les garçons changent de conduite en avançant en âge. Espérons que mon
maître
deviendra sage, raisonnable, en prenant des année
C’est ce que nous allons voir.” Alors, prenant le ton du barigel, le
maître
feint de donner la question à son valet, qui s’em
rlequin pour plus de sûreté. Celui-ci résiste, refuse et s’en va. Son
maître
le poursuit. « Persuadé qu’Arlequin connaît le me
rent une bourse au valet, pour qu’il leur découvre la retraite où son
maître
est caché. Arlequin prend la bourse et leur donne
e. Il rend grâces à Neptune de l’avoir sauvé. Jetant les yeux sur son
maître
évanoui dans les bras de la jolie villageoise, il
“Pauvre malheureuse, que je le plains de croire aux promesses de mon
maître
! Il est si libertin, que, s’il va jamais en enfe
craint d’avoir sa part de la punition. Il fait des remontrances à son
maître
; Don Juan feint de se repentir ; il répète une p
e le troisième acte par de nouvelles remontrances qu’il adresse à son
maître
. Le sermon est assez curieux pour être rapporté i
lui faire l’application de la moralité de l’apologue. Voyant que son
maître
l’écoute avec assez d’attention, il s’enhardit, e
dont il dévora les oignons. Furieux, le jardinier alla se plaindre au
maître
, lequel, aimant avec une tendresse aveugle son je
s contenaient, et bouleversa tout. Le cuisinier courut en avertir son
maître
, lequel eut tant d’affection, de faiblesse pour s
Chypre, en escaladant la table, les bahuts et les dressoirs. Quand le
maître
vit ce désordre nouveau, ce déplorable ravage, sa
inue Arlequin, c’est Jupiter ; ce cochon, c’est vous, mon très honoré
maître
; ce jardinier, ce chef de cuisine, ces faïences,
e dieu, prenant le couteau de son tonnerre, ce couteau formidable, ce
maître
couteau, fondra sur le cochon bien-aimé, c’est-à-
es discours. Arlequin, transporté de joie, se jette à ses genoux. Son
maître
s’agenouille de même pour implorer la clémence de
in s’assied à table, mange goulûment, et se retire à l’arrivée de son
maître
. La gourmandise lui fait hasarder plusieurs tours
fet, prend une assiette, l’essuie à son derrière et la présente à son
maître
. Afin de le mettre en bonne humeur, il lui parle
ignant de ne pas trouver de quoi satisfaire son appétit, il dit à son
maître
d’aller moins vite en besogne. Son chapeau l’emba
our chanter et boire à la santé d’une des favorites de Don Juan ; son
maître
lui fait signe de nommer Dona Anna, fille du comm
rlequin se jette à ses pieds, disant : “Ô prince ! vous savez que mon
maître
est à tous les diables, où, vous autres, grands s
ade que tout ce qu’il a fait n’étoit que pour lui rendre service. Mon
maître
, lui dit-il, est amoureux de cette maudite esclav
l ne lui accorde Turqueta. Il fléchit le vieillard, appelle son jeune
maître
, qui, crainte de gâter encore ses affaires, prend
PÉRIPHANE, APŒCIDE, ÉPIDIQUE. Epidique veut procurer à son jeune
maître
une esclave qu’il aime, & lui dit, en voyant
Géta, esclave d’Antiphon, veut attraper de l’argent au pere de son
maître
& à son beau-pere prétendu. Il les engage à p
pin, valet de Cléandre, entreprend d’écarter son rival. Il déguise le
maître
du premier cabaret en paysan, & fait dire à L
pe part pour les aller chercher. Philipin, après avoir débarrassé son
maître
de la présence d’un rival fâcheux, veut entrer au
lui. Acte IV. Philipin ménage un tête-à-tête entre Lucrece & son
maître
. Celui-ci dans l’obscurité rencontre la mere, cro
a pour lui. Acte V. Philipin obtient un second rendez-vous pour son
maître
. Les amants sont ensemble : la mere arrive : le m
-vous pour son maître. Les amants sont ensemble : la mere arrive : le
maître
& le valet se cachent dans un cabinet. La mer
escabelles. Philipin éteint la lumiere pour faciliter la fuite de son
maître
qui va se jetter dans les bras de la mere ; elle
ment supérieur à Philipin. Mascarille, dans le dessein de servir son
maître
, se met au service de son rival, comme Philipin a
mais Mascarille motive fort plaisamment sa sortie de chez son premier
maître
en disant qu’il lui a donné des coups de bâton, &
carille voulant avoir de l’argent pour acheter l’esclave aimée de son
maître
, en emprunte d’Anselme, sous prétexte de faire en
chand drapier, chez lequel ayant appris le métier, il se fit recevoir
maître
, & s’habitua dans Paris, où il prit femme, de
ile. Eraste interroge le valet de son rival. Celui-ci lui dit que son
maître
va passer toutes les nuits avec Lucile : il est f
mp; les intérêts de la somme ; que cette restitution le ruineroit. Le
maître
se laisse persuader par l’éloquence de son valet,
croire : il voit Arlequin, & lui demande jusqu’à quelle heure son
maître
a resté avec Béatrix la nuit derniere : Arlequin
secret. Magnifico l’accuse de fausseté. Arlequin sert de témoin à son
maître
, qui prétend ne vouloir d’autre garant que Béatri
re. Elle abandonne la scene à Brighella, qui gémit sur le sort de son
maître
, & qui, le voyant venir, lui annonce que son
mais encore ceux de Marinette & de Gros René, qui parodient leurs
maîtres
à l’exemple de Brighella & de Colombine. Quan
lle est une substance, & non un accident ; Ayant des attributs du
Maître
du tonnerre, Elle n’est pas de feu, d’air, d’eau,
, MÉTAPHRASTE. Métaphraste. Mandatum tuum curo diligenter. Albert.
Maître
, j’ai voulu. Métaphraste. Maître, j’ai voulu.Maî
atum tuum curo diligenter. Albert. Maître, j’ai voulu. Métaphraste.
Maître
, j’ai voulu.Maître est dit a magister ; C’est co
s plus grand.Je meure Si je savois cela. Mais soit, à la bonne heure.
Maître
donc... Métaphraste. Maître donc...Poursuivez. A
avois cela. Mais soit, à la bonne heure. Maître donc... Métaphraste.
Maître
donc...Poursuivez. Albert. Maître donc... Poursu
eure. Maître donc... Métaphraste. Maître donc...Poursuivez. Albert.
Maître
donc... Poursuivez.Je veux poursuive aussi : Mais
s ne poursuivez pas, vous, d’interrompre ainsi. Donc encore une fois,
Maître
, c’est la troisieme, Mon fils me rend chagrin. Vo
rmon, Et comme aussi les Grecs disent atanaton... Albert. Mon Dieu !
Maître
éternel, laissez là, je vous prie, Les Grecs, les
Que par les criminels les juges soient jugés, Et par les écoliers les
maîtres
fustigés, Que le malade au sain présente le remed
Métaphraste, possédé par son démon babillard, ne respecte pas même le
maître
de la maison, qui, pour le faire taire, est oblig
vice, pour l’en remercier : alors Mascarille avoue que c’est lui. Son
maître
met l’épée à la main pour le tuer. Cette scene es
de Célio, ouvre la scene avec un crocheteur qui porte la malle de son
maître
; il l’arrête au milieu de la rue, le fait asseoi
ieux. Arlequin le force, à grands coups de bâton, d’apprendre que son
maître
est arrivé exprès pour tuer un homme. Il entre da
& lui reproche de ne savoir pas travailler à la réputation de son
maître
. Comment ! lui dit-il, je viens à Venise exprès p
son épée au travers du corps. Arlequin, crainte de fâcher encore son
maître
, jure de ne plus ouvrir la bouche, & feint de
et à son valet, avis qui fit rentrer le valet en grâce auprès de son
maître
, et ménagea l’amour-propre du maître qui se serai
le valet en grâce auprès de son maître, et ménagea l’amour-propre du
maître
qui se serait révolté de revenir sur ses pas. Cha
ux domestique avait l’honneur d’être toujours dans le carrosse de son
maître
. Il prit fantaisie à Chapelle*, en descendant d’A
on carrosse. Godemer, accoutumé aux caprices que le vin causait à son
maître
, ne se mit pas beaucoup en peine d’exécuter ses o
ermettre de monter dans mon carrosse, je ne le veux plus ; je suis le
maître
, et vous iriez derrière ou à pied. Y a-t-il de la
. Vous avez tort, dit-il à Godemer, de perdre le respect envers votre
maître
, qui peut vous faire aller comme il voudra ; il n
qu’il avait d’amis, de quitter cette pensée. Enfin, il lui envoya le
maître
chez qui il l’avait mis en pension pendant les pr
s premières années de ses études, espérant que par l’autorité que son
maître
avait eue sur lui pendant ce temps là, il pourrai
sses ne purent rien sur son Esprit. Ce bon Père lui envoya ensuite le
Maître
chez qui il l’avait mis en pension pendant les pr
es premières années de ses Études, espérant que par l’autorité que ce
Maître
avait eue sur lui pendant ces temps-là, il pourra
temps-là, il pourrait le ramener à son devoir ; mais bien loin que le
Maître
lui persuadât de quitter la profession de Comédie
on la lui donne, & la porte à Cléostrate, épouse de Stalinon, son
maître
. Cette bonne femme donne à la petite fille le nom
stements de la mariée, il rosse dans l’obscurité le métayer & son
maître
. Enfin, Cassine se trouve fille de Mirrine, voisi
e chez un riche Athénien, entreprend de la lui procurer. Il dit à son
maître
qu’il y a en Cretrie un attelage de bœufs très be
nt quelque temps ; mais le jour qui doit ramener Sagarestion chez son
maître
avec des bœufs, approche. Toxile a trop d’honneur
rendent, deviennent impertinents à l’excès, & ravalent trop leurs
maîtres
. Nous en avons un exemple frappant dans les Fourb
de Scapin, de Moliere. Le héros de la piece a le front de laisser son
maître
à ses pieds, & d’exiger qu’il lui permette un
iguants en chef font agir les baigneurs, les marchandes de modes, les
maîtres
à chanter, à danser, &c. « Que les modernes
lus fins, plus civilisés, plus élégants, plus familiarisés avec leurs
maîtres
que dans celui-ci ? Les Merlins du siecle ne sont
sont les témoins, les confidents, les intendants des plaisirs de leur
maître
, n’est-ce pas à eux de tromper les peres ou les t
indignée, lui prédit une punition céleste. Sganarelle espere que son
maître
aura quelques remords ; Don Juan lui prouve le co
les sont très contentes. Sganarelle les arrête pour leur dire que son
maître
est un fourbe, & qu’il ne faut pas se fier à
paroît en habit de campagne ; Sganarelle avec une robe de Médecin. Le
maître
voit de loin un homme attaqué par trois personnes
e qu’elle accepte l’invitation. Grande frayeur du valet ; surprise du
maître
. Acte IV. Sganarelle est toujours effrayé par le
son pere en est enchanté. Sganarelle en verse des larmes de joie. Son
maître
le détrompe bientôt, en lui dévoilant ses vrais s
Octave arrive avec son valet, qui lui demande où il va si matin : son
maître
lui déclare sa passion pour Isabelle, & lui d
Juan & son valet Catalinon sont jettés sur le bord de la mer. Le
maître
a perdu connoissance : le valet, plus robuste, co
Juan & son valet s’emparent de la scene. Catalinon reproche à son
maître
le dessein qu’il a de séduire Tisbéa, & de ma
ellement part d’une partie de leurs malheurs. Catalinon apprend à son
maître
qu’Isabelle est dans le pays ; mais il n’est occu
Roi, qu’il a méritée en déshonorant son palais. Arlequin cherche son
maître
: il paroît avec une lanterne de papier au bout d
pauvre malheureuse, que je vous plains de vous laisser abuser par mon
maître
! il est si libertin, que s’il va aux enfers, com
che de la consoler, en lui faisant voir la liste27 des femmes que son
maître
à mises dans le même cas. La jeune innocente rest
t entendu : il est tenté de gagner les dix mille écus en accusant son
maître
. Celui-ci l’écoute, le saisit au collet, & ve
iter à souper. Après bien des lazzis, Arlequin suit les ordres de son
maître
. La Statue baisse la tête. Arlequin a peur : il f
it que Moliere avoit traité ce sujet malgré lui : nous voilà donc les
maîtres
de critiquer hardiment le fond de sa piece. De to
avec Philippin. Le Prévôt & ses archers prennent le valet pour le
maître
, & s’enfuient : Philippin surpris s’écrie :
est question, aient fait mettre le valet de Don Juan à table avec son
maître
, sans adoucir l’invraisemblance qu’il y a dans un
sont les modèles de toutes les scènes où les valets sont déguisés en
maîtres
et font les ridicules. LE COCU IMAGINAIRE.
GENTILHOMME. Chef-d’œuvre encore. La scène de M. Jourdain avec ses
maîtres
; celle avec son maître de philosophie ; la trois
vre encore. La scène de M. Jourdain avec ses maîtres ; celle avec son
maître
de philosophie ; la troisième du troisième acte,
Scapin fait cette confession si plaisante ; la scène septième, où son
maître
a besoin de lui, et le supplie de lui pardonnes ;
, dans laquelle Diafoirus fait ses compliments, et l’amant déguisé en
maître
à chanter chantant un duo avec sa maîtresse ; la
n : au quatrième acte, la scène douzième, où Hector lit Sénèque à son
maître
qui a perdu tout son argent : au cinquième acte,
’y reconnaître. La première scène, où Pasquin demande son congé à son
maître
; la quatrième, où Pasquin et Lisette ont peine à
MPRÉVU. Plein de comique. La scène quatrième, où Merlin prêche son
maître
, et finit par être de son avis ; la treizième, où
ÈRES. Pièce morale et point comique. La scène où Pasquin imite ses
maîtres
en reniant son père est plaisante. L’AMANT MYS
econd acte, où Arlequin, pour avoir de l’argent, dit le diable de son
maître
, et est payé de chaque défaut, est charmante.
fou de vous payer de gros gages ? Vous savez que je suis le meilleur
maître
du monde ; j’en passe par-tout où il vous plaît ;
ertes, il lui a confié sa bourse. On dit à Jarvis d’aller voir si son
maître
est encore au jeu, & de le ramener en évitant
Dans le reste de l’acte, Jarvis arrête à la porte un créancier de son
maître
dont la vue chagrineroit les Dames, & s’engag
t les plaisirs qu’il y goûtoit jadis. Jarvis, qui n’a pas trouvé son
maître
chez Vilson, se félicite de le rencontrer, lui pe
contre Leuson. Jarvis entre sur la scene, cherche à reconnoître son
maître
dans l’obscurité, & lui arrache l’épée. Béver
Jarvis y vient annoncer que Stukéli a obtenu une sentence contre son
maître
. Stukéli apprend que Béverley a mis l’épée à la m
vis réfléchit sur les vertus de sa maîtresse, sur le bonheur dont son
maître
eût pu jouir : il le voit venir pâle, défiguré.
veut le voir mourir sur un échafaud. Il sait que Jarvis a surpris son
maître
l’épée à la main : il projette de faire servir sa
s annonce à Madame Béverley & à sa belle-sœur, que l’oncle de son
maître
est mort, & qu’il lui laisse des biens consid
ein. On envoie Jarvis chercher du secours : il revient trop tard. Son
maître
est déja mort. Après avoir adressé les prieres le
n veut que le prétendu musicien fasse chanter sa fille devant lui. Le
maître
aimeroit mieux donner sa leçon en particulier ; m
amp; cette vue le remplit d’une colere dont il a peine à se rendre le
maître
. Il jette de douloureux regards sur celle qu’il a
ner leçon à la Demoiselle de la maison, en attendant le retour de son
maître
qui est parti en poste pour aller à la Chine fair
aurai. Arlequin. Un petit mot d’écrit que, pour charmer sa peine, Mon
maître
attend de vous. Rausaura. Mon maître attend de v
que, pour charmer sa peine, Mon maître attend de vous. Rausaura. Mon
maître
attend de vous.Je vous le donnerai. Mais... Arleq
es cent écus. . . . . . . . . . C’est grand’pitié quand on fâche son
maître
! Ce paysan eut beau s’humilier, Et pour un fait
où Toinette, sous la robe d’un Médecin, vient voir monsieur Argan son
maître
, ont été imitées d’Arlecchino Medico volante, Arl
ece. Il sert, sous ce déguisement, les amours de Lucrece & de son
maître
; mais à peine a-t-il quitté son ajustement, qu’i
it de valet. Vous aurez contentement. Au plus vîte attrapons notre
maître
. Réjouissance... O Dieux ! c’est Fernand, que je
elque ruse, & veut faire naître des soupçons dans l’esprit de son
maître
. PHILIPIN, FERNAND, & CRISPIN dans la mai
ot ? Qu’il parle. Crispin. Qu’il parle.Entendez-vous, beau pleureux,
maître
sot ? Si ma juste colere est si-tôt adoucie... (D
on, il imite le bon paysan qui lui montre à cultiver la terre, ou son
maître
à danser, son maître d’armes, &c. selon le ra
aysan qui lui montre à cultiver la terre, ou son maître à danser, son
maître
d’armes, &c. selon le rang où le sort l’a pla
bourg, les Vernet depuis l’instant où ils mériterent l’éloge de leurs
maîtres
en copiant des yeux, des oreilles, des nez, jusqu
é mon mal dans l’espérance de le surmonter, je n’ai pu m’en rendre le
maître
... Ne m’abandonne donc point, mon cher ami... Une
Extrait du Curieux impertinent. Acte I. Crispin demande à Damon son
maître
pour quelle raison il revient à la ville. Damon r
, & sort pour chercher Léandre. Crispin rit des scrupules de son
maître
, & se promet d’enlever Nérine à l’Olive s’il
e & d’apporter des nouvelles propres à retarder le mariage de son
maître
. Géronte se félicite de marier bientôt sa fille.
consent & va joindre Léandre. L’Olive veut, à l’imitation de son
maître
, prier Crispin d’éprouver Nérine. Acte II. Léand
t à l’Olive. L’Olive dit que le secret est à lui aussi bien qu’à son
maître
. L’Olive prie Crispin de lui rendre auprès de Né
pin de lui rendre auprès de Nérine le bon office que Damon rend à son
maître
: Crispin se charge volontiers de ce soin. Léand
are son amour, & reçoit un soufflet. Acte III. L’Olive dit à son
maître
que s’ils sont la dupe de leur folie, ils le méri
uader à Julie qu’un autre objet le captive. L’Olive imite en tout son
maître
. Lisimon, pere de Léandre, écrit qu’il est en pa
bastonnade à l’Olive. L’Olive dit à Géronte de respecter en lui son
maître
; Géronte n’est point intimidé. Les trois laquais
e la cérémonie. L’Olive déclare à Géronte quelle est la folie de son
maître
, avec tout ce qu’il fait pour contenter son imper
les valets, la soubrette ne servent qu’à parodier burlesquement leurs
maîtres
& à détourner le peu d’intérêt qui pourroit r
z le dernier23 Merlin emploie la même ruse, en mettant aux prises son
maître
avec Madame Bertrand. Voyons Destouches retourner
I. Démétrius, Intendant de Timon, voyant que tout le monde ruine son
maître
, se détermine à s’enrichir à ses dépens ; un Poët
enter qu’elle a tort de n’être pas venue au monde vingt ans avant son
maître
, elle n’entend pas raison. Valere & Isabelle
e de maniere que Champagne peut l’en arracher & le remettre à son
maître
. Il est sans dessus, & conçu en ces termes :
asard la conduit. Laurette anime si bien Accante, qu’il n’est plus le
maître
de son dépit, & qu’il sort en déchirant le bi
le, Et je gagerois bien que ce billet est d’elle ; Qu’au rival de mon
maître
. . . Laurette. Qu’au rival de mon maître. . .Oh
d’elle ; Qu’au rival de mon maître. . . Laurette. Qu’au rival de mon
maître
. . .Oh ! Champagne. Qu’au rival de mon maître. .
e. Qu’au rival de mon maître. . .Oh ! Champagne. Qu’au rival de mon
maître
. . . Oh !Gageons, si tu veux. Laurette. Ah ! que
& cause le plus grand des embarras, puisque Damis, qui s’est dit
maître
de son sort, vient de signer avec Julie le contra
laît-il, mon secrétaire, enfin Faire mes volontés ? Ne suis-je pas le
maître
De m’appeller un fourbe, un scélérat, un traître
d’un Prêtre. Le bon vieillard croit l’esclave sur sa parole. Le fils,
maître
d’une grosse somme, se prépare à payer la rançon
nnance qui fît de l’Hercule 56 un livre évangélique, je crois que mon
maître
pourroit devenir un grand prédicateur. Antoine. S
ir pour lire de pareils livres ? Crispin. Oh ! il faut savoir que mon
maître
a deux professions. Il est en même temps potier d
ffaires politiques. Scene V. Madelaine demande à Crispin où est son
maître
. Crispin lui demande le secret à son tour, &
entre eux ? Crispin. Oh que oui : je les connois tous. Attendez : mon
maître
& le cabaretier sont deux ; François, le perr
rôme, le brasseur... Léandre, le visiteur de la Douane... Nicolas, le
maître
d’écriture... David, le maître d’école... Richard
velle dignité, il fait financer deux Avocats qui veulent parler à son
maître
: les Avocats plaident leurs causes devant le nou
ernand, sujet du Roi de Castille, non content d’être le favori de son
maître
, de voir son frere premier Ministre, d’avoir obte
eux sujets qui soient assez extravagants pour vouloir s’allier à leur
maître
. C’est le fond & non l’écorce qu’un Poëte com
e I. Pasquin, valet de Moncade, commence à peindre la jalousie de son
maître
en l’attendant. Moncade sort furieux de l’appart
il est jaloux du Marquis, il bat Pasquin ; celui-ci veut parler, son
maître
met l’épée à la main pour le tuer. Damis arrête
aire ; Pasquin est fort embarrassé, il ne prononce pas un mot que son
maître
ne trouve occasion de se rappeller Mariane &
Moncade, & sort. Pasquin ramasse le portrait & reconnoît son
maître
: Moncade, désespéré d’avoir déplu à Mariane, jur
Julie ; il se fera plutôt casser. Pasquin accourt pour dire que son
maître
est mort si on ne lui pardonne. Julie consent à
spere toujours. Pasquin a suivi Mariane & Julie par ordre de son
maître
, il les a vues monter en carrosse avec un jeune h
s, elle va chercher des gouttes d’Angleterre. Pasquin, seul avec son
maître
, ne sait comment le faire tenir debout. Marton r
RIENNE LATINE, Scene III. Dave réfléchit à part sur le mariage de son
maître
avec la fille de Chrémès : il apperçoit Simon. Ce
tat du conseil qu’il a tenu avec Dave : celui-ci exhorte tout bas son
maître
à surprendre son pere, en lui disant qu’il est pr
hia, valet de Charinus, écoute à part, & sort pour raconter à son
maître
que Pamphile, loin de refuser Philumene, comme il
e lui, que de la savoir entre les bras d’un autre. Je vais dire à mon
maître
tout ce qui se passe ; il me récompensera de la b
un valet. L’ANDRIENNE LATINE, Scene VI. Dave dit à part que son vieux
maître
s’attend à quelque fourberie. Simon le prie de lu
aire à cause de son amour pour l’Andrienne. Dave assure que son jeune
maître
n’y pensera plus au bout de deux ou trois jours.
qu’il vient de dire à Dave. Dave déplore son malheur ; il a jetté son
maître
dans le plus grand des embarras : il l’apperçoit,
s vifs à Dave, qui avoue ses torts, & promet de tout réparer. Son
maître
n’a pas le temps de le traiter comme il mérite :
rle du mauvais traitement qu’on lui a fait, il l’oublie en voyant son
maître
content. Charinus les écoute : il partage leur jo
le sien, il se met dedans : le cocher touche & croit remener son
maître
dans sa maison, Ménalque se jette hors de la port
otre aise ? Nous n’avons qu’un fauteuil ici, ne vous déplaise, Et mon
maître
s’en sert, comme vous pouvez voir. LA BRUYERE.
se, Et mon maître s’en sert, comme vous pouvez voir. LA BRUYERE. Le
maître
arrive ; celui-ci se leve pour le recevoir. Il le
honneurs de sa chambre : il parle, il rêve, il reprend la parole. Le
maître
de la maison s’ennuie, & demeure étonné. Ména
, connoissant la naissance de Clarice, son honnêteté, l’amour que son
maître
a pour elle, & le dessein où il est de lui do
les bras par un pareil propos ? Est-il dans la nature enfin que, son
maître
écrivant & lui ayant déja imposé silence, il
nt voilà Tranion mon esclave. Tranion. O Seigneur Theuropide, mon bon
maître
! Quel transport de joie ! Est-il possible que ce
ois oublié d’éteindre la lampe ; tout d’un coup j’entends notre jeune
maître
qui crie de toute sa force... Theuropide. Qui app
e qui crie de toute sa force... Theuropide. Qui appelles-tu ton jeune
maître
? n’est-ce pas mon fils ? Tranion. St ! un peu de
sieur : mais, encore une fois, je vous prie de m’écouter. Notre jeune
maître
me dit que le mort lui avoit parlé de cette manie
u’il vient d’obtenir sentence par corps, & qu’il fera coffrer son
maître
incessamment. Géronte, surpris, veut savoir à que
A MOSTELLAIRE. Acte III. Scene I. L’Usurier demande à Tranion si son
maître
ne veut pas lui payer au moins l’intérêt de la so
de suite ses ballots. Autre embarras de Merlin, qui exhorte son vieux
maître
à ne point parler de la vente de la maison à Mada
. Tranion fort embarrassé va trouver le voisin, lui persuade que son
maître
veut faire bâtir une maison sur le modele de la s
e. Le voisin y consent avec grand plaisir. L’esclave revient vers son
maître
, lui dit que son voisin est très chagrin d’avoir
que l’autre demeurera pour otage. Son intérêt veut qu’il retienne le
maître
. Alors Tindare se sacrifie pour son patron, prend
ureusement pour lui le valet de son frere survient, le prend pour son
maître
, le délivre & lui demande la liberté, que Men
ance à tous les autres. Un valet, qui doit distinguer la malle de son
maître
à cent pas de lui, en prend une autre, parcequ’il
autre malle ? Ne doit-il pas craindre quelque fourberie ? Ou bien son
maître
ne lui a-t-il jamais parlé de son frere, & ne
de rendre Tartufe dupe d’Elmire, ils auroient trouvé surprenant qu’un
maître
fourbe donnât tête baissée dans le piege. Dans le
dès l’instant que l’Olive paroît devant lui sous le déguisement d’un
Maître
à danser, il le regarde très bien en face. ACTE I
ene IX. M. Grichard, bas, en tremblant. Oh ! oh ! c’est ce coquin de
maître
à danser ! Cateau. Monsieur, c’est lui-même : je
seconde dans ses fourberies. Il ne s’amuse pas à lui demander si son
maître
l’a regardé en face ; il lui dit : Scapin. Tiens
l faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. Non, bourreau, s’écria le
Maître
, je la veux... je la veux... douteuse, c’est-à-di
s aisément à s’enrichir qu’à s’amuser, entre dans un café, demande au
maître
des nouvelles de ce qui se passe dans sa maison.
éronte, très fâché. Ah ! pendard ! est-ce ainsi que l’on répond à son
maître
? (Il le menace & le fait reculer.) Picard,
nt.) Tiens, pour te faire panser. Picard, à part & attendri. Quel
maître
! M. Géronte, en lui offrant de l’argent. Tiens d
; mais il en coûte tant pour faire l’apprentissage & pour passer
Maître
! — Eh bien ! que fait cela, continue Damis ? Voi
ses auditeurs. Que seroit-ce si, plus savant dans l’art d’imiter son
maître
, il eût fait rire l’ame ? Le rang décerné à Regna
Tartufe malgré les hommes puissants qu’il y peignoit ? S’il n’eût été
maître
de ses Comédiens, auroit-il pu leur faire jouer l
s pieces sont tombées aux premieres représentations, auroit-il été le
maître
de les faire reprendre dans un temps plus favorab
l’imprudence de dire leur avis avant de connaître assez bien celui du
maître
. Encore une fois, je ne donne ceci que comme une
le faisait vaincre ; et le chancelier, plus docile aux désirs de son
maître
que jaloux de la gloire du corps qu’il présidait,
rnes, pour la même action qui lui avait valu l’auguste approbation du
maître
; et le Roi, si porté, en général, à respecter le
lle se fait tout naturellement par la conversation qu’ont ensemble le
maître
à danser et le maître de musique, en attendant qu
ellement par la conversation qu’ont ensemble le maître à danser et le
maître
de musique, en attendant que paroisse le sot et r
premier acte tout entier. Deux autres personnages de même nature, le
maître
d’armes et le maître de philosophie, viennent se
tier. Deux autres personnages de même nature, le maître d’armes et le
maître
de philosophie, viennent se joindre à eux ; et, t
à tour, lui donnent ou en reçoivent du lustre ! Ici, se présentent un
maître
de danse et un compositeur de musique : celui-ci,
st toujours proportionnée à la futilité de l’art qu’il exerce. Là, un
maître
d’escrime étale à nos yeux l’insolence brutale d’
ns spirituelle et moins bien-disante que Dorine du Tartuffe, dont les
maîtres
, sous ce rapport, sont supérieurs eux-mêmes à M.
son mari, elle rit à gorge déployée du grotesque accoutrement de son
maître
; et la seule chose qui la désole dans ce nouveau
e actuelle, d’un de ses plus dignes élèves devenu à son tour un grand
maître
, et d’un plus jeune peintre qui marche avec honne
res et de corrompre les fils, tour à tour servant et trahissant leurs
maîtres
, dont ils reçoivent alternativement des caresses
t pas, il n’en peut pas être ainsi dans nos sociétés modernes, où les
maîtres
n’ont pas droit de vie et de mort sur leurs servi
er un effet pratique de cette grande méthode et de faire voir le même
maître
de philosophie disant quelques gros mots, et se c
ophie disant quelques gros mots, et se colletant agréablement avec un
maître
de danse, avant d’enseigner à M. Jourdain cette m
e sa vie, dans un moment d’enthousiasme, entonner en l’honneur de ses
maîtres
cet hymne magnifique : Vive la bonne méthode du G
Développant d’une façon tout à fait originale, du reste, la pensée du
maître
, elle les divise en classes correspondant à celle
e thèse gassendiste. Quelle est donc alors la pensée de Molière ? Son
maître
, est-ce Descartes, est-ce Gassendi ? La réponse e
ère un fidèle disciple de Gassendi. Après avoir reçu de cet excellent
maître
la haine de tout joug, c’est contre lui tout d’ab
arie (47). » C’était en 1642. Molière avait vingt ans. L’influence du
maître
sur l’élève fut profonde. Il faudrait s’étonner d
rd Gassendi communique à Molière son amour passionné pour Lucrèce. Le
maître
sait le poète entier par cœur : l’élève se met à
son attaque contre les médecins, il se souvint des railleries de son
maître
qui, au dire de Sorbière, badinait si agréablemen
« un vrai épicurien mitigé? »La morale du juste milieu prônée par le
maître
n’est-elle pas celle qui remplit les œuvres et la
rire du prétendu épicurisme de Molière, fondé sur l’épicurisme de son
maître
(57) ? » Non ; l’accord est parfait. Molière en
mitait ou acceptait des doctrines toutes faites, — le principe de son
maître
il ne le reçut qu’à la condition de le transforme
ur des chrétiens enfin qui savent retrouver la sainte volonté de leur
maître
] dans la faveur des hommes comme dans les outrag
En pratique même, ce qui était difficile, l’élève a été digne de son
maître
. Nous voici arrivé au terme de cette double étude
8.)- M. Baillet et bien d’autres partageaient sur ce point l’avis des
maîtres
… et cela non sans quelque apparence de vérité. Po
d même que Sophie Apprenne incessamment l’Anglois. Damis. Tu vois son
maître
. Finette. Tu vois son maître.Vous ? Damis. Tu v
essamment l’Anglois. Damis. Tu vois son maître. Finette. Tu vois son
maître
.Vous ? Damis. Tu vois son maître. Vous ?Te voilà
s son maître. Finette. Tu vois son maître.Vous ? Damis. Tu vois son
maître
. Vous ?Te voilà bien surprise. Finette. Aux belle
egs de l’Orpheline. Scene III. Eraste présente à Sophie le prétendu
maître
. Il exhorte Bélise à apprendre l’anglois ; il van
omme Eraste n’entend pas cette langue, il la donne à lire au prétendu
maître
, qui l’entend aussi peu qu’Eraste, & qui, par
éfere à tout mes écolieres. Eraste est enchanté des leçons du jeune
maître
; il est bien certain que Sophie profitera entre
x jours. Sa mort, &c. » Eraste voit qu’il est la dupe du prétendu
maître
; il le fait appeller. Damis paroît & reconno
que pour amener des morceaux de musique composés par les plus grands
Maîtres
, & chantés par des voix enchanteresses ; pour
contredit bien flatteur de contribuer aux plaisirs de son Roi, de son
Maître
, sur-tout quand il se déclare le protecteur des t
r qu’un succès passager, n’a traité dans ce genre que celles dont son
maître
ou les circonstances lui indiquoient le sujet. To
n Musicien. Je le supprime. Premiere entrée de Ballet. Danse de deux
Maîtres
à danser. Deuxieme entrée de Ballet. Danse de d
ergents y sont amenés de force, & que les Pages, les Curieux, les
Maîtres
à danser, les Suisses, les Egyptiens, les Sauvage
arents auxquels il veut laisser une partie de son bien, de rendre son
maître
unique légataire, & de lui faire par ce moyen
plus longue, le plaisant qui résulte d’abord de l’association de deux
maîtres
fourbes, auroit bientôt cessé de l’être en amenan
désapprouvera surement ces comédies compliquées, dans lesquelles les
maîtres
& les valets entremêlent leurs fourberies. Le
nt la même tournure ; & il n’y auroit aucune différence entre les
maîtres
& les valets, sans les termes burlesques &
i envoie chercher un Rôtisseur, ordonne un repas magnifique au nom du
maître
de la maison ; & lorsque Pantalon arrive avec
se doute bien que le Vieillard aimera mieux risquer l’esclave que le
maître
; & voulant se sacrifier pour son jeune patro
inesse & en même temps toute la simplicité que l’esclave & le
maître
, prêts à se quitter, mettent dans les conventions
tamment de racheter du Médecin Ménarque, Philopoleme le fils de notre
maître
commun, & de le renvoyer au plutôt, afin que
ere revoir ma chere patrie, mes parents ? Tu as brisé les fers de ton
maître
. Philocrate. J’ai fait tout ce que vous venez de
ssein de t’en manquer. Conduis bien nos affaires. Tu es à présent mon
maître
, mon patron, tu es mon pere ; je te recommande me
p; ma vie...... Adieu, mon ami ; bon voyage. Philocrate. Et vous, mon
maître
, ayez bien soin de votre santé. Les Auteurs du g
ve qui risque sa vie pour avancer de quelques jours la liberté de son
maître
? Y a-t-il rien de plus touchant que leurs adieux
use fidélité de Tindare, & voyant à quoi il s’est exposé pour son
maître
, il est fâché de n’avoir pas été informé de la ru
pomene, & Stalagme, cet esclave fugitif qui avoit vendu son petit
maître
, arrivent : on apprend que Tindare doit le jour à
rnier de ses titres. Comment faire, dira-t-on ? Décomposer les grands
maîtres
, & puiser des leçons jusques dans leurs plus
Scene IV. Mascarille entreprend de parler à Célie des amours de son
maître
, même en présence de Trufaldin. Il feint de conno
ur arriver à ses fins, s’il n’étoit croisé par les étourderies de son
maître
; & l’Etourdi, guidé par son caractere seul,
es fourberies du valet n’ont aucun rapport avec la mauvaise humeur du
maître
, ou la mauvaise humeur du maître n’a pas le moind
n rapport avec la mauvaise humeur du maître, ou la mauvaise humeur du
maître
n’a pas le moindre rapport avec les fourberies du
s les deux héros une fois seulement. ACTE II. Scene XVII. L’OLIVE en
Maître
à danser, M. GRICHARD. . . . . . . . . . . L’Oliv
tacles qui surviennent, aux caprices du hasard, qu’à la malignité des
maîtres
ou des valets ; & qu’au fond une comédie intr
se racommoder, elle laissera sa porte entre-ouverte dès que son vieux
maître
sera parti pour la campagne, & qu’il pourra e
Scene IV. Célia, suivante de Laura, accourt pour dire que son vieux
maître
va paroître : on fait cacher Lisardo dans un cabi
pour plusieurs jours. Scene IV. Calabacas présente un papier à son
maître
, lui dit que c’est son mémoire, lui demande son c
c’est son mémoire, lui demande son congé ; il ne veut plus servir un
maître
qui a des secrets pour lui. Scene inutile. Scene
er les services de l’infortuné : il parvient aux pieds du Trône ; son
maître
prend le papier, commence à le lire : le héros cr
tacles qui surviennent, aux caprices du hasard, qu’à la malignité des
maîtres
ou des valets ; & qu’au fond une comédie intr
’il vint dans la maison, s’y impatroniser jusqu’au point d’y faire le
maître
. Elle le soupçonne d’être amoureux d’Elmire. Mada
n. Scene II. Lisette prie Pasquin de lui peindre le caractere de son
maître
, & dévoile en échange celui de sa maîtresse.
en énergique à son portrait. Scene IV. Pasquin acheve de peindre son
maître
, & c’est au mieux. Je remarquerai seulement q
plaisants effets. Ce doucereux rival, c’est Philinte sans doute ? Mon
maître
d’un regard doit le mettre en déroute. Je demand
imon demande si le Comte de Tufiere boit sec : Pasquin répond que son
maître
est le plus fort buveur du Régiment ; d’après cet
ere. Scene VIII. Le laquais donne la lettre à Pasquin, qui copie son
maître
, & reçoit le laquais d’un air impertinent : c
e moquant de lui. Scene IX. Pasquin avoue qu’il a tort de copier son
maître
, il sent qu’un Glorieux est un sot animal. Le Com
tié de tout temps fit paroître L’époux de ta maîtresse au pere de mon
maître
; Qu’ils étoient grands amis, n’étant encore qu’e
ncore qu’enfants, Et qu’il y peut avoir déja près de huit ans Que ton
maître
, embarqué sur mer pour ses affaires, Fut pris, &a
Tu sais fort bien aussi que la vieille amitié Fit qu’enfin mon vieux
maître
en eut quelque pitié, Et me chargea de faire en T
texte de l’Auteur. Sosie ne sert à rien dans la piece, d’ailleurs son
maître
pouvoit se servir de lui sans lui confier son sec
t avec plaisir Mascarille dans les Précieuses ridicules, parceque son
maître
a fait naître l’envie de le connoître. Quand au c
n portrait en ces termes : ACTE I. Scene II. Lisette. Le Comte votre
maître
est froid & sérieux. . . . . . . . . . . . .
mp; que sait-on ? peut-être Je deviendrois un jour aussi gras que mon
maître
: J’aurois un bon carrosse à ressorts bien liants
t. Je l’ai fait, & je le lui apporte. J’ai oui dire que son jeune
maître
s’est marié, & je ne doute nullement que cet
soit sincere : il a surement cru que Géta, touché des prieres de son
maître
, alloit le tirer de peine en lui remettant l’arge
t, donnez-le à Dorcion. Pourquoi Géta ne le reprend-il pas quand son
maître
en a besoin ? Est-ce une restitution qu’il fait à
et chez le Jaloux sous l’habit d’une femme. Le valet déguisé & le
maître
rodent autour de la maison pour trouver un instan
n Juan. Tandis que les deux rivaux sont sur le pré, le valet sert son
maître
auprès de Léonor, malgré Dona Maria, qui le croit
urprise de Don Juan. Le valet déguisé reste caché dans la maison. Son
maître
en est en peine, quand le Jaloux, à qui la gouver
gouvernante fait la conversation avec le valet qu’elle prend pour le
maître
: le Jaloux fait sentinelle à leur porte, & c
al mérite. J’en prends à témoin le Lecteur. Henri veut déterminer son
maître
à se marier avec la fille qu’on lui destine. LA M
... Granger. Et qu’allois-tu faire à l’école, baudet ? Corbineli. Mon
maître
s’étant souvenu du commandement que vous lui avez
her l’argent des Chrétiens, à cause qu’il a une croix. Corbineli. Mon
maître
ne m’a jamais pu dire autre chose, sinon : Va-t’e
it ; mais si tu n’es ici de retour dans un moment, j’irai prendre ton
maître
dans son college, & vous étranglerai tous tro
ette scene. Un fourbe a besoin d’argent pour servir les amours de son
maître
, il imagine de s’en faire donner par le pere même
& que vous courez risque de perdre votre fils. Hélas ! mon pauvre
maître
, peut-être que je ne te verrai de ma vie, & q
les lambeaux de son manteau se viennent rafraîchir aux étoiles. Leur
maître
ne les expose jamais au jour, parcequ’il craint q
liere. Cet authentique nez arrive partout un quart d’heure devant son
maître
; dix Savetiers de raisonnable rondeur vont trava
à Phédria. O Monsieur ! on ne sauroit croire de combien je passe mon
maître
en sagesse. Tous les maux qui peuvent m’arriver s
t prévus ; il y a long-temps que j’ai fait ces réflexions : Quand mon
maître
sera de retour, j’irai pour le reste de mes jours
amais revenu au logis, que je ne me sois tenu prêt à la colere de mes
maîtres
, aux réprimandes, aux injures, aux coups de pied
ce fait dire par deux interlocuteurs. Il est bien plaisant de voir un
maître
fourbe inventer la meilleure moralité qui se soit
s gardes : la fortune aide les gens de cœur. Antiphon. Je ne suis pas
maître
de moi. Géta. Il est pourtant plus nécessaire que
as les moyens d’accommoder entre vous cette affaire à l’amiable ? Mon
maître
est honnête homme & ennemi des procès. Car, p
s voulez que l’on vous donne de la main à la main, pour faire que mon
maître
n’entende plus parler de cette affaire, que cette
je le sais fort bien, pour peu que vous vous mettiez à la raison, mon
maître
est si traitable, que vous n’aurez pas ensemble t
i déja critiqué les scenes dans lesquelles les valets parodient leurs
maîtres
, parcequ’indépendamment de la langueur qu’elles j
Son valet, jaloux de tâter d’une bonne fortune, prend un habit de son
maître
, se rend au lieu assigné, & se laisse conduir
-peu-près la même situation ; mais celle du valet, précédant celle du
maître
, la fait desirer avec plus d’impatience, & re
s’il est bien ; alors M. Pasquin se met à la toilette & copie son
maître
. Scene XII. Marton. Par ma foi, voilà un vilain
e, qui sont amoureux l’un de l’autre, forment le dessein d’unir leurs
maîtres
. Pour cet effet Crispin dit à Valere que Lucile e
ux. Les rivaux sortent pour ordonner des fêtes. Polilla demande à son
maître
pourquoi il a nié sa tendresse ; Carlos lui répon
douzieme elle ira vous chercher, le treizieme elle vous priera ». Son
maître
lui dit que si on lui fait quelque avance, il ne
feinte ne lui coûtera rien. Ses rivaux sortent. Polilla félicite son
maître
, que tout sert, jusqu’à la conduite de ses rivaux
endre, avec beaucoup d’adresse & sous le sceau du secret, que son
maître
doit épouser Silvia. A l’instant Flaminia passe d
t refusé de se charger de cette commission, crainte de déplaire à son
maître
, elle prend sur elle de lui écrire & de lui e
entrée chez Lélio, que Scapin, qui l’a introduite, prie tout bas son
maître
de lui donner quelques coups de bâton. Lélio ne c
re pour fléchir Lélio : elle découvre enfin à Scapin qu’elle aime son
maître
. Scapin conduit Flaminia chez Lélio, où, après qu
gême propre à éprouver les véritables sentiments de Flaminia pour son
maître
: il feint qu’autrefois charmé d’une jeune person
deux mariés; 3° Après la sérénade viennent les airs de danse pour les
maîtres
à danser. — Les pages. — Les combattants et les c
ous reste plus à parler que de la deuxième entrée du Carnaval, de le
Maître
d’école ou Barbacola ; nous l’avons, avec intenti
quis le plus de réputation. C’étaient les Trois docteurs rivaux et le
Maître
d’école. Louis XIV autorisa la représentation de
Petit-Bourbon, alternativement avec les Italiens. Or, cette farce du
Maître
d’école, aujourd’hui disparue, composée à peu prè
Lacroix). Quelle était cette pièce ? Ne serait-ce pas un fragment du
Maître
d’école que nous avons trouvé dans le Carnaval, e
t en conclure que, parmi les premières œuvres de Molière, la farce du
Maître
d’école eut assez de réputation pour que Lully s’
x Fâcheux Nous ne voyons, dans l’œuvre de Molière, que cette pièce du
Maître
d’école, à laquelle puisse se rattacher l’intermè
iu di scuola (4 fois). LES ÉCOLIERS. Viva (bis) Barbacola (bis) Le
maître
et les écoliers dansent ensemble, puis on reprend
nsemble, puis on reprend les deux derniers vers, l’air de danse et le
maître
et les écoliers s’en vont tous ensemble en dansan
s faits racontés plus haut, la relation de Grimarest, la tradition du
Maître
d’école perdue, et la coïncidence du Barbacola tr
le bon Dieu m’avait donné pour me conduire, et tant de leçons de mes
maîtres
, tant d’études acharnées, tant de découvertes que
e à tout ce que j’aimais ; bien m’en a pris de n’avoir juré par aucun
maître
, et d’avoir obéi uniquement aux convictions de mo
même du goût public, sauf à voir, lui aussi, son arrêt cassé par les
maîtres
. — À Dieu ne plaise, que Votre Majesté se connais
e Le Cid, condamné par l’Académie et par le cardinal de Richelieu, ce
maître
absolu… absolu, non pas contre Le Cid. — Il n’y a
use, atroce… elle suit d’un pas calme et sûr le sentier tracé par les
maîtres
; elle laisse crier ceux qui crient, hurler ceux
faut respecter le vestibule, a dit un critique ; il faut étudier les
maîtres
, avant d’aller aux disciples ; il faut prouver qu
u. « Il faut d’abord séparer la tragédie d’avec la comédie, a dit un
maître
; l’une représente les grands événements qui exci
roi, curieux de tout savoir, amoureux comme il l’était, sûr d’être le
maître
, et qui ne savait guère qu’un jour il appartiendr
é Fénelon ; il est resté grand dans cet art dramatique dont il est le
maître
tout-puissant : il est resté en même temps dans n
rieuse existence pour Molière ! Il était roi, lui aussi ! Il était le
maître
de son théâtre. Il avait usé de sa première jeune
es de la terre ; c’était bon pour vous qui étiez le roi, qui étiez le
maître
, qui aviez vos jours de médecine, réglés comme vo
h ! si la vieille Laforêt était là, comme elle viendrait arracher son
maître
à cette Toinette effrontée et sans pitié, qui l’o
eaucoup à glaner dans l’étude et dans la contemplation de l’œuvre des
maîtres
. C’est la mine inépuisable, c’est le sujet toujou
folie et un grand meurtre. Au contraire, à comprendre, à deviner les
maîtres
, vous aurez cette récompense et vous l’aurez tout
iques, nos frères, apprenez donc à ne pas trop compter sur les petits
maîtres
et les petites maîtresses de la lecture de chaque
issance populaires ! En ce moment déjà, il comprenait qu’il serait le
maître
absolu des esprits et des intelligences de son te
t de l’intrigue pour en avoir les joies, non le profit : il est passé
maître
dans l’art de tromper, mais il agit comme un gran
aient pas plus heureux et plus fiers que Mascarille ! Aussi quand son
maître
, L’Étourdi, dit au valet qui est sa providence, c
tude et dans ce respect ! Chacun de ces rôles est tracé de la main du
maître
, et chaque rôle a son prix ; donc pas de dispute
même y jouent un grand rôle, et souvent le confident l’emporte sur le
maître
, témoin Mascarille : fourbum imperator. — La trag
’écoute plus et se repose. Ce n’était pas ainsi que l’entendaient les
maîtres
de l’art. ; ce n’était pas ainsi que l’entendait
us n’avez pas d’argent, renoncez-y4. La pauvre fille est esclave, son
maître
l’a mise à prix. Il vous faut de l’argent à tout
errompre : « Vous allez être à moi de la tête aux pieds, et je serai
maître
de tout, de vos petits yeux éveillés, de votre pe
yeux ; son valet Ali, qui est un très naïf confident, conseille à son
maître
de chercher quelque moyen de se parler d’autre ma
nsi qu’un messager d’amour oserait parler à une honnête fille que son
maître
veut épouser ? Et cette Rosine qui se laisse trai
. C’est qu’en fait de misanthropie, Jean-Jacques Rousseau était passé
maître
; lui aussi, bien mieux qu’Alceste, il avait vu l
Alceste tient à ce valet que lui a donné Molière ! Dubois annonce son
maître
, son maître arrive. Comme il est changé, le malhe
t à ce valet que lui a donné Molière ! Dubois annonce son maître, son
maître
arrive. Comme il est changé, le malheureux ! Est-
uffe, c’est l’huissier Loyal de Molière ; seulement Molière, ce grand
maître
, a fait venir l’huissier Loyal à la dernière scèn
son pauvre valet Dubois qui ne profite de la bonne humeur de son bon
maître
. Eh ! comment donc n’avez-vous pas vu depuis long
gaieté à la tristesse de Molière ; il riait dans cette maison dont le
maître
était si triste ; il arrivait toujours à temps po
olière abandonnait, pour tout de bon, Plaute et Térence, ses premiers
maîtres
; il n’obéissait plus qu’à son génie ; il n’avait
s liront avec joie le terrible portrait de la prude, tracé de main de
maître
. Avec un cœur aimant, Molière a dû se demander pl
la joyeuse et bonne Dorine, l’aimable soubrette s’en va, loin de ses
maîtres
qu’elle aime et qu’elle défend à sa manière ; Clé
s contemporains bien au-dessous de sa juste valeur. Comme il était un
maître
en fait de style, c’est-à-dire comme il avait tro
ns des sentiers tout tracés ; celui-là seulement écrit à la façon des
maîtres
, qui s’empare victorieusement de cette langue reb
as plus loin ! Et en ceci les sujets ont très volontiers obéi à leurs
maîtres
. Voilà pourquoi vous rencontrerez du vin de Borde
it un peu en famille chez nous ; M. Duviquet, mon prédécesseur et mon
maître
, l’avait adoptée avec la bonhomie et le zèle qu’i
est resté, parce qu’en effet Marivaux est resté. » Ainsi parlait mon
maître
, au nom même de la nature ! La nature ! voilà enc
nt en Normandie, & qu’il n’a jamais vus. Crispin, voulant que son
maître
soit Légataire universel, paroît sous le nom du n
connu tout le prix du sérieux déplacé, & s’en est servi en grand
maître
, témoin la scene dans laquelle Arnolphe annonce à
instruit, Montre d’obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son
maître
, un enfant à son pere, A son supérieur le moindre
où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur & son
maître
. Lorsqu’il jette sur elle un regard sérieux, Son
s, mes enfants, pourroit-ce être, Si l’on avoit ôté l’honneur à votre
maître
! Vous n’oseriez après paroître en nul endroit ;
ent pour la Terre il néglige les Cieux ; Et vous n’ignorez pas que ce
Maître
des Dieux Aime à s’humaniser pour des beautés mor
de Moliere dans les détails. Dans le Joueur de Regnard, Toutabas,
maître
de trictrac, veut donner leçon à Géronte qu’il pr
dans le Joueur. Heureux, si, en touchant aux beautés délicates de son
maître
, il n’y eût point imprimé la main de l’écolier !
nt qu’on y puisse être ; Fort aimé du beau sexe, & bien auprès du
maître
. Je crois qu’avec cela, mon cher Marquis, je croi
s j’y renonce, & je ne veux plus dire vrai. Passe encore pour mon
maître
, il a quelque droit de me battre ; mais, pour ce
te les beautés, & leur plais d’une lieue. Je m’érige aux repas en
maître
architriclin, Je suis le chansonnier & l’ame
té qu’il est bon d’enlever à l’oubli. Mais Regnard pillant Moliere le
maître
de son art, quand il est à peine dans le tombeau
de son génie, en transportant dans ses ouvrages les idées des grands
maîtres
, sans avoir l’art de déguiser ses larcins & d
te pleine d’un conte qu’un barbier lui a fait ; &, tandis que son
maître
lui parle de sa passion, il ne rêve qu’aux partic
zor se félicite d’être débarrassé d’un importun. Arlequin exhorte son
maître
à ne point partir sans le Barbier. Almanzor le me
la fenêtre, ils soutiennent toujours que le Cadi fait assassiner leur
maître
. Almanzor se montre au Cadi, & lui avoue son
qu’il n’aura pas sa fille. Crispin accourt pour savoir si Damis son
maître
a fléchi Cidalise. Il le voit au désespoir, lui p
le porter dès que les Philosophes seront assemblés. Il part avec son
maître
. Les Philosophes paroissent, Marton sort pour les
l homme je puis être. Trissotin. Et la mienne saura te faire voir ton
maître
. Vadius. Je te défie en vers, prose, grec & l
Acte I. Sosie vient du port pour annoncer l’arrivée d’Amphitrion son
maître
: il a peur. Il déclame contre le service des gra
que lui-même est Sosie valet d’Amphitrion, qu’il a été député par son
maître
pour annoncer son retour. Le véritable Sosie, pre
e dit qu’à moins que la coupe ne soit double, ainsi que lui & son
maître
, elle est certainement dans le petit panier. On l
sa porte. Sosie se jette du parti de Jupiter, & soutient que son
maître
est un faux Amphitrion. Il va tout préparer pour
es Savantes, si, sur-tout, les valets ne faisoient que parodier leurs
maîtres
: mais leur situation est au contraire tout-à-fai
II. Sosie craint pour son front le déshonneur qui couvre celui de son
maître
, & veut apprendre de la bouche de Cléanthis c
MPHITRION, SOSIE. Amphitrion. Viens-çà, bourreau, viens-çà. Sais-tu,
maître
frippon, Qu’à te faire assommer ton discours peut
xtravagance outrés ? Sosie. Non, je suis le valet, & vous êtes le
maître
: Il n’en sera, Monsieur, que ce que vous voudrez
tre ; Enfin ce moi qui suis chez nous ; Ce moi qui s’est montré mon
maître
; Ce moi qui m’a roué de coups. Amphitrion. Il f
rée ; ses parents alarmés cèdent à ses instances, et le confient à un
maître
de pension qui l’envoie externe aux Jésuites. Deu
s titres, tels que Le Docteur amoureux, Les Trois Docteurs rivaux, Le
Maître
en Droit, Le Médecin volant, La Jalousie de Barbo
ne lui accorde Turqueta ; il fléchit le vieillard, appelle son jeune
maître
, qui, craignant de gâter encore ses affaires, pre
conservé la nuance. Dans la scène v, acte IV, Mascarille querelle son
maître
sur ses distractions amoureuses, dans la maison d
firait à ses desseins, s’il n’était croisé par les étourderies de son
maître
; mais l’étourdi Lélie, entraîné par son caractèr
séances. — Blessées par les coups de bâton que Mascarille donne à son
maître
, par le regret qu’a Lélie d’avoir rendu la bourse
t indigne coup de pied que Mascarille allonge dans le derrière de son
maître
, pour lui apprendre que Turin n’est pas en Turqui
ure. Mascarille, va-t-on me répondre, donne des coups de bâton à son
maître
; il peut bien se permettre un coup de pied. Non,
ssus à Molière qu’à Mascarille, lorsque, dans sa colère, il dit à son
maître
: « Vous serez toujours, quoi que l’on se propos
rcée de l’acteur. À la fin de l’acte II, lorsque Mascarille dit à son
maître
, qui s’obstine à le suivre : Sus donc, préparez
ouffonne, puisqu’Arlequin confie même à son cheval les secrets de son
maître
; la française est du meilleur comique. Dans Gli
ins ! J’ai vu un moderne Jodelet compter assez sur la patience de son
maître
et du spectateur pour quitter successivement une
de dureté, et l’aîné, adopté par le complaisant Micio, est absolument
maître
de ses actions. En jugeant les imitations, nous p
ter à lui. Par exemple, dans la scène vi, acte Ier, Ergaste dit à son
maître
, en parlant du tuteur d’Isabelle : Il nous obser
ans leur maison ? qu’ils ne se dérangent pas, même pour y entrer ? Le
maître
ne craint-il point que le pantin ne fasse tort à
le retenir fort longtemps ; et pourquoi ? pour donner le loisir à son
maître
de dévorer une seconde fois la main de son amante
à satisfaire promptement les projets du surintendant et de Beauchamp,
maître
des ballets, imagina la légère intrigue des Fâche
ole. Nuit quatrième, Fable quatrième du premier volume. Raimond,
maître
de physique du prince de Portugal, est piqué de s
isément dans ce coffre que les amants échappent à l’incendie. Le
Maître
en droit. Dans un conte de Boccace, mis en v
droit. Dans un conte de Boccace, mis en vers par La Fontaine, un
maître
en droit fort goguenard, et se moquant surtout de
à l’exception de la sienne. Le jeune homme profite des leçons de son
maître
, cherche fortune, plaît à une belle, et cette bel
Arnolphe, tout ce qu’Agnès et lui imaginent pour le tromper ; mais le
maître
de physique désire que sa femme séduise le prince
s tout cela, s’il est moins sensé qu’étourdi, moins aimable que petit
maître
, moins amant qu’avantageux, moins confiant qu’ind
finement réveiller l’auditeur, De peur que le sommeil ne se rendit le
maître
! Jamais plus à propos vit-on puces paraître ? D’
t aux dépens de ses amis, pour avoir dit : Notre ennemi, c’est notre
maître
, Je vous le dis en bon français. Tranchons le di
es mains, et mordu à une cuisse de volaille, ayant de la servir à son
maître
. — Je souffre de voir des lazzis pareils sur la s
l’effet : il eut toujours l’air, le ton, la fausse fierté d’un petit
maître
subalterne, qui, après avoir fait des dettes, apr
in volant. Arlequin, déguisé en médecin, sert les amours de son
maître
avec Eularia, qui feint d’être malade, et, pour c
t d’un de ses personnages en médecin, mais remarquons qu’ici c’est le
maître
lui-même, et non le valet, qui prend l’habit de d
, le met en opposition avec une prude, un bel esprit, quelques petits
maîtres
de cour, l’indulgent Philinte ; et surtout avec l
e tout le monde, aussi la multitude préféra-t-elle longtemps Jodelet,
maître
et valet, et Dom Japhet d’Arménie, au Misanthrope
Si je jouais le rôle de Dubois, je sentirais que le caractère de mon
maître
n’a pas dû m’accoutumer aux pasquinades ; que la
xcuser ; la prude Arsinoé aura dit vrai ; le courroux des deux petits
maîtres
sera moins comique ; enfin, Alceste ne pourra, sa
a comédie italienne, Arlequin, sous l’habit de docteur, introduit son
maître
, en qualité d’élève en médecine, chez Eularia ; i
ille dans la plus grande désolation, qu’une soubrette, attachée à ses
maîtres
, doit plaisanter avec l’huissier qui le signifie
impatience, tant il lui tardait d’applaudir ; ce qu’il fit de main de
maître
, pendant toute la représentation. J’eus le malheu
aisant la main. Molière voulut en vain l’apaiser : par égard pour son
maître
, il joua un rôle de six cent vers dont il était c
se que Molière anime la scène où Sosie raconte les hauts faits de son
maître
à une lanterne qu’il suppose être Alcmène ; la pr
Alcmène a donné le jour à deux garçons, et ensuite en annonçant à son
maître
que l’un d’eux n’est pas de lui : enfin, l’Amphit
as vu Du… et Préville jouer ensemble ces deux rôles ; l’écolier et le
maître
disparaissaient ; le premier, sous la malignité d
ongtemps, voit enterrer le précieux dépôt, l’enlève et le porte à son
maître
, précisément dans l’instant où celui-ci, pressé p
l fallu l’acheter. Voici encore un trait que Molière a dédaigné. Le
maître
du quartier doit distribuer de l’argent ; Euclion
e, a suppléé à ce qui nous manquait ; il fait dire à Strobile : « Les
maîtres
de ce temps-ci sont des avares ; nous les appelon
es, le peuple, le faisait paraître sur le théâtre, et lui disait : «
Maître
dur avec les personnes qui dédaignent d’acheter t
ous. Par Chevalier, comédien du Marais. Guillot, chargé par son
maître
d’emprunter cinquante pistoles sur une bague, s’a
our, retourne tristement chez lui : Baron l’y attendait ; et voilà le
maître
et l’écolier dans les bras l’un de l’autre. Depui
et par la plus lâche des complaisances pour ce qu’ils appelaient leur
maître
. Nous aurons encore à réfléchir sur les inquiétud
teau de vin et du Loup garou ; il rentre dans la farce en cachant son
maître
dans un sac, et finit par être un scélérat à pend
aurait flatter ce qui le blesse ou lui déplaît. Un époux prétend être
maître
chez lui et pouvoir disposer de ses enfants ; son
leurs vœux vous me sacrifiez. Chrysale, aimant toujours à se croire
maître
chez lui, s’écrie : Je le savais bien, moi, que
olière, qui lui a valu la palme académique, a pu connaître si mal son
maître
, son héros, et publier l’anecdote dont il est que
la ressemblance ? Plus d’un amant, avant Molière, s’était déguisé en
maître
de musique ; plus d’un amant, après Molière, a tr
italien, Crispin se déguise en médecin, pour servir les amours de son
maître
; chez Molière, Toinette prend l’habit de médecin
ongtemps cherché le billet, remet successivement quatre papiers à son
maître
; celui-ci les parcourt des yeux, l’un après l’au
63. Boileau trouvait que la galanterie de Jupiter ne convenait ni au
maître
des dieux ni au général thébain ; que dirait-il,
t sans blesser celui des jeunes auteurs qu’on voulait comparer à leur
maître
, il fit sentir, que si le père de la comédie n’ét
s aises ; elle se rappelle avec une généreuse ardeur, le précepte des
maîtres
: « Les hommes14, en se communiquant leurs idées
les excellentes de l’art d’écrire. Nous avions le temps d’étudier les
maîtres
aux premiers jours du roi Louis-Philippe, et nous
permettait, en ce temps-là, assez souvent, le style précieux, et les
maîtres
l’excusaient en disant : « Si l’on affecte une fi
e mensonge ne lui déplaît pas toujours. — L’esprit est roi, il est le
maître
, il est maître absolu, il appelle la contradictio
ui déplaît pas toujours. — L’esprit est roi, il est le maître, il est
maître
absolu, il appelle la contradiction, il exècre l’
es de Molière, qui étaient aussi ses associés, avaient demandé à leur
maître
une comédie qui sortît enfin de ses admirables pe
sidieuses, par la même envie de rester dans le vrai, pendant que leur
maître
patauge incessamment dans le mensonge et dans l’a
sposer ainsi, de Don Quichotte à Sancho, de Don Juan à Sganarelle, du
maître
au valet, du fait à l’idée, les plus excellentes
croupe son maître Don Quichotte. Une fois Molière en selle, il fut le
maître
du grison, et il ne s’avisa pas de s’écrier : Hol
is Le Festin de Pierre. En effet, disaient ces amis de Molière, où le
maître
a-t-il pris cette prose solennelle et sépulcrale,
on saluait du geste et du cœur ce Sganarelle, cet honnête valet d’un
maître
égoïste, ce brave homme un peu faible, un peu nia
ations naissantes ont des charmes inexprimables ; — que lorsqu’on est
maître
une fois, il n’y a plus rien à dire et plus rien
et le langage du vice lui plaisent et l’amusent, suit son seigneur et
maître
dans ce hardi et merveilleux sentier d’esprit, d’
lle glane pour son propre compte dans le gaspillage de don Juan ! Mon
maître
, a perdu tant d’honnêtes femmes que je puis bien
u tant d’honnêtes femmes que je puis bien avoir une inclination ! Mon
maître
, dit-il encore, a commandé tant de manteaux brodé
bien me passer la fantaisie d’un pourpoint non payé. La table de mon
maître
est surchargée de vins et de viandes, pourquoi ne
, timide et timoré contrefacteur des grands crimes de son seigneur et
maître
… Si Don Juan est le seigneur, Sganarelle sera le
anarelle, qui depuis s’est payé de ses gages sur la succession de son
maître
… C’est vrai, on n’a pas voulu te croire, ami Sgan
ette heure, toi qui avais pris un prince, pour pouvoir te passer d’un
maître
. Pauvre Sganarelle, tu auras un maître demain ; m
e, pour pouvoir te passer d’un maître. Pauvre Sganarelle, tu auras un
maître
demain ; mais qui te rendra cette reine, la bienf
is ! rudes enfants du travail, jusqu’à ce jour c’est à peine si votre
maître
vous a prêté sa gousse d’ail pour frotter votre p
encontrer dans sa passion ou dans son génie. Il a été toute sa vie le
maître
de son art ; il a été le seul et sans partage ; i
ces folies des soirées royales, où chacun lutte à qui fera sourire le
maître
de céans, que le maître s’appelle Richelieu ou bi
oyales, où chacun lutte à qui fera sourire le maître de céans, que le
maître
s’appelle Richelieu ou bien Louis XIV. D’abord on
vingiens un instant ressuscités… tout ce que peut faire le jeune roi,
maître
de sa personne et de son royaume, c’est de lutter
la grâce de leur figure et l’excellence de leur danse, avec quelques
maîtres
de danse pour y donner le ton. » À ce compte, Mo
les trois actes de L’Amour médecin, Molière se mettait au niveau des
maîtres
qui avaient inventé Les Noces de Village, mascara
osé à ce coup de feu n’est rien moins que Louis XIV, le grand roi, le
maître
du pompeux Versailles, l’élégant amoureux de tant
il est triste, le dialogue n’a rien de trop réjouissant. En effet, le
maître
et le valet se disputent sur la question : Être o
t vient de faire avec Mezzetin, feint d’être brouillé avec Fulvio son
maître
qui l’a battu ; il entre au service de Cintio, qu
pin s’empresse d’exécuter ces ordres, mais au profit de son véritable
maître
. Au moment où il a compté l’argent et où il va em
E Scapin se fait un point d’honneur de triompher des sottises de son
maître
. Il fait mettre par son complice Spacca une bours
née même de la mort du cardinal-ministre. Les écoliers devenaient les
maîtres
. Le génie français dépassait de beaucoup le génie
ans l’ancienne, y devient plus intéressant ; il ne vole pas son vieux
maître
pour son compte ; son rôle est sur-tout bien plus
n fourbe, nommé Simon, à contrefaire le muet ; il exhorte ensuite son
maître
à se rappeller que la Comtesse lui a fait refuser
e tout cela veut dire. Frontin ne pouvant parler en particulier à son
maître
, lui dit qu’après son départ il a trouvé un Muet
r tout dire en sa présence impunément. Il rend un compte fidele à son
maître
, & lui conserve par-là non seulement la faveu
on. Tiens, déja dans l’hôtellerie où tu m’as mis en attendant que ton
maître
me prenne, j’ai voulu faire le muet pour m’exerce
e t’ai données. Simon. Je le veux. Frontin. Je te disois hier que ton
maître
te laisseroit seul au logis : il faudra qu’à son
e. En voilà assez pour le coup ; retire-toi, je ne veux point que mon
maître
te voie encore. Il ne t’a jamais vu : mais il te
urs tenté de parler lorsqu’il est question de manger ou de boire. Son
maître
lui montre à contrefaire les personnes de tous le
sses ne purent rien sur son Esprit. Ce bon Père lui envoya ensuite le
Maître
chez qui il l’avait mis en pension pendant les pr
es premières années de ses Études, espérant que par l’autorité que ce
Maître
avait eue sur lui pendant ces temps-là, il pourra
temps-là, il pourrait le ramener à son devoir ; mais bien loin que le
Maître
lui persuadât de quitter la Profession de Comédie
re, c’est Toinette qui lui fera la leçon ; car, dit-elle : « Quand un
maître
ne songe pas à ce qu’il fait, une servante bien s
guenillé, s’introduisit un jour, revenant de l’église en compagnie du
maître
. Tout d’abord, Dorine a trouvé cet intrus suspect
i sert les meilleurs morceaux. Dorine a beaucoup d’affection pour son
maître
, elle l’a connu généreux, capable de servir son p
artuffe manger, dormir et boire, s’étonne et s’indigne de trouver son
maître
si indifférent à l’égard de sa femme. Elle termin
iente du péril, elle s’efforcera de son mieux d’ouvrir les yeux à son
maître
. On le trompe, on le dupe ; Tartuffe ment, il ne
comme elle les pressent elle-même, comme elle sait les exposer à son
maître
tels qu’ils sont et sans phrases… Dorine déteste
ère sont choses essentielles au point de vue moral. Le père doit être
maître
chez lui, bannir du logis tout directeur qui voud
père, de mère, de tuteur, de fille, d’épouse, d’ami, de serviteur, de
maître
, de sujet. Cherchez d’abord à bien voir en quoi i
e Sganarelle est loin d’être admirable, mais il avait un fort méchant
maître
et s’est efforcé de faire quelque bien ; il lui s
t un politique et un philosophe, s’écrie, après la mésaventure de son
maître
: Sur telles affaires toujours Le meilleur est d
desirs : ils cherchent un Médecin pour guérir Lucinde, fille de leur
maître
, qui est devenue muette. Martine saisit l’occasio
gative. Il amuse le pere pendant ce temps là ; mais Lucas avertit son
maître
que sa fille s’enfuit avec Léandre déguisé en apo
fin attachée à sa ceinture derriere son dos : il la fait baiser à son
maître
, en lui disant qu’elle sort de chez le parfumeur.
ussi a-t-il substitué à ce mari mal-adroit, un époux qui veut être le
maître
chez lui, qui s’impatiente des criailleries de sa
soirs votre gros cousin (Louvois)90, qui me dit quelque chose de son
maître
, et puis il s’en va ; car je ne voudrais pas caus
s il s’en va ; car je ne voudrais pas causer longtemps avec lui91. Ce
maître
vient quelquefois chez moi, malgré moi, et s’en r
s et à Guébriant, Il commence pars emparer des passions, il s’en rend
maître
, et il y substitue des mouvements contraires, il
z Moréri aux mots Bernard de La Guiche et Charles de Souvré.) 91. Le
maître
du gros cousin est évidemment Louis XIV. 92. Mad
tte voix de la satire de Juvénal où il dit à l’esclave en disgrâce du
maître
: — Allons, çà, faisons place à une autre, ton ne
appartenait non seulement à Molière, à Marivaux, à toute l’école des
maîtres
, elle appartenait aussi à cette brillante école d
passer la comédie en deuil du grand Molière, et cherchons la trace du
maître
jusqu’à ce que peu à peu la trace s’efface et dis
es bossus de son temps. Ésope et l’empereur Auguste ! l’esclave et le
maître
du monde ! le loustic et le maître de la républiq
empereur Auguste ! l’esclave et le maître du monde ! le loustic et le
maître
de la république ! Comprenne, qui pourra, tous ce
ssée. Dazincourt était le confident, mais non pas l’ami intime de son
maître
. Même dans ses plus grands instants de familiarit
avestir ! — Larochelle était un admirable valet de pied, — Michaut un
maître
de taverne, plein de gros sel et d’entrain. — L’a
le bruit des gaietés envolées, le vestige, en un mot, de l’œuvre des
maîtres
, et je ne sais quel parfum d’atticisme qui vous f
omme qui doit être compté parmi les fondateurs du journal moderne, un
maître
écrivain qui jetait sur le papier son esprit et s
marier convenablement, dans ce pays d’auditeurs au conseil d’État, de
maîtres
des requêtes, de substituts, de banquiers, de com
à Roscius, Michel-Ange à Talma, Raphaël à Bouffé. Le comédien est le
maître
du monde ! Et la comédienne ? — Rien n’est compar
crime ! À force de voir que tout lui était permis, il osa toucher au
maître
, à Molière, et pour son bénéfice (il appelait cel
de la guerre, il suivait patiemment son vainqueur. Arrivé près de son
maître
, le fou lui dit : « Sire roi, je t’amène une pris
à tant de progrès proclamés chaque jour, maître Paroles est devenu le
maître
du monde : il vit, il règne, on l’écoute ; person
tre jeune homme n’ose pas résister longtemps à la volonté du roi, son
maître
. Après le premier débat, il consent à faire de Gi
le malicieux Dubois, le spirituel Figaro, le philosophe railleur, le
maître
et le valet tout ensemble des beaux petits messie
ions-nous au parterre, Monrose ne s’appartient plus, il n’est plus le
maître
de son esprit, de sa pensée ; il obéit encore ave
donné rendez-vous autour de son tombeau : Qui que tu sois, voici ton
maître
! Il l’est, le fut, ou le doit être : disions-no
la science et pour la philosophie ; on suivait Descartes, le nouveau
maître
, dans ses beaux sentiers semés de fleurs et d’éto
plus disposée à bien faire qu’à bien dire, et sûre de bien servir ses
maîtres
aussitôt qu’elle aura appris à les aimer. Or, dan
M. Jourdain. « Ah ! vous voilà, j’allais me mettre en colère. Le
maître
tailleur. « Je n’ai pu venir plus tôt et j’ai m
eines du monde à les mettre, et il y a deux mailles de rompues. Le
maître
tailleur. « Ils ne s’élargiront que trop. M.
vez aussi fait faire des souliers qui me blessent furieusement. Le
maître
tailleur. « Tenez, voilà le plus bel habit de l
airés. M. Jourdain. « Croyez-vous que l’habit m’aille bien ? Le
maître
tailleur. « Belle demande ! Je défie un peintre
ourdain. « La perruque et les plumes sont-elles comme il faut ? Le
maître
tailleur. « Tout est bien. » Les habits du tem
de décorations n’était pas inventé du temps de Molière, et le poète,
maître
chez lui, eût violemment chassé le barbouilleur q
ent la réunion de tant de qualités opposées qui ont fait, de ce grand
maître
, Plaute et Térence tout ensemble, l’ami du peuple
maître, Plaute et Térence tout ensemble, l’ami du peuple et l’ami du
maître
, le favori des halles et le favori des petits app
deurs du sourire et de l’ironie. — S’il vous plaît, nous réunirons au
maître
absolu, Aristophane qui fut le vrai père de la co
XIV (1654), quand nous étions encore sous l’influence de Voiture, le
maître
de cette galanterie ingénieuse dont Voiture est r
t de l’esclavage passé en ruinant de fond en comble les fils de leurs
maîtres
. Ces femmes-là on les retrouve partout, dans les
puis des siècles ? En fait de comédie, soyez-en sûrs, nous sommes les
maîtres
de tous les peuples de ce monde ; nous avons pris
ucteur est un maladroit sans génie qui ne sait pas comment on se rend
maître
absolu de ses emprunts et comment on copie avec g
che et indigente de charmants passages déjà copiés mille fois par les
maîtres
; et le voilà bien avancé, pour avoir écorché un
complaisant d’Épicure, Ménandre aura trouvé dans les doctrines de son
maître
, mais non pas sans leur faire violence, ce person
l’intrigue et de la dénouer, il tient le milieu entre l’esclave et le
maître
; or, il a cela de commun avec le maître, qu’il e
milieu entre l’esclave et le maître ; or, il a cela de commun avec le
maître
, qu’il est citoyen de Rome, et cela de commun ave
nos sœurs de Paris obéissent à la fantaisie et à la pauvreté, ce rude
maître
, ce maître sans pitié pour ses esclaves ! Avec ce
e Paris obéissent à la fantaisie et à la pauvreté, ce rude maître, ce
maître
sans pitié pour ses esclaves ! Avec celui-là, poi
ont exploité la comédie des anciens. Vouloir aller plus loin que les
maîtres
, gens hardis de toute la hardiesse que donnait le
e de Cheréastre dans la satire de Perse : « Paroles perdues, mon cher
maître
! pas tant d’efforts, pas tant de peines, vous n’
taines était intarissable et limpide. Ses disciples accompagnèrent le
maître
jusqu’à cette maison, si étroite qu’elle ne pouva
ux yeux caves, au visage amaigri, et des plus mal vêtus. Lui-même, le
maître
, Socrate, il est juché dans une gloire qui le rap
paraissent les nuées qui forment le chœur de la comédie. Cependant le
maître
daigne communiquer à ce barbon Strepsiade quelque
i. Quand il a forcé le Juste à battre en retraite, quand il est resté
maître
de la place, l’Injuste enseigne au jeune homme le
ntilhomme consent à prendre un fleuret, et à faire des armes avec son
maître
. — Du premier coup Strepsiade est démonté, et c’e
nd soin, avec un rare esprit notre vieux théâtre. Entre autres grands
maîtres
, notre auteur a lu Molière ; et parmi les chefs-d
’École des femmes, charmante et malicieuse enfant qui n’a pas d’autre
maître
que l’amour, vient de mettre au monde son troisiè
parut lourde il se racheta au prix de douze mille livres — encore son
maître
eut-il un fort chagrin de perdre un pareil cuisin
ivaient tant de gens graves et bien posés, esclaves du devoir, passés
maîtres
dans le quod decet, austères censeurs des écarts
utour de lui. Ainsi fait le chien qui porte à son cou le dîner de son
maître
, et pour ma part je trouve que ce chien peu fidèl
ut plus respecté qu’il ne fut aimé. Le peuple de Paris le trouvait un
maître
quelque peu dur. En vain son précepteur lui accor
, quand il pensait que ces écoliers mutins s’étaient assez amusés, le
maître
les ramenait au devoir. En ce moment le bouffon d
; son peuple obéit, comme autant d’écoliers qui ont peur, une fois le
maître
absent… adieu l’école ! On ne voulut plus que des
orlis, un ami de dix ans, avec qui chacun se met à l’aise, surtout le
maître
de la maison : S’il s’écarte avec eux du cérémon
deux valets qui font justement tout le contraire de ce que font leurs
maîtres
. Zoé, par exemple, veut que Francisque soit coque
est là présent, et qui n’a pas d’autre fortune que la fortune de son
maître
, ne fait pas un seul mouvement pour l’avertir qu’
plaire s’applique. Les hôtes même en entrant au château, Semblent du
maître
épouser le génie. Toujours société chois
CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les
Maîtres
. Nous avons des comédies dans lesquelles les m
guées par les Maîtres. Nous avons des comédies dans lesquelles les
maîtres
imaginent quelques ressorts, &, de dessein pr
s Corneille est de tous les Auteurs celui qui a fait imaginer par des
maîtres
l’intrigue la plus fine, la plus agréable ; mais
nd succès & qu’il le mérite ; puisqu’on y voit des scenes que les
maîtres
de l’art ne désavoueroient pas ; puisqu’enfin l’A
continuellement, les uns pour supplanter un rival en faveur auprès du
maître
, les autres pour se souffler des amants ou des ma
cer à loger chez lui. Arlequin, valet de Lélio, est désespéré que son
maître
ne seconde pas une méprise d’autant plus favorabl
. . . . Palestrion. Tu veux donc absolument que la concubine de notre
maître
soit dans cette maison-là ? Sceledre. Je le veux,
ui sort de cette maison-là, est-ce Philocomasie la Courtisanne de mon
Maître
, ou ne l’est-ce pas ? Palestrion. Je crois, ma fo
a bienséance ne le permet pas : d’ailleurs, c’est faire affront à mon
maître
. Philocomasie. Moi ! je fais un affront à ton maî
re affront à mon maître. Philocomasie. Moi ! je fais un affront à ton
maître
? Sceledre. Vous-même. Philocomasie. Moi, qui ne
vous servir, Gentilhomme Auvergnac, Docteur dans tous les jeux, &
maître
de trictrac. Mon nom est Toutabas, Vicomte de la
ase, Et votre serviteur, pour terminer ma phrase. Géronte, à part. Un
maître
de trictrac ! Il me prend pour mon fils. (Haut.)
; Je ne suis point ici venu pour vous déplaire. Géronte, le poussant.
Maître
juré filou, sortez de la maison. Toutabas. Non, j
meur à vous enrichir... Le Chevalier. Non, Marquis, non. Frontin. Mon
maître
aime la pauvreté. Le Marquis. C’est une tonne d’o
cus, disciple de Thesphis, & quelques autres, à l’exemple de leur
maître
, insérerent dans leurs pieces des vers qui n’étoi
sa maîtresse aime Lindor. Pasquin demande, de la part de Lindor son
maître
, la permission de voir Madame Lisban avant son dé
er au conseil que son cœur lui donne. Pasquin part pour rejoindre son
maître
: Madame Lisban ordonne qu’on la fasse avertir dè
édie. Il donne la derniere main à l’ouvrage, quand Dumont, voyant son
maître
dans les transports de la composition, sent des d
as aura bien la complaisance de faire pour moi ce qu’il fait pour mon
maître
. . . Poétisons . . . . . . Mais pour qui ? Comme
encore apparemment une des cérémonies de la magie. (Faisant comme son
maître
.) O trop heureux Dumont ! . . . En effet, je sens
oésie ! Forlise. Si Dumont n’étoit pas si bête . . . . Dumont. Si mon
maître
ne croyoit avoir tant d’esprit . . . . Forlise. J
n amour, arrive à petit bruit, & se place derriere le fauteuil du
maître
. Scene X. ERASTE, FRONTIN, LUCINDE. . . . . .
voir de la discrétion, & ne point nommer les masques. Il vole son
maître
qui s’en apperçoit & ne le chasse point. Je c
e battre & le mettre à la porte : Mogicon demande ses gages ; son
maître
lui permet alors de lui continuer ses moralités.
onfiance de son ami. Mogicon, qui connoît les mœurs corrompues de son
maître
, craint quelque sottise de sa part. LA TRAHISON P
i, comme domestique de Don Juan, est resté dans la maison. Son ancien
maître
lui a commandé de lui ouvrir la porte de la rue p
’eût été, lui dit-il, à Don André, je te le pardonnerois ; il est ton
maître
& mon ami ». Alors Mogicon est à son aise. Il
avoir échappé au sort qu’on lui préparoit, & Mogicon regrette son
maître
, parcequ’il étoit sur le point de lui payer ses g
quelque partie d’Opéra ? Merlin. Oui ; il m’avoit même donné un petit
Maître
à danser, & m’avoit promis de me faire entrer
, si-tôt que ma taille seroit rétablie. Damis. Moi ! je t’ai donné un
Maître
à danser ? Lisette. Taisez-vous, taisez-vous ; vo
’en fut au château, Dit qu’il étoit un jeune jouvenceau Qui cherchoit
maître
& qui savoit tout faire. Messire Bon, fort co
’Olive s’insinue auprès de Lisette, ils ménagent un entretien à leurs
maîtres
. M. Bernard & Lucas les troublent. Alors Angé
ra. Charlot. Hé bian, revenez-y ; ce sont vos affaires : vous êtes le
maître
. L’Epine. Et si vous vous avisez de faire le rais
mais il ne la met pas en action. Merlin se contente d’y dire que son
maître
a fait abattre le bois de la maison de campagne,
bonis, melius est eligendum, dicit Peripateticorum princeps. ASCANIO.
Maître
, parlez de manière à être compris… BARRA. Il a pe
-les bien bas, et c’est moi qui me charge de l’étriller. Quant à toi,
maître
, compte les coups un à un, à haute voix, qu’on t’
vous les donne, et en outre ce manteau pour le restituer à son pauvre
maître
. Là-dessus, allons-nous-en tous. La satire du pé
tesques et de noces de Gamaches. L’Affamato voudrait bien changer de
maître
; mais chacun redoute la prodigieuse capacité de
Jeanneton, Fable IV de la quatrieme Nuit du Seigneur Straparole ; le
Maître
en Droit, Conte de la Fontaine ; la Précaution in
femmes bien inférieures à celle qui lui avoit donné le jour. Raimon,
maître
de physique du Prince, fut piqué de son injustice
s’introduire chez la dame, sans savoir qu’elle étoit l’épouse de son
maître
: il eut l’art de lui plaire : il eut l’art enfin
’il vouloit un peu lui parler ; & s’étant approché de lui : « Mon
Maître
, dit-il, il y a bien des nouvelles. Et quoi, répo
raisemblance ? Est-il naturel que le Prince ne sût pas où logeoit son
maître
de physique, & que, le sachant, il n’eût pas
oit, Conte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rome eut naguere un
maître
dans cet art Qui du tien & du mien tire son o
vés aux maris, & qui se trouve ensuite au rang des infortunés. Le
Maître
en Droit est peut-être plus plaisant qu’Arnolphe,
moi, tous mes efforts, tous mes vœux les plus doux Vont à m’en rendre
maître
, en dépit du jaloux ; Et l’argent que de vous j’e
servé tout le plaisant de la scene italienne, sans nous faire voir un
maître
qui, pour exercer ses gens à maltraiter un de ses
ieux. Molière, qui avait alors trente-six ans, et qui était devenu un
maître
à son tour, en était le directeur. Il paya aux It
de ce qu’il lui a dit la veille. Zucca, qui est un poltron, dit à son
maître
qu’il lui arrivera malheur d’aller ainsi toutes l
t venir le valet de Fabio, lui demande comment vont les amours de son
maître
. Zucca, après quelques détours, confesse toute l’
ions de Flaminio, il fait le détail de tout ce qui se passe entre son
maître
et Virginia, puis il est battu. On reconnaît la s
cène iv. Zucca et Testa. Les deux valets se plaignent de servir des
maîtres
extravagants. Ils maudissent les femmes à qui mie
es dernières vivacités, Virginia rentre chez elle. Pandolfo menace le
maître
et le valet, et va chercher des armes. Fabio repr
1659, la troupe italienne s’en retourna en son pays, laissant Molière
maître
de la salle du Petit-Bourbon. Les Français priren
CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. Pourquoi les
Maîtres
de l’art ont-ils admis plus volontiers les opposi
alement renforcés & parfaitement contrastants, je crois voir deux
maîtres
d’armes l’épée à la main : les coups qu’ils se po
n opposition, je crois considérer avec la plus grande satisfaction un
maître
d’escrime qui fait assaut avec le plus leste, le
je ne l’aurois pas risquée si Boileau n’eût déja comparé Moliere à un
maître
d’escrime. Satyre II, à Moliere. Rare & fam
uel coin se marquent les bons vers : Dans les combats d’esprit savant
maître
d’escrime, Enseigne-moi, Moliere, où tu trouves l
ippoclès), jeune soldat, fils d’un père opulent, a été chargé par son
maître
, qui est allé au siège de Nicosie, en l’île de Ch
e se passe à Constantinople. Chrisoforo sait que le père de son jeune
maître
, le vieillard Polidoro, maintenant veuf de son ép
nnées. Le valet n’imagine rien de mieux, pour exécuter l’ordre de son
maître
que de faire passer Flavia pour cette Emilia, et
, juillet 1669. On peut comparer ce canevas avec Crispin rival de son
maître
, de Le Sage. 7. Il gentilhuomo campagnard, du Doc
toucher, lui offrit le tiers de la récompense qu’il recevrait de son
maître
, et passa au moyen de cette promesse. Il rencontr
ets fassent moliéresques, c’est-à-dire au moins cités dans l’œuvre du
Maître
: et le « pain de rive, à bizeau doré, relevé de
e, mensonge, adresse, intrigue, fourberie ! Scapin, fripon valet d’un
maître
aussi fripon ! Argante le sait bien, et Géronte e
enouvelle ses offres de service et lui dit : au revoir ! En effet, le
maître
fourbe revient aussitôt hors d’haleine et fait cr
ie » ; tout le voisinage souffre du bruit des laquais attendant leurs
maîtres
, pendant que les carrosses affluent, que les chev
amaraderie qui, dans quelques comédies de Molière, existent entre les
maîtres
et les valets : Gros-René dans Le Dépit amoureux,
e coutume et de la camaraderie très réelle qui s’établissait entre le
maître
et le valet un témoignage décisif. Patru, le célè
t à peu près du même âge, le valet vivait fort familièrement avec son
maître
, qui quelquefois même était obligé de châtier ses
moins plaisante : « Le valet s’était mis en fantaisie de marier son
maître
. M. d’Ablancourt qui s’en voulait divertir le lai
nouvelle assignation avec la mère et la fille. Il en donne avis à son
maître
; et en lui donnant cet avis, ne pensez pas, lui
ar je n’ai que des reproches de vous… » Ce dernier trait du valet au
maître
: « Je n’ai que des reproches de vous… », manque
est aujourd’hui l’Odéon. La Harpe n’oublia pas le vieux serviteur du
maître
dans son prologue d’inauguration : Molière à la n
. Par son talent et par son orgueil impérieux, il s’en était rendu le
maître
. Il y avait déjà discrédité le grand Corneille. I
L’applaudissement promis à ses Plaideurs devait achever la défaite du
maître
de la comédie : mais Racine éprouva bientôt par l
. Cinq ans plus tard, le Théâtre-Français célébrait l’anniversaire du
Maître
par un autre à-propos : La Valise de Molière, com
de quelques-uns des personnages une saveur qui n’aurait pas déplu au
Maître
s’il avait pu l’apprécier. Et la comédie hollanda
scènes, des tirades, des expressions qui ont été traitées de main de
maître
. La jolie scène des amoureux au deuxième acte, et
ants et les rimes sonores de l’original ? M. Alberdingk Thym est trop
maître
de la versification hollandaise, pour y rencontre
monde. — Sous Louis XV, il était Gentilhomme de la Chambre et fut le
maître
en gravure de la Marquise de Pompadour. Pendant t
Parlement, et domicilié rue des Barrés. Cette dame l’avait loué à un
maître
paumier, avec lequel a dû traiter J.-B. Poquelin.
tout de même qui se déguisent pour plaire à deux femmes, et que leurs
maîtres
battent à la fin. Il y a seulement cette petite d
différence que dans la première, les valets le font à l’insu de leurs
maîtres
, et que, dans la dernière, ce sont eux qui leur f
d des Précieuses ridicules, est précisément dans la vengeance que les
maîtres
rebutés tirent des précieuses31 ». À défaut de la
y voyons point « deux femmes », « deux valets », non plus que « leurs
maîtres
», mais seulement « une Précieuse » (prototype de
t conseiller municipal. Dans le prologue, on appelle Molière le grand
Maître
, et l’on remarque que si la pièce ne réussit pas,
lui-ci venait de lancer contre lui. On y discute sur la façon dont le
Maître
devrait riposter au coup droit qu’on vient de lui
e, que vous connaissez bien et qui est l’un des plus fins morceaux du
Maître
. Rien de charmant comme le dédain avec lequel Mol
(le mot y est), donnent à cette figure, si finement esquissée par le
Maître
, je ne sais quelle couleur d’actualité qu’il m’a
l de commande), on ne trouverait guère, dans les grandes créations du
Maître
, des allusions aux hommes et aux choses de son te
Cid, devenu l’auteur d’Œdipe. Un commentateur des plus autorisés, un
maître
en critique littéraire, M. de Saint-Marc Girardin
mûri toutefois par les lectures de la solitude, détaché peu à peu des
maîtres
suspects par de plus sûrs modèles, enlevé par Sop
plus l’hôte de son frère. Il est probable qu’on attendit le départ du
Maître
pour contrevenir à sa défense, si toutefois la dé
mbouillet, a inséré dans The Gentleman Dancing-Master (Le Gentilhomme
maître
à danser), joué en 1673, et imité du poète espagn
itôt ce valet le prend par le haut, et en dépouillant la jambe de son
maître
, met ce bas à l’endroit : mais comptant ce change
le sens où il devait être, le sens où il devait être, il chausse son
maître
avec confiance : mais ce maudit envers se trouvan
nt le rendent muet. Ce n’est que fort longtemps après qu’il dit à son
maître
, Les gens que vous tuez se portent assez bien.
Moliere, Mascarille, valet de Valere, déclare à Polidore, pere de son
maître
, le mariage secret qu’a fait son fils. Le vieilla
besoin de parler. Toutes les surprises de Moliere annoncent le grand
maître
, témoin celles-ci dans le Tartufe. ACTE III. Scen
a envoyé Colin chez M. de Sotenville, & il peut se douter que le
maître
paroîtra au lieu du valet. Mais en voici une dans
s œuvres fameuses de la comédie ; un lien secret réunit à Molière, au
maître
absolu de ce grand art, toutes les comédies qui o
mes lois du goût, de l’esprit et du bon sens. Plus vous étudierez les
maîtres
et les disciples venus après eux, — pater et juv
que La Tour de Nesle et les drames de M. Bouchardy. Les anciens, nos
maîtres
en toutes choses, étaient des enfants, comparés à
sont les œuvres les plus dangereuses de l’esprit humain ! Revenons au
maître
, à Molière, et pardonnez-moi ces dissertations pa
ienveillantes et sages leçons que la jeune fille a reçues de ce grand
maître
dans l’art de la comédie, j’aurais terminé mon hi
approbateur, et vous dites à votre ami : — Comme elle ressemble à son
maître
, mademoiselle Mars ! — Vous êtes tous des barbare
dans laquelle toutes choses sont bouleversées, où le valet devient le
maître
, où le maître devient le valet, pendant que de le
toutes choses sont bouleversées, où le valet devient le maître, où le
maître
devient le valet, pendant que de leur côté Marton
qui était plutôt une imprécation contre les Allemands qu’un éloge du
maître
, a fait un effet immense. Les vers en sont tour à
poète danois, qui a été précisément un des plus heureux imitateurs du
maître
. C’est en Angleterre que furent accueillies d’abo
une réminiscence ; L’École du scandale pétille de traits empruntés au
maître
, et si l’on en retirait ce qui a été pris à L’Éco
écho indirect et prolongé du génie de Molière. Il fallut du temps au
maître
pour passer les Pyrénées. C’est seulement vers le
de nous y mépriser — ne fut pas la dernière à apporter son tribut au
maître
. Goethe donna le branle. Nous savons aujourd’hui,
selle influence qu’a exercée sur tous les théâtres de l’Europe un des
maîtres
de l’esprit français. Les Prussiens peuvent détru
… S’il n’était pas dans la bouteille. Et tant d’antres traits que le
maître
a semés en se jouant, comme pour nous montrer qu’
is sous les yeux de Louis XIV le spectacle d’Amphitryon trompé par le
maître
des dieux et berné par tous les courtisans. Mon D
il a le mouvement, il a l’éclat, il a le coup de trompette, c’est un
maître
écrivain de théâtre. Tenez, ce Molière dont vous
nguissante qu’excite toute pièce nouvelle ; non, c’était une œuvre du
maître
, jouée par deux excellents comédiens, qu’il venai
a l’ampleur et la superbe désinvolture qu’ils réclament. Ce sont les
maîtres
de la scène ; il ne s’agit pas de leur donner le
ces où avait été exploitée cette situation d’un valet se déguisant en
maître
ou même d’un maître empruntant les habits d’un va
loitée cette situation d’un valet se déguisant en maître ou même d’un
maître
empruntant les habits d’un valet. Nous allâmes d’
n avec une aisance incomparable. On ne sait plus, quand un morceau de
maître
est ainsi récité, ce qu’on doit le plus admirer,
nces de succès ; il a pour lui le respect qu’inspire naturellement le
maître
, la reconnaissance que l’on doit au bienfaiteur,
dissimulez point votre bosse ; montrez-la hardiment, comme faisait le
maître
, et laissez rire le parterre. 29 juillet 1861.
les deux ensemble, chacune sous les yeux de sa rivale, et se retirant
maître
de la situation. Vous vous rappelez la scène, ell
sera taillé une redingote dans la doublure de l’habit de cour de son
maître
, qu’il aura flanqué à la porte, il ne demandera p
au cinquième acte c’est, chez Acaste et Clitandre, la vanité du petit
maître
, et chez Oronte l’amour-propre de l’auteur blessé
c’est lui. Ce nombre inaccoutumé de vers, traînant dans la prose du
maître
, avait accrédité cette opinion, qui, une fois émi
Et d’être toujours, tout entier, Aux passions d’un
maître
. Etc., etc. Mais comment Molière a-t-il été amen
ue La Fontaine tirait le premier de cette forme, dans laquelle il est
maître
comme personne et dans laquelle nul, sauf Molière
r se rompre à la mesure irrégulière, en étudier l’harmonie, se rendre
maître
de ses difficultés et de ses ressources. C’est en
e dire que Molière, quand il écrivait Le Sicilien, n’était pas encore
maître
de cette forme, qu’il se faisait la main et que p
l’ouvrage, et il ajoute avec un tour d’esprit un peu grossier : « Le
maître
des Dieux n’avait pas ordonné à la Nuit de mettre
aveur qu’ont pour nous, par exemple, les caricatures de Prudhomme, le
maître
d’écriture, et du pharmacien Homais. Celles-ci se
ui est possible après tout. Car c’est un des meilleurs ouvrages de ce
maître
du rire contemporain. L’idée première, comme dans
auter au mot terrible : C’est à vous d’en sortir, vous qui parlez en
maître
La maison m’appartient… Et je supplie mon ami We
Femmes savantes, Le Misanthrope, L’Avare et tant d’autres comédies du
maître
. Je me chargerais de prendre n’importe où, n’impo
ent. Chacun en dit son avis, mais personne ne le révoque en doute. Le
maître
arrive, et dès les premiers mots, cette préventio
C’est elle qui donne à Tartuffe son audace. Le public répète avec ce
maître
fourbe : C’est un homme entre nous à mener par l
atué de son Tartuffe. Elle a eu souvent raison des résistances de son
maître
qu’elle connaît bien, et qu’elle ne craint guère.
parfois même de qualité. Dorine n’est donc pas très inférieure à ses
maîtres
. Elle a de l’éducation. Elle représente dans la m
ne dame de compagnie, d’une éducation à peu près égale à celle de ses
maîtres
. Elle a l’esprit plus droit qu’Orgon ; cela est p
a postérité a parfaitement le droit de choisir parmi les ouvrages des
maîtres
. Elle garde dans leur intégrité les chefs-d’œuvre
stérité ne les laisse point tomber tout entiers par déférence pour le
maître
, par admiration pour le petit nombre de beautés r
rire. Il y a des scènes qu’il a jouées à ravir, et notamment celle du
maître
à danser, où Truffier (le maître de danse), a été
ouées à ravir, et notamment celle du maître à danser, où Truffier (le
maître
de danse), a été lui aussi d’un sérieux merveille
sa part à l’effacement très réel de la partie comique dans l’œuvre du
maître
. Je vais maintenant toucher un point plus délicat
angement en est factice : le valet répète à tous coups ce qu’a dit le
maître
et la soubrette copie les réponses de la jeune fi
e pourtant encore de ces traits qui enlèvent, et l’on sent la main du
maître
. Psyché, descendue aux enfers pour obéir à un ord
s’indigne de voir qu’après que Scapin s’est écrié, en découvrant son
maître
: « Ce n’est pas lui, monsieur, ce n’est pas lui
tre phrase que j’aime moins. Scapin vient de donner à ses deux jeunes
maîtres
l’argent qu’il a flibusté pour eux à leurs pères.
s de ses camarades, ce sera fait des trois ou quatre chefs-d’œuvre du
maître
. 20 janvier 1896. [B] ……………………………………………………
de Serbes, s’il vous plaît, c’est une raison qui vaut le sans dot du
maître
. Ce n’est pas, pourrait objecter un Cléanthe de l
e plusieurs fois ; elle arrive en retard, et elle est grondée par son
maître
qui sacre et tempête après elle. — Ah ! tu cries,
er, par derrière, tirer les cheveux d’une personne en visite chez ses
maîtres
. Passe encore pour sa première plaisanterie, qui
m’est encor venue. On parle d’un héritage ; Valentin demande à son
maître
si la succession est pour lui seul : Assurément,
renouvelèrent l’éclat. On s’aperçut que Marivaux était, lui aussi, un
maître
; que s’il n’avait pas le coup d’aile de Musset e
ans L’Île des Esclaves, suppose une révolution entre les classes, les
maîtres
devenus serviteurs, et vice versa. Ils font remar
ition à la scène que les valets ont toujours eu plus d’esprit que les
maîtres
. Les Scapin de Molière ont recueilli des Daves de
, les valets sont plus décents, ils se rapprochent davantage de leurs
maîtres
; ils en peuvent jouer au besoin le rôle sans tro
si fortement. Voici donc cette lettre in extenso : Monsieur et cher
maître
, J’aurais bien désiré lundi dernier, à la Comédie
ment, il se croit un modèle de goût et de bon genre ; il le dit à son
maître
. Traité en charge le personnage devient invraisem
à la plaisanterie et mettra mon Pasquin à la porte. Pardon, mon cher
maître
, de cette longue lettre. J’aime beaucoup Marivaux
porter. Ce sera, j’espère, pour le mois de novembre. Croyez, mon cher
maître
, à mes sincères sentiments de reconnaissance et d
Pasquin va recommencer une nouvelle série de sottises, tandis que son
maître
, déguisé en valet, tâche de les arrêter ou de les
de croire que Pasquin fut joué à l’origine avec ces manières de petit
maître
sémillant, qu’éveille le nom d’Arlequin. Mais poi
trée a été si gentille ! s’écriait-il en réponse aux reproches de son
maître
. Il était ravi de s’en être si bien tiré ! c’est
la tradition et de la vérité. Il a fait de Pasquin une sorte de petit
maître
, exagérant la désinvolture des jeunes seigneurs q
prise d’une belle passion pour le théâtre ; au lieu de demander à ses
maîtres
le sens de Marivaux, elle le lit, et s’aperçoit q
Tous deux sont trompés dans leurs calculs ; l’amour, qui est un grand
maître
, éveille l’imagination d’Angélique tout comme cel
la livrée que Bourguignon échange contre l’habit à paillettes de son
maître
, quel jeu terrible et cruel ! N’ai-je pas vu moi-
le comte, les domestiques mettent plus de temps à s’habiller que les
maîtres
. Et Figaro répond : — C’est qu’ils n’ont pas de v
e ; oncques valet (s’appelât-il Figaro) ne répondit de la sorte à son
maître
. Sur cette phrase impertinente, Almaviva aurait d
rompe pas. À de certains traits, il reconnaît évidemment la touche du
maître
. Mais il regarde comme une de ces plus faibles pr
ique du rôle. Lorsque Rosine aperçoit tout à coup le comte déguisé en
maître
à chanter et qu’elle jette un cri, ce n’est pas e
le théâtre de Scribe et celui de Sardou se rattachaient à l’œuvre du
maître
. C’est chez lui qu’ils ont pris ce merveilleux ar
llé sans cesse par lui, et s’expose sans nécessité à la colère de son
maître
. J’ai bien souvent vu jouer Le Mariage de Figaro
nde. — Pourquoi, lui demanda la baronne, est-elle sortie de chez ses
maîtres
? — C’est, répond Frontin, qu’elle servait des pe
si frivoles dans leur costume que dans leurs vers ; ce sont de petits
maîtres
. La plupart sont, je crois, très capables d’accep
es et abondantes images. La Métromanie abonde en vers superbes qu’un
maître
ouvrier a forgés sur son enclume dans un métal so
itée et dissoute. Nous écoutions l’an dernier à l’Odéon le Mahomet du
maître
. C’était évidemment l’œuvre d’un homme qui avait
ne connais pas M. Sedaine, dit-il avec son esprit ordinaire ; il est
maître
maçon et je ne lui donnerais pas ma maison à bâti
» Tout ce morceau est écrit, hélas ! d’un style pitoyable, et par un
maître
maçon ; mais n’importe ! vous voyez par la derniè
se éclatante de l’œuvre, pour qu’on eût l’idée de revenir au texte du
maître
. C’est ainsi que M. Perrin, faisant du Philosophe
s airs, emporte le verre & la soucoupe. Enfin, Octave s’est rendu
maître
de son ennemi : il l’a fait attacher à un bûcher,
t ce qu’il voudra. Voici, à-peu-près, les merveilles qu’il opere. Son
maître
est retenu par l’amour auprès d’une maîtresse qu’
lleux, Arlequin abat d’un coup de baguette une tour dans laquelle son
maître
est prisonnier, & lui fait prendre la forme d
j’ai ouï la voix d’un homme qui crioit à son cocher d’arrêter, et le
maître
, qui paraissoit un homme de robe », a crié à Elom
ndi le point de départ de cette morale, car de la métaphysique de son
maître
il prit rien ou peu de chose. Mais, comme il arri
les « sept ou huit plats, » les « friands muscats, » célébrés par le
maître
gourmand, cette chère plantureuse et délicate qui
La Forest, la vieille La Forest, est presque aussi populaire que son
maître
, grâce à deux anecdotes, venant l’une de Boileau,
e du Brécourt avec du Molière. Selon Grimarest, elle accompagnait son
maître
au théâtre, et elle y rendait quelques petits ser
ns cet honneur à l’ancienneté de ses services et à l’affection de son
maître
qu’à un don de nature pour sentir le comique ; co
de ne pas le croire. Un jour que Provençal chaussait obstinément son
maître
à l’envers, il recevait un coup de pied qui l’éte
à l’envers, il recevait un coup de pied qui l’étendait par terre ; ce
maître
« étoit l’homme du monde qui se fesoit le plus se
rariétés et les dissensions qui sont entre nos auteurs et nos anciens
maîtres
sans découvrir encore au peuple, par nos débats e
e peuvent souffrir entre eux la monarchie, qu’ils ne veulent point de
maître
particulier et que l’ombre seule leur en fait peu
un seul homme lorsque Molière exprime la prétention d’être obéi : Le
maître
! double fat, en est-il parmi nous ? Aussi leur
tefois, loin de le reconnaître, En valets révoltés vous traitez votre
maître
, Vous le voulez contraindre à suivre vos avis, Et
e ; ils s’appellent, d’un seul mot, la réclame. Molière y était passé
maître
. D’abord, il avait « l’annonce, » cette petite ha
uthenticité même, sont autant de problèmes à peu près insolubles. Ces
maîtres
du théâtre considéraient toutes les parties : poè
gle dictée par la raison, & autorisée par l’exemple des meilleurs
maîtres
, il est clair qu’une piece à caractere est défect
xclusion qu’on me donne en ces lieux ! Lisette. Eh ! c’est le coup de
maître
. . . . . . . . . . Tel est le cœur humain, sur-to
vivre, & non pas vivre pour manger. Maître Jacques rapporte à son
maître
ce qu’on dit de lui & de son avarice dans le
re de se venger. Il se console aisément des coups que lui a donné son
maître
; mais ceux de l’Intendant le piquent au vif. Sc
trésor de l’Avare : il traverse le théâtre avec sa proie, avertit son
maître
de sa bonne fortune, & tous deux prennent la
age Oratio à en faire autant, et sort. Arlequin fait observer que son
maître
a bien la mine de vouloir esquiver l’affaire. Le
s belle jeune fille nommée Silvia. scène XVI. Arlequin interrompt son
maître
pour lui dire que Vittoria l’attend près de là, d
le tuer, lui Lesbino, parce qu’il a formé le dessein d’assassiner son
maître
. Arlequin injurie et maltraite le page. Flaminia
lequin dit à Oratio qu’Isabelle et Flaminia ont enlevé un page de son
maître
, et qu’elles retiennent ce page chez elles. Isabe
. Les choses étant ainsi, Molière put croire que ce serait un coup de
maître
de faire maltraiter les mauvais auteurs par Monta
mauvais goût sans la faire aux personnes. C’était en effet un coup de
maître
pour Molière, de représenter Montausier, ce cense
surtout à soulever contre lui ceux de ses vices dont il est le moins
maître
, afin que, dans le combat de ses passions et de s
de tous les autres, et que, si le valet est scélérat à la manière du
maître
, ils le sont tous deux à part et sans complicité.
que, afin d’apaiser la colère de Jupiter. Plaisant moyen d’honorer le
maître
des dieux et des hommes, que de le représenter ab
e en son absence, mais pour son compte. Que le valet, double comme le
maître
, soit comme lui marié, et l’intrigue en deviendra
t des causes différentes. Enfin, si le valet échappe au sort dont son
maître
est la victime, la suivante devient tellement fur
ion et la grossièreté de ses mœurs, comprend cette délicatesse de son
maître
; car, lorsqu’un sot et indiscret ami, ébloui de
nt de bruit, À son maudit caquet donne libre carrière, Réprimande son
maître
, et lui rompt en visière, L’étourdit, l’interromp
coup suffirait, pour la faire cesser, Mais on s’aperçoit bien que son
maître
, par feinte, Attend, pour la frapper, qu’elle soi
h ! nous voilà sur les domaines de M. Monteil !), pour plaire à leurs
maîtres
qui étaient des soldats, ont laissé la comédie, e
ouilleurs : Rétif de La Bretonne et Mercier du Tableau de Paris ! Des
maîtres
dans l’art d’écrire, nous passons aux badigeonneu
oire incontestée. Ésope était esclave, on n’a jamais su le nom de son
maître
! Cervantes… on ne dira pas, tout de suite et san
type souriant du courtisan éternel, esclave à tout faire et cependant
maître
absolu de son front, de son regard, de son visage
courtisans, la honte de l’espèce humaine. — Ils étaient cependant les
maîtres
absolus de ce monde en proie à leur caprices ; il
provisés, obtient un logement à Versailles ; de nos jours, on a vu le
maître
absolu d’un journal, vendre son journal à un prix
, ils ont mené paître ses troupeaux, ils ont supporté, pendant que le
maître
dormait, ou batifolait avec ses esclaves, la chal
t fécondé de leur esprit, de leur talent, de leur labeur, rapporte au
maître
un intérêt qui serait un capital pour les ouvrier
rnelle ! Elle était restée en son déclin même, la toute-puissance des
maîtres
anciens ; elle était la défense et la protection
vous à qui j’ai consacré ma vie et mon génie et les chefs-d’œuvre des
maîtres
; de vous à qui j’ai voulu plaire, même en faisan
ravie : — « Ah ! disait-elle, homme heureux, qui reste absolument le
maître
des esprits et des âmes ! Ah ! l’homme heureux qu
l’avenir ! Enfin la critique moderne est revenue, et vaillamment aux
maîtres
de l’antiquité, leur empruntant tout ce qu’elle p
oète n’est autre que le salut de la comédie elle-même. Le sérieux est
maître
de presque tous les points, et menace d’envahir l
t sortir un peu de la réalité qui nous obsède dans les scènes avec le
maître
de philosophie et avec Nicole. J’ai cité Le Bourg
, vérifier les titres de sa paisible royauté. IV Molière est un
maître
. Voilà mon entrée en campagne, et le premier acte
de définitions qui est le commencement de la sagesse. Molière est un
maître
… dans la farce67. Il est au-dessous de lui-même d
ce. Et pourtant c’est par là que Molière mérite que je l’aie proclamé
maître
dans la farce. Je n’ai plus que deux choses à fai
s nous en apprennent la fin. L’oncle se retire devant le neveu, et le
maître
du voleur l’oblige à restituer la marmite. Croira
ette tentative vraiment digne de l’intrépidité de sa logique, est mon
maître
dans l’art de critiquer. Plein de confiance dans
et je n’ai pas négligé une occasion de répéter les propres paroles du
maître
, certain qu’elles charmeraient mon auditoire. Pou
rologue ait trop d’importance. C’est là un écueil que les plus grands
maîtres
n’ont pas toujours su éviter. Shakespeare est tom
if. Bombance, ministre du roi, les accueille avec bonté au nom de son
maître
, et leur fait une description merveilleuse de l’e
du disciple plus de logique et d’unité qu’il n’y en a dans celles du
maître
. 50. Les critiques français ont mis à la mode
. 57. Septième leçon. 58. Les personnages sensés de la pièce, le
maître
de la maison et son frère, la fille et son amant,
, veut bannir du théâtre, quoique Molière, Holberg et d’autres grands
maîtres
en aient fait un fréquent usage. — Septième leçon
mener dans ses bois, où, ne connoissant pas la pauvreté, il étoit son
maître
& son roi. LE MARCHAND DE SMYRNE, Comédie
t racheter André qui le prie de donner la préférence à son malheureux
maître
. Hassan s’approche de Dornal, le reconnoît pour s
our aller rendre les derniers devoirs à son pere expirant ; & ses
Maîtres
l’avoient vendu à un Marchand de Ligourne. Le jeu
ce que j’ai de plus précieux ! Tout vous appartient ; venez être mon
maître
à Smyrne ; je suis à vous comme j’étois au Marcha
vie ni de la liberté sans elle. Le Musulman, après s’être informé au
maître
des esclaves de ce qui s’étoit passé, se rapproch
e fit supprimer définitivement, tous ces personnages jeunes ou vieux,
maîtres
ou valets, furent transmis par Molière à ses succ
r au nom du seigneur Polidore. ALBERT. Ah ! c’ est un autre fait. Ton
maître
t’a chargé De me saluer ? MASCARILLE.
ion qu’il avait, comme tous ses contemporains, puisée chez les grands
maîtres
de l’antiquité, il put se servir de ce qu’il avai
comme ils les comprennent, mais comme elles sont comprises par leurs
maîtres
. J’aurais mauvaise grâce à blâmer leur docilité ;
. S’ils acceptent sans discussion et pour toujours les idées de leurs
maîtres
, qu’ils sachent bien que le public ne verra jamai
parti, qui est le plus sage, ou qu’elle ait suivi les conseils de son
maître
, peu m’importe : elle est dans le bon sens, dans
p d’esprit pour se laisser prendre à la dévotion de Laurent et de son
maître
, Chose triste à dire et qui montre à quel point l
tions du compositeur ; il appellerait pour diriger les répétitions un
maître
de chant initié à tous les secrets du style music
l’originalité peuvent se rassurer. Pour penser, pour écrire comme les
maîtres
, il faut interroger, comme eux, l’histoire, la ph
s de Gassendi pouvait trouver quelque excuse dans la doctrine de leur
maître
, assurément il n’en trouvait pas dans son exemple
n traduisant Lucrèce, Molière faisait suite aux grands travaux de son
maître
sur la philosophie d’Épicure. Un autre des discip
s peut émouvoir par son être réel ou par son être intentionnel. » Le
maître
de philosophie du Bourgeois gentillhomme ne se mo
arbara, Celarent, Darii, etc. A en croire Grimarest, l’original de ce
maître
de philosophie serait Rohault, un des plus zélés
ue produisent la morgue, la bassesse, & la dispute des différents
maîtres
. Leur morgue n’en auroit pas imposé chez un grand
n’eussent point osé s’y battre. Chez un homme de la lie du peuple, un
Maître
en fait d’armes, un Chanteur, un Danseur, un Phil
imene, l’une coquette, & l’autre médisante, & ceux des petits
maîtres
, qui ne servent tous qu’à mettre plus en évidence
ere, aut sibi convenientia finge, dit Horace. Dans le comique il est
maître
de sa fable, & doit y disposer tout de manier
is c’est une espece de draperie légere, à-travers laquelle les grands
maîtres
savent bien dessiner le nud. Quant à l’utilité de
tre, distinguées par des barreaux, & on les nommoit les loges des
maîtres
. La farce de Patelin y fut joüée : mais le premie
r, moins encore en état de les saisir. On s’amuse à recopier le petit
maître
sur lequel tous les traits du ridicule sont épuis
l’auteur du Misantrope dans l’éloquence de Scapin avec le pere de son
maître
; dans l’avarice de ce vieillard ; dans la scene
in qui se croit convaincu ; dans son insolence dès qu’il sent que son
maître
a besoin de lui, &c. Boileau a eu raison, s’i
celle de Pourceaugnac entre les deux medecins, qui décelent le grand
maître
. Le comique bas, ainsi nommé parce qu’il imite le
Menandre & Térence revenoient au monde, ils étudieroient ce grand
maître
, & n’étudieroient que lui. Cet article est de
rence, suivant la coutume qui voulut que l’affranchi portât le nom du
maître
dont il tenoit sa liberté. Térence a un genre tou
point de perfection en tout genre. On diroit qu’il a choisi dans ses
maîtres
leurs qualités éminentes pour s’en revêtir éminem
rai les préjugés romantiques sur Molière. Arriéré ! quand j’étudie le
maître
, je voudrais l’être, — de deux cent vingt ans au
bserve les hommes, fournit ses tablettes et s’oriente sur l’humeur du
maître
… — Mais valet de chambre ! Il était donc de bonne
n pître, pendu pour ses mérites ou mis à mal par les médecines de son
maître
. — Et qui est la comédienne qui l’enleva ?… Joue-
t ces deux naïfs, disputant à qui n’ouvrira pas, laissent pester leur
maître
un bon quart d’heure à la porte. La scène semble
coupe la parole, et, enflant la voix, d’un ton.de parodie : Je suis
maître
, je parle ; allez, obéissez !… Tous deux rentren
instruit, Montre d’obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son
maître
, un enfant à son père, À son supérieur le moindre
ct où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur et son
maître
! Et la pauvre petite ne sait où se fourrer quan
é Et qu’on n’attendrait point de sa simplicité. L’amour est un grand
maître
: il a donné de l’esprit à Agnès. Cette pierre, c
fois devant sa glace, savait se faire une tête qui était une œuvre de
maître
; et quand il entrait en scène, la perruque était
Il lui a fait éprouver ce sentiment des écoliers qui surprennent leur
maître
en flagrant délit de mensonge. C’est un terrible
d’ailleurs, si jamais Horace est négligent d’Agnès, l’Amour, ce grand
maître
, saura bien enseigner à sa charmante écolière l’a
clusivement créé pour le service et la délectation de son seigneur et
maître
. Comme un morceau de cire entre ses mains elle e
r école de libertinage et de faire de la majesté divine le jouet d’un
maître
et d’un valet de théâtre, « d’un athée qui s’en r
éfendre sérieusement ses intérêts. Il fallait réprimer l’insolence du
maître
et du valet et réparer l’outrage qu’ils faisaient
ond l’accusateur, n’est qu’un foudre en peinture qui n’offense pas le
maître
et qui fait rire le valet. » Les mêmes reproches,
et d’autre, c’est le bon sens du valet qui met en relief la folie du
maître
, ici une folie généreuse qui peuple le monde de c
la voix de sa conscience et faisant violence à la peur qu’il a de son
maître
, il ose lui faire la leçon en ces termes simples
forts parce qu’ils croient que cela leur sied bien ; et si j’avais un
maître
comme cela, je lui dirais fort nettement, en le r
à vous, petit ver de terre, petit myrmidon que vous êtes (je parle au
maître
que j’ai dit), c’est bien à vous à vouloir vous m
essouvenir de Don Juan. 12. Il l’est d’autant moins que la mort d’un
maître
riche ne pouvait en aucune façon mettre en péril
gages d’un valet. On pourrait sans doute objecter que don Juan est un
maître
obéré, que, de plus, il est habitué à berner ses
ce qu’il a peur de lui. Nous répondons que, pour le valet, la mort du
maître
est précisément la seule chance qu’il ait d’être
du maître est précisément la seule chance qu’il ait d’être payé : un
maître
obéré n’est pas un maître ruiné, et c’est la succ
la seule chance qu’il ait d’être payé : un maître obéré n’est pas un
maître
ruiné, et c’est la succession qui paie. 13. Page
dans la maison qu’il habite. Il appelle Charles. Charles paroît. Son
maître
le trouble au point qu’il alloit oublier de lui r
e André, il est le domestique du pere de Rosalie : il raconte que son
maître
a jadis été forcé de quitter son vrai nom ; qu’en
sse d’aller annoncer cette nouvelle à sa future. Charles porte à son
maître
le reçu de Rosalie. D’Orval trouve qu’il a peu f
secourir, Scapin, encouragé par l’amitié que Mario a témoignée à son
maître
, découvre l’amour de Lélio pour Flaminia, & l
prince du sang sur les autres, pour une succession dont on se prétend
maître
de disposer, puisqu’on se le croit de faire des p
p. 231. 74. « Une nuit qu’il était couché dans la garde-robe de son
maître
avec le sieur de la Fosse, il lui dît à plusieurs
re avec le sieur de la Fosse, il lui dît à plusieurs reprises : Notre
maître
est un ladre verd, et le plus ingrat mortel qu’il
suis un ladre verd ? De quoi d’Aubigné resta un peu confus. Mais son
maître
ne lui en fit pas pour cela plus mauvais visage l
; écoutons-le. Tartufe. C’est à vous d’en sortir, vous qui parlez en
maître
: La maison m’appartient, je le ferai connoître,
ctateur dans une galerie de portraits, faits, à la vérité, de main de
maître
, mais qui peuvent se transporter, se retrancher m
nore ce qu’il vient faire ; il ne peut pas nous le dire : c’est à son
maître
à nous l’apprendre ; s’il ne le faisoit pas, ce s
Maître Jacques, la Merluche, Brin-d’avoine, paroissent, parceque leur
Maître
le leur ordonne. Ils n’ont pas d’autre raison à n
tion, doivent être très fâchés ; la Fleche d’avoir si mal adressé son
maître
, & le Courtier d’avoir en même temps trahi le
Docteur pyrrhonien qui ne croit qu’aux coups de bâton197 ? Enfin, le
Maître
de philosophie de M. Jourdain n’ajoute-t-il pas à
ute-t-il pas à tous les préceptes précédents l’excellente leçon qu’un
maître
doit commencer par prêcher d’exemple198 ? Jusque
ervent toujours quelque chose de pratique. L’honnête homme doit être
maître
de lui cette noble modération est une vertu capit
ge n’est ni l’indifférence211 ni l’orgueil212 : il faut que, toujours
maître
de soi, l’honnête homme supporte bravement le mal
lios, etc. 150. Matth., chap. XXVI, v. 75. — « Mais le coup de
maître
est d’avoir fait-Alceste amoureux, d’avoir courbé
r : il lui répond fiérement, qu’en vertu d’une bonne donation, il est
maître
de tous ses biens, & promet de punir les pers
e à Colombine, & à Brighella qui revient pour chercher Silvio son
maître
: ne le trouvant pas, il s’amuse à déclarer son a
ac : il est content & s’en va. Pantalon revient avec Arlequin. Le
maître
dit à Colombine qu’il adore Diana ; le valet parl
ui parler de son amour. L’écolier résiste ; mais il va céder quand le
maître
revient, & lui donne des coups de bâton. Un i
end les coups de bâton qu’il en a reçus. Acte II. L’écolier & le
maître
se pardonnent mutuellement. Silvio trouve enfin B
lui demandent ce qu’il veut : il dit qu’il veut entrer, qu’il est le
maître
de la maison, en vertu d’une promesse qu’il a dan
, un stratagème imaginé pour le servir : Je crois que vous seriez un
maître
d’arme expert : Vous savez à merveille, en toutes
es pouvaient présenter8. Des confrères qui m’honorent de leur amitié9
maîtres
dans un art que je n’ai point cultivé, mais que j
comédie, comme tous les autres arts, fut empruntée à la Grèce par les
maîtres
du monde. Ce peuple si grave et son patriciat si
ves, gouverneurs, précepteurs, et surtout corrupteurs de leurs jeunes
maîtres
, alternativement menacés du fouet ou de la mort m
e ; et un esclave imaginant mille stratagèmes pour tirer de son vieux
maître
l’argent nécessaire au fils de la maison. À côté
mais instruit par les soins et bientôt affranchi par les bontés d’un
maître
opulent qu’avaient charmé les qualités de son âme
ont ils ont fait la gloire : cependant tes courtisans flattaient leur
maître
et cherchaient à se supplanter entre eux, les mag
il parle sans cesse de sa volonté ferme et de ses ordres absolus. Le
maître
de philosophie de M. Jourdain, qui enseigne à mod
impatronisé dans ce logis, y est détesté de tout le monde, hormis du
maître
de la maison, qui en est ridiculement infatué. Vo
que, sur ce point, il ne demeura pas fidèle aux enseignements de son
maître
.Il lui en resta toutefois une certaine prédilecti
e portait lui-même ; Cinq-Mars décapité sans obtenir un regret de son
maître
, qui, la montre en main, attendait l’instant préc
présentait plutôt l’image d’une troupe d’écoliers mutinés contre leur
maître
, que d’un grand peuple révolté contre son souvera
é, le troupeau des courtisans, qui, trompés d’abord par le silence du
maître
, s’étaient trop pressés de se déclarer contre un
t en fin courtisan : il rendit hommage au génie, et il fit sa cour au
maître
en vengeant un serviteur qu’il aimait. Quant à l’
. Godemer (c’est le nom du vieux serviteur), Godemer, qui connaît son
maître
, ne fait d’abord aucune attention à ce nouveau ca
on courrouce, se met à employer la force. Godemer fait résistance. Le
maître
et le valet se gourment, et le cocher fait d’inut
tend les parties, et, voulant concilier le droit qui était du côté du
maître
, avec la raison qu’avait pour lui le valet, il pr
au bout de la prairie; et là vous demanderez fort honnêtement à votre
maître
la permission d’y rentrer : je suis sûr qu’il vou
un jour jusqu’à lui donner un soufflet.La nature et Molière, ces deux
maîtres
dont les leçons étaient dans un si parfait accord
u comédien Brécourt, elle ne prit point le change, et soutint que son
maître
n’avait pas fait cette pièce. Excellent maître, M
ge, et soutint que son maître n’avait pas fait cette pièce. Excellent
maître
, Molière était pourtant, à ce qu’on assure, un ma
ièce. Excellent maître, Molière était pourtant, à ce qu’on assure, un
maître
fort difficile104. Il voulait que ses domestiques
. On conçoit que Molière fut peu empressé de le remplacer auprès d’un
maître
qui avait la main si prompte et si meurtrière. 3
pendant la guerre de Troie… Qu’il vous souvienne de l’embarras où ce
maître
des dieux se trouva pendant cette guerre, sur les
aussement qu’il avait voulu lui emprunter son chapeau pour le rôle du
maître
de philosophie, dans le Bourgeois gentilhomme.
foiblesse ; & que, désespérant de marcher sur les traces des bons
Maîtres
, ils se sont laissé flatter par l’orgueil de crée
onnoître les détours d’un labyrinthe si compliqué, où les plus grands
Maîtres
, & l’inimitable Moliere lui-même, se sont éga
geant que j’ose tenter de remplir un projet formé par les plus grands
maîtres
. Comme le titre d’homme avantageux est celui que
lettre, bien flatteuse pour Aristote, est celle qu’Alexandre, devenu
maître
de la terre, lui écrivit. « J’apprends que tu pub
qui a joué à Cascaye l’argent de sa pension. Phlipin excuse son jeune
maître
, reçoit du vieillard deux cents ducats & fein
e l’instruire de toutes ses démarches. Acte V. Phlipin annonce à son
maître
que le combat du Comte ne sera pas sanglant, puis
et emportement que vous témoignez. Ayons du cœur dont nous soyons les
maîtres
, une valeur qui n’ait rien de farouche, & qui
demande au vertueux Adams qui lui oppose la distance qu’il y a de son
maître
à sa fille. Thatley insiste, & demande seulem
orsqu’ils sont arrivés dans la ville où la future fait son séjour. Le
maître
veut profiter de cette étourderie pour connoître
e d’avoir instruit Pantalon ; il vient lui vanter son zele : mais son
maître
, loin de l’en remercier, l’accable de reproches s
quelin fut en état de lire Aristophane, et Térence, et Plaute, et les
maîtres
, il rêva que lui aussi il était né pour être un i
aisie, et Poquelin, pour leur plaire, inventa Le Docteur amoureux, Le
Maître
d’école et Les Trois Docteurs. Le vent qui passe
il est bien en main, vert, noueux et massif. Déjà, Molière était le
maître
. S’il n’avait pas trouvé toute sa comédie, il en
les illustres fondateurs du théâtre athénien ; ainsi s’est révélé le
maître
et le dieu du théâtre anglais ; ainsi ces grands
cette santé chétive. Elle rappelait à ses amis trop bruyants, que le
maître
avait besoin de silence et de solitude. Elle pria
uple qu’il avait tant aimé. Ainsi fut justifiée, à l’heure suprême du
maître
jour, cette éloquente sortie de l’évêque de Meaux
egretté la perte du Docteur amoureux. Les Trois docteurs rivaux et le
Maître
d’école n’existent plus que par leur titre ; la J
nt deux valets travestis en docteurs, qui servent les amours de leurs
maîtres
. Le seul côté plaisant de l’intrigue consiste dan
vif et franc, le comique incisif et redoublé : Molière est désormais
maître
de son expression. C’est à partir des Précieuses
e ingénue ; les verrous enfin se trouvent tirés par l’amour, ce grand
maître
qui déjoue les projets des jaloux, Et donne de l
iècle, Strapparole, ainsi que La Fontaine, son imitateur. Le conte du
Maître
en Droit a fourni le sujet de la comédie de Y Eco
inement réveiller l’auditeur ! De peur que son sommeil ne s’en rendit
maître
, Jamais plus à propos vit-on puces paraître ? D’a
les spectateurs. Pour consoler la fille d’un pêcheur, trompée par son
maître
, il lui montrait la fameuse liste de toutes celle
de la sotte condition d’être toujours tout entier aux passions d’un
maître
, de n’être réglé que par ses humeurs, et de se vo
vre jamais pour soi, et d’être toujours tout entier aux passions d’un
maître
, de n’être réglé que par ses humeurs, et de se vo
vre jamais pour soi, Et d’être toujours tout entier Aux passions d’un
maître
; D’être réglé par ses humeurs, Et de se voir réd
as dans la maison, comme tous les sots : il prouve ainsi qu’il est le
maître
. Molière a creusé le rôle d’Elmire dans ses moind
s s’exprimer méchamment sur leur compte. On était redressé de main de
maître
. Les trouvères et les troubadours chantaient leur
médies de Molière, c’est que les pères et les fils, les valets et les
maîtres
, se querellent avec violence, et que, quelques mi
lle part un comique plus abondant. M. Jourdain, entouré de ses divers
maîtres
, intéressés , à faire valoir leur art, et mettant
médie telle qu’elle est, incomplète et précipitée, le traits du grand
maître
se font reconnaître. Si le dessin n’en est pas tr
é de ce portrait dans sa pièce de Turcaret, et il l’a fait de main de
maître
. Ces gens d’affaires placés entre le roi et la na
mportants de notre vieille comédie, sont tous aussi fripons que leurs
maîtres
. Ils ont l’esprit subtil, la réplique vive, la ma
isait sous toutes ses faces. Il est un monde qu’il a peint de main de
maître
, et dont nous n’avons pas encore parlé. Personne
oir est de m’immoler ; mon zele, mes serments, l’amour de mes anciens
maîtres
, tout me crie d’étouffer pour vous la voix de la
aire mourir : il finit par tuer un mouton dont il porte le cœur à son
maître
, en lui disant que c’est celui de la Princesse, &
trait de réminiscences dans la plus franche originalité. La gloire du
maître
de la comédie n’a, du reste, rien perdu à ces inv
ns leur jeu ; il fut leur disciple, mais un disciple qui surpassa ses
maîtres
. Il était, du reste, parfaitement placé pour rece
ins une très grande influence sur ceux-là mêmes qui s’appellent leurs
maîtres
, et que, le plus souvent, elles conduisent à leur
umble amie qu’une servante ! Comme elle rit de bon cœur au nez de son
maître
, à qui elle est attachée pourtant, mais dont le g
t une fille d’esprit, de cœur et de sens, appréciée et écoutée de ses
maîtres
; assez bien de sa personne, d’ailleurs, pour que
t moment : et Tartuffe ? Quoi de plus piquant que son débat avec son
maître
: Si l’on ne vous aimait ? Je ne veux pas qu’on
olbert s’attachoit à récompenser les personnes qui servoient bien son
maître
, préférablement à celles qui lui faisoient une co
s où les talents naissants trouvent des ressources gratuites chez des
Maîtres
entretenus par la générosité du Monarque ; tant d
mains de la Muse tragique viennent d’être honorés des bienfaits63 du
maître
: les Comédiens ont ordre de ne plus confier aux
des écoliers fiers de remuer les bras, les jambes, la tête comme leur
maître
. 60. Qui nous assurera même que les Scuderi, les
geois, nobles, paysans, marchands, médecins, hommes de loi, valets et
maîtres
, le moraliste représente au vif tous les caractèr
ci, Et c’est pour mes péchés que je vous aime ainsi. Oui, le coup de
maître
fut ici de donner à cet ami de la vertu le traver
médie d’une telle portée, le poète dut pressentir les dispositions du
Maître
par une lecture préalable. C’est ce que semble in
ur de ce sujet, jusqu’au jour où il est devenu le domaine propre d’un
Maître
digne de faire oublier tous ses devanciers. Parmi
il s’accuse lui-même, retourne l’esprit d’Orgon, et finit par rester
maître
de la place. C’est ainsi que Molière prend son bi
r son Prince, il montra du courage. Or, ces mots allaient au cœur du
Maître
qui ne pardonnait pas aux Jansénistes d’avoir épo
action Avec la pureté de notre intention. Voilà bien le disciple des
maîtres
qui enseignaient alors l’art de sauver les appare
joue dans la maison un rôle équivoque, des valets qui détestent leur
maître
et le honnissent, un courtier d’usure, et une ent
e ; et vous étiez seul à rire. » ; « Je vous estime trop, repartit le
Maître
, pour penser que vous n’y ayez pas ri vous-même,
son théâtre mérite ainsi d’être à son tour une source commune où les
maîtres
de la scène ne cesseront pas de puiser l’inspirat
même. Il y aura là d’autant plus de pièges tendus à la cupidité de ce
maître
quinteux et brutal, de ce père égoïste et tyranni
it que Cléante vole son père ; car le valet seul est coupable, et son
maître
n’apprend la faute que pour la réparer. Ensuite,
es villageoises, rappelle cette Marotte qui n’a pas appris, comme ses
maîtres
, la filofie dans Le Grand Cyre, et demande qu’on
aux circonstances, non à son mari. Chrysale triomphe d’être enfin le
maître
quand on ne lui dispute plus rien, et d’enfoncer
e et bassesse Au trio des Savantes répond le duo des Pédants. Quel
maître
sot que ce Trissotin, avec La constante hauteur
à se montrer, à déclarer la guerre. Ah ! l’on verra bien qu’il est le
maître
de céans ! On le voit en effet, tant que l’ennemi
t pas oublier cette servante fidèle qui a plus de raison que tous ses
maîtres
ensemble. Mise à la porte pour un accroc fait à l
es du Médecin malgré lui et de George Dandin, Les Docteurs rivaux, Le
Maître
d’école, Le Docteur amoureux. À Bordeaux, il fit
28. Il le fallait bien pour répondre si ponctuellement au caprice du
maître
, et aux vœux du public. 29. La Bruyère lui-même
, à deux ne saurait être. Et je sens que du mien Clitandre s’est fait
maître
. Si l’on aimait, monsieur, par choix et par sages
ausse. […] Si j’avais un mari, je le dis, Je voudrais qu’il se fit le
maître
du logis ; Je ne l’aimerais point, s’il faisait l
iné, une charge dans la maison du roi : les actes le qualifient de «
maître
tapissier et tapissier ordinaire de la maison du
rancune, et que, quarante ans plus tard, ce soit la seconde femme du
maître
tapissier, Catherine Fleurette, qu’il ait représe
taient depuis tantôt quinze ou vingt ans en possession de consoler le
maître
du logis, dans ce ménage enfin où le mari, s’il a
hé plus près, si la vie avait eu pour eux tout ce qu’elle eut pour le
maître
de déboires humiliants, et de désillusions amères
le valet de Cléandre imagine pour favoriser l’amour contrarié de son
maître
une série de stratagèmes que Cléandre rend inutil
intérieurs bourgeois de leur temps ? Auprès d’eux, Molière semble un
maître
hollandais, un Téniers, un Gérard Dow, tandis qu’
i-même se faisait le ministre des plaisirs autant que des affaires du
maître
, il n’y avait pas, il ne pouvait pas y avoir d’ «
ince il montra du courage. C’était un bon époux, un bon père, un bon
maître
, lin bon citoyen, un ami fidèle et un sûr. Mais
cherché, c’est la nature qui le leur a suggéré ; et tandis que leurs
maîtres
, à chaque pas qu’ils oui, s’enfoncent plus avant
instruit, Montre d’obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son
maître
, un enfant à son père, A son supérieur le moindre
ct où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur et son
maître
(École des Femmes. III, II.) Voilà vraiment du M
ent qu’ils n’en savent rien ; qu’en ceci chaque comédien est resté le
maître
de se montrer tout à fait comme un grand seigneur
st bien malgré lui si parfois il s’en sert. « Voilà ce que disent nos
maîtres
, les critiques qui ont vu, qui se souviennent et
tait mis à adopter ce Baron comme le dernier confident des pensées du
maître
, et jusqu’à la fin de sa vie il l’entoura d’atten
n la grand’salle du Palais de Justice. Ce tableau est fait de main de
maître
et, quoique Pierre Gringore fût à peine né à l’ép
ling, des Mantegna, des Luc de Cortone, des Pérugin (15e siècle), ces
maîtres
renommés, dont les travaux jettent de l’éclat sur
anque point de les surfaire. « N’en pourrait-on point rabaisser, cher
maître
, lui disent-elles, soyez-nous bénin. En vérité, d
le lépreux : « Pour Dieu, ne nous veuille déplaire, dit l’un d’eux au
maître
du logis, si souvent céans revenons. » Aux Noces
de l’apparition de Jésus à la Magdeleine est encore de celles que les
maîtres
de la peinture ont souvent reproduites ; et je ne
abias; on n’y comprend plus rien. Il écume, il râle, il va trépasser.
Maître
drapier à la fin est vaincu, non sans peine; il s
ont. Il avait alors près de quinze ans ; mais les leçons d’excellents
maîtres
, son aptitude naturelle, et surtout sa laborieuse
blimes de la morale. S’il partagea sur la physique les erreurs de son
maître
, du moins il apprit de lui à ne jamais repousser
onservés. Les érudits citent respectueusement Les Docteurs rivaux, Le
Maître
d’école, Le Médecin volant, Le Docteur amoureux,
que dans nos habitudes actuelles : jamais les valets n’ont mené leurs
maîtres
aussi tyranniquement ; mais comme ils jetaient du
des ridicules semblables des différences imperceptibles. Vingt petits
maîtres
ont été livrés par lui en proie à la malignité du
a naïve Nicole, la franche Martine, et cette Toinette qui brusque son
maître
, trompe la belle-mère, et seconde l’aimable fille
rompue par Molière, qui lui dit de venir souper avec lui. C’était un
maître
et un oracle quand il parlait : et ces comédiens
quel il nous a fait voir qu’il a su profiter des leçons d’un si grand
maître
. Qui, depuis sa mort, a tenu plus sûrement le thé
œur de Madeleine Béjart, et femme, en secondes noces, du sieur Aubry,
maître
paveur, qui donna aux français, en 1680, la tragé
vrai. C’était Minerve sortie d’un coup, et tout armée, du cerveau du
maître
. A-t-on, du moins, faute d’un texte primitif, que
laquelle Laurent paraît en scène, et où ce valet, amplifiant sur son
maître
et amoureux de Dorine comme lui d’Elmire, chante
oins la fin ; et cela expliquerait la permission verbale que donna le
maître
, un jour de libéralité ou de dépit contre les dév
le Festin de Pierre, école d’athéisme, « où après avoir fait dire au
maître
, qui a beaucoup d’esprit, toutes les impiétés les
ilà comment au lever du rideau, nous le trouvons dans la place, où le
maître
ne voit plus que par ses yeux. Il l’appelle son
leurs infirmités même : il y a donc là un sûr indice des volontés du
maître
. Eh bien ! Du Croisy était un gros homme, de bell
avez ce qu’en fait Laurent, Laurent son garçon, reflet grossissant du
maître
. Non, Tartuffe n’est point homme du monde, encore
t, il lance le fameux : C’est à vous d’en sortir, vous qui parlez en
maître
. nul doute qu’il y ait là un grand et saisissant
age ; mais je dois leur représenter en même temps que nos plus grands
Maîtres
ont échoué lorsqu’ils ont poussé la témérité trop
neille, surnommé le Pere de la tragédie, naquit à Rouen en 1606, d’un
Maître
des eaux & forêts. Il avoit l’ame fiere &
s équipées galantes, le maréchal borgne, qui a plus grand nez que son
maître
. En présence de son auditoire venu directement de
il s’écoule un demi-siècle au moins pour qu’on en vienne à être assez
maître
de son propre génie pour le garder tout entier, m
▲