vre jadis, noble présentement, trouve dans la cassette de sa femme un
mémoire
où sont détaillées les dépenses qu’elle a faites
ne soit à ma gloire ? M. Josse. Monsieur le Commissaire, apportez son
mémoire
. C’est trop avoir d’égards pour son manque de foi
moi, sans mensonge & sans être interdite, Si vous reconnoissez ce
mémoire
. M. Josse. Si vous reconnoissez ce mémoire.Elle
, Si vous reconnoissez ce mémoire. M. Josse. Si vous reconnoissez ce
mémoire
.Elle hésite. Plus elle a de chagrin, plus je suis
elle a de chagrin, plus je suis réjoui. Mad. Josse. Oui, Monsieur, ce
mémoire
est de moi. M. Josse. Oui, Monsieur, ce mémoire
e. Oui, Monsieur, ce mémoire est de moi. M. Josse. Oui, Monsieur, ce
mémoire
est de moi.De vous ? Mad. Josse. Oui, Monsieur,
sieur, ce mémoire est de moi.De vous ? Mad. Josse. Oui, Monsieur, ce
mémoire
est de moi. De vous ?Oui. Je ne sais ce que c’est
uoi ?Prêtez l’oreille ; & vous, Monsieur, lisez. M. Griffet lit.
Mémoire
de la dépense que j’ai faite en galanteries. M.
que j’ai faite en galanteries. M. Josse. Voyons par quel endroit ce
mémoire
débute. M. Griffet. « Premiérement, vingt francs
e. Que mes filles, Monsieur, ont sur elles les pieces Que contient ce
mémoire
especes par especes. De me justifier je leur lais
point dit que je souffre cela. M. Josse. Que pouvois-je penser de ce
mémoire
-là ? Tatez-y, boute-en-train, culebute, engagean
nt de l’éditeur, qui déclare ne devoir sa copie qu’à un effort de la
mémoire
d’une personne qui en a vu plusieurs représentati
de Retz. Ils font ensuite preuve d’érudition en citant le passage des
Mémoires
, sans s’embarrasser du peu de rapport qui existe
fois12. » Le souvenir de ce passage doit toujours être présent à la
mémoire
du commentateur. Il en est de même du passage sui
st pas toujours une autorité dans la langue. Il me reste à parler des
Mémoires
sur la vie de Molière, par Grimarest ; Mémoires q
me reste à parler des Mémoires sur la vie de Molière, par Grimarest ;
Mémoires
que j’ai cru devoir placer à la tête de cette édi
autres par la Préface de La Grange15, la Notice du Mercure16, et les
Mémoires
de Louis Racine. L’anecdote la plus invraisemblab
du livre lui ont fait condamner le livre tout entier. D’ailleurs les
Mémoires
sur Molière ne sont point aussi incomplets que po
-ils ses erreurs et ses omissions ? Que ne publiaient-ils de nouveaux
Mémoires
? Et pourquoi ne pas faire une justice éclatante
les contemporains étaient là pour juger ? Enfin les matériaux de ces
Mémoires
ont été fournis à Grimarest par le fameux Baron,
irconstances de la vie de Molière : ce qui prouve au moins que si ces
Mémoires
renferment quelques erreurs, ils doivent renferme
esse tout le dévouement d’un ami21 ! Un dernier mot décide tout : ces
Mémoires
tant critiqués renferment les seuls documents un
r Molière sont éteintes ? Mon intention n’est pas de soutenir que les
Mémoires
sur la vie de Molière sont exempts d’erreurs. Le
a vie de M. de Molière pour nous la donner. On doit s’intéresser à la
mémoire
d’un homme qui s’est rendu si illustre dans son g
ai eu plus de peine à développer la vérité ; mais je la rends sur des
mémoires
très assurés, et je n’ai point épargné les soins
t comme ce même Cyrano était très avide de savoir, et qu’il avait une
mémoire
fort heureuse, il profitait de tout, et il se fit
er avec une très grande précipitation. Mais je sais, par de très bons
mémoires
, qu’on ne lui a jamais donné de sujets ; il en av
; que la pièce de Rotrou était assez récente pour être encore dans la
mémoire
des spectateurs ; et qu’avec les heureuses dispos
bien ; c’est un des plus beaux endroits de la vie d’un homme dont la
mémoire
doit lui être chère. Un organiste de Troyes, nomm
-il, mettez-moi en contraste dans quelque pièce ; je vous donnerai un
mémoire
de mes bons endroits. — Ils se présentent à la pr
et que l’on donne encore aujourd’hui dans le public plusieurs mauvais
Mémoires
remplis de faussetés à l’égard de Molière et de s
la cour, et qui est un illustre prélat aujourd’hui, daigna honorer la
mémoire
de Molière par les vers suivants : Plaudebat, Mo
ts sur ton théâtre comique, touchée aujourd’hui de ta mort, honore ta
mémoire
des regrets qui te sont dus : toute la France pr
te pendant sa vie, s’excitèrent encore après sa mort pour attaquer sa
mémoire
; ils répétaient toutes les calomnies, toutes les
bienfaisante courtoisie dans un passage de la Vie de Molière tiré des
Mémoires
de d’Assoucy. En voici un second que me fournit l
ille, bien facé, mais extrêmement pâle. Si nous en voulons croire les
Mémoires
manuscrits de M. de Tralage, Brécourt aimait avec
es dons de la nature, une grande intelligence, un travail assidu, une
mémoire
imperturbable, et surtout cet art si rare de se t
ière, et une partie des aventures de sa jeunesse se trouvant dans les
Mémoires
de Grimarest, nous croyons inutile d’étendre dava
ù il est peint sous le nom de Carlos Alonso de La Ventoleria ; 6° Les
Mémoires
de Collé ; 7° Les Mémoires de mademoiselle Clairo
de Carlos Alonso de La Ventoleria ; 6° Les Mémoires de Collé ; 7° Les
Mémoires
de mademoiselle Clairon ; 8° Mercure de France, d
r des Béjart, et femme de Molière, fut une excellente comédienne. Les
Mémoires
de Grimarest nous dispensent d’entrer dans de lon
ère, publiée en 1682. 16. Mercure, mois de mai 1740. 17. Voyez les
Mémoires
de Louis Racine, à la tête des œuvres de Jean Rac
, tom. III, pag. 155. 21. Les preuves de la coopération de Baron aux
Mémoires
de Grimarest sont nombreuses ; en voici une entre
ié M. Taschereau. (Note de la seconde édition publiée en 1837.) 23.
Mémoires
de Segrais, page 173. 24. Les recherches précie
e à La Rancune que ce comédien était trop affecté, et on lit dans les
Mémoires
du cardinal de Retz que madame de Montbazon ne po
in. 35. Il y a ici une lacune de plusieurs années sur lesquelles les
Mémoires
jettent peu de lumière. On peut présumer cependan
et qui partageaient l’admiration avec le fameux Scaramouche. Quelques
Mémoires
assurent même que Molière prenait dès lors des le
9 ; et Vie de Scaramouche, par Mezzetin.) L’abbé Tallemant, dans des
Mémoires
manuscrits cités par M. Walckenaer (Histoire de L
1. On trouvera une histoire de la troupe de Molière à la suite de ces
Mémoires
. 42. Ce pâtissier se nommait Ragueneau ; il fut
établie par la première représentation du Dépit amoureux, et par les
Mémoires
de Dassoucy. Ce dernier ouvrage nous fournit quel
rrasin, que le prince lui proposait de remplacer ; et on lit dans les
Mémoires
de Segrais, « que Sarrasin mourut à l’âge de quar
rselle qu’on avait dans ce temps-là contre le cardinal de Mazarin. » (
Mémoires
de Segrais, page 51.) Le prince de Conti avait ét
le cardinal de Retz qui plaça le poète Sarrasin auprès de ce prince. (
Mémoires
du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre
de la chasse ? N’est-il pas plus naturel de penser, d’après quelques
Mémoires
du temps, que le lendemain de l’ordre donné par L
aissance de tous les honnêtes gens ; car non-seulement il a honoré la
mémoire
de Molière, en faisant briller la vérité, mais il
s 177 et 178 ; les Frères Parfait, tome VII, pages 129 et 130, et les
Mémoires
de Louis Racine, page 38.) * Œuvres de J. Racine,
passage est une nouvelle preuve que Grimarest a travaillé d’après les
Mémoires
de Baron, alors retiré du théâtre, mais qui y rem
ravant femme de Molière. Cette conversation complète cette partie des
Mémoires
; et nous croyons devoir l’y insérer, en avertiss
de service, toute la cour s’empressa de lui faire des invitations. » (
Mémoires
de madame Campan, tome III, page 8.) 76. Elle se
ensuite faire paraître tous les gens de qualité qui lui ont donné des
Mémoires
et tous ceux qu’il a copiés. » (Voyez Zélinde, co
es, Et de l’art même apprend à franchir les limites. On lit dans les
Mémoires
de Racine le fils qu’un soir à souper chez Molièr
taine, etc., durent souvent leurs plus heureuses inspirations. (Voyez
Mémoires
sur la vie de Racine, page 68 ; Vie de Molière, é
oignage irrécusable, puisque Racine le fils, qui le rapporte dans ses
Mémoires
, d’après Grimarest, ajoute que Boileau « racontai
sur la destinée du Misanthrope à sa naissance. (A.) — Un passage des
Mémoires
de Dangeau appuie les observations précédentes su
ruit, et eut un grand succès à Paris avant d’être jouée à la cour. » (
Mémoires
de Dangeau, 10 mai 1690.) 95. Elle ne fut réimpr
Il mérite d’autant moins de foi, qu’il n’a consigné ce récit dans ses
Mémoires
qu’en 1690, à l’époque de la mort du duc de Monta
is. 103. Voyez l’Histoire de la troupe de Molière à la suite de ces
Mémoires
. La Grange publia en 1682 une édition des Œuvres
ni de vraisemblance. (Voyez, sur l’anecdote relative à Tartuffe, les
Mémoires
pour servir à la vie de Chapelle, par Saint-Marc,
espréaux. 109. Louis Racine raconte aussi cette anecdote. (Voyez les
Mémoires
sur la vie de Jean Racine, tome I des Œuvres de R
de Brie. Voyez l’Histoire de la troupe de Molière, à la suite de ces
Mémoires
. 111. Ce La Barre était musicien. La Fontaine l’
re ait fait une mauvaise pièce. Retournez-y, et examinez-la mieux. » (
Mémoires
de Louis Racine, page 30. Voyez aussi Boléana, pa
fait prouve que Molière travaillait au Misanthrope en 1664. 132. Les
Mémoires
de d’Assoucy le font aimer et le font plaindre ;
, »fit prier la Compagnie de lui procurer, par des gens à elle, « des
mémoires
assurés sur tout ce qui se passait » dans ses dom
libelles qui portaient brusquement la question devant le public : un
Mémoire
pour faire connaistre l’esprit et la conduite de
ngrégations et « associations » des Jésuites; et bien que l’auteur du
Mémoire
se défendit de vouloir répandre son pamphlet part
es qu’elle avait reçues au sujet des duels et qui pouvaient servir de
mémoires
(entendons de dossiers judiciaires) pour remédier
térieux, presque aussi solennelle qu’un siècle et demi plus tard le «
Mémoire
à consulter » de Montlosier, il fit, sans tarder,
ère, Don Juan et Tartufe. Il faut d’abord réserver, au moins pour
mémoire
, la part de ces mécontentemens, dont j’ai parlé p
rt peu dévots (le jésuite Rapin, qui les connaît, le déplore dans ses
Mémoires
à chaque pas,) et l’un d’eux, Lyonne, pousse asse
’exprimèrent avec vivacité. Toutefois, ni les correspondances, ni les
mémoires
du temps, présentement connus, ne nous révèlent d
de cette collaboratrice importune. Je rappellerai ici, seulement pour
mémoire
, que, de l’aveu de Voyer d’Argenson, « la dernièr
re général de Rodez, de Narbonne et d’Albi, mort en 1685, l’auteur de
Mémoires
précieux sur le Jansénisme, en fut certainement.
re, éd. des Grands Ecrivains, t. IV, p. 231). 7. Mllede Montpensier,
Mémoires
, éd. Chéruel, 11!, 36-37 et Allier, la Cabale des
sera renversée : » auferetur factio lascivientium. 16. Le P. Rapin,
Mémoires
, t. III, p. 136 et passim; Pierre Clément, Colber
stoire, 1904 (Pavillon, Molière et Conti). 33. Mlle de Montpensier,
Mémoires
, t. III, p. 139 ; Sainte-Beuve, Port-Royal ; Abel
l est plusieurs fois question de la Compagnie dans les si intéressans
Mémoires
du chanoine Hermant, publiés pur M. Gazier, notam
. Gazier, notamment, au t. IV, p. 392 et suivantes. 44. Le P. Rapin,
Mémoires
, t. III, p. 193 et passim. 45. « On assure, —
-Évremond, et deux fragments du Journal littéraire de La Haye et des
Mémoires
de Trévoux. On voit que ce M**pourrait s’appeler
, publiée par le Mercure de mai 1738 (p. 826 à 836), sous le titre de
Mémoires
pour servir à l’histoire du théâtre, et spécialem
n peut se résumer en ce dilemme : ou Boucher d’Argis est l’auteur des
Mémoires
de 1738, — ce qui me paraît très probable, puisqu
l’empruntaient au Mercure de 1740, qui l’avait pris lui-même dans les
Mémoires
de La Serre (1734). Or, La Serre, qui cite Mlle
e portrait, l’aurait aussi bien citée pour les autres passages de ses
Mémoires
, qui ont été presque entièrement pillés par le Me
ux Biographes de Molière, avait soixante-douze ans quand il donna ses
Mémoires
pour servir à l’histoire de Molière et de ses ouv
ur ordre chronologique. Les frères Parfaict, copiant un passage des
Mémoires
de La Serre, publiés en tête de la belle édition
ageux qu’il semble en avoir fait dans le monument qu’il a dressé à sa
mémoire
, où, après l’avoir appelé, par rapport à ses tale
e chose de plus remarquable sur la vie et les ouvrages de Moliere.
Mémoires
pour servir à l’histoire du théâtre et spécialeme
it valoir cet Alcipe autant et plus qu’il ne pouvoit valoir. Dans les
Mémoires
du Cardinal de Retz, on voit que Mme de Montbason
comédiens de son temps (juin 1740) Voici, Monsieur, la suite des
Mémoires
qu’on a pû ramasser sur l’état de nos théâtres de
? 34. Chant III. 35. Notamment au sujet du Cocu imaginaire. 36.
Mémoires
de Trévoux, avril 1717, p. 531. 37. De La Bruyèr
Moliere, Mercure galant). 58. Tout ce qui suit jusqu’à la fin de ces
Mémoires
a été reproduit mot pour mot dans les Variétés hi
rt ni Molière. 135. Textuellement reproduit de l’édition de 1734 :
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. 136. Ces
ortrait serait dû à Poisson, fille de Du Croisy, d’après l’auteur des
Mémoires
de 1734. 150. Depuis son arrivée à Paris en 165
etite Beauval (Louise), la Louison de son Malade imaginaire. 151.
Mémoires
sur la vie, etc. 1734. 152. Peut-on faire un plu
ur de représentation. C’est 12 qu’il faut lire. 204. Lisez 33. 205.
Mémoires
de La Serre, 1734 206. Ballet du Roy. 207. A Ve
avec beaucoup d’empressement, à l’Auteur dont je vous entretiens, des
mémoires
de tout ce qui se passait dans le monde et des po
écit, après avoir fait cette Pièce, reçut des gens de qualité plus de
mémoires
que jamais, dont l’on le pria de se servir dans c
l’on voit tant de monde à ses Pièces : tous ceux qui lui donnent des
mémoires
veulent voir s’il s’en sert bien. Tel y va pour u
sionnaires. Notre Auteur, après avoir fait ces deux Pièces, reçut des
mémoires
en telle confusion que, de ceux qui lui restaient
de théâtre. Ce n’est qu’un amas de Portraits détachés et tirés de ces
mémoires
, mais qui sont si naturellement représentés, si b
t, celui qui venait le mieux au temps, pour s’être servi à propos des
mémoires
que l’on lui donne tous les jours, pour n’en avoi
vous contenter, A vous faire, en raisons claires & positives, Le
mémoire
succinct de nos dettes passives, Et que j’aurai l
er dans peu. ACTE III. Scene III. Hector tient parole ; il porte un
mémoire
écrit à la main, qu’il lit très couramment &
très distinctement. ACTE IV. Scene XIII. Ce même Hector qui a fait un
mémoire
, qui a fort bien lu une écriture à la main, ne sa
nard a cru qu’il étoit vraisemblable de pouvoir écrire & lire des
mémoires
sans savoir lire des livres imprimés, pense-t-il
es livres, & pour oublier qu’il a entendu ce même Hector lire son
mémoire
? Hector, en lisant Séneque, épele en effet, &
et où de vint exclusive celle qu’il eut avec madame de Montespan. Les
mémoires
de Bussy-Rabutin présentent l’étrange tableau du
e intérêt que celui de fixer des dates contestées et nécessaires. Les
mémoires
de mademoiselle de Montpensier nous apprennent qu
commença l’intrigue dont Bussy-Rabutin raconte si bien l’origine. Les
mémoires
de mademoiselle de Montpensier nous apprennent pl
ouvé sa clairvoyance. En effet, on voit bientôt, dans la suite de ses
mémoires
, le marquis de Montespan se déchaîner contre sa f
’infidélité conjugale, allait la voir et la consoler. On lit dans les
mémoires
de Montpensier « qu’immédiatement après la mort d
. Eraste. Est-il possible que cinq ou six années m’aient ôté de votre
mémoire
, & que vous ne reconnoissiez pas le meilleur
e vous me donnassiez quelques enseignes, pour me rafraîchir un peu la
mémoire
touchant notre connoissance ; car plus je vous re
nsible, ne douta point que l’autre ne le connût le mieux du monde. Sa
mémoire
avoit de la peine à en demeurer d’accord ; mais i
à en demeurer d’accord ; mais il trouva sa faim plus agréable que sa
mémoire
, & le suivit aussi facilement que s’ils n’eus
evoir proposer notre doute au sujet d’un fait avancé par l’auteur des
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière, et par cel
avec beaucoup d’empressement, à l’auteur dont je vous entretiens, des
mémoires
de tout ce qui se passait dans le monde et des po
caramouche ; mais qu’attendre d’un homme qui tire toute sa gloire des
Mémoires
de Guillot-Gorju, qu’il a acheté de sa veuve, et
a veuve de Guillot-Gorju, mon maître et le sien, ne lui eût vendu les
mémoires
de son mari, ces farces ne lui eussent jamais don
parlerons de cet événement sous l’année 1673. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière, à la tête
comédie au théâtre français que Le Menteur. » [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. L’aute
ale] Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. a. L’auteur des
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière dit que c’e
re dit que c’est Éraste, mais il s’est mépris. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. 1. [Note
Molière, avec des jugements sur ses ouvrages. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
ci-dessous la préface de La Cocue imaginaire. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. *. [Note
tirant un papier de sa poche. Monsieur le Marquis, voici mon dernier
mémoire
que je vous prie d’arrêter. Le Marquis. Vous cont
e d’arrêter. Le Marquis. Vous continuez de me persécuter ! Arrêter un
mémoire
ici ! Est-ce le temps ? le lieu ? Eh ! nous le ve
Marquis. Voyons donc : il faut me défaire de vous. Pot-de-vin lit. «
Mémoire
des frais, mises & avances faits pour le serv
sieur le Marquis, cent livres. Item... Le Marquis, lui arrachant son
mémoire
. Eh ! morbleu, donnez. Item ! item ! quel chien d
argon me parlez-vous là ? Donnez ; j’ai tout entendu : j’arrête votre
mémoire
. Votre plume ? Voilà qui est fait. Dorénavant je
eute de créanciers. Le Marquis. Ne m’avez-vous pas fait arrêter leurs
mémoires
? M. Dumont. Il est vrai. Le Marquis. De quoi se
endre impossible son union avec la reine, si elle devenait veuve. Les
Mémoires
de Mademoiselle22 renferment des détails qui rend
que où Anne fut accusée de conspirer avec Monsieur contre le roi, les
mémoires
du temps lui imputent une intrigue galante avec l
à la cour, où il venait dans l’intention d’épouser la princesse. Les
mémoires
du duc de La Rochefoucauld et ceux de Brienne ne
la marquise. « Je voudrais, dit-il, être capable d’en faire durer la
mémoire
aussi longtemps que mon amour pour elle. » L’ana
e pruderie dans les mœurs, et de mauvais goût dans le langage ? 2.
Mémoires
de Sully, édition de Petitot. T. VIII, pag. 51 à
a voulu abaisser le cœur au prince de Condé et lui élever la tête. » (
Mémoires
de Sully, t. V.) Mais la reine et le prince de Co
Mais la reine et le prince de Condé étaient furieux. On lit dans les
Mémoires
de Sully, qu’après la mort du roi le prince « le
de Rambouillet, vient uniquement de la conformité de leur nom. 9.
Mémoires
de Bassompierre. 10. Essai sur les guerres civi
à renouveler nos instances auprès des personnes qui peuvent avoir des
mémoires
sur différents auteurs, dont nous aurons bientôt
blic, et s’acquit par là cette haute réputation qui doit éterniser sa
mémoire
. « Toutes ses pièces n’ont pas d’égales beautés ;
celui qu’il regardait comme son fils. « On n’a point inséré dans ces
Mémoires
les traditions populaires, toujours incertaines e
mpire, quittent le Parnasse pour venir à sa cour. Mnémosyne (c’est la
Mémoire
) fait l’ouverture du théâtre par un récit. Mnémo
à ce prix, Qu’ils méritent bien que l’histoire, En conserve aussi la
mémoire
. À l’Hôtel * le sieur Floridor, Lequel, quand il
La Grange au camp devant Lille où était le roi, pour lui présenter le
Mémoire
(sous le titre de Placet) qui est imprimé à la tê
encore moins heureuse que les précédentes. » [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
n, par conséquent le 4 juin était un vendredi. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Ces de
illaume et de Turlupin, tome IV, p. 236-240. a. Si l’on en croit les
Mémoires
manuscrits de M. de Tralage*, Molière avait comme
Œuvres de Molière, édition de Paris, en 1682. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Le ven
marginale] Vers du père Bouhours, sur Molière. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Mlle P
t ce qu’elles sont devenues. Voyez Grimarest, Vie de Molière, p. 310.
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. *. [Note
e théâtre. *. [Note marginale] Voyez tome VIII, p. 233. a. Dans les
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière, après avoi
é est un canevas, quoiqu’informe, du troisième acte de George Dandin.
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Ce tit
te, ceci n’est donné qu’à titre de conjecture. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. [*]. [Not
vres de Molière, édition de Paris, in-12, 1739 [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
*. [Note marginale] De l’Hôtel de Bourgogne. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. *. [Note
sur ses ouvrages. a. Voici une preuve sans réplique que l’auteur des
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière s’est tromp
e, mais il n’en a point fourni les pensées. » [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. *. [Note
le] Personnage de la comédie de George Dandin. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. [*]. [Not
u’il avait méprisée dans les commencements. » [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. *. [Note
it pas précisément en quel temps L’Avare parut pour la première fois.
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. [*]. [Not
ange. 9. [Note marginale] Le sieur Du Croisy. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. 1. [Note
29 novembre de la même année ; et au même lieu le 9 novembre 1665. »
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. 3. [Note
oujours été depuis régulièrement exécuté. » Voyez Grimarest, p. 196.
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. b. « [*
la lettre en vers de Robinet, du 12 octobre. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. b. « [*
’en promet. Ce n’est point une histoire de la société polie, c’est un
mémoire
ou la compilation d’une suite de mémoires rédigés
e la société polie, c’est un mémoire ou la compilation d’une suite de
mémoires
rédigés pour faciliter la composition d’une histo
amour-propre de femme . Nos biographes n’en parlent point ; mais les
mémoires
de Tallemant-des-Réaux, qui viennent d’être publi
l’amie de madame de Schomberg et de madame de Sablé. On lit dans les
mémoires
de mademoiselle de Montpensier, qu’en 1658, penda
is a fait d’elle un portrait merveilleux qui se trouve à la suite des
mémoires
de Mademoiselle parmi beaucoup d’autres portraits
elle soit née au moins 15 ans avant 1638, c’est-à-dire en 1583. 65.
Mémoires
de Mademoiselle, t. VI, p. 69. 66. Lettre du 19
de MmeFavart et d’Adrienne Leccouvreur. Il a composé Mes rêveries, ou
Mémoires
sur l’art de la guerre, publié par l’abbé Pérau,
notice biographique. En 1794, le général Grimard publia : Lettres et
Mémoires
choisis parmi les papiers originaux du maréchal d
arisait l’héroïsme, et les généreux dévouements, elle plaçait dans la
mémoire
de tout un peuple, les images vivantes de ces gén
de Paris, élevé sous les piliers des Halles, ne se présentèrent à sa
mémoire
. Alors elle put paraître ingrate, et elle le fut
and siècle, Molière est peut-être le seul dont le peuple ait gardé la
mémoire
. Les autres appartiennent essentiellement au mond
jeter de l’argent à un peuple fanatisé et furieux qui insultait à sa
mémoire
et menaçait de troubler ses funérailles ; il fall
rêtent pas les. tribulations. L’histoire des monuments consacrés à sa
mémoire
est pleine de vicissitudes et de singularités. Se
andes individuelles. Tous ceux qui aiment les arts et qui révèrent la
mémoire
de Molière accueilleraient cette souscription ave
, Périer, Perret, Presches, Say, Ternaux et Tayer. Le conseil, Vu le
mémoire
en date du 30 mai 1839, par lequel, prenant en co
ce grand homme, dont les arts n’ont pas encore suffisamment honoré la
mémoire
, est né à Paris, qu’il y a fait ses études, qu’il
et : Muse historique du 17 juin 1661. Fouquet, dont l’illustre
mémoire
, Vivra toujours dans notre histoire, Fouquet, l’a
ant si nécessaires pour produire des ouvrages excellents. » Dans les
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière, voici le j
qu’à plaire, et où ce qu’on a vu ne saurait jamais se perdre dans la
mémoire
des spectateurs, quand on n’aurait pas pris le so
l’on ne s’y devait pas beaucoup divertir. » [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Voyez
e] La reine d’Angleterre, Monsieur, et Madame. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. [*]. [Not
nale] Contrôleur des menus plaisirs de la Maison du roi. a. Dans les
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière, et dans la
es Fâcheux. *. [Note marginale] Mlle de Brie. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
Molière, avec des jugements sur ses ouvrages. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. M. de
t seul capable de lui donner des louanges. » [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
Molière, in-12, Paris, 1739, tome III, p. 247. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. [*]Le
t d’impiété, de morale et de bouffonneries. » [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. *. [Note
lle avait mis en vers : et c’est le seul que l’on joue aujourd’hui. »
Mémoire
sur la vie de Molière. [*]. [Note marginale] Mém
aujourd’hui. » Mémoire sur la vie de Molière. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. *. [Note
oyez l’article du Tartuffe, sous l’année 1669. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. [*]. [Not
émoires sur la vie et les ouvrages de Molière. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Cette
célèbre musicien pour les comédies de Molière. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. c. Il fut
on penchant à la coquetterie et à la médisance. Après cela, ouvrez le
Mémoire
sur la société polie. M. Rœderer vous apprendra q
esquisses de-Clitandre et d’Acaste. Toutefois, si nous consultons les
Mémoires
du duc de Saint-Simon, nous trouvons çà et là que
etit, Biographie de Montausier. 7. Tallemant des Réaux. 8. Rœderer,
Mémoire
sur la société polie, 1835, p. 219. — Sainte-Beuv
4. Misanthrope, acte II, sc. I. 15. Ibid., acte II, sc. III. 16.
Mémoires
complets et authentiques du duc de Saint-Simon, P
stricte réalité. » 28. Chamfort, 4. —Voir aussi, dans les Nouveaux
Mémoires
de l’Académie des sciences et belles-lettres de B
la Fameuse comédienne ou Intrigues de Molière et de sa femme, p. 39 ;
Mémoires
de Grimarest, 31 F. Génin, Vie de Molière. 39.
ts par le même auteur, ces amours dont Dangeau a aussi parié dans ses
mémoires
, et qui ont été longuement décrits dans ceux de l
i, dis-je, écarté tout cela pour étudier les documents épars dans les
Mémoires
de Saint-Simon, dans les diverses correspondances
des choses inaperçues et pour en démêler beaucoup de confuses. 73.
Mémoires
de Saint-Simon, t. XI, p. 231. 74. « Une nuit q
660, mourut 2 ans après son mariage. (Vie de Maintenon, p. 41). 78.
Mémoires
de Maintenon, t. VI, p. 170.
ce sentiment qu’il faut s’en tenir pour rendre ce que l’on doit à sa
mémoire
. Quel est l’Auteur de son temps que l’on n’appell
re que je lui aie donné la vérité. Mon Ouvrage est broché d’après des
Mémoires
de Mr le Baron : Donc il est mauvais ; donc il n’
onsidération. Je passe encore à mon Censeur que Baron m’ait donné des
mémoires
. Mais à qui aurais-je pu mieux m’adresser qu’à lu
il que plusieurs autres personnes dignes de foi, qui m’ont fourni des
mémoires
. Mais vous insultez Dancour, et plusieurs autres
sait tant de choses, que ne les disait-il ? Que ne recueillait-il des
Mémoires
, pour me reprendre à bon titre : je serais ravi q
, que l’Ouvrage qu’il cite à son occasion, comme vrai, déshonorait la
mémoire
d’un Auteur illustre ; comme faux, faisait tort a
nt attachés à la marquise octogénaire, je ne m’inquiète guère pour sa
mémoire
, des satires de Boileau contre les deux premiers,
de beaux esprits, y trouvaient leur place comme chez Mécénas. » Les
mémoires
de la princesse et son petit roman allégorique de
La Princesse de Montpensier, l’Histoire d’Henriette d’Angleterre, les
Mémoires
de la Cour de France de 1688 et 1689.
d’octobre. Registre de Guénégaud, année 1688. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
âtre du Palais-Royal, pour le 25 du même mois. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
tes. *. [Note marginale] Le cardinal Mazarin. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
ce spectacle, firent pardonner ses défauts. » [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]
sse d’Escarbagnas, édition in-12, Paris, 1739. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. [*]. [Not
r de singularité sur les autres faits connus. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. 1. [Note
marginale] Mercure galant, tome I, année 1672. [*]. [Note marginale]
Mémoires
pour servir à l’histoire des gens de lettres, par
2 mars 1672. 2. [Note marginale] In-12, 1666. [*]. [Note marginale]
Mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière. a. M. Pe
prétendue Armande-Grésinde. Baron, élève et ami de Molière, dans les
Mémoires
qu’il fournit à Grimarest, pour la vie de cet hom
Nobiliaire du comté Vénaissin 32, dont l’auteur, travaillant sur les
Mémoires
fournis par la famille de Modène, dit (en 1750) q
ue s’exprime le Dictionnaire universel, à l’article Gaston. Voyez les
Mémoires
du temps. 8. Dissertation sur J. B. Poquelin-Mo
el prix tu conquis cette gloire Dont les tardifs rayons couronnent ta
mémoire
. Méconnu de son siècle, un grand homme souvent N’
au repos du bienheureux fauteuil, Pardonne ! sa justice, offrant à ta
mémoire
D’un bronze mérité l’hommage expiatoire, Veut d’u
où on les a puisés ? Du reste, comme la plûpart se trouvent dans les
Mémoires
historiques, dont on a orné la belle Edition in-4
Scaramouche. Mais qu’attendre d’un homme qui tire toute sa gloire des
Mémoires
de Gilles Gurgeo, qu’il a achetés de sa Veuve, &a
s de camp, d’autres femmes de qualité. Mademoiselle rapporte dans ses
Mémoires
, une lettre du duc d’Orléans son père à mesdames
es de Fiesque et de Frontenac dont Mademoiselle a tant parlé dans ses
Mémoires
. Quelles mœurs ce devaient être que celles de la
fluence qu’un de ces théâtres eut sur l’autre. Si l’on a bien dans la
mémoire
l’ensemble des œuvres du comique français, on dis
et qui demeurent en route, concourent à son succès et associent leur
mémoire
à la sienne. 63. Del Franzoso aloggiato à l’os
les statues publiques sont la digne et seule récompense à offrir à la
mémoire
des grands généraux et des grands citoyens, nous
i la grande et, je crois, la seule autorité, dit simplement, dans son
Mémoire
sur la vie et les ouvrages de Molière, « qu’on, f
n de Pierre, dans l’Histoire du théâtre-Français, t. XII, p. 61. 2.
Mémoire
sur la vie et les ouvrages de Molière. 3. Louis
que le Public la verrait avec plaisir, par l’intérêt qu’il prend à la
mémoire
d’un Auteur si Illustre. Fait à Paris ce 15 Décem
a vie de Mr de Molière pour nous la donner. On doit s’intéresser à la
mémoire
d’un homme qui s’est rendu si illustre dans son g
ai eu plus de peine à développer la vérité ; mais je la rends sur des
Mémoires
très assurés ; et je n’ai point épargné les soins
t comme ce même Cyrano était très avide de savoir, et qu’il avait une
mémoire
fort heureuse, il profitait de tout ; et il se fi
ler avec une très grande précipitation. Mais je sais par de très bons
mémoires
qu’on ne lui a jamais donné de sujets. Il en avai
; que la pièce de Rotrou était assez récente pour être encore dans la
mémoire
des Spectateurs ; et qu’avec les heureuses dispos
bien ; c’est un des plus beaux endroits de la Vie d’un homme, dont la
mémoire
doit lui être chère. Un Organiste de Troie, nommé
-il, mettez-moi en contraste dans quelque pièce ; je vous donnerai un
mémoire
de mes bons endroits. ― Ils se présentent à la
et que l’on donne encore aujourd’hui dans le public plusieurs mauvais
mémoires
remplis de faussetés à l’égard de Molière et de s
la Cour, et qui est un Illustre Prélat aujourd’hui, daigna honorer la
mémoire
de Molière par les Vers suivants : Plaudebat, Mo
ts sur ton Théâtre comique, touchée aujourd’hui de ta mort, honore ta
mémoire
des regrets qui te sont dus : Toute la France pro
te pendant sa vie, s’excitèrent encore après sa mort pour attaquer sa
mémoire
; ils répétaient toutes les calomnies, toutes les
onciliable avec le respect que nous aimons à professer pour une telle
mémoire
. Ou Armande serait la fille de Molière, ce qu’il
une tout autre attention. La première en date se trouve dans certains
mémoires
judiciaires écrits par ou plutôt pour un sieur Gu
: il comptait sur une alliée et rencontrait une ennemie. Dans un des
mémoires
qu’il publia pour sa défense, il fit remarquer d’
bilité, mais de Me Vaultier, son avocat, rédacteur de ses requêtes et
mémoires
. Guichard paraît même en reconnaître et en regret
-t-on d’ordinaire sur son témoignage et ne le mentionne-t-on que pour
mémoire
, sans paraître y attacher aucun prix. Celui-ci es
schereau ou celui de Caumont qui publie, dans le Bulletin et dans les
Mémoires
de cette’ société, des études telles que celle qu
loin de là, sans aucun indice extérieur qui rappelât et conservât sa
mémoire
. Ne nous attachons qu’à la phrase du vieux Chapel
nt moins pour but de conserver leurs dépouilles que de glorifier leur
mémoire
et leurs œuvres. L’opinion publique peut s’abuser
de l’Histoire amoureuse des Gaules, un de ces petits romans comme les
Mémoires
de Marie Mancini, etc., le pamphlétaire émit cont
’est pas mort excommunié — ce qui, d’ailleurs, importe assez peu à sa
mémoire
, et ne peut ni grandir ni diminuer la gloire immo
à loisir l’exemplaire d’Andromède, et j’ai parfaitement présente à la
mémoire
l’écriture des noms d’acteurs ajoutés en marge. J
s de la vie de Molière, p. 302. 11. Études critiques, p. 189. 12.
Mémoires
de la Société de l’histoire de Paris, t. XI, p. 2
tres : de sorte qu’elle doit passer pour une pièce supprimée, dont la
mémoire
ne subsiste plus que par les observations qu’on a
ageux qu’il semble en avoir fait dans le monument qu’il a dressé à sa
mémoire
, où après l’avoir appelé2 par rapport à ses talen
son nom au fronton. Cet homme inféodé dans la pierre, incarné dans la
mémoire
, c’est Poquelin de Molière. C’est à cet écrivain
ire de cette maison le veut, il abattra ce qui rappelait Molière à la
mémoire
par la voie la plus sûre, par l’angle le plus net
uième lieu une notice composée par Segrais et imprimée à la suite des
Mémoires
de mademoiselle de Montpensier, dont il était sec
on d’écrivains qui ont cru se faire une place distinguée au temple de
mémoire
, en accusant de mauvais goût, des personnages de
dinaire des femmes galantes, et devint dévoie et jalouse. Ce sont les
mémoires
de Mademoiselle qui nous apprennent ce chargement
ruelles. 45. Royaume de Coquetterie, 5 et 6. 46. On voit, dans les
Mémoires
de Bassompierre, que Henri IV, aidé par la goutte
dans la ruelle de leur lit, mais sans y être couchés. On lit dans les
Mémoires
de mademoiselle de Montpensier, qu’étant rentrée
Molière de Bret, Tome I, 1773. On peut également la trouver dans Les
Mémoires
(1747) de Louis Racine que l’on retrouve dans la
e.138 136. Grammont, Philibert de (1621 – 1707), illustré par les
Mémoires
d’Ant. Hamilton (v. tome XVIIIe siècle), son beau
art de ces suppositions qui laissaient planer un doute pénible sur la
mémoire
de Molière, est-il donc si sûr que Molière, à pei
onciliable avec le respect que nous aimons à professer pour une telle
mémoire
; ou Armande serait la fille de Molière, ce qu’il
eignit que, dès le collège de Clermont, Cyrano eût emmagasiné dans sa
mémoire
un fond de bonnes choses qu’il tenait de Molière
dont le nom, protégé par ces morts illustres, vivra longtemps dans la
mémoire
de ? lettrés. Auguste VITU. Première partie. É
tant bien que mal, résisté aux dévots, mais il ne put rien contre la
mémoire
paresseuse des gens de la Comédie. Quand Molière
alors, pour avoir raison du mauvais vouloir des comédiens et de leur
mémoire
intraitable ; elle s’entendit avec Thomas Corneil
ince, pour qui déjà les pièces étaient surtout mises en brochure, des
mémoires
aussi peu zélées qu’à Paris. C’eût été une mauvai
et à son caractère. » Ces quelques lignes, extraites du fragment des
Mémoires
de Brossette que M. Laverdet a récemment publié p
e Choisy dit positivement que Guilleragues écrivit pour Molière « des
mémoires
sur les pratiques et le langage de l’abbé Roquett
ntenant, elles sont éparses de tous côtés, dans les lettres, dans les
Mémoires
de l’époque ; elles existent, du moins, et nous a
bbé dut être renvoyé de la maison. Mais, aux gens de cette espèce, la
mémoire
ne sert que pour la rancune, et jamais elle n’ent
rivaux jaloux, les comédiens de l’hôtel de Bourgogne, dit l’auteur du
Mémoire
que citent les frères Parfaict ; mais, selon moi,
lus redoutable que celle du roi, ou que, tout au moins, doutant de la
mémoire
de la foule, il craignait de lui entendre siffler
lait apprendre plus vite encore, craignait sans doute de se fier à la
mémoire
des autres, prit pour lui tous les personnages de
assez entassé de mauvais propos, ramassés partout, il écrivit un gros
Mémoire
et l’alla porter à Versailles. Qu’est-il devenu ?
t longtemps, avant que son esprit de poète en eut fait son profit, sa
mémoire
de comédien, les promenant de tréteaux en tréteau
ar exemple, sont ainsi passés, en menues parcelles, de cette heureuse
mémoire
, dont le goût et l’esprit étaient le crible, soit
il ne fallut pas moins que l’autorité de Molière, pour imposer à leur
mémoire
ses grandes pièces en prose : l’Avare, le Bourgeo
dit-il. » Sur ce mot, le duc d’Antin, qui raconte l’anecdote dans ses
Mémoires
inédits, fait la remarque singulière que voici :
les lisait pas. M. Édouard Thierry, qui sait tout son Molière avec la
mémoire
de l’esprit, s’est fort à propos souvenu qu’ils e
it jamais. « Il nous a encore, dit Brossette dans un fragment de ses
mémoires
publié il y a quelques années, il nous a encore r
e preuve de ce qu’il dit, Eugène Despois renvoie au tome IV,p. 4, des
Mémoires
de Mme Campan. Or, tout cela est faux, depuis le
st faux, depuis le détail le plus minime jusqu’au plus important. Les
Mémoires
n’ont pas quatre, mais trois volumes seulement, e
gissait, en effet, pour nous, au bout d’un siècle révolu, de fêter la
mémoire
d’un fondateur au génie divin ; pour la seconde f
ermis d’exposer à l’assemblée ce qu’il avait imaginé pour célébrer la
mémoire
de Molière, et consacrer sa Centenaire, par un mo
eux qui aidaient à le lui faire aimer : « On a, lisons-nous dans les
Mémoires
secrets , on a ajouté, sur l’affiche, que le prof
sé, et les acteurs mirent beaucoup de zèle et de gaieté à célébrer la
mémoire
du premier poète comique. » Vous avez lu : « Beau
ileau et Brossette, édit. Laverdet, p.515. 10. Acte II, sc. 1. 11.
Mémoires
sur Molière, dans le tome II, p. l85-186, de la C
moires sur Molière, dans le tome II, p. l85-186, de la Collection des
mémoires
sur l’art dramatique. 12. Mémoires sur Molière,
p. l85-186, de la Collection des mémoires sur l’art dramatique. 12.
Mémoires
sur Molière, dans le tome II, p. 185-186, de la C
moires sur Molière, dans le tome II, p. 185-186, de la Collection des
mémoires
sur l’art dramatique. 13. Ibid. 14. Ibid.
hèque de M. de Soleinne, rédigé par Paul Lacroix, t. I, p. 271. 21.
Mémoires
manuscrits, dans la collection de.M. de Tralage,
, 234. 69. Nous devons de la connaître, à notre ami Ch. Livet. 70.
Mémoires
, t. I, p. 127, 128. 71. Variétés historiques et
p. 127, 128. 71. Variétés historiques et littéraires, t. VII. 72.
Mémoires
, collect. Petitot, 2e série, t. LIII, p, 111. 73
III, p, 111. 73. Edit. in-S°, t. V, p. 267. 74. Lenet, ibid. 75.
Mémoires
de Cosnac, t. I, p. 142, 143. 76. Lémontey, Mona
c, t. I, p. 142, 143. 76. Lémontey, Monarchie de Louis XIV, Nouveaux
mémoires
de Dangeau, p. 182. 77. Le président Bouhier ten
ait quelques mots de la vérité, mais, comme toujours, il l’a altérée.
Mémoires
du comte de Rochefort, p. 144, 145. 78. Mémoire
s, il l’a altérée. Mémoires du comte de Rochefort, p. 144, 145. 78.
Mémoires
de Bussy-Rabutin, t. II, p. 245. 79. Voyez les M
, 145. 78. Mémoires de Bussy-Rabutin, t. II, p. 245. 79. Voyez les
Mémoires
de Choisy, collection Petitot, 2e série, t. LXIII
vre Etudes littéraires et morales de Racine, 2e partie, p. 146. 81.
Mémoires
de Cosnac, t.1, p. 146. 82. Cette particularité
cartes à jouer, qu’il mettait dans sa poche pour cet effet. » 83.
Mémoires
de Choisy, collection Petitot, 2e série, t. LXIII
re L’Esprit dans l’Histoire. 86. Lettre du 9 septembre 1677. 87.
Mémoires
de Maurepas, t. II, p. 123, et Mélanges de Bois-J
. Page 47. 104. La Promenade de Saint-Cloud, par G. Guéret, dans les
Mémoires
de Bruys, t. II, p. 211. 105. Voyez l’abbé de Ch
me idée, que Voltaire fît sa comédie du Dépositaire. 106. Voyez ses
Mémoires
(collect. Petitot), p. 296, 444. 107. Nous ne tr
quand il vint à Paris, n’avait plus qu’à terminer sa pièce. Voir les
Mémoires
de L. Racine, 1747, in-12, p. 40. 124. Voir une
able. 139. Voir, pour ce fait qu’on n’a pas remarqué jusqu’ici, les
Mémoires
du président Hénault. Paris, Dentu, 1855, in-8, p
156. Chorerii adversariorum de vita sua libri III, p. 135 dans les
Mémoires
de la Société de statistique de Grenoble, année 1
trouvons également cité dans Les Réflexions sur la poésie et dans Les
Mémoires
sur la vie de Jean de Racine de Louis Racine de 1
tard, en 1662, on le trouve aumônier de la garnison de Dunkerque. Un
mémoire
qu’il rédigea sur l’état de la ville attira sur l
it, du talent naturel, et ce qui doit encore recommander davantage sa
mémoire
aux gens de lettres, peu d’hommes leur ont fait p
emplies de vers heureux. Ce qui le prouve, c’est, qu’ils sont dans la
mémoire
de tous ceux qui fréquentent le spectacle. Bonifa
on opinion au jugement des connaisseurs. Au mois de juin dernier, un
mémoire
de frais Pensa dans un cachot te faire mettre au
comme payer ses dettes ; tout cela est de la plus grande vérité. Le
mémoire
que présente Hector à M. Géronte, des dettes acti
t-une place. 169. Cette anecdote vient de l’ouvrage de La Serre, Les
mémoires
sur la vie et les ouvrages de Molière, 1734. On p
Fronde, elle regretta de voir son père s’y engager. Elle a laissé des
Mémoires
charmants sur cette folle et pittoresque Fronde.
er, et le bénéfice en devait être consacré à ce dessein. Une note des
Mémoires
de Lekain nous apprend que « la masse la plus pau
de la Comédie française, le 16 janvier 1871, en garderont à jamais la
mémoire
. On célébrait, dans Paris assiégé et bombardé, le
ter, dit M. F. Brunetière : « Les Grecs, enfants gâtés des filles de
Mémoire
, […] aimaient ces sortes de rapprochements qui ne
de l’abbé Daniel de Cosnac, depuis archevêque d’Aix, qui dit dans ses
Mémoires
: « Aussitôt que Mme de Calvimont (maîtresse du
de Clermont. Ce condisciple n’avait comme on le voit, conservé aucune
mémoire
de cette camaraderie juvénile qui avait dû être b
nom) ou d’Iris : sonnets, chansons, stances. Tout le monde a dans la
mémoire
les belles stances souvent citées : Marquise, si
inconnu qui s’était pris de passion pour Sganarelle, était doué d’une
mémoire
excellente ; après avoir assisté plusieurs fois à
res ; et, de son vivant, ce fut presque toujours cette copie faite de
mémoire
, et ornée de très médiocres arguments et sommaire
Le 26 août, ils firent leur entrée solennelle. On peut lire dans les
Mémoires
et dans les gazettes du temps le détail des fêtes
prédécesseur qui était le sieur Torelli, dont il voulait ensevelir la
mémoire
. La troupe, en butte à toutes ces bourrasques, eu
les reines et les dames de la cour dans le brillant appareil que les
Mémoires
nous décrivent. Le sieur Molière et sa troupe, ap
d nombre, par cela même que les Sganarelle étaient plus nombreux. Les
Mémoires
sont remplis d’héroïnes qui auraient pu jouer ce
rel. On se souvient peut-être du trait que rapporte Fléchier dans ses
Mémoires
sur les grands jours d’Auvergne : « M. Chéron, qu
e sur ce point : « Molière, dit-il, recevait des gens de qualité des
mémoires
dont on le priait de se servir ; et je le vis bie
l’on voit tant de monde à ses pièces ; tous ceux qui lui donnent des
mémoires
veulent voir s’il s’en sert bien ; tel y va pour
ensée… Après avoir fait Sganarelle et L’École des maris, il reçut des
mémoires
en telle confusion que, de ceux qui lui restaient
e théâtre : ce n’est qu’un amas de portraits détachés et tirés de ces
mémoires
, mais qui sont si naturellement représentés, si b
oire. » Les écrivains dramatiques savent ce que valent ces prétendus
mémoires
fournis par le public. Tout au plus pourrait-on a
e vieux médecin. On a vu, par l’extrait que nous venons de donner des
Mémoires
de Mme Campan, que ce dernier reproche n’est pas
quelque fait réel, sous une forme saisissante et qui se grave dans la
mémoire
. Ainsi l’anecdote de l’en-cas de nuit exprime d’u
lle avait auprès d’elle : il eût fallu y regarder de près et avoir la
mémoire
bien fidèle pour se rendre compte de la différenc
plus vrai qu’il n’est jour. Enfin elle eut son dernier écho dans un
Mémoire
pour le sieur Guichard contre Lulli, en 1676, tro
de l’acte de baptême, qu’il a été impossible de découvrir, a servi la
mémoire
du grand poète, et il a bien mérité des admirateu
ien, fils du grand Condé, celui qu’on appelle M. le Duc dans tous les
Mémoires
du temps. On n’a pas oublié ce que dit Saint-Simo
uvenir des événements les plus retentissants s’effaçait si vite de la
mémoire
des hommes, en ce temps-là comme aujourd’hui, que
but assez Pour, vers le soir, être en goguettes. On trouve dans les
Mémoires
pour la Vie de Chapelle, de Saint-Marc, beaucoup
ent proclamée, si l’on en croit ce que rapporte Louis Racine dans ses
Mémoires
; « Louis XIV ayant demandé à Boileau quel était
voulait voir, car c’est tout dire. Elle fit, par un heureux sort. De
mémoire
un si noble effort Et s’acquitta si bien du reste
le est rapportée par Grimarest et confirmée par Louis Racine dans ses
Mémoires
sur la vie de Jean Racine. Boileau, Lulli, de Jo
quantité presque incroyable. Aucune mort, si nous interrogeons notre
mémoire
, n’en lit naître un pareil nombre, et dans cette
ts sur ton théâtre comique, touchée aujourd’hui de ta mort, honore ta
mémoire
des regrets qui te sont dus : toute la France pro
itié en le renfermant dans les hautes régions. Chacun a présents à la
mémoire
ces vers trop célèbres de L’Art poétique : Étudi
éresse surtout par les côtés où elle touche à celle de Molière ; leur
mémoire
ne subsiste, pour ainsi dire, que par reflet ; s’
n la terre il publiera ta gloire, Et, laissant ici-bas un temple à sa
mémoire
, Son bûcher servira pour te faire un autel. Dès
es dons de la nature, une grande intelligence, un travail assidu, une
mémoire
imperturbable, et surtout ce talent si rare de se
te, 1e année, p. 142. 20. Voyez Le Moliériste, septembre 1884. 21.
Mémoires
de Daniel de Cosnac, archevêque d’Aix, publiés pa
1660. 63. « Mais qu’attendre d’un homme qui tire toute sa gloire des
Mémoires
de Guillot-Gorgeu qu’il a acheté de la veuve.” (P
ors. 71. Le même mot, sous une forme un peu différente, est dans les
Mémoires
sur la vie de Jean Racine, Louis Racine, édition
de Jean Racine, Louis Racine, édition de Lausanne, 1747, p. 121 72.
Mémoires
de Mme Campan. Anecdotes du règne de Louis XIV.
Molière et frère de sa femme ; son beau-frère… » 80. L’auteur de ce
Mémoire
n’est pas conséquent avec lui-même : il appelle A
soudre. » 177. Avocat alors en renom. 178. Page 120, note 1. 179.
Mémoire
des principaux actes de vertu qu’une personne de
ble, dont ses détracteurs ont tiré une conséquence offensante pour sa
mémoire
. Cette lettre disait entre autres choses : « Le r
madame de Maintenon fut exclusivement le triomphe de ses charmes. Les
Mémoires
du duc de Saint-Simon138 nous apprennent que les
s XIV, deux ans plus tard que l’époque où nous sommes arrêtés dans ce
mémoire
. « Madame de Maintenon, » dit madame de Genlis,
. Daniel et de Huet, du Voyage du monde de Descartes, et des nouveaux
Mémoires
pour servir à l’histoire du Cartésianisme. Mais i
iques, et il avait mis en vers les belles descriptions de Lucrèce. » (
Mémoires
sur la vie de Molière, en tête de l’édition d’Aim
il fait croire à Cassandre qu’une maladie a totalement fait perdre la
mémoire
à son fils. Lélio apprend que Flaminia est fille
Ses extravagances sont mises par Arlequin sur le compte du manque de
mémoire
, ce qui amene des situations très comiques. Le vé
de Choisy selon Pierre Bonvallet. Ensuite, chez Pierre Louis dans ses
Mémoire
en 1747. Pour Bonvallet, cette anecdote est authe
nchir les limites. 263. Nous avons trouvé cette anecdote dans Les
Mémoires
de Louis Racine. La voici : M. Puy-Morin, qui fu
e de Molière, qui devait ainsi rentrer dans tous ses droits ; mais la
mémoire
des comédiens, ce singulier mécanisme que les plu
omédiens de ce monde, qu’une seule et même façon de retenir dans leur
mémoire
, la prose ou le vers. Ce que le premier a déclamé
effaçables. Plus elles vieillissent et plus elles font tache dans ces
mémoires
obstinées. Un Comédien-Français eût appris plus f
nner ses polissonneries : « J’aimais fort à danser, dit-elle dans ses
Mémoires
, et celle qui l’aimait autant que moi, était made
êques de France ont négligé d’instituer la plus petite cérémonie à la
mémoire
du grand Bossuet, et c’est à peine si les sacrist
cle amoureux et dévot, puis elfe meurt comme une sainte, laissant une
mémoire
respectée, et se plaçant, par la vérité de son am
armée brodée, en manchettes et en galons, que nous avons vue dans les
Mémoires
du chevalier de Grammont. Le roi est absent, made
irait inspiré ! Ce qui veut dire : — Voilà un moine qui a bien lu les
mémoires
que se prépare à écrire le duc de Saint-Simon. D
a manière. Toutes les manières sont bonnes à Don Juan : » Mallefille,
Mémoires
de Don Juan. 29. « Comme la science, comme la
de caché derrière les vapeurs du lointain ? Il faut le savoir ! » Les
Mémoires
de Don Juan.
. Voilà, en peu de mots, ce qu’il est nécessaire d’avoir présent à la
mémoire
, pour comparer la piece de Moliere avec les deux
quand est-ce que vous m’avez battue ? car pour moi je n’en ai aucune
mémoire
. Comment, perfide ! répondit Berlinguier, ne nous
nt point arrêtées. Le Marquis. Oh ! il faut de la raison par-tout. Un
mémoire
de huit années n’est pas encore mûr. Il faut comm
voir l’argent à la main. Le Tailleur. N’appellez-vous pas le vieux un
mémoire
de huit années ? Le Marquis. Non vraiment : cela
llente comédie. La première scène du premier acte,où Argan compte ses
mémoires
; la cinquième, où il propose à sa fille de se ma
ne à Valère : au troisième acte, la troisième, où Hector présente son
mémoire
à Géronte ; la sixième des créanciers (imitée du
l’on produit que ce que l’on emprunte des autres par le secours de la
mémoire
… Le geste et l’inflexion de voix se marient toujo
Un des traits les plus plaisants de ce rôle qui nous reviennent à la
mémoire
est celui de ce capitan à qui l’on reprochait d’a
sieurs fois, s’aperçut qu’elle était restée presque en entier dans sa
mémoire
; il y retourna encore une fois pour achever de l
t la force du motif qui a porté les éditeurs à le faire. Enfin, si la
mémoire
de Neufvillenaine a pu le tromper pour quelques e
oigné de la répugnance à croire cette anecdote, peu honorable pour la
mémoire
de Chapelle et même pour celle de Molière. Elles
oire plus réelle à l’égard de la littérature, qui, à en juger par ses
Mémoires
, semble avoir attiré beaucoup moins son attention
er plus haut que Henri IV, nous trouvons que ce roi, de peu généreuse
mémoire
, pensionnait déjà des gens de lettres : exemple s
eu suspecte : c’est MmeCampan qui, la première, l’a racontée dans ses
Mémoires
, publiés en 1822, un siècle et demi après la mort
causer la mort. Le duc de Saint-Simon, dans une de ses notes sur les
mémoires
de Dangeau, sous la date du 10 mai 1690, reproche
5, nous voyons leur chef écroué au Châtelet. Je ne mentionne que pour
mémoire
un court passage de la troupe sur une troisième s
s qu’il comporte. Par-là s’explique la fréquence de ses emprunts — sa
mémoire
étant chargée des œuvres d’autrui, — sa facilité
jouer devant le prince… Cette anecdote, que nous connaissons par les
Mémoires
de Cosnac, montre du moins la fausseté de la lége
lé à de semblables misères et de pareilles hontes, lui en épargner la
mémoire
? On se révolte, et l’on a raison, à la seule pen
les dures, les impitoyables paroles de Bossuet qui nous reviennent en
mémoire
, comme si Bossuet les eut proférées au lendemain
erve si bien les mots et les tournures de jadis. En troisième lieu sa
mémoire
de comédien lui fournit tout naturellement le voc
te d’accusation formel et détaillé qui pèse le plus lourdement sur la
mémoire
d’Armande, à la Fameuse Comédienne. C’est un peti
à l’Amour le langage délicieusement précieux qui est dans toutes les
mémoires
. Mais cette déclaration voilée ne suffit pas au p
le porta dignement le deuil de son mari, elle assura le respect de sa
mémoire
, elle contribua grandement à empêcher la ruine du
bole touchant du génie de Molière ; la veuve ne voulait qu’honorer la
mémoire
de son mari par un acte de bienfaisance, mais la
t ajouter à l’honneur de l’un et de l’autre que, dans leur ménage, la
mémoire
de Molière fut entourée non-seulement de « respec
l le prendre de son beau côté ? C’est de gaieté de cœur insulter à la
mémoire
d’un galant homme. L’Auteur détaille assez la Com
r en cet endroit que l’Auteur manque de matière, et que le donneur de
mémoire
ne s’est pas oublié. Cependant l’aventure du Mini
ons naturelles. Saint-Simon dit de lui, dans une de ses notes sur les
Mémoires
de Dangeau : « Comédien plaisant, salé, mettant d
sans doute d’une scène qui l’est fort peu53. Tout le monde a dans la
mémoire
la réflexion par laquelle Molière termine la préf
critiques qui ont été faites contre les comédies de Moliere, & de
mémoires
instructifs sur la vie & les ouvrages du même
rs. Le vent qui passe emportait l’air et la chanson. Heureusement, la
mémoire
des comédiens, non moins que le souvenir des spec
une puérile invention, une anecdote toute récente. Consignée dans les
mémoires
de madame Campan, en vain vous en chercheriez la
oires de madame Campan, en vain vous en chercheriez la trace dans les
mémoires
de M. le duc de Saint-Simon, et dans les souvenir
1. Conséquences du règne de François Ier , formant le 3e volume des
Mémoires
pour servir à l’Histoire de Louis XII et François
ourt fut un très grand comédien et un très mauvais sujet. Suivant des
mémoires
du temps, où il ne paraît pas calomnié, il aimait
uyé de ses contemporains, et que l’on fait encore tous les jours à sa
mémoire
, celui d’avoir nommé Boursault en plein théâtre.
uvrages, et d’autant d’actions honnêtes qui recommandent également sa
mémoire
, était encore au dernier rang des écrivains, quan
quatre ans après, en 1668. Le fameux comte de Grammont, le héros des
mémoires
. dont Hamilton, son beau-frère, est l’auteur, ava
démêler avec lui avant qu’un long espace de temps l’ait effacé de sa
mémoire
. Cela est vrai ; mais Moliere, dans le même cas,
1667. Cette lettre, qui serait un effort prodigieux d’attention et de
mémoire
, si elle n’était plutôt le produit tout naturel d
aire des altérations de texte qui pussent paraître des infidélités de
mémoire
. Dix-huit mois s’écoulèrent sans que Molière obtî
ons un peu plus sérieusement ce que l’abbé de Choisy raconte dans ses
Mémoires
. Suivant cet abbé, un des hommes les mieux inform
t en quittant le théâtre, afin de laisser son caractere gravé dans la
mémoire
du spectateur. Les bons Auteurs y ont rarement ma
s confirmée. Elle avait trente-cinq ans en 1676, et, comme disent les
Mémoires
de Madame, une grosse vilaine taille , qui rappe
moins bon. Il y a des maladies qui nous font perdre partiellement la
mémoire
. Nous nous souvenons nettement de certaines chose
mais tous les caractères de la bête seront entièrement sortis de leur
mémoire
: bonne occasion pour la logique. Voici à peu prè
, je euz de peur pour plus de cinq solz… Pantagruel avait capacité de
mémoire
à la mesure de douze bottes d’olives : voilà le
, qui sont plus parfaites. Les comédies d’un maître nous remettent en
mémoire
celles d’un autre maître, et les comédies d’une é
t guère. » Henri IV ne connut que ce premier volume. On voit dans les
Mémoires
de Bassompierre, que le roi s’en faisait faire la
les femmes stériles les suspendaient à leur cou par un ruban. 31.
Mémoires
du comte de S…, t. III, p. 21.
e. « … Les fermes, les bois, les champs, les ruisseaux m’ont remis en
mémoire
plusieurs vers de la Fontaine ; mais ce ne sont p
tespan. « M. de Montespan, écrit mademoiselle de Montpensier dans ses
Mémoires
, M. de Montespan, qui est un homme fort extravaga
chap. i. 421. Taine, Ibid. 422. Voyez page 32. 423. Saint-Simon,
Mémoires
. 424. La Feuillade. 425. « Il ne suffit pas de
Lettre sur les affaires du théâtre. 428. Dates données par Roederer,
Mémoire
pour servir à l’histoire de la société polie. 42
441. Louis Moland, ibid. 442. Date donnée par M. Roederer. 443.
Mémoires
de Mademoiselle, tome VI, p. 82. 444. Si ma mèr
451. Louis Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages. 452. Roederer,
Mémoire
pour servir à l’histoire de la société polie. 45
, s’est changé en une source de larmes. » Un sonnet est consacré à la
mémoire
d’Isabelle Andreini, la mère de l’auteur. L’ouvra
tantôt pour leur cousine. » 96. Edition de 1778, t. I, p. 95. 97.
Mémoires
, t. XI, p. 216.
ses autres mérites814. » Il est inutile de citer autrement que pour
mémoire
, sauf quelques points où elles se trouvent par ha
fit ; mais il fut un honnête homme et un chrétien philosophe, dont la
mémoire
est honorable. Il n’y a que l’ignorance, l’aveugl
es forment partout la patrie ; et je m’instruis à respecter en eux la
mémoire
de nos pères. Septembre 1852. I. Molière
e au moins le récit de sa vie rendre chère à tous, en sa personne, la
mémoire
de tant d’hommes qui, malgré leurs tristesses, n’
avait, sur tous ces hommes, des anecdotes qu’il racontait à ravir. La
mémoire
de l’oncle Budé lui était restée si chère qu’il v
semble le bien et le mal. Les vers de Cléante étaient dans toutes les
mémoires
, circulaient de bouche en bouche, et faisaient qu
ient le calme à son âme. Théocrite, Virgile, Horace lui revenaient en
mémoire
; il improvisait alors en italien, en espagnol, e
on intention ait été de faire de ses pièces, à proprement parler, des
mémoires
; il ne voulait que faire des comédies ; mais qui
que plus vive. En présence de son théâtre fermé, brochures, libelles,
mémoires
, satires, sermons, mandements et chansons se croi
e Bourgogne. Il manquait d’air, de liberté, d’espace ; il manquait de
mémoire
. Être obligé d’apprendre, par cœur, le dialogue é
es routes et dans le Café des Comédiens. Ces braves gens ont gardé la
mémoire
de Rosambeau ; de cette vie abandonnée à l’heure
ot qui parle), j’ai vu rire un comédien hors de la scène, je n’ai pas
mémoire
d’en avoir jamais vu pleurer un. Cette sensibilit
t, qu’à la longue, et à force d’enregistrer des grands hommes dans sa
mémoire
, la mémoire se fatigue ; elle oublie tantôt ce ch
ongue, et à force d’enregistrer des grands hommes dans sa mémoire, la
mémoire
se fatigue ; elle oublie tantôt ce chef-d’œuvre e
use : Roscius ! Comtat ! Fleury ! (et encore on lui a fait écrire des
Mémoires
à ce pauvre Fleury !) oh ! alors l’immortalité de
ourquoi cette image à la Falstaff, ce capitaine Paroles me revient en
mémoire
, à propos de comédie et de comédiens, mais puisqu
savez-vous comme il l’appelle ? Il l’appelle du plus grand nom que sa
mémoire
lui fournisse. — Lady Capulet, c’est le nom de la
e théâtre ses souvenirs lui revinrent en foule ; il retrouva toute sa
mémoire
des beaux jours ; il redevint le gai compagnon de
-même, étaient une comédie ; disons mieux, c’est une comédie comme le
Mémoire
de Beaumarchais contre M. l’avocat-général Bergas
tuffe s’est échappé, justement assez à temps pour couvrir de fange la
mémoire
de Molière. Ainsi peu à peu cette comédie joyeuse
M. de Vaulabelle était en prose, et fut le bienvenu, grâce au peu de
mémoire
du parterre, qui ne sait pas que M. de Boissy ait
suivent à outrance ; M. Dimanche, lui-même, se hasarde à apporter son
mémoire
. Tout au rebours du tailleur de Moncade qui a tou
qui a touché trois fois, de trois dames masquées, le montant du même
mémoire
, M. Dimanche ne sait pas comment est fait l’argen
e-là partie, plus rien n’est reste de la comédie d’autrefois. 30.
Mémoires
, correspondance et œuvres inédites de Diderot. —
e ses quatre passions. 36. Un mot d’arlequin me revient toujours en
mémoire
, à propos de ces comédiens, plus ou moins grands
it avec une pareille cour ! combien d’originaux prirent place dans sa
mémoire
! Quelle foule de travers fut enregistrée sur ses
esprit ne lui eût point été associé, voulut du moins faire siéger sa
mémoire
dans l’enceinte où se réunit sa société. Cette be
a figure pleine, mais extrêmement pâle. Si nous en voulons croire les
Mémoires
manuscrits de M. de Tralage, Brécourt aimait avec
bien ; c’est un des plus beaux endroits de la vie d’un homme dont la
mémoire
doit lui être chère. » Un organiste de Troyes, n
a que l’emprunteur prenne les hardes, nippes, bijoux dont s’ensuit le
mémoire
, & que ledit prêteur a mis, de bonne foi, au
été possible ». Cléante. Que veut dire cela ? La Fleche. Ecoutez le
mémoire
. « Premiérement, un lit de quatre pieds, à bande
n une femme mariée qui fait l’amour avec un autre homme. L’Auteur des
Mémoires
sur les ouvrages de Moliere, imprimés en 1733, es
treint. Vous savez qu’il est mort prématurément. Il n’a pas laissé de
mémoires
; il n’a pas laissé de correspondance ; on n’a de
sont deux fois la même pièce, ou même une seule pièce, si bien que la
mémoire
fourche quelquefois en les citant et met volontie
je veuille réduire les devoirs de leur profession à l’exercice de la
mémoire
. Je crois avec tous les hommes de bonne foi que p
tous les hommes de bonne foi que pour jouer Arnolphe ou Chrysale, la
mémoire
la plus excellente ne suffit pas : la méditation
i, est un disciple de Molière. Il l’avoue hautement lui-même dans ses
Mémoires
; et lorsque, entrant en France, il franchit le V
pable de réflexion sérieuse, c’est qu’il n’a pas plus d’esprit que de
mémoire
. Il a été, comme les enfants, ravi de revêtir un
d’un homme qui cherche à se rattraper, qui s’en veut de ses fautes de
mémoire
, et qui consulte son valet de l’œil pour se remet
e visage. Aussi n’emportons-nous pas de la représentation, dans notre
mémoire
, une physionomie très distincte et très vivante.
e la situation. Vous vous rappelez la scène, elle est dans toutes les
mémoires
. Et si elle n’est pas présente à votre souvenir,
toute pleine de scènes étincelantes, qui sont restées dans toutes les
mémoires
; l’ensemble est manqué. Je ne parle pas de la co
nfiance repose sur des faits si petits, qu’ils sont échappés de votre
mémoire
. L’impression seule en est restée, d’autant plus
à. Vous ne vous rappelez aucun fait probant qui soit resté dans votre
mémoire
; c’est un sentiment d’invincible confiance qui s
étaient si petits, si familiers, si humbles, qu’ils ont disparu de la
mémoire
; ils étaient si personnels en même temps, si acc
omme des merveilles, les quelques menus faits qui lui reviennent à la
mémoire
: Tartuffe lui a donné de l’eau bénite à la porte
L’un de mes lecteurs, dans une lettre qui affecte la longueur d’un
mémoire
, a pris la peine de noter un par un tous les chan
tail vous fera comprendre la différence. Vous avez tous présente à la
mémoire
, la fameuse tirade du second acte, où Chrysale, p
naire ? Si vous l’avez oublié, la lettre qui suit vous le remettra eu
mémoire
. Je viens de la recevoir ; elle est de Coquelin c
tre revues avec plaisir, même alors que sera définitivement abolie la
mémoire
des mœurs qu’il a peintes. Marivaux plaira toujou
ès, je recevais la lettre, je ferais peut-être mieux de dire le petit
mémoire
qui suit. Je le donne tout entier, parce qu’il es
paraît, quand on entreprend une étude de ce genre. Effaçons de notre
mémoire
tout ce qu’ont dit, et de Marivaux et de Sylvia,
avoir dix-huit ans ! et que le vers délicieux de Molière remonte à la
mémoire
des vieux de l’orchestre : Et je me ressouviens
ance avec des chefs-d’œuvre qui étaient en grande partie tombés de la
mémoire
. C’est ce que je fis en recevant les deux volumes
onsoler. Le goût est ici entièrement perdu. Ce Beaumarchais, dont les
mémoires
sont si jolis, est déplorable dans Le Barbier de
t il a parsemé ses pièces, et dont quelques-unes sont dans toutes les
mémoires
; que c’est lui qui le premier a inauguré un dial
ntiments répandus dans le public. Ils sont trop présents à toutes les
mémoires
pour que j’insiste sur ce point. Eh bien ! cette
avart dont j’ai encore, après tant d’années, le souvenir présent à la
mémoire
: c’est qu’elle fut toute pétillante d’aperçus in
r & le tue. Il passe devant son tombeau, & pour insulter à sa
mémoire
, il invite sa statue à dîner : elle y vient. Enfi
moyens n’est pas toujours bien observée. La premiere qui s’offre à ma
mémoire
est le Rendez-vous, comédie en un acte & en v
eillards. Leur expérience se rencontre avec ses observations, et leur
mémoire
avec son génie. Il observait beaucoup ; il y étai
puisqu’ils n’ont pas fait tout ce que je voulais. » On voit dans les
mémoires
de Madame, que madame de Ludres finit par se reti
différents accessoires de la scène première : la bourse de jetons, le
mémoire
de l’apothicaire monsieur Fleurant, la sonnette,
Fauteuil de Molière, à crémaillère et couvert en peau noire. Pour
Mémoire
, parce qu’il n’a pas de prix. Pourquoi, puisq
saient, grâce à Armande et à cette sorte de bienfaisance posthume, la
mémoire
de Molière20. » Le cimetière Saint-Joseph : voil
s. Le Baron Denon avait, au plus haut point, — et cela se voit ! — la
mémoire
du cœur. « Avocat, ah ! passons au déluge !… » a
e. Nous en trouvons une nouvelle preuve, et plus concluante, dans les
Mémoires
de son frère, Charles Perrault. Lorsque, au premi
ce elle-même ou du canevas, quelques fragments de correspondances, de
mémoires
, de romans du temps pourraient élucider la questi
ue : JULIE. On sait bien mieux vivre à Paris dans ces hôtels dont la
mémoire
doit être si chère. Cet hôtel de Mouhy, madame, c
ot les documents souvent discutables désignés sous le nom impropre de
Mémoires
, ou encore de Manuscrits de Tralage. — La parenté
aujourd’hui à la bibliothèque nationale (Note de M. B. Fillon). 42. (
Mémoire
fourni, en vue d’une nouvelle édition de Moreri,
on et se complètent chaque jour : le Cardinal de Retz et Molière. Les
Mémoires
de Saint-Simon viennent de commencer, et deux vol
e littéraire d’un si grand jour qu’elles pourraient être appelées les
Mémoires
de la littérature française. Les notices biograph
pas survécu longtemps à son jeune collaborateur, et n’a pu payer à sa
mémoire
le juste hommage qu’il se promettait de lui rendr
t-elle surtout excellé dans les œuvres essentiellement mondaines, les
mémoires
, les correspondances, les maximes, la comédie. La
yrano parvint à se faire admettre parmi les disciples de Gassendi. Sa
mémoire
et son intelligence le firent profiter en peu de
e fut logée dans La Grange, nous dit l’abbé Daniel de Cosnac dans ses
Mémoires
, elle proposa d’envoyer chercher des comédiens. C
que la physionomie du personnage soit demeurée dès ce jour-là dans la
mémoire
du futur auteur du Tartuffe. L’hiver de 1653 fut
e l’abbé de Cosnac. « Je trouvai autour de lui, dit celui-ci dans ses
Mémoires
, beaucoup de gens devant lesquels il faisait fort
que le 2 juin. Cette suspension était à la fois un hommage rendu à la
mémoire
d’un vieux camarade qui comptait un frère et une
x-mêmes. Il ne fallait, pour servir à ces entretiens, ni bon sens, ni
mémoire
, ni la moindre capacité ; il fallait de l’esprit,
n moins souvent encore dans un monument historique du même temps, les
Mémoires
du cardinal de Retz. Nous devons citer surtout, p
rédécesseur, qui était le sieur Torelli, dont il voulait ensevelir la
mémoire
. La troupe, en butte à toutes ces bourrasques, eu
per de la galante communauté, nous devons dire que si, selon quelques
Mémoires
du temps, Louis XIV avait eu un caprice pour made
dont le génie immortel offusquait toujours leur basse envie, dans un
mémoire
imprimé à l’occasion d’un procès que soutint Lull
royaux, connus sous le nom des Plaisirs de l’Île enchantée, dont les
mémoires
du temps tracent les tableaux les plus brillants,
e les apothicaires de ces deux villes pour empiétement de droits. Les
mémoires
qui furent publiés de part et d’autre à cette occ
t exactement leurs traits. Il est aussi ridicule qu’injurieux pour la
mémoire
de deux grands hommes de penser un seul instant q
la duchesse de Longueville ». L’abbé de Choisy nous apprend dans ses
Mémoires
que Molière, en traçant son principal rôle, eut e
cture. Cet examen raisonné, que l’auteur anonyme donne comme écrit de
mémoire
après la représentation, offre un extrait d’une s
ns voulu démontrer l’injuste rigueur de celle-ci ; c’est parce que la
mémoire
de l’auteur d’Émile mérite et obtient sans cesse
er à Pignerol. Louis XIV donna le sujet de cette pièce à Molière, les
mémoires
du temps s’accordent à l’attester : mais lui pres
de la femme ne diminuait en rien l’estime que Louis XIV avait pour la
mémoire
du mari, il ordonna secrètement à Harlay de Champ
et.) 36. « Mais qu’attendre d’un homme qui tire toute sa gloire des
Mémoires
de Guillot Gorju, qu’il a achetés de sa veuve, et
n’a pris place que longtemps après dans les Œuvres de Molière. 73.
Mémoires
sur Madame de Sévigné, par Walckenaer, 2e partie,
est nécessaire, car elles nourrissent des légendes qui plaisent à la
mémoire
, au risque de déformer l’image d’un auteur, d’en
p. 18 Le fameux Comte de Grammont, dont le Comte Hamilton a écrit les
Mémoires
, a fourni à Molière l’idée de son Mariage Forcé.
, sachant que Molière travaillait à cette Comédie, lui porta un ample
Mémoire
de toutes les hypocrisies de l’Abbé Roquette.
rètement Lauzun (1681) dont elle se sépara bientôt. Elle a laissé des
Mémoires
. (Le Petit Robert des noms propres 2007). 25.
ravailla pour les fêtes de la cour en 1664 notamment et collabora aux
Mémoires
du roi, adressé à son fils. Sa femme composa une
, il avait gagné l’amitié de Condé, de Boileau, de Mmede Sévigné. Ses
Mémoires
« sont les souvenirs d’un homme heureux, dont la
olence, Et vous souvenez bien des choses d’importance ; Il faut de la
mémoire
à qui sait bien mentir, N’oubliez pas les noms de
blic, et s’acquit par là cette haute réputation qui doit éterniser sa
mémoire
. Toutes ses Pièces n’ont pas d’égales beautés, ma
i avait vu représenter la pièce à Paris, osa se charger de refaire de
mémoire
l’œuvre de Molière. Avec Diafoirus et fils, Argan
édiens, disait Niccolo Barbieri, étudient beaucoup et se munissent la
mémoire
d’une grande provision de choses : sentences, con
variées : je vais donner la mienne, telle que je l’ai risquée dans un
mémoire
lu à l’Institut : Que faut-il entendre par tradit
tre à l’extrait informe qu’on nous donne de cette pièce. Cependant ma
mémoire
me sert assez bien pour conseiller à nos Gros-Ren
tant dans ce rôle, a mérité d’être appelée la servante de Molière. Ma
mémoire
me sert encore assez bien, pour que je puisse dir
tromper d’un seul mot, les douze vers que lui a dit Valère ; il a la
mémoire
heureuse, va me dire un plaisant : il est vrai ;
arelle eût, du moins, l’air de chercher, l’air de faire travailler sa
mémoire
, et la crainte scrupuleuse d’oublier une syllabe
la comédie des Philosophes et du poème de la Dunciade, dit, dans ses
mémoires
littéraires : « Molière abusa un peu de la vengea
terre, quelques Laflèche prennent des lunettes pour lire à Cléante le
mémoire
de son usurier ; rien ne nous dit que Laflèche so
, et ces deux vers, du Roi de Cocagne, s’offriront naturellement à la
mémoire
: Pour me plaire il faisait tout ce qu’il pouvai
madame de Villarceaux ; la voici telle qu’elle est rapportée dans les
Mémoires
de Ninon de l’Enclos. « Madame de Villarceaux, j
i par M. Royez, libraire à Paris, m’avertit que Art…, de folliculaire
mémoire
, lui avait fait cette honnête proposition. J’aime
informations de 1650, faites sur la conjuration publique. » Voyez les
mémoires
de Retz. S’il n’est pas de l’invention de Molière
ur Laporte m’a raconté, que dans Marivaux et dans Molière, lorsque la
mémoire
des comédiens était [220] en défaut, ils avaient
range, au camp devant Lille, où étoit le Roi, pour lui présenter le41
mémoire
qui est imprimé à la tête des différentes édition
de celui qu’il regardoit comme son fils. On n’a point inséré dans ces
mémoires
les traditions populaires, toujours incertaines,
léxion, tien, mon ami, en voilà une autre. On ne peut mieux finir ces
mémoires
, que par ces vers de Despréaux.74 Avant qu’un
ni une locution douteuse, sans les relever. 26. Page pénultième des
Mémoires
de Dumaurier, citée dans le Ducatiana, ire parti
e source. La Chaussée a trouvé sa Mélanide dans un roman intitulé les
Mémoires
de Mademoiselle Bontems. Je le répete, lisons tou
espere que Finette N’aura pas oublié que je suis libéral. Finette. Ma
mémoire
, Monsieur, n’est pas toujours bien nette : C’est
c’est le préjugé à la mode, Qu’on me cite des pièces historiques, des
mémoires
particuliers qui caractérisent mieux les désordre
▲