montrait point encore. Madame de Sévigné écrivait à sa fille, dans sa
lettre
du 1er de l’an : « On ne voit point encore ces pr
, mais personne ne l’a vu. On voit un peu madame Scarron. » Dans une
lettre
du 5, elle dit : « On a vu sourdement M. le duc d
cette espèce d’adoption d’un genre nouveau. Il paraît résulter de ces
lettres
, que les enfants habitaient encore la maison de P
ant, le 25 mai 1674, madame Scarron écrivait de la cour à Gobelin une
lettre
qui demande un peu d’attention pour être entendue
rveilles ; la duchesse et moi nous le voyons tous les jours. » Cette
lettre
est un exemple de ces entretiens où madame de Mai
a cour, et y trouva du contentement. Elle s’en exprime ainsi dans une
lettre
du 15 juin, à son frère : « La vie que l’on mène
fr. fait par le roi à la gouvernante. On en apprend le motif dans une
lettre
qu’elle adressa à la comtesse de Saint-Géran ; le
motif dans une lettre qu’elle adressa à la comtesse de Saint-Géran ;
lettre
malheureusement sans date dans toutes les édition
Géran ; lettre malheureusement sans date dans toutes les éditions des
lettres
de Maintenon. « Vous voulez savoir, madame, ce qu
lui. Je ne suis pas deux jours de suite dans la même situation. » La
lettre
finit par des plaintes sur l’assujettissement, su
propre mouvement, que se rapportent les plaintes contenues dans deux
lettres
sans date, adressées par madame Scarron, l’une à
l’une à l’abbé Gobelin, l’autre à la comtesse de Saint-Géran. Dans sa
lettre
à Gobelin, elle dit : « Il se passe ici des chose
à Villers-Cotterets ; on m’a donné 400 louis pour mes habits. » Ces
lettres
sont postérieures à l’établissement des enfants à
malhonnête homme et fort gueux 102. « Ce mariage », dit-elle dans une
lettre
du 14 juillet, à Gobelin, « ne s’achèvera pas… J’
espan, que celle-ci d’être séparée de madame Scarron. Et dans la même
lettre
, où elle parle de ce mariage projeté, elle dit à
e Montespan sur tout ce qui regarde mes affaires essentielles. » Une
lettre
, datée de Versailles, le 6 août, au même abbé Gob
mécontentement. C’est là ce que supposent les premières lignes de la
lettre
du 6 août. Ce qui suit s’accorde avec l’interprét
l’air d’une déférence ou d’une concession, était au fond un défi. Une
lettre
écrite de Versailles, à Gobelin, sans date, lui a
mais on ne les suit, et toujours on s’en repent. » On voit par cette
lettre
que le nouveau don de 100 000 francs est encore d
e mademoiselle de Nantes. Madame Scarron la décrit elle-même dans une
lettre
à Gobelin, du 8 décembre. « M. le duc du Maine a
ter avec la nouvelle propriétaire. Une phrase est remarquable dans la
lettre
du 10 novembre, par laquelle elle mande à son frè
mbre, par laquelle elle mande à son frère l’achat de Maintenon. Cette
lettre
respire le contentement, et la confiance dans la
a commencé à voir les enfants et la gouvernante à la cour. 99. Cette
lettre
du 25 mai est évidemment mal placée parmi celles
ouvent amenés à Versailles et où ils étaient près d’y demeurer. Cette
lettre
est certainement écrite de la cour, cela résulte
. Bourdaloue prêcha le carême de 1674. Ce fut le premier. 100. Cette
lettre
et la suivante sont datées de 1676 dans l’édition
re et la suivante sont datées de 1676 dans l’édition de Nancy. 101.
Lettres
, édition de 1778, t. I, p. 100. 102. Les comment
s citent le duc de Villars. 103. Elle le remercie plus bas, dans une
lettre
, du soin qu’il prend de ses affaires et de l’exac
dame de Sévigné décrit cette maison, longtemps impénétrable, dans une
lettre
du 4 décembre 1673. « Elle était située, dit-elle
ion. Ce sera encore madame de Sévigné qui nous fera connaître, par sa
lettre
du 26 décembre 1672 à madame de Grignan, le mystè
mortel, sans exception, n’a commerce avec elle. J’ai reçu une de ses
lettres
; mais je me garde bien de m’en vanter, de peur d
672, que se place, par toutes les circonstances qu’elle renferme, une
lettre
, sans date, de madame Scarron à madame de Saint-G
me, une lettre, sans date, de madame Scarron à madame de Saint-Géran,
lettre
qui, jusqu’à présent, n’a été, que je sache, l’ob
u à des conjectures et à des propos injurieux pour elle. Voyons cette
lettre
en entier : c’est au lecteur qu’il appartient d’e
procédé. » Les observations qui se présentent à la lecture de cette
lettre
ne sont pas indifférentes. D’abord, elle est cert
de Montespan en avait déjà de l’inquiétude et en marquait au roi. La
lettre
qu’on vient de lire chargeait madame de Saint-Gér
iscrétion de ses propos. Il paraît que l’abbé Testu s’excusa dans une
lettre
à madame Scarron. Elle lui répondit la lettre sui
Testu s’excusa dans une lettre à madame Scarron. Elle lui répondit la
lettre
suivante, le 15 novembre : « Ne vous alarmez pas
le soupçonnât pas d’avoir eu part aux mauvais propos, faisait dans sa
lettre
des remontrances sur l’inutilité d’une réforme. L
ait dans sa lettre des remontrances sur l’inutilité d’une réforme. La
lettre
du 15 novembre, en réponse, est ironique dans que
ils soupçons ? elle touche légèrement mais avec dignité l’objet de sa
lettre
a madame de Saint-Géran. Quand elle dit de Gobeli
rise avec madame d’Albret. J’ai vu madame d’Albret, dit-elle dans sa
lettre
de 1669 à Gobelin, je l’ai révoltée par mon silen
par mon silence le plus qui m’a été possible. Mais revenons sur la
lettre
à madame de Saint-Géran. Il en résulte que quand
ersfort au frère de madame Scarron. Le 19, elle écrit à d’Aubigné une
lettre
qui respire la reconnaissance, l’amour pour le ro
tout le monde. Nous connaissons très bien ce comte de Grignan par les
lettres
de madame de Sévigné à sa fille. C’était un homme
t poète (que Chapelain), et, de plus, plat prédicateur, mais homme de
lettres
et aimable dans la société. Il blâme Boileau de
en vers et en prose. Cette collection renferme, en grande partie, des
lettres
qui lui ont été écrites par des dames. « Il les p
l’austère vérité de Montausier, quand il s’y est établi. On a peu de
lettres
de madame de Sévigné antérieures à 1661. Les anci
mencent même qu’à 1661. On doit aux recherches de M. de Monmerqué les
lettres
qui ont précédé ; et celles-ci nous apprennent qu
, les plus piquantes, les plus variées, les plus charmantes. Dans les
lettres
publiées on voit un peu trop peut-être la mère de
ssimuler qu’il y règne au fond un peu de monotonie. Au contraire, les
lettres
qui nous manquent nous montreraient madame de Sév
ttentive et vigilante sur elle-même. Qui ne serait charmé de voir les
lettres
qu’elle écrivait étant encore mademoiselle de Cha
ter les soins dignes de sa reconnaissance ? Quelles devaient être ses
lettres
à son cousin le comte de Bussy-Rabutin, qui avait
t pour vous, si vous les laissiez faire. » Quelles devaient être les
lettres
de madame de Sévigné au surintendant Fouquet, lor
des preuves des délits qui lui étaient imputés. On n’y trouva une des
lettres
d’amour, parmi lesquelles étaient celles de madam
lire, parce qu’elles contrastaient avec les douceurs fades des autres
lettres
. » Le Tellier, qui les avait lues avec le roi, di
e, elle se plut à rassembler chez elle des hommes distingués dans les
lettres
, du nombre desquels était La Fontaine, que son go
ut surpasser la force d’une telle raison. »Madame de Sévigné date des
lettres
à sa fille, tantôt de chez M. de La Rochefoucauld
Madeleine et de Georges de Scudéry son mari, âgée de 19 à 29 ans. Ses
lettres
au comte de Bussy-Rabutin la placent entre les ta
ti. 39. M. de Bouillon. 40. M. de Turenne. 41. M. de Fouquet. 42.
Lettre
de Bussy-Rabutin à mademoiselle de Sévigné, du 16
mademoiselle de Sévigné, du 16 (ou 14) juin 1644 (ou plutôt 1654). —
Lettre
de mademoiselle de Sévigné à Bussy-Rabutin, du 17
lement la mort de Molière qui marqua un terme à la protection que les
lettres
donnaient à la société licencieuse contre la soci
ur avoir commerce avec elle, cela n’est pas aisé. » La suite de cette
lettre
prouve que madame de Coulanges était instruite de
i aimable ni de si assorti que votre esprit et votre personne. »Cette
lettre
est rapportée ici pour montrer l’union et la conf
madame de Montespan bien motivée par la faveur de la gouvernante. Une
lettre
que madame Scarron écrit à son frère, de Tournay,
, parce que je suis eu faveur auprès du roi. Il est constant, par une
lettre
de madame de Sévigné à sa fille, du 7 août 1675,
avec madame de Montespan et le roi. Leur amitié est attestée par une
lettre
de madame Scarron à madame de Saint-Géran, et par
adultère : en décembre, furent données et vérifiées, au parlement des
lettres
de légitimation au duc du Maine, âgé de moins de
furent, en conséquence, qualifiés de princes. Plus tard en 1680, des
lettres
patentes ordonnèrent qu’ils porteraient le nom de
me de petite condition, précieuse et pédante. Remarquez enfin dans la
lettre
de madame de Coulanges le mot qui commence la phr
garder ! 95. Je lis dans la notice d’Auger sur madame d’Heudicourt. (
Lettres
de Maint., t. I, p. 14) : « La marquise d’Heudico
tes chargé que pour me le remettre. Le Masque remet en tremblant une
lettre
à Constance, elle la prend en s’imaginant y lire
mort. Que m’offrez-vous ? . . . . . . . . . . . . . . . . C’est une
lettre
. Vous tremblez... Je frémis... On ne veut plus me
lle tire son mouchoir, & laisse en même temps tomber un paquet de
lettres
. Durval croit tenir des témoins convaincants de l
ands cris son beau-pere, son ami, toute la maison, leur distribue les
lettres
: il se trouve enfin qu’elles sont de lui, &
s Arlequin Valet étourdi, piece Italienne, on charge Arlequin de deux
lettres
; l’une est pour Rosaura, l’autre pour Leonora. C
ent nécessaire qu’Arlequin ne fasse pas une méprise, on lui donne une
lettre
à chaque main, & on lui dit : celle qui est d
n demi-tour à droite sans y songer, répete ce qu’on lui a dit : cette
lettre
qui est du côté de Leonora est pour Leonora ; cel
qui est du côté de Rosaura est pour Rosaura. Il va remettre les deux
lettres
, &, graces à son demi-tour & à sa balourd
il la croit encore à marier, il en devient amoureux, & écrit une
lettre
fort tendre, qui, étant adressée à Mademoiselle C
tout ce qui peut s’espérer au monde. Vous avez écrit, on a reçu votre
lettre
. Voilà qui commence dès ce moment à être forcé.
commence dès ce moment à être forcé. Toute personne qui aura reçu une
lettre
d’une autre, ne lui dira point, parlant à elle-mê
lui dira point, parlant à elle-même, vous avez écrit, on a reçu votre
lettre
. Elle dira naturellement, vous m’avez écrit, j’ai
e lettre. Elle dira naturellement, vous m’avez écrit, j’ai reçu votre
lettre
. Mais sans cet on il n’y auroit plus de piece. Co
& par le naturel avec lequel elle est filée. Sainville écrit une
lettre
fort tendre à Angélique, qui, croyant avoir des r
poir. Vous me rendrez raison d’un procédé si noir. Sainville lit la
lettre
comme il l’a écrite, & la méprise cesse. On v
ame de Maintenon fortifia son amie, sont des fables démenties par une
lettre
de madame de Maintenon à Gobelin, au moment que l
ai en chrétienne et en véritable amie de madame de Montespan. » Cette
lettre
, qui n’est point expressément datée, porte sa dat
voyage, elle écrit, le 20 mai, du Petit-Niort, à l’abbé Gobelin, une
lettre
dans laquelle se trouve un passage remarquable :
même des absents. Et vous aussi, vous m’abandonnez ! Je ne reçois de
lettres
que d’un seul homme, et si l’on continue, on me p
nt alternativement, et la considération est sans bornes. » Une autre
lettre
, du 3 juillet, porte : « Ah ! que l’autorité et
e par les pas qu’elle fait faire112. « Madame de Richelieu a reçu des
lettres
du roi si excessivement tendres et obligeantes, q
r objet l’histoire de la société d’élite, de faire remarquer dans ces
lettres
de madame de Sévigné, des 28 juin et 3 juillet, l
un logement pour madame de Montespan. » Madame de Sévigné, dans une
lettre
du 24 juillet, raconte à sa fille l’arrivée du ro
un peu jalouse ; mais tout le monde est content. » La suite de cette
lettre
se rapporte à la situation de mesdames de Montesp
n à l’égard l’une de l’autre. Elle dévoile le dessous de carte que la
lettre
du 24 juillet indique mystérieusement. Ce dessous
à la mère » ; et qui a bien d’autres torts. Nous avons parlé de cette
lettre
sous la date de 1673, parce qu’elle s’applique à
e prétentions d’un côté, de griefs de l’autre… « Ce secret, ajoute la
lettre
, roule sous terre depuis plus de six mois. Il se
aux habitudes de ce prince, pour qui le plaisir était un besoin. Une
lettre
que madame de Maintenon écrit à Gobelin, de Versa
paraît si difficile que de demeurer dans l’état où je suis. » Cette
lettre
est l’expression d’une mélancolie profonde. Elle
c le duc du Maine ; madame de Montespan à sa campagne. L’absence, les
lettres
, raniment l’amour du roi pour sa maîtresse. Il lu
encement du mois de mai. 110. Madame de Sévigné fait, dans une autre
lettre
à sa fille, du 7 août, la description du jardin d
madame de Maintenon dont le public ignorait encore les divisions. Une
lettre
subséquente nous apprendra que la vérité qui étai
ous. » Quelques jours après (le 19 avril), on voit dans une nouvelle
lettre
à madame de Saint-Géran, que madame de Maintenon
i se passa entre eux, en parle ainsi à madame de Saint-Géran dans une
lettre
du 4 mai : « Le roi eut hier une conversation fo
ges, faisait la cour à madame de Grammont ; ce qui est le sujet d’une
lettre
plaisante de madame de Sévigné à sa fille, en dat
geante. » On a quelques espérances de guérison ; mais on lit dans une
lettre
de madame de Sévigné, du 14 juillet suivant : « V
tenon de ce refroidissement. Madame de Sévigné nous apprend, dans une
lettre
du 5 juin, que « le roi la console de cette disgr
tion, sans chicane et sans contrainte ; il en paraît charmé. » Cette
lettre
du 21 juin renferme tout le secret de la faveur d
quarante-cinq ans ; et cette circonstance fixe la date inconnue d’une
lettre
à madame de Frontenac, rapportée dans tous les re
lettre à madame de Frontenac, rapportée dans tous les recueils. Cette
lettre
est en réponse aux félicitations de la comtesse.
Le 24 août, madame de Maintenon écrivait à madame de Saint-Géran une
lettre
remarquable, dont ses détracteurs ont tiré une co
étracteurs ont tiré une conséquence offensante pour sa mémoire. Cette
lettre
disait entre autres choses : « Le roi commence à
inances et presque jamais à la religion. » On a pu conclure de cette
lettre
que l’expulsion des protestants, opérée en 1683,
cuser ici celle qu’ils ont déclarée irréprochable ? Qui ne connaît la
lettre
qu’elle écrivît à son frère dont le zèle pour les
aintenon écrit à ce sujet à Gobelin, le 2 juin, de Saint-Germain, une
lettre
où se trouvent de légères traces de son secret am
re de toutes les lois et la plus suivie. Madame nous apprend dans ses
lettres
originales que « le roi, malgré ses intrigues, co
Maintenon. « Je sais », dit celle-ci à madame de Saint-Géran, dans sa
lettre
du 18 novembre, « je sais qu’elle a dit au roi qu
a société polie, des hommes de cour et hommes du monde, des hommes de
lettres
et des hommes d’église qui en faisaient partie. L
et faire envie à tout le monde civilisé. 133. Second supplément des
lettres
de Bussy-Rabutin. 134. Lettres de madame de Sévi
ivilisé. 133. Second supplément des lettres de Bussy-Rabutin. 134.
Lettres
de madame de Sévigné du 20 mars et du 6 avril. 1
n. 134. Lettres de madame de Sévigné du 20 mars et du 6 avril. 135.
Lettre
de madame de Sévigné du 28 février. 136. Charama
mour. » (Genlis, t. II, p. 93). 138. T. XIII, p. 111 et suiv. 139.
Lettres
de Madame, t. I, p. 84. 140. Lettres, p. 151. 1
T. XIII, p. 111 et suiv. 139. Lettres de Madame, t. I, p. 84. 140.
Lettres
, p. 151. 141. Lettres, p. 175. 142. C’est une
v. 139. Lettres de Madame, t. I, p. 84. 140. Lettres, p. 151. 141.
Lettres
, p. 175. 142. C’est une fausse vue de considére
dente lui dit que Don Garcie sera moins jaloux dès qu’il aura reçu la
lettre
où Dona Elvire l’assure de la préférence qu’elle
ne sera pas jaloux : le Prince le jure. Dans le moment on apporte une
lettre
à Elvire : Don Garcie se trouble, la jalousie le
e le tourmente ; la Princesse a pitié de ses maux, & lui remet la
lettre
. Don Garcie feint de ne pas vouloir la lire : il
a lire : il proteste qu’il n’est point jaloux : il ne lit, dit-il, la
lettre
que pour obéir à Dona Elvire, & voit qu’elle
s’il a raison de laisser éclater sa jalousie. Il lit la moitié d’une
lettre
écrite de la main d’Elvire. Elle est conçue en ce
Ne vous obstinez point à. . . . Il croit voir dans cette partie de
lettre
les raisons les mieux fondées pour crier à la per
hes : elle appelle sa confidente, lui demande ce qu’elle a fait d’une
lettre
qu’elle lui avoit confiée. La confidente répond q
t. Il se plaint à son tour de ce que Délia n’a pas fait réponse à une
lettre
qu’il lui a écrite : Délia lui répond qu’elle n’a
à sa peine, a bien voulu faire réponse pour elle. Délia ajoute que la
lettre
n’est point partie, n’ayant pu trouver une commod
’écrie : Oh trop aimable Delmire ! Arlequin s’avance, se jette sur la
lettre
, veut l’arracher des mains de Florente, & n’e
lazzis, qu’il a trouvé une manchette d’homme chez Delmire, & une
lettre
. Le Prince fait beaucoup de réflexions sur la per
ée dans l’appartement de la Princesse : il prend la manchette avec la
lettre
, & lit : « L’amour que tu m’as juré, mon ch
nnoît l’écriture de Delmire. Il demande à Arlequin de qui il tient la
lettre
. Celui-ci répond qu’elle étoit dans les mains de
secret, & le renvoie : il est tranquille sur un article ; mais la
lettre
l’inquiete toujours. Il la montre à la Princesse
jours. Il la montre à la Princesse ; elle avoue qu’elle a écrit cette
lettre
, qu’elle est pleine de tendresse, qu’elle est pou
te. Delmire demande à Florente & à Délia ce qu’ils ont fait d’une
lettre
qu’elle a écrite : ils répondent qu’ils n’en ont
es congédie. La Princesse prie le Roi de joindre les deux morceaux de
lettre
. Il lit : L’amour que tu m’as juré, mon cher Flo
e de ma tendresse : j’espere que je te soulagerai en t’envoyant cette
lettre
, avec laquelle je voudrois que tu reçusses un cœu
pas. Il brûle de lire ce que son amante écrit. Il voit au haut de la
lettre
, ma chere ame ; sa jalousie se réveille. La Princ
jalousie se réveille. La Princesse s’apperçoit qu’il est là, finit la
lettre
, & feint d’être surprise en voyant Don Rodrig
e Perriquito. Florente annonce qu’il est chargé d’envoyer à Bélise la
lettre
de Delmire. Thérese s’avance, lâche quelques tête
Delmire. Thérese s’avance, lâche quelques tête-bleu, veut prendre la
lettre
. Bélise se fait connoître, prie Florente de dire
l décent & vraisemblable que Don Lope s’avise de vouloir lire une
lettre
qu’il trouve chez la confidente de la Princesse,
se veut bien prendre cette peine pour elle ; & la moitié de cette
lettre
, en tombant dans les mains du Prince, réveille se
ousie : mais faisant réflexion qu’il n’est pas prudent de laisser des
lettres
tendres entre les mains d’un homme, elle se déter
e le Prince. A merveille, Moliere ! Comme après avoir lu ta piece, la
lettre
italienne doit nous paroître gauchement amenée !
r être sa compagne. Remarquons que ces nouvelles recrues en hommes de
lettres
et en hommes du monde ne déprécient pas plus que
lui attribue. Ici je dois remarquer que l’accueil fait aux hommes de
lettres
par la marquise de Rambouillet ajouta sensiblemen
nsiblement à la noblesse de leur condition. Depuis la renaissance des
lettres
, sous Louis XII (non sous François Ier), ils étai
. Dans la société de l’hôtel de Rambouillet, au contraire, l’homme de
lettres
était dégagé de ses liens personnels ; il n’était
me précédemment les grands l’avaient été de choisir entre les gens de
lettres
. Les grands s’étonnèrent un moment de cette égali
ie était toute sédentaire ; son amusement dessiner ou de peindre. Une
lettre
que lui adressa Voiture, sous le nom de Callot, f
à mon lecteur en parlant d’une chose si adorable. » On voit par les
lettres
de Voiture que la marquise de Rambouillet et Juli
autorise à penser qu’elles parlaient de même. Dans sa trente-sixième
lettre
, en 1633, il dit à la mère : « Je devrais craindr
voir dit quelquefois, vous êtes plus propre à écrire un cartel qu’une
lettre
. » Mais n’anticipons pas. Nous verrons dans la pé
er. » (Journal du règne de Henri IV, t. IV, p. 99.) On voit dans une
lettre
de Malherbe, du 17 juillet 1615, de quelle famili
ire Les Visionnaires de Desmarets. Voyez une note de Monmerqué sur la
lettre
589 de Sévigné, t. VI, p. 133. La pièce des Visio
enon et elle. — La duchesse de Richelieu nommée dame d’honneur. Une
lettre
de madame de Maintenon à madame de Saint-Géran, s
œur du roi accessible. Une autre circonstance est remarquable dans la
lettre
de madame Scarron, c’est cet empressement de la c
e Scarron qui a soupé avec nous. Elle dit que de tous les millions de
lettres
que madame de Richelieu a reçues, celle de M. de
dame de Montgon. (Souvenirs de Caylus, p. 87.) 84. La date de cette
lettre
est importante à fixer, parce que madame de Caylu
suivant elle, en 1676, et suivant d’autres en 1673. La date de cette
lettre
est indiquée par les détails qu’elle renferme. i
nce générale d’en voir les circonstances. 4° La rupture dont parle la
lettre
est de peu de jours antérieure à cette lettre, pu
a rupture dont parle la lettre est de peu de jours antérieure à cette
lettre
, puisqu’au moment où madame Scarron l’écrit, mada
ère fureur, qu’elle est renfermée depuis deux jours. La rupture et la
lettre
qui l’annonce paraissent donc être de la fin d’av
es grands appartements. Le roi continue ses passades. On lit dans une
lettre
de madame de Sévigné, du 21 juillet, la mésaventu
igue du roi avec madame de Soubise inquiéta madame de Montespan : une
lettre
de madame de Sévigné nous apprend le 7 août que m
ure. Il paraît que ces moyens ne firent aucun effet : le 14 une autre
lettre
de madame de Sévigné dit que madame de Montespan
t laide terre. Sa faveur était extrême, dit madame de Sévigné dans sa
lettre
du 26. L’ami de Quanto (le roi) en parlait comme
r y devait aller, peut-être même avec madame de Montespan. » Dans sa
lettre
du 2 septembre, après le retour de Maintenon, mad
dans le mois de septembre : il lui avait écrit, avant d’expirer, une
lettre
pleine d’estime et d’affection. Le roi savait la
mme une femme de dix-huit. « Quanto », dit madame de Sévigné dans une
lettre
du 11 novembre, « dansa aux derniers bals toutes
lusions de la parure, et se plaisait à y ajouter sa magnificence. Une
lettre
de madame de Sévigné, du 6 novembre, raconte avec
bouillet, à la marquise sa mère, au marquis de Pisani son frère : ses
lettres
sont l’opposé, quand elles s’adressent à des préc
ite a d’autres. On peut juger de ces leçons et de sa docilité par une
lettre
adressée au nom de mademoiselle de Rambouillet au
s ! Veymar demande du renfort. Le corbeau de Voiture est mort… » Les
lettres
des dernières années de Voiture sont incomparable
une de celles qu’il écrit à Costar24, une critique du style précieux,
lettre
qui est fort remarquable sous sa plume. Il attaqu
parmi les beaux esprits. 21. Bassompierre. 22. T. Ier, p. 38. 23.
Lettres
112, 113, 114. 24. Lettre 125. 25. Lettre 151.
1. Bassompierre. 22. T. Ier, p. 38. 23. Lettres 112, 113, 114. 24.
Lettre
125. 25. Lettre 151.
22. T. Ier, p. 38. 23. Lettres 112, 113, 114. 24. Lettre 125. 25.
Lettre
151.
été de Rambouillet dans son premier éclat, à qui Voiture écrivait des
lettres
si flatteuses en 1638, qui le traitait, malgré se
des vices et des ridicules64. Cependant, on voit par une multitude de
lettres
adressées par le duc de La Rochefoucauld à madame
e qu’elles s’écrivaient d’une chambre à l’autre. Si on trouvait leurs
lettres
, on en tirerait de grands avantages… On apprendra
e a été mise en usage. On n’écrivait que les contrats de mariage ; de
lettres
, on n’en entendait pas parler. » Vers 1665, paru
. Madame de Sévigné l’appelait la tourterelle Sablière 66. Dans une
lettre
du 4 août 1677 à madame de Grignan, elle rapporte
eule cause du délaissement de madame de La Sablière. On voit dans une
lettre
de La Fontaine à mademoiselle Champmeslé, de 1678
poli, durant l’intervalle de 1660 à 1770. Madame de Sévigné, dans sa
lettre
du 6 janvier 1671, rappelle à sa fille une conver
rs 1608 et morte en 1678. Segrais la fait naître en 1602. D’après une
lettre
de Voiture, dont la date est incertaine, mais qui
st-à-dire en 1583. 65. Mémoires de Mademoiselle, t. VI, p. 69. 66.
Lettre
du 19 août 1676. 67. Fable ire du liv. X : Les
la Tortue et le Rat. À madame de La Sablière. (Publiée en 1678.) 69.
Lettre
587.
grand roi a été animé d’intentions excellentes à l’égard des gens de
lettres
, si surtout on veut parler de l’influence qu’il a
xtasier2. Le plus grand service que le roi ait rendu à Molière et aux
lettres
consiste en réalité à n’avoir défendu que pendant
seurs passionnés, ce sont des hommes ; plus tard, on aura des gens de
lettres
et des académiciens. C’est que, bien qu’on en pui
l serait sage d’examiner comment elle s’est établie. Tous les gens de
lettres
ne sont pas absolument désintéressés : n’est-il p
té des princes ? Pour devenir un Auguste aux yeux de quelques gens de
lettres
, de tout temps le procédé a été bien simple : il
jour, que, le premier, Louis XIV eut le mérite de dérober les gens de
lettres
à la protection humiliante des grands seigneurs,
ns que ce roi, de peu généreuse mémoire, pensionnait déjà des gens de
lettres
: exemple suivi par sa veuve devenue régente5. Ma
ente5. Mais ce fut Richelieu surtout qui se montra envers les gens de
lettres
d’une libéralité inconnue jusqu’alors. Sans doute
usqu’alors. Sans doute il encourageait beaucoup plus efficacement les
lettres
en leur donnant conscience de leur valeur par sa
oit Ménage, il avait fait dresser un rôle de toutes les personnes de
lettres
8, auxquelles il voulait étendre ses libéralités
rgé par ce ministre de faire dresser par Costar une liste des gens de
lettres
; il n’eut qu’à faire revivre ce projet et à le f
il fit dresser, par Costar et par Chapelain, deux listes des gens de
lettres
auxquels on pourrait accorder des pensions. De ce
ut réduite à 2,000. En vain le pauvre Mézeray déclara-t-il, dans deux
lettres
d’une rare platitude, qu’il était prêt à passer
i-siècle, qui n’ait été à proportion beaucoup plus libéral envers les
lettres
que le grand roi. Les gouvernemens seraient moins
n apprécie particulièrement. D’ailleurs, depuis le XVIIIe siècle, les
lettres
sont émancipées et n’ont plus besoin de protectio
mieux. Il existe aujourd’hui une puissance courtisée par les gens de
lettres
, plus courtisée que ne l’a jamais été Louis XIV :
n d’autres avantages sur Louis XIV et tous les autres protecteurs des
lettres
, quand ce ne serait que de permettre, d’aimer mêm
ront bien aisément. En considérant ces destinées nouvelles faites aux
lettres
par la révolution, nous ne pensons pas qu’il y ai
nous examinions ici les rapports qui s’établirent entre les hommes de
lettres
et la société polie, lorsque ses progrès et les p
ve un mot que l’on ne trouvera pas une fois dans les douze volumes de
lettres
, pourtant très familières, de madame de Sévigné12
ture de Voltaire ; et sur quoi se fondait cette conjecture ? sur deux
lettres
de madame de Sévigné où elle met en parallèle Cor
en parallèle Corneille avec Racine, et peut-être encore sur une autre
lettre
où elle s’exprime peu favorablement sur la nomina
ce d’historiographes de France en 1675. Il est vrai que dans ces deux
lettres
madame de Sévigné marque une préférence décidée p
omme son chef-d’œuvre, ni Phèdre, ni Athalie ; Voltaire a lu ces deux
lettres
et n’a probablement pas lu toutes celles où madam
et comme elle peignait la tendresse ! Quand on a lu avec intérêt les
lettres
de madame de Sévigné, on peut concevoir que quelq
mpression. Ce mot, La Harpe la jugé sévère contre l’auteur de tant de
lettres
charmantes, et à ce sujet il a mis en avant que l
le. Quant à la manière dont madame de Sévigné s’est exprimée dans une
lettre
confidentielle à son cousin sur la nomination de
ais parce qu’ils avaient l’habitude de louer et de flatter ce prince (
lettre
617). « Le roi », dit-elle ailleurs, « méritait d
Frédéric132. Madame de Sévigné cite fréquemment La Fontaine dans ses
lettres
à sa fille ; dans ses épanchements maternels elle
ils se trouvaient ensemble aux lectures de celui-ci. On voit dans une
lettre
de madame de Sévigné du 9 mars 1672, à sa fille,
it-elle, est une fort plaisante chose. Elle parle aussi dans la même
lettre
d’une lecture que Boileau doit faire chez ce même
a notice de M. de Monmerqué sur madame de Sévigné, p. 132, t. Ier des
lettres
. 132. Une nymphe disait au roi qui représentait
. Flaminia, de sa fenêtre, appelle Arlequin et le prie de porter une
lettre
à un cavalier nommé Flavio qu’il rencontrera sur
place où se donnent rendez-vous les gentilshommes. Arlequin reçoit la
lettre
et promet de la remettre à celui à qui elle est a
ne V. Le docteur Gratiano, mari de Flaminia, voyant Arlequin qui, une
lettre
à la main, contemple la fenêtre de sa femme, conç
des soupçons, et lui demande ce qu’il cherche là et de qui est cette
lettre
. Arlequin répond qu’un nommé Flavio la lui a donn
Flavio la lui a donnée pour remettre à une dame. Le docteur prend la
lettre
et frappe Arlequin avec sa canne. scènes VI à X.
Arlequin. Flavio se présente. Gratiano, tout en colère, lui remet la
lettre
. Flavio la reçoit avec une profonde humilité15. R
vio la reçoit avec une profonde humilité15. Resté seul, Flavio lit la
lettre
, dans laquelle Flaminia le prie instamment de ne
tio répond qu’il est prêt. Le capitaine dit alors qu’il va écrire une
lettre
de rémission qu’il lui remettra pour le cas où il
mi Flavio l’histoire malheureuse du portrait, Arlequin lui apporte la
lettre
de rémission du capitaine. Oratio l’accueille à c
» Une médaille fut frappée à son effigie avec son nom suivi des deux
lettres
C. G. (Comica Gelosa), et ayant au revers une ren
le, après le départ de madame de Montespan, sont décrits dans la même
lettre
de madame de Sévigné. « L’amie (madame de Mainten
me de Sévigné nous étale les hommages dont elle est l’objet, dans une
lettre
du 17 mai : « Madame de Montespan est à Bourbon,
marquer la sincérité de son reproche. On s’en convaincra en lisant sa
lettre
37e, sans date, à Gobelin : « Vous traitez trop s
e demi-conversion. Vous voyez bien qu’il y a du vrai dans les petites
lettres
. Le P. de La Chaise est un honnête homme ; mais l
e grands chagrins », ne tarda pas à se réaliser. Elle lui écrivit une
lettre
sans date autre que celle de 1676 ; mais qui est
is qui est certainement du mois de juillet, comme on le verra par une
lettre
suivante qui est explicative de celle-ci. « Ce j
adame de Montespan ne peut me permettre de parler contre elle. » Une
lettre
explicative de celle qu’on vient de lire, et qui
s ait fait craindre un changement d’idée. » (Cette phrase suppose une
lettre
intermédiaire d’un ton moins triste que la précéd
es, je sèche à vue d’œil, et j’ai des vapeurs mélancoliques. » Cette
lettre
fournit matière à réflexion. Madame de Maintenon
, ou d’hypocrisie, qu’avaient présentés ces prédications. 119. Cette
lettre
se rapporte à celle du 27 juin 1676. 120. Histo
, refuse un rendez-vous que Lucile lui fait donner, & déchire une
lettre
qu’elle lui envoie. D’un autre côté le valet de V
s se mettent sous les armes. Le domestique dit à Flaminio qu’il a une
lettre
à lui remettre. Flaminio ordonne à Arlequin de la
p; son rival heureux. Ils apperçoivent Arlequin qui porte à Silvio la
lettre
de Diane ; ils la lui enlevent. Flaminio y lit qu
Flaminio ; elle en cherche en vain la cause : elle se souvient de la
lettre
qu’elle a écrite à Silvio : elle appelle Arlequin
. Arlequin lui répete les lazzis qu’on lui a faits en lui enlevant la
lettre
. Diane & Colombine n’y comprennent rien : ell
usie à l’amante, qu’il croit infidelle. Il a pour cet effet écrit une
lettre
à Béatrix ; il veut en charger Arlequin, qui refu
bine qui ont observé tout ce qui s’est passé, viennent lui enlever la
lettre
de Flaminio. Dans le temps qu’elles la lisent, Fl
Lucindo en présence l’un de l’autre : enfin, le véritable montre des
lettres
qui justifient ce qu’il est. On menace Arlequin.
différer le mariage. On a encore vu que Flaminio, ayant enlevé cette
lettre
à Arlequin, devient jaloux, feint de s’attacher à
t que je ne voie avec peine votre ingratitude. J’ai dans mes mains la
lettre
que vous avez écrite à Silvio. Le voilà, ce témoi
ilvio. Le voilà, ce témoin de votre trahison. Diana. J’ai écrit cette
lettre
, il est vrai ; mais... Flaminio, l’interrompant.
mon service : C’est une fausseté digne de ce supplice. (Il déchire la
lettre
.) Lucile lit. « J’ignore le destin de mon ardeur
ai7. Voilà qui m’assuroit à jamais de vos feux : Et la main & la
lettre
ont menti toutes deux. (Elle déchire la lettre.)
: Et la main & la lettre ont menti toutes deux. (Elle déchire la
lettre
.) Gros René. Poussez. Eraste. Poussez.Elle est d
que par ses soins infatigables & sa complaisance pour les gens de
Lettres
, a su s’en procurer un exemplaire à la vente des
en leur présence. Violette, sa soubrette, fait le même sacrifice des
lettres
qu’Arlequin & Scaramouche lui ont écrites, &a
ui ont écrites, & les brûle devant eux. Tout cela ne vaut pas les
lettres
d’un amant chéri & d’une maîtresse adorée, dé
du Maine. Elle vivait fort mal avec madame de Montespan, qui, par les
lettres
qu’elle écrivait au roi, réussissait toujours à r
ous écrirai le jour que M. du Maine et moi partirons, etc. » La même
lettre
, dans l’édition de Nancy, renferme ces mots : « N
Majesté lui accordera son congé fort librement122. » On voit par les
lettres
de madame de Sévigné que le roi, après avoir disg
que la petite reprendra son train ordinaire chez Madame. » Une autre
lettre
du 15 juin nous apprend que Jo a été à la messe d
jours chez elle. C’est ce que nous apprend madame de Sévigné dans une
lettre
du 15 octobre. Il n’est pas difficile de deviner
ésentement. Mais tout est si peu stable, qu’avant que vous ayez cette
lettre
, il y aura eu des nuages et des rayons de soleil.
sur tout autre sujet que l’ordre et l’économie d’une maison. Plus de
lettres
à madame de Saint-Géran, sa confidente et son ami
e lettres à madame de Saint-Géran, sa confidente et son amie. Plus de
lettres
à Gobelin, son directeur ; du moins on n’en trouv
ages de détails. Ces détails ont été remplacés par des points dans la
lettre
imprimée. On peut y supposer un peu d’exaltation,
qu’on trouve, dans le peu de lignes que les dévotes dépositaires des
lettres
de madame de Maintenon y ont laissées, une expres
ravail n’a pas été de petite difficulté. Nous avons deux éditions des
lettres
de Maintenon, l’une de 1756, l’autre de 1806. Dan
e grande partie de ces différences consiste en ce qu’une multitude de
lettres
sans date dans le manuscrit sont diversement plac
u’elles interprètent tout différemment. Ce n’est pas tout : plusieurs
lettres
sont décomposées, et les retranchements qu’on leu
es retranchements qu’on leur a fait subir forment des additions à des
lettres
d’un autre temps, qui se rapportent à de faits d’
n ; qu’ils ont composé leur biographie avant d’avoir assez étudié les
lettres
pour les mettre à leur véritable place, et qu’ens
les mettre à leur véritable place, et qu’ensuite ils ont arrangé les
lettres
dans l’ordre qui s’accordait avec leur compositio
ordait avec leur composition, au lieu de composer d’après l’ordre des
lettres
bien vérifié. Si, par la méthode que j’ai suivie,
à une grande épreuve en conférant les unes avec les autres toutes les
lettres
des deux éditions, les dates et le texte de chacu
it de Nantes. 76. En 1706, madame de Maintenon écrivait à son frère,
lettre
CXVI de l’édition de Nancy : « Je n’ai pu voir sa
d ; Scapin lui dit hardiment qu’il parle à lui-même. Le Turc remet la
lettre
d’avis & le pouvoir qu’on lui a donné pour ac
c à l’aller joindre, &, après s’être déguisé, va lui-même avec la
lettre
d’avis retirer Turqueta, au moment où Gélio vient
s la copie. L’aventure du Turc, qui vient tout naturellement avec une
lettre
d’avis retirer sa sœur d’esclavage, qui s’adresse
ageoit de retourner à Chartres retrouver sa belle-sœur avec un mot de
lettre
qu’il lui donneroit, dans laquelle il mit la rais
ui fut possible de l’affliction qui lui étoit arrivée. Il donna cette
lettre
au filou, avec de l’argent pour faire son voyage,
lque orfévrerie. Afin de venir à bout de ce dessein, il fit faire une
lettre
au nom de la femme de Charles d’Estampes, lui don
onner ordre à leurs affaires, lui faisant des excuses de ce que cette
lettre
n’étoit pas écrite de sa main. Avec cette lettre
uses de ce que cette lettre n’étoit pas écrite de sa main. Avec cette
lettre
il arrive à Chartres ; il la présente à Philippe
mp; que dans deux jours il l’iroit trouver, & lui donna un mot de
lettre
. Mais le filou, qui ne s’endormit point la nuit,
dès le lendemain de grand matin, il part, feignant d’aller porter la
lettre
. On ne s’apperçut point si promptement de cette b
, laissant deux enfants, dont il est plusieurs fois question dans les
lettres
de Sévigné. Cette mort acheva ce qui restait de l
a rendre glorieuse. Le roi croyait que la duchesse avait fabriqué une
lettre
fausse au nom du roi d’Espagne, pour informer la
fusée à solliciter des faveurs pour eux, ils composèrent ensemble une
lettre
en espagnol, par laquelle le roi d’Espagne était
ine de France de l’infidélité du roi. Le comte de Guiche glissa cette
lettre
dans le lit de la reine, où elle fut trouvée par
fondé. « Cette calomnie, dit le président Hénault, en parlant de la
lettre
glissée dans le lit de la reine, fit perdre au ma
e rien. » Madame de Sévigné250 dit à peu-près la même chose dans ses
lettres
: lettre cinq, tome 6. « Comment ! J’ai donc fai
Madame de Sévigné250 dit à peu-près la même chose dans ses lettres :
lettre
cinq, tome 6. « Comment ! J’ai donc fait un serm
de la prose ». La comédie de Molière fut représentée en 1670, et la
lettre
est de 1681. 250. Sévigné, Marie de Rabutin-Ch
Mmede Grignan, vivant en Provence et dont elle déplore l’absence. Ces
Lettres
, dont l’apparente spontanéité est un effet de l’a
ntriguées par une chose inanimée, celles, par exemple, auxquelles une
lettre
, un ou plusieurs portraits, servent de fondement.
e reçoit par la petite poste dans un paquet avec dix louis, & une
lettre
anonyme. Il ne sait pas lire, & prie Scapin d
a copie, parcequ’elle est aussi vilaine que l’original. On déchire la
lettre
. Arlequin, quoique très piqué, plaisante sur l’hu
es injures qu’on lui a écrites ; Argentine ramasse les morceaux de la
lettre
, prouve qu’elle est très tendre, & se découvr
ser Aurora. Je ne citerai aucun exemple des pieces intriguées par une
lettre
; tout le monde sait qu’un Auteur pourroit sans p
inet rendit de la représentation du Bourgeois gentilhomme à Chambord.
Lettre
en vers, du 18 octobre 1670. Les deux Maje
omme on sait, dans leur noble emploi Pour divertir notre grand roi.
Lettre
en vers de Robinet, du 15 novembre 1670. J
lhomme, Lequel est un sujet follet, De comédie et de ballet. Dans la
lettre
suivante du 22 novembre, Robinet, après avoir ann
LVESTRE. De votre oncle. OCTAVE. À qui mon père les a mandées par une
lettre
? SILVESTRE. Par une lettre. OCTAVE. Et cet oncle
AVE. À qui mon père les a mandées par une lettre ? SILVESTRE. Par une
lettre
. OCTAVE. Et cet oncle, dis-tu, sait toutes nos af
e singulière qu’il donna en 1652. Voici le détail que Loret en donne.
Lettre
en vers du 9 novembre 1652. De Monsieur, u
n incident mieux combiné et plus raisonnable que n’est celui des deux
lettres
supposées qu’Ariste apporte au cinquième acte ; l
t une querelle de l’auteur, il y a environ huit ans, avec un homme de
lettres
, qu’on prétend être représenté par M. Trissotina,
ndon et d’obscuritéb… Quelle révolution dans la fortune d’un homme de
lettres
! il avait été loué par des écrivains illustres :
ux premiers, n’en est pas plus vraisemblablec. » Boursault, dans une
lettre
à l’évêque de Langres, rapporte un fait sur la co
ugements sur ses ouvrages. [*]. [Note marginale] Voyez ci-dessous la
lettre
de Robinet du 18 octobre. a. Robinet, dans sa l
ci-dessous la lettre de Robinet du 18 octobre. a. Robinet, dans sa
lettre
du 22 novembre, annonce la première représentatio
e Molière, avec des jugements sur ses ouvrages. a. Par la date de la
lettre
de Robinet, on voit que le mardi était le 14 octo
sait-on, était sec, peu intéressant, et ne convenait qu’à des gens de
lettres
. “Que m’importe, s’écriait M. le marquis …, de vo
[*]. [Note marginale] Mémoires pour servir à l’histoire des gens de
lettres
, par le P. Nicéron, t. XXIV, p. 225 et 226. a.
Carpenteriana, p. 48. [*]. [Note marginale] Mercure galant, tome I,
lettre
du 12 mars 1672. a. Ici ce n’est plus Ménage et
démie. a. « [*]M. Bayle agite une assez plaisante question dans ses
Lettres
, ou Questions au provincial (il fallait dire : Ré
chesse de Rohan. [*]. [Note marginale] Mercure galant, tome premier,
lettre
du 19 mars 1672. 1. [Note marginale] Voyez ci-de
inale] Voyez ci-dessus le passage de De Visé, Mercure galant, tome I,
lettre
du 12 mars 1672. 2. [Note marginale] In-12, 1666
urs le premier de tous les poètes comiques. » [*]. [Note marginale]
Lettres
de Boursault, tome I, p. 219 et 120, édition de P
ours, personne ne parut s’apercevoir de la perte que la patrie et les
lettres
venaient de faire. Le public ne fut, pour ainsi d
équivoques honteuses, dégoûtantes806 ; — Bossuet, en lisant une telle
lettre
en tête de telles œuvres, sentit ranimée toute so
erreur dans la critique acerbe que F. Génin a cru devoir faire de la
Lettre
au P. Caffaro, qui devint bientôt les Maximes et
170, note 1 ; p. 176, note 2 ; p. 185, note 3, et 186, note 2. 805.
Lettre
d’un Homme d’érudition et de mérite consulté par
digne du style. J’aurais honte de multiplier les citations. 807. La
Lettre
au P. Caffaro, théatin, est du 9 mai 1694, et le
st du 9 mai 1694, et le P. Caffaro répondit aussitôt en désavouant la
Lettre
d’un Homme d’érudition, pour laquelle il n’a sans
note 3. 811. F. Génin, Vie de Molière, chap. IX. 812. Fénelon,
Lettre
à l’Académie française, VII. — Bayle avait dit av
’avec une faiblesse inexcusable de la part d’un ami de Molière et des
lettres
(Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, l
le. 814. Voltaire, Siècle de Louis XIV, XXXII. 815. J.-J. Rousseau,
Lettre
à d’Alembert sur les Spectacles. 816. Laharpe,
re La Fontaine, qui dès 1661, dit de Molière : « C’est mon homme ! » (
Lettre
à M. de Maucroix du 22 août 1661) ; Bussy-Rabutin
et peut-être le siècle suivant n’en verra-t-il pas un de sa façon » (
Lettre
au P. Rapin du 24 février 1673) ; le P. Bouhours,
is en lui disant qu’il ne sait rien. On apporte à Dupuis un paquet de
lettres
, il en trouve une cruellement ambrée, elle étoit
ais qu’il est un étourdi, qu’il n’est pas libre ce jour-là, montre la
lettre
de la Comtesse : Desronais est anéanti ; Mariane
donne. Le pere, autant embarrassé qu’il l’étoit avant d’avoir reçu la
lettre
, dit que Desronais sera l’époux de sa fille, mais
clater toute la pureté de son amour. Acte III. Desronais a écrit une
lettre
à la Comtesse pour rompre avec elle : il la fait
se pour rompre avec elle : il la fait voir à Mariane. Mariane lit la
lettre
, veut faire adoucir quelques expressions, & f
présente la ville de Mansfield.) Richard, fils du Meûnier, lit cette
lettre
. « Mon cher Richard, je suis convaincue, quoique
les séductions m’ont portée à vous croire perfide. Il avoit forgé les
lettres
que je vous envoie, pour me persuader que vous ét
paroître un témoin irrévocable. Peggy se montre, fait voir au Roi les
lettres
que Milord lui a écrites pour la séduire, & l
les rideaux de son lit à la fenêtre : elle prie Lucas de remettre une
lettre
à Richard, & sort. Lucas, surpris de s’être l
lui demander justice contre le Marquis de Concini. Lucas lui donne la
lettre
d’Agathe, elle est pleine de tendresse & de p
hevalier, a du goût pour la Dame : elle s’en apperçoit, lui écrit une
lettre
fort tendre, & lui donne un rendez-vous, en l
rtout lorsqu’il la menace de publier son aventure & de montrer sa
lettre
, si elle ne consent au mariage du Chevalier avec
ambouillet que celles-ci : « Les esprits doux, et amateurs des belles
lettres
, ne trouvent jamais leur compte à la campagne26.
rsations intimes. Les œuvres de Balzac me l’ont appris. Trois longues
lettres
de cet écrivain qui lui sont adressées, comme sui
naître que tout ce qui aurait pu être écrit sur son compte. Ces trois
lettres
, fort étendues et que l’auteur a intitulées Disco
ses Causes de la grandeur et de la décadence des Romains. La seconde
lettre
de Balzac est intitulée : Suite d’un entretien de
illet et Voiture eurent plusieurs conversations, et s’écrivirent deux
lettres
assez longues sur le mot car, dont plusieurs memb
ent la suppression et la radiation dans le Dictionnaire. Et bien, ces
lettres
judicieuses et spirituelles ont sauvé un mot néce
de Dumaurier, citée dans le Ducatiana, ire partie, p. 103. 27. Ces
lettres
ne sont point datées dans les nombreuses éditions
ssurément départi de cette règle commode, mais trop absolue, pour les
Lettres
au Mercure, que la mort ne lui a pas permis de ré
verrons ce qu’il faut penser de cette attribution, comme de celle des
Lettres
elles-mêmes à Melle Poisson. Disons tout d’abord
d’abord qu’on a trop longtemps exagéré la valeur documentaire de ces
Lettres
, complaisamment citées comme une source, alors qu
terait souvent une note plus étendue que le texte même. La première,
Lettre
de M** sur la vie et les ouvrages de Molière, occ
x. On voit que ce M**pourrait s’appeler « M. Tout-le-Monde ». Cette
lettre
a été reproduite en partie dans le Choix des Merc
p. 65-83). C’est bien de l’honneur qu’on lui a fait là. La seconde
lettre
, publiée par le Mercure de mai 1738 (p. 826 à 836
le nom nous amène à parler de la troisième et de la quatrième de nos
Lettres
, insérées au Mercure de mai et de juin 1740 ? C’
de mai et de juin 1740 ? C’est en effet à Mlle Poisson que ces deux
lettres
ont été jusqu’ici attribuées, non-seulement par M
ou l’inspiratrice de ces lignes célèbres. Mais qu’elle ait écrit les
Lettres
au Mercure, où il n’est question ni de son père D
son sujet, c’est qu’il me semble en vérité le principal auteur de nos
Lettres
au Mercure, et qu’il me permet de conclure, en ré
ures de leurs mouvemens naturels. » De là à lui attribuer les deux
lettres
de 1740, dont l’une reproduit ce passage, il y a
omme on voit. D’ailleurs, les frères Parfaict citent souvent ces deux
lettres
, sans les attribuer à Mlle Poisson, qui avait alo
, jusqu’à nouvel ordre et preuve du contraire, nous considérerons ces
Lettres
comme l’œuvre de Boucher d’Argis, ou plutôt comme
beaucoup d’ordre et d’esprit critique. G. M.-Monval, moliériste.
LETTRE
DE M** SUR LA VIE ET LES OUVRAGES DE MOLIERE (AOU
n à montrer aux gens. » « Voilà, dit M. Bayle, dans la République des
lettres
, avril 168417, les désordres dont les comédies de
e nommoit Jean ; Il croyait avoir fait Hercule et Soliman 130 .
Lettre
sur la vie et les ouvrages de Molière et sur les
ri en Allemagne ; vous trouverez peut-être bien des minuties dans ces
Lettres
mais je ne vous promets pas autre chose. A l’égar
oyez le Mercure de janvier 1725 et celui d’octobre 1726.) Deuxième
lettre
sur la vie et les ouvrages de moliere et sur les
4 par le Misanthrope. 5. Le mardi 21 (voir l’acte d’inhumation et la
lettre
à l’abbé Boyvin, tome XIV de cette collection).
la langue françoise, chap. IV. 17. Nouvelles de la République des
lettres
, p. 203-204. 18. Sentences sur quelques livres
ur la première fois en 1677, Cologne. 55. Mercure galant, 1673. 56.
Lettre
du comte de Limoges à Bussy-Rabutin, 1673. 57. P
. Voir la suite de cette revue des œuvres de Molière dans la deuxième
lettre
, p. 71. 149. Ce portrait serait dû à Poisson, fi
Il écrit en même temps à toutes les deux : elles se communiquent ses
lettres
, & promettent de se venger du fat en feignant
ses de deux de ses amis ; qu’il leur écrit ; qu’elles se montrent les
lettres
; qu’elles veulent punir l’original par un feint
Angélique à répondre au billet doux de Mondor, & lui dicte cette
lettre
. Scene V. DORIMENE, ANGÉLIQUE. . . . . . . .
sseurs voient sans peine que si Angélique avoit tout uniment écrit sa
lettre
, sans se la faire dicter par Dorimene, & sur-
put toutefois empêcher que l’épithete de tendre ne fût supprimée. La
lettre
finissoit ainsi : « Conservez-vous pour Lucile. »
céder un nouvel ordre de choses dans l’état, dans les mœurs, dans les
lettres
. En 1661, Louis XIV, délivré du cardinal Mazarin,
ent qu’elles n’auraient pas eu en lui ? Il en est des talents dans es
lettres
comme des professions manuelles : la division en
ts accès d’anarchie. Revenons à l’état historique de la langue et des
lettres
à la fin de la 6e période du xviie siècle. La Br
ebuté par Molière, est aujourd’hui vulgaire. On voit dans la première
lettre
de Balzac à la marquise de Rambouillet, qu’il a l
de Louis XIV a effectivement commencé. Il existait un grand nombre de
lettres
de Sévigné, modèles de style épistolaire ; on en
hysique, la méthode de Descartes ; En didactique et en polémique, les
Lettres
provinciales ; En critique, plusieurs bons écrits
e aux Italiens ; &, pour appuyer leur sentiment, elles citent une
lettre
manuscrite de M. de Tralage, qui se trouve à la B
te de M. de Tralage, qui se trouve à la Bibliotheque de S. Victor. La
lettre
est conçue en ces termes : Lettre de M. de Trala
à la Bibliotheque de S. Victor. La lettre est conçue en ces termes :
Lettre
de M. de Tralage au sujet du Misanthrope. « Le
térêt de déguiser la vérité ». Les MM. Parfait, qui rapportent cette
lettre
, ajoutent : « Ce discours d’Angelo est si fort é
Lettre
écrite à Mr de ** sur le livre intitulé, la Vie d
oublier la suite des Pièces de Molière, qui occupent plus les Gens de
lettres
, que des faits peu intéressants. Dans une espèce
nous passons de la Vie de bien d’autres personnes illustres dans les
Lettres
; nous nous serions aussi bien passés de la sienn
tice sans prévention, et je ne prétends point, quand il verrait cette
Lettre
, m’attirer son mépris. Je suis sûr que s’il voula
sais qu’une personne, qui a assez bonne réputation parmi les Gens de
Lettres
, fut un jour demander à Roselis un semblable cons
nt m’attirer les traits d’un Auteur en colère, je vous prie que cette
Lettre
soit de vous à moi ; car s’il en a connaissance,
me maltraitait par une Réponse ; et nous pourrions donner aux Gens de
lettres
des Scènes qui tourneraient à notre confusion. Je
Approbation. J’ai lu par ordre de Monseigneur le Chancelier, cette
Lettre
écrite à M. de *** sur le Livre intitulé, la Vie
Éducation des Femmes. S’il manque quelque chose à la gloire de nos
lettres
sous Louis XIV, c’est d’avoir peint naturellement
s et lettrés qui les entouraient, un amour de la science, un soin des
lettres
, un purisme de langage, qui n’étaient certes qu’u
y, Mme de La Fayette et Mme de Sévigné. Là, vraiment, l’esprit et les
lettres
étaient à leur place ; « et là, en 1659, on appla
ettes, les femmes se mirent en tête d’être savantes, non-seulement en
lettres
, mais en philosophie, en astronomie, en médecine.
le juste mesure son esprit peut, doit s’appliquer aux sciences et aux
lettres
. Il mit sous les yeux la maison gouvernée par les
on peu d’esprit, et forcé enfin de protester contre la science et les
lettres
par cette immortelle boutade qui est dans la mémo
de son origine et de ses droits ; en sorte qu’après la lecture de la
lettre
d’Agnès, il n’est personne qui ne dise avec Horac
I. Voir aussi le Ménagiana, 1715, tome II, p. 65. — Il résulte de la
Lettre
de Loret du 6 décembre 1659 que les Précieuses cu
ce apprend à Clairville que d’Orval veut partir : d’Orval suppose des
lettres
qui l’obligent de se mettre vîte en route : Clair
n maître le trouble au point qu’il alloit oublier de lui remettre une
lettre
, il la lui donne. D’Orval lit la lettre qui cont
oublier de lui remettre une lettre, il la lui donne. D’Orval lit la
lettre
qui contient une déclaration en forme de Rosalie.
surprise de voir fuir d’Orval : au moment qu’elle arrive elle voit la
lettre
qu’il écrivoit, elle y lit ces mots : « Je vous a
n moyen de calmer les chagrins de d’Orval : elle donne à son frere la
lettre
qu’elle a trouvée sur la table : elle laisse les
airville : il appelle Charles : Charles paroît, d’Orval lui donne une
lettre
& lui dit : A Paris chez mon Banquier. Acte
tre dans la poche de Lélio par Arlequin : ce même portrait, & une
lettre
de Lélio qui est perdue par Arlequin, causent une
lette : il demande si Cidalise n’a pas envoyé ; Pasquin lui remet une
lettre
de cette dame & une montre. Moncade. Tu n’as
e. Moncade. Tu n’as qu’à la mettre là. Pasquin. Ne lisez-vous pas la
lettre
? Moncade. Non, je sais tout ce qu’il y a dedans.
II, le laquais d’Araminte apporte une agraffe de pierreries & une
lettre
. le Laquais. Voilà ce que Madame vous envoie : f
Dans la scene IX, le laquais de Cidalise vient dire qu’il apporte une
lettre
& une montre ; Moncade, pour toute réponse, l
ce. Qu’on place le baiser de Crispin à côté de l’interprétation de la
lettre
, on le trouvera aussi forcé qu’impertinent : qu’o
destiné pour Accante, voit venir Champagne son valet : elle cache la
lettre
, mais de façon à la laisser entrevoir ; puis feig
e qu’Accante la méprise à l’excès, puisqu’il fait si peu de cas de sa
lettre
. Isabelle se repent de l’avoir écrite. Laurette s
. . On rit des petites mines que fait Laurette en cachant à demi sa
lettre
, en tâchant de la faire appercevoir, en se défend
ilence, mon orgueil : réussissons avant. Frontin emploie cette même
lettre
pour faire croire à M. Argante que son fils lui a
. . . . . . Apportez tout ce qu’il faut pour écrire & former une
lettre
; une aiguille, de la cire, des tablettes & d
de vous tenir bien sur vos gardes contre ce coquin-là, &c. » La
lettre
que Chrisale fait écrire ne sert à rien dans la p
qu’on veut épouser, ou à parvenir à lui parler ou à lui remettre une
lettre
. Nos comiques ont, me dira-t-on, varié les déguis
urs tiennent de nos voisins : il a été toléré dans la renaissance des
Lettres
en France, mais il feroit certainement siffler au
t de l’homme qui a blessé Silvio, fouille dans ses poches, trouve une
lettre
de Rosaura, se confirme dans l’idée qu’il arrête
azzis très peu nobles : on l’interroge, il nie tout. On lui montre la
lettre
de Rosaura, il ne sait pas lire. On le confronte
ils pourraient, qu’on n’écrirait plus aux groupes de province que des
lettres
sans suscription et sans signature, qu’on ne donn
tablie en la ville de Caen, appellee l’Hermitage, et un Extrait d’une
lettre
du 25 mai 4060, contenant la relation des extrava
e, leur méthode ; le vrai nom de la Compagnie était imprimé en toutes
lettres
; on affirmait qu’elle n’était « autorisée ni par
on, de travailler avec plus d’ardeur que jamais à examiner toutes les
lettres
des provinces qu’elle avait reçues au sujet des d
: « cette congrégation du Saint-Sacrement, » — il la nomme en toutes
lettres
, — « qui ne fait jamais ses réunions au même endr
cette ville et partout ailleurs, sans l’expresse permission du Roi et
lettres
patentes vérifiées, comme aussi de tenir aucunes
t, pour l’histoire générale, d’éclaircir. II. Les « libertins » de
lettres
et la compagnie du Saint-Sacrement Molière, Don J
ns : « le monde était déchaîné contre les dévots. » Chez les gens de
lettres
, en revanche, ce « déchaînement »est historiqueme
n tout cas, de probable, c’est que sa dupe en faisait partie. Une des
lettres
, étudiées ici même39, de la Compagnie du Saint-Sa
e qui aboutit, en 1666, à sa disparition, l’effort des « libertins de
lettres
» contribua, sans nul doute, aidé par l’impatienc
suiv. ; A. Lefranc, Revue des Cours et Conférences, 1906-1907. 10.
Lettres
choisies, éd. de Rotterdam de 1723, t. II, p. 123
0. Lettres choisies, éd. de Rotterdam de 1723, t. II, p. 123. Cf. la
lettre
du 19 octobre 1660. 11. Guy Patin assure même qu
º 212 V6 et 213). 14. Voyez la Compagnie secrète du Saint-Sacremenl.
Lettres
du groupe parisien au groupe marseillais, Paris.
Chrétien intérieur. 39. Voyez la Revue du 15 août 1908. — C’est la
lettre
du 31 octobre 1042. Voyez la Compagnie secrète du
; et si je n’en avais vu depuis peu les marques dans cette admirable
lettre
qu’il a écrite sur ce sujet, et qui ne fait pas l
, maintenant que mon nom est assuré de passer jusqu’à elle dans cette
lettre
incomparable, il me serait honteux qu’il y passât
latins de Tite-Live et de Sénèque d’où ces sujets sont tirés ; et une
lettre
de M. de Balzac, imprimée dans la seconde partie
et une lettre de M. de Balzac, imprimée dans la seconde partie de ses
Lettres
choisies, livre III, lettre IX, qui contient l’él
, imprimée dans la seconde partie de ses Lettres choisies, livre III,
lettre
IX, qui contient l’éloge de la dernière de ces tr
e, la pupille donne à son amant une boîte d’or, dans laquelle est une
lettre
qu’elle vient de lui écrire ; elle fait accroire
a fenêtre, et lui persuade encore de reporter lui-même la boîte et la
lettre
sans la lire. Pour éviter les répétitions, car no
œurs pucelles, Grandes d’esprits, et de corps belles, À tous qui ces
lettres
verront, Ceux qui sauront lire liront. Devant Nou
Molière ; Lycas, suivant d’Iphitas, le sieur Prévot. Loret, dans la
lettre
dont nous venons de rapporter un passage, au suje
e ce récit de Grimarest est assez conforme à celui de Robinet dans sa
lettre
en vers ; car voici ce qu’il dit de cette petite
s sa lettre en vers ; car voici ce qu’il dit de cette petite troupe :
Lettre
en vers de Robinet, du 22 février 1666. Ce
obtint pour trois jours s’étendit plus loin ; car on trouve dans deux
lettres
de Robinet, de cette même année, deux passages où
article par les deux passages de Robinet dont nous venons de parler.
Lettre
du 6 mai 1666. Vous aurez pour tout dire e
répondit encore au prétendu Rochemont. Cette réponse est intitulée :
Lettre
sur les Observations d’une comédie du sieur de Mo
re , Paris, in-12, Gabriel Quinet, 1665, avec permission. « [*]Cette
lettre
mériterait d’être imprimée en entier. Elle justif
reuve, page 22 : À quoi songiez-vous, Molière, (dit l’auteur de cette
Lettre
) quand vous fîtes dessein de jouer les Tartuffes
e qui lui a fait mettre la main à la plume. » Robinet parle de cette
lettre
, et en même temps il fait l’éloge de son auteur.
arle de cette lettre, et en même temps il fait l’éloge de son auteur.
Lettre
en vers du 8 août 1665. Partisans du Festi
247 et suiv. [*]. [Note marginale] Œuvres mêlées de M. de Voltaire,
Lettre
sur la comédie anglaise. *. [Note marginale] La
ouvrages de Molière. a. « [*]Il fut compris dans l’état des gens de
lettres
qui eurent part aux libéralités du roi en 1663 pa
a. Dans le Mercure de France du mois de février 1722, on trouve une
lettre
(de l’abbé Pellegrin) où, après avoir annoncé la
dont il fait si judicieusement sentir le défaut ; mais l’auteur de la
lettre
croit que Molière a eu tort de ne s’en être pas s
d’Élide fut jouée le 9. 1. [Note marginale] Loret avait dans la même
lettre
parlé de la tragédie d’Othon. *. [Note marginale
iècle, et encore au-delà, l’autorité d’un code dans la république des
lettres
. Aristote détrôné, j’ai moi-même323 fait, je l’av
nous avions tous perdu notre liberté de penser sous la tyrannie d’une
lettre
morte. Me voilà confessé, donc absous, et je n’ai
d Odry et Vernet lui font admirer M. Scribe, si vous lisez les bonnes
lettres
naïves qu’il écrivit alors à sa femme et à ses en
levée en France ? ne put se retenir d’écrire à la reine Élisabeth une
lettre
où elle tournait en ridicule, au risque de précip
ltant mépris avec lequel Clitandre, homme de cour, traite les gens de
lettres
, ces « gredins qui, pour être imprimés et reliés
Neuvième réflexion critique sur Longin. 332. Voltaire, Dix-huitième
lettre
sur les Anglais. Correspondance avec La Harpe. 3
aison de dire que Shakespeare n’était qu’un vilain singe. » Voltaire,
Lettre
à l’Académie française. Correspondance avec La Ha
respondance avec La Harpe. 336. Voltaire, Du théâtre anglais. 337.
Lettre
à l’Académie française. 338. Lettre à l’Académi
ire, Du théâtre anglais. 337. Lettre à l’Académie française. 338.
Lettre
à l’Académie française. 339. Ibid. et Du théâtr
is. 341. Dictionnaire philosophique ; article Art dramatique. 342.
Lettre
de Voltaire à La Harpe, citée dans le Journal des
23 avril 1865. 343. Voltaire fait cette remarque, à propos de Dante.
Lettres
chinoises, indiennes et tartares. 344. Voltaire,
s de Dante. Lettres chinoises, indiennes et tartares. 344. Voltaire,
Lettre
à l’Académie française. 345. Dictionnaire philo
hique ; article Épopée. 347. Ibid. ; article Art dramatique. 348.
Lettres
chinoises, indiennes et tartares. Dictionnaire ph
353. Ibid. 354. Fontenelle, Remarques sur le théâtre grec. 355.
Lettre
à l’Académie. 356. Voyez la théorie du chœur, Ir
démie. 356. Voyez la théorie du chœur, Ire partie, chap. iii. 357.
Lettre
à l’Académie. 358. « Si les fleurs qu’on foule
belles que celles des plus somptueux jardins, je les en aime mieux. »
Lettre
sur l’éloquence. 359. « J’ai cru, je crois et j
sublimes scènes de Corneille et des parfaites tragédies de Racine. »
Lettre
à Horace Walpole. 360. Racine excepté. 361. Did
rope, on se trompe. » De la poésie dramatique. 364. Voltaire. 365.
Lettre
à l’Académie française sur l’éloquence. 366. M.
hétique, V, p. 209. 368. Diderot, Paradoxe du comédien. 369. XVIIIe
Lettre
sur les Anglais. 370. XXIIe Lettre sur les Angla
ettre sur les Anglais. 370. XXIIe Lettre sur les Anglais. 371. XIXe
Lettre
sur les Anglais. 372. M. Lysidas aurait pu citer
pas jouer ceux qu’il honore d’une estime particulière. » De Villiers,
Lettres
sur les affaires du théâtre. 426. L’Impromptu d
ffaires du théâtre. 426. L’Impromptu de Versailles, scène i. 427.
Lettre
sur les affaires du théâtre. 428. Dates données
’agit. Les Femmes savantes, acte IV, scène ii. 445. Tallemant. 446.
Lettre
du 5 août 1677. 447. La Saintonge et l’Angoumois
s prodigués à Aristide : jugez un peu de ce que devaient éprouver les
lettres
! Mais ces admirateurs exaltés et intolérants qui
ante apparemment, car un jeune maître de conférences à la faculté des
lettres
de Paris, M. Gustave Larroumet, vient de la plaid
teur était majeur ? Pense-t-on que les chancelleries accordassent des
lettres
d’émancipation sans s’être éclairées sur l’âge et
régulier qui ait été joué à Paris. Le 28 juin 1669, Perrin obtint des
lettres
patentes portant permission d’établir dans cette
ont je ne sois en passe. Il obtint donc du roi, le 29 mars 1672, des
lettres
patentes qui lui transféraient le privilège de l’
ce dernier, firent naturellement opposition à l’enregistrement de ces
lettres
. Il s’ensuivit un procès dont l’issue demeura lon
s, un arrêt de la Cour, du 27 juin 1672, ordonna l’enregistrement des
lettres
patentes accordées à Lulli, sans s’arrêter aux op
le perdre, il ne savait rien lui refuser. Places, honneurs, pensions,
lettres
de noblesse, titre de secrétaire du roi, il lui a
moyen, eut assez de crédit pour obtenir de l’autorité judiciaire des
lettres
de monition qui furent lues au prône dans toutes
l’endroit précis où eut lieu cette inhumation. Le premier, dans, une
lettre
adressée à M. Louis Boyvin, prêtre, docteur en th
ces investigateurs ne connaissaient ni le registre de La Grange ni la
lettre
à Louis Boy vin, et n’avaient d’autre guide que d
ble sépulture est indiqué. Eh bien, cette phrase, prise au pied de la
lettre
, est en contradiction absolue avec d’autres témoi
entourage, ni aucun des illustres amis que Molière comptait dans les
lettres
et dans les arts, et dont quelques-uns au moins a
essé au Temps, qui l’a publiée dans son numéro du 7 novembre 1884, la
lettre
suivante : Deux mots à M. Loiseleur, à propos d
tes de Versailles, mai 1664, le comte de Guiche était en Pologne. Une
lettre
de lui au chancelier Séguier, et que nous avons c
ière, archiviste du département de l’Hérault, connu dans le monde des
lettres
sous le pseudonyme de Louis Lacour, qu’en revient
u Tartuffe, et ces deux lignes, où les trouver ? Ses manuscrits, ses.
lettres
, les milliers de billets qu’il a dû écrire, tout
is celle-là en même temps que beaucoup d’autres, parmi lesquelles une
lettre
de Raphaël, la soumit à M. Gabriel Charavay, qui
aire. Vrain Lucas usait de semblables procédés. La forme de certaines
lettres
, du d en particulier, se rapproche singulièrement
n revanche, elle s’éloigne notablement de la forme que présentent ces
lettres
dans les deux pièces de Montpellier. Le corps de
nge le lui donne toujours, et Chapelle aussi dans les adresses de ses
lettres
à son ami. Le titre et les privilèges des édition
pport non de son contexte, mais de la calligraphie et de la forme des
lettres
, avec celles qui figurent au bas de plusieurs act
. Alexandre Dumas a acquise pour l’offrir à la Comédie-Française. Les
lettres
M et L offrent des différences ; mais toutes les
essé au Temps, qui l’a insérée dans son numéro du 12 janvier 1886, la
lettre
suivante : Dans son article sur la découverte d’
ière différent de celle de la quittance, et, d’ailleurs, la forme des
lettres
de ces signatures ressemble trop à celle de beauc
nâtre et la main assez habile du faussaire qui a composé et écrit les
lettres
de Rabelais, de Bayard, d’Agnès Sorel, de Charles
nne Charavay, l’expert en autographes bien connu, a déclaré, dans une
lettre
qu’il nous adressait le 12 janvier, se rallier au
r n’a qu’à se rappeller celles où le public, à l’arrivée subite d’une
lettre
, d’un bracelet, ou d’un personnage inconnu, s’écr
& les moyens, bien ou mal conçus, qui la produisent. Des gens de
lettres
peuvent-ils raisonner ainsi ? Ignorent-ils que le
pas entraîné dans leur sentiment ces êtres bornés, fléau des gens de
lettres
, qui ne jugent jamais que sur parole ou par conta
deux amants & le public qui s’intéresse à eux. Ariste porte deux
lettres
par lesquelles on apprend que la fortune de la fa
de Philaminte cede la place à son rival : alors Ariste avoue que les
lettres
étoient de son invention : les acteurs & les
. Cintio est le fils d’un correspondant de Beltrame, sur qui il a une
lettre
de crédit. Scapin, qui a entendu les conventions
le marché. L’étudiant Cintio commence à se décourager ; il a reçu une
lettre
de son père qui l’invite à demander à Beltrame la
l envoie Spacca, déguisé en courrier, porter à Mezzetin une prétendue
lettre
du père de Celia, dans laquelle il annonce au mar
e en scène. Fils d’un correspondant de Pantalon, il vient toucher une
lettre
de change de trois cents ducats et racheter Celia
habitués de l’hôtel de Rambouillet, firent partie des neuf hommes de
lettres
qui, en 1625, se réunirent chez Conrart, opulent
gelas et Voiture y entrèrent cette année. En 1635, furent données des
lettres
patentes pour la fondation légale de rétablisseme
artes était alors de la société de la marquise. Mais on voit dans les
lettres
de Mad. de Sévigné et dans d’autres documents que
ma préface, avec toute la politesse, tous les égards que les gens de
lettres
se doivent, & mes lecteurs jugeront. Voici ce
mbler le Lord ; il donne ordre à son valet Drink d’arrêter toutes les
lettres
, en cas qu’il écrive à Eugénie ou à sa famille ;
I. Le vieil Intendant écrit effectivement à la tante. Drink arrête la
lettre
. Le Lord, alarmé d’entendre par-tout parler de so
beaux non allumés. Un moment après Robert entre par le vestibule, une
lettre
à la main, un bougeoir dans l’autre : comme c’est
aissent sous les yeux du spectateur la table sur laquelle on a mis la
lettre
, il faut bien qu’on vienne la prendre dans l’entr
changeant de décoration, qu’à enlever en même temps la table & la
lettre
, tout sera réparé, & l’entr’acte sera comme i
rs un bavardage rimé tel que le sien. Déjà malade, il ne put, dans la
lettre
qui parut le 14 février, la veille même de la pre
… Nous ne possédons malheureusement, pour l’année 1665, qu’une seule
lettre
de Mme de Sévigné, qui n’était pas encore le nobl
ieux feuilletoniste de l’aristocratie du grand siècle, et, dans cette
lettre
unique, elle ne s’occupe que de l’exil de Fouquet
uelliste, devenu tout à coup homme de bien, met en action la septième
lettre
des Provinciales, et pratique, avec un aplomb et
ve siècle. Leur production eût été un merveilleux service rendu aux
lettres
. 4. Cet article n’est pas le dernier de la Muse
e la Muse historique, comme le disent les frères Parfait. La dernière
lettre
de Loret porte la date du 28 mars. Robinet contin
quin, Desfougerais, Guenaut et Esprit. Gui Patin a consigné, dans ses
Lettres
, la nouvelle de la représentation de L’Amour méde
en voudrait persuader. » Gui Patin parle encore de la pièce dans une
lettre
suivante : « On joue présentement à l’hôtel de Bo
l, une espèce de propriété commune. Avertissement du commentateur [
Lettre
écrite sur la comédie du Misanthrope] De Visé
écrite sur la comédie du Misanthrope] De Visé est l’auteur de la
lettre
suivante. Elle fut imprimée en tête de la premièr
possession que j’ai cru devoir respecter. Si Molière n’a pas jugé la
lettre
de de Visé indigne de précéder son chef-d’œuvre d
ux accessoires dont ce texte est accompagné. Grimarest raconte que la
lettre
de de Visé fut imprimée à l’insu de Molière, qui
n’en sentaient pas ou qui affectaient d’en méconnaître le mérite ? La
lettre
de de Visé n’est pas d’une élégance de style rema
re que se soit opéré ce changement, il écrivit sur Le Misanthrope une
lettre
toute admirative, que Molière ne dédaigna pas de
vait à Madame de la Trousse, tante de madame de Sévigné, au bas d’une
lettre
adressée à celle-ci : « Madame, en vous rassurant
’une lettre adressée à celle-ci : « Madame, en vous rassurant sur des
lettres
trop tendres que le pourrais écrire à ma cousine,
diminuer dans les mots. On décida qu’on ôterait de tous les mots les
lettres
superflues. Je vous donne ici une partie de ceux
ation et de revendiquer pour elle un droit qui n’a été reconnu qu’aux
lettres
. L’histoire de l’esprit humain ne consiste pas un
de Condé y avait cultivés durant sa prison, a été souvent cité56. Sa
lettre
à l’évêque de Vence sur la détention du prince es
et latins par l’imprimerie alors récente, et les études des hommes de
lettres
, nous ont donné beaucoup de mots nouveaux et néce
ou Mlle . Aujourd’hui qu’on imprime madame ou mademoiselle en toutes
lettres
, on ne se tromperait pas de même. 53. J’ai vaine
n aiguille me ferait autant de plaisir que le fac simile d’une de ses
lettres
. 54. Lettres du 27 novembre 1667, du 20 mars 167
ferait autant de plaisir que le fac simile d’une de ses lettres. 54.
Lettres
du 27 novembre 1667, du 20 mars 1671 et du 15 nov
res du 27 novembre 1667, du 20 mars 1671 et du 15 novembre 1680. 55.
Lettre
du 12 juillet 1671. 56. Voici ce quatrain : En
é, dis-je, crut devoir signaler son zèle pour Molière en publiant une
Lettre
sur le Misanthrope, où il en rendait compte acte
ur le Misanthrope, où il en rendait compte acte par acte. Comme cette
lettre
est historique à cette comédie, nous allons en ra
interrompus par la prude, et par les marquis qui apportent chacun une
lettre
qu’elle a écrite contre eux : ce que l’auteur a p
scène est fort agréable. Tous les acteurs sont raillés dans les deux
lettres
, et quoique cela soit nouveau au théâtre, il fait
tant d’esprit. Robinet ne donne pas moins de louange au Misanthrope,
Lettre
en vers du 12 juin 1666. Le Misanthrope en
ut que le sage se déguisât en farceur, pour plaire à la multitude. »
Lettre
en vers de Robinet du 15 août 1666. Un médecin v
le théâtre du Palais-Royal, voici de quelle façon Robinet l’annonça :
Lettre
en vers du 11 juin 1667. Depuis hier 1, pa
de vache, S’y remontre enfin à nos yeux, Plus que jamais facétieux.
Lettre
en vers de Robinet, du 19 juin 1667. Je vi
ommencement de janviera, et devant le roi le lundi 16 du même mois.
Lettre
en vers de Robinet, du 21 janvier 1668. Lu
reillement devoir supprimer de cet article. Passons présentement à la
lettre
en vers de Robinet, qui présente un récit qui n’e
it qui n’est pas moins curieux de la représentation de George Dandin.
Lettre
en vers de Robinet, du 21 juillet 1668. Da
l’égayaient, Et pour en gros ne rien omettre, Dans les limites d’une
lettre
, En ce beau rendez-vous des jeux, Un théâtre augu
derniers à signaler leur joie, et Robinet en rend le compte suivant.
Lettre
en vers du 18 août 1668. ……………………………………………… Comm
Voici de quelle façon Robinet rendit compte de la comédie de L’Avare.
Lettre
en vers du 15 septembre 1668. Prenant soin
Est prodigue en gais incidents, Qui font des mieux passer le temps.
Lettre
en vers du même, du 22 septembre 1668. Ces jours
le lendemain) et depuis sans interruption le mardi 5 février 1669.
Lettre
en vers de Robinet, du 9 février 1669. À p
lement, joués, Que jamais nulle comédie Ne fut aussi tant applaudie.
Lettre
en vers du même, du 23 février 1669. À propos d’
représentation de Pourceaugnac devant le roi et la Cour, à Chambord.
Lettre
en vers, du 12 octobre 1669. Mais parlons
ut jouée au Palais-Royal, Robinet en fit mention ; voici ses termes :
Lettre
en vers, du 13 novembre 1669. Enfin j’ai v
hrope, jusqu’au jour que Le Médecin malgré lui fut représenté. a. La
lettre
de M. de Visé, sur la comédie du Misanthrope, est
faire de plus agréable pour le public que de lui faire part de cette
lettre
, qui fut écrite un jour après, à une personne de
ualité, sur le sujet de cette comédie, etc. » [*]. [Note marginale]
Lettre
sur la comédie du Misanthrope. a. La Muse Dauph
de Bourbon, premier prince de Conti, qui depuis fut le protecteur des
lettres
, et de Molière. « Il y avait alors dans ce collèg
tion de l’Amphitryon au 13 juin 1668. Cependant, par le passage d’une
lettre
de Robinet, que nous rapportons ici, on voit non
du 5 août 1667 qu’un auteur anonyme composa une brochure intitulée :
Lettre
sur la comédie de l’Imposteur, où il rend compte
jouit fort à cette pièce. » 1. [Note marginale] Voyez ci-dessous la
lettre
en vers de Robinet, du 12 octobre. [*]. [Note m
bien, Monsieur Rigaudon, que voulez-vous ? L’Olive. Vous donner cette
lettre
de la part de Mademoiselle Clarice. M. Grichard.
i elle puisse confier son secret : elle projette de faire remettre sa
lettre
à celui qu’elle aime par Sganarelle lui-même. Is
ant, Et m’a droit dans ma chambre, une boîte jettée, Qui renferme une
lettre
en poulet cachetée. J’ai voulu, sans tarder, lui
belle. Il est de mon devoir de faire promptement Reporter boîte &
lettre
à ce maudit amant ; Et j’aurois pour cela besoin
ame de Sévigné, la voyaient de temps en temps. Nous avons lu, dans la
lettre
de madame de Sévigné, en date du 6 janvier 1672,
raite avec le plus insultant mépris. Ce mépris n’a rien de l’homme de
lettres
supérieur, il est tout orgueil de cour. Il descen
oète ont été tournées contre la haute société et contre les hommes de
lettres
qui s’y étaient attachés ; que les atteindre a ét
Deshoulieres. Madame de Sévigné ne parle pas une fois d’elle dans ses
lettres
. Madame de Sévigné avait douze ans de plus que ma
son cœur voudroit pouvoir lui sacrifier Moncade. Pasquin apporte une
lettre
de Moncade ; il y confesse ses torts, il mourra s
t un généreux pardon. Mariane est alarmée : elle écrit en réponse une
lettre
très consolante : elle change d’avis, elle croit
s n’osez plus, Moncade, achever vos serments. Moncade lit. Moitié de
lettre
. « Profitez du moment « & faites vos effort
utez ma haine & mon courroux. Moncade lit les deux morceaux de la
lettre
. « Profitez du moment qui vous accorde votre gr
ce jaloux de Moliere, & dans il Principe geloso de Cicognini. Une
lettre
déchirée l’a produite dans les deux pieces. Nous
e, jure que jamais il ne s’est fait peindre. On apporte à Moncade une
lettre
, par laquelle il apprend qu’on enleve sa sœur ; i
talienne, une scene plaisante. Rosaura, femme de Pantalon, reçoit une
lettre
de son frere : son époux la surprend & veut l
elle s’avise enfin de lui dire qu’il mourra subitement s’il ouvre la
lettre
: Pantalon, alarmé, craint que l’on n’ait mis un
& la calomnie ou la médisance, toujours éveillées sur les Gens de
Lettres
, peuvent la soupçonner d’être enfantée par un lâc
i attribuât des scènes tout italiennes, par exemple, l’anecdote de la
Lettre
improvisée, qui se rapporte à l’époque où Molière
utique du perruquier Gély. Il s’agit d’une jeune fille qui a reçu une
lettre
de son amant, lequel est à l’armée ; elle ne sait
est à l’armée ; elle ne sait pas lire et voudrait qu’on lui lût cette
lettre
. Molière consent volontiers à lui rendre ce servi
armée, et quand d’autres lecteurs, plus sincères, essayent de lire la
lettre
à leur tour, elle la leur arrache dès les premièr
tte circonstance, Molière n’eût encore été qu’imitateur : ces fausses
lettres
, faisant succéder rapidement les impressions de c
s canevas de Dominique, Li due Arlecchini (les deux Arlequins), et la
lettre
du cousin de Bergame : « Votre père est mort… il
possède le Théâtre-Français et qui porte pour inscription, écrite en
lettres
d’or : Farceurs Français et Italiens, depuis soix
e Molière fut émise par M. Régnier, de la Comédie française, dans une
lettre
du 25 mars 1837 au préfet de la Seine. Le conseil
il paraît, un bon ivrogne, et c’est le vin qui le tua. Loret, dans sa
lettre
du 4 octobre 1659, lui fait cette épitaphe : Bey
’est que la minute de l’acte du trente juin 1643 porte bien en toutes
lettres
André Mareschal. Les deux autres signatures sont
ine. Ainsi croissent les légendes, un trait s’ajoutant à l’autre. Les
lettres
de Racine à l’abbé Le Vasseur démolissent cette l
de Bourgogne ; qu’elle fut même promise sur les affiches de celle-ci (
lettre
de décembre 1663), mais seulement après trois aut
des documents dignes d’attention. Le premier de ces documents est une
lettre
adressée aux consuls d’Albi par le comte de Brete
comte de Breteuil, intendant de la province du Languedoc. Voici cette
lettre
: « Messieurs, étant arrivé en votre ville10, j’
séjour à Albi se place en août et en septembre. Enfin on voit, par la
lettre
du comte de Breteuil, qu’ils étaient au commencem
101, ce qui correspond, ainsi que M. Magen l’a fait observer dans une
lettre
à M. Loiseleur18, à février 1650. On remarquera q
lles qui étaient sur leur passage. Nous avons vu précédemment dans la
lettre
du comte de Breteuil, que la ville d’Albi avait p
e, où se tiennent les états du Languedoc. On en a pour témoignage une
lettre
de Dassouci à Molière, pour s’excuser de la préci
Je remercie Dieu de cette rencontre, et suis, monsieur… C. D. Cette
lettre
se trouve dans les Œuvres mêlées de M. Dassoucy à
mmena dans son carrosse le musicien Dassoucy, mais sans ses pages. La
lettre
de Dassoucy à Molière prouve que celui-ci était a
Dassoucy était en relations avec Molière, et nous avons reproduit une
lettre
qu’il lui écrivait trois ans avant l’époque où no
s scènes de la Barbe impossible, toujours interrompue, et celle de la
Lettre
improvisée, celle-ci plus piquante et plus digne
la porte de la boutique du perruquier Gély. Elle tient à la main une
lettre
que lui adresse son amant, qui est au service. Ma
st en ce moment occupé à calamistrer ses perruques, il fait passer la
lettre
à Molière, en ajoutant : « Tiens, voilà un monsie
bstitution ; l’air candide de la jeune fille lui a souri. Il prend la
lettre
et la décachette ; mais il remplace la rédaction
e pas là ses expériences : il entame un autre passage de la prétendue
lettre
. La guérison presque miraculeuse de l’enfant de M
ses vœux l’heure de son mariage avec elle. C’est le dernier mot de la
lettre
, le bouquet. Radieuse, la fillette serre le préci
s élevé de l’armée. Quelqu’un essaye-t-il à son tour de déchiffrer la
lettre
, elle la lui arrache dès les premières lignes, en
ant de Pézenas, Poitevin de Saint-Cristol, écrivait à Cailhava : « La
lettre
du prince de Conti aux Consuls de Pézenas, dont o
s (il n’est pas sûr que ces 1250 livres furent payées) et 3750 en une
lettre
de change tirée par Cassaignes sur Dufort, accept
a laissé quelques vestiges qui ont été soigneusement recueillis. Une
lettre
de Thomas Corneille à l’abbé de Pure, datée du 19
e passage suivant, ainsi imprimé dans les premières éditions de cette
lettre
: « Le mariage de Mlle Le Ravon, si précipité, es
quet a rétabli45 avec toute vraisemblance les noms altérés dans cette
lettre
, soit que Thomas se soit plu à déguiser ces noms
rêtés plus ou moins longtemps à Paris en y passant. Nous avons par la
lettre
de Thomas Corneille la date approximative de l’in
? On retrouve ce nom comme celui d’une toute jeune personne dans une
lettre
de Chapelle, dont nous parlerons plus loin. Châte
it qu’une toute jeune personne vers 1659 ou 1660, date probable de la
lettre
de Chapelle, elle n’eût été qu’une enfant en 1653
atre mille écus d’or, si l’on en croit Guy Patin, qui écrit, dans une
lettre
du 27 mai 1669 : « Il est mort depuis trois jours
i le faisaient régner dans les salons et qui le patronnaient dans les
lettres
. Ce mot n’emportait avec soi aucune idée défavora
aire Ribou pour la faire imprimer. Il y mit, en guise de préface, une
Lettre
à un ami, et à chaque scène des arguments destiné
la fête de Vaux ; il en fit la description à M. de Maucroix dans une
lettre
du 22 août. Il n’oublie pas la comédie des Fâcheu
er reproche n’est pas mérité, qu’elle le nomme au contraire en toutes
lettres
: M. Lafosse ou de Lafosse. Remarquons qu’en 1773
per. Et ce n’était pas tout ; mais restons-en là pour un instant. Une
lettre
de Chapelle à Molière, dont la date est malheureu
mes : « Je les ai faits, dit-il, pour répondre à cet endroit de votre
lettre
où vous particularisez le déplaisir que vous donn
ait bien à son aise. Nous venons de citer la dernière partie de cette
lettre
curieuse. Le commencement n’en offre pas moins d’
n offre pas moins d’intérêt, quoiqu’il soit plus énigmatique. « Votre
lettre
m’a touché très sensiblement, dit Chapelle, et, d
re et les marguilliers de l’église Saint-Paul du 16 mars 1677, et les
lettres
de ratification de ce contrat : le contrat de mar
leur opposaient sans cesse les tragédies de Corneille. L’auteur de la
Lettre
sur les affaires du théâtre, qui s’est fait l’éch
que, depuis qu’elle les avait vu jouer, elle n’en voulait point. » La
Lettre
sur les affaires du théâtre (1664), qui est proba
e son récent mariage. C’est par Racine que nous savons cela. Dans une
lettre
à son ami l’abbé Le Vasseur, de novembre ou décem
e, Tartuffe parle comme un casuiste de la pire espèce. On lit dans la
lettre
de Racine aux apologistes de Nicole cette anecdot
r aînée, Marie-Louise de Gonzague, reine de Pologne. Précisément, une
lettre
du prince de Condé à cette dernière, à la date du
ait pas manqué de protester contre une mention erronée. Cependant une
lettre
du duc d’Enghien, retrouvée par M. le duc d’Aumal
es archives de la maison de Condé, semble contredire La Grange. Cette
lettre
est ainsi conçue : « Henri-Jules de Bourbon à M
sité, l’oublier non pas dans une parole dite au hasard, mais dans une
lettre
qui marque un désir et souci particulier, ce sera
bles. Il a fait remarquer que le duc d’Enghien ne s’enquiert, dans sa
lettre
, que du quatrième acte, et non pas du cinquième.
ns touchant Le Festin de pierre de M. Molière » ; l’autre intitulée «
Lettre
sur les Observations, etc. ». Mais toutes deux so
ire à toutes les plaintes et à toutes les accusations. L’auteur de la
Lettre
sur les Observations du sieur de Rochemont, profi
c’est pour exprimer quelque plainte. On a pu remarquer le début de la
lettre
de Chapelle que nous avons précédemment reproduit
ut de la lettre de Chapelle que nous avons précédemment reproduit. La
lettre
qu’il écrivit, en 1664, à la Mothe Le Vayer, pour
n de la mort de cet ami, en 1664, que Molière écrivit le sonnet et la
lettre
touchante qui figurent dans ses œuvres : Aux lar
Charles Robinet, qui constate le rétablissement du comédien, dans sa
lettre
du 21 février 1666. Épuisé par les veilles, les p
itable ! » De Vizé, l’ancien détracteur de Molière, publia une longue
lettre
apologétique que le libraire Ribou imprima en têt
nomène. Molière le recueillit, l’emmena chez lui et obtint du roi une
lettre
de cachet pour l’ôter de la troupe où il était. I
de Paris. Par mondit seigneur, Petit. » Le 10 du même mois parut une
Lettre
sur cette comédie, qu’on a attribuée, à tort selo
les qui la suivirent immédiatement, écrit sous forme d’apostille à sa
lettre
du 8 octobre : J’oubliais une nouveauté Qui doit
e Vizé, à l’improviste. C’est du moins ce que raconte Robinet dans sa
lettre
du 12 novembre : Sur toutes nouveautés Qui plure
l y eut une nouvelle éclipse du comédien, car Robinet, à la fin de sa
lettre
du 31 décembre de la même année, écrit : Veux-tu
vraisemblance, ne fut jamais représentée et qui était précédée d’une
lettre
satirique. Cette lettre, où l’on a cru reconnaîtr
amais représentée et qui était précédée d’une lettre satirique. Cette
lettre
, où l’on a cru reconnaître le style de Pradon, se
Le roi prit-il part lui-même à la représentation ? Boileau, dans une
lettre
à Monchesnai sur la comédie (septembre 1707), dit
tombée assez gravement malade. C’est ce que Robinet constate dans sa
lettre
du 26 septembre 1671 : La belle Psyché qui tout
ou de Cidippe. Voici ce que Robinet dit de la jeune Angélique dans sa
lettre
du 3 octobre 1671 : On voyait là depuis deux foi
e sera Mademoiselle de Molière. Le même nouvelliste annonce, dans sa
lettre
du 24 octobre, la rentrée de Mlle de Molière au t
e et Lulli avait été consommée pendant l’année 1672. Lulli, à qui des
lettres
patentes avaient permis d’établir à Paris une Aca
ine, joué par les comédiens de l’hôtel de Bourgogne. Robinet, dans sa
lettre
du 18 février 1673, constate en effet le succès d
demie heure ou trois quarts d’heure depuis ladite veine rompue… » La
lettre
de Robinet, datée du jour suivant, 18 février, tr
ci pour leur empressement même. Voici l’épitaphe dont Robinet orna sa
lettre
du 25 février 1673 : Dans cet obscur tombeau rep
us seuls l’objet. Les pères cordeliers en réclamèrent une part par la
lettre
suivante (1696) : « Messieurs, les pères cordelie
1672, un an jour pour jour avant la mort de Molière. Robinet, dans sa
lettre
du 20 février, où il rend compte de la représenta
on croit, un peu apprêtée et façonnière ; il ne faut pas prendre à la
lettre
ce que Molière dit de cette actrice dans L’Improm
attachés au haut d’une petite culotte ». On retrouve, dit-on, dans la
Lettre
sur la vie de Molière et les comédiens de son tem
de lui confier le rôle de la comtesse d’Escarbagnas. Robinet, dans sa
lettre
du 1er août 1671, parlant de la manière dont elle
homme dans sa troupe, qui en avait besoin, il lui écrivit à Dijon une
lettre
très touchante, et lui marqua de prendre la poste
promptement auprès de lui. » Baron partit aussitôt qu’il eut reçu la
lettre
; et Molière, occupé du plaisir de revoir son jeu
la campagne le sieur Baron qui se rendit à Paris après avoir reçu une
lettre
de cachet (pour rompre son engagement), et eut un
rvention qui, ajouterons-nous, n’est pas très vraisemblable. Voici la
lettre
de cachet par laquelle cette actrice fut appelée
avant les représentations du Bourgeois gentilhomme. Robinet, dans sa
lettre
du 27 septembre 1670, dit que sur la scène du Pal
le nom de la troupe du roi, « ce qui, dit Chapuzeau, se voit gravé en
lettres
d’or dans une pièce de marbre noir au-dessus de l
ormer la nouvelle compagnie. Vingt-sept noms y furent inscrits175. La
lettre
de cachet de par le roi, qui confirme ces arrange
se nommait la rue des Vieilles-Étuves, une plaque noire qui porte en
lettres
d’or cette inscription : « Cette maison a été con
novembre. » Le jour des Morts en 1658 fut un samedi. Loret termine la
lettre
de ce jour par ces deux vers : Fait à Paris et
e, Et s’en va jouer tout de bon Désormais au Petit-Bourbon. (Loret, «
Lettre
du 26 avril 1659 ») 56. Épître à S.A.R. Made
demment de Mme de Villedieu (Mlle Desjardins). 60. De Quinault. 61.
Lettre
du 6 décembre 1659, « Apostille. » 62. F. Doneau
n’avait pas été toutefois aussi unanime qu’on l’a prétendu. Dans la «
lettre
de l’abbé d’Allainval (mort en 1753) sur Baron et
s à Fontainebleau, lorsqu’ils vinrent à Paris. 94. Muse historique,
lettre
du 13 janvier 1663. 95. Ajustés, parés. 96. Jou
d’une expression un peu plus crue. Racine le fils, quand il publia la
lettre
de son père, voulant atténuer cette expression, m
103. Voyez ci-devant, page 111. 104. Mercure de France, mai 1740.
Lettre
sur la vie et les ouvrages de Molière et sur les
ue de la ville de Versailles, Paris, 1862. 108. Ces vers de Robinet (
lettre
du 27 décembre 1667) sont écrits à propos de l’Al
que des fragments dans le livret du Ballet des Muses. 110. Voyez la
lettre
de Robinet du 5 novembre. 111. Relation de la fê
, journal L’Ordre, 12 mars 1850. 133. Et ailleurs. On se rappelle la
lettre
de Mlle de Sévigné du 20 février 1671 ; « Des cap
retournant à Paris, emmena avec lui les Gelosi. Henri leur permit par
lettres
patentes de s’installer à l’Hôtel de Bourbon. Cet
liens de continuer leurs représentations. Les Gelosi présentèrent les
lettres
patentes qu’ils avaient obtenues du roi. La cour
tentes qu’ils avaient obtenues du roi. La cour refusa de recevoir ces
lettres
et défendit aux Italiens de se prévaloir jamais d
cevoir ces lettres et défendit aux Italiens de se prévaloir jamais de
lettres
pareilles sous peine de dix mille livres parisis
une pastorale, Mirtilla, imprimée à Vérone en 1588 : des recueils de
lettres
et des fragments en prose furent publiés après sa
escrivent comme un devoir. Et vous, me blâmerez-vous aussi ? » Cette
lettre
, bien expliquée, jette un grand jour sur l’histoi
e chercher les vrais motifs des suppositions bizarres que renferme la
lettre
à madame d’Heudicourt, et des expressions pleines
ssent au-dessus des bâtards de la marquise. Je remarque enfin dans la
lettre
de madame Scarron une espèce de contresens comme
nfié. 79. C’était le frère de madame de Montespan. 80. Bien que la
lettre
ait été datée par les éditeurs du 24 mai 1669, el
nfant du roi, et que le duc du Maine ne naquit que six jours après la
lettre
. 81. Auger, Vie de Maintenon. M. de Monmerqué, B
ues, ne déplaisait pas non plus à l’hôtel de Rambouillet. Les gens de
lettres
doivent bien se persuader que la littérature de t
t tout ce qui appartenait au parti vaincu dans les sciences, dans les
lettres
, dans les arts même, l’ignorance présomptueuse, l
des lignes abandonnées. 17. Discours sur les héros de roman. 18.
Lettres
à mademoiselle de Scudéry.
oût 1667. Pendant ce temps-là (c’est-à-dire dans le mois d’août), une
lettre
adressée à a reine par la poste lui découvre l’in
alors gendre de madame de Sévigné, écrivit à madame de Richelieu une
lettre
de félicitation. Il avait été le beau-frère de ma
rapporte à sa fille (Noël 1671) ce que madame Scarron lui a dit de la
lettre
de son gendre. « Voilà madame Scarron qui a soup
e Scarron qui a soupé avec nous. Elle dit que de tous les millions de
lettres
que madame de Richelieu a reçues, celle de M. de
enait d’écrire le nom de Molière sur cette glorieuse liste de gens de
lettres
et de savants, honorés des libéralités de Sa Maje
de théâtre devraient faire inscrire sur la porte de leur cabinet, en
lettres
de fer. Le roi avait dans cette pièce la comédie
vouer qu’il va trop loin. Il a tort et grand tort de nommer en toutes
lettres
son ennemi Boursault, comme il aura tort, plus ta
irs de la critique ; ils étaient, avant tout, de véritables hommes de
lettres
, et ils prouvaient, par leur exemple, que cette q
es, et ils prouvaient, par leur exemple, que cette qualité d’homme de
lettres
est la plus grande et la plus honorable dont se p
de M. de La Rochefoucauld s’applique aux vrais et aux faux hommes de
lettres
. Saint-Évremond, un bel esprit de cette famille d
égnier, un des plus charmants comédiens du Théâtre-Français, dans une
lettre
adressée à M. le ministre de l’intérieur, avait i
nt que la Ville de Paris devait élever à l’auteur du Misanthrope ! La
lettre
et le projet de M. Régnier trouvèrent le Ministèr
iquée contre Moncade, fait voir à Lucinde, amante de son perfide, une
lettre
qu’elle a reçue de lui : elle est conçue en ces t
n’adorerai que vous de ma vie. Adieu. Lucinde, furieuse, montre la
lettre
à Moncade, qui entreprend de prouver qu’elle est
mbarras, s’étoit ménagé les moyens d’en sortir en ne ponctuant pas la
lettre
. Et quel moyen encore ! Les incidents ont beau na
°, avec une notice biographique. En 1794, le général Grimard publia :
Lettres
et Mémoires choisis parmi les papiers originaux d
lière. Le respect qu’elle inspire aux gens du monde comme aux gens de
lettres
n’empêche pas qu’on jette son corps à la voirie.
e, & il n’est pas question du legs. Scene IV. L’Olive porte une
lettre
de Milord Cobbam, écrite en anglois. Comme Eraste
demander Sophie pour son neveu. Eraste dit à son ami qu’il a reçu une
lettre
de Milord Cobbam, qui lui apprend le mariage de s
rend le mariage de son fils. Lisimon surpris lui dit qu’il a reçu une
lettre
du même, qui lui marque la mort de ce fils. Comme
i lui marque la mort de ce fils. Comme il sait l’anglois, il prend la
lettre
des mains d’Eraste, & lit. « Mon cher ami, c
isan qui mendie la faveur par de serviles adulations, mais l’homme de
lettres
qui sait plaire par le noble exercice de son tale
voisin de l’indigence. Riche, il avait eu le vrai luxe d’un homme de
lettres
: il avait placé ses fonds dans sa bibliothèque ;
masque pour usurper l’estime publique ; Tartuffe nous l’apprend. Les
lettres
étaient en crédit, car le faux savoir même était
ement outragés. À Dieu ne plaise que je parle, dans le sanctuaire des
lettres
, du triomphe de la barbarie, et que je rappelle,
tuffe : cet immortel ouvrage n’est pas seulement un monument pour les
lettres
, c’est un service rendu à l’humanité. Il fallait
était destiné à exciter encore tant de rumeur dans la république des
lettres
et dans le monde religieux et politique. La foule
amoignon était d’ailleurs le modèle des magistrats, le protecteur des
lettres
; ami de Boileau, il avait droit aux respects de
et Despréaux ont élevé la renommée du jeune monarque, protecteur des
lettres
et vainqueur de l’étranger, au-dessus des faibles
scrit ou dénature les ouvrages, vous qu’on repousse du sanctuaire des
lettres
au nom des intérêts du trône, écrivains qui êtes
d’un rapport, d’en faire revivre les principaux passages. Les gens de
lettres
y trouveront plus d’une fois de quoi se consoler
plus elle le reconnaît. Ce scandaleux libelle fut bientôt suivi d’une
lettre
pleine de force et de modération ; l’auteur en es
ublic et le monarque. Quelques auteurs lui ont cependant attribué une
Lettre
sur la comédie de l’Imposteur, qui parut sous la
ulphe, par égard pour des hypocrites puissants : on a pu voir, par la
lettre
en réponse au libelle sur Le Festin de Pierre, qu
ène que donne de l’ouvrage joué une seule fois en 1667 l’auteur de la
Lettre
sur la comédie de l’Imposteur. Dans la scène d’ex
ère. Ce changement est d’autant plus vraisemblable que l’auteur de la
Lettre
sur L’Imposteur qui analyse avec le plus grand so
ilhomme, et que Dorine répond : Oui, c’est lui qui le dit. D’après la
Lettre
sur L’imposteur, ce ne serait que dans la troisiè
cite l’indignation au plus haut degré. Mais s’il fallait prendre à la
lettre
le sermon de Bourdaloue, il serait impossible de
lever sur leur authenticité, nous renvoyons le lecteur au recueil des
Lettres
de (J.-B.) Rousseau, 5 vol. in-12. Ils y verront
des Œuvres de Molière, qui a paru en 1754, 6 vol. in-4 ; et, dans une
lettre
à Brossette, sous la date du 12 décembre 1751, il
ustesse de jugement qui fait son suprême mérite aux yeux des amis des
lettres
. Deux siècles de postérité, deux des siècles les
soin de forcer la nature et d’abandonner le vraisemblable. » Fénelon,
Lettre
à l’Académie-françoise, VII. — C’est son amour ab
ns de Gassendi, est une des plus curieuses chimères de l’histoire des
lettres
. Il était mieux apprécié par Goldoni, qui fait di
u vice, avec une austérité ridicule et odieuse à la vertu. » Fénelon,
Lettre
à l’Académie françoise, VII. — Voir aussi J.-J. R
lon, Lettre à l’Académie françoise, VII. — Voir aussi J.-J. Rousseau,
Lettre
à d’Alembert sur les Spectacles, plus loin, chap.
’elle dit elle-même. Seconde Journée. Le pere de Don Juan a reçu des
lettres
qui lui apprennent l’affront fait par son fils à
Don Juan avec le Marquis ; elle le croit son grand ami, lui jette une
lettre
à travers les barreaux, & le prie de la remet
qu’il a si bien mérité : le trompeur de toutes les femmes. Il lit la
lettre
, conçue en ces termes : « Mon pere a promis ma ma
t obligé de se taire. Don Juan se garde bien de montrer au Marquis la
lettre
qu’il a reçue pour lui : il lui dit simplement qu
usie, quand un page de Dona Anna demande le Duc pour lui remettre une
lettre
: Don Juan se nomme effrontément le Duc Octave, p
e une lettre : Don Juan se nomme effrontément le Duc Octave, prend la
lettre
, la lit, voit qu’on y donne un rendez-vous au Duc
n Alphonse doit solliciter la grace de Don Juan, quand on apporte une
lettre
, dans laquelle le Roi de Naples demande qu’on lui
oulets qu’elles reçoivent. L’une imagine de se venger en écrivant une
lettre
tendre à Mondor, c’est le nom du fat : elle engag
le engage son amie à le traiter de même. Mondor fait trophée des deux
lettres
. L’un de ses rivaux est furieux, l’autre se doute
e la même sottise ; & qu’elles laissent ensuite toutes deux leurs
lettres
entre les mains d’un homme qu’elles poussent à bo
sent à bout, d’un homme qui doit dans peu, dit-on, faire imprimer ses
lettres
, d’un homme enfin qu’elles savent très capable de
ia. Appresso Gio.-Batt. Pulciani. 1611. En tête du volume, il y a une
lettre
de Francesco Andreini, comico Geloso detto il cap
Elle est fondée surtout sur un tour que joue le capitan, qui a lu une
lettre
que Pantalon envoyait à Venise, et dans laquelle
la mort de son mari. Il lui apporte et lui remet une cassette et une
lettre
que Flavio lui a confiées avant de mourir. Dans l
ette et une lettre que Flavio lui a confiées avant de mourir. Dans la
lettre
, Flavio raconte comment la jalousie qu’il a conçu
mis des scandales, aux gens du monde poli de la capitale, aux gens de
lettres
de profession, aux esprits cultivés de toutes les
des conversations naquit celle des correspondances épistolaires. Les
lettres
étaient la conversation des absents ; on en lit,
ivantes, envoya deux volumes de ses conversations à Mad. de Sévigné. (
Lettres
de Sévigné, édition de Monmerqué, t. VIII, p. 89)
né, édition de Monmerqué, t. VIII, p. 89). 14. Nous avons, outre les
lettres
de Mad. de Sévigné, celles de sa fille Mad. de Gr
tout au moins pour six mois. LA BRUYERE. Lui-même écrit une longue
lettre
, met de la poudre dessus à plusieurs reprises, &a
urs la poudre dans l’encrier. Ce n’est pas tout, il écrit une seconde
lettre
, & après les avoir écrites toutes deux, il se
x, il se trompe à l’adresse. Un Duc & Pair reçoit une de ces deux
lettres
, & en l’ouvrant il y lit ces mots : Maître Ol
les ordres qu’il a plu à Votre Grandeur... Lui-même écrit encore une
lettre
pendant la nuit, & après l’avoir cachetée il
larice ; il lui écrit pour tâcher de se raccommoder, & termine sa
lettre
par un billet au porteur, tel qu’on l’enverroit à
ent, Quatre doigts de papier plié bien proprement Hors du corps de la
lettre
, & qu’avant sa lecture, Car c’est toujours pa
r la présente il vous plaira payer Deux mille écus comptant aussi-tôt
lettre
vue, A Damoiselle, en blanc, d’elle valeur reçue
avec cette autre fable mal digérée, mal construite, où une malle, des
lettres
, une donation, une promesse de mariage, un portra
que la malle appartient à ce dernier ? On trouve dans cette malle des
lettres
, par lesquelles le Chevalier apprend que son frer
s. Histoire de Beauval et de sa femme. Mot de Molière sur cet acteur.
Lettre
sur la comédie de l’Imposteur justement attribuée
s pour la reprise du Mariage forcé. Jalousie qu’en ressent D’Assoucy.
Lettre
qu’il adresse à Molière. — 1672. Les Femmes savan
ussent mieux composées, et que des gens d’esprit, et même des gens de
lettres
, s’en mêlassent », naquit dans une classe peu éle
nt dans un portrait où tout contraste ; dans l’histoire d’un homme de
lettres
qui connut le monde et la cour, d’un ornement de
père, comme successeur de Nicolas Poquelin, son oncle, en vertu d’une
lettre
de Louis XIII du 22 avril 1631, confirma encore J
enfants qui plus tard se firent un nom dans les sciences et dans les
lettres
. Armand de Bourbon, prince de Conti, qui devint p
l’abri de toute répétition. Ils ne se virent réellement donner qu’une
lettre
de change de 3 750 livres à leur ordre, tirée par
ement fait de changer de débiteur au prix d’une réduction, car, si la
lettre
de change fut difficilement et tardivement payée,
res, ne doivent jamais être comptées parmi les ouvrages d’un homme de
lettres
». Cependant Boileau regrettait la perte du Docte
ent plus d’une fois transportée, car nous voyons au Mercure, dans une
Lettre
sur Molière et les comédiens de son temps, que, s
embres d’une société qui n’en comptait que douze. Guy Patin, dans une
lettre
du 27 mai 1659, dit : « Il est mort ici, depuis t
tisme et l’ambition firent place pour trop peu de temps à l’amour des
lettres
, une femme d’une haute naissance, d’un caractère
atteint encore que 563 livres, s’éleva à 1 400. Aussi Loret, dans sa
lettre
du 6 décembre, se croit-il forcé de mentionner ce
madame de Sévigné, nous l’offre mainte et mainte fois, même dans les
lettres
adressées à sa fille. On le rencontre non moins s
te. La Fontaine, qui s’y trouvait, nous en a laissé le récit dans une
lettre
adressée à Maucroix. On se promena d’abord dans l
lui avait rien laissé à faire de ce côté. Madame de Sévigné, dans ses
lettres
, s’égaye souvent à ses dépens, et fait plus d’une
querelles de ces trois femmes. Chapelle lui rappelait dans une de ses
lettres
l’embarras de Jupiter, pendant la guerre de Troie
crits du temps, dans les Dissertations de l’abbé D’Aubignac, dans les
lettres
particulières de Racine, que le suffrage de « mon
commencement de 1663 des pensions pour un certain nombre d’hommes de
lettres
, et Molière, aux titres duquel un succès tout réc
son auteur, notre chroniqueur, tout en enregistrant le succès dans sa
lettre
du 13 janvier, a bien soin d’ajouter avec prudenc
t capable de produire de très dangereux effets. » Loret, qui dans sa
lettre
du 10 mai disait, à l’occasion de la seconde jour
parlant de Molière, Cet auteur ayant vent en poupe, ajoute dans sa
lettre
du 24, confirmant assez l’hypothèse à laquelle no
decin écossais, qui s’était acquis beaucoup de connaissances dans les
lettres
aussi bien que dans l’usage de notre langue, en a
cardinal Mazarin. À la mort d’Adrien VI, les Romains firent écrire en
lettres
d’or au-dessus de la porte de son médecin : « Au
ue indigne d’un semblable honneur, fut opposée par quelques hommes de
lettres
à celle de La Fontaine. On remarqua surtout parmi
lus chaud partisan du Misanthrope. Il composa sur ce chef-d’œuvre une
lettre
apologétique assez mal écrite, mais mieux pensée,
ta jamais de faux jugements que contre notre auteur. Fénelon, dans sa
Lettre
à l’Académie française, dit : « Un autre défaut d
its : « Comment donc, ma fille, dit madame de Sévigné dans une de ses
lettres
, j’ai fait un roman sans y penser. J’en suis auss
res, prix fait », dit La Grange. Robinet en rend ainsi compte dans sa
Lettre
en vers à Madame, du 13 mars 1667 : Cette derniè
a dix-huitième représentation d’Attila. Robinet nous apprend, dans sa
Lettre
du 11 juin, que ce retard du Sicilien, lequel du
et malheureux, avait trop de titres à la reconnaissance des hommes de
lettres
et à l’estime du public pour que quelqu’un eût pu
ce découragement, ce profond chagrin. J.-B. Rousseau, dans une de ses
lettres
à Brossette, dit que « l’aventure du Tartuffe se
s la défense du parlement, on vit paraître, à la date du 20 août, une
Lettre
sur la comédie de l’Imposteur, qui dut nécessaire
s saillants. Cette exactitude, l’adresse avec laquelle l’auteur de la
Lettre
se constitue le défenseur de la pièce, le tact et
tudié la manière d’écrire de l’auteur du Tartuffe, retrouvera dans la
Lettre
sur l’Imposteur des tours et des expressions qui
ée pour très peu de chose dans l’État, vivait obscure et retirée. Les
lettres
, dont l’amour enflammait les rangs élevés de la s
lémaque l’accueillit avec plus d’empressement que tout autre. Dans sa
Lettre
sur l’éloquence, adressée à l’Académie française,
ièce subit quelques changements de l’une à l’autre représentation. La
Lettre
sur la comédie de l’Imposteur, dont nous avons dé
des vers, tu sais peu la peinture, dit-elle à notre auteur, dans sa
lettre
d’envoi, pour récuser son autorité. Nous ne penso
e ledit médecin est marié, et de plus qu’il est bien glorieux. » Les
lettres
qui suivent celle dont nous venons d’extraire ce
a campagne le sieur Baron, qui se rendit à Paris après avoir reçu une
lettre
de cachet, et eut une part. Et, deux mois après,
, ainsi que le constatent les annales contemporaines, et notamment la
lettre
très détaillée de madame de Sévigné du 19 décembr
que j’ai nourries dans mon sein, cela m’obligea de lui envoyer cette
lettre
: « À Monsieur Molière. — Je fus charmé et surpri
e injure, puisque vous ayant offert, et vous offrant encore par cette
lettre
, de faire votre musique purement pour mon plaisir
ur la conserver, il fallait ouvrir une nouvelle école. À la manie des
lettres
succéda la fureur des sciences ; les petits vers,
à renoncer à la profession de comédien et à se livrer entièrement aux
lettres
. L’Académie française offrait à ce prix une place
e français, 1674, in-12, p. 90.) 25. Voir précédemment, p. 14. 26.
Lettre
sur Molière et les comédiens de son temps ; Mercu
les comédiens de son temps ; Mercure de France, mai 1740, p. 847. La
Lettre
ajoute que De Brie succéda à Du Parc dans les rôl
de Thomas Corneille ayant compris dans les Œuvres de leur auteur des
lettres
dont les originaux autographes sont au départemen
un biographe de P. Corneille ayant reproduit un passage d’une de ces
lettres
, relatif à La Clairière et à sa tragédie, tous on
au (p. 110 de son Théâtre français). Mais la Bibliothèque possède une
lettre
autographe de cet auteur à l’abbé de Pure, signée
uliers qui les auraient fait imprimer, vendre et débiter en vertu des
lettres
de privilèges qu’ils auraient surprises en notre
médie non représentée, achevée d’imprimer le 4 août 1663, suppose une
lettre
adressée à Molière et par lui égarée, dans laquel
re année, p. 302. 60. Voir Le Mercure de France, mai 1740, p. 840. —
Lettre
sur la vie et les ouvrages de Molière et sur les
euilles extraordinaires des 16 et 23 novembre. Nous trouvons dans une
lettre
de Racine à l’abbé Le Vasseur, datée de ce mois,
: « Pour l’exempt, 20 livres ; pour le procureur, 20 livres ». 65.
Lettre
sur les Observations d’une comédie du sieur Moliè
ochemont ; Paris, Pépingué, 1665, in-12. 69. Nous avons déjà cité la
Lettre
sur les Observations. L’autre ouvrage est intitul
orrespondance manuscrite de Chapelain, à la date du 22 juin 1663, une
lettre
de lui à Colbert, renfermant le passage suivant :
ptême communiqué par M. Rochebilière. 83. Ils furent appelés par la
lettre
de cachet suivante : « À Saint-Germain-en-Laye,
n, lui a administré les sacrements à Pâques dernier (1672) ». 99. La
lettre
qui nous fournit ces détails fut écrite par un ec
olière est prononcé deux fois et avec sympathie, dit de même dans une
lettre
du 4 juin 1673, à Ottavio Ferrari, savant profess
peut croire. Extrait du Médecin volant Italien. Arlequin porte une
lettre
de la part d’Eularia au Seigneur Octave. Ce derni
re de la part d’Eularia au Seigneur Octave. Ce dernier lui demande la
lettre
. Arlequin la cherche long-temps, & la trouve
us dirai, Monsieur, c’est que je viens tout-à-l’heure de recevoir des
lettres
par où j’apprends que mon oncle est mort, & q
à côté des génies inventeurs; enfin c’est le naturel qui fait que les
lettres
d’une mère à sa fille sont quelque chose et que c
tre lui, et il en fit contre eux. Je ne connais guère que les gens de
lettres
à qui l’on a recommandé expressément de ne point
rime de 1’insensibilité. Il faut absolument qu’on regarde les gens de
lettres
comme les premiers des hommes ou comme les dernie
ut d’abord, le traducteur déclare qu’« il s’est constamment tenu à la
lettre
du texte, excepté quand cette méthode l’aurait ob
ssotin et à Vadius. Il ne manque pas non plus en Hollande d’hommes de
lettres
qui, par des conférences ou par des articles de r
trempe ? Je reviens maintenant au Reliquaire, — objet de la présente
lettre
. Aussi bien, en vous rappelant — sommairement — q
terrompus. Voici la réponse de l’auteur du Vieux-Neuf, et je crois sa
lettre
concluante : « Je n’ai pas voulu vous répondre a
and Richelieu, plus éclairé comme politique que comme inspirateur des
lettres
. Il y aurait peut-être un volume à écrire sous ce
si faiblement travesti, c’est Boursault, que Molière nomme, en toutes
lettres
, dans L’Impromptu de Versailles, en réponse au Po
1660, qu’on le plaçait partout dans la conversation. Loret divise sa
lettre
bourrue du 31 janvier en couplets qui se terminen
Ch. REVILLOUT, Professeur de littérature française à la Faculté des
Lettres
de Montpellier. Tome II, numéro 19, 1er octo
erça sur Chapelain, qui lui signa tout de suite son brevet d’homme de
lettres
; sur Colbert, qui fit honneur à la signature de
semble, et l’Œdipe de Corneille s’était joué le 24 janvier 1659 ; la
lettre
de Racine est du 5 septembre 1660, et il s’en fal
t, l’année suivante, une seconde tragédie ; mais cette fois, homme de
lettres
authentique et pensionné, ce n’était plus pour la
, en décembre, qu’elle allait bientôt être achevée. Seulement, si les
lettres
de Racine ne confirment pas la légende d’Uzès, el
igine à la troupe de Monsieur. Eh bien ! cela n’est pas. Dans la même
lettre
de décembre, où Racine écrit à son ami que la piè
hébaïde. Et cependant Racine était déjà en relations avec Molière. Sa
lettre
, toujours la même lettre, est pleine de Molière :
ine était déjà en relations avec Molière. Sa lettre, toujours la même
lettre
, est pleine de Molière : Racine ne connaît pas en
e Tralage) était parent… etc. » — Cette découverte se trouve dans les
Lettres
écrites de la Vendée à M. Anatole de Montaiglon p
Anatole de Montaiglon par Benjamin Fillon, Paris, Tross, 1861, in 8º (
Lettre
V, p. 68-73). Ce très intéressant ouvrage étant d
nt que la pièce était de Molière » ; je lui adressai, à ce sujet, une
lettre
qu’il inséra dans la seconde édition de son livre
urtout de L’École des femmes, mais il a imité de L’École des maris la
lettre
d’Isabelle à Valère, et la seconde scène du trois
pièce anglaise, c’est aussi le mari Pinchwife (Arnolphe) qui dicte la
lettre
à Horner (Horace), et c’est Mme Pinchwife (Agnès)
pleinement cette interprétation. Charles Robinet, constatant, dans sa
Lettre
en vers à Madame du 23 août 1665, le succès qu’av
cot reproduit, dans le dernier numéro du Moliériste, un passage d’une
Lettre
en vers de Robinet, bien que le sens unique dans
l on puisse prendre les mots « digne du cabinet » figurant dans cette
lettre
, soit celui de l’éloge, et de l’éloge à outrance.
ale du monde, que cette antique Comédie-Française était l’honneur des
lettres
, l’école du goût, le conservatoire du beau langag
élégants se faisaient un devoir d’exagérer. Loret, en effet, dans sa
lettre
du 3 juin 1656, parle d’un certain galant anonyme
e. 36. Ibid., p. 490. 37. Pages 495-496. 38. Pages 497-499. 39.
Lettre
du 14 février, lendemain de la représentation ann
. Donc, Le Moliériste d’hier, qui m’arrive à l’instant, m’apporte la
lettre
que M. Hermann Fritsche, de Stettin (province de
r en route en venant de Poméranie à mon adresse. Dans une fort belle
lettre
— que je ne suis pourtant pas assez Gascon pour c
au xviie siècle, qui paraîtra prochainement. 8. Voir de nombreuses
lettres
de Mme de Sévigné sur Balaruc. 9. Notre maison p
Garcie, ou du jaloux, est le seul digne d’être étudié. La scène de la
lettre
, la cinquième du premier acte ; celle du billet d
te, où Horace lui confie la manière dont Agnès lui a fait parvenir sa
lettre
, sont des modèles de comique. La scène huit du qu
gronde et instruit ses gens ; la scène quinzième, où on lit la jolie
lettre
de M. Thibaudier ; la seizième, où il vient lire
AMOUREUSES. La scène où Agathe, contrefaisant la folle, donne une
lettre
à son amant dans un papier de musique, et celle o
uelin à ses leçons, comme dans la suite il y admit Cyrano. Les belles
lettres
avoient orné l’esprit du jeune Pocquelin ; les pr
ncident mieux combiné & plus raisonnable que n’est celui des deux
lettres
supposées qu’Ariste apporte au cinquiéme acte ; l
roisiéme acte de George Dandin. 9. Voyez muse historique de Loret,
lettre
48 du 6 novembre 1659. Cette troupe de comédien
17. Voyez Grimarest, page 125. 18. Voyez muse historique de Loret,
lettre
21 du 10 juin 1662. 19. ibid. lettre 45 du 18 no
Voyez muse historique de Loret, lettre 21 du 10 juin 1662. 19. ibid.
lettre
45 du 18 novembre 1662. L’école des femmes, comé
Paris sur le théatre du palais royal le 26 décembre 1662. 20. ibid.
lettre
2. du 30 janvier 1663, où il dit, en parlant de l
is royal, le 1 juin 1663. 21. Il fut compris dans l’état des gens de
lettres
qui eurent part aux libéralités du Roi en 1663, p
; sa mere, au mois de septembre 1662. Voyez Muse historique de Loret,
lettre
40, de l’année 1655, & lettre 35, de l’année
62. Voyez Muse historique de Loret, lettre 40, de l’année 1655, &
lettre
35, de l’année 1662. 72. On disoit que Moliere,
ouches avoit encore tenu la parole qu’il nous donne dans la troisieme
Lettre
à M. le Chevalier de B**, il auroit augmenté le n
aque situation & l’ensemble produisoient sur l’esprit des gens de
lettres
auprès de qui j’avois soin de me placer, sur le p
es égards que les hommes bien nés, & particuliérement les gens de
lettres
, se doivent ; le public décidera. Je le prie de s
vos conseils, il deviendra digne de vous & de moi ». Une seconde
lettre
, bien flatteuse pour Aristote, est celle qu’Alexa
le mariage va se conclure, quand le coureur du futur, chargé de deux
lettres
, l’une pour un Duc, l’autre pour Benjamine, fait
e pour un Duc, l’autre pour Benjamine, fait un quiproquo. On prend la
lettre
, on l’ouvre sans regarder le dessus. On lit : «
de Moncade. Le Coureur s’apperçoit de sa méprise, vient reprendre la
lettre
, la porte à son adresse. Moncade paroît avec tous
ts, il ne sait comment s’y déterminer. Stukéli envoie à Béverley une
lettre
conçue en ces termes : « Venez me voir le plus p
qu’elle sent pour lui ; mais ne sachant comment lui faire parvenir la
lettre
, elle fait une fausse confidence à son tuteur : e
le spectateur, par une idée tout-à-fait naturelle, il veut ouvrir la
lettre
, & dit : Bon ! voyons ce qu’il a pu t’écrire
e s’en ouir conter : Et je trouve à propos que, toute cachetée, Cette
lettre
lui soit promptement reportée, Afin que d’autant
trouva l’origine plus que douteuse, je suis de son avis, et, dans une
lettre
adressée à L’Entracte, il réclama tout simplement
l’importance n’échappera à aucun des lecteurs du Moliériste, est une
lettre
adressée aux consuls d’Albi par le comte de Brete
rtuffe, devrait être habillé comme lui. Mme Thierret a pris trop à la
lettre
ce que lui dit Mme Pernelle : « Vous êtes, ma mi
euve de feu Sébastien Asselin, vivant marchand tapissier. » Dans une
lettre
sur « la maison natale de Molière » insérée t. i
e coin de la rue des Estuvées, taxée à huit livres. » Enfin, par une
lettre
conservée aux archives de l’Assistance publique,
la reproduction du journal volumineux de son père, il publiera : une
lettre
d’Alexandre adressée en nivôse an X au ministre d
e poteau ; l’autorisation du ministre en date du 13 nivôse an X ; une
lettre
au préfet à ce sujet ; une lettre à M. Clavareau,
tre en date du 13 nivôse an X ; une lettre au préfet à ce sujet ; une
lettre
à M. Clavareau, architecte des hospices, annonçan
ispersion de 1816, le laissa ainsi que nous l’apprend Beffara dans sa
lettre
déjà citée, « détruire et employer dans les bâtim
e des Arts »ou plutôt, comme le pense Alexandre Lenoir dans une autre
lettre
du 23 janvier précèdent conservée aux mêmes archi
enant général pour sa Majesté en la dite province, résultant par deux
lettres
missives. Appert du dît payement par quittance du
t le duc d’Arpajon, lieutenant général, qui écrit successivement deux
lettres
missives aux consuls d’Albi pour leur recommander
es, et il est probable qu’on trouverait dans cette dernière ville des
lettres
semblables, qui enjoignent aux magistrats consula
aque, posée le 26 octobre 1876, est en marbre noir et porte gravée en
lettres
d’or l’inscription suivante : « Cette maison a é
lèbre à la cour du duc de Parme ; Louis XIV le demanda au duc par une
lettre
du 5 juillet 1660. Ce fut à Paris, sinon le premi
e Palaprat à l’ami de Scaramouche et de Molière. M. Regnier, dans une
lettre
adressée à M. Guillard le 23 avril 187353, fait r
nes dans Le Temps. Le Moliériste a inséré, il y a quelques mois, une
lettre
de mon spirituel confrère Paul Lindau, de Berlin
, une lettre de mon spirituel confrère Paul Lindau, de Berlin ; cette
lettre
est un échantillon du zèle avec lequel l’élite de
ie, dans laquelle Alceste laisse éclater son désespoir à propos d’une
lettre
adressée à Oronte, que la perfide Arsinoé lui a r
sinoé lui a remis entre les mains, ne rappelle-t-elle pas cette autre
lettre
qu’un lâche fit tenir à Molière pour lui prouver
ontausier. — Massillon, Oraison funèbre du Dauphin. — Mme de Sévigné,
Lettre
du 4 août 1677. — Amédée Roux, ouvrage cité. — Le
de la ressemblance du portrait de Lucile avec Armande, consultez les
lettres
de Mlle Poisson, insérées au Mercure de France, m
omédiens ; Paul Lacroix (Bibliophile Jacob), La jeunesse de Molière,
lettre
de Félix Delhasse, p.’13; etc., etc. 46. F. Géni
mais comme fille d’esprit, convenablement élevée, sœur d’un homme de
lettres
fort répandu, et aussi comme une personne peu fav
mais occasion de lui donner de semblables avis. 32. Septembre 1640.
Lettre
de Voiture à mademoiselle de Rambouillet, qui éta
des armes contre ses mauvais propos. Elle a déja entre ses mains une
lettre
amoureuse de la fausse prude, & elle l’engage
otivé le monologue. Ils font que Pasquin, dans son ivresse, trouve la
lettre
amoureuse de la prude, & la livre au mari, qu
use de son amant. Dans la piece imprimée, c’est la niece qui livre la
lettre
à l’oncle, & le trait est affreux. Par le cha
regne de Louis XIV fut un temps de prospérité pour les Arts & les
Lettres
, parceque ce Prince fit les établissements les pl
des mains de la fortune : soyons donc justement étonnés d’y voir les
Lettres
dédaignées : soyons surpris sur-tout que l’art dr
lité. La nature le destinoit à illustrer sa patrie : le discrédit des
Lettres
, les privileges tyranniques d’une seule troupe en
onde devroit être plus intéressante pour un Comédien, que les gens de
Lettres
? n’ont-ils pas travaillé bien efficacement pour
le craint d’en être abandonnée. Elle prie son frere de lui écrire une
lettre
; elle fait mettre dessus, à l’amant voyageur, pa
geur, parcequ’elle pense qu’Arlequin est parti. Arlequin croit que la
lettre
s’adresse au Pélerin ; il devient encore plus jal
re plus jaloux : il attend que Camille soit seule ; il s’empare de la
lettre
qu’elle a fait écrire, & veut la tuer. Célio
me ignare de toute bonne discipline, bannissable de la République des
Lettres
. Sganarelle. Ah ! bon ! en voici un fort à propos
che lire & écrire ; pour lire & écrire, il faut connoître les
lettres
; pour connoître les lettres, il faut aller à l’é
lire & écrire, il faut connoître les lettres ; pour connoître les
lettres
, il faut aller à l’école ; pour aller à l’école,
mond de Mormoiron, comte de Modène1, est connu dans la république des
lettres
par une Histoire des révolutions de la ville et d
a, p. 7. 23. Id., p. 15. 24. Vie de Molière, par Grimarest. 25.
Lettres
de Racine, dans l’édition de La Harpe, faite sur
s de Racine, dans l’édition de La Harpe, faite sur les originaux. Ces
lettres
ne sont point complètes dans l’édition de Luneau
ce qu’elle est aujourd’hui. Nous en avons la preuve certaine dans une
Lettre
sur la comédie de l’Imposteur qui fut publiée qui
ut publiée quinze jours après la représentation du 5 août 1667. Cette
lettre
, qui serait un effort prodigieux d’attention et d
ommunication de manuscrit plus ou moins adroitement dissimulée, cette
Lettre
, dis-je, contient l’analyse de la pièce, acte par
ésentation a été, pour plusieurs personnes, un motif de croire que la
Lettre
était l’ouvrage de Molière lui-même. Les éloges q
composé sa comédie. D’un autre côté, J.-B. Rousseau, dans une de ses
lettres
à Brossette, se souvient d’avoir ouï dire que l’
’agit de littérature, l’opposé d’un homme du monde, c’est un homme de
lettres
; et, quand il s’agit de religion, c’est un homme
elle éprouva et qui caractérise l’époque. Des artistes et des gens de
lettres
avaient eu la pensée d’élever la statue de Molièr
us les artistes supérieurs, M. Regnier, s’avisa de remarquer dans une
lettre
adressée à M. de Rambuteau, préfet de Paris, que
à la mémoire de celui qui fut le père de la comédie française. Celle
lettre
écrite avec autant de modestie que de convenance1
ar l’Académie Française. Molière…… C’est mon homme. La Fontaine. — (
Lettre
à M. de Maucroix.) I. Aux dernières lueur
ire du Théâtre-Français. » Paris, 14 mars. « Monsieur, J’ai reçu la
lettre
que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire au suj
ue, sera imputée sur le fond affecté aux beaux arts, ci 5,000. 2° Une
lettre
de M. Vedel, vice président de la commission de s
cins au temps de Molière, H. Raynaud, p.31. 8. Citées par Gui Patin,
Lettres
, t. III. 9. Le Mariage forcé. sc. vi. 10. Le
s gentilhomme, acte II, sc. VI. 14. Id., acte II, sc. IV, VI. 15.
Lettres
de Gui Patin, t.1, p. 131. 16. Id., t. III, p.2
5. Lettres de Gui Patin, t.1, p. 131. 16. Id., t. III, p.292 17.
Lettre
de Gui Patin, t. III, p. 416. 18. Le Médecin ma
vi. Gui Patin appelle Van Helmont « un méchant pendard de Flamand.» (
Lettres
, t.1, p. 314.) Ce Flamand a posé les bases de la
ne cum heliotropia quae ejus vim persentiunt, in ipsum respectant. » (
Lettre
de Gassendi à Campanella, mai 1683.) — Cette lett
um respectant. » (Lettre de Gassendi à Campanella, mai 1683.) — Cette
lettre
parut eu 1658, et le Malade imaginaire est de 167
x historiens, les faux railleurs, les faux braves, les faux hommes de
lettres
, et si parmi les choses que vous avez écrasées, i
rhéteurs donnent au drame son droit de bourgeoisie ! Ils donnent ses
lettres
de noblesse au vaudeville ! De quel droit, et com
olibets, de proverbes et d’équivoques, les braves gens qui vivent des
lettres
ou du théâtre, et qui se figurent qu’ils exercent
impuissants, les spéculateurs en ronds de jambe et les faux hommes de
lettres
ont beau faire et s’écrier que la critique est in
Notez, — les hommes de génie ont de si belles chances ! — que si les
Lettres
provinciales n’eussent pas été en effet une coméd
te sans égale parmi les batailles suprêmes de la comédie. La seizième
lettre
de Pascal, l’apologie du vol, ne fut pas plus imp
chagrin mortel ; et je voudrais pour toute chose au monde, ou que la
lettre
n’eût jamais été imprimée, ou que je n’eusse jama
choses et des personnes ! Ceci me rappelle ce passage de la troisième
lettre
, à une demoiselle de Metz, où il dit : — Appartie
la comédie, que cette réponse de Bossuet à la préface de Tartuffe. La
lettre
de Rousseau à d’Alembert sur le même sujet, compa
. La lettre de Rousseau à d’Alembert sur le même sujet, comparée à la
lettre
du P. Caffaro, n’est qu’une déclamation misérable
as l’école des mœurs, mais l’école des passions. Après avoir lu cette
lettre
admirable et sans réplique, la comédie eût bien f
Bartholo : Je vous parie que Figaro était chargé de vous remettre une
lettre
? — Rosine : Et de qui donc, s’il vous plaît ? —
donc pas la peine de se donner tant de mal pour remettre à Rosine une
lettre
que le barbier Figaro lui aurait tout aussi bien
, quand à force d’insolence il fut chassé de la cour. « Blondin, sans
lettres
ni aucun ornement dans l’esprit, méchant et malin
le salon de Célimène, vous retrouvez, presque aussi bien que dans les
lettres
de madame de Sévigné, le spirituel gazouillement
re ! et le malheureux, quel grand amour ! L’aventure du billet, cette
lettre
qu’on lui dit adressée à une amie, hélas ! c’est
se venge mal du mépris d’une coquette, avait fait tenir à Molière une
lettre
de sa femme au comte de Guiche, et aux premières
e de Guiche, et aux premières larmes de sa femme, qui niait que cette
lettre
fut adressée à un homme, Molière, à deux genoux,
lle sacrifiée à ce misérable, en est réduite à épouser Tartuffe ; une
lettre
de cachet jette Valère à la Bastille ; il n’y a p
ent à eux-mêmes. » C’est donc avoir beaucoup fait, pour la gloire des
lettres
, de ne point se départir, ni du tour ni du caract
stoire du Tartuffe, voir : La Préface et les Placets de Molière ;
Lettre
sur la Comédie de l’Imposteur, publiée en 1667, e
le sieur de Rochemont, 1665 ; Réponse aux observations, etc., 1665 ;
Lettre
sur les observations, etc., 1665 ; La Critique d
de cette scène, on doit remarquer avec quelle légèreté parle Fénelon (
Lettre
à l’Académie française, VII). 95. Boileau, Satir
vie et des ouvrages de Molière, liv. I, à la fin. 123. Voir Loret,
Lettre
du 6 février 1655. — À toutes ces excellentes scè
ne comédie humaine intéressante encore, pour être d’un moraliste. Les
lettres
de La Bruyère sont rares. Quelques-unes, jusqu’al
veux gris ; il s’en était plaint ; et La Bruyère se défendait dans sa
lettre
d’une aussi méchante intention. Il calmait de son
chauffent autour d’un pâté !… Or, il existe une seconde édition de la
lettre
; mais il s’y trouve une légère variante de la ph
à supposer qu’elle soit tirée, comme le croit M. Fournier, de quelque
lettre
originale tombée par hasard aux mains du libellis
, tranquillement, le sourire aux lèvres, quand j’ai dans ma poche une
lettre
qu’elle a écrite à un autre, à Oronte, à un homme
mettre à bout, j’ai des moyens tout prêts. Étalant triomphalement la
lettre
à Oronte : Jetez ici les yeux et connaissez vos
ait accent de surprise, Oronte ! quelle idée ! … qui vous dit que la
lettre
est pour lui ? Voilà notre homme abasourdi. Pas
axiomes classiques et qui n’empêchaient pas Corneille d’accepter des
lettres
de noblesse, ni Jean-Baptiste Poquelin de s’appel
dit la Gazette de Robinet. Un ami inconnu a plaidé sa cause dans la
Lettre
sur l’Imposteur, qui est un panégyrique de l’œuvr
. Nous connaissons la seconde, Panulphe, par l’analyse qu’en donne la
lettre
sur l’lmposteur. De la première nous ne savons ri
lieu ? Quel en fut le résultat ? Ici, nous avons un guide : c’est la
lettre
sur l’Imposteur, qui débute par un précieux compt
la soutane que portaient chez les grands, leurs hôtes, les hommes de
lettres
domestiqués, Cureau de la Chambre chez le préside
s un tel cri. C’est cet état moral que Molière livre à nos risées. La
Lettre
sur l’lmposteur a là-dessus quelques pages excell
ntions, scrupuleusement observées, éclataient dans tout leur jour. La
lettre
, d’ailleurs, ajoute plus loin cette très belle pa
scrit de Lagrange. préface E. Thierry, p. 78. 6. Moliériste, N° 31,
lettre
publiée par M. le duc d’Aumale ; n» 32, article d
ère 14. Voir E. Thierry, la Seconde interdiction de Tartuffe, et la
Lettre
sur l’Imposteur, dans l’éd. Mesnard. 15. Le P. M
, Le Boulanger de Chalussay ne se gêne pas pour l’expliquer en toutes
lettres
dans son pamphlet rimé. Or, qu’Armande fût la fil
préfaces, mais aussi dans des dissertations étendues, telles que les
lettres
sur le Misanthrope et sur Tartuffe, n’a jamais ri
e. Nombre d’honnêtes gens jureraient que Molière s’était attribué des
lettres
de marque pour courir en corsaire sur ses contemp
empressa de lui adresser, avec un sonnet qu’on trouvera plus loin, la
lettre
que voici, retrouvée par M. Monmerqué dans le man
tion, c’est qu’il n’y faut pas voir autre chose que le fragment d’une
lettre
, écrite par Molière, du temps de ses chagrins, à
une plus modeste et plus inconnue, mademoiselle Menou. C’est par une
lettre
de Chapelle, que nous avons appris cette complica
ait certes pas assez pour que nous nous intéressions à elle ; mais la
lettre
de Chapelle est venue éveiller cet intérêt et le
nnes, j’allais presque dire de ses autres sultanes. Chapelle, dans sa
lettre
, donne à entendre tout cela. Il parle de la premi
le et de vous. » Il lui recommande ensuite de ne pas faire lire cette
lettre
« à ses femmes », à cause de certains vers qui la
. « Je les ai faits ajoute-t-il, pour répondre à cet endroit de votre
lettre
, où vous particularisez le déplaisir que vous don
ges du grand poète, que tout cet esprit laborieusement ranimé sous la
lettre
morte des vieux livres. Parmi tous les ridicules
ts, qui — certes, il ne s’en doutait pas — sont devenus pour elle des
lettres
d’authenticité. Ce qui devait la faire à jamais d
imprimé, onze ans avant sa naissance ? Si l’on ne s’attache plus à la
lettre
, mais à l’esprit, l’on trouvera que le mot mis en
plus vraisemblable. C’est Boursault, qui raconte l’anecdote, dans une
lettre
à l’évêque de Langres54 : Du temps qu’il était g
ns ; mais, homme d’esprit comme il l’était, instruit, ami des gens de
lettres
, il ne pouvait s’accommoder, même sous le masque,
tte province, des impôts qu’il lui serait impossible de supporter. La
lettre
qu’il écrivit pour que le roi, à qui il n’osait p
ure et si désintéressée avait germé sous ses enseignements, que cette
lettre
était adressée ; c’est lui que le prince faisait
en faisceau ; maintenant, elles sont éparses de tous côtés, dans les
lettres
, dans les Mémoires de l’époque ; elles existent,
passage qu’il prit presque textuellement dans la septième des Petites
lettres
, pour l’enchâsser dans son cinquième acte, ne lai
tait un samedi, jour de clôture pour le théâtre, lorsque l’affiche en
lettres
rouges, qui annonçait la veille le spectacle du l
la quinzaine qu’avait durée la clôture de son théâtre, cette fameuse
Lettre
sur l’Imposteur, écrite sinon par lui, du moins s
n 1844, par M. Lorne, de Sens ; il porte cette inscription, écrite en
lettres
d’or avec l’orthographe du temps, sur la partie s
euse dont ses nerfs de puriste s’ôtaient révoltés. Je m’étonne que la
lettre
du 28 janvier 1772, où il donne ce curieux consei
ur les obtenir, solliciteur empressé près de Rousseau. Après quelques
lettres
, celui-ci s’exécuta, en s’étonnant qu’on y mit ta
ous avez mon enseigne. Molière leva les yeux, et lut écrit en grosses
lettres
ce nom magique : Fleurant. « Admirable ! s’écria-
prit et renouveler ses malices. Celui qui s’y trouvait joué en toutes
lettres
, se fâchait, mais on le laissait faire, en riant
comédien était obligé de faire. « Le sujet — dit La Fontaine dans une
lettre
à son ami Maucroix, qui vaut, sur cette fête et s
u’un dédain voilé, qu’il ne voulait pas voir, et il écrivit, dans une
lettre
aussi curieuse que peu connue : « Il fut autrefoi
omme il l’entendait, au sujet de son art ; c’est lorsqu’il écrivit la
Lettre
sur l’Imposteur, dont l’auteur a été si vainement
plus, pour ajouter encore à l’évidence, ce nom revint, dit en toutes
lettres
par un des personnages à la fin de la pièce. Bour
is XIV est certain. Racine lui-même est là, pour l’attester. Dans une
lettre
à son ami Levasseur, datée du mois de décembre 16
urs après la représentation, le journaliste Donneau de Visé, dans une
Lettre
sur le Misanthrope, qui est le prototype des feui
omédie, dit encore Donneau de Visé, le Critique du lendemain, dans sa
lettre
sur le Misanthrope, commence par le Misanthrope,
a revu les épreuves de l’impression ; or, avec quelle orthographe la
lettre
moulée a-t-elle reproduit, sous ses yeux mêmes, l
hographe la lettre moulée a-t-elle reproduit, sous ses yeux mêmes, la
lettre
écrite ? C’est ce qu’il s’agissait de chercher, e
donc, alors ? Il faudrait ce que Molière fit imprimer lui-même, avec
lettres
noires pour le nom de la pièce, et lettres rouges
it imprimer lui-même, avec lettres noires pour le nom de la pièce, et
lettres
rouges pour celui de l’auteur, — c’était l’usage,
romanesque, et lui donner ainsi ce qui lui manquait pour naître. Une
lettre
de Mlle Du Pré à Bussy, du 27 décembre 1669, qui,
s, ne se doutait de rien. Il n’avait pas su voir cette inscription en
lettres
minuscules gravées dans l’intérieur du boîtier :
plus fins et des plus heureux dans leurs recherches, la très curieuse
lettre
qu’on va lire : Monsieur, Tout n’a pas été dit s
nne, fort entendue en toutes les choses, me dit : « Avez-vous relu la
Lettre
sur la comédie de l’Imposteur ? Vous savez ce qu’
d’abord, avant sa seconde interdiction ; vous n’ignorez pas que cette
lettre
est peut-être de Molière, ou que, tout au moins,
; en un mot, il vous est acquis, comme à moi, n’est-ce pas, que cette
lettre
, si elle n’est pas de l’auteur même, est de quelq
s, pour qu’il n’y ait plus le moindre doute, le passage de la fameuse
Lettre
sur la comédie de L’Imposteur : « Tous remarquer
ge de Senécé, dans son pamphlet contre Lully, publié sous le titre de
Lettre
de Clément Marot à M. de S…, qui nous a fait conn
nt retourné dans la maison où il avait vu le prince, y trouvait cette
lettre
, qui n’avait pu être portée chez lui, car il avai
enfin à une pauvre jeune servante, pour laquelle, au lieu de la sotte
lettre
qu’elle a reçue du balourd, son fiancé, et qu’ell
son fiancé, et qu’elle ne peut lire, il imagine, en la lui lisant, la
lettre
la plus charmante et la mieux remplie d’alléchant
iva-t-il à la Comédie Française ? En 1839, dit-il d’abord ; puis, une
lettre
de l’excellent Regnier survenant, il penche pour
nt, il penche pour 1838, et, enfin, croyant trop sur parole une autre
lettre
datée de 1845, il s’arrête à cette dernière date.
Q. 688, art. 77. Cette tragédie n’était autre que la Thébaïde. 22.
Lettres
de madame Du Noyer, t. III, p. 259. 23. Voy. Cou
suite de la Correspondance de Boileau et de Brossette, p. 517. 54.
Lettres
nouvelles de M. Boursault, 1703, in-12, t. II, p.
volume A, p. 183. 80. M. de la Rochefoucauld-Liancourt a donne cette
lettre
en entier dans son livre Etudes littéraires et mo
moires de Choisy, collection Petitot, 2e série, t. LXIII p. 71. 84.
Lettres
, t. VII, 436. 85. V. notre petit livre L’Esprit
VII, 436. 85. V. notre petit livre L’Esprit dans l’Histoire. 86.
Lettre
du 9 septembre 1677. 87. Mémoires de Maurepas,
n-8, p. 246. 92. Notes sur le Journal de Daugeau, 4 mars 1707. 93.
Lettre
du 19 janvier 1674. 94. On connaît, à ce sujet,
1. Auger a publié, d’après les manuscrits de Conrart, le sonnet et la
lettre
que cette mort inspira à Molière. 102. M. Tasche
u dernier siècle, les Flèches d’Apollon, t. Il, p. 73. 108. Seconde
lettre
de M. Racine, en réponse à celles de MM. Dubois e
e, 1S44, in-8, t. VI, p. 125. Nous donnons cette citation, d’après la
lettre
même de Racine, et non, comme tout le monde, d’ap
les Mémoires de L. Racine, 1747, in-12, p. 40. 124. Voir une de ses
lettres
de décembre 1663. 125. Le Manuscrit de Lagrange,
jet, dans le Catalogue de Pont de Vesle (1774, in-8. p. 58) : « Cette
lettre
est de Molière, qui l’avait donnée pour faire con
surtout à Gênes et dans le Levant. Colbert en parle souvent dans ses
lettres
. Chaque fois qu’il y est question, comme dans cel
uliers qui les auraient fait imprimer, vendre et débiter en vertu des
lettres
de privilège qu’ils auraient surprises en notre g
uit qu’il en pourrait retirer, nous aurait requis de loi accorder nos
Lettres
, avec les défenses sur ce nécessaires. » La plain
-ce que je parle à toi ? lui répondit-il. Madame de Sévigné, dans ses
lettres
, fait quelquefois allusion à cette plaisante répo
lle s’est montré l’admirateur de Molière jusqu’à lui donner, dans une
lettre
qu’il lui écrivait, le nom de grand homme, titre
t jugés le plus dignes après leur mort. Je désire, pour l’honneur des
lettres
, que ces personnes aient raison, et même je pench
rdons à Shleghel (sic) et à Mme de Staël, dont le fils te porte cette
lettre
jusqu’à Coppet, mais je trouve que ce n’est point
le titre que je transcris ci-dessus. Le livre était accompagné de la
lettre
suivante : V. d’Avray, samedi. Cher ami, en arri
liothèque, voici donc le volume de Stendhal ; vous trouverez : Iº une
lettre
que m’écrivait à Rome le capitaine Bazouin, comma
tié. Cordialement à vous et encore merci. Alfred Mayrargues Voici la
lettre
du capitaine Bazouin. Civita-Vecchia. le 25 mars
par la force sous les Romains, par l’astuce (avec les papes), par les
lettres
(sous Léon X’ par les beaux-arts (avec Raphaël et
na. Ce volume ne m’a pas quitté, et je ne l’ai guère lu. En 1809, les
Lettres
persanes ont été bien souvent lues par moi. » Il
erses pièces inédites relatives à Stendhal A Beyle (1822 ?).
Lettre
de Beyle a propos des Anecdotes arabes à citer. (
s pour la place vacante. C’est alors qu’il écrivit à M. de Mareste la
lettre
suivante que je retrouve dans les papiers du marq
ris, le 9 mai 1829. Monsieur, J’ai reçu avec un véritable plaisir la
lettre
que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire hier e
ation que lui donnaient d’ailleurs ses travaux personnels, signait la
lettre
suivante que je soupçonne fort Champollion-Figeac
othèque du roi. Monsieur le comte. J’ai reçu successivement les deux
lettres
que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire en fav
pe, le plaisir de lui reconnaître un ruban vert dans la lecture de la
lettre
et la scène de Dubois, sont les seules exceptions
er, de n’être pas écoutée. Madame Pernelle Vous êtes un sot en trois
lettres
, mon fils ; C’est moi qui vous le dis, qui suis v
riginal. La faute en est à la campagne de Russie. Gina trouve que mes
lettres
d’il y a deux ans étaient bien plus enflammées qu
pointement. On ne peut donc pas rendre ridicule la femme qui aime les
lettres
pour les lettres, celle qui s’enferme dans son bo
peut donc pas rendre ridicule la femme qui aime les lettres pour les
lettres
, celle qui s’enferme dans son boudoir pour lire l
bre ou du 3, et celui de Bussy Rabutin, je crois, dans le recueil des
lettres
de ce dernier. Ce jugement que Geoffroy n’a pas l
cule les jugements du journaliste. Et quelques rognures de l’homme de
lettres
, les femmes savantes intrigant pour donner une pl
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