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1 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
l’art et de la poésie des jugements d’éloge ou de blâme, la critique littéraire n’a jamais douté d’elle-même. Elle n’a jamais dou
puissance et de son droit de dogmatiser, de juger d’après des dogmes littéraires . Et puis, il y a tel dogme, tel jugement dont ell
son ou, ce qui vaut mieux, la nature ; au fond de toutes vos théories littéraires il y a un sentiment, pas autre chose, analogue, n
continuent nos sceptiques, il n’est plus permis de faire des théories littéraires . Vingt-cinq siècles d’histoire littéraire se char
rmis de faire des théories littéraires. Vingt-cinq siècles d’histoire littéraire se chargent de les réfuter toutes. En voulez-vous
fs-d’œuvre pour la démentir. Mais nous exagérons, il y a des théories littéraires , universelles et incontestables : Si nous recevon
matique justifient ou croient justifier leur aversion pour les dogmes littéraires . Quant à leur propre doctrine à eux, la voici : L
qui naissent en nous spontanément avant toute réflexion : la critique littéraire n’est que l’analyse des sentiments littéraires. F
réflexion : la critique littéraire n’est que l’analyse des sentiments littéraires . Fions-nous à toutes les impressions du beau et d
nge de nous garder des théories et des définitions, qui ôtent au sens littéraire sa candeur naïve, et de la logique, qui lue la li
base ! De quelle façon pourrez-vous éviter par-là dans vos jugements littéraires (car vous jugez aussi) l’étroitesse, l’exclusisme
et la passion ? La véritable largeur n’est point dans la sensibilité littéraire  ; elle est dans l’intelligence, et le plus bel em
ce livre.. Nos trois écoles sont les grandes divisions de la critique littéraire . Mais ces divisions comportent d’autres subdivisi
race, et ainsi, d’abstraction en abstraction, il raréfie la critique littéraire . Alexandre Vinet croit ressaisir dans les idées d
que l’école dogmatique sent lui échapper. Entre ses mains la critique littéraire devient une sorte d’apologie du christianisme. Ce
nt pas compris dans le plan de notre étude. Non seulement la critique littéraire comporte d’autres divisions que celles que j’ai i
ssi vif que celui de Goethe. Voltaire et Boileau sont deux sensitives littéraires , et leurs dogmes, moins raisonnés que sentis, pou
cle, Virgile, Racine, Goethe, vraiment trop superflus dans l’histoire littéraire . Il faut l’avouer : nos trois écoles sont un peu
chaque chose est mise en question, examine la question de la critique littéraire  : 1º le moment dogmatique (l’esprit humain affirm
2 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
Il y a aujourd’hui une question pendante, la question de la critique littéraire . Un autre l’eût d’abord résolue ; pour moi, j’ai
la science humaine peut résoudre au moins la question de la critique littéraire , qui confesse sa propre ignorance sans y condamne
ce pas, une théorie de la critique faisant leur juste part aux dogmes littéraires , au sentiment littéraire, à l’histoire littéraire
critique faisant leur juste part aux dogmes littéraires, au sentiment littéraire , à l’histoire littéraire ? Or, je vois bien ce qu
te part aux dogmes littéraires, au sentiment littéraire, à l’histoire littéraire  ? Or, je vois bien ce qu’il y a de bon, ce qu’il
e davantage. L’école historique, cela est évident, annule la critique littéraire . Considérant toutes les œuvres de toutes les litt
nsidérer dans l’unité et la pureté de sa doctrine, annule la critique littéraire au sens où le langage a toujours entendu le mot d
’est qu’il n’y a point de canon unique de la beauté, de la perfection littéraire , et qu’il faut presque autant de mesures et de ba
tions particulières qui composent la question générale de la critique littéraire . Le goût a ceci d’original, qu’il est subordonné
au. Voltaire n’a pas tout à fait tort de trouver que les vifs dégoûts littéraires sont le prix des plus délicieuses jouissances lit
ifs dégoûts littéraires sont le prix des plus délicieuses jouissances littéraires , et que, pour bien aimer certaines choses, il fau
, et que je ne me mêle pas de concilier les délicatesses du sentiment littéraire avec la magnifique tolérance de l’esprit historiq
e de cette école. Elle a conquis et gardera toujours dans la critique littéraire la part du lion. Seulement, je souhaiterai à cett
3 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
hie à l’étude des grandes œuvres de la pensée, a ouvert à la critique littéraire une voie nouvelle, bien des gens s’y sont précipi
btiles et raffinées ; les secrets les plus intimes de leur conscience littéraire exposés avec une intrépidité sans égale par des g
rmi les lieux communs historiques auxquels la question des influences littéraires a donné lieu, il en est un dont les conséquences
s contestons, c’est la part que l’on veut faire au roi dans la gloire littéraire du XVIIe siècle, de ce siècle qu’on a si impropre
. Or, que l’on compare cette génération, antérieure par son éducation littéraire au règne de Louis XIV, avec celle qui va suivie,
c’est le mot qui l’avait fui. Sa vraie supériorité est dans la satire littéraire  ; dans la satire morale, il est déclamateur : c’e
arler que de vers, et des siens ; mais c’est une nature exclusivement littéraire , et qui ne dut subir que des influences du même g
a première fois à Louis XIV, en 1669, il avait déjà écrit ses satires littéraires , et ce qui est notable, c’est que, au sortir de c
ui, en dépit des dates, attribuent à l’influence de Louis XIV l’éclat littéraire des premières années de son règne, se piquent au
vernement ? La langue a suivi, comme toujours, les destinées du génie littéraire . Ce n’est plus le parler mâle et franc de Molière
prompte décadence, et, Ovide une fois exilé, silence absolu. Le génie littéraire n’a-t-il pas suivi les mêmes phases sous le règne
d’Auguste, celui de Louis XIV, loin de commencer une nouvelle époque littéraire , continue d’abord une glorieuse période qu’il clô
ritable dépérissement, qu’en faut-il conclure ? C’est que l’influence littéraire du grand roi a été ou nulle ou fatale. Je sais qu
moyen. Le vulgaire d’ailleurs, trop disposé à assimiler la production littéraire à toutes les autres, croit volontiers que pour av
fait Virgile ; mais il a tué Cicéron. C’est, de toutes ses influences littéraires , la seule qu’il ne soit pas permis de contester.
4 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
me le Chevalier. Il professe aujourd’hui et applique dans la critique littéraire les doctrines de l’école historique. N. B. Dans
tude nouvelle par Dorante. Chapitre premier. — Critique du dogmatisme littéraire Vous avez raison, Madame, de les trouver étra
Critique de l’École des femmes, scène vii. En quoi le dogmatisme littéraire de notre temps diffère de celui du dix-septième s
té à ce modèle divin, et nous avons trouvé le principe de la critique littéraire . L’analyse dissipé cette illusion. Prenons le Tar
ommes consolés par la considération du peu d’avantage que la critique littéraire en retirerait. Eh bien, je crois que cette pensée
et à tous les poètes, les prendre pour le grand objet de la critique littéraire , c’est, sous une apparence de profondeur philosop
        La Critique de l’École des femmes, scène vii. La critique littéraire Que l’on se figure mon joli ami le Marquis, M.
das sait qu’on l’observe. Il est connu dans le monde philosophique et littéraire pour être le profond et savant contempteur de Mol
du mauvais, du beau et du laid, du vrai et du faux, un véritable tact littéraire . Uranie, c’est la critique308. Problème du goû
otions. Comme elle se moque à présent des théories et des définitions littéraires  ! Quel bonheur d’avoir l’esprit au large, et de s
n, avec la prétention de resplendir seul au zénith. Si les sentiments littéraires d’Uranie sont indépendants de toute espèce de log
310 : il s’ensuit que le goût d’Uranie est libre vis-à-vis des dogmes littéraires auxquels M. Lysidas voudrait l’assujettir. Mais i
explique les variations, les défaillances et les erreurs du sentiment littéraire chez Uranie. Il explique pourquoi le Marquis et M
e dans la sévérité facile qui condamne tout313. Ainsi, les sentiments littéraires d’Uranie ne dépendent point des théories littérai
, les sentiments littéraires d’Uranie ne dépendent point des théories littéraires , ni des prétendues notions innées du beau, du com
, de définitions et de théories. Elle a peur, dans tous ses jugements littéraires , de contredire un dogme. La logique la mène et la
ue me semble une profession du même genre que la cuisine. La critique littéraire n’est ni un art, ni une science ; c’est une routi
5 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
Notice historique et littéraire sur L’Amour médecin Le roi demande à Molière
inées avec une sagacité qui lui fait honneur. Notice historique et littéraire sur Le Misanthrope Depuis le chef-d’œuvre de
ne centaine de recueils d’anecdotes, et autant d’ouvrages de critique littéraire . Je n’ai qu’une arme ; mais elle est sûre : c’est
e, cela se peut ; mais ce n’est pas ce que dit l’anecdote. L’histoire littéraire abonde plus que toute autre histoire peut-être en
der comme le possesseur. Voilà de ces faits honorables que l’histoire littéraire peut adopter sur la foi de la tradition, sans les
our la scène : peu de vérités ont été plus fécondes pour notre gloire littéraire . Rousseau n’avait pu venger le sauvage Alceste de
eçons de sagesse et de bonté dont il profite. Notice historique et littéraire sur Le Médecin malgré lui Le Médecin malgré
us grand concours de spectateurs. Il me semble que, comme singularité littéraire , la vérité vaut bien l’erreur si accréditée qu’on
n’apercevait pas d’exemples chez les anciens. Notice historique et littéraire sur Mélicerte et sur La Pastorale comique La
ue pouvait en faire Guérin fils ? 1. Voir la Notice historique et littéraire sur Le Misanthrope.
6 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
        La Critique de l’École des femmes, scène vii. La critique littéraire Il y avait une fois trois cuisiniers (le Cheva
ier de m’avoir si bien ôté le regret de mes trop ingénieuses théories littéraires , en crevant de ses coups d’épingle toutes ces jol
c’est ma conviction. Mais, comme il s’imagine avoir fondé la critique littéraire sur quelque chose en la fondant sur le goût, avan
osophes modernes suspendus aux lèvres d’Uranie, dans ce grand banquet littéraire où Molière et tous les poètes convient l’humanité
voir à l’œuvre dans les livres qu’il aime, dans toute cette critique littéraire au petit pied qui ne se targue pas de philosophie
qui sont deux tristes et suffisants exemples de la barbare antipathie littéraire que peut avoir une nation civilisée pour sa voisi
ement comme M. de La Harpe lorsqu’il était en chaire. Notre sentiment littéraire s’émancipe tellement, nous songeons si peu à exer
fié. Il n’y en pas un qui n’ait son opinion toute faite sur le mérite littéraire de Molière, de Racine, de Boileau, opinion formée
un salon, où elle n’est pas une méthode, mais un instinct, l’instinct littéraire , se donnant carrière librement, avec ses exagérat
en fâché de lui chercher noise auprès des amateurs de fines remarques littéraires . Mais, sans contredire La Harpe, sans troubler le
ir l’ardeur des combattants380. On peut blâmer cet énorme contresens littéraire de Plaute ; mais à quoi bon, quand, pour le compr
un certain moment de leur histoire. Esprit général de la critique littéraire Ainsi, une littérature, un poème, quelquefois
ens, à des femmes, de garder sur leurs yeux le bandeau du patriotisme littéraire  ; les collégiens sont ignorants, et les femmes so
versité de la nature389. Il n’y a ni beautés, ni défauts dans l’ordre littéraire  ; car, sans les défauts les beautés ne seraient p
out, il ne louerait rien. Les cris d’admiration, les oh ! et les ah ! littéraires , dans lesquels le Chevalier paraît faire consiste
s jamais il ne sera naturaliste393. » Le critique qui dans l’histoire littéraire célèbre l’indépendance de la Muse, et s’imagine q
istoire, et, pour borner le champ de notre réflexion, dans l’histoire littéraire , un seul fait, un seul ouvrage assez capricieux,
er s’est amusé à démontrer la vanité de la méthode suivie en critique littéraire par ce pauvre Schlegel, ainsi que par Jean-Paul,
ophes nous en apprennent plus long sur la formation de leurs théories littéraires , et par là sur leur valeur, que toute la critique
ts de Gustave Planche ? Certes, si j’avais à entreprendre l’éducation littéraire d’un enfant, je ne lui enseignerais pas d’autre c
ne puissance moins redoutable que la noblesse, contre le mauvais goût littéraire du temps, que Molière fit ses premières armes. La
ppelons au lecteur, que la personnification du dogmatisme en critique littéraire , dans ses trois évolutions successives : l’autori
tre à l’Académie française sur l’éloquence. 366. M. Villemain, Essai littéraire sur Shakespeare. 367. L’aveuglement d’esprit d
7 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
ne sans peine l’élément important que lui a transmis la double veine, littéraire et populaire, de l’art italien ; élément importan
d’une époque parce qu’elle n’enfante point des œuvres artistiques ou littéraires de premier ordre : elle les ébauche, elle les ren
dernier mot ; sur notre sol ou dans d’autres régions, un grand siècle littéraire succédera aux grands siècles littéraires du passé
tres régions, un grand siècle littéraire succédera aux grands siècles littéraires du passé. Nous savons du moins, par l’expérience
8 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
Notice historique et littéraire sur Les Précieuses ridicules La comédie des
ie, enfin l’art et la main d’un grand maître. Notice historique et littéraire sur Le Cocu imaginaire Sganarelle, ou le Coc
t l’usage n’eussent pas encore bien établi les droits de la propriété littéraire , du moins quant à l’impression des ouvrages drama
pour exprimer ce que Sganarelle croyait être. Notice historique et littéraire sur Dom Garcie de Navarre Dom Garcie de Nava
où Molière se préparait à enfanter les siens. Notice historique et littéraire sur L’École des maris L’École des maris fut
ant les suffrages presque universels qu’il a obtenus. Le même préjugé littéraire , qui condamne injustement les dénouements de Moli
t encore pour un excellent auteur comique. » Notice historique et littéraire sur Les Fâcheux Tout le monde sait que Nicol
gloire que j’ai voulu revendiquer pour lui, c’est un point d’histoire littéraire que j’ai cru devoir établir. L’invention des pièc
9 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
français vers 4845, ont défrayé pendant plusieurs années la critique littéraire et servi d’aliment à l’avidité archéologique de l
e, l’âge d’or de la poésie lyrique, marque, dans le nord, l’avènement littéraire de la langue parlée. Cette langue, qui va bientôt
ter à des assertions audacieuses, de ne pas plus croire à la grandeur littéraire qu’à la civilisation du moyen-âge, de ne pas sacr
âce à cette sorte de renaissance nationale qui précède la renaissance littéraire , le XIVe et le XVe siècles deviennent comme l’aur
s choses qui doivent être unies, et de ne pas considérer le mouvement littéraire en dehors du mouvement général des esprits et du
développer chez nous le spectacle dramatique. Sans doute, le langage littéraire est alors fort imparfait; car notre idiome, au so
e mérite d’obtenir autre chose qu’une froide mention dans nos annales littéraires . Je dis, Messieurs, le théâtre du XVe siècle : c
a littérature du XVIIe siècle. Le théâtre, plus qu’aucun autre genre littéraire fut envahi par la manie latinisante ou grécisante
10 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
nte-Beuve lorsqu’il nous disait qu’il fallait chercher l’indépendance littéraire , non pas à Paris, mais aux frontières de la Franc
e s’exprimait ainsi. Moins scientifique que Genève, Lausanne est plus littéraire . La littérature française y était enseignée par M
e noblesse d’âme peu commune, une union rare du sens moral et du sens littéraire et une indépendance d’esprit qui n’était tempérée
térature française dans une école, à la fois industrielle, savante et littéraire , fondée par la Confédération suisse à Zurich, il
r service à rendre à de jeunes hommes, à leur entrée dans la carrière littéraire , est de faire avec eux une étude sérieuse de ce q
t en ce cas que ce qu’il avait fait cent fois? Toutes les révolutions littéraires de la France ont eu pour point de départ une décl
teur d’une tribune. Aussi le Tartufe a-t-il autre chose qu’un intérêt littéraire ; il a une portée historique et morale que l’on ne
11 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
Notice historique et littéraire sur L’Étourdi L’Étourdi fut joué d’abord à L
ue toujours à de simples changements de mots. Notice historique et littéraire sur Le Dépit amoureux On présume que Molière
, Et rien n’est au-dessus d’un raccommodement. 1. Voyez l’Histoire littéraire d’Italie, par M. Ginguené, tome VI, page 299.
12 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
au, plus aimé que La Fontaine, il a continué par sa mort une renommée littéraire dont il n’y a pas d’exemple en Europe. Immuable a
cès. C’est que la colonne est romaine; elle appartient aux traditions littéraires dont l’influence a été si longue en France. Pourq
y prennent garde. Pas plus que les systèmes politiques, les systèmes littéraires ne peuvent être exploités avec despotisme, même a
13 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
linte. Enfin, bien qu’il soit difficile de distinguer, dans une œuvre littéraire , ce que l’auteur a éprouvé de ce qu’il a imaginé,
de Molière et de justifier ses procédés par le témoignage d’autorités littéraires  ? N’est-il pas lui-même l’autorité la plus imposa
savait approfondir l’homme sans le disséquer. » (De Barante, Tableau littéraire du XVIIIe siècle, 8e édition, p.44.) « Une scène
ont miroirs publics, etc., etc. »(Scène VII.) 30. E. Geruzez, Études littéraires , 7e édit., p. 208. 31. Taschereau, ouvrage cité.
ist. de L’art dramatique ; Hippolyte Lucas, Histoire philosophique et littéraire du théâtre français; voir aussi Émile Deschanel,
14 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
Notice historique et littéraire sur La Comtesse d’Escarbagnas Veuf, depuis u
qui n’appartient point à ce genre d’ouvrages. Notice historique et littéraire sur Les Femmes savantes Il y avait treize an
e nous avons tous sous les yeux, et les détails avérés que l’histoire littéraire nous transmet sur l’abbé Cotin. Le personnage de
le nous a été conservée. Telle fut la fin, telles furent les obsèques littéraires d’un homme qui n’était dépourvu ni d’esprit, ni d
Cotin et Ménage avaient eue ensemble ; et j’ajouterai que l’histoire littéraire , voulant indiquer le véritable type de la scène,
de la célébrité, elle avait voulu se la procurer par des publications littéraires . Son mari, qui était dévoré de la même passion, m
ire, sous le rapport de l’impression, présente une question à la fois littéraire et bibliographique, qui n’est ni sans importance
ffriront que des différences peu importantes. Notice historique et littéraire sur Le Malade imaginaire Les comédies-ballet
même idée de châtiment et de fatalité. Grimm, dans sa Correspondance littéraire , raconte l’anecdote suivante : « Le docteur Malou
15 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
croire que Molière y ait eu la moindre part. Notice historique et littéraire sur La Princesse d’Élide Molière avait pu se
antes ; on a eu soin d’en indiquer la source. Notice historique et littéraire sur Le Festin de Pierre La troupe de comédie
mise en doute jusqu’à nos jours. Enfin, ce singulier point d’histoire littéraire et bibliographique est maintenant éclairci ; et,
ère, je rapporte un fait ; et critique, j’en examine les conséquences littéraires . On ne peut nier que Molière, en faisant de dom J
16 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
sorte d’idéal de comédien sans mœurs, sans honneur, sans valeur même littéraire , que Bossuet démêlait dans tout le fatras oublié
Sainte-Beuve, et surtout Nisard817. Mais leur critique, généralement littéraire , ne donne point en somme ce que l’on cherche ici,
être matériel ; on s’occupe de lui pour ce qui est de son instruction littéraire  ; mais on ne s’occupe pas assez de son perfection
Notes historiques sur la vie de Molière.   Sainte-Beuve, Portraits littéraires  ; Port-Royal.   Ch. Louandre, Œuvres de Molière
17
le, a donné, à cette occasion, dans la salle de l’Athénée, une séance littéraire . Il a lu, outre le Sonnet aux Moliéristes de notr
on inimitié s’était accrue d’autant. Par éducation et par tempérament littéraire , il avait toujours été l’homme de l’Hôtel de Bour
’œuvre, n’a pas regardé Les Plaideurs comme un pique-nique de société littéraire , ni comme un essai de la première jeunesse. Elle
e contre le sentiment public, il le soutiendrait contre sa conscience littéraire , s’il ne l’avait déjà pas rangée de son parti. «
(1865) et « Les vers espagnols de Molière » ; dans la Revue des cours littéraires , sa conférence du Jubilé de mai 1873 : « La famil
cieuses qu’il a réimprimé dans le tome IV des Variétés historiques et littéraires de la Bibliothèque Elzévirienne (1856), et enfin
moderne, M. Schimmel, dont quelques-uns joignent à leur haute valeur littéraire une valeur dramatique très réelle. Pour le reste,
t remplacer le bel esprit du siècle de Louis XIV par une excentricité littéraire d’un autre genre plus hollandais et plus moderne.
r de voir ce point de vue partagé par un homme du goût et du jugement littéraire de M. Alberdingk Thym. L’auteur fait précéder sa
s distingués du parti ultramontain en Hollande, et que ses sympathies littéraires ne sont pas sans subir, dans une certaine mesure,
de M. Thym nous paraît une œuvre fort réussie et d’une grande valeur littéraire . Il y a des scènes, des tirades, des expressions
in, l’intérêt qui s’attache pour nous aux anecdotes et aux curiosités littéraires du siècle de Louis XIV ne laisse pas que de lui d
dement les vitres. Ailleurs, et sans sortir du terrain de la critique littéraire , mais en entrant plus avant dans la personnalité
c et éclatant. Ajoutons, à sa décharge, qu’il ne s’agit que d’ennemis littéraires et d’hommes qui l’ont, eux-mêmes, publiquement at
tice, deux m’ont paru plus importantes que les autres au point de vue littéraire . Ce sont celles qui proviennent de la troupe du M
re, n’était pas celui qu’il eût choisi pour y être joué. Son ambition littéraire visait au plus haut, et, de tout temps, son irrit
ur d’Œdipe. Un commentateur des plus autorisés, un maître en critique littéraire , M. de Saint-Marc Girardin, propose de lire ici Q
sonnages célèbres. Plus tard même et au plus beau temps de sa fortune littéraire , le Quinault des opéras n’obtint pas un honneur a
de minutieuse du style et de l’esprit de la pièce, où la personnalité littéraire de Molière s’accuse à chaque vers. Nous avons sig
. Or, qu’on nous cite un seul article où respire ce respect des aïeux littéraires , ce culte sacré des génies nationaux qui nous sem
18 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
verait pas la plus petite profession de foi, soit philosophique, soit littéraire , et qui sont d’une réserve, d’une modestie extrao
Ils n’en ont pas l’ambition et ils n’en ont pas le regret. Le travail littéraire , l’œuvre d’art, que ce soit une modeste satire po
ns personnelles ? Ou bien devons-nous nous en rapporter au grand juge littéraire du xviie  siècle, à ce pauvre Boileau, qui admira
ujours. Sa besogne, à lui, est de leur donner une seconde vie, la vie littéraire . Sa besogne est de fixer dans le monde de l’art d
19 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
Notice historique et littéraire sur Le Tartuffe Le Tartuffe n’est pas seulem
la censure religieuse, Le Tartuffe fut du moins ménagé par la censure littéraire . Un seul écrit atteste le dépit dont les ennemis
l’intercepter et, pour ainsi dire, le violer Notice historique et littéraire sur Amphitryon Amphitryon fut joué le 13 jan
nt absurde de la part de Boileau. Bayle, exempt de tout préjugé, même littéraire , et adorateur des anciens sans superstition, Bayl
balançait celui du Tartuffe. Dans tous ces petits détails d’histoire littéraire , Voltaire est, en général, d’une grande inexactit
20 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
ément ; loin de là : elles offrent le plus vif attrait à la curiosité littéraire , elles renferment surtout l’histoire littéraire d
ttrait à la curiosité littéraire, elles renferment surtout l’histoire littéraire d’un si grand jour qu’elles pourraient être appel
anthrope. Dans notre désir de rendre hommage à cette noble entreprise littéraire sans trop sortir du cadre de nos études habituell
ains, l’un était chargé de la révision du texte, l’autre de la partie littéraire . Ces deux pertes si regrettables ont interrompu q
seulement une étude historique, mais un modèle excellent de critique littéraire , dont nous profiterons largement dans notre propr
ttachent à la comédie de Tartuffe et qui, indépendamment de la beauté littéraire de l’œuvre, en font un document si intéressant da
utorité de droit divin. Nous n’avons pas à entrer dans l’appréciation littéraire de Tartuffe, qui n’est pas de notre ressort et qu
ant « le moine bourru », il a sacrifié à des scrupules puérils et peu littéraires un trait vif et vrai qui n’ôtait rien à la solidi
21 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
Notice historique et littéraire sur L’École des femmes L’École des femmes fu
oins plaire, Tu ne leur déplairais pas tant. Notice historique et littéraire sur La Critique de l’École des femmes La Cri
héâtre qui eût fourni matière à tant de dissertations et de critiques littéraires . C’est que L’École des femmes fit époque comme Le
rsailles, où elle mourut le 6 janvier 1683. Notice historique et littéraire sur L’Impromptu de Versailles La sottise et
est vif, précis, et il a la couleur comique. Notice historique et littéraire sur Le Mariage forcé Le Mariage forcé n’est
upart de ceux qui ont traité du théâtre sous le rapport historique ou littéraire , ont mis sur le compte de de Visé la comédie de Z
22 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [28, p. 53-54] »
180. On peut la rencontrer chez Cizeron-Rival dans les Récréations littéraires en 1765 et également dans Les Œuvres de Molière d
23 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [52, p. 86] »
ignon et au samedi de Mlle de Scudéry. Il jouit d’une grande autorité littéraire en son temps. Racine lui soumet les quatre premie
24 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [90, p. 134] »
axe, Maurice, comte de (1696 – 1750) : maréchal de France. L’histoire littéraire fait mention de lui à propos de MmeFavart et d’Ad
25 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
Notice historique et littéraire sur L’Avare Grimarest, auteur d’une Vie de M
’après l’édition originale de Mabre-Cramoisy. Notice historique et littéraire sur George Dandin Dans l’hiver de 1668, la F
t ou tard, les complices de leur dérèglement. Notice historique et littéraire sur Monsieur de Pourceaugnac Monsieur de Pou
sans cesse une de ses moins bonnes comédies ? Notice historique et littéraire sur Les Amants magnifiques Dans l’avant-prop
blables, au dénouement près, méritait d’être remarquée par l’histoire littéraire . Elle est assez extraordinaire pour que, dans ce
26 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
73 est le deux centième anniversaire de la mort de Molière. La France littéraire eût dû, ce semble, saluer respectueusement une te
un mois et deux jours. C’était là le cas ou jamais, pour nos théâtres littéraires et subventionnés, de rendre à un tel génie un hom
gné de la cérémonie ; ce même jour, on avait représenté, aux Matinées littéraires de la Gaîté, Le Bourgeois gentilhomme, suivi du P
ce grand Français ! Pour donner une idée de la portée de cette soirée littéraire à Vienne, je ne saurais mieux faire que de reprod
cette bouffonnerie date, au contraire, des premières années de la vie littéraire de Molière, et de ces journées de pérégrinations
de la première heure n’ajouterait rien à la gloire, à la physionomie littéraire de Molière, mais on aime à connaître le génie jus
la poussière de ses sandales sur une Académie, parce que la compagnie littéraire accueille chez elle un philosophe convaincu dont
sans doute, dans cette façon de raisonner et de traiter les questions littéraires , mais il y a pourtant aussi une grande part de vé
ore rendre hommage. Ces vers, il faut l’avouer, sont pour l’histoire littéraire d’un intérêt tout à fait capital, et on pardonner
iboux, toutes les pompeuses et poudreuses tragédies ! — Mais la haine littéraire ne dicte pas seule à Le Boulanger de Chalussay se
1685. Celui-là est vraiment une page d’histoire et, pour la critique littéraire , il est, psychologiquement, d’une utilité évident
en latin : Plaudebat Moleri, etc. Il y eut, dans quelques sociétés littéraires , des discours prononcés, et le Mercure galant 52
les triomphes intellectuels, doit puiser dans ces souvenirs de gloire littéraire une nouvelle conscience de sa valeur, de sa puiss
pectateurs peu endurants, inde iræ. » La Voix de la province, revue littéraire , année 1862, ier  numéro, Chronique : — Molière
Molière copiste. — « À Monsieur Quérard. — Monsieur, les curiosités littéraires sont de votre domaine ; en voici une qui ne vous
27 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
n intention n’est-elle point d’ajouter ici quelques pages de critique littéraire aux multiples travaux mentionnés dans la Bibliogr
e Molière, qui l’a poussée à se dégager des entraves métaphysiques et littéraires pour devenir le meilleur appui du Positivisme nai
C’est la première révolte du sens commun contre la prétendue culture littéraire et toutes les conséquences funestes qu’elle sembl
et l’œuvre personnelle de Molière, si on l’examinait au point de vue littéraire , me semblerait fournir la démonstration de ce que
28 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
ins de ses ennemis. Leçon deuxième. Molière critique. Ses théories littéraires . Messieurs, Nous avons essayé dans notre der
renferment de réelles discussions de principes et toute une polémique littéraire mise en comédie. Vous savez le rôle que joua l’hô
très brillante et très active, il devint bientôt le centre de la vie littéraire du temps. L’influence de la société, lorsqu’elle
L’hôtel de Rambouillet ne devait pas rester toujours le premier salon littéraire de la France ; la cour aspirait à lui enlever cet
la seule idée qui pût alors donner un but élevé à l’activité purement littéraire . Il représentait la France. Comme corps politique
Critique de l’École des femmes, Molière affirme que la grande épreuve littéraire est le jugement de la cour. Cette idée nous étonn
en de plus animé que cette simple conversation sur quelques questions littéraires , qui suffît à Molière pour dessiner avec une rare
, le second de Ronsard, en appelant la France à une nouvelle activité littéraire , en traça d’avance le programme, dans un catéchis
son volumineux Lycée, que d’appliquer à tout l’ensemble de l’histoire littéraire les règles du catéchisme qu’il avait appris de Bo
ait en cela que ce qu’il avait fait cent fois? Toutes les révolutions littéraires de la France ont eu pour point de départ une décl
e. Les inspirations de l’isolement peuvent produire quelque curiosité littéraire ; mais le vrai poète est semblable à Antée; il n’a
que les grands événements politiques ou religieux, les chefs-d’œuvre littéraires se préparent pendant longtemps. Ils ne naissent p
a osé mettre à nu. Aussi le Tartuffe a-t-il autre chose qu’un intérêt littéraire  : il a une portée historique et morale que l’on n
issance de l’auteur, mais bien les périls de l’entreprise. Il est peu littéraire ; mais il double l’intérêt historique du Tartuffe;
que cette seule exposition suffit à réfuter la plupart des critiques littéraires dont ce chef-d’œuvre a été l’objet. Que lui repro
atire qui portait trop juste en balance presque l’intérêt poétique et littéraire  : rien de semblable dans Le Misanthrope. La liber
mites de la comédie, et que Molière put envisager comme des témérités littéraires . Les Femmes savantes sortent beaucoup moins du ca
le bon sens, et ne perdrait pas moins en intérêt moral qu’en intérêt littéraire . Le berger Agnelet, ce trompeur d’autant plus fin
29 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
e le fait en conscience. J’accorde à la Thèse une considérable valeur littéraire . Elle est pour moi le côté vivant de notre art, l
t d’avoir résisté à ses propres excès. Elle est encore la seule chose littéraire qui nous occupe et qui nous frappe, la seule qu’o
rtoire de genre. Je me souviens de la grande émotion, de la vive joie littéraire que j’éprouvai à 1’audition du Demi-Monde. J’en s
30 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
as de convertir les indifférents. Pour sentir la valeur des questions littéraires , il faut être doué d’une faculté particulière, qu
. Si l’on veut que le Théâtre-Français garde son rang et son autorité littéraire , il faut absolument que les comédiens s’habituent
ement un lieu de divertissement : c’est en même temps une institution littéraire . Or, si l’ancien répertoire était livré aux capri
31 (1900) Molière pp. -283
Assolant, Sarcey, Deschanel, l’autorisation de faire des conférences littéraires  ; mais qu’il la refusait à MM. Saint-Marc Girardi
en quatre parties, tout animée des ardeurs de la brillante polémique littéraire qui en fut l’occasion, fit-elle parmi les auditeu
érieuse comme dans les propos familiers ; un J.-J. Weiss conférencier littéraire et mondain, et l’un des plus originaux, des plus
à l’heure de tradition ; mais dans l’ancienne France, dans la France littéraire , l’admiration de parti pris, l’admiration absolue
euls écrivains qui aient élevé quelques objections soit morales, soit littéraires contre Molière, c’est Bossuet, c’est Boileau ; Bo
de la vie et du particulier de Molière. Puis, il y a des tempéraments littéraires qui ont été outrés dans leurs objections contre M
u à Paris sa première idée ait été justement de tomber sur la coterie littéraire la plus puissante, la plus en vogue, celle qui se
s du Limousin et de l’Armagnac. Ce n’est pas trop que tous ces succès littéraires de gens incapables, succès qui venaient au fond d
end son bien où il veut, et nous sommes bien heureux que la propriété littéraire n’ait pas été inventée dans ce temps-là. Je ne ve
dans ce temps-là. Je ne veux pas discuter ici la loi sur la propriété littéraire , je sortirais du domaine qui m’est attribué ; je
onvaincu que s’il y avait eu dans l’ancienne France, sur la propriété littéraire , une jurisprudence analogue à celle qui existe au
a fait sacré. Mais Tartuffe a beaucoup nui en un sens à sa réputation littéraire  ; à force d’admirer Tartuffe, on n’a plus regardé
lement aussi blâmables que celles d’un sot, elles ont d’autres effets littéraires . En 1660, Molière, mettant en scène, dans Sganare
t il faut bien que je me serve d’une comparaison avec d’autres œuvres littéraires pour vous bien faire sentir toute la portée de ce
nous reconnaître dans nos aïeux, quand quelque document historique ou littéraire nous en offre le portrait fidèle. On l’a dit, et
s deux dialogues que nous publions ici, à titre purement de curiosité littéraire , datent, aussi bien que les conférences qui précè
32 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
rs inédites, ayant été insérées dans l’édition de 1866, les critiques littéraires , mis en goût ; en recherchèrent d’autres dont ils
habitude bien relevée. C’est sa manière à lui de faire de la critique littéraire . Il exprime son avis sur le sonnet d’Oronte, il d
é de ses traîtres yeux ! Voilà pour Alceste considéré comme critique littéraire . Point de mesure, donc point de goût. En condamna
ès quoi, M. de La Pommeraye prend la défense d’Alceste comme critique littéraire . Alceste attaquant le sonnet d’Oronte dans les te
ersez l’art en prêtant au grand comique du XVIIe siècle des procédés littéraires et des visées humanitaires qui ne devaient éclore
33 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
iècle qui porte son nom eût perdu le plus beau fleuron de sa couronne littéraire . Molière ne se contenta point de se réfugier sous
nais mal le cœur d’un si grand roi ! Ce n’est pas ici de la critique littéraire , c’est de la dénonciation bien caractérisée. Ains
généreux appui. Il était fort du suffrage de la plus haute puissance littéraire de son temps. Le poète de la raison et du goût, D
nt à le décourager. Mais, il faut le dire à la gloire du grand siècle littéraire , tous les hommes supérieurs surent se connaître e
duit au silence l’esprit de persécution, il se replia sur la critique littéraire  ; il se mit à accuser de plagiat celui qu’il n’av
oici de quelle manière en parle Ginguené dans son excellente Histoire littéraire d’Italie : on jugera par cette rapide analyse de
34 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
’on en prétend conclure. Leurs erreurs peuvent intéresser l’historien littéraire  ; mais comment pourraient-elles ébranler l’inébra
liminer l’a priori de la science, c’est-à-dire de réduire la critique littéraire à n’être plus qu’une branche de l’histoire, ou, c
i, pour un grand écrivain national, aveugle par son excès la critique littéraire , et fausse les plus simples notions d’esthétique,
s d’intrigue (de légers incidents sans liaison entre eux, la querelle littéraire avec Oronte, le jugement du procès dont on parle
t possible d’en découvrir la source si l’on parcourait les antiquités littéraires de la farce ; c’est ce qu’atteste formellement le
te est fausse. Nous citons M. Taschereau, « Ce petit trait d’histoire littéraire est original, mais controuvé. Le Registre de la C
35 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
e de sa femme, c’est là une façon si étrange de comprendre l’histoire littéraire qu’on a bien le droit d’en sourire. La superstiti
ins qu’ils ne le compromettent. Ceux qui pensent sainement en matière littéraire sont éclectiques et savent concilier toutes les a
lles. Tout esprit cultivé se décide en pareil cas selon son éducation littéraire , ses goûts, son tempérament. Il donnera le premie
eleine et Armande Béjart, des pages toutes brillantes de ces qualités littéraires qui conviennent h une grande revue de vulgarisati
produit d’une détestable inspiration ; mais, au point de vue purement littéraire , l’œuvre ne manque pas de valeur. La pensée génér
rveux, toujours épuisé ou surexcité par les fatigues de la production littéraire , il cherchait des consolations auprès de Mlle de
ette bienveillance qui devraient toujours accompagner les discussions littéraires , il conteste les conclusions auxquelles mes propr
s cachés et des symbolismes dans presque toutes les grandes créations littéraires . M. du Boulan en trouve dans Molière, qui ne conn
historique, de reprendre la question à un point de vue exclusivement littéraire  : il ne manquera pas d’y ouvrir des perspectives
36 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre IV. — Molière. Chœur des Français » pp. 178-183
t plus près de la peinture que la tragédie. 266. M. Villemain, Essai littéraire sur Shakespeare. 267. M. Villemain. 268. M. Vil
37 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
e que la musique du temps n’ait pas été mieux vérifiée; son innocuité littéraire la rendait propre à devenir un dépositaire ininte
erment peut-être, sous une lourde couche de poussière, des curiosités littéraires dignes de voir le jour. On pourrait dire encore q
’hui semblent être de Molière. Il y a donc là un problème de critique littéraire dont, il nous semble, on n’a pas encore parlé et
38 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
1848, Bazin emploie pour la première fois à cette question d’histoire littéraire , cette méthode ingénieuse, féconde, riche en surp
u’il faut partir pour comprendre l’idée qu’ils se font de l’invention littéraire , très différente de celle que l’on s’en fait comm
sition. Les classiques savent, en outre, la raison de cette fécondité littéraire d’un sujet  : c’est que dans la réalité un même s
itiques du XIXe siècle, habitués à vénérer Molière comme un demi-dieu littéraire et comme un héros national. Les plus timides essa
improvisé par les acteurs même. On admire cette absence de prétention littéraire , et l’on est heureux de ne pas sentir l’auteur de
l’empêchent point d’être unique en son genre, et dans notre histoire littéraire , pour des qualités qui tiennent étroitement à ces
39 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre X » pp. 83-88
nterie que de bel esprit, et plus d’intrigues d’amour que d’intrigues littéraires  ; et enfin qu’à l’époque dont nous parions, la ga
40 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
se déployer à l’aise sur la scène, il lui fallait éclaircir l’horizon littéraire , et en finir avec le petit goût des dégoûtés, ave
s manifestées par la conduite et le jeu des caractères. II. Étude littéraire Analyse sommaire du Misanthrope. Les situati
porte sa date82, tout aussi bien que la façon dont se dénoue le débat littéraire qui devient une question d’honneur portée devant
représentés en 1664 Pour apprécier l’importance d’un chef-d’œuvre littéraire qui, aujourd’hui même, exerce encore une action s
Après tout, n’a-t-il pas, lui aussi, son droit divin ? II. Étude littéraire L’hypocrisie et les religions formalistes
e la scène ne cesseront pas de puiser l’inspiration147. II. Étude littéraire La comédie de caractères. Leçon universelle
es déconvenues en belles théories de sagesse pratique151. Critique littéraire de Fénelon. La prose de Molière. Reproche d’invra
in ? Cotin a fini ses jours, Trissotin vivra toujours. II. Étude littéraire Comédie de mœurs. L’action. Analyse du sujet
y donne, avec d’excellents préceptes de goût, un modèle de polémique littéraire . 19. Dès 1664, à l’époque où Racine, âgé de ving
rs et de Saint-Aignan mêlait à ses talents militaires des prétentions littéraires . 38. Comédiennes de la troupe de Molière. 39. D
ne de déclassé, par timidité, par orgueil, et aussi par un parti pris littéraire , pour avoir l’occasion de placer des tirades vert
41 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
es n’ont jamais été considérés que sous leurs rapports avec la gloire littéraire de la France, et avec celle des branches de l’art
42 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
Notice historique et littéraire sur Le Bourgeois gentilhomme Le Bourgeois ge
ns esprit, pour le voler et se moquer de lui. Notice historique et littéraire sur Psyché Le carnaval de 1671 approchait. L
acine, sans faire plus d’honneur à Corneille. Notice historique et littéraire sur Les Fourberies de Scapin Les comédies de
43 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8
e a voulu voir clair dans ses origines, elle a poursuivi sa filiation littéraire avec persévérance, avec acharnement. On a reconnu
44 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
Deux siècles de postérité, deux des siècles les plus polis, les plus littéraires , et aussi les plus critiques, ont confirmé cet ar
ualité appartient proprement à l’esprit français, et donne aux œuvres littéraires de la France une solidité durable et une valeur s
45 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
ussissoient point ; » et Brossette ajoute qu’elle avait assez de sens littéraire pour ne pas confondre du Brécourt avec du Molière
à un profane, sans autres moyens d’information que des rapprochemens littéraires et un pamphlet, de mener à bien pareille enquête
ves et l’équilibre de toutes ses qualités, elle arrivait à son apogée littéraire et social, il se trouvait un grand comédien pour
e un trait de son caractère. L’intérêt de cette recherche est surtout littéraire . Elle contribue, en effet, à prouver que, comédie
r son œuvre accumulée, consentant, lui aussi, à en admettre la valeur littéraire , il voulut la corriger et la fixer. Que de sollic
46 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127
ou pastorales ; la comédie, malgré les traductions ou les imitations littéraires des Larivey et des Turnèbe, avait peu de place ta
47 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
ien, constituent toute une série de travaux d’histoire et de critique littéraire , qui témoignent que c’est déjà d’ancienne date qu
48 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
r à tous ses ouvrages la même importance. Menant de front les travaux littéraires et la profession de comédien, obligé de songer au
49 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
26. Que ce drame sans action et sans dénouement soit, au point de vue littéraire , un chef-d’œuvre inimitable, un des monuments les
ire des sonnets ou des petits vers sont des chefs-d’œuvre de critique littéraire . On doit mettre au-dessus de toutes les autres ce
50 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
ule, si l’auteur s’était borné à la prétention d’en faire une facétie littéraire . Mais il veut que ce soit un tableau historique ;
urs de l’hôtel de Rambouillet51. Mais comme c’est une vérité de l’art littéraire ou poétique observée par Voltaire, que ce qui fai
ient une lecture, ou entendaient discourir sur quelque sujet moral ou littéraire . Une occupation manuelle est pour les femmes une
51 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
’irrévérence ; et, accoutumé dès longtemps à donner des lois au monde littéraire , il trouvait les esprits trop soumis à son autori
e donner une idée, chaque pièce est suivie d’une Notice historique et littéraire dont l’objet est d’offrir un jugement sommaire de
sque tous ont été faits par des éditeurs sans, mission, sans autorité littéraire , qui ont substitué aux expressions et aux vers de
J’ai eu aussi les plus grandes obligations à la profonde instruction littéraire et à l’infatigable complaisance de mon autre conf
es autres arts. La nouvelle Italie, héritière privilégiée des trésors littéraires de l’ancienne Rome, fit la première revivre les j
aissent sans peine. Pour lui seul, on s’est dépouillé de tout préjugé littéraire , de toute prévention nationale ; et tous les pays
rappelé par un seul membre de phrase, même par un seul mot, tel fait littéraire , telle anecdote personnelle, tel trait enfin de l
nsacré toutes les autres parties de mon travail tant à l’appréciation littéraire des comédies de Molière, qu’au récit et à la crit
Molière, et les jugements sur sespièces, qui font partie desMélanges littéraires , tome VIII, dans l’édition en 12 volumes in-8º. M
et une grande capacité pour les affaires. 117. Voir les Récréations littéraires , de Cizeron-Rival, p. 23 et 24. 118. On a préten
52 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
as au-delà, mais au rebours de la réalité. Il apporte dans l’histoire littéraire des habitudes d’auteur dramatique ; et dans ses i
igences d’un travail de critique et d’érudition, d’aperçus d’histoire littéraire , et d’une biographie. Tantôt l’élévation des aper
s intérêts. Rien n’était moins établi à cette époque que la propriété littéraire et les droits des théâtres. On ne paraissait pas
t pas d’intérêt à hâter le moment de la publication. Mais un corsaire littéraire se préparait à prendre les devants, ainsi que plu
on des sommes font de cette pièce un document curieux pour l’histoire littéraire . Quelque faible que fût comparativement la somme
preuve de modestie de plus en refusant de jouer le rôle de grand juge littéraire , devait nécessairement répugner à le remplir quan
us empruntons à Cizeron-Rival, qui l’a consignée dans ses Récréations littéraires . « Baron, ce célèbre acteur, devait faire le rôle
l exerçait un empire absolu sur les opinions de la moitié de l’Europe littéraire … Baba et La Forêt appartiennent autant à la posté
s soins de notre comique, qui guida ses premiers pas dans la carrière littéraire , l’accueillit dans sa société intime, produisit s
utenir, de l’appuyer du Médecin malgré lui. Ce petit trait d’histoire littéraire , d’ailleurs fort piquant, et par conséquent sûr d
al. Ce morceau curieux, en même temps qu’il constate cette conversion littéraire , donne aussi la mesure du goût du parterre, qui n
L’on se borne toutefois, dans cette épître, à attaquer la réputation littéraire de Molière, et le mérite de son ouvrage, dont on
e de courage. Puisse ce noble exemple, dans l’intérêt de notre gloire littéraire comme dans celui de nos mœurs, rencontrer de nos
recettes productives furent-elles la récompense de cette association littéraire et de ce luxe inusité de mise en scène. La chroni
rer. C’est ici l’occasion d’examiner un point d’histoire et de morale littéraire sur lequel on n’a guère jeté encore qu’un jour tr
entendu, préféra choisir ses patrons dans les fastes de notre gloire littéraire , et prit le titre de Section armée de Molière et
ite ces lieux deux des titres les plus incontestables de notre gloire littéraire . Puisse l’émotion que ces grands souvenirs font n
miter de la sorte ce n’est pas inventer. Un critique dont l’Allemagne littéraire s’enorgueillit avec raison, Schlegel, dans son Co
récit complète ce que nous savions des procédés, en fait de propriété littéraire , de Neuf-Villenaine et de Somaize. 1. La Lib
ière, avec un travail de critique et d’érudition, aperçus et histoire littéraire , biographie, examen de chaque pièce, bibliographi
précédemment, page 54, note 2, et page 57, note 1. 78. Un historien littéraire de beaucoup d’esprit et de beaucoup d’imagination
6. Bolæana (par Montchesnay) ; Amsterdam, 1742, p. 34. — Récréations littéraires , par C. R*** (Cizeron-Rival) ; Lyon, 1765, p. 13.
53 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
le des Œuvres complètes de Molière est enrichie de plusieurs morceaux littéraires importants. Un ingénieux écrivain, dont la longue
nous a permis de placer en tête du Tartuffe un morceau historique et littéraire au-dessus de tout éloge. À la suite de la notice
démie dont la devise est devenue celle de presque toutes les coteries littéraires , Nul n’aura de l’esprit hors nous et nos amis ;
tes on doit penser que Molière se fit plus d’un ennemi, et que sa vie littéraire ne fut pas exempte de persécutions. Les comédiens
54 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
t obtint à peine la sépulture. Il ne fut point membre de la compagnie littéraire qui lui décerne aujourd’hui un éloge, et son nom
55 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
7 : œuvre et vie qui constituent précisément le plus fameux événement littéraire de notre histoire locale. — Dans les archives mun
56 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
de la barbarie. Aujourd’hui la séparation des genres dans les écrits littéraires est devenue à peu près impossible ; elle ne peut
57 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
nous le confessons tout d’abord, ne sont pas d’une bien haute portée littéraire  ; il ne faut pas qu’on s’attende à une scène orig
58 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
le ton, quel en était l’usage ? Dans tout ce que j’ai lu de histoire littéraire et morale du xviie  siècle, je n’ai rencontré d’a
59 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
. C’était l’année de son mariage. Elle eut depuis, en 1674, un démêlé littéraire avec le poète satirique, en qui se décela, d’une
60
portions d’un événement public. C’est l’organe de cette petite église littéraire que nous voulons fonder, quelque chose comme Les
emplaires seulement : L’Instruction en Province avant 1789 : histoire littéraire de la ville d’Albi 3, dont le chapitre intitulé :
in, reconstitué l’Odyssée complète de Molière en province. L’Histoire littéraire de la ville d’Albi 4 mériterait à coup sûr d’être
s que le rideau s’abaisse. * *   * Si j’étais membre du premier corps littéraire de la France, de celui qui a fait inscrire au bas
elatifs à la troupe du duc d’Épernon que j’ai publiés dans l’Histoire littéraire de la ville d’Albi. Permettez-moi de vous remerci
e souscription rapidement couverte entre les membres de cette réunion littéraire . Le propriétaire de la maison, M. Duvivier,21 s’a
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
e sauroient se perpétuer : rien n’est plus vrai. Mais si les monstres littéraires ne se perpétuent pas, il en naît très souvent ; c
62 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
tieux, du citoyen qui travaille à d’utiles découvertes ; le charlatan littéraire , de l’écrivain qui dédaigne les succès d’un jour,
63 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
 ! ce fut un jour glorieux pour le pays que celui où le premier corps littéraire de l’Europe, une assemblée d’hommes également ill
statue de Molière n’aurait pas moins de succès dans Paris ; les corps littéraires et les théâtres s’empresseraient de s’inscrire co
64 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
yère, de Muratori et de Saint-Évremond, et deux fragments du Journal littéraire de La Haye et des Mémoires de Trévoux. On voit q
un crime qu’un faux goût ou qu’un sot entêtement. L’auteur du Journal littéraire de La Haye 38 regarde Moliere comme le meilleur p
té reproduit mot pour mot dans les Variétés historiques, physiques et littéraires , ou Recherches d’un sçavant, contenant plusieurs
65 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
je n’ai pas oublié les encouragements que j’ai reçus, dans mes débuts littéraires , du docteur Gagnon son grand-père, ni les bontés
z si vivement, et que recommandent aussi très puissamment les travaux littéraires de M. Beyle. Je m’y emploierai avec plaisir et av
orchestre des Français, il est plein de parodies de bon ton et du ton littéraire  ; sur ces deux ridicules surnagent une petitesse
ition qu’elle avait pour son mari, par l’affiche de ses connaissances littéraires . Elle est dans un salon de la Cour où elle découv
ir. Quel ridicule y a-t-il à cela ! celui d’avoir un mauvais jugement littéraire  ? c’est un ridicule bien petit. Qu’est-ce que le
(1776-1782). — Nouvelle édition précédée d’une notice biographique et littéraire par M. Horace Meyer, traducteur des Œuvres de Sch
66 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
re l’immortel auteur de Tartuffe, on discerne un sentiment de justice littéraire plus profond à l’égard du génie de Molière que da
e ses alliés et des principaux collaborateurs de sa vie domestique ou littéraire . C’était, quarante ans après les découvertes de B
essants essais, où la biographie renouvelée cède le pas à la critique littéraire , j’ai tenu à indiquer la nuance qui sépare, dans
ieux constatés ou en faveur d’erreurs nouvelles. Ces combats purement littéraires , attentivement suivis par un public de fidèles, o
euves avec autant d’attention que d’intérêt et de plaisir. Les éludes littéraires sur l’œuvre du grand philosophe comique y tiennen
, de Picardie ou de Champagne, la province se faisait, dans la gloire littéraire du grand siècle, une telle part, qu’il semblait d
nait perle fine ; le vil métal, or pur ; et si, dans tous ces fumiers littéraires dont il daignait remuer les fanges, il rencontrai
les Femmes savantes, autre comédie d’une portée trop essentiellement littéraire pour être comprise du public tout entier, il joua
profitable à toutes deux, il sut par là donner, à l’une, une tournure littéraire qu’elle n’avait jamais eue, et, à l’autre aussi,
elles qui nous occuperont tout à l’heure, et dont la forme était plus littéraire et plus durable, devaient se perpétuer en France.
-à-dire depuis qu’on a commencé à l’étudier le mieux, au point de vue littéraire ou érudit ! Un des plus fins lettrés du dernier s
e l’on disait chez les ennemis de Molière, c’est-à-dire dans le monde littéraire , presque tout entier, de ce temps-là. Il n’eut po
 » Non, monsieur Sathwell ; non, messieurs les Anglais, jamais œuvre littéraire , prise chez nous, n’est, chez vous, devenue plus
, qui était, de son aveu, le plus sujet à cette maladie de production littéraire , dont il a été dit un mot tout à l’heure, communi
i réussissez souvent à combler sur ce point les lacunes de l’histoire littéraire . C’est ce qui m’engage à vous signaler un emprunt
ayant le diable au corps, il y ait un certain intérêt philologique et littéraire , tout-à-fait indépendant de celui que la plupart
sévérité. » O Molière, que dirais-tu du commentaire ? VII - Débat littéraire sur deux vers du Tartuffe Il y a tant à voir
ours publics 159. Les pièces de Molière, auxquelles ce petit appareil littéraire en sept parties servit successivement d’introduct
vet. 70. Mémoires, t. I, p. 127, 128. 71. Variétés historiques et littéraires , t. VII. 72. Mémoires, collect. Petitot, 2e sér
ucauld-Liancourt a donne cette lettre en entier dans son livre Etudes littéraires et morales de Racine, 2e partie, p. 146. 81. Mé
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
770. Le projet de l’Auteur n’avoit point eu d’exemple dans les fastes littéraires d’aucune nation... Il composa dans le plus grand
68 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
re dans la rue, dans l’administration et dans les finances, la gloire littéraire et artistique, où le peuple n’est pas très bon ju
douze ans. On constate sa présence, et son succès à Rouen, ville très littéraire aîors5 Lyon, Grenoble, Montpellier, Béziers, Péze
autorité encore ait tout de suite été considérée comme une révolution littéraire .Une autre tradition recueillie par Voltaire veut
tu de Versailles sont de petites pièces où Molière a exposé ses idées littéraires . Nous nous en occuperons donc quand nous en seron
ature et qui ne le ferait perdrait son litre de professeur d’histoire littéraire . La scène de Sganarelle et Alcantor est filée ave
t la plus plate du monde. Et il me semble que cela juge. Ses idées littéraires Cet excellent homme — en tant qu’homme — ou au
s pourrons faire, son génie dramatique, rendons-nous compte des idées littéraires générales qui présidaient en quelque sorte à son
ainsi dire, mais dont d’autres ont ou auront la forme spirituelle et littéraire provenant de la même source et se rattachant à la
ent, c’est l’Hôtel de Rambouillet et la société mondaine, élégante et littéraire , qui circule autour de lui. Ce qu’elles adorent,
t homme qui ne fût amoureux d’elle. Elle est intellectuelle, elle est littéraire en ce qu’elle a l’âme la plus livresque qui se pu
l’intellectuelle. Comme Cathos et Magdelon, elle veut fonder un salon littéraire , une ruelle célèbre, une académie et, en maîtress
ienne et qui donne des leçons de Vaugelas. Philaminte, grammairienne, littéraire , critique, philosophe, et je répète que Molière a
dmond Schérer intitulait son article sur cette question : Une hérésie littéraire . Quoi qu’il en soit il lui reprochait, en tant qu
69 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
certaines hontes qui surgissent de temps à autre au milieu du labeur littéraire  ; elle se contente d’éclairer de quelque lumière
s hardis. Vingt ans, ce n’est pas assez pour accomplir une révolution littéraire , dans un pays comme la France, plus fidèle à ses
t tout, en tête d’une méchante comédie de Boursault, une dissertation littéraire et religieuse, signée d’un théatin nommé le P. Ca
ien à faire dans cette intrigue d’amour, non plus que les prétentions littéraires , philosophiques et politiques de M. Figaro, qui j
modèle de cette élégante et facile causerie, une supériorité plus que littéraire que nous avons perdue8 comme tant d’autres plaisi
du poète Gresset n’est plus qu’un chef-d’œuvre à mettre en nos musées littéraires , lorsque La Métromanie, une merveille, à peine re
70 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82
ille qu’il a eue à soutenir pour rejeter en dehors de la civilisation littéraire de la France les turlupinades et les gaillardises
71 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
ct. I, sc. I ; act. II, sc. II. — Sainte-Beuve a fait au point de vue littéraire la môme remarque qu’on fait ici au point de vue m
72 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
e de Molière par une autre ovation non moins éclatante, quoique toute littéraire , par la reprise (on pourrait dire par la résurrec
73 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
ontfleury et Boursault ne sont pas simplement poussés par la jalousie littéraire  : Molière le comprend bien28. Quand ils l’accusen
avec plus de circonspection de résoudre ce petit problème d’histoire littéraire et morale, à l’aide des élémens solides réunis av
74 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
spécial et unique qu’elle doit considérer comme sa plus grande gloire littéraire , et qu’elle peut opposer sans crainte aux plus ém
Molière. Gaillard, La Harpe, Bailly eurent les accessits. Cette joute littéraire ne fut pas sans effet sur l’opinion. En 1778, l’A
Alpes. L’Espagne, livrée à une longue décadence, à une sorte d’agonie littéraire , ne songea qu’assez tard à raviver sa veine comiq
ilà pour quelle part Molière contribuait à maintenir là-bas l’honneur littéraire de la France, pendant que Paris subissait les dés
erre de Polynésiens peu vêtus. Chez nous, la lutte, ou l’insurrection littéraire qui éclata un peu avant 1830, ne porta à la renom
n’en fut pas offusquée. Cette gloire sortit plus éclatante des orages littéraires , et elle atteignit à son apogée. Un monument lui
Nordlingen (1645), préparaient le traité de Westphalie. Les triomphes littéraires égalaient les triomphes guerriers. L’année 1640 a
deviennent un peu plus positifs. M. Jules Rolland, dans son Histoire littéraire  d’Albi, a publié des documents dignes d’attention
secte qui tendait à exagérer de plus en plus ces doctrines morales et littéraires . Dans le principe, la coterie aristocratique n’av
our plus que son argent et qui le dit sans aucun souci d’appréciation littéraire  ; et surtout la certitude que ces lignes rimées o
tinuèrent à lire les romans des La Calprenède et des Scudéry, l’école littéraire qu’ils représentaient tomba en discrédit ; les li
nos jours. La critique intervint aussi pour discuter, au point de vue littéraire , le succès de la nouvelle pièce ; Donneau de Vizé
sur la scène du Palais-Royal le 1er juin suivant. Cette conversation  littéraire , dans un salon du XVIIe siècle, si vivement retra
à reprendre. On voit qu’il n’y a rien de nouveau dans nos discussions littéraires , et que tout existe dans ce vivant et fécond XVII
1664 - Pâques 1665), il y a quelques particularités d’un ordre moins littéraire à signaler. À Pâques 1665, Brécourt sortit de la
e génie, quoique ce génie n’entrât pas tout entier dans les doctrines littéraires un peu étroites qu’il s’était faites. Il se décla
r ? » Boileau, en cet endroit de L’Art poétique, parle en théoricien littéraire  ; il prétend soumettre la comédie aux règles sévè
75 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
La fin du XVIIe siècle voit apparaître un genre de l’histoire littéraire moins fréquent aujourd’hui : les anas. Il s’agit
ont pas été imprimées. Le rang que Molière doit occuper dans l’empire littéraire , est réglé depuis longtemps. Pour juger du mérite
ont pas été imprimées. Le rang que Molière doit occuper dans l’empire littéraire , est réglé depuis longtemps. Pour juger du mérite
necdote pour la première fois chez Cizeron-Rival dans ses Récréations littéraires de 1765. il nous dit également où il a trouvé cet
76 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
pas sans utilité. Il y a là un épisode intéressant de notre histoire littéraire . Et cette histoire, pour le dire en passant, sera
en un temps comme le sien : il aura fait le Tartuffe. » Toute la vie littéraire de Molière, à partir de 1601, démontre la parfait
s le traité qu’il expose, rien que de très glorieux pour la puissance littéraire . Il a grand soin de relever la fidélité du roi à
e fût devenu Louis XIV, abandonné aux seules suggestions de la morale littéraire  ? Il se convertit à quarante-deux ans, il régna d
chauds encore sur la haute moralité de cette pièce que sur son mérite littéraire  ; tandis que les chrétiens, qui devraient être le
rofondeur morale de l’œuvre leur parait supérieure encore à sa beauté littéraire . C’est l’homme, c’est l’humanité tout entière qu’
. Que reste-t-il donc ? On l’a dit en commençant : une peinture fort, littéraire de la médisance, peinture elle-même très médisant
77 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
tient debout à côté d’elle ! Ainsi, des deux partis, des deux armées littéraires , il a recueilli les blessés ; il a ramassé les mo
ace où j’écris, au milieu de tant de joie et de tristesse, l’histoire littéraire de ce temps-ci : Hic jacet… Hoc saxum non coluis
e, que le nôtre ? Quelle époque plus remplie de lâchetés et de haines littéraires , et, quand vivait le roi Louis XIV, se pouvait-on
bon sens, forcée de vivre dans les abominables dissensions de la vie littéraire . Ceci nous explique comment cette comédie des Fem
lius ; ceci est le commencement de la grande société philosophique et littéraire qui allait devenir le siècle d’Auguste. En effet,
tte. Ainsi, vous le voyez, toutes ces tentatives hardies, ces audaces littéraires , ces grandes promesses « je vais changer d’un tra
hommes à la place qui leur convient. Mais ce que commande la logique littéraire , l’inflexible chronologie le défend. Or, ce n’est
le génie, le cynisme des esprits a passé dans les habitudes de la vie littéraire . À force de montrer leur âme à nu, les écrivains
bien battu de l’orage, bien pauvre ; il n’appartient à aucune coterie littéraire ou philosophique ; nul ne le prône, car personne
78 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
l’Odéon comme dans un lieu de divertissement et aussi dans une école littéraire qui serait aux écoles d’enfans ce qu’est le catéc
79 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
ns et dans ses âmes. Ce n’est pas le lieu d’apprécier au point de vue littéraire cet étonnant chef-d’œuvre, considéré non sans rai
80 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
s, ces trois chapitres, il s’élève dans mon esprit et dans ma passion littéraire plusieurs bons motifs qui me poussent à reproduir
crite en courant, au courant de la plume, en dehors de toute ambition littéraire  ; où en voulez-vous venir, avec tout votre style 
les Belles-Lettres et comment voulez-vous que nous fassions une œuvre littéraire à l’heure où nous cherchons encore, les uns et le
airés de son immense comédie ; en vain, de temps à autre, par un soin littéraire qui se retrouve à toutes les époques, a-t-on voul
81 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
ur, sauva les finances de l’État, nous intéresse par ses conséquences littéraires . Nous lui devons les premières lettres de madame
82 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
nt l’inspiration de Molière, et je ne crois pas qu’il y ail de gloire littéraire plus grande que celle-là : Molière faisant travai
83 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
s perdus, en mille papotages ingénieux, philosophiques, politiques et littéraires , et ils commençaient à comprendre le danger, lors
l’état d’une langue morte, d’un chef-d’œuvre oublié, d’une curiosité littéraire  ? Est-ce vivre que d’être exposé, à deux mille an
84 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
ion vague ou conjecture. Je ne crois pas qu’il y ait, dans l’histoire littéraire , de question qui montre davantage les dangers de
dieux, il s’en faut de beaucoup qu’il soit mal écrit ; il a sa valeur littéraire , et assez grande, par sa langue, qui est de la me
85 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
ules embarrassées de la politesse la plus correcte, une rude critique littéraire , qui, finalement, rompt ses liens et éclate dans
actère divin à l’impiété, au vice, à la vanité folle, au mauvais goût littéraire . L’inutile apparition de ce second terme, qui doi
86 (1769) Éloge de Molière pp. 1-35
e, et que le sage respecte, l’avait privé pendant sa vie des honneurs littéraires , et ne lui avait laissé que les applaudissements
87 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
, la farce française expira avec eux sur les planches de plus en plus littéraires de l’Hôtel de Bourgogne. Geoffrin-Jodelet conserv
88 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
re, avec la conviction de démontrer que si par ses éminentes qualités littéraires il figure parmi les plus remarquables de nos écri
si admirable au point de vue de la science du cœur qu’au point de vue littéraire . L’inefficacité complète des moyens violents, et
le mérite de la pièce. » Et, à ses yeux, ce mérite est exclusivement littéraire . Le premier but de Molière, en composant ses comé
89 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
les productions depuis Molière : ce qu’elle provoque, c’est un examen littéraire et philosophique des œuvres comiques qui ont paru
endue, que chacun veut l’avoir pour soi. Les coteries de tous genres, littéraires , scientifiques et politiques, s’en font un moyen
endu provoquer, ce sont les termes exprès de son programme, un examen littéraire et philosophique des œuvres comiques qui ont paru
90 (1802) Études sur Molière pp. -355
ie des Philosophes et du poème de la Dunciade, dit, dans ses mémoires littéraires  : « Molière abusa un peu de la vengeance. » L’au
des pièces commandées à notre auteur n’ont pas contribué à sa gloire littéraire , elles font du moins l’éloge de son cœur reconnai
ait-il, son agrément ; il le dispensait de se mêler dans les disputes littéraires que Despréaux, Chapelle, et le célèbre avocat For
ptembre 1668 ; six mois après, Louis XIV accorda une nouvelle pension littéraire à son protégé, et permit définitivement que Paris
atan qui, s’entourant de protecteurs, usurpait tontes les récompenses littéraires  ; il punit l’ennemi de tous les hommes de mérite 
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
is à leurs dépens. Moliere, non content d’avoir étouffé les monstres littéraires , a même osé attaquer jusques dans le champ de leu
92 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
n véritable service aux admirateurs de Molière, c’est-à-dire au monde littéraire tout entier. L’édition de 1682, publiée par La Gr
1° La Lettre à mylord… sur Baron, par Dallainval ; 2° Les Amusements littéraires de Cizeron-Rival, pages 48 et 49 ; 3° Les Lettres
la critique de la Vie de M. de Molière.).On trouve dans les Anecdotes littéraires qu’un abbé ayant cru faire sa cour au grand Condé
ne centaine de recueils d’anecdotes, et autant d’ouvrages de critique littéraire . Je n’ai qu’une arme, mais elle est sûre : c’est
93 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
e doctrine, commode à mon insuffisance, que le neuf, dans la critique littéraire , c’est le faux. Enfin, m’étant donné la tâche de
94 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
possible d’en découvrir la source, si l’on parcourait les antiquités littéraires de la farce1 ; d’autres sont si faciles à invente
95 (1739) Vie de Molière
e pédanterie que d’agrément. Tous ceux qui sont au fait de l’histoire littéraire de ce temps-là, savent que Ménage y est joué sous
96 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
sont en toutes choses, sauf sur leur intérêt. Espèce de petit Tartufe littéraire , dont l’espèce n’est pas rare d’ailleurs, il se s
97 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
é non seulement une maîtresse dans Madeleine Béjart, mais un camarade littéraire . Elle était aussi spirituelle que galante. Elle t
ande : « où est la femme ? » M. Levallois constate, avec le sentiment littéraire et le sentiment de la passion, l’influence de Mll
98 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
s sensés là-dessus. Molière, guidé toute sa vie par de tels principes littéraires , hésitait à livrer à l’impression l’Ecole des Mar
es du moment. Les comédies de Dancourt, indépendamment de leur mérite littéraire , offrent une peinture de mœurs très curieuse à ob
99 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
Molière, et cinquante ans plus tard, l’abbé Prévost, dans sa gazette littéraire , le Pour et le Contre, qui est l’aïeule de notre
doni. C’est avec lui qu’il avait médité ses vastes projets de réforme littéraire , et il revint en Espagne, proclamant dans une pré
is, entre deux nuits passées aux avant-postes, cette récréation toute littéraire  ? Quelques mots ont obtenu un succès de circonsta
, une tentative intéressante, qui a pour elle la vérité historique et littéraire . Je crois que, plus le Marivaux sera joué simplem
e ; il n’en reste qu’une assez froide analyse dans la Revue des cours littéraires , devenue plus tard Revue bleue. On a envie, disai
gré prodigieux ; que toutes les qualités en sont plutôt scéniques que littéraires , car ce n’est pas par le style que brille Sedaine
100 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
a legéreté & l’indifférence d’un certain public, sur les opinions littéraires , donne beau jeu à l’effronterie & à l’ignoran
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