sans relâche parer le théâtre. Toutes les scenes qui ne tiennent pas
l’une
à l’autre par ce double nœud, ont une liaison vic
avons des Auteurs qui, à la vérité, n’ont pas manqué en même temps à
l’une
& à l’autre regle : ils ont lié leurs scenes
peut très bien faire connoître les scenes qui ne sont pas enchaînées
l’une
à l’autre : en conséquence faisons la preuve de l
aître ! Il nous trompoit.Oui, vous comblez mes vœux. (Il les embrasse
l’une
après l’autre. Géronte qui entre dans le moment s
les caracteres, le dénouement, &c. ne doivent pas moins présider
l’une
& l’autre à la diction. Le discours le plus f
deux vastes cours, De qui le grand château tire tout son secours. En
l’une
est le manege, offices, écuries ; L’autre est pou
trous divers ; Le roc qui la reçoit en a les flancs couverts. Au bas,
l’une
des sœurs puise à tête courbée, L’autre montre &a
ête courbée, L’autre montre & se plaint que sa cruche est tombée.
L’une
monte chargée ; & l’autre, qui descend, Sembl
l’autre, qui descend, Semble aider à sa sœur sur le degré glissant :
L’une
est prête à verser, l’autre reprend haleine : L’œ
Car de ce premier coup son œil droit est crevé. Mais il en faut avoir
l’une
& l’autre prunelle. Que ferai-je sans yeux ?
omédie bien faite & dans le bon genre, que d’assister seulement à
l’une
de nos pieces modernes. C’est à mes lecteurs à pe
raison en est bien simple : l’amour est la base, le fondement, &
l’une
des machines principales de toutes les comédies.
amme suivante : sur l’air de Joconde. Connoissez-vous sur l’Hélicon
L’une
& l’autre Thalie ? L’une est chaussée, &
Joconde. Connoissez-vous sur l’Hélicon L’une & l’autre Thalie ?
L’une
est chaussée, & l’autre non, Mais c’est la p
t, c’est d’instruire l’ignorance ; et je vois dans cette salle ce que
l’une
des villes les plus éclairées de l’empire renferm
tiés de la société, Ces deux moitiés pourtant n’ont point d’égalité :
L’une
est moitié suprême et l’autre subalterne. Mais t
là-dessus à un poète, peut-être mal renseigné, qui fait ainsi parler
l’une
d’entre elles, au moment de s’endormir : … Ah !
n deux moitiés, puisqu’enfin cette division est dans la nature ; mais
l’une
n’est plus moitié suprême et l’autre subalterne,
la seconde a plusieurs amusements tout à la fois. Ce qui domine dans
l’une
, c’est la passion et le plaisir, et dans l’autre
uan, qui poursuivant son idéal et ne le rencontrant nulle part, va de
l’une
à l’autre, et non content d’abandonner les sujets
beau jour. C’est un trait de son génie de savoir garder la mesure, et
l’une
des consolations qu’on éprouve en le lisant, c’es
fidèle. Il y a dans cette pièce deux jeunes filles, Laure et Lucile,
l’une
timide et soumise, l’autre pétulante et espiègle.
e, je la présente avec confiance à notre jeune amoureux. Qu’il épouse
l’une
ou l’autre, il ne s’en repentira pas, et l’on peu
onte. Je m’étois attaché tout à la fois à deux Dames fort aimables ;
l’une
étoit brune & l’autre blonde : leurs appas di
: leurs appas différents ne donnoient aucun avantage dans mon cœur à
l’une
sur l’autre, & ne servoient qu’à me tenir dan
cene : nous sommes amoureuses de vous, & comme nous craignons que
l’une
de nous ne vous enleve à l’autre, nous sommes con
sait par ses résistances, s’abandonna à son humeur avec toutes deux ;
l’une
avait à souffrir des infidélités sans déguisement
ctées. Et les deux femmes, ayant toujours quelque raison de s’accuser
l’une
l’autre de ce qu’il y avait de fâcheux dans leur
âcheux dans leur situation, étaient continuellement en guerre ouverte
l’une
contre l’autre, ou dans un état de défiance qui n
a pièce, et qu’égale presque deux scènes pareilles du Dépit amoureux,
l’une
dans Le Bourgeois Gentilhomme, l’autre dans le Ta
as moins à la vertu qu’au talent ; il lui donna de grands exemples de
l’une
et de l’autre. Sa vie privée fut celle d’un sage
cation étymologique (ingannare, sgannare, détromper, désabuser), dont
l’une
ne lui paraît pas, à lui-même, « hors de doute »,
bservant que dans Le Médecin malgré lui, congénère du Médecin volant,
l’une
des premières pièces jouées en Languedoc, Sganare
Au surplus, si nous discutions ici l’histoire de ces deux comédies, (
l’une
portant et comportant l’autre,) je démontrerais q
érer. Il composa deux Pièces contre le premier de ces désordres, dont
l’une
est intitulée : Le Bourgeois Gentilhomme, et l’au
Contre le défaut qui regarde les femmes il fit aussi deux Comédies ;
l’une
intitulée : Les Précieuses ridicules ; et l’autre
p; sans vraisemblance, la derniere a du moins un air de vérité ; mais
l’une
& l’autre mêlées ensemble font un tout qui ne
oit pu l’être davantage. Je viens, je crois, de faire voir clairement
l’une
de ces propositions ; j’avois prouvé la seconde d
aventures romanesques ; faites que les scenes du Misanthrope tiennent
l’une
à l’autre, & soient enchaînées comme celles d
ui regne dans ses ouvrages, a distribué son terrein en deux parties :
l’une
représente la chambre de Madame, l’autre le cabin
cter le cœur & l’esprit du spectateur, il faut nécessairement que
l’une
& l’autre l’intéressent également. Si la doub
ere d’Elise, & amoureux de Marianne, embrasse les deux intrigues,
l’une
de Valere, amant de sa fille, & l’autre de so
t la prose et les vers, Quoique sœurs, elles ont des visages divers :
L’une
a l’air plus pensif sans être sérieuse ; Égayant
eur qui gaîment le fustige. Imitez-moi ; j’ai su divertir tour à tour
L’une
aux dépens de l’autre et la ville et la cour. La
e mot de décence & de vertu continuellement à la bouche, manque à
l’une
& à l’autre en prononçant leur nom ? une Beau
éellement avoués par Melpomene ou Thalie. Il faut savoir pleurer avec
l’une
& rire avec l’autre, point de milieu ; sans q
rations supposent entre les deux sexes des relations semblables. Dans
l’une
et dans l’autre, on remarque les mêmes précaution
x héroïnes une occasion légitime d’interrompre et de se récrier. Dans
l’une
et dans l’autre, il s’agit de charme, d’attraits,
arce que, sous des formes analogues, ces deux déclarations expriment,
l’une
un sentiment factice et de pure imagination, l’au
t-être celle de l’émancipation de la femme : deux théories solidaires
l’une
de l’autre. De quoi veut-on les émanciper ? de ce
eut les dispenser de plaire. Mais elles n’y trouveront leur compte ni
l’une
ni l’autre. Esclaves, elles avaient des maîtres s
, l’expriment surtout par la parole. Ces deux tendances ne peuvent ni
l’une
ni l’autre être poussées à l’extrême; mais elles
l’une ni l’autre être poussées à l’extrême; mais elles sont humaines
l’une
et l’autre. Il est clair que l’esprit français pe
avec elle. Ils semblent jaloux de donner deux formes à leur pensée :
l’une
, qui est son vêtement de tous les jours, l’autre,
le en siècle : ce sont les deux voix de la poésie. Elles se répondent
l’une
à l’autre, et la foule leur prête tour à tour une
droit d’introduction pour de nombreux amis. Maintenant de deux choses
l’une
: ou bien la foule est disposée à le suivre, et a
la poésie comique, les voix ne sont pas toujours égales. Tantôt c’est
l’une
qui soutient le mieux sa partie, tantôt c’est l’a
tains peuples le comprennent à merveille lorsqu’il s’offre à eux sous
l’une
de ces formes, et ne le comprennent plus du tout
a plus originale, la plus profonde, et en même temps, chose curieuse,
l’une
des plus gaies de ses comédies, Les Oiseaux. Les
u mélange brusque et violent de deux civilisations fort antérieures :
l’une
qui dépérissait, mais qui n’en portait pas moins
rudimentaire, mais qui avait de la sève et de la jeunesse pour deux ;
l’une
qui était devenue uniforme par la grande centrali
aillants, germe des nationalités modernes, ici germaine, là celtique;
l’une
qui avait étalé sa gloire et sa décadence sous le
é et d’harmonie que respectaient les poètes classiques, on sacrifiait
l’une
des plus précieuses traditions de l’esprit frança
ste et Hamlet sont deux créations presque également fortes et riches.
L’une
, sans doute, aurait quelque chose à perdre à se p
tiés de la société, Ces deux moitiés pourtant n’ont point d’égalité :
L’une
est moitié suprême, et l’autre subalterne; L’une
nt point d’égalité : L’une est moitié suprême, et l’autre subalterne;
L’une
en tout est soumise à l’autre qui gouverne; Et ce
agissent ouvertement ou secrètement sur la vie politique d’un peuple,
l’une
des plus considérables est celle de la mère de fa
fausse dévotion ont tant d’actions communes qu’on ne saurait attaquer
l’une
sans blesser l’autre. Mais ne serait-il pas plus
Il est deux tirades satiriques qui rentraient d’abord dans son rôle :
l’une
est, dit-on, un portrait de la comtesse de Soisso
ties d’une œuvre unique. Impossible de les séparer; il faut les juger
l’une
par l’autre. Les contemporains du poète ont pu ne
serait diminuer la portée du mot que de choisir. Il faut les accepter
l’une
et l’autre. Ce mot humanité est aussi un de ceux
ordinaire, et que les deux parties inégales de la pièce comique, dont
l’une
précède et l’autre suit la représentation de ce d
s livres les plus répandus, à la publicité des ouvrages dramatiques :
l’une
, s’adressant à des lecteurs isolés qui ne peuvent
cène, semble hésiter entre quatre altercations toutes pareilles, dans
l’une
desquelles Molière lui-même figure comme acteur.
ais non pas, il s’en faut, les mêmes sentiments et la même conduite :
l’une
a une tendresse de mère pour les enfants de son m
même ligne la religion et la médecine, deux choses qui sont éloignées
l’une
de l’autre de toute la distance qui sépare l’âme
divisions de leurs ministres n’ont que trop réussi à les discréditer
l’une
et l’autre dans l’esprit des peuples. Ces ministr
ntéressants. Un amour vif et sincère, né d’une rencontre fortuite, où
l’une
a reçu de l’autre un important service ; cet amou
ine du Tartuffe et Toinette du Malade imaginaire soutiennent de même,
l’une
à Orgon, l’autre à Argan, qu’ils n’effectueront p
-il recueilli ces notes, qui manquent parfois d’exactitude, mais dont
l’une
, relative à Molière directeur, nous paraît partic
s naturels. » De là à lui attribuer les deux lettres de 1740, dont
l’une
reproduit ce passage, il y a loin — comme on voi
u dans son Art poétique 34 : Etudiez la Cour et connoisse\ la Ville,
L’une
et l’autre est toujours en modèles fertile. C’est
ans : un fils connu par ses pièces de théâtre79, et deux filles, dont
l’une
, appellée Mlle d’Ennebault80 étoit comédienne de
e. Moliere imita le sujet de cette comedie de deux pièces italiennes,
l’une
intitulée l’lnteresse, de Nicolo Secchi, en prose
elle, au contraire, tient la sienne renfermée et la traite rudement :
l’une
et l’autre sont parfaitement sages, et n’ont rien
e du Souper d’Auteuil, souvent mise au théâtre, et, qui se rapporte à
l’une
des trois dernières années de la vie de Molière.
te de Lionne, neveu du marquis de Lionne. 75. Attila, roy des Huns,
l’une
des dernières tragédies de Corneille vieillissant
un jeune Homme en Vieillard Étudiez la Cour, et connaissez la Ville,
L’une
et l’autre est toujours en modèles fertile. C’est
s Soient pleins de passions finement maniées ; Et les scènes toujours
l’une
à l’autre liées. Aux dépens du Bon sens gardez de
e représentoit ce personnage, & par conséquent il fut obligé dans
l’une
des Scênes à faire le mort. Une infinité de gens
la double source que Seneque nous indique de la pauvreté des langues,
l’une
est qu’on n’a point trouvé certains mots, l’autre
à tout prendre.] Moliere étoit mort quand Mr. Despreaux le loua dans
l’une
de ses Epitres28autant ou plus que dans la Satire
aux. Voici ses paroles : Etudiez la Cour, & connoissez la ville,
L’une
& l’autre est toujours en modeles fertile. C’
u’il a nommé Pseudolus et Miles gloriosus, deux autres comédies, dont
l’une
est le portrait du trompeur et l’autre celui du s
squ’il s’agit de choisir entre sa cassette et sa maîtresse, de perdre
l’une
ou de renoncer à l’autre, il n’hésite pas, la cas
iculière de George Dandin est empruntée à deux Nouvelles de Boccace :
l’une
a donné l’idée de la principale scène du second a
nions ridicules de la roture opulente et de la noblesse nécessiteuse,
l’une
était presque toujours condamnée à supporter les
ification, ont confondu la morale et la décence. On peut, en prêchant
l’une
, offenser quelquefois l’autre : c’est ce qui est
presque aussitôt révoqué. L’exacte coïncidence de ces deux aventures,
l’une
imaginaire, l’autre réelle, mais toutes deux semb
e sa perfidie & perd sa maîtresse. Ces deux scenes sont parodiées
l’une
de l’autre, elles offrent à-peu-près la même situ
Pasquin des raisons qui l’ont rendu perfide à toutes ses maîtresses ;
l’une
met du blanc, l’autre n’a pas d’esprit, celle-ci
réflexions les plus profondes sur l’art comique. Reprenons ses leçons
l’une
après l’autre. « Ce philosophe s’assujettiroit s
, les fourberies des frippons d’Athenes & de Rome ne tiennent pas
l’une
à l’autre, & ne servent presque jamais à rien
uoi amuser. Champmeslé avait ouvert cette carrière par deux comédies,
l’une
intitulée : Les Grisettes, et l’autre Crispin Che
a encore une manière, aussi nouvelle que hardie, d’entrer une poutre
l’une
dans l’autre, et de confier aux deux, sur quelque
longueur est de quarante toises ; elle est partagée en deux parties,
l’une
est pour le théâtre, et l’autre pour l’assemblée.
. Pour prouver ce que nous avons avancé à ce sujet, il faut rapporter
l’une
et l’autre scène. Nous commençons par celle de La
ta le propre sonnet de l’abbé Cotin, avec un madrigal du même auteur (
l’une
et l’autre pièce imprimées dans ses Œuvres galant
ière) encore les mauvais médecins par deux pièces fort comiques, dont
l’une
est Le Médecin malgré lui, et l’autre Le Malade i
tiés de la société, Ces deux moitiés pourtant n’ont point d’égalité ;
L’une
est moitié suprême, & l’autre subalterne ; L’
oint d’égalité ; L’une est moitié suprême, & l’autre subalterne ;
L’une
en tout est soumise à l’autre qui gouverne ; Et c
us ordinaires, & dans lesquelles toutes les autres rentrent. Dans
l’une
, nous rangerons les pieces mixtes où le caractere
r. Il est inutile de s’arrêter davantage sur le genre mixte, parceque
l’une
de ses parties rentre dans le genre d’intrigue do
d’ailleurs, flatter délicatement l’orgueil des deux princesses, dont
l’une
était la mère et l’autre la femme de Louis XIV, q
n héros, qui se pique d’aller de belle en belle, et de les abandonner
l’une
après l’autre pour toujours. Les Italiens, dont l
le commencement, le milieu et la fin sont autant de pièces à la suite
l’une
de l’autre ; enfin, le tout n’est qu’un assemblag
en soupirant. Arnolphe. Ouf ! La méprise qui est dans le Menteur, a
l’une
des qualités qui lui sont essentielles ; rien ne
situation, & non d’action. Je trouve une grande différence entre
l’une
& l’autre : la derniere produit une révolutio
isent ces nobles et hautes figures ? Elles vous répondent en répétant
l’une
après l’autre : « Peu importe la vie, pourvu que
é le droit d’y introduire de nombreux amis. Maintenant de deux choses
l’une
: ou bien la foule est disposée à le suivre, et a
mme celle de Racine, se réfléchit dans son œuvre. Du rapprochement de
l’une
avec l’autre naît un vif et sympathique intérêt.
œuvres ne sont que deux parties d’une œuvre unique. Il faut les juger
l’une
par l’autre. Les contemporains de Molière ont pu
nt naître mille difficultés, qu’il est besoin de vaincre ou d’écarter
l’une
après l’autre : de là ces scenes tout-à-fait déco
emble, comme elles s’enchaînent naturellement, comme elles se prêtent
l’une
à l’autre du comique, comme elles s’animent mutue
public : si avant tout elles étaient pour Molière, l’enfant de Paris,
l’une
des gloires hors ligne de la France, l’œuvre en e
e un style. Les deux jambes sont posées à peu près sur le même plan ;
l’une
, cependant, est exhaussée sur un escabeau. L’arti
s especes diverses ; que nous voyions combien il y a de différence de
l’une
à l’autre, & que nous sachions apprécier les
hypocrisie : j’en crois Cléante et les vers sublimes où il les marque
l’une
et l’autre des traits qui leur sont propres. Mais
e sais combien d’actions qui leur sont communes ; comme les dehors de
l’une
et de l’autre sont presque tout semblables, il es
ais d’une suite presque nécessaire, que la même raillerie qui attaque
l’une
intéresse l’autre, et que les traits dont on pein
onne un autre tour ; et, s’il n’y avait qu’à comparer les deux pièces
l’une
avec l’autre pour décider la dispute qui s’est él
les accointances d’une jeune innocente et d’un jeune éventé 4, dont
l’une
ne lui cache rien par simplicité, et dont l’autre
1689, avec la pension de 1 000 francs, et mourut vers la fin de 1695.
L’une
de ses deux filles, Marie-Angélique Gassaud, femm
nc encore exister des personnes qui aient entendu parler de Molière à
l’une
des actrices de sa troupe, et il y a cent quarant
ury, auteur de La Femme juge et partie, a laissé de meilleurs titres.
L’une
de ses filles fut célèbre au théâtre, sous le nom
nt assez bien8 ; et, quelque différence qu’il y ait entre le héros de
l’une
et celui de l’autre, on peut reconnaître un certa
la peinture ? Je comparerois volontiers cette espece de prestige que
l’une
& l’autre exercent sur nous, à l’artifice des
quer la fausse dévotion sans compromettre la véritable, les signes de
l’une
et de l’autre étant extérieurement les mêmes ? En
e, mais peut-être, comme le dit un des apologistes de Molière, est-ce
l’une
de ces pièces que l’on continue à poursuivre dans
s amis. Deux répliques furent adressées à l’auteur des Observations :
l’une
assez faible, l’autre un peu plus forte. Nous ess
essaierons nous-mêmes, à notre tour, cette apologie, en empruntant à
l’une
ou à l’autre ce qu’elles peuvent avoir de bon. No
dans ces deux propositions : « Vous ne sauriez me nier deux choses :
l’une
, qu’Alceste, dans cette pièce, ne soit un homme d
t démasquée, humiliée. Comme elle, elle se retire devant sa défaite ;
l’une
sauve sa beauté, sa jeunesse, sa royauté féminine
à Damis leurs différentes manies, lui conseille de les flatter toutes
l’une
après l’autre : il sort. Les Tuteurs viennent pro
sophie & de bel esprit, comme la Philaminte des Femmes Savantes :
l’une
& l’autre font des livres. Rosalie échappe, c
sert mieux ; elle s’étend moins, mais elle veille sur vous. Toutefois
l’une
et l’autre vous donnent des espérances indéfinies
petite difficulté. Nous avons deux éditions des lettres de Maintenon,
l’une
de 1756, l’autre de 1806. Dans ces deux éditions
favorite et de madame Scarron, s’en mêlèrent aussi ; elles écrivirent
l’une
et l’autre à madame Scarron. Voici la réponse que
être fatiguées et que leur lait ne fût moins bon. J’allais souvent de
l’une
à l’autre, à pied, déguisée, portant sous mon bra
391. & les suivans. Etudiez la Cour, et connoissez la Ville,
L’une
& l’autre est toûjours en modéles fertiles :
tribuées en plusieurs volumes ; les deux dernieres éditions de Paris,
l’une
en l’année 1697. & l’autre en 1718. par la Co
s explique toute celle qui existe entre les deux pièces : le sujet de
l’une
est celui de l’autre, et il n’y a de changé que l
iculière ; mais, sans parler de la prodigieuse distance où elles sont
l’une
de l’autre pour le mérite, il y a entre elles cet
pas Quitter la nature d’un pas. 1. Cette madame de Grignan était
l’une
des filles de la marquise de Rambouillet, et la p
tention, Plus je vois que je cause ici d’émotion. (Regardant Mélite.)
L’une
baisse les yeux & paroît interdite, (Regardan
charnée ? c’est la biche du Ménale : d’une taille trop petite ? c’est
l’une
des Graces, l’élégance en personne : d’une grande
mblent quelquefois en avoir senti toute l’importance. Des exemples de
l’une
& de l’autre espece rapprochés, vont nous fai
la chambre d’Eugénie, ouvre une malle, & en tire plusieurs robes
l’une
après l’autre, qu’elle secoue, qu’elle déplisse &
ge va se conclure, quand le coureur du futur, chargé de deux lettres,
l’une
pour un Duc, l’autre pour Benjamine, fait un quip
veux bien. Allons, allons, mes amis, allons souper chez Payen. Dans
l’une
& l’autre de ces pieces, les deux Marquis ont
eurs portraits, servent de fondement. Il en est de deux especes. Dans
l’une
, la chose inanimée ne fait simplement que donner
ent ne se ressemblaient plus à elles-mêmes, dès qu’elles passaient de
l’une
à l’autre. Le cloître et le monde ne sont pas plu
er : voyons si le lecteur sera de mon avis. Avant-scene racontée par
l’une
des héroïnes. ACTE I. Scene VI. . . . . . . . .
é reconnaisse la différence de leur tâche, qui n’avait rien d’opposé,
l’une
étant de purger la société d’un ridicule, l’autre
liciter pour l’amie commune chez qui elles s’étaient connues et liées
l’une
à l’autre. Madame de Sévigné écrivait à sa fille,
venturier espagnol nommé Montufar est lié avec deux filles suspectes,
l’une
jeune et l’autre vieille : après avoir joué succe
de nouvelles dupes. Montufar s’affuble d’une soutane, et fait passer
l’une
de ses compagnes pour sa mère, et l’autre pour sa
ie ont beaucoup d’actions qui leur sont communes, comme les dehors de
l’une
et de l’autre sont presque tous semblables, il es
ais d’une suite presque nécessaire, que la même raillerie qui attaque
l’une
, et que les traits dont on peint celle-ci défigur
entre ses mains, est une espèce de théorie de la restriction mentale,
l’une
des armes les plus perfides de cette secte redout
cond dignes d’une étude détaillée. Ces deux toiles élues se trouvent,
l’une
à la Comédie-Française, dans le foyer des artiste
resque aussi populaire que son maître, grâce à deux anecdotes, venant
l’une
de Boileau, l’autre de Grimarest. « Molière, dit
cependant, qu’il y eut chez lui plusieurs La Forest successives, dont
l’une
, de son vrai nom Louise Lefebvre, mourut en 1668
de Mlle du Parc, que Racine lui enlève, et de Mlle de Brie, pourvues
l’une
et l’autre de maris philosophes. Mais, ici encore
bouillet. Il en fait le ressort et le sujet de deux pièces entières :
l’une
sérieuse, Don Garcie de Navarre, l’autre grotesqu
lui sont familières, qu’on ne peut connaître les choses opposées que
l’une
par l’autre, et qu’en conséquence, il est impossi
esque à chaque pas, si nous n’y sommes pas très attentifs, de prendre
l’une
pour l’autre deux choses si profondément contrair
lus que deux choses à faire remarquer en concluant ce premier point :
l’une
, c’est que beaucoup de poètes comiques en avaient
lles avec son modèle. J’examinerai en détail trois pièces de Molière,
l’une
, parce qu’elle est imitée de Plaute, et qu’elle m
que deux thèses morales habillées en hommes, argumentant sur la scène
l’une
contre l’autre, comme autrefois le Juste et l’inj
cette année, voici Le Menteur et Les Plaideurs ; voici, répartis sur
l’une
et l’autre, à peu près les mêmes ouvrages de Moli
e cette qualité. Aussi bien la Comédie-Française et l’Odéon possèdent
l’une
et l’autre un fonds assuré de spectateurs pour re
otion tient en beaucoup de choses de la vraie..., comme les dehors de
l’une
et de l’autre sont presque tous semblables, il es
est… d’une suite presque nécessaire que la même raillerie qui attaque
l’une
intéresse l’autre, et que les traits dont on pein
ant la fin du XVIIe siècle, deux traductions plus complètes parurent,
l’une
d’elles avec ce titre latin : Histrio gallicus, c
t, ne voulait plus ni tragédie ni comédie ; le drame devait remplacer
l’une
et l’autre. Or, comme Molière s’est maintenu rigo
riture authentique de Molière. Nous avons maintenant deux quittances,
l’une
de 1650, l’autre de 1656, retrouvées par M. de la
able point de départ, à l’acte de constitution du 30 juin 1643. C’est
l’une
des sources d’un grand fleuve, source bien humble
trées et des sorties aux acteurs par l’endroit où elles se joignaient
l’une
à l’autre. Ces entrées et ces sorties étaient for
s, monseigneur, dit-il, que vous avez donnés à la plus malheureuse et
l’une
des mieux méritantes comédiennes de France, n’est
rons encore que cette troupe est bien celle de Son Altesse d’Épernon,
l’une
des deux troupes provinciales qui passaient pour
novembre 1655 au 22 février 1656). Molière et sa troupe assistèrent à
l’une
et à l’autre de ces sessions, qui étaient toujour
tions furent données au profit des pauvres de l’Hôtel-Dieu de Rouen :
l’une
le 20 juin, qui produisit 77 livres 4 sols et 7 d
été données par la troupe de Molière ? C’est probable, au moins pour
l’une
d’elles, puisque c’était l’usage. Les registres c
tron de la troupe daigna honorer de sa présence une représentation de
l’une
de ces comédies. C’est le 12 février qu’il alla r
les. Il recevait jusqu’ici deux parts dans les bénéfices du théâtre :
l’une
comme acteur, l’autre comme auteur. À partir de l
œur à une sœur : la distance rare et presque phénoménale qui séparait
l’une
de l’autre sous le rapport des années devait être
ent s’efforcèrent de contre-balancer l’effet produit par L’Impromptu.
L’une
s’intitule La Vengeance des marquis. La colère de
taient intercalées dans l’action comique : le roi lui-même parut dans
l’une
d’elles sous le costume d’un Égyptien ; les plus
rir cette ressemblance du vice avec la vertu, qui pouvaient être pris
l’une
pour l’autre, et quoi qu’on ne doutât point des b
Tartuffe et Le Festin de Pierre furent l’objet eurent pour auteurs :
l’une
, le curé de Saint-Barthélemy, nommé Pierre Roullé
olière. On a deux de ces apologies en réponse au sieur de Rochemont :
l’une
intitulée « Réponse aux observations touchant Le
imbourg, Namur, Anvers, etc. Au printemps de 1667, trois armées, dont
l’une
avait pour chef le maréchal de Turenne, se mirent
grand nombre d’actions qui leur sont communes, et comme les dehors de
l’une
et de l’autre sont presque tous semblables, il es
mais d’une suite presque nécessaire que la même raillerie qui attaque
l’une
intéresse l’autre, et que les traits dont on pein
int, selon toute apparence, un second exemplaire. Une forme de l’art,
l’une
des plus vivantes et des plus savantes à la fois,
lèbres de L’Art poétique : Étudiez la cour, et connaissez la ville :
L’une
et l’autre est toujours en modèles fertile. C’est
Thérèze de Gorle, veuve de feu René Berthelot, vivant sieur du Parc,
l’une
des comédiennes de la troupe royale, âgée d’envir
t 1671, parlant de la manière dont elle avait rempli le personnage de
l’une
des sœurs de Psyché, lui fait ce compliment modes
eux filles, Marie-Angélique Gassot, joua dans Psyché le personnage de
l’une
des Grâces, puis de l’une des sœurs de Psyché, en
e Gassot, joua dans Psyché le personnage de l’une des Grâces, puis de
l’une
des sœurs de Psyché, entra dans la troupe après l
pour son divertissement ; et étant informée que la nommée de Beauval,
l’une
des actrices de la troupe des comédiens qui est p
it qu’il n’y eût plus à Paris que deux troupes de comédiens français,
l’une
à l’hôtel de Bourgogne, l’autre à la salle de Gué
e point. Mois de ces deux maisons situées à une assez grande distance
l’une
de l’autre, quelle est celle qui est bâtie sur l’
en imposer au grand nombre. Il est bon de le prouver par l’extrait de
l’une
de ces rapsodies. Je donne la préférence à la der
rvé deux Pieces de Moliere dans le genre du mauvais Théatre Italien ;
l’une
est le Médecin volant ; & l’autre, la Jalousi
, un plaisir cruel de détruire, s’ils le peuvent cette maison qui est
l’une
de nos plus vieilles et de nos plus chères gloire
s ne se composant que de scènes détachées, qui n’ont point de rapport
l’une
avec l’autre, ne peut, au théâtre, exciter d’inté
uniquement. Ce sont deux forces en présence, qui vont entrer en lutte
l’une
contre l’autre ; cette lutte peut fournir des sit
mbent les unes par-dessus les autres, sans qu’aucun lien les rattache
l’une
à l’autre. Les personnages passent comme des héro
, Mathurine et Charlotte, et, selon son habitude, les prenant à part,
l’une
après l’autre, il leur promet le mariage. Charlot
et le voilà, entre ces deux jeunes filles, leur parlant à l’oreille,
l’une
après l’autre, les trompant toutes les deux ensem
me placé entre deux femmes qui l’aiment et les trompant sous les yeux
l’une
de l’autre par de belles paroles. Rien de plus co
. Les deux femmes habiteront chacune chez elle, il n’ira les voir que
l’une
après l’autre, les tromperies dont il les abusera
antagonisme que la réalité s’étudie toujours à cacher. Don Juan va de
l’une
à l’autre, et Molière suppose qu’elles ne s’aperç
a de l’une à l’autre, et Molière suppose qu’elles ne s’aperçoivent ni
l’une
ni l’autre de ce manège, qui se fait à leur nez,
u jouer Oronte de deux façons tout à fait différentes, et supérieures
l’une
et l’autre. Mirecourt était un grand seigneur, de
le : l’Amphitryon est la pièce qui a suivi immédiatement Le Sicilien.
L’une
est de 1667, l’autre de 1668. « Ne s’ensuit-il p
on avec lui. Eh bien ! Ne vous y trompez pas. Selon que l’on adopte !
l’une
ou l’autre de ces deux interprétations, la scène
de cent façons, deux femmes qui assurent avoir été épousées par lui :
l’une
parle le languedocien et l’autre le patois de Pic
. Les deux sœurs de Psyché enragent de ses succès ; elles se confient
l’une
à l’autre leurs jalousies et leurs rancunes. Elle
se désoler ; il les range dans leur ordre logique ; il vous les jette
l’une
après l’autre : il frappe à coups réguliers, avec
s façons, sans qu’il soit permis de dire que, de ces interprétations,
l’une
soit meilleure et plus vraie que les autres. Barr
tes les deux. Ne me pressez pas : je dirais qu’elles sont excellentes
l’une
et l’autre. Pourquoi ? C’est que chacune de ces i
e Joueur, Le Légataire universel et Les Folies amoureuses ; elles ont
l’une
après l’autre disparu de l’affiche. C’est à peine
quelque réduit commode Où je régalerai les beautés â la mode, Un jour
l’une
, un jour l’autre ; et je veux à ton tour, Et deva
décerné, que ce fut dans les revues des avalanches d’études publiées
l’une
après l’autre par des concurrents malheureux. Que
dans la reproduction orale de sa prose. J’ai collationné deux copies,
l’une
du Legs, l’autre du Préjugé vaincu qui se trouven
ne et pâle réduction de L’École des femmes, de Molière. Au fond, dans
l’une
et l’autre pièce, la donnée est la même. Il s’agi
vous le savez sans doute, est fils de Mme Dupuis qui a été longtemps
l’une
des jeunes premières les plus estimées de la Comé
s’est donné jusque-là est en pure perte. Tant d’inventions accumulées
l’une
par-dessus l’autre ont été vaines et n’aboutissen
celle de la tragédie véritable. L’Espagne nous avait fait présent de
l’une
et de l’autre : c’était nous donner plus qu’elle
e toutes les peines que peuvent ressentir deux personnes bien éprises
l’une
de l’autre, les plus vives sont celles qui leur v
d’intrigue sont également susceptibles, diffère essentiellement dans
l’une
et dans l’autre. Dans la comédie d’intrigue, il n
scène la plus forte peut-être de l’Avare ont été empruntées par lui,
l’une
à Cyrano de Bergerac et l’autre à Boisrobert. Cet
été conservées, le Médecin volant et la Jalousie du Barbouillé, dont
l’une
est l’ébauche du Médecin malgré lui, et l’autre l
i sa femme aient démenti le bruit nuisible à tous deux, qui donnait à
l’une
pour mère l’ancienne maîtresse de l’autre, et all
mieux : je l’ai rempli ; et, si maintenant je me déclare en faveur de
l’une
de ces deux opinions, ce n’est pas un jugement qu
à-dire que la satire y est adroitement mêlée à la flatterie, afin que
l’une
fasse passer l’autre 106 » Six ans avant sa mort
it qu’il n’y eût plus à Paris que deux troupes de comédiens français,
l’une
au théâtre de l’Hôtel de Bourgogne, et l’autre au
en est absorbée dans la gloire du poète ; mais, du vivant de Molière,
l’une
semblait égaler l’autre et presque la surpasser.
u’il nous dit qu’il fit de sa vie deux parts, Dont il soûlait passer
L’une
à dormir et l’autre à ne rien faire. Sans doute
ut ; à cela près, censeurs, je vous conseille De dormir comme moi sur
l’une
et l’autre oreille. Et sait-on ce qui mettait s
nant de sa fable, Moliere a ajoûté ceux d’Araminte & de Célimene,
l’une
coquette, & l’autre médisante, & ceux des
e ; des intérêts & des caracteres communs constituent la comédie.
L’une
peint les hommes comme ils ont été quelquefois ;
comédie prit pour modele la tragédie inventée par Eschyle, ou plûtôt
l’une
& l’autre se formerent sur les poésies d’Home
ou plûtôt l’une & l’autre se formerent sur les poésies d’Homere ;
l’une
sur l’iliade & l’Odissée, l’autre sur le Marg
nne, qui ne soit forcé, et qui ne blesse toutes les convenances. Dans
l’une
et l’autre pièce, Delmire et Elvire menacent égal
un côté de cheveux. Qu’il faut d’adresse pour passer avec rapidité de
l’une
à l’autre de ces situations, pour en marquer tout
e Thomas Corneille eût mis la pièce en vers41. De la tradition.
L’une
de mes grandes surprises, c’est que tous les comé
rte et La Pastorale comique ; mais quelle différence ! Thalie a dicté
l’une
à visage découvert, dans la crainte que la finess
t pas fait, il ne se ferait jamais. » De la tradition. Pendant
l’une
des premières représentations du Tartuffe, Molièr
ficile, très difficile à traiter… : disons rapidement qu’il est, dans
l’une
et dans l’autre de ces deux manières, des nuances
ne sais combien d’actions qui leur sont communes, comme les dehors de
l’une
et de l’autre sont presque tous semblables, il es
ais d’une suite presque nécessaire, que la même raillerie qui attaque
l’une
intéresse l’autre, et que les traits dont on pein
x Alcmène m’ont singulièrement frappé par la différence de leur jeu ;
l’une
, trop connaisseuse, sans doute, pour confondre le
damnent Nérine à l’inutilité ; il serait si facile de lui faire jouer
l’une
des femmes qui accusent de polygamie Monsieur de
mpre, à favoriser la tendresse de Phedria. Remarquons encore que dans
l’une
et l’antre pièce, deux fourbes animent la machine
mbler. Philaminte, Armande, Bélise sont trois fausses savantes ; mais
l’une
est altière, l’autre prude, la dernière coquette
? N’est-ce pas s’emparer adroitement de l’attention générale, et dans
l’une
des scènes les plus importantes ? Le professeur.
asse dans une chambre qui nécessairement doit avoir quatre murailles,
l’une
des quatre est supposée entre les comédiens et le
e la mémoire fourche quelquefois en les citant et met volontiers dans
l’une
ce qui est dans l’autre, tant il est vrai que le
ux pièces, L’École des maris et L’École des femmes, qui sont la suite
l’une
de l’autre ou, plus exactement, deux moitiés d’un
nt-on d’un Médecin qui sépare les maladies compliquées, et les traite
l’une
après l’autre ? Ce sont donc les résultats qui co
usieurs caractères inférieurs, ou du jeu de deux passions contrariées
l’une
par l’autre dans le même personnage ; ni quelques
espèce de rouée, comme la Ludres, Elles ne feront peur à personne, ni
l’une
ni l’autre. » Pendant ces souffrances, ces dégoû
ec elle. Elle avait tant de gaité alors et frottait ses petites mains
l’une
dans l’autre141 ». Madame de Maintenon parle en t
us arrêter à certaines conjectures dépourvues de toute vraisemblance.
L’une
d’elles nous fait voir dans Alceste le maréchal d
Le poète comique puise .ses inspirations à deux sources différentes :
l’une
, la société qui l’entoure, avec ses ridicules et
es domestiques les mettront dans le cas d’en avoir besoin. 53. Dans
l’une
de ces pieces le héros cherche à se loger dans un
c’est trop m’arrêter, le temps fuit, et j’oublie Que je viens visiter
l’une
et l’autre Thalie. Est-il vrai que l’aînée, en so
auvre, assez incomplet, assez mutilé, pour appartenir exclusivement à
l’une
ou à l’autre de nos trois grandes écoles. Dans qu
tre qui est dans une imperfection du cœur et, en tant que dérivant de
l’une
de ces sources, sa vertu sera très belle et très
peut le prévoir, celles-ci : « Vous ne sauriez me nier deux choses :
l’une
qu’Alceste, dans cette pièce, est un homme droit,
causes sur toutes les surfaces de la planète et finit par mourir pour
l’une
d’elles, après avoir complètement négligé l’éduca
t un bourgeois, voyez-vous une telle différence qu’il faille mépriser
l’une
et louer l’autre ? Il n’y a que la différence d’u
Il y a, pense-t-on généralement, deux manières d’exciter à la vertu.
L’une
consiste à la montrer et à nous en inspirer l’adm
te à nous montrer le vice et à nous en inspirer la salutaire horreur.
L’une
consiste dans le Virtutem videant, intabescantqu
ntellectualisme. A cause de cela, vos filles sont assez mal élevées ;
l’une
, donnant dans vos idées, se guinde à une haute sp
’a pas tranquillement tiré au sort, deux familles ont été dépeuplées,
l’une
à Albe et l’autre à Rome ; les trois jeunes Curia
ant contre un préjugé, mais deux forces de la nature, très semblables
l’une
à l’autre, qui se battent l’une contre l’autre. D
forces de la nature, très semblables l’une à l’autre, qui se battent
l’une
contre l’autre. Dans Don Juan ? Quel est le préju
, où est la convention ? Il n’y a que des forces de la nature luttant
l’une
contre l’autre : passion de possession chez Dandi
nt toutes deux dans le sens de la nature. Je le veux très bien ; mais
l’une
est très spirituelle et l’autre très vulgaire, l’
très bien ; mais l’une est très spirituelle et l’autre très vulgaire,
l’une
inirritable et l’autre irascible, criarde et acar
lgaire, l’une inirritable et l’autre irascible, criarde et acariâtre,
l’une
inaccessible à la jalousie et l’autre ardente de
e coup l’actrice qui y jouait le rôle d’Axiane, pour faire présent de
l’une
et de l’autre à l’hôtel de Bourgogne, ces deux gr
c la morosité qui le rend insociable, a fort inutilement voulu venger
l’une
des traits qui n’étaient dirigés que contre l’aut
uvent aux prises dans le reste de la piece. Dénouement. Enfin, dans
l’une
& dans l’autre piece, Jupiter paroît dans une
à-fait étranger à l’action, qui s’amuse à déclamer contre ses rivales
l’une
après l’autre, & à détailler les travaux qu’e
ique l’intention d’instruire le spectateur. On peut très bien peindre
l’une
à côté de l’autre, et d’une manière également pla
de l’âme. Deux inventions extraordinaires peuvent devenir naturelles
l’une
par l’autre. Quinault est resté sans successeurs,
point de vue dramatique, elle peut encore mériter des reproches. Dans
l’une
et l’autre de ces comédies, on ne voit que des ca
tes lueurs nouvelles, combien son œuvre procède de sa vie, et combien
l’une
, ainsi que nous l’avons dit souvent, n’est que le
ote souriante, pour en faire comme le refrain de ses comédies. Depuis
l’une
des premières jusqu’à l’une des dernières, depuis
comme le refrain de ses comédies. Depuis l’une des premières jusqu’à
l’une
des dernières, depuis le Dépit amoureux jusqu’au
it-il20, et le secours que vous avez donné à la plus malheureuse et à
l’une
des mieux méritantes comédiennes de France…, tout
dirai moi-même plus simplement. La maison où je vins au monde était
l’une
des plus anciennes de Paris : les savants du quar
belle. Cela dit, en présence de ces deux autorités qui se corroborent
l’une
l’autre, je crois que le doute ne peut plus être
mblent-elles pas être de la même famille ? N’êtes-vous pas d’avis que
l’une
put fort bien avoir donné l’idée de l’autre à un
imanche, qui, si je ne me trompe, reproduit, à quelques détails près,
l’une
de celles que M. de la Feuillade devait avoir jou
8. Il n’avait pas renoncé à la comédie pour rester dans la politique.
L’une
, puisqu’il était sincère, devait répugner à sa pi
cette fin du Tartuffe. Gourville, ennemi intime de l’abbé Roquette et
l’une
de ses victimes dans la maison de Condé106, était
ndant ce bon accord profitable à toutes deux, il sut par là donner, à
l’une
, une tournure littéraire qu’elle n’avait jamais e
ance. Les deux farces, à son avis, ne lui semblaient pas tant valoir.
L’une
n’avait qu’un mérite, celui d’être, comme nous l’
, avec toutes les ressources de la haine, par deux voies différentes,
l’une
au plein jour, l’autre souterraine. Son attaque o
ort désiré, à la représentation de ces deux pièces. » A la suite de
l’une
et de l’autre, on jouait, suivant l’usage, une fa
s appelons aujourd’hui des mots. — Il en eut une des plus amusantes à
l’une
des représentations des Sosies. Le fracas dont e
ite pour Louis XIV, destinée (qu’on ne l’oublie pas) à l’amusement de
l’une
des plus magnifiques fêtes de sa cour, est ce qui
’on le sache bien, pour les bien comprendre), sous cette inspiration.
L’une
et l’autre furent des moyens d’action par le ridi
minée en E. Et si l’on approche encore un peu davantage les mâchoires
l’une
de l’autre, sans, toutefois, que les dents se tou
e : un homme enfin ; ce qui veut dire plusieurs choses admirables :
l’une
que les bigots n’ont, pour l’ordinaire, aucune bo
, que peut-être il avait lui-même inspiré. Sa Majesté, en souvenir de
l’une
de ses propres histoires d’amour, désirait que l’
. L’accessoire ici tient essentiellement au principal, à ce point que
l’une
s’amoindrit et se détruit presque par l’absence d
oup de cette Armande dans la Camille d’On ne badine pas avec l’amour.
L’une
est une prude de philosophie, l’autre une prude d
mêlaient pas alors avec les tragiques, — tout le monde voulut être de
l’une
ou de l’autre pièce. Quelques-uns furent même des
C’est l’expression employée dans la Fameuse Comédienne, pour désigner
l’une
des mines favorites de la Molière. 8. Page 20.
ici du rang des Auteurs, ce sera la date de leur premiere entrée chez
l’une
ou l’autre Thalie. Jusqu’à ce moment nous avons d
caractères, sont les mêmes ; la diction seule et le dialogue font que
l’une
est une rapsodie misérable et l’autre un chef-d’œ
s de la Vicaria, et si tu n’as point d’argent, choisis de deux choses
l’une
: ou recevoir sur la paume des mains dix coups de
de Dominique, Françoise et Catherine Biancolelli débutèrent en 1683,
l’une
comme première amoureuse sous le nom d’Isabelle,
t dire qu’entre la science et l’art il y a cette différence que, dans
l’une
les gens médiocres peuvent rendre d’utiles servic
la question entre ces deux autorités, il faudrait que j’eusse, comme
l’une
et comme l’autre, une notion a priori du comique
ement pour n’en pas perdre l’habitude ; Jean-Paul l’écoute, et oublie
l’une
après l’autre toutes ses métaphores ; Hegel, sans
t leur rester soumis en leur désobéissant ; voici comment il justifie
l’une
de ses pièces d’être sans modèle dans l’antiquité
Albert : « Per jovem, je suis ivre ! » « Je n’aime, dit l’auteur, ni
l’une
ni l’autre de ces expressions ; j’ai changé la de
Général Desaix. Deux des faces latérales du même objet sont remplies,
l’une
, par la Signature autographe de Napoléon ; l’autr
un mercier ». À quelle encoignure habitait ce mercier ? Sans doute à
l’une
des encoignures de la rue des Barrés. Les deux ma
, une maison à cinq étages portant cette enseigne : À la Croix d’Or ;
l’une
et l’autre étaient occupées d’ailleurs par un déb
obscénités. Il existe trois traductions littérales du Dépit amoureux,
l’une
par M. Ozell, publiée en 1714, l’autre en 1732 pa
s emportâmes sur les ennemis au siège d’Arras. » Ce qui donne lieu à
l’une
des plus joyeuses répliques qu’il soit possible d
décoration, le théâtre en fut quitte avec le produit de deux visites,
l’une
chez Colbert, l’autre chez M. des Rennes, 330 liv
a Paolina à la Trajana ; et toujours ainsi ! Mais comme, par malheur,
l’une
des rues est aussi dépourvue d’intérêt que l’autr
épondrai à cela ce que j’ai dit au sujet de la prose & des vers :
l’une
& l’autre poésie est propre au théâtre quand
d’étoffe ; sa niece entre, fait l’éloge des étoffes, trouve sur-tout
l’une
des pieces charmante. La tante s’apperçoit bien q
repoussé le personnage d’une courtisane, Molière y a substitué, pour
l’une
d’elles, ce qui s’en rapproche le plus, c’est-à-d
it, dans son Art poétique : Étudiez la cour et connaissez la ville ;
L’une
et l’autre est toujours en modèles fertile : C’es
e voir Don Juan avec Charlotte. Elles veulent le faire expliquer pour
l’une
ou pour l’autre ; il promet tout bas à chacune de
personnes, dans le dessein de les violer. Peu de temps après, Oriane,
l’une
d’elles, revient baignée de larmes : il n’est pas
e III. Le théâtre est l’Église du diable Voilà comment tiennent,
l’une
à l’autre, ces œuvres fameuses de la comédie ; un
une critique à faire aux pédants (meâ culpâ), armés de citations dans
l’une
et l’autre langue ( utriusque linguæ , disait Hor
fichée la comédie des Précieuses ridicules. À peine on les vit entrer
l’une
et l’autre, à savoir : Cathos et Madelon, les niè
aisait également dans la farce et dans la comédie sérieuse. Il aidait
l’une
par l’autre ; il attirait son peuple à ses gaieté
d est d’avoir fait Esope amoureux et aimé, deux choses incompatibles,
l’une
avec sa sagesse, l’autre avec sa figure. Mais, à
les deux sœurs se demandent pardon toutes deux et se mettent à genoux
l’une
devant l’autre, est une copie de la scène des deu
urce dans les passions alors qu’elles dominent et aveuglent l’esprit,
l’une
et l’autre sont par conséquent morales, instincti
aveuglés. Ces deux sources de lumière ne pouvaient être en opposition
l’une
vis-à-vis de l’autre. Tout ce qui a rapport à la
ncés : « Jamais (dit-il) je n’ai vu deux personnes être si contentes
l’une
de l’autre et faire éclater tant d’amour. La tend
esprit, on peut n’être fou, c’est-à-dire moralement aveuglé, que par
l’une
d’elles, et rester raisonnable à l’égard de ce qu
renté! » Ces deux scènes, éminemment psychologiques, font le pendant
l’une
de l’autre. Molière a toujours su reproduire des
éter que l’intelligence n’était pas la raison, que l’on peut posséder
l’une
sans posséder l’autre, et de faire ressortir que
lles ses sœurs et par l’ainé des enfants de la damoiselle de Molière,
l’une
d’elles, et de ceux qui naîtront dudit aîné, cinq
ement, de ladite moitié donnée, il ne le pourra faire qu’au profit de
l’une
des damoiselles de la Villaubrun et de Molière, s
Marquise de Gorle, veuve de feu René Berthelot, vivant sieur Du Parc,
l’une
des comédiennes de la troupe royale, âgée d’envir
radition a là-dessus force de loi ; les biographes n’ont pas confondu
l’une
avec l’autre. Molière seul était capable de cette
pour son divertissement, et étant informée que la nommée de Beauval,
l’une
des actrices de la troupe des comédiens qui est p
ux représentations de L’École des maris, données dans la même soirée,
l’une
au Petit-Bour-bon, l’autre en visite, un mardi gr
leurs caractères sont tout à fait opposés, et se font ainsi paraître
l’une
l’autre ; l’une est la jeune veuve, aussi coquett
s sont tout à fait opposés, et se font ainsi paraître l’une l’autre ;
l’une
est la jeune veuve, aussi coquette que médisante
même but, mais par diverses routes, plus ingénieuses et plus comiques
l’une
que l’autre. Quelle étendue et quelles ressources
à la tragédie : l’on fait paraître Pyrame et Thysbé, qui ont servi à
l’une
de nos plus anciennes pièces de théâtre1. « IIIe
ité de monde. Cette salle était percée par deux grandes arcades, dont
l’une
était vis-à-vis du théâtre, et l’autre du côté qu
donne un autre tour : et s’il n’y avait qu’à comparer ces deux pièces
l’une
avec l’autre pour décider la dispute qui s’est él
e intéressé. Peut-être, et les deux hypothèses ne sont pas exclusives
l’une
de l’autre, voulait-il prouver sa thèse par un a
r de 1658, dévoré par la Cour et la Ville et il n’a presque peint que
l’une
et l’autre. Types généraux et qui ne sont précisé
et les jeunes filles, de différentes façons, ne sont bien élevées ni
l’une
ni l’autre. Les Femmes savantes sont une comédie
femmes de préjugé du tout, mais deux forces de la nature, identiques
l’une
à l’autre qui se battent l’une contre l’autre ; e
s deux forces de la nature, identiques l’une à l’autre qui se battent
l’une
contre l’autre ; et celle qui l’emporte ce n’est
gé, où est la convention ? Il n’y a que des forces naturelles luttant
l’une
contre l’autre comme quand il s’agissait d’Arnolp
in sont toutes les deux dans le sens de la nature. Je veux bien, mais
l’une
est très spirituelle et l’autre très vulgaire, l’
veux bien, mais l’une est très spirituelle et l’autre très vulgaire,
l’une
inaccessible à l’irritation et l’autre colérique,
accessible à l’irritation et l’autre colérique, criarde et acariâtre,
l’une
incapable de jalousie et l’autre brûlante de jalo
ns votre mari. Par suite (savez-vous ?) vos filles sont mal élevées :
l’une
donne dans vos travers et n’est qu’une pimbêche e
lle est bien touchée ; mais la comédie a ses charmes, et je tiens que
l’une
n’est pas moins difficile à faire que l’autre. —
l’audace, de Tartuffe et l’audace de Tartuffe à la stupidité d’Orgon.
L’une
aide à l’autre et la développe. Or Orgon est asse
magistrat ait un caractère personnel, et que dès lors de deux choses
l’une
: ou le caractère professionnel sera d’accord ave
s dans la maison, on y a des serviteurs et l’on n’y est pas servi, et
l’une
des jeunes filles est un peu verte en propos et l
du reste ils soient périlleux tous les deux. Selon qu’on glisse dans
l’une
à l’exclusion de l’autre on est toujours dans l’i
as le temps de placer un seul mot dans la conversation. Elles sortent
l’une
après l’autre fort piquées comme de raison : il r
le théâtre. Cherchons pour exemple deux dernieres scenes d’acte, dont
l’une
réunisse ces trois belles qualités, & l’autre
crie davantage ; car la ville est remplie de semblables gens. Dès que
l’une
est passée, une autre lui succede. Car si... Brem
tout à fait associée à l’histoire ; il semble que les personnages de
l’une
soient des témoins qui restent pour déposer en fa
ent sur le boulevard de Gand, à dix heures du soir : — “Tiens, disait
l’une
, Polyte nous rapportera des fleurs, la Taglioni d
contenues dans deux lettres sans date, adressées par madame Scarron,
l’une
à l’abbé Gobelin, l’autre à la comtesse de Saint-
sine (elle était logée tout près de madame de Montespan) sont à elle.
L’une
lui tient le pot a pâte à genoux devant elle ; l’
rate a cru pouvoir séparer les deux frères. D’autres villes m’offrent
l’une
Guttenberg, l’autre Cuvier, l’autre Duguesclin. A
x époques bien tranchées. L’époque académique et l’époque populaire :
L’une
conduisait à l’autre. L’époque populaire commence
n deux courants bien distincts. Deux écoles opposées se fondent, dont
l’une
a pour chef Descartes, et l’autre Gassendi. Trouv
are qu’il « balbutiera » seulement, où il admet en l’homme deux âmes,
l’une
matérielle, l’autre raisonnable, mais où il échou
▲