Chapitre premier. — Une
leçon
sur la comédie. Essai d’un élève de William Schle
er le grand principe posé par Socrate lui-même à l’ouverture de notre
leçon
. Nous allons lui opposer son contraire, et nous d
e de Staël (De l’Allemagne, chap. xxxi) parle avec enthousiasme d’une
leçon
de William Schlegel qu’elle a entendue à Vienne.
uction de M. Cousin. — W. Schlegel rappelle ce passage au début de sa
leçon
sur l’ancienne comédie, la sixième du Cours de li
satires chez les Romains. — Cours de littérature dramatique, sixième
leçon
. 9. Sixième Provinciale. 10. Ce qui doit dom
Ce qui doit dominer dans la comédie, c’est l’intrigue. — Douzième
leçon
. 11. Douzième leçon. 12. Douzième leçon. 13. D
r dans la comédie, c’est l’intrigue. — Douzième leçon. 11. Douzième
leçon
. 12. Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14. P
est l’intrigue. — Douzième leçon. 11. Douzième leçon. 12. Douzième
leçon
. 13. Douzième leçon. 14. Pages 69, 298, 299, 34
uzième leçon. 11. Douzième leçon. 12. Douzième leçon. 13. Douzième
leçon
. 14. Pages 69, 298, 299, 348 du tome Ier. 15.
zième leçon. 14. Pages 69, 298, 299, 348 du tome Ier. 15. Deuxième
leçon
. 16. Sixième leçon. 17. Deuxième leçon 18.
ges 69, 298, 299, 348 du tome Ier. 15. Deuxième leçon. 16. Sixième
leçon
. 17. Deuxième leçon 18. La première comédie
du tome Ier. 15. Deuxième leçon. 16. Sixième leçon. 17. Deuxième
leçon
18. La première comédie était le genre origin
ion secondaire, plus voisine de la prose et de la réalité. — Sixième
leçon
. 19. Septième leçon. 20. Sixième leçon. 21.
voisine de la prose et de la réalité. — Sixième leçon. 19. Septième
leçon
. 20. Sixième leçon. 21. Ibid. 22. La plac
et de la réalité. — Sixième leçon. 19. Septième leçon. 20. Sixième
leçon
. 21. Ibid. 22. La place m’est heureuse à v
jamais chez lui qu’un symbole ; ils désignent une espèce. — Sixième
leçon
. 24. Les images idéales et les caricatures gro
aits de la comédie nouvelle les caricatures de l’ancienne. — Septième
leçon
. 25. La tragédie des Grecs était, pour ainsi d
solées, des allusions du moment et des saillies imprévues. — Sixième
leçon
. 26. Les comédies d’Aristophane offrent aussi
istractions de toute espèce, ou dissipée par de la gaieté. — Sixième
leçon
. 27. Cette puissance illimitée de la gaieté se
e prendre rien au sérieux, pas même la forme dramatique. — Sixième
leçon
. 28. Sixième leçon. 29. Nous n’en sommes enc
rieux, pas même la forme dramatique. — Sixième leçon. 28. Sixième
leçon
. 29. Nous n’en sommes encore qu’à chercher un
genre comique national, sans l’avoir véritablement trouvé.— Septième
leçon
. 30. Le poète n’est plus dominé par une verve
l cherche la gaieté dans les objets mêmes qu’il présente . — Septième
leçon
. 31. La gaieté sans but, véritable inspiration
gaieté sans but, véritable inspiration du génie comique. — Douzième
leçon
. 32. La comédie est d’autant plus divertissant
ant plus divertissante que l’arbitraire y règne davantage. — Sixième
leçon
. 33. Pour que la gaieté des spectateurs se so
ar l’un ou l’autre ramènerait infailliblement le sérieux . — Septième
leçon
. 34. Les nouveaux auteurs comiques, privés du
ns la forme de la composition, dans le nœud de l’intrigue. — Septième
leçon
. 35. La tragédie descendit de la hauteur idéal
ète était en effet l’avant-coureur de la nouvelle comédie. — Septième
leçon
. 36. Les pièces finissent en général par le m
érieux faisait son entrée dans ta vie avec cet événement. — Septième
leçon
. 37. Satires, I, 4. Traduction de M. Patin. 3
avec le monde tel qu’il est, avec un événement véritable. — Septième
leçon
. 39. Pour qu’un ouvrage soit poétique, il fau
qui ne laisse rien à désirer hors de ses propres limites. — Deuxième
leçon
. 40. La fiction de l’auteur comique ne peut p
soit vraisemblable, c’est-à-dire qu’elle paraisse réelle . — Septième
leçon
. 41. Aussitôt qu’on abandonne les régions éle
succès ; mais les circonstances plus ou moins heureuses. — Septième
leçon
. 42. Voyez page 44, note 2. 43. Le critique Ari
nd effet, quoique les critiques affectent de la rabaisser. — Septième
leçon
. 46. Le bouffon privilégié, tantôt fin et spir
u’avaient à un si haut degré les premiers poètes comiques. — Septième
leçon
. 47. Si le sérieux gagne du terrain dans le bu
qu’un pas à faire pour arriver à la tragédie bourgeoise . — Septième
leçon
. 48. Si le poète se borne à présente le côté r
l peut tout mélange de sérieux, ce sera une pure comédie. — Septième
leçon
. 49. William Schlegel, selon un témoignage que n
ractère, une grande supériorité sur la comédie d’intrigue. — Septième
leçon
. 51. Une pièce telle que Le Désespoir de Jocr
ouvrage classique qui a gagné la palme de l’immortalité. — Douzième
leçon
. 52. Septième leçon. 53. L’on reproche à la c
i a gagné la palme de l’immortalité. — Douzième leçon. 52. Septième
leçon
. 53. L’on reproche à la comédie d’intrigue de
cette première donnée, en paraissent la suite nécessaire. — Septième
leçon
. 54. Sixième leçon. 55. La comédie des Mépris
e, en paraissent la suite nécessaire. — Septième leçon. 54. Sixième
leçon
. 55. La comédie des Méprises est la meilleure
re des pièces qu’on puisse faire d’après les Ménechmes. — Quatorzième
leçon
. 56. Douzième leçon. 57. Septième leçon. 58.
uisse faire d’après les Ménechmes. — Quatorzième leçon. 56. Douzième
leçon
. 57. Septième leçon. 58. Les personnages sen
es Ménechmes. — Quatorzième leçon. 56. Douzième leçon. 57. Septième
leçon
. 58. Les personnages sensés de la pièce, le m
inement très blâmable d’avoir fait bafouer Trissotin, etc. — Douzième
leçon
, « Schlegel sent probablement, selon la remarque
cu du même temps. » Goethe (Entretiens avec Eckermann). 59. Septième
leçon
. 60. Ibid. 61. Shakespeare, Henri IV, Ire pa
e ii. Traduction de M. Guizot. 62. Acte III, scène iii. 63. Sixième
leçon
. 64. Textuel. 65. Textuel. 66. Septième leçon
ne iii. 63. Sixième leçon. 64. Textuel. 65. Textuel. 66. Septième
leçon
67. C’est dans le comique burlesque que Molièr
talent, de même que son inclination, était pour la farce. — Douzième
leçon
. 68. À quelques scènes près, le Tartuffe n’est
quelques scènes près, le Tartuffe n’est pas une comédie. — Douzième
leçon
. 69. À l’exception de quelques scènes plus an
t qu’une suite de thèses soutenues dans toutes les formes. — Douzième
leçon
. 70. L’on trouve même dans ses pièces en prose
es opinions, en un mot que son intention est d’instruire. — Douzième
leçon
. 71. Nous avertissons que toutes les citations,
er des formes comiques imaginées chez les étrangers, etc. — Douzième
leçon
. 79. L’Avare, acte Ier, scène v. 80. Acte Ier
nir au milieu de la fausseté et de la corruption du monde. — Douzième
leçon
. 85. Acte III, scène ii. 86. Nous aurons touj
supposé que leurs ouvrages fussent parvenus jusqu’à nous. — Douzième
leçon
. 87. Molière a, pour ainsi dire, entassé tous
prête sur gages ne peuvent guères être le même individu. — Douzième
leçon
. 88. Nous avons déjà dit que Schlegel ne cite ri
use, mais à quelques scènes près, ce n’est pas une comédie.— Douzième
leçon
. 91. Acte I, scène vi. 92. Acte V, scène viii.
ère trop méthodique l’intention d’instruire le spectateur. — Douzième
leçon
. 94. Schlegel est indulgent pour L’École des fem
comme on sait, fut d’abord reçu froidement par le public. — Douzième
leçon
. Cette anecdote est fausse. Nous citons M. Tasche
rsonnages : car cela ramènerait infailliblement le sérieux.— Septième
leçon
. 102. Acte IV, scène iii. 103. Le but de l’au
ont les opinions sont diamétralement opposées aux siennes ?— Douzième
leçon
. 104. Septième leçon. 105. Prologue, scène vi.
diamétralement opposées aux siennes ?— Douzième leçon. 104. Septième
leçon
. 105. Prologue, scène vi. 106. Quatorzième leço
on. 104. Septième leçon. 105. Prologue, scène vi. 106. Quatorzième
leçon
. 107. Acte Ier, scène ii. 108. Tout ceci est te
on. 107. Acte Ier, scène ii. 108. Tout ceci est textuel. — Douzième
leçon
, t. II, p. 277. 109. Textuel. 110. Acte Ier, sc
. II, p. 277. 109. Textuel. 110. Acte Ier, scène iii. 111. Sixième
leçon
. 112. Acte Ier, scène iii. 113. Le Roi de Coca
de délire, ne cesse jamais d’être légère et inoffensive. — Douzième
leçon
. 114. Acte II, scène viii. 115. Acte II, scène
t d’autres grands maîtres en aient fait un fréquent usage. — Septième
leçon
.
utabas. Et c’est de là que vient la beauté de mon art. En suivant mes
leçons
on court peu de hasard. Je sais, quand il le faut
ez de la maison. Toutabas. Non, je n’en sors qu’après vous avoir fait
leçon
. Géronte. A moi, leçon ! Toutabas. A moi, leçon
as. Non, je n’en sors qu’après vous avoir fait leçon. Géronte. A moi,
leçon
! Toutabas. A moi, leçon !Je veux, par mon savoi
près vous avoir fait leçon. Géronte. A moi, leçon ! Toutabas. A moi,
leçon
!Je veux, par mon savoir extrême, Que vous escamo
Va-t’en.Puisqu’aujourd’hui votre humeur pétulante Vous rend l’ame aux
leçons
un peu récalcitrante, Je reviendrai demain pour l
qu’après tout Jupiter n’est pas si coupable, et emportant pour toute
leçon
la maxime que Sur telles affaires toujours Le me
tés étalées, tandis que si peu d’hommes prudents y savent prendre les
leçons
excellentes qu’elles cachent. On insiste sévèreme
ientôt paraître un jeune prince, avec un précepteur qui lui donne ces
leçons
: Moi, vous blâmer, seigneur, des tendres mouvem
un seul pas sur une pente si fleurie et si glissante. C’est la même
leçon
tendrement corruptrice que chantent en sérénade à
ur n’y peut mieux disposer les cœurs, et les femmes, instruites à ces
leçons
, doivent se dire avec Caliste : Ah ! que sur not
instant, pleine de ces doux sons, Avec quelque Médor pratiquer ces
leçons
. 636. Doileau, Satire X, v. 159 : Rece
sociant un tyran et une victime ; mais la vérité, mais la force de la
leçon
que le Poète veut donner aux pères avares, que de
. Molière manquait son objet, et, pour donner mal à propos une froide
leçon
, peignait à faux la nature. Si le fils est blâmab
oduire, de vérités à développer, et Molière ne peut donner toutes les
leçons
à la fois. Se plaint-on d’un Médecin qui sépare l
de leurs filles. Jamais il ne montre ses personnages corrigés par la
leçon
qu’ils ont reçue. Il envoie le Misanthrope dans u
IV, celui chez qui tous les ordres de la société allaient prendre des
leçons
de vertu et de bienséance, se voyait retranché de
voisin qui fut inconnu à Molière, ne donneraient-ils pas de nouvelles
leçons
à un Poète comique ? D’ailleurs est-il certain qu
e Alceste avec ses ridicules. Tu honorais la vertu en lui donnant une
leçon
, et Montausier a répondu il y a longtemps à l’ora
bizarre : ce contraste, dont les effets sont très-comiques, donne une
leçon
très-sérieuse et sagement adaptée au système de n
e pour donner tant de raison à une soubrette. Le dénouement achève la
leçon
. La pupille d’Ariste, qu’il a eu soin de ne point
pour aimer dans un âge où il faut laisser l’amour aux jeunes gens. La
leçon
est importante : elle pourrait fournir un beau ch
lui a rien appris, on n’a pas dû du moins en faire une sotte. Quelle
leçon
elle donne au tuteur qui l’a si mal élevée, lorsq
. C’est un homme qui dit qu’il nie veut pour sa femme. J’ai suivi vos
leçons
, et vous m’avez prêché Qu’il faut se marier pour
-même dans le Misanthrope. Emprunter à la morale une des plus grandes
leçons
qu’elle puisse donner aux hommes, leur démontrer
s laquelle elles deviennent inutiles, ou même nuisibles; rendre cette
leçon
comique sans compromettre le respect dû à l’homme
ême besoin d’excuse, et ne mérite que des éloges pour avoir donné une
leçon
très-importante, non pas, comme tant d’autres poè
mme, Et que dans tous les cœurs il est toujours de l’homme. Quelle
leçon
pour l’amour-propre, qui nous est si naturel à to
ir et à payer dès que l’on est entre les griffes de la chicane, cette
leçon
si vivement tracée qu’elle frappe même un vieil a
e même un vieil avare, et le détermine à un sacrifice d’argent, cette
leçon
n’est-elle pas d’un bon comique? et n’est-il pas
met en fureur, et se bat en l’honneur et gloire de la philosophie; la
leçon
de M. Jourdain, à jamais fameuse par cette découv
mieux adaptée à un vieillard amoureux n’en peut rien arracher. Quelle
leçon
plus humiliante pour lui, et plus instructive pou
ation si délicate et si périlleuse au théâtre. Si ce n’eût pas été la
leçon
la plus forte et la plus nécessaire par les circo
société269. Elles amusent, elles étonnent ; mais ce ne sont point des
leçons
de mœurs270. C’est un genre faux, agréablement to
Molière, le premier des poêles comiques ! 244. Voltaire. Jouffroy,
Leçons
d’esthétique. 245. Jouffroy. 246. Louis Moland,
Leçon
première. Aperçu général de la vie et de l’œuvre
commença, en compagnie de Chapelle, de Bernier et de Hesnaut, par les
leçons
du philosophe qui fut l’adversaire le plus décidé
lier l’écrivain. Revenons en arrière. Dans le temps où il suivait les
leçons
de Gassendi, Molière avait entrepris, de concert
st pas tombé au sortir de ce monde entre les mains de ses ennemis.
Leçon
deuxième. Molière critique. Ses théories littérai
es littéraires. Messieurs, Nous avons essayé dans notre dernière
leçon
de tracer un tableau général de la vie et de l’œu
r à ses répétitions, tout lui est précieux; de tout il sait tirer des
leçons
. Noble et touchante modestie d’un grand homme, qu
ie de tout ce qui faisait tressaillir les âmes ! Il ne donnait pas de
leçons
; mais il entretenait le feu sacré; il soutenait
e ; mais elle n’est ni étroite ni superficielle; elle est humaine.
Leçon
troisième. Le Tartuffe. Messieurs, Nous suivr
le plus précieux; il couronne l’œuvre, il achève ce type immortel.
Leçon
quatrième. Le Misanthrope. Messieurs, Lorsque
ique : nous n’avons pas entendu une satire, nous n’avons pas reçu une
leçon
; nous avons vu un monde, la vie s’est révélée à n
muse et charme la foule, mais aux dépens de sa vie et de son cœur.
Leçon
cinquième. Les Femmes savantes. Messieurs, Mo
ose et la poésie : c’est un service qu’elle a rendu pour l’avenir.
Leçon
sixième. La nature de l’inspiration comique et le
nous chercherons à répondre en partie aujourd’hui, en partie dans nos
leçons
prochaines. Les Allemands, qui ont rarement réuss
onde dans Aristophane. Molière aussi l’a connu. Preuves en soient les
leçons
de M. Jourdain, les turlupinades de Scapin, les b
ins, et bien d’autres scènes. Nous avons observé à ce sujet, dans une
leçon
précédente, que Molière, à mesure qu’il avança en
le tort d’être exclusif, elle les rejetait en bloc et sans choix.
Leçon
septième. Idées de Molière sur l’éducation des fe
n des femmes. Messieurs, Nous devons étudier dans notre prochaine
leçon
la valeur morale du théâtre de Molière, vaste suj
rs chers à la jeunesse, il sait être pour elle un guide et un ami. La
leçon
morale est dans le résultat de ces deux éducation
i de charme ni de justesse. Ici encore c’est le résultat qui donne la
leçon
morale. Arnolphe, il va sans dire, n’est pas plus
. À défaut d’autre maître, la nature parlera. Or, comme ses premières
leçons
ne sont pas toujours des leçons de sagesse, comme
ture parlera. Or, comme ses premières leçons ne sont pas toujours des
leçons
de sagesse, comme les instincts qu’elle développe
tions gratuites. Auprès du foyer domestique elle donne les meilleures
leçons
de patriotisme; à la douce chaleur de son àme écl
oup dans le port le plus prochain, couvert de gloire et d’avaries!
Leçon
huitième. Valeur morale du théâtre de Molière.
s si le poète n’enseigne par directement, il peut donner à penser. La
leçon
morale qui résulte de son œuvre est de même natur
ne soit pas puni lui-même, parce que nous lui appliquons en pensée la
leçon
qu’en reçoit Patelin, en sorte que, si le châtime
oint de vue, l’essentiel pour être moral c’est d’être vrai. Quand les
leçons
que nous donne une œuvre d’art sont d’accord avec
poète, si nous éludions le monde en demeurant fidèles à l’esprit des
leçons
que Georges Dandin nous donne par son exemple, no
e par son exemple, nous ne courrons pas le risque de nous égarer. Ces
leçons
ne nous permettront pas de juger de tout; mais el
e renferment le plus grand de tous les éloges : il est trop vrai. Des
leçons
de cette nature, je veux le croire, ne sont pas u
rgé de diriger le parterre, et de l’empêcher de tirer de la pièce une
leçon
contraire aux intentions de l’auteur; mais le par
ais le parterre est un écolier malin et très indocile, qui se fait sa
leçon
à lui-même et qui n’entend pas qu’on la lui fasse
uel et fait retentir dans les temples la parole de Dieu, mêlant à ses
leçons
religieuses ses hommages au monarque, pendant que
es. La cour et la ville goûtèrent ou subirent d’assez bonne grâce les
leçons
du poète, qui n’eut de lutte à soutenir que contr
entelle, à nous y reconnaître, nous pouvons profiter tacitement de la
leçon
sans avoir été pris à partie et humiliés. La sati
ou le peuple par nécessité, il moralise pour le siècle, il donne des
leçons
, il tient école. Le Misanthrope, Le Tartuffe, Le
dius et aux Trissotins, frappés de compagnie, sont une des meilleures
leçons
qu’ait pu donner la haute comédie. Le génie de Mo
onheur domestique. Et comme si ce n’était pas assez de cette évidente
leçon
, Molière trouve moyen, quand il met en présence l
dre, À des ressentiments que le mari doit craindre524 ? Cette triple
leçon
est reprise sans cesse, de cent manières diverses
alliance, il tourne comme le mariage de George Dandin, « qui est une
leçon
bien parlante526. » Si l’on épouse par intérêt d
sort des Amolphes et des Sganarelles 530. C’est, on le répète, une
leçon
variée à l’infini et toujours la même ; c’est l’a
disait ou leur écrivait, mais il céda même à leur exemple et à leurs
leçons
dans ce qu’il écrivit à la suite a d’autres. On p
ons dans ce qu’il écrivit à la suite a d’autres. On peut juger de ces
leçons
et de sa docilité par une lettre adressée au nom
ble. On ne saurait aller à meilleure école ni recevoir de plus hautes
leçons
. Qui peut dire s’il ne surgira personne pour en p
imer au drame une marche rapide. Molière n’eut garde de dédaigner les
leçons
de ces excellents praticiens : il apprit à leur é
ra-t-elle bientôt habile ? Damis. Il le faut espérer, pourvu qu’à mes
leçons
Mademoiselle soit docile. Eraste. Comptez là-de
ore, allez, faites-leur compagnie : Tout en se promenant elle prendra
leçon
. (A Sophie.) Ne le voulez-vous pas ? Finette. Ne
anchement, je préfere à tout mes écolieres. Eraste est enchanté des
leçons
du jeune maître ; il est bien certain que Sophie
e qui s’impose au nom d’une autorité supérieure et s’enseigne par des
leçons
spéciales, non une théorie variable et facile qu’
auts… La comédie n’est autre chose qu’un poème ingénieux, qui par des
leçons
agréables reprend les défauts des hommes… On doit
pas lu sérieusement. Le prétendu épicurisme de Molière, fondé sur les
leçons
de Gassendi, est une des plus curieuses chimères
qui fait dire à Chapelle : « Nous avons suivi tous deux ensemble les
leçons
de Gassendi. Il faut avouer que ce grand homme a
odes peut encore entrer avec grace dans les détails, & donner des
leçons
excellentes, tant aux hommes qui les suivent avec
déréglée, à l’insu de ses parents ; point de valet qui n’y trouve des
leçons
pour tromper son maître ; point de jeune personne
ur pouvoir s’entretenir. Dira-t-on que cette piece donne de mauvaises
leçons
, & que les enfants de famille y apprennent à
un tour à son mari dans une comédie, qu’elle ne donne une excellente
leçon
à tous les tuteurs & à tous les maris du mond
es par des saillies heureuses, & leur prodiguer en même temps les
leçons
les plus exquises ! Voilà ce qu’on admire dans le
n par sa femme, forcé de demander excuse à son rival heureux, est une
leçon
terrible pour tous ceux qui voudroient faire une
fin Moliere enfante le Tartufe, cette piece incomparable, qui est une
leçon
continuelle de morale, dans laquelle chaque mot e
Il ne suffit pas d’instruire, il faut savoir encore faire goûter les
leçons
que l’on donne : il faut qu’elles puissent frappe
risée publique ; il ne pouvait pas s’arrêter là, il devait donner une
leçon
à la vertu même, lui apprendre à être heureuse au
oit être indulgent pour les fautes des autres hommes. Mais plus cette
leçon
était importante, plus Molière a multiplié son ta
tous les obstacles que l’art semblait avoir accumulés, donne une des
leçons
les plus intéressantes que présente la scène, cré
même où son heureux plagiaire trouva la matière d’une des plus hautes
leçons
que puisse donner le théâtre. On peut dire de L’A
et celle qui doit le plus effrayer les hommes portés au même vice. La
leçon
donnée par le poète serait donc incomplète, insuf
d’un mari peuvent être renversés et retomber sur eux-mêmes. C’est une
leçon
que le monde leur donne quelquefois, et qu’ils n’
e venir chercher au théâtre où elle ne leur profiterait guère : cette
leçon
, d’ailleurs, ne serait pas une répréhension suffi
L’Avare, sur la fin et les moyens de la comédie, en ce qui regarde la
leçon
morale. La mission du poète comique consiste à co
t en action. Comment le tableau dramatique, qui ne fait que rendre la
leçon
morale plus frappante et plus persuasive, pourrai
t plus persuasive, pourrait-il être nuisible et coupable, quand cette
leçon
elle-même est salutaire pour ceux qui la reçoiven
rlant au roi, ce vers d’adulation inouïe : Jupiter prend de vous des
leçons
de grandeur. Mais il était ami plus fidèle que c
vous voyez un lion, vous présente aussi, soyez-en sur, quelque utile
leçon
pour Louis XIV. La Fontaine était un citoyen quan
humaniser » les sujets qu’il traite, les caractères qu’il étudie, les
leçons
qu’il donne. Comme les autres, il a, sans scrupul
té de goûts et d’humeur de l’autre. Ce n’est pas là, à vrai dire, une
leçon
bien profonde ; elle ne renouvelle le problème ni
ni dans la façon de la traiter, ni dans la solution ; mais c’est une
leçon
raisonnable qui ne surprend et ne choque personne
du collège de Clermont. Il avait alors près de quinze ans ; mais les
leçons
d’excellents maîtres, son aptitude naturelle, et
cientifiques la même tolérance que dans les matières religieuses. Les
leçons
d’un sage ne contribuèrent pas peu à doter son âm
honte à présenter, sous les costumes de divers personnages, d’utiles
leçons
, de sages conseils, un noble divertissement. On e
ope. Ces farces, outre un excellent comique, offrent de perpétuelles
leçons
de morale et de philosophie. Ah ! Si vous voulez
é de donner à dîner à sa future, discute le menu du repas, et fait la
leçon
à ses domestiques ; cette lésinerie, jusque dans
rs leurs enfants aux répétitions. Voyez-le donnant au jeune Baron des
leçons
de son art, et lui révélant peut-être les secrets
e seul endroit par lequel il nous a fait voir qu’il a su profiter des
leçons
d’un si grand maître. Qui, depuis sa mort, a tenu
olière, je lui gâterais son jeu ; la nature lui a donné de meilleures
leçons
que les miennes pour ce rôle. » Après la mort de
e pas moins grand, quand on songe à tant d’excellents préceptes et de
leçons
délicates sur des sujets qu’il est peut-être impo
aure et de Cidippe (act. I, sc. I, V, act. IV, sc. I, II), une petite
leçon
morale sur la jalousie entre sœurs, leçon que Sai
IV, sc. I, II), une petite leçon morale sur la jalousie entre sœurs,
leçon
que Saint-Marc Girardin fait ressortir dans son C
à tout propos et qui éloigne en même temps de nous le spectacle et la
leçon
; tandis que Molière nous met aux prises avec l’é
s et les habitudes de La Bruyère, et cette variante, qui est la bonne
leçon
, la voici : Quant aux circonstances du Passé…, e
asi espagnole de l’ Amour peintre ! — Mais je reviens à mon sujet. La
leçon
que Molière s’est proposé de donner dans son chef
he un compliment, j’en tombe d’accord. Sur ce point là, il mérite une
leçon
. On la lui donne, c’est pain bénit. Mais, encore
e leçon. On la lui donne, c’est pain bénit. Mais, encore une fois, la
leçon
va trop loin. On ne dit pas à un poète, ne fût-il
illard, et convaincu d’avoir mis en évidence, autant que possible, la
leçon
que Molière nous a voulu donner : à savoir que qu
t le plus bel emploi que trouve la vertu. Telles sont, je crois, les
leçons
qui ressortent du chef-d’œuvre de Molière ; elles
distances. Une tradition ajoute aux études du collège de Clermont les
leçons
de Gassendi. Est-elle authentique ? C’est ce qu’o
le des Femmes, le Misanthrope, le Bourgeois gentilhomme : ce sont des
leçons
proverbiales, qui courent les rues, et dont aucun
euses d’Armande ou la préciosité solennelle de sa mère Philaminte. La
leçon
n’est-elle pas assez claire ? Du côté de ceux qui
ébauchés et ces libres esprits, si l’on veut que Molière ait pris des
leçons
de philosophie, elles ont donc dû ressembler sing
re. Quelle est donc : 1’« École des femmes », d’après Molière, et la
leçon
qui ressort de sa comédie ? Rien ne parait plus é
des Femmes », c’est l’amour, ou mieux encore, c’est la nature : et la
leçon
, assez parlante, c’est que la nature toute seule
nt la fille, mais le Tartufe qu’on ne voit qu’à peine, celui dont les
leçons
n’enseignent, selon le langage chrétien, que déta
, et de leur santé. Considérons également la nature des sujets, et la
leçon
qui s’en dégage. A cet égard, la dernière des com
s’il n’était pas, avant tout, un style « parlé ». L’une des premières
leçons
que donnaient encore, il y a quelque trente ans,
urs commis, leurs filles, leurs épouses, troupe chaste, goûtaient les
leçons
de la vraie morale, — celle qui n’empêche point d
étaient incroyables. Molière étale ses mépris pour Louis XIV, fait la
leçon
à Condé, se propose l’affranchissement du peuple,
on retour à Paris, après que l’abbé de Pure lui eut donné non pas une
leçon
ni un modèle, mais un exemple. Les Précieuses ava
des femmes ; chez lui, il constatait douloureusement l’inutilité des
leçons
du théâtre et il savourait amèrement le fruit de
tra sans doute que, n’étant autre qu’un poème ingénieux, qui, par des
leçons
agréables, reprend les défauts des hommes, on ne
son gouverneur, le félicite de n’être plus insensible et lui fait une
leçon
à laquelle on ne peut refuser le mérite de la sin
ait plus qu’un homme, Louis XIV a reçu, comme homme et comme roi, des
leçons
que les tribuns modernes auraient craint de donne
en chaire le jour des Morts, faisait entendre à la capitale d’autres
leçons
: « Paris, Paris dont on ne peut abaisser l’orgue
ans les sermons que Bossuet a prononcés en présence de Louis XIV, des
leçons
plus personnelles, plus intimes. En 1665, en 1666
C’est la mort, c’est le cadavre, c’est l’infection du cadavre. Quelle
leçon
à l’idole, et quel spectacle à ses adorateurs ! L
é de temps pour les sciences et pour la lecture. On peut voir que les
leçons
qu’il recevait des prédicateurs furent ce qui ser
fier que le jeu du philosophe comique, et ce langage donne une autre
leçon
de dignité humaine à la foule des courtisans. L’o
u début, pleins de la même gravité de doctrine, des mêmes courageuses
leçons
directement données à l’auditoire. Dans le troisi
lle issue, il ne veut pas qu’on échappe. Il s’adresse aux femmes ; la
leçon
qu’il leur fait n’est pas inopportune aujourd’hui
’écarte pas de la vraisemblance et qui laisse au spectateur une utile
leçon
. Il faut que les hommes s’y montrent, que les évé
per une seconde fois que de faire injure au « vrai zèle ». Mais cette
leçon
ne vient guère à propos, et je doute que le spect
un autre Orgon, ou chez le même avec un autre habit. Quelle meilleure
leçon
peut recevoir le Tartuffe qui était tout à l’heur
s’enrichir aisément. Bourdaloue va nous offrir la pleine et salutaire
leçon
et nous apporter le secours que Molière ne pouvai
e le poète comique se borne à les alléguer. L’un a voulu compléter sa
leçon
, l’autre ne s’est soucié que d’enfieller sa satir
surément la vraisemblance, et qui néanmoins suffirait à lui donner la
leçon
qu’il mérite. Je ne veux pas être complaisant pou
e que par ses petits côtés, pour s’en amuser et non pour le flétrir ;
leçon
froide, parfaitement incapable de corriger à jama
server qu’il y avait peut-être quelque inconvenanceà mettre de telles
leçons
dans la bouche d’un gouverneur ;mais, dit-il, c’é
e d’honneur329. Pour l’ignorance, qui est la prison de l’esprit, la
leçon
n’est pas moins bien donnée, et la sotte $ Arnolp
qui enlèvent et épousent Isabelle et Agnès ; mais qui ne sent que la
leçon
va plus loin, et que, dans la vie, qui n’est poin
, la splendide toilette jaune et rouge de Célimène, etc., étaient des
leçons
parlant aux yeux. 325. « Vertu qui a besoin d’ê
ngélique, étant obligé de partir pour la campagne, l’a prié de donner
leçon
à sa belle écoliere pendant son absence. Argan ve
fasse chanter sa fille devant lui. Le maître aimeroit mieux donner sa
leçon
en particulier ; mais le pere est curieux d’enten
l a portée. Il revient chez Pantalon à titre de musicien, pour donner
leçon
à la Demoiselle de la maison, en attendant le ret
trouver ce qu’il cherche en voyant les apprentifs Poëtes prendre leur
leçon
. Trivelin y consent. Aussi-tôt le Professeur de p
ste pas moins grand quand on songea tant d’excellents préceptes et de
leçons
délicates sur des sujets qu’il est peut être impo
’être ; et souvent dans nos mœurs l’absolu changement devient par ses
leçons
l’ouvrage d’un moment. De la nature en nous il fo
scène IV de l’acte V de l’École des Femmes serait toute à citer comme
leçon
de psychologie pratique. Elle développe le princi
e. Avec cette science, la jeune Agnès donne à Arnolphe une excellente
leçon
en lui disant que, pour être aimé, il faut se fai
ordre moral. LE MISANTHROPE Ce chef-d’œuvre, qui est plutôt une
leçon
de psychologie sur les effets naturels des passio
Célimène, présente une admirable peinture de mœurs et une excellente
leçon
de psychologie. La coquetterie et la pruderie son
t pas tant d’aigreur dans ses reparties et elle tirerait profit de la
leçon
qu’elle a reçue. Mais, loin de là, Célimène croit
pporter dans nos droits l’injustice d’autrui. » Dans cette admirable
leçon
de morale, l’indulgence pour les défauts d’autrui
dans ses œuvres ; et celui qui se déduit naturellement de cette haute
leçon
de psychologie des passions qui s’appelle : le Mi
ison et qu’on ne mène qu’en tournant où l’on veut les conduire. » La
leçon
psychologique est complète ; elle s’adresse à qui
ser, les avilir et les irriter. Molière est toujours complet dans ses
leçons
de psychologie pratique basée sur la connaissance
prenne pour dupe un célibataire, que l’avare n’ait pas d’enfants, la
leçon
que Molière se propose de donner devient incomplè
mples, rendez-vous ainsi honorable et respectable. Voilà l’importante
leçon
qui ressort de ses comédies, où l’on voit les pèr
ive, que je sois capable de me repentir56. » Voilà certes une grande
leçon
, que le vice arrive à s’emparer de nous jusqu’à n
oute une influence utile dans le spectacle de ce suicide moral. Cette
leçon
n’est pas la seule : on voit encore, dans don Jua
faire ermite 69 ! Surtout, quelle hardiesse et quelle vérité dans la
leçon
, venant de tout en bas au grand seigneur si haut
ans la société. Élève d’un célèbre philosophe (Gassendi*), il mit ses
leçons
en pratique ; profond dans la connaissance du cœu
e me suis toujours fait un plaisir des armes. Rodrigue me donnoit une
leçon
, & c’est pourquoi vous me voyez l’épée à la m
! Delmire, bas. Ah ! perfide Rodrigue ! Don Pedre. Et vous prenez vos
leçons
avec tant d’emportement ? Delmire. Nous dispution
e façon de combattre, & de ne plus vous fatiguer par de pareilles
leçons
. Delmire. Vous parlez ainsi parceque mon frere es
sauver cette maladresse. Moliere a banni avec raison de sa piece la
leçon
d’escrime que Delmire prétend recevoir du Roi. Qu
peut-être de sa galerie. Avec le jeune prince de Conti, attentif aux
leçons
de Gassendi lui-même, il y avait Bernier, qui déj
age assorti ? Après la ville, on vil la cour s’amuser de ces aimables
leçons
. Monseigneur le duc d’Orléans, frère unique du ro
l’autre ; il attirait son peuple à ses gaietés, pour lui imposer ses
leçons
. Quelle adorable invention M. de Pourceaugnac ! q
, il avait manqué de prudence ; il ne s’était pas assez souvenu de la
leçon
de L’École des femmes, et de l’enseignement du Ma
comprend que l’immense humanité est à lui pour en faire la joie et la
leçon
. Il voit aux prises la nature et la société, il d
oduit auprès d’elle par l’entremise d’une vieille, lui donne d’autres
leçons
qu’elle reçoit avec docilité ; et,-au retour de s
pour dire vrai, tout le sujet de L’École des femmes, considérée comme
leçon
de mœurs. Molière ne doit donc pas moins à Strapp
’Agnès pour lui serait toute naturelle, et il n’en résulterait aucune
leçon
; mais il est dans la force de l’âge ; il est hom
. Son mari est dupe de sa stupidité, parce que son amant en abuse. La
leçon
est peut-être plus forte et plus complète. Agnès
et ce n’est pas le théâtre, c’est quelque Horace qui leur donnera les
leçons
dont elles pourront avoir besoin. L’École des fem
e bon sens que le bon Dieu m’avait donné pour me conduire, et tant de
leçons
de mes maîtres, tant d’études acharnées, tant de
entendre le R. P. Caffaro écoutant de toutes ses oreilles ces belles
leçons
de Bossuet ! Plus loin, l’évêque de Meaux expliqu
d’Occident ; Molière, enfant des Muses, tout nourri des plus savantes
leçons
, entre Gassendi le philosophe, et Conti, le princ
leur journée pour vivre : que feront-ils si je ne joue pas ? » Grande
leçon
donnée à nos comédiens des deux sexes, qui ne dem
profit. D’abord, il y puise l’autorité nécessaire à qui veut faire la
leçon
aux beaux esprits de son temps ; en second lieu,
é à l’avance, ni un but nettement indiqué, ni un vice signalé, ni une
leçon
, ni une moralité, ni rien de ce que sera la coméd
le seigneur Géronimo, changeant de système et renonçant à donner une
leçon
désormais inutile, et d’ailleurs peu jaloux de se
Le Malade imaginaire, en un mot toutes ces excellentes et admirables
leçons
qu’il n’a jamais cessé de donner à la bourgeoisie
nd partout. Au contraire, quand le comte Almaviva donne à Rosine sa
leçon
de musique, il est dans une si fausse position qu
résultat, la plus grande, la plus utile, mais aussi la plus difficile
leçon
qui se puisse donner aux hommes assemblés ; son r
nité, sans ajouter à sa toute-puissance. Eh bien ! Molière a donné sa
leçon
à l’honnête M. Jourdain, il l’a renvoyé, en riant
e n’a pas reculé devant elle. Cette vertu farouche avait besoin d’une
leçon
de modération et de réserve, Molière la lui a don
Quels grands seigneurs poseront devant moi ? Qui pourra me donner des
leçons
d’élégance, de politesse, et m’apprendre à jouer
Racine et de Molière, qui ont reçu leurs conseils et profité de leurs
leçons
, ont pu les transmettre sans les altérer. Or je c
e fois imité son illustre devancier. Nulle part il n’a profité de ses
leçons
avec plus de bonheur et d’habileté que dans les F
n les prend pour des écoliers ; ils ne sont plus d’âge à recevoir des
leçons
, et comprennent mieux que personne l’ancien réper
s que Molière lui-même. Cependant, il paraît que l’idée de la fameuse
leçon
de prononciation est empruntée au discours physiq
i Molière est devenu cartésien en physique, il est demeuré fidèle aux
leçons
de Gassendi en métaphysique et en morale. De là u
petite, très raisonnable, auroit peut-être été fidelle à l’homme aux
leçons
& à l’homme au carrosse ; mais en conscience
l savoit les us & coutumes des coulisses, il ne vouloit donner ni
leçon
ni carrosse ; le concurrent que le plaisir &
que Valere lui dira, & il exhorte ce dernier à lui continuer ses
leçons
. Arlequin & Célio, valets dans la même maiso
tout le pouvoir qu’il a sur Arlequin, & le prie de lui donner des
leçons
. Il ne sera pas besoin d’une grande éloquence p
endre un pere exhorter l’époux secret de sa fille à lui continuer ses
leçons
, que de voir un maître de maison prier son commis
ux d’Elise. Par cette différence seule, la décence est conservée, les
leçons
que l’Intendant va continuer à Elise, par l’ordre
dire leurs vérités aux gens, à qui, d’autre part, il veut donner une
leçon
de sincérité. Remarquez qu’ensuite, quand Alceste
mmes aiment très fort, d’une lecture ou d’un spectacle, rapporter une
leçon
morale ; je ne dis pas seulement une leçon ; car
n spectacle, rapporter une leçon morale ; je ne dis pas seulement une
leçon
; car ils auraient pleinement raison, et de tout
nt pleinement raison, et de tout livre il faut qu’on puisse tirer une
leçon
, leçon de bon sens, leçon de goût, etc. ; mais je
nement raison, et de tout livre il faut qu’on puisse tirer une leçon,
leçon
de bon sens, leçon de goût, etc. ; mais je dis un
e tout livre il faut qu’on puisse tirer une leçon, leçon de bon sens,
leçon
de goût, etc. ; mais je dis une leçon morale, une
r une leçon, leçon de bon sens, leçon de goût, etc. ; mais je dis une
leçon
morale, une leçon de conduite ; et, à cause de ce
de bon sens, leçon de goût, etc. ; mais je dis une leçon morale, une
leçon
de conduite ; et, à cause de cela, dans toute piè
n personnage qui, soit par ses actes, soit par ses discours, donne la
leçon
morale à remporter chez soi. Et, par suite de cet
même dans un grand sujet, et c’est alors comme une élégance, quand la
leçon
morale sort, d’elle-même, doit vraisemblablement
a à remarquer que « l’honnête homme », que l’homme sensé qui tire la
leçon
de l’histoire mise sur la scène, n’a pas l’air d’
e femme demoiselle est une étrange affaire et que mon mariage est une
leçon
bien parlante à tous les paysans qui veulent s’él
, devient enfin aussi « abominable homme » que Tartuffe lui-même ! La
leçon
est celle-ci : « Tantum relligio… Ne soyez pas re
r simple entêtement de religion, pourrait dire : Qui suit bien leurs
leçons
goûte une paix profonde Et comme du fumier regard
les defendre Des pièges que l’on voit les scélérats leur tendre. La
leçon
de la comédie, à la prendre de ce biais, serait c
expliquer ce que veut véritablement Molière et tirer très au clair la
leçon
de la pièce. Je crois sentir que Molière n’aime p
les meilleures un homme enclin au vice peut puiser les plus mauvaises
leçons
, les pires excitations et les plus funestes encou
que cet art a de si admirable et l’on ne prend là-dessus que trop de
leçons
sans celle-là. Oserais-je ajouter un soupçon qui
ère idée, il affirme que ce serait plutôt le public qui donnerait des
leçons
de vertu aux auteurs, tantôt cédant à sa seconde
favorablement accueilli et avait été approuvé. Or, je pense que cette
leçon
n’avait pas été perdue pour Molière et que Molièr
t comme démantelés et balayés par la nature irrésistible. « La grande
leçon
à la fois d’esthétique et de morale que la comédi
es êtres les plus proches de la nature que Molière charge de faire la
leçon
aux imbéciles qui s’en éloignent. « Considérez se
animé cette charmante statue, elle marche, elle court ; deux ou trois
leçons
du galant en font une femme aussi espiègle, aussi
’amour, mais c’est d’une façon Moins propre à divertir qu’à servir de
leçon
, Et ce dieu, qui n’y plait que par son innocence,
(elle n’a que vingt ans), il espère en mûrir la jeunesse étourdie aux
leçons
d’une tendresse sérieuse. Alceste pense que Célim
eur des protestants, aurait-il souffert qu’un comédien lui donnât des
leçons
? La chaire de Bossuet possédait à peine ce privi
cond acte du Malade imaginaire, scène dans laquelle Cléante donne une
leçon
de chant à Angélique, devant son père, et soupire
onnée par Louis XIV. La pièce de George Dandin est une des meilleures
leçons
qu’on ait jamais données à la sottise orgueilleus
a morale, trouve donc sa défense, je dirai même son apologie, dans la
leçon
parfaite qu’elle donne aux niais pour qui le mari
mépris. Il a voulu, en composant le Bourgeois Gentilhomme, donner une
leçon
aux roturiers qui servaient de jouet et de dupe a
me Jourdain et par les remords du Mari confondu ? Ne sont-ce pas deux
leçons
vertement données à une classe que Molière est fâ
re n’a pas stigmatisé seulement un défaut de son temps il a donné une
leçon
éternelle ; il est revenu encore sur les devoirs
airement Phédria. Vis-à-vis du lieu où cette fille alloit prendre ses
leçons
, il y avoit une boutique de barbier ; c’étoit là
iere. Le sieur Duchemin, comédien, qui savoit faire un bon usage des
leçons
qu’il avoit reçues dans sa jeunesse des compagnon
la troisième du troisième acte, où madame Jourdain et Nicole font la
leçon
à M. Jourdain ; la suivante, où Dorante vient lui
autre. La scène troisième du troisième acte, où le chevalier donné sa
leçon
d’italien, est jolie ; la scène huitième du quatr
s dupes et leurs victimes. Ainsi, Dorante, escroc de qualité, est une
leçon
vivante pour les bourgeois vains et fastueux qui
t du vice armé de toutes ses ruses ? La peinture eût été fausse et la
leçon
donnée à contre-sens. Autant vaudrait-il, dans un
e, et que trompe un personnage vicieux ou dépendant pour confirmer la
leçon
: tel est, en effet, Sganarelle entre Ariste et I
cule changer tout à coup de caractère, et se convertir subitement. La
leçon
qu’il reçoit n’est pas pour lui-même : elle est p
spectateur, qui seul en peut profiter. N’est-ce pas, d’ailleurs, une
leçon
de plus que cette impénitence finale ? Puisqu’on
tère, et il dut à cette liaison l’inestimable avantage d’entendre les
leçons
d’un des plus grands philosophes de cette époque.
é de l’intelligence vive et pénétrante du jeune Poquelin, l’admit aux
leçons
particulières qu’il donnait à ses deux élèves. He
mourut victime de l’intérêt tout paternel qu’il leur portait. Quelles
leçons
, quels exemples ne recevaient-ils pas, pour leur
-mêmes ceux qu’un heureux instinct guide plus sûrement que toutes les
leçons
de l’art95 ; nous le voyons recommander à tous le
ui donner un soufflet.La nature et Molière, ces deux maîtres dont les
leçons
étaient dans un si parfait accord, firent de Baro
-esprits ont beau se trémousser, ils n’effaceront pas le bonhomme. La
leçon
de L. Racine me semble préférable à tous égards.
olière ;je lui gâterais son jeu : la nature lui a donné de meilleures
leçons
que les miennes pour ce rôle. 96. Michel Boyron
cette passion avait pu dégrader la jeunesse, puisqu’elle recevait les
leçons
inouïes de professeurs tels que M. Toutabas. À qu
ûrs secrets, En le divertissant l’enrichisse à jamais. En suivant mes
leçons
on court peu de hasard. Je sais, quand il le faut
, de l’abaissement du vaniteux Cléon qu’il eût fallu faire sortir une
leçon
utile. Malgré ses défauts, Le Dissipateur a de gr
lors, il est facile de conclure. Mais voici, au contraire, en quoi la
leçon
de Molière est admirable. Il peint dans Alceste u
loire d’y résister. Ce n’est donc pas là un sage, bien qu’il fasse la
leçon
à tout le monde; ce n’est pas davantage un homme
te la fausse vertu, toute la fausse sagesse, ne pouvait pas donner de
leçon
plus utile ; car, pour n’être, si l’on veut, qu’u
ours sympathique. Il intéresse enfin parce qu’il fallait, pour que la
leçon
de l’auteur fût efficace, que le caractère du Mis
squ’au fat qui lui sert de garçon Oui ne se mêle aussi de nous faire
leçon
: Il vient nous sermoner avec des yeux farouches,
s âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées. Cette
leçon
de décence n’est sans doute que pure hypocrisie,
oins faite pour corriger ceux qui en sont atteints que pour servir de
leçon
aux esprits faibles et leur apprendre à n’en pas
prat, Baron, Campistron, Boursault. Le premier qui, profitant des
leçons
de Molière quitta le romanesque et le bouffon pou
pour Valère, prenne Géronte pour lui, et débute par lui proposer des
leçons
d’escroquerie. Ces sortes de gens connaissent mie
niversel est celui qui naturellement doit l’être, et la pièce est une
leçon
bien frappante des dangers qui peuvent assiéger l
idactiques, on y remarque trop l’intention d’instruire, tandis que la
leçon
ne doit jamais être donnée au spectateur qu’en pa
uvais génie qui tourmente l’avare jusqu’à le rendre fou, et c’est une
leçon
de morale qui pénètre bien plus avant dans le cœu
a dans Shakespeare ; d’ailleurs cette manière enfantine de donner des
leçons
ne convient guère aux temps modernes. Dans le Mer
ls que l’opéra, l’opéra-comique et le vaudeville, je terminerai cette
leçon
en jetant un coup d’œil sur l’état actuel de la s
vie, aux luttes de conscience, et de faire sortir de leur exemple des
leçons
pour l’Humanité, se trouve réaliser instinctiveme
père est indispensable au bonheur de cette famille, mais cette haute
leçon
perd toute apparence dogmatique et didactique, qu
oirus ou à s’enterrer dans un cloître, c’est Toinette qui lui fera la
leçon
; car, dit-elle : « Quand un maître ne songe pas
re-des-comptes, et voulant donner des émules à son élève, admit à ses
leçons
Bernier, Cyrano, Pocquelin ; bientôt il est encha
, a marqué en toutes lettres que Mascarille feindrait de repasser une
leçon
d’escrime lorsque Trufaldin le surprendrait faisa
e coquetterie, à l’exception de la sienne. Le jeune homme profite des
leçons
de son maître, cherche fortune, plaît à une belle
mmes superficiels, et vous verrez que jamais comédie ne donna plus de
leçons
utiles ; il y en a pour tous les sexes, pour tous
ec lui, et ne manquait pas une occasion de donner à son élève quelque
leçon
utile, témoin cette anecdote. Molière et Chapelle
té des paysans, l’aimable simplicité des petites filles séduites, les
leçons
vigoureuses de dom Louis, la générosité des frère
i en présentent une plus utile à l’humanité. Il faut, pour donner une
leçon
utile à tous les Dandins, que le nôtre soit mépri
e et de s’entendre dire des douceurs ». Une précaution de plus, et la
leçon
serait perdue. Sentiment sur la pièce. Le
aller jeter dans la rivière, la tête la première ; et la voilà, cette
leçon
que le titre de Mari confondu nous avait annoncée
n un grand acteur, ne néglige aucune occasion de lui donner aussi des
leçons
d’amabilité, de générosité et de morale, surtout
le était comique, sans indécence, et il s’en faut, de beaucoup que la
leçon
de monsieur Bobinet, ou plutôt l’interprétation d
pièce où Molière se soit montré plus philosophe, où il ait donné des
leçons
aussi utiles à l’humanité, où il ait travaillé av
auteur, je lui gâterais son jeu ; la nature lui a donné de meilleures
leçons
que les miennes pour ce rôle. Oh ! la nature ! l
sider à l’ouverture de votre école. Je pourrai me permettre, dans mes
leçons
, moins de gravité que vous ; je lis dans vos rega
ent jusqu’à ses moindres intentions, et de les prendre pour autant de
leçons
? Car, certainement, nous ne saurions vous en don
’auteur que j’en veux. — En ce cas, prenez garde à vous. Malgré cette
leçon
aussi fine que spirituelle, madame de ***, s’adre
. La moralité de cette comédie. Justice distributive Quant à la
leçon
qui en ressort, il faut être aveugle pour ne poin
et n’eut qu’à se louer d’un accueil dont la tolérance se tournait en
leçon
pour notre clergé, comme en témoigne le premier P
ention est moins de nous amuser que de nous avertir par une éclatante
leçon
. Dans ses autres pièces, il n’épargne point les l
le poète. Outre que le parterre ne se laisse pas volontiers faire la
leçon
, le voisinage de Tartuffe domine trop la scène po
spiration147. II. Étude littéraire La comédie de caractères.
Leçon
universelle Dérouler les conséquences d’un vic
théâtre de Molière, et que jamais il n’a proposé plus directement une
leçon
plus universelle. Importance du milieu. Il fau
léante. Le vice châtié par le vice Mais il importe de savoir si la
leçon
a toute sa portée morale, et si Molière ne l’a po
iment des parents avilis. Or, cette vérité cruelle est précisément la
leçon
que Molière met en scène ; car la comédie, étant
i procède directement de l’ancienne farce gauloise179 ! Que de vertes
leçons
qui tombent d’aplomb sur un benêt ! Sa cuisine do
alon, cette satire eut tout son à-propos ; et, de nos jours mêmes, la
leçon
qui s’en dégage peut encore être utile ; car, la
es hommes 29. » Il paraît que Voiture, après avoir reçu de Julie une
leçon
de réserve, se crut en droit d’en donner de sembl
toujours porté les premiers coups au génie. Il profite fort peu de la
leçon
que Romagnesi & Riccoboni lui ont donnée jadi
vous lui apprenez. Bobinet. Allons, Monsieur le Comte, récitez votre
leçon
d’hier au matin. Le Comte. Omne viro soli quod c
faire un tableau d’histoire, ou présenter, sous des noms païens, une
leçon
philosophique ; je ne vois dans cette comédie qu’
te est maladroit, même brutal, dans sa façon trop franche de faire la
leçon
aux autres. Eh ! oui, lui, l’homme parfait, il es
urdain n’ajoute-t-il pas à tous les préceptes précédents l’excellente
leçon
qu’un maître doit commencer par prêcher d’exemple
devoir et la nature leur ordonnent de respecter ? Si cette détestable
leçon
était donnée d’une manière formelle, peut-être se
ure dramatique, tome I, xi : De la Clémence paternelle. Voir toute la
leçon
. 707. Andria : Simo\ Chremes ; — Adelphi : Mici
lic, chanter des couplets à la façon des mousquetaires, et donner une
leçon
au Parlement ! À ce nouveau triomphe des marionne
st nouveau dans ce drame : la majesté du langage, la profondeur de la
leçon
, l’ampleur du costume, la netteté et la clarté de
dans un bouillon de la veille ! » « Térence ajoute : Quelle salutaire
leçon
pour la jeunesse dans un pareil tableau ! » Eh b
cier sans le payer. Voilà Strepsiade au comble de ses vœux. Grâce aux
leçons
de Socrate, le bourgeois se débarrasse de ses det
core la parabase ! Cependant le bourgeois Strepsiade prend sa seconde
leçon
de philosophie. Ici nous tombons dans la chose in
ique. Éloge très sérieux, et c’est pourquoi il est déplacé dans cette
leçon
que prend le jeune Phidippide. Disons cependant q
euses et aux hypocrites : les uns avaient tout simplement profité des
leçons
de Molière ; les autres, les plus endurcis, avaie
galants ou naïfs, amoureux ou ricaneurs. M. Harpagon, malgré la verte
leçon
, est resté un avare. Seulement, en vieillissant i
et assassinant monsieur son fils qui dort sur un grabat voisin ? Vos
leçons
en haillons me font horreur, votre paille et votr
e veux pas de vos cartes grasses, pipées et tachées de vin. — Mais la
leçon
? direz-vous. La leçon ! Que vous êtes simple ! A
s grasses, pipées et tachées de vin. — Mais la leçon ? direz-vous. La
leçon
! Que vous êtes simple ! Apprenez, mon cher, que
nge, qui ne va au Théâtre-Français pour voir Le Joueur de Regnard. La
leçon
! la leçon, disent les rhétoriques niaises, la le
va au Théâtre-Français pour voir Le Joueur de Regnard. La leçon ! la
leçon
, disent les rhétoriques niaises, la leçon de la c
r de Regnard. La leçon ! la leçon, disent les rhétoriques niaises, la
leçon
de la comédie ! Ils nous la donnent belle avec le
iaises, la leçon de la comédie ! Ils nous la donnent belle avec leurs
leçons
en comédies ! Singulières gens qui ne conviendron
s’il eût été un grand philosophe. Ne cherchez pas dans sa comédie une
leçon
, une réforme, ou même un vice relevé avec ce soin
a mis quelquefois en face des amours vrais, délicats et purs. Quelle
leçon
ressort des débauches de don Juan 491 ! et qui pe
u loin ; mais cette légère exagération donne néanmoins une profitable
leçon
. 479. Les Femmes savantes, act. I, sc. II, IV.
s, […] Composent avec art ces attraits, ces douceurs Qui font à leurs
leçons
un passage en nos cœurs. Les suivants, depuis :
ations, il n’y a, à mon avis, rien de vrai. On nous dit : « La grande
leçon
à la fois d’esthétique et de morale que nous donn
que suivre le mouvement de son imagination. Il n’y a nullement là une
leçon
de naturisme. On pourrait même dire sans paradoxe
travail de Molière est au contraire, si elle est quelque chose comme
leçon
, une leçon antinaturiste. Car si Molière était co
Molière est au contraire, si elle est quelque chose comme leçon, une
leçon
antinaturiste. Car si Molière était convaincu que
donné cette discipline dans ses meilleurs ouvrages, il a donné plutôt
leçon
de discipline que d’abandonnement à la nature. Ma
es êtres les plus proches de la nature que Molière charge de faire la
leçon
à ceux qui s’en éloignent ? « Considérez seulemen
ience et uniquement de l’expérience et ne s’élevant pas au-dessus des
leçons
de l’expérience. Le risque, éviter le risque, tou
contient encore une immoralité, contient encore une chose que, comme
leçon
, on peut interpréter en sens immoral. Et — ceci e
Vous regarde à présent comme un prince accompli. Telles étaient les
leçons
que, en 1664, à Versailles, dans un divertissemen
ion qui aurait pris Molière pour guide moral et qui suivrait bien ses
leçons
ne serait pas méprisable, ne serait pas très mauv
le détache pour se l’attacher. Orgon dit de lui : Qui suit bien ses
leçons
goûte une paix profonde, Et comme du fumier regar
e, plus encore que Philaminte, qui est grammairienne et qui donne des
leçons
de Vaugelas. Philaminte, grammairienne, littérair
de piété filiale. Ceci, aussi, est une critique de l’éducation et une
leçon
d’éducation. Elise n’a pas été élevée du tout. Il
un voleur, et sa fille, très saine, est du moins insolente. « Grande
leçon
pour les gens chiches » et du reste pour tous les
t la préférence. J’ai peut-être dit que Molière avait pu recevoir des
leçons
de vers irréguliers de La Fontaine parce que, si
s j’ai quelque besoin qu’on me peigne le réel et -qu’on me montre les
leçons
qui en dérivent. Je ne les suivrai pas, mais il m
t. Je ne les suivrai pas, mais il me faut connaître et le réel et les
leçons
qu’en tirent les esprits médiocres pour me sépare
t son triste enseignement. À d’autres et à moi-même je demanderai les
leçons
et les suggestions qui permettent de s’élever un
s amoureux gourmander l’imprudence ; De quel air cet Amant écoute ses
leçons
, Et court chez sa Maîtresse oublier ces chansons.
nnent excessives et où il va les ridiculiser. Ne lui demandez pas une
leçon
morale ; il est avec Agnès contre Arnolphe, et ce
i, l’idée de Molière ; tels sont les principes qui l’ont guidé, et la
leçon
qu’il a voulu mettre dans ses deux comédies. Elle
s bourdonnements politiques. Pourquoi? Est-ce parce qu’elle donne des
leçons
de métaphysique, de physiologie, de théologie mêm
ère à se désoler. J’appartiens à une opinion qui laisse volontiers la
leçon
à l’école, le sermon à la chaire, le plaisir au t
il l’abandonne : on en voit ,1a preuve dans les avertissements et les
leçons
qu’il lui fait donner par ceux qui l’entourent ;
itique de l’École des femmes, qui renferme également de si précieuses
leçons
d’art : « N’allons point nous appliquer à nous-mê
s la piece le héros finit par céder sa femme : n’est-ce pas une bonne
leçon
? Titres qui annoncent la Patrie du principal
parce Qu’il a, d’une insolence à nulle autre pareille, Après trente
leçons
, insulté son oreille Par l’impropriété d’un mot s
e Alceste avec ses ridicules. Tu honorais la vertu en lui donnant une
leçon
, et Montausier a répondu, il y a long-temps, à l’
ment, voici messer Ipocrito qui vient à son secours. Il lui donne des
leçons
de philosophie fataliste et pyrrhonienne : la for
faisant violence à la peur qu’il a de son maître, il ose lui faire la
leçon
en ces termes simples et forts qui vont presque à
it qui font que lui-même donne la comédie en même temps qu’il fait la
leçon
aux autres. De même, dans Le Misanthrope, Philint
re d’elle. Je pense pour ma part qu’Alceste finira par en tirer cette
leçon
. Après un accès de misanthropie qui le chasse pou
thènes qui se vantait, dit-il, que « personne ne sortit chaste de ses
leçons
». Nous ne savons pas quel est ce philosophe. 9.
cepteur le célèbre Gassendi*, qui voulut bien admettre Poquelin à ses
leçons
, comme dans la suite il y admit Cyrano*. Les Bell
les préceptes du Philosophe lui apprirent à raisonner. C’est dans ses
leçons
, qu’il puisa les principes de justesse, qui lui o
olière ; je lui gâterais son jeu. La Nature lui a donné de meilleures
leçons
que les miennes pour ce rôle ». Tome I, p. 509
cepteur le célèbre Gassendi*, qui voulut bien admettre Poquelin à ses
leçons
, comme dans la suite il y admit Cyrano*. Les Bell
les préceptes du Philosophe lui apprirent à raisonner. C’est dans ses
leçons
, qu’il puisa les principes de justesse, qui lui o
ristocrate périgourdin, présenté à la cour à quatorze ans, reçoit des
leçons
de Racine et fait jouer sa première tragédie à la
n de purifier la comédie, et de ne faire faire sur le théâtre que des
leçons
de vertus morales, comme on veut nous le persuade
que Mirèio, son propre auteur, à la rescousse, pour insinuer que les
leçons
de langue provençale risquent de s’égarer en rout
p; les réflexions les plus profondes sur l’art comique. Reprenons ses
leçons
l’une après l’autre. « Ce philosophe s’assujetti
s cents livres.Voilà ce qui m’outre le plus. Donner à ses enfants des
leçons
là-dessus ! A quoi lui servois-tu ? Adrienne. A
ère l’a pris à Noël du Fail. A l’acte IV, scène 1, Mascarille fait la
leçon
à Lélie avant de l’introduire chez Trufaldin, et
rend, qu’on se corrige à l’instant même qu’on est en faute, et que la
leçon
n’est pas sitôt donnée qu’elle profite. Sans dout
ermis de violer que quand, de leur violation même, résulte une grande
leçon
morale, comme dans L’Avare. Molière a profité de
goût plus vif des choses même qu’on lui interdit ? Il est vrai que la
leçon
peut s’adresser aux maris, et que c’est à eux sur
l’âne de Timon métamorphosé en arlequin, et donnant à son maître des
leçons
de sagesse et de bonté dont il profite. Notice
de ridicules et de mœurs réelles. Ici, nulle intention morale, nulle
leçon
applicable à la conduite ordinaire de la vie, si
vaux, qui arrivent précisément par un autre côté. Le Pédant donne une
leçon
à son éleve, & le laisse seul. Diana vient lu
. Le Docteur est, à la vérité, un hypocrite, qui, tout en faisant des
leçons
à son éleve, pour l’exhorter à fuir les femmes, c
us dis là ne sont pas des chansons, Et vous devez du cœur dévorer ces
leçons
. Si votre ame les suit, & fuit d’être coquett
nt faire, dira-t-on ? Décomposer les grands maîtres, & puiser des
leçons
jusques dans leurs plus mauvaises pieces ; témoin
par-tout où il y auroit des Abbés ». La réponse de Préville est une
leçon
aussi bonne pour les auteurs que pour les acteurs
ait chez soi. Ce sont de sottes créatures qui méritent à peine cette
leçon
: Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses enfant
a deviner. Quand vous avez fait, comme élève de William Schlegel, une
Leçon
sur la comédie ; quand vous avez écrit, comme ému
, veut connaître ce dévot personnage ; il s’adresse au valet qui a sa
leçon
faite. — Oh ! Monsieur, dit l’onctueux Laurent, u
pures croyances ; c’est le langage du vrai dévot : Qui suit bien ses
leçons
goûte une paix profonde, Et comme du fumier regar
ûte une paix profonde, Et comme du fumier regarde tout le monde. Les
leçons
de qui ? De Tartuffe ? Mais c’est l’Imitation de
cepteur le célébre Gassendi, qui voulut bien admettre Pocquelin à ses
leçons
, comme dans la suite il y admit Cyrano. Les belle
les préceptes du philosophe lui apprirent à raisonner. C’est dans ses
leçons
qu’il puisa ces principes de justesse qui lui ont
a belle fille, sort en donnant à ceux qui composent cette maison, des
leçons
aigres qui les caractérisent tous ; car on distin
le de Louis XIV, le chef-d’œuvre de Molière était considéré comme une
leçon
donnée à la vertu. Telle est aussi l’opinion des
, en attendant que paroisse le sot et riche bourgeois, qui paie leurs
leçons
sans en profiter, et salarie leurs talents sans s
une petite comédie à part, qu’on intitulerait, si l’on voulait : Les
Leçons
en ville, ou les Coureurs de cachets. Le Bourgeoi
tions complaisantes qui font de la comédie un utile enseignement, une
leçon
éclairée, une morale abondante, en dépit de ses o
oiselle Mars ; et naturellement, à propos des bienveillantes et sages
leçons
que la jeune fille a reçues de ce grand maître da
argé de diriger le parterre et de l’empêcher de tirer de la pièce une
leçon
contraire aux intentions de l’auteur; mais le par
ais le parterre est un écolier mutin et très indocile, qui se fait sa
leçon
à lui-même et n’entend pas qu’on la lui fasse. D’
, les plus excellentes qualités de la comédie, à savoir le rire et la
leçon
? Tel a été l’aide tout-puissant dont s’est servi
nd enfin les devoirs et les droits de l’art étaient sauvés, venait la
leçon
qui n’était que plus profitable pour être assaiso
ur secours un autre anachronisme, ils ont fait donner à Louis XIV des
leçons
de Constitution, et cette étrange leçon ils l’ont
fait donner à Louis XIV des leçons de Constitution, et cette étrange
leçon
ils l’ont mise qui le croirait ? dans la bouche d
onner, dans une suite non interrompue de surprises, d’étonnements, de
leçons
, un seul et même enseignement, très actif, très v
dis-je ? berné par Sganarelle ! Ainsi nous allons d’avertissements en
leçons
, et si Don Juan se perd, ce ne sera pas faute d’a
d’elle aux lieu et place de son maître de chant, pour lui donner une
leçon
de chant ; c’est un moyen de lui parler à l’insu
a chargé, lui Almaviva (Lindor), de venir le remplacer ; il donne une
leçon
de musique à Rosine. Ni Rosine, ni Angélique ne s
La preuve en est que la plupart d’entre vous doivent avoir oublié la
leçon
de chant du Malade imaginaire, et que vous vous r
eçon de chant du Malade imaginaire, et que vous vous rappelez tous la
leçon
de chant du Barbier de Séville. Beaumarchais a pa
s dis là ne sont pas des chansons ; Et vous devez du cœur dévorer ces
leçons
. Si votre âme les suit, et fuit d’être coquette,
nts, Traite la piété d’aveugle fanatisme, Et donne, en se jouant, des
leçons
d’athéisme. Quant à l’abus du couvent, voici une
s laisser sur cette impression, que son œuvre est finie : non, et les
leçons
qu’il donne, nous pouvons y donner suite, en prof
elle-là fut adressée en 1857 à un auditoire provençal, elle servit de
leçon
d’ouverture au cours de littérature française de
ur qu’il décide entre eux. NAPOLÉON Ou Caton pour qu’il lui donne des
leçons
de grammaire. CÉSAR En ce cas, envoie-moi plutôt
la satyre des mœurs, des caracteres vicieux, qu’elles y joignent des
leçons
excellentes, & que le cœur de l’homme varie b
allet Le Mariage forcé, dans lequel le Roi danse un rôle d’Égyptien ;
leçon
indirecte que ce prince reçoit de Racine dans Bri
qu’il avait en vue en composant le rôle du maître de philosophie. La
leçon
de prononciation est tirée d’un livre de Cordemoy
Sa mémoire et son intelligence le firent profiter en peu de temps des
leçons
de celui-ci et de la fréquentation de ceux-là. Co
idu du fameux Scaramouche ; on a même été jusqu’à dire qu’il prit des
leçons
de ce farceur napolitain." Cette tradition est au
in, elle dépêcha vers lui le maître de pension dont il avait reçu les
leçons
dans son enfance, et le chargea de lui représente
être que leur talent. Somme toute, la troupe nouvelle, à laquelle les
leçons
de Molière n’avaient à coup sûr pas appris cette
procédé en alléguant que, s’il n’avait pris le parti de publier cette
leçon
très exacte, il en allait paraître d’autres qui l
s de ses mains, À se donner lui-même en spectacle aux Romains. Cette
leçon
indirecte, ou peut-être seulement, pour être plus
que l’art dramatique doit un homme qui, sans ses secours et sans ses
leçons
, n’eût probablement jamais été à même de faire va
soins du père le plus tendre. Non content de lui donner lui-même les
leçons
de cet art dans lequel Baron excella depuis, il c
olière, je lui gâterais son jeu ; la nature lui a donné de meilleures
leçons
que les miennes pour ce rôle. » Ces divers faits
s exemples de cette nature produisent plus d’effet que les plus sages
leçons
, leur danger n’accuse pas l’immoralité de l’auteu
tre taxé d’une aveugle admiration pour Molière, attribuer à ses sages
leçons
, et surtout à ses mordants sarcasmes, le retour s
ntéressants pour le public que vous révoltez.” « Je demanded si cette
leçon
serait scandaleuse ? Eh bien ! ce qu’annoncerait
eût fourni à Molière, comme on le prétendait encore, une partie de la
leçon
de son philosophe. On se convainc de l’inexactitu
ole, par Cordemoy, de l’Académie française, qu’est tirée en partie la
leçon
si plaisante de prononciation. Mademoiselle Beauv
re une équivoque grossière, celle où la Comtesse se récrie contre les
leçons
indécentes de M. Bobinet, le précepteur de M. le
oint de conseiller personne : Les plus sages conseils, les meilleures
leçons
, A gens bien amoureux, Monsieur, sont des chanson
pris, si je leur disois que Sudmer leur a déja donné cette excellente
leçon
: ils n’ont qu’à prendre pour eux ce qu’il adress
permettent, ils souffrent qu’un valet réformateur ose leur donner des
leçons
! que dis-je ? ils sont eux-mêmes spectateurs, et
endues ? De quel droit adresse-t-il, à ces futiles gentilshommes, des
leçons
que pas un ne lui demande ? Et cependant l’acteur
e, Des Boulmiers, Cailhava, Castil-Blaze (Molière musicien). C’est la
leçon
de ce dernier que nous reproduisons, après l’avoi
l’exercice burlesque d’une femme armée de pied en cap, les prudentes
leçons
que nous allons lire. ACTE III. Scene II. Les Ma
. . . . . . . . . . . . Georgette. Vous nous avez tantôt montré notre
leçon
. Arnolphe. Mais à ses beaux discours gardez-vous
din, d’acteur, C’est l’art du moraliste et du législateur. En sévères
leçons
changeant la comédie, Comment faire accepter la v
e, Que dirait-il ? Hélas ! pour nous, fils orgueilleux, Il aurait des
leçons
comme pour nos aïeux : De notre âge on verrait sa
d’Auteuil sur le bateau, il discutait avec Chapelle resté fidèle aux
leçons
de Gassendi, excité par la contradiction, il alla
nom, au moins une éducation solide, engagea Gassendi à lui donner des
leçons
. Molière avec deux autres de ses amis, Bernier et
-à-dire au-delà de ce que cela vaut. Rentré chez lui, Patelin fait la
leçon
à sa femme Guillemette et, quand le drapier, tout
re d’Histoire et de Géographie. 5. M. Emmanuel des Essarts, dont la
Leçon
d’ouverture avait été faite le Vendredi de la sem
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