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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
ort. Il est surpris de voir son ami dans la rue ; il lui conte que sa maîtresse est jalouse d’une certaine Nice qu’il a aimée aut
Célia, suivante de Laura amante de Dom Félix, vient lui dire que sa maîtresse est fort en colere contre lui, mais que pour lui
entrer Dom Félix en secret, & comme si c’étoit sans l’aveu de sa maîtresse . Scene VII. Célia querelle Dom Félix de ce qu’i
vient chez Laura, puisque Célia l’y conduit, par l’ordre secret de sa maîtresse . Comment une piece, dont rien ne s’est fait par h
oire. Scene XVII. Célia, qui ne voit pas Dom Félix, vient dire à sa maîtresse que le Cavalier est sorti. Dom Félix reprend tout
s malles prêtes, parcequ’il veut partir ; il craint d’être aimé de la maîtresse de son ami. Scene XIX. Marcella défend à Lisard
ans ses mains, ce qui confirme Lisardo dans l’idée où il étoit que la maîtresse de son ami a du goût pour lui. Marcella se cache.
p; sur-tout ceux que lui a causé un homme caché dans le cabinet de sa maîtresse . Voilà Lisardo toujours plus persuadé qu’il est l
. Scene II. Dom Félix raconte à sa sœur qu’il a vu un homme chez sa maîtresse , & qu’il en est jaloux : Marcella se garde bi
Félix est chagrin. Lisardo, content de savoir qu’il n’ont pas la même maîtresse , l’entraîne hors du théâtre pour lui apprendre qu
ne X. Lisardo dit qu’il est dans la rue & devant la maison de sa maîtresse  : Dom Félix est surpris, on fait le signal : la f
2 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
tausier, gouvernante de M. le Dauphin. — Mademoiselle de La Vallière, maîtresse du roi. Dans le commencement de cette période, l
era quelques années plus tard, victime d’une perfidie du roi et de sa maîtresse . Mais son malheur même aura accéléré la victoire
ncini, sœur de la comtesse de Soissons, qu’il avait aussi eue pour sa maîtresse . Marie, délaissée, avait épousé le connétable Col
Henri IV, lui avaient persuadé que la France voyait sans scandale des maîtresses attitrées à ses rois, et regardait l’usage qui le
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311
ser humblement la terre à tous moments : il ne lui fera pas dire à sa maîtresse qu’il a pour elle une dévotion à nulle autre pare
Harpagon contraint à laisser un diamant de prix dans les mains de sa maîtresse , ne se trouve-t-il pas, sur-tout dans la derniere
gon, contraint par son fils à laisser un diamant dans les mains de sa maîtresse , ne présente pas la situation où l’on desireroit
s Tartufes qu’on a mis sur le théâtre, ont convoité les femmes ou les maîtresses des autres. Dans Scaramouche Hermite, piece qu’on
iens, le Pédant qui fait des réprimandes à son éleve parcequ’il a une maîtresse , est surpris bientôt avec elle, & son Discipl
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
Accante arrive, Champagne l’instruit de la prétendue infidélité de sa maîtresse , malgré les signes redoublés de Laurette, qui fei
nte est furieux. Laurette augmente sa rage en lui disant que sa jeune maîtresse aime le Marquis à l’excès. Il veut aller lui repr
sé au Marquis. Laurette profite de l’occasion pour prouver à sa jeune maîtresse qu’Accante la méprise à l’excès, puisqu’il fait s
le lui dit que le Marquis doit être introduit pendant la nuit chez sa maîtresse  : ce qu’il y a de bon, c’est qu’elle ne ment pas.
Soubrette, qu’Accante voit entrer le Marquis dans l’appartement de sa maîtresse . Elle paroît malgré Laurette, qui craint toujours
, parlez-nous sans finesse ; Vous cherchez Isabelle, & non pas ma maîtresse  : Avouez sans façon ce qu’aisément je vois. Accan
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
uants subalternes, pour tromper les oncles & les tuteurs de leurs maîtresses  ; que les modernes amours ont des courtiers plus
le ? Au lieu d’amener au vieillard sa chere fille, il lui présente la maîtresse de son jeune patron, qu’il a rachetée. Pendant ce
nnieres, une jeune personne qui cache son nom. Il oublie son ancienne maîtresse , achete l’esclave pour le prix de quarante mines 
u’Argyrippe a de l’argent il entre chez la matrone, & jouit de sa maîtresse  ; dès que son trésor est épuisé on lui refuse la
guants subalternes pour tromper les oncles & les tuteurs de leurs maîtresses  ». L’Auteur a voulu dire, sans doute, que les co
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
’est choisi, & joue le rôle d’un malhonnête homme vis-à-vis de sa maîtresse . Ce n’étoit pas assez d’éviter cet écueil, il fal
dation vraisemblable aux progrès que cet amant fait sur le cœur de la maîtresse éprouvée : d’ailleurs le plan de cette piece dema
nduisit si bien qu’en peu de jours il mit son ami en possession de sa maîtresse qui s’appelloit Camille, & reçut de l’un &
nheur de son rival. Cependant Léonelle, se voyant la confidente de sa maîtresse , ne se gêne plus, fait venir dans sa chambre un j
re alléguer des raisons pour différer son bonheur : elle l’avoue à sa maîtresse . Julie lui répond que Léandre l’a conjurée d’atte
ine de couronner son amour ; elle veut suivre en tout l’exemple de sa maîtresse & ne s’expliquer qu’avec elle. Acte V. Nérin
’a dit Géronte, apprend avec plaisir que le bon-homme laisse sa fille maîtresse de son sort : il espere qu’elle refusera toute au
de mari, comme tous les Tuteurs de Moliere, & qui, en perdant une maîtresse infidelle, perdît au moins une somme considérable
che, elle la fait passer dans l’ame du spectateur ; tous desirent une maîtresse qui lui ressemble. D’ailleurs, où est dans la pie
la marier. Oronte feint de ne pas l’entendre. Nérine conseille à sa maîtresse de jetter les yeux sur quelque honnête homme, &am
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
tient & sert à la machine générale, puisqu’il prie l’oncle de sa maîtresse d’être favorable à son amour, & que c’est en
x, & s’insinue si bien dans l’esprit de Madame Murer, tante de sa maîtresse , qu’elle lui permet d’épouser sa niece en secret,
nsuite de la malle quelques ajustements & un chapeau galant de sa maîtresse , qu’elle essaie avec complaisance devant une glac
s flacons sont ceux qu’on demande. Elle porte ensuite la cave chez sa Maîtresse , après avoir allumé les bougies qui sont sur la t
aquais arrive au coup de sonnette. Betty vient de l’appartement de sa maîtresse en pleurant, & lui dit tout bas de rester au
ance. Est-il naturel que des domestiques, affectés du malheur de leur maîtresse , & qu’un pere craignant pour les jours de sa
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
oît un instant après, qui laisse voir toute sa perfidie & perd sa maîtresse . Ces deux scenes sont parodiées l’une de l’autre,
ai.... Pasquin.... n’y a-t-il pas là une montre ?.... Porte cela à ta maîtresse . Allons donc, qu’on acheve de m’habiller. Dans l
amp; une montre ; Moncade, pour toute réponse, lui dit de porter à sa maîtresse l’agraffe qu’on vient de lui donner. Dans la scen
fait part à Pasquin des raisons qui l’ont rendu perfide à toutes ses maîtresses  ; l’une met du blanc, l’autre n’a pas d’esprit, c
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
re, toujours honnête, toujours respectueux, fait déguiser son honnête maîtresse , qui, aidée de son honnête femme de chambre, met
mants. Alors Griffon, touché par des manieres si engageantes, cede sa maîtresse à son fils, à condition qu’on lui rendra son coll
iction pour un cas plus grave que celui d’avoir mis le portrait de sa maîtresse en gage. LE DISTRAIT. Nous avons prouvé dans le C
beaux & ses mauvais côtés ? Point du tout : Démocrite n’a avec sa maîtresse que deux petites scenes très maigres ; encore son
qui l’instruit dans l’art de dépenser son bien ; & avec Lucile sa maîtresse , demoiselle très aisée à vivre, qui a une grosse
de l’aveu de son valet Crispin, ne possede pas un double. Agathe, sa maîtresse , feint d’être folle pour escamoter une bourse au
traire que le premier, pour prix de ses escroqueries, épouse sa jeune maîtresse , garde la moitié des soixante mille écus ; &
end contre lui. Le bon homme a dessein de se marier ; mais il cede sa maîtresse à son neveu Eraste, & veut lui donner son bie
a volé son porte-feuille, & le remet à Madame Argante, mere de sa maîtresse , qui s’en charge après quelques petites façons ;
e établit richement sa fille ; Eraste a pour récompense la main de sa maîtresse , & tous les biens de son oncle78. Regnard es
e, amoureux de sa femme, pouvoit regretter son cœur comme celui d’une maîtresse chérie ; mais il étoit trop philosophe pour se cr
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. Des Pieces à caractere. » pp. 253-258
eur, jaloux comme il n’en fut jamais. Don Juan imagine de parler à sa maîtresse à travers un tour que le jaloux a fait mettre à s
surprend : grand embarras. Don Juan veut persuader qu’il est avec sa maîtresse , une demoiselle du quartier, qu’il ne peut pas lu
pour Don Juan ; mais celui-ci profite de ce temps-là pour enlever sa maîtresse . Le lecteur peut voir sans peine que tout ce qui
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
nté un nouveau langage, à la faveur duquel notre jeune héros dit à sa maîtresse , qu’il s’estimeroit bien heureux de la pouvoir po
teur l’ingratitude horrible d’Inkle qui vend sa bienfaitrice & sa maîtresse . On a dû remarquer que M. de Chamfort s’est aussi
e demande la cause de mes larmes. J’ai été arraché, lui dis-je, à une maîtresse que j’adore : j’étois près de l’épouser, & je
ôt le consentement de son pere ; &, de concert avec l’oncle de sa maîtresse , il résolut d’aller célébrer son mariage à Malte.
ut s’exprimer. Perdre en peu de jours sa fortune, sa liberté & sa maîtresse , c’est ressentir tout à la fois trois coups dont
c’est la vie. Je la perds si vous ne trouvez le moyen de me rendre ma maîtresse . Un de vos jeunes Turcs me l’enleve. Je ne veux p
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
aux amours de Dorante : pour le servir en piquant l’indocilité de sa maîtresse , elle conseille à Francaleu de lui défendre d’aim
est son rival, qu’il est protégé par la mere, & qu’il épousera sa maîtresse . Acte II. Licipe conduit les deux Dames dans une
aître. Celui-ci dans l’obscurité rencontre la mere, croit parler à sa maîtresse , & lui fait part de toutes les bontés que sa
e, satisfaite, va se retirer. Cléandre, trop empressé de rejoindre sa maîtresse , renverse des escabelles. Philipin éteint la lumi
ervice de son rival, comme Philipin au service de la mere & de la maîtresse de son Etourdi : mais Mascarille motive fort plai
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
en prose, de le Grand. Un jeune homme qui veut éprouver le cœur de sa maîtresse , fait déguiser son valet en financier. D’un autre
a maîtresse, fait déguiser son valet en financier. D’un autre côté la maîtresse fait déguiser sa soubrette en dame, pour connoîtr
Elle laisse tomber son portrait : Dom Lope voit que c’est celui de sa maîtresse , & ne voit pas que c’est celui du faux cavali
14 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIX » pp. 207-214
oètes, leur concert pour favoriser les mœurs de la cour, célébrer les maîtresses , exalter, sous le nom de magnificence royale, des
galant magnifique et téméraire, qui avait osé prétendre au cœur de la maîtresse du monarque et essayé de la séduire. Il était sag
x, leur bassesse dans Les Animaux malades de la peste ; le danger des maîtresses dans Le Lion amoureux ; l’esprit des courtisans,
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
, Thimon, après avoir régalé ses amis, après avoir donné un bal à ses maîtresses , fuit loin de son ingrate patrie dans un désert,
nt qu’il n’a pas la force d’y descendre ; il prie Evandra, sa fidelle maîtresse , qui l’a suivi, de le précipiter dans son dernier
depuis son enfance. Elle arrive ; on fait croire au pere que c’est la maîtresse de son fils, qui veut s’introduire dans sa maison
ce monstre, m’affecte bien plus vivement qu’un amant dédaigné par sa maîtresse . L’Exempt qui fait rentrer Orgon dans tous ses bi
16 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
i, confiante et dépitée tour à tour, suivant que les influences de la maîtresse s’exerçaient pour ou contre elle. Sa fierté bless
ion et par l’ivresse d’une campagne glorieuse, était bien aise que sa maîtresse fut toujours considérée à la cour, et l’entrée en
ant la séparation, que la liberté qu’il trouvait dans la maison de la maîtresse , et un lieu où il pouvait échappera l’ennui que l
que lui causait la société de la reine.) « Le reste (l’intimité de sa maîtresse ), par quelque raison que ce puisse être, ne lui t
sa campagne. L’absence, les lettres, raniment l’amour du roi pour sa maîtresse . Il lui prodigue l’argent, elle rend son habitati
17 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
pectée, tâche impossible à une femme galante. Elle ne veut point être maîtresse , mais amie d’un prince à qui il faut faire perdre
appétit admirable. Je vous dis le fait sans aucune paraphrase. » Les maîtresses de François Ier, de Henri II, les Châteaubriant,
ondance qui, nonobstant le jubilé, s’était établie entre le roi et sa maîtresse . Aussi, dès le 27 juin, exprimait-elle à l’abbé G
de pousser l’impudence plus loin que d’affronter tout ensemble, et la maîtresse qu’on a trahie et supplantée, et la reine, qu’on
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
sur le théâtre pour respirer, elle est lasse de voir pleurer ses deux maîtresses . La Comtesse veut parler à Julie, elle entre dan
pas permettre que la sage-femme fasse quelque faute en accouchant sa maîtresse  : elle apperçoit de loin Pamphile ; elle voit le
ave demande à Mysis des nouvelles de l’Andrienne ; elle répond que sa maîtresse appréhende de voir casser son mariage, & que
ue rien ne pourra les séparer : il prie Mysis de ne point parler à sa maîtresse du mariage auquel on veut le forcer. L’ANDRIENNE
t de ne la jamais abandonner. Mysis, seule, déplore l’infortune de sa maîtresse . Dave porte l’enfant nouveau né, & ordonne à
ndra bien d’autres, si vous l’écoutez, dit-il ; elle vous dira que sa maîtresse est citoyenne. Mysis assure que rien n’est plus v
joindre Simon. Misis regarde Dave comme un monstre déchaîné contre sa maîtresse  : il lui dit qu’il n’a feint que pour donner plus
contre nature, que l’amant heureux ne volât pas vîte aux pieds de sa maîtresse pour partager avec elle sa félicité, & qu’il
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
ettres : il se trouve enfin qu’elles sont de lui, & qu’une de ses maîtresses les a renvoyées à sa femme. Méprise balourde.
e, baise les chers tessons de la bénite terrine qui lui a conservé sa maîtresse , & l’épouse. Ainsi finit la parade intitulée
la recevoir. Juliette, chargée de la faire accepter, veut pousser sa maîtresse à bout, change le texte, & feint de lire ce q
bonpoint, lorgna celle d’une jeune Marton qui fut cruelle, avertit sa maîtresse , & l’instruisit si bien, qu’elle surprit son
20 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
oir un homme amoureux qui abandonnerait une ville comme Paris pour sa maîtresse . Je ne crois pas qu’on puisse rien voir de plus a
, on doit être satisfait dans cette scène, puisqu’il y paraît avec sa maîtresse , mais avec la hauteur ordinaire à ceux de son car
s la suite. Pendant leur entretien, quelques gens viennent visiter sa maîtresse , il voudrait l’obliger à ne les pas voir, et comm
celui du Misanthrope même, sans le faire sortir de son caractère. Sa maîtresse lui dit deux fois de demeurer, il témoigne qu’il
e rencontrent deux marquis, l’ami du Misanthrope, et la cousine de la maîtresse de ce dernier. La jeune veuve chez qui toute la c
t entre eux de se dire les marques d’estime qu’ils recevront de leurs maîtresses est une adresse de l’auteur qui prépare la fin de
ue humeur qu’ils fussent ; il offre son cœur à la belle parente de sa maîtresse  ; mais elle lui fait voir que ce n’est que le dép
qu’une coupable aimée est bientôt innocente. Ils le laissent avec sa maîtresse qui paraît, et se retirent. « Je ne crois pas qu’
rien ne peut diminuer sa colère, et que la pleine justification de sa maîtresse ne pourrait qu’avec peine calmer sa fureur ; cepe
tout radouci, il ne parle que du désir qu’il a de faire du bien à sa maîtresse  : et ce qui est admirable, c’est qu’il lui dit to
ait retirer dans un coin de la chambre, où il voit aussitôt entrer sa maîtresse accompagnée de l’homme avec qui il a eu démêlé po
isant promettre qu’ils se montreraient ce qu’ils recevraient de leurs maîtresses . Cette scène est fort agréable. Tous les acteurs
, à la faveur de leur déguisement, trouvent le moyen d’en tenir leurs maîtresses en particulier, quoique Sganarelle et Dom Pèdre,
ué un bouquet de fleurs au présent du moineau que Myrtil donnait à sa maîtresse . » Nous parlerons de Guérin le fils et de sa pas
service que pour se faciliter les moyens d’être toujours auprès de sa maîtresse . Élise, d’un autre côté, en lui permettant de fai
e la liberté du choix, et finit par supplier son père de lui céder sa maîtresse . Molière s’est imaginé avec raison qu’il ferait s
e de ce vieillard, afin d’être plus à portée de jouir de la vue de sa maîtresse . Pour y mieux réussir, il se présente à Pantalon
n. ACTE II. Scène V. Scapin fait accroire à Pantalon que sa maîtresse est amoureuse de lui à la folie. Il lui rend comp
fait accroire à chacun d’eux en particulier que son rival lui cède sa maîtresse , etc. Maître Jacques fait la même scène entr
le, Et s’acquitte ma foi des mieux, De son rôle facétieux. Dorine 4, maîtresse servante, Est encor bien diversifiante. Et Cléant
21 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
jeune amoureux prêt à rompre les os au premier qui osera dire que sa maîtresse n’est pas la plus belle femme du monde. Vous dite
prétend réduire toutes les facultés d’un artiste à une seule faculté maîtresse , toutes les facultés maîtresses de tous les artis
ultés d’un artiste à une seule faculté maîtresse, toutes les facultés maîtresses de tous les artistes d’un même peuple à une grand
22 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
 ? Et ensuite, comment madame Scarron aurait-elle pu croire que si la maîtresse du roi avait eu des enfants d’un autre que lui, o
it besoin de cette garantie contre le reproche de s’être dévouée à la maîtresse du roi, et d’être entrée en quelque sorte au serv
s’interdisait de profiter de ses succès, en combattant l’habitude des maîtresses par la religion, et ne prenait pas le chemin de l
urent lieu pour l’éducation des deux premiers enfants du roi et de sa maîtresse , en 1670, ne doivent pas être confondus avec ceux
23 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
n ne le trouve pas moins aimable, il lui en conte : elle demande à sa maîtresse si elle n’est pas alarmée du goût qu’elle ressent
garde : il sort. Marton se confirme dans l’idée où elle étoit que sa maîtresse aime Lindor. Pasquin demande, de la part de Lind
a ensemble n’avoit rien que d’intéressant. Il vouloit avoir une jolie maîtresse , & un excellent cheval de bataille ; il se re
x que l’amour. Quelle comparaison, & que le sort est injuste ! Ta maîtresse est assez bien ; mais a-t-elle cette taille, cet
Poétisons . . . . . . Mais pour qui ? Comment ! Pour Philis . . . ma maîtresse . Elle a un petit nez troussé, bien capable d’ouvr
De même qu’un taureau . . . . Mais cette comparaison-là effraiera ma maîtresse . . . . . . Tout coup vaille, écrivons. Forlise.
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468
le & son fils ne se fassent signe de le voler. Il veut épouser la maîtresse de son fils, pourvu qu’il y trouve quelque bien.
vantant sa fraîcheur, ses manieres, en lui peignant les charmes de sa maîtresse , l’amour qu’elle a pour lui, les avantages qu’il
’appelle. ACTE III. Scene I. Harpagon, obligé de donner à souper à sa maîtresse , recommande à Dame Claude de ne pas frotter les m
sus un seul moment, même par son amour. Il a été autant avare avec sa maîtresse , & plus, qu’avec tous les autres personnages 
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
des flageols par les bois résonner, Le pâtre sauter d’aise avecque sa maîtresse , Folâtrer, baisotter, il faut que je confesse Que
usent. Fortunian a même l’avantage de conserver par-là les jours à sa maîtresse , qui, soupçonnée d’avoir écouté l’Amour, alloit ê
si je mets encore le feu à la maison, ce sera d’une autre maniere. Sa maîtresse lui fit infidélité : il vole chez la perfide, qui
26 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
’opinion publique contestera-t-elle à un tel roi le droit d’avoir une maîtresse , quand il y a peu de femmes qui ne désirassent de
y a peu de femmes qui ne désirassent de l’être ? Néanmoins, quand la maîtresse du roi ne fait pas scandale dans la société, la s
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
pagne. Tu sais quelle amitié de tout temps fit paroître L’époux de ta maîtresse au pere de mon maître ; Qu’ils étoient grands ami
ut pris, & chez les Turcs vendu par des corsaires. Tu sais que ta maîtresse en eut peu de douleur, Et très patiemment support
ns le directeur prudent : Il le choie, il l’embrasse ; & pour une maîtresse , On ne sauroit, je pense, avoir plus de tendresse
& sérieux. . . . . . . . . . . . . Entre nous, j’entrevois Que ma maîtresse l’aime ; & cependant je crois Qu’il ne doit p
agner. Patience pour cela, mais ce sera encore à recommencer quand sa maîtresse aura accouché, quand le jour de la naissance de l
28 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
nt la situation de madame de Maintenon, de madame de Montespan et des maîtresses . Le 27 février 1679, madame de Sévigné écrit au c
uillité. Madame de Montespan veut absolument que je cherche à être sa maîtresse (du roi). Mais, lui ai-je dit, il en a donc trois
ontespan pour madame de Maintenon, qu’elle prenait à peine garde à la maîtresse en titre, madame de Fontanges, dont pourtant le r
quetterie pour se faire aimer du roi, et elle qui, pouvant devenir sa maîtresse , le ramène à ses devoirs de mari. Qu’on l’accuse
r, elle qui avait acquis le cœur du roi et obtenu sa renonciation aux maîtresses , durant la vie de la reine plus jeune qu’elle ! S
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. M. DORAT. » pp. 463-467
la presse, elle finit par s’écrier avec des torrents de larmes : O ma Maîtresse  ! c’est sur vous que je pleure ; cette nuit est l
e ? Quoi ! un massacre ! Je n’en ferai rien. Faire mourir notre belle maîtresse , Peut-être un jour elle nous fra du bien.   Sauve
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
akespeare. Timon ruiné, abandonné ensuite par ses amis, trahi par sa maîtresse , fuit d’Athenes la rage dans le cœur, & la bê
ensemble. O Dieu ! donnez, je vous prie, un heureux accouchement à ma maîtresse , & faites que si la sage-femme doit faire que
se peint l’indulgente tendresse... Courons de ce bonheur informer ma maîtresse . 36. Plaute, poëte comique, né à Sarsine, vil
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
ra avec une joie extrême d’avoir reçu des assurances de l’amour de sa maîtresse , & des présents magnifiques qu’il lui montra
, fait à ce fils des reproches sanglants, l’oblige d’aller trouver sa maîtresse , & de lui demander pardon de ses importunités
épense, il va au cabaret, il se parfume ; c’est de mon bien. Il a des maîtresses  ; je lui donnerai de l’argent pendant que je le p
ard insensé, Qui fait le dameret dans un corps tout cassé ! Une fille maîtresse & coquette suprême ! Des valets impudents ! N
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168
’argent à M. Jourdain, lui voler une bague & lui faire régaler sa maîtresse , se souciant fort peu de passer pour le Mercure d
a Tante. Ce soir nous signerons ; demain le mariage. Chez moi je suis maîtresse , & l’hymen contracté, Lisette étant pour nous
aveur auprès du maître, les autres pour se souffler des amants ou des maîtresses  ; ceux-ci pour se mystifier, ceux-là pour se fair
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
ste à dire de lui tout le mal possible, & à soutenir que sa jeune maîtresse n’est pas l’affaire d’un bigot. Scene III. Dorin
ndre le caractere de son maître, & dévoile en échange celui de sa maîtresse . Voilà qui va bien : j’aurois seulement desiré de
bientôt, & dans la même scene, il se fait prier pour prêter à sa maîtresse une somme qu’elle a perdue au jeu : je ne reconno
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
e & son Amour Castillan le prouvent assez. Bientôt rebuté par une maîtresse trop exigeante, il en chercha une plus facile. No
ite au Marquis. Il le trouva plus aveuglé que jamais pour sa nouvelle maîtresse , & dans la ferme résolution de faire rompre s
er, il lui donnoit des rendez-vous dans une petite maison. Une de ses maîtresses , piquée d’être dédaignée, renvoya les lettres de
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
emploie une. . . . « Tu reconnoîtras facilement ce caractere. . . . «  maîtresse . Tu es à Saragosse. Cruelle absence. . . . « la m
tre main. Tu reconnoîtras facilement ce caractere ; c’est celui de ma maîtresse . Tu es à Saragosse. Cruelle absence, qui me donne
mp; se déteste lui-même. Il sent qu’il ne mérite plus le pardon de sa maîtresse  ; mais il ne peut vivre sans elle : il leve la ma
faute d’Elise, qui laisse une porte entr’ouverte en allant avertir sa maîtresse . Elle a grand tort, connoissant la jalousie de Do
d’ailleurs que le héros Italien, en tremblant au moment de pousser sa maîtresse à bout, en craignant de la perdre peut-être pour
36 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
ues-unes de ses meilleures inspirations423. Mais ce n’est ni pour une maîtresse ni pour une femme que Corneille, Racine, Molière,
fidents les plus méprisables451 ; le cœur le plus respectueux pour sa maîtresse manque de respect à son père452 ; l’âme la plus f
n amant, qui aime de l’amour peint par Molière, ne songera à faire sa maîtresse de son amante, ou plutôt ce mot de maîtresse devi
e, ne songera à faire sa maîtresse de son amante, ou plutôt ce mot de maîtresse deviendra chaste dans sa bouche et dans sa pensée
37 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
ndre aux musiciens pour chanter tous ensemble à Louis XIV, à ses deux maîtresses , à sa cour : Soyez toujours amoureux, C’est le m
ésentation d’Amphitryon, la marquise de Montespan était véritablement maîtresse en titre. Le duc du Maine naquit en 1670. Voir pl
à Chambord. Mme de Montespan, dont l’avènement datait de 1668, était maîtresse du roi en même temps que Mlle » de la Vallière, q
le jour même. Molière fait allusion à ces hésitations entre les deux maîtresses et à ce retour vers la première dans la première
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
Maître Jacques ce qu’il faudra pour un souper qu’il veut donner à sa maîtresse . Voici ce qu’on fait répondre à Maître Jacques.
avoit donc d’autre consolation que de repaître ses yeux, de suivre sa maîtresse , & de l’accompagner quand elle alloit chez se
proche de tout homme, & qui craint sans cesse qu’on lui enleve sa maîtresse , répond brusquement : Albert. Vous vous trompez,
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
érables, lorsque son M. Turcaret se pique du fol orgueil d’avoir pour maîtresse une femme de condition qui le joue, le hait, le m
voie un billet au porteur, excellent, & de fort mauvais vers à sa maîtresse  ; lorsqu’il veut faire jetter sa maison trente fo
’il en donne aux rivaux qui l’embarrassent ; lorsqu’à la priere de sa maîtresse il fait un commis de ce laquais naïf qui prie la
40 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
changés dans la vie humaine. Les femmes, jusqu’à présent souveraines maîtresses , ne vont plus être que les très humbles esclaves
n Juan mène l’amour ! Quoi ! le roi Louis XIV est tremblant devant sa maîtresse , implorant un regard qu’il n’obtient pas toujours
les Don Juan s’enivrent et blasphèment dans le giron soyeux de leurs maîtresses , ivres d’amour ! Quant à Sganarelle, il ne sait p
us de pourpre et plus de vin pour les noces ! Respect à la pauvreté ! Maîtresse habile et ménagère, elle est la fortune, elle est
iselle, et bien en prit au jeune apprenti cuisinier de rencontrer une maîtresse si disposée à lui pardonner ses polissonneries :
nd la mesure est comblée de ces humiliations et de ces désespoirs, la maîtresse royale se fait carmélite ; elle se plonge dans ce
respectée, et se plaçant, par la vérité de son amour, à côté de cette maîtresse royale qui fut une femme courageuse et de bon con
e du bonhomme Scarron ! Alors se renouvela, en France, la coutume des maîtresses royales, interrompue depuis Henri IV, par deux ca
que la France comprit combien elle devait de reconnaissance aux deux maîtresses de Louis XIV ; aussi ne furent-elles jamais insul
l’armée et il ignore (l’innocent qu’il est !) que sa prétendue est la maîtresse du prince. À cette nouvelle, notre officier se dé
tient plus d’Auguste que d’Ovide. Lauzun. — « Un roi doit avoir une maîtresse . Quand le roi vit chastement, il nous pille, il n
puisse imaginer. — « Athénaïs, disait Lauzun à madame de Montespan : Maîtresse du roi, avez-vous demandé au roi la place que vou
mademoiselle de La Vallière comme un crocheteur ne traiterait pas sa maîtresse , il est de toute nécessité que mademoiselle de La
hèvrefeuille au premier acte, il n’ose pas toucher aux reliques de sa maîtresse  ! Au dernier acte, Mademoiselle de La Vallière ar
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
Pot-de-vin. « Pour un petit dîner que j’ai donné au Procureur, à sa maîtresse , à sa femme & à son clerc, pour les engager à
persuader à Madame Béverley que son époux a donné ses diamants à une maîtresse . Ici Stukéli conseille clairement à Madame Béverl
n & du pere & du fils. Jarvis réfléchit sur les vertus de sa maîtresse , sur le bonheur dont son maître eût pu jouir : il
42 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
e que par respect pour elle-même. Belle, mais naturellement froide et maîtresse d’elle-même, elle se livre fort peu ; elle a eu a
cœur tout à la fois ! Comme elle aime et protège adroitement sa jeune maîtresse  ! Comme elle paie de sa monnaie la rusée et mécha
nd à cœur les intérêts de la famille, et particulièrement de sa jeune maîtresse qui ne sait que se désoler et parle de se donner
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
rellement. Le Docteur exhorte Colombine à découvrir ce qui afflige sa maîtresse . Il se retire. Victoire avoue à sa suivante qu’el
& de contrefaire sa voix. Colombine, pour soulager l’ennui de sa maîtresse , cherche par-tout Fédéric : elle le rencontre enf
Arlequin ; il lui fait des reproches. Colombine copie la scene de sa maîtresse avec Flaminio, interrompt quelque temps Brighella
t eux. Tout cela ne vaut pas les lettres d’un amant chéri & d’une maîtresse adorée, déchirées dans un moment de dépit, avec l
44 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
ustre, une infortunée, une passionnée, une éloquente… l’honneur et la maîtresse du drame moderne, qui est né avec elle, qui est m
enez donc à ne pas trop compter sur les petits maîtres et les petites maîtresses de la lecture de chaque matin, mais songez à plai
le hâle à la joue ; rien de mignard, rien de cherché, pas de petites maîtresses qui se graissent le museau comme Cathos et Madelo
pas de regarder le mari qu’on lui donne ; pourvu qu’elle soit dame et maîtresse en la maison de ce manant, Dorimène est contente.
rs notre homme apprend une partie de cette intrigue ; on en veut à sa maîtresse  ; on charge de malédictions ce traître de Sicilie
x qui est sur ses gardes. C’est maintenait, s’il veut approcher de sa maîtresse , qu’il faut au jeune Adraste un peu d’esprit et b
entre donc chez son jaloux. Or cette entrée d’Adraste, chez sa jeune maîtresse , est cent fois préférable à l’entrée du comte Alm
ussi que Philinte soit d’assez mauvais goût pour se brouiller avec sa maîtresse parce qu’elle aura plaisanté le petit vicomte qui
opos. Il n’a pas l’esprit chagrin d’Alceste, Philinte ne dit pas à sa maîtresse  : Vous avez des plaisirs que je ne puis souffrir
je ne puis souffrir : Au contraire, il aime tous les plaisirs de sa maîtresse  ; il est heureux de toutes les complaisances qu’i
’il nous fait subir. Ah ! s’il était heureux quelque peu, si sa belle maîtresse était moins coquette, si elle lui souriait d’un s
s leurs bons moments, vous empruntent votre argent, votre esprit, vos maîtresses , votre bel habit et votre plus beau cheval ; vous
hapelle. L’ami qu’il avait rêvé, il ne l’avait pas plus trouvé que la maîtresse qu’il avait aimée. Pauvre Molière ! Toute cette c
ion, d’étonnement et de douleur. Célimène elle-même, oui, sa déloyale maîtresse , entendez-vous comme il la traite ? Quelle verve 
n’était pas capable d’imaginer l’adorable faiblesse d’Alceste pour sa maîtresse . Cet amour d’Alceste a précédé tous les amours sé
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
it bientôt : le Prince assure que la liberté sera toujours son unique maîtresse . Alors la Princesse, encore plus piquée, donneroi
i est forcé de cacher les progrès que l’amour & les talents de sa maîtresse font sur son cœur, tout cela auroit-il paru à Mol
nt a fait préparer, doit décider de son sort ; s’il ne peut rendre sa maîtresse sensible, il est résolu de partir, afin de tâcher
46 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
ver le reste du mariage. Dans Cyrano, Granger pere est amoureux de la maîtresse de son fils ; par conséquent, il ne veut pas cons
se à l’achevement mutuel de leurs desseins. Il entre en désespoir, sa maîtresse de même. Enfin les voilà près, en se tuant, de fi
nt. La scene représente la chambre de Rosaura. Colombine exhorte sa maîtresse à prendre du courage. Elle refuse de rien manger,
47 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
ès et les préférences que madame de Maintenon obtenait du roi sur ses maîtresses même, furent devenus très sensibles ; en d’autres
nna, en Italie ; à la comtesse de Soissons, en Flandre ; à toutes les maîtresses du roi ; à madame de Montespan, et par occasion à
e comte de Fiesque. Il n’excepta des faveurs poétiques prodiguées aux maîtresses du roi, que la plus intéressante de toutes, madam
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
rnolphe, qui pense triompher de son rival, est obligé de lui céder sa maîtresse  ; & qu’Agnès & Horace, qui se croient per
cteurs. Serai-je étonné de voir Sganarelle conduire son rival vers sa maîtresse  ? Point du tout : je sais trop combien il a été d
49 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
toujours madame de La Vallière que la cour regardait comme l’heureuse maîtresse du maître. Ce fut néanmoins dans cette année qu’e
’elle en eût la certitude ; le roi se trouvant alors partagé entre la maîtresse qu’il n’aimait plus, celle qu’il commençait à aim
50 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
ycherley, dit M. de Voltaire, qui fut longtemps l’amant déclaré de la maîtresse la plus illustre de Charles II. Cet homme qui pas
e genre humain. Il a un ami sage et sincère, dont il se défie, et une maîtresse dont il est tendrement aimé, sur laquelle il ne d
able honnête homme, dont il se défie tant, s’embarque avec lui, et la maîtresse qu’il n’a pas seulement daigné regarder se déguis
ait à ce fils des reproches sanglants, et l’oblige d’aller trouver sa maîtresse , et de lui demander pardon de ses importunités ;
rd même, et de la belle-mère prétendue ; il se jette aux genoux de sa maîtresse , qui lui pardonne, et lui donne sa main à baiser 
-il faire, auront-ils dit, qu’Éraste, qui n’a pas le temps de voir sa maîtresse , puisse se raccommoder avec elle dans l’intervall
plicités, Ou plaisantes naïvetés, D’Agnès, d’Alain ; et de Georgette, Maîtresse , valet et soubrette ; Voilà, dès le commencement,
ami, sans savoir qu’il est son rival, des faveurs qu’il obtient de sa maîtresse , ce qui fait tout le sujet et la beauté de L’Écol
il promet cela, Aux parents de cet objet-là ; Mais connaissant que sa maîtresse , Est plus coquette que tigresse, Redoutant comme
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
ne VI. Eraste est encore dans le trouble le plus grand en croyant sa maîtresse infidelle, quand Marinette vient lui donner, de s
même. Eraste, outré, déchire, aux yeux de la soubrette, l’écrit de la maîtresse , & sort : son valet le suit, en donnant toute
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
capin qui le reconnoît, lui dit que son ami est à la campagne, que sa maîtresse est sur le point de se marier ; mais il lui prome
suivante sort pour aller chercher quelqu’un, dit-elle, qui emporte sa maîtresse . Scene IV. Sganarelle reste avec Célie, & lu
53 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
ants oisifs qui font l’amour pour s’en vanter, et qui se parent d’une maîtresse nouvelle, comme d’un justaucorps à brevet, Célimè
un jour que ce jeune homme de quatre-vingts ans était aux pieds de sa maîtresse , et comme ses deux laquais tardaient à le venir r
54 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
i, fatigué de leurs altercations. « Les froideurs qu’on (le roi et sa maîtresse ) a pour moi ont augmenté depuis votre départ. Mes
. Le roi avait donné une marque de bienveillance à madame Scarron, la maîtresse le trouvait mauvais ; elle maltraitait la gouvern
55 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXI » pp. 220-221
que respecté au fond du cœur, avait quelque chose d’importun pour les maîtresses et pour les femmes qui aspiraient à le devenir. T
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
au Seigneur Arnolphe, & en le faisant assez jaloux pour cacher sa maîtresse dans une maison éloignée de la sienne, crainte qu
Arnolphe prête de l’argent à son rival pour l’aider à triompher de sa maîtresse . Horace le lui avoue ensuite d’une façon très ing
emps, se fit introduire par les sottes servantes auprès de leur sotte maîtresse , sous prétexte de lui faire voir des hardes à ven
sie enfin dont je vous presse, « C’est que je puisse voir votre belle maîtresse . » Georgette, le poussant. A d’autres. Arnolphe.
57 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
s sa vanité coupable, en arrive à espérer que sa mère a pu devenir la maîtresse de quelque prince charmant : « Je crois que quelq
entôt dans l’adultère, avec cette consolation, il est vrai, d’être la maîtresse d’un homme d’une dévotion extrême, qui s’est char
evinons les malheurs que Tartuffe déchaînera bientôt sur le logis. Sa maîtresse vient d’être malade, elle l’a soignée, elle a pas
cloîtrée, une autre déshéritée, deux frères brouillés, une intrigante maîtresse du logis ! Voilà ce que pouvait enfanter la simpl
58 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
ays, avec toute la franchise du sien, l’horreur des mésalliances, des maîtresses et des enfants naturels. Le Roi, voulant donner à
nt et agissent tout comme auparavant, ne peuvent plus comprendre leur maîtresse , et ne savent plus comment la servir ? Monsieur B
imite exactement le langage de Marotte, qui n’a pas appris, comme ses maîtresses , la filofie dans le grand Cyre , et demande qu’o
position, on a rappelé que la mort de madame de Montausier, la grande maîtresse de l’ordre des précieuses, avait précédé d’un an
e, qui ne s’est peut-être faite savante que pour complaire à sa mère, maîtresse absolue au logis, et qui est toute prête à sacrif
elle gagne sur ses marchés. Elle pourrait, comme un autre, flatter sa maîtresse , sous qui tout tremble au logis ; mais, par droit
59 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
fait de se corriger de cette frénésie, et en dépit des preuves que sa maîtresse lui donne de sa fidélité. Cette pièce est froide
out simplement, de ne pas manquer au rendez-vous que lui a assigné sa maîtresse , et il se trouve assassiné de fâcheux qui le reta
e admirable, eu effet, que de vouloir forcer un amoureux attendant sa maîtresse , à donner son opinion sur les chances du pique ou
de goût dans sa jeunesse amoureuse ; il perdit tout avec La Vallière, maîtresse qui valait mieux que lui. Vaux a été presque détr
t faite pour donner une excuse à ces flatteries. Parmi les nombreuses maîtresses de Louis XIV, La Vallière, en vérité, est la seul
essieurs, voyez si vous ne trouvez pas le nom de vos femmes ou de vos maîtresses . »Le public, qui était de fort bonne composition,
es orages de la famille Dorine, qui n’a pas la même modération que sa maîtresse , se voit forcée de se taire en sa présence, et po
e que le théâtre, il prit le parti de s’y réfugier, afin d’épouser sa maîtresse . A partir de ce moment, Dancourt devint acteur et
tailleur, celle-là paie les meubles de son appartement, et toutes ses maîtresses sont comme autant de femmes qui lui font un gros
s. Ces deux imbéciles maris, croyant satisfaire les caprices de leurs maîtresses futures, font honneur, sans s’en douter, aux dett
t c’est dans cette vue-là que je viens faire un accommodement avec ta maîtresse . Elle connaît toute la cour. Voici un placet : qu
60 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
e sans gêne : vous me la donnez belle avec votre rôle de Don Juan, ma maîtresse m’a mis à la porte ! — Ou bien, comme dit madame
e vingt ans que poursuivent leurs créanciers et qui poursuivent leurs maîtresses  ! Un jour, on découvrit que ce gai Monrose, ce vi
se tient éloigné, pour deux grands jours, de la présence de sa jeune maîtresse , laissant la place libre à son rival ; il expliqu
comme ami de la maison, ce capitaine ridicule qui lui a déjà pris sa maîtresse pendant un jour. — Il est riche, dit Gnaton le pa
oge virile, donne ta jeunesse aux courtisanes ! Que si tu n’as pas de maîtresse , commence par affranchir ton esclave, et tu seras
— Les jeunes Romains d’autrefois faisaient une esclave, même de leur maîtresse libre ; les jeunes Parisiens du temps de Molière
n du règne de Louis XV. « Il vous a fallu un eunuque, dit Phédia à sa maîtresse , parce que c’est le privilège des grandes dames d
dedans, et dans ses plus joyeux moments elle s’écrie en parlant de sa maîtresse  : « Si le docteur Loewe pouvait l’empoisonner ! »
Célimène s’imagina qu’elle n’avait jamais été davantage la souveraine maîtresse de ses actions, de ses amours. Délivrée de ce cen
gs rubans flottants, les billets galants et les vers amoureux, et les maîtresses que le vent emporte comme il emporte leurs baiser
la rumeur publique, à propos du nouveau poète. On ne compte plus ses maîtresses , non plus que ses vices ; celui-là a été sauvé, e
ns faire un pas au-devant d’elle, et la traitant comme il traitait sa maîtresse , en bonne personne au-dessus du souci, au-delà du
tant. Molière a été pleuré par ses amis, Regnard a été pleuré par ses maîtresses . Ils manquent à la liste de l’Académie française
te son portrait dans une boîte à double fond, et quand il est chez sa maîtresse , il regarde tendrement ce portrait sur l’air conn
ation ? Voyez la force des habitudes vicieuses ! voilà maintenant la maîtresse qui parle comme parlait la soubrette tout à l’heu
nt d’après arrive le grison de Cidalise, qui apporte de la part de sa maîtresse , une agrafe en diamants et une lettre. Moncade ne
s, Monsieur ne daigne. Voyez-vous ces deux grisons rapportant à leurs maîtresses , celui-ci une montre pour l’agrafe, celui-là une
a première personne qu’elle rencontre, ce n’est même plus Lucinde, la maîtresse de céans, c’est Cidalise, la femme à l’agrafe. Av
tailleur, celle-là paie ses meubles et son appartement, et toutes ses maîtresses sont comme autant de fermes qui lui paient un gro
e Regnard est un escroc plus renforcé que les deux autres. Il a trois maîtresses qui se ruinent pour lui. Chacune de ses maîtresse
autres. Il a trois maîtresses qui se ruinent pour lui. Chacune de ses maîtresses lui a donné une robe de chambre ; quand une de ce
se ne donne rien à personne, s’il n’a pas une bague au service de ses maîtresses , s’il dédaigne les présents comme un moyen indign
 Dimanche ne sait pas comment est fait l’argent de Don Juan et de ses maîtresses … Vous savez avec quelle monnaie est payé M. Diman
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
ila, qu’on avoit prise dans l’Attique, & la donne à la mere de sa maîtresse . Quelque temps après, Pamphila est exposée en ven
paroît vêtu en muet : Marine le trouve bien fait, le conduit chez sa maîtresse , & Frontin s’applaudit d’avoir enfermé le lou
un pere, une mere, permettre à son fils d’avoir ce qu’on appelle une maîtresse , & lui donner même de quoi contenter les capr
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60
bien différente, chaque fâcheux empêche Eraste ou d’aller joindre une maîtresse adorée dont il est attendu avec impatience, ou de
lu perdre, un point d’honneur me presse De secourir ici l’oncle de ma maîtresse . Je suis à vous, Monsieur. (Il met en fuite la Ri
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
Silvio, amoureux de Rosaura, le menace de le tuer s’il ne lui cede sa maîtresse . Arlequin l’étranger les traite tous de fous, ne
edre, esclave du soldat, cherche un singe sur les toits & voit la maîtresse de son patron en tête-à-tête amoureux dans le jar
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
que pour gagner à celui-ci son argent, ses bijoux, le portrait de sa maîtresse , le seul contrat qui lui reste, & cinq ou six
ses enfants, ses domestiques, l’entremetteuse de ses amours, avec sa maîtresse elle même, avec le Commissaire, auquel il veut do
65 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
ait une confidence à son mari. Celui-ci s’empresse d’aller trouver la maîtresse du logis, et, guidé par celle-ci, il conduit Isab
est le galetas du jardinier Burattino ; et l’amoureux Oratio, dont la maîtresse du logis est complice, s’y tient caché. À quelque
66 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
6. Ce mariage n’empêcha pas le cours de ses galanteries. Le règne des maîtresses continua. La marquise de Verneuil était toujours
able. » Trois personnes furent jalouses de la princesse de Condé, la maîtresse en titre ; la marquise de Verneuil, la reine, le
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Caracteres propres à tous les rangs. » pp. 328-330
ercure, pourvu que le Bourgeois lui prête de l’argent & régale sa maîtresse . Qu’on place Dorante chez un homme de sa conditio
68 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [56, p. 89-93] »
nt parfait, la tragédie est manquée. Mais qu’Harpagon, avare, cède sa maîtresse pour avoir sa cassette, ce n’est qu’un trait d’av
69 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
fait un présent. Le vieillard enrage ; mais, crainte de déplaire à sa maîtresse , il n’ose contredire Scapin.   Dans la Piece Ital
que par conséquent il ne doit pas souffrir en donnant une bague à sa maîtresse . Dans la Comédie Françoise, la même scene est sub
pute, en persuadant à chacun en particulier que son rival lui cede sa maîtresse .   Il est inutile de confronter les scenes que la
oliere. Valere, aimé d’Elise, s’introduit chez Harpagon, pere de sa maîtresse , à titre d’intendant : il prêche sans cesse l’éco
70 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
ficiels, tout de l’invention du poète. Dans Sganarelle, l’amant et sa maîtresse , Lélie et Célie, se trouvent mal à point, et l’un
, et qui vivent sur le bien des autres, toujours courant derrière une maîtresse ou devant un créancier, vous trouveriez quelque M
n couple amoureux, de faire craindre à l’amant qu’on ne lui enlève sa maîtresse , à la maîtresse qu’on ne la marie de force ; on d
x, de faire craindre à l’amant qu’on ne lui enlève sa maîtresse, à la maîtresse qu’on ne la marie de force ; on demandait la repr
e que l’original ? C’est que le fils de l’Avare fait des cadeaux à sa maîtresse aux frais de son père ; c’est que l’Avare est amo
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93
; &, de confidence en confidence, ils passerent à l’éloge de leur maîtresse . Damon vanta sur-tout l’adresse de son amante, qu
il est aimé, qu’il est certain de posséder sans partage le cœur de sa maîtresse . Il accuse Clitandre & Damon de vouloir l’ala
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
ari, & par la délicatesse du Souverain des Dieux, qui veut que sa maîtresse , en le rendant heureux, oublie entiérement l’épou
Lucile à servir l’amour du Marquis, à se charger d’une lettre pour sa maîtresse . Lucile écrit en réponse un billet fort tendre, q
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
io la présente à Lélio. Quelle surprise cruelle pour celui-ci ! Cette maîtresse chérie de son ami est Flaminia qu’il a connue à V
résout à mourir plutôt que de trahir son ami & de lui enlever sa maîtresse  : il charge son valet de se préparer secrètement
74 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
Chypre. Polipo apprend que la captive est sa sœur. « Tu as acheté ma maîtresse sous couleur qu’elle fût ma sœur, dit-il à son va
sœur, dit-il à son valet, et j’ai acheté ma sœur croyant acheter une maîtresse . » Polipo revient donc à Flavia, qui lui a montré
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
qu’ils sont eux-mêmes victimes d’un choix souvent plus honteux. Leur maîtresse est-elle noire ? c’est une brune piquante : sale
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
arpagon prête à usure ; Harpin fait ce noble métier. Harpagon aime la maîtresse de son fils, & veut l’épouser ; Harpin est am
lence chez Don André. Béatrix porte un billet doux de la part de sa maîtresse à Don André ; celui-ci, accoutumé à de pareils me
au précédent ; nous verrons à quoi d’Ancourt fera servir Béatrix, sa maîtresse , le billet doux, le rendez-vous donné & accep
rencontre Julien & l’engage à dire, sans le vouloir, le nom de sa maîtresse . L’Epine. Vous êtes prévenu contre le sexe, Mons
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
traire en lui montrant celui de Celio qu’elle a ordre d’apporter à sa maîtresse . Elle lui demande le secret ; Scapin le lui prome
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
en trempant sa plume dans le poudrier, en proposant un régiment à sa maîtresse  ; mais il ne m’instruit ni ne me corrige. Cette p
veut, que les soubrettes soient autorisées à dire des sottises à leur maîtresse  : elles peuvent avoir été dans des confidences qu
nfidences qui leur donnent ce droit, & qui ne permettent pas à la maîtresse de se plaindre, quelque grande dame qu’elle soit.
79 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
ut évalué, on ne conçoit pas trop pourquoi, beaucoup plus cher que sa maîtresse ; ce qui pourrait faire naître des idées peu avant
pelle le Joueur, et faire mettre en gage par Valère le portrait de sa maîtresse à l’instant où il vient de le recevoir, est d’un
ur, c’est d’avoir donné au Ménechme officier, non seulement une jeune maîtresse qu’il aime, mais une liaison d’intérêt avec une v
80 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
a créé le jeu éternel d’Agnès ? avec Madeleine Béjart, les servantes maîtresses , les fortes en gueule qui ont aujourd’hui quitté
pellent Belleville. III Molière avait trouvé non seulement une maîtresse dans Madeleine Béjart, mais un camarade littérair
remiers vers de Molière ne valaient pas beaucoup mieux que ceux de sa maîtresse , témoin ces stances à Madeleine qui ont été recue
en effet Mlle de Brie semblait bien plutôt la sœur de Molière que sa maîtresse . Il n’est pas douteux que le bonhomme de mari, n’
ant Catherine était tendre et pénétrante. La femme était l’esprit, la maîtresse était le cœur ; Molière s’obstinait à vaincre l’e
paraît belle Que quand vous ne paraissez pas. C’en est fait, ma belle maîtresse , Je vous suis un esclave acquis, Si vous êtes ma
Qui le croirait aujourd’hui ? Racine fut accusé d’avoir empoisonné sa maîtresse « pour lui avoir donné un enfant ». On retrouve l
e la conversation, et attrape, comme elle peut, tous les termes de sa maîtresse . Je vous dis votre caractère, afin que vous vous
à mes enfants. » Elle avait eu vingt-quatre enfants ! aussi jamais maîtresse d’école n’eut une plus rude tâche. Ses bonnes ami
81 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
’usage que ce Dieu fait de sa métamorphose. Au lieu de courir chez sa Maîtresse avec les transports d’un Amant, il fait appeler l
charmes à tous les défauts que ce Valet relève dans le portrait de sa Maîtresse . Tome I, p. 156 Lully* ayant traité d’une c
ami, sans savoir qu’il est son Rival, des faveurs qu’il obtient de sa Maîtresse . Tome I, p. 282-283 1705, Grimarest, p. 27-
son ministère, porte au jeune homme des présents et des billets de sa Maîtresse . Molière a substitué un Vieillard au Confesseur ;
nt. Tabarin promet à Rodomont de le faire entrer dans la maison de sa Maîtresse  ; et il lui persuade, pour que les voisins ne s’e
dans le sac. Alors Isabelle et Tabarin paraissent. Rodomont dit à sa Maîtresse qu’il a enfermé dans ce sac un voleur, qui en vou
ué un bouquet de fleurs au présent du moineau que Mirtil donnait à sa Maîtresse . Tome I, p. 558 C’est la Pastorale de Moliè
a jalousie à feu M. Le Régent101, dont Mademoiselle Desmares était la Maîtresse . Le Prince s’en plaignit. Mademoiselle Desmares a
82 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre premier. » pp. 5-11
place de gouvernante de M. le dauphin et le commencement du règne des maîtresses du roi, jusqu’à la nomination de madame Scarron à
83 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304
tions de la cour, depuis François Ier, l’élévation et l’insolence des maîtresses avouées, l’élévation, l’insolence et la turbulenc
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
nt ; elle apprend qu’elle ne l’est point, & qu’elle passe pour sa maîtresse . Elle croit effectivement que M. Argant l’a retir
nt : il me dit qu’on lui a défendu de laisser entrer personne chez sa maîtresse  ; que Chrémès venoit d’y entrer avec Sophrona, &a
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
nt. Tabarin promet à Rodomont de le faire entrer dans la maison de sa maîtresse  ; & il lui persuade, pour que les voisins ne
ns le sac. Alors Isabelle & Tabarin paroissent. Rodomont dit à sa maîtresse qu’il a enfermé dans ce sac un voleur qui en voul
persuade aussi à Rodomont de se mettre dans un sac pour venir chez sa maîtresse , sans être vu des voisins. Les coups de bâton qu’
é, que d’abord qu’on y est enfermé, on a le pouvoir de faire venir sa maîtresse . Arlequin, fort amoureux d’Argentine, prie Scapin
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XL. Du dénouement des Pieces à caractere. » pp. 469-474
renouvelle à jamais  « La vieille amitié de college ». Métrophile. Maîtresse , amis, parents, puisque tout est pour vous, Aimez
87 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
sance avec le grand génie, Secouru d’une main propre à le seconder Et maîtresse de l’art jusqu’à le gourmander, Une main prompte
ontre quoi Musset a bien tort de protester. L’homme qui a une passion maîtresse est toujours animé par elle ; il est toujours sou
il traîne son passé de libertin ; il voit revenir à lui ses anciennes maîtresses et il les reçoit sèchement, il les écoute avec ce
st Monsieur Tartuffe. Ce directeur excite, pour l’exploiter, son idée maîtresse ou sa passion maîtresse, le souci de son salut. I
directeur excite, pour l’exploiter, son idée maîtresse ou sa passion maîtresse , le souci de son salut. Il la transforme en une s
Elmire pour prouver de visu à Orgon que Tartuffe veut faire d’elle sa maîtresse , et la facilité avec laquelle Orgon accepte cette
iteurs de Molière il prend les gens par leur faible, par leur passion maîtresse pour leur faire faire une sottise qui lui sera pr
t par ses petits côtés et odieuse aussi, un peu, parce que sa passion maîtresse lui ferme les yeux sur la dureté qu’il y a à voul
Il y a deux genres de coquettes, puisque la coquette a deux facultés maîtresses . Il y a la coquette qui a surtout de la vanité et
te sollicitation est précisément où Elmire voulait l’amener, elle est maîtresse du champ et mène la course comme elle veut d’une
s secondaires de leur caractère et en ne considérant que leur faculté maîtresse  ; mais ils sont complexes, ils ne tiennent pas da
voyons en eux ne serait pas, une résultante, un effet de leur passion maîtresse elle-même, et par conséquent ne rentrerait pas da
te passion. C’est ce que j’appelle réintégrer l’homme dans sa passion maîtresse . Ce n’est pas raffiner, c’est étudier. Étudions u
rentrer les quelques gestes de générosité de Don Juan dans sa passion maîtresse qui est la méchanceté. Il me paraît impossible de
Peut-on faire rentrer les vices latéraux de Tartuffe dans sa passion maîtresse qui est l’ambition, le besoin et l’impatience d’a
s, sont trop pour elle des dangers et des écueils pour que la passion maîtresse ne les supprimât point si elle pouvait, loin qu’e
s dérivés et des dérivés circonstanciels et accidentels de sa passion maîtresse . Il est très un. » C’est bien raisonné et j’hésit
même pour Harpagon. On pourrait très bien l’intégrer dans sa passion maîtresse et prouver que ses défauts latéraux dérivent de s
r une famille désorganisée et disloquée par le défaut, par la passion maîtresse du personnage principal, voilà à quoi il s’appliq
e très défectueuse ; je connais les origines d’Orgon et de sa passion maîtresse . Pour tous les autres je ne puis que supposer ou
al à un des incidents de l’histoire d’un homme qui, de par sa passion maîtresse , a connu des incidents analogues et est destiné à
88 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
n était de devenir un jour dames de qualité si le veuvage les rendait maîtresses de leur sort, elles prenaient soin d’attirer chez
e, et quand, plus tard, la rencontrant dans un foyer d’acteurs, cette maîtresse intrigante, pour y justifier sa présence, lui per
aime, la fille du ministre), mais sa présence pouvant compromettre sa maîtresse , il déclare être le conspirateur que l’on cherche
ut prêts, comme Alceste, pour la perte d’un procès, la trahison d’une maîtresse ou quelque autre disgrâce, à se séquestrer du mon
peut m’être permis de vous aimer encore. Ainsi la dégradation de sa maîtresse ne le fait pas désespérer d’elle; il lui ouvre la
sant, n’est-il pas un peu matériel ? Alceste n’a pas, certes, pour sa maîtresse l’aveuglement commun à presque tous les amants et
s noms, etc. Alceste, lui, ne se fait aucune illusion sur ceux de sa maîtresse . Non, dit-il, . . . L’amour que je sens pour cet
uleux et plus susceptible dans sa jalousie s’il avait à soupçonner sa maîtresse de quelque infidélité, et qu’il se contenterait d
encore que le Misanthrope. Après avoir, comme Alceste, prodigué à sa maîtresse les épithètes les plus dures sur sa trahison, Arn
89 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37
es jalousies de Marie de Médicis, les intrigues de sa cour contre les maîtresses du roi, le souvenir d’une guerre qu’on avait vue
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Des Pieces à spectacle. » pp. 30-36
erveilles qu’il opere. Son maître est retenu par l’amour auprès d’une maîtresse qu’il adore ; pendant ce temps là son régiment es
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
re. Il voulut qu’on représentât deux Princes qui se disputeroient une maîtresse en lui donnant des fêtes magnifiques & galant
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. M. BARTHE. » pp. 413-419
fidélités, un fat maussade, nommé Mondor, entreprend de subjuguer les maîtresses de deux de ses amis ; qu’il leur écrit ; qu’elles
93 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
ontespan, sans que Molière eût songé au mari mécontent de la nouvelle maîtresse . Si la création de ces personnages lui appartenai
94 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
rémunir contre les favoris et de décider son inclination pour quelque maîtresse qui augmentât leur crédit. L’inclination naturell
95 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
son frère, cette marquise avait à la cour un petit appartement où la maîtresse et la gouvernante se rendaient en secret. Madame
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80
ers ; mais il dépense de l’argent pour faire donner une sérénade à sa maîtresse  : ce trait seul, qui jure avec son caractere, le
en contradiction avec eux-mêmes. MOLIERE. L’Avare. Harpagon cede sa maîtresse , & couronne les amours de ses deux enfants, à
97 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
enfant illégitime dont accouche à vingt ans sa fille Madeleine, alors maîtresse du sieur de Modène. Elle consentit donc à se décl
e bien loin des nouveaux époux, et pour marraine Madeleine Béjart, sa maîtresse de 1638. » Quel tripot ! Bazin, qui rapporte l’é
le. Mais un nouvel athlète parut, et celui-là vit la fin du règne des maîtresses royales, c’était Bourdaloue. Ce fut en présence d
avait raison d’espérer. Ils l’emportèrent sur les courtisans, sur les maîtresses , sur les bouffons, ces prêtres qui surent être to
r. Il s’adressait à Louis XIV directement. Mme de Montespan était là, maîtresse déclarée, mère de nombreux enfants doublement adu
de son chef d’emploi, par ce calcul ignominieux qui fit descendre les maîtresses du roi d’un degré plus bas dans l’abjection du vi
et de Georges Dandin ? Et que tout cela avait bien gêné le roi et les maîtresses  ! Si l’on parle de guerre courageuse et hardie co
dû refuser d’y admettre Mmede Maintenon, déjà plus influente que les maîtresses , et qui disait elle-même à cette occasion : Et p
ivrer Mmede Soissons, comme Mmede Navailles, à la langue de Dorine, «  maîtresse fille, » dit maître Martin, dont le rôle était jo
e, » dit maître Martin, dont le rôle était joué par Madelaine Béjart, maîtresse femme et surtout bien choisie pour démonétiser le
rer les modes du jour, ce bourru qui rudoie odieusement son ami et sa maîtresse , ne dit lien qui justifie sa haine du genre humai
mour d’un tel homme pour une telle femme ; c’est, disent-ils, une des maîtresses beautés du Misanthrope. Je n’y contredis point. U
98 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
mprudence ; De quel air cet Amant écoute ses leçons, Et court chez sa Maîtresse oublier ces chansons. Ce n’est pas un portrait, u
99 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
, il l’introduit dans L’Avare. C’est Cléante qui fait un présent à sa maîtresse aux dépens de son père ; c’est Harpagon qui est o
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
quelque intrigue secrete à Desronais, ou le nom de quelqu’une de ses maîtresses . Clénard fâche Dupuis en lui disant qu’il ne sait
ersuader que Richard étoit infidele, il a engagé une de ses anciennes maîtresses à dire qu’elle étoit enceinte de Richard, & à
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