aginaire, ou de Sganarelle. Gorgibus, après avoir promis à Lélie la
main
de Célie sa fille, veut profiter de l’absence de
ganarelle revient, est jaloux à son tour de voir un portrait dans les
mains
de sa femme, & le lui enleve. Lélie arrive ;
ie arrive ; il n’est pas peu surpris de trouver son portrait dans les
mains
d’un homme. Il lui demande de qui il le tient. Sg
es de part & d’autre, la véritable histoire du portrait tombé des
mains
de Célie détruit la jalousie des deux amants &
trait. D’un autre côté Célio est fâché de voir son portrait entre les
mains
d’Arlequin ; il lui demande de qui il le tient ;
maîtresse. Scene IV. Sganarelle reste avec Célie, & lui passe la
main
sur le sein pour voir si elle respire. La femme d
alien lorsqu’il prépare la jalousie de la femme, en faisant passer la
main
de Sganarelle sur le sein de Lélie : il est au-de
cene V. La femme de Sganarelle trouve le portrait de Lélie, tombé des
mains
de Célie, & le contemple. Piece Italienne,
elle croit qu’elle baise le portrait, est furieux, le lui arrache des
mains
: sa femme le reprend, & fuit : Sganarelle co
il injurie. Célio arrive, vêtu en Pélerin, voit son portrait dans les
mains
d’un inconnu, lui demande où il a pris cette mini
où il a pris cette miniature : l’autre lui répond que c’est dans les
mains
de sa femme. Colere d’Arlequin, qui reconnoît Cél
. Sganarelle revient. Lélie est surpris de voir son portrait dans ses
mains
. Sganarelle lui dit qu’il le tient de sa femme. L
venger pas ; Mais je le serois fort de courir au trépas. (Mettant sa
main
sur sa poitrine.) Je me sens là pourtant remuer u
ler chez sa fille ; le jeune homme l’arrête : ils mettent l’épée à la
main
: on apporte des flambeaux ; le Baron reconnoît s
: Sir Charles voit avec le dernier étonnement qu’il a mis l’épée à la
main
contre son pere. Le Baron l’instruit de l’affront
ront fait par méprise ; il offre, dit-il, de le réparer en donnant la
main
à votre fille, & ne veut se nommer qu’après l
à Jacinthe sa légéreté : mais c’est à tort, puisqu’elle n’accorde sa
main
qu’afin de pouvoir poignarder son indigne époux.
lvar exécute ses ordres : Enrique indigné lui fait mettre l’épée à la
main
: Alvar le blesse, est poursuivi par trois braves
vec quatre braves & son valet Orcame, lui fait mettre l’épée à la
main
, & reçoit un coup qui le jette à terre. Ses b
la fuite ; son frere veut que le Comte mette sur-le-champ l’épée à la
main
: celui-ci lui rappelle que leur duel est fixé au
e mourra pas. Le Comte offre d’épouser Léonore : Don Pedre demande la
main
de Constance, & l’obtient. Il n’est pas néc
. . A ce bruit que j’entends, si j’en crois ma colere, Si le fer à la
main
je cours où j’ois du bruit.... On se sauve aiséme
ends pas long-temps.J’ai hâte plus que toi De te voir seul à seul aux
mains
avecque moi. Va-t’en donc. Nous allons voir les
sur le cœur. Qui que vous soyez, n’avancez pas. Le Baron, portant la
main
à la garde de son épée. Quel est donc l’insolent
ennemi mortel ? D. Carlos. Notre ennemi mortel ! D. Juan, mettant la
main
sur la garde de son épée. Oui, je suis Don Juan,
ligera pas à vouloir déguiser mon nom. D. Alonse, mettant l’épée à la
main
. Ah ! traître, il faut que tu périsses, &c...
ération empêche notre vengeance ? Tous les services que nous rend une
main
ennemie ne sont d’aucun mérite pour engager notre
bas à cette action, vous n’avez qu’à vous retirer, & laisser à ma
main
la gloire d’un tel sacrifice. D. Carlos. De grace
isser éclater sa jalousie. Il lit la moitié d’une lettre écrite de la
main
d’Elvire. Elle est conçue en ces termes : Quoiq
plus grand. . . . Je chéris tendrement ce. . . . Pour me tirer des
mains
de. . . . Son amour, ses devoirs. . . . Mais il m
mme. Je chéris tendrement ce qu’a fait Don Garcie Pour me tirer des
mains
de nos fiers ravisseurs : Son amour, ses devoirs
par ce respect soudain, Promet à votre amour & mes vœux & ma
main
. Mais prêtez bien l’oreille à ce que je vais dire
confondu : il veut périr, mais en servant la Princesse les armes à la
main
. Acte V. Dans l’entr’acte, le Prince a fait tout
re, sœur de Don Pedre, Roi d’Aragon ; il en devient épris, demande sa
main
; & ne l’obtenant pas, il l’enleve à main arm
vient épris, demande sa main ; & ne l’obtenant pas, il l’enleve à
main
armée, la conduit dans son palais, où il la trait
pond qu’elle n’a pu écrire elle-même, parcequ’elle s’est blessée à la
main
droite, en brodant ; mais que la Princesse, sensi
mire ! Arlequin s’avance, se jette sur la lettre, veut l’arracher des
mains
de Florente, & n’en enleve qu’une partie en f
uin de qui il tient la lettre. Celui-ci répond qu’elle étoit dans les
mains
de Florente & de Délia. Le Roi le chasse avec
ses un cœur qui t’adore. Ne sois point surpris si j’emploie une autre
main
. Tu reconnoîtras facilement ce caractere ; c’est
me donnoit une leçon, & c’est pourquoi vous me voyez l’épée à la
main
. N’est-il pas vrai, Seigneur ? Rodrigue. Oui, Sei
qu’à vous dire que je suis Delmire. Si je mens, ma vie est entre vos
mains
; ravissez-moi le jour, & condamnez mon nom à
à mes serments, fondés sur la vérité, je suis prête à vous donner ma
main
. Mais si vous exigez de moi une justification dan
e : si je ne vous satisfais pas, ma vie, mon honneur seront entre vos
mains
; je ne me plaindrai point. Décidez-vous sur-le-c
e plaindre d’un malheur que l’on s’est attiré soi-même. Donnez-moi la
main
. Rodrigue. Pourquoi ? Delmire. Pour marque de l’e
ton injustice, tu dois promettre non seulement de n’aspirer plus à ma
main
, mais de renoncer pour toujours à mon cœur, d’oub
pardon de sa maîtresse ; mais il ne peut vivre sans elle : il leve la
main
pour se délivrer de la vie ; Delmire l’arrête, en
eine pour elle ; & la moitié de cette lettre, en tombant dans les
mains
du Prince, réveille ses soupçons jaloux. Dans la
xion qu’il n’est pas prudent de laisser des lettres tendres entre les
mains
d’un homme, elle se détermine à faire l’aveu de v
ber sa lanterne : elle s’éteint. À ce bruit. Don Juan met l’épée à la
main
; Arlequin se couche à terre sur le dos, tient sa
chez le commandeur, père de Dona Anna. Don Juan se sauve l’épée à la
main
; le vieux commandeur le poursuit, flamberge au v
réflexions à ce sujet. Don Juan, qui se défie de lui, met l’épée à la
main
, et menace de le tuer, s’il s’avise de parler. Ar
he sur le bord de la mer. Don Juan arrive à la nage ; Rosalba tend la
main
au naufragé pour l’aider à sortir de l’eau. Debou
meçon, et s’en empare. Un des valets s’en aperçoit et l’enlève de ses
mains
. Arlequin donne un soufflet à un autre serviteur
Arlequin aux valets, que l’on m’apporte un couvert !” Il se lave les
mains
et les essuie à la nappe. Craignant de ne pas tro
t’aime ? — Fort. — Quel âge a-t-elle ?” Arlequin montre deux fois ses
mains
pour montrer quelle a vingt ans. « — Et la signer
d’épouvante et culbute Arlequin. Celui-ci prend un poulet rôti d’une
main
, un chandelier de l’autre, et va voir qui c’est.
a grandesse ; mais accepte ce que je te présente de bon cœur et d’une
main
libérale.” « Arlequin est forcé de sortir de sa r
Arlequin, épouvanté, fait la culbute en arrière, le verre plein à la
main
. « Le dernier acte se passe en partie dans le tom
lmire, étonnée, lui pardonne son audace à condition qu’il refusera la
main
de Mariane, & qu’il engagera son époux à l’ac
lques autres, le Docteur pédant. Dans le manuscrit que j’ai entre les
mains
& que nous allons extraire, on a tranché la d
surprend Silvio chez lui, crie au voleur. Silvio se sauve l’épée à la
main
; Pantalon le suit, tombe sur Brighella, éteint s
umiere, appelle Arlequin, qui sort en chemise avec une chandelle à la
main
. Il font place à Colombine, & à Brighella qui
rès, Célio arrive dans la même ville, vêtu en mendiant, un bâton à la
main
& des besaces sur ses épaules. Il rencontre A
jours. Arlequin croit lui avoir donné trop peu, & lui met dans la
main
une piece plus forte. Célio répete les mêmes lazz
ans la confusion. Il les rajusta sur lui, & l’ayant ramené par la
main
jusqu’au bout de la rue, se sépara de lui après l
re en un pareil dessein, Et je sais où porter & mes vœux & ma
main
. . . . . . . . . . . . . . . Mariane. . . . . .C
ge, & venez-çà tous deux. (Elle prend Valere & Mariane par la
main
& les ramene.) Valere, à Dorine. Mais quel es
. . . . . . . . . . . . . . . . . . Vous êtes fous tous deux. Çà, la
main
l’un & l’autre. Allons, vous. Valere, donnant
eux. Çà, la main l’un & l’autre. Allons, vous. Valere, donnant la
main
. Allons, vous.A quoi bon ma main ? Dorine, à Mar
e. Allons, vous. Valere, donnant la main. Allons, vous.A quoi bon ma
main
? Dorine, à Mariane. Allons, vous. A quoi bon ma
.A quoi bon ma main ? Dorine, à Mariane. Allons, vous. A quoi bon ma
main
?Ah çà, la vôtre. Mariane, en donnant sa main. De
ns, vous. A quoi bon ma main ?Ah çà, la vôtre. Mariane, en donnant sa
main
. De quoi sert tout cela ? Dorine. De quoi sert t
ous ne pensez. (Valere & Mariane se tiennent quelque temps par la
main
sans se regarder.) Valere, se tournant vers Maria
ur la marier. Il amene Dorante à sa campagne, lui laissant espérer la
main
de Julie : mais bientôt ses réponses ne sont plus
ant d’un ton de grandeur à Géronte : Monsieur, je vous baise bien les
mains
. Une partie du fond de cette piece, de sa morale
hacun a la sienne. Le Marquis. Oh çà, Monsieur l’Intendant, mettez la
main
sur la vôtre... puisque vous en avez une ; &
e prend à lui, & la prie de couronner son amour en lui donnant sa
main
: elle ne peut s’y déterminer tant que sa belle-s
posture, & réfléchit ensuite qu’un sang aussi vil souilleroit les
mains
de son époux. Stukéli sort en jurant de se venger
ukéli lui dit que Bates le lui achetera. Le traître a déja donné sous
main
de l’argent pour cela. Madame Béverley, après avo
r compte des biens de Henriette. Il veut lui faire mettre l’épée à la
main
: Leuson refuse de se battre avec son ami, lui di
nce contre son maître. Stukéli apprend que Béverley a mis l’épée à la
main
contre Leuson, & se promet de mettre à profit
ns sa poche : le fils s’éveille, lui tend les bras : le fer tombe des
mains
du pere. Madame Béverley paroît avec Henriette ;
sur un échafaud. Il sait que Jarvis a surpris son maître l’épée à la
main
: il projette de faire servir sa déposition à per
la porte du jardin. Tisbéa, fille d’un pêcheur, paroît une ligne à la
main
. Elle se félicite de conserver son honneur &
l promet au Duc de l’excuser auprès de son Prince, & lui offre la
main
de cette même Dona Anna, qu’il destinoit à Don Ju
mmes. Il lit la lettre, conçue en ces termes : « Mon pere a promis ma
main
sans me consulter ; je ne puis lui résister. Je n
nt délicats sur leur honneur, & semblent toujours le tenir à deux
mains
. La scene représente apparemment la chambre de la
la porte, & se laisse tomber de frayeur. Don Juan met l’épée à la
main
, & s’avance vers la porte. La Statue paroît &
i laisse tomber sa lanterne : elle s’éteint. Don Juan met l’épée à la
main
: Arlequin tient la sienne droite, après s’être c
a. On entend dans la maison un grand bruit. Don Juan fuit l’épée à la
main
: le Commandeur le poursuit : ils se battent ; le
dans un autre pays, quand il apperçoit la Statue qui le prend par la
main
& s’engloutit avec lui. Arlequin lui souhaite
des animaux bizarres : nous l’avons vu successivement passer dans les
mains
de plusieurs personnes qui, pour attirer la foule
Octave qui l’a secourue dans le temps qu’elle alloit tomber entre les
mains
des voleurs. La reconnoissance l’oblige à déclare
ander justice d’une offense : elle saisit ce prétexte pour refuser la
main
d’Octave. Isabella est au désespoir du trouble qu
rfide qui feint de la méconnoître. Elle l’oblige à mettre l’épée à la
main
: il se bat avec elle, quand le Commandeur arrive
tuer si elle ne se rend pas : elle crie. Le pere accourt l’épée à la
main
; Don Juan le tue, & prend la fuite. Desespoi
olle dans l’esprit d’Elisa, & veut fuir. Isabella met l’épée à la
main
; ils se battent de rechef. Alphonse vient avec l
e si considérable, tu t’étonneras que je me sois exposé à y mettre la
main
; mais apprends que je me connois trop pour m’êtr
t à la porte la Fleche, domestique de son fils. Il demande à voir ses
mains
; il les examine toutes les deux, & veut ensu
son pot plein d’or. Il craint qu’il ne l’ait volé ; il veut voir une
main
, deux mains, la troisieme. Il cherche dans les pl
ein d’or. Il craint qu’il ne l’ait volé ; il veut voir une main, deux
mains
, la troisieme. Il cherche dans les plis du mantea
n que je te donne ». L’Avare de Plaute demande à voir la troisieme
main
de Strobile ; celui de Moliere regarde dans les d
a troisieme main de Strobile ; celui de Moliere regarde dans les deux
mains
de la Fleche & veut ensuite voir les autres.
arpagon, ou moins forcée, parcequ’un homme n’a jamais trois ou quatre
mains
. Concluons que ces deux demandes sont sublimes &a
nt lui annoncer qu’il a trouvé la somme qu’il cherche : il le met aux
mains
avec l’usurier. Barquet. Et mon abord la va su
Moliere. Acte iv. Scene iii. Harpagon a surpris Cléante baisant la
main
de Mariane, il se doute qu’on lui préfere son fil
r l’épouser, & que tu aurois acquitté ma parole en lui donnant la
main
. Cléante, surpris, dit qu’il l’épousera par compl
amp; le Docteur sont rivaux ; ils se querellent ; ils en viennent aux
mains
: Scapin les sépare à plusieurs reprises, les pre
elme veut épouser Elise, fille d’Harpagon : trop content d’obtenir sa
main
, il ne demande point de dot. Mais Valere, qu’il r
he avide & béante pour dévorer mon or. Il présente à manger d’une
main
, & de l’autre il porte la pierre. Je ne me fi
les pauvres. Quand un favori de la fortune met, comme par caresse, sa
main
dans la vôtre, comptez que c’est pour vous nuire.
de service qui pousse sa reconnoissance jusqu’à lui faire ouvrir les
mains
. De la louange, de l’estime, de la bienveillance
t ; mais, avant que de le chasser, il le fouille, il examine ses deux
mains
, & demande à voir les autres. Euclion met à
ouille ensuite le valet d’un étranger, il l’oblige à montrer ses deux
mains
, & ensuite les autres. Harpagon fait voir
i perd tout, on lui égare tout. Il demande ses gants qu’il a dans ses
mains
; semblable à cette femme qui prenoit le temps de
de ses noces. LE DISTRAIT. Scene XII. Léandre, venant d’obtenir la
main
de Clarice. Toi, Carlin, à l’instant prépare ce q
la porte pour un pilier, & sa tasse pour le bénitier, y plonge la
main
, la porte à son front, lorsqu’il entend tout d’un
uyé sur son dos, les deux bras passés sur les épaules, & ses deux
mains
jointes & étendues qui lui prennent le nez &a
re, on lui en apporte : c’est à lui à jouer, il tient le cornet d’une
main
& un verre de l’autre ; & comme il a une
Carlin exécute ses ordres. Léandre prend la montre & le tabac des
mains
de son valet, goûte le tabac, le trouve détestabl
e monte, à qui il dit, c’est vous que je cherche ; il le prend par la
main
, le fait descendre avec lui, traverse plusieurs c
est étonné que ce soit lui, il n’a rien à lui dire, il lui quitte la
main
& tourne d’un autre côté. Souvent il vous int
z vous pour vous entretenir d’une certaine chose : il contemple votre
main
; vous avez là, dit-il, un beau rubis, est-il bal
ux Chartreux, on lui fait voir un cloître orné d’ouvrages, tous de la
main
d’un excellent peintre : le Religieux qui les exp
révoltent les personnes les moins délicates. Le Chevalier aspire à la
main
d’Isabelle & au bien de son Oncle ; il dit co
ropriétaire s’étant saisi de son locataire, le poignarda de sa propre
main
. Je crois que c’est le même hôte qui vous a vendu
étant, payez donc, puisque vous avez encore toute la somme entre les
mains
. Tranion. La conséquence n’est pas juste, Monsieu
fou dans leur esprit, & qu’ils projettent de le mettre entre les
mains
d’un Médecin2. Ils ordonnent à quatre fouetteurs
trigue produite par cette seule robe qui va, vient, circule, passe de
main
en main pendant toute la piece, anime les caracte
roduite par cette seule robe qui va, vient, circule, passe de main en
main
pendant toute la piece, anime les caracteres, fai
Chevalier doit cent louis, vient les demander à Menechme l’épée à la
main
; celui-ci les donne bonnement. Est-il naturel qu
e scene présente, en composant la scene où Pourceaugnac est entre les
mains
des Médecins ? Il y a à parier. 3. Nous avons co
arquois : je le fais asseoir auprès du feu ; je réchauffe ses petites
mains
entre les miennes, & j’essuie ses cheveux. Il
é. Il m’a paru tantôt que vous preniez bien du plaisir à me baiser la
main
: tenez, baisez-la encore... L’Amour, en colere.
vous prie, comme il est mutin ! Allons, qu’on baise tout-à-l’heure ma
main
, puisque je l’ordonne. Aglaé, donne-lui la tienne
Et toi, Cyane. Cyane. De tout mon cœur. (Elles lui font baiser leurs
mains
.) L’Amour. O Ciel ! Euphrosine, à l’Amour. Fi !
tiérement, du moins rendez-moi un bras. Euphrosine. Non. L’Amour. Une
main
. Euphrosine. Rien du tout. L’Amour. C’en est trop
s folles. Je les priai vainement de me dégager seulement un bras, une
main
, un doigt ; je faisois les plus grands efforts du
er chercher un logement. Voilà déja M. de Pourceaugnac en très bonnes
mains
. Scene VI. Eraste paroît, feint d’avoir connu M
Sbrigani chercher ses hardes pour venir bien vîte se jetter entre les
mains
de ses ennemis. Qu’en fera-t-on ? Je n’en sais ri
sfaire. Il nous tarde en effet de voir la figure qu’il fera entre les
mains
de son Esculape. Scene IX. Eraste dit à M. de P
ourceaugnac qu’il est obligé de le quitter, qu’il le laisse entre les
mains
d’un homme qui le traitera du mieux qu’il lui ser
ie de ne le traiter qu’en ami. Eraste sort, & le laisse entre les
mains
de deux Médecins. Scene X. Les deux Médecins con
urpris de tout ce qu’on lui dit ; il veut voir le Médecin l’épée à la
main
, lorsqu’une femme vient, & augmente encore so
iere. Eraste ramene de force Julie, qu’il prétend avoir retirée des
mains
de M. de Pourceaugnac. Un tel procédé touche si f
cette scène agrandie, et les vrais Dieux venant au-devant d’elle, les
mains
chargées de couronnes. Voici l’heure pourtant, où
lance d’une façon formidable, votre ami reste calme, il vous tient la
main
dans les siennes, il vous la serre, il vous regar
tions de ce parterre de dix-huit ans, ainsi applaudie par ces grandes
mains
honnêtes et vigoureuses qui sortaient de ces habi
à plus juste titre que cet empereur de Rome qui allait se tuer de ses
mains
: — Qualis artifex pereo ! quel grand artiste de
é, perdu dans la foule, attendait mademoiselle Mars, le poignard à la
main
. Que dis-je, le poignard à la main ? il s’agit bi
ademoiselle Mars, le poignard à la main. Que dis-je, le poignard à la
main
? il s’agit bien de poignard ! Il s’agit d’un gue
tière, sur une tombe profanée ; volée on ne sait par qui, par la même
main
invisible qui espérait ainsi attrister le dernier
amson paroît chargé de chaînes, & Phanor remet son sort entre les
mains
d’Achab, son rival, Samson dit à part : Pour pun
ucteur de tant de Philistins, Produira, si tu veux, une source en mes
mains
. C’est toi qui me l’offris contre ce peuple impie
désarmés : Que ma mort soit utile aux Hébreux opprimés : Anime de mes
mains
les secousses rapides, Que je puisse ébranler ces
; C’est le soutien de votre Etat, Et le foudre vengeur qu’en votre
main
terrible Les Immortels ont mis Pour vous rendr
e de s’en servir. Il voit Clotalde & veut le percer de sa propre
main
: Ulric l’arrête, & Sigismond, pour prix de c
t cet écrin où il avoit mis leurs deux portraits avec un billet de sa
main
, & quelques autres pieces de remarque : mais
s que soient mes desseins, Ou le choix de mon cœur, ou l’œuvre de mes
mains
. Je l’ai fait votre égal ; &, quoiqu’on s’en
Qui me rapportera l’anneau que je lui donne, Recevra sur-le-champ ma
main
& ma couronne. . . . . . . . . . . . . . . .
lons, ni prions, & demeurons amis. Je sais ce que la Reine en mes
mains
a remis ; J’en userai fort bien, vous n’avez rien
uoi vous voulez vous résoudre, ou venir en prison, ou donner la bonne
main
à la compagnie avec les écus qui sont restés dans
d’argent, choisis de deux choses l’une : ou recevoir sur la paume des
mains
dix coups de cette férule, ou bien, les braies ba
nte coups d’étrivières ; car de toute façon tu ne sortiras pas de nos
mains
sans faire pénitence de tes fautes. MAMFURIO. Du
et d’une. MAMFURIO. Oimè ! Jésus ! of ! CORCOVIZZO. Allons, l’autre
main
, bien ouverte. Taf ! et de deux. MAMFURIO. Of ! o
deux. MAMFURIO. Of ! of ! Jésus ! Maria ! CORCOVIZZO. Étends bien la
main
, te dis-je ; tiens la droite comme cela. Taf ! et
ner les étrivières, car je ne puis supporter une pareille douleur aux
mains
. SANGUINO. Soit, comme il vous plaît. Barra, pren
t de plumes, lui ceignit une épée, & lui ayant mis une lance à la
main
, lui dit « que la vie des femmes mariées qui voul
un petit escalier qui conduit à ma chambre ». La vieille lui prit les
mains
& les lui baisa cent fois, lui disant qu’elle
s pas dans sa chambre, armée de toutes pieces, & la lance dans la
main
, suivant les salutaires instructions de son extra
dre d’un extravagant avec une armure sur le corps & la lance à la
main
, qui prodigue des faveurs à un inconnu par instin
cate, que la vertu même approuve, & qui n’est pas couronnée de la
main
du vice. Moliere a pris encore l’idée d’une peti
oilà pour t’avoir, Georgette, un cotillon. (Ils tendent tous deux la
main
& prennent l’argent.) « Ce n’est de mes bien
ses anciens amis, s’avilit jusqu’à recevoir des coups de bâton de la
main
même de ses domestiques. Rien n’eût paru plus rév
urement qu’il est bien aisé de composer des pieces quand on a sous la
main
d’aussi bons matériaux. Ils pensent, je gage, que
jour un enfant. Le Capitan, que cette aventure déconcerte, refuse la
main
de Philis, parceque la belle lui paroît d’une hum
Par la mort ! je ferois. . . . Adieu, divin objet ; Je vous baise les
mains
. Philis. Je vous baise les mains.Capitan, faites
eu, divin objet ; Je vous baise les mains. Philis. Je vous baise les
mains
.Capitan, faites rage. Le Capitan. La prudence sie
n son pays ; Que les femmes avoient, après le mariage, Des armes à la
main
qui faisoient moins d’outrage ; Qu’elles avoient
e si, répond la femme : faisons une expérience. Elle lui couvre de sa
main
le bon œil, & lui demande s’il voit quelque c
emain, le fils du tapissier gâtait du beau velours, et se cognait les
mains
du marteau paternel. Déjà l’esprit perçait avec l
roi Louis XIV, qui était encore en sa minorité, s’écria, battant des
mains
: « Voici mon collège ! » Et le lendemain apparut
anciens et nouveaux, les passages de la comédie, empruntant de toutes
mains
, sans reproche et sans peur. Un savant éditeur de
oublieux de son chapeau, il se battait contre le Mazarin, l’épée à la
main
. La tradition veut aussi que Molière et sa troupe
es. Propre, comme je pense, à rosser les épaules ; Car il est bien en
main
, vert, noueux et massif. Déjà, Molière était le
ulies apparentes, se haussaient et se baissaient sans artifice et par
main
d’hommes, pour les allumer et pour les moucher. L
nt, M. Fouquet, superbe, intelligent, plein de grâce et d’esprit ; la
main
dans les finances de l’État, qu’il prodiguait, sa
fortune ; et, pendant que les seigneurs de la consentaient à pleines
mains
l’or prodigieux que leur hôte magnifique avait je
lles, un patois digne des halles. Le sceptre et le bâton dans la même
main
! Lui, cependant, il se complaisait également dan
teront que le roi fit déjeuner Molière à sa table, et le servit de sa
main
. C’est là une puérile invention, une anecdote tou
outer de ses tortures, cet affreux parterre se met à rire. On bat des
mains
, on applaudit ; on trouve que le comédien n’a jam
ardez comme il est pâle ! Le feu de la fièvre est dans ses yeux ! Ses
mains
tremblent et se crispent ! Ses jambes refusent to
e l’entends des plus habiles, que la comédie fût autour d’eux, à leur
main
, en eux. Quant au public, il n’avait pas été enco
aire rétablissement d’une seconde troupe de comédiens. On battait des
mains
à ces spirituelles boutades de Tircis contre les
plus observer qu’imaginer, plus trouver qu’inventer, et recevoir des
mains
de la société elle-même les originaux qu’elle off
cieuses ridicules, si elles ne nous font pas ôter tous les livres des
mains
de nos filles, elles nous font adorer dans une fe
. Dans les comédies d’intrigue, on voyait, sortant de la coulisse, la
main
du poète faisant mouvoir par un fil tous ses pers
n’y ajoutait la confusion de son rival ? Il amène donc Valère par la
main
devant Isabelle. Là est cette scène si piquante,
et déjà le mari, dans le transport de sa vanité satisfaite, donne sa
main
à baiser à Isabelle : Oui : tiens, baise ma main
comparaison, le souvenir des tendresses d’Horace. Il lui met dans la
main
une pierre, qu’elle promet de jeter au galant ; l
et va rejoindre Horace. Un dernier incident la fait retomber dans les
mains
d’Arnolphe. L’observation de la nature eût peut-ê
ous une forme plaisante. Plus d’un homme de goût, tout en battant des
mains
à L’École des Maris, demandait à Molière le Misan
n’en avons que le masque : la vie est restée sur la muraille, où une
main
légère a imprimé une pensée impérissable. Nous en
che de ridicule que Célimène leur a mise au dos. Tous reçoivent de la
main
de la coquette un coup d’éventail sur la joue, qu
chement ! Mais, en revanche, dans l’autre camp on ne se défend pas de
main
molle. Le plus modéré, le sage de la pièce, Cléan
excellent homme à la vue d’Henriette et de Clitandre se tenant par la
main
: …Ah ! les douces caresses ! (À Ariste.) Tene
éfauts ; et quand il y va de son bonheur, elle sait le défendre d’une
main
douce, mais ferme. Dans la conduite, sensée, disc
, qui veut rendre le diamant. Nenni, madame, il est en de trop belles
mains
. C’est un présent que mon père vous a fait. HARPA
emprunts. On ne pousse pas plus de cris quand on a pris le voleur la
main
dans le sac. Ils croyaient lui ôter tout ce qu’il
atomie et tout prêt à disséquer je ne sais quoi qui va tomber sous ta
main
, et voici une bonne heure que je t’étudie, et rie
faire les variations ? Je repris ma place, et tout en préludant d’une
main
indécise : — Mon Dieu ! dis-je à Henri, rien n’es
emoiselle Mars, qui est sur l’autre côté de la rive, de lui tendre sa
main
puissante ; mademoiselle Mars a pitié de l’enfant
n’a jamais été attristé de l’éclat du lustre, et le parterre bat des
mains
! Voilà cette histoire ; elle est bien simple, el
selle Mars ; une belle personne en sa fleur qui étale de son mieux sa
main
, son pied, son sourire, son doux regard, et qui c
de Meyerbeer ! Appelez seulement Liszt ou madame Pleyel à poser leurs
mains
savantes sur ces touches silencieuses, et vous en
t mot d’indignation ou de pitié ! Mais, au contraire, vous battez des
mains
à la victime, vous la couronnez de fleurs, vous l
n question était maigre et pâle ; elle avait les coudes rouges et les
mains
comme les coudes, la démarche embarrassée, et la
us les petits rôles de Molière ; peu à peu l’esprit lui vint, puis sa
main
blanchit, puis son coude et le bras se remplit, p
il le lendemain ? — Enfin il ne faut tuer personne. Plus vous avez la
main
légère et plus le public vous en saura bon gré. L
iez-vous aussi des critiques qui arrivent, la règle et le compas à la
main
, jaugeant et toisant une comédie ainsi qu’ils fer
leur aide, contre les comédiens de bois, le public étranglera de ses
mains
, tout l’Hôtel de Bourgogne, plutôt que de briser
aines ! quand son royaume lui fut enlevé, quand il n’eut plus dans sa
main
droite qu’un sceptre brisé, le roi de la sotie se
e parterre criait : Joubert ! Et Joubert arrivait les mouchettes à la
main
, son tablier autour du corps, une larme dans les
avança tout au bord de la rampe, et la corps droit, la tête haute, la
main
sur son cœur, il regardait, il regardait cette fo
du Parlement. Ses beaux cheveux étaient épars sur son beau sein, ses
mains
étaient jointes et bien posées ; elle avait à son
aient de nouveau, et cette fois, pour tout de bon ils se lavaient les
mains
dans leur joie ; les marionnettes, humiliées et d
tra cependant ses fanatiques des Cévennes. Il y eut des résistances à
main
armée, des désespoirs héroïques. Surtout un illus
conseil. Ces derniers, une fois sortis de la mêlée Godard, prirent en
main
la défense des marionnettes, leurs bien-aimées pr
. C’était un homme gros, court, réjoui, vêtu en paysan, rubicond. Les
mains
dans ses poches, il riait aux éclats ; il se déme
Que ses yeux étaient beaux alors ! que son sourire était limpide ! Sa
main
était comme une flamme qui passe ! Elle se laissa
res a glissé comme les grains d’un chapelet d’ambre et d’or entre les
mains
d’une jeune dévote priant le bon Dieu pour son am
de la vraie, une seconde jeunesse, et avec cette jeunesse de seconde
main
sont venus les rôles de la grande coquette ! Céli
je le donnais à de pauvres diables que nous trouvions en chemin, les
mains
gelées sur leur fusil. — Venez à mon aide, je sai
touchante de madame de Mailly. Elle était à l’église, à genoux et les
mains
jointes. Une bourgeoise, en passant, dit à sa cam
rir pendant que vous passiez, et pour vous rendre, sa couronne à deux
mains
, le salut de votre casquette de loutre ? Que diab
monsieur le commissaire de police de notre quartier me demandaient la
main
de notre fille Isabelle, je dirais au duc de Parm
e notre fille Isabelle, je dirais au duc de Parme : — Touchez là ; la
main
de notre fille n’est pas pour vous ! Ma fille duc
mes, les beaux vers et les grandes actions, et elle applaudissait des
mains
et du cœur. Ce que voyant, Mégani le sculpteur s’
la cour, et parmi ces jeunes gens c’est à qui offrira son cœur et sa
main
à la belle fille qui a sauvé les jours de Sa Maje
a fierté de votre regard que vous n’êtes guère disposé à donner votre
main
à une humble fille de ma sorte ? — Essayez-en, ré
à sa bonne mine, à son grand air, à sa leste façon de jeter à pleines
mains
l’argent, le courage et l’esprit. Ainsi il eut bi
des comédiens qui font rire. De Molière il répandait le sel à pleines
mains
; de Marivaux il notait et soulignait la gaieté.
coutés. — Monrose se montra de nouveau alerte et vif, l’esprit sur la
main
et dans les yeux. Jamais on ne l’avait tant appla
rai sur le bord d’un chemin Thalie assise, en pleurs, la tête dans sa
main
. — « Ô Muse, qu’as-tu donc, et quel est ce prodig
âme et le cœur de ses amis chéris. » — « Muse, rassure-toi ; sous une
main
amie Sa cuisante douleur enfin s’est endormie : A
un coup le Figaro étincelant qui jette l’ironie et l’esprit à pleines
mains
? Beau spectacle ! amusante soirée ! Vous verrez,
ieusement dans leur cadre d’or, par le double respect qui est dû à la
main
d’un ouvrier de génie, et au souvenir des ancêtre
le sel joyeux, mêlé au parfum de l’antiquité, ait été prodigué, d’une
main
plus élégante et plus libérale ? Ô la rare et exc
IV, il faudrait encore leur rendre la taille, le visage, le pied, les
mains
, la jambe, la démarche de ces beaux petits messie
la représente. Sa porte est une porte mercenaire ; qui en doute ? sa
main
nue est habituée à frapper dans toutes les mains
e ; qui en doute ? sa main nue est habituée à frapper dans toutes les
mains
; pourquoi s’en fâcher ? Et d’ailleurs la passion
qu’elle ne pouvait pas contenir ses amis. Les Athéniens battirent des
mains
à l’aspect de ce grand homme que la calomnie n’av
sé d’or, au noble manteau, la couronne sur la tête et le sceptre à la
main
, quel contraste, la comédie athénienne ! Ni choix
a mer Égée prendre un bain dans le flot obéissant ? Elle dénoue d’une
main
presque timide sa blonde chevelure, et, elle s’en
nce et par la rage, par l’ironie et par la colère ; elle tenait d’une
main
, la lanterne de Diogène pour chercher les hommes.
de Diogène pour chercher les hommes. dignes de sa rage, et de l’autre
main
le bâton de Diogène pour les frapper. Aristophane
veut la Rhétorique ! C’est alors que le Strepsiade ; — la torche à la
main
, fait une petite dispute de philosophie aux poutr
it n’est pas flatté ; mais c’est Molière lui-même qui l’a tracé de sa
main
. — Pourquoi donc, se sera dit notre nouvel auteur
bien les plus graves, les plus cruelles maladies ; elle n’y va pas de
main
morte, à coup sûr. Elle tombe, d’elle-même et san
urs plus nobles pensées, des pauvres à la porte, et qui s’en vont les
mains
pleines, l’âme consolée. M. Loewe, ainsi entouré,
déjà un habile praticien sans le savoir. Elle panse, de ses blanches
mains
, une pauvre femme qui s’est blessée au front : le
eu allemande peut-être, mais où est le mal ? Si vous aviez là sous la
main
, quelque bon et honnête roman d’Auguste Lafontain
? le docteur Loewe finit par mettre aux pieds d’Anna sa fortune et sa
main
. En véritable malade imaginaire, madame de Sturme
e contrat ; on le signe sans le lire, le docteur Loewe le signe d’une
main
ferme, Anna d’une main joyeuse, le baron de Lowem
sans le lire, le docteur Loewe le signe d’une main ferme, Anna d’une
main
joyeuse, le baron de Lowemberg d’une main trembla
’une main ferme, Anna d’une main joyeuse, le baron de Lowemberg d’une
main
tremblante. — Ô surprise ! ô bonheur ! Anna a été
ie siècle, que de pompe, que d’éclat ! Quelle gaieté jetée à pleines
mains
comme l’esprit ! Quelle profusion presque insensé
courtisans de Versailles, trahie par ses propres faiblesses, passa de
mains
en mains et d’amours en amours jusqu’au jour où s
s de Versailles, trahie par ses propres faiblesses, passa de mains en
mains
et d’amours en amours jusqu’au jour où sa maison
même jour, son cuisinier et son cocher, lesquels est parti les trois
mains
vides, et sans cette admirable casaque où il y av
e la bonne comédie, le peuple fut heureux et bien fier. Il battit des
mains
à celui-là plus encore qu’il n’avait fait à Moliè
à mesure que son amant a gagné, et ce portrait mis en gage entre les
mains
de madame La Ressource, et cette honnête commère
ici que je les entends, ces spectateurs de vingt ans, qui battent des
mains
à toutes les scènes et qui se disent : — Pardieu,
madame La Ressource du Joueur et madame Frosine de L’Avare. Elle a la
main
dans toutes les sales intrigues de la ville ; qua
si narquois et si bienveillant, que vous êtes tenté de lui tendre la
main
et de vous laisser dérober votre manteau, en plei
ons livres, les derniers amis du pauvre ; ceux-là qui vous tendent la
main
quand vous êtes seul, qui murmurent à votre oreil
s les verrez tous les uns et les autres, ces fiers esprits, tendre la
main
aux grands seigneurs qu’ils insultent, aux financ
ndez ce qu’il reproche à sa femme ? voilà notre Don Juan qui porte la
main
à son front et qui s’écrie : — Statue ! Statue !
ne sait pas son métier. D’abord son métier est de recevoir de toutes
mains
: Suzanne accepte tout, dit Beaumarchais, et de n
! vous vivrez éternellement pour moi ! vous me le promettez, et votre
main
est prête à m’en signer l’aveu ! » Cette proposi
la joie de Léonore, la stupeur de Pasquin, la moquerie de Marton ! Sa
main
est libre, et il n’arrache pas son bandeau dans u
ile nommé Éraste, en lui disant : — « Éraste, voulez-vous recevoir ma
main
? » : — À quoi cet Éraste répond avec transport.
onnes fortunes au Chevalier à la mode, il n’y a, comme on dit, que la
main
. Le Chevalier à la mode entre les œuvres de d’Anc
et pimpante, accorte et bien tournée ! et des cheveux si longs ! des
mains
si blanches ! un pied qui brûlait le pavé sans le
ue c’était sa muse qui passait ; il la suivit, tenant son cœur à deux
mains
: Tout beau, mon cœur ! Justement la belle fille,
lle s’arrêta à la porte du jeune homme. Lui, alors, il la prit par la
main
, et les voilà courant, tout d’une haleine, dans l
ne pense qu’à se faire des rôles, un inventeur qui prenait de toutes
mains
, à ce point que le P. Lame a traduit, sous le nom
cocher et un gros barbet ; d’où il suit que la baronne n’y va pas de
main
morte ; en revanche, elle tient fort à son cher c
soi appartenant, elle le dispute à madame Patin, et même l’épée à la
main
. En même temps, notre chevalier, qui a rencontré
la comtesse en dit autant. — Ces deux femmes vont nous crever dans la
main
, dit le baron. L’instant d’après entre un marquis
is, il bat Pasquin ; celui-ci veut parler, son maître met l’épée à la
main
pour le tuer. Damis arrête Moncade, lui représen
Moncade : il a pincé sa fille, il l’a égratignée, il lui a pressé la
main
avec son coude. La Comtesse saisit ce moment pour
trait seroit bonne, si la miniature parvenoit naturellement entre les
mains
de Mariane, si la Comtesse pouvoit avec vraisembl
e persuade à Moncade qu’il est trahi, lui conseille en lui offrant sa
main
, d’oublier une ingrate. Moncade lui déclare qu’il
lui promet de l’aimer toujours. Moncade paroît, furieux, l’épée à la
main
; on le laisse seul. Moncade se trouve mal. Mar
grace, Si vous ne vous servez de ce dernier moment Pour prendre de ma
main
ma fille aveuglément. Mais si vous me forcez à vo
les que moi de l’entreprendre : n’ayant pu les persuader, j’ai mis la
main
à l’œuvre, & je ne crois pas avoir lieu de m’
ends que cela me meneroit trop loin. Cet excellent Poëte est dans les
mains
de tout le monde ; il sera fort aisé de connoître
riage qui les alarme. Charinus va faire agir ses amis pour obtenir la
main
de Philumene. L’ANDRIENNE FRANÇOISE. Exactement t
NE LATINE, Scene V. Pamphile dit à son pere qu’il peut disposer de sa
main
. Le vieillard est surpris. Dave triomphe. Byrrhia
oie, Pamphile le conduit vers Chrémès pour solliciter en sa faveur la
main
de Philumene. Dave exhorte les spectateurs à ne p
st pas tout : Scapin, non content d’avoir arraché cinq cents écus des
mains
de Géronte, lui fait croire qu’on le cherche pour
Argentine. Scapin, son rival, vient, entend du bruit, met l’épée à la
main
. Arlequin, armé de sa batte, se promene à grands
ment : votre fils, à la vérité, n’est pas mort, mais il est entre les
mains
des Turcs. Granger. Entre les mains des Turcs ! S
t pas mort, mais il est entre les mains des Turcs. Granger. Entre les
mains
des Turcs ! Soutiens-moi, je suis mort ! Corbinel
pardevant Notaire, que le premier des leurs qui me tombera entre les
mains
, je le leur renverrai pour rien. Ah ! que diable,
our obliger le pere à financer, on lui dit que son fils est entre les
mains
des Turcs, & qu’ils vont le mener à Alger, s’
urc de bonne mine nous a invités d’y entrer, & nous a présenté la
main
. Nous y avons passé. Il nous a fait mille civilit
clef du coffre ; il croit qu’on va lui permettre de puiser à pleines
mains
, il jouit quelque temps de ce plaisir : point du
i faite. Je vous recommande Phanion, & je remets ma vie entre vos
mains
. . . . . . . . . . . . LES FOURBERIES DE SCAPIN.
rlez franchement ; dites ce que vous voulez que l’on vous donne de la
main
à la main, pour faire que mon maître n’entende pl
hement ; dites ce que vous voulez que l’on vous donne de la main à la
main
, pour faire que mon maître n’entende plus parler
’or. Les deux vieillards ont chacun un fils qu’ils laissent entre les
mains
de Géta, esclave de Démiphon. Le nouveau Gouverne
tiphon & l’épouser, à condition qu’on lui donnera une somme de la
main
à la main. D’abord il a demandé, ajoute-t-il, une
p; l’épouser, à condition qu’on lui donnera une somme de la main à la
main
. D’abord il a demandé, ajoute-t-il, une somme exo
inte. Perfide ! je me veux venger de ton forfait. J’ai ta promesse en
main
; voilà ta signature : Je puis, par ce témoin, co
III. Scene III. Hector tient parole ; il porte un mémoire écrit à la
main
, qu’il lit très couramment & très distincteme
me Hector qui a fait un mémoire, qui a fort bien lu une écriture à la
main
, ne sait plus lire un livre imprimé : il le dit l
re en votre chagrin ? Valere. Celui qui te viendra le premier sous la
main
, Il m’importe peu ; prends dans ma bibliotheque.
vous faire voir. Si c’est votre dessein d’approuver l’alliance, Votre
main
peut aussi m’en signer l’assurance. Sinon, faites
. . . . . . . . . . . . Si Moliere eut le bonheur de trouver sous sa
main
un Limousin assez original pour fournir au plaisa
ui donne la bague : le Chevalier d’industrie la met ensuite entre les
mains
d’un autre frippon, qui paroît en habit de Médeci
ir sa parole. Il appelle un Apothicaire, qui paroît une seringue à la
main
, & veut absolument donner des clysteres à Gui
steres à Guillot. Dans Moliere, Eraste remet Pourceaugnac entre les
mains
de deux véritables Médecins ; il ajoute par-là un
nous paraîtrait malséant de descendre à ces détails de nouvelles à la
main
. Nous nous contentons de savoir, de ces choses-là
te domination, s’arrêtent, le bonnet, le chapeau, ou la couronne à la
main
, devant l’opinion d’une douzaine de consciences q
faite, en casquette, en blouse, la pipe à la bouche et le bâton à la
main
! Ingrats que nous étions, et sans pitié, de nous
os grands hommes, autant de marionnettes dont le fil est tenu par des
mains
déliées et cachées ; héros, tant qu’ils obéissent
t consolantes paroles ! Il n’est pas un de nous qui, trouvant sous sa
main
, sous ses yeux, un recueil de portraits d’autrefo
au milieu de l’applaudissement universel, et quand chacun lui bat des
mains
, qu’il faut mettre à la retraite cette femme ; qu
, le désordre à mes cheveux, le poison à mes lèvres, le poignard à ma
main
! « Ingrats qui me reprochez d’être restée, jusqu
me reprochez-vous encore, ô blasés que vous êtes ? D’avoir tendu une
main
secourable à tous les petits beaux-esprits qui on
d’élégance et d’abandon. — L’un qui soutenait mademoiselle Mars d’une
main
si ferme, l’autre qu’elle-même elle soutenait, en
e regard vif et perçant, la voix fraîche et pure, la taille jeune, la
main
d’une femme comme-il-faut. — Me voilà ! nous dis
eux ont été simples, touchants, sérieux ; elle tenait son cœur à deux
mains
, et elle aussi elle aurait pu dire comme cette hé
p, voilà la jeune femme qui se prosterne vivement, qui s’empare de la
main
de mademoiselle Mars avec des sanglots et des lar
u, s’était retourné contre la muraille, et il tenait sa tête dans ses
mains
; ses épais cheveux, mal en ordre, retombaient su
dans ses mains ; ses épais cheveux, mal en ordre, retombaient sur ses
mains
, et il pleurait. Le critique lui-même, un critiqu
Et quoi de triomphant, dans ce style muqueux, morose et glaçant d’une
main
lourde et dolente ? La vie où est-elle, dans ces
te quittance, cruelle à signer, et mademoiselle Mars la signait d’une
main
ferme. Il y a bien de l’héroïsme caché dans ces â
es également contrastants, sont exactement de la même force entre les
mains
d’un habile homme ; qu’étant de la même force, il
aitement contrastants, je crois voir deux maîtres d’armes l’épée à la
main
: les coups qu’ils se portent mutuellement sont t
éroïne emploie l’argent que le héros lui donne, à faire emplette sous
main
des terres que vend ce dernier. Elle tâche de ram
ence ! Barbare ! ingrate ! Eh bien ! me voilà ruiné ! De votre propre
main
je suis assassiné ! Vous triomphez ! Julie. Vous
Et vous n’estimez rien à l’égal de vous-même : Vous vous raillez sous
main
de vos meilleurs amis, Quoique toujours près d’eu
pécieux, Mon coffre le renferme, & je l’ai sous mes yeux, Sous ma
main
; & par-là l’avarice qu’on blâme, Est le plai
Philosophe, il a pressenti le scepticisme moderne. Pendant que d’une
main
il foudroyait l’athéisme, de l’autre il faisait p
rsqu’il voudra retirer, selon le droit des amants, la jeune Agnès des
mains
de son jaloux. Les vieillards de Molière, dupes d
que Molière est déjà sur son terrain ; il tient la comédie entre ses
mains
. Le style du Dépit amoureux vaut mieux que le sty
re, a tout à fait disparu. On dirait que les auteurs qui ont porté la
main
sur cette œuvre ont été pris d’un ardent amour na
fait pleinement jour dans cette pièce ; elle s’y étale largement. La
main
qui a tracé les scènes du joueur de piquet et du
dans la personne de son grand-veneur, le marquis de Soyecourt, cette
main
-là était initiée à tous les secrets de son art. N
e d’une accolade, il serre violemment la tête du poète entre ses deux
mains
, et ce furieux la frotte contre les boutons de so
moins belle maladie assurément. Molière, après avoir versé à pleines
mains
le ridicule sur ses antagonistes, arrive à une ré
u de l’Hôtel de Condé. C’est une plate rapsodie. Nous avons entre les
mains
cette prétendue pièce, dont la scène se passe au
té qu’il avance, Plus pleine de lauriers qu’un jambon de Mayence; Les
mains
sur les côtés, d’un air peu négligé, La tête sur
isonnable ne craindra jamais de mettre les œuvres de Molière dans les
mains
de ses enfants. Le mariage forcé était primitivem
e façon que Molière dépeint la princesse d’Élide : Et qu’un arc à la
main
, sur l’épaule un carquois, Comme une autre Diane
: n’est-il pas entouré de gens qui mettent à tout propos l’épée à la
main
? Il faut bien qu’il fasse comme les autres. Il s
affaires de l’état. Que pouvait donc faire le poète, ayant ainsi les
mains
liées ? ce qu’il a fait : arriver à la réforme so
oit qu’elle est près de tomber dans le vice de la galanterie, que, la
main
crispée sur un cœur trop crédule, il en arrache s
son père, et soupire des paroles, extrêmement tendres, en tenant à la
main
un papier sur lequel il n’y a que de la musique é
ne se contentera pas d’effleurer la surface de nos mœurs, et dont la
main
fouillera cette mine d’or, pour ainsi dire inexpl
prouve. Tant de grâce et d’élégance ont peur d’être froissées par des
mains
si rudes. Et puis, comme elle a honte de son subt
bon alors s’exprimer méchamment sur leur compte. On était redressé de
main
de maître. Les trouvères et les troubadours chant
Toutes les couleurs étrangères se sont admirablement fondues sous sa
main
. L’Aululaire, de Plaute, est, à n’en point douter
eaucoup de choses de détail ; l’avare qui demande à voir la troisième
main
de son valet, est un trait d’Euclion. Ce caractèr
e les oisons de l’espèce de M. Jourdain, qui leur tombaient entre les
mains
. Le Bourgeois gentilhomme, qu’on a considéré comm
ille. On sait que la déclaration que l’amour fait à Psyché, est de la
main
de l’auteur de Rodogune et de Cinna; on a déjà ci
ui-même sa fille à Clitandre, il dit à ce dernier: Allons, prenez sa
main
et passez devant nous ; Menez-la dans sa chambre
y de Champvalon aurait été à tout jamais ignoré. Pour avoir porté une
main
injurieuse sur les restes de Molière, il s’est tr
st chargé de ce portrait dans sa pièce de Turcaret, et il l’a fait de
main
de maître. Ces gens d’affaires placés entre le ro
pons que leurs maîtres. Ils ont l’esprit subtil, la réplique vive, la
main
ouverte pour recevoir, et très souvent prompte à
toutes les bibliothèques. Le premier personnage qui tombe sous notre
main
est un poète envieux du succès des autres, comme
reproduisait sous toutes ses faces. Il est un monde qu’il a peint de
main
de maître, et dont nous n’avons pas encore parlé.
point laissé de confidences et chacun sait qu’il ne nous reste de sa
main
que six lignes, qui sont une quittance. Il est do
nt ils passent orner leurs comptes rendus ; et Prévost-Paradol mit la
main
par fortune sur un recueil du XVIII siècle, qui e
croit M. Fournier, de quelque lettre originale tombée par hasard aux
mains
du libelliste, cette conversation, comment se ter
, lui fut tutélaire et maternelle. C’est elle qui lui mit la balle en
main
. Femme de tête (elle était fille d’huissier), éco
Molière était autrement grand que cela ! Quand il avait la plume à la
main
, il obéissait à son génie et non à ses passions.
a bile, rafraîchit le sang, dilate et fortifie, et met le cœur sur la
main
. Ainsi, Alceste n’est pas Molière ; celui qui a d
enier les autres, point du tout : Pourquoi désavouer un billet de ma
main
? ALCESTE, qui se déconcerte et suffoque : Et vou
ela signifie ? Extravagant, lui ? Est-ce qu’il n’a pas ce billet à la
main
? Est-ce qu’il ne sait pas lire ? Est-ce que ce b
l n’ose avouer que lui, le galant homme, il a accepté ce billet de la
main
d’une femme, d’une rivale, d’une Arsinoé, qui lui
ne fait qu’une demi-réponse — Qui me l’a dit ? Les gens qui dans mes
mains
l’ont remise aujourd’hui Mais je veux consentir q
tout exterminer, n’a encore rien tué, et, avec une telle preuve à la
main
, réclame encore des explications, quelque ton qu’
r, ne demande qu’à être convaincu. Célimène sent la victoire dans ses
mains
, et elle se prépare à en abuser. Plus Alceste l’a
le. Rendez-moi, s’il se peut, ce billet innocent ; À vous prêter les
mains
ma tendresse consent… Il fermera les yeux sur Or
e j’eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des
mains
de mon amour ! Admirable profession de foi et qu
l a reçu une lettre de son père qui l’invite à demander à Beltrame la
main
de sa fille ; il s’y résoudrait peut-être s’il n’
instruit de ce nouvel incident, s’empresse de demander à Beltrame la
main
de Lavinia. Scapin ne se décourage pas. Il imagin
latin venait, en effet, de perdre ses États. Fulvio, en le voyant aux
mains
des sbires, se porte garant du capitaine. Quand i
s l’empire de la même crainte, nie son amour ; il hésite à toucher la
main
de Celia qu’on lui donne et tourne toujours les y
erve, & qu’il ne veut pas la faire passer avec son bien entre les
mains
d’un étranger. On a beau le prier, lui faire parl
& qu’elle restera fille jusqu’à ce qu’elle puisse disposer de sa
main
par elle-même. Il triomphe : mais Dupont le pere
promesses des Seigneurs, ne compte que sur le travail de tes propres
mains
: n’espere jamais que ce que tu pourras te procur
e le Milord altier qui se quarre avec sa Jarretiere. III. Quoique ses
mains
soient si sales qu’elles ne sont pas faites pour
lui ne sont guere plus propres que les siennes. L’or qui poisse leurs
mains
, s’attache comme le miel aux doigts de ceux qui l
mauvaises, n’est inquiet que pour Sully qui va s’alarmer : il met la
main
sur la garde de son épée, parcequ’il entend un co
n’y font les soupirs. Celui-là parle une langue barbare, Qui l’or en
main
n’explique ses desirs. Le jeu, la jupe & l’am
ie le jour de son mariage, à condition qu’elle prendra un époux de sa
main
. Le caractere intéressé de Madame Gasparin paroît
... Pancrace. Toto cœlo, totâ viâ aberras. Sganarelle. Je baise les
mains
à Monsieur le Docteur. Pancrace. Serviteur. Sgana
os pensées. (Sganarelle impatienté ferme la bouche du Docteur avec sa
main
à plusieurs reprises, & le Docteur continue d
s, & le Docteur continue de parler, d’abord que Sganarelle ôte sa
main
.) Mais ces portraits different des autres portrai
piece, Sganarelle est impatienté par le Philosophe, il ferme avec sa
main
la bouche du Philosophe, il pousse le Philosophe
nstamment écrit, Sganarelle, impatienté par le Docteur, ferme avec sa
main
la bouche du Docteur ; il pousse le Docteur dans
re elle et son mari, à l’occasion du portrait que ce dernier a vu aux
mains
de la comédienne Vittoria, Isabelle, soupçonnant
teur Gratiano, mari de Flaminia, voyant Arlequin qui, une lettre à la
main
, contemple la fenêtre de sa femme, conçoit des so
e honorable. Oratio, furieux, répond qu’il en a menti. Ils mettent la
main
à leur épée. Cependant, le capitaine demande à Or
applique un soufflet à Flavio et rentre chez elle. Flavio, mettant la
main
à sa joue, part sans dire un mot. Vittoria éclate
et je vous jure, foi de cavalier, que si je ne pouvais obtenir votre
main
, je renoncerais à toute autre au monde. SILVIA. V
e Don Maurice son frere. Alors elle prie Carlos de mettre l’épée à la
main
& de sortir d’un air furieux. Maurice est sur
on amie ; mais, hélas ! c’est inutilement, son pere va disposer de sa
main
. Don Garcie fléchit une suivante, & s’introdu
or, il est jaloux ; cependant il la trouve trop belle pour refuser sa
main
. Il reçoit une lettre par laquelle il apprend que
ue Don Juan ayant appris la mort de son pere, revient une bougie à la
main
. Don André & Don Garcie prétendent tous deux
ente amenées sans art auroient été ridicules ; mais préparées par une
main
habile, qu’elles pourroient jetter de naturel &am
rterre. Damis. Et l’argent ? Merlin, à Dorante. Et l’argent ?Par vos
mains
cet argent a passé ; Rendez-en compte, allons. Do
s du défunt, à sa garde commis, Seront, quand vous voudrez, entre vos
mains
remis. Dorante. A cet heureux projet je n’osois p
e Tartufe, grands Dieux ! la piece qui doit faire tomber la plume des
mains
, si l’on réfléchit aux beautés réunies & inim
SMARTINS, LISETTE, MERLIN. Merlin, déguisé en grisette. Au secours !
main
forte ! à l’aide ! à l’injustice ! Damis. Quel no
vous-même : Vous le pourrez trouver fort aisément : Le poirier est à
main
gauche en entrant. Mais il vous faut user de stra
rdin. Lisette, en approchant de l’Olive qu’elle ne voit pas, étend la
main
& le prend par le collet ; dans le même temps
p; le prend par le collet ; dans le même temps Angélique rencontre la
main
de Dorante, qu’elle retient. . . . . . . . . . .
nces, La Grammaire, qui sait régenter jusqu’aux Rois, Et les fait, la
main
haute, obéir à ses loix49. Mais elle gardera de
er un repas, Harpagon contraint à laisser un diamant de prix dans les
mains
de sa maîtresse, ne se trouve-t-il pas, sur-tout
ne, qui veut rendre le diamant. Non, Madame, il est en de trop belles
mains
. C’est un présent que mon pere vous fait. Harpago
-on qu’Harpagon, contraint par son fils à laisser un diamant dans les
mains
de sa maîtresse, ne présente pas la situation où
te veut lui donner de l’argent, il feint de le refuser, & tend la
main
par derriere pour le recevoir. Léandre prie Sgana
ut lui donner de l’argent ; il dit qu’il n’en veut pas, & tend la
main
par derriere. Pendant ce temps-là Octave enleve E
t qu’Arlequin & Crispin : il lui doit aussi le lazzi de tendre la
main
derriere le dos pour recevoir de l’argent, &
ne prétends point vous voler votre fille, & ce n’est que de votre
main
que je veux la recevoir. Ce que je vous dirai, Mo
Arlequin. La sœur cadette paroît, surprend son aînée un portrait à la
main
, & comme elle aime aussi Celio en secret, ell
e de Pantalon reconnoît le portrait de ce qu’elle aime, l’arrache des
mains
d’Arlequin, & sort en le couvrant de baisers.
ultantes. Argentine y dit que, fâchée de ne pas tenir le portrait des
mains
de l’original, elle le renvoie ; Scapin lit qu’on
un congé définitif à cette folle du logis ; elle nous a ouvert, de sa
main
complaisante, les longues avenues qui nous devaie
Bientôt, une heure arrive, une heure suprême, le violon échappe à ces
mains
débiles, le souffle manque à cette poitrine en fe
point fou, ne va jamais jusqu’à vouloir regarder a dans la troisième
main
de l’homme qu’il soupçonne de l’avoir volé. « Un
uple, a dit Boileau, et tant que le peuple ne lui avait pas battu des
mains
et ne l’avait pas salué de son gros éclat de rire
e dire son opinion sur la comédie : il trouve le père Caffaro sous sa
main
, et il s’en sert. Jamais théatin plus naïf n’a ét
aro ? Il faut que vous sachiez aussi, mon père, que Molière a pris en
main
la défense des passions, et qu’il veut nous faire
ne si franche lippée, c’étaient choses merveilleuses à lui exercer la
main
. Ainsi commença la popularité de Molière, on ne p
l est beau, sans doute, d’être entouré d’ennemis ; de jeter à pleines
mains
, le sarcasme et le ridicule autour de soi ; de fl
e bonne humeur si gaie et si charmante que Molière a jetée, à pleines
mains
, dans cette comédie en trois actes, il n’y a pas,
outer de ses tortures, cet affreux parterre se met à rire. On bat des
mains
, on applaudit, on trouve que Molière n’a jamais m
ardez comme il est pâle ! Le feu de la fièvre est dans ses yeux ! Ses
mains
tremblent et se crispent ! Ses jambes refusent to
aute d’un poète moderne à censurer, la critique aura toujours sous la
main
, quelque grand poète à admirer. Je suppose que, p
meil d’Homère, à plus forte raison il lui est permis de se brûler les
mains
(elles n’ont pas de manchettes) pour tirer du néa
ique, l’esprit qui se jette en plein air, le rire qui se tient à deux
mains
pour ne pas éclater ; cette comédie sent le bon p
et Madelon ; c’est du bel et bon drap que vous pouvez tâter à pleines
mains
et qui vient directement de la rue Saint-Denis ;
cette étude et dans ce respect ! Chacun de ces rôles est tracé de la
main
du maître, et chaque rôle a son prix ; donc pas d
si correctes et si peu compliquées, toi-même, toi qui as brisé de tes
mains
, comme un théâtre en retard, le théâtre de la Por
’y donne, rien n’avance. Le jeune Adraste en fait plus, en un tour de
main
, que Figaro avec ses sternutatoires, ses coups de
le devait prendre, ce misanthrope, obligé de vivre du travail de ses
mains
, comparé à cet heureux Misanthrope de Molière, es
an-Jacques ! Et moi, poursuivi, décrété, brûlé dans mes œuvres par la
main
du bourreau ! Moi qui ai renoncé à la société des
s amis ; mais il ne voit pas la nécessité de repousser brutalement la
main
qui vous est tendue, de répondre à une politesse
tes laide, vous êtes mal faite, votre voix est aussi rauque que votre
main
est rouge, si, au bout du compte, il n’y a pas qu
elle lui souriait d’un sourire moins perfide, si elle lui tendait une
main
plus tendre, si son regard était moins doux pour
l’amie fidèle, dévouée, discrète, intelligente du pauvre Alceste, la
main
cachée et modeste qui essuyait ses grosses larmes
urs domaines, tout éperonnés, le chapeau sur la tête et le fouet à la
main
, comme le jeune roi Louis XIV entrant au Parlemen
ntrait tout vivants ces mêmes personnages qu’il avait esquissés d’une
main
si délicate et si hardie dans L’Impromptu de Vers
toutes ; déjà, pour lui, mademoiselle de Montpensier avait refusé la
main
du roi de Portugal, et n’est-ce pas merveilleux,
mour, ils liront avec joie le terrible portrait de la prude, tracé de
main
de maître. Avec un cœur aimant, Molière a dû se d
une aventure qui est arrivée à Molière. Lui aussi, il a tenu dans ses
mains
les preuves de sa misère ; lui aussi, il n’a pas
rmante femme ! Et comme on frémit de dégoût et d’impatience, quand la
main
de ce misérable effleure seulement cette blanche
et suffisamment garnie ; leur regard est vif encore ; agile est leur
main
blanche et veinée, où se verrait encore la trace
petite voix criarde, de mon petit regard agaçant ; ils ont battu des
mains
; sois donc tranquille, puisqu’ils m’ont prise po
an et le provençal du xviie siècle l’offraient à Molière de première
main
: Enganarello (trompeur) est enregistré tout vif
x n’aurait eu qu’à ouvrir les yeux pour voir Molière, qu’à étendre la
main
pour effleurer et serrer la main de Molière ! — A
De sorte qu’à côté de mon aïeul paternel qui n’avait qu’à étendre sa
main
pour effleurer ou serrer celle de Molière, il y a
l y avait, là aussi, un autre aïeul à moi qui ouvrait positivement la
main
pour que Molière fut mieux fêté ! Un Moliériste p
; sort en soupirant. Milfort annonce à Belton qu’Arabelle accepte sa
main
avec transport : Belton est au désespoir d’abando
a place : il lui donne cinquante mille écus de dot. Belton conduit la
main
de Belti qui ne sait pas signer : elle s’écrie :
tre son argent à mon retour. Mon ami, me dit-il, en me prenant par la
main
, j’ignorois que tu pusses me les rendre. J’ai cru
; que c’étoit un malheur de fortune qui l’avoit fait tomber entre les
mains
des Chrétiens, il fut pressé d’une maniere tendre
te expression ; il n’en croyoit pas ses yeux ; il leva vingt fois les
mains
au ciel pour attester son Prophete & tout ce
oles. Allons, mes enfants, réjouissez-vous d’être tombés en si bonnes
mains
, & baillez-moi ici un petit plat de votre mét
favorise sa passion : tous deux veulent enlever la belle esclave des
mains
de Trufaldin. Voilà donc l’intrigant & le per
i : ce petit prélude vous mettra en humeur. Faut-il vous tenir par la
main
, ou si vous avez quelque principe ? M. Grichard,
t cette honnête proposition déguisé en Sergent & le pistolet à la
main
. Il est clair qu’en employant de telles fourberie
u répliquer. Si la pupille fût venue, comme l’Olive, un pistolet à la
main
, forcer son tuteur à faire son message, l’intriga
é des courses & des fêtes magnifiques dans l’espoir de mériter la
main
de la Princesse ; mais elle déclare à son pere qu
ue la Princesse croit l’avoir vaincu : elle est satisfaite, retire sa
main
que le Prince tenoit, & le traite avec la plu
ait consentir les trois Princes à suivre ses volontés, & donne sa
main
à celui qui a su vaincre ses dédains par le dédai
rêt de mourir pour vous en venger ; vous n’avez qu’à parler, & ma
main
sur-le-champ fera gloire d’exécuter l’arrêt que v
t un ballet au son des cors réunis avec les violons. L’Amour prend la
main
de Lélio & la met dans celle de Flaminia. Les
ne conquête lui échappe ; elle retourne à Dorante, & lui donne sa
main
. Coypel, en imitant la Princesse d’Elide, n’en
e. C’est là l’unique étude où je veux m’attacher. Que, l’astrolabe en
main
, un autre aille chercher Si le soleil est fixe, o
terni ? C’est que sur le calcul, dit-on, de Cassini, Un astrolabe en
main
, elle a, dans sa gouttière, À suivre Jupiter pass
Qui, rendu plus fameux par tes illustres veilles, Vit naître sous ta
main
ces pompeuses merveilles ? Il termine en honniss
rec et du latin, Dans la balance met Aristote et Cottin ; Puis, d’une
main
encor plus fine et plus habile, Pèse sans passion
ombien de gens prêtèrent toujours celui des deux qu’ils tiennent à sa
main
! Au fond, madame de Sévigné était née pour aimer
e den sentir la justesse ; Racine et Boileau eux-mêmes, en mettant la
main
sur la conscience, n’auraient pu la trouver injus
moment qu’on lui livre Turqueta, & qu’il va la remettre entre les
mains
de Scapin, Gélio vient, par ses plaintes, s’oppos
ément à l’homme qu’il doit le plus craindre, qui lui laisse entre les
mains
de quoi le tromper, & qui va ensuite à la cam
dans le panneau l’un & l’autre vieillard ; Que mon soin par leurs
mains
ne veut avoir Célie Qu’à dessein de la mettre au
it que c’est celle de son habit. Enfin Lidame saisit l’Etourdi par la
main
, qui, sans contrefaire sa voix, s’écrie, je suis
i faisant des excuses de ce que cette lettre n’étoit pas écrite de sa
main
. Avec cette lettre il arrive à Chartres ; il la p
geur fameux. Il a confondu un autre faux voyageur qui prétendoit à la
main
de Julie. Géronte vient sur la scene remercier Da
e qu’il n’aime point Rosalie, qu’il épouse son bien, qu’elle donne sa
main
de très mauvaise grace, mais qu’il s’en moque. On
t, on démasque le héros en montrant des horreurs écrites de sa propre
main
contre la personne qui faisoit tout pour lui, &am
. Entre nous, cependant c’est son meilleur ouvrage. Le crois-tu de sa
main
? Valere. Le crois-tu de sa main ?Bon ! tu veux
meilleur ouvrage. Le crois-tu de sa main ? Valere. Le crois-tu de sa
main
?Bon ! tu veux plaisanter. Dortidius, toujours sé
ion de Jésus-Christ : c’est « le plus beau livre qui soit sorti de la
main
des hommes, » on veut bien le croire, mais on l’a
hef-d’œuvre renforcé. — Mais comment ces deux poètes y ont-ils mis la
main
? En 1671, trois ans après la paix d’Aix-la-Chape
nier si bien qu’on reconnaît à peine le moment où l’ouvrage passe des
mains
de Molière dans les siennes : en ce point, « barb
iques, c’est de s’en donner le spectacle dans un fauteuil. Etendez la
main
vers ces admirables éditions que publie la maison
’y attirerais volontiers quelques voisins, je leur mettrais entre les
mains
l’Art de dire, de M. Leloir3, je les prierais de
ièce où Molière ait daigné mettre de l’esprit. Il en a jeté à pleines
mains
; l’esprit, celui qu’on aime tant de nos jours, l
nt ils se sont tenus bien loin. Et la salle tout entière a battu des
mains
en riant. Vous vous rappelez, dans Le Dépit amour
qui sont invinciblement liées des images répugnantes, fait tomber des
mains
des femmes nombre de vieilles pièces de vers qui
urs d’Orilly et du Barci, gentilshommes campagnards, prétendants à la
main
de Marthe et de Nina, dans l’intimité Ninoche et
pour laisser briller les autres, s’effacer lui-même ou leur prêter la
main
. J’y ai vu Delaunay, qui était là, comme dans tou
gants verdâtres qu’un pauvre mari essayait de mettre, y enfonçant sa
main
avec peine, tandis qu’à côté de lui l’amant atten
s des femmes, et quand on lui en apprend un nouveau, il se frotte les
mains
et ne manque pas de l’inscrire sur ses tablettes.
e, qui le force dans ses derniers retranchements ; qui lui demande sa
main
; il n’y tient plus, il se laisse aller, avec cet
jeune fille qui la livre sans défense à l’amour et la lui arrache des
mains
. C’est la situation de toutes les comédies passée
rtuffe, L’Avare, Le Misanthrope ? Il y a répandu le comique à pleines
mains
, et il ne l’a point mis seulement dans les rôles
Eh ! mon Dieu ! Horace ne se battait point ; mais il lui baisait les
mains
et les bras. Il était dans son rôle ; et vous n’ê
la logique, une logique implacable et impétueuse, qui le pousse d’une
main
irrésistible à travers tous les jugements humains
nspire-nous le mépris des opinions reçues, et le courage de porter la
main
sur les vaines idoles ! Heureux qui, le soir, ren
it. Rendez-moi, s’il se peut, ce billet innocent ; À vous prêter les
mains
ma tendresse consent ; Efforcez-vous ici de paraî
le langage ordinaire que l’on tient aux femmes quand on demande leur
main
, et je sais trop bien les usages pour ne pas me s
ndre une femme heureuse. Je serai donc enchantée de vous donner cette
main
que vous sollicitez, et d’éviter avec vous les pé
de penser en elle-même qu’il y aurait eu quelque douceur à passer sa
main
dans la crinière de ce lion-là. Elle le compare a
riand de la lame, et qui, emporté par le dépit, finirait par dire, la
main
sur son épée : Mais, mon petit Monsieur, prenez-
à lui-même ce que cette forme pouvait lui donner, qu’il s’est fait la
main
pour écrire l’Amphitryon, en profitant de cette é
garde sans lui de paraître à ses yeux… Je vous ferai toucher dans la
main
l’un de l’autre… Je veux jusques au jour les fair
cilien, n’était pas encore maître de cette forme, qu’il se faisait la
main
et que plus tard il sentit l’inconvénient de ces
btienne Que le pendard ne meure point D’une autre
main
que de la mienne. Quel dommage que Joliet ne sac
ogne de femme elle-même, et à son beau-père, à genoux, le bonnet à la
main
, et que la comédie finit sur ce mot navrant : Qua
ir. Le spectacle de ce pauvre homme réduit à faire, la chandelle à la
main
, amende honorable à sa coquine de femme, au lieu
oudra bien, de prouver tout cela par raison démonstrative et texte en
main
. Les sociétaires de 1940, pénétrés d’un respect r
ami le moraliste, que c’était bien imprudent à toi de la remettre aux
mains
à qui tu l’as donnée en garde. — Est-ce que je po
ivé de laisser ainsi traîner, sans avoir l’air d’y prendre garde, une
main
sur le dos d’un fauteuil, observant de quel air l
d’un ton rêche, avec un air de pudeur courroucée : Que fait là votre
main
? Oh ! dame, alors, il ne vous reste plus qu’à re
choses d’un mot quand il lui plaira. Aussi, Tartuffe quand il voit la
main
repoussée du genou, la porte-t-il toujours indiff
etite bourgeoise, bien craintive, bien prude, et s’effarouchant d’une
main
posée sur le genou, ne parlerait pas ainsi ; elle
à l’heure qu’il n’y en avait qu’une dans l’ouvrage où se retrouvât la
main
de Molière. J’avais tort, en vérité : que d’autre
a maladie, qui sont morts en moins de quatre jours, et qui, entre les
mains
d’un autre, auraient langui plus de trois mois !
s-unes étaient de premier ordre, que Molière les avait marquées de sa
main
puissante, qu’elles étaient faites pour traverser
hysionomie morose et revêche. Quel contresens ! et l’on avait sous la
main
, ou cette aimable Mme Madeleine Brohan ou, si l’o
Psyché ; ils ne veulent que Psyché. Tout ce morceau est touché d’une
main
délicate et légère, qui a charmé le public. La co
eur ou de feu ? Il faut la voix d’un homme pour ces mots brûlants, la
main
d’un homme pour ces caresses tendres, les yeux d’
y trouve pourtant encore de ces traits qui enlèvent, et l’on sent la
main
du maître. Psyché, descendue aux enfers pour obéi
s’est chargé de proposer à sa femme la candidature de Clitandre à la
main
de Henriette. Mais, au moment où il allait ouvrir
itandre empressé autour d’Henriette, dont on vient de lui accorder la
main
, s’écrie :
ention, Got peut, quoique doyen de la Comédie-Française, aspirer à la
main
d’Henriette. L’âge est, pour toute pièce classiqu
foyer des artistes, se trouve nez à nez avec Cadet, et lui serrant la
main
: — Mes compliments tout de même, monsieur Coquel
s grands rôles de Molière (Harpagon, Argan), qui deviennent entre ses
mains
des fantoches de bouffonnerie pure, tranchons le
uelques vieux amateurs, comme moi, qui vous serreront discrètement la
main
en signe de remerciement. 27 janvier 1896. I
t pour savoir les secrets de sa famille, elle n’aurait pas, de longue
main
, préparé la scène pour la faire réussir ? Mais po
e ? Toinette est une si bonne fille, l’air si avenant, le cœur sur la
main
; est-ce qu’on peut tromper, quand on rit de si b
le, cette personnification de la virginité maigre, quand il a sous la
main
la plantureuse Mme de Prie, ce type du vice, flor
! mais, disais-je à Rameau, savez-vous bien que si j’avais eu sous la
main
Dailly, oui Dailly, le Dailly du Palais-Royal, po
et curieuse notice, c’est celui qu’indiquait Théophile Gantier d’une
main
légère dans le passage que j’ai cité tout à l’heu
urait, en lui parlant, oublier qu’elle est sa mère. Marivaux a mis la
main
sur ce songe plus flottant qu’une vapeur blanchât
ru de la rampe, et on l’a vu marchant et parlant sur la scène. Quelle
main
ingénieuse, quel art discret ne fallait-il pas po
Ce but, il le montre d’avance, et il le montre presque à portée de la
main
. Mais il sait que le chemin de l’amour est semé d
joli caractère de jeune fille, ouverte, primesautière, le cœur sur la
main
, un bon petit cœur de femme ! Et dans Les Fausses
où la stratégie de Dubois a réussi, du tort qu’il a eu d’y prêter la
main
; Rémy, le vieux procureur, est franc comme l’osi
eur, est franc comme l’osier ; il a du cœur, et ce cœur il l’a sur la
main
. Je ne vois guère que la mère, Mme Argonte, dont
qu’il est plein de vues nouvelles, de détails curieux, et part de la
main
d’un homme qui sait ce dont il parle et ne parle
omédie-Française : elles portent de très nombreuses corrections de sa
main
, des remaniements de scène et des béquets en abon
qu’il me connût. Et elle est ravie de son invention, et elle bat des
mains
, et elle saute de joie. Quand on pense que certai
s’il nous était possible de remonter plus haut, si nous remettions la
main
sur des documents de l’époque, peut-être trouveri
descendons aux jours où Mlle Mars, déjà vieille, tenait encore d’une
main
défaillante le sceptre de la comédie, que l’âge d
r pour jamais le masque au doux incarnat qu’elle semblait tenir de la
main
même de Thalie, faut-il renoncer à une pièce char
pour rien, répondait Brid’oison, et ce même public battait encore des
mains
, d’abord parce que le mot est spirituel, parce qu
naire, au vrai sens du mot. Il était homme de théâtre. Il prenait des
mains
de tout le monde l’or en fusion des vérités philo
olo au milieu, assis ; à gauche, le comte, son papier de musique à la
main
; à droite, Rosine chantant. Beaumarchais a écrit
approchent insensiblement, passent devant le dormeur ; Rosine tend sa
main
, le comte la baise ; l’interruption de la musique
’avouer, tout de convention. Les deux amants auraient dû se tendre la
main
derrière et non devant le fauteuil du dormeur ; c
re et non devant le fauteuil du dormeur ; car le baiser déposé sur la
main
risquait bien plus d’être surpris s’il se donnait
le recule vers le clavecin et, toujours chantant à demi-voix, tend la
main
; Febvre se lève doucement, accompagne en sourdin
a main ; Febvre se lève doucement, accompagne en sourdine d’une seule
main
, baise la main qu’on lui tend ; le tuteur s’éveil
se lève doucement, accompagne en sourdine d’une seule main, baise la
main
qu’on lui tend ; le tuteur s’éveille ; Febvre ret
a main qu’on lui tend ; le tuteur s’éveille ; Febvre retombe des deux
mains
sur le clavier, tandis que, d’un bond, Mme Barret
yeux dans cette scène ? la malice de deux amoureux dont l’un baise la
main
à l’autre sous les yeux d’un vieux barbon dont le
x qui passent crèveraient à coups de pieds, où ils plongeraient leurs
mains
les retirant pleines d’écus, et gouaillant sur ce
esoin d’une femme de chambre, et Frontin veut lui en donner une de sa
main
. Notez qu’il a le plus vif intérêt à ce que sa pr
ère ! Il ne demanda jamais rien à personne, en un siècle où tendre la
main
n’était pas un déshonneur pour un écrivain de tal
ndre humanité À côté de la majesté, Qui tend à l’infortune une
main
secourable, Adoucit la rigueur des lois, P
disgracieux. À chaque instant, l’orchestre se récriait et battait des
mains
, et moi, tandis que la pièce s’en allait ainsi au
ne le connaissions pas. Toutes les éditions qui m’ont passé entre les
mains
ne nous donnaient que la pièce telle qu’elle fut
rde bien de dire que le genre gracieux ait beaucoup dégénéré dans les
mains
de MM. Rochon & Sedaine ; mais j’ai prouvé qu
né d’un de ses parents & d’un domestique : ils mirent l’épée à la
main
, & n’ayant pu résister à trois personnes, il
hé de m’entendre. Si je tenois, disoit-il, toutes les vérités dans ma
main
, je me garderois bien de l’ouvrir : on sait que l
oins rester votre ami. Mad. Tancin lui dit un jour, en lui mettant la
main
sur la poitrine : Ce n’est pas un cœur que vous a
rès courte que Voltaire nous a donnée, après l’avoir vue écrite de la
main
de Molière, entre les mains du fils de l’un des a
s a donnée, après l’avoir vue écrite de la main de Molière, entre les
mains
du fils de l’un des amis de notre auteur. Dom Ju
’un ridicule ; il a un tort, et même assez grave, celui de donner les
mains
à une insolente mystification dirigée contre l’ho
la cause de la vérité, toutes les fois qu’il lui plaît de prendre en
main
celle de l’erreur. Quel est le plus blâmable, de
re, l’estimable roturier arrive au comble de ses vœux, en obtenant la
main
de celle qu’il aime. Rousseau ne pouvait ignorer
ir traité un sujet auquel son oncle, le grand Corneille, avait mis la
main
, et voulait-il, au moins, que d’autres ne pussent
e, d’une férocité révoltante, et les deux princes qui prétendent à sa
main
sont, dans leur rivalité, comme dans leur amour,
unes filles, qui la plupart étaient vendus à l’encan, et passaient de
main
en main comme objet de commerce. La comédie des F
les, qui la plupart étaient vendus à l’encan, et passaient de main en
main
comme objet de commerce. La comédie des Fourberie
le théâtre illustré par tant de chefs-d’œuvre comiques sortis de ses
mains
, une bouffonnerie grossière qui avait déjà traîné
r leur salaire à son royal caprice, C’est le peuple à présent dont la
main
protectrice, De ses dignes élus sanctifiant les d
sarcasme mordant, Attache un misanthrope au char d’une coquette. Des
mains
d’un riche avare enlève sa cassette, Ou, vengeant
unal citant le genre humain, Toujours votre justice ait la marotte en
main
. Le monde, vieil enfant que notre fouet corrige,
ontmartre. Tous ses amis y assistèrent, ayant chacun un flambeau à la
main
. Mademoiselle de Molière* s’écriait partout : Quo
cour immolée au parterre ; Mais sitôt que, d’un trait de ses fatales
mains
, La parque l’eut rayé du nombre des humains, On r
i, acte II, scène vi. Invitation à la danse120 Donnons-nous la
main
, auteur et lecteurs, et dansons ensemble dans ce
fraîchit la terre. Géant toujours chaussé du cothurne, il porte en sa
main
le masque tragique132. C’est pourquoi Socrate dit
sublime. — Dansons ici, auteur et lecteurs, dansons, le balancier en
main
, sur la chaîne de fleurs d’un syllogisme bien ten
clut le Prologue-Programme de son Titan : Maintenant donnons-nous la
main
, auteur et lecteurs, et dansons ensemble dans cet
lumés. Un moment après Robert entre par le vestibule, une lettre à la
main
, un bougeoir dans l’autre : comme c’est la répons
etty sort de l’appartement d’Eugénie, très affligée, un bougeoir à la
main
; car il est pleine nuit. Elle va chez Madame Mur
t après le Baron sort de chez sa fille d’un air pénétré, tenant d’une
main
un bougeoir allumé, & de l’autre cherchant un
c une serviette sur son bras, une écuelle de porcelaine couverte à la
main
; elle rentre chez Eugénie. Un moment après les a
ui dit : « D’Ancourt, nous avons des oreilles pour vous entendre, des
mains
pour recevoir les aumônes que vous faites aux pau
s si la Lucrece veut réellement échapper encore saine & sauve des
mains
de son Tarquin, a-t-elle besoin de lui susciter d
rt à moi. — Eh ! vous voilà, mon cher ami, me dit-il en me serrant la
main
! comment vous portez-vous ? — Assez bien ; prêt
allez-vous ? Je commence à le tirer par la manche : je lui prends la
main
; il ne sent rien. Je lui fais signe de la tête,
rs la Messe à deux genoux, Faisant mainte oraison, l’œil au Ciel, les
mains
jointes, Le cœur ouvert aux pleurs & tout per
pe. Moi, pour m’en dépêtrer, lui dire tout exprès : Je vous baise les
mains
, je m’en vais ici près Chez mon oncle dîner. O Di
onviction de ce grand Armand Carrel, lorsqu’il s’en va, la plume à la
main
, comme il tiendrait une épée, ameutant ces orguei
élégante comédienne ; ce gros rire et ce fin sourire, ces deux bonnes
mains
, et ces deux mains si fines ; ce tablier et ces d
; ce gros rire et ce fin sourire, ces deux bonnes mains, et ces deux
mains
si fines ; ce tablier et ces dentelles ; vous aur
le cœur troublé, le chapeau bas ! Voici Don Juan qui les prend par la
main
et qui les mène où il veut, sauf à les planter là
a en partage l’esprit, la grâce, la repartie, le courage, l’épée, la
main
blanche, l’ironie, la générosité, le sang-froid u
e, est semé le doute, cette épine amère, cette ronce fatale que nulle
main
ne peut arracher. Quand Hamlet s’écrie : — Le ven
tage l’ironie et le sarcasme ; il pèse les grandeurs humaines dans sa
main
fébrile, il sème aux vents toute cette poussière
mour, et voici ce damné Don Juan qui mène, tambour battant et haut la
main
, les duchesses et les bergères ! Tout comme les a
sombre physionomie. À la fin, nous le tenions tel qu’il est sorti des
mains
ou plutôt des griffes de Molière, ce magnifique d
git plus de séduire Charlotte et Mathurine et de leur baiser les deux
mains
lavées avec du son, il s’agit de regarder face à
ir souper demain avec moi ! En aurez-vous le courage ?… Donnez-moi la
main
! » Souper funeste dans les menaces, dans les fla
u. — Prenez garde à M. Dimanche, Monseigneur ; quand il s’en ira, les
mains
dans vos poches, le pauvre ne sera pas loin ; et
e obscénité, et plus il est recherché ; — le balayeur, son balai à la
main
, demande à balayer des cabinets pleins d’appas ;
Et M. Séguier (un futur garde des sceaux de France !) son balai à la
main
, disait des choses… — Il y avait le crilleur de s
de. Celui-ci, à l’heure où son musicien tournait la broche, avait, la
main
à la pâle dans le pétrin de monsieur son père, et
roi : Sa Majesté revient du Parlement, les auteurs lui ont mis, à la
main
, le fouet qu’il avait (enfant), la première fois
ne lui pardonnent qu’en faveur de sa grande jeunesse. Ce fouet, à la
main
du roi qui revient de sa conquête, est un misérab
e, autour de cette femme illustre et sainte, devenue un jouet dans la
main
de M. Bulwer. Cet homme est naturellement boursou
rop habitué à respecter la véritable grandeur, pour ne pas prendre en
main
la défense d’un roi pareil et d’une pareille époq
i, désirant calmer sa conscience, permet à lui Lauzun, de demander la
main
de La Vallière. — La dot est digne du prince » aj
— La dot est digne du prince » ajoute Lauzun : « Et si j’obtiens la
main
de cette riche duchesse, je sais, plus d’un honnê
! Ces larmes !… qu’elles parlent pour moi ! Maintenant, maintenant ta
main
! Ô mon Dieu ! — Adieu pour toujours24 ! » Ainsi
ncienne Espagne, quand toutes les Espagnes frémissantes battaient des
mains
à ce fier gentilhomme, à cet ardent amoureux, à c
ourt, historien du second ordre, mais qui n’en est ni moins fidèle ni
mains
véridique. Tel était, Messieurs, l’état de la soc
leçons ! que dis-je ? ils sont eux-mêmes spectateurs, et battent des
mains
avec le public qui leur insulte ! Dès longtemps l
ne, l’époque déplorable où leurs chefs-d’œuvre furent mutilés par des
mains
sacrilèges. Non, Messieurs, je n’attristerai poin
e des camps ; et, du haut de son char de triomphe, il te tendrait une
main
protectrice. Alors ta voix éloquente célébrerait
hant aux beautés délicates de son maître, il n’y eût point imprimé la
main
de l’écolier ! LE MISANTHROPE. Acte III. Scene I.
r tes jours la plus douce influence ; Tu fus, je crois, pêtri par les
mains
de l’Amour : N’es-tu pas fait à peindre ? Est-il
is qu’il a du cœur. Je retiens ma colere : Mais... Valere, mettant la
main
sur son épée. Mais...Vous le voulez donc ? il fa
un malheureux.Monsieur, vous voulez rire. Valere, mettant l’épée à la
main
. Il faut voir sur-le-champ si les Vice-Baillifs S
sommes, Monsieur, infiniment obligés. Je... Don Juan, lui tendant la
main
. Touchez là, Monsieur Dimanche. Etes-vous bien de
qu’il aime, & de sa famille. Henriette d’un autre côté refuse la
main
de Clitandre, quand elle craint de lui être à cha
âces et de l’innocence d’une enfant de dix-sept ans, il lui offrit sa
main
et l’épousa. Ce mariage le mit dans une position
; mais de même que les merveilles de la nature inanimée révèlent une
main
tout aussi puissante que celles de la nature anim
olière, heureusement, n’est pas tombé au sortir de ce monde entre les
mains
de ses ennemis. Leçon deuxième. Molière critiq
allait produire. Au sortir de la comédie, prenant M. Chapelain par la
main
: « Monsieur, lui dis-je, nous approuvions, vous e
de la croire innocente sur parole, et dans ce cas elle lui promet sa
main
; s’il exige des preuves, elle les fournira; mais
à mes serments, fondés sur la vérité, je suis prête à vous donner ma
main
. Mais si vous exigez de moi une justification dan
isfait par ce respect soudain, Promet à votre amour et mes vœux et ma
main
. Mais prêtez bien l’oreille à ce que je vais dire
e ; l’autre fait Un détour pour l’éviter : elle promet ses vœux et sa
main
. La première se hâte et ne perd aucune parole, el
aquer hautement; mais l’hypocrisie est un vice privilégié, qui, de sa
main
, ferme la bouche à tout le monde, et jouit en rep
e Musset, se relevant de son tombeau pour aller encore secouer de ses
mains
décharnées la croix de Golgotha; mais pour quicon
ant aucune des hardiesses de la critique. En France, la critique a la
main
sèche ; partout où elle a passé, il ne reste que
ice, Molière venait-il au secours de Pascal, ou bien ne prenait-il en
main
que la cause des plaisirs de la cour menacés par
olière est de ces derniers. Souvenez-vous de son Harpagon. Malgré ses
mains
crochues, Harpagon a la faiblesse d’être amoureux
édisance, et que tous ces portraits délicieusement touchés sont de sa
main
. Pendant qu’elle parle et qu’on l’applaudit, Alce
re, Qu’on ne vous voie en hâte aller à sa rencontre, Lui présenter la
main
, et d’un baiser flatteur Appuyer les serments d’
pour exciter sa jalousie, et finit par l’emmener pour lui remettre en
mains
propres les preuves de la perfidie de Célimène. À
e j’eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des
mains
de mon amour. Il était écrit qu’Alceste devait p
temps porte votre jeunesse, Pourvu que votre cœur veuille donner les
mains
Au dessein que j’ai fait de fuir tous les humains
e pas un, parmi ceux qui vivaient de son opulence, pour lui tendre la
main
dans sa détresse. Alors il en tire une vengeance
d’une simple fantaisie de poète; il avait été aussi préparé de longue
main
, soit par les expériences qu’avait faites la soci
omme ceux-ci: Morbleu ! faut-il que je vous aime! Ah ! que si de vos
mains
je rattrappe mon cœur, Je bénirai le ciel de ce r
eurs d’espérance, Molière-Alceste devait-il, au dénouement, tendre la
main
à Célimène et lui offrir encore une fois l’oubli,
iolent, de l’autre par ceux de Callisthène, un mari qui n’y va pas de
main
morte, meurt sur la scène à demi écartelée. C’est
a enseigné, et, quand on la surprend, elle n’a pas de livre dans les
mains
; mais ceux qui s’y connaissent devinent bientôt q
e qu’ils ne lui ont jamais donnée; mais malheur à qui osera porter la
main
sur ses chimères. Armande tourne à la prude hypoc
r un goût sûr, elle peut être utile, surtout aux jeunes gens dans les
mains
desquels on met les auteurs classiques. Mais il n
e prier. Le laboureur s’empare des fruits du sol ; le marchand met la
main
sur tout ce qui peut remplir ses greniers; l’abbé
, Aristophane et Sophocle, Corneille et Molière, peuvent se tendre la
main
. Mais, dans ce duo sans fin que jouent la poésie
pris des richesses amassées par le moyen âge. Loin de là. C’est de la
main
du moyen âge que la France du XVIIe siècle a recu
un poète plus audacieux et à la touche plus hardie. C’est Molière en
main
qu’il faut juger la question. Alceste et Hamlet s
citons-nous de ce que la France du XVIIe siècle les a acceptées de sa
main
, et soyons bien convaincus que la France du XIXe
re si méchant qu’une telle friponne. J’aurais pour elle au feu mis la
main
que voilà. Malheureux qui se fie à femme après ce
ule pas devint les traits énergiques : il va droit au fait, et, d’une
main
hardie, montre le mal produisant tousses fruits.
CMÈNE. Je sais, moi, comment il m’a blessée au cœur. JUPITER. Par ta
main
si chère, Alcmène, je t’en prie, je t’en conjure,
es factices de bienséances mensongères. Molière renverse de sa propre
main
l’idole qu’il avait élevée; après avoir morigéné
qui n’en étaient pas moins régulières à confesse et dociles entre les
mains
de directeurs, qu’elles avaient soin, il est vrai
vient de nous retracer est extrêmement joli ; il sentira toujours la
main
du grand Maître. Mais plus nous nous éloignons du
d’étranges choses lorsqu’on est réduit à passer, comme vous, par les
mains
des fesse-Mathieu. . . . . . . . . Le prêteur, po
semble au contraire avoir rejetté ce qui lui tomboit presque sous la
main
. Parcourons quelques situations de la piece. Dém
; &, pour un tel dessein, Il ne me faudroit plus qu’un caducée en
main
! Le reste de la piece est rempli par un roman p
dame Argante établit richement sa fille ; Eraste a pour récompense la
main
de sa maîtresse, & tous les biens de son oncl
odiguer des éloges : il a recours aux armes qui ont combattu dans ses
mains
l’affectation du langage & des manieres ; ell
rt toute sorte de sujets sur la scene, songez que vous tenez dans vos
mains
les armes les plus redoutables ; qu’un Auteur est
s’instruire. Favoris de Thalie, je vous le répete, vous avez dans vos
mains
les armes les plus triomphantes : ne ménagez poin
tion seule. Dans la derniere de ces pieces, le héros trouve entre les
mains
de sa femme le portrait d’un jeune homme ; un ins
i payer quelques achats, me dit : — Monsieur, tandis que vous avez la
main
au gousset, vous feriez bien de faire votre provi
es qui lui appartiendront aussi lors, soient mis et baillés entre les
mains
du sieur Mignard, peintre ordinaire du Roi, dit l
le comte de Modène et avec Molière, elle avait l’amour du luxe et la
main
dépensière ; ce qui ne parait pas douteux, c’est
ouvrez, belle farouche ! J’entends la clé, c’est votre voix… O belle
main
! ô belle bouche ! Que je vous baise mille fois !
dirait Célimène. Ces quatre hommes de génie ne mirent pas l’épée à la
main
pour se la disputer, mais ils se brouillèrent, ho
moins en présence de son mari. C’est que Gros-René n’y allait pas de
main
morte : s’il fût tombé sur Molière dans un transp
un roi Ne vous en peut jamais assurer tant que moi. Il est plus en ma
main
qu’en celle d’un monarque De vous faire égaler l’
thrope, comme ses deux rivaux, mais il avait une grande force sous la
main
, la jeunesse. Et ce qui le sauva devant la Du Par
, mais on lui reproche, non sans quelques raisons, d’avoir eu sous la
main
tous les papiers de Molière, manuscrits, lettres,
paierait aujourd’hui un million — et de ne les avoir pas transmis en
mains
loyales. Il était si simple de garder ce trésor d
? » Mais le portrait le plus digne de La Grange est celui-ci, de la
main
de La Fontaine, dans Ragotin. Isabelle parle de l
si par la vertu d’une magicienne nous pouvions, nos quinze sols à la
main
, entrer au parterre avec les gardes du corps, les
nt. La pièce va commencer, les moucheurs de chandelles ont déjà d’une
main
preste passé la mouchette d’argent sur toutes les
on lait, son pain et sa gaieté, tout en lui mettant de bonne heure la
main
au battoir. Mais blanchir de la toile de Hollande
au battoir. Mais blanchir de la toile de Hollande, c’est ennoblir ses
mains
. Filandre, chef d’une troupe vagabonde, adopta à
Enjoint à tous ses officiers et sujets qu’il appartiendra de tenir la
main
à l’exécution du présent ordre. Fait à Saint-Germ
taires et les Archives nationales. Aux Archives, M. Campardon a eu la
main
heureuse : c’est lui, le premier, qui a déniché l
mais su lire. Ce n’est pas Molière qui lui eût mis une grammaire à la
main
. Mlle Beauval, retirée du théâtre officiel, joua
’en pas douter, un amant ou deux là-dessous. Elles mirent l’épée à la
main
« après la petite pièce ». Sauvai, lui-même, assi
upré, je vois bien, mademoiselle, que vous voulez me voir l’épée à la
main
. — Et en disant cela, c’était à la fin de la farc
e dans Psyché et autres rôles où il ne fallait pas mettre l’épée à la
main
. Mlle Marotte passa à la Comédie-Française de 16
« N’ai-je pas oublié le sel ? » Souvent elle applaudissait à belles
mains
, quand un trait de caractère, un trait d’esprit,
or a remis, en mourant, ses deux filles avec tout leur bien entre les
mains
de Sganarelle & d’Ariste, qui sont freres ; i
s réponses dures, & que des duretés on en vient ordinairement aux
mains
, j’ai mieux aimé, crainte de scandale, m’adresser
pieds de sa belle-mere prétendue qui lui pardonne, & lui donne sa
main
à baiser. Un instant après le jeune homme lui dit
ofité de cette occasion pour lui remettre un billet en lui donnant la
main
. La Femme industrieuse, Comédie en vers en un ac
iendrois, moi, quelque soin qu’on se donne, Mon honneur guere sûr aux
mains
d’une personne A qui, dans les desirs qui pourroi
alement à ceux qui ont de grands biens ; il ne faut jamais donner les
mains
à aucun arbitrage, jamais ne consentir d’arrêt dé
e le monde est bien infatué de vos richesses, il faut prendre à toute
main
l’argent qu’on vous offre, faire grande dépense à
de votre absence et ne sachant sur quoi se venger, ils font dire sous
main
qu’ils perdront les deux tiers, si on veut assure
ais mes prières à celles de ces messieurs. PERSILLET touchant dans la
main
de La Ressource. N’en parlons plus, c’est une aff
qui sera vendue. Et comme la presse sera grande, il m’a mis entre les
mains
des contrats de vente, le nom et la somme en blan
nversations les plus familières, même avec leurs gens, et refusent la
main
de deux hommes aimables qui se sont écartés des r
t sachant qu’il a détruit toute espèce d’illusion, il va chauffer ses
mains
sur la rampe, et le public a la… bonhomie d’appla
homie d’applaudir avec le même discernement qu’il vient de battre des
mains
, scène xii , lorsque Mascarille, infidèle au comi
t, demande à Arlequin où il l’a pris, celui-ci dit que c’est dans les
mains
de sa femme ; colère d’Arlequin, qui reconnait Ce
la femme de Sganarelle, en lui faisant surprendre son mari passant la
main
sur la gorge de Célie, pour voir si elle respire
’elle a mal au doigt, la princesse a la complaisance de lui prêter sa
main
; Arlequin surprend le tendre billet, on veut le
le lui arracher, grands débats ; la moitié de l’écrit reste entre ses
mains
, il la donne au roi, qui, reconnaissant l’écritur
plus moral. L’héroïne française écrit à dom Garcie qu’il obtiendra sa
main
, s’il se corrige de sa jalousie ; mais, peu satis
amour n’en est pas moins couronné par le plus tendre aveu, et par la
main
de son amante : aussi le dénouement de la pièce f
félicite aussi le valet qui, le premier, a pesé la boîte d’or dans sa
main
, et s’est dépêché d’en enrichir sa poche ; mais q
indique « qu’Isabelle, en feignant d’embrasser Sganarelle, donnera sa
main
à baiser à Valère ». J’ai vu des acteurs la dévor
appuyés, plus le parterre applaudissait, sans penser qu’en livrant sa
main
à Valère, Isabelle engage sa foi, témoin ces vers
i ? pour donner le loisir à son maître de dévorer une seconde fois la
main
de son amante, et de provoquer de nouveaux applau
oire une armure, en couvrit l’idiote, et lui ayant mis une lance à la
main
, lui dit que le devoir des femmes mariées était d
é qu’il avance, Plus pleine de lauriers qu’un jambon de Mayence, Les
mains
sur les côtés, d’un air peu négligé, La tête sur
infortune, court furieuse chez Molière et le menace, le pistolet à la
main
, de lui brûler la cervelle, s’il ne lui rend son
il n’a pas trop chargé. — Il a pourtant retourné la salade à pleines
mains
, et mordu à une cuisse de volaille, ayant de la s
ent, de la remplir à lui tout seul, ou de se trouver toujours sous la
main
de ses interlocuteurs, de jouer autant pour eux q
ileau l’aida dans le choix de ces noms, voilà des messieurs en bonnes
mains
. Les quatre médecins de la cour étaient Desfouger
l’autre extrémité, se jeter dans un fauteuil, il le trouvait sous sa
main
, au bord de la coulisse, le poussait brusquement
iquides ; il feint de refuser l’argent qu’on lui présente, et tend la
main
derrière le dos pour le recevoir ; enfin, il favo
mais d’impatience, tant il lui tardait d’applaudir ; ce qu’il fit de
main
de maître, pendant toute la représentation. J’eus
coquetterie, même son opulence. Acte III, scène iii, Tartuffe met la
main
sur les genoux d’Elmire, et Molière, qui prévoyai
mire, fidèle à la note de Molière, ne devait pas s’amuser à saisir la
main
de Tartuffe, à la tenir quelques instants en l’ai
encore qu’on se venge du soufflet d’une jolie femme en lui baisant la
main
. Molière voulut en vain l’apaiser : par égard pou
n mieux. Harpagon fouille le valet de son fils ; il examine ses deux
mains
, et lui demande ensuite à voir les autres. Euclio
esclave auprès de son trésor, le fouille, l’oblige à montrer ses deux
mains
, et lui demande à voir la troisième. J’estime moi
ière qui feindrait d’être de qualité, fort riche, et lui offrirait sa
main
; cependant, nous n’entendons plus parler ni de l
encore de peser sur la ligne de vie qu’elles prétendent voir dans la
main
d’Harpagon. Pourquoi applaudissez-vous des choses
dire en note : Harpagon fouille dans sa poche maître Jacques tend la
main
mais Harpagon ne tire que son mouchoir 69. Vous
se à un chevalier d’industrie, qui prend la bague et la met entre les
mains
d’un filou déguisé en médecin, celui-ci prétend a
payé pour le guérir, et des apothicaires paraissent, la seringue à la
main
. Extrait de Ne pas voir ce qu’on voit. Nouvel
nt démasqué aux yeux de Dorimène ; cette dame paie au contraire de sa
main
les escroqueries du vil courtisan et les galanter
d’un demi-sourire ; c’est inutilement qu’en parlant de son cœur, une
main
convulsive le cherchera sur toutes les parties de
agréables : des scènes, un acte inutiles. Le ridicule versé à pleines
mains
sur la chicane ; le plus beau plaidoyer contre la
mitable mademoiselle Dangeville. Le professeur. Vous étiez en bonnes
mains
. Puisse votre maîtresse vous avoir communiqué sa
mi : j’ai un froid qui me tue, lui dit Molière. Baron s’empare de ses
mains
, essaie de les réchauffer dans son manchon, fait
……………………. ……………………………………………. Mais sitôt que d’un trait de ses fatales
mains
, La Parque l’eut rayé du nombre des humains, On r
Molé essaya d’excuser les baisers indécents que Valère appuie sur la
main
d’Isabelle ; je lui écrivis le lendemain : « Cit
amour de l’humanité. Voltaire prétend avoir vu cette scène entre les
mains
du fils de Pierre Marcassus, ami de Molière, et i
fils de Pierre Marcassus, ami de Molière, et il ajoute, écrite de la
main
de l’auteur. Il est bon d’observer que Pierre Ma
r besoin de mon secours, Mol… fait danser son genou, Brizard passe la
main
sur sa chevelure, etc. ; mais Préville est toujou
a Cour immolée au parterre. Mais sitôt que, d’un trait de ses fatales
mains
La Parque l’eût rayé du nombre des Humains ; On r
Envie animée Attachant à ton nom sa rouille envenimée, La calomnie en
main
, quelquefois te poursuit. En cela comme en tout l
né Qui rendu plus fameux par tes illustres veilles Vit naître sous ta
main
ces pompeuses merveilles ? Cependant laisse ici g
mique qui précède immédiatement Molière et qui lui arrive de première
main
. Non seulement les œuvres qu’elle avait produites
n besoin pressant, vient lui raconter que ce fils est tombé entre les
mains
des bandits et mis à la rançon de cent écus. On p
ds maîtres de l’antiquité, il put se servir de ce qu’il avait sous la
main
, en restant toujours supérieur. On a dit que les
anière, et d’un travail soudain Saisisse le moment qu’elle donne à sa
main
. La sévère rigueur de ce moment qui passe Aux err
contre unie La pleine connaissance avec le grand génie, Secouru d’une
main
propre à le seconder, Et maîtresse de l’art jusqu
opre à le seconder, Et maîtresse de l’art jusqu’à le gourmander ; Une
main
prompte à suivre un beau feu qui la guide, Et don
sse de Timon, et le compare à Nestor ! Déméas lui succède tenant à la
main
un décret qui propose d’élever une statue d’or à
che de ridicule que Célimène leur a mise au dos. Tous reçoivent de la
main
de la coquette un coup d’éventail sur la joue, qu
euse qui lui arrache ce cri de tendre courroux : Ah ! que, si de vos
mains
je rattrape mon cœur, Je bénirai le ciel de ce ra
mêlent à la sympathie ; par exemple, celles où Alceste, qui tient en
main
les preuves décisives d’une trahison flagrante, a
re, Qu’on ne vous voie en hâte aller à sa rencontre, Lui présenter la
main
, et d’un baiser flatteur, Appuyer les serments d’
lui d’un mot, d’un signe, la pluie et le beau temps65 ? Tenir sous sa
main
le cœur de ce lion amoureux, en ralentir ou en pr
, sa noire rancune qui vient jouir d’une vengeance préparée de longue
main
et dans l’ombre76, tous ces symptômes ne prouvent
és à la censure…, mais l’hypocrisie est un vice privilégié qui, de sa
main
, ferme la bouche à tout le monde et jouit en repo
osteur datée du 20 août 1667. Si cette habile défense n’est pas de sa
main
, elle fut au moins rédigée sous son inspiration.
n’a pas de temps à perdre, le loisir lui manque pour filer de longue
main
sa passion, et s’insinuer sans en avoir l’air. De
ai, que parce que je crains Que tout ce bien ne tombe en de méchantes
mains
. Malgré ces nuances qui atténuent des éclats tro
sa vigilance n’empêchera point de passer, ainsi que sa fille, en des
mains
étrangères. Depuis qu’il le couve des yeux, sa né
, un riche voisin, d’âge mûr, est assez confiant pour lui demander la
main
de Phédra, dont le cœur est engagé dans d’autres
pour confesser sa faute, et la réparer, c’est-à-dire pour demander la
main
de celle qui va le rendre père. Mais, aux premier
en aimant une fille pauvre, comme le rigide Alceste en recherchant la
main
d’une coquette. Mais à quoi bon opposer des argum
anne. Il s’élancerait volontiers pour arracher le précieux bijou à la
main
qu’il embellit, malgré lui. Bref, il est clair qu
n. À l’entendre, tout est définitif, irrévocable. N’a-t-il pas mis la
main
d’Henriette dans celle de Clitandre, et juré de n
représentation. Au sortir de la comédie, prenant M. Chapelain par la
main
: Monsieur, lui dis-je, nous approuvions, vous et
’un pour l’autre, Lyse, c’est un amour bientôt fait que le nôtre : Sa
main
entre les cœurs, par un secret pouvoir, Sème l’in
s affectez D’estropier les gens par vos civilités, Ces compliments de
mains
, ces rudes embrassades, Ces saints qui font peur,
nace que, cent ans après, en 1775, un sot nommé Mailhot osa porter la
main
sur la prose de Molière, et la traduire en vers.
est point fou ne va jamais jusqu’à vouloir regarder dans la troisième
main
de l’homme qu’il soupçonne de l’avoir volé. » Let
terni ? C’est que sur le calcul, dit-on, de Cassini, Un astrolabe en
main
, elle a, dans sa gouttière, À suivre Jupiter pass
plus me voir. C’est le coup de la mort que je vais recevoir... De la
main
de Durval ces lignes sont tracées. Mais que vois-
u’Arlequin ne fasse pas une méprise, on lui donne une lettre à chaque
main
, & on lui dit : celle qui est du côté de la m
: celle-ci est enchantée de sa conquête ; elle paroît tenant dans sa
main
la réponse au billet doux qu’elle a reçu. Mondor,
avec elle ; je ferai bien en sorte qu’elle ne lui tombe plus sous la
main
. Je voudrois bien voir qu’il s’avisât seulement d
, à Angélique. Qu’il en soit le garant.Donnez. Angélique, donnant la
main
à Oronte. Qu’il en soit le garant. Donnez.Je la
e craignez rien, & me laissez parler. (Haut, en regardant dans la
main
d’Angélique.) Avant qu’un an ou deux se puissent
dans la bonne compagnie, il est reçu qu’une femme écrive de sa propre
main
un billet doux à un fat qu’elle méprise ; s’il es
; & qu’elles laissent ensuite toutes deux leurs lettres entre les
mains
d’un homme qu’elles poussent à bout, d’un homme q
que, délié de mes engagements, je puisse légitimement vous offrir ma
main
, dois-je me flatter que vous l’accepterez ? | Cet
drai tout le tien avant que tu y parviennes. Allons, mets l’épée à la
main
: ces Messieurs sont trop honnêtes gens pour empê
rsque celui-ci, voyant l’extrémité à laquelle il étoit réduit, mit la
main
sur la garde de son épée. — Songez-vous bien, lui
le jeune Comte en jettant son épée à ses pieds, & lui prenant la
main
qu’il baisa respectueusement, vous êtes mon pere
touché de la beauté d’Isabelle, il renonce à son projet et demande la
main
de sa fille. Isabelle découvre à Flaminio qui ell
vertu de l’engagement d’honneur qu’il a pris, à demander pour lui la
main
d’Ortensia à Pantalon. Mais, satisfait de la fidé
uit Flaminia, bien qu’il soit aimé d’Isabelle, obtient de Pantalon la
main
de sa fille Flaminia. Flaminia, que le récit de F
barbe de l’opérateur ; cette barbe est postiche et lui reste dans les
mains
. Arlequin s’enfuit ; Pantalon se met à sa poursui
l’idée de tenir une femme dans l’ignorance pour l’avoir mieux dans la
main
, que le poète a condamnée par ce dénouement. En e
renchérissant ainsi sur Mlle de Rambouillet, qui du moins accorda sa
main
à M. de Montausier après l’avoir fait soupirer pe
réunions de guerriers où Agamemnon, le roi des rois, dépeçait de ses
mains
le bœuf du sacrifice, le mettait à la broche et e
souvent quelque lady Tartuffe pour inspirer le testament et mettre la
main
sur la succession. Mais Harpagon est veuf ; en ef
l tâche de corriger le mal ; mais il s’y prend avec indulgence, d’une
main
douce, comme dit Sénèque27. Telle n’est pas la ve
comprend pas. Elle a écrit à Oronte ; la lettre surprise est dans les
mains
d’Alceste ; il accourt furieux, éclate, puis se c
a maîtresse, il la prie à genoux de se justifier : À vous prêter les
mains
ma tendresse consent28 ; Efforcez-vous ici de par
hant de l’entendre s’écrier, en voyant Clitandre et Henriette qui, la
main
dans la main, sous le regard paternel, s’entretie
endre s’écrier, en voyant Clitandre et Henriette qui, la main dans la
main
, sous le regard paternel, s’entretiennent de leur
s quel langage sacré et se supposent involontairement, le tonnerre en
main
, au lieu et place du Très-Haut. Gens éloquents et
e de Baron : « J’ai un froid qui me tue », dit-il. Baron lui prit les
mains
; elles étaient glacées. Le comédien donna à Moli
ègres et charmants où s’ébat, le bonnet sur l’oreille, le cœur sur la
main
, le mot vif sur la langue, le libre génie françai
able si le manuscrit ne gardait pas en réserve la note suivante de la
main
même de La Grange : « Les trois cents livres n’on
ère avait épousé sa rivale, ou comme si sa fille fût tombée entre les
mains
d’un malheureux. Néanmoins il fallut bien s’apais
Guiche ou Lauzun. Armande Béjart, qui laissa mourir Molière entre les
mains
de M. Couthon, gentilhomme, n’apparaît guère pour
10 000 livres, et il ignora toujours que ce qu’il recevait ainsi des
mains
de Rohaut était un don anonyme de ce Molière, son
n Juan. Mais il ne se contentait point d’être courageux la plume à la
main
. Il faut lire dans un petit volume, plus curieux
ire à son Dom Juan : « L’hypocrisie est un vice privilégié, qui de sa
main
ferme la bouche à tout le monde et jouit en repos
masques. Molière, il faut lui rendre cette justice, y touchait d’une
main
ferme, implacable. Je conçois la fureur des bigot
ndions pas : “Certainement, a-t-il dit, l’ensemble du Tartuffe est de
main
de maître, c’est un des chefs-d’œuvre d’un homme
t alors. Il semble en effet que ce type légendaire ait tourné dans la
main
de l’ouvrier. Molière, auteur dramatique, se prop
ardson, le voilà fier et révolté comme le Satan de Milton. Il tend sa
main
à la main de marbre sans une émotion, sans un tre
voilà fier et révolté comme le Satan de Milton. Il tend sa main à la
main
de marbre sans une émotion, sans un tremblement,
N’allez pas non plus trop scier l’air en long et en large, avec votre
main
, comme cela ; mais usez de tout sobrement, car da
lle dans l’espagnol, et il n’y a point de bouquin qui se sauve de ses
mains
. Il prend dans Boccace, dans Douville, et son Éco
rcée, Faisant cent tours de harlequins, Tant de ses pieds que de ses
mains
. Tantôt ce digne personnage Faisait voir dedans s
ait pourtant à le voir, Qu’il était homme de pouvoir ; Car, malgré sa
main
bouffonne, On voyait prés de sa personne Un grand
ez : Chez le grand Scaramouche il va soir et matin. Là, le miroir en
main
, et ce grand homme en face, Il n’est contorsion,
e Pompée, est représenté en toge rouge, le bâton de commandement à la
main
. Le bras et le cou sont nus. Sauf la longue perru
Molière chez lui qu’il nous représente, Molière assis, la plume d’une
main
, un livre de l’autre, et songeant ou plutôt écriv
n. Il est de toutes les époques et de tous les pays. Il a sondé d’une
main
ferme la plaie éternelle de l’homme, il a démasqu
s rôles de la tragédie d’Andromède (de Corneille), liste écrite de la
main
même de Molière et qui avait appartenu à Pont de
e Désurils, Sauval raconte qu’elles se battirent en duel, l’épée à la
main
: il a vu le duel , dit-il. Beauval (Jeanne-Oli
el elle-même, vêtue de draperies blanches, une branche d’olivier à la
main
, pour représenter la muse antique de l’histoire.
ementales de l’Hérault dans leur nouveau local, l’archiviste a mis la
main
sur une demi-page de Molière écrite et signée par
t au préfet, est rapide, nette, large, déliée, élégante ; on sent une
main
sûre d’elle-même, et déjà imbue des principes gra
Molière n’a point laissé de manuscrits, ou, pour mieux dire, que des
mains
intéressées ont détruit soigneusement tout ce qui
aincy. Puis le temps s’écoule ; de nouveaux chefs-d’œuvre sortent des
mains
de Molière ; il donne le Misanthrope, le Médecin
icile de penser qu’on risque une œuvre comme Tartuffe sans l’avoir en
main
tout entière, et qu’on s’en remette, pour en écri
s, chargeant quelque ami de la versifier. Je ne crois guère cela : la
main
de Molière est trop reconnaissable, même dans ses
et tout son soûl, reprenant, grondant, la tête près des coiffes et la
main
haute. Orgon, comme elle, pratique rigoureusement
aux sa subsistance. Orgon fouille aussitôt à sa poche, il met dans la
main
de Tartuffe, discrètement, un don qui le fait pro
sente « agréable de sa personne, le teint frais, l’oreille rouge, les
mains
belles et grasses, avec un petit commencement d’e
t point bon, quand on cause, d’avoir de pareils objets à portée de la
main
. Quant aux mouches, vous savez ce qu’en fait Laur
l’accepte pas pour lui-même. Avec Damis, il tomberait en de méchantes
mains
; avec Tartuffe il tombera en main morte. Cependa
mis, il tomberait en de méchantes mains ; avec Tartuffe il tombera en
main
morte. Cependant la famille, unie contre l’ennemi
taquer hautement ; mais l’hypocrisie est un vice privilégié qui de sa
main
ferme la bouche à tout le monde, et jouit en repo
ennemi de la fraude, il était le protecteur du génie ; en battant des
mains
, le public le remercie d’avoir flétri l’hypocrisi
En un pareil dessein, C’est mal suivre Tartuffe, il n’y met qu’une
main
. Laurent. Que ton collier est beau ! les perles e
oir de loin et suis court de visière. Lise. Ne t’émancipe pas, car ma
main
est légère. La décence ne permet pas de pousser
t encore la manière d’écrire des cafards : ils ont l’esprit sec et la
main
pesante ; au lieu de répandre le sel d’une critiq
les devoirs de la piété ; c’est ce qui lui fait porter avec audace la
main
au sanctuaire, et il n’est point honteux de lasse
aire les ouvrages ou essayer de nouveau les caractères tracés par une
main
inhabile. Si quelques traits heureux, quelques sc
une des plaies les plus tristes de l’humanité, et il l’a sondée d’une
main
si ferme, qu’il a arraché des cris douloureux. L’
t tellement préoccupé qu’il ne semble pas très empressé d’accepter la
main
de Marianne, et qu’il se laisse plutôt solliciter
u fourbe la fatale cassette qu’un ami fugitif avait déposée entre ses
mains
, est une espèce de théorie de la restriction ment
ation fastueuse pour ce grand homme, se soit vu contraint à porter la
main
sur son chef-d’œuvre. Remettez-vous, monsieur, d
s les matérialistes de la révolution se sont sanctifiés en un tour de
main
. De toute part les Tartufes reparaissent ; les Or
sion des tomes V et VI de cette Histoire, il nous est tombé entre les
mains
une seconde partie des Œuvres de P. Corneille, im
et le Pô, et le Tibre romain, De n’avoir rien produit d’égal à cette
main
. À ce Plaute rené, à ce nouveau Térence, La trouv
e jette aux genoux de sa maîtresse, qui lui pardonne, et lui donne sa
main
à baiser ; mais un instant après, et dans la même
ne, il lui dit tout bas qu’il n’est pas content de lui avoir baisé la
main
, et qu’il souhaiterait aussi de l’embrasser. Elle
’embrasser son tuteur, se sert de ce moyen pour donner à son amant sa
main
à baiser, et lui engager sa foi. On connaîtra par
s la nature, S’élève au-dessus des humains, A, dit-on, bien prêté les
mains
, Ou plutôt son sens, et sa tête, Aux appareils de
ent ni monnoie, Car sans distinction d’humains, Elle reçoit de toutes
mains
, Elle fait toutefois la grâce, À plusieurs Messie
n, fort singulière, Et venant du rare Molière, C’est-à-dire, de bonne
main
, Je la verrai, (je crois) demain. « [*]La Criti
reine mère ; Ô vraiment trop heureux humain ! D’avoir d’une si belle
main
, Si blanche, et même si royale, Obtenu ce riche r
it que bonne dans l’original, mais elle est devenue sublime entre les
mains
de Molière. « Dans la comédie espagnole, la princ
phé de son cœur. Il implore son appui avec transport, pour obtenir la
main
de celle qu’il adore, et part précipitamment pour
ant qui il est, elle répond : toi seul, et lui donne en même temps la
main
. Le rival qui s’était le plus flatté du retour de
moins que si elle veut se venger, il est prêt d’exécuter de sa propre
main
l’arrêt qu’elle prononcera ; la princesse lui rép
pagnie, (Ce qui paraissait plus qu’humain) Sans que personne y mît la
main
; Le tout par des ressorts internes, Qui plairai
ppréhendé que l’on ne le jouât ; et c’est ce qui lui a fait mettre la
main
à la plume. » Robinet parle de cette lettre, et
nniere. Il met pour sa rançon quarante mines bien comptées, entre les
mains
d’Epidique. Que fait mon drôle ? Au lieu d’amener
usqu’au parfait paiement. Enfin, l’esclave, après avoir passé par les
mains
de son frere, de l’usurier, &c. est reconnue
ages distingués. Les ressorts de l’art seroient révoltants dans leurs
mains
; ils font rire dans celles d’un valet. « Que le
oujours est-il que la troupe dut subir une captivité très pénible aux
mains
des parpaillots. Aussitôt qu’il apprit la fâcheus
nez se méduse ; ma bouche se cerbérise ; mon cou se lestrigonne ; ma
main
se panthérise ; toute la machine enfin se gonfle,
eine se fit un rempart de son petit-fils ainsi survenu. Je pris de la
main
gauche le trésorier et m’en servis comme d’un bou
Nous donnons ci-contre le capitaine Cerimonia : il est représenté une
main
sur sa rapière, dont la pointe soulève son mantea
de lui dire ce qu’il faisoit pendant que les deux armées étoient aux
mains
. Si tu sors de ce pas-là comme des autres, lui di
: O Jupiter ! pour peu que vous aimiez la justice, prenez ma cause en
main
! Jupiter me paroît là invoqué très à propos. Sc
à qui la belle Alcmene est obligée de dire : finissez donc, tenez vos
mains
tranquilles. Le Galant françois va au même but, m
est troublé ! Cette disgrace insigne Est le fatal présent de quelque
main
maligne, Quelque méchant esprit rencontré sur ses
es pas. Sosie. Vous l’avez deviné. Je ne le nierai pas, Cette maligne
main
, si forte & si hardie, D’un orage de coups m’
gouttes de lait Ne sont pas plus ressemblantes ; Et, n’étoit que ses
mains
sont un peu trop pesantes, J’en serois fort sati
r en secret chez elles, s’il permet qu’on lui lie les pieds & les
mains
. L’Amour y consent, bien certain qu’on le déliera
ntraîné par l’habitude, & séduit par l’apparence, bat souvent des
mains
à des fautes qu’un vernis brillant lui cache. Il
office à part, et si Orgon revient de la campagne avec un fouet à la
main
, des guêtres de cuir aux jambes, un grand manteau
rouve déjà sur la scène, et s’assoit pour lui parier en lui tenant la
main
. Cela n’est pas mal, je parle des deux derniers m
ttrape de l’autre. Quand Elmire dit à Tartuffe : « Que fait là votre
main
? » Tartuffe pourrait lui demander si elle se mo
nablement pas lieu d’en douter. Il ne lui met pas tout simplement la
main
sur les genoux , comme l’indique Molière ; il lui
ux , comme l’indique Molière ; il lui prend le genou d’assez, haut, à
main
pleine et longtemps. Voilà un Tartufe qui ne se p
, quand le comédien, avec un prétexte tout prêt, avance timidement la
main
vers le fichu ou les genoux d’Elmire, quand il s’
e d’oublier son incartade à la condition qu’il ne prétendra plus à la
main
de Marianne ; mais après une scène comme celle qu
fait une hydre de procès ; le bras séculier, qui a toute la force en
main
, n’en peut venir à bout.” Le Prélat lui dit : “Qu
is pour avoir été de ses papiers. S’il plaide, pensez-vous, il plaide
main
garnie ; Gardez-vous bien de lui les jours qu’il
un verre et apporte le verre à Tartuffe qui l’écarte doucement de la
main
. Le verre ainsi refusé reste sur la table ; mais,
plus à Tartuffe de ne pas le laisser réfléchir ou retomber entre les
mains
de Cléante. Je voudrais enfin qu’il fût sévèremen
eu de changements considérables : lorsque Cléante prend l’exploit des
mains
de M. Loyal, il va s’asseoir à la table de gauche
e avec des camarades. Il serre la main de tout le monde. Il quitte la
main
de Mlle Bérengère pour prendre celle de Mlle Péri
in de Mlle Bérengère pour prendre celle de Mlle Périga ; il quitte la
main
de Mlle Périga pour reprendre celle de Mlle Béren
en spéculant un peu sur le scandale. Le genou d’Elmire pris à pleine
main
, le regard insistant et cynique, le baiser et le
eux singe tranquille et tapis (sic) au bas de l’arbre, présente d’une
main
un des fruits que les jeunes ont fait tomber par
ont réellement reçu de Messieurs les Consuls de la dite ville par les
mains
du sieur François Adhémar leur trésorier ici prés
outre sculptée angulaire, elle avait, le 27 septembre 1638, passé des
mains
des enfants du tapissier Martin Morot, savoir : C
ages à son geste et à son visage, qu’il avait, comme on dit, dans ses
mains
. Ajoutez que, comme il vit que la médecine était
rtez. Mais, encore une fois, apprenez que ma tête Peut seule dans vos
mains
mettre votre conquête. Sganarelle, dans une par
est trop.Ma bile M’inspiroit cet éclat flatteur autant qu’utile. Les
mains
me démangeoient : mais j’ai craint les brocards Q
e-faix & vilains, Vous, de qui la vengeance est toujours dans vos
mains
! Dubois. Parlez-vous tout de bon ? Dorante. Par
nuer leurs jeux dans son diocèse, à la condition de déposer entre ses
mains
le canevas des pièces qu’ils voudraient représent
saint archevêque donnait son approbation et signait les canevas de sa
main
. Louis Riccoboni raconte que, dans sa jeunesse, i
on à la statue du commandeur, faisait la culbute, le verre plein à la
main
et retombait sur ses pieds sans avoir répandu une
t Polynice, chef de l’armée ennemie, venue d’Argos, frappés par leurs
mains
fratricides, sont tombés sous les murs de la cité
le de se gouverner lui-même, que dans sa sottise il se détruit de ses
mains
. Et, tandis que la comédie ne se glisse point au
comédie, c’est la personnalité de l’homme qui doit conserver la haute
main
. Mais il peut s’y trouver, il est bon qu’il s’y t
t le plus digne d’exciter leurs éclats de rire et leurs battements de
mains
. XI Je ne sais si jamais poète a trouvé un
se sous le ciel bleu, à l’ombre des chênes, et tenant un sceptre à la
main
, elle écoutait les plaintes, pacifiait les différ
se rangeaient autour des hommes forts qui les avaient délivrés de la
main
de quelque géant ennemi ou de la griffe des bêtes
rmi les hommes n’avait d’autre peine à prendre que celle d’étendre la
main
, et de cueillir sa nourriture aux branches des ro
lles établissaient leurs républiques, offrant, sans nul intérêt, à la
main
du premier venu, la riche moisson de leur doux la
l dans leur famille de génération en génération, façonnaient de leurs
mains
leur couche nuptiale, tuaient le bœuf du festin e
é ou la subjectivité qui, dans sa sécurité infinie, conserve la haute
main
. Car il n’y a que ces deux moments principaux de
r s’il y a quelque chose à voler : il lui ordonne de montrer ses deux
mains
, ensuite les autres ; il le fouille, & le con
r parfaire la somme qu’il emprunte, & le plaint de passer par les
mains
des Juifs, des Arabes. Scene II. Maître Simon, c
ercher les moyens de faire renoncer Harpagon à ses prétentions sur la
main
de Marianne, & pour la conserver à Cléante.
rver à Cléante. Scene II. L’Avare voit son fils de loin qui baise la
main
de Marianne ; il dit à la derniere que le carross
x : le voilà au supplice, et à rien ne tient qu’il ne se jette sur la
main
qu’embellit cette bague, pour l’en arracher. Enfi
; qu’on peut juger, d’après cela, si L’Avare a perdu à passer par ses
mains
; qu’au reste, s’il a eu recours à Molière, ce n’
t faire tomber sous leur marteau, et que la France a racheté de leurs
mains
avides, pour en faire hommage à l’enfant royal su
, elle a enfin ses saillies et presque son sublime. Un sot, formé des
mains
de Molière, ne pouvait être le sot commun qui cou
ne, et c’est Molière que ce soin regardait : la chose était en bonnes
mains
. Probablement fort pressé par le temps, il invoqu
ts magnifiques. Dans les deux comédies, une grande princesse, dont la
main
est disputée par des rivaux à qui leur naissance
our, ici à titre de fou, là en qualité de bouffon, et qui, prenant en
main
les intérêts d’un amant timide, emploie tout ce q
Mademoiselle songeait en secret à réaliser cette fable, en donnant sa
main
et ses riches apanages à un cadet de Gascogne, à
de service qui pousse sa reconnoissance jusqu’à lui faire ouvrir les
mains
. De la louange, de l’estime, de la bienveillance
avantes & du Tartufe. Je cite les premiers qui me tombent sous la
main
. LE MISANTHROPE. ACTE I. Scene I. Alceste. Non,
n’avoit de mouvement libre que celui des yeux, de la langue & des
mains
, lorsqu’il épousa Mademoiselle d’Aubigné, si céle
omenoient ensemble hors de la ville, Anselme, prenant Lothaire par la
main
, lui parla de cette sorte : Croirois-tu bien, mon
Anselme, qui étoit trop exact pour manquer à sa parole, mit entre les
mains
de son ami les quatre mille écus d’or, & le j
eut rien faire, il exige de son ami qu’il aille demander à Géronte la
main
de Julie. Crispin annonce à Damon que Julie &
fille maîtresse de son sort : il espere qu’elle refusera toute autre
main
que la sienne. Tous les acteurs sont sur la scene
de nouveau. (Le théâtre représente une forêt.) Timon, la bêche à la
main
, creuse la terre pour y chercher des racines, sa
les biens qu’elle tient de lui, y joint les siens & lui donne sa
main
. « A merveille ! vont s’écrier plusieurs de mes L
r le sentiment unanime ! De nos jours, le poëte n’a plus la lyre à la
main
, mais il n’a pas moins besoin de la collaboration
e dans ses promesses, et fidèle aussi dans ses menaces, tient dans sa
main
les cœurs de ces hommes qui ne sont que les instr
ophane et Sophocle, Corneille, Racine et Molière peuvent se tendre la
main
. Les pages que M. Rambert donne à Molière sont pa
art eux-mêmes des hommes religieux. Mais, en France, la critique a la
main
sèche; partout où elle a passé, il ne reste que d
e frivolité ; s’il venait au secours de Pascal, ou s’il ne prenait en
main
que la cause des plaisirs de la cour, menacés par
é dont il a besoin. Dans Le Misanthrope Molière renverse de sa propre
main
l’idole qu’il avait élevée; après avoir morigéné
vers moi les vœux de plusieurs Princes. Pepin se présenta, demanda ma
main
, & fut écouté ; vous savez tous les titres qu
Reine qui leur tendoit les bras, firent tomber les poignards de leurs
mains
. Je leur parus si infortunée qu’ils n’oserent att
e procurer des armes contre ses mauvais propos. Elle a déja entre ses
mains
une lettre amoureuse de la fausse prude, & el
a maîtresse, fuit d’Athenes la rage dans le cœur, & la bêche à la
main
, travaille la terre pour y chercher de quoi vivre
II. Scene IV. Le théâtre représente une forêt. Timon, une bêche à la
main
. Pere de la nature, Soleil ! attire à toi les hum
e si méchant qu’une telle fripponne. J’aurois pour elle au feu mis la
main
que voilà. Malheureux qui se fie à femme après ce
e soit d’un autre avis. Pamphile. Cela s’entend. Simon. J’y donne les
mains
. Chrémès. Pamphile, ma fille aura pour dot dix ta
hose à faire, elle s’y terminera aussi. Adieu, Messieurs ; battez des
mains
. Racine a fait pis que Moliere & Térence. L
manquera de sa vie . . . . Encore une fois, je t’en conjure par cette
main
droite que je mets dans la mienne, & que je s
onne qu’on lie Tindare, qu’on lui mettre les fers aux pieds & aux
mains
, & qu’on l’envoie aux carrieres. Tindare ne
, cet ami que je plains, Lui-même, en grand secret, m’a mis entre les
mains
. Pour cela, dans sa fuite, il me voulut élire, Et
un Prince ennemi de la fraude. . . . . . . . . . Il veut qu’entre vos
mains
je dépouille le traître. D’un souverain pouvoir,
ntenta de lui laisser seulement huit mille livres de rente, entre les
mains
de personnes qui les lui payoient regulierement.
oit faites sur quelques idées plaisantes sans y avoir mis la derniere
main
& il trouva à propos de les supprimer entiére
ogue fort à son gré & non contente de le solliciter d’y mettre la
main
; s’étoit mise elle-même à travailler sur la même
re avoit épousé sa rivale ; ou comme si sa fille fût tombée entre les
mains
d’un malheureux. Neanmoins il fallut bien s’appai
si bien que la Princesse d’Elide qui n’est pas tombée en de si bonnes
mains
à beaucoup près pour ce qui regarde la versificat
ve pour un enfant de douze ans, qui étoit depuis long-temps entre les
mains
de gens durs, avec lesquels il avoit souffert, &a
ispositions qu’il avoit pour le Theâtre, il restât en de si mauvaises
mains
. Ce fut cette fâcheuse situation qui toucha Molie
se le lendemain matin dans la chambre de Moliere, deux pistolets à la
main
, & lui dit que s’il ne lui rendoit son Acteur
coup de l’emportement à la douleur ; les pistolets lui tomberent des
mains
, & elle se jetta aux pieds de Moliere, le con
dignés du secours qu’on venoit de leur donner, ils mirent l’épée à la
main
, courent sur leurs ennemis, les poursuivent jusqu
tte Piece ; & Moliere croyoit donner par cet Ouvrage une derniere
main
à sa reputation. Il avoit manié le caractere de l
emps porte votre jeunesse, Pourvû que vôtre cœur veuille donner les
mains
Au dessein que j’ai fait de fuir tous les humai
Harpagon chasse la Fleche valet de son fils & demande à voir ses
mains
pour savoir s’il ne l’a pas volé. Elle est presqu
s à Moliere. Oh ! Monsieur, dit Baron, M. de Moliere est en de bonnes
mains
. Depuis que le Roi a eu la bonté de donner un Can
reputation de Chapelle, se vante de posseder écrit & raturé de sa
main
? Mais à en venir à l’examen, on y trouveroit sûr
these, qui dégenera en invectives ; & ils en étoient presque aux
mains
derriere le Theâtre, quand Moliere arriva ; &
t Moliere, j’ai un froid qui me tuë. Baron après lui avoir touché les
mains
, qu’il trouva glacées, les lui mit dans son manch
Montmartre. Tous ses amis y assisterent ayant chacun un flambeau à la
main
. La Moliere s’écrioit par tout : Quoi ! l’on refu
Cour immolée au Parterre. Mais si-tôt que d’un trait de ses fatales
mains
, La Parque l’eût raié du nombre des humains,
sur des manuscrits de Molière, ou sur des exemplaires corrigés de sa
main
… C’est donc à eux, à eux seuls qu’il faut attribu
la visiter. On y trouvera un homme simple, affable, prêt à tendre la
main
à l’infortune, et à frayer la route au talent : l
n jeune se présenta devant l’auteur du Misanthrope, une tragédie à la
main
; l’ouvrage n’était pas susceptible d’être joué ;
êve pour un enfant de douze ans, qui était depuis longtemps entre les
mains
de gens durs, avec lesquels il avait souffert ; e
s dispositions qu’il avait pour le théâtre, il restât en si mauvaises
mains
. Ce fut cette fâcheuse situation qui toucha Moliè
se le lendemain matin dans la chambre de Molière, deux pistolets à la
main
, et lui dit que s’il ne lui rendait son acteur el
coup de l’emportement à la douleur ; les pistolets lui tombèrent des
mains
, et elle se jeta aux pieds de Molière, le conjura
ne autre actrice nommée Catherine Des-Urlis, elles mirent l’épée à la
main
, et se battirent après la petite pièce15. Mlle
ait le rôle de don Diègue dans Le Cid ; son épée lui était tombée des
mains
, comme la circonstance l’exige dans la scène qu’i
malveillants, d’insinuations perfides. Ils se connaissaient de longue
main
, car Guichard était fils d’un des premiers valets
rs. Le vindicatif musicien eut vent de ces propos et déposa entre les
mains
du lieutenant criminel une plainte où il prétendi
ouissent quand on les examine de près, le flambeau de l’histoire à la
main
. Mais les nouveaux champions d’une vertu fort pro
, la Ledoux, qui, moins heureuse que Mme de la Motte, resta entre les
mains
de la justice ; La Tourelle, dont plus tard la de
et constructeurs. Les quittances de ces ouvriers restèrent entre les
mains
de Pocquelin père, et elles figurent dans l’inven
les prières de l’Église ; il l’avait vu maintes fois verser entre ses
mains
« les reliquats impartageables des chambrées », e
des ressemblances frappantes : ils sont évidemment sortis de la même
main
, en sorte que, si l’authenticité de l’un des deux
..........Si vous trouviez demain Deux lignes seulement écrites de sa
main
, Vous seriez honoré par quiconque sait lire ! Pl
le, et que les deux lignes signées de Molière sont parfaitement de sa
main
. » On se demande sur quelles preuves le savant e
deux pièces de Montpellier. Le corps de l’écriture, les habitudes de
main
qu’il décèle, ne sont pas moins différents. Autan
doive en pleine confiance, sans contestation possible, attribuer a la
main
qui a écrit ces trois maîtresses œuvres, l’honneu
de la Pijardière et contre les autres pièces qu’on a attribuées à la
main
de Molière. Je dois une réponse à M. Jules Loisel
il me semble également fabriqué. J’y reconnais l’encre jaunâtre et la
main
assez habile du faussaire qui a composé et écrit
serait fait le complaisant et le détracteur des jésuites ; de la même
main
qui glorifiait le jansénisme dans Alceste, il l’a
lon moi, son chemin dans l’esprit public si elle était lancée par une
main
autorisée. Pourquoi la ville de Paris, qui profes
e temps que d’écrire en prose ; il a supprimé un des prétendants à la
main
de la princesse, et donné à l’autre un commenceme
mplaire échappe à la proscription, ne fût-ce que pour passer dans les
mains
de ceux qui l’ont ordonnée, un ou deux exemplaire
s traits de la scène du pauvre qu’il déclarait avoir lue écrite de la
main
de l’auteur, entre les mains du fils de Pierre Ma
re qu’il déclarait avoir lue écrite de la main de l’auteur, entre les
mains
du fils de Pierre Marcassus, ami de Molière. C’es
te du Dépit amoureux françois. On a vu que Diane voulant conserver sa
main
à Flaminio, a écrit à Silvio, à qui on la destine
as si fort que je ne voie avec peine votre ingratitude. J’ai dans mes
mains
la lettre que vous avez écrite à Silvio. Le voilà
je vous aimerai7. Voilà qui m’assuroit à jamais de vos feux : Et la
main
& la lettre ont menti toutes deux. (Elle déch
ent Qu’après s’être engagés sans son consentement. Jodelet, levant la
main
pour parler. Ainsi donc... Pancrace, l’interrompa
er : alors Mascarille avoue que c’est lui. Son maître met l’épée à la
main
pour le tuer. Cette scene est dans Arlequin muet
onne de les transporter à la ville. Arlequin arrive en nageant d’une
main
, & en portant une lanterne ou un parasol de l
arbres des environs. Le tyran, au désespoir, veut mettre l’épée à la
main
pour punir Arlequin ; celui-ci l’enchante. Le Doc
le pendant la danse des deux Pages, dansent en se battant l’épée à la
main
. Quatrieme entrée de Ballet. Deux Suisses sépar
onduire un char dans la carriere, A disputer des prix indignes de ses
mains
, A se donner lui-même en spectacle aux humains, A
n, prend possession de sa maison, & fait sous son nom demander la
main
de sa belle : c’est ici que la piece commence. Le
i, qui, vaincu de son côté par cette action généreuse, lui accorde la
main
d’Orphise. Le dernier Editeur des œuvres de Molie
ller pour cacher mon dessein, Et jusqu’à mon carrosse il m’a prêté la
main
. Je m’en suis promptement défaite de la sorte, Et
es & demie, qu’il est temps qu’elle se retire. Fabio lui offre la
main
pour la conduire ; elle l’accepte, afin de donner
rouble : elle dit à Lisardo que son secret & sa vie sont dans ses
mains
, ce qui confirme Lisardo dans l’idée où il étoit
poursuit. Scene XIII. Grand chagrin de Marcella qui se voit dans les
mains
de son frere : grande joie de Dom Félix qui croit
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