profit à son Libraire, sous le nom de Molière, qui rappelle assez son
Lecteur
: Mais le style de la Critique est aisé ; il n’es
point perdre de vue, comme les moyens les plus assurés d’attacher le
Lecteur
. À observer trop rigoureusement la pureté de la G
rend bien souvent une lecture languissante ; on ne réveille point le
Lecteur
. J’avoue qu’un long et fréquent usage de la langu
n ; par de petites aventures qui ne sont bonnes qu’à amuser de petits
Lecteurs
. Ce n’est point là Molière ; il a eu des Scènes à
pas permis de faire un Livre pour les lui détailler, j’ennuierais mon
Lecteur
: mais je puis reprocher à mon Censeur qu’il ne l
vrai, toute la délicatesse que la nature exige. Mais, diront quelques
Lecteurs
indifférents, voilà bien sérieusement répondu à u
al reçus à leur donner l’esprit d’un rôle. J’ennuierais sans doute le
Lecteur
de pousser plus loin cette matière ; en voilà ass
ormer un après le jugement du Public ? Non, j’ai taché de prévenir le
Lecteur
par mes expressions, et de l’amener au sentiment
l’autre monde. Cependant je ne puis m’empêcher de faire remarquer au
Lecteur
le travers de mon Critique ; qui trouve à redire
fait voir les faiblesses de Molière. Pourquoi, dit-il, faire rire le
Lecteur
en lisant la Vie d’un Homme si grave ? Que de con
nnaître qu’il faisait des charités. J’ai laissé tout cela à penser au
Lecteur
; mais mon Censeur ne pense point, et s’en tient
pourrait avoir le plus grand nombre de son côté ; il amuse les petits
Lecteurs
; il y a des aventures qui font rire : il y a des
s propre à faire connoître les beautés d’une ode latine à ceux de mes
Lecteurs
qui n’entendent pas la langue d’Horace. Traducti
ous sans cesse Pour vous raccommoder. Je ne crois pas déplaire à mes
Lecteurs
, en mettant sous leurs yeux la scene du Devin de
moi l’admirateur de Moliere : l’on s’en apperçoit, je pense, & le
Lecteur
dit peut-être de moi ce que Dorine dit d’Orgon à
l’ignorant ! Je suis trop honnête & trop rempli d’égards pour mes
Lecteurs
, pour leur répondre sur ce ton ; mais ils me perm
& je vais tâcher d’entraîner le sentiment de quelques-uns de mes
Lecteurs
, en leur donnant l’extrait d’une piece espagnole
; mais celui-ci profite de ce temps-là pour enlever sa maîtresse. Le
lecteur
peut voir sans peine que tout ce qui se passe dan
pour l’auteur des vers qui, sous le masque femelle, ont agacé tant de
lecteurs
& fait un si grand nombre d’enthousiastes. A
dans la Métromanie, si nous n’avions résolu de laisser entiérement au
Lecteur
le plaisir de prononcer sur les Auteurs vivants.
& a très bien fait. Un extrait concis des Fils ingrats mettra le
Lecteur
à portée de comparer tout de suite le Conte avec
ns les premiers volumes de cet ouvrage, nous avons toujours laissé au
Lecteur
le droit de prononcer, ou nous n’avons parlé que
9). Mais ceci doit suffire, je pense, pour faire juger du tout, et le
lecteur
« est déjà charmé de ce petit morceau (10). » — Q
hilosophie et de l’école au dix-septième siècle. Et même (je ferai au
lecteur
cette confidence), si fêtais partisan de la métem
stote dans le chapitre de la qualité (28). » Je ne crains pas que le
lecteur
se soit mépris sur le ton de cette exposition. Ma
ort recommandé dans les premières pages du Discours de la Méthode. Le
lecteur
me pardonnera de remettre sous ses yeux une parti
ut être reçue, Mais nous en bannissons la substance étendue (35). Le
lecteur
a reconnu les deux définitions du corps et de l’â
rps est moi-même. » C’est la seconde thèse gassendiste. L’embarras du
lecteur
s’accroît : qu’il me permettre de l’accroître enc
que La Fontaine dans la sienne (51). » « Dans l’ensemble » : que le
lecteur
se garde bien d’oublier le mot. Oui, le devoir av
tenant à porter ce jugement sur cette œuvre. Nous laissons ce soin au
lecteur
. Heureux si ces deux résultats acceptés par lui p
ouris. Mon dessein est, dans ce Chapitre, de mettre sous les yeux du
lecteur
des exemples de tous les genres de titres que les
gi-comédie l’Athée foudroyé. Une courte analyse du sujet fera voir au
lecteur
si son titre est mieux choisi que celui de ses co
. Il est inutile de citer un plus grand nombre de mauvais titres : le
lecteur
en doit tant connoître ! Titres qui marquent
scenes de toilette de Moncade qui sont charmantes : j’en fais juge le
lecteur
. Dans la scene VI, Moncade paroît en robe de cham
& le public, auroient été du dernier pitoyable. Plusieurs de mes
lecteurs
vont s’écrier peut-être, qu’il n’étoit pas nécess
par des moyens meilleurs. Si j’ai le malheur de ne pas persuader mes
lecteurs
; qu’ils assistent à une représentation de cette
crétaire de la chambre. Desportes lui avait succédé, sous le titre de
lecteur
. Bertrand, sous celui de secrétaire du cabinet, e
de lecteur. Bertrand, sous celui de secrétaire du cabinet, et ensuite
lecteur
du roi. Henri IV commanda à Malherbe de se tenir
e mon sujet ; mais je me suis assurée que je ne déplairai point à mon
lecteur
en parlant d’une chose si adorable. » On voit pa
ols, & on les a admirés : grands Dieux ! Mettons sous les yeux du
Lecteur
un exemple qui prouve le mauvais goût des auteurs
, près de cent vers, sur lesquels je passe pour conduire bien vîte le
Lecteur
à la derniere tirade. Alcidon. Que tous ces beau
défaut de Desmarets ; mais, fort heureusement pour lui & pour ses
lecteurs
, il ne l’imite pas long-temps. LE MENTEUR. ACTE I
. Piron a surement senti mieux que moi ce que je fais remarquer à mes
lecteurs
. Je me suis trouvé à côté de lui à une représenta
que d’assister seulement à l’une de nos pieces modernes. C’est à mes
lecteurs
à peser cette pensée, à juger combien de goût, de
maines cette piece, & tout le monde la sait par cœur. Je prie mes
lecteurs
de remarquer qu’ils ne sont frappants que parcequ
d’Elmire, ne peut que faire une peinture très énergique. Pour que le
lecteur
puisse tirer quelque fruit de cet article ; pour
uez donc votre pensée, car nous ne pouvons pas la deviner. — Mon cher
lecteur
, j’ai fini ma tâche. Il y a aujourd’hui une quest
’écoute avec ravissement une mélodie italienne, et que vous, mon cher
lecteur
, vous haussez légèrement les épaules avec une exp
défie de goûter autant que moi ceux de Mérimée. Vous voyez, mon cher
lecteur
, que je ne résous rien, et que je ne me mêle pas
t éloigné de la vraisemblance, que ce seroit abuser de la patience du
Lecteur
que d’en donner la réfutation : aussi nous ne l’a
ui espere jouir d’un bien, désespere tout le temps qu’il espere. Mon
lecteur
ne reconnoît-il pas là Belle Philis, on désesper
nous suffira d’en dire deux mots pour rappeller seulement le sujet au
Lecteur
. Précis des Fâcheux. Eraste & Orphise brûl
s envers les étrangers, & notamment envers les Allemands, curieux
lecteurs
& spectateurs desdites inscriptions... Eraste
notre Comique : n’importe, les éloges ne sont pas moins pour lui. Le
lecteur
va voir si je me trompe ; mais il est nécessaire
. Ce sont de simples réflexions que je propose au discernement de mes
Lecteurs
. Quant au dernier trait des deux Satyres, si des
ur le théâtre les événements heureux ou malheureux de leur siecle. Le
lecteur
verra surement avec plaisir l’extrait d’une des p
e de lui dire les choses les plus tendres, & brise ses liens. Mon
Lecteur
verra avant la fin de cet article la raison pour
peindre ce Philosophe singulier par des anecdotes qui, en amusant le
lecteur
, feront bien mieux connoître le cœur, l’esprit, l
ans la suite occasion d’en rapporter quelques-unes : en attendant, le
lecteur
peut se rappeller le Festin de Pierre : & la
messager qui apporteroit la nouvelle d’un heureux mariage. Je prie le
lecteur
de réfléchir sur le cinquieme acte du Tartufe, de
e du Misanthrope avec Pourceaugnac fera lever les épaules à plus d’un
lecteur
. Que faire ? je m’y attends bien. J’ai cru voir q
e vi. Invitation à la danse120 Donnons-nous la main, auteur et
lecteurs
, et dansons ensemble dans ce chapitre, aux sons d
al.) Le comique est le contraire du sublime. — Dansons ici, auteur et
lecteurs
, dansons, le balancier en main, sur la chaîne de
-Programme de son Titan : Maintenant donnons-nous la main, auteur et
lecteurs
, et dansons ensemble dans cet ouvrage ce grand ba
t du satyrique Regnier. Heureux ! si ses discours, craints du chaste
lecteur
, Ne se sentoient des lieux où fréquentoit l’Auteu
à tout le ridicule qu’ils méritent ; c’est le châtiment des sots. Le
Lecteur
sera surement bien aise de connoître la piece Dan
e à savoir lequel des deux Drames est plus utile à l’humanité. Que le
Lecteur
décide ; mais qu’il songe auparavant, qu’il y a d
des beautés au célebre Augustin Moreto, Auteur Espagnol : ceux de mes
Lecteurs
qui entendent sa langue peuvent s’en convaincre e
r, & sort pour féliciter le Prince de Béarn de son bonheur. Mes
Lecteurs
s’apperçoivent sans doute que cette scene doit êt
r, que son noble génie N’ait pas vaqué toujours à la philosophie. Le
Lecteur
peut décider dans laquelle des deux pieces cette
e gaieté est mieux à sa place. 20. Cet amen paroîtra plaisant à mes
Lecteurs
dans la bouche d’un interlocuteur de comédie. Mai
Préface Ce dixième volume présente au
lecteur
une partie des plus brillantes années de l’histoi
ticles des pièces que nous venons de nommer ; et nous espérons que le
lecteur
sera satisfait du soin que nous avons pris de n’o
leur genre pour l’histoire du théâtre français ; nous espérons que le
lecteur
verra avec plaisir les articles d’Agésilas, d’Att
nique que nous donnions maintenant sur les célèbres acteurs ; mais le
lecteur
n’y perdra rien, et le volume suivant le dédommag
si sage, En frondant les mœurs de notre âge, Que l’on dirait (benoît
lecteur
) Qu’on entend un prédicateur. Aucune morale chré
rt éloigné de la vraisemblance que ce serait abuser de la patience du
lecteur
d’en donner la réfutation : aussi, nous ne l’avon
à la mi-Carême. Je n’ai rien touché des acteurs, Mais je vous avertis
lecteurs
, Qu’ils sont en conche très superbe, Je puis user
erie, pas un seul mot que Molière doive à cet auteur grec. « Tous les
lecteurs
exempts de préjugés savent combien l’Amphitryon f
genre du théâtre, nous croyons pouvoir nous dispenser d’en parler. Le
lecteur
peut la lire en entier dans le cinquième volume d
oser la sienne. Ce morceau, quoiqu’un peu long, est si curieux que le
lecteur
sera bien aise de le trouver ici. « L’examen sér
viens de parler, ne sont pas imprimées, et qu’il serait difficile au
lecteur
de pouvoir se les rappeler pour en faire la compa
aru indispensable d’en donner une légère idée, et de mettre par là le
lecteur
plus en état de connaître et de sentir avec quel
ru devoir rapporter sur la comédie du Tartuffe. Nous supposons que le
lecteur
connaît les Œuvres de Molière, et par conséquent
ui exécutèrent les intermèdes de Pourceaugnac ; nous supposons que le
lecteur
connaît les Œuvres de Molière, édition in-12 de 1
sur la comédie du Misanthrope, est précédée d’un Avis du libraire au
lecteur
, dont voici le commencement : « Le Misanthrope, d
a première représentation, ayant reçu du théâtre l’approbation que le
lecteur
ne lui pourra refuser, et la Cour étant à Fontain
ans laquelle il avoit joué le premier rôle. Il est nécessaire que mes
Lecteurs
aient une légere idée de cette piece. L’Arbre en
nce, comme je l’ai dit, des Comédies héroïques des Espagnols. 1. Le
lecteur
doit savoir que tous les canevas composés à Paris
amené à l’entreprendre, c’est ce que s’expliqueront aisément ceux des
lecteurs
qui savent que j’ai publié une édition des œuvres
permis d’apporter dans cette étude quelques éléments nouveaux, que le
lecteur
qui a étudié ces questions saura facilement recon
e l’Avare. Riccoboni ignoroit d’où Moliere avoit pris cette idée : le
Lecteur
va l’apprendre. L’Avare de Moliere. Acte ii. S
les changements qu’il y a faits. Il suffit, pour en faire convenir le
Lecteur
, de lui dire que dans la Piece Italienne Angelica
ser sans dot ? L’Avare original est si sublime dans cette scene ! Mes
Lecteurs
ne peuvent en juger sans l’avoir sous les yeux.
té, & qui auroit surement ajouté un nouveau mérite à sa piece. Le
Lecteur
pourra bientôt en juger. La Piece Italienne est i
iece de Moliere, que je ne changerai pas d’avis, à moins que tous mes
Lecteurs
, sans en excepter un seul, ne soient d’un avis co
uelques personnes ; mais tant pis pour elles. 40. Quelqu’un de mes
Lecteurs
se donnera peut-être la peine de fouiller dans le
chaque homme qui sait lire est — selon le mot de Sainte-Beuve — « un
lecteur
de plus pour Molière », si l’auteur du Tartuffe e
. Le premier de ces textes, dont l’importance n’échappera à aucun des
lecteurs
du Moliériste, est une lettre adressée aux consul
rits d’une grosse et ferme écriture, et qui ont échappé jusqu’ici aux
lecteurs
du registre de la mairie de Nantes. Quoi qu’il en
rd THIERRY. (La fin à la prochaine livraison) Quelques-uns de nos
lecteurs
ayant pris cette étude de notre éminent collabora
difice. Cependant, le sujet qui y est représenté est très-curieux. Le
lecteur
nous saura gré sans doute d’entrer dans quelques
écision la maison peinte par Vincent, telle que celui-ci l’a vue ; au
lecteur
de suppléer ce que celui-ci n’a pas dit : nous n’
ieur. Permettez-moi de vous remercier d’avoir bien voulu signaler aux
lecteurs
du Moliériste les documents relatifs à la troupe
niquement pour vous communiquer les documents qui s’y rapportent. Vos
lecteurs
y trouveront peut-être quelques détails intéressa
f Villenaine est assez connue pour qu’il suffise de la rappeler à nos
lecteurs
sans la raconter de nouveau. Ouvrons maintenant l
’est ici plus que partout ailleurs qu’il convient de le faire, et nos
lecteurs
de… partout, n’hésiteront certes pas à nous faire
re 1879, p. 197-199. Dans un premier article nous avons entretenu nos
lecteurs
du Pavillon des Singes et de sa curieuse sculptur
e nous reproduisons25, et sur lequel nous appelons l’attention de nos
lecteurs
. Ils y verront que seule la partie de devant a ét
5. Je ne puis m’empêcher d’ouvrir ici une parenthèse pour renvoyer le
lecteur
à la savante brochure de M. Philéas Collardeau :
etc., votre collaborateur Francisque Sarcey pourrait compter sur des
lecteurs
aussi assidus que reconnaissants s’il voulait de
nich, est actuellement directeur du théâtre de la cour à Vienne ; vos
lecteurs
le connaissent, ayant lu dans Le Moliériste d’aoû
us. Il faut qu’en écoutant j’aie eu l’esprit distrait, Ou bien que le
lecteur
m’ait gâté le sonnet. Mais laissons ces discours,
le Public en seroit dédommagé par de nouvelles scenes ajoutées ». Le
Lecteur
trouve-t-il que l’Auteur ait bien fait ? 33. Fil
la est bon ! que cela est plaisant ! & il rioit de plus belle. Le
Lecteur
impatienté lui dit : Voilà qui est bien, vous ave
re de notre excellent comique ; et si vous épargnez des recherches au
lecteur
paresseux, si vous procurez au plus futile l’avan
ère, j’ose entreprendre de te montrer sous ces divers rapports, et le
lecteur
, impatient de te connaître par les traits qui te
r que de l’autre ; et c’est à la lin de cet ouvrage seulement, que le
lecteur
pourra se dire, je connais Molière. Les notes his
sotto la tavola, etc. Sentiment sur la pièce. Nous savons, le
lecteur
et moi, d’où Molière a tiré le fond de sa comédie
ièce française devrait porter le seul titre de Contre-temps ; mais le
lecteur
a pu remarquer que tous les contre-temps devant l
XIV attirait le beau monde hors de Paris. Mais nous avons résolu, le
lecteur
et moi, de ne juger jamais sur parole. Sganarell
fectent de l’être, n’est pas une comédie, mais un dialogue ; c’est au
lecteur
à répondre et à dire : j’ai remarqué dans cet ouv
ièce, d’un acte surtout, pour mériter d’être appelée une comédie ? Le
lecteur
a sans doute remarqué aussi que Molière, au lieu
dre que L’Impromptu de Versailles dut sa naissance. » Nous voilà, le
lecteur
et moi, fort embarrassés pour décider si sa majes
lle ses gens ; il se sauve par la porte du jardin. Je ferai grâce au
lecteur
d’une infinité de personnages et d’incidents ennu
s une femme perdue, je dois accepter sa proposition. Plusieurs de mes
lecteurs
sont allés sans doute chez un certain petit espiè
té sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 août. Apprenons d’abord à nos
lecteurs
d’où Molière a tiré le fond de son sujet ; il par
ation de ses coups de poing, et ne soupçonne quelque supercherie ? Le
lecteur
devine le résultat de mon dialogue avec le journa
ur que lui procurait l’instruction de ce jeune homme ; et ceux de mes
lecteurs
, pour qui la satisfaction de faire le bien est un
pour qui la satisfaction de faire le bien est un besoin, ceux de mes
lecteurs
pour qui la reconnaissance n’est pas un fardeau,
n’avons qu’à copier une note prise dans l’Histoire des théâtres ; le
lecteur
fera lui-même ses remarques, et les appliquera au
ord avec le fond de cette fable qu’il nous importe de familiariser le
lecteur
; le reste des imitations, ne venant pas toujours
utin, et Bret convient qu’il partage son opinion en partie ; c’est au
lecteur
à prononcer. Thomas, dans son ouvrage Sur les Fem
ue des lettres. Que ne vit-il encore ! Beautés à distinguer. Le
lecteur
ne se bornera pas sans doute à remarquer combien
rs vive et variée, sans l’embarrasser du moindre détail étranger : le
lecteur
doit aussi démêler le moyen dont l’auteur s’est s
vrai, comme on le verra par une lettre que je transcris, parce que le
lecteur
y trouvera des choses propres à satisfaire l’inté
et c’est la seule imitation dont nous avions à parler. Qu’en pense le
lecteur
? Cette pièce n’aurait-elle pas plus l’air d’avoi
e école dramatique ; essayons de réaliser le projet : je m’associe le
lecteur
, et nous inscrivons, en gros caractères, sur la p
on de la gloire devient insensiblement une réalité. Que chacun de mes
lecteurs
, pénétré de cette douce et consolante idée, répèt
Molière, il est du moins de son choix ; et cela nous suffit. 22. Le
lecteur
retrouvera quelques vers de cette pièce dans le M
a dans la préface, que Molière y promet un examen de ses œuvres : mes
lecteurs
s’écrient sans doute : « ah ! plût à Dieu, qu’il
rut désirer que cette réflexion fût rendue publique, je la soumets au
lecteur
. 67. Voltaire trouve que « l’épreuve de l’Avar
ne jeune dame lui dit : il est là, prenez garde à lui. — À qui ? — Au
lecteur
. — C’est à l’auteur que j’en veux. — En ce cas, p
enres et particulièrement de celles des théâtres. On se flatte que le
lecteur
nous saura gré d’avoir fait usage de tout ce qui
uelque curieux que soient les articles dont nous venons de parler, le
lecteur
en trouvera dans ce volume beaucoup d’autres qui
la tragédie de Timocrate, à la tête de laquelle se trouve un Avis au
lecteur
qui aurait dû entrer dans l’édition des Œuvres de
s conseils d’autrui. » Il nous paraît superflu de faire remarquer au
lecteur
toute la malignité et la calomnie qui règne dans
ant que le mariage du roi retenait toute la Cour hors de Paris. » Le
lecteur
ne sera peut-être pas fâché de trouver ici de que
st las de perdre du temps pour rien. M. d’Aubignac prétend, comme le
lecteur
l’a vu dans le chapitre précédent, qu’on doit mes
itesse, tous les égards que les gens de lettres se doivent, & mes
lecteurs
jugeront. Voici ce que dit M. de Beaumarchais : «
de ses entr’actes au drame, qu’ils en sont inséparables : mettons mes
lecteurs
à portée d’en juger sans avoir recours à la piece
le est bien éloignée de pouvoir perdre aujourd’hui de son mérite. Les
lecteurs
de société retracent souvent la scène de Molière,
trement qu’ils ne sont, qu’on retient dès qu’on les entend, et que le
lecteur
croit avoir faits? c’est encore Molière. Quelle f
e de notre théâtre ont pu, comme nous osons l’espérer, intéresser nos
lecteurs
, nous ne craignons pas d’assurer que la lecture d
allons entrer dans ce neuvième volume. Nous y offrons aux yeux de nos
lecteurs
les inimitables comédies de Molière ; les brillan
auline, l’amour de Sévère, etc. M. Corneille explique, dans l’Avis au
lecteur
de sa comédie du Menteur, les raisons qui l’ont e
ici à la sienne : nous rapportons l’une et l’autre, persuadés que le
lecteur
, ainsi que nous, n’aura pas lieu d’accuser l’aute
En finissant cette préface, il nous paraît nécessaire de prévenir le
lecteur
sur la méthode que nous avons observée dans les a
autre, dont l’original est espagnol ou italien ; voilà tout ce que le
lecteur
peut exiger de nous. Nous croyons être dispensés
ur caractère qui soit au théâtre. » Nous demandons maintenant à tout
lecteur
si ce prétendu Misanthrope anglais peut entrer en
le détail de cette fête est peu connu, nous croyons faire plaisir au
lecteur
de placer ici ce que Loret en a dit. Muse histor
ut proposé, fait, appris et représenté en cinq jours. Voyez l’Avis au
lecteur
de L’Amour médecin. 1. [Note marginale] Voyez l’
s au lecteur de L’Amour médecin. 1. [Note marginale] Voyez l’Avis au
lecteur
de L’Amour médecin. 1. [Note marginale] Vie de M
t de grands abîmes dans de petits problèmes, éveiller la curiosité du
lecteur
sur les questions de critique générale, et lui in
rançaise, disparaître moi-même derrière eux, et je prie instamment le
lecteur
de vouloir bien se souvenir que jusqu’à la Conclu
s de les appliquer. Fausses clefs, ajoute l’auteur, aussi inutiles au
lecteur
qu’injurieuses aux personnes dont les noms sont d
n ai fait des peintures vraisemblables, cherchant moins à réjouir les
lecteurs
par la satire de quelqu’un, qu’à leur proposer de
Préface Je prie le
lecteur
de ne pas demander à cet ouvrage plus d’amusement
la fin des actes, je ne le rapporterai pas ; je prierai seulement le
lecteur
d’examiner que rien n’est si simple que la pensée
, aussi inattendue, répare tout le mal que la premiere a fait ? Si le
lecteur
veut s’épargner l’ennui de me voir multiplier les
e mon cœur une autre fois, bêtes que vous êtes. » Je ne sais si le
lecteur
sera de mon avis ; mais il me semble, je le répet
ns encore rempli notre tâche à cet égard, en mettant sous les yeux du
lecteur
, chemin faisant & sans affectation, les beaut
maris poussés à bout. Passons présentement à la comédie espagnole. Le
Lecteur
sera sans doute bien aise de voir une piece que p
se font un plaisir d’emmener Don Juan chez eux pour le régaler. Le
Lecteur
s’est apperçu que la scene a souvent changé, mais
soit pas emparé. Ne seroit-elle pas aussi bonne que je le crois ? Mes
Lecteurs
vont être à portée de décider. ACTE V. Scene VIII
eprésentée sur le théâtre de l’Hôtel de Bourgogne, en 1659. 31. Au
Lecteur
. « Ce n’est pas d’aujourd’hui qu’on t’a présenté
e, moins pour ce qu’il enseigne que pour l’habitude qu’il donne à ses
lecteurs
de penser raisonnablement. Les lettres ont leur r
uciance l’empêchait d’attacher aucune importance (Voir Le Libraire au
Lecteur
, au commencement de Psyché). 188. Boileau, Satir
celle du Misanthrope (act. I, sc. II) : le sonnet d’Oronte séduit le
lecteur
surpris par l’agrément de l’harmonie et du trait
cette galère ? adopté par Molière dans les Fourberies de Scapin. Nos
lecteurs
à qui le petit écrit qu’on vient de citer, peut-ê
la muscade ? on en a mis par-tout33. Je vais mettre sous les yeux du
lecteur
tout ce que les ennemis & les défenseurs outr
mment. Figurez-vous donc que Télebe, &c. &c. Je renvoie le
lecteur
à Plaute 36. Sa scene est trop longue, trop ennuy
uver des exemples dans tant de pieces, que je n’en citerai aucune. Le
lecteur
n’a qu’à se rappeller celles où le public, à l’ar
s anime ; par ce moyen il évite la monotonie, & le plaisir de ses
lecteurs
est varié. Sganarelle, dans la piece que nous ven
cene est au Ciel, en la Sicile, & aux Enfers, où l’imagination du
lecteur
se peut représenter une certaine espece d’unité d
étestable. Louis Riccoboni va parler encore, écoutons-le. Je prie le
lecteur
de m’aider à deviner ce qu’il a voulu dire. « Ma
ès ancienne, dont nous ferons l’extrait quand nous aurons rappellé au
Lecteur
le sujet du Cocu imaginaire de Moliere. Extrait
equ’il ne sert presque qu’à démêler l’imbroglio des deux premiers. Le
Lecteur
peut à présent décider entre l’original & la
, et tout noir, n’ont jamais préoccupé la curiosité et la sagacité du
lecteur
, autant que l’a fait ce bel Alceste, créé tout ex
la permission d’en parler à cette place même ; il sera plus facile au
lecteur
de comparer entre elles ces deux grandes œuvres :
utes qui pourraient s’élever sur leur authenticité, nous renvoyons le
lecteur
au recueil des Lettres de (J.-B.) Rousseau, 5 vol
ous entendons par caractere. Avant d’entrer en matiere, je prie le
Lecteur
de voir avec moi ce qu’un Auteur qui a traité de
gloire ! Ces feuillets tachés de lie, où se voit encore la trace des
lecteurs
oisifs, voilà, voilà mon livre, et ma vie entière
s sérieuses ; elle a été, bien souvent le repos, et la consolation du
lecteur
fatigué d’analyse, — et que de fois, quand j’alla
x, les critiques de profession blessent le poète, ils impatientent le
lecteur
; leur goût consiste absolument à n’avoir pas le
rovince a vécu, ne fût-ce qu’une heure ; elle a rencontré au moins un
lecteur
; elle a servi, peut-être, tout un jour à la conv
premier service, Molière, le savant, le grammairien, le latiniste, le
lecteur
de Montaigne, de Froissart et d’Amyot, Molière ve
s mourir, au chef-d’œuvre enfin, au type éternel. Je sais bien que le
lecteur
est frivole et qu’il aime, avant tout, la nouveau
oleil. C’est alors, quand pour la vingtième fois vous tenez voire ami
lecteur
bien contrit et bien repentant, que vous pouvez l
ez tout de suite, que ces mêmes pages sérieuses qui ont impatienté le
lecteur
frivole habitué aux bulletins du théâtre des Vari
page, en effet, qui était pesante au journal, et qui impatientait le
lecteur
du journal, devient légère au livre et au lecteur
qui impatientait le lecteur du journal, devient légère au livre et au
lecteur
du livre. — Ah ! te voilà, ma chère préface que j
es maîtresses de la lecture de chaque matin, mais songez à plaire aux
lecteurs
sérieux ; alors vous parlerez comme des hommes, s
e naturel du terre à terre, et songez, quand vous écrivez, non pas au
lecteur
de rencontre, qui vous lit au hasard, en attendan
au hasard, en attendant sa Belle ou l’ouverture de la Bourse, mais au
lecteur
honnête homme, amoureux de la forme et bon juge d
l perdit par la bouche2 ». Pour ne rien dissimuler, j’avertis ici mon
Lecteur
, que si l’on en croit d’autres Ecrivains, Moliere
ient dans toutes sortes de Traductions, & de quelque goût que les
Lecteurs
fussent, pourvu qu’ils entendissent l’essence des
t Ouvrage. Ils n’ont point connu qu’il doit servir à toutes sortes de
Lecteurs
, & que par cela même qu’il ne seroit fait que
MAGNIFIQUE. Autre caractere composé. Je croyois d’abord renvoyer mes
Lecteurs
à l’article où nous avons discuté si l’on pourroi
le Petit Seigneur d’un autre côté, & c’est peut-être celui que le
Lecteur
oppose tout bas à mes raisonnements. On pourroit
’il est capable de faire, &c. &c. J’entends la plupart de mes
Lecteurs
s’écrier « que ce que je dis pour persuader que l
il perdit par la bouche. » Pour ne rien dissimuler, j’avertis ici mon
Lecteur
, que si l’on en croit d’autres Ecrivains, Moliere
ient dans toutes sortes de traductions, & de quelque goût que les
lecteurs
fussent, pourveu qu’ils entendissent l’essence de
e des Fâcheux, que cette espece de comédie est presque sans nœud. Mes
Lecteurs
ne seront pas, je pense, de son avis : ils auront
; qu’il satisfait tout le monde : j’ai donc confondu, aux yeux de mes
Lecteurs
judicieux, les personnes qui n’avoient pas apperç
z. On a imité cette scene dans le Joueur Anglois. Je vais mettre mon
Lecteur
à portée de juger les deux Auteurs. LE JOUEUR ANG
ques-unes joliment enchassées, & distribuées avec prudence ». Mes
Lecteurs
auroient certainement de la peine à me croire, &a
i les dépareroit à nos yeux. Cet exemple nous manquoit pour mettre le
Lecteur
à portée d’apprécier ce dernier genre d’imitation
l’a fait avec tant d’adresse ; il étoit nécessaire de convaincre mes
Lecteurs
de cette vérité : sans cette précaution les ennem
La Fontaine, le seul de nos écrivains que comprennent et goûtent les
lecteurs
de tous milieux et de tous âges. On peut sans cra
omme sa morale, sa psychologie est large, simple, faite pour tous les
lecteurs
et tous les publics. Taine a reproché au xviie s
n peu mes réflexions ; mais je ne me permettrai pas d’égayer ainsi le
Lecteur
. Je mettrai l’original auprès de la copie ; il ju
des plus fameux Comiques depuis Moliere jusqu’à nous. Par ce moyen le
Lecteur
jugera lui-même, dans une suite d’imitations, de
ence à comprendre, pour peu que les événements le permettent, que les
lecteurs
se rencontreront bientôt qui ne de manderont pas
ande délicatesse, ce n’est que par la bonne opinion que l’on a de ses
lecteurs
. » Nous avions donc une excellente opinion de nos
n a de ses lecteurs. » Nous avions donc une excellente opinion de nos
lecteurs
, et c’est pourquoi nous leur portions un grand re
ait mieux ; vous y gagneriez une vie à coup sûr plus heureuse, et vos
lecteurs
y gagneraient une lecture plus facile. Est-ce que
l est vrai, toutes sortes d’intelligences médiocres, toutes sortes de
lecteurs
imbéciles, et des ignorants, et des niais, et des
, à l’oreille fermée, à l’esprit bouché, à la tête inintelligente, au
lecteur
ébloui de ces vives et soudaines lumières pour le
s dire ; ce n’est pas pour eux que vous écrivez. Vous écrivez pour un
lecteur
d’élite, actif, intelligent, dévoué ; votre lecte
s écrivez pour un lecteur d’élite, actif, intelligent, dévoué ; votre
lecteur
aime, avant tout, l’élégance et la correction, to
s cheveux, et le plus simple passage nous suffit pour indiquer, à nos
lecteurs
, que nous changeons de parabole. Mais avez-vous l
nos lecteurs, que nous changeons de parabole. Mais avez-vous lu, ami
lecteur
, cette charmante satire d’Aristophane, Plutus ? C
autre secours que celui d’un dialogue coupé. Pour faire sentir à mes
Lecteurs
la vérité de ce que je dis, je crois très à propo
s, des scenes, du dialogue. Autant que je pourrai, j’épargnerai à mes
Lecteurs
des répétitions ennuyeuses pour lui & pour mo
it le plus rire dans l’Etourdi François est puisée dans d’Ouville. Le
Lecteur
se souvient sans doute que Mascarille voulant avo
texte de faire enterrer Pandolphe, qu’il dit être mort subitement. Le
Lecteur
se souvient encore qu’Anselme voyant ensuite Pand
peine que Moliere l’emporte sur l’Auteur Italien. Je puis procurer au
Lecteur
le plaisir de s’en assurer par lui-même. Le moyen
autant qu’il m’a été possible, & je vais en traduire une que mes
Lecteurs
pourront comparer ensuite avec la troisieme scene
comédie par le sieur Gillet de la Tessonniere. Je vais en régaler mes
Lecteurs
. L’original est fort rare. La bibliotheque du Roi
illeurs si souvent parlé, que peu de paroles serviront à rappeller au
Lecteur
le fond, les détails, la disposition des scenes,
nt le héros est le véritable Tartufe d’Italie. Il est à propos que le
Lecteur
fasse connoissance avec lui pour le comparer au T
que Moliere n’ait puisé dans une des Nouvelles de Scarron ; & le
Lecteur
, qui ne le savoit pas, va bientôt en être aussi s
temps que nous ne citons que des comédies françoises, transportons le
Lecteur
sur le théâtre espagnol. Voyons si l’on devinera
l but moral s’est proposé l’Auteur ? Jamais : j’ose bien en défier le
Lecteur
. C’est celui de persuader aux Espagnols qu’ils n’
de bons & de mauvais exemples. Je les ai mis sous les yeux de mes
Lecteurs
: tâchons d’en faire notre profit. Quelques Auteu
u Palais, aux Cours, aux ruelles, aux tables, De leurs vers fatigants
lecteurs
infatigables. Pour moi, je ne vois rien de plus s
ntés et dansés ; côté modeste et toutefois charmant, devant lequel le
lecteur
passe trop souvent sans le voir, mais sur lequel
eu des Scènes à la Cour, et ailleurs, qui auraient fait plaisir à un
Lecteur
de goût. Pourquoi l’Auteur ne nous les a-t-il pas
lent ; mais cette suite d’aventures communes n’est bonne que pour ces
Lecteurs
qui s’amusent de rien. Il est vrai, que l’Auteur
auteur du Quarante-Unième fauteuil ; pour les derniers, je renvoie le
lecteur
à l’inappréciable inventaire exhumé, voilà seize
ale revue hollandaise De Gids qui n’est déjà plus un inconnu pour les
lecteurs
du Moliériste et qui vient de joindre à son intér
liériste que si l’on pouvait supposer le hollandais connu de tous ses
lecteurs
. Nous dirons seulement qu’en somme elle nous a pa
s pour dupe, j’ose espérer qu’il ne viendra à l’esprit d’aucun de vos
lecteurs
, une pensée que repoussent aussi bien la haute po
ont pu récemment acquérir les affiches dont Le Moliériste offre à ses
lecteurs
l’exacte reproduction typographique.
occupé par les caractères ; mais ce n’est qu’une probabilité, et les
lecteurs
du Moliériste trouveront peut-être une restitutio
« est trouvé assez de personnes, dit François Donneau, dans l’Avis au
lecteur
de La Cocue imaginaire, pour remplir plus de quar
rbagnas ?) semble en avance d’un siècle, car il y est question de ces
lecteurs
acharnés de la Gazette de Hollande, nouvellistes
grés, le galimatias simple et le galimatias double : le simple, où le
lecteur
est seul à ne pas comprendre l’écrivain ; le doub
m’est personnel, mais qui ne sera peut-être pas sans intérêt pour les
lecteurs
du Moliériste ? Il y a quelque vingt ans, j’ai re
garder pour vous seul. » Permettez-moi de mettre sous les yeux de vos
lecteurs
un passage d’un auteur contemporain, qui confirme
orthographe des mots. Il est des négligences, dans l’écriture, que le
lecteur
reconnaîtra bien vite ; et, quant aux noms que no
oduit dans ces deux pieces la chose inanimée. J’exhorte cependant mes
lecteurs
à ne point se laisser éblouir par les beautés de
rien. Ce que je viens de dire paroîtra peut-être si simple à quelques
lecteurs
, qu’ils me blâmeront de m’y être arrêté ; ils ne
omme qui ne doit pas en avoir, qu’il faut tourner en ridicule. Que le
lecteur
lise attentivement la scene que je mets sous ses
t pas les noms des acteurs avant que la piece commence, comme fait un
lecteur
dans son cabinet : je ne sais pas pourquoi il pre
is la transcrire, en partie, parcequ’indépendamment du plaisir que le
Lecteur
prendra en la lisant, il est nécessaire qu’il pui
battoit avec elle. La façon dont elle s’y prend est singuliere. Le
Lecteur
sera certainement bien aise de voir une partie de
n. Don Pedre a raison d’être ennuyé ; je suis de son avis, & le
lecteur
aussi sans doute. Le ridicule n’amuse pas long-te
nous aurons rapporté une scene prise dans Plaute ou dans Regnard. Le
Lecteur
doit se rappeller que chez le premier22 un captif
ombe : Affranchi des liens qui l’attachoient au monde, Ci gît Timon.
Lecteur
, que le Ciel te confonde ! On a dû nécessairemen
mp; lui donne sa main. « A merveille ! vont s’écrier plusieurs de mes
Lecteurs
. Destouches ne laisse donc rien à desirer dans so
Un mot au
lecteur
Cet opuscule ne s’adresse qu’à un petit nombr
le journal le Temps a prêté récemment sa large publicité, et que ses
lecteurs
ont accueillis avec l’indulgence qu’ils veulent b
tient trop au sujet pour qu’il me soit permis d’en faire grâce h mes
lecteurs
, d’autant qu’elle peint au vif le naturel à la fo
Halles. C’est seulement de cette dernière que je veux entretenir mes
lecteurs
. Molière naquit dans une maison située au coin de
nue dans ce journal môme. Je regarde comme un devoir de montrer à nos
lecteurs
que je les respecte assez pour n’avoir pas parlé
s de sa main, Vous seriez honoré par quiconque sait lire ! Plus d’un
lecteur
va s’étonner et s’écrier : Un autographe de Moliè
ière. Je dois une réponse à M. Jules Loiseleur et une explication aux
lecteurs
du Temps. Voici l’une et l’autre : 1° J’ai examin
oulan dans les voies assurément neuves où i| cherche à introduire son
lecteur
, malgré toute son habileté, son érudition histori
du Public dans cette tirade du Festin de Pierre, acte V, scene II. Le
Lecteur
aimera peut-être mieux la voir en vers par Thomas
ans l’avant-scene des deux Reines : je puis me tromper : voyons si le
lecteur
sera de mon avis. Avant-scene racontée par l’une
us passerons par des sentiers peu connus au moins du grand nombre des
lecteurs
, nous espérons qu’ils ne feront pas de difficulté
ramener malgré lui-même aux ris. Il n’est pas possible de dévoiler au
lecteur
toute la finesse de cet art inconcevable que le p
imité cette scene ; mais ils sont au-dessous de l’original. 26. Le
lecteur
a sans doute remarqué qu’aucune femme ne paroît d
amp; au pays pour lesquels il écrivoit, qu’il éclipse ses modeles. Le
Lecteur
en sera bientôt convaincu. Extrait de l’Ecole de
yance, Et toujours ses regards m’en ont dit l’innocence. J’ai mis le
Lecteur
à portée de juger Moliere & les cinq Auteurs
angé ces vers en ceux-ci : Heureux si ses discours craints du chaste
lecteur
Ne se sentaient des lieux que fréquentait l’auteu
age, Que Montausier voulût leur donner son suffrage ! C’est à de tels
lecteurs
que j’offre mes écrits. Boileau, à dater de 1677
lle toujours que de fades auteurs S’en vont se consoler du mépris des
lecteurs
; Elle y reçoit leur plainte, et sa docte demeure
des terres, des châteaux, & lui demande ce qu’il veut manger. Le
Lecteur
se doute bien qu’il donne la préférence aux macar
e remplacer par ceux-ci : Heureux si ses discours, craints du chaste
lecteur
, Ne se sentaient des lieux où fréquentait l’auteu
andues dans mes pieces, on trouvera peut-être mauvais que j’occupe le
lecteur
de moi-même ; si je n’en parle point, on m’accuse
t fils, débute par cette judicieuse réflexion : « Le goût de bien des
Lecteurs
pour les choses frivoles, & l’envie de faire
tes époques de notre histoire, et nous espérons fort, pour peu que le
lecteur
nous soit en aide, arriver à quelque utile résult
produire le modèle incroyable qu’il avait sous les yeux, laissant aux
lecteurs
à venir, le soin de juger du mérite et de l’intér
chapitre au grand complet, serait la satire de tous les autres. Notre
lecteur
se contentera de beaucoup moins, je l’espère, et
fois, que ce tableau de La Bruyère. Voici en revanche un paysage (le
lecteur
aime le repos et le contraste), où se fait sentir
vrage Que Montauzier voulût leur donner son suffrage. C’est à de tels
Lecteurs
que j’offre mes écrits. Mais pour un tas grossier
pulente. Mais les pieces sont plus souvent lues que représentées ; le
lecteur
ne voit pas la décoration : d’ailleurs il faut qu
r second. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Que le
lecteur
soit sincere : il a surement cru que Géta, touché
e convalescence. Les traits de la jeune fille s’éclairent de joie. Le
lecteur
poursuit : telle est la gloire que le héros s’est
x le jour de leur mariage. La fillette est charmée, et quand d’autres
lecteurs
, plus sincères, essayent de lire la lettre à leur
scrivant le champ de mes études dans des limites plus étroites. Si le
lecteur
en effet a bien voulu suivre avec attention l’enc
au, une portée nouvelle, par une trop libre interprétation. Plus d’un
lecteur
trouvera le conseil inutile. À quoi bon inviter l
de la poudre aux yeux ; peut-être a-t-il déja séduit quelqu’un de mes
lecteurs
: mais il ne lui faudra pas beaucoup de réflexion
nts est si frappante, qu’il suffit de les rapprocher sous les yeux du
Lecteur
. Mais si de Visé a tort d’avoir fait un mauvais d
rtance, le nom de précieuses n’existait point encore ; et je prie mes
lecteurs
de tenir note de ce fait : que quand la société d
propos injurieux pour elle. Voyons cette lettre en entier : c’est au
lecteur
qu’il appartient d’en déterminer le sens. Mais il
ne, ce que dit Despréaux : Tel mot pour avoir réjoui le
lecteur
A coûté bien souvent des larmes à l’auteur. L’im
ames. La profondeur schlegelienne n’a rien qui ne soit accessible aux
lectrices
les plus aimables. 5. Traduction de M. Cousin. —
7. Voilà la pierre de l’angle. Nous nous contenterons de renvoyer le
lecteur
aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 32
p d’épigrammes. Voici celle qui est en tête de toutes ses Poésies. Le
lecteur
verra qu’elle est parfaitement correcte : França
quand nous faisons un livre, quand nous pensons et écrivons pour des
lecteurs
dont l’intelligence est prompte, la vie courte, e
ue la simple politesse exige que nous changions de méthode. Parmi nos
lecteurs
, il n’y en a pas un qui ne sache que le récit de
ires. Mais, sans contredire La Harpe, sans troubler le plaisir de ses
lecteurs
, si je puis expliquer cette faute de goût si choq
il n’a pas fait de plan. Ici, c’est une lacune que l’imagination des
lecteurs
doit remplir ; là c’est un monologue, un dialogue
la campagne, p. 215. 323. M. Lysidas n’est ici, nous le rappelons au
lecteur
, que la personnification du dogmatisme en critiqu
le qu’il fait encore après sa mort le même ravage dans le cœur de ses
lecteurs
, qu’il en avait fait de son vivant dans celui de
soit le peu d’importance de mon opinion, je crois devoir prévenir le
lecteur
que, pour l’émettre, je n’ai cédé qu’au sentiment
a lecture en soit achevée. Comme Philinte, à chaque pause que fait le
lecteur
, se récrie d’admiration, Alceste autant de fois l
t rien ne pouvait déguiser ni justifier l’imperfection aux regards du
lecteur
. Il avait échoué comme ministre et interprète de
a imitées, ou, pour mieux dire, qu’il a traduites ». J’arrête là mon
Lecteur
; il me permettra de lui dire que si je fais le p
des plus fameux Comiques depuis Moliere jusqu’à nous. Par ce moyen le
Lecteur
verra une suite d’imitation, & il aura le pla
sant, mais n’en font pas le principal mérite. J’en prends à témoin le
Lecteur
. Henri veut déterminer son maître à se marier ave
c la seconde scene du premier acte des Fourberies de Scapin, & le
Lecteur
doit se rappeller qu’elles sont bâties sur le mêm
avons déja faites, ne me permettent pas de la rapporter. Ceux de mes
Lecteurs
qui ne l’ont pas bien présente à leur mémoire, pe
miques dont nous rendons compte dans ce volume, chacune présentera au
lecteur
des anecdotes instructives et amusantes, ainsi qu
qui savent l’architecture, mais elle ne satisferait peut-être pas un
lecteur
qui souhaite qu’on lui représente ce qui peut fra
gantier, dont parle la Comtesse d’Escarbagnas ; mais pour épargner au
lecteur
la peine de chercher ce passage dans la pièce, no
s le chapitre où j’ai parlé de l’âge des personnages, j’y renvoie mon
lecteur
. Moliere a encore connu tout le prix du sérieux
e en cinq actes, & en vers, de Campistron. Il faut d’abord que le
Lecteur
connoisse à fond le héros de la piece. Voici son
s meilleures scenes de cette piece, est prise dans Don Quichotte : le
Lecteur
va voir Moliere s’enrichir des idées de Michel Ce
é que ces quatre vers latins qu’on a trouvé à propos de converser. Le
Lecteur
observa que sur la fin de la Comédie Le Malade im
▲