ERRATA. Page 8, note 1, au lieu de : act. I, sc. I,
lisez
: act. III, sc. II. Page 18, note 1, ligne 6, au
act. III, sc. II. Page 18, note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourdain,
lisez
: Mme Jourdain. Page 53, ligne dernière, au lieu
dain, lisez : Mme Jourdain. Page 53, ligne dernière, au lieu de : et,
lisez
: et à. Page 55, lignes 12 et 13, au lieu de : po
sez : et à. Page 55, lignes 12 et 13, au lieu de : pourtant, jusqu’à,
lisez
: pourtant jusqu’à. Page 88, ligne 16 : Limousin.
riote de M. de Pourceaugnac. Page 95, ligne 14, au lieu de : linges,
lisez
: linge. Page 126, ligne 14, au lieu de : nobless
e : linges, lisez : linge. Page 126, ligne 14, au lieu de : noblesse,
lisez
: noblesse d’âme. Page 129, ligne 8, au lieu de :
sse, lisez : noblesse d’âme. Page 129, ligne 8, au lieu de : Eternel,
lisez
: éternel. Page 143, lignes 2 et 3, au lieu de :
lisez : éternel. Page 143, lignes 2 et 3, au lieu de : Diafoirus, ne,
lisez
: Diafoirus ne. Page 212, ligne 9, au lieu de : d
foirus, ne, lisez : Diafoirus ne. Page 212, ligne 9, au lieu de : du,
lisez
: de notre. Page 215, ligne 4, au lieu de : vanit
: du, lisez : de notre. Page 215, ligne 4, au lieu de : vaniteux, ou,
lisez
: vaniteux : ou. Page 242, ligne 17, au lieu de :
lisez : vaniteux : ou. Page 242, ligne 17, au lieu de : vingt après,
lisez
: vingt ans après. Page 263, ligne 1, au lieu de
ns après. Page 263, ligne 1, au lieu de : distraction suffisante, et,
lisez
: distraction, et.
ies, comme les grands talents, sont toujours modestes. Molière devait
lire
une traduction de Lucrèce* en vers français, chez
tire adressée à Molière ; mais après ce récit, Molière ne voulut plus
lire
sa traduction, craignant qu’elle ne fût pas assez
utenir les louanges que Boileau venait de recevoir. Il se contenta de
lire
le premier acte du Misanthrope, auquel il travail
de Broussin, avec M. le duc de Vitry et Molière, ce dernier y devait
lire
une traduction de Lucrèce en vers français, qu’il
tire adressée à Molière ; mais après ce récit, Molière ne voulut plus
lire
sa traduction, craignant qu’elle ne fût pas assez
our soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de
lire
le premier acte du Misanthrope, auquel il travail
aire que ces deux vers : Hélas ! Pour mes péchés je n’ai su que trop
lire
Depuis que tu fais imprimer. Ce fut à son frè
Froid, sec, dur, rude auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas
lire
oses-tu me blâmer ? Hélas ! &c. Ce qu’il y a
Pour éviter sans doute la consonance de la rime de satire avec le mot
lire
qui termine cet hémistiche ; mais Molière soutint
’est bien à vous à en juger, lui dit Chapelain, vous qui ne savez pas
lire
. » Puy-Morin lui répondit : « Je ne sais que trop
i ne savez pas lire. » Puy-Morin lui répondit : « Je ne sais que trop
lire
, depuis que vous faites imprimer », et fut si con
Froid, sec, dur, rude auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas
lire
oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n
lire oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n’ai su que trop
lire
, Depuis que tu fais imprimer. Mon père représenta
IV. Scene XIII. Ce même Hector qui a fait un mémoire, qui a fort bien
lu
une écriture à la main, ne sait plus lire un livr
t un mémoire, qui a fort bien lu une écriture à la main, ne sait plus
lire
un livre imprimé : il le dit lui-même ; écoutons-
rer dans peu. Va me chercher un livre. Hector. Quel livre voulez-vous
lire
en votre chagrin ? Valere. Celui qui te viendra l
neque. Valere. Voilà Séneque.Lis. Hector. Voilà Séneque. Lis.Que je
lise
Séneque ! Valere. Oui. Ne sais-tu pas lire ? Hect
Voilà Séneque. Lis.Que je lise Séneque ! Valere. Oui. Ne sais-tu pas
lire
? Hector. Oui. Ne sais-tu pas lire ?Hé ! vous n’
que ! Valere. Oui. Ne sais-tu pas lire ? Hector. Oui. Ne sais-tu pas
lire
?Hé ! vous n’y pensez pas ; Je n’ai lu de mes jou
Hector. Oui. Ne sais-tu pas lire ?Hé ! vous n’y pensez pas ; Je n’ai
lu
de mes jours que dans des almanachs. Si Regnard
. Si Regnard a cru qu’il étoit vraisemblable de pouvoir écrire &
lire
des mémoires sans savoir lire des livres imprimés
t vraisemblable de pouvoir écrire & lire des mémoires sans savoir
lire
des livres imprimés, pense-t-il que le spectateur
de tous les livres, & pour oublier qu’il a entendu ce même Hector
lire
son mémoire ? Hector, en lisant Séneque, épele en
vers que Perrin les admire, Que l’auteur du Jonas s’empresse pour les
lire
; Qu’ils charment de Senlis le poète idiot127, Ou
n, quoi qu’ait dit la satire, Autre défaut, sinon qu’on ne le saurait
lire
, Et pour faire goûter son livre à l’univers, Croi
regardait comme son chef-d’œuvre, ni Phèdre, ni Athalie ; Voltaire a
lu
ces deux lettres et n’a probablement pas lu toute
, ni Athalie ; Voltaire a lu ces deux lettres et n’a probablement pas
lu
toutes celles où madame de Sévigné parle du décli
odieuse à la société fréquentée par madame de Sévigné, Il n’avait pas
lu
ce qu’elle dit de Bajazet : La pièce m’a paru bel
beau, mais Racine n’ira pas plus loin qu’Andromaque. Il n’avait pas
lu
ce qu’elle dit de Mithridate : « C’est une pièce
n la trouve plus belle la trentième que la première. » Il n’avait pas
lu
enfin ce qu’elle dit d’Esther, ni remarqué ce sen
aimait ses enfants ! et comme elle peignait la tendresse ! Quand on a
lu
avec intérêt les lettres de madame de Sévigné, on
meslé y aurait fait mal au cœur. » Si Voltaire avait eu le loisir de
lire
madame de Sévigné, avec l’application qu’on est e
e Sévigné ménageait à son ami le cardinal de Retz la lecture de la sa
lire
de Boileau, elle en avait d’avance la clef, et sa
e conforme à leur profession. Aussi, à quatorze ans, ne savait-il que
lire
et écrire ; mais son grand-père maternel le mène
1629, neuf ans après la naissance de Molière. Je suppose, qu’avant de
lire
la pièce française, on sera bien aise de voir un
; Scapin le ramène malgré lui, et le force d’apprendre son bonheur.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. L’on
eur. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. L’on n’a pas
lu
la pièce, sans remarquer que le sujet et l’intrig
: je vais donner la mienne, telle que je l’ai risquée dans un mémoire
lu
à l’Institut : Que faut-il entendre par tradition
qui peuvent l’égarer ? Aucune, si, en méditant ses rôles, il ne sait
lire
en même temps dans la tête, dans l’âme de son aut
le n’avaient qu’à ouvrir le dictionnaire della Crusca. Ils y auraient
lu
qu’inadvertito signifie un homme che non a avvert
et les deux fils du Docteur épousent les deux filles de Magnifico.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. Moliè
s des règles prescrites dans les romans, en débutant par le mariage.
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
, et le Docteur, pour qui Célio a risqué sa vie, lui cède Eleonora.
Lisez
la pièce de Molière 20. Des imitations. Br
un maçon peuvent servir à celui d’un habile architecte. » Après avoir
lu
la pièce de Molière, nous voilà convaincus que no
me ; en voilà assez pour réveiller sa jalousie. Delmire lui permet de
lire
la lettre entière ; nouvelle confusion, nouvelle
ie que ses jours ne sont plus à lui, elle lui pardonne et l’épouse.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. Dans
rente de l’amant, et au présent d’une ceinture celui d’un portrait.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. Dans
essivement du cœur de son amante ? Hélas ! cette lettre ordinairement
lue
, ou plutôt récitée avec trop de volubilité, paraî
tère qu’il prenait ; j’entends même jusqu’au son de sa voix. Oui ; je
lis
tout cela dans un grimoire, dont je vais détacher
ès ; il avait la mine riante ; il était au moins railleur, puisque je
lis
: Riez donc, beau rieur, oh ! que cela doit plai
naire ? Baron avait un ajustement recherché pour son âge, puisque je
lis
: C’est un étrange fait du soin que vous prenez,
tement […] Baron prenait un ton doux, affable, caressant, puisque je
lis
: Éh ! qu’il est doucereux ! c’est tout sucre et
dans ce rôle, portait aussi sans doute une perruque noire, puisque je
lis
: Cela sent son vieillard, qui, pour s’en faire
retenir le vieillard, et lui faire manquer l’heure du rendez-vous.
Lisez
la pièce de Molière 28. Des imitations. On
fortune, plaît à une belle, et cette belle est la femme du docteur.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. Moliè
; le bon sens et la réputation de Molière démentent cette anecdote.
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
onsidérable pour le temps : la reconnaissance dicta ce remerciement.
Lisez
le Remerciement. Nous remarquons, dans ce remerc
u, paraît à la cour le 14 octobre, et à Paris le 4 novembre suivant.
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
ulte, ou d’épouser bien vite ; il prend bravement le dernier parti.
Lisez
la pièce de Molière. De l’imitation. Dans
finit par épouser celui qui a su vaincre son dédain par le dédain.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. Nous
mbe mort après avoir demandé inutilement un prêtre et l’absolution.
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
ontrat de mariage, en croyant ne faire qu’un dénouement de comédie.
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce e
tons que le spectateur n’était pas encore à la hauteur de l’ouvrage.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. La ch
d’Arménie, au Misanthrope ; mais que penser de Racine 48, quand nous
lisons
dans l’abbé du Bos : « Despréaux, après avoir vu
modes : si je descends ensuite avec Molière dans le cœur humain, j’y
lis
qu’il y a loin d’une coquette à une femme facile
es efforts que fait la malade pour rire la débarrassent de l’arête.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. Moliè
Voilà, disent bien des personnes, voilà une de ces pièces que Molière
lisait
à sa servante, et non ses chefs-d’œuvre. Pourquoi
e roi. La pièce est tirée de l’histoire de Timarète et de Sésostris.
Lisez
la pièce de Molière. La Pastorale comique.
raison, avec un filet de voix, contre une gueule comme celle-là ? »
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
gie que ses commentateurs et ses historiens, c’est lui qui va parler.
Lisez
la préface et le premier placet. Molière ne fut p
aux pieds de son ennemi, et les lui baisant, il lui demanda pardon.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. Nous
st être bien coiffé, bien prévenu de lui ? Peut-être l’acteur a-t-il
lu
ce que dit Bret, à propos de la table sous laquel
t : La Grange et La Thorillière furent chargés de le lui présenter58.
Lisez
le second placet. Le croirait-on, si la vérité ne
nviolables… » Monsieur de la Bruyère, faites des portraits pour être
lus
, et ne critiquez pas ceux qui sont faits pour êtr
se battait, lui promet un bonheur infini, et remonte vers l’Olympe.
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce
de la mauvaise ; mettons-nous d’abord à la place du machiniste ; nous
lisons
en tête du prologue : Mercure sur un nuage, la n
de Plaute, seront cités lorsque nous nous occuperons de l’imitation.
Lisez
la pièce de Molière. De l’imitation. Harp
; quoique animée sans cesse par des images poétiques. Un jour que je
lisais
cet article à l’Institut, un de mes collègues cru
ditions. Cher parterre, quelques Laflèche prennent des lunettes pour
lire
à Cléante le mémoire de son usurier ; rien ne nou
e s’entendre continuellement reprocher la bassesse de sa condition.
Lisez
la pièce de Molière. De l’imitation. Il es
exemplaire in-4º de ce poème, orné de belles estampes, sur lequel je
lis
: LA GLOIRE DU VAL-DE-GRACE, poëme. Imprimé p
rimé pour la première fois, à Paris, chez Pierre le Petit, en 1669.
Lisez
le poème. Bret dit « qu’Avignon fut le lieu où M
érir, et le fait porter chez lui, pour le traiter plus commodément.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. L’Av
est reconnu pour prince d’Aragon, il s’unit à la reine de Castille.
Lisez
la pièce de Molière. De l’imitation. « Le
sinait un peu de l’intrigue héroïque de Don Sanche. » Nous venons de
lire
Les Amants magnifiques, et nous ne reprocherons p
» En jugeant cette dernière pièce, nous jugerons le mot de Voltaire.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. Tout l
e dénonciateur, lui permet de venir tous les jours manger chez elle.
Lisez
la pièce de Molière. Des imitations. La fa
es de l’Amour et de Psyché 73, de tous les feux qu’ils ressentaient.
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur l’ouvrage e
ne me conduisent pas à l’immortalité, je n’y parviendrai jamais. »
Lisez
la pièce de Molière. De l’imitation. Quanti
ire ce qui suit : « Voir jouer une scène sur un théâtre étranger, la
lire
, en être témoin dans la société, ou l’entendre na
lé avec sa troupe y jouer la comédie. Poitevin de Saint-Cristol.
Lisez
la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
tées, même contre celles qu’on dit sanctionnées par les auteurs. Nous
lisons
, dans les derniers commentaires sur Molière, qu’i
s pouvons là-dessus donner carrière à notre incrédulité, puisque nous
lisons
, dans l’Histoire du théâtre français, que lorsque
elques imitations, mais bien légères ; j’aurai soin de les indiquer.
Lisez
la pièce de Molière. De l’imitation. Monta
pourrai me permettre, dans mes leçons, moins de gravité que vous ; je
lis
dans vos regards que vous acceptez ma proposition
écrivis le lendemain : « Citoyen, je vous envoie copie de ce que je
lus
hier, afin qu’à tête reposée vous fassiez vos obs
e comédien Subligni en était l’auteur. 66. Grandménil, m’entendant
lire
cet article, prit le parti de Molière, et dit : «
it été rempli à la cour par mademoiselle Molière. 74. M. le Texier a
lu
dernièrement une pièce de Molière chez une de nos
piré par l’enfance le fasse toujours applaudir ; mais je l’ai entendu
lire
parfaitement par M. le Texier, et pendant toute l
olière. M. le Texier, auteur d’un excellent ouvrage sur L’Art de bien
lire
, et toujours certain d’attirer chez lui la meille
mpagnie de Londres lorsqu’il y fait la lecture d’une pièce française,
lut
, dans son dernier voyage à Paris, chez madame de
ontribué à porter la langue françoise dans tous les pays où l’on sait
lire
; ce théâtre enfin que les peuples instruits veul
naturellement, & deviendront, je pense, très convaincantes. Vous
lisez
les ouvrages des anciens : le desir de vous illus
ns, avant de s’assembler, veulent savoir si la piece est digne d’être
lue
à l’assemblée générale. Rien n’est plus juste. On
sur le ciel du lit de Dufresne, que la Métromanie n’auroit jamais été
lue
sans la protection d’un Ministre ! Admettons une
56 : vous avez beau représenter modestement que vous pouvez avoir mal
lu
, que vos juges peuvent s’être trompés comme ceux
our le détromper ? Aucune, puisqu’une de ses inconséquences est de ne
lire
que les pieces représentées avec fracas. Admetton
ait parmi eux de bons Juges ; mais il est impossible que les détails,
lus
avec prétention, n’éblouissent la plus grande par
eule doit produire le grand effet au théâtre. Je voudrois qu’avant de
lire
une piece écrite aux Comédiens, on leur en présen
uses ridicules appartient aux derniers jours du seizième siècle. Il a
lu
Marot et Regnier, comme il a lu les Lettres provi
rniers jours du seizième siècle. Il a lu Marot et Regnier, comme il a
lu
les Lettres provinciales. Il eut ensuite ce grand
re, étaient dans l’air, et sitôt que le jeune Poquelin fut en état de
lire
Aristophane, et Térence, et Plaute, et les maître
tuteur de nations. Si jeune encore, il voyait toute chose ; il savait
lire
au fond des cœurs les mystères les plus cachés ;
les plus cachés ; il comprenait les passions les plus innocentes. Il
lisait
, dans tous les livres anciens et nouveaux, les pa
ondeur sur huit et demi de large, le tout en voûte semée de fleurs de
lis
. Son pourtour est orné de colonnes avec leurs bas
ompris que cette innocente était née pour sa honte. Ah ! malheureux !
lu
as fait obstacle aux clartés de son âme, et tu ne
dit que Molière aimait à consulter sa servante Laforest, et qu’il lui
lisait
ses ouvrages, honneur qu’il fit une seule fois à
une seule fois à mademoiselle de Lenclos. Nous doutons fort qu’il ait
lu
à Laforest le Misanthrope, Tartuffe et Les Femmes
ntures de nuit, comédie (3 a. v.). Paris, N. Pépingué, 1666. 2. Nous
lisions
, l’autre jour, dans les jugements du savant Baill
lieu, et trois actes du Menteur ; avant Le Menteur, à Paris, M. Got a
lu
un Éloge de Corneille extrait du discours de réce
ire ? Eh ! non : il n’a pas eu le loisir de les apprendre ; il va les
lire
; et, de fait, les ayant à peine lus une première
ir de les apprendre ; il va les lire ; et, de fait, les ayant à peine
lus
une première fois, il les lit assez mal. M. Fabié
qu’importent un à-propos de plus ou de moins, et des vers récités ou
lus
, et bien lus ou mal, si l’œuvre de l’auteur qu’il
un à-propos de plus ou de moins, et des vers récités ou lus, et bien
lus
ou mal, si l’œuvre de l’auteur qu’il s’agit de cé
nette. Combien de représentations depuis le 1er janvier ? Zéro. Vous
lisez
bien : zéro. Et en 1884 ? Cinq de Britannicus, tr
uère : super flumina ! .. Pour Corneille ! c’était le titre du poème
lu
par M. Coquelin l’autre soir. Ce n’est pas seulem
coup de pinceau, il est impossible d’aller au-delà. Ses comédies bien
lues
pourraient suppléer à l’expérience, non pas parce
dit Molière. Eh! qui t’avait appris cet art, divin Molière? avais-tu
lu
quelque poétique? les vers d’Horace et la prose d
t le mot de Vadius qui, après avoir parlé comme Caton sur la manie de
lire
ses ouvrages, met gravement la main à la poche, e
geait les talents naissants. Le grand Racine, alors à son aurore, lui
lut
une tragédie. Molière ne la trouva pas bonne, et
e son amour pour ce charmant Anglais et le plaisir qu’elle prit à les
lire
, le soin qu’elle mit à les garder, ces détails at
ment porté sur Voiture par une multitude d’écrivains qui ne l’ont pas
lu
, j’ai courageusement entrepris de le lire, et voi
d’écrivains qui ne l’ont pas lu, j’ai courageusement entrepris de le
lire
, et voici ce que j’ai recueilli de ma lecture : V
[16, p. 46-47] 1724, Carpenteriana, p. 223-224 Molière
lisait
ses comédies à une vieille servante nommée Lafore
point. Un jour Molière, pour éprouver le goût de cette servante, lui
lut
quelques scènes d’une comédie de Brécour*, comédi
rhétorique et de l’esprit un discours vide sur un poète qu’on n’a pas
lu
, et de faire respirer ce bouquet, non avec distra
partie de ce curieux journal, de celle qu’il écrivit en France. « …
Lu
aujourd’hui le troisième chant de l’Art poétique,
x ou trois poètes en France traduiraient bien Homère ; mais on ne les
lira
pas, s’ils ne changent, s’ils n’adoucissent, s’il
ses et qui fait des contorsions344 ! « … Hier, c’était dimanche. J’ai
lu
Milton. Abdiel, Ariel, Arioch, Ramiel combattent
té à la critique de l’écrivain une idée, et au plaisir de ceux qui le
lisent
quelque instruction. Plaute avait l’âme romaine.
acle à Madrid avec les yeux de sa tête, et il ne se contentera pas de
lire
les pâles descriptions que les bons étrangers en
science et peu d’idées, pour vivre imagina d’écrire, et pour se faire
lire
imagina de n’avoir pas le sens commun, d’être ori
lats de rire quand Odry et Vernet lui font admirer M. Scribe, si vous
lisez
les bonnes lettres naïves qu’il écrivit alors à s
cle de revue qui parlait de La Flûte sur le ton de l’enthousiasme, je
lus
jusqu’au bout avec intérêt une biographie de Moza
que les admirateurs de ce grand poète se soucieraient bien peu de la
lire
, si c’était un morceau de critique admirative.
ou d’un quelconque de ses compatriotes, si je me mettais seulement à
lire
ses pareils ou lui pour mon propre plaisir, je co
oilà ce que j’aurais la force de faire, et j’invite les Allemands qui
lisent
Molière ou qui en parlent, surtout ceux qui en pa
plus libre, Le Médecin malgré lui, Monsieur de Pourceaugnac, etc., et
lisez
-en une page. Puis, pour saisir par le contraste l
ir par le contraste le caractère propre de cet esprit et de ce style,
lisez
une page de Shakespeare. Dans Shakespeare, la pen
criminer, sans faire tort à lui-même ou à son ami. Quand Oronte vient
lire
un sonnet devant lui, au lieu d’exiger d’un fat l
, le mystère s’en mêlant, tout le monde voulut en goûter434. Elle fut
lue
dans les principaux salons de Paris. Mais l’inter
un mandement qui défendait « à toutes personnes de voir représenter,
lire
ou entendre réciter la comédie de l’Imposteur, so
e de Hollande454. Ce Descartes, que les femmes savantes admiraient et
lisaient
, avait commencé, contre l’esprit de routine et de
t le cours de ma vie j’ai appris à son école. Je ne néglige jamais de
lire
tous les ans quelque pièce de lui, afin de m’entr
Bavardin. En est un sûr garant.Monsieur, peut-on la voir ? Crispin.
Lisez
; elle est, Monsieur, du grand Eunuque noir. Bava
: l’entreprise n’étoit pas aisée ; on ne appelle à tous ceux qui ont
lu
le Conte. Le reste de la piece n’est que le sujet
i, non content de l’aimer, saura la conduire. Elle l’exhorte encore à
lire
un livre de sa composition intitulé les Devoirs t
d’elle-même, & s’arrête à cette idée : Jeune homme, prends &
lis
. On annonce Damis. Cidalise trouve qu’il prend ma
a fievre qui tient la Princesse Uranie ? Vadius. Oui ; hier il me fut
lu
dans une compagnie. Trissotin. Vous en savez l’au
se tait par les soins du jaloux, qui satisfait tout le monde. Il faut
lire
cent fois cette pièce et l’admirer chaque fois da
ami, qui en a un totalement opposé ; la deuxième, où Oronte lui vient
lire
un sonnet, sont d’un excellent comique et d’une v
où on lit la jolie lettre de M. Thibaudier ; la seizième, où il vient
lire
lui-même les vers qu’il a faits ; les deux suivan
st excellent. LE MARIAGE FAIT ET ROMPU. Chef-d’œuvre qu’il faut
lire
et connaître comme lés pièces de Molière. LE F
ste pour être persuadé que ses notes ne seraient jamais imprimées, et
lire
la dernière phrase comme s’il y avait : Excepté q
aux, & lui remet la lettre. Don Garcie feint de ne pas vouloir la
lire
: il proteste qu’il n’est point jaloux : il ne li
Don Lope, qui est entré chez elle, a eu l’impertinence de vouloir la
lire
, qu’elle a fait ses efforts pour la reprendre, &a
écrit à la Duchesse de Tyrol. Le Roi vient à petits pas. Il brûle de
lire
ce que son amante écrit. Il voit au haut de la le
plaint qu’elle l’accuse à tort d’être jaloux, feint de ne vouloir pas
lire
le papier que la Princesse lui présente, en meurt
r que la Princesse lui présente, en meurt pourtant d’envie, dit qu’il
lira
par pure complaisance, est satisfait en voyant qu
elle ne se couche pas tout de suite, qu’elle s’occupe quelque temps à
lire
; il veut lui parler un instant, pour entendre de
ais est-il décent & vraisemblable que Don Lope s’avise de vouloir
lire
une lettre qu’il trouve chez la confidente de la
écrit qui alarme le Prince. A merveille, Moliere ! Comme après avoir
lu
ta piece, la lettre italienne doit nous paroître
érémonial bien établi présentement chez Mrs les Comédiens Auteurs. Ne
lisons
-nous pas, Les Œuvres de Mr Poisson, Le Théâtre de
et ses sentiments, par ses actions, pour attacher d’avantage ceux qui
lisent
. L’aventure du Vieillard dans les Précieuses ; ce
sidération à qui je dois toutes sortes d’égards. Mais que mon Censeur
lise
mon Ouvrage encore une fois, il y trouvera plus d
l prenne si fortement le parti des restes de leur troupe. Comment ! à
lire
les expressions de mon Censeur ; quand j’aurais p
ent, selon les personnages qu’on introduit sur la Scène. Que l’Acteur
lise
les préceptes qu’on nous a donnés sur la déclamat
il s’abaisse jusqu’à vouloir toute la Vie de Molière, il daignera la
lire
; tantôt il n’en veut que les beaux traits, le re
s parlez de Molière, il semble que ce soit un Héros ! Que ce Critique
lise
, je vais lui fermer la bouche par un trait de la
ien ; mais qu’il a peu d’ordre et de retenue. Approbation. J’ai
lu
par ordre de Monseigneur le Chancelier cette Répo
’héroïne. Le Comte a la manie des gens d’esprit : il meurt d’envie de
lire
ses Ouvrages, & la satisfait tout en plaisant
e vous réciter sans que vous me le demandiez, tant la démangeaison de
lire
ses ouvrages est un vice attaché à la qualité de
ieux, un personnage autant alambiqué dans sa prose que dans ses vers.
Lisons
la lettre qu’il adresse à la Comtesse, en lui env
t souvent l’entretien des plus honnêtes gens. Le Chevalier continue à
lire
. La nouvelle Toilette des Dames, avec une liste
Baron arrivent ensemble, & après avoir embrassé le Chevalier, ils
lisent
dans le nouvel Almanach des Théâtres différentes
Le Comte, qui protege l’Opéra, a souffert de l’article qu’on vient de
lire
; mais il prend sa revanche sur la Comédie Italie
le champ vaste qui se présentoit à l’Auteur, ses acteurs n’y font que
lire
des titres ou des almanachs, ce qui rend les épig
esque tous ses confreres. Mes Lecteurs seront de mon avis après avoir
lu
la premiere scene & une courte analyse de l’O
ite en anglois. Comme Eraste n’entend pas cette langue, il la donne à
lire
au prétendu maître, qui l’entend aussi peu qu’Era
ès embarrassé. Après bien des quiproquo très plaisants, il imagine de
lire
que celui qui écrit va marier son fils. Eraste, s
Sophie. Sentez-vous bien votre bonheur ? Incessamment vous pourrez
lire
En original cet Auteur. Oh ! çà, Monsieur, daign
s mortes, deux personnifications plutôt que deux personnes. Dorante a
lu
Kant ; d’homme du monde aimable et galant qu’il é
ire les doctrines de l’école historique. N. B. Dans l’Étude qu’on va
lire
, Dorante, soit par indolence naturelle, soit (nou
tre aucune des règles traditionnelles ; que, Dieu merci, je les avais
lues
autant qu’un autre, et que je ferais voir aisémen
arler une comédie. Nous dirions bien : Rien ne manque à Vénus, ni les
lis
, ni les roses ; rien ne manque au Roi de Cocagne,
on, ni étroitesse de système, ni étroitesse d’ignorance. Elle n’a pas
lu
M. Lysidas ; elle ne sait pas ce que c’est que la
. Lysidas ; elle ne sait pas ce que c’est que la comédie. Mais elle a
lu
des comédies ; elle a comparé ; elle a réfléchi.
tait simple et bonne, comme cette pauvre Laforêt311 qui ne savait pas
lire
. Elle se divertissait aux choses qui font rire le
le beau, elle ne serait pas embarrassée. Elle ouvrirait Molière, elle
lirait
, et sans autre commentaire du texte que l’émotion
de raisonnements pour vous empêcher d’avoir du plaisir, et quand vous
lisez
une comédie, regardez seulement si les choses vou
ation de la critique telle que l’entend la présente école. Au lieu de
lire
Uranie, lisez donc, si cela vous plaît davantage,
ritique telle que l’entend la présente école. Au lieu de lire Uranie,
lisez
donc, si cela vous plaît davantage, la critique q
la même chose. Valere. Belle conséquence ! je te dis que j’ai entendu
lire
cette piece-ci, & je la trouve très différent
es romanciers auxquels je les ai comparés. Il m’importe peu, quand je
lis
un roman, de m’intéresser pour le pere, pour le f
ervante ; &, sur le point de congédier Thibaut, il imagine de lui
lire
sa piece & son prologue, pour voir l’effet qu
’avez tantôt dit vou mesme que c’en étoit une. L’Auteur. Ce que je te
lis
est le prologue de la comédie. Thibaut. Hé ! qui
ne à l’Edile, ce Magistrat étoit à table : il fit signe à l’Auteur de
lire
; mais à peine eut-il entendu quelques vers, qu’i
me & une montre. Moncade. Tu n’as qu’à la mettre là. Pasquin. Ne
lisez
-vous pas la lettre ? Moncade. Non, je sais tout c
Lucile. Voyons.Assurément, tu perds l’esprit, Lisette. Lisette. Eh !
lisez
. Lucile. Eh ! lisez.Le voilà. Tu seras satisfait
ément, tu perds l’esprit, Lisette. Lisette. Eh ! lisez. Lucile. Eh !
lisez
.Le voilà. Tu seras satisfaite. (Elle lit.) « Aye
orze ans dans sa boutique, & se contenta de lui faire apprendre à
lire
& à écrire pour les besoins de sa profession.
n ; il lui répondit : Monseigneur, c’est que vos Pages ne sçavent pas
lire
, il prennent les O pour les L. On rapporte ce pet
e d’esprit ? On y reconnoît le genie admirable de leur Auteur ; qu’on
lise
ou qu’on voye representer les Fourberies de Scapi
ur le champ le reste au feu. A mesure qu’il avoit travaillé, il avoit
lu
son ouvrage à Monsieur Rohault, qui en avoit été
rut en tête du Théâtre de Boursault la Lettre du P. Caffaro805, où se
lisait
, au profit dudit Boursault, une justification des
aut en convenir, légitime807. Mais Bossuet n’avait pas eu le temps de
lire
Molière, et il avait nécessairement confondu deux
oir été « gêné par la versification française812. » Il semble n’avoir
lu
qu’en courant, et pour pouvoir dire qu’il les con
tionnement moral. On s’imagine trop facilement qu’il suffit de savoir
lire
pour savoir juger, et de savoir juger ce qui est
ous buvons, et nous interdisons à nos adolescents les livres que nous
lisons
. Il en est de même du théâtre. Ah ! si le peuple
ituation, rien de fin, rien de malin, & sur-tout rien de comique.
Lisons
ce qui l’amene, nous changerons d’avis. George D
ter chez nous l’envie de nous moquer de lui. Pour nous en convaincre,
lisons
une partie de la scene. ACTE III. Scene III. Arn
me les suit, & fuit d’être coquette, Elle sera toujours, comme un
lis
, blanche & nette : Mais s’il faut qu’à l’honn
upart, l’ignobile vulgus, sont d’infimes artistes retournés. Quand je
lis
la théorie de la tragédie par Hegel, je suis frap
suis frappé d’admiration, comme en lisant l’Antigone ; mais quand je
lis
la théorie de la tragédie par M. X…, je n’y fais
gnifiantes, comme on fera des poèmes médiocres. Mais on ne sera point
lu
, et l’on déplorera l’indifférence du siècle en ma
re sur tous les hommes de génie de son siècle. Et d’abord, quand on a
lu
Le Misanthrope, Tartuffe et Les Femmes savantes,
chefs-d’œuvre. Certes, ce n’était pas celle de l’esprit. La Fontaine
lisait
beaucoup, il lisait avec passion : J’en lis qui
es, ce n’était pas celle de l’esprit. La Fontaine lisait beaucoup, il
lisait
avec passion : J’en lis qui sont du nord et qui
l’esprit. La Fontaine lisait beaucoup, il lisait avec passion : J’en
lis
qui sont du nord et qui sont du midi ; il jouiss
it tout, et rien qu’avec dessein, Qui les sait que lui seul ? Comment
lire
en son sein ? Aurait-il imprimé sur le front des
ienne comédie, comme les Pasquins, les Turlupins, les Jodelets6, etc.
Lisez
-vous, dans les Précieuses, le passage où Mascaril
âge de quatorze ans ; et ils se contentèrent de lui faire apprendre à
lire
et à écrire pour les besoins de sa profession. Mo
quelque scène prît le peuple des spectateurs, comme les autres, il la
lisait
à sa servante pour voir si elle en serait touchée
e passer dans le public. Il le prévint par des lectures, mais il n’en
lisait
que jusqu’au quatrième acte90 : de sorte que tout
i ici une remarque de M. Ménage, pour justifier ce que j’avance. « Je
lisais
hier le Tartuffe de Molière. Je lui en avais autr
lisais hier le Tartuffe de Molière. Je lui en avais autrefois entendu
lire
trois actes chez M. de Montmort92, où se trouvère
jouées dès les mois de mars et de juin de l’année 1666. Molière avait
lu
son Misanthrope à toute la cour, avant que de le
e d’Angleterre, lui avait dit de supprimer lorsqu’il eut l’honneur de
lire
sa pièce à cette princesse. Elle regardait cet en
vec d’autant plus d’assurance, qu’il ne croyait pas qu’un jésuite pût
lire
Théophile. Ainsi, disait ce pédant à mon ami, si
un sûr moyen de me concilier l’homme dont vous me parlez : j’irai lui
lire
ma pièce. » Au spectacle, où il était assidu, Mol
-le-champ le reste au feu. A mesure qu’il y avait travaillé, il avait
lu
son ouvrage à M. Rohault, qui en avait été très s
ue Votre Altesse me rendit confus lorsqu’elle eut la bonté de vouloir
lire
d’un bout à l’autre le livre qu’elle me commanda
t qu’un comédien était un homme nourri dans le giron des rois. « J’ai
lu
, disait-il, toutes les histoires anciennes et mod
ri lui copiait ses rôles ; et c’était la seule personne dont elle pût
lire
l’écriture. Depuis sa retraite du théâtre, mademo
rt, Louis Béjart, et Béjart (Madeleine, sœur d’Armande Béjart). 45.
Lisez
, la sœur. 46. Armand de Bourbon, prince de Cont
1.) Une anecdote racontée par Boileau confirme tout ce qu’on vient de
lire
. Racine avait confié à Floridor le rôle de Néron
e ici question de Mondory, mort en 1651 : c’est Montfleury qu’il faut
lire
. Molière critiqua le jeu et la déclamation de cet
lusieurs fois une vieille servante, qu’il avait chez lui, et à qui il
lisait
, disait-il, quelquefois ses comédies ; et il m’as
vres) « Un jour Molière, pour éprouver le goût de cette servante, lui
lut
quelques scènes d’une pièce de Brécourt. Laforest
z pas ri du moins intérieurement. (Voyez le Bolaeana. page 104) 78.
Lisez
: sa belle-sœur. 79. Il ne peut être question de
vait répondu : « C’est bien à vous d’en juger, vous qui ne savez pas
lire
, » et qu’il lui avait répliqué : « Je ne sais que
savez pas lire, » et qu’il lui avait répliqué : « Je ne sais que trop
lire
depuis que vous faites imprimer. » Boileau et Rac
: Froid, sec et dur auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas
lire
oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n
lire oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n’ai que trop su
lire
, Depuis que tu fais imprimer ! Racine soutint qu
olière soutint au contraire qu’il fallait conserver de ne savoir pas
lire
: cette façon, dit-il, « est plus naturelle, et i
lus prompte impression ; et il nous apprit qu’ayant été la veille lui
lire
son Tartuffe (selon la coutume de la consulter su
es anciens, par l’abbé Châteauneuf, un volume in-12, 1725.) 91. On a
lu
dans vingt écrits, et entre autres dans ceux de V
re galant, année 1672.) 96. Boileau disait que Molière, après avoir
lu
le Misanthrope, lui avait dit : Vous verrez bien
doux, complaisant, généreux. Il aimait fort à haranguer ; et quand il
lisait
ses pièces aux comédiens, il voulait qu’ils y ame
M. du Broussin avec le duc de Vitri et Molière, « ce dernier y devait
lire
une traduction de Lucrèce en vers français, qu’il
re adressée à Molière ; mais, après ce récit, Molière ne voulut point
lire
sa traduction, craignant qu’elle ne fût pas assez
our soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de
lire
le premier acte du Misanthrope, auquel il travail
ence les chagrins des maris jaloux, ou qui ont sujet de l’être.] J’ai
lu
dans un petit Livre imprimé l’an 1688, que7 l’on
scours, & qui n’avoient rien de rude pour les oreilles délicates.
Lisez
ces paroles d’Aulugelle. Non hercle idem sentio
ui forgent des mots. Une nécessité indispensable y contraint ceux-ci.
Lisez
cette plainte de Lucrece : Nec me animi fallit,
édies Italiennes représentées à Paris servirent d’original à Moliere.
Lisez
ce qui suit, c’est un discours que l’on prête à A
s, & je trouve ses Comédies si pleines de sens, qu’on devroit les
lire
comme des instructions aux jeunes gens, pour leur
eoise ou noble, pauvre ou opulente. Mais les pieces sont plus souvent
lues
que représentées ; le lecteur ne voit pas la déco
? chez qui ? Je l’ignore. Voyons les premieres scenes : j’en ai déja
lu
trois, & je ne suis pas plus instruit. Il est
ent autorisés à se les répéter sans que leur scene ait rien de forcé.
Lisons
-en une partie pour nous en convaincre. Scene I.
événements. Sans aller chercher des exemples bien loin, finissons de
lire
la scene des Précieuses que je viens de citer plu
a entre ses mains. Cette premiere scene m’a paru si ridicule que j’ai
lu
la piece à plusieurs reprises, de crainte d’avoir
reçu une lettre de son amant, lequel est à l’armée ; elle ne sait pas
lire
et voudrait qu’on lui lût cette lettre. Molière c
t, lequel est à l’armée ; elle ne sait pas lire et voudrait qu’on lui
lût
cette lettre. Molière consent volontiers à lui re
. Molière consent volontiers à lui rendre ce service. Mais au lieu de
lire
ce qu’écrit l’amoureux, il invente une épître de
e est charmée, et quand d’autres lecteurs, plus sincères, essayent de
lire
la lettre à leur tour, elle la leur arrache dès l
leur arrache dès les premières lignes en disant qu’ils ne savent pas
lire
aussi bien que le monsieur de chez Gély. Si l’ane
ons dans les Nouvelles Espagnoles ; elles sont fécondes en intrigues.
Lisons
les Romans Anglois ; on y trouve des caracteres f
un roman intitulé les Mémoires de Mademoiselle Bontems. Je le répete,
lisons
tout, excepté nos modernes Romanciers : depuis qu
te, plus ils se feront un plaisir de nous communiquer leurs lumieres.
Lisons
avidement leurs écrits. M. de Marmontel nous indi
vous êtes un impudent de vouloir disputer contre un Docteur qui sait
lire
& écrire. Voilà qui est fait. Je vous prie de
a été obligé de faire avant que d’être Docteur ? Il faut qu’il sache
lire
& écrire ; pour lire & écrire, il faut co
ant que d’être Docteur ? Il faut qu’il sache lire & écrire ; pour
lire
& écrire, il faut connoître les lettres ; pou
s hommes qui se font composer des épitaphes fastueuses. Arlequin veut
lire
à son tour et craint d’avoir sa part de la puniti
l s’enhardit, et poursuit en ces termes : « — Je me souviens d’avoir
lu
dans Homère, en son Traité pour empêcher que les
ure, impératrice de Constantinople, et représentée le 20 mars 1658. À
lire
les récits que font les contemporains des merveil
là de relais ; Car vous avez la mine, étant hors de l’école, De ne
lire
jamais Bartole. Que ne vous poussez-vous ? Un
public. ACTE I. Scene VI. ARNOLPHE, HORACE. Arnolphe, après avoir
lu
une lettre qu’Horace lui a remise de la part de s
’une femme armée de pied en cap, les prudentes leçons que nous allons
lire
. ACTE III. Scene II. Les Maximes du mariage, ou
p; de corps belles, A tous qui ces Lettres verront : Ceux qui sauront
lire
liront. Devant nous querelle s’est mue Pour une p
corps belles, A tous qui ces Lettres verront : Ceux qui sauront lire
liront
. Devant nous querelle s’est mue Pour une piece as
x livre intitulé les Faveurs & les Disgraces de l’amour, que j’ai
lu
dans mon enfance, & que je n’ai jamais pu ret
cathéchisme, il n’en est pas moins également sot15. Mais si Collé eût
lu
jeune ce commentaire, peut-être eût-il fait quelq
ns, daté « 29bre 1813 » jusqu’au 11 verso l’introduction : « Si vous
lisez
une comédie. » jusqu’à la fin « Passons à l’exa
e de la traduction partielle du premier livre de Y Iliade de Lebrun ;
lire
f. 125 verso la consultation du médecin de Stendh
la campagne de Iéna. Ce volume ne m’a pas quitté, et je ne l’ai guère
lu
. En 1809, les Lettres persanes ont été bien souve
ne l’ai guère lu. En 1809, les Lettres persanes ont été bien souvent
lues
par moi. » Il attachait un souvenir précieux à ce
bien peu ce respectable nom. L’appétit manque. La tête est faible, je
lis
des romans et je pense beaucoup à nos amis, signe
ge. Paris 47 C Hôtel Giacinta, 11 Jr [1834 ?]48 Avez-vous
lu
, Monsieur, la vie de Descartes ? Ayant l’occasion
spectateurs, le Misanthrope n’est qu’un poème didactique sérieux bien
lu
. Les têtons des actrices, les beaux habits des ac
à Milan dans l’intervalle des rendez-vous du 9 au il novembre 181374.
Lu
à Milan le 8 mars 1816, malade de battemens d’art
depuis deux mois, si, dès le 10 ou le 15 septembre, je me fusse mis à
lire
Molière la plume à la main. Mes occupations d’Aud
grand admirateur de la comédie. Il sent vingt fois plus de plaisir à
lire
de ses pièces que le meilleur amateur. George Da
VI. Les Femmes Savantes Les Femmes savantes 89 Si vous
lisez
une comédie pour votre plaisir, laissez-vous alle
été le but de l’auteur. Ces idées me sont venues ce matin en voulant
lire
les Femmes savantes, pièce sur laquelle je suis l
me et des enfants que passé ces deux heures, elle emploie son temps à
lire
les douze ou quinze grands poètes, les bons histo
s lettres pour les lettres, celle qui s’enferme dans son boudoir pour
lire
les Tragédies de Schiller, pas plus que celle qui
chose à dire, et de se voir écouté une seule fois dans sa vie, vient
lire
à ces dames un manuscrit qu’on lui a, dit-il, prê
a comme Alfieri, je crois, méprise toute la canaille ; moi enfin, qui
lirais
bien dans mon caractère, verrais que toute ma pol
oble. Paris. Pion, 1889, in-8, pp. Lx-802 + 1 f. n. ch. p. l’er. 31.
Lire
vol. VIII. 32. Écriture de P. Mérimée. 33. Idee
us croyez que la chose est impossible ? Eh bien, pour vous détromper,
lisez
notre Théâtre ancien : vous y trouverez des églog
vanouir ? Que vos romans se bornent aux honneurs de la presse, on les
lira
, on les jugera, on leur prodiguera des éloges s’i
, & l’on s’efforça de prouver que M. Barthe n’avoit peut-être pas
lu
les Commeres de Windsor. Nous n’entrerons ni dans
Acteur, nommé Desforges, & présentement en province, a long-temps
lu
dans les sociétés de Paris une piece47 bien resse
r Valere de ce côté. Il y a, à dire vrai, des scenes excellentes qui,
lues
séparément, n’offrent au Lecteur ni exposition, n
aire ; mais avant que de me condamner, qu’on daigne m’entendre, &
lire
avec moi la scene suivante. ACTE II. Scene V. E
n est excellente ; s’il n’en fait rien, l’exposition est défectueuse.
Lisons
, & nous déciderons après. Clitandre. Parbleu
faire des pieces plus propres à être jouées sur un Théâtre qu’à être
lues
dans une Académie. Il a tenu parole, bien en pren
ent rien, puisqu’il prend Madeleine pour Armande et croit que Molière
lu
épousée. Il y a surtout Montfleury (à ce que dit
ût ou la vanité des comédiens l’ont aidée à ne pas manquer. » Il faut
lire
surtout le court mais substantiel chapitre intitu
si lui-même, avec ses passions, ses faiblesses et ses douleurs. Qu’il
lise
avec soin ce volume, qu’il y apprenne enfin la vi
digé l’inventaire de ses effets, meubles, hardes et libres, dont j’ai
lu
une copie. Ce dernier des Poquelin ne possédait m
s tard, pour être applaudi. Jamais il ne fit jouer une pièce, sans la
lire
d’abord en ce même hôtel de Liancourt, dont il ét
it être aussi, à la ville, son principal manège de coquetterie. « Si,
lisons
-nous dans les Entretiens galants 5, livre de cett
ette charmante traduction de l’ode d’Horace, Donec gratus eram, qu’on
lira
plus loin, c’est qu’au moment où il écrivait ces
figure d’elle et de vous. » Il lui recommande ensuite de ne pas faire
lire
cette lettre « à ses femmes », à cause de certain
ux écoutes. Chaque soir, soit qu’il revînt de chez Ninon, où il avait
lu
quelques scènes de ses comédies, soit qu’il eût p
ssi dans la copie de Pierre Marcassus, puisque Voltaire dit l’y avoir
lue
, ce qu’il faut croire. Comment, en effet, l’eût-i
part, qu’il était tour à tour Tartuffe ou Pantalon. Ce qu’on vient de
lire
rentre dans ce dernier rôle. Voilà ce qu’il était
écoutant en cachette95. La scène où Arnolphe commande à Agnès de lui
lire
les Maximes du mariage, ou Devoirs de la femme ma
iers actes de sa comédie. On sait, en effet, que non seulement il lui
lisait
toutes ses pièces, mais que, bien plus, il allait
rtait de se garder favorable. Ne pouvant jouer Tartuffe, il allait le
lire
partout où il croyait pouvoir se concilier quelqu
à était fort de vos amies ; elle avait eu beaucoup d’envie d’entendre
lire
le Tartuffe de Molière, et l’on ne s’opposa point
sque qu’il s’agit de madame de Sablé. Il est, en effet, certain qu’il
lut
chez elle au moins une partie de Tartuffe. Chaque
e de madame de Longueville, devait tenir plus que personne à se faire
lire
cette comédie, où revivaient, sous d’autres noms,
t de biais la défense, et donnant en détail, à son Tartuffe, qu’il va
lire
par la ville, la publicité qu’il ne peut lui conq
emplois ; or, vous savez d’où l’abbé était sorti, et vous n’avez qu’à
lire
les chansons du temps, pour bien connaître tout c
bonheur de ce nouvel amour. Les moins méchants répétaient ce que nous
lisons
dans un couplet alors chanté partout : Et
olie, à l’apothicaire, comment vous vous nommez ? — Ne savez-vous pas
lire
? — Si fait ! — Alors vous avez mon enseigne. Mol
— Si fait ! — Alors vous avez mon enseigne. Molière leva les yeux, et
lut
écrit en grosses lettres ce nom magique : Fleuran
eil. Le burlesque Dassoucy, qui vit cet air là, chaque fois qu’il lui
lut
ses poèmes, où Molière n’était pas attaqué, mais
issu d’infamies mensongères et de sottes insultes ; il ne faut que la
lire
pour voir que c’est pis encore. Molière y est méc
t d’être en proie aux réflexions de ces pygmées ; lui, qui avait tout
lu
et tout retenu, qui avait conscience de son savoi
sans avoir auparavant pris son avis. « Molière, écrit Tallemant, lui
lisait
toutes ses pièces », et quand L’Avare, sembla êtr
poème du Val-de-Grâce à la gloire de son ami Mignard, que Molière va
lire
chez Mlle de Bussy. Il y a grande assemblée d’hon
lui, il appela sa critique L’Impromptu de l’hôtel de Condé.. Il faut
lire
ce petit acte, si méchant, en si mauvais vers, po
plus instruits, les plus intelligents, les plus soigneux, n’ont rien
lu
sur Molière depuis quinze ans, c’est-à-dire depui
de Trissotin, qu’il connaît delà tète aux pieds, rien que pour avoir
lu
ses vers : C’est par eux qu’à mes yeux il a d’ab
itoyablement mise en bouffonnerie ; eh bien ! donnez-vous la peine de
lire
le Discours physique de la parole, qui, deux ans
pour terminer ce livre, dont la longueur l’effrayait ? Où vint-il le
lire
, fragment par fragment, et prit-il, chaque jour,
on s’étonnera moins, et l’on tiendra pour vrai ce que nous venons de
lire
. C’est dans une pauvre petite chambre, louée par
ux praticables, machinées et non écrites, qui se regardent mais ne se
lisent
pas, et qui font insulte aux presses qui les impr
ment : « Ceci n’est pas un modèle de style, il faut le voir et non le
lire
! » l’auteur lui ferait un procès en diffamation.
dre avec l’ensemble, elles s’y déteignent par places. Or, qu’avait-il
lu
, afin de s’inspirer pour ce rôle, où l’on ne veut
elques-uns refusent de sentir l’emportement et la violence ? Il avait
lu
le Traité de la colère, le de Ira de Sénèque. C’e
plus heureux dans leurs recherches, la très curieuse lettre qu’on va
lire
: Monsieur, Tout n’a pas été dit sur les sources
de bêtes, dit Henry Estienne, qui se pourra garder de rire, quand il
lira
que saint Macaire fit sept ans pénitence ès espin
comme on appelait alors ces sortes de registres, où, pour qui sait le
lire
, chaque total est une anecdote, que nous allons n
e, de fort amusants intermèdes, que tout le monde oubliait. On ne les
lisait
pas, parce qu’on ne les jouait plus, et on ne les
u’on ne les jouait plus, et on ne les jouait plus, parce qu’on ne les
lisait
pas. M. Édouard Thierry, qui sait tout son Molièr
ace même de nous tenir longtemps à ce régime, car, parmi les ouvrages
lus
, il y en a peu d’élus, s’est dédommagée de cette
ndre avec l’ensemble : elles s’y déteignent par places. Or, qu’a-t-il
lu
surtout, afin de s’inspirer pour ce rôle où l’on
us donner son récit, l’auteur des Contes de fées étant toujours bon à
lire
, même lorsqu’il ne fait pas un conte. « Son père
te racontée par Perrault ? Nous le pensons, à cette époque surtout où
lire
, écrire, compter, toutes choses qui relevaient du
tte lettre qu’elle a reçue du balourd, son fiancé, et qu’elle ne peut
lire
, il imagine, en la lui lisant, la lettre la plus
r le chef machiniste, qui lui servait de guide et d’éclaireur, il put
lire
, sur la bordure de cette cloche, le millésime de
ale ou Moniteur universel, à la date du dimanche 26 août 1792, vous y
lirez
ce qui suit : « Sur les conclusions de M. Manuel,
erre opaque de la politique, et il en arrivait à ne pouvoir même plus
lire
au travers. Le fait qui nous occupe suffira comme
e les plus honnêtes, qui, suivant les opinions qu’ils se sont faites,
lisent
avec des verres bleus, verts ou rouges. La vérité
ceux de l’étranger se firent les échos. Voici, en effet, ce que nous
lisons
dans la Revue de Bruxelles, de mars 1839, p. 205.
t quelque peu dû cette gloire et cette fortune, va vous le dire. On y
lisait
au total de ses représentations : 4,394,234 franc
n pour le prouver à ceux qui aidaient à le lui faire aimer : « On a,
lisons
-nous dans les Mémoires secrets , on a ajouté, sur
de gaieté à célébrer la mémoire du premier poète comique. » Vous avez
lu
: « Beaucoup de zèle et de gaieté ! » C’est la vr
Mlle Bussy. N oyez Tallemant, in-12, t. III, p. 33, note. Molière lui
lut
aussi son poème du Val-de-Grâce, Voy. Gazette de
n tableau fait en son honneur ; c’était une Résurrection ; au bas, se
lisait
, en forme de rébus pour rappeler son nom ; « Vide
’épurer la correspondance de son père, résume ainsi ce qu’on vient de
lire
: « Montfleury......accuse Molière d’avoir épousé
l’idée. 142. Voir le Manuscrit de La Grange. 143. Il suffit de la
lire
, pour être convaincu de ce que je dis ici. On lit
n : sera-t-il cocu ou non ? portera-t-il des cornes, sauvera-t-il son
liront
de la maligne influence ? Arnolphe a, pour se ras
conçoit difficilement aujourd’hui que l’interrogatoire qu’on vient de
lire
ait passé à la représentation. Elle fut reçue ave
statrice auxdits notaires, et à elle par l’un d’eux, l’autre, présent
lu
et relu en ladite chambre où elle est malade, l’a
lus aux joies de ce monde, un beau livre déchiré, peut-être déjà trop
lu
, qu’il allait fermer bientôt. Avait-il le pressen
Molière a bien pu çà et là dire à La Forest de rester céans quand il
lisait
une pièce à la Béjart, à la de Brie et à la Moliè
t prouver la vertu de la Du Parc, si on n’avait pas l’art de les bien
lire
: Molière ne faisait pas ces strophes comme les a
e ses jeunes rivaux. Substituez marquise à princesse, et vous croirez
lire
une page des mémoires poétiques de Corneille : J
ous la chaire où le curé faisait le prône, et au moment où le pasteur
lisait
à son troupeau les promesses de mariage enregistr
de Regnard. Elle ne savait rien des livres puisqu’elle ne savait pas
lire
ses rôles, mais comme elle savait bien le livre d
ervantes de Molière. « Eh bien ! dit Mme Beauval, je vais apprendre à
lire
à mes enfants. » Elle avait eu vingt-quatre enf
tout haut qu’elle se vantait beaucoup en disant qu’elle apprendrait à
lire
à ses enfants, puisqu’elle n’avait jamais su lire
’elle apprendrait à lire à ses enfants, puisqu’elle n’avait jamais su
lire
. Ce n’est pas Molière qui lui eût mis une grammai
e de Molière. VIII. Mademoiselle Beaupré Mademoiselle Beaupré
lut
, qu’on nous pardonne le mot, la seconde Marotte d
é aussi plusieurs fois une servante qu’il avait chez lui, et à qui il
lisait
, disait-il, quelquefois ses comédies, et il m’ass
point. « Un jour, Molière, pour éprouver le goût de sa servante, lui
lut
quelques scènes d’une pièce de Brécourt. Laforest
que l’auteur du Misanthrope montre à Boileau en lui disant qu’il lui
lisait
quelquefois ses comédies, la servante que Brosset
olière, qui ne dédaignait aucun spectateur, retenait Laforêt pour lui
lire
les scènes les plus comiques, l’interrogeant d’un
elle, tome I, nº 1, 1er avril 1879, p. 3-4. Si chaque homme qui sait
lire
est — selon le mot de Sainte-Beuve — « un lecteur
ependant, Monsieur, quand j’ai commencé à exceller, je n’avais jamais
lu
Molière. ORONTE. Tant pis pour vous. LE POÈTE. Oh
e l’Hôtel de Bourgogne. Il se présente à leur assemblée et propose de
lire
sur le champ deux de ses ouvrages. On se prête se
6 est une coquille d’imprimerie, qu’il faut renverser le dernier 6 et
lire
1649 ; et qu’en effet Molière était à Toulouse le
Histoire littéraire de la ville d’Albi 4 mériterait à coup sûr d’être
lue
et appréciée ne contînt-elle pas ce chapitre tout
isanthrope est de 1666 ; Le Grand Cyrus parut en 1650 ; Molière avait
lu
Mlle de Scudéry, et l’on ne rabaisse point sa glo
rd’hui qu’il existe au greffe de Rouen un registre sur lequel on peut
lire
un acte authentique portant la signature de J. B.
loit des mains de M. Loyal, il va s’asseoir à la table de gauche pour
lire
la chose et pour l’étudier, peut-être avec trop d
es derniers temps la plaque de marbre commémorative que chacun y peut
lire
maintenant. À la date de 1638, à laquelle se rapp
n et piété, sur une armature en argent. Au-dessous de cet os, on peut
lire
ceci : « Fragment de la mâchoire de Molière donné
ention avait été tout d’abord attirée par une chemise sur laquelle on
lisait
ces mots en ancienne écriture : « plan collé sur
soins de M. Eud. Soulié dans les minutes de Me Aumont-Thiéville, nous
lisons
: « Fut présent Jean-Baptiste Poquelin, sieur de
penseurs et nos poètes les plus éminents se sont occupés de Molière.
Lisez
les Conversations avec Goethe, publiées par Ecker
é, dit Molière. Les comédies de Molière — je l’avoue franchement — se
lisent
plus qu’elles ne se jouent en Allemagne, ce qui n
r du théâtre de la cour à Vienne ; vos lecteurs le connaissent, ayant
lu
dans Le Moliériste d’août un poème de M. de Dinge
é de la comédie et des spectacles que ni toi ni les tiens vous n’avez
lu
? L’oubli c’est la règle, et le souvenir c’est l’
rir cela ? Est-ce donc mourir, tout à fait, si plus d’un cœur, à vous
lire
, a battu plus vivement ; si plus d’une idée endor
andonner le vraisemblable. Ainsi, malgré l’exemple de Plaute, où nous
lisons
: da tertiam ! je soutiens contre Molière, qu’un
icisme, une comédie, en un mot, digne de Molière, personne ne les eût
lues
dans ce peuple fatigué de dissertations religieus
les autres, ceux qui l’avaient vu jouer et ceux qui l’avaient entendu
lire
, ne savaient de cette comédie que les trois premi
etite censure. Ce digne religieux, de son propre aveu, n’avait jamais
lu
, encore moins vu, aucune comédie, ni de Molière,
français dans lequel j’écris à Votre Grandeur. » Rien n’est amusant à
lire
comme la justification du digne théatin, et son e
nes vos comédies ». Oui, P. Caffaro, ce Molière, dont vous n’avez pas
lu
une seule comédie, a fait représenter des pièces
» Dites-moi, ajoute Bossuet (ici le père Caffaro, qui n’a jamais rien
lu
, doit être horriblement embarrassé), « que veut u
it, non pas l’école des mœurs, mais l’école des passions. Après avoir
lu
cette lettre admirable et sans réplique, la coméd
er des plus simples devoirs de leur profession ! — Madame est malade…
lisez
: « madame est au bal ! » Monsieur est pris d’un
… lisez : « madame est au bal ! » Monsieur est pris d’un mal subit. —
Lisez
« Monsieur se promène » ; il fait beau, le public
rides ! que de frissons, que de cheveux blancs, mignonne au teint de
lis
! — Vous avez vu dans un cadre, à l’abri d’une gl
à son aide le ciel et l’enfer. C’est pourtant un philosophe qui sait
lire
et écrire ! comme dit Sganarelle, croyant lui fai
ces plaintes si tendres et si remplies de résignation que vous pouvez
lire
dans les Mémoires de Mademoiselle de Montpensier.
ela leur va bien et que c’est un utile assaisonnement de l’amour, ils
liront
avec joie le terrible portrait de la prude, tracé
matique, digne de tout notre intérêt et de toute notre étude. Si vous
lisez
les critiques du temps et surtout les corresponda
de probité, dans un travail acharné de chaque jour. Encore une fois,
lisez
les modèles, et tenez-vous aux modèles. Quant à s
is pas cela »,répond Diogène avec le mot d’Alceste. Mais le cynique a
lu
Boileau et ne reconnaît pas l’auteur du Misanthro
tte occasion, dans la salle de l’Athénée, une séance littéraire. Il a
lu
, outre le Sonnet aux Moliéristes de notre cher po
française, une notice fort sérieuse et fort exacte dans laquelle nous
lisons
ceci : « … Il était facile à ses gens et à tout
frayé le traducteur. Aussi ajoute-t-il à la traduction qu’on vient de
lire
, ces paroles peu modestes : « Nous sommes (en Ita
atigable et chercheur patient, Édouard Fournier avait prodigieusement
lu
, noté, recueilli, retenu. Ses premières études su
lide sur Tartuffe 11. Mais il ne suffit pas aux Hollandais de pouvoir
lire
Molière dans l’original, ils veulent avoir ses pi
cette représentation annuelle. Les autres pièces du poète tragique se
lisent
, mais ne se jouent plus. Et il faut avouer que le
vrai quel goût règne à présent : En plein théâtre il faudra qu’on le
lise
». Certain caustique en fit bien l’analyse, Et le
te étude : Molière et Tartuffe dans la préface des Plaideurs, où nous
lisons
le passage suivant : « Mais c’est en juillet 165
n sur les choses les plus respectables, la morale et la religion : «
Lisez
-moi, comme il faut, au lieu de ces sornettes, « L
se contente pas de lui indiquer une « bonne lecture ». Il lui donne à
lire
haut devant nous une suite de maximes en vers for
sais par quelles lois un ouvrage est parfait, « Et Corneille me vient
lire
tout ce qu’il fait. » C’est Lulli, dans le même
maître en critique littéraire, M. de Saint-Marc Girardin, propose de
lire
ici Quinault entre les lignes ; mais il n’y a guè
, dans sa Préface : « Je découvris, je ne sais où, que M. du Tralage (
lisez
: de Tralage) était parent… etc. » — Cette découv
it entendu parler des Fâcheux avant d’écrire sa pièce, mais qu’il n’a
lu
cette comédie qu’après avoir fini la plus grande
» Tel est l’acte de mariage à Lyon. Voici l’acte mortuaire que nous
lisons
à Carcassonne : « Le 29 mars (1655) François La
feu, mais la fête se poursuivait sur la scène et dans la salle. On en
lira
la description fidèle dans l’excellent article qu
our pour l’âpre vérité ; mais je n’oublie pas que tel feuilleton sera
lu
, traduit et commenté par-delà les Alpes et le Rhi
n’est plus que du bric-à-brac archéologique ! » Voilà ce qu’on a pu
lire
, et je ne cite qu’un de nos lundistes. — C’est ai
Approbation. J’ai
lu
par ordre de Monseigneur le Chancelier, La Vie de
’âge de quatorze ans, et ils se contentèrent de lui faire apprendre à
lire
et à écrire pour les besoins de sa profession. Mo
quelque Scène prît le Peuple des Spectateurs, comme les autres, il la
lisait
à sa servante pour voir si elle en serait touchée
passer dans le public. Il le prévint par des lectures ; mais il n’en
lisait
que jusqu’au quatrième acte : De sorte que tout l
prose de Mr de Molière, dit-il, vaut beaucoup mieux que ses vers. Je
lisais
hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois ente
vers. Je lisais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois entendu
lire
trois Actes chez Mr de Mommor, où se trouvèrent a
jouées dès les mois de Mars et de Juin de l’année 1666. Molière avait
lu
son Misanthrope à toute la Cour, avant que de le
Madame défunte lui avait dit de supprimer, lorsqu’il eut l’honneur de
lire
sa pièce à cette Princesse. Elle regardait cet en
vec d’autant plus d’assurance, qu’il ne croyait pas qu’un Jésuite dût
lire
Théophile. Ainsi, disait ce Pédant à son ami, si
un sûr moyen de me concilier l’homme dont vous me parlez ; j’irai lui
lire
ma pièce. Au spectacle, où il était assidu, Moli
la lecture de cette pièce. ― Molière, disait-il à tout le monde, me
lis
ce soir une Comédie : voulez-vous en être ? Moliè
r-le-champ le reste au feu. À mesure qu’il y avait travaillé il avait
lu
son ouvrage à Mr Rohault qui en avait été très sa
espréaux. h. [NdE] Mademoiselle de Brie. i. [NdE] Racine. j. [NdE]
Lire
: A… pour Alexandre (1665), tragédie de Racine.
’on en puisse dire, Un Marchand pour les vendre, et des Sots pour les
lire
; Et quand la rime enfin se trouve au bout des ve
ers que Perrin les admire ? Que l’Auteur du Jonas s’empresse pour les
lire
? Pourvu qu’ils sachent plaire au plus puissant d
uivait-il son exemple ? En vérité, il répugne en ouvrant ce Livre, de
lire
: La Vie de Monsieur de Molière. Si l’Auteur n’av
plus grand nombre ; il est amusant pour les gens qui se contentent de
lire
sans réflexion. Il y a des noms en blanc ; on s’o
tourneraient à notre confusion. Je suis, etc. Approbation. J’ai
lu
par ordre de Monseigneur le Chancelier, cette Let
il déclara même avoir possédé ce volume, sur le frontispice duquel on
lisait
, assurait-il : Le Roy glorieux au monde, contre
éritables Précieuses de janvier 1660, Somaize nous a appris avoir été
lu
de côté et d’autre par Molière avant la première
’École des femmes, Dorante répond : Mais je sais le théâtre, et j’en
lis
la Pratique 54; Quand la scène est sanglante une
ait se plaire, Molière s’était écrié en interrompant son ami qui lui
lisait
sa satire : « Voilà la plus belle vérité que vous
es, avec le duc de Vitry et Molière, notre premier comique « devait y
lire
une traduction de Lucrèce en vers français, qu’il
ire adressée à Molière. Mais, après ce récit, Molière ne voulut point
lire
sa traduction, craignant qu’elle ne fût pas assez
our soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de
lire
le premier acte du Misanthrope, auquel il travail
e de Linières, fit paraître une traduction en vers du même auteur. On
lisait
dans sa Préface nouvelle : « Plusieurs ont entend
le quelqu’un avait parlé si avantageusement qu’il disait n’avoir rien
lu
de plus utile ni de plus instructif à son gré, de
ut : On lui dit ce qu’on veut, bien souvent rien du tout. Bien qu’on
lise
dans la Vie de Grimarest, que cette actrice « n’é
bien à vous d’en juger, lui dit l’auteur piqué, vous qui ne savez pas
lire
! » — « Je ne sais que trop lire, repartit Puimor
’auteur piqué, vous qui ne savez pas lire ! » — « Je ne sais que trop
lire
, repartit Puimorin, depuis que vous faites imprim
Froid, sec, dur, rude auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas
lire
oses-tu me blâmer ? Hélas, pour mes péchés, je n’
lire oses-tu me blâmer ? Hélas, pour mes péchés, je n’ai que trop su
lire
Depuis que tu fais imprimer. « Mon père,
la même déférence pour les jugements de ses amis. Molière, auquel il
lisait
tous ses ouvrages, ne put obtenir de lui qu’il re
age était, suivant la gravité de son délit grammatical, condamné à en
lire
quinze ou vingt vers. « L’arrêt qui imposait la l
xplication à Molière, chez qui il demeurait. Molière, après les avoir
lus
, dit qu’il ne les entendait pas non plus, “Mais a
e le tenant de Molière lui-même, ajoute que cet auteur étant allé lui
lire
son Tartuffe, « elle lui fit le récit d’une avent
personne, nièce de la femme de La Mothe le Vayer, à laquelle Molière
lisait
également ses ouvrages avant la représentation :
étence de son bon sens et de son naturel. « Molière, dit Boileau, lui
lisait
quelquefois ses comédies ; et il m’assurait que l
rels ». Un jour, pour éprouver le tact et le goût de La Forêt, il lui
lut
plusieurs scènes de La Noce de village de Brécour
connaissait peu. Ce n’est donc qu’après que le sonnet est entièrement
lu
, et conséquemment après que le parterre a eu le t
ouvrit qu’il faisait de la prose. » « Molière, dit Grimarest, avait
lu
son Misanthrope à toute la cour avant que de le f
Madame défunte lui avait dit de supprimer lorsqu’il eut l’honneur de
lire
sa pièce à cette princesse. Elle regardait cet en
ait un devoir d’en démontrer la fausseté. Il n’est personne qui n’ait
lu
dans tous les ana que le 7 août, au moment où le
représenter, sous quelque nom que ce soit, la susdite comédie, de la
lire
ou entendre réciter, soit en public, soit en part
tions et défenses à toutes personnes de notre diocèse de représenter,
lire
ou entendre réciter la susdite comédie, soit publ
et lui demanda en grâce de lui donner une heure, voulant, dit-il, lui
lire
une comédie et la soumettre à son jugement. Le co
n malgré lui ont été écrits pour demeurer en prose ; il suffit de les
lire
après Le Festin de Pierre pour sentir que le chan
rapporter ; car il n’est personne, nous l’espérons, qui, après avoir
lu
Le Misanthrope et Le Tartuffe, n’y ait reconnu, e
r les herbettes Les images de vos chansons, qu’il fallait sans doute
lire
: Et tracez sur les herbettes Les images de vos
assadeurs de Siam, qui venaient lui annoncer que leur monarque, ayant
lu
ses ouvrages, l’avait élevé à la dignité de manda
vue de tout le monde une aversion d’autant plus injuste que ceux qui
lisent
mes ouvrages et m’entendent parler de vous savent
dont Ménage et Cotin avaient été les acteurs ? Le dernier achevait de
lire
, chez Mademoiselle, son sonnet à la princesse Ura
pagnèrent silencieusement ses restes. « Sur les neuf heures du soir,
lisons
-nous dans un récit contemporain, l’on a fait le c
arrêt sévère fut porté par Bailly lui-même ; et personne, après avoir
lu
son ouvrage, ne sera tenté d’en appeler. Pour don
J’avoue qu’Elle me rendit confus lorsqu’Elle eut la bonté de vouloir
lire
d’un bout à l’autre le livre qu’Elle me commanda
de ces lettres, relatif à La Clairière et à sa tragédie, tous ont mal
lu
, ou plutôt le premier a mal lu et tous ont répété
airière et à sa tragédie, tous ont mal lu, ou plutôt le premier a mal
lu
et tous ont répété : M. de Cléville, au lieu de M
tisans : « Nous tâchons d’amuser notre cher cardinal. Corneille lui a
lu
une comédie qui sera jouée dans quelque temps (Pu
ue temps (Pulchérie), et qui fait souvenir des anciennes. Molière lui
lira
samedi Trissotin, qui est une fort plaisante pièc
e flatte que vous la guérirez. Arlequin. Sans doute. Avez-vous jamais
lu
cet aphorisme d’Hippocrate, qui dit : Gutta cavat
ere n’a pas entendu raconter cette histoire, il doit sans doute avoir
lu
dans un manuscrit du troisieme siecle, un vieux c
traducteurs, adaptateurs, imitateurs, une mine inépuisable d’œuvres,
lues
avec transport de toute l’Allemagne sur tous les
ien ne périt des beautés de l’original. Elle ne se contente pas de le
lire
, elle le fait jouer sur tous ses grands théâtres.
er, fort injustement d’ailleurs, Shakespeare. Il est assez curieux de
lire
un article que Walter Scott écrivit sur Molière,
théâtre, savez-vous bien ce que me disait de lui le père Provost, qui
lut
avec Samson, et quelques-uns me disent avant Sams
notre exemple : On demande, dans Les Femmes savantes, à Trissotin de
lire
des vers de sa façon : Servez-nous promptement v
ec, mais je ne suis plus malheureusement assez bon helléniste pour le
lire
couramment, avec chance de m’y plaire. Les Précie
dévissées de leurs fauteuils. » Tel est l’effet du mot. Pourquoi ? Je
lisais
, ces jours derniers, un volume que M. Camille Sai
cet i vous transporte dans le seizième siècle, pour peu que vous ayez
lu
nos vieux auteurs, et vous prenez pour un instant
Molière, on ne le sait bien que si on l’a vu aux chandelles. Vous le
lisez
au coin de votre feu ; ce n’est plus cela. Il est
ins grand nombre pourtant. Le raseur gai répète les bons mots qu’il a
lus
dans le journal, refait sans grâce les histoires
et que sa raillerie a porté exclusivement sur les maris trompés. Il a
lu
tous les fabliaux de nos vieux conteurs ; il se p
ne âpre joie quand il s’agit des autres, et il tressaille quand on le
lu
corne aux oreilles, en ayant l’air de croire qu’o
t ils ne manquent jamais, quand ils veulent s’amuser à ses dépens, de
lu
jeter ce mot au travers de la conversation, de le
e la jeune personne ? Au contraire, Katia sait beaucoup ; elle a tout
lu
; Katia est bonne musicienne ; elle est douée d’u
rai. Je te bouchonnerai, baiserai, mangerai. Je ne sais si vous avez
lu
une manière d’autobiographie qui eut quelques suc
us gêne ; chassez de votre souvenir tant de dithyrambes que vous avez
lus
à propos de Don Juan ; rompez avec une vieille ha
elle-même est superbe, et si voulez en sentir l’extrême supériorité,
lisez
après l’œuvre de Molière, La Contagion, d’Émile A
ne-type. Une dame de beaucoup d’esprit, qui m’avait fait l’honneur de
lire
, dans mon dernier feuilleton, cette théorie des s
anthrope » I. Le caractère d’Alceste J’ai été bien surpris à
lire
, lundi dernier, l’analyse que mon confrère Paul d
ernants ont changé, et non pas nos mœurs. Ah ! qui ne se sentirait, à
lire
cet admirable rôle d’Alceste, échauffé d’une vail
ent bonne compagnie, même alors qu’il se donnait le léger ridicule de
lire
un sonnet médiocre. Il écoutait d’un visage assom
se et elle a un grand caractère de vraisemblance. Il est certain qu’à
lire
la prose du Sicilien, ramenée par les artifices d
e serait un livret d’opéra-comique tout fait. Je ne sais si vous avez
lu
l’ouvrage de Castil-Blaze qui a pour titre : Moli
scènes, les scènes d’amour ou de jalousie, sont bien plus agréables à
lire
, comme M. Anatole de Montaiglon nous les a donnée
e 1873. « Tartuffe » I. « Tartuffe » et le public J’avais
lu
avec une surprise extrême, dans le feuilleton de
l individu dont vous étiez coiffé. Tenez ! il n’y a pas longtemps, je
lisais
dans la Gazette des tribunaux le procès d’un chev
eur tempérament ou à leurs préjugés. Elles excellent à cette besogne,
Lisez
L’Affaire Clémenceau, de Dumas fils. Ida a eu tan
son père, qui l’embrasse et qui pleure, ses derniers adieux. J’avais
lu
cette scène le matin et l’avais trouvée fort bell
ier un mot : Mon cher Sarcey, Cette fois-ci, ce sera un peu long. Je
lis
dans votre feuilleton d’hier que je suis un destr
n de son fils, qu’on eut toutes les peines du monde à lui apprendre à
lire
, et qu’à l’âge de neuf ans il ne connaissait pas
cun de nous, si vieux qu’il fût, n’avait vu jouer Les Ménechmes. J’ai
lu
dans un journal que M. Ballande, au cours de ses
es plus étincelants qu’il ait écrits à ces critiques qu’il n’avait pu
lire
encore. M. Reinach est jeune ; il s’imagine sans
avant lui revenait de l’Académie. Ce sont les seuls travaux que j’aie
lus
; mais il y en a eu beaucoup d’autres. S’il nous
e et ne parle que de ce qu’il sait. Je crois que vous aurez plaisir à
lire
ce morceau de critique. Vous y trouverez sur Mari
et je la sais si bien, qu’il m’est devenu pour ma part impossible de
lire
tout haut Le Jeu de l’amour et du hasard. Je n’ai
son maître. J’ai bien souvent vu jouer Le Mariage de Figaro ; je l’ai
lu
plus souvent encore ; il y a une quantité de scèn
sie lit eu des mœurs plus sévères et une éducation plus solide. Qu’on
lise
, si l’on veut se rendre compte de ce qu’était une
re compte de ce qu’était une famille bourgeoise en ce temps-là, qu’on
lise
dans l’histoire de Beaumarchais, par M. de Loméni
et dont tout le monde a entendu parler, bien que peu de gens l’aient
lue
, l’Ode à Priape ; quelques plaisanteries sur les
anes » Nous ne connaissions Les Trois Sultanes que pour les avoir
lues
. La pièce avait été, au dix-huitième siècle, donn
ue Osmin, joué par le jeune Berr. Je croyais connaître ce rôle, ayant
lu
bien souvent la pièce. Berr me l’a révélé. Je ne
son légère ; elle enlève. On n’a plus le droit de dire, après l’avoir
lue
, que les Anglais et les Allemands ont inventé la
mpossible à aucun de mes lecteurs de se la procurer. J’imagine qu’ils
liront
avec plaisir cette curiosité : « De tous les déf
, « comme s’ils voyaient la colonne renversée d’un tombeau, sans même
lire
l’inscription ». Aussi en est-il réduit à se conf
les gens d’esprit que pour la multitude, et plus propre encore à être
lu
que joué. Le théâtre fut bientôt désert34 ; et, d
pandre des lumières et des vérités d’expérience qui nous apprennent à
lire
en nous et chez les autres. Sans être sentencieux
e. La vérité est que Le Tartuffe fut non seulement conçu, mais écrit,
lu
, et même joué, d’abord en partie, puis dans son e
de Créqui, ambassadeur de France à Rome. Molière obtint l’honneur de
lire
sa pièce à ce prélat, et n’eut qu’à se louer d’un
publier, le 11 août, six jours après la soirée du Palais-Royal. On y
lisait
: « Considérant que, dans un temps où notre grand
tions et défenses à toutes personnes de notre diocèse de représenter,
lire
ou entendre réciter la susdite comédie, soit publ
ient passer pour telles, se passionnèrent pour le grec sans savoir le
lire
, et pour la physique ou l’astronomie sans y rien
d’être accueilli à bras ouverts par des pécores, il vient, comme lui,
lire
ses sottises rimées à des folles qui se pâment d’
ière, vers le nº 34 d’aujourd’hui. 31. 10 février 1673. 32. Il faut
lire
le récit de Grimarest, qui dut tenir ces détails
de Molière. 39. Dans le grand Cyrus (t. VII, liv. Ier, p. 307) nous
lisons
ce portrait de Montausier : « Megabate, quoique d
ucement esquivé… Dans La Mère coquette de Quinault, I, 3, 1664, nous
lisons
: Estimez-vous beaucoup l’air dont vous affectez
88. Il fit un bien méchant portrait de Mme de Sévigné. 89. Il faut
lire
, entre autres, son portrait de Mme d’Olonne. 90.
me pendre pour mentir. » 152. « Malgré l’exemple de Plaute où nous
lisons
Cedo tertiam, je soutiens contre Molière qu’un av
ais le ton n’est pas le même, et la note reste comique. 156. Il faut
lire
dans M. Saint-Marc Girardin la spirituelle parodi
t son nom à la pièce. Mme de Sévigné écrit, le 9 mai 1672 : « Molière
lira
samedi soir au cardinal de Retz Trissotin, qui es
xviiie siècle les plus honnêtes, les plus décents, qui ne pouvaient
lire
Molière sans être choqués ; par exemple, je citer
rme : La Jalousie du Barbouillé. Voici les premières lignes que vous
lirez
; c’est Barbouillé qui parle : Il faut avouer qu
s d’efforts pour le percer à jour que pour l’inventer. Vous avez tous
lu
bien des fois Le Dépit amoureux, et Les Fourberie
peindre. Tel est le portrait de M. Purgon ; le voici, je veux vous le
lire
. Voici M. Purgon, le médecin systématique. Votre
la bien voir à la scène ; mais dans le silence du cabinet, quand nous
lisons
Molière, nous la voyons chez ces femmes qui, à pe
n sait déjà presque plus long qu’Agnès qui, à seize ans, sait à peine
lire
, et a été élevée au village ; cependant, il serai
. Je ne sais pas comment vous êtes, mais, pour moi, je n’ai jamais pu
lire
sans émotion, sans me mettre du parti de cet avar
ématique, devient docteur et pédant de morale et de religion. Il faut
lire
toute cette tirade, vous la connaissez. Je vous r
nçait autour de lui ; ce n’est pas dans son moment : vous n’avez qu’à
lire
tous les auteurs du temps pour y voir à quel poin
a ruse accomplit sans combattre, et que la faiblesse tolère. Nous les
lisons
dans l’histoire, quand ce ne serait que chez le p
u fond du cœur de l’affront que lui a fait Dom Juan. Vous pouvez bien
lire
avec tout le soin que vous voudrez le rôle de Dom
se mettra toujours du côté de Chrysale, quand il dit : Les leurs ne
lisaient
point, mais elles vivaient bien, Leurs ménages ét
eur portons. On a dit de Molière que son seul livre bien médité, bien
lu
, bien considéré, pouvait tenir lieu d’expérience.
éré, pouvait tenir lieu d’expérience. C’est vrai. Je dirai même plus.
Lisez
-le bien dès la jeunesse ; il vaut mieux que l’exp
celui de Molière les indique d’avance ; c’est pour cela qu’il faut le
lire
dans sa jeunesse. Cette lecture est saine, en som
fait créer à nouveau les belles œuvres dans les moments que nous les
lisons
, les sentons et les expliquons. » ………………………………………
du xviie siècle, nos auteurs comiques sont parvenus plus loin ; j’ai
lu
, je ne sais où, que des voyageurs ont vu, sur les
s les plus changeants, n’a cessé de produire des œuvres dignes d’être
lues
. Elle s’est pliée à la phrase périodique et au st
erveilleusement instruit de ces matières, je l’ai arrêté. NAPOLÉON Il
lisait
sans doute Platon le jour où il s’est laissé enle
voit que Pharmacies où il ne se parle point d’apothicaires. ——— J’ai
lu
je ne sais où qu’un philosophe indien rencontra u
e ennemi du Genre humain, Le Campagnard qui tout admire N’ont pas
lu
tes Écrits en vain : Tous deux s’y sont instrui
pag. 203, 204. 5. Rosteau Sentim. sur quelques livres d’aut. qu’il a
lus
pag. 69. 6. Anne Le Fèvre Dissertat. sur les com
à ses filles mêmes les torts de leur mere : enfin le fatal écrit est
lu
publiquement. Voici une partie de la derniere sce
e quoi ? M. Josse. De quoi ?Prêtez l’oreille ; & vous, Monsieur,
lisez
. M. Griffet lit. Mémoire de la dépense que j’ai
mie était partout. Tout était académie : académie ne se bornant pas à
lire
, à écouter, à disserter ; mais académie en action
n sourire de son sérieux… que la frayeur court dans une assemblée. On
lisait
avec étonnement dans un autre ouvrage cette phras
résentation du cœur humain, comme les sculpteurs dans celle du corps,
lis
cherchent à plaire par l’émotion, et le degré d’é
certainement le premier des philosophes moralistes… Ses comédies bien
lues
pourraient suppléer à l’expérience, etc. » — Auge
a jamais été matérialiste ni épicurien que pour ceux qui ne l’ont pas
lu
sérieusement. Le prétendu épicurisme de Molière,
ques, tome I, p. 560 Boileau racontait que Molière, après lui avoir
lu
le Misanthrope, lui avait dit : Vous verrez bien
emonte au Ciel, & la piece finit. Cet extrait fait ainsi, &
lu
par les personnes qui ne jugent jamais que d’aprè
amp; les défauts adroitement écartés. Apprenons à voir par nos yeux ;
lisons
nous-mêmes la piece latine ; comparons-la à la fr
is Jupiter que fort civilement Reconduit l’amoureuse Alcmene. Qu’on
lise
Plaute, on verra que pour dire moins que Moliere
de Cléanthis avec son époux. Rien de moins vrai. Il suffit de savoir
lire
pour s’en convaincre. Sosie fait à sa lanterne, d
le 1er janvier 1663 que Molière reçut de son ami les stances qu’on va
lire
: En vain mille jaloux esprits, Molière, osent,
estouches ; Le Procès de la Femme juge et partie, par Montfleury ; on
lira
toujours avec plaisir La Critique de l’École des
lière, dans laquelle il jouait sous son nom de théâtre, et qu’il faut
lire
pour connaître le caractère du genre adopté par d
uger des grâces de sa personne, et des charmes de son esprit, il faut
lire
le portrait que Cléonte fait de sa maîtresse dans
ause de sa mort, quoiqu’elle ait été généralement reçue. Lorsque nous
lisons
, dans L’Impromptu de Versailles, qu’ il faut qu’u
t conseil, et lui promet de le suivre avec docilité. On ne peut guère
lire
la scène entre Sganarelle et Géronimo, sans pense
e de France259 lui avait dit de supprimer, lorsqu’il eut l’honneur de
lire
sa pièce à cette princesse. Elle regardait cet en
lles saisissent ; et personne en cela n’ose l’imiter. Tous les ans je
lis
quelques pièces de Molière, de même que de temps
t baptisé Jean, fils de Jean Pouguelin, tapissier, et de Marie Cresé (
lisez
Cressé), sa femme, demeurant rue Saint-Honoré ; l
osophe. L’inclination qu’il avait pour la poésie le fit s’appliquer à
lire
les poètes avec un soin tout particulier. Il les
t une anecdote qui est comme la contre-partie de celle qu’on vient de
lire
et que rapporte Grimarest : à l’époque où il joui
du Josaphat, dont l’achevé d’imprimer est du 12 octobre 1646 ? À bien
lire
le passage de Magnon, c’est ce dernier cas qui pa
apparaît pour la première fois. Charles Dufresne et Pierre Rebelhon (
lisez
Réveillon) avaient déjà fait partie, à Lyon, en 1
dé septembre, ainsi qu’il résulte du récit de l’abbé de Cosnac, qu’on
lira
plus loin. On verra enfin qu’en 1655 il est assez
les encouragements et l’approbation du prince, qui s’était diverti à
lire
ce livre pendant les entr’actes de la comédie. La
ant, qui est au service. Malheureusement la pauvre enfant ne sait pas
lire
. « Escusatz, mestre Zély, dit-elle de sa voix la
la lettre à Molière, en ajoutant : « Tiens, voilà un monsieur qui la
lira
bien mieux que moi. » Molière se prête de bonne g
Zély ! » (Laissez cela ! Laissez cela ! vous ne savez pas aussi bien
lire
que le monsieur de chez Gély !) Autre tradition.
trésorier de la bourse des états du Languedoc, la somme de six mille
lires
à nous accorder par Messieurs du Bureau des compt
vingt quatrième jour de février 1656. MOLIÈRE. Quittance de six mille
lires
. » Joseph Béjart toucha le même jour quinze cent
formulée : « J’ai reçu de Monsieur le Secq la somme de quinze cents
lires
qui m’a été accordée par la délibération des état
été accordée par la délibération des états, pour la composition d’un
lire
que j’ai présenté à la province, de laquelle somm
onsieur le Secq. Fait à Pézenas ce 24 février 1656. BÉJART. Pour 1500
lires
. » Pour le généalogiste Béjart, une courte délib
ères pièces. Il ne négligea pas davantage la tradition française ; il
lisait
ses prédécesseurs et ses contemporains dans la co
devez, pour ajouter quelque chose de beau à ce que je viens de dire,
lire
comme lui tous les livres satiriques, prendre dan
ivres satiriques, prendre dans l’espagnol, prendre dans l’italien, et
lire
tous les vieux bouquins. Il faut avouer que c’est
tait jusqu’alors plus particulièrement appliquée à jouer la tragédie.
Lisez
attentivement Dassoucy, Cosnac ; rappelez-vous le
ofond sur huit et demie de large : le out en voûte semée de fleurs de
lis
. Son pourtour est orné de colonnes avec leurs bas
on littéraire ; et surtout la certitude que ces lignes rimées ont été
lues
dès le lendemain par Molière, dont elles auront r
ise de Sévigné, par certaine inclination particulière, continuèrent à
lire
les romans des La Calprenède et des Scudéry, l’éc
s à Vincennes. Le 26 août, ils firent leur entrée solennelle. On peut
lire
dans les Mémoires et dans les gazettes du temps l
laire ; la tradition relative à cette bonne Laforest, à qui il aurait
lu
parfois quelques passages de ses pièces, « sûr, d
ccasion de ce mariage. Le roman avait été bien vite bâti ; on peut le
lire
dans Grimarest ; contentons-nous d’en indiquer le
ui parle maintenant) était très grand historien et avait beaucoup vu,
lu
et relu de diverses histoires ; mais la fin princ
ins, et n’en était pas moins assoté qu’un fol de sa marotte. Toujours
lisait
, toujours étudiait ; et d’iceux livres fit un pet
mon. Les chaudières bouillantes dont il menace Agnès, la blancheur du
lis
qu’il promet à son âme en récompense d’une bonne
vos amies (de Port-Royal) ; elle avait eu beaucoup d’envie d’entendre
lire
Le Tartuffe, et l’on ne s’opposa point à sa curio
ppréciations si diverses. Molière allait partout la représenter ou la
lire
. Molière avec Tartuffe y doit jouer son rôle, d
o du titre de la pièce est encore plus explicite : « Cette comédie, y
lisons
-nous, parfaite, entière et achevée en cinq actes,
représenter, sous quelque nom que ce soit, la susdite comédie, de la
lire
ou entendre réciter, soit en public, soit en part
tions et défenses à toutes personnes de notre diocèse de représenter,
lire
ou entendre réciter la susdite comédie, soit publ
fort), et de Madeleine Desurlis, également comédienne. « Son parrain,
lisait
-on sur le registre paroissial qui a été détruit d
en vain d’obtenir de lui qu’il renonçât au théâtre. Voici ce que nous
lisons
dans Cizeron-Rival : « Deux mois avant la mort de
on de Charpentier offre une preuve bien concluante de ce fait. Nous y
lisons
en tête des premiers morceaux : « Le Malade imagi
mme ennemi du genre humain, Le campagnard, qui tout admire, N’ont pas
lu
tes écrits en vain : Tous deux se sont instruits,
it contre elle, et, du reste, contre les actrices en général, il faut
lire
les factums d’Henri Guichard, dans le procès qu’i
ste, l’avait trouvée lui-même chez les Espagnols et leurs imitateurs.
Lisez
les pièces composées exclusivement pour la Cour,
rs imitateurs. Lisez les pièces composées exclusivement pour la Cour,
lisez
, dans Les Amants magnifiques, par exemple, la scè
ple, la scène septième du quatrième acte, entre Sostrate et Eriphile,
lisez
-la tout haut dans une société non prévenue et dem
de l’honneur qu’on lui fait de produire son ouvrage. Enfin, la pièce
lue
et acceptée à la condition du comptant ou des deu
étaire de la Comédie-Française. Si, après avoir considéré ce buste et
lu
cette inscription, vous prenez la rue Saint-Honor
rue Richelieu en allant du Théâtre-Français au boulevard, vous pouvez
lire
sur la maison n° 34 cette inscription : « Molière
de cinquante et un ans. » Un peu plus loin, sur la maison n° 40, vous
lisez
: « Ici s’élevait la maison où Molière, né à Pari
es complètes de La Fontaine, tome V, page XXXIV. 6. Mot difficile à
lire
. 7. Elle avait quinze ou seize ans. Voyez Le Mol
chaumont avaient fait la satire desprécieuses de Montpellier. On peut
lire
cette jolie page de leur Voyage, où Molière est d
issu d’injures grossières ramassées de toutes parts. 81. Il faudrait
lire
: en 1643. 82. La Troupe du Roman comique dévoi
raits et je trouve ses comédies si pleines de sens, qu’on devrait les
lire
comme des instructions aux jeunes gens, pour leur
o, lequel n’aurait été ni plus ni moins que Le Tartuffe. Il suffit de
lire
l’analyse que donnent de ce scénario les auteurs
doux, complaisant, généreux. Il aimait fort à haranguer ; et quand il
lisait
ses pièces aux comédiens, il voulait135 qu’ils y
respecte peut tirer d’un mot adroitement détourné de son sens. Je ne
lis
pas une de ces délicates analyses sans me rappele
vrages, je me considérerais comme un grand malotru. Cependant je n’en
lis
pas que de bons. Mais quoi ! bons ou mauvais, il
? Est-ce qu’il n’a pas ce billet à la main ? Est-ce qu’il ne sait pas
lire
? Est-ce que ce billet ne respire pas la tendress
amme. Ajustez, pour couvrir un manquement de foi, Ce que je m’en vais
lire
… CÉLIMÈNE Il ne me plaît pas, moi. C’est ici, c’
enhardi à parler de ce grand homme, c’est que je ne me borne pas à le
lire
, mais que je m’essaie souvent à faire revivre ses
e me reproche encore d’avoir dit qu’Alceste n’est point Molière. Il a
lu
à l’appui de la thèse contraire la fameuse conver
Bolaeana, p. 104-105 Racine voulant donner sa Tragédie au public, la
lut
à Corneille qui lui dit : « Cette Pièce me fait v
s-là même, qu’elle l’honorait du nom de son ami. Comme il achevait de
lire
ses vers, Ménage* entra. Mademoiselle les fit voi
cette Comédie [La Comtesse d’Escarbagnas], après que M. Thibaudier a
lu
des vers ; Le Vicomte dit, parlant à la Comtesse.
Tome I, p. 560-561 Boileau racontait que Molière, après lui avoir
lu
le Misanthrope, lui avait dit : « Vous verrez bie
aissance de la fameuse Ninon de l’Enclos*. Ce grand Comique lui ayant
lu
sa Comédie du Tartuffe, Ninon admira l’ouvrage et
risies de l’Abbé Roquette. Tome II, p. 205 Molière, après avoir
lu
le Misanthrope à Boileau, lui dit : « Vous verrez
it ». Tome II, p. 206 « J’avais autrefois, dit Ménage*, entendu
lire
à Molière trois Actes de son Tartuffe, chez M. de
xplication à Molière, chez qui il demeurait. Molière, après les avoir
lus
, lui dit qu’il ne les entendait pas non plus ; ma
I, p. 303 « J’avais environ onze ans, dit M. de Voltaire, quand je
lus
tout seul, pour la première fois, l’Amphitryon de
oux complaisant, et généreux. Il aimait fort à haranguer ;et quand il
lisait
ses Pièces aux Comédiens, il voulait qu’ils y ame
u genre humain, Le Campagnard, qui tout admire, N’ont pas
lu
tes écrits en vain : Tous deux se sont instruits,
serais heureux qu’un succès pareil fût réservé à la proposition qu’on
lira
dans mes deux dernières pages, celle de créer à P
lques doutes sur la solidité de la vertueuse hypothèse qu’on vient de
lire
. Joignez la commune renommée, qui compte bien aus
aincre tout le monde. Mais que ceux qui s’intéressent à ces questions
lisent
ou relisent l’article de M. Larroumet : outre le
r obtenir de l’autorité judiciaire des lettres de monition qui furent
lues
au prône dans toutes les églises de Paris. Le mon
révéler les détails par eux connus. Celui que Lulli avait obtenu fut
lu
au mois de juillet 1675, et c’est seulement à la
an, celui que Fénelon appelait faux et scandaleux, se souvint d’avoir
lu
dans Tartuffe : Il est avec le ciel des accomm
st certain qu’il se renferma dans l’étroite observance des réglés que
lut
traçait le rituel de son diocèse, et que plusieur
nge disparition. Il est toujours de saison, ce sonnet de Coppée où se
lisent
ces vers : ................................Si vo
s seulement écrites de sa main, Vous seriez honoré par quiconque sait
lire
! Plus d’un lecteur va s’étonner et s’écrier : U
de écurie. Au bas de la page petit in-folio qui contient ce devis se
lisent
les lignes suivantes : Ce deuis me paroit bien e
tionnaire de Lamet et Fromageau, cité plus haut en note. 19. On peut
lire
à ce sujet un article de M. Georges Monval dans l
sa charge de Tapissier du Roi. Dans ces vues, il lui fit apprendre à
lire
, à écrire, et le mit, tout enfant, à garder la bo
s sérieuses, il composait avec Cyrano de Bergerac des comédies qu’ils
lisaient
et jouaient ensemble dans les récréations. III
écouta peu les critiques, continua d’étudier Plaute et Térence, et de
lire
dans son cœur. Hélas ! S’il donnait la comédie au
e la pièce antique, mais de la comédie éternelle du cœur humain qu’il
lisait
en lui et hors de lui, comédie immense, inépuisab
vaux et des expériences de ceux qui l’avaient précédé dans la vie; il
lisait
sans cesse, fouillait et furetait partout. Latins
dues, excommunia Molière, dans un mandement fait exprès, et quiconque
lirait
, entendrait lire ou verrait jouer Tartuffe. Repo
lière, dans un mandement fait exprès, et quiconque lirait, entendrait
lire
ou verrait jouer Tartuffe. Reportons-nous au tem
France, sur le rôle qu’elle avait à jouer. XVI. Molière n’avait
lu
de Tartuffe, à ses amis, que jusqu’à l’endroit où
ltait sur ses pièces; il voulut un jour éprouver son bon sens, il lui
lut
, comme de lui, une comédie de Brécourt ; mais, à
tendît seule. Il faisait venir les enfants de tous ses comédiens ; il
lisait
Pourceaugnac, le Médecin malgré lui... On riait a
plus tard, écrivait d’Angleterre, où il était en exil : « Je viens de
lire
le Tartuffe de Molière. Je ne sais comment on a p
ut-être gagné à se présenter seul, et j’ose même souhaiter qu’il soit
lu
sans interruption. Je me suis décidé néanmoins à
ans la boutique de son père, il ne savait encore, à quatorze ans, que
lire
, écrire et compter autant qu’il le fallait pour l
our soutenir les louanges qu’il venait de recevoir, ne voulut plus la
lire
, et fit entendre à la place le premier acte de la
s infirmités, remplir sa charge de valet-de-chambre-tapissier du roi,
lus
en fit obtenir la survivance et exercer les fonct
st tout le fondement de leur foi : ils ne peuvent douter de ce qu’ils
lisent
dans un volume dont il existe peu d’exemplaires ;
lus prompte impression ; et il nous apprit qu’ayant été la veille lui
lire
son Tartuffe (selon sa coutume de la consulter su
vait point altéré la vivacité et la justesse des impressions.Quand il
lisait
une pièce aux comédiens, il voulait qu’ils y amen
que tous les conseils de l’expérience et de la maturité. De même, il
lisait
quelquefois ses comédies à une vieille servante q
et un commentateur de ce poète103 ajoute que Molière, un jour, ayant
lu
à cette servante, pour éprouver son goût, quelque
é, du vivant de Poquelin, par un hommede la musique du roi, dont j’ai
lu
quelques méchants vers. Enfin, on voit figurer un
, mort dans la même ville, en 1660. Racine se cachait de Boileau pour
lire
son Énéide travestie, dont il riait en dépit du g
ur courroucé,vous qui n’êtes qu’un ignorant, et qui ne savez pas même
lire
. Je ne sais que trop lire, répondit Puimorin,depu
es qu’un ignorant, et qui ne savez pas même lire. Je ne sais que trop
lire
, répondit Puimorin,depuis que vous faites imprime
Froid, sec, dur, rude auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas
lires
oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n
ires oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n’ai su que trop
lire
Depuis que tu fais imprimer. Racine, remarquant
e lecture suffirait pour faire regretter le temps qu’on a perdu à les
lire
. » Les nouveaux éditeurs de l’ouvrage de Grimare
elles saisissent et personne en cela n’ose l’imiter… Tous les ans, je
lis
quelques pièces de Molière, de même que de temps
de Dorine, de Nicole, de Célimène, etc. M. Lewinski s’est avancé et a
lu
, aux bravos du public, une longue poésie, composé
rand, que chaque fois qu’on le relit on se sent pris d’étonnement. Je
lis
chaque année quelques-unes de ses pièces, de même
portant chacun une torche. A la lueur de la résine, La Thorillère put
lire
avec colère ces vers collés par quelque envieux s
ue Richelieu, mais le nº 40. Rien n’est prouvé : et adhuc sub judice
lis
est . Depuis la visite de M. Burat de Gurgy, je d
’on fête comme des victoires du génie humain. Je sais bien qu’une ode
lue
tous les ans, par un acteur en habit noir, devant
ls de ses personnages sont Italiens de pied en cap. Il avait beaucoup
lu
les auteurs de ce pays, il fréquentait, avons-nou
l ne se contentait point d’être courageux la plume à la main. Il faut
lire
dans un petit volume, plus curieux qu’il n’est gr
ur résolut de le laisser passer et d’attendre. Il attendit un an ; il
lisait
alors son œuvre, comme en cachette, dans des mais
rable douceur ! Quelle piété ! Quelle bonté fraternelle ! On croirait
lire
quelque apostrophe sulfureuse d’un Veuillot. Il e
tuffe un des esprits les plus élevés du xviie siècle : « Je viens de
lire
le Tartuffe, écrivait Saint-Évremond, c’est le ch
s-dîner, dit l’auteur du Mémorial de Sainte-Hélène, l’Empereur nous a
lu
le Tartuffe ; mais il n’a pu l’achever, il se sen
ques pièces de vers qui regardaient cet illustre défunt. Plusieurs en
lurent
haut, et les autres bas. Voici ce qui fut entendu
nt et définitif hommage rendu au poète : Tout homme de plus qui sait
lire
chez nous est un lecteur pour Molière. Sans dou
l’édition de Paris, 1670. J. Gay et fils (Turin, 1869). 43. Il faut
lire
, dans Les Amours de Calotin, la conversation entr
DC. XCVII). La vie de Molière qui forme la préface est de Marcel. J’y
lis
: « Il s’était joué lui-même sur cette incommodit
oire que c’est moi ? Une fille d’honneur doit toujours se défendre De
lire
les billets qu’un homme lui fait rendre. La curio
r, il prend le parti de feindre. La scene est courte, nous pouvons en
lire
une partie. ACTE III. Scene VII. VALERE, MASCARI
r est beaucoup plus bruyante, voilà tout. Les vers que nous venons de
lire
me confirment dans mon idée, & me font croire
amp; qu’il y en a plusieurs pour les montrer différents. « Mais qu’on
lise
les Poétiques, on n’y trouvera pas un mot de ces
oup de pinceau, il est impossible d’aller au-delà. Ses comédies, bien
lues
, pourraient suppléer à l’expérience, non pas parc
e mot de Vadius, qui, après avoir parlé comme un sage sur la manie de
lire
ses vers, met gravement la main à la poche, en ti
jurer d’avoir de l’amour pour lui, lui dire : Mon pauvre petit cœur,
lu
le peux si tu veux. Écoute seulement ce soupir am
aites des bons écrivains sont oubliées, et leurs réponses sont encore
lues
avec fruit. On reprocha sans doute à Molière de d
des Précieuses ridicules, dont la réussite fit connaître à l’auteur
lu
en aimait la satire et la bagatelle, que le siècl
n ? Il y a plus : Oronte la demandait-il bien sérieusement ? Ceux qui
lisent
leurs ouvrages au premier venu demandent-ils la v
bien ! c’est justement la question que fait tout homme qui vient vous
lire
ses vers ; et, pour le dire en passant, je crois
te et plus directe : et quelle comparaison de la prose qu’on vient de
lire
à des vers tels que ceux-ci ! Oui, mon frère, je
geait les talents naissants. Le grand Racine, alors à son aurore, lui
lut
une tragédie : Molière ne la trouva pas bonne, et
ite sur la comédie du Misanthrope”, p. 638 et suiv. De fait, le poème
lu
par Oronte est un spécimen de sonnet facile en oc
[59, p. 96-98] Boileau
lut
sa deuxième satire adressée à Molière, à quelques
L’amour n’a pas eu de secrets pour Molière. C’est un livre dont il a
lu
toutes les pages. Le Dépit amoureux retrace les t
oyable qu’on Se permette de pareilles mutilations. Ceux qui n’ont pas
lu
la pièce ne peuvent s’en faire une idée. La fille
i faisaient grand bruit, il a voulu montrer qu’une fille sage pouvait
lire
leurs ouvrages sans en perdre l’esprit, et même e
mmé: il n’y a pas d’autre titre à lui donner effectivement quand on a
lu
sa prétendue Critique de l’Ecole des Femmes. Voul
de rosières ? Mon Dieu, non !… il commencera par chasser le cerf, par
lire
Montaigne ou Sénèque, et persévérera bien longtem
mpue de la décadence romaine, et malgré la grâce du style, on ne peut
lire
sans dégoût les peintures qui nous en ont été lai
ient pour des marques d’une faveur insigne. Dancourt avait coutume de
lire
ses ouvrages au roi, dans le cabinet même de ce h
les meilleures pièces du monde, elles charment tous ceux à qui je les
lis
; mais à peine ont-elles passé dans la bouche des
ussissent sur le papier, je me ferais apporter un fauteuil, et je les
lirais
moi-même en plein théâtre. M. de la Protase J’ai
lecture ? M. de la Protase Pourquoi non ? Il n’est fait que pour être
lu
. Nous verrons, nous verrons, messieurs du parterr
s qu’il fait, dit-il, il n’a besoin que du livre du monde : il y sait
lire
, il le connaît, il pille là-dedans comme tous les
vers, ainsi que ses poèmes lyriques, ne valent guère la peine d’être
lus
. N’offrant aucune critique de mœurs, ils sont pou
e, chez ce peuple délicat qui apprend le français principalement pour
lire
Paul de Kock dans l’original. Je me suis laissé i
pereurs pour se donner d’autres passe-temps que l’innocent plaisir de
lire
avec les acteurs de Plaute et de Térence. Mais ce
en forme où il prétendait prouver que l’on peut innocemment composer,
lire
, voir représenter des comédies. Cette dissertatio
’il fasse aucune allusion à la préface du Tartuffe, on voit qu’il l’a
lue
et qu’il en sent l’impertinence. Ce qu’il dit de
sous prétexte qu’elle se termine ordinairement par le mariage. » J’ai
lu
, je ne sais où, que Bossuet, dans ses Réflexions
souvent que l’enveloppe d’un conseil délicat à présenter, ne veulent
lire
dans les discours les plus mâles que des flatteri
icateur. Mon père, dit-il, je vous demande pardon ; permettez-moi de
lire
la lettre de mon fils. C’était la nouvelle de la
ble, à tant d’égards funeste ; et la brève esquisse que l’on vient de
lire
suffit pour démontrer la frivolité ou la mauvaise
pprobation donnée par le légat du pape, devant qui la pièce avait été
lue
; on avait l’agrément du roi, celui de M. le Prin
n brin de leur toison ! N’importe ; Tartuffe est leur ennemi. Ils ont
lu
, voilà le mystère. Grâce à la complicité de toute
Mmede Sévigné parle de Bourdaloue, elle dit : Il tonne. On ne le peut
lire
, et encore moins sans doute pouvait-on l’entendre
; j’espère laisser à ceux qui m’ont écouté jusqu’ici la volonté de le
lire
eux-mêmes et tout entier. Les diverses parties en
e il se soucie peu de leurs protestations. En vrai moraliste, il sait
lire
dans les cœurs ; en vrai chrétien, il ose lire to
rai moraliste, il sait lire dans les cœurs ; en vrai chrétien, il ose
lire
tout haut. Tournons la page, il va éclairer un re
ère ont répondu à Bourdaloue ? Ils ont dit que Bourdaloue n’avait pas
lu
le Tartuffe. Bret, ce commentateur dont j’ai déj
nt de littérature, de philosophie et de religion, et qui n’ont jamais
lu
ni un ancien, ni un théologien, ni un commentaire
re de l’Écriture sainte, ni seulement l’Évangile et le Catéchisme. Il
lut
avec soin le Misanthrope, parce qu’il n’est point
vès, publiée par les soins de M. F. Lâchât, Paris, 1802. Il suffit de
lire
ce sermon, tout ébauché qu’il est, pour se convai
er la mémoire du grand honnête homme: "On prétend que Molière ayant.
lu
sa comédie chez une fille célèbre, qui, par un mé
ent celles de madame de Sévigné. « Le roi prit un grand plaisir à les
lire
, parce qu’elles contrastaient avec les douceurs f
ec les douceurs fades des autres lettres. » Le Tellier, qui les avait
lues
avec le roi, dit que le surintendant avait mal à
z-vous ? Champagne. Donne. Eh ! que voulez-vous ?Il ne veut rien que
lire
. Laisse faire Monsieur. Laurette. Laisse faire M
amp; même trop souvent. Damis. Soit, écrivons. Frontin lit le billet.
Lisons
: un fourbe, fort bien ! un scélérat, un traître,
rédicateur. Antoine. Son travail lui laisse-t-il assez de loisir pour
lire
de pareils livres ? Crispin. Oh ! il faut savoir
, dire des injures aux membres, & sur-tout à son mari ; mais il a
lu
dans un livre de politique qu’on doit compter jus
naturelle et nécessaire de notre étude. Une scène que vous avez tous
lue
, et qui compte parmi les plus ingénieuses composi
ets. Je ne vous souhaite pourtant pas, Messieurs, d’être obligé de le
lire
: rien, à vrai dire, n’est plus ennuyeux. Les frè
is. Pendant que Marie faisait ses oraisons et s’occupait dévotement à
lire
la prophétie d’Isaïe, plusieurs démons, envoyés p
otre sujet. Du temps des Pères de Saint-Acheul, vers 1828, on faisait
lire
encore dans certains collèges un livre qui peut v
it trouvé des enthousiastes dans le siecle de Moliere. Il ne faut que
lire
ce qui nous reste d’Aristophane, pour juger, comm
pour des hommes perdus d’envie, de noirceur, & de débauche. Qu’on
lise
après cela l’éloge qu’en fait madame Dacier : Jam
eu. On ne peut, sans regretter sensiblement les ouvrages de ce poëte,
lire
l’éloge qu’en a fait Plutarque, d’accord avec tou
au-dessus de tous ceux qui l’ont précédé, ou qui l’ont suivi ? Qu’on
lise
le parallele qu’en a fait, avec Terence, l’auteur
rance, doux, complaisant, modeste & généreux. Quand Despréaux lui
lut
l’endroit de sa seconde satyre, où il dit au vers
iere à n’en revenir jamais. Ce sont par exemple des personnes qui ont
lu
beaucoup de livres anciens & nouveaux, où ils
cure1. Elles valent d’être citées ici, comme appendice au texte qu’on
lira
plus loin : Molière, ayant quitté ses études, fu
omme ennemi du genre humain, Le campagnard qui tout admire, N’ont pas
lu
tes écrits en vain : Tous deux s’y sont instruits
s, p. 203-204. 18. Sentences sur quelques livres d’auteurs qu’il a
lus
, p. 69. 19. Anne Le Fèvre, Dissertation sur les
ant un lundi, n’était pas jour de représentation. C’est 12 qu’il faut
lire
. 204. Lisez 33. 205. Mémoires de La Serre, 1734
, n’était pas jour de représentation. C’est 12 qu’il faut lire. 204.
Lisez
33. 205. Mémoires de La Serre, 1734 206. Ballet
dire 1680. 228. Créé par La Thorillière en 1668. 229. En 1671 230.
Lisez
: infidèles. 231. Représentée en juillet à l’Hôt
t, dans une lettre à Brossette, sous la date du 12 décembre 1751, ils
liront
une analyse du Barbouillé, tout à fait conforme à
dissertations et de la rhétorique à perdre haleine. Enfin, si je veux
lire
un livre, il me semble que je n’en manque pas ! E
tes un écrivain ? Eh bien ! faites vos preuves dans un livre, on vous
lira
si on a le temps. Voilà ce qu’ils disent tous, ou
courage et de probité, qui font vivre un journal ! Le public qui sait
lire
et qui aime les choses bien faites, s’inquiète as
Hier donc, 16 janvier (1665), Molière, la troupe étant réunie, nous a
lu
cette comédie intitulée Le Festin de Pierre. Dans
iquer, à nos lecteurs, que nous changeons de parabole. Mais avez-vous
lu
, ami lecteur, cette charmante satire d’Aristophan
mation, comme sort la tempête de l’outre d’Éole, ne sera pas fâché de
lire
ce chœur d’Aristophane où la venue du communisme
Sinon, non. Un ballet, en effet, n’est pas une comédie que l’on peut
lire
à tête reposée, étudier dans le livre même, et mé
e directeur malappris n’avait pas voulu représenter la pièce, sans la
lire
. Alors il arriva que « l’auteur se refusa à une c
rket, il est vrai, consentit très volontiers à jouer la pièce sans la
lire
, mais une difficulté sur le choix des acteurs obl
t où mène l’ignorance de toutes choses ! — Si M. Bulwer eût seulement
lu
une seule des tragédies de Racine, il eût appris
On le dirait inspiré ! Ce qui veut dire : — Voilà un moine qui a bien
lu
les mémoires que se prépare à écrire le duc de Sa
les gens d’esprit que pour la multitude, et plus propre encore à être
lu
qu’à être joué. Le théâtre fut désert dès le troi
ain, Le campagnard qui tout admire, N’ont pas
lu
tes écrits en vain, Tous deux se sont instruits,
x, complaisant et généreux ; il aimait fort à haranguer ; et quand il
lisait
ses pièces aux comédiens, il voulait qu’ils y ame
ence des spectateurs. Ce sont apparemment ces espèces de farces qu’il
lisait
à sa servante, pour juger, par l’impression qu’el
, nous croyons pouvoir nous dispenser d’en parler. Le lecteur peut la
lire
en entier dans le cinquième volume des Œuvres de
un sûr moyen de me concilier l’homme dont vous me parlez ; j’irai lui
lire
ma pièce. Au spectacle où il était assidu, Molièr
d’une des Grâces, dans Psyché, en 1671. b. Molière faisait plus, il
lisait
ses ouvrages à sa servante ; c’est M. Despréaux q
é plusieurs fois une vieille servante2 qu’il avait chez lui, à qui il
lisait
, disait-il, quelquefois ses comédies, et il m’ass
quelque scène prît le peuple de spectateurs, comme les autres, il la
lisait
à sa servante, pour voir si elle en était touchée
ce. « [*]La prose de M. Molière vaut beaucoup mieux que ses vers. Je
lisais
hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois ente
vers. Je lisais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois entendu
lire
trois actes chez M. de Montmor, où se trouvèrent
dans la pièce, nous allons le rapporter ici. Après que M. Tibaudier a
lu
ses vers, le Vicomte dit, parlant à la Comtesse :
-là même qu’elle l’honorait du nom de son ami 1. Comme il achevait de
lire
ses vers, Ménage entra ; Mademoiselle les fit voi
r davantage son mérite, en faisant naître l’envie de le connaître, de
lire
ses écrits, et d’aller à ses sermons. Aristophane
est préféré à celui des vieux. « Vous n’étiez point encore en état de
lire
, lorsque le premier volume du Mercure galant fut
Molière a voulu peindre Ménage sous le nom de Vadius, il ne faut que
lire
la scène où il fait paraître ce savant ; ses ouvr
dans leur boutique, n’ayant rien appris outre son métier, qu’un peu à
lire
et à écrire. Ses parents obtinrent pour lui la su
oux, complaisant, généreux ; il aimait fort à haranguer ; et quand il
lisait
ses pièces aux comédiens, il voulait qu’ils y ame
cle de Louis XIV, Molière, La Fontaine, et Corneille, ne doivent être
lus
qu’avec précaution par rapport au langage. Il fau
les gens d’esprit que pour la multitude, et plus propre encore à être
lu
, qu’à être joué. Le théâtre fut désert dès le tro
ères fureurs se calmer : il fut un an sans donner Le Tartuffe ; il le
lisait
seulement dans quelques maisons choisies, où la s
res vûes que celles de le voir de leur profession. Il apprit un peu à
lire
et à écrire, et du reste il ne connut jusqu’à qua
ut rendre justice aux ennemis que l’aparté a dans ce siecle : ils ont
lu
ce qu’ils disent dans de fort gros livres, &
, sans s’en appercevoir ; à moins que l’Auteur ne l’occupe lui-même à
lire
, à écrire une lettre, ou qu’il ne l’abîme dans un
t en tremblant une lettre à Constance, elle la prend en s’imaginant y
lire
l’arrêt de sa mort. Que m’offrez-vous ? . . . .
er, veut pousser sa maîtresse à bout, change le texte, & feint de
lire
ce qui suit : ACTE II. Scene VI. Juliette lit.
amp; qu’on veut bien instruire, Devroit savoir jouer avant que savoir
lire
. Géronte. Monsieur le professeur, avecque vos rai
érir cette science, savoir pénétrer dans les replis de l’ame, & y
lire
quels sont les vices, les défauts, quelquefois le
ndispensables et indique sommairement le sujet. Cet argument était-il
lu
ou récité avant la représentation ? Cela est très
pièce. Elle est fondée surtout sur un tour que joue le capitan, qui a
lu
une lettre que Pantalon envoyait à Venise, et dan
t subsiste encore, tout le monde veut avoir Molière pour le lui faire
lire
. Il le lit chez Montmor, un gassendiste ; il le l
ère, comme Panurge en Papimanie. Croira-t-on que, dans la pièce qu’il
lisait
chez Ninon, il n’y eut pas un grain d’audace de p
lit pas Pascal, était livré aux risées par Molière, que tout le monde
lira
! C’était lui que Molière montrait « par l’exempl
le fit-il connaître au roi ? Je considère comme probable qu’il lui en
lut
au moins la fin ; et cela expliquerait la permiss
ère ne serait pas ce Molière que lit chaque Français de plus qui sait
lire
. C’est son œuvre caractéristique, sa gloire insép
reuva de toutes les humiliations et de tous les dégoûts. Qui pourrait
lire
aujourd’hui une méchante pièce en un acte et en v
qui font métier de dévotion. À la prière de Louis XIV, le légat avait
lu
attentivement la comédie du Tartuffe, et ce préla
’ils éprouvent. Les observateurs qui aiment à comparer les époques ne
liront
pas sans profit, et peut-être les nouveaux tartuf
placet au roi ? Qu’on rapproche en effet les passages qu’on vient de
lire
des expressions mêmes du poète comique : « Votre
s et les hypocrites de tous les temps. » Certes, il faut n’avoir pas
lu
l’ouvrage français pour y trouver le rapport même
minutieux ; et si Bourdaloue a écrit de bonne foi, il n’a certes pas
lu
l’ouvrage dont il fait une si injuste censure. Le
t comme conclusion des études biographiques sur Molière que l’on a pu
lire
ici2. I Et, d’abord, Molière était-il grand
euse et une antipathie de métier. Il visitait assidûment Molière, lui
lisait
ses ouvrages, lui donnait et en recevait d’utiles
ate qui dure « six bons mois » ne pouvaient être une exception. Qu’on
lise
, au quatrième acte du Bourgeois gentilhomme, le m
ir ses mots. Admettons qu’un ou deux traits du passage qu’on vient de
lire
soient grossis par maladresse, mais tenons l’ense
se rattache, du reste, à ses rôles bouffons, très en dehors ; il faut
lire
, dans Élomire hypocondre, la description de la ma
acée dans la salle. Avant d’afficher une pièce nouvelle, il allait la
lire
dans des cercles choisis, comme Tartuffe chez Nin
e de Maintenon, j’ai commencé par mettre en oubli tout ce que j’avais
lu
ou entendu sur son compte, les histoires de La Be
t dans l’état de pauvreté auquel elle était réduite. Elle lui faisait
lire
Plutarque. Mais ce n’était pas assez pour cette â
er dans son appartement : mais avant que d’entrer, il va, dit-il, lui
lire
un conte intitulé Heureusement, & sort pour l
ui prêter le sopha couleur de rose, & lui demandoit si elle avoit
lu
le Polybe de Folard. Il lui tardoit d’être au pri
z, avec ses mérites détaillés, ses noms & demeure. Comus. Je le
lirai
. Criquet. Je reviendrai demain matin savoir quel
t leur compte, et si vous avez les deux dilettantismes, après l’avoir
lu
au coin du feu, vous goûterez un égal plaisir à l
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