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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
er, puisqu’il confond le monstre qu’on abhorre, & qu’il comble de joie une honnête famille à laquelle le spectateur pren
futur le lui assurent ; & Pamphile, loin d’aller faire éclater sa joie aux pieds de sa future, emploie une cinquieme sce
anquer d’être immortel comme eux, si aucun chagrin ne succede à cette joie . Mais qui souhaiterois-je le plus de rencontrer à
lui conter le bonheur qui vient de m’arriver ? Carinus. Quel sujet de joie a-t-il ? Pamphile. Ah ! je vois Davus. Il n’y a p
agréable ; car je suis persuadé que qui que ce soit ne ressentira ma joie plus vivement que lui. Scene VI. DAVUS, PAMPHI
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
ignorance, & lui expliqueroit en beaux termes ce que c’est que la joie , & quels sont les différents effets qu’elle p
& par les larmes ; mais que les ris étant devenus roturiers, une joie larmoyante a, sans contredit, un air bien plus di
que la satisfaction du cœur a deux façons de s’exprimer, gardez votre joie pleureuse pour les pieces que je viens voir avec
e suis bien votre serviteur, Monsieur mon pere, & j’ai bien de la joie ... M. Grimaudin. Comment ! hé ! c’est mon fils !
croire, dis-moi ? Géta. Serez-vous content si je vous plonge dans la joie  ? Antiphon. Tu me fais mourir. Phormion. Ah ! tre
j’ai entendu la plus belle aventure du monde ; j’ai pensé éclater de joie . Phormion. Qu’as-tu entendu ? Géta. Que croiriez-
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLII. De l’art d’épuiser un Sujet, un Caractere. » pp. 493-503
re Sur les feux d’un rival marquer votre victoire. Mais c’est à votre joie un surcroît sans égal, D’en avoir pour témoins le
enter. S’il m’eût été permis de la bien souffleter, Quelle eût été ma joie  ! Dubois. Quelle eût été ma joie !Hé ! c’en est
bien souffleter, Quelle eût été ma joie ! Dubois. Quelle eût été ma joie  !Hé ! c’en est trop. Dorante. Quelle eût été ma
elle eût été ma joie !Hé ! c’en est trop. Dorante. Quelle eût été ma joie  ! Hé ! c’en est trop.Ma bile M’inspiroit cet écla
4 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
élas ! il fallut obéir. Les enfants sans souci se séparèrent, plus de joie et plus de gaîté, plus de folie et plus rien que
la joyeuse et la folle, adieu la rieuse et l’accorte, adieu à toi la joie française libre comme l’air, et si doucement avin
de nos murs, mais non pas de nos mœurs, la comédie qui avait fait la joie antique. L’arrêt qui brisa le vieux théâtre en fa
on criait : Joubert ! bravo Joubert ! Et c’était des trépignements de joie  ! on revoyait Joubert. Quand par hasard les chand
, et cette fois, pour tout de bon ils se lavaient les mains dans leur joie  ; les marionnettes, humiliées et dolentes, restai
, et qu’il faut reconnaître à son fruit à peine formé, ce sont là des joies qui tiennent à des joies saintes. Le printemps es
re à son fruit à peine formé, ce sont là des joies qui tiennent à des joies saintes. Le printemps est en jeu et le soleil ; l
vrai qu’il jouait encore mieux le rôle d’Ésope à la cour, à la grande joie des bossus de son temps. Ésope et l’empereur Augu
a tête aux pieds. Vie austère et lugubre ! — Pour cette femme, pas de joie et pas de repos, pas un sourire, tant elle avait
r Bobèche. Galimafré, au contraire, était le représentant de la vraie joie , de cette bonhomie sans façon toujours prête à ri
n avancement d’hoirie un grande quantité de trésors inestimables : la joie et l’esprit, la gaieté, le hasard, la grâce et la
dien qui se repose ? où est le comédien qui renonce tout à fait à ses joies , à ses transes, à ses délires ? où est le comédie
ur ! Vous avez là un bel habit ! Tout ceci, la douleur ou le rire, la joie ou les larmes, l’exclamation ou l’abattement, app
res diables des deux sexes qui n’ont pas d’autre métier que d’être la joie de leurs semblables. Il n’a manqué à ce digne Bru
u’il ne fût pas oublié à cette place où j’écris, au milieu de tant de joie et de tristesse, l’histoire littéraire de ce temp
amuser une heure, va se rappeler, par une illumination soudaine, les joies de sa jeunesse, et ses amours, et ses délires, à
abominable de sa raison absente il va chanter sa plus vive chanson de joie et d’amour. N’est-ce pas, en effet, que c’est cho
rtout. Il aimait l’esprit, il le cherchait avec art, il appuyait avec joie sur tout ce qui lui paraissait un bon mot ; il ét
s écrit sur son genou ; rien ne l’étonne, ou plutôt il se revoit avec joie dans ce monde idéal qui est pour lui le véritable
t les hardiesses même sont correctes. Plaute, à coup sûr, s’enivre de joie d’avoir rencontré — dans un sujet scabreux, tant
ives. Elle plut aux jeunes gens de la ville éternelle, jeunes gens de joie et de malice, qui mêlaient la danse au chant ; mé
itoyable d’un enfant des faubourgs ; il n’est pas, tant s’en faut, la joie de la populace et de la canaille d’Italie ; en re
emps à autre, un certain aiguillon d’ironie qui la fait accepter avec joie . Ce parasite-là servira plus tard de contenance e
i est la saveur d’une langue bien faite ; le peuple y retrouvait avec joie ses vieux mots, précieusement enchâssés dans les
eux lorsqu’au retour des fêtes de Bacchus, dans ce théâtre rempli des joies et des délires de la comédie satirique, notre hom
hrysostome, cet aigle chrétien, ce Bossuet de l’Orient, il faisait sa joie des comédies de ce pendard d’Aristophane ; même i
vivant, un langage plus élevé, plus grave, plus austère, même dans sa joie , et plus digne de la comédie sérieuse. Voilà pour
nieuse et piquante ; malheureusement, depuis qu’Aristophane a fait la joie de ce peuple, sans rivaux dans les arts du goût e
tard, en effet, après les guerres et les tyrannies, fut supprimée la joie extérieure de la comédie grecque ; le peuple d’At
rit était à la gêne : il vivait d’épargnes ; il n’avait plu : d’autre joie que de manger des pois chiches et de lésiner dan 
ns… et pourquoi donc comptez-vous cette supériorité incontestable… la joie ineffable et charmante, inconnue à la comédie gre
le… la joie ineffable et charmante, inconnue à la comédie grecque, la joie inépuisable des jeunes amours ? La Malade i m
à pleines mains comme l’esprit ! Quelle profusion presque insensée de joies , de paradoxes, de divertissements, de poésies de
mme, vêtu de noir, et dont les petits enfants avaient peur. — Vive la joie autour du nouveau venu ! Vive le vin, la bonne ch
r de la licence poétique, de la vie facile, des amours vulgaires, des joies de la taverne et des amours débraillés. Pour tout
de pensums, plus de bonnets d’âne, plus de bon sens, mais toutes les joies accumulées de la semaine des trois jeudis, de cet
n. Il a ri d’un rire intrépide, il s’est abandonné sans réserve, à sa joie et le plus souvent cette joie est une gaîté convu
, il s’est abandonné sans réserve, à sa joie et le plus souvent cette joie est une gaîté convulsive. Suivez-le, si vous voul
devine pas la rage étouffée d’Araminte, l’indignation de Cidalise, la joie de Léonore, la stupeur de Pasquin, la moquerie de
tuellement trahies, de les comparer avec les trois à quatre filles de joie , mises en scène par le comédien Baron. Ceux qui o
en bon père de comédie. Une fois bénis, les voilà mariés, et vive la joie  ! L’Hôtel de Bourgogne leur donnera tout ce qui l
eureux camarades, les vices heureux, les faciles plaisirs, les folles joies , toutes les licences permises, tout ce qui a fait
ne comparaison avec les vers de Despréaux : Tout respire chez toi la joie et l’allégresse,       Y peut-on manquer de plais
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93
u soir, ce me semble, à votre heureux retour. On me vit témoigner une joie assez tendre,   Et rendre aux soins de votre amou
Que me dites-vous là ?Que même votre amour Montra de mon accueil une joie incroyable ; Et que, m’ayant quittée à la pointe
une aimable surprise,   Tendrement je vous embrassai, Et témoignai ma joie à plus d’une reprise. Amphitrion, à part. Ah ! d’
anquillement la scene dans la chambre & sur le lit d’une fille de joie . Les Espagnols, les Anglois, Plaute même, à l’ind
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
ne m’amuserai pas à prouver la différence qu’il y a entre le rire de joie , le rire moqueur, le rire forcé, le rire bas, le
e pauvre Pourceaugnac en proie à un déluge de lavements, de filles de joie , qui se disent ses femmes, de petits fils de pu..
p; puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie  ; tout est fini pour moi, & je n’ai plus que
7 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
rgade, et ωδὴ chant, c’est-à-dire chant des faubourgs, le chant de la joie et de la liberté quelque peu avinée, la chanson j
roman comique. Des gourmands, des oisifs, des buveurs, des amis de la joie et de la bombance, tel fut le nom des premiers co
De la comédie et de ses plaisirs profanes, de ses licences et de sa joie , on a voulu faire un cours de bonne et pratique m
elles étaient cruellement déplacées dans ce drame du plaisir et de la joie où l’amour et l’esprit se tiennent, si étroitemen
u théâtre, vous voulez la revoir pour l’applaudir, vous êtes ivres de joie , et personne ne prend en pitié cette enfant, la v
’on peut avaler, mais non pas sans faire la grimace. Vous jugez de la joie de Molière occupé à écraser, un à un, sous ses de
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
a bien voulu donner son agrément. Desronais sort dans la plus grande joie , parceque Dupuis, en lui cédant sa charge, semble
annoncer qu’il lui donne sa fille. Dupuis feint d’être surpris de la joie que montre Desronais pour une charge : Mariane di
impossible de vous faire quelque sorte de réparation. C’est la seule joie que puisse goûter dans son affliction votre désol
toute sincérité & toute bonne foi. Le Roi enchanté se livre à la joie avec ses hôtes, & demande une chanson : on fa
lets qui lui peignent l’amour de ses sujets : il répand des larmes de joie . Agathe vient raconter chez Michaud la violence q
9 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
ont le bec fit saigner tant de fois le cœur de son mari, cabrioler de joie autour d’une pareille aubaine. L’Ecole des Femmes
te renaissance tragique qui est saluée de tous, côtés par des cris de joie si respectables.    . Que l’éternelle beauté soit
z du piment jusque dans le poivre, on vous sert tout à la tartare, la joie comme la douleur. Seulement, comme il faut du nou
répertoire de genre. Je me souviens de la grande émotion, de la vive joie littéraire que j’éprouvai à 1’audition du Demi-Mo
n’y a que la France, c’est une chose singulière, pour se donner cette joie difficile à comprendre, cette volupté baroque de
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
ir reçus de la nature pour la peindre gaiement, & pour exciter la joie du public, n’osent avouer leur insuffisance, veul
rate. J’ai fait tout ce que vous venez de dire, & j’ai bien de la joie que vous vouliez vous en souvenir. Vous n’avez re
fers de son fils, qui passe des horreurs de la misere au comble de la joie . ACTE V. Scene derniere. Tindare. J’ai vu souve
énétrés. L’Exempt parle, & soudain nous ressentons la plus grande joie . Scene VII. L’Exempt. Remettez-vous, Monsieur,
11 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
’Institut de quelque faiseur de mauvais vers ; elle se souvient de la joie , de la bonne humeur, de l’applaudissement du part
e (derniers moments du bonheur poétique, moments sacrés de cette pure joie des beaux-arts ; pour ces moments-là le dernier b
jet de bouquets et de fleurs. Le rire et les larmes, la douleur et la joie , et le bravo ! spontané de l’auditoire, à la bonn
12 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
dans le monde, et dont les excès sont le plus funestes, est pleine de joie et de dignité, quand l’homme sait se garder assez
uble, dans laquelle ils trouveront ce qui manque à leur solitude : la joie d’être deux à vivre, à souffrir434. Regardez Henr
mours437, qui n’a devant les yeux cet amour pur et naturel, plein de joie et d’honneur, que Phèdre dépeint avec tant de vér
e est sérieuse : mais voulez-vous de ces enjouements épanouis, de ces joies toujours ouvertes ? et voyez-vous rien de plus im
13 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
les mêmes répulsions, les mêmes instincts ! Alors on se retrouve avec joie , et l’on s’embrasse, et l’on se dit, en fin de co
que déjà il sait par cœur. Molière, en ce moment, était dans toute la joie et dans tout le bonheur du triomphe. Il avait l’o
cte ; quand M. Argan se met à parler de testament, Molière pensa avec joie que son testament était fait et qu’il laissait to
s ou du Palais-Royal, quand vous revenez sur votre passé, avec quelle joie et quelle fête vous les retrouverez ces pages sér
jeu et pour ses vers. Ajoutez toutes les complications et toutes les joies d’une intrigue italienne, la passion d’un amour v
nées. Il échappe à Turlupin, il échappe à Scaramouche, il échappe aux joies licencieuses des tréteaux de Tabarin, et cependan
de ces illustres farceurs. À cette heure la comédie en est encore aux joies et aux hasards d’une aventure. C’est toujours la
se peuvent comparer à du vent mal tissu ! Il faut donc accepter avec joie ces vieilles et franches comédies qui ont été, po
, mais amusant, très amusant. Il fait de l’intrigue pour en avoir les joies , non le profit : il est passé maître dans l’art d
, pourquoi celle-là, rien qu’à regarder le parterre, le fait rugir de joie ainsi que fait l’orage dans la vaste mer ? Pourqu
rofession ; elle n’a jamais su quelles douleurs sont cachées sous ces joies apparentes, quelles épines sous ces fleurs ! Que
reste de sommeil ? Entendez-vous ces frémissements de bien-être et de joie  ? — Ma foi, vivent les chefs-d’œuvre de l’ancienn
émien, qui est un des attributs de la comédie, cette aimable fille de joie et d’esprit, née dans un tombereau, et qui rappel
ux qui se regardent sans se rien dire, les vieillards jaloux de toute joie , et les précieuses, et les femmes savantes, le Do
ronimo flattera Sganarelle ! Et ce butor de Sganarelle, quelle est sa joie d’être ainsi conseillé ?« Que j’aurai de plaisir
réflexion comique : Mon mariage doit être heureux, car il donne de la joie à tout le monde, et je fais rire tous ceux à qui
bien et que c’est un utile assaisonnement de l’amour, ils liront avec joie le terrible portrait de la prude, tracé de main d
14 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
licité : tout était prêt. Il arrive un coup de massue qui rabaisse la joie (la mort de M. de Turenne). Le peuple dit que c’e
Il a vu à Blois madame de Maintenon et M. du Maine qui marche. Cette joie est grande. Madame de Montespan fut au-devant de
lement par la main de madame de Maintenon ; ce fut un transit port de joie . M. de Louvois alla voir en arrivant cette gouver
15 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [68, p. 104] »
ration alla jusqu’à l’extase. À la fin de la pièce, ses transports de joie augmentant encore, ses voisins lui en demandèrent
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
a ils se rendirent l’un & l’autre sur le rivage, où ils eurent la joie & la satisfaction de trouver quelques-uns des
i que du fidele domestique. Hassan, seul avec son ami, se livre à la joie  : mais Dornal ne peut la partager ; il regrette s
qu’il avoit jamais révéré. Enfin, le cœur gros de tendresse & de joie , dans un transport inexprimable de reconnoissance
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288
s chercheurs de proie, Qui disoient fort souvent que leur plus grande joie Etoit de rencontrer de ces maris fâcheux, Qui jam
. Dès demain !Par pudeur tu feins d’y reculer ; Mais je sais bien la joie où ce discours te jette, Et tu voudrois déja que
18 (1899) Salut à Molière, dit par Coquelin cadet, le soir du 15 janvier, pour le 277e anniversaire de la naissance de Molière, sur la scène de la Comédie-française pp. 3-8
rapide, il comprend que l’immense humanité est à lui pour en faire la joie et la leçon. Il voit aux prises la nature et la s
19 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
en pleine convalescence. Les traits de la jeune fille s’éclairent de joie . Le lecteur poursuit : telle est la gloire que le
lettres, faisant succéder rapidement les impressions de chagrin et de joie , fournissaient un trop excellent prétexte à la pa
biens que cet aveu m’octroie, Rends capable mon cœur de supporter sa joie … ! Combien il y a plus de mollesse et de grâce d
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168
LA TANTE, LISETTE, ORONTE. La Tante. . . . . . . . . . Jugez si ma joie est la vôtre Quand je fausse pour vous compagnie
ient aussi embrasser son cher cousin. Les amants sont au comble de la joie , quand la scene change encore de face. Scene IV.
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
ier. Est-il possible ? ô Ciel !Que cet embrassement Vous témoigne ma joie & mon ravissement. Mon frere, est-ce bien vou
ontre lui, & qu’il en étoit vivement affecté. A cette nouvelle la joie fut inexprimable, & ils se proposerent tous d
22 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
le au delà de ce qu’on peut imaginer, elle en dit à le faire pâmer de joie  ; jusque là que, l’autre jour, elle est venue lui
e ferez plaisir… Et là-dessus, elle remonte, laissant le parterre en joie et Arnolphe dans le ravissement de son ouvrage. P
tre, et tous deux prendront la volée. Ainsi dit l’amoureux, affolé de joie , et il s’enfuit, chercher l’échelle, sans doute.
aconte comment Agnès est venue aussi voir s’il était mort ; et quelle joie elle a fait éclater, à voir qu’il n’en était rien
i vient le prier d’intercéder pour lui près de son père… Aussi quelle joie lorsqu’on voit le dénouement tourner contre le tr
ui mit le visage en sang contre les boutons de son habit. Cela mit en joie ceux qui, n’étant pas ducs et pairs, n’osaient se
23 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
te quelque argent. Et cependant, personne n’a hésité. C’était une des joies caressées par M. Thierry, de donner cette soirée
s côtés fâcheux, et s’abandonnent avec un ravissement tranquille à la joie d’une œuvre charmante, qui est signée d’un nom ra
elin entre, il semble aussitôt que la scène s’illumine. Un murmure de joie court dans tout l’auditoire ; on voit se redresse
e mot obsède la pensée du pauvre Arnolphe. Il s’en sert avec une âpre joie quand il s’agit des autres, et il tressaille quan
excentricité vigoureuse qui promettent un bonheur moins uni, mais des joies plus exquises. Je crois donc que si Alceste me le
et le traîner par les oreilles à la rivière, en poussant des cris de joie féroce. Vous êtes indigné ; vous pleureriez presq
ujours été prodigieux ; que le second acte a toujours mis la salle en joie  ; que le troisième l’a tenue en haleine ; que l’a
rofondément remué. J’ai toujours, pour ma part, entendu un murmure de joie et de soulagement s’élever, quand éclate le vers
’un goût particulièrement délicat sont terribles) de ne pas frémir de joie et d’attente quand Orgon soulève de sa tête le ta
n de scandale. On ferait battre des montagnes, et l’on pétillerait de joie à les voir aux prises. Dorimène est invitée par s
r ce qu’elle disait. Non, c’était une jeune femme qui connaissait les joies et les peines de l’amour, et qui avait pitié de s
ion. Tout cet enthousiasme a débordé à l’entr’acte en exclamations de joie . On s’abordait dans les couloirs : — Hein ! est-c
s’amuse, en amusant les autres. Il est étourdi, éclaboussé par cette joie bruyante et folle qui s’anime par le mouvement mê
es qui ont fait leurs études, de femmes qui en sont frottées ; quelle joie pour tout ce monde d’entendre ces vers merveilleu
e la vieille roche et elle s’est dérobée à ce triomphe. Elle a été la joie de cette comédie. À côté d’elle, nous avons vu de
re des amies celle à qui depuis sa première enfance elle a confié ses joies et ses chagrins : c’est sa mère. Mais une mère !
e est ravie de son invention, et elle bat des mains, et elle saute de joie . Quand on pense que certaines actrices me disent
on changement de costume. Elle revient en soubrette ; elle pétille de joie , comme une enfant de six ans qui a mis un masque
nt avoué qu’il est Dorante, elle voit clair dans son cœur. Mais cette joie imprévue, est-ce qu’elle en meurt est-ce qu’elle
! non, c’est un transport d’allégresse : — Ah ! quel bonheur ! quelle joie  ! je ne m’étais pas trompée ! C’était un honnête
mais elle pétille, mais elle est folle ! et avec quelle exubérance de joie , elle entend savourer son triomphe ! — Tu veux, l
e mes jeunes amours ! Il faut que cette plénitude de tendresse et de joie se marque avec allégresse dans la scène finale :
e sentimentale. ; c’est le mot d’une jeune fille, en qui surabonde la joie de vivre et d’aimer. Voilà le rôle ; il est tout
ndre ! s’écriait Marceline. Et aussitôt toute la salle transportée de joie applaudissait à une vérité, qu’on lui avait démon
e faire pièce à son tuteur, qui lui joue des tours pendables avec une joie perverse. Elles appuient sur les roueries que lui
ne âme tendre, pudique, réservée jusqu’en ses malices, s’ouvrant avec joie à l’amour, mais pénétrée de sentiments d’honneur,
ut se reporter au temps où parut Turcaret pour comprendre avec quelle joie de vengeance satisfaite dut être accueillie cette
en ont, par bonheur, une autre qui ne saurait leur manquer. C’est la joie d’avoir pénétré profondément dans l’intimité d’un
parler le poète. On tenait table encore, on se serre pour nous ; La joie en circulant me gagne ainsi qu’eux tous ; Je le s
loire. Il faut bien se rendre compte de ce qu’était en ce temps-là la joie d’être célèbre et les plaisirs aristocratiques qu
iorité de l’ensemble. J’ai gardé pour le dernier un rôle qui a été la joie de cette soirée : c’est celui de l’eunuque Osmin,
est le plus propre à émouvoir, puisqu’il traduit les douleurs et les joies humaines de la façon dont elles s’expriment dans
24 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [29, p. 54-59] »
ne pouvons mieux prendre notre temps pour mourir bons amis et dans la joie  : notre mort fera du bruit. Ainsi ce glorieux des
25 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
ient soudain le bel incarnat de la vingtième année. Alors toute cette joie , et ce luxe, et ces amours, tout cet esprit mêlé
ant, rentrons au logis, faisons grand feu et grande chère, et vive la joie  ! Voilà comment parlaient les bourgeois de 1665 ;
de nous ramener ce mendiant qui était le si mal venu dans ce drame de joie , de duels, de dettes non payées, d’enfants raille
ne comédie que Molière avait faite tout exprès pour amuser les folles joies du carnaval ! Don Juan et la société française on
à célébrer les dieux nouveaux de cet Olympe : La Paix, la Sûreté, la Joie et la Concorde ! — On les retrouve à chaque insta
des caprices de vestale » comme dit Lauzun, le roi ne se sent pas de joie et il s’écrie : — «  Charmante La Vallière ! » Re
. — « Des reproches ! N’avez-vous pas honte de cette ruse de fille de joie (Harlot’s trick ?) » Et plus bas, quand Bragelon
et toute la cour sera édifiée et étonnée de sa tranquillité et de sa joie  ! « En vérité, ses sentiments ont quelque chose
os outrages par sa douleur. Vous l’appelez femme-de-chambre, fille de joie , vous voulez la marier, elle, la duchesse de Vauj
une railleuse, une piquante, a causé dans toute l’assemblée une vraie joie  ; on se reposait déjà de ce Don Juan, on se repos
26 (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-
otre âme, le désir, l’espoir de réaliser les splendeurs entrevues. La joie qu’il nous apporte est la joie du triomphe : la s
réaliser les splendeurs entrevues. La joie qu’il nous apporte est la joie du triomphe : la solidarité nous prend au cœur, e
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533
le voie, Monsieur. Fernand. Monsieur.Si je m’en mêle, il aura de la joie . Je le viens de quitter ; il est fort mon ami. Cr
e dans l’esprit : elle fait tous mes soins, tous mes desirs, toute ma joie  : je ne parle que d’elle, je ne pense qu’à elle,
ujours sérieuse. Cléonte. Veux-tu de ces enjouements épanouis, de ces joies toujours ouvertes ? & vois-tu rien de plus im
28 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
riche d’aujourd’hui, à rendre une âme contente, à remplir d’une douce joie un cœur blessé, à faire que la pauvreté soit apai
on ne peut plus ni les voir ni les entendre, ils s’en donnent, à cœur joie , de toutes ces larmes ; mais qu’importe ? on ne s
a plus de force que la violence. » Il pouvait ajouter qu’une certaine joie aisée, agréable, piquante, vaut cent fois mieux,
ffet c’était quitter la vie. Mademoiselle Mars aimait, à en mourir de joie , les enivrements de la foule, les applaudissement
rsailles, le même jour que S. A. R. madame la Dauphine. Afin que leur joie eût un long souvenir dans l’âme des pauvres gens,
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
queue en loup qui fuit, & les yeux contre bas, Le cœur sautant de joie , & triste d’apparence. Depuis aux bons Sergen
t ami d’Horace qui connoît son embarras & qui se fait une maligne joie de l’abandonner à son persécuteur. Ce sont de sim
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
juste dépit qui l’anime contre lui. Béverley est dans la plus grande joie , & demande son épouse pour lui annoncer une g
mp; les fripponneries de Stukéli : celui-ci est confondu, arrêté ; la joie renaît dans le cœur de la plupart des personnages
31 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165
aboutissent au mariage496 ? Non : c’est par vérité. L’intimité et la joie de cette union est aussi nécessaire, comme conséq
ois ans… 0 le beau mariage, qui doit être heureux, car il donne de la joie à tout le monde, et fait rire tous ceux à qui on
32 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
me d’esprit, comme bon convive, pour ajouter à leur attrait mutuel la joie et la gaîté qu’il portait partout avec lui. Mais
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
sa tristesse, dans un moment où tout son peuple marque la plus grande joie de voir finir la guerre, & sur-tout dans un m
ire, perfide ? Te reprocher ton crime honteux, ce seroit accroître ta joie  : me plaindre de ta trahison, ce seroit augmenter
hiré comme le mien des plus cruelles douleurs, pouvoit se livrer à la joie pour un moment, ta ridicule proposition me forcer
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. M. DORAT. » pp. 463-467
r ma tête : l’horreur de ce qu’on me proposoit m’empêcha de sentir la joie de savoir Alise vivante. Tant de coups redoublés
35 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304
acée ; si madame de Scarron y a contribué, elle est digne d’envie. Sa joie est la plus solide qu’on puisse avoir dans ce mon
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
chien que Votre Majesté ma donné le connoît. Le Roi montra une grande joie . Jadis, dit-il, on vit sous les regnes de Yao &am
voir retrouvé un fils qu’il croyoit mort, donne son consentement avec joie . . . . . . . . . . . . . . . Le spectateur est s
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
e la Belle, qui s’étoit mise à sa fenêtre, & qui témoigna tant de joie & tant de passion en le voyant, qu’il demeura
remit la bourse & la ceinture. Le jeune homme se retira avec une joie extrême d’avoir reçu des assurances de l’amour de
38 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102
on que l’honneur doit être gardé pour lui-même, pour la dignité et la joie intime qu’il procure, et non par crainte d’un châ
n ne doit point les brider en tous leurs désirs ni leur refuser toute joie , mais leur apprendre à jouir honnêtement de ce qu
39 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
(ce fut la dernière fois qu’il joua la tragédie) et vilipender à cœur joie , et nommément Boursault, son pauvre petit ennemi.
« Qui saurait connaître ce que c’est en l’homme qu’un certain fond de joie sensuelle, et je ne sais quelle disposition secrè
les meurent de faim et de désespoir. O calamités de nos jours, quelle joie pouvons-nous avoir ? Qu’on ne demande plus mainte
ts. Il prononce son texte : Réjouissez-vous et faites éclater voire joie  : car une grande récompense vous est réservée dan
vec une inépuisable variété de couleurs, l’orateur oppose la paix, la joie , la félicité des saints dans le ciel, le bonheur
ndant que le monde, avec toutes ses prospérités et toutes ses fausses joies , ne peut être heureux ni content. » C’est ici qu
olière et le sieur d’Assoucy. Il y fut écouté et admiré, et il eut la joie d’éclairer, de ramener, de raffermir et de consol
onneur de la haïr, et il s’inflige le supplice d’en être jaloux. « Sa joie serait de se pouvoir flatter qu’il est aussi homm
s voulez, que, fatigués de cette tentation, nous perdons peu à peu la joie intérieure, qui est un des plus beaux fruits de l
ause ne devrait-elle pas vous remplir non-seulement de force, mais de joie  ? Si quelqu’un rougit de moi devant les hommes, j
otestations de tendresse : Lorsqu’un homme vous vient embrasser avec joie , Il faut bien le payer de la même monnoie, Répond
plus : jamais il ne fera rire dans l’âme. Le rire de l’âme, c’est la joie  ; mais la joie n’est connue que des âmes pures, e
il ne fera rire dans l’âme. Le rire de l’âme, c’est la joie ; mais la joie n’est connue que des âmes pures, et la satisfacti
a satisfaction qui grince dans les autres âmes n’est ni le rire ni la joie . Je défie qu’une âme pure puisse entendre une com
40 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
yant fait coucher dans le lit qu’il venoit de quitter, en pleurant de joie d’avoir trouvé, à son avis, ce qu’il cherchoit, i
avoit avancé, elle souriant d’un souris d’enfer, & lui sautant de joie . Il la récompensa en homme libéral, & attendi
aure ne le trouva point à redire, & reçut son mari avec autant de joie & aussi peu de ressentiment de la perte de so
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
gure qu’on ne voudra point écouter Moncade. Moncade revient avec une joie apparente : on l’a traité indignement ; il est gu
er de ceux qui ont voulu le jouer. Simon appelle Sosie, lui peint sa joie , lui dit que Chrémès consent à donner sa fille, a
e en voyant son maître content. Charinus les écoute : il partage leur joie , Pamphile le conduit vers Chrémès pour solliciter
42 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
c’est de l’effort personnel libre que nous pouvons attendre un peu de joie pour nous-même et pour les autres. Qu’il s’agisse
mi. Il ne l’a point gardée et elle est venue à lui spontanément, avec joie . Et ce respect de Molière (bien supérieur en cela
ans profit, son âme se dessécher ou s’abêtir. Elle ne connaît plus la joie de vivre. Elle est inutile, incapable de remplir
43 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
d Bayer, fut le promoteur de la grande solennité, dont l’éclat et les joies concordèrent trop bien avec l’heureux événement d
exaucés. Les serviteurs de Joachim, à cette nouvelle, expriment leur joie , à laquelle, dans leur chant alternatif, ils asso
du Jardin des Olives et pendant les souffrances même de la croix, les joies du ciel et ses concerts adoucissent et, suivant l
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. Pieces intriguées par un événement ignoré de la plupart des Acteurs. » pp. 192-198
, L’objet de tous ses soins, & son unique espoir, Elle qui met sa joie au plaisir de la voir. Que fait Belfort ? Le jour
45 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401
venue à Paris ; on dîna ensemble. On ne joua pas en public. Enfin, la joie était revenue, et tous les airs de jalousie avaie
46 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
dmirés par tout l’univers ? Ceux-ci sont célébrés avec scrupule, avec joie  : on est tranquille là-dessus, on a payé pour l’ê
s se sont soustraits à la correction) ; Delphine de Girardin, avec La Joie fait peur ; Caraguel, avec Le Bougeoir ; Gozlan,
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
actes.... « Cette piece réussit dans une Cour qui ne respiroit que la joie , & qui au milieu de tant de plaisirs ne pouvo
48 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE X. Du Père, de la Famille, de l’Etat. » pp. 193-216
r une fille délicate et tendre comme Molière en a.tant représenté, la joie de l’amour peut-elle être complète sans une mère
s’entourer pour leurs vieux jours d’une famille aimante ? lis ont la joie de laisser après eux quelque reconnaissance et qu
49 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
nac. Toujours gai & gaillard. Eraste. Ma foi, j’en ai beaucoup de joie . Et Monsieur votre oncle... le... M. de Pourceaug
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341
sa sœur, il se flatte de les voir unis, il vient lui en témoigner sa joie . Moncade. Je ne veux point me marier. Eraste. C
lio, voulez-vous subir une petite épreuve ? Lélio. Vous me comblez de joie  ; mais je ne saurois dans ce moment : je n’ai pas
51 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
il n’associerait pas à son existence une jeune femme qui en serait la joie et le délassement. Sans doute, c’était là une exp
e est toujours sérieuse. — Veux-tu de ces enjouemens épanouis, de ces joies toujours ‘ouvertes ? et vois-tu rien de plus impe
e véritable idolâtrie. Armande dut éprouver dans ce rôle d’enivrantes joies d’amour-propre ; princesse, amante adorée, déesse
evenait père pour la troisième fois ; il lui naissait un fils. Courte joie  : l’enfant ne vivait que onze jours, précédant so
52 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
                      Je lui suis obligé. Va, que je lui souhaite une joie infinie. (Il s’en va.) MASCARILLE. Cet homme est
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
bonne, si les événements passés causent à ce même personnage assez de joie ou de chagrin pour que ses transports le forcent
tendresse. A table, au plus haut bout il veut qu’il soit assis. Avec joie il l’y voit manger autant que six. Les bons morce
54 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
en avoir été quelque temps bannies. « On est ici dans la plus grande joie  », écrivait le 7 août madame de Maintenon à madam
t le monde dit qu’il est adorable. Madame de Montespan sèche de notre joie  ; elle meurt de jalousie, tout lui déplaît et l’i
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
-fait considérable ; & je vous donne ma fille avec la plus grande joie du monde. Dans la derniere scene de Zélinde, Clé
56 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
s’enivre. Ce contraste entre les tristes labeurs de la guerre et les joies de la paix est toute la pièce : Aristophane le po
du sentiment religieux. Sans doute le bûcher de Servet fut salué avec joie dans presque toute la chrétienté protestante; mai
ice Vous pût d’un pareil sort réparer l’injustice ; Et que j’eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout d
ue du beau. Le comique peut être gai, et pourtant il n’enfante pas la joie ; il peut être sérieux, et pourtant le sérieux pou
nent sur la scène. Dans Andromaque, Racine nous dérobe ce qui fait la joie de la veuve d’Hector; dans Le Malade imaginaire,
ns Le Malade imaginaire, Molière expose hardiment tout ce qui fait la joie de son héros (je dis la joie, car Argant est un d
ère expose hardiment tout ce qui fait la joie de son héros (je dis la joie , car Argant est un de ces malades qui vivent de l
és dont elle est la victime. La vie de la femme qui n’a pas connu les joies de la famille, n’est pas complète, dit-on; mais c
esprit de cette religion, qui, par une hardiesse divine, a fait de la joie un devoir. Mais ce n’en est pas moins une grande
’œuvre des plus grands écrivains : dans les Pensées de Pascal, où les joies de la piété sont empreintes d’une exaltation pass
e ces noms suprêmes qui font tressaillir les nobles âmes, qui sont la joie des esprits justes et des cœurs droits. Il y a da
57 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
apsodie, si pauvre de style et de raison, n’en fit pas moins pâmer de joie la tourbe des hypocrites ; elle était colportée d
même que ces serpents dont les piqûres mortelles répandent une fausse joie sur le visage de ceux qui en sont atteints. Organ
mis se réconcilient, les deux jumeaux se reconnaissent, la paix et la joie rentrent dans le sein de la famille, le tout par
des prélats ; qu’elles faisaient les délices de la cour de Rome et la joie des saints pontifes ? Comment n’a-t-on pas dit au
58 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
e Hôtesse, lui donna un billet de Comédie : celle-ci s’en servit avec joie , parce qu’il ne lui coûtait rien pour voir le spe
mettre en œuvre un beau compliment qu’il avait composé en chemin, la joie de revoir son bienfaiteur lui ôta la parole. Moli
ns jamais mieux prendre notre temps pour mourir bons amis, et dans la joie  ; et notre mort fera du bruit. Ainsi ce glorieux
une si fâcheuse conjoncture. Les Hypocrites triomphaient ; mais leur joie ne dura qu’autant de temps qu’il en fallut aux de
compliment sur ce succès ; ses ennemis même lui en témoignèrent de la joie , et étaient les premiers à dire que le Tartuffe é
tère ; et que sans s’embarrasser de rien il fût toujours préparé à la joie . ―  Oh ! Monsieur, lui répondit Molière, vous ête
59 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
us de triomphateurs. Elle est tout simplement aussi ridicule. Une des joies de mes loisirs est de voir une colonne de quarant
60 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
ginal. L’essentiel était d’amuser, de tenir toujours le spectateur en joie , de laisser le plus possible sur la scène Mascari
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
Docteur exhorte sa fille à donner la main à Pantalon. Pour rendre sa joie plus parfaite, il lui annonce l’arrivée de Lucind
rt pour s’habiller. Pantalon est enchanté. Flaminio vient troubler sa joie , en lui disant qu’il va incessamment se marier av
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
embarras, je courus vîte l’embrasser avec un air de surprise & de joie . Hé bien ! petite folle, me dit-il, te voilà bien
amant ridiculement.  Très volontiers.A Monseigneur Comus, Dieu de la joie & de la bonne chere, Et du Dieu de l’Hiver In
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252
, C’est me faire mieux voir ton amour & ta foi ; Et mon cœur avec joie accepte cet emploi. Tu m’obliges par-là plus que
64 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
ui épient les comédies-ballets composées par Molière à l’occasion des joies du carnaval. On a même observé que, fidèle à la v
65 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
rix ne se décerne point, nous ne pouvons-nous empêcher d’admirer avec joie la foi de l’Académie elle-même dans cette nécessi
66 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
nte à celle-ci, quand elle travaille, quelque chose des ivresses, des joies ou des larmes de celui-là. Je demeure d’accord qu
et je veux qu’on le croie. Je reçois tous ses soins avec beaucoup de joie , J’admire ce qu’il dit, j’admire ses vers, enten
ifice Vous pût d’un pareil sort réparer l’injustice Et que j’eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout d
67 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
is pour une satisfaction toute personnelle, nous a causé une certaine joie à mener à bonne fin, nous ajouterons aussi un vér
re l’engouement et le succès passager de la gloire durable. C’est une joie que de se retremper dans leur contemplation et le
ie que de se retremper dans leur contemplation et leur spectacle, une joie que les lettrés ne ressentent pas seuls, à coup s
doit, selon lui, être telle que la nature l’a créée : faite pour les joies du ménage et non pour briller en public. Et c’est
utographes si rares et si précieux, on leur fait la chasse, et quelle joie si on parvenait à en découvrir encore quelqu’un d
le hôtesse, lui donna un billet de comédie, celle-ci s’en servit avec joie , parce qu’il ne lui en coûtait rien pour voir le
mptômes de la phtisie47. Ah ! comme le pamphlétaire s’en donne à cœur joie de railler non seulement « l’insolent orgueil de
tes ces urnes avec l’eau de nos pleurs. Il nous en a fait répandre de joie , versons-en de douleur auprès de son tombeau ; ho
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
mme comme cela mériteroit bien ce qu’il craint, & que j’aurois de joie à le voler ! Surprises de présence ou d’appa
69 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
e vin, Nous donnerons l’essor à cette noble audace Qui fait sortir la joie et qu’avouerait Horace. Peut-être ignores-tu dans
rs mêlées de souvenirs amoureux quand il a perdu; ses alternatives de joie et de désespoir; le respect qu’il a pour l’argent
70 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
parce que, en effet, la poésie est partout. Elle est surtout dans les joies , dans les soucis, et jusque dans les tristesses d
’esprit de cette religion qui, par une hardiesse divine, a fait de la joie un devoir. Mais ce n’en est pas moins une grande
71 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
venture de l’illustre Théâtre ? Qui donc ferait renaître pour lui les joies du souvenir ? Qui donc le promènerait encore par
nante ? Il lui restait Catherine de Brie. Mais il ne croyait plus aux joies de ce monde, un beau livre déchiré, peut-être déj
ns, et voulez qu’on le croie. Et mon reste d’amour vous en croit avec joie  : Je fais plus, je le vois sans en être jaloux. M
la cérémonie religieuse d’Armande ; elle ne voulut donc pas être des joies de ce mariage. Pourquoi, si ce n’est par jalousie
gardent la porte, deux vraies cariatides ; comme nous donnerions avec joie notre menue monnaie à la receveuse Mlle de Létang
cher maître avec de vraies larmes. Aussi ce fut avec un sentiment de joie et de regret qu’elle revint en 1680 au vrai théât
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
Scene III. Ascagne est enchantée de la promesse de Valere, quand sa joie est troublée par l’arrivée de Lucile, qui, outrée
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
de vous.   Ha ! vraiment, mon pauvre Sosie.  A te revoir, j’ai de la joie au cœur.   Madame, ce m’est trop d’honneur,   Et
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
mpt qui fait rentrer Orgon dans tous ses biens, me cause bien plus de joie qu’un messager qui apporteroit la nouvelle d’un h
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74
artisan de la Comédie Françoise, l’interrompt pour laisser éclater sa joie  ; mais les vers suivants la rabattent. Le specta
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
d’un cheval anglois. Voilà Eraste enchanté ; il ne se possede pas de joie  ; il vole pour voir ce précieux cheval, & vou
77 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
ambition à obtenir une parole ou un regard du prince, se pâmaient de joie en s’entendant nommer pour un voyage de Mari y ou
78 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110
ots sont phosphorescents. Le feu pathétique d’Hamlet, comme le feu de joie de Falstaff, jaillit sans interruption en étincel
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
lui causer une agréable surprise. La colere du vieillard se change en joie . Julie, pressée par son amant & l’amour, cons
80 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
ce précieux héritage de la gaieté de nos pères. Qu’est devenue cette joie vive et franche qui charmait leurs loisirs et emb
81 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
on Juan feint d’être sensible à ces discours. Arlequin, transporté de joie , se jette à ses genoux. Son maître s’agenouille d
82 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
c’était bien là son ouvrage : elle avait donné l’impulsion. Et quelle joie de reconnaître dans le pays tout entier cette int
mouvement ! L’art qui l’attire dans ses voies Lui montre de faciles joies , Folles amours, jours sans lien, Succès, revers,
83 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
s avec finesse : elles nous font rire, si les traits de cette maligne joie , aussi frappans qu’inattendus, sont aiguisés par
ient gens de toutes parts criant Noel, & les autres pleuroient de joie . » En l’année 1486, le chapitre de l’église de L
le venin de ses traits médisans ; Aux accès insolens d’une bouffonne joie , La sagesse, l’esprit, l’honneur furent en proie.
84 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
les. Est-ce chimère ? j’ai cru quelquefois sentir dans cette pièce la joie expansive d’un homme qui va se marier... Il y eut
voulait que sans s’embarrasser de rien, il fût toujours disposé à la joie . Éperdu, il courait à sa femme... Spirituelle et
, aux yeux du public, ce qu’il n’avait pu la faire dans sa maison. La joie d’élever le théâtre à ces hauteurs le soutint dan
dans Pysché, le rôle de l’Amour. XXII. Molière avait une autre joie encore que celle du retour de Baron: il allait jo
nce donc, et par pitié peut-être, elle revint à lui. Molière, dans sa joie magnanime, oublia tout, même son mal. Pour compla
85 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
gens vont sans mentir : Avec elle se divertir ; Afin de la voir avec joie , On ne plaint argent ni monnoie, Car sans distinc
rincesse vient enfin de se déclarer, laisse éclater des transports de joie . En ce moment la princesse arrive sur la scène, s
veauté, Que partout quérir l’on envoie, Et qu’on ne peut voir qu’avec joie . « [*]Quoique le secret de Raisin fût connu (à
mander en mariage ; et que Lucinde ayant ajouté foi à ce discours, la joie avait déjà paru sur son visage ; mais que dans ce
86 (1900) Molière pp. -283
d’autorité et de terreur chrétiennes, avec cette dureté froide, cette joie presque violente, l’implacable et religieux Bossu
ieuses, sa première pièce faite à Paris, vous y verrez le plaisir, la joie folle de se savoir devenu enfin quelque chose à P
de se savoir devenu enfin quelque chose à Paris, Parisien ! Et cette joie , toute naïve qu’elle est, est touchante, car le s
t il est fier d’être le confrère, je viens de vous les nommer ! Cette joie si sentie nous donne la mesure de ses chagrins, q
rnélienne, combien il était naturellement fait pour sentir toutes les joies et tous les bonheurs d’une vie foncièrement régul
t, puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie  ; sans toi il m’est impossible de vivre. C’en est
lans généreux, d’espérances consolantes, de souffrances raffinées, de joies pures. Pour lui, ce sera une énigme impossible, e
s les cancers, il y a dans votre démonstration je ne sais quel ton de joie vive qui vous échappe et qui signifie : « La Facu
87 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
dicules dont la représentation plaît, sans causer de ris immoderés de joie  ; Trissotin & Vadius, par exemple, semblent ê
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
chagrin de Marcella qui se voit dans les mains de son frere : grande joie de Dom Félix qui croit tenir sa perfide : ils qui
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
& de sacrifier à l’avarice & à l’infamie, la tranquillité, la joie & la tendresse de ma famille. Stukely. J’ai p
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
p; puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie  ; tout est fini pour moi, & je n’ai plus que
rendra sa cassette ; &, quand tout le monde cherche à peindre sa joie , il exprime la sienne, en s’écriant : Allons revo
91 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
comme la perspective la plus attirante du métier qu’il embrassait, la joie de représenter un jour les Mascarille et les Sgan
a gloire journalière et directe qu’ils trouvaient sur la scène, de la joie qu’ils éprouvaient à voir leurs créations marcher
et parler sous leurs yeux, à les incarner eux-mêmes, la gloire et la joie d’en prolonger la vie par le livre ne leur sembla
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
. Elle trouve le secret de glisser à son amant une clef du jardin. Sa joie & son imbécillité le décelent encore ; il fai
93 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
55, la frivolité, soient oubliés, pour faire place aux devoirs et aux joies du foyer. Que la gracieuse Henriette devienne san
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
te qui décide de leur sort & de celui d’une famille entiere, leur joie ou leur désespoir peindroit leur passion avec le
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
rd ? Theuropide. Après avoir passé trois ans en Egypte, j’ai enfin la joie de me revoir devant ma maison. Je m’imagine que m
e. Tranion. O Seigneur Theuropide, mon bon maître ! Quel transport de joie  ! Est-il possible que ce soit vous ? Permettez-mo
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
Monseigneur puis après le saura. Pendant ces mots l’époux pleuroit de joie , Et, tout ravi, disoit entre ses dents : Loué soi
l en a reçus, du moment qu’il l’en a remercié, qu’il en a témoigné sa joie à sa femme, tout est dit. Les personnages de la p
97 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
us aimé ce sexe, qui, suivant l’expression de La Fontaine, fait notre joie  ; ce sexe mobile qu’il faut encore aimer alors mê
98 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
u danger de prendre trop de remèdes, et lui prêcher dans celui-là les joies de l’adultère15 ? Pour d’autres pièces, comme l’A
99 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
r, en voilà trop. Le ciel vous comble pour jamais de prospérité et de joie  ! PERSILLET. Je ne ferais cela pour personne du m
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
, dès le lendemain, ce soir. Voilà l’amoureux qui ne peut contenir sa joie . Il se rend chez sa belle, portant avec lui du gi
. Il s’écrie sur la vertu du sac magique ; il est dans la plus grande joie  : mais Argentine la fait disparoître, en ordonnan
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