ntérêt, ni d’instruction que le titre n’en promet. Ce n’est point une
histoire
de la société polie, c’est un mémoire ou la compi
n d’une suite de mémoires rédigés pour faciliter la composition d’une
histoire
suivie, ou plus simplement pour éliminer désormai
’une histoire suivie, ou plus simplement pour éliminer désormais de l’
histoire
des mensonges accrédités. C’est une suite de disc
démêlé les temps de leur existence, j’ai voulu rendre aux amateurs d’
histoire
le service de remettre les choses en leur temps e
la jeunesse pour donner le fini à un ouvrage du genre de celui-ci. L’
histoire
de la société polie veut, pour être traitée conve
n, comte de Modène1, est connu dans la république des lettres par une
Histoire
des révolutions de la ville et du royaume de Napl
; le premier volume en 1665, et les deux autres en 1667. 3. Voyez l’
Histoire
de la noblesse du comté Vénaissin, d’Avignon et d
is, 1750, tome 3, p. 19, 20, 21 et 22, article Raimond. Voyez aussi l’
Histoire
manuscrite de Pernes, par Giberti, généalogie des
té Vénaissin. Tome premier. Paris, 1743 ; p. 135, art. la Baume. 6.
Histoire
généalogique de la maison de France, par le père
6. 11. Biographie universelle, t. 19, p. 199 ; article Guise. 12.
Histoire
manuscrite de Pernes, par Giberti. 13. Histoire
rticle Guise. 12. Histoire manuscrite de Pernes, par Giberti. 13.
Histoire
des révolutions de Naples, t. 2, p. 69. 14. L’A
p. 69. 14. L’Art de vérifier les dates. Paris, 1819, t. 18, p. 288.
Histoire
des rois des deux Siciles, par d’Égly. Paris, 174
. 195. 15. Il descendait d’Yolande d’Anjou, fille du roi René. 16.
Histoire
des révolutions de Naples, tome 2, page 245. 17.
avec sa mère. 20. Vie de la Guérin, citée par Bayle et Joly. 21.
Histoire
de la noblesse du comté Vénaissin, tome 3. 22.
n. 28. Registres de La Grange, pour 1662, 1665, 1670 et 1672. 29.
Histoire
manuscrite de la ville de Pernes, par Giberti. 3
Je vous en parlerai ; elle est curieuse. Alors Épistémon commença son
histoire
au milieu d’un calme général et d’une curiosité a
us été, en dépit de Minerve et de lui, ses prophètes. Je ne sais si l’
histoire
de l’esprit humain offre un spectacle plus curieu
initifs réglant la forme de toute la poésie à venir, et ce document d’
histoire
a conservé jusqu’au dix-huitième siècle, et encor
le promoteur est Kant. Avec les érudits parurent les philosophes de l’
histoire
, Herder, Goethe, le grand cosmopolite de la criti
célébrée par le Chevalier ait jamais eu ces qualités, c’est ce que l’
histoire
ne permet pas de prétendre, et qu’elle puisse les
sérieux de la victoire des Thébains, tel qu’il pourrait être dans une
histoire
ou dans un poème. Molière a conservé le ton de la
ctacle plaît aux Espagnols, ou leur a plu à un certain moment de leur
histoire
. Esprit général de la critique littéraire A
vapeur et par le chemin de fer. Il ira en Angleterre avant d’écrire l’
histoire
de la littérature anglaise ; en France, en Allema
x, ni laids : ils sont des crocodiles. Je ne suis pas plus fort sur l’
histoire
naturelle de ces grands sauriens que le Chevalier
ns, cela suffit. Mais, dans ce mot que de choses ! « Celui qui dans l’
histoire
de la nature célèbre la puissance mystérieuse des
oète, mais jamais il ne sera naturaliste393. » Le critique qui dans l’
histoire
littéraire célèbre l’indépendance de la Muse, et
es déviations de l’ordre et de la loi395. Croit-on qu’il y ait dans l’
histoire
, et, pour borner le champ de notre réflexion, dan
dans l’histoire, et, pour borner le champ de notre réflexion, dans l’
histoire
littéraire, un seul fait, un seul ouvrage assez c
fisent pas à nous expliquer l’existence et la nature d’une œuvre, à l’
histoire
nous ajouterons la biographie, et nous finirons b
ù elle s’est enfermée, avait ouvert à la mienne de vastes horizons. L’
histoire
entière de l’art repassait successivement dans mo
entière de l’art repassait successivement dans mon souvenir, comme l’
histoire
même de l’humanité racontée en caractères symboli
C’était ensuite la statuaire qui déroulait devant mes yeux, avec son
histoire
, quelque chose de l’histoire de l’esprit humain.
qui déroulait devant mes yeux, avec son histoire, quelque chose de l’
histoire
de l’esprit humain. J’entrais en imagination dans
quer le discours guerrier de Sosie par les grands faits généraux de l’
histoire
romaine, elle expliquerait le discours plaisant d
Commandeur441. En l’année 1667442, commence un fait important dans l’
histoire
du dix-septième siècle, curieux pour celle du thé
que celle de l’esprit français, ne suffit pas. À l’ethnologie et à l’
histoire
, il faut ajouter la biographie ; alors seulement
r en lui les instincts du crocodile. » Taine, Essais de critique et d’
histoire
. 389. « Le critique est le naturaliste de l’âme
oyant, de la diversité de la nature. » Taine, Essais de critique et d’
histoire
. 390. « Le beau et le laid, qualités dérivées e
e faire raisonnable et circonspecte. » Taine, Essais de critique et d’
histoire
. 392. « Pour connaître l’homme, ce ne sont pas
doit atteindre. » Id., ibid., préface. 393. Herder, Philosophie de l’
histoire
de l’Humanité, livre XIII, chap. vii. 394. Spino
thique, avant-propos de la troisième partie. Herder, Philosophie de l’
histoire
de l’Humanité, livre XIII, chap. vii. Scherer, Re
février 1861. 395. Spinoza, Scherer, ibid. Herder, Philosophie de l’
histoire
de l’Humanité, livre VIII, chap. ii. 396. Entre
doit être, et il n’en peut être autrement. » Herder, Philosophie de l’
histoire
de l’Humanité, livre VIII, chap. ii. 414. « Tou
rent ne peut plus remonter vers sa source. » Herder, Philosophie de l’
histoire
de l’Humanité, livre XV, chap. iv. 415. Taine, H
osophie de l’histoire de l’Humanité, livre XV, chap. iv. 415. Taine,
Histoire
de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
nd de n’être pas de verre. Les Femmes savantes, III, ii. 419. Taine,
Histoire
de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
Histoire de la littérature anglaise, livre III, chap. i. 420. Taine,
Histoire
de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
du théâtre. 428. Dates données par Roederer, Mémoire pour servir à l’
histoire
de la société polie. 429. Julie d’Angennes, sœur
ière, sa vie et ses ouvrages. 452. Roederer, Mémoire pour servir à l’
histoire
de la société polie. 453. Ibid. 454. Henri Ma
r à l’histoire de la société polie. 453. Ibid. 454. Henri Martin,
Histoire
de France. 455. Taschereau, Histoire de la vie e
53. Ibid. 454. Henri Martin, Histoire de France. 455. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière. 456. Guy P
e les suit, elle en reçoit l’influence, et devient en quelque sorte l’
histoire
morale, des nations. Elle est, pour la postérité,
dans un autre, et qui se prolonge à travers la succession des âges. L’
histoire
nous rappelle, nous retrace le passé, la comédie
pinceau de ce grand homme, la comédie s’est tout à fait associée à l’
histoire
; il semble que les personnages de l’une soient d
res, tout ce qui a été écrit sur les deux derniers siècles a disparu.
Histoire
, chronique, inscriptions, médailles, tout s’est a
ales des deux siècles, et c’est dans la comédie que se retrouverait l’
histoire
. Au premier coup d’œil jeté sur les œuvres de Mol
c’est que le théâtre de ces temps malheureux pourrait aussi en être l’
histoire
. Je n’ai tracé qu’une esquisse rapide et légère,
u temps où elle a paru, et en devenir, si je puis m’exprimer ainsi, l’
histoire
dialoguée. On trouvera mon système plus spécieux
èse dans laquelle je me suis placé ; et je répondrai d’ailleurs que l’
histoire
de certains peuples de l’antiquité repose sur des
’en trouve heureusement circonscrit. Il ne s’agit point d’embrasser l’
histoire
de l’art comique italien dans toute son étendue,
res d’Italie et d’Europe2. » Au fond, c’est là probablement la vraie
histoire
du seigneur Polichinelle et de plus d’un type de
iccoboni dit Lelio, dans la première moitié du dix-huitième siècle, l’
Histoire
de l’ancien théâtre italien, publiée par les frèr
me point de vue que le mien, constituent toute une série de travaux d’
histoire
et de critique littéraire, qui témoignent que c’e
on tour. Parmi les modernes, il faut citer M. Charles Magnin pour son
Histoire
des marionnettes, et surtout pour son article sur
compte ici. Eh bien, comme après la chute d’une royauté l’impartiale
histoire
établit la comparaison des conquêtes et des rever
morale, on ne prétend point examiner cette question par le côté de l’
histoire
ni par celui de la critique, ni dire en quelques
, 1673, tome 1. 803. Titre de la première édition du ‘Discours sur l’
Histoire
universelle, Paris, S. Mabre-Cramoisi, 1681. 804
nt revenus à Paris, alternèrent de nouveau avec eux. » J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, not
faiblesse inexcusable de la part d’un ami de Molière et des lettres (
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III).
1821. Aimé Martin, Œuvres de Molière, 1823-1826. J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, 1825, avec
Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique. D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française. F. Génin, Lexiqu
hap. IX. 825. Voir toutes les vies de Molière, et particulièrement l’
histoire
de son dernier jour : « Il y a cinquante pauvres
donner du pain un seul jour, le pouvant absolument » (J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III).
irs religieux dans sa paroisse de Saint-Eustache. Voir J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, no
uences royales en littérature Les écrivains qui recherchent dans l’
histoire
des langues celle des idées, ou du moins celle de
semblent avoir été imaginés. Depuis qu’un écrivain illustre, mêlant l’
histoire
et la biographie à l’étude des grandes œuvres de
tions aux jansénistes, et qu’il peut figurer avantageusement dans une
histoire
de Port-Royal, où un parallèle entre Polyeucte et
itre seul, le Siècle de Louis XIV, donné à un ouvrage qui n’est que l’
histoire
du règne et non du siècle, a suffi pour popularis
ais s’il n’eût pas eu à écrire pour ce jeune prince le Discours sur l’
Histoire
universelle et la Connaissance de Dieu et de soi-
les la barbarie, après elles la décadence. Rien de moins conforme à l’
histoire
, et les deux règnes présentent au contraire à cet
jusqu’au moment où, quelques hardiesses ayant été signalées dans son
histoire
de France, cette pension fut réduite à 2,000. En
on l’enseignait officiellement, et vous saurez ce que pouvait être l’
histoire
sous l’ancien régime. Ce qu’il importe de remarqu
tenait d’un vieux médecin de la cour… Tout cela ne donne pas à cette
histoire
un grand air d’authenticité. En outre, si Louis X
n riant. 5. Voir Tallemant des Réaux. 6. Aug. Thierry, Essai sur l’
histoire
du Tiers-État, 2e édit., p. 235. 7. Tallemand. E
travail auquel ils étaient peu préparés sans doute ; celui d’écrire l’
histoire
de ses campagnes. Mmede Sévigné prend la liberté
té de se moquer un peu de ce choix. Il est vrai qu’au lieu d’écrire l’
histoire
, Racine se contenta de faire sa cour, et d’abando
uses ridicules. 282. A. Constantin, Dictionnaire de biographie et d’
histoire
de Dezobry et Bachelet, article Rambouillet. 28
Dezobry et Bachelet, article Rambouillet. 283. Voir J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. 28
. 286. Les Précieuses ridicules, sc. III, IV, V. Voir D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
la Littérature française, liv. III, chap. IX, g 2, et J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voi
laminte et Armande sont de vraies précieuses. Aussi Rœderer, dans son
Histoire
de la Société polie, qu’il confond avec la sociét
urs de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect. 2 ; D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
tradition de l’Église, par le prince de Conti (1667) ; J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II ; A
urs de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect. 2 ; D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
rt de la haute comédie77. Ce n’est pas le lieu non plus de raconter l’
histoire
de cette pièce, dont la représentation fut une af
nt avec la troupe de Molière sur le même théâtre (Voir J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, not
faux dévot, Molière en a peur, il en a horreur du moins. » D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. Il1, chap. ix,
p. VI, sect. 5, et F. Genin, Vie de Molière, chap. V. 78. Pour l’
histoire
du Tartuffe, voir : La Préface et les Placets
e Molière, édition vario-rum, Notice du Tartuffe) ; J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II et
re, IIe partie ; F. Génin, Vie de Molière, chap. V ; D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
oins capables d’en faire un juste discernement. » Voir J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II, no
La portée morale de cette scène est bien appréciée par J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, à l
ropres amours dégagés de toute idée grossière, et où, « par plusieurs
histoires
et sous personnes de bergers et d’autres, sont dé
ur platonique et dégoûter des grossièretés de l’amour physique. Cette
histoire
de d’Urfé était fort répandue, comme toutes les a
n y reconnut, dit Patru, une pastorale allégorique , un assemblage d’
histoires
des amours de d’Urfé avec Marguerite de Valois, a
, et d’autres amours du temps. L’auteur, dit encore Patru, a mêlé ces
histoires
de fictions pour les rendre plus agréables, et le
de 1668) Au printemps de 1668, commence une nouvelle époque dans l’
histoire
de l’ancien théâtre italien. D’abord quelques cha
e fixer à cette date le point de départ d’une nouvelle période dans l’
histoire
de la comédie italienne à Paris, c’est que ces ac
lement de Rouen. De ce moment, le théâtre italien prend aux yeux de l’
histoire
un intérêt d’une autre sorte ; mais il perd celui
suffit de lire l’analyse que donnent de ce scénario les auteurs de l’
Histoire
de l’ancien théâtre italien, pour se convaincre q
ierrot, tel qu’il parut en 1673, reproduit d’après la planche 18 de l’
Histoire
du Théâtre italien de Riccoboni. Pierrot est tout
u l’Epreuve de la Vertu, Comédie en cinq actes & en prose, avec l’
histoire
véritable de la Piece. Histoire de la Piece.
cinq actes & en prose, avec l’histoire véritable de la Piece.
Histoire
de la Piece. « Le sixieme volume de l’Encyclopé
venoit de s’y passer. Il satisfit à mes questions. Il me raconta son
histoire
. Je tremblai avec lui des épreuves auxquelles l’h
u, je vis & j’entendis ce qu’on va lire ». Je ne transcris pas l’
histoire
, parcequ’on la verra dans l’extrait de la piece ;
n que j’intitulai le Fils naturel ou les Epreuves de la vertu, avec l’
histoire
véritable de la piece. « Sans la supposition que
donner l’extrait, & je le copierai tel que je l’ai trouvé dans l’
Histoire
du Théâtre Italien, pour qu’on ne puisse pas m’ac
e, ces diverses études de la comédie aux différentes époques de notre
histoire
, et nous espérons fort, pour peu que le lecteur n
river à quelque utile résultat. On n’a jamais fait, que je sache, une
histoire
complète de l’art dramatique ; autant vaudrait en
istoire complète de l’art dramatique ; autant vaudrait entreprendre l’
histoire
universelle du genre humain. Les plus savants se
ni, après quoi ils se sont reposés, plus fatigués d’avoir entrepris l’
histoire
des marionnettes que celle des Mèdes, des Assyrie
t à partir d’Aristophane ou seulement à partir de Théophraste, quelle
histoire
plus variée à la fois et plus charmante, avec un
sons à danser, carmen saltare , mais non, les historiens de la grande
histoire
(eh ! nous voilà sur les domaines de M. Monteil !
tons depuis qu’il y a des hommes en société, ont été dépensées pour l’
histoire
des usages et des mœurs de la société civile. Pen
sais quelle ressemblance violente, qui ressemble à la comédie ou à l’
histoire
, comme le bistouri qui sauve ressemble au couteau
-il mieux chercher nos pères dans Le Cabinet satyrique 37, que dans l’
histoire
de France écrite en très beau latin, par M. le pr
es du Louvre elle se fera une cabane ! Elle a pour elle, l’éclat de l’
histoire
et l’éclat du théâtre ; elle a la poésie et le ro
— Et le voilà, appartenant à qui veut l’écrire, ce livre de morale, d’
histoire
, et de philosophie où se doit rencontrer, à la lo
ortant, avec soi, dans sa tombe ignorée, un lambeau de la vie et de l’
histoire
universelles ! En vain les curieux impertinents s
ivaux ; elle est pour quelques-uns un regret, elle est pour tous de l’
histoire
; elle a été un grand écueil pour ceux qui ont vo
les ont criblé de pétitions la Chambre des Pairs, elles ont arrangé l’
histoire
à la taille de leurs petites passions, elles ont
tterie, indiquaient aux moins clairvoyants un adieu éternel ! C’est l’
histoire
et c’est le conte des amoureux qui se séparent, l
de 1671 et 1673, qui n’eurent rien de commun. M. de Beausset, dans l’
Histoire
de Bossuet, redresse la seconde des erreurs de da
ne sainte résignation. Trente pages de La Beaumelle contiennent cette
histoire
presque toute dialoguée, à laquelle il ne manque
re. Pendant son absence, que se passait-il à la cour et à l’armée ? L’
histoire
nous apprend que le roi, qui était parti dans les
je me représente Didon qui fait bâtir Carthage110. La suite de cette
histoire
ne se ressemblera pas… La reine a diné aujourd’hu
e imposteur. Puis-je me dispenser, dans un ouvrage qui a pour objet l’
histoire
de la société d’élite, de faire remarquer dans ce
obles amies l’avaient entendu. Voici comment M. de Beaussel, dans son
Histoire
de Bossuet, s’exprime sur ce sujet113. « Louis X
’explique ce que le comte d’Argenson est obligé de consigner dans son
histoire
, vers cette date de 1660 : « L’esprit du monde ne
rdres assez divers collaborèrent, qu’il n’est pas indifférent, pour l’
histoire
générale, d’éclaircir. II. Les « libertins » d
stiques, et les documens nouveaux par lesquels peu à peu s’illumine l’
histoire
de la mystérieuse Compagnie nous apportent, sur c
gieuses du xviie siècle, de nouvelles précisions. Sans refaire ici l’
histoire
de la guerre, qui fut quelque temps clandestine e
Dans ces congrégations de Notre-Dame, se rencontre l’auteur même de l’
histoire
du Saint-Sacrement, le conseiller d’État de Voyer
les Lair, Mllede La Vallière, 3* édition ; F. Brunetière, Manuel de l’
histoire
de la Littérature française, 2* edit., p. 113, 17
lière, t. I, p. 225-226. 19. A. Gazier, Mélanges de littérature et d’
histoire
, p. 6, 15, 18; E. Faguet, Propos de théâtre, p. 2
« ce que Molière a voulu faire entendre, car je n’en sais rien. »— L’
histoire
des hommes et des actes de la Compagnie du Saint-
. 31. Propos de théâtre, p. 203. 32. Mélanges de littérature et d’
histoire
, 1904 (Pavillon, Molière et Conti). 33. Mlle de
le. 37. Deux ans après la date probable où Tallemant racontait cette
histoire
. 38. Notons que le confrère de Bernières-Louvign
t tentent avec plus de circonspection de résoudre ce petit problème d’
histoire
littéraire et morale, à l’aide des élémens solide
(ch. xix), à l’aide aussi de M. Gazier, Mélanges de littérature et d’
histoire
(1904), à l’aide enfin des notices d’Eugène Despo
z donc la tête... Regardez-nous... Allons, faites-nous quelque petite
histoire
pour nous amuser. L’Amour. Non, je veux dormir. E
s. (Elles se levent, & veulent l’emmener.) Voici présentement l’
histoire
telle qu’elle est dans Gayot de Pitaval. Le héros
il les prie en vain de lui laisser un bras libre, comme le héros de l’
histoire
: il les menace comme lui de s’endormir, & le
ait copié exactement le tableau de la comédie. 31. J’ai lu la même
histoire
différemment tournée ; il n’y est point question
et du Mariage forcé 196, qu’on doit conserver dans les archives de l’
histoire
de la science à côté de l’Arrêt burlesque de Boil
VII. 125. Matth., chap. V, v. 48. 126. 1666. 127. Voir D. Nisard,
Histoire
de la littérature française, liv. III, chap. IX,
, act. IV, sc. I. 133. Id., act. I, sc. I. 134. Voir J. Tachereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II ; A
e la charité ; Philinte tombe dans l’égoïsme indigne. Voir D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. IV, chap. VI, §
qu’un fort vilain homme ; un mot le résume : c’est l’égoïste, etc. »
Histoire
de la Littérature française, liv. III, ch. IX, §
dont le bon sens murmure. Voir plus loin, chap. VII. 191. D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. I, chap ? I, §
ne intention formelle de réforme scolaire se trompent (J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II). M
t plus permis de faire des théories littéraires. Vingt-cinq siècles d’
histoire
littéraire se chargent de les réfuter toutes. En
machine humaine est détruite par la folle du logis. Ce n’est point l’
histoire
qui a enseigné cela à M. Taine. C’est une constru
que Sophocle, Virgile, Racine, Goethe, vraiment trop superflus dans l’
histoire
littéraire. Il faut l’avouer : nos trois écoles s
vérité totale, de cette inconnue que nous cherchons). Ce livre est l’
histoire
d’un esprit qui a passé par ces trois moments. Ma
excusait ses infidélités par les emportements de la reine : c’était l’
histoire
de tous les mauvais ménages2. En 1609, Henri mit
ice. Plusieurs écrivains, et en dernier lieu, M. Taschereau, dans son
Histoire
de Molière, y trouvent une première preuve de l’a
après cette sommation que le roi est tué par Ravaillac. On lit dans l’
Histoire
universelle anglaise, t. XXXI, p. 259 que Ravaill
chef. 5. Moréri. — Fléchier, Oraison funèbre. 6. Mad. de Genlis,
Histoire
de Henri IV, t. II, p. 355. 7. Fléchier. 8. Il
lles de Voiture, celles de Mad. de Scudéry et de bien d’autres. 15.
Histoire
de La Fontaine, t. V, p, 249.
n l’a dit et comme de notre temps on ne se lasse pas de le prouver, l’
histoire
est toujours à faire, cela est vrai surtout de l’
prouver, l’histoire est toujours à faire, cela est vrai surtout de l’
histoire
des lettres, où les tentatives nouvelles du talen
nie, mise à côté d’une anecdote ; & les Fils ingrats, à côté de l’
histoire
d’un Marchand d’Anvers. Le mérite ne va plus dé
mp; dans l’Esprit des Conversations, ouvrage de Gayot de Pitaval, une
histoire
qui a beaucoup de rapport avec cette comédie : je
e qui a beaucoup de rapport avec cette comédie : je vais transcrire l’
histoire
. Un riche marchand d’Anvers, qu’on appelloit Jea
ort effraie un cœur aussi perfide ! Le faiseur d’écran a pris cette
histoire
dans l’Esprit des conversations agréables. Gayot
is au concours cette question : « De la nécessité de concilier dans l’
histoire
critique des lettres le sentiment perfectionné du
leur juste part aux dogmes littéraires, au sentiment littéraire, à l’
histoire
littéraire ? Or, je vois bien ce qu’il y a de bon
y a de mauvais dans les dogmes seuls, dans le sentiment seul, dans l’
histoire
seule ; mais quand j’ai rassemblé tout ce que je
re, c’est l’étude des faits ; ses instruments sont éprouvés : c’est l’
histoire
, c’est la psychologie. Quelle lumière elle répand
la peinture. La date seule est à changer. Il y a, Messieurs, pour l’
histoire
de notre vieux théâtre, une date importante et fo
dit, je ne saurais trouver un résumé plus net et plus saisissant de l’
histoire
de notre théâtre. Je crois avoir vu, Messieurs, p
ie n’a pas trop l’air d’y croire, il l’en punit en le rendant muet. L’
histoire
continue à se dérouler, à peu près telle que l’Ev
près de deux siècles. Ils aimaient ces représentations vivantes d’une
histoire
, si dramatique par elle-même, et qui renfermait t
siècle, comprenait la sortie d’Égypte, le passage de la mer rouge, l’
histoire
de Job, de Tobie, de Daniel, de Suzanne, d’Esther
des Dave, il se fut consacré à perpétuer les souvenirs héroïques de l’
histoire
nationale ou à peindre les mœurs de notre société
èges un livre qui peut vous donner une idée de ces moralités. C’est l’
histoire
d’un nommé Chrétien qui, séduit par Orgueil et Fa
et blême suivait toujours Chrétien ; c’était le nommé Remords. Cette
histoire
, qui avait sans doute l’intention d’être édifiant
ud, transféré de la chaire du Littérature, française dans la chaire d’
Histoire
et de Géographie. 5. M. Emmanuel des Essarts, d
dix-huit chemises de nuit ; mais nous n’avons point, en attendant, l’
histoire
des origines de la comédie de Molière, où l’on tr
ence plus approfondie de son œuvre. Mais sa famille, son éducation, l’
histoire
de ses pérégrinations à travers la province ont f
vaux. En 1848, Bazin emploie pour la première fois à cette question d’
histoire
littéraire, cette méthode ingénieuse, féconde, ri
riche en surprises, de contrôle et de vérification par les faits de l’
histoire
générale ; M. Soulié, en 1863, a eu le mérite de
. Soulié, en 1863, a eu le mérite de faire faire un troisième pas à l’
histoire
critique de la vie de Molière, en soumettant le g
tes. La vie de Molière, à partir de sa rentrée à Paris, ou du moins l’
histoire
de ses ouvrages et de cette incomparable successi
ien connues. Ce qui l’est malheureusement presque aussi bien, c’est l’
histoire
de son mariage. Le 29 février 1662, Molière épous
e eut à vaincre pour le faire enterrer : ici encore, la légende et l’
histoire
sont mêlées et confondues ; il est bon de les sép
le a voulu en tracer un. Un caractère en littérature, c’est, comme en
histoire
naturelle, un caractère essentiel, une dispositio
d’apparence. Est-ce les maux dont le fanatisme a été la cause dans l’
histoire
? Non sans doute. Ou bien enfin est-ce la morale
fait. Quelle place cette philosophie assigne-t-elle à Molière dans l’
histoire
des idées ? « M. Molière, dit le docte Baillet
ent à « laïciser » la pensée. Et leur influence est telle que, dans l’
histoire
des idées du XVIIe siècle, ayant balancé le pouvo
vulgaire fût encore capable. Par là sa place est considérable dans l’
histoire
des idées et dans l’histoire de la morale. V.
Par là sa place est considérable dans l’histoire des idées et dans l’
histoire
de la morale. V. Langue, versification et styl
yle de Molière est le style dramatique, et non celui du roman ou de l’
histoire
. Ce « genre » de style est assez difficile à défi
éfauts ne l’empêchent point d’être unique en son genre, et dans notre
histoire
littéraire, pour des qualités qui tiennent étroit
thrope, cette puissante création qui marque une date glorieuse dans l’
histoire
de l’art dramatique, ce tableau si riche et si va
esprit, et nous obligent à trouver ici des allusions personnelles, l’
histoire
de son cœur. On l’a dit, Le Misanthrope, c’est le
étant ses chefs-d’œuvre, racontait à cette grande société française l’
histoire
intime de son cœur et de ses souffrances. De quel
son temps, par Amédée Roux, 1861, p.244 et suivantes. 4. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière. – Geoffroy,
es fois. » (Voir Sainte- Beuve, Nouveaux portraits.) 36. D. Nisard,
Histoire
de la littérature française. 37. Armande Béjart
française, etc. ; Janin, Hist. de L’art dramatique ; Hippolyte Lucas,
Histoire
philosophique et littéraire du théâtre français;
de cette troupe accomplie que dirigeait Molière, on peut consulter L’
Histoire
du théâtre français, par les frères Parfait, t. X
aré à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’
histoire
véritable du faux Martin-Guerre, & à la natur
rtainement un plus grand nombre. Il y a un excellent rôle de valet. L’
Histoire
du Théâtre François va nous dire de quel endroit
Acaste, Chammeslé n’a fait que les indiquer. Comment les Auteurs de l’
Histoire
du Théâtre ont-ils pu faire un reproche à Dufresn
ations. L’aventure du faux Martin Guerre a fourni le fonds du sujet.
Histoire
abrégée du faux Martin Guerre. Martin Guerre, né
oire qu’il mérite pour avoir transporté sur la scene, avec décence, l’
histoire
d’un scélérat. Il n’est peut-être pas bien nature
sa mort, arrivée le 13 avril 1671 ; à sa mort, grand événement dans l’
histoire
des mœurs du xviie siècle. Maintenant, il est né
rtrait de la comtesse de Maure sous le nom de reine de Misnie, dans l’
histoire
allégorique de la Princesse de Paphlagonie. « C’
tions ; et madame de La Sablière tient un rang considérable dans leur
histoire
: sachant ce qu’en pensait madame de Sévigné, nou
ses hommes illustres, et dans son Apologie des femmes, l’autre dans l’
Histoire
de l’Académie ; Fontenelle, dans ses Œuvres diver
M. Étienne Arago, l’un des hommes très rares qui possédaient à fond l’
histoire
du théâtre depuis deux cents ans, et que l’on pou
ritique, procédés qui consistent à ne pas séparer de la littérature l’
histoire
et le tableau historique de l’heure et du temps,
is aussi de ne pas trop écraser la littérature et l’esthétique sous l’
histoire
, comme le font trop la critique allemande et la n
énage, le scandale de sa femme et le scandale de sa propre vie… Cette
histoire
du mariage de Molière est infiniment trop délicat
qu’on veut étudier complètement et à fond un grand homme, soit dans l’
histoire
, soit dans la littérature, il faut préalablement,
l’homme idéal avec son rôle historique, dans la littérature et dans l’
histoire
, et de montrer à la fois l’homme et le grand homm
dans la vie, on lit tous les jours dans la Gazette des tribunaux ces
histoires
incroyables, où des gens qu’on connaît, qu’on a t
e j’ai eu dans l’idée toute la nuit26… Comme elle est longue, cette
histoire
et comme elle est tirée par les cheveux ! Et quel
suppose chez cette petite fille, qui instantanément sait arranger une
histoire
pareille, sans hésiter ; voyez Rosine, au contrai
étrant bien au-delà de l’activité immédiate de l’âme et de celle de l’
histoire
, peut voir une passion jusqu’à des extrémités où
où nous la rencontrons rarement dans la vie, un vice agissant dans l’
histoire
bien au-delà du temps où il vit et qu’il contempl
oyiez, cet homme qui vit à travers les tortures de la maladie, dans l’
histoire
, loin de vous, dans quelque personnage qui ne vou
ance est devenue littéralement, et ce n’est pas le seul moment de son
histoire
où elle l’ait été, la maison du bonhomme Orgon, e
de ces moments de crise qui sont rares, en bien comme en mal, dans l’
histoire
des peuples, et où l’émotion universelle des cœur
que toujours. On en trouverait des exemples frappants, surtout dans l’
histoire
de la poésie allemande, depuis 1820 jusqu’à 1848
toire de la poésie allemande, depuis 1820 jusqu’à 1848 et même dans l’
histoire
de nos poètes contemporains. Si le poète n’agit p
sur la politique, il peut agir très efficacement sur le courant de l’
histoire
politique, de même qu’il agit et peut agir très v
ue, de même qu’il agit et peut agir très vivement sur le courant de l’
histoire
sociale. Il plane au-dessus des événements de l’u
e philosophie, encore une fois, il a plané en prophète au-dessus de l’
histoire
dans ces occasions, plutôt qu’il n’a agi sur elle
it sans combattre, et que la faiblesse tolère. Nous les lisons dans l’
histoire
, quand ce ne serait que chez le peuple romain. Vo
es maintenir dans le bon chemin. Eh bien, quand on passe du droit à l’
histoire
, aux faits historiques, quand on en vient à quelq
le et de la société. Non, les idées compteraient pour trop peu dans l’
histoire
, la civilisation serait achetée beaucoup trop che
des modifications qui les altèrent dans leur essence. Étudiées dans l’
histoire
de l’humanité et dans la suite des siècles, elles
vous faire toucher la chose du doigt par un exemple précis, tiré de l’
histoire
même de notre société et de notre comédie ; l’exe
du temps de Molière, on ne le ressentait pas ainsi. C’est que, dans l’
histoire
de ce sentiment, deux faits sociaux sont en face
es auteurs français au verre grossissant ; les petites manies, dans l’
histoire
morale, ne sont pas petites, il n’en est aucune q
om Carlos. C’est le Clavijo de Goethe, pièce qui a fait époque dans l’
histoire
des mœurs, et que je pourrais presque appeler une
a été la plus efficace et la plus décisive. Molière a donc eu, dans l’
histoire
de notre société et de nos mœurs, une action cons
nir de l’antiquité classique, le seul analogue que l’on trouve dans l’
histoire
des lettres, ces soldats de Crassus, prisonniers
états divers qu’elle se soit trouvée aux différents siècles de notre
histoire
, naïve, grossière, polie et noble jusqu’à l’excès
ans la fable avec La Fontaine, dans la morale avec La Bruyère, dans l’
histoire
avec Saint-Simon, dans l’éloquence judiciaire ave
le privilège du désintéressement et de l’innocence parfaite ; dans l’
histoire
de nos erreurs et de nos fautes, il a sa part, je
cette transformation que sur la scène comique. Quand nous étudions l’
histoire
, l’éclat des événements politiques laisse notre v
tats bizarres ; elle a amené, entre autres, pour ne point sortir de l’
histoire
de nos travers, un déplacement de la vanité socia
iales enfin, plus de douceur et de sûreté. Il faudra le conclure de l’
histoire
de notre théâtre : c’est l’égalité qui civilise e
e les vivants qui sont assez enclins à se croire parfaits, et quand l’
histoire
ne devrait avoir pour les morts que des sévérités
et à celle de sa femme, c’est là une façon si étrange de comprendre l’
histoire
littéraire qu’on a bien le droit d’en sourire. La
re de telles questions fort au-dessus de celles qui se rattachent a l’
histoire
de sa vie, c’est un point qu’il est juste de conc
t un point qu’il est juste de concéder. Reconnaissons toutefois que l’
histoire
du poète est intimement liée à celle de ses ouvra
r Molière. Plusieurs écrivains, qui ont traité certaines parties de l’
histoire
de notre grand comique et de sa famille, ont puis
let anonyme postérieur à la mort de Molière, la Fameuse Comédienne ou
Histoire
de la Guérin. La Guérin c’est Mlle Molière, qui a
peut-être qu’il reste encore des choses neuves à découvrir dans cette
histoire
de la famille de Molière qu’on croit si connue. L
seulement à l’honneur d’un membre de cette famille, elle se relie à l’
histoire
du théâtre au dix-septième siècle. Disons d’abord
aucune réparation des injures qui lui avaient été prodiguées. V. L’
histoire
de la Guérin. Comme on a pu s’en convaincre p
ntienne s’évanouissent quand on les examine de près, le flambeau de l’
histoire
à la main. Mais les nouveaux champions d’une vert
donnent sur ce milieu et sur les faits généraux qui se rapportent à l’
histoire
du théâtre dont Molière et sa veuve furent les di
ce passage toute la valeur d’un document historique. C’est bien de l’
histoire
, en effet, de la plus intime et de la plus vraie.
a manière de voir : la mienne diffère un peu de celle-là. Rappelons l’
histoire
en quelques mots : François de Lescot, président
son livre : La maison mortuaire de Molière,que ne l’a-t-il intitulé :
Histoire
de la rue Richelieu ! Il eût évité l’ennui de s’e
eût rien perdu de son intérêt. M. Vitu fait partie de la Société de l’
histoire
de Paris, et l’on ne pourrait dire, tant il sait
s sagaces et patientes investigations ont tant contribué à éclairer l’
histoire
de notre grand poète comique. M. Vitu en a jugé a
cieuses et que celui qui les allègue jouit, en tout ce qui concerne l’
histoire
de Molière, d’une juste autorité, beaucoup se sen
iens. » Un écrivain qui jouit d’une compétence spéciale en matière d’
histoire
ecclésiastique, M. A. Gazier, examina la question
siastique, M. A. Gazier, examina la question dans la Revue critique d’
histoire
et de littérature du 3 novembre 1884 ; il adopta
de d’Olivet dans le second volume de la suite donnée par cet abbé à l’
Histoire
de l’Académie française, de Pellisson, page où il
récits imaginaires, et qui pullulèrent en France après le succès de l’
Histoire
amoureuse des Gaules, un de ces petits romans com
02. 11. Études critiques, p. 189. 12. Mémoires de la Société de l’
histoire
de Paris, t. XI, p. 256. 13. Au moment où ces li
ur ait pris les semaines pour les mois. Trouvez-vous, Monsieur, que l’
histoire
de la petite Épinette convienne à la Vie d’un hom
que de l’avoir maltraité si mal à propos. Je suis assez content de l’
Histoire
du Misanthrope : mais je n’approuve nullement que
elle ne cherchera jamais la bassesse ? Je ne suis pas mécontent de l’
histoire
du succès du Bourgeois Gentilhomme et des Femmes
u-dessus de ma portée ; et quand je l’aurais fait, c’eût été donner l’
histoire
du Théâtre de Molière, et non pas sa vie. Eh bien
lontaire. Cependant l’Auteur se plaint que l’on ait fait de mauvaises
histoires
sur son compte ; et il attaque effrontément sur c
Histoire
du monument élevé à Molière. Lorsqu’un grand p
e quelques-uns de ses rois, la sculpture ne lui racontait rien de son
histoire
: les beaux-arts n’avaient point encore personnif
arts à leur plus haute mission, celle d’instruire les peuples de leur
histoire
, et par leur histoire, de la vertu. La statuaire
mission, celle d’instruire les peuples de leur histoire, et par leur
histoire
, de la vertu. La statuaire devenait ainsi une éco
ière. Là s’arrête sa vie, mais ne s’arrêtent pas les. tribulations. L’
histoire
des monuments consacrés à sa mémoire est pleine d
it cette remarque, Molière serait encore aujourd’hui sans monument. L’
histoire
des hommages rendus à Molière se partage en deux
aise au meilleur poème sur le monument dont nous venons d’esquisser l’
histoire
. Cette muse charmante, il faut le dire, n’a chant
homme tout entier. Après cette belle poésie, restait encore à faire l’
histoire
du monument, à justifier le programme académique.
de l’éviter, j’en juge tous les jours par moi-même. Il fait ensuite l’
Histoire
de son mariage ; & après quelques réflexions
on Polixeme. c. Voyez le livre intitulé, La fameuse Comedienne, ou
Histoire
de la Guerin, auparavant femme & veuve de Mol
ison funebre en prose un peu badine. a. Pag.249. remarque B. b.
Histoire
de la Guerin auparavant femme & veuve de Moli
eux de cette femme, & en fut aimé, & l’attira dans sa Troupe.
Histoire
de la Guerin, p. 8. b. Ibid. p. 28. c. Ibid.
decin volant, canevas italien ; le Médecin volant, de Boursault ; une
histoire
russe ; un vieux conte intitulé Vilain Mire ; un
re de faire un Médecin à grands coups de bâton, sont puisées dans une
histoire
connue en Russie vingt ans avant que Moliere fît
r d’abord tout son savoir. Si Moliere n’a pas entendu raconter cette
histoire
, il doit sans doute avoir lu dans un manuscrit du
En quoi le drame antique diffère essentiellement du drame moderne. —
Histoire
de l’Absolu. — Théorie de la tragédie. — III. L’A
pleinement que dans l’ensemble de son développement historique176, l’
histoire
générale de la tragédie forme, avec la théorie so
e-même qu’un effet par rapport à une cause plus générale, mais dans l’
histoire
même de l’Absolu. L’Esprit universel, après s’êtr
umanité se donne à elle-même du drame divin développé par elle dans l’
histoire
. Les intérêts généraux de la Société, les droits
ns hautement générales, qu’elle ne peut l’être par la Nature et par l’
Histoire
; par celle-là, dans ses plus belles productions,
e, en Grèce, au Pérou. C’est pour ressaisir l’idéal, en échappant à l’
histoire
. Goethe, avec ce grand sens qu’il a porté dans to
giques français, par le retour à l’antiquité héroïque, ou enfin par l’
histoire
, comme Goethe ; car, si vous y restez, il n’y a q
moment où l’Esprit universel, dans son développement qui constitue l’
histoire
absolue, entre en harmonie avec, lui-même, est ma
réel, te monde de l’art est plus vrai que celui de la nature et de l’
histoire
, t. Ier, p. 8. Aristote a dit aussi dans l’endro
uelque chose à la fois de plus philosophique et de plus sérieux que l’
histoire
, puisque la poésie s’occupe davantage de l’univer
stoire, puisque la poésie s’occupe davantage de l’universel, et que l’
histoire
s’occupe davantage du particulier (ch. ix, § 3. T
possible, Me conter ce qui s’est passé. . . . . . . . . Alcmene. L’
histoire
n’est pas longue. A vous je m’avançai, Pleine d
si je l’avois quittée depuis long-temps ; on me pria de raconter mon
histoire
, afin de voir, disoit-on, si elle prêtoit réellem
voriser en leur présentant Sainval : ils lui raconterent leur commune
histoire
, sans oublier les plus petites circonstances. Sai
or ne fut pas extrêmement tendre ». Dans le temps que je racontois l’
histoire
, mes auditeurs rioient à gorge déployée. Je me fé
Scarron, et finit sous le nom de marquise de Maintenon. En 1670, son
histoire
et celle de la bonne compagnie se confondent avec
670, son histoire et celle de la bonne compagnie se confondent avec l’
histoire
des mœurs de la cour et celle du roi lui-même. Il
dans une extrémité opposée ; je veux dire dans l’aveugle dévotion. L’
histoire
de madame de Maintenon comprend celle de sa socié
mettre en oubli tout ce que j’avais lu ou entendu sur son compte, les
histoires
de La Beaumelle, de Laus de Boissy, de madame de
Préface On a vu, dans les volumes précédents de cette
Histoire
, les vains efforts que firent les poètes dramatiq
i rude espéra revenir, Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. L’
histoire
de Molière, celle de M. Racine, et le récit de qu
profession que je fais de l’honorer, si je n’avouais hautement que l’
histoire
d’Alcamène et de Ménalippe m’a fourni les premièr
s, et que ceux qui ont excellé dans ces deux choses ont eu place en l’
histoire
, je puis bien vous faire ici un abrégé de sa vie
onneauc, mais qui n’a pas été représentée ; ainsi elle n’entre dans l’
Histoire
du théâtre français qu’à titre d’anecdote sur la
ma foi d’autant, Exerçant des mieux la mâchoire : Et je collige de l’
histoire
Que les comédiens d’ici, Ne sont pas gens cosi, c
[Note marginale] M. Magnon. a. Voici une nouvelle découverte pour l’
histoire
des célèbres farceurs. Ce Gilles le Niais était s
genre, de tout âge et a de tous personnages. » On voudrait écrire l’
histoire
même du feuilleton, né avec un esprit au-dessous
ience et d’esprit, on n’écrirait pas une plus juste et plus véridique
histoire
. — Un peu plus loin, M. le duc de Saint-Simon, co
ion, de l’esprit et du cœur ! » Pourtant, comme disait Suétone en ses
Histoires
: Maledicere senatoribus non oportet. Quelques
dépit des tempêtes dont elle fut si longtemps le jouet. Molière. —
Histoire
de la représentation de Tartuffe. — L’Anathème de
l avait faites, on en était trop près pour les voir. À ce moment de l’
histoire
, il se passait à la cour de France ce qui s’est p
l’on se trouve en présence de l’une des grandes difficultés de cette
histoire
du xviie siècle, par Bossuet, cet exilé de la po
tome, quand il n’eût pas mieux demandé que d’agir comme saint Paul. L’
histoire
de cette réfutation de Bossuet est très curieuse,
rtements et ce hennissement des cœurs lascifs. Malheureusement pour l’
histoire
de la critique, et peut être malheureusement pour
on sens et de l’amour. Et l’un et l’autre, ils enseignent, celui-ci l’
histoire
d’Angleterre à la cour d’Élisabeth, celui-là la g
gène. C’est ainsi que Molière a trouvé Alceste, le grand seigneur des
histoires
d’autrefois, Alceste qu’on pourrait comparer à un
tait à peine, odieux vice ou plutôt crime abominable qui méritait une
histoire
à part ; or cet historien ne pouvait être que Mol
muser beaucoup à la représentation du Malade imaginaire. En un mot, l’
histoire
de M. Argan ressemble trop à notre histoire coura
imaginaire. En un mot, l’histoire de M. Argan ressemble trop à notre
histoire
courante de chaque jour, pour qu’elle puisse beau
se marie malgré lui, excellente occasion pour Molière de nous faire l’
histoire
du mariage forcé de Sganarelle. Au premier mot qu
tiques de M. Figaro, qui jettent quelque chose de si triste sur cette
histoire
des jeunes passions ; je laisse de côté, la compa
Fabre introduit en sa comédie, bientôt il va prendre sa place dans l’
histoire
; car, ne l’oubliez pas, cette comédie est jouée,
tte parole jetée à son valet par un homme en fureur, à ce moment de l’
histoire
de France, est plus dramatique, selon moi, que le
ît pas, moi ! s’il y en a un seul, non pas au théâtre, non pas dans l’
histoire
, mais dans vos annales secrètes, dans les histoir
re, non pas dans l’histoire, mais dans vos annales secrètes, dans les
histoires
particulières de chacun de nous, dans ces pages d
infâme, ce qui est arrivé à Molière. Entendez-vous Molière faisant l’
histoire
du franc scélérat qui l’opprime ? Boileau n’a pas
s uns et les autres, racontant à cette grande société française cette
histoire
intime d’un homme de génie dont ils étaient les f
ncore, on pouvait faire une agréable nouvelle ; Marivaux a fait, de l’
histoire
de Marianne, un livre en deux tomes. C’est à l’éc
t. 3. Réflexions sur la grammaire, la rhétorique, la poétique et l’
histoire
ou Mémoires sur les travaux de l’Académie Françai
alheur, la Bibliothèque, le Musée, les Archives ne mouvraient guère l’
histoire
du passé. Aux Archives, si ce n’est le registre d
bientôt tous ces portraits, qui aujourd’hui sont de vraies pages de l’
histoire
dramatique. Beaucoup de mes amis les connaissent
e quatre portraits de la femme de Molière. J’espère que les affamés d’
histoires
dramatiques auront enfin sous les yeux de quoi no
eusement reproduit ce qu’il voyait. Là, est le cachet de la vérité. L’
histoire
ne vit que par la vérité. AR-H-YE. I. Madelei
, dans sa conférence sur les Amours de Molière, a très bien dit cette
histoire
: « Il paraît que, pendant son séjour en cette vi
moder à mon désir, je suivis encore Molière à Narbonne. » Voilà de l’
histoire
; c’est de l’histoire par un poète ; mais les poè
suivis encore Molière à Narbonne. » Voilà de l’histoire ; c’est de l’
histoire
par un poète ; mais les poètes sont les historien
de l’Amérique. Le testament étant toujours une pièce capitale dans l’
histoire
d’un homme ou d’une femme, je le transcris ici à
La servante de Molière, c’est la légende ; mais Mlle de Brie c’est l’
histoire
. Molière a bien pu çà et là dire à La Forest de r
le siège de Troie, aux prises avec Junon, Minerve et Vénus. Voilà l’
histoire
, que t’en semble ! Crois-tu pas un homme avisé ?
porain, « si ce n’eût pas été Racine, c’eût été un autre. » Dans son
histoire
de Racine, M. Adolphe Régnier commente ainsi les
s à lui en remontrer. Son entrée au Théâtre français est presque de l’
histoire
: en 1670, Colbert prit les ordres de Louis XIV p
uments dans la vie intime des gens de théâtre au temps de Molière ? L’
histoire
est là toute vivante. Mme Beauval fut une de ces
aussi son souper d’Auteuil, mais il paraît que cette légende est une
histoire
, quoique Voltaire n’y croie pas ni moi non plus.
ue Voltaire n’y croie pas ni moi non plus. Parmi les légendes, dans l’
histoire
de la vie de Molière, il y a encore le mot de Rac
nnette des Urlis ont été un moment de la troupe de Molière, quoique l’
histoire
ne les représente que comme comédiennes du théâtr
mporains ne parlent pas. Il faut se méfier de la tradition qui aime l’
histoire
, mais qui aime aussi le roman. Il y a aussi Phili
finiment petites sœurs. Sans doute elle fut heureuse : elle n’a pas d’
histoire
. 1. Pour soutenir l’Illustre théâtre et les c
13. Variante. — Mais de trop près son papa la talonne. 14. Dans l’
histoire
de la fille de Molière on trouve d’autres lettres
directe de la comédienne et du comédien, dans ces fables et dans ces
histoires
qui enseignent à pécher10. Une fois cette interve
tres, chantez ou rêvez à votre aise ; moi, il faut que je raconte mon
histoire
de chaque semaine. À l’instant même je me mis à l
isté de l’éclat du lustre, et le parterre bat des mains ! Voilà cette
histoire
; elle est bien simple, elle est facile à raconte
faites mal, vous me faites peur : le moyen de raconter une si honnête
histoire
au milieu de tout ce bruit que vous faites là ! A
ues de ce grand maître dans l’art de la comédie, j’aurais terminé mon
histoire
par ces vers de L’École des femmes : Il faut qu’
elle admirable place il laisse en fin de compte, à la critique et à l’
histoire
! Dans La Critique de l’École des femmes, un chef
s autres le déclameront jusqu’à la consommation des siècles ; c’est l’
histoire
des moutons de Panurge appliquée au vers et à la
se contenter (et l’on s’en contentait) du Festin de Pierre en vers. L’
histoire
de cette comédie est singulière. Les camarades de
devait, reconquérir (voilà le malheur de nos vices !) les droits de l’
histoire
, dans ce royaume de France, livré à toutes les co
relle, qui ne soit devenu : juste ciel ! Bertrand, l’ami de Macaire !
Histoire
de toutes les grandes origines ! Ainsi a fini plu
lecteur, cette charmante satire d’Aristophane, Plutus ? C’est déjà l’
histoire
d’une société qui se perd ; c’est déjà le pauvre
par Monsieur, par Mademoiselle, par le Roi enfin. Ce serait toute une
histoire
, l’histoire de ces divertissements dans lesquels
, par Mademoiselle, par le Roi enfin. Ce serait toute une histoire, l’
histoire
de ces divertissements dans lesquels se divertiss
mmes, je retrouve tous les grands noms des champs de bataille et de l’
histoire
: le duc d’Enghien, le comte d’Harcourt, le comte
ns que le souvenir de ces fêtes, ces aimables et chers souvenirs de l’
histoire
de Versailles : La Vallière, Montespan, dont le n
V ; aussi ne furent-elles jamais insultées, que je sache, ni dans les
histoires
, ni dans les salons, ni dans les livres, ni au th
d’excuse et de pardon ! Rien de plus funèbre que ce dénouement d’une
histoire
d’amour, depuis l’histoire d’Héloïse et d’Abeilar
en de plus funèbre que ce dénouement d’une histoire d’amour, depuis l’
histoire
d’Héloïse et d’Abeilard ! La cloche sonne comme e
tout est fait. Et voilà de quels respects nous entourons notre propre
histoire
! Alors de quel droit nous fâcher contre la tragé
mbre de romans ; et comme il s’agit ici du plus grand siècle de notre
histoire
, il m’a semblé qu’il ne serait pas hors de propos
aire agir et parler, comme une folle, une des plus grandes dames de l’
histoire
de France, et comme la chose est bien trouvée : A
). — « Cent mille couronnes ! » Eh bien ! c’est là encore mentir à l’
histoire
et avilir à plaisir et sans aucune nécessité dram
ominables mensonges, et ces honteux démentis donnés à la majesté de l’
histoire
! Certes le public anglais est trop versé dans le
i s’ennuie. L’auteur n’entend guère plus les passions qu’il ne sait l’
histoire
, et il se perd lui-même dans un chaos d’événement
ITRE XII.M. COLLÉ. Dupuis et Desronais, Comédie, mise à côté d’une
histoire
des Illustres Françoises ; la Partie de chasse, à
ffiche, aux premieres représentations, que la piece étoit tirée d’une
histoire
insérée dans les Illustres Françoises, Roman de M
ée dans les Illustres Françoises, Roman de M. de Challes. Comme cette
histoire
a plus de cent pages, nous allons l’extraire. Pr
e histoire a plus de cent pages, nous allons l’extraire. Précis de l’
Histoire
de M. Desronais & de Mademoiselle Dupuis. Du
unir à sa fille. Mademoiselle Dupuis devient infidelle. Le reste de l’
histoire
n’a aucun rapport avec la comédie. Extrait de la
CHAPITRE XV.M. DE CHAMFORT. La jeune Indienne, mise à côté de l’
Histoire
d’Inkle & d’Yarico, insérée dans le Spectateu
elle s’écrie : Quoi ! sans cet homme noir je n’aurois pu t’aimer !
HISTOIRE
D’INKLE ET D’YARICO. M. Thomas Inkle, troisieme
n que M. de Riveri a traduite en vers françois. C’est d’après la même
histoire
que M. Dorat a composé sa Lettre de Zéila, jeune
n dansant. Le roman de cette piece charmante ressemble beaucoup à une
histoire
recueillie dans le second volume des Contes, Aven
& des épées qu’on ne cesse de lui présenter, & il épouse. L’
histoire
d’Arlequin est en gros celle de Sganarelle, avec
e, per omnes modos & casus ; homme qui possede Fable, Mythologie,
Histoire
, Grammaire. Là-dessus il lui fait une énumération
votre sœur, & j’y retourne avec vous pour finir cette affaire. L’
histoire
du Comte de Gramont peut avoir rappellé à Moliere
devait se trouver le véritable texte de Molière. Nous ne ferons pas l’
histoire
de ce livre, quelque intéressante qu’elle puisse
pour les vers, ajoute qu’il travaille à mettre en madrigaux toute l’
Histoire
romaine ? Les commentateurs ne manquent pas de vo
, la Satire Ménippée, les Essais de Montaigne, et les Provinciales. L’
histoire
de la bibliothèque d’un homme de lettres n’est po
s contemporains. Quant aux notes grammaticales, tout ce qui tient à l’
histoire
de la langue a trouvé place dans notre commentair
cu 22. Un pareil ouvrage, pour être complet, devait être suivi de l’
histoire
« de cette troupe accomplie de comédiens, formée
l’ouvrage le plus complet, le plus exact, et le plus judicieux sur l’
histoire
du théâtre français. Cet ouvrage, ainsi que celui
aître tel qu’il était. Le public est rempli d’une infinité de fausses
histoires
à son occasion. Il y a peu de personnes de son te
e donna en spectacle avec succès pendant du temps. Je sais que cette
histoire
n’est pas tout à fait de mon sujet ; mais elle m’
sur son chapitre. Molière, qui en parlait avec plaisir, en commença l’
histoire
; mais Baron, ennuyé de l’entendre, alla chercher
e détail de la mort de Molière, pour désabuser le public de plusieurs
histoires
que l’on a faites à cette occasion. Il mourut123
e me la suis faite à moi-même. Mais n’est-ce point été faire plutôt l’
histoire
du théâtre de Molière, que composer sa vie ? Il m
galer. »(Extrait en partie de la Vie de Molière, écrite en 1724.)
Histoire
de la troupe de Molière. Acteurs et actrices
homme nourri dans le giron des rois. « J’ai lu, disait-il, toutes les
histoires
anciennes et modernes ; la nature, prodigue, a pr
rance, décembre 1729 ; 9° Parnasse français, de Titon du Tillet ; 10°
Histoire
du Théâtre français, par les frères Parfait.
Brie. Si l’on s’en rapporte à l’auteur de la fameuse Comédienne, ou l’
histoire
de la Guérin, auparavant femme de Molière, mademo
ère le ramenèrent à mademoiselle de Brie. Quoi qu’il en soit de cette
histoire
, mademoiselle de Brie était une fort bonne comédi
n la nommait Marotte. (Frères Parfait, tome XIII, page 299.) FIN DE L’
HISTOIRE
DE LA TROUPE DE MOLIÈRE. 1. L’Imposteur ou
Bourgogne, au bout de deux ou trois ans, en 1634, que se termina leur
histoire
par la plus touchante catastrophe : « Gros-Guilla
abbé Tallemant, dans des Mémoires manuscrits cités par M. Walckenaer (
Histoire
de La Fontaine, page 73), dit que Molière avait d
nus. Molière passa à Lyon toute l’année de 1653. 41. On trouvera une
histoire
de la troupe de Molière à la suite de ces Mémoire
chant poète, puis méchant comédien. Dassoucy, qui nous a conservé son
histoire
, dit qu’à force de faire crédit à ses confrères d
on suivante, avec Chapelle, est extraite de la Fameuse Comédienne, ou
histoire
de la Guérin, auparavant femme de Molière. Cette
t Lafosse : c’était un homme d’honneur, et incapable d’inventer cette
histoire
. Il disait donc que Louis XIV ayant su que les of
l s’agit ici du rôle de Myrtil dans Mélicerte. (Voyez le tome XV de l’
Histoire
du théâtre français, par les frères Parfait.) 8
’Histoire du théâtre français, par les frères Parfait.) 80. Voyez l’
Histoire
de la troupe de Molière. 81. Un autre trait méri
a Préface de Palaprat à la tête de ses Œuvres, page 30.) 84. Voyez l’
Histoire
de la troupe de Molière, à la suite de la Vie. 8
tryon de Molière fut représenté pour la première fois. 103. Voyez l’
Histoire
de la troupe de Molière à la suite de ces Mémoire
vue de deux amis de collège. 107. Cette conversation de Molière et l’
histoire
du Tartuffe de Chapelle sont d’une absurdité inco
èvre, 1844.) 110. L’auteur désigne ici mademoiselle de Brie. Voyez l’
Histoire
de la troupe de Molière, à la suite de ces Mémoir
phie de son époque. I. Il n’est pas besoin de connaître à fond l’
histoire
des idées au dix-septième siècle, pour savoir que
odos et casus, — homme qui possède, superlative, fable, mythologie et
histoire
, — grammaire, poésie, rhétorique, dialectique et
extes ; nous l’avons vu, et comme si cette preuve ne suffisait pas, l’
histoire
est là pour l’appuyer. Un témoignage catégorique
laré que la vie de Gassendi avait été consacrée à renouveler Épicure (
Histoire
générale de la Philosophie, p. 388). M. Nourrisso
ude par ces mots : « En tout Gassendi est sensualiste. » (Essai sur l’
Histoire
de la Philosophie, Dix-septième p. 48.)- M. Baill
te I, sc. II. 55. Syntagma, t. II, p. 488 56. Damiron, Essai sur l’
histoire
de la Philosophie, Dix-septième siècle, t.1, p. 4
s qu’elle en sache rien. Ecoutons-le raconter lui-même son incroyable
histoire
. ACTE I. Scene I. LE MARQUIS, LA FLEUR. La Fleur
is, la chose se passa. La Fleur. Mais avec de l’esprit on compose une
histoire
. Le Marquis. C’est une vérité. La Fleur. C’est u
’il a voulu maintenir, et que l’usage a écartées de la langue. 29.
Histoire
amoureuse des Gaules. 30. Sans parler d’une mul
Pompéia une multitude de phallus en ivoire, percés par le milieu ; et
histoire
nous apprend que les femmes stériles les suspenda
Cette piece eut seize représentations. MM. Parfait disent, dans leur
Histoire
du Théâtre François, que le dénouement est pris d
acte en prose. Cette comédie eut vingt-trois représentations. Deux
histoires
réelles ont fourni à d’Ancourt le fonds & l’i
ons par vérifier la plus conséquente de ces imitations. Extrait de l’
histoire
de Louis de la Pivardie, Sieur du Bouchet. Louis
t enfin forcé de se rendre à des preuves convaincantes. Extrait de l’
histoire
de la Femme retrouvée. Dans l’année 1554, un mar
& lui soutient qu’il est noyé. Il est aisé de voir que les deux
histoires
rapportées en abrégé sont fondues dans cette comé
r devenir intéressant, quand, moins cruel que l’héroïne de la seconde
histoire
, il se montre dès qu’il sait qu’on fait le procès
homme qui est huissier & cabaretier en même temps ! 19. Ces deux
Histoires
sont rapportées très au long dans le recueil des
olume de ce qui ne devroit remplir que peu de pages, sont cause que l’
Histoire
des Hommes célebres est presque toujours gâtée pa
n de Racine faite en 1728. Pour lui, il se propose, dans cette courte
Histoire
de la Vie de Moliere, d’éviter cet écueil. On ne
is venue ici pour vous faire. Ce conte toutefois se peut appeller une
histoire
, car rien ne fut jamais plus véritable. Elle vien
ni le papier n’étant pas encore trouvés, les Doctes y avoient tracé l’
Histoire
universelle ; & sur cela remontant de Pharamo
ur, ne voilà pas un joli Ganimede ? Et c’est pourtant le héros de mon
histoire
! Cet honnête homme régente une classe dans l’Uni
, à part. Ah ! malheureux, je suis trahi ! C’est sans doute ma propre
histoire
qu’elle me conte. (Haut.) Mademoiselle, passez ce
ou, ce Moine bourru.... Granger. Passez outre : cela ne fait rien à l’
histoire
. Genevote. Commanda à son fils d’acheter quelque
pere de son amant sur son passage, & lui rend naïvement sa propre
histoire
. Elle veut même le forcer à rire avec elle de ce
flattent-ils bien mieux la malignité du spectateur. Les Auteurs de l’
Histoire
du Théâtre François assurent que le dialogue des
présent n’avait donné ni dans un certain détail, ni avec fidélité, l’
histoire
de cet établissement de la troupe du Palais-Royal
s manuscrits originaux et exacts nous ont mis en état de donner cette
histoire
avec toutes ses circonstances. On ne trouvera pas
nnant l’extrait de La Sœur, comédie de Rotrou, t. VI. p. 396 de cette
Histoire
, nous avons dit que la première scène de cette pi
me scène du premier acte de La Sœur. Lélie raconte à son ami Éraste l’
histoire
de ses amours avec Aurélie, mais en amant passion
l’extrait du Pédant joué de Cyrano, tome VIII, page première de cette
Histoire
, on verra que ce n’est que le fonds de ces deux s
Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. 1. [Note marginale]
Histoire
de l’Académie française, tome II, p. 185. 1. [No
, tome I, année 1672. [*]. [Note marginale] Mémoires pour servir à l’
histoire
des gens de lettres, par le P. Nicéron, t. XXIV,
e Chevalier ; & une ou deux pages de Ne pas croire ce qu’on voit,
histoire
espagnole. Cette piece, faite & jouée pour l
autre part que dans ma maison. . . . . Ne pas croire ce qu’on voit,
Histoire
Espagnole 43. . . . . . . . . . Mendoce s’en ret
point parvenus, et nous ignorons s’il vivait après ou avant Apulée. L’
histoire
de Psyché a exercé la sagacité de plusieurs de ce
mé la Farnésine ; et, bientôt après, son crayon traduisit en entier l’
histoire
de Psyché dans une suite de trente-deux dessins q
Fontaine et deux pièces de théâtre n’eussent pas suffi pour rendre l’
histoire
de Psyché assez vulgaire, la féerie l’emprunta à
ul objet de cette Notice. C’est sans doute un fait remarquable dans l’
histoire
des lettres, qu’une pièce de théâtre composée par
lantes saillies nées de sa propre verve. Voilà, si je ne me trompe, l’
histoire
de la composition des Fourberies de Scapin. Cette
ure de France d’août 1735. A cette date, tout était nouveau en fait d’
histoire
théâtrale : le premier ouvrage sur les auteurs et
hèque des Théâtres, de Maupoint, est de 1733 ; le premier volume de l’
Histoire
du Théâtre François, des frères Parfaict, paraiss
de mai 1738 (p. 826 à 836), sous le titre de Mémoires pour servir à l’
histoire
du théâtre, et spécialement à la vie des plus cél
-1780). La seconde partie du tome Ier de ces Variétés contient une «
Histoire
abrégée des plus célèbres Comédiens de l’antiquit
avait soixante-douze ans quand il donna ses Mémoires pour servir à l’
histoire
de Molière et de ses ouvrages, qui furent avec ra
un avantage : c’étoit de le dispenser des excès de ses amis, témoin l’
histoire
, que rapporte l’auteur de sa vie, de ceux qui, à
le sur la vie et les ouvrages de Moliere. Mémoires pour servir à l’
histoire
du théâtre et spécialement à la vie des plus célè
propres à sa nation, que ses comédies peuvent être regardées comme l’
histoire
des mœurs, des modes et du goût de son siècle ; a
dessus de tout éloge. À la suite de la notice de M. Picard on lit une
histoire
abrégée, mais suffisante, de la troupe dont Moliè
es diverses fortunes. On ne saurait trouver dépourvue d’intérêt cette
histoire
, riche d’anecdotes et de faits curieux, qui jette
qui ont créé les différents rôles. Cette indication fidèle complète l’
histoire
de la troupe comique dirigée par Molière. Enfin q
on buste : Rien ne manque à sa gloire ; il manquait à la nôtre3.
Histoire
de la troupe de Molière. Acteurs et actrices
se donna en spectacle avec succès pendant du temps. Je sais que cette
histoire
n’est pas tout-à-fait de mon sujet, mais elle m’a
homme nourri dans le giron des rois. « J’ai lu, disait-il, toutes les
histoires
anciennes et modernes ; la nature, prodigue, a pr
de lui céder cet emploi. Chapuzeau et les frères Parfaict (dans leur
Histoire
du Théâtre français) lui rendent à cet égard le t
ère le ramenèrent à mademoiselle de Brie. Quoi qu’il en soit de cette
histoire
, mademoiselle de Brie était une fort bonne comédi
nne des conseils à Octave ; la sixième, où Scapin raconte à Argante l’
histoire
du mariage de son fils ; dans le deuxième acte, l
la suivante, la troisième, où Zerbinette raconte à Géronte sa propre
histoire
, et celles que j’ai indiquées : voilà les scènes
son avis ; la treizième, où Merlin reçoit Géronte, et lui conte mille
histoires
pour l’empêcher d’entrer ; la seizième, où Géront
habit convenable à la situation où vous devez être. » J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III.
Voiries diverses vies de Molière, et particulièrement J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II ; A
Satire X, V. 525. - Voir encore, sur Célimène et Arsinoé, D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
après Molière. En dépit du titre un peu compromettant de notre livre,
Histoire
dramatique, etc., nos lecteurs ne doivent pas s’a
stoire dramatique, etc., nos lecteurs ne doivent pas s’attendre à une
histoire
complète ; il n’y a pas d’histoire complète, et p
rs ne doivent pas s’attendre à une histoire complète ; il n’y a pas d’
histoire
complète, et puis nous ne pouvons entreprendre qu
a pas d’histoire complète, et puis nous ne pouvons entreprendre que l’
histoire
des œuvres nouvelles, ou des œuvres récemment rem
ns par les nécessités du sujet dont il parle. En un mot, ceci est une
Histoire
du Théâtre, en ce sens que toutes les choses dont
propos de Don Juan et pas un mot de L’Avocat Patelin ? Pourquoi cette
histoire
(il est vrai que ce livre est mal nommé) ne remon
comédiens et des marionnettes, une des plus terribles collisions de l’
histoire
de France, pouvaient invoquer plus d’un précédent
représentant de la comédie improvisée : moralités, mystères, soties,
histoire
du ciel, histoire de la terre, drames, miracles,
a comédie improvisée : moralités, mystères, soties, histoire du ciel,
histoire
de la terre, drames, miracles, coups d’épée, coup
, pourtant, si l’on avait du temps à perdre, aurait sa place dans une
histoire
de l’art dramatique ; on y verrait, et de plein d
visages ridés ! Hélas ! c’eût été aussi amusant pour vous d’écrire l’
histoire
de la bataille de Cannes ou de la bataille d’Aust
le frondeur, le bon vivant. D’un pareil comédien, nous vous dirons l’
histoire
tout à l’heure ; il s’appelait Rosambeau ; sa vie
e porte en porte ; elle est comme le passant dont il est parlé dans l’
histoire
de Sparte : — Passant, va dire à Lacédémone que
aberration de la comédie et des comédiens. Par exemple, à propos de l’
histoire
d’un certain Mégani, le Feuilleton s’inquiétait d
s dames de si haut, on n’en faisait pas les héroïnes des plus grandes
histoires
de fidélité et de passion, et toutes choses n’en
il exempte de son exil. Pour ma part, j’aime mieux le dénouement de l’
histoire
du seigneur Zapata, à quelques années de là, — «
eût dit un crétin du Valais qui rencontre un éléphant. J’ai lu dans l’
histoire
, qu’après une bataille, le bouffon du roi Françoi
tre à grands coups de pied son bisaïeul ! Triste plaisir ! Lamentable
histoire
! la vieillesse des comédiens qui ne savent pas q
ien inventer, nous autres, — un blagueur ! Shakespeare a trouvé cette
histoire
parmi les contes de Boccace, cette source inépuis
ppés par un mal invisible, se glisse, à votre insu, dans ces galantes
histoires
, si galantes qu’elles en sont naïves ! Grande et
us rappelez, et Shakespeare s’en est souvenu avant vous, la touchante
histoire
de Gillette de Narbonne, si bien contée par la be
ets, qui doit comprendre mieux que personne, pour peu qu’elle sache l’
histoire
de sa maison, les chagrins, les douleurs et les t
d’où sortent incessamment la comédie et le roman, le vaudeville et l’
histoire
, le drame et le journal, un rien les détraque… un
cette place où j’écris, au milieu de tant de joie et de tristesse, l’
histoire
littéraire de ce temps-ci : Hic jacet… Hoc saxum
ue inutile ? En ce moment (voilà le mystère !) notre poète écrivait l’
histoire
des Bélise et des Araminte du siècle suivant, apr
ue dirait-elle dans son gros bon sens ? Ah ! ah ! voici une nouvelle
histoire
! Qu’est-ce que c’est donc, mon mari, que cet équ
armi les écumeurs d’anecdotes singulières, qui ait mis à profit cette
histoire
du loup introduit dans la bergerie. Térence lui-m
us si les enfants se font par l’oreille. Avez-vous entendu raconter l’
histoire
de madame Célimène ? Elle est plus triste que cel
rire était mêlé aux larmes. Les larmes ont fini par dominer ; c’est l’
histoire
de toute comédies en ce monde, quand on la pousse
éfend. Or, ce n’est pas là un des moindres mystères du théâtre, cette
histoire
et cette représentation des mœurs, comme on l’app
attraperai la fin ! 35. On racontait jadis, au Théâtre-Français, l’
histoire
de quatre montres toutes pareilles, données, en c
eur et qu’il ne veut pas que nous en ayons peur non plus. Rappelons l’
histoire
de la pièce. Je ne veux d’abord que préciser les
somme donc, cinq ans de lutte et trois révisions successives, voilà l’
histoire
de notre chef-d’œuvre. Cela suffit pour faire ape
à songer. Il avait reçu des conseils de Condé. Ninon lui avait dit l’
histoire
de la cassette. Il utilisa tout cela. Il se dit q
ano, son condisciple en Gassendi, un vert et original penseur, dont l’
Histoire
comique renferme des pages surprenantes de hardie
du paradis perdu, le serpent est trompé par la femme. Analysons cette
histoire
et voyons si quelque trait contredit mon interpré
tout entière à sa proie attachée. De telles œuvres éclairent toute l’
histoire
de l’humanité. Le quatrième acte, bien que remani
Grands écrivains de la France. 8. Publiée clans l’éd. Mosnard. 9.
Histoire
de France, éd. Chamerot, t. XIII. 10. Le Tartuf
l’éviter, j’en juge tous les jours par moi-même ». Il fait ensuite l’
Histoire
de son mariage ; & après quelques réflexions
selles 1694. 3. Voiez le Livre intitulé, La fameuse Comedienne, ou
Histoire
de la Guerin. auparavant femme & veuve de Mol
c une Oraison funebre en prose un peu badine. 6. Remarq. (B). 7.
Histoire
de la Guerin auparavant femme & veuve de Moli
eux de cette femme, & en fut aimé, & l’attira dans sa Troupe.
Histoire
de la Guerin, pag. 8. 14. Hist. de la Guerin. pa
joué dans le même temps (voir plus haut, chap. IX, p. 166) : c’est l’
histoire
de Scaramouche Hermite (voir la Préface du Tartuf
te (voir la Préface du Tartuffe, à la fin ; voir aussi J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III).
nne, que Molière avait des habitudes religieuses (voir J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, no
s et profanes. Voir V. Fournel, les Contemporains de Molière, tome 1,
Histoire
de l’Hôtel de Bourgogne. On pouvait donc légaleme
ir, compléter et nous autoriser à publier la cinquième édition de son
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière. Quant à l’e
xécution matérielle, le public est à même d’en juger. Préface de l’
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière La maiso
a demandé l’autorisation de réimprimer, pour la cinquième fois, notre
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière en tête d’un
ère reprendra quelque jour son bien, espérons-le, et nous donnera une
Histoire
sans imaginations, une Histoire véridique et défi
ien, espérons-le, et nous donnera une Histoire sans imaginations, une
Histoire
véridique et définitive. C’est dans la même école
e nous aurons à le montrer encore dans une prochaine édition de notre
Histoire
de la vie et des ouvrages de Corneille, M. Édouar
nt, non pas au-delà, mais au rebours de la réalité. Il apporte dans l’
histoire
littéraire des habitudes d’auteur dramatique ; et
imaginaires5. M. Bazin s’y est laissé prendre, et croyant faire de l’
histoire
, il a composé un piquant tableau de fantaisie où,
lui qui vous aurait tout appris. Nous avions imprimé deux fois notre
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, quand il vo
nt aux exigences d’un travail de critique et d’érudition, d’aperçus d’
histoire
littéraire, et d’une biographie. Tantôt l’élévati
se à Molière sa satire II. Anecdote invraisemblable à cette occasion.
Histoire
du clavecin de l’organiste Raisin ; Molière se ch
e dans cette pièce. Son désespoir quand ses vers étaient mal débités.
Histoire
de Beauval et de sa femme. Mot de Molière sur cet
mer un contraste choquant dans un portrait où tout contraste ; dans l’
histoire
d’un homme de lettres qui connut le monde et la c
e temps un sentiment plus tendre, figurera plus d’une fois dans cette
histoire
; quant à leur jeune sœur Armande-Grésinde-Claire
ccorder Minerve, Junon et Vénus, et la terminait en disant : Voilà l’
histoire
; que t’en semble ? Crois-tu pas qu’un homme avis
répartition des sommes font de cette pièce un document curieux pour l’
histoire
littéraire. Quelque faible que fût comparativemen
pas moins glorieux pour le protégé que pour l’illustre protecteur ; l’
histoire
redira à jamais avec quel noble empressement le m
au mois de mai 1664 par le Roi à la Reine et à la Reine mère, selon l’
histoire
; à mademoiselle de La Vallière, selon la chroniq
fèvre, monsieur Josse », et une foule d’autres traits dignes de cette
histoire
générale des donneurs d’avis, ne périront pas tan
’ailleurs démontré, que cette opinion ne repose que sur une erreur en
histoire
médicale, sur une sorte d’anachronisme. Ces cense
titude les services qu’il en avait reçus. Reprenons à sa source cette
histoire
, que le nom du coupable rend plus pénible à retra
our la soutenir, de l’appuyer du Médecin malgré lui. Ce petit trait d’
histoire
littéraire, d’ailleurs fort piquant, et par consé
illi sans autre examen, a cela de commun avec beaucoup de traits de l’
histoire
proprement dite, qu’il est original, mais controu
de goût du parterre. Il fit passer son conte : voilà comme on écrit l’
histoire
! Chacun s’empressa de l’adopter : voilà comme on
te de La Fontaine, M. de Saint-Gilles, qui a déjà eu place dans cette
Histoire
. Célimène, selon les uns, est cette fameuse madam
comme presque tous ceux qu’a tracés Molière, est étroitement lié à l’
histoire
des mœurs de son siècle. L’habit d’Oronte, ce bel
L’Avare est, ainsi que Les Femmes savantes, une page immortelle de l’
histoire
de nos mœurs ; mais le vice auquel Molière avait
économie. » Nous pouvons aussi en tirer quelques documents pour cette
histoire
. Molière, ici comme dans plusieurs autres de ses
ondance (21 novembre 1669) que Molière songea à mettre à la scène une
histoire
plaisante qui eut lieu à la fin de cette année, e
ut rien laisser à désirer. C’est ici l’occasion d’examiner un point d’
histoire
et de morale littéraire sur lequel on n’a guère j
e dupe imprudente. L’évasion de madame de La Motte donne encore à son
histoire
et à celle de La Tourelle une plus grande conform
es de Molière, avec un travail de critique et d’érudition, aperçus et
histoire
littéraire, biographie, examen de chaque pièce, b
archiviste de la mairie de cette ville, pages 12 et suivantes de son
Histoire
des théâtres de Bordeaux, Bordeaux, 1860, in-8. C
action du registre ne se seraient pas produits dans son esprit. 14.
Histoire
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
riques sur la vie de Molière, Paris, 1861, p. 45, et M. Emm. Raymond,
Histoire
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, p. 68, note. 17.
Histoire
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
le remboursement des 5 000 francs de la succession de celui-ci. 18.
Histoire
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
ns de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages 119-120. 19.
Histoire
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
dans la carrière, fit représenter son Œdipe le 24 janvier 1659. 29.
Histoire
du Théâtre-Français, par les frères Parfait, t. V
ois qu’Alexandre le Grand Et César, autre conquérant, Quoique d’eux l’
histoire
témoigne, N’allaient pas si vite en besogne. Voi
ouis XIV, faisant partie de la Collection des Documents inédits sur l’
Histoire
de France. Nous avons relevé, aux Archives de l’E
hal d’Ancre est assassiné ; Galigaï, sa femme, décapitée et brûlée. L’
histoire
n’a pas expliqué comment Louis XIII, prince si do
tpensier, qui certes n’était point une précieuse, s’est plu, dans son
histoire
allégorique de la princesse de Paphlagonie, à fai
d succès. — M. Alphonse Pagès, dans une courte conférence, a résumé l’
histoire
des hommages à Molière en homme qui possède à fon
e par M. Zola dans un feuilleton sur l’ouvrage nouveau de M. Jullien,
Histoire
du costume au théâtre, ne présente pas des caract
i a si justement restitué ; ni du fauteuil de Pézenas, dont on sait l’
histoire
et qui est à Paris depuis 1873 ; ni d’aucun des v
gle de l’édifice, poteau dont M. J. Romain Boulenger nous a raconté l’
histoire
à cette place. (Voir Le Moliériste du 1er juillet
avec intérêt au point de vue de la langue, de la littérature et de l’
histoire
des mœurs, mais elle ne se prête plus à être joué
teur à cette héroïque Expédition d’Égypte, demeurée légendaire dans l’
Histoire
; — qu’il fit la mémorable et périlleuse Conquête
s affiches dans ce lot dédaigné de papier à la livre, qui contenait l’
histoire
de notre vieux théâtre, plus précise et plus comp
Misanthrope n’en est pas moins fort curieux. C’est Clio, la muse de l’
histoire
, qui parle ici : S’il m’en souvient, on a bien r
nseignements contemporains et l’un des plus précieux documents pour l’
histoire
anecdotique du théâtre au xviie siècle. Molière
ns la Nouvelle collection moliéresque, des « Notes et documents sur l’
histoire
des Théâtres de Paris, extraits du manuscrit de J
vres sur l’hôtel de ville41. Il a publié quelques cartes et travaux d’
histoire
et de géographie. Sa fille (c’est-à-dire la sœur
e sont imitées. M. Langbaine, dans son Account of the Dramatic Poets (
Histoire
des poètes dramatiques), publiée en 1688, admet,
tirés enfin de la poussière des archives, demeureront pour servir à l’
histoire
de Molière et pareillement à celle des comédiens
tres de l’Hôtel de Bourgogne, qui laissera toujours une lacune dans l’
histoire
de l’ancien Théâtre-Français. 4. « In questa tra
e des obsèques de l’Empereur. 15. Denon scrips. 16. Vid. Dulaure,
Histoire
de Paris, in-8, 1821. tome VI, page 186. 17. Vi
Histoire de Paris, in-8, 1821. tome VI, page 186. 17. Vid. Chalmel,
Histoire
de Touraine. Paris 4 vol. in-8, 1828 ; l’Abbé Bou
yales de Saint-Denis. Paris in-12, 1872, page 99. 19. Vid. Dulaure,
Histoire
de Paris, 1821, tome IV, page 432, et Georges d’H
u moment où il revient de chez le Roi. 27. Le collet ou rabat a son
histoire
. Voici comment elle est retracée dans les « Lois
« désabusé » et de « déniaisé ». Au surplus, si nous discutions ici l’
histoire
de ces deux comédies, (l’une portant et comportan
constituent précisément le plus fameux événement littéraire de notre
histoire
locale. — Dans les archives municipales de la com
e peut s’entendre avec convenance, sera bientôt mis au rebut. Voilà l’
histoire
de la langue dans les académies des précieuses. J
t déjà distribué aux arts, aux sciences, à la chaire, au barreau, à l’
histoire
, à la morale, à la poésie, à la scène comique, à
règles des mœurs pour rendre les hommes meilleurs. On peut dire de l’
histoire
, bien plus que de la comédie, qu’elle enseigne la
berg considéré comme imitateur de Molière, chap. I, 1. 2. D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. I, chap. i, § 2
sur les leçons de Gassendi, est une des plus curieuses chimères de l’
histoire
des lettres. Il était mieux apprécié par Goldoni,
ent à la vie de Molière », 1773. Plus tard, elle sera utilisée dans L’
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière de Tascherea
son naturel. » Le Docteur est reproduit d’après la gravure nº 5 de l’
Histoire
du Théâtre italien de Riccoboni. Le costume est c
nage. Le Capitan, que nous reproduisons d’après la gravure nº 10 de l’
Histoire
du Théâtre italien, est le capitan espagnol qui f
imprimer était ordinairement transformé en comédie écrite. C’est là l’
histoire
des pièces que Ruzzante publia à la fin de sa vie
que Ruzzante publia à la fin de sa vie d’improvisateur et d’acteur, l’
histoire
de L’Angelica du capitaine Cocodrillo et d’un trè
rique en 1785. L’anecdote fut reprise par Taschereau dans son ouvrage
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, 1825. (Pier
, plutôt qu’à présenter des situations vraisemblable ou à respecter l’
histoire
. (DLF XVIII, p. 1222).
e bonhomme. 281. Pierre Bonvallet a rencontré cette anecdote dans L’
Histoire
de l’Académie françoise de l’abbé d’Olivet datant
Préface Si les volumes précédents de cette
Histoire
de notre théâtre ont pu, comme nous osons l’espér
omplète. Rien de plus curieux en effet, rien de plus important pour l’
histoire
de notre théâtre, que le détail dans lequel nous
sants, dont ce morceau est rempli, il y en a un qui est unique dans l’
histoire
du théâtre français, et qui a été ignoré jusqu’à
parut le même jour sur ces deux théâtres. Le dixième volume de cette
Histoire
rassemblera la vie de Molière et celle de Racine,
es qui parurent alors. Depuis l’impression des tomes V et VI de cette
Histoire
, il nous est tombé entre les mains une seconde pa
1. Fouquet, dont l’illustre mémoire, Vivra toujours dans notre
histoire
, Fouquet, l’amour des beaux esprits, Et dont un r
re intitulé : Les Nuits facétieuses du Seigneur Straparolle, dans une
histoire
duquel un rival vient tous les jours faire confid
le du Dauphin, dont les événements nous ont paru devoir entrer dans l’
Histoire
du théâtre français. Terminons cet article par le
x qui ont rapport à la pièce qui fait le sujet de cet article, et à l’
histoire
que nous traitons ; mais nous abrégerons le plus
ien mourir une personne qu’aucun médecin qui soit dans la ville… » L’
histoire
a conservé les noms des comédiens qui composaient
comique ; M. Destin et mademoiselle la Caverne. Il faut renoncer à l’
histoire
même du prince de Conti Mais, pour être exact, en
lui, ceci ne fait pas un doute. Entre autres anecdotes, chacun sait l’
histoire
du mendiant qui rapporte à Molière un louis d’or
n lit dans le manuscrit de La Grange, qui longtemps a contenu toute l’
histoire
de Molière, les détails que voici : La troupe se
volume présente au lecteur une partie des plus brillantes années de l’
histoire
du théâtre français, puisqu’il renferme la suite
sent ce volume ne sont pas moins intéressantes dans leur genre pour l’
histoire
du théâtre français ; nous espérons que le lecteu
hentique de ce que je viens d’annoncer, pour n’en pas rapporter ici l’
histoire
en peu de mots. « Le Misanthrope étant tombé, Mol
ne, Et nullement la race humaine, Comme elle était à ce Timon, Dont l’
Histoire
a gardé le nom, Comme d’un monstre de nature. Cha
t propres à sa nation que ses comédies peuvent être regardées comme l’
histoire
des mœurs, des modes et du goût de son siècle ; a
élicerte, sous l’année 1699. « Ve entrée. Clio, muse qui préside à l’
Histoire
. « VIe entrée. Calliope, muse des beaux vers. Les
tout Paris, Qui la voulut voir à ce prix, Qu’ils méritent bien que l’
histoire
, En conserve aussi la mémoire. À l’Hôtel * le sie
ter Élomire, ou l’obliger à corriger ses pièces ; Élomire raconte son
histoire
et commence son récit par rappeler le temps où il
rapporter de la comédie d’Élomire hypocondre, l’auteur n’oublie pas l’
histoire
de l’Illustre Théâtre ; mais il ne parle qu’en gé
te marginale] Voyez l’article de cette pièce, tome V, p. 229 de cette
Histoire
. *. [Note marginale] Solventur risu tabulæ, tu
a. Voyez la comédie de La Belle Plaideuse, tome VII, p. 66 de cette
Histoire
. a. « Pour preuve de tout ce que l’on a avancé,
e, acte V, scène première) : Un traître, dont on sait la scandaleuse
histoire
, Est sorti triomphant d’une fausseté noire, Toute
riosité de ce chercheur explorait les points les plus divers de notre
histoire
nationale, sans que la folle du logis cessât de h
es de la vie de Molière. Ce n’est pas le lieu d’aborder incidemment l’
histoire
rebattue de ses prétendues infortunes conjugales,
mertume ne se mêlerait à son dernier adieu. Pour avoir tout entière l’
histoire
de son cœur, il ne faut pas parler que de ce seul
ssitudes, dont les plus singulières sont connues de ceux qui savent l’
histoire
de la révolution de Naples, au temps de Masaniell
e caractère, qu’Armande est l’Agnès de cette pièce, c’est aussi par l’
histoire
de sa naissance. Comme Armande, Agnès est une enf
e la comédie, le père revient et se fait connaître ; à un moment de l’
histoire
, le père revient de même et se fait reconnaître a
nt, pour qui les étudie bien, toutes les parties les plus obscures. L’
histoire
de M. de Modène et de son retour, qui rendait un
r la dénouer, il ferait intervenir Louis XIV. Ninon lui avait conté l’
histoire
d’un dépôt précieux remis aux mains d’un faux dév
e d’oublier en son Recueil de Chants bretons 111. C’est tout à fait 1
histoire
de don Juan et de l’apparition du Commandeur, ain
n, — et c’est ce qui nous a fait insister sur ce chef-d œuvre, dont l’
histoire
tient à celle de l’auteur, par des points trop in
qui m’avait toujours semblé d’un très grand prix au point de vue de l’
histoire
du théâtre, mais dont la valeur s’est encore accr
eux, comme on va voir, et pour la biographie du grand homme et pour l’
histoire
du théâtre : « J’aime, écrit-il donc à Laharpe p
ne les connaissaient pas. Ayant à parler du Médecin volant, dans leur
Histoire
de l’ancien Théâtre italien, ils ne dirent mot de
s yeux durent se porter sur M. de La Feuillade, dont on connaissait l’
histoire
avec cet illustre de l’écurie145. Qui sait même s
ner en raillerie malveillante : LE COMTE. Il faut que je te dise une
histoire
jolie, Dont Molière a causé la conversation, Et d
n’a pas seulement un grand intérêt de comédie, mais un réel intérêt d’
histoire
. VI - Le Misanthrope (1666) Il est inouï q
us les grands faits, et celui-là est un des plus considérables dans l’
histoire
de l’esprit humain, mille et une causes avaient f
dée de son maître Jacques, tour à tour cuisinier ou cocher. Une autre
histoire
, qui courait Paris pendant sa jeunesse, lui fut e
nalités, il ne manquait pas d’indiscrets, qui venaient lui conter des
histoires
, et l’approvisionnaient ainsi d’observations. Tou
ont il était le proche voisin, dans la Cour du Palais. Il n’est pas d’
histoires
qu’il n’en contât. Sa dixième satire, où la lieut
e crois, n’a jamais été citée à ce propos, nous met sur la piste de l’
histoire
. Il y est dit que, « Mme étant allée avec beaucou
par alliance, ni par parrainage. Il ne faut pas les confondre dans l’
histoire
plus qu’ils ne se mêlaient dans la vie. La gloire
omédien. Les familles s’étaient ainsi rapprochées ; nous laisserons l’
histoire
les rapprocher aussi. Nous allons donc reproduire
n différent, non seulement comme nuance d’étoffe, mais comme nuance d’
histoire
. L’habit gris, sous Louis XIV, c’était tout un mo
rs, et qui réussissez souvent à combler sur ce point les lacunes de l’
histoire
littéraire. C’est ce qui m’engage à vous signaler
de la Légende dans sa comédie. Nous en trouvons un tout pareil dans l’
histoire
de la jeunesse de Louis XV : « Une puce l’incommo
Bourgeois gentilhomme, l’occasion étant bonne pour repasser un peu l’
histoire
de ce chef-d’œuvre, nous nous en sommes donné le
ait lui-même inspiré. Sa Majesté, en souvenir de l’une de ses propres
histoires
d’amour, désirait que l’aventure de Bérénice avec
que s’occupe de notre théâtre en son plus beau temps. X - Un mot d’
histoire
sur le Malade imaginaire Le dimanche 15 janv
ls ont encore, et sous plus d’un point de vue, un véritable intérêt d’
histoire
théâtrale. Ces sortes d’intermèdes, que Molière s
èce toute d’allusions, dont il faut qu’en peu de mots je vous fasse l’
histoire
, afin qu’elle ne vous échappe plus, lorsque vous
immuable pour l’interprétation de son répertoire. Il faudrait faire l’
histoire
du jeu de Molière, comme on a fait celle de sa vi
n différent, non seulement comme nuance d’étoffe, mais comme nuance d’
histoire
. L’habit gris, sous Louis XIV, c’était tout un mo
fournit l’aventure, qui n’est pas, du reste, la moins inconnue de son
histoire
en ces premières années. Nous devons de la savoir
emps, plusieurs volumes, où quelques-unes des plus belles années de l’
histoire
du Théâtre-Français et ce qu‘il a conservé de vra
it prochaine, M. Delorme voudra bien permettre à l’un de ses aînés en
histoire
théâtrale, de lui signaler certains points où il
pour lesquels, je crois, il n’est pas assez remonté de la légende à l’
histoire
. Je commencerai par la fameuse fable de la cloche
se, était un homme d’esprit, d’honneur, et incapable d’inventer cette
histoire
. » Je n’insisterai pas davantage. On voit quel c
u Paris, 1777, in-8, p. 191. 58. Gazette du 1er février 1673. 59.
Histoire
de l’ancien Théâtre-Italien, 1753, in-12, p. 107.
moires de Choisy, collection Petitot, 2e série, t. LXIII, p. 71, et L’
Histoire
de Daniel de Cosnac, par M. le marquis de T…, Rec
84. Lettres, t. VII, 436. 85. V. notre petit livre L’Esprit dans l’
Histoire
. 86. Lettre du 9 septembre 1677. 87. Mémoire
p. 439-440. 89. Tallemant, édit. Paulin Paris, t. III, p. 237. 90.
Histoire
de l’Église métropolitaine d’Utrecht, p. 94. 91.
37. 90. Histoire de l’Église métropolitaine d’Utrecht, p. 94. 91.
Histoire
de l’Église d’Autun, 1774, in-8, p. 246. 92. Not
(Revue des Deux-Mondes, 15 janvier 1848, p. 200, 201). 109. Racine,
Histoire
de Port-Royal. édit. stéréot., t. IV, p. 214-215.
de l’Éditeur). 145. Voyez ci-dessus, à la page 107, cette plaisante
histoire
, qui prouve que Gaveau pouvait bien être le type
285. Saxe, Maurice, comte de (1696 – 1750) : maréchal de France. L’
histoire
littéraire fait mention de lui à propos de MmeFav
lle a besoin d’être forte pour se défendre. C’est à proprement dire l’
histoire
de mademoiselle Mars, avec le parterre de ce temp
acrilèges, volées par un païen sur un tombeau ! « Voilà cette funeste
histoire
! Et puis l’on s’étonne que la critique protège j
la plus pure, et adoucit la plus sévère. » M. de Beausset, dans son
Histoire
de Bossuet, voit avec peine que madame de Mainten
tions. 119. Cette lettre se rapporte à celle du 27 juin 1676. 120.
Histoire
de Bossuet, t. II, p. 74, 75 et 76.
difficulté vaincue au mérite du talent le plus élevé. Je reviens à l’
histoire
galante de la cour.
dre ni l’indifférence ni l’infidélité. Et le peu que nous savons de l’
histoire
de son cœur permet de supposer qu’il trouva plus
422. Phèdre. 423. Voir, sur le mariage de Molière, J. Taschereau,
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II et
qu’il ne voyait plus qu’au théâtre, jouait Célimène. Voir D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
attaques n’avaient été dirigées contre lui que par de faux dévots, l’
histoire
en serait bientôt faite : on n’y verrait que de s
ses Mémoires. Suivant cet abbé, un des hommes les mieux informés de l’
histoire
secrète du siècle de Louis XIV, M. de Guillerague
jugé impossible de donner au public ? 4. Les auteurs si exacts de l’
Histoire
du Théâtre-Français n’osent l’assurer ; mais Volt
, dit-il, balançait celui du Tartuffe. Dans tous ces petits détails d’
histoire
littéraire, Voltaire est, en général, d’une grand
e ses caracteres sont, pour ainsi dire, tous donnés par la fable ou l’
histoire
. Aut famam sequere, aut sibi convenientia finge,
; l’autre, comme ils ont coutume d’être. La tragédie est un tableau d’
histoire
, la comédie est un portrait ; non le portrait d’u
éerie & Pastorale. Cet article est de M. de Marmontel. Comédie,
Histoire
Ancienne * Comédie, (Hist. anc.) La comédie d
n est encore de nos jours un reste ridicule. Alain Chartier, dans son
histoire
de Charles VII. parlant de l’entrée de ce roi à P
st, liv. XXVIII. des actes capitulaires, fol. 153. De Rubis, dans son
histoire
de la même ville, liv. III. ch. liij. fait mentio
& les fêtes après le disner, furent représentées la pluspart des
histoires
du vieil & nouveau Testament, avec la farce a
que grossir le nombre enrayant des vaines tentatives qu’enregistre l’
histoire
théâtrale. Célimène a vingt ans et son expérience
ue tradition vague ou conjecture. Je ne crois pas qu’il y ait, dans l’
histoire
littéraire, de question qui montre davantage les
oins à la timide et passive Agnès. On invoque des analogies ; ainsi l’
histoire
d’Agnès, remarquée par Arnolphe dès l’âge de quat
a probablement fait partie de leur troupe, elle connaît par le menu l’
histoire
de leur théâtre. Le caractère et la manière d’êtr
ez le lecteur ; il voit trop bien qu’il a sous les yeux un ramassis d’
histoire
suspectes, et, s’il lui prend fantaisie de les co
a part de La Grange y fut trop considérable, et il faudrait mêler à l’
histoire
d’Armande trop de faits qui regardent plutôt son
à 300 exemplaires seulement : L’Instruction en Province avant 1789 :
histoire
littéraire de la ville d’Albi 3, dont le chapitre
verte des trois documents précités est d’une importance réelle pour l’
histoire
, si confuse encore, de la jeunesse de Molière ; c
ir prochain, reconstitué l’Odyssée complète de Molière en province. L’
Histoire
littéraire de la ville d’Albi 4 mériterait à coup
sur les éclaircissements que contiennent ces dates et ces noms pour l’
histoire
des voyages de Molière, pour sa biographie et pou
à nos peintres lorsqu’ils avaient à traiter des sujets puisés dans l’
histoire
de France des temps reculés. Le cit. Vincent, par
cuments relatifs à la troupe du duc d’Épernon que j’ai publiés dans l’
Histoire
littéraire de la ville d’Albi. Permettez-moi de v
si légèrement. Si les commentateurs avaient pris la peine d’étudier l’
histoire
typographique du Dépit amoureux, ils auraient rec
de ses pièces : Les Précieuses avaient été publiées malgré lui, et l’
histoire
du Cocu imaginaire édité par le Sieur de Neuf Vil
dans la pierre : « rue des Prêtres ». Enfin, pour en terminer avec l’
histoire
de la rue des Jardins, je dirai encore qu’elle po
ntient-il un point de vérité, et ne faudrait-il voir, dans la fameuse
histoire
de la noyade d’Auteuil, qu’une partie de bain ou
ent poétique. Nous avons trouvé la preuve qu’il était médecin, dans l’
Histoire
chronologique de la médecine et des médecins, par
olume de ce qui ne devrait remplir que peu de pages, sont cause que l’
histoire
des hommes célèbres est presque toujours gâtée pa
ite à Paris en 1728. On tâchera d’éviter cet écueil dans cette courte
histoire
de la vie de Molière ; on ne dira de sa propre pe
rapportée, et la seule qui ne soit pas dans cette fausse et mauvaise
histoire
qu’on a mise jusqu’ici au devant de ses ouvrages
fêtes que Louis XIV donna dans sa jeunesse, méritent d’entrer dans l’
histoire
de ce monarque, non-seulement par les magnificenc
ir plus de pédanterie que d’agrément. Tous ceux qui sont au fait de l’
histoire
littéraire de ce temps-là, savent que Ménage y es
e. C’est Goldoni qui le premier porta à la scène la personnalité et l’
histoire
de Molière, dans la comédie qu’il fit jouer à Tur
rapprochements qui ne coûtent pas beaucoup en somme à la vérité de l’
histoire
, et qui confondaient le nom de leurs grands histo
S, L’ILLUSTRE THÉÂTRE On touchait à un moment remarquable de notre
histoire
, à une époque pleine d’effervescence et d’élan. L
ur la biographie de Molière. Il est aussi du plus haut intérêt pour l’
histoire
des origines de la Comédie française. La Comédie
L’Hôpital des fous et de trois ou quatre autres pièces citées dans L’
Histoire
du Théâtre français des frères Parfait. Si c’étai
des mœurs de leur temps ; tous deux ont retracé une page bizarre de l’
histoire
morale de leur pays. CHAPITRE III. DÉPART. LES
ignements deviennent un peu plus positifs. M. Jules Rolland, dans son
Histoire
littéraire d’Albi, a publié des documents dignes
duire quelque chose de la physionomie de l’époque. L’épisode de notre
histoire
qui touchait à son dénouement, la Fronde, ressemb
’Étourdi et Le Dépit amoureux, la légende, qui cherche à suppléer à l’
histoire
intime de Molière, absolument inconnue, a placé u
g dans un mauvais livre ayant pour titre : La Fameuse comédienne ou l’
histoire
de la Guérin 40. Ce livre, dirigé contre la veuve
42. Tel est le récit que nous trouvons dans les premières pages de l’
histoire
de La Fameuse comédienne. Que les détails soient
édien, dont il tire la gloire Qu’il nous vient d’étaler racontant son
histoire
. Le langage est grossier ; mais les jalousies, l
artificiel. La phase distincte que le précieux représente dans notre
histoire
, ce règne de l’affectation, ce fanatisme du bel e
nc pas seulement au théâtre de Molière, elles appartiennent aussi à l’
histoire
: leur caractère s’explique précisément par l’ind
se, était un homme d’esprit, d’honneur, et incapable d’inventer cette
histoire
. Il disait que Louis XIV ayant su que les officie
MARIAGE Nous venons de toucher par ces dernières observations à l’
histoire
intime de Molière. Il est temps de pénétrer plus
llas, de Junon et de Cypris, Chapelle conclut par ces mots : Voilà l’
histoire
; que t’en semble ? Crois-tu pas qu’un homme avis
s fallu se mettre en grande dépense d’imagination pour inventer cette
histoire
; on n’avait fait que prendre tout simplement le
le rôle qu’on attribue à Molière sont absurdes et odieux. Toutes ces
histoires
sont apocryphes et diffamatoires ; il s’en fallai
ait très grand historien et avait beaucoup vu, lu et relu de diverses
histoires
; mais la fin principale à quoi tendait son exerc
comment femmes peuvent décevoir leurs maris. Car, la Dieu merci, les
histoires
anciennes, comme Mathéolet, Juvénal, Les Quinze j
us souvent tirés de l’esprit de celui qui les fait parler que de leur
histoire
. Il n’en est pas de même des fous que l’on peint
r qu’on nous ôte nos mères ! » Ce jour était, comme nous l’apprend l’
histoire
du jansénisme, le 26 août 1664. Tout le monde vou
ages qui sont, non pas du domaine de la fiction, mais du domaine de l’
histoire
? Le Tartuffe et Don Juan sont les deux plus gra
et diffamatoire dont nous avons déjà parlé : La Fameuse Comédienne ou
Histoire
de la Guérin ; et encore ce livre est-il pris sur
s avec ses amis font toutes le plus grand honneur à son caractère ; l’
histoire
anecdotique du siècle, si abondante et faite à de
nomme Jean-Armand de Mauvillain, joue un rôle assez important dans l’
histoire
de la Faculté. Après des luttes très vives contre
dotale. Le danger qui les frappait n’était nullement chimérique, et l’
histoire
du Tartuffe jusqu’à nos jours l’a suffisamment pr
t là une lutte qui n’est pas près de finir et qui est presque toute l’
histoire
et toute la vie de notre civilisation. Molière, q
fois en 1800, dans « Le Conservateur ou Recueil de morceaux inédits d’
histoire
tirés des portefeuilles de M. François de Neufchâ
Dictionnaire et traités de philosophie. Environ vingt vol., à Paris.
Histoires
d’Espagne, de France et d’Angleterre. Quelques vo
qu’elle était tout entière attachée à son ménage, et les auteurs de L’
Histoire
du Théâtre français ajoutent que, retirée habitue
tre les années 1646 et 1658. On l’a vu figurer plus d’une fois dans l’
histoire
de ces pérégrinations ; à Montpellier, aux États
t Baron et Dancourt. Toute cette famille remplit un grand rôle dans l’
histoire
anecdotique de la comédie française à la fin du X
aron avait neuf ans lorsqu’il demeura orphelin. Grimarest a raconté l’
histoire
de cet organiste de Troyes, nommé Raisin, qui ima
nant le théâtre du Palais-Royal dont il est question à la page 345. L’
histoire
de la sépulture de Molière depuis les obsèques ju
es de Daniel de Cosnac, archevêque d’Aix, publiés par la Société de l’
histoire
de France, par le comte Jules de Cosnac ; Paris,
figurer dans l’acte de baptême du 10 janvier 1650, à Narbonne. 31.
Histoire
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
e royale de musique depuis 1673 jusqu’à l’incendie de 1763. » 132.
Histoire
de la troupe de Molière, journal L’Ordre, 12 mars
le conjecturer, elle était née en 1624. 140. Voyez page 229. 141.
Histoire
du Théâtre français, tome XI, p. 305. 142. Nouv
6. 160. Voyez p. 90. 161. Recueillie par les frères Parfait, dans L’
Histoire
du Théâtre français, tome XII, page 472. 162. Po
eu des ressorts, &c. Après avoir fait part au spectateur de l’
histoire
secrete des principaux personnages d’un drame, &a
content de n’apprendre que là au spectateur le véritable nom & l’
histoire
secrete d’un acteur qu’il a vu dès le premier act
ils Horace Douze ans aient découvert jamais la moindre trace. Voilà l’
histoire
en gros, redite seulement Afin de vous servir ici
reurs, toute sa passion, toute sa fièvre dans les entrailles de notre
histoire
. Alors, elle cessera d’être pour nous ce fantôme
poète Tyrtée hâtait par ses chants le pas accéléré des Spartiates, l’
histoire
avoue qu’il marchait devant et qu’il était boiteu
stances atténuantes. Que dire après Molière ? Vous souvenez-vous de l’
histoire
de milady ? Je vous ai expliqué de mon mieux pour
oyage du monde de Descartes, et des nouveaux Mémoires pour servir à l’
histoire
du Cartésianisme. Mais il y a plus à s’étonner, s
Séparez donc l’étude des lettres de celle de la philosophie et de son
histoire
, et, entr’autres résultats, vous aurez celui de r
plaisirs et ta gloire Quand des mœurs de ton temps tu nous traçais l’
histoire
; Quand tes vers, devenus proverbes en naissant,
comme ils n’ont rien appris : Ils ne peuvent encore, en lisant notre
histoire
, Nous pardonner trente ans de travaux et de gloir
es humanités à l’époque du pseudo-classicisme. Grammaire, rhétorique,
histoire
, philosophie : il a touché à toutes ces matières,
euve, Notice sur Molière. 249. Boileau, Fénelon, Taschereau, Nisard,
Histoire
de la littérature française. 250. Louis Moland.
me de critique absolue, ne seront peut-être pas jugés inutiles pour l’
histoire
de notre langue4. On a beaucoup reproché à Voltai
Molière dans son art sont attentivement observés, non seulement fût l’
histoire
de ses ouvrages, mais même pût être considéré, en
ses ouvrages, mais même pût être considéré, en quelque sorte, comme l’
histoire
de son génie. Tout l’ouvrage est précédé d’un Dis
cite la plaisante difformité de son masque. J’aurais voulu retracer l’
histoire
de la comédie, depuis Molière jusqu’à nos jours.
tel fait littéraire, telle anecdote personnelle, tel trait enfin de l’
histoire
politique ou morale de l’époque, dont j’ai pu cro
ut des rapports, je faisais, de la Vie de ce grand poète, une sorte d’
histoire
abrégée de l’époque glorieuse dont il fut un des
is, à l’étranger, en 1688, sous le titre de la Fameuse Comédienne, ou
Histoire
de la Guérin, auparavant femme et veuve de Molièr
pour un édifice public être préféré à celui d’un architecte : c’est l’
histoire
de Claude Perrault et du cavalier Bernin. Avant q
u récit et à la critique des diverses particularités qui en forment l’
histoire
, je ne pourrais, dans ce récit purement biographi
aucoup de succès. Ses autres ouvrages sont un Voyage de la Luneet une
Histoire
comique des États et Empires du Soleil. 27. Suiv
temps, explique ses vers par les mêmes faussetés dont il a rempli son
histoire
. 38. On cite de Molière un mot facétieux, qui se
omplètes de Molière, avec les notes de tous les commentateurs, et une
Histoire
de la Vie et des Ouvrages de Molière.Ce jeune écr
se, était un homme d’esprit, d’honneur, et incapable d’inventer cette
histoire
. » 65. « Chapelle,dit Saint-Marc, éditeur de se
s encore envie. Le génie de la France, tel qu’il apparaît à travers l’
histoire
, brûlant et brillant à la fois, sain, vigoureux e
les tableaux, il n’a jamais dîné. Mensonges de la tradition et que l’
histoire
anéantit. Cette jeunesse de Molière est singulièr
nde énergie. Ce fier visage de songeur nous apparaît donc à travers l’
histoire
comme un des plus nobles et des plus sympathiques
avait point fini avec les tribulations. Il fallut (et sur ce point, l’
histoire
doit savoir quelque gré à Louis XIV), il fallut l
e des femmes n’est qu’un pot-pourri de La Précaution inutile et d’une
histoire
de Straparolle. » Ce reproche de pillerie, on l’
nnent encore rendre hommage. Ces vers, il faut l’avouer, sont pour l’
histoire
littéraire d’un intérêt tout à fait capital, et o
eints exceptés, dans le bras, — mais encore c’est là comme une page d’
histoire
. On s’imagine, en la voyant, Molière portant déjà
Mignard et que grava Nolin en 1685. Celui-là est vraiment une page d’
histoire
et, pour la critique littéraire, il est, psycholo
des latins, Balzac, Montaigne, un traité de philosophie, des livres d’
histoire
et des voyages. Bibliothèque de penseur et non de
ure de la taille d’Hamlet, une vision de la valeur de La Tempête, une
histoire
d’amour du charme de Roméo et Juliette, un drame
ttres au Mercure de France (1673, 1722 et 1740) sont curieuses pour l’
histoire
de Molière. Beaubourg (Louise Pitel de Beauval,
ne branche d’olivier à la main, pour représenter la muse antique de l’
histoire
. Puis venaient : MM. Samson, en Mascarille ; Geff
t demi, mais n’en dites rien à ma mère ! » 28. Voyez l’édition de l’
Histoire
de la Guérin, qu’a publiée, avec une préface et d
conque, on ne supporterait pas l’invraisemblance et la monotonie de l’
histoire
. Tartuffe se dit dévot, toute la popularité de l’
s ne sera pas sans utilité. Il y a là un épisode intéressant de notre
histoire
littéraire. Et cette histoire, pour le dire en pa
y a là un épisode intéressant de notre histoire littéraire. Et cette
histoire
, pour le dire en passant, sera mal connue tant qu
seurs. L’auteur est M. Bazin, savant et homme d’esprit, dont on a une
Histoire
de Louis XIII, composée avec beaucoup de patience
écu sans culte, il est mort en dehors de toute forme de religion. Son
Histoire
de Louis XIII respire le plus tranquille mépris p
sait ménage depuis seize ou dix-sept ans. Bazin conte au long toute l’
histoire
; elle est déplorable. On accusait Molière d’avoi
rale ! Le prince lui répond par un discours où il décrit longuement l’
histoire
de sa flamme et où il y a bien de quoi faire pâme
leux que les prophètes remplissaient auprès des rois d’Israël. Dans l’
histoire
sacrée, les prophètes apparaissent devant les roi
d’Amphitryon, Mascaron prêchant le Carême devant le roi, paraphrasa l’
histoire
de David, et prononça les paroles foudroyantes qu
sermon sur l’éloignement de Dieu et le retour à Dieu. Paraphrasant l’
histoire
de la résurrection de Lazare, il montre le sommei
tres villes. Cela dura quelques années, et ces années comptent dans l’
histoire
de la littérature française. Molière faisait repr
e uniforme. Allons d’abord aux sources de l’inspiration de Molière. L’
histoire
du Tartuffe n’est pas moins intéressante que l’œu
neur (la vilaine !) et fit placer ces grilles restées fameuses dans l’
histoire
. Ce scandaleux éclat n’avait d’autre but que d’em
Mais alors tout cela crève de scélératesse et d’iniquité ; c’est une
histoire
de bandits que nous avons sous les yeux, et non p
el est comme suspendu par les énergies de sa volonté aidée de Dieu. L’
histoire
des saints est pleine d’événements et de circonst
e faisait pardonner les faiblesses de son sexe, celle-ci lui conta l’
histoire
d’un hypocrite avec des traits si naturels et si
ic, toujours disposé à diminuer la gloire des grands hommes. (Voyez l’
Histoire
du Théatre François.) XI. Moliere, étoit de
rançoise ; & nous ne doutons point, disent MM. Parfaict dans leur
Histoire
du Théatre François, qu’en lisant ceci, beaucoup
onne plaisanterie, de verve et de grossièreté, etc. » J. Taschereau, (
Histoire
de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voi
e de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voir aussi D. Nisard (
Histoire
de la Littérature française, liv. III chap. IX, §
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