n’est pas beaucoup, et encore Angélique est-elle assez
mal
résignée ; il en a peint au moins deux, pour se p
ié. Molière ne s’est pas seulement attaqué, dans Tartuffe, à un grand
mal
social futur, mais il a signalé et attaqué aussi
n grand mal social futur, mais il a signalé et attaqué aussi un grand
mal
domestique présent et particulier à son temps. En
i nos auteurs, comme Sedaine et Diderot, qui se sont frayé des routes
mal
connues de Molière même ; et, n’eût-on découvert,
dire, l’immolation journalière de notre vanité, dont nous connaissons
mal
la force et les ruses, quand ce n’est pas l’espri
ur pour un instant dans l’infini. ——— L’absence est le plus grand des
maux
, et l’oubli le plus triste des remèdes. ——— Une f
simple robe d’alépine comme la cantinière impériale qui gagne bon an
mal
an mille écus, ce jour-là il se sera accompli dan
jalousie alla enfin si loin, qu’elle resolut de le faire mourir d’un
mal
qu’il craignoit à l’avance sans fondement. Elle c
n, commencerent à le blâmer, & à lui dire des injures, pour avoir
mal
parlé de sa femme. Le bruit fut si grand, & a
bon, à la vérité, de faire remarquer, mais sur laquelle nous ferions
mal
de nous appesantir. Passons au second conte, &
p; tourne visage. Ils se chamaillerent long-temps sans se faire aucun
mal
. Les voisins ayant entendu le bruit, sortirent au
se récrie sur le bonheur qu’elle a de plaire à son amant, elle trouve
mal
fondée la crainte qu’il a de fâcher par-là Clairv
, que d’Orval s’unira à Constance. A cette nouvelle Rosalie se trouve
mal
; & lorsque Clairville veut la secourir, elle
trompée. Constance vient pour consoler Rosalie, & y réussit très
mal
puisqu’elle lui dit qu’en épousant d’Orval elle l
at de son cœur, & lui apprend qu’il souffre en ce moment tous les
maux
que l’absence d’un objet adoré & l’attente d’
agréablement221, il mêle dans une proportion artistique le bien et le
mal
chez ses personnages222, en sorte qu’il faut un e
n résulte-t-il pas dans l’âme un adoucissement de cette haine pour le
mal
que Molière a si bien enseignée ailleurs238 ? l’a
re des mains au triomphe de Scapin ? Le bien est à peine entrevu ; le
mal
illuminé et applaudi sans restriction. Je ne parl
la réalité. Quoique l’homme soit un insondable mélange de bien et de
mal
, c’est erreur d’imaginer que les qualités les plu
Mais si fidèle représentant des anciens que fut Gui Patin, il eut un
mal
… Molière. On a pu, en effet, citer davantage ces
e. MARPHURIUS. Il n’est pas impossible. SGANARELLE. Ferais-je bien ou
mal
de l’épouser ? MARPHURIUS. L’un ou l’autre… (30)
aime bien mieux, pour moi, qu’en épluchant ses herbes, Elle accommode
mal
les noms avec les verbes, Et redise cent fois un
e. Il faudrait s’étonner du contraire. — Et cet aveu ne s’accorde pas
mal
avec le peu de respect que nous avons vu Molière
faire regarder. L’un et l’autre excès choque… (Et) je tiens qu’il est
mal
, sur quoi que l’on se fonde De fuir obstinément c
lui même qui avait posé les principes. Gassendi définit le bien et le
mal
: « Rem, bonam voluptatis effectricem, malam mole
es, » et comme on le voit, il s’agit d’opinions sur le bien et sur le
mal
, continue Damiron qui le cite (56). — Gassendi en
aquelle on s’accordait si peu ; et ceux qui en avaient dit le plus de
mal
, ne furent pas les moins empressés à y retourner.
es n’y est pas moins vivement défendue qu’attaquée, que le bien et le
mal
s’y balancent assez exactement, et que si la conc
t courir tout Paris : ceux-ci en disent du bien, ceux-là en disent du
mal
. Un homme d’esprit et de goût entreprend de la dé
ement le plus terrible, on lui voyait un visage riant qui s’accordait
mal
avec les sentiments dont il devait être animé. Il
il, Le Cocher supposé, Crispin médecin, et L’Esprit follet. Le Souper
mal
apprêté, qui ne se joue plus, est assez agréable.
:) Connaissez-vous César de lui parler ainsi ? etc. Ce portrait est
mal
peint, peut-être un peu chargé ; mais on est fond
es autres : une de ses manies était de jouer la tragédie qu’il jouait
mal
; et plus d’une fois il exigea de Mignard, son am
uments des scènes de la comédie, comme étant inutiles, peu exacts et
mal
faits . Peu exacts, ils ne le sont que relativeme
Inutiles, je viens de prouver qu’ils ne le sont pas entièrement. Pour
mal
faits, les lecteurs en jugeront, et peut-être ser
nir commerce avec les savants. L’un d’eux fait sa déclaration qui est
mal
reçue. Le pédant, piqué, habille superbement Germ
x, appellé Hortense, déclare l’amour qu’il a pour Emilie. Il est très
mal
reçu, & forme le dessein de se venger. Il fai
en toute liberté sur ses défauts ? En pensant bien, il parle souvent
mal
. Il se sert des phrases les plus forcées, et les
aime bien mieux sa Prose que ses Vers. Par exemple, l’Avare est moins
mal
écrit que les Pièces qui sont en Vers. Il est vra
ouissent, et l’édition de 1682 se trouve justifiée. En effet, tout le
mal
se réduit à quelques fautes d’impression et à l’o
s, sur sa propre conduite, pour achever ses études, qu’il avait assez
mal
commencées en Gascogne, se glissa dans la société
ectacles que je lui donne ; je le rebuterai par un travail sérieux et
mal
conduit. Et pensez-vous d’ailleurs, ajouta-t-il,
il avait choisi ; ses envieux ne purent pourtant s’empêcher de parler
mal
de son ouvrage. « Je ne vois pas, disait un auteu
outre tout, disait-on ; il est inégal dans ses peintures ; il dénoue
mal
. Toutes les dissertations malignes que l’on faisa
re, qui connaissait l’action par principes, était indigné d’un jeu si
mal
réglé, et des applaudissements que le public igno
t pour sa défense me laissèrent si convaincu que mes soupçons étaient
mal
fondés, que je lui demandai pardon d’avoir été si
était temps que le pauvre enfant sortît de sa prison, où il était si
mal
à son aise depuis cinq ou six heures, que l’épine
tres dont Raisin avait formé une troupe, représentaient tant bien que
mal
. Ils avaient deux petites pièces qu’ils faisaient
Palais-Royal, rien n’avançait ; et il criait comme un forcené par le
mal
qu’on lui faisait, et dans la peur qu’il avait qu
ent, répondit Molière ; ce n’est point ici une affaire à entreprendre
mal
à propos : c’est la dernière action de notre vie,
ait la tête comme un possédé. Champmêlé crut qu’il tombait de quelque
mal
, et il était fort embarrassé. Mais Molière, qui s
plusieurs personnes assurent qu’ayant voulu le tenter, il réussit si
mal
la première fois qu’il parut sur le théâtre, qu’o
iez un peu, lui dit le comte, et j’étais étonné que vous m’eussiez si
mal
observé. Je venais arrêter votre travail, car je
r ma foi, lui repartit le comte, car le pauvre homme n’extravague pas
mal
: faites cela, je vous en prie ; je vous verrai s
amis, qui était surpris qu’un homme aussi délicat que Molière eût si
mal
placé son inclination, voulut le dégoûter de cett
ges par les courtisans, qui tout d’une voix répétaient, tant bien que
mal
, ce que le roi venait de dire à l’avantage de cet
nnête homme. M. P.… lui répliqua qu’il était bien hardi de lui parler
mal
de son ami. Baron, animé, ne fit pas de façon de
u sujet de la querelle, dit à Baron qu’il avait grand tort de dire du
mal
de Racine à M. P…., qu’il savait bien que c’était
tout le monde, mais qu’il se donnait bien de garde d’en venir dire du
mal
à M. de P…., qui, quoique très mal satisfait de l
t bien de garde d’en venir dire du mal à M. de P…., qui, quoique très
mal
satisfait de la remontrance de Molière à Baron, p
ait, plus on les goûtait. « Mais, ajouta-t-il, vous me paraissez plus
mal
que tantôt. — Cela est vrai, lui répondit Molière
a même encore aujourd’hui, de ces personnes toujours portées à juger
mal
d’un homme qu’ils ne sauraient imiter, qui soupço
du Parc, camarade de mademoiselle de Brie ; mais ses soins ayant été
mal
reçus, Molière tourna ses vœux du côté de mademoi
lle… MADEMOISELLE DU PARC. Mon Dieu ! pour moi, je m’acquitterai fort
mal
de mon personnage, et je ne sais pas pourquoi vou
le monde souffrait de lui voir représenter Néron et de lui vouloir du
mal
, ce qui nuisit au succès de la pièce. Racine, s’é
r alla voir la pièce, et dit en sortant : Je n’ai garde de vouloir du
mal
à Molière ; il faut que l’original soit bon, puis
ne des Fâcheux, confiée à la plume de Chapelle, et dont il se tira si
mal
, est sans doute l’origine de ce dernier conte. Le
ur leurs ouvrages… La première représentation des Plaideurs ayant été
mal
reçue, Molière, qui était présent à la seconde, q
hevêque Du Harlay avait défendu qu’on l’inhumât) ; mais elle fit fort
mal
sa cour en disant au roi que, si son mari était c
e village. Ce curé, au lieu de parler en faveur de Molière, entreprit
mal
à propos a de se justifier lui-même d’une accusat
ur les neuf heures du soir, ledit feu sieur de Molière s’étant trouvé
mal
de la maladie dont il décéda environ une heure ap
tre lequel on a voulu se récrier, ne pouvait être autrement sans être
mal
, et mérite peut-être encore plus de louanges que
it sur l’Art de la Comédie n’ont point parlé du genre mixte, ou l’ont
mal
connu. Ils mettent au rang des comédies mixtes ce
isqu’on n’en voit pas une où il n’y ait une espece d’intrigue bien ou
mal
filée. On ne pourroit en excepter que les pieces
sont mortels pour les pieces. Si le caractere étouffe l’intrigant, le
mal
est moindre sans contredit : mais pourquoi lui as
Blanche au faubourg Saint-Germain, où les voilà jouant, tant bien que
mal
, les chefs-d’œuvre du temps. Cris, emportements,
était arrangé en prince, en personnage d’État, et ce rôle lui allait
mal
. Don Garcie fut le tâtonnement d’un esprit qui ch
t bien vite que cette forme, quel qu’élégante qu’elle fût, lui allait
mal
et convenait peu au théâtre ou il fallait peindre
er), toujours tremblant, toujours battu, et voulant toujours, bien ou
mal
, arranger les affaires, de peur des coups. Plus t
ux docteurs qu’il ignore leur art de confondre ensemble le bien et le
mal
. Les vers de Cléante étaient dans toutes les mémo
puis il envoya chercher son tailleur (car le pauvre enfant était fort
mal
accommodé), et lui fit faire un habit complet, en
lui, il faiblissait quelquefois, surtout dans le tragique, qui allait
mal
à sa voix saccadée, à sa volubilité d’expression.
régulier. C’était son côté intraitable. Une fenêtre ouverte ou fermée
mal
à propos, un livre déplacé, suffisaient pour le m
. Jourdain sortait, ici, de toute vraisemblance; c’est connaître bien
mal
jusqu’où peut aller notre crédulité. N’a-t-on pas
rôles grotesques; Mais Boileau ne l’y pouvait voir ; cela lui faisait
mal
. La représentation du Ballet des Muses terminée,
Je veux savoir de toi... Ce que tu fais. SOSIE. Je fais le bien et le
mal
tour à tour. Dans ce rôle, tout de fantaisie, Mol
qui obligent Georges Dandin de danser avec eux; mais Georges Dandin,
mal
satisfait de son mariage, et n’ayant l’esprit rem
corps, menue, grêle, noire et velue... La véritable source de tout le
mal
, c’est, disaient-ils, une humeur crasse et fécule
imprimer. XXIX. Cependant ses amis effrayés des progrès de son
mal
, Boileau, Mignard, quelques autres, furent trouve
revint à lui. Molière, dans sa joie magnanime, oublia tout, même son
mal
. Pour complaire à sa femme, « pour rendre leur un
ut-être, en de certains moments, n’aurait pu dire s’il mourait de son
mal
ou de ses tristesses. Dans ces doutes sur sa mala
tait, plus on les goûtait, « - Mais, ajouta-t-il, vous paraissez plus
mal
que ’’tantôt’’. » - Cela est vrai, lui répondit
ies, & qu’il est nécessaire de trouver promptement un remede à ce
mal
, qui pourroit empirer par le retardement. Pour mo
s escampativos nocturnes ; Angélique lui répond qu’il n’y a pas grand
mal
à prendre le frais de la nuit : alors George Dand
e. Tout doux. Cléanthis. Tout doux.Non, je soutiens que cela conclut
mal
; Ces raisons sont raisons d’extravagantes têtes.
VI. Le Chevalier fait deux ou trois pas de ballet. Il ne prêche pas
mal
. Passez au second point ; Je suis déja charmé. Qu
Monsieur là-dessus Est venu brusquement gâter tout le mystere, Et m’a
mal
à propos fait connoître à la mere. Parlez, n’est-
ges par les courtisans, qui tous d’une voix répétaient, tant bien que
mal
, ce que le Roi venait de dire à l’avantage de la
elle est vraie, car il est impossible qu’elle ne le soit pas. Dans le
mal
que les courtisans dirent d’abord de la pièce, il
, et la lui reprocha avec une dureté qu’il employait quelquefois plus
mal
. Il vous sied bien, lui dit-il, d’aspirer à une
a dit : La sotte vanité nous est particulière ; C’est proprement le
mal
français. Elle est chez nous de tous les états,
te homme ? Rousseau abuse ici d’un terme équivoque, et il feint de le
mal
comprendre, afin de l’appliquer plus mal encore.
équivoque, et il feint de le mal comprendre, afin de l’appliquer plus
mal
encore. En langage de littérature dramatique, on
ie se trouble, la jalousie le tourmente ; la Princesse a pitié de ses
maux
, & lui remet la lettre. Don Garcie feint de n
Astorgue. Ignès est au désespoir de n’être pas unie à Don Silve : ses
maux
, dit-elle, sont adoucis en le voyant passer dans
ous dans l’art de l’imitation, en voyant ce que notre Poëte a bien ou
mal
imité ; & lorsqu’il sera au-dessous de l’orig
mal imité ; & lorsqu’il sera au-dessous de l’original, un respect
mal
entendu ne nous empêchera pas de le dire, puisque
qu’Arlequin. Dans la piece italienne, la confidente de la Princesse a
mal
au doigt ; elle ne peut écrire à son amant, la Pr
e son bonheur, & d’avoir, par des éclats impérieux, récompensé si
mal
les bontés d’une tendre amante ! Voilà ce qu’on p
elle vient lui reprocher sa perfidie. Sganarelle prévoit qu’elle sera
mal
reçue : Don Juan le confirme dans cette opinion,
el offensé, les loix violées, les filles séduites, les femmes mises à
mal
, & les maris poussés à bout. Passons présente
de la Mota, digne d’être un Marquis François, joint Don Juan ; dit du
mal
de plusieurs femmes dont il a été bien traité, le
Juan, avant de mourir, a confessé n’avoir pas eu le temps de mettre à
mal
Dona Anna. Le Marquis, charmé, l’épouse. Le Duc O
rt riche, & qui le présente à sa moitié. Comme le joueur est très
mal
vêtu, la Dame le rebute. Il revient au jeu, gagne
s n’ont jamais parlé. Nous avons dit ailleurs que le second avoit été
mal
traduit. 26. Quelques Arlequins disent, en voyan
icité ? Quand bien même j’aurais pris Molière, comme Comédien ; quel
mal
aurais-je fait de l’appeler, Monsieur ? c’est un
soutenir un Théâtre Comique : et lorsqu’il y est, il se défie de lui
mal
à propos, puisque c’est après avoir plu au Roi. »
es observent point. On trouve presque toujours au spectacle les rôles
mal
distribués : des voix ingrates qui ne peuvent fou
quelques-uns en ont de rudes, quelques autres d’affectés, et souvent
mal
ménagés, faute d’étudier le sens de l’Auteur. Tou
entation de leurs Pièces ; mais aujourd’hui ces Auteurs seraient très
mal
reçus à leur donner l’esprit d’un rôle. J’ennuier
Baron lui tient trop au cœur : Comment ! il en parle plus souvent en
mal
, que je n’en ai parlé en bien ! Quelle mauvaise p
épond, à la façon antique : — « On s’accoutume ainsi à jouer avec son
mal
, et non pas à le guérir : Satisfactio morbi non l
me faisait mademoiselle Mars dans Henri III : — Henri, vous me faites
mal
! — Je ne lui dis pas cela tout à fait, car j’aur
moins touchant que mademoiselle Mars ; — Mais, lui dis-je vous prenez
mal
votre temps pour m’interrompre ! Je ne suis guère
u me chagriner par votre sortie contre Molière, je ne m’en serais pas
mal
tiré. Mais quoi ! vous me criez aux oreilles, vou
entrez ici comme la tempête, vous déclamez à outrance, vous me faites
mal
, vous me faites peur : le moyen de raconter une s
ez rare. — « Il y en a beaucoup que le trop d’esprit gâte, qui voient
mal
les choses à force de lumière, et qui même seraie
le caractere simple, qui en est la principale branche, a été bien ou
mal
traité par un autre Auteur. On va s’écrier qu’en
p; les affectations d’un pareil original figureroient, je crois, très
mal
à côté des traits mâles & vigoureux que Molie
e l’on donne la qualité de Comte, est à peine gentilhomme, & très
mal
dans ses affaires. La Marquise. Comment ! l’homme
rétends pas vous donner davantage ici la comédie. Puisque vous prenez
mal
les choses, tant pis pour vous. Renouez, renouez
y tient réellement. Je ne décide pas si la signification est bien ou
mal
déterminée. Dans le premier sens, l’Ami de Cour p
action par le Pauvre qui « prie le ciel tout le jour, et qui est bien
mal
reconnu de ses soins, dit don Juan, puisqu’il est
science D’étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le
mal
de l’action Avec la pureté de notre intention784
C’est par leurs actions qu’ils reprennent les nôtres. L’apparence du
mal
a chez eux peu d’appui, Et leur âme est portée à
n nous tous, qui dit secrètement au cœur de chacun ce qui est bien ou
mal
; lumière universelle, plus ou moins affaiblie çà
termine brusquement ses comédies. Il n’est pas vrai que le bien et le
mal
soient ainsi divinement récompensé et puni sur la
fâchés qu’un autre eût été plus loin qu’eux. Mais je tiens qu’il est
mal
, sur quoi que l’on se fonde, De fuir obstinément
pons courts à la mode. Ces différentes variations ne font ni un grand
mal
ni un grand bien à l’humanité : les yeux libertin
du côté plaisant & du côté philosophique, pour savoir adoucir les
maux
attachés à l’humanité, dérider le front des homme
’avantage que leur savoir leur donne n’est pas détruit par un étalage
mal
placé de leur érudition. Moliere les instruit de
it entrer un instant Lélie dans sa maison, que parcequ’il se trouvoit
mal
: Lélie enfin ne l’a félicité sur son bonheur, &a
ire. Sganarelle leur donne plaisamment de fort bonnes leçons80. Quel
mal
cela fait-il ? La jambe en devient-elle Plus tort
i nos femmes, sans nous, font un commerce infame, Il faut que tout le
mal
tombe sur notre dos : Elles font la sottise, &
oïne, qui blesse mortellement son jaloux sans penser faire le moindre
mal
, & le lui avoue avec l’ingénuité la plus piqu
vous maintenir ! « Il ne vous a pas fait une belle personne « Afin de
mal
user des choses qu’il vous donne ; « Et vous deve
t fait ce coup fatal, « Et c’est de leurs regards qu’est venu tout le
mal
». Hé, mon Dieu ! ma surprise est, fis-je, sans
mon Dieu ! ma surprise est, fis-je, sans seconde. Mes yeux ont-ils du
mal
pour en donner au monde ? « Oui, fit-elle, vos y
s entretenir. « Vos yeux peuvent eux seuls empêcher sa ruine, « Et du
mal
qu’ils ont fait être la médecine. » Hélas ! volo
. Vous êtes un nigaud. Arnolphe. Vous êtes un nigaud.Bon !... « Quel
mal
trouves-tu « Dans un dessein honnête & tout p
aura peine à croire. Pasquin. Que je suis malheureux de rencontrer si
mal
! Un jour, je m’en souviens, à la porte d’un bal
ît, furieux, l’épée à la main ; on le laisse seul. Moncade se trouve
mal
. Marton ne sait où donner de la tête : on se tro
de se trouve mal. Marton ne sait où donner de la tête : on se trouve
mal
là haut, on se trouve mal en bas, elle va cherche
ne sait où donner de la tête : on se trouve mal là haut, on se trouve
mal
en bas, elle va chercher des gouttes d’Angleterre
ende de voir casser son mariage, & que cette crainte redouble son
mal
. Dans la seconde, Mysis seule redoute quelque mal
frit de versifier la scene de Caritidès ; il le fit en effet, mais si
mal
qu’elle ne put servir à rien. Cependant on publio
ui me pourroient parler pour elle. Dis-m’en, je t’en conjure, tout le
mal
que tu pourras. Fais-moi de sa personne une peint
se d’Élide, représentée au mois de mai suivant, est une pièce fade et
mal
venue, retour malheureux vers le genre noble auqu
talogue des comédiens qui « vivaient bien » et de ceux qui « vivoient
mal
, » et, parmi ces derniers, il rangeoit « la femme
urs. Car si le livre est odieux, il s’en faut de beaucoup qu’il soit
mal
écrit ; il a sa valeur littéraire, et assez grand
maîtresses, une de plus passerait sans difficulté ; mais elle savait
mal
ce monde-là et son ignorance l’a trahie. Bien que
t pour sa défense me laissèrent si convaincu que mes soupçons étoient
mal
fondés, que je lui demandai pardon d’avoir été si
ui en faisait un jour le reproche, et, comme de raison, traitait fort
mal
Mlle de Brie ; elle n’avait, disait-il, ni vertu,
suites de ce brusque changement furent une aggravation rapide de son
mal
et une catastrophe foudroyante : on sait dans que
on l’examine d’un peu près ; à plus forte raison ce qu’une admiration
mal
entendue pour, Molière a fait imaginer depuis. Ma
uivre. Ses yeux, plus éclairés que ceux du Médecin, Pénetrent que mon
mal
vient d’un feu clandestin ; Et sa vive amitié tou
bien. Le trait est sans égal. Mais il n’a pas suffi pour guérir votre
mal
. Le soir... Le Marquis. Le soir...Tout succéda p
ongeois pas ; j’ai jetté l’un pour l’autre. Carlin. Ne nous voilà pas
mal
! La montre cette fois Va revoir l’horloger tout
mment se porte votre pere ; & comme vous lui dites qu’il est fort
mal
, il vous crie qu’il en est bien aise. Il vous tro
europide. Qu’est-ce qu’il y a ? Tranion. Par Hercule ! vous avez fort
mal
fait. Theuropide. Que dis-tu là ? Tranion. On ne
fait. Theuropide. Que dis-tu là ? Tranion. On ne peut pas exprimer le
mal
que vous avez commis : il est grief, atroce, irré
cun autre ressort ; quelle différence, dis-je, avec cette autre fable
mal
digérée, mal construite, où une malle, des lettre
sort ; quelle différence, dis-je, avec cette autre fable mal digérée,
mal
construite, où une malle, des lettres, une donati
Un éclat indiscret peut me faire connoître. . . . . . . . . . Ce jour
mal
condamné me blesse encore l’œil. Tirez bien les r
esque tenté de partager leur manière de voir. Ce serait un très grand
mal
si Molière n’avait toujours mis en scène des viei
Molière apprend à le faire, ce choix, en montrant le vice des unions
mal
assorties et en fondant le repos et l’honneur des
ait chez les autres. En s’égayant des malheurs qui arrivent aux époux
mal
avisés, il était dans son droit comique ; il a su
s Femmes Savantes, autant il se raille de la sottise comme d’un grand
mal
; il est loin de condamner les femmes à l’ignoran
mande c’est une instruction convenable qui sache discerner le bien du
mal
. Il veut, et plus tard nous insisterons encore là
ette fleur exotique qui se développe en un moment, et qu’un jardinier
mal
avisé a mise sous cloche, un beau jour, la fleur
vu le Misanthrope à travers de sa misanthropie personnelle, l’a fort
mal
jugé. Rousseau prétend que Molière a dégradé, avi
l’amour-propre, et empêchent un homme de compromettre, dans une union
mal
assortie, le bonheur d’une existence entière. La
les filles d’Eve possèdent depuis lors la connaissance du bien et du
mal
, il veut que la complète innocence de la mère du
par le duc de Saint-Simon ; « Un jour qu’on tenait M. de Lauzun fort
mal
, M.de Biron et sa femme, fille de Nogent, se hasa
me de ce haut protecteur, et l’on raconte qu’un jour s’y ôtant trouvé
mal
, le roi prit lui-même la peine d’aller ouvrir une
e vivaient pas dans la familiarité de la cour étaient pauvres et fort
mal
vêtus 5 le génie même de Corneille ne sauva pas d
s, il n’est que trop vrai que c’est assez d’être bel esprit pour être
mal
avec elle. Gabrillon Oh ! sur ce pied-là, il faut
z plus bel esprit qu’un autre, car il paraît qu’elle vous traite plus
mal
que pas un. J’ai bien vu des auteurs ; mais tout
vu des auteurs ; mais tout franc, je n’en ai point encore vu d’aussi
mal
reliés que vous. M. de la Protase Patience ! Gabr
et leurs veilles aux plaisirs du public, leur zèle est tous les jours
mal
reconnu par certains quidams indiscrets, qui, de
s, & se mettent à rire. Vous verrez qu’ils ont part sans doute au
mal
que l’on m’a fait. Baron, dans l’Homme à bonne
e à lui de dire des injures à ses juges. Les acteurs font encore plus
mal
en s’adressant à des personnes toujours respectab
t bas De me forcer à taire un tourment que j’endure, Pour déclarer un
mal
que je ne ressens pas. Faut-il que vos beaux ye
n que les poires que je vous envoie, puisque je rends le bien pour le
mal
; c’est-à-dire, Madame, pour m’expliquer plus int
r, si je fais bien de vous répondre. Angélique. Je sais que je fais
mal
. Dorimene, dictant. « J’ai combattu long-temps.
haque minute pourroit diminuer mon zele, & augmente à coup sûr le
mal
de Damon. Mais, Monsieur, reprenoit Lucile, que v
ue fils d’un Chirurgien, il fit dans le cours de son Decanat, tout le
mal
qu’il put à la Societé de S. Côme. Il n’en usa pa
nces qu’ils ont données ». Le Chirurgien exagere peut-être un peu les
maux
que la Comédie du Malade imaginaire a fait à la M
dans Paris. C’était la guerre de la Fronde : guerre singulière, assez
mal
observée et fort mal caractérisée par les histori
a guerre de la Fronde : guerre singulière, assez mal observée et fort
mal
caractérisée par les historiens, qui n’y ont vu q
aigne me soutenir, Je n’en puis plus. (Il fait semblant de se trouver
mal
, & s’appuie sur Philipin qui lui conte tout à
ennuyeux ? il faut, à ce qu’il me semble, proportionner le remede au
mal
. Dès le lendemain elle s’arrangea en secret avec
ice ? Allons, vous faites l’enfant. Fi ! que cette modestie vous sied
mal
! Ces Messieurs ne savent-ils pas, comme moi, que
e croyant trahi par sa femme, l’accable de reproches : elle se trouve
mal
, c’est dans l’ordre ; elle tire son mouchoir, &am
juge très sévere, produit des choses charmantes ; mais elle est très
mal
amenée, puisqu’il n’est pas vraisemblable qu’un h
effet a produit son billet amoureux. On s’imagine bien qu’il va être
mal
reçu. ACTE II. Scene VII. ANGÉLIQUE, SAINVILLE.
Piece. La plus grande partie des pieces à caractere sont foibles,
mal
remplies, & froides par conséquent, parceque
ours. Les autres semblent ne le savoir que pour amener, tant bien que
mal
, des épisodes, sans prendre la peine de les coudr
ou de deux, comme Plaute dans sa Persane, ils feroient un bien petit
mal
: mais ils ne veulent pas avouer leur foiblesse ;
ts enfin pour oser dire qu’en pensant bien, Molière écrit quelquefois
mal
, il n’y a que des tartufes pour se permettre d’in
iste des acteurs qui vivaient bien, et une liste de ceux qui vivaient
mal
. La veuve de Molière y est, mais sur la seconde,
, mais de petit jugement, si l’on veut, et d’humeur indépendante, ait
mal
supporté des froissements d’amour-propre, et les
aité avant eux, mais ils le traiteront justement parce qu’il l’a été,
mal
selon eux, en ce sens que l’on n’en a pas tiré to
il lui en coûte cher ; et, conséquemment, que le principe de tous nos
maux
, c’est de vouloir le tenter ? Comment en effet, s
religion. Est-ce le dogme ? Il n’y en a guère d’apparence. Est-ce les
maux
dont le fanatisme a été la cause dans l’histoire
it sur La Bruyère et sur Bayle : « En pensant bien, il parle souvent
mal
; il se sert des phrases les plus forcées et les
lière, tout en rendant hommage à son génie, ont jugé qu’il « écrivait
mal
» ; — ou tout au moins qu’il n’écrivait pas bien
huit vers me semble peu de chose, Et je pense qu’ici je ne ferais pas
mal
De joindre à l’épigramme, ou bien au madrigal Le
’en moque, mais il y a plaisir à le voir en user : Et enfin tout le
mal
, quoique le monde en glose. (L’École des Femmes,
mes, surtout dans la province, qui, voulant les imiter, les copiaient
mal
et devenaient ridicules : que fait Molière, il in
int de l’absence de Celio, prend son portrait, s’attendrit, se trouve
mal
, et laisse tomber la miniature ; Arlequin vient a
de la princesse Delmire, ne peut écrire à son amant, parce qu’elle a
mal
au doigt, la princesse a la complaisance de lui p
Chapelle lui offrit de faire la scène de Caritidès 27 et l’exécuta si
mal
qu’elle fut rejetée. Cependant il ne se défendait
é. — Bien propre à faire frémir quiconque voudrait risquer un mariage
mal
assorti. Le dénouement. — Très bon, à quelques l
tinuer de façon à pouvoir dire avec justesse : Je n’entends point de
mal
à tout ce que j’ai fait. Les acteurs ne voudront
à ces chaudières bouillantes Où l’on plonge, à jamais, les femmes
mal
vivantes ? Je réclame, même acte, scène ii , les
nt d’attaquer un athlète aussi vigoureux, et si l’athlète fit bien ou
mal
de se venger. Commençons par analyser La Critique
assaisonnez vos louanges de si peu de sel, que leur douceur fade fait
mal
au cœur…… ; qui voulez usurper les récompenses du
que la faim force à vous enlever votre bourse, et par une délicatesse
mal
entendue, on ne tomberait pas à bras raccourci su
oré de chagrins, et coulait ses jours dans les amertumes d’un mariage
mal
assorti. Hélas ! nous l’avions prévu. Sa femme ré
ais comment ; il fait des réprimandes à son fils, qui les reçoit très
mal
, et se mêle à une noce champêtre pour séduire la
rien de plus maussade ; convenons cependant que le Festin n’a pas été
mal
rendu ce soir. — Sganarelle m’a fait plaisir, il
enserade que les courtisans s’y trompèrent. L’académicien se défendit
mal
d’en être l’auteur, et repoussa faiblement les él
n trait bien marqué de son caractère ; qu’elle change en bien tout le
mal
que l’on redoute ; que la vertu soit récompensée,
e peut aimer les fleurs assez pour ne pas craindre qu’à la suite d’un
mal
de tête étrange à concevoir ; d’une fièvre et d’u
rincesse : « L’autorité dont jouit Ulysse le fera triompher, quelque
mal
qu’il s’exprime. Le même discours, de la part d’u
bien différent. » Voici la traduction des vers d’Ennius. « Quelque
mal
que vous parliez, vous fléchirez aisément les Gre
démie française ; la voici : Molière, en pensant bien, parle souvent
mal
, il se sert des phrases les plus forcées et les m
ime bien mieux sa prose que ses vers : par exemple, L’Avare est moins
mal
écrit que les pièces qui sont en vers. Il me para
n’ayant jamais qu’un caractère, celui d’un intrigant profond ; il est
mal
joué, si l’acteur n’en est fortement persuadé. Le
es par les courtisans, qui tous, d’une voix, répétaient tant bien que
mal
ce que le roi venait de dire de l’ouvrage. Cet ho
mes savantes ; La Comtesse d’Escarbagnas. Molière, tourmenté par le
mal
de poitrine qui l’avait forcé de se mettre au lai
’un ridicule. La scélératesse de l’hypocrisie peut faire bien plus de
mal
que les ridicules prétentions de l’esprit ; ajout
fortune pour être préparé d’avance aux événements fâcheux d’un hymen
mal
assorti ; Vadius, ne songeant qu’à l’intérêt de s
Ce fut encore à Auteuil que ses amis le réconcilièrent, tant bien que
mal
, avec sa femme, et que, toujours plus épris d’ell
oge de Molière, qui lui a valu la palme académique, a pu connaître si
mal
son maître, son héros, et publier l’anecdote dont
iliation, si sincère de son côté, qu’il sentit augmenter sa toux. Son
mal
redoubla le jour qu’on devait donner la quatrième
r les neufs heures du soir, ledit feu sieur de Molière s’étant trouvé
mal
de la maladie dont il décéda environ une heure ap
nos savantes qui, n’ayant plus à craindre l’auteur, l’a traité assez
mal
. Nous rendrons compte de cette séance académique
vocat Patelin ? Pourquoi cette histoire (il est vrai que ce livre est
mal
nommé) ne remonte pas plus haut que Molière, et e
ont bien intrigants ; aux comédiens en chair et en os ? ils sont bien
mal
avec le public. Et vous avez beau dire avec un mé
s sont bien mal avec le public. Et vous avez beau dire avec un mépris
mal
dissimulé : le public ! fi du public ! Le public
et ténébreuses qui protégiez de votre ombre salutaire, tant de héros
mal
bâtis, tant de jeunesses de cinquante ans, suif b
e dans l’illusion dramatique, combien messieurs nos comédiens ont été
mal
avisés, et que nos plus belles comédiennes ont ét
sous cette averse piquante ! Si bien que le remède était pire que le
mal
et que le magistrat, protecteur du dialogue, en é
e à profiter et à médire de Notre-Seigneur Jésus-Christ, faute d’oser
mal
parler du roi, tel entretenu des gabelles, de l’É
homme mort dans les formes) il arriva que le feuilleton traita assez
mal
M. Armand, et vous jugez de l’étonnement du défun
sonner, à admirer, à craindre, à se troubler, à pleurer, à se trouver
mal
, à partager avec des angoisses, avec des rires, a
es a montrés si ridicules, on nous les montre, plus puissants pour le
mal
que s’ils étaient Caligula, Néron, Domitien en pe
toutes sortes de génies disparus, et qu’on a remplacés tant bien que
mal
; tels furent les maîtres de Mégani. À force de l
ne lois mariés, songez-y, vous vous verrez, sans cesse, l’un l’autre,
mal
vêtus, mal peignés, mal lavés, grondeurs, grognon
iés, songez-y, vous vous verrez, sans cesse, l’un l’autre, mal vêtus,
mal
peignés, mal lavés, grondeurs, grognons, peut-êtr
, vous vous verrez, sans cesse, l’un l’autre, mal vêtus, mal peignés,
mal
lavés, grondeurs, grognons, peut-être sifflés la
adrid et je retournais à Zamora. Je me souviens même que j’étais fort
mal
dans mes affaires. — Je m’en souviens bien, répon
orts soudaines, de ces églises désertes, de ces hommes frappés par un
mal
invisible, se glisse, à votre insu, dans ces gala
roi, qui était à bout de remèdes et lassé de charlatans, reçoit assez
mal
la pauvre fille. Comment donc, lui dit-il, une si
mieux. C’est donc marché conclu. En huit jours le roi est guéri de ce
mal
incurable, et il dit à Gillette : Damigella, voi
de bienveillance paternelle pour l’artiste découragé, pour l’écrivain
mal
compris, pour le révolutionnaire convaincu, pour
français au xixe siècle ; il aime à refaire (même il le refait assez
mal
) ce qui a été fait avant lui. Certes, nous sommes
urs et d’idées a-t-on pu afficher, sur les murailles de Paris, ce mot
mal
sonnant et pis que romain : l’Eunuque ? On n’en s
l’Iphigénie, on fait passer sous nos yeux quelque horrible comparse,
mal
vêtue, qui se croit fort dégradée de faire ce mét
s de relâche, vous étiez le but de ces traits acérés, de ces cruautés
mal
déguisées, de ces satires violentes qui couraient
e Socrate, jeunes gens aux yeux caves, au visage amaigri, et des plus
mal
vêtus. Lui-même, le maître, Socrate, il est juché
e la scène est fort jolie, un peu allemande peut-être, mais où est le
mal
? Si vous aviez là sous la main, quelque bon et h
déjà aux folles et heureuses vanités de la jeunesse, cela lui faisait
mal
de revenir sur la comédie faite pour ses beaux jo
ne fois il fit pousser des cris de douleur à cet enfant incorrigible,
mal
élevé, rempli de préjugés et de malice. Molière à
viez le nôtre, brutal au dedans et brutal au dehors, incivil partout,
mal
élevé toujours ? Vous vous plaignez que le vôtre
dispense. Quand Forlis arrive chez son ami, son ami S’écrie qu’il a
mal
choisi l’heure : C’est mon ami, je vais l’embras
t-il qu’à ces traits vulgaires, à cette profusion insensée de billets
mal
séants, à ce persiflage de mauvais ton, je ne rec
a colère d’une maîtresse de maison qui paie bien ses gens, et qui est
mal
servie. Pas un mot du cœur, pas un tendre sentime
nd il continuerait à abuser toutes les Lucinde de la terre, où est le
mal
? Est-ce que je m’intéresse à cette vieille folle
rtune, ces dames feront le reste. Mais n’est-ce pas se donner bien du
mal
pour détacher Lucinde de Moncade ? Moncade ne veu
ue je voudrai. Je m’érigerai en censeur des actions d’autrui, jugerai
mal
de tout le monde, et n’aurai bonne opinion que de
2 : Ton étoffe est moelleuse. Lise. En un pareil dessein, C’est
mal
suivre Tartuffe, il n’y met qu’une main. Laurent.
inisse ? Qu’une telle action est bien digne de toi, Et que tu connais
mal
le cœur d’un si grand roi ! Ce n’est pas ici de
estime qu’il s’est acquise ; il faut tomber d’accord que s’il réussit
mal
à la comédie, il a quelque talent pour la farce ;
sablement français ; il traduit assez bien l’italien, et ne copie pas
mal
les auteurs, car il ne se pique pas d’avoir le do
aient d’abord placés. Cléante remarquait même à ce sujet « qu’il sied
mal
à ces sortes de gens de se vanter des avantages d
vons sous un règne et sommes dans un temps Où par la violence on fait
mal
ses affaires. Le changement le plus remarquable
l’auteur primitif n’a plus rien à y prétendre : ce sont des richesses
mal
employées que le public a confisquées au profit d
e science D’étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le
mal
de faction Avec la pureté de notre intention, pe
l faisait étudier avec lui le jeune Bernier, dont les parents étaient
mal
à leur aise. Au lieu même de donner à son fils na
ministre avait composé plus de cinq cents vers. Cette salle est aussi
mal
construite que la pièce pour laquelle elle fut bâ
e. Voilà pourquoi Britannicus et les Plaideurs de M. Racine furent si
mal
reçus ; voilà pourquoi l’Avare, le Misanthrope, l
au roi un plaisir extrême, quoique les ballets des intermèdes fussent
mal
inventés et mal exécutés. Paul Pellisson, homme c
r extrême, quoique les ballets des intermèdes fussent mal inventés et
mal
exécutés. Paul Pellisson, homme célèbre dans les
que quelques lignes, comme cet endroit où l’Avare, parlant (peut-être
mal
à propos) aux spectateurs, dit : Mon voleur n’es
on sent combien il est forcé, et combien les louanges du roi, quoique
mal
amenées, étaient nécessaires pour soutenir Molièr
Le jour où Molière peignit les jalousies d’Alceste, il souffrait d’un
mal
dont plusieurs souffraient avec lai, et, depuis d
n cœur faible, qui s’enflammait au vent de la prospérité et résistait
mal
à celui de la tempête; une singulière promptitude
s’arrête et délibère un instant à la croisée des routes du bien et du
mal
. Dès lors elle reparut souvent et en se marquant
justifier de cet attentat; mais pour quiconque voit d’un peu haut, le
mal
date de plus loin. Ce qui le prouve, c’est que da
éché l’indulgence pour le pécheur. Ses perpétuelles colères répondent
mal
à l’esprit de cette religion qui, par une hardies
ntiment, ou non : ni même que je veuille dire qu’ils en aient bien ou
mal
jugé, et que peut-être je l’aurais justifié, sans
nq actes : tous ceux qui l’ont vue sont demeurés d’accord qu’elle est
mal
nommée, et que c’est plutôt L’École des maris que
bonne ; mais pour vous en dire mon sentiment, c’est le sujet le plus
mal
conduit qui fut jamais, et je suis prêt de souten
endre l’action pour un moment, que de la ralentir par une observation
mal
entendue des règles ; et les moins intelligents s
était temps que le pauvre enfant sortît de sa prison, car il était si
mal
à son aise depuis cinq ou six heures, que l’épine
’estime qu’il s’est acquise. Il faut tomber d’accord que s’il réussit
mal
à la comédie, il a quelque talent pour la farce,
lle-même, je ne puis que je ne blâme une insulte si condamnable et si
mal
fondée. Tout le reste de cette Réponse est une ap
ui servent de prologue. » a. Les ballets et les intermèdes furent
mal
inventés et mal exécutés. Molière semble en conve
ologue. » a. Les ballets et les intermèdes furent mal inventés et
mal
exécutés. Molière semble en convenir dans l’avert
res dont Raisin avait formé une troupe, représentaient, tant bien que
mal
, deux petites pièces qu’ils faisaient rouler, Tri
e de pierre, ou La Statue de pierre, conviée à un repas. Ce qui a été
mal
rendu en français par l’expression du Festin de P
ecine ; la sixième, où M. Purgon vient le menacer de mille espèces de
maux
; la quatorzième, où Toinette joue le médecin, et
e, est la même que celle du Joueur de Regnard, où le Joueur se laisse
mal
mener et veut ensuite le faire dégainer. La pièce
e de la comédie. BOISSI. L’AMANT DE SA FEMME. Joli sujet,
mal
traité. L’IMPATIENT. Mauvaise pièce, où le
e ne s’arrête pas à la personne qui en est l’occasion ; ses croyances
mal
assises, incertaines et tremblantes comme lui, me
n’a pas besoin de la rhétorique du crime. Il ne fait pas non plus le
mal
pour le plaisir de le faire. Iago mérite ce repro
çoit pas le remède dont le secret est toujours caché dans la cause du
mal
. Sa médecine est une médecine de symptômes, c’est
▲