er, puisqu’il confond le monstre qu’on abhorre, & qu’il comble de
joie
une honnête famille à laquelle le spectateur pren
futur le lui assurent ; & Pamphile, loin d’aller faire éclater sa
joie
aux pieds de sa future, emploie une cinquieme sce
anquer d’être immortel comme eux, si aucun chagrin ne succede à cette
joie
. Mais qui souhaiterois-je le plus de rencontrer à
lui conter le bonheur qui vient de m’arriver ? Carinus. Quel sujet de
joie
a-t-il ? Pamphile. Ah ! je vois Davus. Il n’y a p
agréable ; car je suis persuadé que qui que ce soit ne ressentira ma
joie
plus vivement que lui. Scene VI. DAVUS, PAMPHI
ignorance, & lui expliqueroit en beaux termes ce que c’est que la
joie
, & quels sont les différents effets qu’elle p
& par les larmes ; mais que les ris étant devenus roturiers, une
joie
larmoyante a, sans contredit, un air bien plus di
que la satisfaction du cœur a deux façons de s’exprimer, gardez votre
joie
pleureuse pour les pieces que je viens voir avec
e suis bien votre serviteur, Monsieur mon pere, & j’ai bien de la
joie
... M. Grimaudin. Comment ! hé ! c’est mon fils !
croire, dis-moi ? Géta. Serez-vous content si je vous plonge dans la
joie
? Antiphon. Tu me fais mourir. Phormion. Ah ! tre
j’ai entendu la plus belle aventure du monde ; j’ai pensé éclater de
joie
. Phormion. Qu’as-tu entendu ? Géta. Que croiriez-
re Sur les feux d’un rival marquer votre victoire. Mais c’est à votre
joie
un surcroît sans égal, D’en avoir pour témoins le
enter. S’il m’eût été permis de la bien souffleter, Quelle eût été ma
joie
! Dubois. Quelle eût été ma joie !Hé ! c’en est
bien souffleter, Quelle eût été ma joie ! Dubois. Quelle eût été ma
joie
!Hé ! c’en est trop. Dorante. Quelle eût été ma
elle eût été ma joie !Hé ! c’en est trop. Dorante. Quelle eût été ma
joie
! Hé ! c’en est trop.Ma bile M’inspiroit cet écla
élas ! il fallut obéir. Les enfants sans souci se séparèrent, plus de
joie
et plus de gaîté, plus de folie et plus rien que
la joyeuse et la folle, adieu la rieuse et l’accorte, adieu à toi la
joie
française libre comme l’air, et si doucement avin
de nos murs, mais non pas de nos mœurs, la comédie qui avait fait la
joie
antique. L’arrêt qui brisa le vieux théâtre en fa
on criait : Joubert ! bravo Joubert ! Et c’était des trépignements de
joie
! on revoyait Joubert. Quand par hasard les chand
, et cette fois, pour tout de bon ils se lavaient les mains dans leur
joie
; les marionnettes, humiliées et dolentes, restai
, et qu’il faut reconnaître à son fruit à peine formé, ce sont là des
joies
qui tiennent à des joies saintes. Le printemps es
re à son fruit à peine formé, ce sont là des joies qui tiennent à des
joies
saintes. Le printemps est en jeu et le soleil ; l
vrai qu’il jouait encore mieux le rôle d’Ésope à la cour, à la grande
joie
des bossus de son temps. Ésope et l’empereur Augu
a tête aux pieds. Vie austère et lugubre ! — Pour cette femme, pas de
joie
et pas de repos, pas un sourire, tant elle avait
r Bobèche. Galimafré, au contraire, était le représentant de la vraie
joie
, de cette bonhomie sans façon toujours prête à ri
n avancement d’hoirie un grande quantité de trésors inestimables : la
joie
et l’esprit, la gaieté, le hasard, la grâce et la
dien qui se repose ? où est le comédien qui renonce tout à fait à ses
joies
, à ses transes, à ses délires ? où est le comédie
ur ! Vous avez là un bel habit ! Tout ceci, la douleur ou le rire, la
joie
ou les larmes, l’exclamation ou l’abattement, app
res diables des deux sexes qui n’ont pas d’autre métier que d’être la
joie
de leurs semblables. Il n’a manqué à ce digne Bru
u’il ne fût pas oublié à cette place où j’écris, au milieu de tant de
joie
et de tristesse, l’histoire littéraire de ce temp
amuser une heure, va se rappeler, par une illumination soudaine, les
joies
de sa jeunesse, et ses amours, et ses délires, à
abominable de sa raison absente il va chanter sa plus vive chanson de
joie
et d’amour. N’est-ce pas, en effet, que c’est cho
rtout. Il aimait l’esprit, il le cherchait avec art, il appuyait avec
joie
sur tout ce qui lui paraissait un bon mot ; il ét
s écrit sur son genou ; rien ne l’étonne, ou plutôt il se revoit avec
joie
dans ce monde idéal qui est pour lui le véritable
t les hardiesses même sont correctes. Plaute, à coup sûr, s’enivre de
joie
d’avoir rencontré — dans un sujet scabreux, tant
ives. Elle plut aux jeunes gens de la ville éternelle, jeunes gens de
joie
et de malice, qui mêlaient la danse au chant ; mé
itoyable d’un enfant des faubourgs ; il n’est pas, tant s’en faut, la
joie
de la populace et de la canaille d’Italie ; en re
emps à autre, un certain aiguillon d’ironie qui la fait accepter avec
joie
. Ce parasite-là servira plus tard de contenance e
i est la saveur d’une langue bien faite ; le peuple y retrouvait avec
joie
ses vieux mots, précieusement enchâssés dans les
eux lorsqu’au retour des fêtes de Bacchus, dans ce théâtre rempli des
joies
et des délires de la comédie satirique, notre hom
hrysostome, cet aigle chrétien, ce Bossuet de l’Orient, il faisait sa
joie
des comédies de ce pendard d’Aristophane ; même i
vivant, un langage plus élevé, plus grave, plus austère, même dans sa
joie
, et plus digne de la comédie sérieuse. Voilà pour
nieuse et piquante ; malheureusement, depuis qu’Aristophane a fait la
joie
de ce peuple, sans rivaux dans les arts du goût e
tard, en effet, après les guerres et les tyrannies, fut supprimée la
joie
extérieure de la comédie grecque ; le peuple d’At
rit était à la gêne : il vivait d’épargnes ; il n’avait plu : d’autre
joie
que de manger des pois chiches et de lésiner dan
ns… et pourquoi donc comptez-vous cette supériorité incontestable… la
joie
ineffable et charmante, inconnue à la comédie gre
le… la joie ineffable et charmante, inconnue à la comédie grecque, la
joie
inépuisable des jeunes amours ? La Malade i m
à pleines mains comme l’esprit ! Quelle profusion presque insensée de
joies
, de paradoxes, de divertissements, de poésies de
mme, vêtu de noir, et dont les petits enfants avaient peur. — Vive la
joie
autour du nouveau venu ! Vive le vin, la bonne ch
r de la licence poétique, de la vie facile, des amours vulgaires, des
joies
de la taverne et des amours débraillés. Pour tout
de pensums, plus de bonnets d’âne, plus de bon sens, mais toutes les
joies
accumulées de la semaine des trois jeudis, de cet
n. Il a ri d’un rire intrépide, il s’est abandonné sans réserve, à sa
joie
et le plus souvent cette joie est une gaîté convu
, il s’est abandonné sans réserve, à sa joie et le plus souvent cette
joie
est une gaîté convulsive. Suivez-le, si vous voul
devine pas la rage étouffée d’Araminte, l’indignation de Cidalise, la
joie
de Léonore, la stupeur de Pasquin, la moquerie de
tuellement trahies, de les comparer avec les trois à quatre filles de
joie
, mises en scène par le comédien Baron. Ceux qui o
en bon père de comédie. Une fois bénis, les voilà mariés, et vive la
joie
! L’Hôtel de Bourgogne leur donnera tout ce qui l
eureux camarades, les vices heureux, les faciles plaisirs, les folles
joies
, toutes les licences permises, tout ce qui a fait
ne comparaison avec les vers de Despréaux : Tout respire chez toi la
joie
et l’allégresse, Y peut-on manquer de plais
u soir, ce me semble, à votre heureux retour. On me vit témoigner une
joie
assez tendre, Et rendre aux soins de votre amou
Que me dites-vous là ?Que même votre amour Montra de mon accueil une
joie
incroyable ; Et que, m’ayant quittée à la pointe
une aimable surprise, Tendrement je vous embrassai, Et témoignai ma
joie
à plus d’une reprise. Amphitrion, à part. Ah ! d’
anquillement la scene dans la chambre & sur le lit d’une fille de
joie
. Les Espagnols, les Anglois, Plaute même, à l’ind
ne m’amuserai pas à prouver la différence qu’il y a entre le rire de
joie
, le rire moqueur, le rire forcé, le rire bas, le
e pauvre Pourceaugnac en proie à un déluge de lavements, de filles de
joie
, qui se disent ses femmes, de petits fils de pu..
p; puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma
joie
; tout est fini pour moi, & je n’ai plus que
rgade, et ωδὴ chant, c’est-à-dire chant des faubourgs, le chant de la
joie
et de la liberté quelque peu avinée, la chanson j
roman comique. Des gourmands, des oisifs, des buveurs, des amis de la
joie
et de la bombance, tel fut le nom des premiers co
De la comédie et de ses plaisirs profanes, de ses licences et de sa
joie
, on a voulu faire un cours de bonne et pratique m
elles étaient cruellement déplacées dans ce drame du plaisir et de la
joie
où l’amour et l’esprit se tiennent, si étroitemen
u théâtre, vous voulez la revoir pour l’applaudir, vous êtes ivres de
joie
, et personne ne prend en pitié cette enfant, la v
’on peut avaler, mais non pas sans faire la grimace. Vous jugez de la
joie
de Molière occupé à écraser, un à un, sous ses de
a bien voulu donner son agrément. Desronais sort dans la plus grande
joie
, parceque Dupuis, en lui cédant sa charge, semble
annoncer qu’il lui donne sa fille. Dupuis feint d’être surpris de la
joie
que montre Desronais pour une charge : Mariane di
impossible de vous faire quelque sorte de réparation. C’est la seule
joie
que puisse goûter dans son affliction votre désol
toute sincérité & toute bonne foi. Le Roi enchanté se livre à la
joie
avec ses hôtes, & demande une chanson : on fa
lets qui lui peignent l’amour de ses sujets : il répand des larmes de
joie
. Agathe vient raconter chez Michaud la violence q
ont le bec fit saigner tant de fois le cœur de son mari, cabrioler de
joie
autour d’une pareille aubaine. L’Ecole des Femmes
te renaissance tragique qui est saluée de tous, côtés par des cris de
joie
si respectables. . Que l’éternelle beauté soit
z du piment jusque dans le poivre, on vous sert tout à la tartare, la
joie
comme la douleur. Seulement, comme il faut du nou
répertoire de genre. Je me souviens de la grande émotion, de la vive
joie
littéraire que j’éprouvai à 1’audition du Demi-Mo
n’y a que la France, c’est une chose singulière, pour se donner cette
joie
difficile à comprendre, cette volupté baroque de
ir reçus de la nature pour la peindre gaiement, & pour exciter la
joie
du public, n’osent avouer leur insuffisance, veul
rate. J’ai fait tout ce que vous venez de dire, & j’ai bien de la
joie
que vous vouliez vous en souvenir. Vous n’avez re
fers de son fils, qui passe des horreurs de la misere au comble de la
joie
. ACTE V. Scene derniere. Tindare. J’ai vu souve
énétrés. L’Exempt parle, & soudain nous ressentons la plus grande
joie
. Scene VII. L’Exempt. Remettez-vous, Monsieur,
’Institut de quelque faiseur de mauvais vers ; elle se souvient de la
joie
, de la bonne humeur, de l’applaudissement du part
e (derniers moments du bonheur poétique, moments sacrés de cette pure
joie
des beaux-arts ; pour ces moments-là le dernier b
jet de bouquets et de fleurs. Le rire et les larmes, la douleur et la
joie
, et le bravo ! spontané de l’auditoire, à la bonn
dans le monde, et dont les excès sont le plus funestes, est pleine de
joie
et de dignité, quand l’homme sait se garder assez
uble, dans laquelle ils trouveront ce qui manque à leur solitude : la
joie
d’être deux à vivre, à souffrir434. Regardez Henr
mours437, qui n’a devant les yeux cet amour pur et naturel, plein de
joie
et d’honneur, que Phèdre dépeint avec tant de vér
e est sérieuse : mais voulez-vous de ces enjouements épanouis, de ces
joies
toujours ouvertes ? et voyez-vous rien de plus im
les mêmes répulsions, les mêmes instincts ! Alors on se retrouve avec
joie
, et l’on s’embrasse, et l’on se dit, en fin de co
que déjà il sait par cœur. Molière, en ce moment, était dans toute la
joie
et dans tout le bonheur du triomphe. Il avait l’o
cte ; quand M. Argan se met à parler de testament, Molière pensa avec
joie
que son testament était fait et qu’il laissait to
s ou du Palais-Royal, quand vous revenez sur votre passé, avec quelle
joie
et quelle fête vous les retrouverez ces pages sér
jeu et pour ses vers. Ajoutez toutes les complications et toutes les
joies
d’une intrigue italienne, la passion d’un amour v
nées. Il échappe à Turlupin, il échappe à Scaramouche, il échappe aux
joies
licencieuses des tréteaux de Tabarin, et cependan
de ces illustres farceurs. À cette heure la comédie en est encore aux
joies
et aux hasards d’une aventure. C’est toujours la
se peuvent comparer à du vent mal tissu ! Il faut donc accepter avec
joie
ces vieilles et franches comédies qui ont été, po
, mais amusant, très amusant. Il fait de l’intrigue pour en avoir les
joies
, non le profit : il est passé maître dans l’art d
, pourquoi celle-là, rien qu’à regarder le parterre, le fait rugir de
joie
ainsi que fait l’orage dans la vaste mer ? Pourqu
rofession ; elle n’a jamais su quelles douleurs sont cachées sous ces
joies
apparentes, quelles épines sous ces fleurs ! Que
reste de sommeil ? Entendez-vous ces frémissements de bien-être et de
joie
? — Ma foi, vivent les chefs-d’œuvre de l’ancienn
émien, qui est un des attributs de la comédie, cette aimable fille de
joie
et d’esprit, née dans un tombereau, et qui rappel
ux qui se regardent sans se rien dire, les vieillards jaloux de toute
joie
, et les précieuses, et les femmes savantes, le Do
ronimo flattera Sganarelle ! Et ce butor de Sganarelle, quelle est sa
joie
d’être ainsi conseillé ?« Que j’aurai de plaisir
réflexion comique : Mon mariage doit être heureux, car il donne de la
joie
à tout le monde, et je fais rire tous ceux à qui
bien et que c’est un utile assaisonnement de l’amour, ils liront avec
joie
le terrible portrait de la prude, tracé de main d
licité : tout était prêt. Il arrive un coup de massue qui rabaisse la
joie
(la mort de M. de Turenne). Le peuple dit que c’e
Il a vu à Blois madame de Maintenon et M. du Maine qui marche. Cette
joie
est grande. Madame de Montespan fut au-devant de
lement par la main de madame de Maintenon ; ce fut un transit port de
joie
. M. de Louvois alla voir en arrivant cette gouver
ration alla jusqu’à l’extase. À la fin de la pièce, ses transports de
joie
augmentant encore, ses voisins lui en demandèrent
a ils se rendirent l’un & l’autre sur le rivage, où ils eurent la
joie
& la satisfaction de trouver quelques-uns des
i que du fidele domestique. Hassan, seul avec son ami, se livre à la
joie
: mais Dornal ne peut la partager ; il regrette s
qu’il avoit jamais révéré. Enfin, le cœur gros de tendresse & de
joie
, dans un transport inexprimable de reconnoissance
s chercheurs de proie, Qui disoient fort souvent que leur plus grande
joie
Etoit de rencontrer de ces maris fâcheux, Qui jam
. Dès demain !Par pudeur tu feins d’y reculer ; Mais je sais bien la
joie
où ce discours te jette, Et tu voudrois déja que
rapide, il comprend que l’immense humanité est à lui pour en faire la
joie
et la leçon. Il voit aux prises la nature et la s
en pleine convalescence. Les traits de la jeune fille s’éclairent de
joie
. Le lecteur poursuit : telle est la gloire que le
lettres, faisant succéder rapidement les impressions de chagrin et de
joie
, fournissaient un trop excellent prétexte à la pa
biens que cet aveu m’octroie, Rends capable mon cœur de supporter sa
joie
… ! Combien il y a plus de mollesse et de grâce d
LA TANTE, LISETTE, ORONTE. La Tante. . . . . . . . . . Jugez si ma
joie
est la vôtre Quand je fausse pour vous compagnie
ient aussi embrasser son cher cousin. Les amants sont au comble de la
joie
, quand la scene change encore de face. Scene IV.
ier. Est-il possible ? ô Ciel !Que cet embrassement Vous témoigne ma
joie
& mon ravissement. Mon frere, est-ce bien vou
ontre lui, & qu’il en étoit vivement affecté. A cette nouvelle la
joie
fut inexprimable, & ils se proposerent tous d
le au delà de ce qu’on peut imaginer, elle en dit à le faire pâmer de
joie
; jusque là que, l’autre jour, elle est venue lui
e ferez plaisir… Et là-dessus, elle remonte, laissant le parterre en
joie
et Arnolphe dans le ravissement de son ouvrage. P
tre, et tous deux prendront la volée. Ainsi dit l’amoureux, affolé de
joie
, et il s’enfuit, chercher l’échelle, sans doute.
aconte comment Agnès est venue aussi voir s’il était mort ; et quelle
joie
elle a fait éclater, à voir qu’il n’en était rien
i vient le prier d’intercéder pour lui près de son père… Aussi quelle
joie
lorsqu’on voit le dénouement tourner contre le tr
ui mit le visage en sang contre les boutons de son habit. Cela mit en
joie
ceux qui, n’étant pas ducs et pairs, n’osaient se
te quelque argent. Et cependant, personne n’a hésité. C’était une des
joies
caressées par M. Thierry, de donner cette soirée
s côtés fâcheux, et s’abandonnent avec un ravissement tranquille à la
joie
d’une œuvre charmante, qui est signée d’un nom ra
elin entre, il semble aussitôt que la scène s’illumine. Un murmure de
joie
court dans tout l’auditoire ; on voit se redresse
e mot obsède la pensée du pauvre Arnolphe. Il s’en sert avec une âpre
joie
quand il s’agit des autres, et il tressaille quan
excentricité vigoureuse qui promettent un bonheur moins uni, mais des
joies
plus exquises. Je crois donc que si Alceste me le
et le traîner par les oreilles à la rivière, en poussant des cris de
joie
féroce. Vous êtes indigné ; vous pleureriez presq
ujours été prodigieux ; que le second acte a toujours mis la salle en
joie
; que le troisième l’a tenue en haleine ; que l’a
rofondément remué. J’ai toujours, pour ma part, entendu un murmure de
joie
et de soulagement s’élever, quand éclate le vers
’un goût particulièrement délicat sont terribles) de ne pas frémir de
joie
et d’attente quand Orgon soulève de sa tête le ta
n de scandale. On ferait battre des montagnes, et l’on pétillerait de
joie
à les voir aux prises. Dorimène est invitée par s
r ce qu’elle disait. Non, c’était une jeune femme qui connaissait les
joies
et les peines de l’amour, et qui avait pitié de s
ion. Tout cet enthousiasme a débordé à l’entr’acte en exclamations de
joie
. On s’abordait dans les couloirs : — Hein ! est-c
s’amuse, en amusant les autres. Il est étourdi, éclaboussé par cette
joie
bruyante et folle qui s’anime par le mouvement mê
es qui ont fait leurs études, de femmes qui en sont frottées ; quelle
joie
pour tout ce monde d’entendre ces vers merveilleu
e la vieille roche et elle s’est dérobée à ce triomphe. Elle a été la
joie
de cette comédie. À côté d’elle, nous avons vu de
re des amies celle à qui depuis sa première enfance elle a confié ses
joies
et ses chagrins : c’est sa mère. Mais une mère !
e est ravie de son invention, et elle bat des mains, et elle saute de
joie
. Quand on pense que certaines actrices me disent
on changement de costume. Elle revient en soubrette ; elle pétille de
joie
, comme une enfant de six ans qui a mis un masque
nt avoué qu’il est Dorante, elle voit clair dans son cœur. Mais cette
joie
imprévue, est-ce qu’elle en meurt est-ce qu’elle
! non, c’est un transport d’allégresse : — Ah ! quel bonheur ! quelle
joie
! je ne m’étais pas trompée ! C’était un honnête
mais elle pétille, mais elle est folle ! et avec quelle exubérance de
joie
, elle entend savourer son triomphe ! — Tu veux, l
e mes jeunes amours ! Il faut que cette plénitude de tendresse et de
joie
se marque avec allégresse dans la scène finale :
e sentimentale. ; c’est le mot d’une jeune fille, en qui surabonde la
joie
de vivre et d’aimer. Voilà le rôle ; il est tout
ndre ! s’écriait Marceline. Et aussitôt toute la salle transportée de
joie
applaudissait à une vérité, qu’on lui avait démon
e faire pièce à son tuteur, qui lui joue des tours pendables avec une
joie
perverse. Elles appuient sur les roueries que lui
ne âme tendre, pudique, réservée jusqu’en ses malices, s’ouvrant avec
joie
à l’amour, mais pénétrée de sentiments d’honneur,
ut se reporter au temps où parut Turcaret pour comprendre avec quelle
joie
de vengeance satisfaite dut être accueillie cette
en ont, par bonheur, une autre qui ne saurait leur manquer. C’est la
joie
d’avoir pénétré profondément dans l’intimité d’un
parler le poète. On tenait table encore, on se serre pour nous ; La
joie
en circulant me gagne ainsi qu’eux tous ; Je le s
loire. Il faut bien se rendre compte de ce qu’était en ce temps-là la
joie
d’être célèbre et les plaisirs aristocratiques qu
iorité de l’ensemble. J’ai gardé pour le dernier un rôle qui a été la
joie
de cette soirée : c’est celui de l’eunuque Osmin,
est le plus propre à émouvoir, puisqu’il traduit les douleurs et les
joies
humaines de la façon dont elles s’expriment dans
ne pouvons mieux prendre notre temps pour mourir bons amis et dans la
joie
: notre mort fera du bruit. Ainsi ce glorieux des
ient soudain le bel incarnat de la vingtième année. Alors toute cette
joie
, et ce luxe, et ces amours, tout cet esprit mêlé
ant, rentrons au logis, faisons grand feu et grande chère, et vive la
joie
! Voilà comment parlaient les bourgeois de 1665 ;
de nous ramener ce mendiant qui était le si mal venu dans ce drame de
joie
, de duels, de dettes non payées, d’enfants raille
ne comédie que Molière avait faite tout exprès pour amuser les folles
joies
du carnaval ! Don Juan et la société française on
à célébrer les dieux nouveaux de cet Olympe : La Paix, la Sûreté, la
Joie
et la Concorde ! — On les retrouve à chaque insta
des caprices de vestale » comme dit Lauzun, le roi ne se sent pas de
joie
et il s’écrie : — « Charmante La Vallière ! » Re
. — « Des reproches ! N’avez-vous pas honte de cette ruse de fille de
joie
(Harlot’s trick ?) » Et plus bas, quand Bragelon
et toute la cour sera édifiée et étonnée de sa tranquillité et de sa
joie
! « En vérité, ses sentiments ont quelque chose
os outrages par sa douleur. Vous l’appelez femme-de-chambre, fille de
joie
, vous voulez la marier, elle, la duchesse de Vauj
une railleuse, une piquante, a causé dans toute l’assemblée une vraie
joie
; on se reposait déjà de ce Don Juan, on se repos
otre âme, le désir, l’espoir de réaliser les splendeurs entrevues. La
joie
qu’il nous apporte est la joie du triomphe : la s
réaliser les splendeurs entrevues. La joie qu’il nous apporte est la
joie
du triomphe : la solidarité nous prend au cœur, e
le voie, Monsieur. Fernand. Monsieur.Si je m’en mêle, il aura de la
joie
. Je le viens de quitter ; il est fort mon ami. Cr
e dans l’esprit : elle fait tous mes soins, tous mes desirs, toute ma
joie
: je ne parle que d’elle, je ne pense qu’à elle,
ujours sérieuse. Cléonte. Veux-tu de ces enjouements épanouis, de ces
joies
toujours ouvertes ? & vois-tu rien de plus im
riche d’aujourd’hui, à rendre une âme contente, à remplir d’une douce
joie
un cœur blessé, à faire que la pauvreté soit apai
on ne peut plus ni les voir ni les entendre, ils s’en donnent, à cœur
joie
, de toutes ces larmes ; mais qu’importe ? on ne s
a plus de force que la violence. » Il pouvait ajouter qu’une certaine
joie
aisée, agréable, piquante, vaut cent fois mieux,
ffet c’était quitter la vie. Mademoiselle Mars aimait, à en mourir de
joie
, les enivrements de la foule, les applaudissement
rsailles, le même jour que S. A. R. madame la Dauphine. Afin que leur
joie
eût un long souvenir dans l’âme des pauvres gens,
queue en loup qui fuit, & les yeux contre bas, Le cœur sautant de
joie
, & triste d’apparence. Depuis aux bons Sergen
t ami d’Horace qui connoît son embarras & qui se fait une maligne
joie
de l’abandonner à son persécuteur. Ce sont de sim
juste dépit qui l’anime contre lui. Béverley est dans la plus grande
joie
, & demande son épouse pour lui annoncer une g
mp; les fripponneries de Stukéli : celui-ci est confondu, arrêté ; la
joie
renaît dans le cœur de la plupart des personnages
aboutissent au mariage496 ? Non : c’est par vérité. L’intimité et la
joie
de cette union est aussi nécessaire, comme conséq
ois ans… 0 le beau mariage, qui doit être heureux, car il donne de la
joie
à tout le monde, et fait rire tous ceux à qui on
me d’esprit, comme bon convive, pour ajouter à leur attrait mutuel la
joie
et la gaîté qu’il portait partout avec lui. Mais
sa tristesse, dans un moment où tout son peuple marque la plus grande
joie
de voir finir la guerre, & sur-tout dans un m
ire, perfide ? Te reprocher ton crime honteux, ce seroit accroître ta
joie
: me plaindre de ta trahison, ce seroit augmenter
hiré comme le mien des plus cruelles douleurs, pouvoit se livrer à la
joie
pour un moment, ta ridicule proposition me forcer
r ma tête : l’horreur de ce qu’on me proposoit m’empêcha de sentir la
joie
de savoir Alise vivante. Tant de coups redoublés
acée ; si madame de Scarron y a contribué, elle est digne d’envie. Sa
joie
est la plus solide qu’on puisse avoir dans ce mon
chien que Votre Majesté ma donné le connoît. Le Roi montra une grande
joie
. Jadis, dit-il, on vit sous les regnes de Yao &am
voir retrouvé un fils qu’il croyoit mort, donne son consentement avec
joie
. . . . . . . . . . . . . . . Le spectateur est s
e la Belle, qui s’étoit mise à sa fenêtre, & qui témoigna tant de
joie
& tant de passion en le voyant, qu’il demeura
remit la bourse & la ceinture. Le jeune homme se retira avec une
joie
extrême d’avoir reçu des assurances de l’amour de
on que l’honneur doit être gardé pour lui-même, pour la dignité et la
joie
intime qu’il procure, et non par crainte d’un châ
n ne doit point les brider en tous leurs désirs ni leur refuser toute
joie
, mais leur apprendre à jouir honnêtement de ce qu
(ce fut la dernière fois qu’il joua la tragédie) et vilipender à cœur
joie
, et nommément Boursault, son pauvre petit ennemi.
« Qui saurait connaître ce que c’est en l’homme qu’un certain fond de
joie
sensuelle, et je ne sais quelle disposition secrè
les meurent de faim et de désespoir. O calamités de nos jours, quelle
joie
pouvons-nous avoir ? Qu’on ne demande plus mainte
ts. Il prononce son texte : Réjouissez-vous et faites éclater voire
joie
: car une grande récompense vous est réservée dan
vec une inépuisable variété de couleurs, l’orateur oppose la paix, la
joie
, la félicité des saints dans le ciel, le bonheur
ndant que le monde, avec toutes ses prospérités et toutes ses fausses
joies
, ne peut être heureux ni content. » C’est ici qu
olière et le sieur d’Assoucy. Il y fut écouté et admiré, et il eut la
joie
d’éclairer, de ramener, de raffermir et de consol
onneur de la haïr, et il s’inflige le supplice d’en être jaloux. « Sa
joie
serait de se pouvoir flatter qu’il est aussi homm
s voulez, que, fatigués de cette tentation, nous perdons peu à peu la
joie
intérieure, qui est un des plus beaux fruits de l
ause ne devrait-elle pas vous remplir non-seulement de force, mais de
joie
? Si quelqu’un rougit de moi devant les hommes, j
otestations de tendresse : Lorsqu’un homme vous vient embrasser avec
joie
, Il faut bien le payer de la même monnoie, Répond
plus : jamais il ne fera rire dans l’âme. Le rire de l’âme, c’est la
joie
; mais la joie n’est connue que des âmes pures, e
il ne fera rire dans l’âme. Le rire de l’âme, c’est la joie ; mais la
joie
n’est connue que des âmes pures, et la satisfacti
a satisfaction qui grince dans les autres âmes n’est ni le rire ni la
joie
. Je défie qu’une âme pure puisse entendre une com
yant fait coucher dans le lit qu’il venoit de quitter, en pleurant de
joie
d’avoir trouvé, à son avis, ce qu’il cherchoit, i
avoit avancé, elle souriant d’un souris d’enfer, & lui sautant de
joie
. Il la récompensa en homme libéral, & attendi
aure ne le trouva point à redire, & reçut son mari avec autant de
joie
& aussi peu de ressentiment de la perte de so
gure qu’on ne voudra point écouter Moncade. Moncade revient avec une
joie
apparente : on l’a traité indignement ; il est gu
er de ceux qui ont voulu le jouer. Simon appelle Sosie, lui peint sa
joie
, lui dit que Chrémès consent à donner sa fille, a
e en voyant son maître content. Charinus les écoute : il partage leur
joie
, Pamphile le conduit vers Chrémès pour solliciter
c’est de l’effort personnel libre que nous pouvons attendre un peu de
joie
pour nous-même et pour les autres. Qu’il s’agisse
mi. Il ne l’a point gardée et elle est venue à lui spontanément, avec
joie
. Et ce respect de Molière (bien supérieur en cela
ans profit, son âme se dessécher ou s’abêtir. Elle ne connaît plus la
joie
de vivre. Elle est inutile, incapable de remplir
d Bayer, fut le promoteur de la grande solennité, dont l’éclat et les
joies
concordèrent trop bien avec l’heureux événement d
exaucés. Les serviteurs de Joachim, à cette nouvelle, expriment leur
joie
, à laquelle, dans leur chant alternatif, ils asso
du Jardin des Olives et pendant les souffrances même de la croix, les
joies
du ciel et ses concerts adoucissent et, suivant l
, L’objet de tous ses soins, & son unique espoir, Elle qui met sa
joie
au plaisir de la voir. Que fait Belfort ? Le jour
venue à Paris ; on dîna ensemble. On ne joua pas en public. Enfin, la
joie
était revenue, et tous les airs de jalousie avaie
dmirés par tout l’univers ? Ceux-ci sont célébrés avec scrupule, avec
joie
: on est tranquille là-dessus, on a payé pour l’ê
s se sont soustraits à la correction) ; Delphine de Girardin, avec La
Joie
fait peur ; Caraguel, avec Le Bougeoir ; Gozlan,
actes.... « Cette piece réussit dans une Cour qui ne respiroit que la
joie
, & qui au milieu de tant de plaisirs ne pouvo
r une fille délicate et tendre comme Molière en a.tant représenté, la
joie
de l’amour peut-elle être complète sans une mère
s’entourer pour leurs vieux jours d’une famille aimante ? lis ont la
joie
de laisser après eux quelque reconnaissance et qu
nac. Toujours gai & gaillard. Eraste. Ma foi, j’en ai beaucoup de
joie
. Et Monsieur votre oncle... le... M. de Pourceaug
sa sœur, il se flatte de les voir unis, il vient lui en témoigner sa
joie
. Moncade. Je ne veux point me marier. Eraste. C
lio, voulez-vous subir une petite épreuve ? Lélio. Vous me comblez de
joie
; mais je ne saurois dans ce moment : je n’ai pas
il n’associerait pas à son existence une jeune femme qui en serait la
joie
et le délassement. Sans doute, c’était là une exp
e est toujours sérieuse. — Veux-tu de ces enjouemens épanouis, de ces
joies
toujours ‘ouvertes ? et vois-tu rien de plus impe
e véritable idolâtrie. Armande dut éprouver dans ce rôle d’enivrantes
joies
d’amour-propre ; princesse, amante adorée, déesse
evenait père pour la troisième fois ; il lui naissait un fils. Courte
joie
: l’enfant ne vivait que onze jours, précédant so
Je lui suis obligé. Va, que je lui souhaite une
joie
infinie. (Il s’en va.) MASCARILLE. Cet homme est
bonne, si les événements passés causent à ce même personnage assez de
joie
ou de chagrin pour que ses transports le forcent
tendresse. A table, au plus haut bout il veut qu’il soit assis. Avec
joie
il l’y voit manger autant que six. Les bons morce
en avoir été quelque temps bannies. « On est ici dans la plus grande
joie
», écrivait le 7 août madame de Maintenon à madam
t le monde dit qu’il est adorable. Madame de Montespan sèche de notre
joie
; elle meurt de jalousie, tout lui déplaît et l’i
-fait considérable ; & je vous donne ma fille avec la plus grande
joie
du monde. Dans la derniere scene de Zélinde, Clé
s’enivre. Ce contraste entre les tristes labeurs de la guerre et les
joies
de la paix est toute la pièce : Aristophane le po
du sentiment religieux. Sans doute le bûcher de Servet fut salué avec
joie
dans presque toute la chrétienté protestante; mai
ice Vous pût d’un pareil sort réparer l’injustice ; Et que j’eusse la
joie
et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout d
ue du beau. Le comique peut être gai, et pourtant il n’enfante pas la
joie
; il peut être sérieux, et pourtant le sérieux pou
nent sur la scène. Dans Andromaque, Racine nous dérobe ce qui fait la
joie
de la veuve d’Hector; dans Le Malade imaginaire,
ns Le Malade imaginaire, Molière expose hardiment tout ce qui fait la
joie
de son héros (je dis la joie, car Argant est un d
ère expose hardiment tout ce qui fait la joie de son héros (je dis la
joie
, car Argant est un de ces malades qui vivent de l
és dont elle est la victime. La vie de la femme qui n’a pas connu les
joies
de la famille, n’est pas complète, dit-on; mais c
esprit de cette religion, qui, par une hardiesse divine, a fait de la
joie
un devoir. Mais ce n’en est pas moins une grande
’œuvre des plus grands écrivains : dans les Pensées de Pascal, où les
joies
de la piété sont empreintes d’une exaltation pass
e ces noms suprêmes qui font tressaillir les nobles âmes, qui sont la
joie
des esprits justes et des cœurs droits. Il y a da
apsodie, si pauvre de style et de raison, n’en fit pas moins pâmer de
joie
la tourbe des hypocrites ; elle était colportée d
même que ces serpents dont les piqûres mortelles répandent une fausse
joie
sur le visage de ceux qui en sont atteints. Organ
mis se réconcilient, les deux jumeaux se reconnaissent, la paix et la
joie
rentrent dans le sein de la famille, le tout par
des prélats ; qu’elles faisaient les délices de la cour de Rome et la
joie
des saints pontifes ? Comment n’a-t-on pas dit au
e Hôtesse, lui donna un billet de Comédie : celle-ci s’en servit avec
joie
, parce qu’il ne lui coûtait rien pour voir le spe
mettre en œuvre un beau compliment qu’il avait composé en chemin, la
joie
de revoir son bienfaiteur lui ôta la parole. Moli
ns jamais mieux prendre notre temps pour mourir bons amis, et dans la
joie
; et notre mort fera du bruit. Ainsi ce glorieux
une si fâcheuse conjoncture. Les Hypocrites triomphaient ; mais leur
joie
ne dura qu’autant de temps qu’il en fallut aux de
compliment sur ce succès ; ses ennemis même lui en témoignèrent de la
joie
, et étaient les premiers à dire que le Tartuffe é
tère ; et que sans s’embarrasser de rien il fût toujours préparé à la
joie
. ― Oh ! Monsieur, lui répondit Molière, vous ête
us de triomphateurs. Elle est tout simplement aussi ridicule. Une des
joies
de mes loisirs est de voir une colonne de quarant
ginal. L’essentiel était d’amuser, de tenir toujours le spectateur en
joie
, de laisser le plus possible sur la scène Mascari
Docteur exhorte sa fille à donner la main à Pantalon. Pour rendre sa
joie
plus parfaite, il lui annonce l’arrivée de Lucind
rt pour s’habiller. Pantalon est enchanté. Flaminio vient troubler sa
joie
, en lui disant qu’il va incessamment se marier av
embarras, je courus vîte l’embrasser avec un air de surprise & de
joie
. Hé bien ! petite folle, me dit-il, te voilà bien
amant ridiculement. Très volontiers.A Monseigneur Comus, Dieu de la
joie
& de la bonne chere, Et du Dieu de l’Hiver In
, C’est me faire mieux voir ton amour & ta foi ; Et mon cœur avec
joie
accepte cet emploi. Tu m’obliges par-là plus que
ui épient les comédies-ballets composées par Molière à l’occasion des
joies
du carnaval. On a même observé que, fidèle à la v
rix ne se décerne point, nous ne pouvons-nous empêcher d’admirer avec
joie
la foi de l’Académie elle-même dans cette nécessi
nte à celle-ci, quand elle travaille, quelque chose des ivresses, des
joies
ou des larmes de celui-là. Je demeure d’accord qu
et je veux qu’on le croie. Je reçois tous ses soins avec beaucoup de
joie
, J’admire ce qu’il dit, j’admire ses vers, enten
ifice Vous pût d’un pareil sort réparer l’injustice Et que j’eusse la
joie
et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout d
is pour une satisfaction toute personnelle, nous a causé une certaine
joie
à mener à bonne fin, nous ajouterons aussi un vér
re l’engouement et le succès passager de la gloire durable. C’est une
joie
que de se retremper dans leur contemplation et le
ie que de se retremper dans leur contemplation et leur spectacle, une
joie
que les lettrés ne ressentent pas seuls, à coup s
doit, selon lui, être telle que la nature l’a créée : faite pour les
joies
du ménage et non pour briller en public. Et c’est
utographes si rares et si précieux, on leur fait la chasse, et quelle
joie
si on parvenait à en découvrir encore quelqu’un d
le hôtesse, lui donna un billet de comédie, celle-ci s’en servit avec
joie
, parce qu’il ne lui en coûtait rien pour voir le
mptômes de la phtisie47. Ah ! comme le pamphlétaire s’en donne à cœur
joie
de railler non seulement « l’insolent orgueil de
tes ces urnes avec l’eau de nos pleurs. Il nous en a fait répandre de
joie
, versons-en de douleur auprès de son tombeau ; ho
mme comme cela mériteroit bien ce qu’il craint, & que j’aurois de
joie
à le voler ! Surprises de présence ou d’appa
e vin, Nous donnerons l’essor à cette noble audace Qui fait sortir la
joie
et qu’avouerait Horace. Peut-être ignores-tu dans
rs mêlées de souvenirs amoureux quand il a perdu; ses alternatives de
joie
et de désespoir; le respect qu’il a pour l’argent
parce que, en effet, la poésie est partout. Elle est surtout dans les
joies
, dans les soucis, et jusque dans les tristesses d
’esprit de cette religion qui, par une hardiesse divine, a fait de la
joie
un devoir. Mais ce n’en est pas moins une grande
venture de l’illustre Théâtre ? Qui donc ferait renaître pour lui les
joies
du souvenir ? Qui donc le promènerait encore par
nante ? Il lui restait Catherine de Brie. Mais il ne croyait plus aux
joies
de ce monde, un beau livre déchiré, peut-être déj
ns, et voulez qu’on le croie. Et mon reste d’amour vous en croit avec
joie
: Je fais plus, je le vois sans en être jaloux. M
la cérémonie religieuse d’Armande ; elle ne voulut donc pas être des
joies
de ce mariage. Pourquoi, si ce n’est par jalousie
gardent la porte, deux vraies cariatides ; comme nous donnerions avec
joie
notre menue monnaie à la receveuse Mlle de Létang
cher maître avec de vraies larmes. Aussi ce fut avec un sentiment de
joie
et de regret qu’elle revint en 1680 au vrai théât
Scene III. Ascagne est enchantée de la promesse de Valere, quand sa
joie
est troublée par l’arrivée de Lucile, qui, outrée
de vous. Ha ! vraiment, mon pauvre Sosie. A te revoir, j’ai de la
joie
au cœur. Madame, ce m’est trop d’honneur, Et
mpt qui fait rentrer Orgon dans tous ses biens, me cause bien plus de
joie
qu’un messager qui apporteroit la nouvelle d’un h
artisan de la Comédie Françoise, l’interrompt pour laisser éclater sa
joie
; mais les vers suivants la rabattent. Le specta
d’un cheval anglois. Voilà Eraste enchanté ; il ne se possede pas de
joie
; il vole pour voir ce précieux cheval, & vou
ambition à obtenir une parole ou un regard du prince, se pâmaient de
joie
en s’entendant nommer pour un voyage de Mari y ou
ots sont phosphorescents. Le feu pathétique d’Hamlet, comme le feu de
joie
de Falstaff, jaillit sans interruption en étincel
lui causer une agréable surprise. La colere du vieillard se change en
joie
. Julie, pressée par son amant & l’amour, cons
ce précieux héritage de la gaieté de nos pères. Qu’est devenue cette
joie
vive et franche qui charmait leurs loisirs et emb
on Juan feint d’être sensible à ces discours. Arlequin, transporté de
joie
, se jette à ses genoux. Son maître s’agenouille d
c’était bien là son ouvrage : elle avait donné l’impulsion. Et quelle
joie
de reconnaître dans le pays tout entier cette int
mouvement ! L’art qui l’attire dans ses voies Lui montre de faciles
joies
, Folles amours, jours sans lien, Succès, revers,
s avec finesse : elles nous font rire, si les traits de cette maligne
joie
, aussi frappans qu’inattendus, sont aiguisés par
ient gens de toutes parts criant Noel, & les autres pleuroient de
joie
. » En l’année 1486, le chapitre de l’église de L
le venin de ses traits médisans ; Aux accès insolens d’une bouffonne
joie
, La sagesse, l’esprit, l’honneur furent en proie.
les. Est-ce chimère ? j’ai cru quelquefois sentir dans cette pièce la
joie
expansive d’un homme qui va se marier... Il y eut
voulait que sans s’embarrasser de rien, il fût toujours disposé à la
joie
. Éperdu, il courait à sa femme... Spirituelle et
, aux yeux du public, ce qu’il n’avait pu la faire dans sa maison. La
joie
d’élever le théâtre à ces hauteurs le soutint dan
dans Pysché, le rôle de l’Amour. XXII. Molière avait une autre
joie
encore que celle du retour de Baron: il allait jo
nce donc, et par pitié peut-être, elle revint à lui. Molière, dans sa
joie
magnanime, oublia tout, même son mal. Pour compla
gens vont sans mentir : Avec elle se divertir ; Afin de la voir avec
joie
, On ne plaint argent ni monnoie, Car sans distinc
rincesse vient enfin de se déclarer, laisse éclater des transports de
joie
. En ce moment la princesse arrive sur la scène, s
veauté, Que partout quérir l’on envoie, Et qu’on ne peut voir qu’avec
joie
. « [*]Quoique le secret de Raisin fût connu (à
mander en mariage ; et que Lucinde ayant ajouté foi à ce discours, la
joie
avait déjà paru sur son visage ; mais que dans ce
d’autorité et de terreur chrétiennes, avec cette dureté froide, cette
joie
presque violente, l’implacable et religieux Bossu
ieuses, sa première pièce faite à Paris, vous y verrez le plaisir, la
joie
folle de se savoir devenu enfin quelque chose à P
de se savoir devenu enfin quelque chose à Paris, Parisien ! Et cette
joie
, toute naïve qu’elle est, est touchante, car le s
t il est fier d’être le confrère, je viens de vous les nommer ! Cette
joie
si sentie nous donne la mesure de ses chagrins, q
rnélienne, combien il était naturellement fait pour sentir toutes les
joies
et tous les bonheurs d’une vie foncièrement régul
t, puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma
joie
; sans toi il m’est impossible de vivre. C’en est
lans généreux, d’espérances consolantes, de souffrances raffinées, de
joies
pures. Pour lui, ce sera une énigme impossible, e
s les cancers, il y a dans votre démonstration je ne sais quel ton de
joie
vive qui vous échappe et qui signifie : « La Facu
dicules dont la représentation plaît, sans causer de ris immoderés de
joie
; Trissotin & Vadius, par exemple, semblent ê
chagrin de Marcella qui se voit dans les mains de son frere : grande
joie
de Dom Félix qui croit tenir sa perfide : ils qui
& de sacrifier à l’avarice & à l’infamie, la tranquillité, la
joie
& la tendresse de ma famille. Stukely. J’ai p
p; puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma
joie
; tout est fini pour moi, & je n’ai plus que
rendra sa cassette ; &, quand tout le monde cherche à peindre sa
joie
, il exprime la sienne, en s’écriant : Allons revo
comme la perspective la plus attirante du métier qu’il embrassait, la
joie
de représenter un jour les Mascarille et les Sgan
a gloire journalière et directe qu’ils trouvaient sur la scène, de la
joie
qu’ils éprouvaient à voir leurs créations marcher
et parler sous leurs yeux, à les incarner eux-mêmes, la gloire et la
joie
d’en prolonger la vie par le livre ne leur sembla
. Elle trouve le secret de glisser à son amant une clef du jardin. Sa
joie
& son imbécillité le décelent encore ; il fai
55, la frivolité, soient oubliés, pour faire place aux devoirs et aux
joies
du foyer. Que la gracieuse Henriette devienne san
te qui décide de leur sort & de celui d’une famille entiere, leur
joie
ou leur désespoir peindroit leur passion avec le
rd ? Theuropide. Après avoir passé trois ans en Egypte, j’ai enfin la
joie
de me revoir devant ma maison. Je m’imagine que m
e. Tranion. O Seigneur Theuropide, mon bon maître ! Quel transport de
joie
! Est-il possible que ce soit vous ? Permettez-mo
Monseigneur puis après le saura. Pendant ces mots l’époux pleuroit de
joie
, Et, tout ravi, disoit entre ses dents : Loué soi
l en a reçus, du moment qu’il l’en a remercié, qu’il en a témoigné sa
joie
à sa femme, tout est dit. Les personnages de la p
us aimé ce sexe, qui, suivant l’expression de La Fontaine, fait notre
joie
; ce sexe mobile qu’il faut encore aimer alors mê
u danger de prendre trop de remèdes, et lui prêcher dans celui-là les
joies
de l’adultère15 ? Pour d’autres pièces, comme l’A
r, en voilà trop. Le ciel vous comble pour jamais de prospérité et de
joie
! PERSILLET. Je ne ferais cela pour personne du m
, dès le lendemain, ce soir. Voilà l’amoureux qui ne peut contenir sa
joie
. Il se rend chez sa belle, portant avec lui du gi
. Il s’écrie sur la vertu du sac magique ; il est dans la plus grande
joie
: mais Argentine la fait disparoître, en ordonnan
▲