/ 181
1 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
profit à son Libraire, sous le nom de Molière, qui rappelle assez son Lecteur  : Mais le style de la Critique est aisé ; il n’es
point perdre de vue, comme les moyens les plus assurés d’attacher le Lecteur . À observer trop rigoureusement la pureté de la G
rend bien souvent une lecture languissante ; on ne réveille point le Lecteur . J’avoue qu’un long et fréquent usage de la langu
n ; par de petites aventures qui ne sont bonnes qu’à amuser de petits Lecteurs . Ce n’est point là Molière ; il a eu des Scènes à
pas permis de faire un Livre pour les lui détailler, j’ennuierais mon Lecteur  : mais je puis reprocher à mon Censeur qu’il ne l
vrai, toute la délicatesse que la nature exige. Mais, diront quelques Lecteurs indifférents, voilà bien sérieusement répondu à u
al reçus à leur donner l’esprit d’un rôle. J’ennuierais sans doute le Lecteur de pousser plus loin cette matière ; en voilà ass
ormer un après le jugement du Public ? Non, j’ai taché de prévenir le Lecteur par mes expressions, et de l’amener au sentiment
l’autre monde. Cependant je ne puis m’empêcher de faire remarquer au Lecteur le travers de mon Critique ; qui trouve à redire
fait voir les faiblesses de Molière. Pourquoi, dit-il, faire rire le Lecteur en lisant la Vie d’un Homme si grave ? Que de con
nnaître qu’il faisait des charités. J’ai laissé tout cela à penser au Lecteur  ; mais mon Censeur ne pense point, et s’en tient
pourrait avoir le plus grand nombre de son côté ; il amuse les petits Lecteurs  ; il y a des aventures qui font rire : il y a des
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. » pp. 420-425
s propre à faire connoître les beautés d’une ode latine à ceux de mes Lecteurs qui n’entendent pas la langue d’Horace. Traducti
ous sans cesse Pour vous raccommoder. Je ne crois pas déplaire à mes Lecteurs , en mettant sous leurs yeux la scene du Devin de
moi l’admirateur de Moliere : l’on s’en apperçoit, je pense, & le Lecteur dit peut-être de moi ce que Dorine dit d’Orgon à
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. Des Pieces à caractere. » pp. 253-258
l’ignorant ! Je suis trop honnête & trop rempli d’égards pour mes Lecteurs , pour leur répondre sur ce ton ; mais ils me perm
& je vais tâcher d’entraîner le sentiment de quelques-uns de mes Lecteurs , en leur donnant l’extrait d’une piece espagnole
 ; mais celui-ci profite de ce temps-là pour enlever sa maîtresse. Le lecteur peut voir sans peine que tout ce qui se passe dan
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
pour l’auteur des vers qui, sous le masque femelle, ont agacé tant de lecteurs & fait un si grand nombre d’enthousiastes. A
dans la Métromanie, si nous n’avions résolu de laisser entiérement au Lecteur le plaisir de prononcer sur les Auteurs vivants.
& a très bien fait. Un extrait concis des Fils ingrats mettra le Lecteur à portée de comparer tout de suite le Conte avec
ns les premiers volumes de cet ouvrage, nous avons toujours laissé au Lecteur le droit de prononcer, ou nous n’avons parlé que
5 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
9). Mais ceci doit suffire, je pense, pour faire juger du tout, et le lecteur « est déjà charmé de ce petit morceau (10). » — Q
hilosophie et de l’école au dix-septième siècle. Et même (je ferai au lecteur cette confidence), si fêtais partisan de la métem
stote dans le chapitre de la qualité (28). » Je ne crains pas que le lecteur se soit mépris sur le ton de cette exposition. Ma
ort recommandé dans les premières pages du Discours de la Méthode. Le lecteur me pardonnera de remettre sous ses yeux une parti
ut être reçue, Mais nous en bannissons la substance étendue (35). Le lecteur a reconnu les deux définitions du corps et de l’â
rps est moi-même. » C’est la seconde thèse gassendiste. L’embarras du lecteur s’accroît : qu’il me permettre de l’accroître enc
que La Fontaine dans la sienne (51). » « Dans l’ensemble » : que le lecteur se garde bien d’oublier le mot. Oui, le devoir av
tenant à porter ce jugement sur cette œuvre. Nous laissons ce soin au lecteur . Heureux si ces deux résultats acceptés par lui p
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102
ouris. Mon dessein est, dans ce Chapitre, de mettre sous les yeux du lecteur des exemples de tous les genres de titres que les
gi-comédie l’Athée foudroyé. Une courte analyse du sujet fera voir au lecteur si son titre est mieux choisi que celui de ses co
. Il est inutile de citer un plus grand nombre de mauvais titres : le lecteur en doit tant connoître ! Titres qui marquent
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
scenes de toilette de Moncade qui sont charmantes : j’en fais juge le lecteur . Dans la scene VI, Moncade paroît en robe de cham
& le public, auroient été du dernier pitoyable. Plusieurs de mes lecteurs vont s’écrier peut-être, qu’il n’étoit pas nécess
par des moyens meilleurs. Si j’ai le malheur de ne pas persuader mes lecteurs  ; qu’ils assistent à une représentation de cette
8 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47
crétaire de la chambre. Desportes lui avait succédé, sous le titre de lecteur . Bertrand, sous celui de secrétaire du cabinet, e
de lecteur. Bertrand, sous celui de secrétaire du cabinet, et ensuite lecteur du roi. Henri IV commanda à Malherbe de se tenir
e mon sujet ; mais je me suis assurée que je ne déplairai point à mon lecteur en parlant d’une chose si adorable. » On voit pa
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
ols, & on les a admirés : grands Dieux ! Mettons sous les yeux du Lecteur un exemple qui prouve le mauvais goût des auteurs
, près de cent vers, sur lesquels je passe pour conduire bien vîte le Lecteur à la derniere tirade. Alcidon. Que tous ces beau
défaut de Desmarets ; mais, fort heureusement pour lui & pour ses lecteurs , il ne l’imite pas long-temps. LE MENTEUR. ACTE I
. Piron a surement senti mieux que moi ce que je fais remarquer à mes lecteurs . Je me suis trouvé à côté de lui à une représenta
que d’assister seulement à l’une de nos pieces modernes. C’est à mes lecteurs à peser cette pensée, à juger combien de goût, de
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425
maines cette piece, & tout le monde la sait par cœur. Je prie mes lecteurs de remarquer qu’ils ne sont frappants que parcequ
d’Elmire, ne peut que faire une peinture très énergique. Pour que le lecteur puisse tirer quelque fruit de cet article ; pour
11 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
uez donc votre pensée, car nous ne pouvons pas la deviner. — Mon cher lecteur , j’ai fini ma tâche. Il y a aujourd’hui une quest
’écoute avec ravissement une mélodie italienne, et que vous, mon cher lecteur , vous haussez légèrement les épaules avec une exp
défie de goûter autant que moi ceux de Mérimée. Vous voyez, mon cher lecteur , que je ne résous rien, et que je ne me mêle pas
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
t éloigné de la vraisemblance, que ce seroit abuser de la patience du Lecteur que d’en donner la réfutation : aussi nous ne l’a
ui espere jouir d’un bien, désespere tout le temps qu’il espere. Mon lecteur ne reconnoît-il pas là Belle Philis, on désesper
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
nous suffira d’en dire deux mots pour rappeller seulement le sujet au Lecteur . Précis des Fâcheux. Eraste & Orphise brûl
s envers les étrangers, & notamment envers les Allemands, curieux lecteurs & spectateurs desdites inscriptions... Eraste
notre Comique : n’importe, les éloges ne sont pas moins pour lui. Le lecteur va voir si je me trompe ; mais il est nécessaire
. Ce sont de simples réflexions que je propose au discernement de mes Lecteurs . Quant au dernier trait des deux Satyres, si des
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
ur le théâtre les événements heureux ou malheureux de leur siecle. Le lecteur verra surement avec plaisir l’extrait d’une des p
e de lui dire les choses les plus tendres, & brise ses liens. Mon Lecteur verra avant la fin de cet article la raison pour
peindre ce Philosophe singulier par des anecdotes qui, en amusant le lecteur , feront bien mieux connoître le cœur, l’esprit, l
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
ans la suite occasion d’en rapporter quelques-unes : en attendant, le lecteur peut se rappeller le Festin de Pierre : & la
messager qui apporteroit la nouvelle d’un heureux mariage. Je prie le lecteur de réfléchir sur le cinquieme acte du Tartufe, de
e du Misanthrope avec Pourceaugnac fera lever les épaules à plus d’un lecteur . Que faire ? je m’y attends bien. J’ai cru voir q
16 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110
e vi. Invitation à la danse120 Donnons-nous la main, auteur et lecteurs , et dansons ensemble dans ce chapitre, aux sons d
al.) Le comique est le contraire du sublime. — Dansons ici, auteur et lecteurs , dansons, le balancier en main, sur la chaîne de
-Programme de son Titan : Maintenant donnons-nous la main, auteur et lecteurs , et dansons ensemble dans cet ouvrage ce grand ba
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
t du satyrique Regnier. Heureux ! si ses discours, craints du chaste lecteur , Ne se sentoient des lieux où fréquentoit l’Auteu
à tout le ridicule qu’ils méritent ; c’est le châtiment des sots. Le Lecteur sera surement bien aise de connoître la piece Dan
e à savoir lequel des deux Drames est plus utile à l’humanité. Que le Lecteur décide ; mais qu’il songe auparavant, qu’il y a d
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
des beautés au célebre Augustin Moreto, Auteur Espagnol : ceux de mes Lecteurs qui entendent sa langue peuvent s’en convaincre e
r, & sort pour féliciter le Prince de Béarn de son bonheur.   Mes Lecteurs s’apperçoivent sans doute que cette scene doit êt
r, que son noble génie N’ait pas vaqué toujours à la philosophie. Le Lecteur peut décider dans laquelle des deux pieces cette
e gaieté est mieux à sa place. 20. Cet amen paroîtra plaisant à mes Lecteurs dans la bouche d’un interlocuteur de comédie. Mai
19 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
Préface Ce dixième volume présente au lecteur une partie des plus brillantes années de l’histoi
ticles des pièces que nous venons de nommer ; et nous espérons que le lecteur sera satisfait du soin que nous avons pris de n’o
leur genre pour l’histoire du théâtre français ; nous espérons que le lecteur verra avec plaisir les articles d’Agésilas, d’Att
nique que nous donnions maintenant sur les célèbres acteurs ; mais le lecteur n’y perdra rien, et le volume suivant le dédommag
si sage, En frondant les mœurs de notre âge, Que l’on dirait (benoît lecteur ) Qu’on entend un prédicateur. Aucune morale chré
rt éloigné de la vraisemblance que ce serait abuser de la patience du lecteur d’en donner la réfutation : aussi, nous ne l’avon
à la mi-Carême. Je n’ai rien touché des acteurs, Mais je vous avertis lecteurs , Qu’ils sont en conche très superbe, Je puis user
erie, pas un seul mot que Molière doive à cet auteur grec. « Tous les lecteurs exempts de préjugés savent combien l’Amphitryon f
genre du théâtre, nous croyons pouvoir nous dispenser d’en parler. Le lecteur peut la lire en entier dans le cinquième volume d
oser la sienne. Ce morceau, quoiqu’un peu long, est si curieux que le lecteur sera bien aise de le trouver ici. « L’examen sér
viens de parler, ne sont pas imprimées, et qu’il serait difficile au lecteur de pouvoir se les rappeler pour en faire la compa
aru indispensable d’en donner une légère idée, et de mettre par là le lecteur plus en état de connaître et de sentir avec quel
ru devoir rapporter sur la comédie du Tartuffe. Nous supposons que le lecteur connaît les Œuvres de Molière, et par conséquent
ui exécutèrent les intermèdes de Pourceaugnac ; nous supposons que le lecteur connaît les Œuvres de Molière, édition in-12 de 1
sur la comédie du Misanthrope, est précédée d’un Avis du libraire au lecteur , dont voici le commencement : « Le Misanthrope, d
a première représentation, ayant reçu du théâtre l’approbation que le lecteur ne lui pourra refuser, et la Cour étant à Fontain
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Des Pieces à spectacle. » pp. 30-36
ans laquelle il avoit joué le premier rôle. Il est nécessaire que mes Lecteurs aient une légere idée de cette piece. L’Arbre en
nce, comme je l’ai dit, des Comédies héroïques des Espagnols. 1. Le lecteur doit savoir que tous les canevas composés à Paris
21 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
amené à l’entreprendre, c’est ce que s’expliqueront aisément ceux des lecteurs qui savent que j’ai publié une édition des œuvres
permis d’apporter dans cette étude quelques éléments nouveaux, que le lecteur qui a étudié ces questions saura facilement recon
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
e l’Avare. Riccoboni ignoroit d’où Moliere avoit pris cette idée : le Lecteur va l’apprendre. L’Avare de Moliere. Acte ii. S
les changements qu’il y a faits. Il suffit, pour en faire convenir le Lecteur , de lui dire que dans la Piece Italienne Angelica
ser sans dot ? L’Avare original est si sublime dans cette scene ! Mes Lecteurs ne peuvent en juger sans l’avoir sous les yeux.
té, & qui auroit surement ajouté un nouveau mérite à sa piece. Le Lecteur pourra bientôt en juger. La Piece Italienne est i
iece de Moliere, que je ne changerai pas d’avis, à moins que tous mes Lecteurs , sans en excepter un seul, ne soient d’un avis co
uelques personnes ; mais tant pis pour elles. 40. Quelqu’un de mes Lecteurs se donnera peut-être la peine de fouiller dans le
23
chaque homme qui sait lire est — selon le mot de Sainte-Beuve — « un lecteur de plus pour Molière », si l’auteur du Tartuffe e
. Le premier de ces textes, dont l’importance n’échappera à aucun des lecteurs du Moliériste, est une lettre adressée aux consul
rits d’une grosse et ferme écriture, et qui ont échappé jusqu’ici aux lecteurs du registre de la mairie de Nantes. Quoi qu’il en
rd THIERRY. (La fin à la prochaine livraison) Quelques-uns de nos lecteurs ayant pris cette étude de notre éminent collabora
difice. Cependant, le sujet qui y est représenté est très-curieux. Le lecteur nous saura gré sans doute d’entrer dans quelques
écision la maison peinte par Vincent, telle que celui-ci l’a vue ; au lecteur de suppléer ce que celui-ci n’a pas dit : nous n’
ieur. Permettez-moi de vous remercier d’avoir bien voulu signaler aux lecteurs du Moliériste les documents relatifs à la troupe
niquement pour vous communiquer les documents qui s’y rapportent. Vos lecteurs y trouveront peut-être quelques détails intéressa
f Villenaine est assez connue pour qu’il suffise de la rappeler à nos lecteurs sans la raconter de nouveau. Ouvrons maintenant l
’est ici plus que partout ailleurs qu’il convient de le faire, et nos lecteurs de… partout, n’hésiteront certes pas à nous faire
re 1879, p. 197-199. Dans un premier article nous avons entretenu nos lecteurs du Pavillon des Singes et de sa curieuse sculptur
e nous reproduisons25, et sur lequel nous appelons l’attention de nos lecteurs . Ils y verront que seule la partie de devant a ét
5. Je ne puis m’empêcher d’ouvrir ici une parenthèse pour renvoyer le lecteur à la savante brochure de M. Philéas Collardeau :
etc., votre collaborateur Francisque Sarcey pourrait compter sur des lecteurs aussi assidus que reconnaissants s’il voulait de
nich, est actuellement directeur du théâtre de la cour à Vienne ; vos lecteurs le connaissent, ayant lu dans Le Moliériste d’aoû
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
us. Il faut qu’en écoutant j’aie eu l’esprit distrait, Ou bien que le lecteur m’ait gâté le sonnet. Mais laissons ces discours,
le Public en seroit dédommagé par de nouvelles scenes ajoutées ». Le Lecteur trouve-t-il que l’Auteur ait bien fait ? 33. Fil
la est bon ! que cela est plaisant ! & il rioit de plus belle. Le Lecteur impatienté lui dit : Voilà qui est bien, vous ave
25 (1802) Études sur Molière pp. -355
re de notre excellent comique ; et si vous épargnez des recherches au lecteur paresseux, si vous procurez au plus futile l’avan
ère, j’ose entreprendre de te montrer sous ces divers rapports, et le lecteur , impatient de te connaître par les traits qui te
r que de l’autre ; et c’est à la lin de cet ouvrage seulement, que le lecteur pourra se dire, je connais Molière. Les notes his
sotto la tavola, etc. Sentiment sur la pièce. Nous savons, le lecteur et moi, d’où Molière a tiré le fond de sa comédie
ièce française devrait porter le seul titre de Contre-temps ; mais le lecteur a pu remarquer que tous les contre-temps devant l
 XIV attirait le beau monde hors de Paris. Mais nous avons résolu, le lecteur et moi, de ne juger jamais sur parole. Sganarell
fectent de l’être, n’est pas une comédie, mais un dialogue ; c’est au lecteur à répondre et à dire : j’ai remarqué dans cet ouv
ièce, d’un acte surtout, pour mériter d’être appelée une comédie ? Le lecteur a sans doute remarqué aussi que Molière, au lieu
dre que L’Impromptu de Versailles dut sa naissance. » Nous voilà, le lecteur et moi, fort embarrassés pour décider si sa majes
lle ses gens ; il se sauve par la porte du jardin. Je ferai grâce au lecteur d’une infinité de personnages et d’incidents ennu
s une femme perdue, je dois accepter sa proposition. Plusieurs de mes lecteurs sont allés sans doute chez un certain petit espiè
té sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 août. Apprenons d’abord à nos lecteurs d’où Molière a tiré le fond de son sujet ; il par
ation de ses coups de poing, et ne soupçonne quelque supercherie ? Le lecteur devine le résultat de mon dialogue avec le journa
ur que lui procurait l’instruction de ce jeune homme ; et ceux de mes lecteurs , pour qui la satisfaction de faire le bien est un
pour qui la satisfaction de faire le bien est un besoin, ceux de mes lecteurs pour qui la reconnaissance n’est pas un fardeau,
n’avons qu’à copier une note prise dans l’Histoire des théâtres ; le lecteur fera lui-même ses remarques, et les appliquera au
ord avec le fond de cette fable qu’il nous importe de familiariser le lecteur  ; le reste des imitations, ne venant pas toujours
utin, et Bret convient qu’il partage son opinion en partie ; c’est au lecteur à prononcer. Thomas, dans son ouvrage Sur les Fem
ue des lettres. Que ne vit-il encore ! Beautés à distinguer. Le lecteur ne se bornera pas sans doute à remarquer combien
rs vive et variée, sans l’embarrasser du moindre détail étranger : le lecteur doit aussi démêler le moyen dont l’auteur s’est s
vrai, comme on le verra par une lettre que je transcris, parce que le lecteur y trouvera des choses propres à satisfaire l’inté
et c’est la seule imitation dont nous avions à parler. Qu’en pense le lecteur  ? Cette pièce n’aurait-elle pas plus l’air d’avoi
e école dramatique ; essayons de réaliser le projet : je m’associe le lecteur , et nous inscrivons, en gros caractères, sur la p
on de la gloire devient insensiblement une réalité. Que chacun de mes lecteurs , pénétré de cette douce et consolante idée, répèt
Molière, il est du moins de son choix ; et cela nous suffit. 22. Le lecteur retrouvera quelques vers de cette pièce dans le M
a dans la préface, que Molière y promet un examen de ses œuvres : mes lecteurs s’écrient sans doute : « ah ! plût à Dieu, qu’il
rut désirer que cette réflexion fût rendue publique, je la soumets au lecteur . 67. Voltaire trouve que « l’épreuve de l’Avar
ne jeune dame lui dit : il est là, prenez garde à lui. — À qui ? — Au lecteur . — C’est à l’auteur que j’en veux. — En ce cas, p
26 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
enres et particulièrement de celles des théâtres. On se flatte que le lecteur nous saura gré d’avoir fait usage de tout ce qui
uelque curieux que soient les articles dont nous venons de parler, le lecteur en trouvera dans ce volume beaucoup d’autres qui
la tragédie de Timocrate, à la tête de laquelle se trouve un Avis au lecteur qui aurait dû entrer dans l’édition des Œuvres de
s conseils d’autrui. » Il nous paraît superflu de faire remarquer au lecteur toute la malignité et la calomnie qui règne dans
ant que le mariage du roi retenait toute la Cour hors de Paris. » Le lecteur ne sera peut-être pas fâché de trouver ici de que
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
st las de perdre du temps pour rien. M. d’Aubignac prétend, comme le lecteur l’a vu dans le chapitre précédent, qu’on doit mes
itesse, tous les égards que les gens de lettres se doivent, & mes lecteurs jugeront. Voici ce que dit M. de Beaumarchais : «
de ses entr’actes au drame, qu’ils en sont inséparables : mettons mes lecteurs à portée d’en juger sans avoir recours à la piece
28 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
le est bien éloignée de pouvoir perdre aujourd’hui de son mérite. Les lecteurs de société retracent souvent la scène de Molière,
trement qu’ils ne sont, qu’on retient dès qu’on les entend, et que le lecteur croit avoir faits? c’est encore Molière. Quelle f
29 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
e de notre théâtre ont pu, comme nous osons l’espérer, intéresser nos lecteurs , nous ne craignons pas d’assurer que la lecture d
allons entrer dans ce neuvième volume. Nous y offrons aux yeux de nos lecteurs les inimitables comédies de Molière ; les brillan
auline, l’amour de Sévère, etc. M. Corneille explique, dans l’Avis au lecteur de sa comédie du Menteur, les raisons qui l’ont e
ici à la sienne : nous rapportons l’une et l’autre, persuadés que le lecteur , ainsi que nous, n’aura pas lieu d’accuser l’aute
En finissant cette préface, il nous paraît nécessaire de prévenir le lecteur sur la méthode que nous avons observée dans les a
autre, dont l’original est espagnol ou italien ; voilà tout ce que le lecteur peut exiger de nous. Nous croyons être dispensés
ur caractère qui soit au théâtre. » Nous demandons maintenant à tout lecteur si ce prétendu Misanthrope anglais peut entrer en
le détail de cette fête est peu connu, nous croyons faire plaisir au lecteur de placer ici ce que Loret en a dit. Muse histor
ut proposé, fait, appris et représenté en cinq jours. Voyez l’Avis au lecteur de L’Amour médecin. 1. [Note marginale] Voyez l’
s au lecteur de L’Amour médecin. 1. [Note marginale] Voyez l’Avis au lecteur de L’Amour médecin. 1. [Note marginale] Vie de M
30 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
t de grands abîmes dans de petits problèmes, éveiller la curiosité du lecteur sur les questions de critique générale, et lui in
rançaise, disparaître moi-même derrière eux, et je prie instamment le lecteur de vouloir bien se souvenir que jusqu’à la Conclu
31 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
s de les appliquer. Fausses clefs, ajoute l’auteur, aussi inutiles au lecteur qu’injurieuses aux personnes dont les noms sont d
n ai fait des peintures vraisemblables, cherchant moins à réjouir les lecteurs par la satire de quelqu’un, qu’à leur proposer de
32 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Préface » pp. -
Préface Je prie le lecteur de ne pas demander à cet ouvrage plus d’amusement
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
la fin des actes, je ne le rapporterai pas ; je prierai seulement le lecteur d’examiner que rien n’est si simple que la pensée
, aussi inattendue, répare tout le mal que la premiere a fait ? Si le lecteur veut s’épargner l’ennui de me voir multiplier les
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
e mon cœur une autre fois, bêtes que vous êtes. »   Je ne sais si le lecteur sera de mon avis ; mais il me semble, je le répet
ns encore rempli notre tâche à cet égard, en mettant sous les yeux du lecteur , chemin faisant & sans affectation, les beaut
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
maris poussés à bout. Passons présentement à la comédie espagnole. Le Lecteur sera sans doute bien aise de voir une piece que p
se font un plaisir d’emmener Don Juan chez eux pour le régaler.   Le Lecteur s’est apperçu que la scene a souvent changé, mais
soit pas emparé. Ne seroit-elle pas aussi bonne que je le crois ? Mes Lecteurs vont être à portée de décider. ACTE V. Scene VIII
eprésentée sur le théâtre de l’Hôtel de Bourgogne, en 1659. 31. Au Lecteur . « Ce n’est pas d’aujourd’hui qu’on t’a présenté
36 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
e, moins pour ce qu’il enseigne que pour l’habitude qu’il donne à ses lecteurs de penser raisonnablement. Les lettres ont leur r
uciance l’empêchait d’attacher aucune importance (Voir Le Libraire au Lecteur , au commencement de Psyché). 188. Boileau, Satir
celle du Misanthrope (act. I, sc. II) : le sonnet d’Oronte séduit le lecteur surpris par l’agrément de l’harmonie et du trait 
37 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [90, p. 134] »
cette galère ? adopté par Molière dans les Fourberies de Scapin. Nos lecteurs à qui le petit écrit qu’on vient de citer, peut-ê
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
la muscade ? on en a mis par-tout33. Je vais mettre sous les yeux du lecteur tout ce que les ennemis & les défenseurs outr
mment.   Figurez-vous donc que Télebe, &c. &c. Je renvoie le lecteur à Plaute 36. Sa scene est trop longue, trop ennuy
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
uver des exemples dans tant de pieces, que je n’en citerai aucune. Le lecteur n’a qu’à se rappeller celles où le public, à l’ar
s anime ; par ce moyen il évite la monotonie, & le plaisir de ses lecteurs est varié. Sganarelle, dans la piece que nous ven
40 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366
cene est au Ciel, en la Sicile, & aux Enfers, où l’imagination du lecteur se peut représenter une certaine espece d’unité d
étestable. Louis Riccoboni va parler encore, écoutons-le. Je prie le lecteur de m’aider à deviner ce qu’il a voulu dire. « Ma
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
ès ancienne, dont nous ferons l’extrait quand nous aurons rappellé au Lecteur le sujet du Cocu imaginaire de Moliere. Extrait
equ’il ne sert presque qu’à démêler l’imbroglio des deux premiers. Le Lecteur peut à présent décider entre l’original & la
42 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
, et tout noir, n’ont jamais préoccupé la curiosité et la sagacité du lecteur , autant que l’a fait ce bel Alceste, créé tout ex
la permission d’en parler à cette place même ; il sera plus facile au lecteur de comparer entre elles ces deux grandes œuvres :
43 (1819) Deux pièces inédites de J.-B. P. Molière [La Jalousie du Barbouillé, Le Médecin volant] pp. 1-4
utes qui pourraient s’élever sur leur authenticité, nous renvoyons le lecteur au recueil des Lettres de (J.-B.) Rousseau, 5 vol
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. De ce que nous entendons par caractere. » pp. 259-260
ous entendons par caractere. Avant d’entrer en matiere, je prie le Lecteur de voir avec moi ce qu’un Auteur qui a traité de
45 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
gloire ! Ces feuillets tachés de lie, où se voit encore la trace des lecteurs oisifs, voilà, voilà mon livre, et ma vie entière
s sérieuses ; elle a été, bien souvent le repos, et la consolation du lecteur fatigué d’analyse, — et que de fois, quand j’alla
x, les critiques de profession blessent le poète, ils impatientent le lecteur  ; leur goût consiste absolument à n’avoir pas le
rovince a vécu, ne fût-ce qu’une heure ; elle a rencontré au moins un lecteur  ; elle a servi, peut-être, tout un jour à la conv
premier service, Molière, le savant, le grammairien, le latiniste, le lecteur de Montaigne, de Froissart et d’Amyot, Molière ve
s mourir, au chef-d’œuvre enfin, au type éternel. Je sais bien que le lecteur est frivole et qu’il aime, avant tout, la nouveau
oleil. C’est alors, quand pour la vingtième fois vous tenez voire ami lecteur bien contrit et bien repentant, que vous pouvez l
ez tout de suite, que ces mêmes pages sérieuses qui ont impatienté le lecteur frivole habitué aux bulletins du théâtre des Vari
page, en effet, qui était pesante au journal, et qui impatientait le lecteur du journal, devient légère au livre et au lecteur
qui impatientait le lecteur du journal, devient légère au livre et au lecteur du livre. — Ah ! te voilà, ma chère préface que j
es maîtresses de la lecture de chaque matin, mais songez à plaire aux lecteurs sérieux ; alors vous parlerez comme des hommes, s
e naturel du terre à terre, et songez, quand vous écrivez, non pas au lecteur de rencontre, qui vous lit au hasard, en attendan
au hasard, en attendant sa Belle ou l’ouverture de la Bourse, mais au lecteur honnête homme, amoureux de la forme et bon juge d
46 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
l perdit par la bouche2 ». Pour ne rien dissimuler, j’avertis ici mon Lecteur , que si l’on en croit d’autres Ecrivains, Moliere
ient dans toutes sortes de Traductions, & de quelque goût que les Lecteurs fussent, pourvu qu’ils entendissent l’essence des
t Ouvrage. Ils n’ont point connu qu’il doit servir à toutes sortes de Lecteurs , & que par cela même qu’il ne seroit fait que
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377
MAGNIFIQUE. Autre caractere composé. Je croyois d’abord renvoyer mes Lecteurs à l’article où nous avons discuté si l’on pourroi
le Petit Seigneur d’un autre côté, & c’est peut-être celui que le Lecteur oppose tout bas à mes raisonnements. On pourroit
’il est capable de faire, &c. &c. J’entends la plupart de mes Lecteurs s’écrier « que ce que je dis pour persuader que l
48 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
il perdit par la bouche. » Pour ne rien dissimuler, j’avertis ici mon Lecteur , que si l’on en croit d’autres Ecrivains, Moliere
ient dans toutes sortes de traductions, & de quelque goût que les lecteurs fussent, pourveu qu’ils entendissent l’essence de
49 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60
e des Fâcheux, que cette espece de comédie est presque sans nœud. Mes Lecteurs ne seront pas, je pense, de son avis : ils auront
; qu’il satisfait tout le monde : j’ai donc confondu, aux yeux de mes Lecteurs judicieux, les personnes qui n’avoient pas apperç
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
z. On a imité cette scene dans le Joueur Anglois. Je vais mettre mon Lecteur à portée de juger les deux Auteurs. LE JOUEUR ANG
ques-unes joliment enchassées, & distribuées avec prudence ». Mes Lecteurs auroient certainement de la peine à me croire, &a
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
i les dépareroit à nos yeux. Cet exemple nous manquoit pour mettre le Lecteur à portée d’apprécier ce dernier genre d’imitation
l’a fait avec tant d’adresse ; il étoit nécessaire de convaincre mes Lecteurs de cette vérité : sans cette précaution les ennem
52 (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)
La Fontaine, le seul de nos écrivains que comprennent et goûtent les lecteurs de tous milieux et de tous âges. On peut sans cra
omme sa morale, sa psychologie est large, simple, faite pour tous les lecteurs et tous les publics. Taine a reproché au xviie  s
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « De l’Imitation en général. » pp. 1-4
n peu mes réflexions ; mais je ne me permettrai pas d’égayer ainsi le Lecteur . Je mettrai l’original auprès de la copie ; il ju
54 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « [Introduction] » pp. 1-4
des plus fameux Comiques depuis Moliere jusqu’à nous. Par ce moyen le Lecteur jugera lui-même, dans une suite d’imitations, de
55 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
ence à comprendre, pour peu que les événements le permettent, que les lecteurs se rencontreront bientôt qui ne de manderont pas
ande délicatesse, ce n’est que par la bonne opinion que l’on a de ses lecteurs . » Nous avions donc une excellente opinion de nos
n a de ses lecteurs. » Nous avions donc une excellente opinion de nos lecteurs , et c’est pourquoi nous leur portions un grand re
ait mieux ; vous y gagneriez une vie à coup sûr plus heureuse, et vos lecteurs y gagneraient une lecture plus facile. Est-ce que
l est vrai, toutes sortes d’intelligences médiocres, toutes sortes de lecteurs imbéciles, et des ignorants, et des niais, et des
, à l’oreille fermée, à l’esprit bouché, à la tête inintelligente, au lecteur ébloui de ces vives et soudaines lumières pour le
s dire ; ce n’est pas pour eux que vous écrivez. Vous écrivez pour un lecteur d’élite, actif, intelligent, dévoué ; votre lecte
s écrivez pour un lecteur d’élite, actif, intelligent, dévoué ; votre lecteur aime, avant tout, l’élégance et la correction, to
s cheveux, et le plus simple passage nous suffit pour indiquer, à nos lecteurs , que nous changeons de parabole. Mais avez-vous l
nos lecteurs, que nous changeons de parabole. Mais avez-vous lu, ami lecteur , cette charmante satire d’Aristophane, Plutus ? C
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
autre secours que celui d’un dialogue coupé. Pour faire sentir à mes Lecteurs la vérité de ce que je dis, je crois très à propo
s, des scenes, du dialogue. Autant que je pourrai, j’épargnerai à mes Lecteurs des répétitions ennuyeuses pour lui & pour mo
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
it le plus rire dans l’Etourdi François est puisée dans d’Ouville. Le Lecteur se souvient sans doute que Mascarille voulant avo
texte de faire enterrer Pandolphe, qu’il dit être mort subitement. Le Lecteur se souvient encore qu’Anselme voyant ensuite Pand
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
peine que Moliere l’emporte sur l’Auteur Italien. Je puis procurer au Lecteur le plaisir de s’en assurer par lui-même. Le moyen
autant qu’il m’a été possible, & je vais en traduire une que mes Lecteurs pourront comparer ensuite avec la troisieme scene
comédie par le sieur Gillet de la Tessonniere. Je vais en régaler mes Lecteurs . L’original est fort rare. La bibliotheque du Roi
59 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322
illeurs si souvent parlé, que peu de paroles serviront à rappeller au Lecteur le fond, les détails, la disposition des scenes,
nt le héros est le véritable Tartufe d’Italie. Il est à propos que le Lecteur fasse connoissance avec lui pour le comparer au T
que Moliere n’ait puisé dans une des Nouvelles de Scarron ; & le Lecteur , qui ne le savoit pas, va bientôt en être aussi s
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
temps que nous ne citons que des comédies françoises, transportons le Lecteur sur le théâtre espagnol. Voyons si l’on devinera
l but moral s’est proposé l’Auteur ? Jamais : j’ose bien en défier le Lecteur . C’est celui de persuader aux Espagnols qu’ils n’
de bons & de mauvais exemples. Je les ai mis sous les yeux de mes Lecteurs  : tâchons d’en faire notre profit. Quelques Auteu
u Palais, aux Cours, aux ruelles, aux tables, De leurs vers fatigants lecteurs infatigables. Pour moi, je ne vois rien de plus s
61 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
ntés et dansés ; côté modeste et toutefois charmant, devant lequel le lecteur passe trop souvent sans le voir, mais sur lequel
62 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
eu des Scènes à la Cour, et ailleurs, qui auraient fait plaisir à un Lecteur de goût. Pourquoi l’Auteur ne nous les a-t-il pas
lent ; mais cette suite d’aventures communes n’est bonne que pour ces Lecteurs qui s’amusent de rien. Il est vrai, que l’Auteur
63
auteur du Quarante-Unième fauteuil ; pour les derniers, je renvoie le lecteur à l’inappréciable inventaire exhumé, voilà seize
ale revue hollandaise De Gids qui n’est déjà plus un inconnu pour les lecteurs du Moliériste et qui vient de joindre à son intér
liériste que si l’on pouvait supposer le hollandais connu de tous ses lecteurs . Nous dirons seulement qu’en somme elle nous a pa
s pour dupe, j’ose espérer qu’il ne viendra à l’esprit d’aucun de vos lecteurs , une pensée que repoussent aussi bien la haute po
ont pu récemment acquérir les affiches dont Le Moliériste offre à ses lecteurs l’exacte reproduction typographique.
occupé par les caractères ; mais ce n’est qu’une probabilité, et les lecteurs du Moliériste trouveront peut-être une restitutio
« est trouvé assez de personnes, dit François Donneau, dans l’Avis au lecteur de La Cocue imaginaire, pour remplir plus de quar
rbagnas ?) semble en avance d’un siècle, car il y est question de ces lecteurs acharnés de la Gazette de Hollande, nouvellistes
grés, le galimatias simple et le galimatias double : le simple, où le lecteur est seul à ne pas comprendre l’écrivain ; le doub
m’est personnel, mais qui ne sera peut-être pas sans intérêt pour les lecteurs du Moliériste ? Il y a quelque vingt ans, j’ai re
garder pour vous seul. » Permettez-moi de mettre sous les yeux de vos lecteurs un passage d’un auteur contemporain, qui confirme
orthographe des mots. Il est des négligences, dans l’écriture, que le lecteur reconnaîtra bien vite ; et, quant aux noms que no
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
oduit dans ces deux pieces la chose inanimée. J’exhorte cependant mes lecteurs à ne point se laisser éblouir par les beautés de
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
rien. Ce que je viens de dire paroîtra peut-être si simple à quelques lecteurs , qu’ils me blâmeront de m’y être arrêté ; ils ne
omme qui ne doit pas en avoir, qu’il faut tourner en ridicule. Que le lecteur lise attentivement la scene que je mets sous ses
t pas les noms des acteurs avant que la piece commence, comme fait un lecteur dans son cabinet : je ne sais pas pourquoi il pre
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
is la transcrire, en partie, parcequ’indépendamment du plaisir que le Lecteur prendra en la lisant, il est nécessaire qu’il pui
battoit avec elle. La façon dont elle s’y prend est singuliere.   Le Lecteur sera certainement bien aise de voir une partie de
n. Don Pedre a raison d’être ennuyé ; je suis de son avis, & le lecteur aussi sans doute. Le ridicule n’amuse pas long-te
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
nous aurons rapporté une scene prise dans Plaute ou dans Regnard. Le Lecteur doit se rappeller que chez le premier22 un captif
ombe : Affranchi des liens qui l’attachoient au monde, Ci gît Timon. Lecteur , que le Ciel te confonde ! On a dû nécessairemen
mp; lui donne sa main. « A merveille ! vont s’écrier plusieurs de mes Lecteurs . Destouches ne laisse donc rien à desirer dans so
68 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
Un mot au lecteur Cet opuscule ne s’adresse qu’à un petit nombr
le journal le Temps a prêté récemment sa large publicité, et que ses lecteurs ont accueillis avec l’indulgence qu’ils veulent b
tient trop au sujet pour qu’il me soit permis d’en faire grâce h mes lecteurs , d’autant qu’elle peint au vif le naturel à la fo
Halles. C’est seulement de cette dernière que je veux entretenir mes lecteurs . Molière naquit dans une maison située au coin de
nue dans ce journal môme. Je regarde comme un devoir de montrer à nos lecteurs que je les respecte assez pour n’avoir pas parlé
s de sa main, Vous seriez honoré par quiconque sait lire ! Plus d’un lecteur va s’étonner et s’écrier : Un autographe de Moliè
ière. Je dois une réponse à M. Jules Loiseleur et une explication aux lecteurs du Temps. Voici l’une et l’autre : 1° J’ai examin
oulan dans les voies assurément neuves où i| cherche à introduire son lecteur , malgré toute son habileté, son érudition histori
69 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. Des Caracteres de tous les siecles, & de ceux du moment. » pp. 331-336
du Public dans cette tirade du Festin de Pierre, acte V, scene II. Le Lecteur aimera peut-être mieux la voir en vers par Thomas
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. M. DORAT. » pp. 463-467
ans l’avant-scene des deux Reines : je puis me tromper : voyons si le lecteur sera de mon avis. Avant-scene racontée par l’une
71 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8
us passerons par des sentiers peu connus au moins du grand nombre des lecteurs , nous espérons qu’ils ne feront pas de difficulté
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
ramener malgré lui-même aux ris. Il n’est pas possible de dévoiler au lecteur toute la finesse de cet art inconcevable que le p
imité cette scene ; mais ils sont au-dessous de l’original. 26. Le lecteur a sans doute remarqué qu’aucune femme ne paroît d
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
amp; au pays pour lesquels il écrivoit, qu’il éclipse ses modeles. Le Lecteur en sera bientôt convaincu. Extrait de l’Ecole de
yance, Et toujours ses regards m’en ont dit l’innocence. J’ai mis le Lecteur à portée de juger Moliere & les cinq Auteurs
74 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIV » pp. 251-258
angé ces vers en ceux-ci : Heureux si ses discours craints du chaste lecteur Ne se sentaient des lieux que fréquentait l’auteu
75 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
age, Que Montausier voulût leur donner son suffrage ! C’est à de tels lecteurs que j’offre mes écrits. Boileau, à dater de 1677
lle toujours que de fades auteurs S’en vont se consoler du mépris des lecteurs  ; Elle y reçoit leur plainte, et sa docte demeure
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
des terres, des châteaux, & lui demande ce qu’il veut manger. Le Lecteur se doute bien qu’il donne la préférence aux macar
77 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VIII » pp. 70-76
e remplacer par ceux-ci : Heureux si ses discours, craints du chaste lecteur , Ne se sentaient des lieux où fréquentait l’auteu
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. M. BARTHE. » pp. 413-419
andues dans mes pieces, on trouvera peut-être mauvais que j’occupe le lecteur de moi-même ; si je n’en parle point, on m’accuse
79 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
t fils, débute par cette judicieuse réflexion : « Le goût de bien des Lecteurs pour les choses frivoles, & l’envie de faire
80 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
tes époques de notre histoire, et nous espérons fort, pour peu que le lecteur nous soit en aide, arriver à quelque utile résult
produire le modèle incroyable qu’il avait sous les yeux, laissant aux lecteurs à venir, le soin de juger du mérite et de l’intér
chapitre au grand complet, serait la satire de tous les autres. Notre lecteur se contentera de beaucoup moins, je l’espère, et
fois, que ce tableau de La Bruyère. Voici en revanche un paysage (le lecteur aime le repos et le contraste), où se fait sentir
81 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
vrage Que Montauzier voulût leur donner son suffrage. C’est à de tels Lecteurs que j’offre mes écrits. Mais pour un tas grossier
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
pulente. Mais les pieces sont plus souvent lues que représentées ; le lecteur ne voit pas la décoration : d’ailleurs il faut qu
r second. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Que le lecteur soit sincere : il a surement cru que Géta, touché
83 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
e convalescence. Les traits de la jeune fille s’éclairent de joie. Le lecteur poursuit : telle est la gloire que le héros s’est
x le jour de leur mariage. La fillette est charmée, et quand d’autres lecteurs , plus sincères, essayent de lire la lettre à leur
84 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
scrivant le champ de mes études dans des limites plus étroites. Si le lecteur en effet a bien voulu suivre avec attention l’enc
au, une portée nouvelle, par une trop libre interprétation. Plus d’un lecteur trouvera le conseil inutile. À quoi bon inviter l
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311
de la poudre aux yeux ; peut-être a-t-il déja séduit quelqu’un de mes lecteurs  : mais il ne lui faudra pas beaucoup de réflexion
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
nts est si frappante, qu’il suffit de les rapprocher sous les yeux du Lecteur . Mais si de Visé a tort d’avoir fait un mauvais d
87 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
rtance, le nom de précieuses n’existait point encore ; et je prie mes lecteurs de tenir note de ce fait : que quand la société d
88 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
propos injurieux pour elle. Voyons cette lettre en entier : c’est au lecteur qu’il appartient d’en déterminer le sens. Mais il
89 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
ne, ce que dit Despréaux :              Tel mot pour avoir réjoui le lecteur A coûté bien souvent des larmes à l’auteur. L’im
ames. La profondeur schlegelienne n’a rien qui ne soit accessible aux lectrices les plus aimables. 5. Traduction de M. Cousin. —
7. Voilà la pierre de l’angle. Nous nous contenterons de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 32
p d’épigrammes. Voici celle qui est en tête de toutes ses Poésies. Le lecteur verra qu’elle est parfaitement correcte : França
90 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
quand nous faisons un livre, quand nous pensons et écrivons pour des lecteurs dont l’intelligence est prompte, la vie courte, e
ue la simple politesse exige que nous changions de méthode. Parmi nos lecteurs , il n’y en a pas un qui ne sache que le récit de
ires. Mais, sans contredire La Harpe, sans troubler le plaisir de ses lecteurs , si je puis expliquer cette faute de goût si choq
il n’a pas fait de plan. Ici, c’est une lacune que l’imagination des lecteurs doit remplir ; là c’est un monologue, un dialogue
la campagne, p. 215. 323. M. Lysidas n’est ici, nous le rappelons au lecteur , que la personnification du dogmatisme en critiqu
91 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
le qu’il fait encore après sa mort le même ravage dans le cœur de ses lecteurs , qu’il en avait fait de son vivant dans celui de
92 (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13
soit le peu d’importance de mon opinion, je crois devoir prévenir le lecteur que, pour l’émettre, je n’ai cédé qu’au sentiment
93 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
a lecture en soit achevée. Comme Philinte, à chaque pause que fait le lecteur , se récrie d’admiration, Alceste autant de fois l
t rien ne pouvait déguiser ni justifier l’imperfection aux regards du lecteur . Il avait échoué comme ministre et interprète de
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533
a imitées, ou, pour mieux dire, qu’il a traduites ». J’arrête là mon Lecteur  ; il me permettra de lui dire que si je fais le p
des plus fameux Comiques depuis Moliere jusqu’à nous. Par ce moyen le Lecteur verra une suite d’imitation, & il aura le pla
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
sant, mais n’en font pas le principal mérite. J’en prends à témoin le Lecteur . Henri veut déterminer son maître à se marier ave
c la seconde scene du premier acte des Fourberies de Scapin, & le Lecteur doit se rappeller qu’elles sont bâties sur le mêm
avons déja faites, ne me permettent pas de la rapporter. Ceux de mes Lecteurs qui ne l’ont pas bien présente à leur mémoire, pe
96 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
miques dont nous rendons compte dans ce volume, chacune présentera au lecteur des anecdotes instructives et amusantes, ainsi qu
qui savent l’architecture, mais elle ne satisferait peut-être pas un lecteur qui souhaite qu’on lui représente ce qui peut fra
gantier, dont parle la Comtesse d’Escarbagnas ; mais pour épargner au lecteur la peine de chercher ce passage dans la pièce, no
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
s le chapitre où j’ai parlé de l’âge des personnages, j’y renvoie mon lecteur . Moliere a encore connu tout le prix du sérieux
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLII. De l’art d’épuiser un Sujet, un Caractere. » pp. 493-503
e en cinq actes, & en vers, de Campistron. Il faut d’abord que le Lecteur connoisse à fond le héros de la piece. Voici son
99 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. » pp. 426-435
s meilleures scenes de cette piece, est prise dans Don Quichotte : le Lecteur va voir Moliere s’enrichir des idées de Michel Ce
100 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
é que ces quatre vers latins qu’on a trouvé à propos de converser. Le Lecteur observa que sur la fin de la Comédie Le Malade im
/ 181