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1 (1867) La morale de Molière « ERRATA. »
ERRATA. Page 8, note 1, au lieu de : act. I, sc. I, lisez  : act. III, sc. II. Page 18, note 1, ligne 6, au
act. III, sc. II. Page 18, note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourdain, lisez  : Mme Jourdain. Page 53, ligne dernière, au lieu
dain, lisez : Mme Jourdain. Page 53, ligne dernière, au lieu de : et, lisez  : et à. Page 55, lignes 12 et 13, au lieu de : po
sez : et à. Page 55, lignes 12 et 13, au lieu de : pourtant, jusqu’à, lisez  : pourtant jusqu’à. Page 88, ligne 16 : Limousin.
riote de M. de Pourceaugnac. Page 95, ligne 14, au lieu de : linges, lisez  : linge. Page 126, ligne 14, au lieu de : nobless
e : linges, lisez : linge. Page 126, ligne 14, au lieu de : noblesse, lisez  : noblesse d’âme. Page 129, ligne 8, au lieu de :
sse, lisez : noblesse d’âme. Page 129, ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez  : éternel. Page 143, lignes 2 et 3, au lieu de :
lisez : éternel. Page 143, lignes 2 et 3, au lieu de : Diafoirus, ne, lisez  : Diafoirus ne. Page 212, ligne 9, au lieu de : d
foirus, ne, lisez : Diafoirus ne. Page 212, ligne 9, au lieu de : du, lisez  : de notre. Page 215, ligne 4, au lieu de : vanit
: du, lisez : de notre. Page 215, ligne 4, au lieu de : vaniteux, ou, lisez  : vaniteux : ou. Page 242, ligne 17, au lieu de :
lisez : vaniteux : ou. Page 242, ligne 17, au lieu de : vingt après, lisez  : vingt ans après. Page 263, ligne 1, au lieu de 
ns après. Page 263, ligne 1, au lieu de : distraction suffisante, et, lisez  : distraction, et.
2 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [83, p. 127-128] »
ies, comme les grands talents, sont toujours modestes. Molière devait lire une traduction de Lucrèce* en vers français, chez
tire adressée à Molière ; mais après ce récit, Molière ne voulut plus lire sa traduction, craignant qu’elle ne fût pas assez
utenir les louanges que Boileau venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte du Misanthrope, auquel il travail
de Broussin, avec M. le duc de Vitry et Molière, ce dernier y devait lire une traduction de Lucrèce en vers français, qu’il
tire adressée à Molière ; mais après ce récit, Molière ne voulut plus lire sa traduction, craignant qu’elle ne fût pas assez
our soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte du Misanthrope, auquel il travail
3 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [76, p. 115-117] »
aire que ces deux vers : Hélas ! Pour mes péchés je n’ai su que trop lire   Depuis que tu fais imprimer. Ce fut à son frè
Froid, sec, dur, rude auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas lire oses-tu me blâmer ? Hélas ! &c. Ce qu’il y a
Pour éviter sans doute la consonance de la rime de satire avec le mot lire qui termine cet hémistiche ; mais Molière soutint
’est bien à vous à en juger, lui dit Chapelain, vous qui ne savez pas lire . » Puy-Morin lui répondit : « Je ne sais que trop
i ne savez pas lire. » Puy-Morin lui répondit : « Je ne sais que trop lire , depuis que vous faites imprimer », et fut si con
Froid, sec, dur, rude auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas lire oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n
lire oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n’ai su que trop lire , Depuis que tu fais imprimer. Mon père représenta
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
IV. Scene XIII. Ce même Hector qui a fait un mémoire, qui a fort bien lu une écriture à la main, ne sait plus lire un livr
t un mémoire, qui a fort bien lu une écriture à la main, ne sait plus lire un livre imprimé : il le dit lui-même ; écoutons-
rer dans peu. Va me chercher un livre. Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? Valere. Celui qui te viendra l
neque. Valere. Voilà Séneque.Lis. Hector. Voilà Séneque. Lis.Que je lise Séneque ! Valere. Oui. Ne sais-tu pas lire ? Hect
Voilà Séneque. Lis.Que je lise Séneque ! Valere. Oui. Ne sais-tu pas lire  ? Hector. Oui. Ne sais-tu pas lire ?Hé ! vous n’
que ! Valere. Oui. Ne sais-tu pas lire ? Hector. Oui. Ne sais-tu pas lire  ?Hé ! vous n’y pensez pas ; Je n’ai lu de mes jou
Hector. Oui. Ne sais-tu pas lire ?Hé ! vous n’y pensez pas ; Je n’ai lu de mes jours que dans des almanachs. Si Regnard
. Si Regnard a cru qu’il étoit vraisemblable de pouvoir écrire & lire des mémoires sans savoir lire des livres imprimés
t vraisemblable de pouvoir écrire & lire des mémoires sans savoir lire des livres imprimés, pense-t-il que le spectateur
de tous les livres, & pour oublier qu’il a entendu ce même Hector lire son mémoire ? Hector, en lisant Séneque, épele en
5 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
vers que Perrin les admire, Que l’auteur du Jonas s’empresse pour les lire  ; Qu’ils charment de Senlis le poète idiot127, Ou
n, quoi qu’ait dit la satire, Autre défaut, sinon qu’on ne le saurait lire , Et pour faire goûter son livre à l’univers, Croi
regardait comme son chef-d’œuvre, ni Phèdre, ni Athalie ; Voltaire a lu ces deux lettres et n’a probablement pas lu toute
, ni Athalie ; Voltaire a lu ces deux lettres et n’a probablement pas lu toutes celles où madame de Sévigné parle du décli
odieuse à la société fréquentée par madame de Sévigné, Il n’avait pas lu ce qu’elle dit de Bajazet : La pièce m’a paru bel
beau, mais Racine n’ira pas plus loin qu’Andromaque. Il n’avait pas lu ce qu’elle dit de Mithridate : « C’est une pièce
n la trouve plus belle la trentième que la première. » Il n’avait pas lu enfin ce qu’elle dit d’Esther, ni remarqué ce sen
aimait ses enfants ! et comme elle peignait la tendresse ! Quand on a lu avec intérêt les lettres de madame de Sévigné, on
meslé y aurait fait mal au cœur. » Si Voltaire avait eu le loisir de lire madame de Sévigné, avec l’application qu’on est e
e Sévigné ménageait à son ami le cardinal de Retz la lecture de la sa lire de Boileau, elle en avait d’avance la clef, et sa
6 (1802) Études sur Molière pp. -355
e conforme à leur profession. Aussi, à quatorze ans, ne savait-il que lire et écrire ; mais son grand-père maternel le mène
1629, neuf ans après la naissance de Molière. Je suppose, qu’avant de lire la pièce française, on sera bien aise de voir un
; Scapin le ramène malgré lui, et le force d’apprendre son bonheur. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. L’on
eur. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. L’on n’a pas lu la pièce, sans remarquer que le sujet et l’intrig
: je vais donner la mienne, telle que je l’ai risquée dans un mémoire lu à l’Institut : Que faut-il entendre par tradition
qui peuvent l’égarer ? Aucune, si, en méditant ses rôles, il ne sait lire en même temps dans la tête, dans l’âme de son aut
le n’avaient qu’à ouvrir le dictionnaire della Crusca. Ils y auraient lu qu’inadvertito signifie un homme che non a avvert
et les deux fils du Docteur épousent les deux filles de Magnifico. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. Moliè
s des règles prescrites dans les romans, en débutant par le mariage. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
, et le Docteur, pour qui Célio a risqué sa vie, lui cède Eleonora. Lisez la pièce de Molière 20. Des imitations. Br
un maçon peuvent servir à celui d’un habile architecte. » Après avoir lu la pièce de Molière, nous voilà convaincus que no
me ; en voilà assez pour réveiller sa jalousie. Delmire lui permet de lire la lettre entière ; nouvelle confusion, nouvelle
ie que ses jours ne sont plus à lui, elle lui pardonne et l’épouse. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. Dans
rente de l’amant, et au présent d’une ceinture celui d’un portrait. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. Dans
essivement du cœur de son amante ? Hélas ! cette lettre ordinairement lue , ou plutôt récitée avec trop de volubilité, paraî
tère qu’il prenait ; j’entends même jusqu’au son de sa voix. Oui ; je lis tout cela dans un grimoire, dont je vais détacher
ès ; il avait la mine riante ; il était au moins railleur, puisque je lis  : Riez donc, beau rieur, oh ! que cela doit plai
naire ? Baron avait un ajustement recherché pour son âge, puisque je lis  : C’est un étrange fait du soin que vous prenez,
tement […] Baron prenait un ton doux, affable, caressant, puisque je lis  : Éh ! qu’il est doucereux ! c’est tout sucre et
dans ce rôle, portait aussi sans doute une perruque noire, puisque je lis  : Cela sent son vieillard, qui, pour s’en faire
retenir le vieillard, et lui faire manquer l’heure du rendez-vous. Lisez la pièce de Molière 28. Des imitations. On
fortune, plaît à une belle, et cette belle est la femme du docteur. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. Moliè
 ; le bon sens et la réputation de Molière démentent cette anecdote. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
onsidérable pour le temps : la reconnaissance dicta ce remerciement. Lisez le Remerciement. Nous remarquons, dans ce remerc
u, paraît à la cour le 14 octobre, et à Paris le 4 novembre suivant. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
ulte, ou d’épouser bien vite ; il prend bravement le dernier parti. Lisez la pièce de Molière. De l’imitation. Dans
finit par épouser celui qui a su vaincre son dédain par le dédain. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. Nous
mbe mort après avoir demandé inutilement un prêtre et l’absolution. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
ontrat de mariage, en croyant ne faire qu’un dénouement de comédie. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce e
tons que le spectateur n’était pas encore à la hauteur de l’ouvrage. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. La ch
d’Arménie, au Misanthrope ; mais que penser de Racine 48, quand nous lisons dans l’abbé du Bos : « Despréaux, après avoir vu
modes : si je descends ensuite avec Molière dans le cœur humain, j’y lis qu’il y a loin d’une coquette à une femme facile 
es efforts que fait la malade pour rire la débarrassent de l’arête. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. Moliè
Voilà, disent bien des personnes, voilà une de ces pièces que Molière lisait à sa servante, et non ses chefs-d’œuvre. Pourquoi
e roi. La pièce est tirée de l’histoire de Timarète et de Sésostris. Lisez la pièce de Molière. La Pastorale comique.
raison, avec un filet de voix, contre une gueule comme celle-là ? » Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
gie que ses commentateurs et ses historiens, c’est lui qui va parler. Lisez la préface et le premier placet. Molière ne fut p
aux pieds de son ennemi, et les lui baisant, il lui demanda pardon. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. Nous
st être bien coiffé, bien prévenu de lui ? Peut-être l’acteur a-t-il lu ce que dit Bret, à propos de la table sous laquel
t : La Grange et La Thorillière furent chargés de le lui présenter58. Lisez le second placet. Le croirait-on, si la vérité ne
nviolables… » Monsieur de la Bruyère, faites des portraits pour être lus , et ne critiquez pas ceux qui sont faits pour êtr
se battait, lui promet un bonheur infini, et remonte vers l’Olympe. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce
de la mauvaise ; mettons-nous d’abord à la place du machiniste ; nous lisons en tête du prologue : Mercure sur un nuage, la n
de Plaute, seront cités lorsque nous nous occuperons de l’imitation. Lisez la pièce de Molière. De l’imitation. Harp
 ; quoique animée sans cesse par des images poétiques. Un jour que je lisais cet article à l’Institut, un de mes collègues cru
ditions. Cher parterre, quelques Laflèche prennent des lunettes pour lire à Cléante le mémoire de son usurier ; rien ne nou
e s’entendre continuellement reprocher la bassesse de sa condition. Lisez la pièce de Molière. De l’imitation. Il es
exemplaire in-4º de ce poème, orné de belles estampes, sur lequel je lis  : LA GLOIRE DU VAL-DE-GRACE, poëme. Imprimé p
rimé pour la première fois, à Paris, chez Pierre le Petit, en 1669.   Lisez le poème. Bret dit « qu’Avignon fut le lieu où M
érir, et le fait porter chez lui, pour le traiter plus commodément. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. L’Av
est reconnu pour prince d’Aragon, il s’unit à la reine de Castille. Lisez la pièce de Molière. De l’imitation. « Le
sinait un peu de l’intrigue héroïque de Don Sanche. » Nous venons de lire Les Amants magnifiques, et nous ne reprocherons p
» En jugeant cette dernière pièce, nous jugerons le mot de Voltaire. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. Tout l
e dénonciateur, lui permet de venir tous les jours manger chez elle. Lisez la pièce de Molière. Des imitations. La fa
es de l’Amour et de Psyché 73, de tous les feux qu’ils ressentaient. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur l’ouvrage e
ne me conduisent pas à l’immortalité, je n’y parviendrai jamais. » Lisez la pièce de Molière. De l’imitation. Quanti
ire ce qui suit : « Voir jouer une scène sur un théâtre étranger, la lire , en être témoin dans la société, ou l’entendre na
lé avec sa troupe y jouer la comédie.   Poitevin de Saint-Cristol. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce.
tées, même contre celles qu’on dit sanctionnées par les auteurs. Nous lisons , dans les derniers commentaires sur Molière, qu’i
s pouvons là-dessus donner carrière à notre incrédulité, puisque nous lisons , dans l’Histoire du théâtre français, que lorsque
elques imitations, mais bien légères ; j’aurai soin de les indiquer. Lisez la pièce de Molière. De l’imitation. Monta
pourrai me permettre, dans mes leçons, moins de gravité que vous ; je lis dans vos regards que vous acceptez ma proposition
écrivis le lendemain : « Citoyen, je vous envoie copie de ce que je lus hier, afin qu’à tête reposée vous fassiez vos obs
e comédien Subligni en était l’auteur. 66. Grandménil, m’entendant lire cet article, prit le parti de Molière, et dit : «
it été rempli à la cour par mademoiselle Molière. 74. M. le Texier a lu dernièrement une pièce de Molière chez une de nos
piré par l’enfance le fasse toujours applaudir ; mais je l’ai entendu lire parfaitement par M. le Texier, et pendant toute l
olière. M. le Texier, auteur d’un excellent ouvrage sur L’Art de bien lire , et toujours certain d’attirer chez lui la meille
mpagnie de Londres lorsqu’il y fait la lecture d’une pièce française, lut , dans son dernier voyage à Paris, chez madame de
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499
ontribué à porter la langue françoise dans tous les pays où l’on sait lire  ; ce théâtre enfin que les peuples instruits veul
naturellement, & deviendront, je pense, très convaincantes. Vous lisez les ouvrages des anciens : le desir de vous illus
ns, avant de s’assembler, veulent savoir si la piece est digne d’être lue à l’assemblée générale. Rien n’est plus juste. On
sur le ciel du lit de Dufresne, que la Métromanie n’auroit jamais été lue sans la protection d’un Ministre ! Admettons une
56 : vous avez beau représenter modestement que vous pouvez avoir mal lu , que vos juges peuvent s’être trompés comme ceux
our le détromper ? Aucune, puisqu’une de ses inconséquences est de ne lire que les pieces représentées avec fracas. Admetton
ait parmi eux de bons Juges ; mais il est impossible que les détails, lus avec prétention, n’éblouissent la plus grande par
eule doit produire le grand effet au théâtre. Je voudrois qu’avant de lire une piece écrite aux Comédiens, on leur en présen
8 (1871) Molière
uses ridicules appartient aux derniers jours du seizième siècle. Il a lu Marot et Regnier, comme il a lu les Lettres provi
rniers jours du seizième siècle. Il a lu Marot et Regnier, comme il a lu les Lettres provinciales. Il eut ensuite ce grand
re, étaient dans l’air, et sitôt que le jeune Poquelin fut en état de lire Aristophane, et Térence, et Plaute, et les maître
tuteur de nations. Si jeune encore, il voyait toute chose ; il savait lire au fond des cœurs les mystères les plus cachés ;
les plus cachés ; il comprenait les passions les plus innocentes. Il lisait , dans tous les livres anciens et nouveaux, les pa
ondeur sur huit et demi de large, le tout en voûte semée de fleurs de lis . Son pourtour est orné de colonnes avec leurs bas
ompris que cette innocente était née pour sa honte. Ah ! malheureux ! lu as fait obstacle aux clartés de son âme, et tu ne
dit que Molière aimait à consulter sa servante Laforest, et qu’il lui lisait ses ouvrages, honneur qu’il fit une seule fois à
une seule fois à mademoiselle de Lenclos. Nous doutons fort qu’il ait lu à Laforest le Misanthrope, Tartuffe et Les Femmes
ntures de nuit, comédie (3 a. v.). Paris, N. Pépingué, 1666. 2. Nous lisions , l’autre jour, dans les jugements du savant Baill
9 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
lieu, et trois actes du Menteur ; avant Le Menteur, à Paris, M. Got a lu un Éloge de Corneille extrait du discours de réce
ire ? Eh ! non : il n’a pas eu le loisir de les apprendre ; il va les lire  ; et, de fait, les ayant à peine lus une première
ir de les apprendre ; il va les lire ; et, de fait, les ayant à peine lus une première fois, il les lit assez mal. M. Fabié
qu’importent un à-propos de plus ou de moins, et des vers récités ou lus , et bien lus ou mal, si l’œuvre de l’auteur qu’il
un à-propos de plus ou de moins, et des vers récités ou lus, et bien lus ou mal, si l’œuvre de l’auteur qu’il s’agit de cé
nette. Combien de représentations depuis le 1er janvier ? Zéro. Vous lisez bien : zéro. Et en 1884 ? Cinq de Britannicus, tr
uère : super flumina ! .. Pour Corneille ! c’était le titre du poème lu par M. Coquelin l’autre soir. Ce n’est pas seulem
10 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
coup de pinceau, il est impossible d’aller au-delà. Ses comédies bien lues pourraient suppléer à l’expérience, non pas parce
dit Molière. Eh! qui t’avait appris cet art, divin Molière? avais-tu lu quelque poétique? les vers d’Horace et la prose d
t le mot de Vadius qui, après avoir parlé comme Caton sur la manie de lire ses ouvrages, met gravement la main à la poche, e
geait les talents naissants. Le grand Racine, alors à son aurore, lui lut une tragédie. Molière ne la trouva pas bonne, et
11 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55
e son amour pour ce charmant Anglais et le plaisir qu’elle prit à les lire , le soin qu’elle mit à les garder, ces détails at
ment porté sur Voiture par une multitude d’écrivains qui ne l’ont pas lu , j’ai courageusement entrepris de le lire, et voi
d’écrivains qui ne l’ont pas lu, j’ai courageusement entrepris de le lire , et voici ce que j’ai recueilli de ma lecture : V
12 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [16, p. 46-47] »
[16, p. 46-47] 1724, Carpenteriana, p. 223-224 Molière lisait ses comédies à une vieille servante nommée Lafore
point. Un jour Molière, pour éprouver le goût de cette servante, lui lut quelques scènes d’une comédie de Brécour*, comédi
13 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
rhétorique et de l’esprit un discours vide sur un poète qu’on n’a pas lu , et de faire respirer ce bouquet, non avec distra
partie de ce curieux journal, de celle qu’il écrivit en France. « … Lu aujourd’hui le troisième chant de l’Art poétique,
x ou trois poètes en France traduiraient bien Homère ; mais on ne les lira pas, s’ils ne changent, s’ils n’adoucissent, s’il
ses et qui fait des contorsions344 ! « … Hier, c’était dimanche. J’ai lu Milton. Abdiel, Ariel, Arioch, Ramiel combattent
té à la critique de l’écrivain une idée, et au plaisir de ceux qui le lisent quelque instruction. Plaute avait l’âme romaine.
acle à Madrid avec les yeux de sa tête, et il ne se contentera pas de lire les pâles descriptions que les bons étrangers en
science et peu d’idées, pour vivre imagina d’écrire, et pour se faire lire imagina de n’avoir pas le sens commun, d’être ori
lats de rire quand Odry et Vernet lui font admirer M. Scribe, si vous lisez les bonnes lettres naïves qu’il écrivit alors à s
cle de revue qui parlait de La Flûte sur le ton de l’enthousiasme, je lus jusqu’au bout avec intérêt une biographie de Moza
que les admirateurs de ce grand poète se soucieraient bien peu de la lire , si c’était un morceau de critique admirative.
ou d’un quelconque de ses compatriotes, si je me mettais seulement à lire ses pareils ou lui pour mon propre plaisir, je co
oilà ce que j’aurais la force de faire, et j’invite les Allemands qui lisent Molière ou qui en parlent, surtout ceux qui en pa
plus libre, Le Médecin malgré lui, Monsieur de Pourceaugnac, etc., et lisez -en une page. Puis, pour saisir par le contraste l
ir par le contraste le caractère propre de cet esprit et de ce style, lisez une page de Shakespeare. Dans Shakespeare, la pen
criminer, sans faire tort à lui-même ou à son ami. Quand Oronte vient lire un sonnet devant lui, au lieu d’exiger d’un fat l
, le mystère s’en mêlant, tout le monde voulut en goûter434. Elle fut lue dans les principaux salons de Paris. Mais l’inter
un mandement qui défendait « à toutes personnes de voir représenter, lire ou entendre réciter la comédie de l’Imposteur, so
e de Hollande454. Ce Descartes, que les femmes savantes admiraient et lisaient , avait commencé, contre l’esprit de routine et de
t le cours de ma vie j’ai appris à son école. Je ne néglige jamais de lire tous les ans quelque pièce de lui, afin de m’entr
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
Bavardin. En est un sûr garant.Monsieur, peut-on la voir ? Crispin. Lisez  ; elle est, Monsieur, du grand Eunuque noir. Bava
 : l’entreprise n’étoit pas aisée ; on ne appelle à tous ceux qui ont lu le Conte. Le reste de la piece n’est que le sujet
i, non content de l’aimer, saura la conduire. Elle l’exhorte encore à lire un livre de sa composition intitulé les Devoirs t
d’elle-même, & s’arrête à cette idée : Jeune homme, prends & lis . On annonce Damis. Cidalise trouve qu’il prend ma
a fievre qui tient la Princesse Uranie ? Vadius. Oui ; hier il me fut lu dans une compagnie. Trissotin. Vous en savez l’au
15 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
se tait par les soins du jaloux, qui satisfait tout le monde. Il faut lire cent fois cette pièce et l’admirer chaque fois da
ami, qui en a un totalement opposé ; la deuxième, où Oronte lui vient lire un sonnet, sont d’un excellent comique et d’une v
où on lit la jolie lettre de M. Thibaudier ; la seizième, où il vient lire lui-même les vers qu’il a faits ; les deux suivan
st excellent. LE MARIAGE FAIT ET ROMPU. Chef-d’œuvre qu’il faut lire et connaître comme lés pièces de Molière. LE F
ste pour être persuadé que ses notes ne seraient jamais imprimées, et lire la dernière phrase comme s’il y avait : Excepté q
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
aux, & lui remet la lettre. Don Garcie feint de ne pas vouloir la lire  : il proteste qu’il n’est point jaloux : il ne li
Don Lope, qui est entré chez elle, a eu l’impertinence de vouloir la lire , qu’elle a fait ses efforts pour la reprendre, &a
écrit à la Duchesse de Tyrol. Le Roi vient à petits pas. Il brûle de lire ce que son amante écrit. Il voit au haut de la le
plaint qu’elle l’accuse à tort d’être jaloux, feint de ne vouloir pas lire le papier que la Princesse lui présente, en meurt
r que la Princesse lui présente, en meurt pourtant d’envie, dit qu’il lira par pure complaisance, est satisfait en voyant qu
elle ne se couche pas tout de suite, qu’elle s’occupe quelque temps à lire  ; il veut lui parler un instant, pour entendre de
ais est-il décent & vraisemblable que Don Lope s’avise de vouloir lire une lettre qu’il trouve chez la confidente de la
écrit qui alarme le Prince. A merveille, Moliere ! Comme après avoir lu ta piece, la lettre italienne doit nous paroître
17 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
érémonial bien établi présentement chez Mrs les Comédiens Auteurs. Ne lisons -nous pas, Les Œuvres de Mr Poisson, Le Théâtre de
et ses sentiments, par ses actions, pour attacher d’avantage ceux qui lisent . L’aventure du Vieillard dans les Précieuses ; ce
sidération à qui je dois toutes sortes d’égards. Mais que mon Censeur lise mon Ouvrage encore une fois, il y trouvera plus d
l prenne si fortement le parti des restes de leur troupe. Comment ! à lire les expressions de mon Censeur ; quand j’aurais p
ent, selon les personnages qu’on introduit sur la Scène. Que l’Acteur lise les préceptes qu’on nous a donnés sur la déclamat
il s’abaisse jusqu’à vouloir toute la Vie de Molière, il daignera la lire  ; tantôt il n’en veut que les beaux traits, le re
s parlez de Molière, il semble que ce soit un Héros ! Que ce Critique lise , je vais lui fermer la bouche par un trait de la
ien ; mais qu’il a peu d’ordre et de retenue. Approbation. J’ai lu par ordre de Monseigneur le Chancelier cette Répo
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
’héroïne. Le Comte a la manie des gens d’esprit : il meurt d’envie de lire ses Ouvrages, & la satisfait tout en plaisant
e vous réciter sans que vous me le demandiez, tant la démangeaison de lire ses ouvrages est un vice attaché à la qualité de
ieux, un personnage autant alambiqué dans sa prose que dans ses vers. Lisons la lettre qu’il adresse à la Comtesse, en lui env
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74
t souvent l’entretien des plus honnêtes gens. Le Chevalier continue à lire . La nouvelle Toilette des Dames, avec une liste
Baron arrivent ensemble, & après avoir embrassé le Chevalier, ils lisent dans le nouvel Almanach des Théâtres différentes
Le Comte, qui protege l’Opéra, a souffert de l’article qu’on vient de lire  ; mais il prend sa revanche sur la Comédie Italie
le champ vaste qui se présentoit à l’Auteur, ses acteurs n’y font que lire des titres ou des almanachs, ce qui rend les épig
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
esque tous ses confreres. Mes Lecteurs seront de mon avis après avoir lu la premiere scene & une courte analyse de l’O
ite en anglois. Comme Eraste n’entend pas cette langue, il la donne à lire au prétendu maître, qui l’entend aussi peu qu’Era
ès embarrassé. Après bien des quiproquo très plaisants, il imagine de lire que celui qui écrit va marier son fils. Eraste, s
Sophie.  Sentez-vous bien votre bonheur ?  Incessamment vous pourrez lire  En original cet Auteur. Oh ! çà, Monsieur, daign
21 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
s mortes, deux personnifications plutôt que deux personnes. Dorante a lu Kant ; d’homme du monde aimable et galant qu’il é
ire les doctrines de l’école historique. N. B. Dans l’Étude qu’on va lire , Dorante, soit par indolence naturelle, soit (nou
tre aucune des règles traditionnelles ; que, Dieu merci, je les avais lues autant qu’un autre, et que je ferais voir aisémen
arler une comédie. Nous dirions bien : Rien ne manque à Vénus, ni les lis , ni les roses ; rien ne manque au Roi de Cocagne,
on, ni étroitesse de système, ni étroitesse d’ignorance. Elle n’a pas lu M. Lysidas ; elle ne sait pas ce que c’est que la
. Lysidas ; elle ne sait pas ce que c’est que la comédie. Mais elle a lu des comédies ; elle a comparé ; elle a réfléchi.
tait simple et bonne, comme cette pauvre Laforêt311 qui ne savait pas lire . Elle se divertissait aux choses qui font rire le
le beau, elle ne serait pas embarrassée. Elle ouvrirait Molière, elle lirait , et sans autre commentaire du texte que l’émotion
de raisonnements pour vous empêcher d’avoir du plaisir, et quand vous lisez une comédie, regardez seulement si les choses vou
ation de la critique telle que l’entend la présente école. Au lieu de lire Uranie, lisez donc, si cela vous plaît davantage,
ritique telle que l’entend la présente école. Au lieu de lire Uranie, lisez donc, si cela vous plaît davantage, la critique q
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
la même chose. Valere. Belle conséquence ! je te dis que j’ai entendu lire cette piece-ci, & je la trouve très différent
es romanciers auxquels je les ai comparés. Il m’importe peu, quand je lis un roman, de m’intéresser pour le pere, pour le f
ervante ; &, sur le point de congédier Thibaut, il imagine de lui lire sa piece & son prologue, pour voir l’effet qu
’avez tantôt dit vou mesme que c’en étoit une. L’Auteur. Ce que je te lis est le prologue de la comédie. Thibaut. Hé ! qui
ne à l’Edile, ce Magistrat étoit à table : il fit signe à l’Auteur de lire  ; mais à peine eut-il entendu quelques vers, qu’i
23 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
me & une montre. Moncade. Tu n’as qu’à la mettre là. Pasquin. Ne lisez -vous pas la lettre ? Moncade. Non, je sais tout c
Lucile. Voyons.Assurément, tu perds l’esprit, Lisette. Lisette. Eh ! lisez . Lucile. Eh ! lisez.Le voilà. Tu seras satisfait
ément, tu perds l’esprit, Lisette. Lisette. Eh ! lisez. Lucile. Eh ! lisez .Le voilà. Tu seras satisfaite. (Elle lit.) « Aye
24 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
orze ans dans sa boutique, & se contenta de lui faire apprendre à lire & à écrire pour les besoins de sa profession.
n ; il lui répondit : Monseigneur, c’est que vos Pages ne sçavent pas lire , il prennent les O pour les L. On rapporte ce pet
e d’esprit ? On y reconnoît le genie admirable de leur Auteur ; qu’on lise ou qu’on voye representer les Fourberies de Scapi
ur le champ le reste au feu. A mesure qu’il avoit travaillé, il avoit lu son ouvrage à Monsieur Rohault, qui en avoit été
25 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
rut en tête du Théâtre de Boursault la Lettre du P. Caffaro805, où se lisait , au profit dudit Boursault, une justification des
aut en convenir, légitime807. Mais Bossuet n’avait pas eu le temps de lire Molière, et il avait nécessairement confondu deux
oir été « gêné par la versification française812. » Il semble n’avoir lu qu’en courant, et pour pouvoir dire qu’il les con
tionnement moral. On s’imagine trop facilement qu’il suffit de savoir lire pour savoir juger, et de savoir juger ce qui est
ous buvons, et nous interdisons à nos adolescents les livres que nous lisons . Il en est de même du théâtre. Ah ! si le peuple
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
ituation, rien de fin, rien de malin, & sur-tout rien de comique. Lisons ce qui l’amene, nous changerons d’avis. George D
ter chez nous l’envie de nous moquer de lui. Pour nous en convaincre, lisons une partie de la scene. ACTE III. Scene III. Arn
me les suit, & fuit d’être coquette, Elle sera toujours, comme un lis , blanche & nette : Mais s’il faut qu’à l’honn
27 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
upart, l’ignobile vulgus, sont d’infimes artistes retournés. Quand je lis la théorie de la tragédie par Hegel, je suis frap
suis frappé d’admiration, comme en lisant l’Antigone ; mais quand je lis la théorie de la tragédie par M. X…, je n’y fais
gnifiantes, comme on fera des poèmes médiocres. Mais on ne sera point lu , et l’on déplorera l’indifférence du siècle en ma
28 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
re sur tous les hommes de génie de son siècle. Et d’abord, quand on a lu Le Misanthrope, Tartuffe et Les Femmes savantes,
chefs-d’œuvre. Certes, ce n’était pas celle de l’esprit. La Fontaine lisait beaucoup, il lisait avec passion : J’en lis qui
es, ce n’était pas celle de l’esprit. La Fontaine lisait beaucoup, il lisait avec passion : J’en lis qui sont du nord et qui
l’esprit. La Fontaine lisait beaucoup, il lisait avec passion : J’en lis qui sont du nord et qui sont du midi ; il jouiss
it tout, et rien qu’avec dessein, Qui les sait que lui seul ? Comment lire en son sein ? Aurait-il imprimé sur le front des
29 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
ienne comédie, comme les Pasquins, les Turlupins, les Jodelets6, etc. Lisez -vous, dans les Précieuses, le passage où Mascaril
âge de quatorze ans ; et ils se contentèrent de lui faire apprendre à lire et à écrire pour les besoins de sa profession. Mo
quelque scène prît le peuple des spectateurs, comme les autres, il la lisait à sa servante pour voir si elle en serait touchée
e passer dans le public. Il le prévint par des lectures, mais il n’en lisait que jusqu’au quatrième acte90 : de sorte que tout
i ici une remarque de M. Ménage, pour justifier ce que j’avance. « Je lisais hier le Tartuffe de Molière. Je lui en avais autr
lisais hier le Tartuffe de Molière. Je lui en avais autrefois entendu lire trois actes chez M. de Montmort92, où se trouvère
jouées dès les mois de mars et de juin de l’année 1666. Molière avait lu son Misanthrope à toute la cour, avant que de le
e d’Angleterre, lui avait dit de supprimer lorsqu’il eut l’honneur de lire sa pièce à cette princesse. Elle regardait cet en
vec d’autant plus d’assurance, qu’il ne croyait pas qu’un jésuite pût lire Théophile. Ainsi, disait ce pédant à mon ami, si
un sûr moyen de me concilier l’homme dont vous me parlez : j’irai lui lire ma pièce. » Au spectacle, où il était assidu, Mol
-le-champ le reste au feu. A mesure qu’il y avait travaillé, il avait lu son ouvrage à M. Rohault, qui en avait été très s
ue Votre Altesse me rendit confus lorsqu’elle eut la bonté de vouloir lire d’un bout à l’autre le livre qu’elle me commanda
t qu’un comédien était un homme nourri dans le giron des rois. « J’ai lu , disait-il, toutes les histoires anciennes et mod
ri lui copiait ses rôles ; et c’était la seule personne dont elle pût lire l’écriture. Depuis sa retraite du théâtre, mademo
rt, Louis Béjart, et Béjart (Madeleine, sœur d’Armande Béjart). 45. Lisez , la sœur. 46. Armand de Bourbon, prince de Cont
1.) Une anecdote racontée par Boileau confirme tout ce qu’on vient de lire . Racine avait confié à Floridor le rôle de Néron
e ici question de Mondory, mort en 1651 : c’est Montfleury qu’il faut lire . Molière critiqua le jeu et la déclamation de cet
lusieurs fois une vieille servante, qu’il avait chez lui, et à qui il lisait , disait-il, quelquefois ses comédies ; et il m’as
vres) « Un jour Molière, pour éprouver le goût de cette servante, lui lut quelques scènes d’une pièce de Brécourt. Laforest
z pas ri du moins intérieurement. (Voyez le Bolaeana. page 104) 78. Lisez  : sa belle-sœur. 79. Il ne peut être question de
vait répondu : « C’est bien à vous d’en juger, vous qui ne savez pas lire , » et qu’il lui avait répliqué : « Je ne sais que
savez pas lire, » et qu’il lui avait répliqué : « Je ne sais que trop lire depuis que vous faites imprimer. » Boileau et Rac
 : Froid, sec et dur auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas lire oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n
lire oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n’ai que trop su lire , Depuis que tu fais imprimer ! Racine soutint qu
olière soutint au contraire qu’il fallait conserver de ne savoir pas lire  : cette façon, dit-il, « est plus naturelle, et i
lus prompte impression ; et il nous apprit qu’ayant été la veille lui lire son Tartuffe (selon la coutume de la consulter su
es anciens, par l’abbé Châteauneuf, un volume in-12, 1725.) 91. On a lu dans vingt écrits, et entre autres dans ceux de V
re galant, année 1672.) 96. Boileau disait que Molière, après avoir lu le Misanthrope, lui avait dit : Vous verrez bien
doux, complaisant, généreux. Il aimait fort à haranguer ; et quand il lisait ses pièces aux comédiens, il voulait qu’ils y ame
M. du Broussin avec le duc de Vitri et Molière, « ce dernier y devait lire une traduction de Lucrèce en vers français, qu’il
re adressée à Molière ; mais, après ce récit, Molière ne voulut point lire sa traduction, craignant qu’elle ne fût pas assez
our soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte du Misanthrope, auquel il travail
30 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
ence les chagrins des maris jaloux, ou qui ont sujet de l’être.] J’ai lu dans un petit Livre imprimé l’an 1688, que7 l’on
scours, & qui n’avoient rien de rude pour les oreilles délicates. Lisez ces paroles d’Aulugelle. Non hercle idem sentio
ui forgent des mots. Une nécessité indispensable y contraint ceux-ci. Lisez cette plainte de Lucrece : Nec me animi fallit,
édies Italiennes représentées à Paris servirent d’original à Moliere. Lisez ce qui suit, c’est un discours que l’on prête à A
s, & je trouve ses Comédies si pleines de sens, qu’on devroit les lire comme des instructions aux jeunes gens, pour leur
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
eoise ou noble, pauvre ou opulente. Mais les pieces sont plus souvent lues que représentées ; le lecteur ne voit pas la déco
 ? chez qui ? Je l’ignore. Voyons les premieres scenes : j’en ai déja lu trois, & je ne suis pas plus instruit. Il est
ent autorisés à se les répéter sans que leur scene ait rien de forcé. Lisons -en une partie pour nous en convaincre. Scene I.
événements. Sans aller chercher des exemples bien loin, finissons de lire la scene des Précieuses que je viens de citer plu
a entre ses mains. Cette premiere scene m’a paru si ridicule que j’ai lu la piece à plusieurs reprises, de crainte d’avoir
32 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
reçu une lettre de son amant, lequel est à l’armée ; elle ne sait pas lire et voudrait qu’on lui lût cette lettre. Molière c
t, lequel est à l’armée ; elle ne sait pas lire et voudrait qu’on lui lût cette lettre. Molière consent volontiers à lui re
. Molière consent volontiers à lui rendre ce service. Mais au lieu de lire ce qu’écrit l’amoureux, il invente une épître de
e est charmée, et quand d’autres lecteurs, plus sincères, essayent de lire la lettre à leur tour, elle la leur arrache dès l
leur arrache dès les premières lignes en disant qu’ils ne savent pas lire aussi bien que le monsieur de chez Gély. Si l’ane
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
ons dans les Nouvelles Espagnoles ; elles sont fécondes en intrigues. Lisons les Romans Anglois ; on y trouve des caracteres f
un roman intitulé les Mémoires de Mademoiselle Bontems. Je le répete, lisons tout, excepté nos modernes Romanciers : depuis qu
te, plus ils se feront un plaisir de nous communiquer leurs lumieres. Lisons avidement leurs écrits. M. de Marmontel nous indi
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
vous êtes un impudent de vouloir disputer contre un Docteur qui sait lire & écrire. Voilà qui est fait. Je vous prie de
a été obligé de faire avant que d’être Docteur ? Il faut qu’il sache lire & écrire ; pour lire & écrire, il faut co
ant que d’être Docteur ? Il faut qu’il sache lire & écrire ; pour lire & écrire, il faut connoître les lettres ; pou
35 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
s hommes qui se font composer des épitaphes fastueuses. Arlequin veut lire à son tour et craint d’avoir sa part de la puniti
l s’enhardit, et poursuit en ces termes : « — Je me souviens d’avoir lu dans Homère, en son Traité pour empêcher que les
ure, impératrice de Constantinople, et représentée le 20 mars 1658. À lire les récits que font les contemporains des merveil
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
là de relais ; Car vous avez la mine, étant hors de l’école,    De ne lire jamais     Bartole. Que ne vous poussez-vous ? Un
public. ACTE I. Scene VI. ARNOLPHE, HORACE. Arnolphe, après avoir lu une lettre qu’Horace lui a remise de la part de s
’une femme armée de pied en cap, les prudentes leçons que nous allons lire . ACTE III. Scene II. Les Maximes du mariage, ou
p; de corps belles, A tous qui ces Lettres verront : Ceux qui sauront lire liront. Devant nous querelle s’est mue Pour une p
corps belles, A tous qui ces Lettres verront : Ceux qui sauront lire liront . Devant nous querelle s’est mue Pour une piece as
x livre intitulé les Faveurs & les Disgraces de l’amour, que j’ai lu dans mon enfance, & que je n’ai jamais pu ret
37 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
cathéchisme, il n’en est pas moins également sot15. Mais si Collé eût lu jeune ce commentaire, peut-être eût-il fait quelq
ns, daté « 29bre 1813 » jusqu’au 11 verso l’introduction : « Si vous lisez une comédie. » jusqu’à la fin « Passons à l’exa
e de la traduction partielle du premier livre de Y Iliade de Lebrun ; lire f. 125 verso la consultation du médecin de Stendh
la campagne de Iéna. Ce volume ne m’a pas quitté, et je ne l’ai guère lu . En 1809, les Lettres persanes ont été bien souve
ne l’ai guère lu. En 1809, les Lettres persanes ont été bien souvent lues par moi. » Il attachait un souvenir précieux à ce
bien peu ce respectable nom. L’appétit manque. La tête est faible, je lis des romans et je pense beaucoup à nos amis, signe
ge. Paris 47 C Hôtel Giacinta, 11 Jr [1834 ?]48 Avez-vous lu , Monsieur, la vie de Descartes ? Ayant l’occasion
spectateurs, le Misanthrope n’est qu’un poème didactique sérieux bien lu . Les têtons des actrices, les beaux habits des ac
à Milan dans l’intervalle des rendez-vous du 9 au il novembre 181374. Lu à Milan le 8 mars 1816, malade de battemens d’art
depuis deux mois, si, dès le 10 ou le 15 septembre, je me fusse mis à lire Molière la plume à la main. Mes occupations d’Aud
grand admirateur de la comédie. Il sent vingt fois plus de plaisir à lire de ses pièces que le meilleur amateur. George Da
VI. Les Femmes Savantes Les Femmes savantes 89 Si vous lisez une comédie pour votre plaisir, laissez-vous alle
été le but de l’auteur. Ces idées me sont venues ce matin en voulant lire les Femmes savantes, pièce sur laquelle je suis l
me et des enfants que passé ces deux heures, elle emploie son temps à lire les douze ou quinze grands poètes, les bons histo
s lettres pour les lettres, celle qui s’enferme dans son boudoir pour lire les Tragédies de Schiller, pas plus que celle qui
chose à dire, et de se voir écouté une seule fois dans sa vie, vient lire à ces dames un manuscrit qu’on lui a, dit-il, prê
a comme Alfieri, je crois, méprise toute la canaille ; moi enfin, qui lirais bien dans mon caractère, verrais que toute ma pol
oble. Paris. Pion, 1889, in-8, pp. Lx-802 + 1 f. n. ch. p. l’er. 31. Lire vol. VIII. 32. Écriture de P. Mérimée. 33. Idee
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Des différents Genres en général. » pp. 1-8
us croyez que la chose est impossible ? Eh bien, pour vous détromper, lisez notre Théâtre ancien : vous y trouverez des églog
vanouir ? Que vos romans se bornent aux honneurs de la presse, on les lira , on les jugera, on leur prodiguera des éloges s’i
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. M. BARTHE. » pp. 413-419
, & l’on s’efforça de prouver que M. Barthe n’avoit peut-être pas lu les Commeres de Windsor. Nous n’entrerons ni dans
Acteur, nommé Desforges, & présentement en province, a long-temps lu dans les sociétés de Paris une piece47 bien resse
40 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
r Valere de ce côté. Il y a, à dire vrai, des scenes excellentes qui, lues séparément, n’offrent au Lecteur ni exposition, n
aire ; mais avant que de me condamner, qu’on daigne m’entendre, & lire avec moi la scene suivante. ACTE II. Scene V. E
n est excellente ; s’il n’en fait rien, l’exposition est défectueuse. Lisons , & nous déciderons après. Clitandre. Parbleu
faire des pieces plus propres à être jouées sur un Théâtre qu’à être lues dans une Académie. Il a tenu parole, bien en pren
41 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
ent rien, puisqu’il prend Madeleine pour Armande et croit que Molière lu épousée. Il y a surtout Montfleury (à ce que dit
ût ou la vanité des comédiens l’ont aidée à ne pas manquer. » Il faut lire surtout le court mais substantiel chapitre intitu
si lui-même, avec ses passions, ses faiblesses et ses douleurs. Qu’il lise avec soin ce volume, qu’il y apprenne enfin la vi
digé l’inventaire de ses effets, meubles, hardes et libres, dont j’ai lu une copie. Ce dernier des Poquelin ne possédait m
s tard, pour être applaudi. Jamais il ne fit jouer une pièce, sans la lire d’abord en ce même hôtel de Liancourt, dont il ét
it être aussi, à la ville, son principal manège de coquetterie. « Si, lisons -nous dans les Entretiens galants 5, livre de cett
ette charmante traduction de l’ode d’Horace, Donec gratus eram, qu’on lira plus loin, c’est qu’au moment où il écrivait ces
figure d’elle et de vous. » Il lui recommande ensuite de ne pas faire lire cette lettre « à ses femmes », à cause de certain
ux écoutes. Chaque soir, soit qu’il revînt de chez Ninon, où il avait lu quelques scènes de ses comédies, soit qu’il eût p
ssi dans la copie de Pierre Marcassus, puisque Voltaire dit l’y avoir lue , ce qu’il faut croire. Comment, en effet, l’eût-i
part, qu’il était tour à tour Tartuffe ou Pantalon. Ce qu’on vient de lire rentre dans ce dernier rôle. Voilà ce qu’il était
écoutant en cachette95. La scène où Arnolphe commande à Agnès de lui lire les Maximes du mariage, ou Devoirs de la femme ma
iers actes de sa comédie. On sait, en effet, que non seulement il lui lisait toutes ses pièces, mais que, bien plus, il allait
rtait de se garder favorable. Ne pouvant jouer Tartuffe, il allait le lire partout où il croyait pouvoir se concilier quelqu
à était fort de vos amies ; elle avait eu beaucoup d’envie d’entendre lire le Tartuffe de Molière, et l’on ne s’opposa point
sque qu’il s’agit de madame de Sablé. Il est, en effet, certain qu’il lut chez elle au moins une partie de Tartuffe. Chaque
e de madame de Longueville, devait tenir plus que personne à se faire lire cette comédie, où revivaient, sous d’autres noms,
t de biais la défense, et donnant en détail, à son Tartuffe, qu’il va lire par la ville, la publicité qu’il ne peut lui conq
emplois ; or, vous savez d’où l’abbé était sorti, et vous n’avez qu’à lire les chansons du temps, pour bien connaître tout c
bonheur de ce nouvel amour. Les moins méchants répétaient ce que nous lisons dans un couplet alors chanté partout :       Et
olie, à l’apothicaire, comment vous vous nommez ? — Ne savez-vous pas lire  ? — Si fait ! — Alors vous avez mon enseigne. Mol
— Si fait ! — Alors vous avez mon enseigne. Molière leva les yeux, et lut écrit en grosses lettres ce nom magique : Fleuran
eil. Le burlesque Dassoucy, qui vit cet air là, chaque fois qu’il lui lut ses poèmes, où Molière n’était pas attaqué, mais
issu d’infamies mensongères et de sottes insultes ; il ne faut que la lire pour voir que c’est pis encore. Molière y est méc
t d’être en proie aux réflexions de ces pygmées ; lui, qui avait tout lu et tout retenu, qui avait conscience de son savoi
sans avoir auparavant pris son avis. « Molière, écrit Tallemant, lui lisait toutes ses pièces », et quand L’Avare, sembla êtr
poème du Val-de-Grâce à la gloire de son ami Mignard, que Molière va lire chez Mlle de Bussy. Il y a grande assemblée d’hon
lui, il appela sa critique L’Impromptu de l’hôtel de Condé.. Il faut lire ce petit acte, si méchant, en si mauvais vers, po
plus instruits, les plus intelligents, les plus soigneux, n’ont rien lu sur Molière depuis quinze ans, c’est-à-dire depui
de Trissotin, qu’il connaît delà tète aux pieds, rien que pour avoir lu ses vers : C’est par eux qu’à mes yeux il a d’ab
itoyablement mise en bouffonnerie ; eh bien ! donnez-vous la peine de lire le Discours physique de la parole, qui, deux ans
pour terminer ce livre, dont la longueur l’effrayait ? Où vint-il le lire , fragment par fragment, et prit-il, chaque jour,
on s’étonnera moins, et l’on tiendra pour vrai ce que nous venons de lire . C’est dans une pauvre petite chambre, louée par
ux praticables, machinées et non écrites, qui se regardent mais ne se lisent pas, et qui font insulte aux presses qui les impr
ment : « Ceci n’est pas un modèle de style, il faut le voir et non le lire  ! » l’auteur lui ferait un procès en diffamation.
dre avec l’ensemble, elles s’y déteignent par places. Or, qu’avait-il lu , afin de s’inspirer pour ce rôle, où l’on ne veut
elques-uns refusent de sentir l’emportement et la violence ? Il avait lu le Traité de la colère, le de Ira de Sénèque. C’e
plus heureux dans leurs recherches, la très curieuse lettre qu’on va lire  : Monsieur, Tout n’a pas été dit sur les sources
de bêtes, dit Henry Estienne, qui se pourra garder de rire, quand il lira que saint Macaire fit sept ans pénitence ès espin
comme on appelait alors ces sortes de registres, où, pour qui sait le lire , chaque total est une anecdote, que nous allons n
e, de fort amusants intermèdes, que tout le monde oubliait. On ne les lisait pas, parce qu’on ne les jouait plus, et on ne les
u’on ne les jouait plus, et on ne les jouait plus, parce qu’on ne les lisait pas. M. Édouard Thierry, qui sait tout son Molièr
ace même de nous tenir longtemps à ce régime, car, parmi les ouvrages lus , il y en a peu d’élus, s’est dédommagée de cette
ndre avec l’ensemble : elles s’y déteignent par places. Or, qu’a-t-il lu surtout, afin de s’inspirer pour ce rôle où l’on
us donner son récit, l’auteur des Contes de fées étant toujours bon à lire , même lorsqu’il ne fait pas un conte. « Son père
te racontée par Perrault ? Nous le pensons, à cette époque surtout où lire , écrire, compter, toutes choses qui relevaient du
tte lettre qu’elle a reçue du balourd, son fiancé, et qu’elle ne peut lire , il imagine, en la lui lisant, la lettre la plus
r le chef machiniste, qui lui servait de guide et d’éclaireur, il put lire , sur la bordure de cette cloche, le millésime de
ale ou Moniteur universel, à la date du dimanche 26 août 1792, vous y lirez ce qui suit : « Sur les conclusions de M. Manuel,
erre opaque de la politique, et il en arrivait à ne pouvoir même plus lire au travers. Le fait qui nous occupe suffira comme
e les plus honnêtes, qui, suivant les opinions qu’ils se sont faites, lisent avec des verres bleus, verts ou rouges. La vérité
ceux de l’étranger se firent les échos. Voici, en effet, ce que nous lisons dans la Revue de Bruxelles, de mars 1839, p. 205.
t quelque peu dû cette gloire et cette fortune, va vous le dire. On y lisait au total de ses représentations : 4,394,234 franc
n pour le prouver à ceux qui aidaient à le lui faire aimer : « On a, lisons -nous dans les Mémoires secrets , on a ajouté, sur
de gaieté à célébrer la mémoire du premier poète comique. » Vous avez lu  : « Beaucoup de zèle et de gaieté ! » C’est la vr
Mlle Bussy. N oyez Tallemant, in-12, t. III, p. 33, note. Molière lui lut aussi son poème du Val-de-Grâce, Voy. Gazette de
n tableau fait en son honneur ; c’était une Résurrection ; au bas, se lisait , en forme de rébus pour rappeler son nom ; « Vide
’épurer la correspondance de son père, résume ainsi ce qu’on vient de lire  : « Montfleury......accuse Molière d’avoir épousé
l’idée. 142. Voir le Manuscrit de La Grange. 143. Il suffit de la lire , pour être convaincu de ce que je dis ici. On lit
42 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVIII » pp. 198-205
n : sera-t-il cocu ou non ? portera-t-il des cornes, sauvera-t-il son liront de la maligne influence ? Arnolphe a, pour se ras
conçoit difficilement aujourd’hui que l’interrogatoire qu’on vient de lire ait passé à la représentation. Elle fut reçue ave
43 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
statrice auxdits notaires, et à elle par l’un d’eux, l’autre, présent lu et relu en ladite chambre où elle est malade, l’a
lus aux joies de ce monde, un beau livre déchiré, peut-être déjà trop lu , qu’il allait fermer bientôt. Avait-il le pressen
Molière a bien pu çà et là dire à La Forest de rester céans quand il lisait une pièce à la Béjart, à la de Brie et à la Moliè
t prouver la vertu de la Du Parc, si on n’avait pas l’art de les bien lire  : Molière ne faisait pas ces strophes comme les a
e ses jeunes rivaux. Substituez marquise à princesse, et vous croirez lire une page des mémoires poétiques de Corneille : J
ous la chaire où le curé faisait le prône, et au moment où le pasteur lisait à son troupeau les promesses de mariage enregistr
de Regnard. Elle ne savait rien des livres puisqu’elle ne savait pas lire ses rôles, mais comme elle savait bien le livre d
ervantes de Molière. « Eh bien ! dit Mme Beauval, je vais apprendre à lire à mes enfants. » Elle avait eu vingt-quatre enf
tout haut qu’elle se vantait beaucoup en disant qu’elle apprendrait à lire à ses enfants, puisqu’elle n’avait jamais su lire
’elle apprendrait à lire à ses enfants, puisqu’elle n’avait jamais su lire . Ce n’est pas Molière qui lui eût mis une grammai
e de Molière. VIII. Mademoiselle Beaupré Mademoiselle Beaupré lut , qu’on nous pardonne le mot, la seconde Marotte d
é aussi plusieurs fois une servante qu’il avait chez lui, et à qui il lisait , disait-il, quelquefois ses comédies, et il m’ass
point. « Un jour, Molière, pour éprouver le goût de sa servante, lui lut quelques scènes d’une pièce de Brécourt. Laforest
que l’auteur du Misanthrope montre à Boileau en lui disant qu’il lui lisait quelquefois ses comédies, la servante que Brosset
olière, qui ne dédaignait aucun spectateur, retenait Laforêt pour lui lire les scènes les plus comiques, l’interrogeant d’un
44
elle, tome I, nº 1, 1er avril 1879, p. 3-4. Si chaque homme qui sait lire est — selon le mot de Sainte-Beuve — « un lecteur
ependant, Monsieur, quand j’ai commencé à exceller, je n’avais jamais lu Molière. ORONTE. Tant pis pour vous. LE POÈTE. Oh
e l’Hôtel de Bourgogne. Il se présente à leur assemblée et propose de lire sur le champ deux de ses ouvrages. On se prête se
6 est une coquille d’imprimerie, qu’il faut renverser le dernier 6 et lire 1649 ; et qu’en effet Molière était à Toulouse le
Histoire littéraire de la ville d’Albi 4 mériterait à coup sûr d’être lue et appréciée ne contînt-elle pas ce chapitre tout
isanthrope est de 1666 ; Le Grand Cyrus parut en 1650 ; Molière avait lu Mlle de Scudéry, et l’on ne rabaisse point sa glo
rd’hui qu’il existe au greffe de Rouen un registre sur lequel on peut lire un acte authentique portant la signature de J. B.
loit des mains de M. Loyal, il va s’asseoir à la table de gauche pour lire la chose et pour l’étudier, peut-être avec trop d
es derniers temps la plaque de marbre commémorative que chacun y peut lire maintenant. À la date de 1638, à laquelle se rapp
n et piété, sur une armature en argent. Au-dessous de cet os, on peut lire ceci : « Fragment de la mâchoire de Molière donné
ention avait été tout d’abord attirée par une chemise sur laquelle on lisait ces mots en ancienne écriture : « plan collé sur
soins de M. Eud. Soulié dans les minutes de Me Aumont-Thiéville, nous lisons  : « Fut présent Jean-Baptiste Poquelin, sieur de
penseurs et nos poètes les plus éminents se sont occupés de Molière. Lisez les Conversations avec Goethe, publiées par Ecker
é, dit Molière. Les comédies de Molière — je l’avoue franchement — se lisent plus qu’elles ne se jouent en Allemagne, ce qui n
r du théâtre de la cour à Vienne ; vos lecteurs le connaissent, ayant lu dans Le Moliériste d’août un poème de M. de Dinge
45 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
é de la comédie et des spectacles que ni toi ni les tiens vous n’avez lu  ? L’oubli c’est la règle, et le souvenir c’est l’
rir cela ? Est-ce donc mourir, tout à fait, si plus d’un cœur, à vous lire , a battu plus vivement ; si plus d’une idée endor
andonner le vraisemblable. Ainsi, malgré l’exemple de Plaute, où nous lisons  : da tertiam ! je soutiens contre Molière, qu’un
icisme, une comédie, en un mot, digne de Molière, personne ne les eût lues dans ce peuple fatigué de dissertations religieus
les autres, ceux qui l’avaient vu jouer et ceux qui l’avaient entendu lire , ne savaient de cette comédie que les trois premi
etite censure. Ce digne religieux, de son propre aveu, n’avait jamais lu , encore moins vu, aucune comédie, ni de Molière,
français dans lequel j’écris à Votre Grandeur. » Rien n’est amusant à lire comme la justification du digne théatin, et son e
nes vos comédies ». Oui, P. Caffaro, ce Molière, dont vous n’avez pas lu une seule comédie, a fait représenter des pièces
» Dites-moi, ajoute Bossuet (ici le père Caffaro, qui n’a jamais rien lu , doit être horriblement embarrassé), « que veut u
it, non pas l’école des mœurs, mais l’école des passions. Après avoir lu cette lettre admirable et sans réplique, la coméd
er des plus simples devoirs de leur profession ! — Madame est malade… lisez  : « madame est au bal ! » Monsieur est pris d’un
… lisez : « madame est au bal ! » Monsieur est pris d’un mal subit. —  Lisez « Monsieur se promène » ; il fait beau, le public
rides ! que de frissons, que de cheveux blancs, mignonne au teint de lis  ! — Vous avez vu dans un cadre, à l’abri d’une gl
à son aide le ciel et l’enfer. C’est pourtant un philosophe qui sait lire et écrire ! comme dit Sganarelle, croyant lui fai
ces plaintes si tendres et si remplies de résignation que vous pouvez lire dans les Mémoires de Mademoiselle de Montpensier.
ela leur va bien et que c’est un utile assaisonnement de l’amour, ils liront avec joie le terrible portrait de la prude, tracé
matique, digne de tout notre intérêt et de toute notre étude. Si vous lisez les critiques du temps et surtout les corresponda
de probité, dans un travail acharné de chaque jour. Encore une fois, lisez les modèles, et tenez-vous aux modèles. Quant à s
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is pas cela »,répond Diogène avec le mot d’Alceste. Mais le cynique a lu Boileau et ne reconnaît pas l’auteur du Misanthro
tte occasion, dans la salle de l’Athénée, une séance littéraire. Il a lu , outre le Sonnet aux Moliéristes de notre cher po
française, une notice fort sérieuse et fort exacte dans laquelle nous lisons ceci : « … Il était facile à ses gens et à tout
frayé le traducteur. Aussi ajoute-t-il à la traduction qu’on vient de lire , ces paroles peu modestes : « Nous sommes (en Ita
atigable et chercheur patient, Édouard Fournier avait prodigieusement lu , noté, recueilli, retenu. Ses premières études su
lide sur Tartuffe 11. Mais il ne suffit pas aux Hollandais de pouvoir lire Molière dans l’original, ils veulent avoir ses pi
cette représentation annuelle. Les autres pièces du poète tragique se lisent , mais ne se jouent plus. Et il faut avouer que le
vrai quel goût règne à présent : En plein théâtre il faudra qu’on le lise  ». Certain caustique en fit bien l’analyse, Et le
te étude : Molière et Tartuffe dans la préface des Plaideurs, où nous lisons le passage suivant : « Mais c’est en juillet 165
n sur les choses les plus respectables, la morale et la religion : «  Lisez -moi, comme il faut, au lieu de ces sornettes, « L
se contente pas de lui indiquer une « bonne lecture ». Il lui donne à lire haut devant nous une suite de maximes en vers for
sais par quelles lois un ouvrage est parfait, « Et Corneille me vient lire tout ce qu’il fait. » C’est Lulli, dans le même
maître en critique littéraire, M. de Saint-Marc Girardin, propose de lire ici Quinault entre les lignes ; mais il n’y a guè
, dans sa Préface : « Je découvris, je ne sais où, que M. du Tralage ( lisez  : de Tralage) était parent… etc. » — Cette découv
it entendu parler des Fâcheux avant d’écrire sa pièce, mais qu’il n’a lu cette comédie qu’après avoir fini la plus grande
 » Tel est l’acte de mariage à Lyon. Voici l’acte mortuaire que nous lisons à Carcassonne : « Le 29 mars (1655) François La 
feu, mais la fête se poursuivait sur la scène et dans la salle. On en lira la description fidèle dans l’excellent article qu
our pour l’âpre vérité ; mais je n’oublie pas que tel feuilleton sera lu , traduit et commenté par-delà les Alpes et le Rhi
n’est plus que du bric-à-brac archéologique ! » Voilà ce qu’on a pu lire , et je ne cite qu’un de nos lundistes. — C’est ai
47 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
Approbation. J’ai lu par ordre de Monseigneur le Chancelier, La Vie de
’âge de quatorze ans, et ils se contentèrent de lui faire apprendre à lire et à écrire pour les besoins de sa profession. Mo
quelque Scène prît le Peuple des Spectateurs, comme les autres, il la lisait à sa servante pour voir si elle en serait touchée
passer dans le public. Il le prévint par des lectures ; mais il n’en lisait que jusqu’au quatrième acte : De sorte que tout l
prose de Mr de Molière, dit-il, vaut beaucoup mieux que ses vers. Je lisais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois ente
vers. Je lisais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois entendu lire trois Actes chez Mr de Mommor, où se trouvèrent a
jouées dès les mois de Mars et de Juin de l’année 1666. Molière avait lu son Misanthrope à toute la Cour, avant que de le
Madame défunte lui avait dit de supprimer, lorsqu’il eut l’honneur de lire sa pièce à cette Princesse. Elle regardait cet en
vec d’autant plus d’assurance, qu’il ne croyait pas qu’un Jésuite dût lire Théophile. Ainsi, disait ce Pédant à son ami, si
un sûr moyen de me concilier l’homme dont vous me parlez ; j’irai lui lire ma pièce. Au spectacle, où il était assidu, Moli
la lecture de cette pièce. ―  Molière, disait-il à tout le monde, me lis ce soir une Comédie : voulez-vous en être ? Moliè
r-le-champ le reste au feu. À mesure qu’il y avait travaillé il avait lu son ouvrage à Mr Rohault qui en avait été très sa
espréaux. h. [NdE] Mademoiselle de Brie. i. [NdE] Racine. j. [NdE] Lire  : A… pour Alexandre (1665), tragédie de Racine.
48 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
’on en puisse dire, Un Marchand pour les vendre, et des Sots pour les lire  ; Et quand la rime enfin se trouve au bout des ve
ers que Perrin les admire ? Que l’Auteur du Jonas s’empresse pour les lire  ? Pourvu qu’ils sachent plaire au plus puissant d
49 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
uivait-il son exemple ? En vérité, il répugne en ouvrant ce Livre, de lire  : La Vie de Monsieur de Molière. Si l’Auteur n’av
plus grand nombre ; il est amusant pour les gens qui se contentent de lire sans réflexion. Il y a des noms en blanc ; on s’o
tourneraient à notre confusion. Je suis, etc. Approbation. J’ai lu par ordre de Monseigneur le Chancelier, cette Let
50 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
il déclara même avoir possédé ce volume, sur le frontispice duquel on lisait , assurait-il : Le Roy glorieux au monde, contre
éritables Précieuses de janvier 1660, Somaize nous a appris avoir été lu de côté et d’autre par Molière avant la première
’École des femmes, Dorante répond : Mais je sais le théâtre, et j’en lis la Pratique 54; Quand la scène est sanglante une
ait se plaire, Molière s’était écrié en interrompant son ami qui lui lisait sa satire : « Voilà la plus belle vérité que vous
es, avec le duc de Vitry et Molière, notre premier comique « devait y lire une traduction de Lucrèce en vers français, qu’il
ire adressée à Molière. Mais, après ce récit, Molière ne voulut point lire sa traduction, craignant qu’elle ne fût pas assez
our soutenir les louanges qu’il venait de recevoir. Il se contenta de lire le premier acte du Misanthrope, auquel il travail
e de Linières, fit paraître une traduction en vers du même auteur. On lisait dans sa Préface nouvelle : « Plusieurs ont entend
le quelqu’un avait parlé si avantageusement qu’il disait n’avoir rien lu de plus utile ni de plus instructif à son gré, de
ut : On lui dit ce qu’on veut, bien souvent rien du tout. Bien qu’on lise dans la Vie de Grimarest, que cette actrice « n’é
bien à vous d’en juger, lui dit l’auteur piqué, vous qui ne savez pas lire  ! » — « Je ne sais que trop lire, repartit Puimor
’auteur piqué, vous qui ne savez pas lire ! » — « Je ne sais que trop lire , repartit Puimorin, depuis que vous faites imprim
Froid, sec, dur, rude auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas lire oses-tu me blâmer ? Hélas, pour mes péchés, je n’
lire oses-tu me blâmer ? Hélas, pour mes péchés, je n’ai que trop su lire        Depuis que tu fais imprimer. « Mon père,
la même déférence pour les jugements de ses amis. Molière, auquel il lisait tous ses ouvrages, ne put obtenir de lui qu’il re
age était, suivant la gravité de son délit grammatical, condamné à en lire quinze ou vingt vers. « L’arrêt qui imposait la l
xplication à Molière, chez qui il demeurait. Molière, après les avoir lus , dit qu’il ne les entendait pas non plus, “Mais a
e le tenant de Molière lui-même, ajoute que cet auteur étant allé lui lire son Tartuffe, « elle lui fit le récit d’une avent
personne, nièce de la femme de La Mothe le Vayer, à laquelle Molière lisait également ses ouvrages avant la représentation :
étence de son bon sens et de son naturel. « Molière, dit Boileau, lui lisait quelquefois ses comédies ; et il m’assurait que l
rels ». Un jour, pour éprouver le tact et le goût de La Forêt, il lui lut plusieurs scènes de La Noce de village de Brécour
connaissait peu. Ce n’est donc qu’après que le sonnet est entièrement lu , et conséquemment après que le parterre a eu le t
ouvrit qu’il faisait de la prose. » « Molière, dit Grimarest, avait lu son Misanthrope à toute la cour avant que de le f
Madame défunte lui avait dit de supprimer lorsqu’il eut l’honneur de lire sa pièce à cette princesse. Elle regardait cet en
ait un devoir d’en démontrer la fausseté. Il n’est personne qui n’ait lu dans tous les ana que le 7 août, au moment où le
représenter, sous quelque nom que ce soit, la susdite comédie, de la lire ou entendre réciter, soit en public, soit en part
tions et défenses à toutes personnes de notre diocèse de représenter, lire ou entendre réciter la susdite comédie, soit publ
et lui demanda en grâce de lui donner une heure, voulant, dit-il, lui lire une comédie et la soumettre à son jugement. Le co
n malgré lui ont été écrits pour demeurer en prose ; il suffit de les lire après Le Festin de Pierre pour sentir que le chan
rapporter ; car il n’est personne, nous l’espérons, qui, après avoir lu Le Misanthrope et Le Tartuffe, n’y ait reconnu, e
r les herbettes Les images de vos chansons, qu’il fallait sans doute lire  : Et tracez sur les herbettes Les images de vos
assadeurs de Siam, qui venaient lui annoncer que leur monarque, ayant lu ses ouvrages, l’avait élevé à la dignité de manda
vue de tout le monde une aversion d’autant plus injuste que ceux qui lisent mes ouvrages et m’entendent parler de vous savent
dont Ménage et Cotin avaient été les acteurs ? Le dernier achevait de lire , chez Mademoiselle, son sonnet à la princesse Ura
pagnèrent silencieusement ses restes. « Sur les neuf heures du soir, lisons -nous dans un récit contemporain, l’on a fait le c
arrêt sévère fut porté par Bailly lui-même ; et personne, après avoir lu son ouvrage, ne sera tenté d’en appeler. Pour don
J’avoue qu’Elle me rendit confus lorsqu’Elle eut la bonté de vouloir lire d’un bout à l’autre le livre qu’Elle me commanda
de ces lettres, relatif à La Clairière et à sa tragédie, tous ont mal lu , ou plutôt le premier a mal lu et tous ont répété
airière et à sa tragédie, tous ont mal lu, ou plutôt le premier a mal lu et tous ont répété : M. de Cléville, au lieu de M
tisans : « Nous tâchons d’amuser notre cher cardinal. Corneille lui a lu une comédie qui sera jouée dans quelque temps (Pu
ue temps (Pulchérie), et qui fait souvenir des anciennes. Molière lui lira samedi Trissotin, qui est une fort plaisante pièc
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
e flatte que vous la guérirez. Arlequin. Sans doute. Avez-vous jamais lu cet aphorisme d’Hippocrate, qui dit : Gutta cavat
ere n’a pas entendu raconter cette histoire, il doit sans doute avoir lu dans un manuscrit du troisieme siecle, un vieux c
52 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
traducteurs, adaptateurs, imitateurs, une mine inépuisable d’œuvres, lues avec transport de toute l’Allemagne sur tous les
ien ne périt des beautés de l’original. Elle ne se contente pas de le lire , elle le fait jouer sur tous ses grands théâtres.
er, fort injustement d’ailleurs, Shakespeare. Il est assez curieux de lire un article que Walter Scott écrivit sur Molière,
théâtre, savez-vous bien ce que me disait de lui le père Provost, qui lut avec Samson, et quelques-uns me disent avant Sams
notre exemple : On demande, dans Les Femmes savantes, à Trissotin de lire des vers de sa façon : Servez-nous promptement v
ec, mais je ne suis plus malheureusement assez bon helléniste pour le lire couramment, avec chance de m’y plaire. Les Précie
dévissées de leurs fauteuils. » Tel est l’effet du mot. Pourquoi ? Je lisais , ces jours derniers, un volume que M. Camille Sai
cet i vous transporte dans le seizième siècle, pour peu que vous ayez lu nos vieux auteurs, et vous prenez pour un instant
Molière, on ne le sait bien que si on l’a vu aux chandelles. Vous le lisez au coin de votre feu ; ce n’est plus cela. Il est
ins grand nombre pourtant. Le raseur gai répète les bons mots qu’il a lus dans le journal, refait sans grâce les histoires
et que sa raillerie a porté exclusivement sur les maris trompés. Il a lu tous les fabliaux de nos vieux conteurs ; il se p
ne âpre joie quand il s’agit des autres, et il tressaille quand on le lu corne aux oreilles, en ayant l’air de croire qu’o
t ils ne manquent jamais, quand ils veulent s’amuser à ses dépens, de lu jeter ce mot au travers de la conversation, de le
e la jeune personne ? Au contraire, Katia sait beaucoup ; elle a tout lu  ; Katia est bonne musicienne ; elle est douée d’u
rai. Je te bouchonnerai, baiserai, mangerai. Je ne sais si vous avez lu une manière d’autobiographie qui eut quelques suc
us gêne ; chassez de votre souvenir tant de dithyrambes que vous avez lus à propos de Don Juan ; rompez avec une vieille ha
elle-même est superbe, et si voulez en sentir l’extrême supériorité, lisez après l’œuvre de Molière, La Contagion, d’Émile A
ne-type. Une dame de beaucoup d’esprit, qui m’avait fait l’honneur de lire , dans mon dernier feuilleton, cette théorie des s
anthrope » I. Le caractère d’Alceste J’ai été bien surpris à lire , lundi dernier, l’analyse que mon confrère Paul d
ernants ont changé, et non pas nos mœurs. Ah ! qui ne se sentirait, à lire cet admirable rôle d’Alceste, échauffé d’une vail
ent bonne compagnie, même alors qu’il se donnait le léger ridicule de lire un sonnet médiocre. Il écoutait d’un visage assom
se et elle a un grand caractère de vraisemblance. Il est certain qu’à lire la prose du Sicilien, ramenée par les artifices d
e serait un livret d’opéra-comique tout fait. Je ne sais si vous avez lu l’ouvrage de Castil-Blaze qui a pour titre : Moli
scènes, les scènes d’amour ou de jalousie, sont bien plus agréables à lire , comme M. Anatole de Montaiglon nous les a donnée
e 1873. « Tartuffe » I. « Tartuffe » et le public J’avais lu avec une surprise extrême, dans le feuilleton de
l individu dont vous étiez coiffé. Tenez ! il n’y a pas longtemps, je lisais dans la Gazette des tribunaux le procès d’un chev
eur tempérament ou à leurs préjugés. Elles excellent à cette besogne, Lisez L’Affaire Clémenceau, de Dumas fils. Ida a eu tan
son père, qui l’embrasse et qui pleure, ses derniers adieux. J’avais lu cette scène le matin et l’avais trouvée fort bell
ier un mot : Mon cher Sarcey, Cette fois-ci, ce sera un peu long. Je lis dans votre feuilleton d’hier que je suis un destr
n de son fils, qu’on eut toutes les peines du monde à lui apprendre à lire , et qu’à l’âge de neuf ans il ne connaissait pas
cun de nous, si vieux qu’il fût, n’avait vu jouer Les Ménechmes. J’ai lu dans un journal que M. Ballande, au cours de ses
es plus étincelants qu’il ait écrits à ces critiques qu’il n’avait pu lire encore. M. Reinach est jeune ; il s’imagine sans
avant lui revenait de l’Académie. Ce sont les seuls travaux que j’aie lus  ; mais il y en a eu beaucoup d’autres. S’il nous
e et ne parle que de ce qu’il sait. Je crois que vous aurez plaisir à lire ce morceau de critique. Vous y trouverez sur Mari
et je la sais si bien, qu’il m’est devenu pour ma part impossible de lire tout haut Le Jeu de l’amour et du hasard. Je n’ai
son maître. J’ai bien souvent vu jouer Le Mariage de Figaro ; je l’ai lu plus souvent encore ; il y a une quantité de scèn
sie lit eu des mœurs plus sévères et une éducation plus solide. Qu’on lise , si l’on veut se rendre compte de ce qu’était une
re compte de ce qu’était une famille bourgeoise en ce temps-là, qu’on lise dans l’histoire de Beaumarchais, par M. de Loméni
et dont tout le monde a entendu parler, bien que peu de gens l’aient lue , l’Ode à Priape ; quelques plaisanteries sur les
anes » Nous ne connaissions Les Trois Sultanes que pour les avoir lues . La pièce avait été, au dix-huitième siècle, donn
ue Osmin, joué par le jeune Berr. Je croyais connaître ce rôle, ayant lu bien souvent la pièce. Berr me l’a révélé. Je ne
son légère ; elle enlève. On n’a plus le droit de dire, après l’avoir lue , que les Anglais et les Allemands ont inventé la
mpossible à aucun de mes lecteurs de se la procurer. J’imagine qu’ils liront avec plaisir cette curiosité : « De tous les déf
53 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
, « comme s’ils voyaient la colonne renversée d’un tombeau, sans même lire l’inscription ». Aussi en est-il réduit à se conf
les gens d’esprit que pour la multitude, et plus propre encore à être lu que joué. Le théâtre fut bientôt désert34 ; et, d
pandre des lumières et des vérités d’expérience qui nous apprennent à lire en nous et chez les autres. Sans être sentencieux
e. La vérité est que Le Tartuffe fut non seulement conçu, mais écrit, lu , et même joué, d’abord en partie, puis dans son e
de Créqui, ambassadeur de France à Rome. Molière obtint l’honneur de lire sa pièce à ce prélat, et n’eut qu’à se louer d’un
publier, le 11 août, six jours après la soirée du Palais-Royal. On y lisait  : « Considérant que, dans un temps où notre grand
tions et défenses à toutes personnes de notre diocèse de représenter, lire ou entendre réciter la susdite comédie, soit publ
ient passer pour telles, se passionnèrent pour le grec sans savoir le lire , et pour la physique ou l’astronomie sans y rien
d’être accueilli à bras ouverts par des pécores, il vient, comme lui, lire ses sottises rimées à des folles qui se pâment d’
ière, vers le nº 34 d’aujourd’hui. 31. 10 février 1673. 32. Il faut lire le récit de Grimarest, qui dut tenir ces détails
de Molière. 39. Dans le grand Cyrus (t. VII, liv. Ier, p. 307) nous lisons ce portrait de Montausier : « Megabate, quoique d
ucement esquivé… Dans La Mère coquette de Quinault, I, 3, 1664, nous lisons  : Estimez-vous beaucoup l’air dont vous affectez
88. Il fit un bien méchant portrait de Mme de Sévigné. 89. Il faut lire , entre autres, son portrait de Mme d’Olonne. 90.
me pendre pour mentir. » 152. « Malgré l’exemple de Plaute où nous lisons Cedo tertiam, je soutiens contre Molière qu’un av
ais le ton n’est pas le même, et la note reste comique. 156. Il faut lire dans M. Saint-Marc Girardin la spirituelle parodi
t son nom à la pièce. Mme de Sévigné écrit, le 9 mai 1672 : « Molière lira samedi soir au cardinal de Retz Trissotin, qui es
54 (1900) Molière pp. -283
xviiie  siècle les plus honnêtes, les plus décents, qui ne pouvaient lire Molière sans être choqués ; par exemple, je citer
rme : La Jalousie du Barbouillé. Voici les premières lignes que vous lirez  ; c’est Barbouillé qui parle : Il faut avouer qu
s d’efforts pour le percer à jour que pour l’inventer. Vous avez tous lu bien des fois Le Dépit amoureux, et Les Fourberie
peindre. Tel est le portrait de M. Purgon ; le voici, je veux vous le lire . Voici M. Purgon, le médecin systématique. Votre
la bien voir à la scène ; mais dans le silence du cabinet, quand nous lisons Molière, nous la voyons chez ces femmes qui, à pe
n sait déjà presque plus long qu’Agnès qui, à seize ans, sait à peine lire , et a été élevée au village ; cependant, il serai
. Je ne sais pas comment vous êtes, mais, pour moi, je n’ai jamais pu lire sans émotion, sans me mettre du parti de cet avar
ématique, devient docteur et pédant de morale et de religion. Il faut lire toute cette tirade, vous la connaissez. Je vous r
nçait autour de lui ; ce n’est pas dans son moment : vous n’avez qu’à lire tous les auteurs du temps pour y voir à quel poin
a ruse accomplit sans combattre, et que la faiblesse tolère. Nous les lisons dans l’histoire, quand ce ne serait que chez le p
u fond du cœur de l’affront que lui a fait Dom Juan. Vous pouvez bien lire avec tout le soin que vous voudrez le rôle de Dom
se mettra toujours du côté de Chrysale, quand il dit : Les leurs ne lisaient point, mais elles vivaient bien, Leurs ménages ét
eur portons. On a dit de Molière que son seul livre bien médité, bien lu , bien considéré, pouvait tenir lieu d’expérience.
éré, pouvait tenir lieu d’expérience. C’est vrai. Je dirai même plus. Lisez -le bien dès la jeunesse ; il vaut mieux que l’exp
celui de Molière les indique d’avance ; c’est pour cela qu’il faut le lire dans sa jeunesse. Cette lecture est saine, en som
fait créer à nouveau les belles œuvres dans les moments que nous les lisons , les sentons et les expliquons. » ………………………………………
du xviie siècle, nos auteurs comiques sont parvenus plus loin ; j’ai lu , je ne sais où, que des voyageurs ont vu, sur les
s les plus changeants, n’a cessé de produire des œuvres dignes d’être lues . Elle s’est pliée à la phrase périodique et au st
erveilleusement instruit de ces matières, je l’ai arrêté. NAPOLÉON Il lisait sans doute Platon le jour où il s’est laissé enle
voit que Pharmacies où il ne se parle point d’apothicaires. ——— J’ai lu je ne sais où qu’un philosophe indien rencontra u
55 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
e ennemi du Genre humain, Le Campagnard qui tout admire N’ont pas lu tes Écrits en vain : Tous deux s’y sont instrui
pag. 203, 204. 5. Rosteau Sentim. sur quelques livres d’aut. qu’il a lus pag. 69. 6. Anne Le Fèvre Dissertat. sur les com
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
à ses filles mêmes les torts de leur mere : enfin le fatal écrit est lu publiquement. Voici une partie de la derniere sce
e quoi ? M. Josse. De quoi ?Prêtez l’oreille ; & vous, Monsieur, lisez . M. Griffet lit. Mémoire de la dépense que j’ai
57 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
mie était partout. Tout était académie : académie ne se bornant pas à lire , à écouter, à disserter ; mais académie en action
n sourire de son sérieux… que la frayeur court dans une assemblée. On lisait avec étonnement dans un autre ouvrage cette phras
58 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
résentation du cœur humain, comme les sculpteurs dans celle du corps, lis cherchent à plaire par l’émotion, et le degré d’é
certainement le premier des philosophes moralistes… Ses comédies bien lues pourraient suppléer à l’expérience, etc. » — Auge
a jamais été matérialiste ni épicurien que pour ceux qui ne l’ont pas lu sérieusement. Le prétendu épicurisme de Molière,
59 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [41, p. 71-72] »
ques, tome I, p. 560 Boileau racontait que Molière, après lui avoir lu le Misanthrope, lui avait dit : Vous verrez bien
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
emonte au Ciel, & la piece finit.   Cet extrait fait ainsi, & lu par les personnes qui ne jugent jamais que d’aprè
amp; les défauts adroitement écartés. Apprenons à voir par nos yeux ; lisons nous-mêmes la piece latine ; comparons-la à la fr
is Jupiter que fort civilement  Reconduit l’amoureuse Alcmene. Qu’on lise Plaute, on verra que pour dire moins que Moliere
de Cléanthis avec son époux. Rien de moins vrai. Il suffit de savoir lire pour s’en convaincre. Sosie fait à sa lanterne, d
61 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
le 1er janvier 1663 que Molière reçut de son ami les stances qu’on va lire  : En vain mille jaloux esprits, Molière, osent,
estouches ; Le Procès de la Femme juge et partie, par Montfleury ; on lira toujours avec plaisir La Critique de l’École des
lière, dans laquelle il jouait sous son nom de théâtre, et qu’il faut lire pour connaître le caractère du genre adopté par d
uger des grâces de sa personne, et des charmes de son esprit, il faut lire le portrait que Cléonte fait de sa maîtresse dans
ause de sa mort, quoiqu’elle ait été généralement reçue. Lorsque nous lisons , dans L’Impromptu de Versailles, qu’ il faut qu’u
t conseil, et lui promet de le suivre avec docilité. On ne peut guère lire la scène entre Sganarelle et Géronimo, sans pense
62 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [73, p. 108] »
e de France259 lui avait dit de supprimer, lorsqu’il eut l’honneur de lire sa pièce à cette princesse. Elle regardait cet en
63 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
lles saisissent ; et personne en cela n’ose l’imiter. Tous les ans je lis quelques pièces de Molière, de même que de temps
t baptisé Jean, fils de Jean Pouguelin, tapissier, et de Marie Cresé ( lisez Cressé), sa femme, demeurant rue Saint-Honoré ; l
osophe. L’inclination qu’il avait pour la poésie le fit s’appliquer à lire les poètes avec un soin tout particulier. Il les
t une anecdote qui est comme la contre-partie de celle qu’on vient de lire et que rapporte Grimarest : à l’époque où il joui
du Josaphat, dont l’achevé d’imprimer est du 12 octobre 1646 ? À bien lire le passage de Magnon, c’est ce dernier cas qui pa
apparaît pour la première fois. Charles Dufresne et Pierre Rebelhon ( lisez Réveillon) avaient déjà fait partie, à Lyon, en 1
dé septembre, ainsi qu’il résulte du récit de l’abbé de Cosnac, qu’on lira plus loin. On verra enfin qu’en 1655 il est assez
les encouragements et l’approbation du prince, qui s’était diverti à lire ce livre pendant les entr’actes de la comédie. La
ant, qui est au service. Malheureusement la pauvre enfant ne sait pas lire . « Escusatz, mestre Zély, dit-elle de sa voix la
la lettre à Molière, en ajoutant : « Tiens, voilà un monsieur qui la lira bien mieux que moi. » Molière se prête de bonne g
Zély ! » (Laissez cela ! Laissez cela ! vous ne savez pas aussi bien lire que le monsieur de chez Gély !) Autre tradition.
trésorier de la bourse des états du Languedoc, la somme de six mille  lires à nous accorder par Messieurs du Bureau des compt
vingt quatrième jour de février 1656. MOLIÈRE. Quittance de six mille lires . » Joseph Béjart toucha le même jour quinze cent
formulée : « J’ai reçu de Monsieur le Secq la somme de quinze cents lires qui m’a été accordée par la délibération des état
été accordée par la délibération des états, pour la composition d’un lire que j’ai présenté à la province, de laquelle somm
onsieur le Secq. Fait à Pézenas ce 24 février 1656. BÉJART. Pour 1500 lires . » Pour le généalogiste Béjart, une courte délib
ères pièces. Il ne négligea pas davantage la tradition française ; il lisait ses prédécesseurs et ses contemporains dans la co
devez, pour ajouter quelque chose de beau à ce que je viens de dire, lire comme lui tous les livres satiriques, prendre dan
ivres satiriques, prendre dans l’espagnol, prendre dans l’italien, et lire tous les vieux bouquins. Il faut avouer que c’est
tait jusqu’alors plus particulièrement appliquée à jouer la tragédie. Lisez attentivement Dassoucy, Cosnac ; rappelez-vous le
ofond sur huit et demie de large : le out en voûte semée de fleurs de lis . Son pourtour est orné de colonnes avec leurs bas
on littéraire ; et surtout la certitude que ces lignes rimées ont été lues dès le lendemain par Molière, dont elles auront r
ise de Sévigné, par certaine inclination particulière, continuèrent à lire les romans des La Calprenède et des Scudéry, l’éc
s à Vincennes. Le 26 août, ils firent leur entrée solennelle. On peut lire dans les Mémoires et dans les gazettes du temps l
laire ; la tradition relative à cette bonne Laforest, à qui il aurait lu parfois quelques passages de ses pièces, « sûr, d
ccasion de ce mariage. Le roman avait été bien vite bâti ; on peut le lire dans Grimarest ; contentons-nous d’en indiquer le
ui parle maintenant) était très grand historien et avait beaucoup vu, lu et relu de diverses histoires ; mais la fin princ
ins, et n’en était pas moins assoté qu’un fol de sa marotte. Toujours lisait , toujours étudiait ; et d’iceux livres fit un pet
mon. Les chaudières bouillantes dont il menace Agnès, la blancheur du lis qu’il promet à son âme en récompense d’une bonne
vos amies (de Port-Royal) ; elle avait eu beaucoup d’envie d’entendre  lire Le Tartuffe, et l’on ne s’opposa point à sa curio
ppréciations si diverses. Molière allait partout la représenter ou la lire . Molière avec Tartuffe y doit jouer son rôle, d
o du titre de la pièce est encore plus explicite : « Cette comédie, y lisons -nous, parfaite, entière et achevée en cinq actes,
représenter, sous quelque nom que ce soit, la susdite comédie, de la lire ou entendre réciter, soit en public, soit en part
tions et défenses à toutes personnes de notre diocèse de représenter, lire ou entendre réciter la susdite comédie, soit publ
fort), et de Madeleine Desurlis, également comédienne. « Son parrain, lisait -on sur le registre paroissial qui a été détruit d
en vain d’obtenir de lui qu’il renonçât au théâtre. Voici ce que nous lisons dans Cizeron-Rival : « Deux mois avant la mort de
on de Charpentier offre une preuve bien concluante de ce fait. Nous y lisons en tête des premiers morceaux : « Le Malade imagi
mme ennemi du genre humain, Le campagnard, qui tout admire, N’ont pas lu tes écrits en vain : Tous deux se sont instruits,
it contre elle, et, du reste, contre les actrices en général, il faut lire les factums d’Henri Guichard, dans le procès qu’i
ste, l’avait trouvée lui-même chez les Espagnols et leurs imitateurs. Lisez les pièces composées exclusivement pour la Cour,
rs imitateurs. Lisez les pièces composées exclusivement pour la Cour, lisez , dans Les Amants magnifiques, par exemple, la scè
ple, la scène septième du quatrième acte, entre Sostrate et Eriphile, lisez -la tout haut dans une société non prévenue et dem
de l’honneur qu’on lui fait de produire son ouvrage. Enfin, la pièce lue et acceptée à la condition du comptant ou des deu
étaire de la Comédie-Française. Si, après avoir considéré ce buste et lu cette inscription, vous prenez la rue Saint-Honor
rue Richelieu en allant du Théâtre-Français au boulevard, vous pouvez lire sur la maison n° 34 cette inscription : « Molière
de cinquante et un ans. » Un peu plus loin, sur la maison n° 40, vous lisez  : « Ici s’élevait la maison où Molière, né à Pari
es complètes de La Fontaine, tome V, page XXXIV. 6. Mot difficile à lire . 7. Elle avait quinze ou seize ans. Voyez Le Mol
chaumont avaient fait la satire desprécieuses de Montpellier. On peut lire cette jolie page de leur Voyage, où Molière est d
issu d’injures grossières ramassées de toutes parts. 81. Il faudrait lire  : en 1643. 82. La Troupe du Roman comique dévoi
64 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
raits et je trouve ses comédies si pleines de sens, qu’on devrait les lire comme des instructions aux jeunes gens, pour leur
o, lequel n’aurait été ni plus ni moins que Le Tartuffe. Il suffit de lire l’analyse que donnent de ce scénario les auteurs
65 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [1, p. 33] »
doux, complaisant, généreux. Il aimait fort à haranguer ; et quand il lisait ses pièces aux comédiens, il voulait135 qu’ils y
66 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
respecte peut tirer d’un mot adroitement détourné de son sens. Je ne lis pas une de ces délicates analyses sans me rappele
vrages, je me considérerais comme un grand malotru. Cependant je n’en lis pas que de bons. Mais quoi ! bons ou mauvais, il
? Est-ce qu’il n’a pas ce billet à la main ? Est-ce qu’il ne sait pas lire  ? Est-ce que ce billet ne respire pas la tendress
amme. Ajustez, pour couvrir un manquement de foi, Ce que je m’en vais lire … CÉLIMÈNE Il ne me plaît pas, moi. C’est ici, c’
enhardi à parler de ce grand homme, c’est que je ne me borne pas à le lire , mais que je m’essaie souvent à faire revivre ses
e me reproche encore d’avoir dit qu’Alceste n’est point Molière. Il a lu à l’appui de la thèse contraire la fameuse conver
67 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
Bolaeana, p. 104-105 Racine voulant donner sa Tragédie au public, la lut à Corneille qui lui dit : « Cette Pièce me fait v
s-là même, qu’elle l’honorait du nom de son ami. Comme il achevait de lire ses vers, Ménage* entra. Mademoiselle les fit voi
cette Comédie [La Comtesse d’Escarbagnas], après que M. Thibaudier a lu des vers ; Le Vicomte dit, parlant à la Comtesse.
Tome I, p. 560-561 Boileau racontait que Molière, après lui avoir lu le Misanthrope, lui avait dit : « Vous verrez bie
aissance de la fameuse Ninon de l’Enclos*. Ce grand Comique lui ayant lu sa Comédie du Tartuffe, Ninon admira l’ouvrage et
risies de l’Abbé Roquette. Tome II, p. 205 Molière, après avoir lu le Misanthrope à Boileau, lui dit : « Vous verrez
it ». Tome II, p. 206 « J’avais autrefois, dit Ménage*, entendu lire à Molière trois Actes de son Tartuffe, chez M. de
xplication à Molière, chez qui il demeurait. Molière, après les avoir lus , lui dit qu’il ne les entendait pas non plus ; ma
I, p. 303 « J’avais environ onze ans, dit M. de Voltaire, quand je lus tout seul, pour la première fois, l’Amphitryon de
oux complaisant, et généreux. Il aimait fort à haranguer ;et quand il lisait ses Pièces aux Comédiens, il voulait qu’ils y ame
u genre humain,      Le Campagnard, qui tout admire,      N’ont pas lu tes écrits en vain : Tous deux se sont instruits,
68 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
serais heureux qu’un succès pareil fût réservé à la proposition qu’on lira dans mes deux dernières pages, celle de créer à P
lques doutes sur la solidité de la vertueuse hypothèse qu’on vient de lire . Joignez la commune renommée, qui compte bien aus
aincre tout le monde. Mais que ceux qui s’intéressent à ces questions lisent ou relisent l’article de M. Larroumet : outre le
r obtenir de l’autorité judiciaire des lettres de monition qui furent lues au prône dans toutes les églises de Paris. Le mon
révéler les détails par eux connus. Celui que Lulli avait obtenu fut lu au mois de juillet 1675, et c’est seulement à la
an, celui que Fénelon appelait faux et scandaleux, se souvint d’avoir lu dans Tartuffe : Il est avec le ciel des accomm
st certain qu’il se renferma dans l’étroite observance des réglés que lut traçait le rituel de son diocèse, et que plusieur
nge disparition. Il est toujours de saison, ce sonnet de Coppée où se lisent ces vers : ................................Si vo
s seulement écrites de sa main, Vous seriez honoré par quiconque sait lire  ! Plus d’un lecteur va s’étonner et s’écrier : U
de écurie. Au bas de la page petit in-folio qui contient ce devis se lisent les lignes suivantes : Ce deuis me paroit bien e
tionnaire de Lamet et Fromageau, cité plus haut en note. 19. On peut lire à ce sujet un article de M. Georges Monval dans l
69 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
sa charge de Tapissier du Roi. Dans ces vues, il lui fit apprendre à lire , à écrire, et le mit, tout enfant, à garder la bo
s sérieuses, il composait avec Cyrano de Bergerac des comédies qu’ils lisaient et jouaient ensemble dans les récréations. III
écouta peu les critiques, continua d’étudier Plaute et Térence, et de lire dans son cœur. Hélas ! S’il donnait la comédie au
e la pièce antique, mais de la comédie éternelle du cœur humain qu’il lisait en lui et hors de lui, comédie immense, inépuisab
vaux et des expériences de ceux qui l’avaient précédé dans la vie; il lisait sans cesse, fouillait et furetait partout. Latins
dues, excommunia Molière, dans un mandement fait exprès, et quiconque lirait , entendrait lire ou verrait jouer Tartuffe. Repo
lière, dans un mandement fait exprès, et quiconque lirait, entendrait lire ou verrait jouer Tartuffe. Reportons-nous au tem
France, sur le rôle qu’elle avait à jouer. XVI. Molière n’avait lu de Tartuffe, à ses amis, que jusqu’à l’endroit où
ltait sur ses pièces; il voulut un jour éprouver son bon sens, il lui lut , comme de lui, une comédie de Brécourt ; mais, à
tendît seule. Il faisait venir les enfants de tous ses comédiens ; il lisait Pourceaugnac, le Médecin malgré lui... On riait a
plus tard, écrivait d’Angleterre, où il était en exil : « Je viens de lire le Tartuffe de Molière. Je ne sais comment on a p
70 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
ut-être gagné à se présenter seul, et j’ose même souhaiter qu’il soit lu sans interruption. Je me suis décidé néanmoins à
ans la boutique de son père, il ne savait encore, à quatorze ans, que lire , écrire et compter autant qu’il le fallait pour l
our soutenir les louanges qu’il venait de recevoir, ne voulut plus la lire , et fit entendre à la place le premier acte de la
s infirmités, remplir sa charge de valet-de-chambre-tapissier du roi, lus en fit obtenir la survivance et exercer les fonct
st tout le fondement de leur foi : ils ne peuvent douter de ce qu’ils lisent dans un volume dont il existe peu d’exemplaires ;
lus prompte impression ; et il nous apprit qu’ayant été la veille lui lire son Tartuffe (selon sa coutume de la consulter su
vait point altéré la vivacité et la justesse des impressions.Quand il lisait une pièce aux comédiens, il voulait qu’ils y amen
que tous les conseils de l’expérience et de la maturité. De même, il lisait quelquefois ses comédies à une vieille servante q
et un commentateur de ce poète103 ajoute que Molière, un jour, ayant lu à cette servante, pour éprouver son goût, quelque
é, du vivant de Poquelin, par un hommede la musique du roi, dont j’ai lu quelques méchants vers. Enfin, on voit figurer un
, mort dans la même ville, en 1660. Racine se cachait de Boileau pour lire son Énéide travestie, dont il riait en dépit du g
ur courroucé,vous qui n’êtes qu’un ignorant, et qui ne savez pas même lire . Je ne sais que trop lire, répondit Puimorin,depu
es qu’un ignorant, et qui ne savez pas même lire. Je ne sais que trop lire , répondit Puimorin,depuis que vous faites imprime
Froid, sec, dur, rude auteur, digne objet de satire, De ne savoir pas lires oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n
ires oses-tu me blâmer ? Hélas ! pour mes péchés, je n’ai su que trop lire Depuis que tu fais imprimer. Racine, remarquant
e lecture suffirait pour faire regretter le temps qu’on a perdu à les lire . » Les nouveaux éditeurs de l’ouvrage de Grimare
71 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
elles saisissent et personne en cela n’ose l’imiter… Tous les ans, je lis quelques pièces de Molière, de même que de temps
de Dorine, de Nicole, de Célimène, etc. M. Lewinski s’est avancé et a lu , aux bravos du public, une longue poésie, composé
rand, que chaque fois qu’on le relit on se sent pris d’étonnement. Je lis chaque année quelques-unes de ses pièces, de même
portant chacun une torche. A la lueur de la résine, La Thorillère put lire avec colère ces vers collés par quelque envieux s
ue Richelieu, mais le nº 40. Rien n’est prouvé : et adhuc sub judice lis est . Depuis la visite de M. Burat de Gurgy, je d
’on fête comme des victoires du génie humain. Je sais bien qu’une ode lue tous les ans, par un acteur en habit noir, devant
ls de ses personnages sont Italiens de pied en cap. Il avait beaucoup lu les auteurs de ce pays, il fréquentait, avons-nou
l ne se contentait point d’être courageux la plume à la main. Il faut lire dans un petit volume, plus curieux qu’il n’est gr
ur résolut de le laisser passer et d’attendre. Il attendit un an ; il lisait alors son œuvre, comme en cachette, dans des mais
rable douceur ! Quelle piété ! Quelle bonté fraternelle ! On croirait lire quelque apostrophe sulfureuse d’un Veuillot. Il e
tuffe un des esprits les plus élevés du xviie  siècle : « Je viens de lire le Tartuffe, écrivait Saint-Évremond, c’est le ch
s-dîner, dit l’auteur du Mémorial de Sainte-Hélène, l’Empereur nous a lu le Tartuffe ; mais il n’a pu l’achever, il se sen
ques pièces de vers qui regardaient cet illustre défunt. Plusieurs en lurent haut, et les autres bas. Voici ce qui fut entendu
nt et définitif hommage rendu au poète : Tout homme de plus qui sait lire chez nous est un lecteur pour Molière. Sans dou
l’édition de Paris, 1670. J. Gay et fils (Turin, 1869). 43. Il faut lire , dans Les Amours de Calotin, la conversation entr
DC. XCVII). La vie de Molière qui forme la préface est de Marcel. J’y lis  : « Il s’était joué lui-même sur cette incommodit
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
oire que c’est moi ? Une fille d’honneur doit toujours se défendre De lire les billets qu’un homme lui fait rendre. La curio
r, il prend le parti de feindre. La scene est courte, nous pouvons en lire une partie. ACTE III. Scene VII. VALERE, MASCARI
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397
r est beaucoup plus bruyante, voilà tout. Les vers que nous venons de lire me confirment dans mon idée, & me font croire
amp; qu’il y en a plusieurs pour les montrer différents. « Mais qu’on lise les Poétiques, on n’y trouvera pas un mot de ces
74 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
oup de pinceau, il est impossible d’aller au-delà. Ses comédies, bien lues , pourraient suppléer à l’expérience, non pas parc
e mot de Vadius, qui, après avoir parlé comme un sage sur la manie de lire ses vers, met gravement la main à la poche, en ti
jurer d’avoir de l’amour pour lui, lui dire : Mon pauvre petit cœur, lu le peux si tu veux. Écoute seulement ce soupir am
aites des bons écrivains sont oubliées, et leurs réponses sont encore lues avec fruit. On reprocha sans doute à Molière de d
des Précieuses ridicules, dont la réussite fit connaître à l’auteur lu en aimait la satire et la bagatelle, que le siècl
n ? Il y a plus : Oronte la demandait-il bien sérieusement ? Ceux qui lisent leurs ouvrages au premier venu demandent-ils la v
bien ! c’est justement la question que fait tout homme qui vient vous lire ses vers ; et, pour le dire en passant, je crois
te et plus directe : et quelle comparaison de la prose qu’on vient de lire à des vers tels que ceux-ci ! Oui, mon frère, je
geait les talents naissants. Le grand Racine, alors à son aurore, lui lut une tragédie : Molière ne la trouva pas bonne, et
75 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [31, p. 59-61] »
ite sur la comédie du Misanthrope”, p. 638 et suiv. De fait, le poème lu par Oronte est un spécimen de sonnet facile en oc
76 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [59, p. 96-98] »
[59, p. 96-98] Boileau lut sa deuxième satire adressée à Molière, à quelques
77 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
L’amour n’a pas eu de secrets pour Molière. C’est un livre dont il a lu toutes les pages. Le Dépit amoureux retrace les t
oyable qu’on Se permette de pareilles mutilations. Ceux qui n’ont pas lu la pièce ne peuvent s’en faire une idée. La fille
i faisaient grand bruit, il a voulu montrer qu’une fille sage pouvait lire leurs ouvrages sans en perdre l’esprit, et même e
mmé: il n’y a pas d’autre titre à lui donner effectivement quand on a lu sa prétendue Critique de l’Ecole des Femmes. Voul
de rosières ? Mon Dieu, non !… il commencera par chasser le cerf, par lire Montaigne ou Sénèque, et persévérera bien longtem
mpue de la décadence romaine, et malgré la grâce du style, on ne peut lire sans dégoût les peintures qui nous en ont été lai
ient pour des marques d’une faveur insigne. Dancourt avait coutume de lire ses ouvrages au roi, dans le cabinet même de ce h
les meilleures pièces du monde, elles charment tous ceux à qui je les lis ; mais à peine ont-elles passé dans la bouche des
ussissent sur le papier, je me ferais apporter un fauteuil, et je les lirais moi-même en plein théâtre. M. de la Protase J’ai
lecture ? M. de la Protase Pourquoi non ? Il n’est fait que pour être lu . Nous verrons, nous verrons, messieurs du parterr
s qu’il fait, dit-il, il n’a besoin que du livre du monde : il y sait lire , il le connaît, il pille là-dedans comme tous les
vers, ainsi que ses poèmes lyriques, ne valent guère la peine d’être lus . N’offrant aucune critique de mœurs, ils sont pou
78 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
e, chez ce peuple délicat qui apprend le français principalement pour lire Paul de Kock dans l’original. Je me suis laissé i
pereurs pour se donner d’autres passe-temps que l’innocent plaisir de lire avec les acteurs de Plaute et de Térence. Mais ce
en forme où il prétendait prouver que l’on peut innocemment composer, lire , voir représenter des comédies. Cette dissertatio
’il fasse aucune allusion à la préface du Tartuffe, on voit qu’il l’a lue et qu’il en sent l’impertinence. Ce qu’il dit de
sous prétexte qu’elle se termine ordinairement par le mariage. » J’ai lu , je ne sais où, que Bossuet, dans ses Réflexions
souvent que l’enveloppe d’un conseil délicat à présenter, ne veulent lire dans les discours les plus mâles que des flatteri
icateur. Mon père, dit-il, je vous demande pardon ; permettez-moi de lire la lettre de mon fils. C’était la nouvelle de la
ble, à tant d’égards funeste ; et la brève esquisse que l’on vient de lire suffit pour démontrer la frivolité ou la mauvaise
pprobation donnée par le légat du pape, devant qui la pièce avait été lue  ; on avait l’agrément du roi, celui de M. le Prin
n brin de leur toison ! N’importe ; Tartuffe est leur ennemi. Ils ont lu , voilà le mystère. Grâce à la complicité de toute
Mmede Sévigné parle de Bourdaloue, elle dit : Il tonne. On ne le peut lire , et encore moins sans doute pouvait-on l’entendre
; j’espère laisser à ceux qui m’ont écouté jusqu’ici la volonté de le lire eux-mêmes et tout entier. Les diverses parties en
e il se soucie peu de leurs protestations. En vrai moraliste, il sait lire dans les cœurs ; en vrai chrétien, il ose lire to
rai moraliste, il sait lire dans les cœurs ; en vrai chrétien, il ose lire tout haut. Tournons la page, il va éclairer un re
ère ont répondu à Bourdaloue ? Ils ont dit que Bourdaloue n’avait pas lu le Tartuffe. Bret, ce commentateur dont j’ai déj
nt de littérature, de philosophie et de religion, et qui n’ont jamais lu ni un ancien, ni un théologien, ni un commentaire
re de l’Écriture sainte, ni seulement l’Évangile et le Catéchisme. Il lut avec soin le Misanthrope, parce qu’il n’est point
vès, publiée par les soins de M. F. Lâchât, Paris, 1802. Il suffit de lire ce sermon, tout ébauché qu’il est, pour se convai
er la mémoire du grand hon­nête homme: "On prétend que Molière ayant. lu sa comédie chez une fille célèbre, qui, par un mé
79 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
ent celles de madame de Sévigné. « Le roi prit un grand plaisir à les lire , parce qu’elles contrastaient avec les douceurs f
ec les douceurs fades des autres lettres. » Le Tellier, qui les avait lues avec le roi, dit que le surintendant avait mal à
80 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
z-vous ? Champagne. Donne. Eh ! que voulez-vous ?Il ne veut rien que lire . Laisse faire Monsieur. Laurette. Laisse faire M
amp; même trop souvent. Damis. Soit, écrivons. Frontin lit le billet. Lisons  : un fourbe, fort bien ! un scélérat, un traître,
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
rédicateur. Antoine. Son travail lui laisse-t-il assez de loisir pour lire de pareils livres ? Crispin. Oh ! il faut savoir
, dire des injures aux membres, & sur-tout à son mari ; mais il a lu dans un livre de politique qu’on doit compter jus
82 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
naturelle et nécessaire de notre étude. Une scène que vous avez tous lue , et qui compte parmi les plus ingénieuses composi
ets. Je ne vous souhaite pourtant pas, Messieurs, d’être obligé de le lire  : rien, à vrai dire, n’est plus ennuyeux. Les frè
is. Pendant que Marie faisait ses oraisons et s’occupait dévotement à lire la prophétie d’Isaïe, plusieurs démons, envoyés p
otre sujet. Du temps des Pères de Saint-Acheul, vers 1828, on faisait lire encore dans certains collèges un livre qui peut v
83 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
it trouvé des enthousiastes dans le siecle de Moliere. Il ne faut que lire ce qui nous reste d’Aristophane, pour juger, comm
pour des hommes perdus d’envie, de noirceur, & de débauche. Qu’on lise après cela l’éloge qu’en fait madame Dacier : Jam
eu. On ne peut, sans regretter sensiblement les ouvrages de ce poëte, lire l’éloge qu’en a fait Plutarque, d’accord avec tou
au-dessus de tous ceux qui l’ont précédé, ou qui l’ont suivi ? Qu’on lise le parallele qu’en a fait, avec Terence, l’auteur
rance, doux, complaisant, modeste & généreux. Quand Despréaux lui lut l’endroit de sa seconde satyre, où il dit au vers
iere à n’en revenir jamais. Ce sont par exemple des personnes qui ont lu beaucoup de livres anciens & nouveaux, où ils
84 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
cure1. Elles valent d’être citées ici, comme appendice au texte qu’on lira plus loin : Molière, ayant quitté ses études, fu
omme ennemi du genre humain, Le campagnard qui tout admire, N’ont pas lu tes écrits en vain : Tous deux s’y sont instruits
s, p. 203-204. 18. Sentences sur quelques livres d’auteurs qu’il a lus , p. 69. 19. Anne Le Fèvre, Dissertation sur les
ant un lundi, n’était pas jour de représentation. C’est 12 qu’il faut lire . 204. Lisez 33. 205. Mémoires de La Serre, 1734
, n’était pas jour de représentation. C’est 12 qu’il faut lire. 204. Lisez 33. 205. Mémoires de La Serre, 1734 206. Ballet
dire 1680. 228. Créé par La Thorillière en 1668. 229. En 1671 230. Lisez : infidèles. 231. Représentée en juillet à l’Hôt
85 (1819) Deux pièces inédites de J.-B. P. Molière [La Jalousie du Barbouillé, Le Médecin volant] pp. 1-4
t, dans une lettre à Brossette, sous la date du 12 décembre 1751, ils liront une analyse du Barbouillé, tout à fait conforme à
86 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
dissertations et de la rhétorique à perdre haleine. Enfin, si je veux lire un livre, il me semble que je n’en manque pas ! E
tes un écrivain ? Eh bien ! faites vos preuves dans un livre, on vous lira si on a le temps. Voilà ce qu’ils disent tous, ou
courage et de probité, qui font vivre un journal ! Le public qui sait lire et qui aime les choses bien faites, s’inquiète as
Hier donc, 16 janvier (1665), Molière, la troupe étant réunie, nous a lu cette comédie intitulée Le Festin de Pierre. Dans
iquer, à nos lecteurs, que nous changeons de parabole. Mais avez-vous lu , ami lecteur, cette charmante satire d’Aristophan
mation, comme sort la tempête de l’outre d’Éole, ne sera pas fâché de lire ce chœur d’Aristophane où la venue du communisme
Sinon, non. Un ballet, en effet, n’est pas une comédie que l’on peut lire à tête reposée, étudier dans le livre même, et mé
e directeur malappris n’avait pas voulu représenter la pièce, sans la lire . Alors il arriva que « l’auteur se refusa à une c
rket, il est vrai, consentit très volontiers à jouer la pièce sans la lire , mais une difficulté sur le choix des acteurs obl
t où mène l’ignorance de toutes choses ! — Si M. Bulwer eût seulement lu une seule des tragédies de Racine, il eût appris
On le dirait inspiré ! Ce qui veut dire : — Voilà un moine qui a bien lu les mémoires que se prépare à écrire le duc de Sa
87 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
les gens d’esprit que pour la multitude, et plus propre encore à être lu qu’à être joué. Le théâtre fut désert dès le troi
ain,             Le campagnard qui tout admire,             N’ont pas lu tes écrits en vain, Tous deux se sont instruits,
x, complaisant et généreux ; il aimait fort à haranguer ; et quand il lisait ses pièces aux comédiens, il voulait qu’ils y ame
ence des spectateurs. Ce sont apparemment ces espèces de farces qu’il lisait à sa servante, pour juger, par l’impression qu’el
, nous croyons pouvoir nous dispenser d’en parler. Le lecteur peut la lire en entier dans le cinquième volume des Œuvres de
un sûr moyen de me concilier l’homme dont vous me parlez ; j’irai lui lire ma pièce. Au spectacle où il était assidu, Molièr
d’une des Grâces, dans Psyché, en 1671. b. Molière faisait plus, il lisait ses ouvrages à sa servante ; c’est M. Despréaux q
é plusieurs fois une vieille servante2 qu’il avait chez lui, à qui il lisait , disait-il, quelquefois ses comédies, et il m’ass
quelque scène prît le peuple de spectateurs, comme les autres, il la lisait à sa servante, pour voir si elle en était touchée
ce. « [*]La prose de M. Molière vaut beaucoup mieux que ses vers. Je lisais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois ente
vers. Je lisais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois entendu lire trois actes chez M. de Montmor, où se trouvèrent
88 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
dans la pièce, nous allons le rapporter ici. Après que M. Tibaudier a lu ses vers, le Vicomte dit, parlant à la Comtesse :
-là même qu’elle l’honorait du nom de son ami 1. Comme il achevait de lire ses vers, Ménage entra ; Mademoiselle les fit voi
r davantage son mérite, en faisant naître l’envie de le connaître, de lire ses écrits, et d’aller à ses sermons. Aristophane
est préféré à celui des vieux. « Vous n’étiez point encore en état de lire , lorsque le premier volume du Mercure galant fut
Molière a voulu peindre Ménage sous le nom de Vadius, il ne faut que lire la scène où il fait paraître ce savant ; ses ouvr
89 (1739) Vie de Molière
dans leur boutique, n’ayant rien appris outre son métier, qu’un peu à lire et à écrire. Ses parents obtinrent pour lui la su
oux, complaisant, généreux ; il aimait fort à haranguer ; et quand il lisait ses pièces aux comédiens, il voulait qu’ils y ame
cle de Louis XIV, Molière, La Fontaine, et Corneille, ne doivent être lus qu’avec précaution par rapport au langage. Il fau
les gens d’esprit que pour la multitude, et plus propre encore à être lu , qu’à être joué. Le théâtre fut désert dès le tro
ères fureurs se calmer : il fut un an sans donner Le Tartuffe ; il le lisait seulement dans quelques maisons choisies, où la s
90 (1735) Moliere (Supplément au Grand Dictionnaire historique) « MOLIERE, (Jean-Baptiste Poquelin) poëte comique, etc. » p. 82
res vûes que celles de le voir de leur profession. Il apprit un peu à lire et à écrire, et du reste il ne connut jusqu’à qua
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
ut rendre justice aux ennemis que l’aparté a dans ce siecle : ils ont lu ce qu’ils disent dans de fort gros livres, &
, sans s’en appercevoir ; à moins que l’Auteur ne l’occupe lui-même à lire , à écrire une lettre, ou qu’il ne l’abîme dans un
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
t en tremblant une lettre à Constance, elle la prend en s’imaginant y lire l’arrêt de sa mort.  Que m’offrez-vous ? . . . .
er, veut pousser sa maîtresse à bout, change le texte, & feint de lire ce qui suit : ACTE II. Scene VI. Juliette lit.
93 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
amp; qu’on veut bien instruire, Devroit savoir jouer avant que savoir lire . Géronte. Monsieur le professeur, avecque vos rai
érir cette science, savoir pénétrer dans les replis de l’ame, & y lire quels sont les vices, les défauts, quelquefois le
94 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
ndispensables et indique sommairement le sujet. Cet argument était-il lu ou récité avant la représentation ? Cela est très
pièce. Elle est fondée surtout sur un tour que joue le capitan, qui a lu une lettre que Pantalon envoyait à Venise, et dan
95 (1884) Tartuffe pp. 2-78
t subsiste encore, tout le monde veut avoir Molière pour le lui faire lire . Il le lit chez Montmor, un gassendiste ; il le l
ère, comme Panurge en Papimanie. Croira-t-on que, dans la pièce qu’il lisait chez Ninon, il n’y eut pas un grain d’audace de p
lit pas Pascal, était livré aux risées par Molière, que tout le monde lira  ! C’était lui que Molière montrait « par l’exempl
le fit-il connaître au roi ? Je considère comme probable qu’il lui en lut au moins la fin ; et cela expliquerait la permiss
ère ne serait pas ce Molière que lit chaque Français de plus qui sait lire . C’est son œuvre caractéristique, sa gloire insép
96 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
reuva de toutes les humiliations et de tous les dégoûts. Qui pourrait lire aujourd’hui une méchante pièce en un acte et en v
qui font métier de dévotion. À la prière de Louis XIV, le légat avait lu attentivement la comédie du Tartuffe, et ce préla
’ils éprouvent. Les observateurs qui aiment à comparer les époques ne liront pas sans profit, et peut-être les nouveaux tartuf
placet au roi ? Qu’on rapproche en effet les passages qu’on vient de lire des expressions mêmes du poète comique : « Votre
s et les hypocrites de tous les temps. » Certes, il faut n’avoir pas lu l’ouvrage français pour y trouver le rapport même
minutieux ; et si Bourdaloue a écrit de bonne foi, il n’a certes pas lu l’ouvrage dont il fait une si injuste censure. Le
97 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
t comme conclusion des études biographiques sur Molière que l’on a pu lire ici2. I Et, d’abord, Molière était-il grand
euse et une antipathie de métier. Il visitait assidûment Molière, lui lisait ses ouvrages, lui donnait et en recevait d’utiles
ate qui dure « six bons mois » ne pouvaient être une exception. Qu’on lise , au quatrième acte du Bourgeois gentilhomme, le m
ir ses mots. Admettons qu’un ou deux traits du passage qu’on vient de lire soient grossis par maladresse, mais tenons l’ense
se rattache, du reste, à ses rôles bouffons, très en dehors ; il faut lire , dans Élomire hypocondre, la description de la ma
acée dans la salle. Avant d’afficher une pièce nouvelle, il allait la lire dans des cercles choisis, comme Tartuffe chez Nin
98 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
e de Maintenon, j’ai commencé par mettre en oubli tout ce que j’avais lu ou entendu sur son compte, les histoires de La Be
t dans l’état de pauvreté auquel elle était réduite. Elle lui faisait lire Plutarque. Mais ce n’était pas assez pour cette â
99 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
er dans son appartement : mais avant que d’entrer, il va, dit-il, lui lire un conte intitulé Heureusement, & sort pour l
ui prêter le sopha couleur de rose, & lui demandoit si elle avoit lu le Polybe de Folard. Il lui tardoit d’être au pri
z, avec ses mérites détaillés, ses noms & demeure. Comus.   Je le lirai . Criquet. Je reviendrai demain matin savoir quel
100 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
t leur compte, et si vous avez les deux dilettantismes, après l’avoir lu au coin du feu, vous goûterez un égal plaisir à l
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