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1 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
Lettre écrite à Mr de ** sur le livre intitulé, la Vie de Mr de Molière. Je ne fais
ticle. Peut-être ne serez-vous point content de mon jugement ; car le Livre sur lequel vous voulez que je le porte, a ses Par
dans celui-ci. Apparemment que l’Auteur n’a eu intention de faire son livre que pour des Gens d’antichambre, et pour le menu
; que ne suivait-il son exemple ? En vérité, il répugne en ouvrant ce Livre , de lire : La Vie de Monsieur de Molière. Si l’Au
vous faire remarquer toutes les expressions hardies qui sont dans ce Livre  ; il en est tout rempli, et je crois, Monsieur, q
ur, vous en trouverez beaucoup de cette force-là. Il me paraît que ce Livre n’a point d’autre ordre que celui des temps ; mai
téressants. Dans une espèce de Préface qui sert de commencement à ce Livre , l’Auteur s’étonne qu’on n’ait point encore donné
re les gens qui s’amusent de peu de chose. Mais dans tout le corps du Livre , il n’y a rien qui fasse paraître Molière aussi g
uelques endroits ; et je jurerais que ce quelqu’un est Baron : car ce Livre est autant sa Vie que celle de Molière : et ce qu
ui en fit défendre la représentation. Le mystère est répandu dans son Livre depuis le commencement jusques à la fin : c’est u
se passe dans toute l’Europe. Et le jugement que l’on en fait dans ce Livre -ci ne cause aucune altération à sa réputation : e
s cette conversation ? Ces deux amis se querellent sans cesse dans ce Livre , Molière mésestime toujours Chapelle, et cependan
cène du Courtisan Extravagant n’est point un morceau à mettre dans un Livre , elle n’est bonne que pour une Comédie ; elle est
enti par avance cette objection, y répond modestement à la fin de son Livre . Un tel Ouvrage, dit-il, est au-dessus de ma port
sûrement les personnes que l’Auteur a cachées. Nous voici à la fin du Livre , où l’Auteur nous dit qu’il a assez fait connaîtr
Mais l’Auteur ne l’a pas su apparemment, et il a mieux aimé faire un Livre plus court, et ne point mentir ; et moi, je serai
errement dont il aurait eu de quoi faire un volume aussi gros que son Livre , et qui aurait été rempli de faits fort curieux,
la Vie de Molière. Je ne suis point entré dans une Critique exacte du Livre  ; je vous ai dit seulement ma pensée. D’autres Cr
le bon ou le mauvais d’un Ouvrage, je ne voudrais pas répondre que ce Livre n’eût son mérite pour le plus grand nombre ; il e
 ; on s’occupe à les deviner ; cela suffit pour faire dire : Voilà un Livre excellent, pour exciter la curiosité, pour faire
e de Molière telle que l’Auteur nous la promet au commencement de son Livre , je ne l’ai point trouvée, le Livre ne m’a point
la promet au commencement de son Livre, je ne l’ai point trouvée, le Livre ne m’a point plu. Je me suis rabattu sur l’expres
de Monseigneur le Chancelier, cette Lettre écrite à M. de *** sur le Livre intitulé, la Vie de M. de Molière ; je n’y ai rie
2 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
olière, dans le tableau de la comédie ; à la Bibliothèque bien peu de livres du xviie  siècle. On m’apportait souvent des port
ne vois qu’un œil rond, un nez démesuré, « un arpent de gueule, » une livre supérieure en demi-cercle, tout un visage de marc
rda l’honneur de sa protection et le titre de ses comédiens, avec 300 livres de pension pour chaque comédien. La troupe de Mon
Joseph, et qu’à mesure qu’il y en aura, jusqu’à vingt ou trente mille livres au plus, ils soient employés en acquisition d’hér
ez Madeleine, il n’y avait pas moins de dix-sept mille huit cent neuf livres un sou, « en espèces de louis d’or, pistoles et p
Item. Un chaudron, un poêlon, etc., le tout cuivre jaune, prisé six livres , ci… vilt. Item. Une platine de cuivre jaune et
ans couvercle, le tout cuivre rouge et tels quels, prisé ensemble six livres , ci… vilt. Item. En pots, plats, écuelles, assie
es et autres ustensiles d’étain sonnant, la quantité de soixante-cinq livres et demie pesant, prisé la livre dix sols, revenan
onnant, la quantité de soixante-cinq livres et demie pesant, prisé la livre dix sols, revenant audit prix à la somme de trent
risé la livre dix sols, revenant audit prix à la somme de trente-deux livres quinze sols, ci… xxxiilt xvs. Item. Une tenture
f aunes sur deux aunes deux tiers de haut, prisé trois cent cinquante livres , ci… iiis llt. Item. Quatre feuilles de paravent
em. Quatre feuilles de paravent garnies de serge grise, prisées trois livres , ci… iiilt. Item. Quatorze tabourets de bois de
de laine blanche, etc., le tout tel quel, prisé ensemble trente-cinq livres , ci… xxxvlt Item. Un grand cabinet d’ébène avec
r ses pieds, garni de plusieurs tiroirs par le dedans, prisé soixante livres , ci… lxlt. Item. Un tour de lit de serge de Mouy
re, de cuivre rouge et un petit fourneau de fer, prisé ensemble trois livres , ci… iiilt. Item. Un autre matelas garni de toil
et six couvertures de chaires, de serge jaune : prisé ensemble quatre livres , ci… ivlt. Item. Une moyenne paire de chenets de
t. Item. Une moyenne paire de chenets de cuivre jaune ; prisé quatre livres dix sols, ci… ivlt xs. Item. Six coffres de bahu
is de leurs serrures fermant à clef, tels quels, prisés ensemble huit livres , ci… viilt. Item. Quatre petites cassettes, tell
ne veste de brocart d’or dont la dentelle les fausse, prisée soixante livres , ci… lxlt. Item. Un corps de paysanne, de toile
t, et la jupe de satin vert de Gênes, garnie de guipure, prisé trente livres , ci… xxxlt. Item. Une autre jupe de satin vert,
c, garni de dentelle d’argent, prisé le tout ensemble soixante-quinze livres , ci… lxxvlt. Item. Un déshabillé complet, couleu
habillé complet, couleur aurore, garni d’argent fin, prisé deux cents livres , ci… iiclt. Item. Un autre déshabillé de satin d
dentelles d’argent tant plein que vide, prisé la somme de trois cents livres , ci… iiiclt. Item. Un juste-au-corps de satin ve
de taffetas couleur de cerise ; prisé ensemble la somme de cinquante livres , ci… llt. Item. Une chemise de gaze douce, un co
affetas vert, garnie de dentelle d’argent fin, prisé quatre-vingt-dix livres , ci… iiiixxxlt. Item. Une toilette de velours co
velours couleur de cerise, garnie de dentelle d’argent, prisée trois livres , ci… iiilt. Item. Un déshabillé de brocart gris
n déshabillé de brocart gris rayé, garni de dentelle noire, prisé dix livres , ci… xlt. Item. Un manteau de taffetas noir, tel
, ci… xlt. Item. Un manteau de taffetas noir, tel quel, prisé quatre livres , ci… iiiilt, Item. Un déshabillé de taffetas gri
Un habit de drap d’Espagne noir, une jupe d’entre-deux, prisé trente livres , ci… xxxlt. Item. Une jupe et une tavayolle de s
viilt. Item. Un jupe de brocart incarnat, blanc et noir, prisée huit livres , ci… viiilt. Item. Une jupe de tabis jaune, Rami
abis jaune, Ramie de six petites dentelles d’argent fin, prisée douze livres , ci…xiilt. Item. Une jupe de brocart double, à g
ilt. Item. Une jupe de brocart double, à grand ramage, prisée quinze livres , ci… xvlt. Item. Quatre corps dérobés de différe
tes couleurs, garnis de dentelles or et argent, prisés ensemble vingt livres , ci… xxlt. Item. Deux tonnelets et deux paires d
le d’argent blanc et vert, garnis de dentelle, prisés ensemble trente livres , ci… xxxlt. Item. Une casaque, un pourpoint de t
xlt. Item. Une casaque, un pourpoint de toile d’argent, prisé quinze livres , ci… xvlt. Item. Une robe de toile coton rouge e
ne robe de toile coton rouge et le bonnet doublé de drap, prisé trois livres , ci… iiilt. Item. Un habit couleur de feu, garni
garnies de galon or et argent, et un carquois, prisés ensemble douze livres , ci… xiilt. Item. Une jupe de taffetas blanc cha
hes pendantes de velours noir, garnies d’argent, prisés ensemble sept livres , ci… viilt. Item. Quatre draps de grosse toile d
em. Quatre draps de grosse toile de chanvre, prisés ensemble quatorze livres , ci… xiiiilt. Item. Quinze chemises à usage de l
anvre, dont sept blanches et huit jaunes, prisées ensemble vingt-cinq livres , ci… xxvlt. Item. Deux jupes de toile de coton b
petit paquet de mouchoirs, tabliers et autre menu linge, prisé quatre livres , ci… iiiilt. Nous voici à la vaisselle d’argent.
e-cinq marcs une once, prisé le marc, à sa juste valeur, à vingt-sept livres , revenant audit prix à la somme de… ixcxlviiilt x
em. Une bague en rose garnie de onze petits diamants, prisée quarante livres , ci… xllt. Item. Une autre bagne de diamant carr
Item. Une autre bagne de diamant carré et six à côté, prisée trente livres , ci… xxxlt. Item. Une autre bague garnie d’une p
xxxlt. Item. Une autre bague garnie d’une pierre bleue, prisée, huit livres , ci… viiilt. Item. Une autre bague améthyste, pr
huit livres, ci… viiilt. Item. Une autre bague améthyste, prisée six livres , ci… vilt. Item. Une autre bague améthyste, pris
e six livres, ci… vilt. Item. Une autre bague améthyste, prisée huit livres , ci… viiilt. Item. Un autre bague d’or en laquel
ons aux deniers comptants. On a compté dix-sept mille huit cent neuf livres un sol, en espèces de louis d’or, pistoles et piè
erine de Brie. Mais il ne croyait plus aux joies de ce monde, un beau livre déchiré, peut-être déjà trop lu, qu’il allait fer
des comédiens du roy. Édouard Thierry a très bien dit que c’était le livre d’or de la Comédie française tenu par son véritab
« diable à quatre », selon le mot de Regnard. Elle ne savait rien des livres puisqu’elle ne savait pas lire ses rôles, mais co
squ’elle ne savait pas lire ses rôles, mais comme elle savait bien le livre de la vie ! Sur ce chapitre, il n’y avait pas à l
e M. et Mlle Beauval pour une part et demie, à la charge de payer 500  livres de la pension du sieur Bejard (qui s’était retiré
res de la pension du sieur Bejard (qui s’était retiré à Pâques), et 3  livres chaque jour de représentation à Chasteauneuf, gag
faisait alors tout son domestique, quoiqu’il eût près de trente mille livres de rentes. Cette femme était dans la coulisse opp
registre de La Thorillière, avec cette mention : « À Philipotte, une livre dix sols » pour avoir figuré le personnage muet d
s en broderie d’or et d’argent, comme nantissement d’une somme de 291  livres tournois. II y a loin de là, sans doute, à une av
n, et c’est pour cela seul que j’ai feuilleté et refeuilleté bien des livres et bien des manuscrits depuis vingt-cinq ans. Lor
imitrius, 11e et dernière fois pour l’auteur et leCocuimaginaire, 316  livres . » C’était par égard pour l’ombre de Geneviève Bé
fin lettré qui s’appelle Henri Lavoix, dans son excellentissime petit livre sur La Première Représentation du Misanthrope ?
3 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
magasin de bonnes et de mauvaises choses que l’on a dites contre mon Livre , pour en former sa Critique. J’y vais répondre po
n que des termes vifs et bien placés pourraient lui donner contre mon Livre . Mon Censeur s’étonne que j’aie intitulé mon Ouvr
Privilège, où le Roi parle définiment et en Maître, et le titre d’un Livre qui n’est déterminé pour personne en particulier.
s, plus jaloux de la matière, que du style, aiment mieux faire un bon Livre exprimé faiblement, que de risquer de lui donner
nseur aurait été le premier à se récrier, et à dire : oh ! l’ennuyeux livre  ! Molière a eu des aventures, il fallait nous les
ent satisfait par cette Réponse à la Critique que l’on a faite de mon Livre , si je n’avais affaire à un Censeur difficile, du
on coup d’essai. Où est donc la contradiction dans cet endroit de mon Livre  ? Au contraire j’y trouve, ce me semble, la natur
; vous qui sur ma parole en ignorez les principes, quoique dans votre Livre vous nous ayez étalé fastueusement de grands mots
xécute, il touchera le Spectateur. Il ne m’est pas permis de faire un Livre pour les lui détailler, j’ennuierais mon Lecteur 
ttre. Toutes ces observations, et les règles que l’on trouve dans les livres qui ont traité de la déclamation, exécutées gross
t pas. Si elle est vraie, quel ornement son nom aurait-il donné à mon Livre , où je ne parle ni de Mécaniques, ni de Finances 
ment je ne sais pas pourquoi il lui a pris fantaisie de critiquer mon Livre avec si peu de précaution, avec si peu de conduit
extravagant, il manque de goût, « Cela, dit-il, n’est pas bon dans un Livre  ; c’est un morceau de Pièce tout fait pour le Thé
le, qu’il soit défendu de mettre de l’action, et du caractère dans un Livre  ; c’est le plus sûr moyen de plaire, et d’attache
les a prises, j’avoue que ce ne serait pas le plus bel endroit de mon Livre  ; mais tout le monde n’a pas jugé comme lui, et e
en est bien informé, puisqu’il avance qu’il y aurait de quoi faire un Livre fort curieux. J’ai trouvé la matière de cet Ouvra
blanc, cela excite la curiosité, et fait bien souvent le mérite d’un Livre . Pour moi, ajoute-t-il, débarrassé de tout préjug
fense : Non que je présume absolument avoir bien travaillé : mais mon Livre n’est point ce me semble, aussi méprisable que mo
e ; il lui a donné un agrément de plus : il est de l’essence des bons Livres d’avoir des Censeurs. Celui qui m’attaque ne doit
4 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
rait suffi pour subvenir à la dépense projetée, ne s’éleva qu’à 3,600 livres ou environ. Il fallut qu’à la honte des riches et
s aides. Leur service était seulement de trois mois, avec trois cents livres de gages et trente-sept livres dix sous de récomp
lement de trois mois, avec trois cents livres de gages et trente-sept livres dix sous de récompense. Le commerce recherchait e
rt que Marie Cressé laissa à chacun de ses enfants, fut de cinq mille livres , bien qu’elle n’eût reçu que 2200 livres de dot.
s enfants, fut de cinq mille livres, bien qu’elle n’eût reçu que 2200 livres de dot. Le commerce du tapissier avait donc grand
venir de la traduction du jeune Poquelin dans le passage du quatrième livre sur l’aveuglement de l’amour, qu’on retrouve sur
de son père. Le 6 janvier 1643, il reçoit de son père la somme de 630 livres , tant de ce qui lui pouvait appartenir de la succ
er et payer au profit des autres de la troupe la somme de trois mille livres tournois pour les dédommager incontinent et dès q
au mois de juin 1641 et le 1er août 1643, des sommes de 172 et de 160 livres . On le voit dans un autre acte signer Georges La
l Gallois leur loua ce jeu de paume moyennant un loyer annuel de 1900 livres . C’était alors une grosse somme. Ces jeunes gens
la troupe. L’acte du 9 septembre est relatif à un prêt de onze cents livres fait par messire Louis Baulot, prêt destiné tant
ubourg Saint-Germain se réglait par une dette de deux mille six cents livres , ainsi qu’il résulte des actes publiés par M. Eud
r, maître chandelier, et faute de payement de la somme de cent quinze livres d’une part, et de vingt-sept livres d’autre part.
yement de la somme de cent quinze livres d’une part, et de vingt-sept livres d’autre part. Le lieutenant civil Dreux d’Aubray
en l’acquit de son fils aîné et à sa prière, la somme de trois cents livres , par promesse du 24 décembre 1646, et Léonard Aub
dans son caractère ; Molière est l’homme qui sait où il va et qui ne livre rien au hasard. En entrant dans la carrière du th
r avait faite, qui est qu’on leur avait promis une somme de six cents livres et le port et la conduite de leurs bagages. Cette
r le comte, il leur fut accordé pour le dédommagement la somme de 500 livres payées et avancées par la susdite ville d’Albi, r
: les consuls d’Albi s’étaient contentés de réduire d’une centaine de  livres la somme réclamée par les comédiens. Les noms des
nt à courir le quinzième de ce présent mois de juin, à raison de sept  livres tournois par jour, y compris les dimanches et fêt
tant en icelui temps, qui fait en tout la somme de cent quarante-sept livres  ». Dufresne avait donné des arrhes ; il demande l
resne et autres comédiens de sa troupe la somme de soixante et quinze livres pour avoir, du mandement de messieurs les capitou
février 1655, passé à Montpellier, comme caution d’une somme de 3200 livres due à Madeleine Béjart15. Il y est qualifié de no
olland19, qu’elle avait un bagage pesant soixante-huit quintaux (6800 livres ), ce qui est un poids respectable. Il résulte de
qui n’est qu’à une dizaine de lieues d’Albi, moyennant la somme de 85 livres . Les consuls acquittent cette somme, pour satisfa
ierre de Reich de Pennautier, constatant l’allocation de quatre mille  livres « aux comédiens qui ont servi pendant trois mois 
conçue : « J’ai reçu de Monsieur Pennautier la somme de quatre mille livres ordonnées aux comédiens par Messieurs des États.
Pézenas ce 17e décembre mille six cent cinquante. Molière. Pour 4000 livres . » Les dépenses du compte ou comptereau dont cet
e peintre, et le sieur Joachin, qui fait l’alchimiste, n’ont, dans le livre du ballet, qu’un couplet pour eux tous faisant al
la société ?) place le 18 février une somme de trois mille deux cents livres . Le 18 février 1655, Antoine Baratier, conseiller
imart », devoir à Madeleine Béjart la somme de trois mille deux cents livres « pour les causes et à payer au terme y déclarés 
e 1er avril, elle fit à la province du Languedoc un prêt de dix mille livres . Notez que, si l’on veut avoir la valeur actuelle
Raymond (M. Galibert)31, on peut conclure qu’une somme de cinq mille livres fut assignée par le prince de Conti à ses comédie
C’est bien probable, puisque nous avons vu qu’une allocation de 4000 livres leur fut accordée pour la session de 1650-1651 à
50-1651 à Pézenas, puisque nous allons voir qu’une allocation de 6000 livres leur sera attribuée pour la session de 1655-1656
ouragements et l’approbation du prince, qui s’était diverti à lire ce livre pendant les entr’actes de la comédie. La troupe d
t. « M. de P…, dit-on38, conserve une quittance de la somme de trente livres faite au nom de Molière par un voiturier qui l’av
e la session des états, qui furent clos le 22 février 1656, six mille livres fut accordées à la troupe par le bureau des compt
de six mille lires. » Joseph Béjart toucha le même jour quinze cents livres pour l’ouvrage dont nous avons parlé. Sa quittanc
: « Sur ce qui a été représenté que le sieur Béjart avait présenté un livre à l’assemblée, très curieux et utile pour toute l
1654-1655, en fournissaient le montant aux comédiens, à savoir : 1250 livres en espèces (il n’est pas sûr que ces 1250 livres
ens, à savoir : 1250 livres en espèces (il n’est pas sûr que ces 1250 livres furent payées) et 3750 en une lettre de change ti
ement engagé. On trouve ce roman raconté tout au long dans un mauvais livre ayant pour titre : La Fameuse comédienne ou l’his
 pour titre : La Fameuse comédienne ou l’histoire de la Guérin 40. Ce livre , dirigé contre la veuve de Molière, bas, graveleu
aux contes scandaleux et aux perfides calomnies. Or, voici ce que ce livre nous apprend : Mlle Duparc, dont la beauté brilla
nte. C’est le 16 avril que lui fut votée une allocation de cinq cents livres , accompagnée d’une imitation à n’y plus revenir ;
s verbal dit : « A été accordé au sieur Béjart la somme de cinq cents  livres , pour un livre qu’il a fait des qualités, armes e
 A été accordé au sieur Béjart la somme de cinq cents livres, pour un livre qu’il a fait des qualités, armes et blasons de me
arrêté qu’à l’avenir il ne serait fait aucune considération sur aucun livre qu’il pourra présenter aux états, s’il n’a reçu o
657, à l’effet de poursuivre le remboursement de l’obligation de 3200 livres souscrite par Antoine Baratier, à Montélimart, le
t à Molière la permission d’ouvrir son théâtre, à charge de verser 90 livres pour les pauvres de l’hôpital, et de ne prendre q
ne devait pas exiger plus de 2 sous pour chaque chaise, à peine de 50 livres  d’amende. « C’étaient à peu près, dit M. H. Chard
l’Aumône générale de Lyon accordèrent, le 6 janvier, un secours de 18 livres tournois à une demoiselle Vérand, veuve d’un cont
pauvres de l’Hôtel-Dieu de Rouen : l’une le 20 juin, qui produisit 77 livres 4 sols et 7 deniers ; l’autre le 21 août, qui pro
77 livres 4 sols et 7 deniers ; l’autre le 21 août, qui produisit 44 livres 15 sols. Ces représentations avaient-elles été do
ie du marché. Cette location a lieu moyennant la somme de trois mille  livres par chacun an, « payable aux quatre termes de l’a
lque chose de beau à ce que je viens de dire, lire comme lui tous les livres satiriques, prendre dans l’espagnol, prendre dans
ntrait dans les plus petits détails, ainsi que nous le voyons dans un livre de la fin du siècle : L’art de prononcer parfaite
né, Béjart cadet, Duparc, Dufresne, Debrie et Croisac (gagiste à deux livres par jour), et de Mlles Béjart (Madeleine), Duparc
", lequel accordait à chacun des comédiens une pension de trois cents livres , « Nota, dit La Grange, que les trois cents livre
ion de trois cents livres, « Nota, dit La Grange, que les trois cents  livres n’ont point été payées ». Elle obtint en même tem
mmédiatement avec les comédiens italiens, à qui il donna quinze cents livres pour jouer les jours extraordinaires, c’est-à-dir
tums, formant des brigues, sollicitant et intriguant pour étouffer un livre ou une pièce de théâtre, comme elles eussent fait
e Aussi pour joindre à sa gazette ; Item, par libéralité, Cinq cents livres de gravité À l’un et à l’autre Corneille, etc. i
nal. » Sa Majesté ou plutôt Mazarin gratifia la troupe de trois mille  livres  ; ce fut peut-être aussi dans cette occasion que 
ula avant que son théâtre fût prêt, elle gagna cinq mille cent quinze livres . Nous trouvons les renseignements plus précis dan
le maître d’hôtel du roi), à la place Royale, Le Dépit amoureux, 200 livres . Une visite chez M. le maréchal d’Aumont, 220 liv
it amoureux, 200 livres. Une visite chez M. le maréchal d’Aumont, 220 livres , Une visite chez M. Fouquet, surintendant des fin
chez M. Fouquet, surintendant des finances, L’Étourdi et Le Cocu, 500 livres . Une visite chez M. le maréchal de La Meilleraye,
chez M. le maréchal de La Meilleraye, Le Cocu et Les Précieuses, 220 livres . Une visite chez M. de La Bazinière, trésorier de
Une visite chez M. de La Bazinière, trésorier de l’Épargne, idem, 300 livres . Une visite chez M. le duc de Roquelaure, L’Étour
ez M. le duc de Roquelaure, L’Étourdi et Le Cocu, 25 louis d’or : 275 livres . Une visite chez M. le duc de Mercœur, Le Cocu im
livres. Une visite chez M. le duc de Mercœur, Le Cocu imaginaire, 150 livres . Une visite chez M. le comte de Vaillac, L’Hérit
le comte de Vaillac, L’Héritier ridicule (de Scarron) et Le Cocu, 220 livres . POUR LE ROI. Le samedi 16 octobre, au Louvre, Le
n temps dans un grand cabinet). Sa Majesté gratifia la troupe de 3000 livres . Le 23 novembre, un mardi, on a joué à Vincennes,
l’intervalle qu’elle n’a point joué en public, cinq mille cent quinze livres . » La salle du Palais-Roval s’ouvrit le 20 janvi
n tardivement : Le premier écrivain qui l’ait lancée, dit-il dans son livre sur Le Théâtre français sous Louis XIV, est Mme C
sociétaire. On s’accorde à évaluer ses revenus à environ trente mille livres , ce qui représentait alors plus de cent mille fra
pistoles et un habit de théâtre qui avait coûté deux mille cinq cents livres . « On a toujours remarqué, dit Grimarest, qu’il d
l’air dont il faut vivre Instruit mieux, à mon gré, que ne fait aucun livre . Elle aime à dépenser en habits, linge et nœuds ;
selle sa fille, la veille de leurs épousailles, la somme de dix mille livres tournois, dont un tiers entrera en ladite future
époux a doué et doue sadite future épouse de la somme de quatre mille livres tournois de douaire préfixe pour une fois payé, à
d. lui a payé et d’elle confesse avoir reçu ladite somme de dix mille livres que ladite avait promis bailler et donner audit s
trat de mariage que Marie Hervé donne à sa fille une dot de dix mille livres tournois. Là-dessus on se récrie : Où la veuve Bé
uture épouse. L’argument ne vaut rien. En admettant que les dix mille livres vinssent de Madeleine, il est fort possible que l
érée. Mais ce qui est plus probable, c’est que cette dot de dix mille livres , que Molière reconnaît avoir reçue par quittance
sur l’ordre du roi, ils payèrent aux Français la somme de deux mille livres pour moitié des frais d’établissement de la salle
un fol de sa marotte. Toujours lisait, toujours étudiait ; et d’iceux livres fit un petit extrait pour lui, auquel étaient déc
de lumières que les autres. » Le roi fit inscrire Molière pour mille livres sur la liste des pensions accordées aux littérate
nte. Le vers de Sganarelle, Le Guide des pêcheurs est encore un bon livre , passa pour une irrévérence, car ce traité ascét
gr le prince de Condé, pour y jouer Tartuffe en cinq actes. Reçu 1000 livres . » Et dans l’édition des œuvres de Molière de 16
en Sorbonne ; l’autre, un sieur de Rochemont, avocat au parlement. Le livre du premier, dirigé contre Le Tartuffe, est intitu
temps d’en faire pénitence publique et solennelle toute sa vie. » Le livre du sieur de Rochemont a pour titre : Observations
t, on ne s’en serait pas tenu là, on aurait fait courir dans Paris un  livre infâme que l’on mettait sur le compte de Molière 
ième acte du Misanthrope, lorsqu’il dit : Il court parmi le monde un livre abominable, Un livre à mériter la dernière rigueu
ope, lorsqu’il dit : Il court parmi le monde un livre abominable, Un livre à mériter la dernière rigueur, Dont le fourbe a l
e curé de Saint-Barthélemy fut présenté à Louis XIV, et lui remit son livre du Roi glorieux au monde. C’est afin de parer ce
rère de lui céder ses comédiens, leur assura une pension de six mille livres , et la troupe de Monsieur devint dès lors (août 1
t, et la demanda à Monsieur. Sa Majesté donna en même temps six mille livres de pension à la troupe, qui prit congé de Monsieu
s de juin et de juillet 1664 : « Le 6 juin, à La Fontaine, portier, 3 livres  ; le 17, au portier blessé, 12 livres ; le 29, po
juin, à La Fontaine, portier, 3 livres ; le 17, au portier blessé, 12 livres  ; le 29, pour le portier blessé, 9 livres. » À la
e 17, au portier blessé, 12 livres ; le 29, pour le portier blessé, 9 livres . » À la représentation suivante, qui eut lieu, no
La Thorillière inscrit encore : « Au frère de La Fontaine, blessé, 11 livres . » En outre, la troupe prit le soin de faire veni
e mois. Enfin, en regard de celle du 24, on lit : « Pour l’exempt, 20 livres  ; pour le procureur, 20 livres. » Cela semble in
le du 24, on lit : « Pour l’exempt, 20 livres ; pour le procureur, 20 livres . » Cela semble indiquer un été orageux et tumult
20 mars 1661 : « Donné à Saint-Germain, portier, pour sa blessure, 55 livres . » Louis Béjart, l’Éguisé, qui était lui-même as
re supplice. On n’a, il est vrai, pour garant de ces aventures que ce livre scandaleux et diffamatoire dont nous avons déjà p
parlé : La Fameuse Comédienne ou Histoire de la Guérin ; et encore ce livre est-il pris sur ce point en flagrant délit de men
ment amoureux. La situation se dessinant ainsi on a pu tirer parti du livre de Fameuse comédienne, où les souffrances intimes
, d’ailleurs, on n’oserait plus prétendre. Aussi quelques pages de ce livre , qui ne méritait pas un tel honneur, sont-elles d
de Bourgogne. Molière payait ces pièces au vieux Corneille deux mille  livres , ce qui était alors un prix élevé. Nous les verro
dernier prêta à l’autre, le 14 décembre 1670, une somme de onze mille  livres , moyennant une constitution de rente de cinq cent
le livres, moyennant une constitution de rente de cinq cent cinquante livres , somme que Lulli employa à bâtir la maison qui fa
bus qui se couvrent du nom et du crédit de la dévotion, le combat que livre sourdement à la société civile et laïque ce qui e
t celui de Chambord, le Roi, l’a gratifiée de la somme de douze mille livres qui ont été partagées en douze parts, en comptant
onne dans ce divertissement. Il y était annoncé, pour ainsi dire ; le livre de ballet indique que le roi fait les personnages
quarante ans, prit sa retraite et reçut une pension annuelle de mille livres . L’acte, passé par-devant Me Levasseur, notaire,
ôlé. Il leur donna une part et demie, a la charge de paver cinq cents livres de la pension de Louis Béjart, et trois livres, c
ge de paver cinq cents livres de la pension de Louis Béjart, et trois livres , chaque jour de représentation, à Châteauneuf, ga
le droit de se promener dans le jardin. Le loyer annuel était de 400 livres . Moyennant 20 écus de plus, Molière eut une chamb
 voit dans l’inventaire après décès de Molière la mention de cent dix livres dues au défunt par la Raviguotte d’Auteuil, jardi
rticle le plus curieux de l’inventaire est l’article qui concerne les livres et qui est ainsi conçu : « Deux tomes in-folio in
’Horace. Dix-huit autres volumes in-8° et in-12. Prisés, ensemble, 30 livres . » Voilà tous ouvrages de poids. À moins que l’o
, les frais ordinaires s’élevèrent pour cette pièce au chiffre de 351 livres par jour. Voici un extrait de la délibération con
se sont montées à la somme de quatre mille trois cent cinquante-neuf  livres un sol. Frais ordinaires… En tout, 351 livres. Da
ois cent cinquante-neuf livres un sol. Frais ordinaires… En tout, 351 livres . Dans le cours de la pièce, M. de Beauchamps (c’é
compense, pour avoir fait le ballet et conduit la musique, onze cents livres , non compris les onze livres par jour que la trou
ballet et conduit la musique, onze cents livres, non compris les onze livres par jour que la troupe lui a données, tant pour b
éâtre, non plus que de l’argenterie et des bijoux prisés environ 3000 livres , elle laissait en deniers comptants une somme de
on 3000 livres, elle laissait en deniers comptants une somme de 17800 livres , qui représente a peu près 80000 francs de la mon
é Baudellet, tailleur et valet de chambre de la reine. Moyennant 1300 livres par an, Molière et sa femme avaient la jouissance
avoir écrit sur son registre la recette du vendredi 17 février, 1219 livres , ajoute : « Ce même jour, après la comédie, sur l
e foule du peuple, et l’on a fait distribution de mille à douze cents livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à chacun cinq s
donne une idée du grand luxe dont s’entourait Molière : treize cents livres  de lover par an pour son appartement de la rue Ri
lover par an pour son appartement de la rue Richelieu ; quatre cents livres pour son appartement d’Auteuil (il faut quadruple
mptueux, dans lequel le lit des époux entre en compte pour deux mille livres  ; deux cent quarante marcs d’argenterie, valant s
cent quarante marcs d’argenterie, valant six mille deux cent quarante livres . Les deux parties les plus curieuses de cet inven
elle qui concerne les habits de théâtre et celle ou sont énumérés les livres du défunt. La partie relative aux habits de théât
c une veste de satin doublée de ouate et un bas de saie, prisé quinze livres , ci XV l. Item. Un juste-au-corps et chausses de
ausses de drap d’Hollande noir, une paire de bas de soie ; prisés dix livres , ci X l. Item. Un juste-à-corps et chausses de d
ffetas noir, une paire de bas de laine et une d’estame ; prisé quinze livres , ci xv l. Item. Un juste-à-corps de rhingrave, d
tières et bas de soie, avec une garniture de satin ; prisé vingt-cinq livres , ci XXV l. Item. Une robe de chambre de brocart
chambre de brocart rayé, doublé de taffetas bleu : prisée vingt-cinq livres , ci XXV l. « On croit voir Molière dans la rue. d
ocart rayé. » On attendait d’importantes révélations de la liste des livres que Molière possédait dans sa bibliothèque ; on e
in-fol., à Paris. Antiquités romaines. Un vol. in-fol., à Paris. Un livre italien. in-fol., à Paris. Nul doute que bien de
à Paris. Un livre italien. in-fol., à Paris. Nul doute que bien des livres n’aient été omis par l’huissier-priseur. Comment
a fait le calcul suivant : Molière laisse en meubles, linge, habits, livres , argenterie, deniers comptant, etc., une valeur d
n 18000 l. Il est dû à la succession, en y comprenant les dix mille livres réclamées par la veuve aux héritiers Poquelin, un
séquent de 40000 l. Si donc le poète avait un revenu de trente mille livres par an, il était loin d’en posséder le capital. L
paration verbale à Mlle Molière en présence de témoins et à payer 200 livres pour dommages-intérêts et dépens ; et « Jeanne Le
de son premier mari. Elle prit sa retraite avec une pension de mille livres , le 14 octobre 1694. Dès 1688, l’auteur de La Fam
’apport de Madeleine Poquelin est évalué à près de soixante-six mille livres . « C’était, dit M. Soulié, dont les découvertes o
à Argenteuil, rue de Calais. M. Arsène Houssaye a extrait d’un petit livre anonyme : Pèlerinage aux saintes reliques d’Argen
genteuil, un passage relatif à la fille de Molière. L’auteur du petit livre raconte que, se promenant au bas des vignes avec
on revenu, dans l’année qui précéda sa mort, s’élevait à trente mille livres . Il désignait pour exécuteur testamentaire et lég
erait à croire qu’il les a exercées toutes. M. Castil-Blaze a fait un livre pour prouver que Molière connaissait à fond la mu
es et quel était le prix de chaque catégorie : Billet de théâtre : 5 livres 10 sous. Billet de loge : 5 livres 10 sous. Amph
catégorie : Billet de théâtre : 5 livres 10 sous. Billet de loge : 5 livres 10 sous. Amphithéâtre : 3 livres. Loges hautes :
livres 10 sous. Billet de loge : 5 livres 10 sous. Amphithéâtre : 3 livres . Loges hautes : 1 livre 10 sous. Loges du troisiè
e loge : 5 livres 10 sous. Amphithéâtre : 3 livres. Loges hautes : 1 livre 10 sous. Loges du troisième rang : 1 livre. Parte
3 livres. Loges hautes : 1 livre 10 sous. Loges du troisième rang : 1 livre . Parterre : 15 sous. Ces prix étaient, du reste,
prix des places de théâtre et des premières loges restait le même, 5 livres 10 sous. Mais la place d’amphithéâtre était porté
5 livres 10 sous. Mais la place d’amphithéâtre était portée de trois livres à 5 livres 10 sous ; les loges hautes, de 30 sous
0 sous. Mais la place d’amphithéâtre était portée de trois livres à 5 livres 10 sous ; les loges hautes, de 30 sous par person
es à 5 livres 10 sous ; les loges hautes, de 30 sous par personne à 3 livres  ; les loges du troisième rang, de 1 livre à 2 liv
e 30 sous par personne à 3 livres ; les loges du troisième rang, de 1 livre à 2 livres ; et le parterre, de 15 sous à 30 sous
par personne à 3 livres ; les loges du troisième rang, de 1 livre à 2 livres  ; et le parterre, de 15 sous à 30 sous. Tout cela
Au Petit-Bourbon, les recettes ne s’élevèrent jamais à plus de 1400 livres  ; ce chiffre fut seulement atteint le mardi 2 déc
emière représentation du Tartuffe (reprise du 5 février 1669), à 2860 livres  ; le jour de la cinquième représentation, à 2320
1669), à 2860 livres ; le jour de la cinquième représentation, à 2320 livres  ; le jour de la neuvième, à 2278 livres, La premi
quième représentation, à 2320 livres ; le jour de la neuvième, à 2278 livres , La première représentation du Malade imaginaire
ivres, La première représentation du Malade imaginaire produisit 1992 livres . Malgré la différence de la dimension des théâtre
aque soirée, pendant l’année théâtrale 1660-1661, n’étaient que de 42 livres  19 sous. Pendant l’année 1662-1663, ces frais mon
s 19 sous. Pendant l’année 1662-1663, ces frais montent par jour à 73 livres 4 sous. Ils vont augmentant encore suivant les ci
joue. Ainsi, les frais ordinaires de Psyché atteignent par jour à 351 livres . Les frais journaliers du Malade imaginaire, à ca
ade imaginaire, à cause de la musique, de la danse, etc., sont de 250 livres . Parmi les frais journaliers, à partir de 1662, o
les frais journaliers, à partir de 1662, on remarque une charité de 1 livre portée régulièrement à la dépense. Nous voyons, à
à la dépense. Nous voyons, à la date du 17 juin 1663, une somme de 25 livres inscrite comme donnée aux capucins. Était-ce une
en sortent ». Ils ont le premier soir, 15 février, 30 sous ; le 20, 7 livres  ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous
ont le premier soir, 15 février, 30 sous ; le 20, 7 livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 s
évrier, 30 sous ; le 20, 7 livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 livres 5 s
ivres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 livres 5 sous ; le 13, 30 sous ; le 15, 19 sous ; le 17,
ustins, grands augustins, touchent régulièrement, chaque communauté 3 livres par mois. Tous les dimanches, 18 sous sont inscri
rier 1673, et reste de ladite année : Jusques au 12 mars 1660 : 2995 livres 10 sous. Jusques au 1er avril 1661 : 2477 - 6 - J
avril 1672 : 4233 - 11 - Jusques au 21 mars 1673 : 4585 - 13 - 51670 livres 14 sous. Les conditions faites aux auteurs avaie
eçoit dans une chambrée (on appelait ainsi la recette d’un jour) 1660 livres et que la troupe soit composée de quatorze parts,
de quatorze parts, l’auteur, ce soir-là, aura pour ses deux parts 200 livres , les autres 60 livres, plus ou moins, étant levée
uteur, ce soir-là, aura pour ses deux parts 200 livres, les autres 60 livres , plus ou moins, étant levées par préciput pour le
insi, on donna à M. Gilbert pour La Vraie et la Fausse Précieuse, 550 livres  ; Le 19 décembre 1662, on donna à M. Boyer 100 de
livres ; Le 19 décembre 1662, on donna à M. Boyer 100 demi-louis (550 livres ) dans une bourse brodée d’or et d’argent pour la
e de Tonnaxare ; Le 4 mars 1667, à Pierre Corneille, pour Attila 2000 livres . Le 28 novembre 1670, au même, pour Bérénice, éga
0 livres. Le 28 novembre 1670, au même, pour Bérénice, également 2000 livres . Racine fut traité suivant l’autre méthode, mais
stre de La Grange, toucher, en décembre 1659 et en janvier 1660, 1000 livres pour Les Précieuses ridicules ; En juin, août et
pour Les Précieuses ridicules ; En juin, août et septembre 1660, 1500 livres pour Le Cocu imaginaire ; le 7 septembre, La Gran
M. de Molière pour Le Cocu en lui donnant pour la troisième fois 500 livres . » À la date de février 1661, pour Don Garde de
livres. » À la date de février 1661, pour Don Garde de Navarre, 968 livres  ; pour Les Fâcheux, 1100 livres (100 louis) en dé
1661, pour Don Garde de Navarre, 968 livres ; pour Les Fâcheux, 1100 livres (100 louis) en décembre 1661. À partir de 1662, c
que Molière n’avait pas touché pour ses droits d’auteur plus de 60000 livres  ; ce chiffre, du reste, si on l’examine relativem
e facilement à reconstituer ce revenu annuel d’une trentaine de mille livres qu’on s’accorde à attribuer à Molière dans les de
sur le quai de l’Escholle et porté en carrosse à Saint-Paul. Reçu 20 livres . » On manque de renseignements sur le mérite de
ion de toute la troupe a été mis, dit La Grange, à la pension de 1000 livres , et est sorti de la troupe. Cette pension a été l
n-Louis Citoys, sieur de la Richardière. Elles avaient ensemble trois livres chaque jour de représentation. Chose assez singul
elle prit sa retraite en 1692167. Elle eut du roi la pension de mille livres , et mourut le 3 février 1727, à l’âge de quatre-v
demi après cette représentation. Ses dettes montaient à plus de 20000 livres au delà de sa succession. Voici l’acte d’inhumati
1672 et finit au 21 mars 1673. Il se retira avec une pension de mille livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novemb
e donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille cinq cents livres , et il était presque tout neuf. Il assaisonna ce
it trouvés en possession de la faveur publique. » La troupe paya 800 livres aux comédiens italiens, qui allèrent s’établir à
s. Un brevet du 24 août 1682 lui assura une pension annuelle de 12000 livres . À quelque temps de là, lorsqu’il s’agit d’ouvrir
taire des biens meubles de Béjart l’aîné. Ils ne sont estimés que 348 livres 7 sols. Voyez Le Moliériste de juil­let 1885. Mai
XIV. 73. Le Théâtre français sous Louis XIV, Paris, Hachette, 1874, livre V, ch. 2. 74. Le Boulanger de Chalussay, Élomire
il 1663 au 6 janvier 1665. Ils constituent, pendant cette période, le livre de comptes de la troupe. Le premier registre (166
5 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
cle, a suffi pour populariser cette erreur, et dans le courant de son livre Voltaire a tout fait pour la fortifier. Sans dout
is XV était sincère, et ce n’est point par courtisanerie que, dans un livre publié à Berlin où il s’était réfugié, il exalte
Louis XV pour les œuvres de la pensée. Quoi qu’il en soit, ouvrez le livre de Voltaire ; vous y trouverez la plus singulière
t les premières faveurs qu’il reçut du roi, une pension de deux mille livres , — sa première réflexion, dit Brossette, fut un s
erons à rappeler que Chapelain s’y est fait la plus belle part, 3,000 livres , comme au plus grand poète français qui ait jama
(ainsi s’exprime ce document) ; que Corneille y est porté pour 2,000 livres , Molière pour 1,000 seulement. Vingt-deux écrivai
ort. Quant à l’historien Mézeray, on lui maintint la pension de 4,000 livres qu’il tenait de Mazarin, jusqu’au moment où, quel
ude, qu’il était prêt à passer l’éponge sur tous les endroits de son livre que l’on jugerait dignes de censure . Il paraît q
encouragé les débuts, à l’exception de Racine, qui y figure pour 800 livres  ; il n’avait produit alors que quelques vers de c
nt le chiffre le plus élevé, la dépense totale ne dépassa pas 100,000 livres , savoir : 53,000 livres pour les nationaux, 16,00
evé, la dépense totale ne dépassa pas 100,000 livres, savoir : 53,000 livres pour les nationaux, 16,000 pour les étrangers, et
semaine, pour stimuler leur activité, il fut réglé qu’une somme de 40 livres serait allouée pour chaque séance, soit 1 livre p
é qu’une somme de 40 livres serait allouée pour chaque séance, soit 1 livre par membre ; il est juste d’ajouter que les membr
nneur au moins à son goût, c’est que, tandis qu’il donnait sept mille livres à la troupe de Molière, il donnait à la troupe de
troupe de Molière, il donnait à la troupe de Scaramouche quinze mille livres de pension. Enfin, quand Molière meurt, c’est à p
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
e moi. Crispin. S’il venoit une ordonnance qui fît de l’Hercule 56 un livre évangélique, je crois que mon maître pourroit dev
ine. Son travail lui laisse-t-il assez de loisir pour lire de pareils livres  ? Crispin. Oh ! il faut savoir que mon maître a d
injures aux membres, & sur-tout à son mari ; mais il a lu dans un livre de politique qu’on doit compter jusqu’à vingt lor
t la ville dans un grand danger. Le Boug-mestre maudit sa charge, les livres où il a puisé sa manie ; & ne sachant plus où
t surement pas l’épithete de farceur. 56. C’est le titre d’un ancien livre de Politique, & dont on ne fait aucun cas. 5
d’un ancien livre de Politique, & dont on ne fait aucun cas. 57. Livre de Politique, en allemand, Europæischer Herold.
57. Livre de Politique, en allemand, Europæischer Herold. 58. Autre livre de Politique, en allemand, Politischer Nachtisch.
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. » pp. 53-56
eur aventure. Extrait du Cercle des Femmes. Emilie, jeune veuve, se livre toute entiere à son goût pour l’étude, ne s’occup
livre toute entiere à son goût pour l’étude, ne s’occupe plus que de livres , de conversations sur les sciences, & du soin
conjecturer à Emilie que son époux a passé les sombres bords, elle se livre toute entiere à la littérature. Sa maison est san
rance à sa femme sur sa conduite ridicule, lui ordonne de laisser ses livres , & de s’occuper dorénavant du soin de son mén
8 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [49, p. 81-82] »
tellement irrités par le Tartuffe, que l’on fît courir dans Paris un livre abominable, que l’on mit sur le compte de Molière
n content encore du tort que l’on me fait, Il court parmi le monde un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamn
de un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamnable, Un livre à mériter la dernière rigueur, Dont le fourbe a l
9 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
laré sa pièce innocente, et ajoutait : « Malgré tout cela, ou voit un livre composé par le curé de… qui donne hautement un dé
es calomnies que le curé de Saint-Barthélemy a fait imprimer dans son livre intitulé Le Roy glorieux au monde, contre la comé
’avoir rien à en modifier dans une édition nouvelle. Sommaire Livre premier. 1622-1661 1622-1641. Naissance de Po
caractère du chasseur ; M. de Soyecourt ; naïvetés de ce seigneur. Livre deuxième. 1662-1667 1662. Portrait d’Armande B
ition de Molière retarde la représentation du Sicilien à la ville. Livre troisième. 1667-1673 1667. Persécutions à l’o
le du maître de philosophie. La leçon de prononciation est tirée d’un livre de Cordemoy. Succès de mademoiselle Beauval dans
et expire entre les bras de deux sœurs de charité logées chez lui. Livre quatrième L’archevêque de Paris s’oppose à son
XIV sur le génie de Molière. Influence de Molière sur son siècle. Livre premier. 1622-1601 Presque tous ceux qui se so
obtint pour lui la survivance de sa charge, appointée de trois cents livres . C’était tout ce que les marchands croyaient alor
par ses voyages, dont le récit se lit encore avec intérêt, et par ses livres de philosophie, aujourd’hui tombés dans l’oubli ;
nvocation à Vénus, et de celle de Poquelin qu’un passage du quatrième livre sur l’aveuglement de l’amour, passage qu’il a adr
ération de son service pendant cette session une assignation de 5 000  livres sur le fonds des étapes de la province. Cette dél
e 2 millions pour concourir à l’entretien des armées du Roi et 60 000  livres pour son compte personnel, il ne fit pas revêtir
s de non-paiement. La convention porte quittance d’une somme de 1 250  livres , le quart de la créance, qui était probablement l
. Ils ne se virent réellement donner qu’une lettre de change de 3 750  livres à leur ordre, tirée par Cassaignes sur Dufort et
nchée relativement à l’Armorial du Languedoc de l’acteur Béjart aîné, livre dont la publication avait flatté la vanité des dé
avril 1657, par lequel ils allouèrent une gratification de cinq cents livres à l’auteur, ils déclarèrent qu’à l’avenir ils n’a
nneur de sa protection et le titre de ses Comédiens, avec trois cents livres de pension pour chaque comédien. » La Grange, qui
i est un chroniqueur minutieux, ajoute : « Nota : que les trois cents livres n’ont point été payées22. » On verra par d’autres
ent profiter ; ceux-ci eurent à lui compter une somme de quinze cents livres . Il fut convenu de plus que les Italiens conserve
, Béjart cadet, Du Parc, Du Fresne, De Brie, Croisac, gagiste, à deux livres par jour ; « Mesdemoiselles Béjart, Du Parc, De B
r, à Pâques suivant, on fit, en le congédiant, l’économie de ses deux livres par jour. Nous voici arrivé à la partie féminine
chacun d’entre eux ne s’éleva qu’à la moitié de cette même somme (775  livres environ), et cependant, si, dans cette dernière p
acle, n’entrait dans les frais de chaque représentation que pour sept livres dix sous. Mais l’affiche n’était pas toujours alo
ange que, le 10 août précédent, on avait « retiré sur la chambrée 100  livres pour M. Magnon, auteur ». Zénobie, jouée seule tr
ette, qui, avant Les Précieuses ridicules, n’avait jamais dépassé 393  livres , qui, à la première représentation de cette pièce
remière représentation de cette pièce, n’avait atteint encore que 563  livres , s’éleva à 1 400. Aussi Loret, dans sa lettre du
iétudes ; mais La Grange a inscrit plus tard : « Reçu deux cent vingt livres . » Plus heureux que sages ! Enfin la maréchale de
vée, les indemnisèrent à cette occasion par une somme totale de 5 115  livres , chiffre dans lequel les libéralités de Monsieur
bliothèque. « Monsieur, dit le Longueruana, n’a jamais eu au monde de livre que ses Heures, que Le Jay, son maître de chapell
M. le marquis de Richelieu donna à la troupe 80 pistoles d’or, ou 880  livres . — M. le surintendant donna 1 500 livres. » Le n
upe 80 pistoles d’or, ou 880 livres. — M. le surintendant donna 1 500  livres . » Le nom du trop fameux surintendant se rattach
deux siècles est resté sans rival, comme il avait été sans modèle. Livre deuxième. 1662-1667 J’ai vu beaucoup d’hymens,
lité de bel esprit, et a été couché sur l’état pour la somme de 1 000  livres . Sur quoi il fit un Remerciement en vers pour Sa
deux jours. » On trouve à la dépense extraordinaire du 12 juin sur le livre de comptes de La Thorillière : « Retiré par M. Du
tiré par M. Du Croisy pour la neuvaine des Capucins pour le Roi, sept livres . » Mais « le lundi ixe  juillet, dit La Grange da
les sentiments de Votre Majesté, malgré tout cela, dis-je, on voit un livre composé par le curé de Saint-Barthélemy qui donne
minativement de loin à loin dans les dépenses extraordinaires sur les livres de comptes pour journées et pour étrennes. L’art
vait fourni son nom au personnage qu’elle représentait. On lit sur le livre de La Thorillière, au 8 juin : « À Phlipote 1 liv
it. On lit sur le livre de La Thorillière, au 8 juin : « À Phlipote 1  livre  10 sous. » Ce rôle avait bien peu d’importance, m
t ensuite données de loin à loin, ne dut guère lui valoir plus de 500  livres . Lui fit-on en outre cadeau d’un bijou ou d’un ob
a Thorillière : « Pour achever de payer un orfèvre pour M. Racine, 24  livres . » « Le mardi 4 novembre, dit La Grange, on ne
en vers, dont j’ai vu deux ou trois stances du commencement du second livre , qui m’ont semblé fort justes et fort agréables.
ait composés non pas de suite, mais selon les divers sujets tirés des livres de ce poète, lesquels lui avaient plu davantage,
oir rien lu de plus utile ni de plus instructif à son gré, depuis les livres sacrés des prophètes. C’est un peu beaucoup ; mai
r l’auteur en attachant à sa personne, avec une pension de sept mille livres , sa troupe, qui jusque-là n’avait été que la trou
rsque quelqu’un d’eux tombait dans la maladie du siècle et faisait un livre , ce qui arrivait rarement. » Les distractions du
parmi ses prôneurs un M. de Saint-Gilles, qui offrit de parier mille livres en sa faveur. L’abbé Le Vayer accepta la gageure,
elle de M. de Corneille l’aîné, pour laquelle on lui donna deux mille livres , prix fait », dit La Grange. Robinet en rend ains
e vache, S’y remontre enfin à nos yeux Plus que jamais facétieux. Livre troisième. 1667-1673 Si Le Tartuffe n’était pa
édition du Dictionnaire étymologique de Ménage. L’un des chapitres du livre  IX de ce traité est intitulé « Des Truffes ou Tar
vinée ou surprise, car elle ne se dévoile pas d’elle-même, elle ne se livre à personne ; et La Harpe a bien su apprécier l’in
e chez les brachmanes. Voltaire donne la traduction d’un passage d’un livre des Indiens, écrit dans un langage que l’on parla
femme du barbier qui en est jaloux… Charron en sa Sagesse (ô le beau livre  ! il vaut mieux que des perles et des diamants !)
de Beauval83 pour une part et demie, à la charge de payer cinq cents livres de la pension dudit sieur Béjart, et trois livres
de payer cinq cents livres de la pension dudit sieur Béjart, et trois livres chaque jour de représentation à Château neuf, gag
récompense, pour avoir fait les ballets et conduit la musique, 1 100  livres , non compris les 11 livres par jour que la troupe
t les ballets et conduit la musique, 1 100 livres, non compris les 11  livres par jour que la troupe lui a données tant pour ba
e des rues Saint-Anne et Neuve des Petits-Champs, une somme de 11 000  livres , par un acte du 14 décembre 1670, récemment décou
te du 14 décembre 1679 : « Payé à M. Loyal, pour une signification, 1  livre 10 sous. » L’huissier de la troupe s’appelait don
chaque année chez l’auteur du Tartuffe une touchante hospitalité. Livre quatrième Le siècle de Louis, le siècle des be
tte populace ; elle n’hésita pas, et une somme de mille à douze cents livres changea ces dispositions tumultueuses. Ces mêmes
e foule de peuple, et l’on a fait distribution de mille à douze cents livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à chacun cinq s
es années de la vie de Molière, une moyenne de quatre mille six cents livres environ. Les frais de déplacement et de nourritur
ordé à dire que ses revenus se montaient à vingt-cinq ou trente mille livres , somme considérable au dix-septième siècle. Madem
94, époque à laquelle elle prit sa retraite avec une pension de mille livres . Retirée dans son ménage, elle y mena, disent les
llets de parterre de 15 à 30 sous, — des loges du troisième rang de 1  livre à 2, — des loges hautes (secondes) de 1 livre 10
du troisième rang de 1 livre à 2, — des loges hautes (secondes) de 1  livre  10 sous à 3 livres, — de l’amphithéâtre de 3 livr
de 1 livre à 2, — des loges hautes (secondes) de 1 livre 10 sous à 3  livres , — de l’amphithéâtre de 3 livres à 5 livres 10 so
es (secondes) de 1 livre 10 sous à 3 livres, — de l’amphithéâtre de 3  livres à 5 livres 10 sous. Les places de théâtre et de p
s) de 1 livre 10 sous à 3 livres, — de l’amphithéâtre de 3 livres à 5  livres  10 sous. Les places de théâtre et de premières lo
et de premières loges demeuraient toujours à leur prix ordinaire : 5  livres 10 sous. C’est ce que fait voir le registre de co
onfus lorsqu’Elle eut la bonté de vouloir lire d’un bout à l’autre le livre qu’Elle me commanda de Lui faire voir, et qu’Elle
précisément pour remplacer Du Parc. 27. La pistole valait alors onze livres . 28. Corneille, éloigné de la scène depuis l’éch
u 7 avril 1660, que le privilège avait été obtenu le 3 mars « pour un livre intitulé Le Procès des précieuses, avec le Dictio
mission expresse du Roi, scellée du grand sceau, sous peine de 10 000  livres d’amende, applicables à l’hôpital général, et con
chaise de Son Éminence. Sa Majesté gratifia la troupe de trois mille livres . » La Grange ajoute en marge : « Nota que le Roi
poète français qui ait jamais été, et du plus solide jugement, 3 000  livres . » 48. De Visé, dans Zélinde, ou la Véritable Cr
à M. de Beauchamp pour faire le ballet, cinquante louis d’or, ci 550  livres  » ; puis, en rapprochant ce Registre de celui de
egistre de celui de La Thorillière, on trouve : Pour bas de soie, 135  livres 15 sous ; pour escarpins, 45 livres ; au tailleur
on trouve : Pour bas de soie, 135 livres 15 sous ; pour escarpins, 45  livres  ; au tailleur, M. Baraillon, pour vingt et un hab
res ; au tailleur, M. Baraillon, pour vingt et un habits achetés, 253  livres  ; plus quatre autres, 66 livres ; plus pour solde
pour vingt et un habits achetés, 253 livres ; plus quatre autres, 66  livres  ; plus pour solde, 22 livres. Enfin, à la dépense
tés, 253 livres ; plus quatre autres, 66 livres ; plus pour solde, 22  livres . Enfin, à la dépense quotidienne extraordinaire f
dépense quotidienne extraordinaire figurent : neuf danseurs, pour 45  livres  ; douze violons, pour 36 livres ; puis un joueur
ire figurent : neuf danseurs, pour 45 livres ; douze violons, pour 36  livres  ; puis un joueur de clavecin, puis un hautbois, p
ière, à la date du 6 de ce mois de juin : « À La Fontaine, portier, 3  livres  » ; au 17 : « Au portier blessé, 12 livres » ; au
 À La Fontaine, portier, 3 livres » ; au 17 : « Au portier blessé, 12  livres  » ; au 29 : « Pour le portier blessé, 9 livres » 
 Au portier blessé, 12 livres » ; au 29 : « Pour le portier blessé, 9  livres  » ; et encore à la représentation suivante, qui n
de faire relâche le mardi 1er : « Au frère de La Fontaine, blessé, 11  livres  ». En outre, la troupe prit le soin de faire veni
nfin en regard des frais de celle du 24, on lit : « Pour l’exempt, 20  livres  ; pour le procureur, 20 livres ». 65. Lettre su
le du 24, on lit : « Pour l’exempt, 20 livres ; pour le procureur, 20  livres  ». 65. Lettre sur les Observations d’une comédi
cinquième représentation, donnée le mardi 24 février, produisit 2 390  livres . Les quinze représentations, du 15 février au 20 
eprésentations, du 15 février au 20 mars, valurent à la troupe 19 614  livres , soit, à la moyenne, 1 307 livres 12 sous par jou
0 mars, valurent à la troupe 19 614 livres, soit, à la moyenne, 1 307  livres 12 sous par jour, et à chacun des quatorze acteur
ze acteurs, pour sa part, en dehors des deux parts de l’auteur, 1 030  livres 10 sous, rémunération considérable pour cinq sema
ine, sur la liste soumise par Colbert au Roi, pour une pension de 800  livres  : chiffre énorme, si l’on tient compte du bagage
e et si l’on ne perd pas de vue que Molière n’y figura que pour 1 000  livres . 72. Fils de La Mothe le Vayer, mort en septembr
2566.) 76. La recette de la première représentation se monta à 2 860  livres  ; jamais spectacle n’avait fait encaisser pareill
du Palais-Royal. La part de chaque sociétaire fut, ce jour-là, de 208  livres 4 sous. Les recettes continuèrent à être considér
elle, qui n’avait été dans l’exercice clos à Pâques 1668 que de 2 606  livres 13 sous, se monta-t-elle dans l’année finissant à
13 sous, se monta-t-elle dans l’année finissant à Pâques 1669 à 5 477  livres 3 sous. Du 5 février au 9 avril, jour de la clôtu
énice, pièce nouvelle de M. de Corneille l’aîné, dont on a payé 2 000  livres  ». La première représentation du Bourgeois gentil
. La première représentation du Bourgeois gentilhomme produisit 1 397  livres , la seconde 1 260. La première de Bérénice s’élev
397 livres, la seconde 1 260. La première de Bérénice s’éleva à 1 913  livres 10 sous, la seconde à 1 669 livres. Les deux pièc
emière de Bérénice s’éleva à 1 913 livres 10 sous, la seconde à 1 669  livres . Les deux pièces ayant été jouées presque simulta
on dans la troupe de Molière. Elle fut successivement utilité à trois livres par spectacle, quand elle jouait, receveuse au bu
10
r avait faite, qui est qu’on leur avait promis une somme de six cents livres et le port et conduite de leurs bagages. Cette tr
le Comte, il leur fût accordé pour le dédommagement la fortune de 500  livres payées et avancées par la susdite ville d’Albi, r
e donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille cinq cents livres , et il était presque tout neuf. Il assaisonna ce
nous, une valeur inappréciable, et nous ne serions pas surpris que ce  livre très étudié et consciencieux attirât l’attention
gue à celui que fait Éliante se trouve dans Lucrèce (De Rerum natura, livre  IV) mais je suis persuadé que le trait de Mlle de
4 juillet 1673, il emprunte à la veuve de Molière une somme de 11 000  livres , que Lully remboursait, en premier paiement, sur
ui empruntait à sa belle-sœur, en 1673, une misérable somme de 11 000  livres . Dans tous les cas, en achetant la seigneurie, il
barrassé la ville, on y délivrait tous les ans un prisonnier (voir le livre de. M. Floquet sur le Privilège de Saint Romain).
outique et cour, faisant le coin de la rue des Estuvées, taxée à huit  livres . » Enfin, par une lettre conservée aux archives
faisant l’un des coins de la rue des vieilles « estuves » contre 1538  livres de rentes et 5600 livres comptant, le passage sui
la rue des vieilles « estuves » contre 1538 livres de rentes et 5600  livres comptant, le passage suivant, que nous reproduiso
à M. Clavareau, architecte des hospices, annonçant à Lenoir qu’il lui livre ce monument. Une fois en possession, Lenoir le pl
e cornier avec les mêmes dimensions et la même apparence que celle du livre de Lenoir ; mais l’aspect manquait de netteté. No
t à Bernard Barrau charretiers du Bout du Pont d’Alby, la somme de 85  livres pour paiement du port et voiture par eux faite de
ville de Castres, lequel paiement Messieurs les Consuls ont faict des livres par ledit Adhémar, présant comptable, pour satisf
n la province du Languedoc ; sçavoir est : la somme de huictante cinq livres pour le port de boytures que les dits sieurs Barr
dits sieurs Mingot (sic) et Dubois à la dite somme de huictante cinq livres de laquelle les dits Bayrol et Barrau sont compta
ostel, boutique et court, faisant le coin de la rue des Estuves, huit livres , ci… viij L. » L’inventaire dressé après le décè
nd la maison à Fabien Perreau, sieur de la Charmoye, moyennant 35 000  livres (Nº 1393.) 1661-1767. — Pièces contenant la maiso
aris et chargée envers lui de 10 sols parisis de rente, moyennant 160  livres  ». Cette pièce, qui porte la date de 1546, est la
Morot marchand a tapissier bourgeois de Paris la somme de huit vingt livres tournois sur une maison assise à Paris en la rue
de Ville de Paris »contre diverses rentes montant en capital à 26 400  livres et une soulte de 5 600 livres « à la charge d’ent
rses rentes montant en capital à 26 400 livres et une soulte de 5 600  livres « à la charge d’entretenir le bail fait à Jean Po
s parts et de fond en comble. » Et cela, moyennant la somme de 35 000  livres , dont partie dut être payée aux créanciers Le Cam
te annuelle de 800 francs. En 1732, il rachète à l’Archevêque les 556  livres de cens moyennant 1683 livres, et en 1758 les imp
1732, il rachète à l’Archevêque les 556 livres de cens moyennant 1683  livres , et en 1758 les impôts de lanternes, pompes, et n
akespeare et les Molière, quand on lit aussi couramment dans le grand livre de l’humanité, comment veut-on qu’ayant à peindre
lui a fait prêt ci-devant de la somme de deux cent quatre-vingt-onze livres tournois, pour nantissement et sûreté de laquelle
emps la troupe italienne, Molière et ses camarades lui donnèrent 1500  livres pour jouer les jours extraordinaires, c’est-à-dir
leur fit grâce de quelque cent écus, mais il rentrait dans les 1 500  livres que lui avait coûtées le Petit-Bourbon ; c’était
amarade Florinde que par la mention d’une gratification royale de 600  livres en 1666 ; Enfin, Annibal Barbieri était le pourvo
la rétribuait fort largement. Le roi lui payait une pension de 15 000  livres , plus du double de celle qu’il accorda plus tard
Molière, supplément à la biographie du poète, tiré de ses œuvres. Ce livre porte au frontispice le mot de Sainte-Beuve : « C
mi intime de Mme de Staël, juge très dédaigneusement Molière dans son livre Ueber dramatische Kunst und literatur (De l’art e
J’occuperais une trop grande partie du Moliériste en citant tous les livres qui ont été publiés en Allemagne sur Molière. Les
deux cabinets, l’un au premier, l’autre au second, etc. moyennant 265  livres de loyer par année. » Le même jour, Claude Gauldr
11 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
ses Oeuvres. J’eusse peut-être bien fait de n’en rien tirer ; car ce Livre -là est plus connu, & plus manié, que ne le se
la par expérience autant qu’homme du monde (C). Je m’en rapporte à un Livre qui a été imprimé, & dont je donne quelques F
re pour la Comédie, se trouve avec de nouvelles circonstances dans un Livre de Monsr. Perrault (H). On sera bien aise d’appre
des maris jaloux, ou qui ont sujet de l’être.] J’ai lu dans un petit Livre imprimé l’an 1688, que7 l’on a donné moins de lou
avoient jouées à Paris.] La preuve que je vais donner sera tirée d’un Livre anonyme : mais n’importe ; puisqu’il est imprimé,
on peut repousser par de telles réflexions : il y a beaucoup d’autres Livres que l’on censure, parce qu’on ne songe pas aux di
e si je m’étois réglé sur leurs idées de perfection, j’aurois fait un Livre qui leur eût plu à la vérité, mais qui eût déplu
s est corruptio alterius. 26. C’est-à-dire, votre compliment. 27. Livre sans nom, divisé en V Dialogues, imprimé à Paris,
e. 30. Despreaux, Art Poëtique, Chant III, vs. 391 & suiv. 31. Livre sans Nom, pag. 4 & 5. 32. Pesez bien ces pa
du Roi. 38. Dite autrement des fossez de Nesle. 39. Titré d’un Livre intitulé Le Theatre François. Mr. Chappuzeau en e
12 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
. M. Larroumet lui-même n’est pas éloigné de croire que les dix mille livres , montant de la dot, furent fournies par Madeleine
guère d’autres moyens d’existence que son talent d’artiste et les 400 livres de pension viagère que lui avait légués sa sœur :
t fourni matière à d’amples controverses. Bien que Grimarest, dont le livre parut en 1705, eût affecté de prendre sa défense,
Baptiste, comme on appelait Lulli, et lui avait même prêté onze mille livres remboursables à la volonté du débiteur. C’était L
et le marquis de Sourdéac, et qui leur fut affermée à raison de 2,400 livres par an. Ils durent de plus donner une part dans l
e de La Grange, et compter au premier pour prix de son théâtre 14,000 livres qui leur furent prêtées par « M. Boudet, tapissie
barrasser du fardeau de la reconnaissance, avait remboursé les 11,000 livres que le poète lui avait prêtées trois ans auparava
ace de garde et surveillant de son théâtre aux appointements de 1,800 livres . L’instruction fut longue et prit une tournure in
uvaise note : de tels coups ne frappent que ceux qui s’y exposent. Le livre est trop connu pour que je m’attache à l’examiner
uil, entre Chapelle et son illustre ami, la page la plus étonnante du livre , la plus impossible à expliquer si l’on n’y veut
c celle-là que d’être situées dans la même rue. Au lieu d’appeler son livre  : La maison mortuaire de Molière,que ne l’a-t-il
e savant Jacques Rohault, prêta en deux fois à son père les dix mille livres que devaient coûter les travaux, et pour lesquell
r lesquelles ce dernier constitua une rente perpétuelle de cinq cents livres au profit de Rohault, qui la rétrocéda tout de su
si vieux et si délabrés, qu’ils ne furent à sa mort estimés que 1,263 livres 9 sous. Si l’on joint à cette somme 870 livres de
mort estimés que 1,263 livres 9 sous. Si l’on joint à cette somme 870 livres de numéraire qui furent trouvées dans un meuble e
maison ne représentait pas, en ce temps-là, un loyer supérieur a 500 livres , » nous dit M. Vitu, qui ajoute : « De sorte que
e la totalité des revenus. » Puisque la maison ne rapportait que 500 livres et qu’elle était chargée d’impôts et de frais d’e
, qu’ils payassent les deux tiers leur incombant dans la rente de 500 livres dont cet immeuble sans produit était grevé ? M. V
eurs à ce décès porte la date de 1698. La maison rapportait alors 540 livres  ; elle fut louée 750 livres en 1695 et 900 cinq a
e de 1698. La maison rapportait alors 540 livres ; elle fut louée 750 livres en 1695 et 900 cinq ans après. C’est seulement en
tion de l’arriéré, après quoi elle prélèverait sur ces loyers les 500 livres montant de la rente et partagerait le surplus par
avais, pour ma part, adopté une opinion absolument différente dans le livre intitulé : Les points obscurs de la vie de Molièr
te. Mais l’y laissa-t-on dormir en paix ? Dans son Parnasse françois, livre imprimé en 1752, cinquante-neuf ans après la mort
allut répartir entre quatre à cinq mille personnes une somme de 1,000 livres , équivalant à 5,000 ou 6,000 fr. de notre monnaie
1656 ; deux ans avant cette date, qui est celle du reçu de six mille livres , il y en avait un à Pézenas. Un Charles de Molièr
irige aujourd’hui la maison de Molière, et à qui l’on doit un si joli livre sur la vie de notre grand poète comique, se ferai
antage l’explication fournie par celui qui écrit ces lignes, dans son livre sur la vie de Molière. On s’égare, avais-je dit
ctrine, c’est justement ce côté de son caractère que l’auteur comique livre au rire et teinte d’un léger ridicule. Taschereau
uoi je me permettrai de dire à l’auteur de l’Énigme d’Alceste : Votre livre a les qualités les plus sérieuses ; vous parlez d
anvier 1886. C’est le même journal enfin qui avait eu la primeur d’un livre auquel les gens compétents ont bien voulu accorde
e Cousin, notablement altéré par M. du Boulan dans l’épigraphe de son livre , est celui-ci : « Molière n’a dit son secret à pe
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
nom des Mille & une Nuits. C’est une des meilleures histoires du livre , & peut-être la gaieté françoise n’a-t-elle r
ontent de l’aimer, saura la conduire. Elle l’exhorte encore à lire un livre de sa composition intitulé les Devoirs tels qu’il
ns une Comédie. Un Colporteur arrive. Le Colporteur propose plusieurs livres dont on fait l’éloge ou la critique. Cidalise a
scours sur l’Inégalité, & goûte d’avance le plaisir de relire son livre favori. Marton annonce un Philosophe. Crispin p
mon cher Frontin, ce recueil d’impertinences que Cidalise appelle son livre  : continue de flatter cette folle, à qui ton nom
omme la Philaminte des Femmes Savantes : l’une & l’autre font des livres . Rosalie échappe, comme Henriette, à l’enthousias
voir fait à tes vers estropier Horace. Trissotin. Souviens-toi de ton livre & de son peu de bruit. Vadius. Et toi, de ton
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
EUX DE L’ÊTRE. ACTE I. Scene I. (Le théâtre représente un cabinet de livres . Ariste est assis vis-à-vis d’une table sur laque
s d’une table sur laquelle il y a une écritoire & des plumes, des livres , des instruments de mathématique, & une spher
pprend Ariste dans cette longue tirade ? Qu’il a un cabinet & des livres , qu’il cultive les Muses. Que nous importe, puisq
, qu’il cultive les Muses. Que nous importe, puisque son cabinet, ses livres , & les Muses, ne seront pour rien dans la pie
sieur Purgon, pour expulser & évacuer la bile de Monsieur, quatre livres  ». Ah ! Monsieur Fleurant, c’est se moquer ; il
malades : mais Monsieur Purgon ne vous a pas ordonné de mettre quatre livres . . . . . . Ah ! Monsieur Fleurant, tout doux s’il
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
oire, qui a fort bien lu une écriture à la main, ne sait plus lire un livre imprimé : il le dit lui-même ; écoutons-le : Val
Et que j’aurai l’honneur de vous montrer dans peu. Va me chercher un livre . Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre cha
nneur de vous montrer dans peu. Va me chercher un livre. Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? Valere. Celui
blable de pouvoir écrire & lire des mémoires sans savoir lire des livres imprimés, pense-t-il que le spectateur soit assez
orer que l’impression des almanachs est la même que celle de tous les livres , & pour oublier qu’il a entendu ce même Hecto
16 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
2).  Le Roi voulut rendre Molière le chef de sa troupe avec six mille livres de pension. Il représenta à Sa Majesté que d’ami
. Le Roi admira ce sentiment généreux, et accorda la pension de 6,ooo livres à la troupe entière, dont elle a toujours joui, e
i, et qui fut augmentée à la jonction des troupes vers 1680, à 12,000 livre ‌s3. Il avoit un amour de passion pour son métier,
règlement fait en 1681 à l’occasion des deux troupes, elle eut mille livres de pension, et mourût le 1er mars 1683. Le Noir
suivant, et fut jouée 24 fois133 de suite ; la recette monta à 15,2oo livres . La musique du divertissement est de Lambert134,
de la jonction des troupes ; il lui fut accordé une pension de 1,000 livres par le Règlement de 1681. D’Orgemont176, mort ava
Comédie lors de la jonction des troupes, et il lui fut accordé 1,000 livres de pension annuelle lors du Règlement fait le 12
ûjours après la comédie de l’École des femmes, et elle raporta 29,963 livres en 32204 représentations. On assure que le poète
qualité d’écuyer contre ledit supliant, à peine de nullité, cinq cent livres d’amende, dépens, dommages et intérêts. Fait au C
a pièce jusqu’au XVIIIe siècle. 3. Cette pension, qui était de 7,000 livres , fut portée à 12,000 en 1682 seulement. 4. Six j
la République des lettres, p. 203-204. 18. Sentences sur quelques livres d’auteurs qu’il a lus, p. 69. 19. Anne Le Fèvre,
e par Montfleury et Corneille (Th.) du Comédien poète moyennant 1,32o livres . — Il ne leur revenait pour leurs deux parts que
ant 1,32o livres. — Il ne leur revenait pour leurs deux parts que 573 livres , si elles eussent été cal­culées comme celles des
179. Le 14 avril 1685. 180. Six ans au contrôle de la recette, à 3 livres par jour. 181. Le 3o juillet 1691, des suites d’
i donna sa retraite à Pâques 1679 : on ne voulut lui accorder que 750 livres de pension. Mais elle fit un procès à la Comédie
lle fit un procès à la Comédie et le gagna. Il fallut lui payer 1,000 livres jusqu’à sa mort arrivée le 6 juin 1693. (Moliéris
17 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
hommes et la société, des études qu’il ne pouvait plus faire dans les livres . Et quels livres eussent été plus féconds en inst
été, des études qu’il ne pouvait plus faire dans les livres. Et quels livres eussent été plus féconds en instruction que cette
tin l’idée du fameux sans dot ; Euclion perd aussi sa cassette, et se livre au plus affreux désespoir ; on séduit sa fille ;
mbla de distinctions et de bienfaits. Il donna à la troupe sept mille livres de pension et mille livres au directeur. Les cour
bienfaits. Il donna à la troupe sept mille livres de pension et mille livres au directeur. Les courtisans, incapables d’appréc
re faisait d’une fortune considérable : il avait environ trente mille livres de revenu, ce qui représentait alors une valeur t
ssait à Paris. Cet acteur se retira en 1670 avec une pension de mille livres que la troupe lui fit, et qui lui fut continuée j
eptembre 1678. Il fut le premier à qui on accorda la pension de mille livres . Les Béjart étaient d’honnêtes gens ; ils avaient
purent être acquittées parce qu’elles montaient à plus de vingt mille livres au-delà de sa succession. Brécourt avait beaucoup
ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt mille livres à Raisin. Le bruit de cette épinette alla jusqu’a
de Baron ne fut pas une disgrâce, puisque, outre la pension de mille livres qu’il touchait aux termes du règlement de sa soci
aux termes du règlement de sa société, il en avait une de trois mille livres qu’il devait à la munificence de Louis XIV. Quoi
édition de ce poète en 1682. La préface qui est au commencement de ce livre est de leur composition. Molière avait cédé à La 
troupe de Guénégaud (en 1673). Il se retira avec une pension de mille livres , le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novem
’au 14 octobre 1694, qu’elle obtint son congé et une pension de mille livres . Retirée dans son ménage, elle y vécut d’une mani
yal, ensuite de celle de Guénégaud, retirée avec une pension de mille livres , le 1er avril 1692, morte le 2 ou le 3 février 17
18 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
riche, sur la révolution ibérique de 1868, Les Actualités espagnoles, livre à relire encore aujourd’hui. M. Lauser, dans le f
it devant la maison et à qui Armande Béjart jeta par la fenêtre mille livres pour l’apaiser, la bière de Molière portée à bras
é à l’armoire sculptée sous la clef de laquelle Molière enfermait ses livres et ses manuscrits, vendus, disséminés et perdus à
cette de cette représentation solennelle fut de trois mille six cents livres seulement. Mais, quoi ! le centenaire de Molière
rda l’honneur de sa protection et le titre de ses comédiens, avec 300 livres de pension pour chaque comédien. » Cette munifice
rve la note suivante de la main même de La Grange : « Les trois cents livres n’ont jamais été payées. » On trouvera dans ce r
partînt et la demanda à Monsieur. Sa Majesté donna en même temps 6000  livres de pension à la troupe qui prit congé de Monsieur
tomber, tout en causant, qu’il cherchait à placer une somme de 10 000  livres — c’était une somme énorme pour le temps — chez u
Le tapissier Poquelin était sûr de la sienne ; il emprunta ces 10 000  livres , et il ignora toujours que ce qu’il recevait ains
le vieillard avait banni. Nous savons aussi que Molière prêta 12 000  livres à Lulli, manquant d’argent pour bâtir sa maison d
un fils ; Corneille vieux, dont il reçut l’Attila en le payant 2 000  livres  ; autant de noms illustres qui témoignent de sa g
, qu’il fallait brûler Molière. Non pas l’œuvre, l’homme ; non pas le livre , l’auteur ! Ce fougueux personnage se nommait Pie
; mais il n’a pu l’achever, il se sentait trop fatigué ; il a posé le livre , et, après le juste tribut d’éloges donné à Moliè
parfois en toux ; nous l’avons vu dans L’Avare. M. Soleirol, dans son livre , Molière et sa Troupe, nous a donné deux gravures
avures sont médiocres, mais d’un intérêt capital, absolument comme le livre si complet de M. Soleirol lui-même. Molière ne se
avec tant de haine, mais aussi celui qu’un contemporain, l’auteur du Livre sans nom (publié à Lyon, chez Baritel l’aîné, MDC
u pauvre grand homme, au rang des poètes immortels. En effet, dans ce livre précieux, lorsque Éaque et Radamante, les juges i
la probité. M. P. Lacroix a réuni dans une suite précieuse de petits livres , la Collection Moliéresque, fort difficile à comp
Son cas est grave : il est « impuissant » ; or il est indiqué dans le livre de La Fameuse comédienne que Molière était parfoi
nom d’Alcidor, y est ainsi peint, en deux traits : « Il lit tous les livres satiriques, il pille dans l’italien, il pille dan
ce Jaulnay, défenseur imprévu de la morale, n’avait pas rougi dans un livre publié par lui, Les Questions d’amour, de poser d
avait déjà fait alors imprimer, — en Hollande sans doute, — un petit livre en prose et en vers, sous ce titre : Morale galan
hez lui qu’il nous représente, Molière assis, la plume d’une main, un livre de l’autre, et songeant ou plutôt écrivant. Une r
richement d’objets dus à son seul travail. M. Eudore Soulié, dans son livre absolument étonnant et définitif, Recherches sur
grecs et des latins, Balzac, Montaigne, un traité de philosophie, des livres d’histoire et des voyages. Bibliothèque de penseu
èque de penseur et non de dramaturge. Molière était l’homme d’un seul livre , cet homo unius libri que redoutait Jules César,
n seul livre, cet homo unius libri que redoutait Jules César, mais ce livre était la vie humaine. Après la bibliothèque, M. S
’une caricature. Nous avons déjà parlé des portraits contenus dans le livre de M. Soleirol, Molière et sa Troupe (1858) ; il
pos de Molière serait chose dangereuse, écrit M. Paul Albert dans son livre sur La Littérature française au xviie  siècle ; t
’est plus grand que Molière. Il est, il faut le redire à la fin de ce livre , l’incarnation même de l’esprit de notre France.
s pâtés et moucheur de chandelles. On a trouvé encore, à la vente des livres de M. Soleirol, une liste de la distribution des
ande foule de peuple, et l’on a fait distribution de mil à douze cens livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à chacun cinq s
au prince de Conti que Molière fut redevable de cette somme de 6 000  livres . Une reproduction fac-simile de cet autographe do
ond), sur les découvertes qu’il a faites depuis la publication de son livre des Pérégrinations de Molière en Languedoc, 1858.
négaud, toujours sous le même titre de la troupe du Roi. » 22. Le Livre d’or, Plutarque universel (tome Ier, in-4, 1866).
le Jacob (tirée seulement à 100 exemplaires numérotés). 38. Voyez le livre de M. F. Hillemacher sur La Troupe de Molière. 3
Raynaud s’est beaucoup servi, et avec raison, de ce pamphlet dans son livre si intéressant, Les Médecins au temps de Molière.
out ce qui concerne Molière, a publié sur Molière le plus curieux des livres , c’est la Bibliographie Moliéresque, contenant :
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux. » pp. 263-267
vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d’étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros
ent bien : Leurs ménages étoient tout leur docte entretien ; Et leurs livres , un dé, du fil & des aiguilles, Dont elles tr
eindre un Malade imaginaire & corriger ses pareils, si l’on ne le livre aux personnes qui, par ignorance ou par charlatan
20 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
original Bérénice et Attila, en payant ces deux pauvres pièces 2, 000 livres chacune ; et jamais encore droits d’auteur n’avai
’inventaire dressé après sa mort énumère parmi eux Lulli pour 11, 000 livres  ; Mlle de Brie, pour 830 ; Jean Ribou, son librai
its de son théâtre. Grimarest lui attribue un revenu moyen de 30, 000 livres , chiffre énorme pour le temps et qu’il faut multi
es, une part dans la troupe du Palais-Royal allait de 4, 000 à 5, 500 livres . Molière avait, en outre, sa pension comme « bel
petits services, car le registre de La Grange porte un paiement de 3 livres à son nom ; elle était dans la coulisse et riait
lsion ; il étoit petit dans ces occasions. Si on lui avoit dérangé un livre , c’en étoit assez pour qu’il ne travaillât de qui
nt et doux. » Grimarest n’avait pas d’aussi noirs desseins ; tout son livre témoigne, au contraire, d’intentions excellentes 
ans trop songer au lendemain. L’actif de sa succession fut de 40, 000 livres  ; c’était peu pour un homme qui en gagnait annuel
ait de même, faisant compte un peu partout : chez l’épicier, pour 115 livres  ; chez le rôtisseur, pour 392, etc. ; il laissait
r 115 livres ; chez le rôtisseur, pour 392, etc. ; il laissait 3, 000 livres de petites dettes, contre 1, 771 d’argent comptan
de son mari, qui ne la contrariait pas ; ainsi, sur un prêt de 1, 000 livres fait par Molière, elle s’en faisait rembourser 20
nt établi Maurice Raynaud, auteur compétent entre tous d’un excellent livre , les Médecins au temps de Molière. Cependant, off
les sieurs Frapin et Dupré, chez lesquels il faisait un compte de 187 livres . Outre ses apothicaires, nous avons vu qu’il s’ét
estination, qui était de paraître aux chandelles, et avait-il pour le livre une répugnance marquée : on sait avec quelle forc
oème, diction, action, comme inséparables ; leurs œuvres, réduites au livre , leur semblaient mortes ; enfin, au prix de la gl
incarner eux-mêmes, la gloire et la joie d’en prolonger la vie par le livre ne leur semblaient pas valoir le temps qu’elles a
21
biographes, de ses interprètes. Que de matériaux épars pour le grand livre qu’il rêvait : Molière au théâtre et chez lui, an
’au hasard on a pris nos affiches dans ce lot dédaigné de papier à la livre , qui contenait l’histoire de notre vieux théâtre,
urd’hui se plaignent lorsqu’ils ne font pas fortune avec leur premier livre ou leur première pièce. La troupe de l’Illustre T
lors l’existence. De plus, la recette peu élevée du premier soir, 533  livres , permettrait de croire que l’on avait négligé d’e
ué également au simple, avec Nicomède, et produit le premier soir 350  livres . Dom Garcie est joué au simple, et produit 600 li
remier soir 350 livres. Dom Garcie est joué au simple, et produit 600  livres (au Palais-Royal). L’École des maris est jouée au
Palais-Royal). L’École des maris est jouée au simple, et produit 410  livres . De même pour les pièces des autres auteurs : ell
et la Fausse Précieuse, de Gilbert, fait une première recette de 500  livres  ; Pylade, de M. Coqueteau de La Clairière, 540 li
recette de 500 livres ; Pylade, de M. Coqueteau de La Clairière, 540  livres  ; Don Guichot, raccommodé par Mlle Béjart, 300 li
 Clairière, 540 livres ; Don Guichot, raccommodé par Mlle Béjart, 300  livres  ; Zénobie, pièce nouvelle de M. Magnon, 125 livre
r Mlle Béjart, 300 livres ; Zénobie, pièce nouvelle de M. Magnon, 125  livres (hélas !), etc. On voit que ce qui eut lieu pour
et qu’il n’y a rien, par conséquent, à en conclure. La recette de 533  livres est une bonne recette de première représentation,
. Les recettes ordinaires se traînaient, à cette époque, de 130 à 200  livres , et pouvaient passer pour très satisfaisantes qua
ser pour très satisfaisantes quand elles s’élevaient au-dessus de 300  livres . Du 28 avril 1659, où commence le registre de La 
e à laisser là la lecture de Clélie pour savourer celle de ces petits livres soi-disant pieux, animés souvent de bonnes intent
dictons à réciter par cœur. « La Guide des pêcheurs est encore un bon livre . » Arnolphe fait mieux encore avec Agnès : il ne
fort indiscrètes, dans leur morale prétention, et qu’il extrait d’un livre intitulé :   LES MAXIMES DU MARIAGE ou LES DEVOI
di 13 février la farce de L’Usse tu cru. Je n’ai pu trouver, dans les livres que j’ai eus entre les mains, la date exacte de l
25 mai par L’École des maris et la farce de La Casaque. Recette : 147  livres , ce qui donne à penser que le temps était beau, q
Arménie, qui n’était pas pour la rajeunir. La recette descendit à 134  livres , et, comme il y avait des frais de figuration et
Sganarelle ensuite donnèrent ensemble, une première fois vingt et une livres de partage, vingt-deux ensuite, ce qui n’était pa
éritier ridicule fut encore plus pauvre que celle de Don Japhet : 106  livres , aussi sèches que possible, et le même Néant au p
int du Roi pour le poète de vingt et un ans, une pension de six cents livres  ; sur le duc de Saint-Aignan, qui ne l’introduisi
rable, ce fut la dernière. Le chiffre du surlendemain, descendu à 170  livres , arrêta les représentations de la pièce. Les Frè
frais ne montent pas si haut que les comédiens ne touchent encore 32  livres de part. La recette du 9 décembre passa toute ent
mbre passa toute entière dans les frais, mais elle n’était que de 233  livres . Pour les décorations ou la décoration, le théâtr
de deux visites, l’une chez Colbert, l’autre chez M. des Rennes, 330  livres chacune, dont néant au partage. C’est qu’en effet
dévouement. Le 14, la recette de La Princesse d’Élide descendit à 475  livres . Le 16, naissait aux grandeurs de ce monde une ro
vez que je m’étais beaucoup préoccupé de n’avoir pas trouvé, dans les livres contemporains, une indication tout à fait satisfa
bibliothèque publique de l’abbaye de Saint-Victor, à Paris, avec les livres de son cabinet et une rente de 2 000 livres sur l
Victor, à Paris, avec les livres de son cabinet et une rente de 2 000  livres sur l’hôtel de ville41. Il a publié quelques cart
ener a fait figurer en partie dans la Description bibliographique des livres choisis en tout genre, composant sa librairie (18
i, à ce sujet, une lettre qu’il inséra dans la seconde édition de son livre (page 248) : « Molière, lui disais-je, composai
lités où la troupe de l’Illustre Théâtre aurait séjourné. De plus, ce livre est sobre de preuves : il s’appuie principalement
22 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
eut, il est vrai, des métaphysiciens qui crurent avoir trouvé dans le livre même où Kant avait écrit l’inscription funéraire
nous le faire connaître, nous n’avons qu’à le voir à l’œuvre dans les livres qu’il aime, dans toute cette critique littéraire
s quand nous sommes dans notre cabinet d’étude, quand nous faisons un livre , quand nous pensons et écrivons pour des lecteurs
t même de ceux qui se croient philosophes, ne nous offrent dans leurs livres que de vagues étonnements, de vaines protestation
la blancheur de sa fourrure, que, plutôt que de la souiller, elle se livre elle-même à la mort quand elle est poursuivie par
istes. En 1804, il écrivit sa Poétique. On lit dans la préface : « Ce livre est autant le résultat que la source de mes autre
! c’est qu’il est déjà trop philosophe pour ses professeurs. Voyez ce livre qu’il médite avec tant d’attention, Bien sûr, ce
t : c’est la seule étude digue du philosophe. Il n’était pas écrit au livre du Destin, que Plaute ferait tout à coup détonner
st pas conforme est méprisable, et qui les prive, dans la lecture des livres des anciens, du plaisir et de l’instruction qu’il
phitryonis, actus I, scena i, vers 72 à 91. 379. Lycée, Ire partie, livre  Ier, chap. vi, sect. ii. 380. Vers 44 de la ire
r, chap. vi, sect. ii. 380. Vers 44 de la ire  scène. 381. Énéide, livre  VI. 382. Dictionnaire philosophique ; article A
bid., préface. 393. Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre  XIII, chap. vii. 394. Spinoza, Éthique, avant-pr
la troisième partie. Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre  XIII, chap. vii. Scherer, Revue des deux mondes,
noza, Scherer, ibid. Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre  VIII, chap. ii. 396. Entretiens de Goethe et d’
ut être autrement. » Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre  VIII, chap. ii. 414. « Tout retour vers le temp
er vers sa source. » Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre  XV, chap. iv. 415. Taine, Histoire de la littéra
livre XV, chap. iv. 415. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre  III, chap. i. 416. Taine, ibid. 417. Duclos.
savantes, III, ii. 419. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre  III, chap. i. 420. Taine, Histoire de la littéra
livre III, chap. i. 420. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre  III, chap. i. 421. Taine, Ibid. 422. Voyez pag
23 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
s de se prévaloir jamais de lettres pareilles sous peine de dix mille livres parisis d’amende, applicables à la boite des pauv
ntes : « J’ai trouvé, dit Riccoboni, dans le cabinet de M. de C…, un livre dont voici l’origine. Du temps de Henri IV, une t
présent d’une chaîne d’or, avec une médaille. Il imagina de faire un livre , de l’imprimer et de l’adresser au roi. Ce livre
imagina de faire un livre, de l’imprimer et de l’adresser au roi. Ce livre contient soixante et dix pages. À la première pag
re d’Arlequin, qui est de trois pouces et trois lignes de haut. De ce livre imprimé du temps de Henri IV, j’ai pris le dessin
24 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
s l’inventaire, malheureusement trop laconique, qui fut dressé de ses livres après son décès, deux cent quarante volumes de co
d’y pénétrer le plus avant qu’il me fut possible. Ainsi s’est fait ce livre . Je n’y recommence pas la suite des rapprochement
e fait que remplacer le Pédant, comme on le verra dans la suite de ce livre , et n’a point son caractère original. Truffaldin,
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
op uniforme. Il est quelquefois fort agréable de voir un homme qui se livre tout entier, & nous ouvre le fond de son ame 
Je vois d’ici un monologue qui est gai, dans lequel le personnage se livre , nous expose son affaire la plus pressante, ses p
n, dans son ivresse, trouve la lettre amoureuse de la prude, & la livre au mari, qui par-là reconnoît la fausseté de sa f
st amoureuse de son amant. Dans la piece imprimée, c’est la niece qui livre la lettre à l’oncle, & le trait est affreux.
26 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
retté confrère publiait sous ce titre : le Roman de Molière, un petit livre qu’il donnait comme le prélude et d’avance la piè
d’où elle veut, ne relevant que d’elle-même, garde des préférences et livre bataille contre les faits les mieux constatés ou
ique se sont mépris, lorsqu’ils ont soutenu la thèse qu’il combat. Le livre de M. Soulié n’était pas, du reste, indispensable
nt, combien, pour d’autres, n’apporte-t-il pas de démentis ! Tous les livres sur Molière vont en être bouleversés. J’en ai pub
a découvert M. Soulié. Quoique simple épouse d’artisan, elle aime les livres , et ce n’est pas sans surprise que l’on trouve, s
e du Géronte des Fourberies de Scapin, on découvrit deux mille bonnes livres en pistoles, écus d’or et douzains, qu’on se hâta
illeurs, nous le voyons, quatre mois après, acheter, au prix de 8,500 livres , une maison sous les petits piliers des Halles, e
l fit de sa fille une religieuse. Lorsqu’il eut, en 1635, donné 5,000 livres pour qu’elle prit le voile aux Visitandines de Mo
pas écrire, mais elle était riche ; elle avait apporté en dot 11,500 livres , qui formeraient aujourd’hui une somme de 57,000
jamais qu’un coureur de comédie, il lui donna la somme demandée, 630 livres , mais il exigea que dès lors il se dessaisît, « e
vec le paveur des bâtiments du roi, Léonard Aubry, qui, moyennant 200 livres , s’engagea, par acte du 28 décembre 1643, à paver
troupe. Clérin commence : le 17 septembre 1644, il se fait prêter 100 livres , par le paveur Chanteloup. Ce n’est qu’une goutte
tain Fr. Pommier prête, le 17 décembre 1644, en deux obligations, 300 livres d’une part et 1,700 d’une autre, avec l’engagemen
ociétaires, et sous la caution de Marie Hervé, qui garantit, pour 300 livres , ses deux filles et Molière. La caution n’est pas
vres, ses deux filles et Molière. La caution n’est pas solide, et 300 livres , ce n’est guère ; mais la troupe a promis, dans l
t dans la maison de la Barre du Temple, signant une obligation de 291 livres à Jeanne Levé, marchande publique, entre les main
l’a fait emprisonner Antoine Staufler, marchand chandelier, pour 115 livres qu’il lui doit, puis pour 27 autres encore qui on
urt alors à l’aide du pauvre homme aux abois. Une caution de quarante livres par semaine, pendant deux mois, suffirait à Pommi
e si belle proie. Un linger, le sieur Dubourg, à qui Molière doit 155 livres , l’a recommandé, comme on dit, et le Châtelet le
il y reparaît pour donner à son père une quittance générale de 1,905 livres qui lui ont été données ou qui ont été payées pou
, qui vit chez ses enfants et aux frais de ses enfants, donner 10,000 livres , c’est-à-dire 50,000 francs d’aujourd’hui, à la m
sque Geneviève, sa vraie fille, se maria, et elle aurait donné 10,000 livres à Armande ! C’est insensé de le croire. Le testam
us le voyons d’ailleurs, quatre mois après, acheter, au prix de 8,500 livres , la maison des petits piliers des Halles, en face
uelin touchait à ses vingt et un ans, il demanda à son père six cents livres , à compte sur l’héritage de sa mère, sur sa légit
e, si bien que, de guerre lasse, il leur fallut, moyennant deux cents livres , stipulées dans un acte du 28 décembre 1643, mett
à dans la troupe. Clérin, tout des premiers, a dû s’engager pour cent livres envers le paveur Chanteloup ; puis, vers le même
, les associés ont souscrit en masse une reconnaissance de onze cents livres à Louis Baulot, « maître d’hôtel du roy ». Il ne
on de sa tragédie de Scévole, qui restera de ses meilleures. Les cent livres prêtées à Clérin et les onze cents empruntées par
e, le 17 décembre 1644, en deux obligations : d’une part, trois cents livres , et, de l’autre, mille sept cents, avec engagemen
ires, et caution de la mère des Béjard, qui garantit pour trois cents livres ses deux filles et Molière. La caution n’est pas
x filles et Molière. La caution n’est pas très solide, et trois cents livres , ce n’est guère : la troupe doit donc promettre,
arre du Temple, signant une obligation de deux cent quatre-vingt-onze livres à Jeanne Levé, « marchande publique », entre les
ettre en geôle Antoine Fausser, marchand chandelier, pour cent quinze livres qu’il lui doit, puis pour vingt-sept autres encor
urt alors au secours du malheureux aux abois. Une caution de quarante livres par semaine, pendant deux mois, suffirait à Pommi
« linger », le sieur Dubourg, à qui Molière doit cent cinquante-cinq livres , l’a, comme on dit, recommandé, et, faisant droit
nège de coquetterie. « Si, lisons-nous dans les Entretiens galants 5, livre de cette époque dont l’auteur paraît bien connaît
u la page la plus curieuse et la plus authentique en même temps de ce livre , d’ailleurs fort suspect. Molière ouvre là tout s
ce, avant et pendant la grande ; c’est le chapitre moins sérieux d’un livre , qui, sans cela, l’eût été trop ; c’est l’éveil c
tout cet esprit laborieusement ranimé sous la lettre morte des vieux livres . Parmi tous les ridicules mis en scène dans les c
aigre, par laquelle les gens du lazaret l’avaient fait passer. Pauvre livre  ! il ne lui manquait plus que d’être traité comme
onde. Que contenait donc cette merveilleuse plaquette ? Comme tant de livres imprimés en Hollande, elle donnait ce qu’on n’ava
rand lecteur, non pas de romans, comme le convive de Boileau, mais de livres pouvant instruire ; il semble même avoir été, de
inon) ; c’était un drôle, qui, de rien, s’était fait cinq à six mille livres de rentes. C’était l’original de Tartuffe, car, u
, cessant d’appartenir à Monsieur, devenait troupe du roi, avec 7,000 livres de pension. N’était-ce pas prouver à tous, de la
plus palpable. Cet écrit, dont parle Alceste, au cinquième acte, Ce livre , à mériter la dernière rigueur, Dont le fourbe a
main avec L’Avare. Nous avons vu la quittance de cent quarante-quatre livres que Molière reçut à cette occasion. La pièce y es
e fût finie et que vous eussiez avalé toute l’amère pilule. Sorel, au livre II du Francion, a conté une affaire de ce genre.
aient depuis longtemps en querelle, au sujet d’une redevance de trois livres tournois, que ces privilégiés fainéants prétendai
lors ; du joueur de piquet, avec sa fameuse partie, réglée d’après le livre , la Maison académique, alors tout nouveau et fort
de gants de cerf, une paire de bas à botter en toile jaune. Prisés 50 livres . » IV - L’École des femmes (1662) I.
t lu et tout retenu, qui avait conscience de son savoir pris dans les livres et mûri par la méditation, il s’indignait de voir
e put arriver à se faire donner toute sa « légitime. » Sur cinq mille livres , il s’en manqua près de deux mille. Ce n’est pas
ent, sans paraître. Il lui fit offrir la somme nécessaire, huit mille livres , par Rohault, un de ses meilleurs amis, et le pèr
qui, par parenthèse, est une assez mauvaise enseigne pour son fameux livre sur L’Éducation ; Jean-Jacques se plaignait que C
a chambre, il nous fit entendre qu’il y avait là pour cinq cent mille livres de barres d’argent…, qui ne lui rendaient pas un
pas 3 p. 100 ; qu’il avait à Gènes, d’où il était, quatre cent mille livres , dont il ne tirait guère plus d’intérêts ; et il
encouragements fut-il engagé à violenter sa paresse, pour terminer ce livre , dont la longueur l’effrayait ? Où vint-il le lir
e la page suivante ? Ce qu’il nous a dit lui-même, au commencement du livre Ier, sur le cercle d’amis, qui reçurent les confi
rsque quelqu’un d’eux tombait dans la maladie du siècle et faisait un livre , ce qui arrivait rarement. » Voilà, n’est-ce pa
s, toutefois, furent, à ce qu’il paraît, favorables à l’achèvement du livre , car, quelque temps après, non probablement sans
ardins de Versailles, adroitement glissée dans les premières pages du livre , était la principale cause de cette faveur. C’est
ener à fin, quand le roi parlerait. Le roi parla trop tôt. A peine le livre de La Fontaine était-il lancé dans le succès, que
la comptablie, laquelle revient à la somme de sept cent cinquante six livres , qui est, pour la moitié, trois cent soixante-dix
nte six livres, qui est, pour la moitié, trois cent soixante-dix-huit livres , pour tous droits, frais, amandes et prétensions 
et de fait et comptant, ladite somme de trois cent soixante-dix-huit livres tournoises, en louis d’argent, de trois livres pi
cent soixante-dix-huit livres tournoises, en louis d’argent, de trois livres pièce, et autre bonne monnaie, faisant ladite som
ue Molière, ami du prince de Condé et de Chorier, eut connaissance du livre dans l’un ou l’autre cas. Il avait été en relatio
tout à point pour nous y aider et la renouveler. C’est de ce précieux livre de comptes, dont nous aurons si souvent à nous se
chiffres bien mieux que par des phrases ; c’est de cet incomparable «  livre déraison », comme on appelait alors ces sortes de
28° dudit mois. Reçu de part, pour nourriture et gratification : 600 livres 10 sols. » Molière, quoique sa pièce eût fait ai
lle monta — c’est encore Lagrange qui nous donne ce chiffre — à 1,397 livres , fort jolie somme, je le répète, bien qu’elle n’a
avant, avait produite la cinquième représentation de Tartuffe : 2,310 livres . La seconde du Bourgeois fut en baisse : elle des
ivres. La seconde du Bourgeois fut en baisse : elle descendit à 1,260 livres . Molière eut peur que les autres ne suivissent ce
bourbé dans la plus infime, la plus invraisemblable des recettes : 64 livres  ! l’avait brisé, anéanti. Il ne voulait plus ente
’avait pas marchandé : il avait payé à Corneille la même somme, 2,000 livres , versée le jour même de la première représentatio
nice, pièce nouvelle de M. Corneille l’aîné, dont on lui a payé 2,000 livres . » Pour la tragédie d’Attila, il avait ajouté : «
ccès en fut brillant. La première recette n’alla pas à moins de 1,913 livres , et pendant les autres représentations, qui alter
harles Perrault, qui n’avait eu garde d’oublier Molière dans son beau livre  : Les Hommes illustres qui ont paru en France pen
elque peu fripier et préteur à la petite semaine, cent soixante-douze livres , et deux ans plus tard, cent soixante autres. Ce
que la revanche même : les cancans, les commérages passent ; les bons livres restent. Parmi les meilleurs de la série, dont je
lendorff, avec un luxe typographique tout à fait digne du sujet et du livre . Comme il est de ceux que j’avais en vue, lorsque
re. Comme il est de ceux que j’avais en vue, lorsque j’ai dit : « Les livres restent », et comme je ne doute pas qu’une second
inuera pas moins à faire, de temps en temps, son bruit fêlé, dans ces livres et ces chroniques de Panurge, qui recommencent, à
fut jouée, devant le roi, à Versailles. Tous les journaux et même les livres se firent les échos de ce grand succès, qui faill
aisant le coin de la rue des Estuvées (Vieilles-Étuves), taxée à huit livres . » (Taschereau, Vie de Molière, p. 206.) 38. Qua
la Vie de Pascal, par Gilberte, sa sœur, dans la première édition du livre de M. Cousin, Jacqueline Pascal, p. 59. 65. M. B
de la Rochefoucauld-Liancourt a donne cette lettre en entier dans son livre Etudes littéraires et morales de Racine, 2e parti
rie, t. LXIII p. 71. 84. Lettres, t. VII, 436. 85. V. notre petit livre L’Esprit dans l’Histoire. 86. Lettre du 9 sept
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
s. Moncade, homme de Cour, & Marquis très ruiné, doit cent mille livres à Madame Abraham, veuve d’un banquier, très riche
les engager à veiller aux affaires de Monsieur le Marquis, cent sept livres . Le Marquis se leve & répete des pas de bal
usdits à l’Opéra, voiture, rafraîchissements y compris, soixante-huit livres onze sols six deniers. Le Marquis chante. C’est
me du commis du secrétaire du Rapporteur de Monsieur le Marquis, cent livres . Item... Le Marquis, lui arrachant son mémoire.
ssiner Leuson. Bates refuse d’abord, & promet ensuite. Stukéli se livre à l’espoir d’être vengé. L’avarice n’a plus d’em
28 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
d’ ! » Et quant au mariage, voici Pasquariel, libraire, qui vend un livre , lequel ressemble de bien près à notre vieux livr
raire, qui vend un livre, lequel ressemble de bien près à notre vieux livre des Quinze joyes, ce sont : « Les Agréments et le
dûment homologué, vous revenez sur l’eau avec sept ou huit cent mille livres d’argent comptant, et tous vos meilleurs effets d
etites choses-là, viennent vous offrir un million ou douze cent mille livres , sachant bien que leur argent ne peut être plus s
re de grandes dépenses pour sa part, et il a avancé quatre cent mille livres , dont il se doit rembourser sur la première eau q
29 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
ses Oeuvres. J’eusse peut-être bien fait de n’en rien tirer ; car ce livre est plus conu, & plus manié que ne le sera ja
C) cela par expérience autant qu’homme du monde. Je m’en raporte à un livre qui a été imprimé, & dont je donne* quelques
s chagrins des maris jaloux, ou qui ont sujet.] J’ai lu dans un petit livre imprimé l’an 1688, queb l’on a donné moins de loü
’au même article il faut Polixene, & non Polixeme. c. Voyez le livre intitulé, La fameuse Comedienne, ou Histoire de l
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « [Introduction] » pp. 1-4
pas de vue les engagements que nous avons pris à la fin du troisieme Livre  : pour cet effet il est essentiel de nous les rap
âges & de toutes les nations ». Nous avons encore établi dans le Livre précédent, comme une vérité incontestable, que to
31 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
er le véritable texte de Molière. Nous ne ferons pas l’histoire de ce livre , quelque intéressante qu’elle puisse être, car il
recteur du libraire Denis Thierry. Quant aux altérations du texte, le livre ayant été cartonné, nous ne pouvons plus aujourd’
rer de connaître Molière, si l’on n’étudie le temps où il a vécu, les livres où il a puisé, sa société, sa vie, ses passions,
cueillera peu de gloire ; le public ne tient pas compte du poids d’un livre , mais de sa bonté. Les personnes qui voudront bie
, mises en rondeaux par Benserade, tandis que Benserade ne publia son livre que dix-sept ans après la première représentation
et son siècle ; il faut même pénétrer dans son cabinet, examiner ses livres , se mettre, s’il se peut, dans la confidence de s
e nom de facéties ; se saisir en passant des Quinze joies du mariage, livre qui rappelle quelquefois le naturel et le génie d
celui de Gil Blas. On verrait encore sur les mêmes tablettes quelques livres chargés de remarques et sans cesse feuilletés, te
eaux qui nous ont inspiré l’idée de replacer Molière au milieu de ses livres , de sa troupe et de ses contemporains. Quant aux
au ; voilà ce qui a dû exciter sa mauvaise humeur : quelques pages du livre lui ont fait condamner le livre tout entier. D’ai
a mauvaise humeur : quelques pages du livre lui ont fait condamner le livre tout entier. D’ailleurs les Mémoires sur Molière
Molière, il a été l’ami de Baron, et ces circonstances donnent à son livre une place que le talent même de Voltaire n’a pu l
ait pour divertir sa majesté, daigna l’honorer d’une pension de mille livres . On voit dans ses ouvrages le remerciement qu’il
nt, à ce que l’on dit, jamais été saigné. Et l’on rapporte, dans deux livres de remarques, que M. de Mauvilain et lui, étant à
ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt mille livres à Raisin. Le bruit de cette épinette alla jusqu’a
e donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille cinq cents livres , et il était presque tout neuf. Il assaisonna ce
tellement irrités par le Tartuffe, que l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettait sur le compte de Moliè
n content encore du tort que l’on me fait, Il court parmi le monde un livre abominable97, Et de qui la lecture est même conda
un livre abominable97, Et de qui la lecture est même condamnable ; Un livre à mériter la dernière rigueur, Dont le fourbe a l
lsion ; il était petit dans ces occasions. Si on lui avait dérangé un livre , c’en était assez pour qu’il ne travaillât de qui
onfus lorsqu’elle eut la bonté de vouloir lire d’un bout à l’autre le livre qu’elle me commanda de lui faire voir, et qu’elle
ssait à Paris. Cet acteur se retira en 1670 avec une pension de mille livres que la troupe lui fit, et qui lui fut continuée j
tembre 1678132. Il fut le premier à qui on accorda la pension de 1000 livres . (Frères Parfait. Voyez aussi la lettre de Dallai
ne purent être acquittées, parce qu’elles montaient à plus de 20,000 livres au-delà de sa succession. Brécourt avait beaucoup
poète, Paris, Thiéry, 1682. La préface qui est au commencement de ce livre est de leur composition. M. de La Grange était un
pe appelée de Guénégaud, en 1673, se retira avec une pension de mille livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novemb
4, qu’elle obtint, à Fontainebleau, son congé et une pension de mille livres . Retirée dans son ménage, elle y vécut avec une c
et les ridicules dans le comique. Elle se retira en 1672. Chapuseau, livre III de son Théâtre français, page 206, met mademo
oin de ce duel, et il en parle dans ses Antiquités de Paris, tome II, livre X, page 578. Mademoiselle DU CROISY. Femme
yal, ensuite de celle de Guénégaud, retirée avec une pension de mille livres le 1er avril 1692, morte le 2 ou le 3 février 172
le poète Sarrasin auprès de ce prince. (Mémoires du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre III, page 60.) 50. A son
s de ce prince. (Mémoires du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre III, page 60.) 50. A son retour des états de Lan
iens. Il est surprenant que Grimarest n’en ait pas dit un mot dans un livre dont le fils paraît avoir fourni les matériaux. V
u’il donnait à ce dernier ouvrage. (B.) 97. On ignore le titre de ce livre . 98. Les trois premiers actes du Tartuffe furent
es hommes illustres, page 79.) * Le Théâtre Français, divisé en trois livres , par Chapusault, p. 196 ; in-18. Lyon, 1673. 12
32 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
ur, mais créancier. De bonne heure, on tomba dans cette confusion. Le Livre sans nom, qui parut en 1695 et qui est attribué à
arine. Les Italiens, à qui les Français payèrent une indemnité de 800  livres , allèrent jouer à la salle de la rue Mauconseil,
la Vierge. » L’Arlequin Dominique laissait, dit-on, trois cent mille livres de biens. Il souffrait déjà depuis quelque temps,
33 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
si les Philosophies de l’Art, les Traités complets d’Esthétique, les livres qui s’intitulent Science du Beau, justifient leur
ut le monde peut sans art et sans génie, faire avec du travail un bon livre , intéressant et utile, dans le système de cette é
anité. La comédie pourrait peut-être mieux finir ; mais c’est ici un livre de bonne foi, et je suis forcé d’en demeurer là 4
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
as voulu me fier à mes conjectures, j’ai cherché dans une infinité de livres italiens, même dans tous les canevas, & je n’
personnes qu’il aime. . . . . . . . . . . . . . . . . . . Lucrece, Livre IV. La passion aveugle les amants & leur mon
35 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
enait de lui porter. Quelle différence, en effet, de la publicité des livres les plus répandus, à la publicité des ouvrages dr
scope et l’astrolabe, il voudrait qu’elles ne touchassent même pas un livre  ; quand, enfin, il regrette le temps où toute leu
es, qu’on montrait en divers lieux, ressemblaient trop aux pages d’un livre écrit sans naturel, sans grâce et sans facilité.
our arriver à la fortune ; le second, vivant dans la poussière de ses livres grecs et latins, a une brutalité d’orgueil et de
de reste du mois passé, et douze pour tout le mois de janvier, trente livres . Ho ! monsieur Turbon, si j’ai bonne mémoire, je
lade ce mois-ci que l’autre. Plus, vingt-deux lavements, trente-trois livres . Mais, monsieur Turbon, il me semble que vous m’e
t sols pour lavement, et trente pour médecine. Plus, six juleps, neuf livres  : passe pour cet article. Plus, en apozèmes et di
 : passe pour cet article. Plus, en apozèmes et divers sirops, treize livres quinze sols. Plus, pour une potion cordiale et qu
nze sols. Plus, pour une potion cordiale et quelques conserves, trois livres cinq sols. Cinq et cinq sont dix, et dix sont vin
sont trente, un, deux, trois, quatre et cinq sols. Quatre-vingt-douze livres quinze sols. Vos parties sont un peu grasses, mon
36 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
tôt recommence, nouvelle avec une génération nouvelle. On eût fait un livre à noter ces différences, comme on notait, dit Luc
aine Saint-Denis ! — Et le voilà, appartenant à qui veut l’écrire, ce livre de morale, d’histoire, et de philosophie où se do
coup de canon qui se soit tiré dans ce bas monde, il a lu le premier livre sorti des presses naissantes du premier imprimeur
de la même passion et du même amateur, mais ce ne sont pas les mêmes livres qu’on recherche, on s’attache à d’autres formats,
ici la vie entière de mademoiselle Mars ; un chapitre complet dans ce livre … et notre livre serait perdu, tant ce chapitre au
re de mademoiselle Mars ; un chapitre complet dans ce livre… et notre livre serait perdu, tant ce chapitre au grand complet,
ue sur ces riches sofas qui parlent, comme on en voit dans les petits livres du petit Crébillon. Cependant vous demandez pourq
ur empruntant tout ce qu’elle pouvait leur prendre ! Il y a, dans les livres de Quintilien, un interlocuteur nommé Apollodore,
gens, le roi et la reine avaient constitué une pension de douze cents livres sur la tête de chaque enfant, venu au monde le mê
le même jour que la princesse royale, et cette pension de douze cents livres , qui avait été la fortune de son enfance et de sa
37 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
la vie commune… Je croyais, en être quitte pour vous avoir choisi des livres et marqué les endroits qui pouvaient satisfaire v
ent satisfaire votre curiosité ; mais vous prétendez que j’ajoute aux livres … La volupté qui monte plus haut que les sens, cet
eil des bons mots de Cicéron ; et un ancien grammairien parle de deux livres de Tacite, qui avaient pour titre Les Facéties. »
38 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
res : il avait placé ses fonds dans sa bibliothèque ; par malheur ses livres les plus précieux étaient couverts d’armoiries, i
forcée de tout son mobilier, M. Laujon court chez son ami, retire les livres , et les replace dans sa bibliothèque pour ne pas
leaux d’un dessin pur et gracieux ; et cependant, lorsque l’auteur se livre à des compositions dramatiques, on voit que c’est
39 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
e donner à sa fille, « la veille des épousailles, la somme de 10, 000 livres tournois, dont un tiers entrerait dans la communa
lière lui-même. Celui-ci, de son côté, constituait à sa future 4, 000 livres tournois de douaire. Un mois après, le lundi 20 f
ent sur la mémoire d’Armande, à la Fameuse Comédienne. C’est un petit livre , publié à Francfort en 1688, réimprimé jusqu’à ci
es orduriers. Tout ce que l’on est en droit de supposer, c’est que le livre part de la main d’un homme ou d’une femme de théâ
uliers à sa profession celui qu’elle doit à son sexe. C’est le cas du livre qui nous occupe. La place prépondérante qu’il don
rques, la grâce facile et l’agréable négligence des tours. Car si le livre est odieux, il s’en faut de beaucoup qu’il soit m
ositions douteuses : elle fit répandre par les fenêtres un millier de livres « en priant avec des termes si touchans le peuple
676, il s’entendit condamner au blâme, à l’amende honorable, à 4, 000 livres de dommages-intérêts et 200 livres d’amende ; les
me, à l’amende honorable, à 4, 000 livres de dommages-intérêts et 200 livres d’amende ; les imprimeurs de son factum devaient
40 (1884) Tartuffe pp. 2-78
Saint-Sorlin, de libertin devenu cafard, endura le même supplice3. Le livre de Roullé fut d’ailleurs le chant du cygne de son
ervice, et la troupe de Monsieur devient troupe royale avec six mille livres de pension. Haute faveur, qui toutefois ne ressus
e je souscrive à toutes les assertions de M. Lacour, dans son curieux livre  : Le Tartuffe par ordre de Louis XIV. Dans l’impa
avec les spectacles. Nicole ne fit que répéter le prince de Conti. Le livre du prince‌ 16, paru après sa mort (1666) courait
e pénitence qu’y vont les contemporains de l’opérette. Il y a dans ce livre bizarre 240 pages de citations des « pères », tou
, si pressé, si enflammé, qu’il en oublie toute circonspection, qu’il livre sa science, la science dont la possession le fait
rticulier se révèle dans un tel cri. C’est cet état moral que Molière livre à nos risées. La Lettre sur l’lmposteur a là-dess
i-mond fit une Vie des Saints. 18. Les autres sont dans Despois, au livre cité 19. Sainte-Beuve, Port-Royal, t. III.
41 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
s que l’expérience seule peut apprendre45 ». En donnant un extrait du livre de l’abbé d’Aubignac, je me suis mis dans la fâch
leau son fière, de l’Académie française. « La traduction du quatrième livre de l’Énéide », dit-il, « a déjà charmé une partie
sa fille : « Hier, comme j’étais toute seule dans ma chambre avec un livre précieusement à la main… » Le 21 octobre suivan
et pour exécuter ce dessein, Didamie (madame de Ladurandière) prit un livre , Claristène (M. Leclerc) prit une plume, et Rosal
histoire de l’esprit humain ne consiste pas uniquement dans celle des livres et dans celle des doctrines, comme le croient le
ans celle des doctrines, comme le croient le vulgaire des faiseurs de livres et échafaudeurs de doctrines. Il me reste à parle
42 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
is, pour quinze sols nous irons au parterre ; les loges sont de trois livres  ; les belles galeries dorées de cent dix sols ; l
ami et protecteur de Molière, se brouillait avec lui et préparait le livre curieux où il devait, à l’occasion même de l’Écol
ce moment que Molière fut couché sur l’État pour une pension de mille livres . Même chiffre que Corneille le Jeune, cinq cents
sion de mille livres. Même chiffre que Corneille le Jeune, cinq cents livres de moins que Benserade, entre lesquels il figure
nçais qui ait été et le mieux renté certes, puisqu’il eut, lui, 3,000 livres . Il n’importe : la libéralité du roi fut précieus
’œuvre, qui, dans ses vingt pages, nous en dit plus que les plus gros livres sur la société polie de ce temps, — comme aussi s
instruction pure qu’il s’agit, mais d’éducation : c’est-à-dire qu’aux livres il faut ajouter cette grande école, le monde : E
l’air dont il faut vivre, Instruit mieux à mon sens que ne fait aucun livre . Les livres pour apprendre à penser : le, monde
l faut vivre, Instruit mieux à mon sens que ne fait aucun livre. Les livres pour apprendre à penser : le, monde pour apprendr
43 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
es représentées à Versailles pendant ledit mois de novembre 1670. livres . sous. À Baraillon, tailleur… 5108 » À Fortie
r la fourniture des pierreries… 220 » À Balard, imprimeur, pour les livres … 1022 » Pour les escarpins des danseurs… 420 »
pour Sa Majesté à la somme de quarante-neuf mille quatre cent quatre livres dix-huit sous.   À Paris, le………..février    1671.
44 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
e, en fit ses Comédiens, & leur accorda une pension de sept mille livres . Le Roi donna aussi en 1663. une pension particul
livres. Le Roi donna aussi en 1663. une pension particuliere de mille livres à Moliere, qui en remercia Sa Majesté, par une Pi
es, Despréaux, Chapelle, Bernier, Fourcroi. Outre la pension de mille livres que le Roi donnoit à Moliere, il lui faisoit enco
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
 ; ceux-là, toute sincérité & toute bonne foi. Le Roi enchanté se livre à la joie avec ses hôtes, & demande une chans
que Richard lui fait l’affront de lui imputer un crime, qu’il le lui livre & qu’il n’a qu’à le condamner : Lurewell exig
faire urgente Aucun besoin, comme je l’avois cru : Déchargez-en votre livre , de grace. A ce propos, aussi froide que glace, N
arent de Sophie a remis en mourant à Madame Gasparin deux cents mille livres pour donner à Sophie le jour de son mariage, à co
46 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
petit sens mon petit jugement, je vois les choses mieux que tous les livres , et je comprends fort bien que ce monde que nous
et mis sur la scène ce qu’un moraliste osait à peine insinuer dans un livre spirituel769, ce qu’un prédicateur n’osait pas pr
qu’a fait Platon dans sa République, qui est réellement et surtout un livre , de morale ; c’est ce qu’a fait Cicéron dans son
d’attacher une importance qu’ils n’avaient réellement pas, à quelques livres de rêveries mystiques et casuistiques, que les jé
47 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
uraient en prière. Autour du lit funèbre, on voyait, dispersés, Des livres , des papiers, des travaux commencés, Et sur les m
s hardis et les profonds penseurs. Puis, lorsque son esprit errant de livre en livre, Manque enfin de pâture… alors il songe
et les profonds penseurs. Puis, lorsque son esprit errant de livre en livre , Manque enfin de pâture… alors il songe à vivre,
me est consumé ; Vous avez découvert sa science profonde Non dans les livres morts, mais au livre du monde. La gloire est à
avez découvert sa science profonde Non dans les livres morts, mais au livre du monde. La gloire est à ce prix : hélas ! pou
48 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
t, sur l’ordre du roi, ils restituèrent aux Français les quinze cents livres qu’ils avaient reçues de ceux-ci en 1658, contrib
, les dépenses accessoires s’élever à la somme considérable de 49 404  livres , 18 sous. C’était Molière qui écrasait alors les
première représentation, Dominique les redouble : il inscrit sur son livre  : « Il faut que nous fassions des postures d’estr
49 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
rdis se jettent, tête baissée, dans le mariage ; grave imprudence qui livre au hasard l’acte le plus sérieux de la vie. Comme
urel est innocent, pourvu qu’on le modère ; car si la jeune fille s’y livre avec excès, il peut avoir des suites fâcheuses po
t, et visite plus souvent sa cuisine que sa bibliothèque. De tous les livres de Philaminte, il n’estime qu’un gros Plutarque «
d’esprit ; L’esprit n’est point du tout ce qu’il faut en ménage ; Les livres cadrent mal avec le mariage ; Et je veux, si jama
je veux, si jamais on engage ma foi, Un mari qui n’ait point d’autre livre que moi, Qui ne sache A ne B, n’en déplaise à mad
filles. 12. École des Femmes, V, 4. 13. Ibid., III, 2. 14. Le livre du Chevalier de la Tour Landry, ch. XXXI. 15. F
50 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
es fêtes pompeuses. La communauté vota une imposition de « deux cents livres pour contribuer à l’ameublement du château de la
ait pas 36 feux alors, et vous conviendrez qu’une souscription de 200  livres , soit mille francs d’aujourd’hui, ce n’était pas
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
« Dont mes filles & moi nous fûmes bien contentes, « Trois cents livres . M. Josse. « Trois cents livres.Voilà ce qui m’o
fûmes bien contentes, « Trois cents livres. M. Josse. « Trois cents livres .Voilà ce qui m’outre le plus. Donner à ses enfant
52 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
r de les résoudre par lui-même, pour lui-même : tel est l’objet de ce livre .. Nos trois écoles sont les grandes divisions de
agment de la vérité totale, de cette inconnue que nous cherchons). Ce livre est l’histoire d’un esprit qui a passé par ces tr
53 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
t par elles. Un ingénieux écrivain, M. Noël, a raconté, dans un petit livre charmant, les souffrances morales du pauvre grand
ne puis, sans pleurer, voir un poulet mourir ? À quelles tortures ne livre-t -elle pas le pauvre homme quand elle lui raconte c
e. Belle, mais naturellement froide et maîtresse d’elle-même, elle se livre fort peu ; elle a eu assez de tact et de raison p
54 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « À M. Vacherot » p. 1
e générale, et, ce qui est plus, beaucoup d’idées : je vous devais ce livre . Reprenez la vérité comme votre bien, et laissez-
55 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [75, p. 114-115] »
lsion ; il était petit dans ces occasions. Si on lui avait dérangé un livre , c’en était assez pour qu’il ne travaillât de qui
56 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
s toujours les plus sûrs. J’ai été surpris de ne pas trouver dans son livre des faits qu’il lui étoit aisé d’apprendre &
s me fournissent. Pour garantir au Lecteur ma fidelité je citerai les livres déja imprimez & pour les faits qui ne le sont
e qui ne seroit gueres vraisemblable si on ne la trouvoit que dans ce livre  ; à savoir que Moliere* après avoir raisonnableme
d’un an auparavant. Il y a lieu d’être surpris de ce* dementi dans le Livre d’un Historien qui nous peint Moliere comme un ho
oit pour divertir sa Majesté, daigna l’honorer d’une pension de mille livres . On voit dans ses Ouvrages le remerciment qu’il e
ant, à ce que l’on dit, jamais été saigné. Et l’on rapporte dans deux Livres de Remarques, que M. de Mauvillain & lui étan
ne pouvoient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt mille livres à Raisin. Le bruit de cette Epinette alla jusqu’a
r tout-à fait à son service, en lui donnant une pension de sept mille livres . Elle prit alors le titre de la Troupe du Roi, qu
re donnoit avec tant de plaisir, lui avoit coûté deux mille cinq cens livres , & il étoit presque tout neuf. Il assaisonna
tellement irritez par le Tartuffe, que l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettoit sur le compte de Molie
content encor du tort que l’on me fait, Il court parmi le monde un livre abominable, Et de qui la lecture est même conda
n livre abominable, Et de qui la lecture est même condamnable, Un livre à meriter la derniere rigueur, Dont le fourbe a
lsion ; il étoit petit dans ces occasions. Si on lui avoit dérangé un livre , c’en étoit assez pour qu’il ne travaillât de qui
uler les railleries que lui ont attirées de la part du censeur de son livre le Fromage de Parmesan de Moliere, & les Boui
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
faméliques rimailleurs qui pensent se faire un nom en pillant dans un livre inconnu des vers adressés à la premiere des Clori
flexions ; donnez-lui une plume & de l’encre, il va faire un beau livre sur l’ingratitude des enfants en faveur de qui un
58 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
d’argent » n’y monte pas à moins de deux mille et quelque trois cents livres , qui feraient environ 12 000 ou 15 000 francs d’a
nt partie de la troupe du Marais — avait économisé cinq ou six milles livres ; qu’elle était fille d’une mère qui n’avait pas
loin de contrecarrer sa vocation, lui fait une avance d’hoirie de 630 livres   ; et Marie Hervé, mère des Béjart, cautionne le
s que le prince de Conti fit donner à Molière une assignation de 5000 livres sur le fonds des étapes de la province. Dès cette
a fait distribution aux pauvres qui s’y sont trouvés de 1 000 à 1 200 livres , à chacun cinq sols. » II. Le Théâtre comique
nnaire de Géographie, sans parler d’une traduction en vers des quinze livres des Métamorphoses d’Ovide. En réalité c’est un fa
ragique ou comique. En d’autres termes encore, ils se croient sur les livres le môme droit que sur la vie, et les inventions d
as Corneille ? En Espagne, sans doute, ou encore, ou plutôt, dans les livres ; et à coup sûr Thomas ni Scarron n’en ont été le
59 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
ndé au corps, et mis au Châtelet pour une somme de cent quarante-deux livres . Mais un brave homme, Léonard Aubry, paveur des b
e Courcelles qui s’amusèrent à ces jeux piquants, on a pu dire que le livre des Caractères répondit à la curiosité d’un monde
14 août 1665, Louis XIV gratifia sa Troupe d’une pension de six mille livres  : dès lors, elle prit congé de Monsieur à qui ell
e à des intentions différentes, c’est-à-dire à celles qui séparent un livre d’une œuvre dramatique, et une miniature d’une fr
che, il le rend sien, et c’est encore la nature qu’il étudie dans les livres . Ce qui était bon devient alors excellent ; ce qu
ui gâte le savoir véritable. Quand son dépit va jusqu’à proscrire les livres , Molière ne veut donc point célébrer l’ignorance,
frère cadet, Nicolas Poquelin, la charge était appointée trois cents livres . 4. Âgée de trente et un ans. 5. Parmi les livr
intée trois cents livres. 4. Âgée de trente et un ans. 5. Parmi les livres qu’elle possédait se trouvaient Plutarque et la B
lit être proscrite, parce qu’un courtisan, l’ayant rencontrée dans un livre , ferma l’ouvrage (II, p. 111). Il y eut là de l’e
 111). Il y eut là de l’excès, du préjugé. 30. Riche de trente mille livres de rentes, il menait train libéral, dans sa maiso
se risque à une dernière infamie. 126. Nous renvoyons le lecteur au livre des Caractères, chapitre de la Mode. La Bruyère f
s, en douze gros canons, Moitié fer, moitié fonte, et qu’on vend à la livre  : Si vous voulez ainsi la somme, on vous la livre
et qu’on vend à la livre : Si vous voulez ainsi la somme, on vous la livre . 138. Pierre Larivey (1546-1611) appartenait à
-là ; chacun sait ce qu’il a appris. — Josse. Sentence de Sénèque, au livre de Moribus : unus quisque scit quod didicit. » Le
essée. Vadius est simplement un cuistre. Il vit dans la poussière des livres grecs et latins. Par sa brutalité d’orgueil et de
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
s Nymphes, la surprend endormie, l’enchaîne avec des fleurs, & la livre à Hilas, qui a la délicatesse de la débarrasser d
pour mort sur la place ; mais en étant revenu, il obtint douze mille livres de dommages. Il épousa ensuite secrètement la veu
61 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
cabales, ils suscitèrent contre lui les dévots119, on lui imputa des livres scandaleux ; on l’accusa d’avoir joué des hommes
s aussi protégé Molière. Il n’eut à la vérité qu’une pension de mille livres . La fortune qu’il fit par le succès de ses ouvrag
62 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
i l’ironie est impitoyable ; elle tue, elle brise, elle insulte, elle livre à la haine et au mépris l’homme auquel elle s’att
vre à la haine et au mépris l’homme auquel elle s’attaque, et elle le livre tout entier, sans lui tenir compte de quelques bo
s auteurs. Leurs textes qu’il citerait, seraient les ornements de son livre . En ne prenant que la fleur de la plus pure antiq
ins le payer avec usure s’ils disent magistralement qu’ils ont lu son livre , et qu’il y a de l’esprit ; mais il leur renvoie
63 (1871) Molière
rgeoisie : entrer chez le roi, avoir bouche en cour, avec trois cents livres de gages, et trente-sept livres dix sous de récom
voir bouche en cour, avec trois cents livres de gages, et trente-sept livres dix sous de récompense chaque année, pour un serv
comprenait les passions les plus innocentes. Il lisait, dans tous les livres anciens et nouveaux, les passages de la comédie,
otes. Même on a retrouvé, par grand bonheur, un billet de douze cents livres , consenti par Baron, au fameux fripon Rollet, et
64 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
s d’enterrement, qui sont la ressource d’un malheureux libraire qu’un livre in-folio a mis à l’hôpital ; l’idée singulière de
t te faire mettre au frais. Tu l’avais fait monter à sept cent trente livres , Et ton papier volant, tel que tu le délivres, Ét
ce que la famille de Regnard lui fit toucher une somme de douze mille livres , qui servit à payer sa rançon, celle de son valet
t pour un moment l’humeur indépendante et libre d’un homme absolument livre à ses goûts, et qui semblait ne changer de lieu q
65 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
r la voie de M. Le Mercier, imprimeur-libraire, rue Saint-Jacques, au Livre d’or. Les auteurs sur lesquels nous demandons des
r tout à fait à son service, en lui donnant une pension de sept mille livres  ; M. Molière et les principaux de ses compagnons
it ordonné mettait Molière en convulsion ; si on lui avait dérangé un livre , c’en était assez pour qu’il ne travaillât de qui
que tard, Allez voir chez le sieur Ballard, Qui de tout cela vend le livre , Que presque pour rien il délivre ; Si je vous me
age ne fût guère connua, ni des uns ni des autres. Un curé…3, dans un livre présenté au roi, décida que l’auteur était digne
t de même que les plus fous, Et leur sagesse eut du dessous. Un petit livre , dont je tire, Tout ce qu’ici je viens d’écrire*,
de les gouverner : il se contenta de lui laisser seulement huit mille livres de rentes, entre les mains de personnes qui les l
5 il obtint pour sa troupe le titre de Troupe du roi, avec sept mille livres de pension, mais sur les instances réitérées de s
é tellement irrités par Le Tartuffe que l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettait sur le compte de Moliè
content encor du tort que l’on me fait, Il court, parmi le monde, un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamn
e, un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamnable, Un livre à mériter la dernière rigueur, Dont le fourbe a l
e Hilaire, les sieurs Gaye et Langeais. *. [Note marginale] C’est le livre du ballet, imprimé chez Ballard. *. [Note margin
66 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
ncore préférable : hors ses propres faiblesses, il est possible qu’il livre toutes les autres aux libertés de la scène, et qu
e l’auteur, si Molière voulait faire des versions de tous les mauvais livres étrangers ? De même qu’un homme qui se noie se pr
, il veut absolument que je sois damné, c’est une affaire résolue. Ce livre , sire, a été présenté à votre majesté, etc. » Si
évident, par la comparaison du texte de ce placet et des passages du livre dont il se plaint, et qui était en effet assez vi
s Observations sur une comédie intitulée Le Festin de Pierre, sont le livre du curé de… qui, selon tous les commentateurs de
s traits isolés qui s’y rattachent, soit dans le monde, soit dans les livres  : il interroge Théophraste, Plutarque, La Bruyère
e cite à l’appui de son assertion qu’un discours d’Arlequin tiré d’un livre anonyme. Il semble qu’un aussi grand critique aur
67 (1900) Molière pp. -283
des gabelles, étaient exécutés en masse. Fléchier lui-même a écrit un livre prodigieux, étonnant, sous ce rapport, les Mémoir
élève Agnès pour en faire sa femme. Mais voici la merveille : à peine livre-t -il ses souffrances au théâtre, à peine cherche-t-
en indique que de ridicules, Molière met dans le même éloge des bons livres avec Les quatrains de Pibrac et les doctes table
uatrains de Pibrac et les doctes tablettes Du conseiller Mathieu… Un livre qui avait été traduit de l’espagnol et qui avait
s pécheurs, ajoute Gorgibus, Le Guide des pécheurs est encore un bon livre … Le ridicule dont Gorgibus est rempli rejaillit
rempli rejaillit un peu, — ce que Molière paraît chercher, — sur les livres recommandés par lui. Il est probable qu’à ce prem
pas tout. Arnolphe donne aussi à Agnès, comme Gorgibus à sa fille, un livre sain et bon à méditer. Ce livre, il l’intitule d’
Agnès, comme Gorgibus à sa fille, un livre sain et bon à méditer. Ce livre , il l’intitule d’un titre fictif, d’un titre inve
vre, il l’intitule d’un titre fictif, d’un titre inventé par lui ; le livre n’existe pas ; Molière calque sans doute le titre
ui ; le livre n’existe pas ; Molière calque sans doute le titre de ce livre sur celui de quelques maximes de dévotion ; il l’
n’importe quelle librairie de la rue Saint-Sulpice, on trouverait un livre intitulé comme cela. Molière n’y avait mis aucune
aractère vrai. Mais, par malheur, il a si bien trouvé le titre de son livre , et, suivant les procédés ordinaires de son génie
aient bien, Leurs ménages étaient tout leur docte entretien, Et leurs livres , un dé, du fil et des aiguilles, Dont elles trava
, aux Doctes Tablettes du Conseiller Mathieu, et même à cet excellent livre , Le Guide des Pécheurs. Seulement, comme il faut
e l’attention que nous leur portons. On a dit de Molière que son seul livre bien médité, bien lu, bien considéré, pouvait ten
fférentes saisons de la vie, comme des voleurs sur un chemin. Mais un livre comme celui de Molière les indique d’avance ; c’e
eut qu’un homme, dans l’aveuglement et dans l’héroïsme de l’amour, se livre tout entier. Passé l’âge de la première candeur a
ndemain il lui adresse un bouquet. Orgoluroule possède quarante mille livres de revenu ; ce n’est pas un impertinent. ——— Rien
68 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
abitude d’éparpiller ses notes sur tous les feuillets de papier et de livres qu’il rencontrait, n’a pas laissé, je crois, un s
ans de nombreuses variantes. Il en est de Molière comme de ses autres livres  ; une des causes de mon retard dans la publicatio
y a des arts » à la p. 133 et va jusqu’à la fin de la p. 134 de mon livre  : « L’empereur par Canova. » Ce manuscrit, qui
s pièces dont (f. 113) la copie de la traduction partielle du premier livre de Y Iliade de Lebrun ; lire f. 125 verso la cons
a mauvaise reliure de son dos le titre que je transcris ci-dessus. Le livre était accompagné de la lettre suivante : V. d’Avr
iche broderie, nommée le gouvernement des deux Chambres. » Parmi ses livres , il y a un volume des classiques latins percé d’u
mplaire de M. le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul à qui je dédie ce livre en témoignage d’une ancienne et sincère amitié. H
ène première Alceste, Philinte Alceste ……… Il court parmi le monde un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamn
e, n’est pas l’avare pur ; on répond que l’Avare pur ayant cent mille livres de rentes et vivant avec 10 sols par jour, ne don
us l’habitude ; il faut que l’ennui que m’inspirent la société et les livres me jette dans le travail. Cela posé. Quel est le
, dans le Juif de Venise, qui veut couper en vertu de son contrat une livre de chair à Lotharic ; mais cela ne fait ni rire n
Clitandre, Henriette, Martine MARTINE Un mari qui n’ait point d’autre livre que moi, Qui ne sache A ne B, n’en déplaise à mad
le. J’en ai de quoi remplir deux pipes : …………….* * Voyez au Chapitre Livre la définition de ces mots. 78. Page 73 - LE DIS
69 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
s ; soyez homme de foi. C’est peu d’être agréable et charmant dans un livre  : Il faut savoir encore et converser et vivre185.
sans en être capables. Aujourd’hui, la censure ne s’occupe guère des livres que pour réprimer quelques paroles trop hardies c
maginaire, act. III, sc. III). — Voir sur cette question, qui vaut un livre à elle seule, M. Raynaud, les Médecins au temps d
70 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
sprit, sur la patrie et sur la religion, car ce serait recommencer ce livre  ; mais on répète que des pensées si hautes et si
oif le vin que nous buvons, et nous interdisons à nos adolescents les livres que nous lisons. Il en est de même du théâtre. Ah
    Voyez un peu la belle affaire !   Ce que je n’ai point fait, mon livre iroit le faire ! 830. Voir surtout chap. IV, I
71 (1910) Rousseau contre Molière
billet frauduleux, ainsi que je l’ordonne, Comme faussaire ici je le livre à la loi. Je demande, je veux qu’on l’arrête ave
seulement une leçon ; car ils auraient pleinement raison, et de tout livre il faut qu’on puisse tirer une leçon, leçon de bo
mpossible même qu’il ne flatte agréablement sa manie. Inversement, le livre d’imagination vertueux peut avoir de très bons ef
! Et il est ridicule et un peu bête parmi tout cela. Il s’occupe des livres de lecture des femmes de chambre et de leur décol
t des ardeurs religieuses immodérées, on décrédite à leurs yeux et on livre à leur mépris ceux qui ont le sentiment religieux
est une école de vices et de mauvaises mœurs plus dangereuse que les livres mêmes où l’on fait profession de les enseigner. »
urs vrai, parce que l’on ne peut pas en vérifier l’exactitude dans un livre d’histoire et qu’on serait forcé d’en croire l’au
ions.   Je me rappelle deux faits intéressants sur ce point. Dans un livre dont j’ai oublié le titre, l’auteur racontait l’h
ux dire, si vivant dans son âme, que ce qu’il a de plus beau dans ses livres , c’est ce que cet amour lui inspire et qu’on peut
livres, c’est ce que cet amour lui inspire et qu’on peut dire que ses livres et les parties de chacun de ses livres sont beaux
ire et qu’on peut dire que ses livres et les parties de chacun de ses livres sont beaux en proportion de ce qu’ils se rapporte
’air dont il faut vivre, Instruit mieux, à mon gré, que ne fait aucun livre . Dans l’École des Femmes, on entend ces discours
vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d’étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas, Et hors un gros Pl
aient bien. Leurs ménages étaient tout leur docte entretien, Et leurs livres un dé, du fil et des aiguilles, Dont elles travai
our quoi on a vu qu’elle n’était point faite, et elle n’aura lu aucun livre , sauf Barrème et Télémaque ; et encore celui-ci p
parée qui n’attend que le grain pour rapporter. Elle n’a jamais lu de livre que Barrème et Télémaque qui lui tomba par hasard
se défendre il faut être égal à l’adversaire. Et voici que reviennent livres d’histoire, livres de morale, livres de prosateur
être égal à l’adversaire. Et voici que reviennent livres d’histoire, livres de morale, livres de prosateurs et de poètes, tou
ersaire. Et voici que reviennent livres d’histoire, livres de morale, livres de prosateurs et de poètes, tout ce que recommand
usseau donne à Sophie. Il veut qu’on lui enseigne, non, donc, par les livres , mais, sans doute, par des conversations et quelq
; mais si la jeune fille ne peut pas et ne doit pas acquérir dans les livres la connaissance des cœurs humains et si, d’autre
e, et alors que devient Sophie, l’idéale Sophie, élevée, sans un seul livre , sans un seul voisin de campagne, par son père et
’elle la connaisse ; 2° pour se dégoûter du monde : « Le monde est le livre des femmes. Quand elles y lisent mal, c’est leur
’air dont il faut vivre, Instruit mieux, à mon gré, que ne fait aucun livre … Et je ne m’en suis pas, grâce au ciel, repenti.
ées de l’Emile (déjà), c’est-à-dire en ne leur apprenant rien par les livres . On voit par ses lettres qu’elle a l’art ou le do
72 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
lie, où se voit encore la trace des lecteurs oisifs, voilà, voilà mon livre , et ma vie entière, et mon âme, et mon talent, et
sceptre ; la comédie a ses causes, la critique a les siennes ; pas un livre et pas une censure de ce livre qui n’eût sa raiso
es, la critique a les siennes ; pas un livre et pas une censure de ce livre qui n’eût sa raison d’être. Tu te plains que ton
ites, et déjà plein d’Aristophane et de Térence, voilà Molière qui se livre aux enchantements de la vie errante du comédien n
ien nomade. Vie enchantée, à vingt ans ; le bonhomme Scarron, dans un livre qui ne vaut pas le bruit qu’il a fait dans son te
ène. Quand vint Molière, le Français n’était guère à la mode dans nos livres , dans nos tableaux, dans nos romans, même au théâ
s. Voilà un pauvre homme qui est le martyr de son imagination, qui se livre en pâture à tous les charlatans qui l’entourent,
journal, et qui impatientait le lecteur du journal, devient légère au livre et au lecteur du livre. — Ah ! te voilà, ma chère
ntait le lecteur du journal, devient légère au livre et au lecteur du livre . — Ah ! te voilà, ma chère préface que j’écrivais
fille que Molière ne ménage pas. Nous en avons vu beaucoup, dans les livres et dans les comédies du siècle passé, de ces sort
les plus nobles esprits de ce temps-là, valait à elle seule tous les livres qu’on pouvait écrire en faveur de Descartes. Il e
e traite guère que la dernière des servantes. Et pendant que Bartholo livre son menton au rasoir, pendant que le barbier couv
trois fois depuis ce temps, la dynastie de Louis XIV a été effacée du livre d’or de la France ; Molière cependant, debout au
ne agréable nouvelle ; Marivaux a fait, de l’histoire de Marianne, un livre en deux tomes. C’est à l’écrivain qui écrit, chaq
73 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [80, p. 121-126] »
imitations, aucune encore n’a égalé son original. 270. Ode à Lydie, Livre II, 9. 271. Le Devin du village, comédie en 1 a
74 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
trepris pour les démasquer. Un curé de Paris publia contre Molière un livre où sa comédie était qualifiée de diabolique, et l
ts qu’on n’avait pas encore aperçus. Je parle de La Bruyère. Dans son livre des Caractères, il oppose au Tartuffe de Molière,
, il a repris toute sa prudence ; loin de se livrer, il veut qu’on se livre à lui d’abord, qu’on lui donne des gages ; et, s’
aire rapporte, en deux endroits de ses œuvres, une aventure tirée des livres sacrés des Brames, laquelle ressemble parfaitemen
75 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
e ne voulut pas rester neutre : il se déclara par une pension de 1000 livres à Molière. De là, le Remerciement au Roi, causeri
ignes, semaient, à petit bruit, le poison. Il venait de s’imprimer un livre terrible, dit Grimarest, dont l’auteur, s’il eût
u : ils insinuèrent doucement qu’il n’y avait pas à punir, puisque ce livre venait d’un impie protégé par Sa Majesté. Molière
acte du Misanthrope, il y mit ces vers : Il court parmi le monde un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamn
de un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamnable, Un livre à mériter la dernière rigueur Dont le fourbe a le
petit sens, mon petit jugement, je vois les choses mieux que tous les livres , et je comprends fort bien que ce monde que nous
onse : il dotait les comédiens de Molière d’une pension de sept mille livres , leur faisait de magnifiques présents : machines
tant de plaisir, dit Grimarest, lui avait coûté deux mille cinq cents livres , et il était presque neuf. Il assaisonna ce prése
it beaucoup d’ordre ; il se faisait un revenu de plus de trente mille livres , fortune considérable pour l’époque, et qui pouva
son côté intraitable. Une fenêtre ouverte ou fermée mal à propos, un livre déplacé, suffisaient pour le mettre en colère, co
76 (1735) Moliere (Supplément au Grand Dictionnaire historique) « MOLIERE, (Jean-Baptiste Poquelin) poëte comique, etc. » p. 82
dit, ce qui est vrai, qu’il n’en eut jamais qu’une qui était de mille livres . Moliere se maria, choisit fort mal sa compagne,
77 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
omédie après Molière. En dépit du titre un peu compromettant de notre livre , Histoire dramatique, etc., nos lecteurs ne doive
œuvre et sa tache ! Encore le lecteur et surtout l’auteur du présent livre se doivent-ils estimer heureux de cette espèce d’
t question de la comédie et de ses alentours dans les chapitres de ce livre , raconter, par des exemples, les derniers moments
ant, l’empreinte de ses pas. Plusieurs lecteurs curieux qui lisent un livre , uniquement pour apprendre quelque chose, qui fon
mot de L’Avocat Patelin ? Pourquoi cette histoire (il est vrai que ce livre est mal nommé) ne remonte pas plus haut que Moliè
donner à ceux qui la servent. — Un histrion qui gagne cinquante mille livres par an, disait un lieutenant-général à Lekain. — 
il a perdues ! Que de belles pages il a données à son voisin ! Que de livres il a fait signer par ses amis, par le baron d’Hol
L’admirable découverte, ce paradoxe sur le comédien ! Étudiez ce beau livre  ; il vous démontrera tout d’abord que le vrai com
ène. — Art étrange ! où c’est l’homme qui se possède le mieux, qui se livre aux plus féroces emportements ; où c’est le cœur
la plus certaine d’être immortel ! Empêtrez votre gloire dans de gros livres , entourez votre nom d’une foule de créations, l’a
aucoup produit, il faut se souvenir de tous ses tableaux, de tous ses livres , de tous ses drames ; c’est là une petite vanité
où le nom du docteur Blanche apparaît pour la première fois dans mon livre , voici qu’il meurt à son tour, ce galant homme, e
seigneur, de mettre votre nom à la tête d’une armée qu’à la tête d’un livre  ». Le prologue latin, au contraire, s’inquiète as
-en sûrs, elle ne sera pas inutile à la Didon, l’héroïne du quatrième livre . À cette comédie de Térence, commence la langue v
réserve. Horace s’est contenté d’en traduire quelques vers (satire 3, livre  II) ; Perse en a traduit une scène (satire 5) ; —
e grecque n’appartient à aucun genre, elle n’est pas définie dans les livres  ; Aristote lui-même, qui s’est occupé des moindre
hantent, des fleurs qui fleurissent, des tableaux et des marbres, des livres qui murmurent leurs plus nobles pensées, des pauv
homme de trente-huit ans, ce savant modeste, qui aime tant les beaux livres et les oiseaux chanteurs, ne lui déplairait guère
ulé plus que jamais leurs ridicules et leurs vices. Ce serait un beau livre à faire, celui-là : l’influence de cette grande c
s que sa chaîne lui parut lourde il se racheta au prix de douze mille livres — encore son maître eut-il un fort chagrin de per
balayé avec soin ; sur cette table en sapin reposaient de vieux bons livres , les derniers amis du pauvre ; ceux-là qui vous t
à poursuivre ces variantes dans les usages et dans les mœurs, que ce livre est consacré), voilà ce qui arrive lorsqu’on se t
en est déjà venue à donner des arrhes ; madame Patin a quarante mille livres de rentes, la baronne en aura soixante mille si e
78 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
. de Balzac, imprimée dans la seconde partie de ses Lettres choisies, livre  III, lettre IX, qui contient l’éloge de la derniè
Scarron, et ce qu’il y a de plus beau dans la dernière est tiré d’un livre intitulé : Les Nuits facétieuses du Seigneur Stra
ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt mille livres à Raisin. Le bruit de cette épinette alla jusqu’a
puisque celui qui lui répond en parle ainsi : Mais lorsque je vois le livre de cet inconnu, qui, sans se soucier du tort qu’i
es jugements sur ses ouvrages. [*]. [Note marginale] Article 8 du 2e  livre , p. 157-164. *. [Note marginale] Livre premier,
te marginale] Article 8 du 2e livre, p. 157-164. *. [Note marginale] Livre premier, article 4, p. 52, 58, et article 6, p. 7
[Note marginale] Observations sur la comédie, et le génie de Molière, livre  II, p. 104-111. *. [Note marginale] Ibam forte
04-111. *. [Note marginale] Ibam forte via sacra , Hor., satire IX, livre premier. *. [Note marginale] Voyez la préface de
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
arté a dans ce siecle : ils ont lu ce qu’ils disent dans de fort gros livres , & ils le répetent sans malice comme sans réf
tons pas les mauvais acteurs qui ne le perdent pas plus de vue que le livre du souffleur. Tout le monde sait ce qui arriva da
80 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60
 ; il ordonne à la Montagne, son valet, de suivre l’infidelle ; il se livre seul à ses réflexions jalouses, quand Léandre vie
nie ; il la donne alors sans prétention ; c’est un enfant perdu qu’il livre au caprice du public : s’il fait plusieurs actes,
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « De l’Imitation en général. » pp. 1-4
coup dont il frappa lui fut enfin rendu. Si, par malheur, un jour son livre étoit perdu, A le chercher bien loin, Passant, ne
82 (1732) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1732) [graphies originales] « article » pp. 45-46
oyal, où il joua ses comedies en 1660. Il obtint une pension de mille livres en 1663. En 1665. sa troupe fut arrêtée au servic
83 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
ait pour divertir Sa Majesté, daigna l’honorer d’une pension de mille livres . On voit dans ses Ouvrages le remerciement qu’il
ant, à ce que l’on dit, jamais été saigné. Et l’on rapporte dans deux livres de remarques que Mr de Mauvilain, et lui, étant à
ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt mille livres à Raisin. Le bruit de cette épinette alla jusqu’a
r tout à fait à son service, en lui donnant une pension de sept mille livres . Elle prit alors le titre de la Troupe du Roi, qu
e donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille cinq cents livres , et il était presque tout neuf. Il assaisonna ce
tellement irrités par le Tartuffe, que l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettait sur le compte de Moliè
n content encore du tort que l’on me fait, Il court parmi le monde un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamn
de un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamnable, Un livre à mériter la dernière rigueur, Dont le fourbe a l
lsion ; il était petit dans ces occasions. Si on lui avait dérangé un livre , c’en était assez pour qu’il ne travaillât de qui
84 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre IV. — Molière. Chœur des Français » pp. 178-183
été, la lecture de ce grand poète pourrait lui tenir lieu de tous les livres de morale et du commerce de ses semblables253. La
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
les victimes. Je vais plus loin. Supposons pour un moment qu’on nous livre les vices de toutes les professions : supposons q
les laisser en repos. Les uns cent pistoles, les autres quatre cents livres  ; qui, cent écus, plus ou moins, selon les affair
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
acheter lui-même. Le Docteur fait le marché. Dans le moment qu’on lui livre Turqueta, & qu’il va la remettre entre les ma
ît Cassendre son pere, & répond de sa probité à Arlequin, qui lui livre Turqueta. Elle demande quelques jours pour voir l
87 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
es prennent un époux, à payer chacune à Valere un dédit de cent mille livres . Voilà l’avant-scene. Frontin, valet de Valere,
re, entreprend de faire avoir bien vîte à son maître deux cents mille livres . Pour y réussir, il se déguise & cajole les d
88 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
on, la reliure d’une Imitation de Jésus-Christ : c’est « le plus beau livre qui soit sorti de la main des hommes, » on veut b
erade, auteur des vers, — c’est-à-dire des complimens glissés dans le livre de ballet, ou programme distribué aux spectateurs
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533
je ne croyois pas que ma fille fût si habile, que de chanter ainsi à livre ouvert, sans hésiter. Cléante.    Hélas ! belle P
le sentiment d’un cœur foible & passionné ? Toute l’assemblée se livre naturellement & presque machinalement à l’imp
otre ame refuse de se prêter à cette espece d’enchantement ; elle s’y livre au contraire avec transport, elle réalise tout ce
90 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
n’était pourtant point absolument neuf, attendu qu’il existe un gros livre d’une érudition énorme, tout rempli, tout farci d
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
à quelque chose. — Vous devez me connoître, me dit-il, j’ai fait des livres . — Soit, je vous en estime davantage. | Je mouroi
it Chanoine de Chartres. Henri IV lui donna une pension de deux mille livres sur l’Abbaye de Vaux dont son oncle étoit revêtu.
92 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
aits épars qui circulent dans le monde, ou qui sont enfermés dans les livres , sont peu de chose pour l’écrivain, pour le poète
ne détournait sûrement pas ses regards, pour aller chercher dans les livres ce qui se présentait à lui de toute part. Je ne t
t, ne sauraient les châtier suffisamment Que fait alors le poète ? Il livre l’un de ces coupables à la vengeance du ciel, et
, chanta le rôle d’un des deux médecins grotesques. Il est inscrit au livre du ballet sous le nom de il signor Chiacchierone,
93 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
Nous l’ignorons; ce fripon, qui publiait, nous dit-on, en 165937, un livre édifiant intitulé L’Intérieur chrétien 38, a bien
est reproduite avec éloge, jusqu’au milieu du xviie siècle, par des livres jansénistes. Parmi les prélats à qui cet éclat fo
bibliothèques. Ils sont aussi réimprimés partiellement dans un vieux livre de 1754 que me signale l’obligeante érudition de
, dans les Œuvres posthumes de René Grousset. Paris, 1906; l’index du livre de Victor Giraud sur Pascal, Paris, 1905, au mot
94 (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605
oyal, où il joua ses comédies en 1660. Il obtint une pension de mille livres en 1663. En 1665, sa troupe fut arrêtée au servic
95 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
ujets qu’il est peut être impossible de traiter parfaitement dans les livres ou dans les sermons1 » Décrire l’homme d’après n
passions, pas plus les exemples de vertu exposés sur la scène que les livres de morale ne les feront disparaître ; ils ne cess
préceptes qu’il a semés à profusion dans ses œuvres? Est-ce dans les livres de morale ? Non. Cette source réside dans les fac
mour-propre par son abandon de la part de Clitandre, aussitôt elle se livre contre lui à des injures qui sont on opposition a
le pardon de son mari et d’éviter le courroux de ses parents, elle se livre à des protestations hypocrites de repentir que l’
tionnels, les bons sentiments), je vois les choses mieux que tous les livres . » Je recommande ces lignes à l’attention des ph
e aux conseils de la sagesse, qu’il est incapable d’apprécier ; il se livre contre ses adversaires à des paroles inconvenante
termes: « L’esprit n’est point du tout ce qu’il faut en ménage. Les livres cadrent mal avec le mariage ; et je veux, si jama
je veux, si jamais on engage ma foi, un mari qui n’ait point d’autre livre que moi, qui ne sache A ne B, n’en déplaise à Mad
96 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
’idée principale de cette Comédie [L’École des femmes] est tirée d’un Livre intitulé : Les Nuits Facétieuses du Seigneur Stra
reçu de Troupe, en deux payements, la somme de deux mille deux cents livres , tant pour moi que pour M. Corneille, de laquelle
ontents encore du tort que l’on me fait, Il court, parmi le monde, un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamn
de, un livre abominable, Et de qui la lecture est même condamnable Un Livre à mériter la dernière rigueur, etc. 1801, Moli
ouvrage ne fût guère connu ni des uns ni des autres. Un Curé, dans un livre présenté au roi, décida que l’Auteur était digne
La Flèche. En mars 1670, il prit sa retraite avec une pension de 1000 livres , et mourut le 13 octobre 1678. (DLF XVII p. 129)
existence difficile. Il rédigea les récits du voyageur Tavenier. Son livre sur le théâtre est l’unique ouvrage qui, au XVIIe
il fut reçu à l’Académie en 1639, et comme il avait publié en 1640 un livre intitulé : De l’Instruction de M. le Dauphin, Ric
97 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
tes de toutes les opinions antérieures. Nul temps n’a produit plus de livres critiques ; et quand notre critique s’applique à
e l’historien écrit sous l’empire de certaines idées morales, que ses livres sont de grands tableaux de l’expérience humaine,
98 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
ces saints, dont notre race a écrit les noms immortels, non dans ses livres , mais dans son cœur. Amour magnifique, chrétien e
NOTES SUR GASSENDI. Ces pages étaient déjà écrites quand a paru le livre de M. Jeannel, dont nous avons parlé dans notre p
de M. Jeannel, dont nous avons parlé dans notre précédent article. Ce livre nous réservait une surprise. Il devait nous appre
99 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
utre défaut, sinon qu’on ne le saurait lire, Et pour faire goûter son livre à l’univers, Croit qu’il faudrait en prose y mett
moiselle de Sévigné sa fable du Lion amoureux, qui est la première du livre  IV. Cette fable, lui dit-il,          Vient à vo
100 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
ique ; et je ne vois guère de bonnes raisons d’accepter ce passage du livre comme une page d’Évangile alors qu’on repousse le
Je ne spécifie pas : car c’est un petit trésor de pornographie que ce livre , — mieux écrit toutefois que la littérature qui s
, un dessous politique et social ? C’est ce qui a été examiné dans un livre récent, l’Enigme d’Alceste, et l’auteur, qui est
, des hypocrisies florissantes, Alceste, dit M. du Boulan, Fauteur du livre que je viens de désigner, a été l’expression, mie
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