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1 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Préface » pp. -
ntérêt, ni d’instruction que le titre n’en promet. Ce n’est point une histoire de la société polie, c’est un mémoire ou la compi
n d’une suite de mémoires rédigés pour faciliter la composition d’une histoire suivie, ou plus simplement pour éliminer désormai
’une histoire suivie, ou plus simplement pour éliminer désormais de l’ histoire des mensonges accrédités. C’est une suite de disc
démêlé les temps de leur existence, j’ai voulu rendre aux amateurs d’ histoire le service de remettre les choses en leur temps e
la jeunesse pour donner le fini à un ouvrage du genre de celui-ci. L’ histoire de la société polie veut, pour être traitée conve
2 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
n, comte de Modène1, est connu dans la république des lettres par une Histoire des révolutions de la ville et du royaume de Napl
 ; le premier volume en 1665, et les deux autres en 1667. 3. Voyez l’ Histoire de la noblesse du comté Vénaissin, d’Avignon et d
is, 1750, tome 3, p. 19, 20, 21 et 22, article Raimond. Voyez aussi l’ Histoire manuscrite de Pernes, par Giberti, généalogie des
té Vénaissin. Tome premier. Paris, 1743 ; p. 135, art. la Baume. 6. Histoire généalogique de la maison de France, par le père
6. 11. Biographie universelle, t. 19, p. 199 ; article Guise. 12. Histoire manuscrite de Pernes, par Giberti. 13. Histoire
rticle Guise. 12. Histoire manuscrite de Pernes, par Giberti. 13. Histoire des révolutions de Naples, t. 2, p. 69. 14. L’A
p. 69. 14. L’Art de vérifier les dates. Paris, 1819, t. 18, p. 288. Histoire des rois des deux Siciles, par d’Égly. Paris, 174
. 195. 15. Il descendait d’Yolande d’Anjou, fille du roi René. 16. Histoire des révolutions de Naples, tome 2, page 245. 17.
avec sa mère. 20. Vie de la Guérin, citée par Bayle et Joly. 21. Histoire de la noblesse du comté Vénaissin, tome 3. 22.
n. 28. Registres de La Grange, pour 1662, 1665, 1670 et 1672. 29. Histoire manuscrite de la ville de Pernes, par Giberti. 3
3 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
Je vous en parlerai ; elle est curieuse. Alors Épistémon commença son histoire au milieu d’un calme général et d’une curiosité a
us été, en dépit de Minerve et de lui, ses prophètes. Je ne sais si l’ histoire de l’esprit humain offre un spectacle plus curieu
initifs réglant la forme de toute la poésie à venir, et ce document d’ histoire a conservé jusqu’au dix-huitième siècle, et encor
le promoteur est Kant. Avec les érudits parurent les philosophes de l’ histoire , Herder, Goethe, le grand cosmopolite de la criti
célébrée par le Chevalier ait jamais eu ces qualités, c’est ce que l’ histoire ne permet pas de prétendre, et qu’elle puisse les
sérieux de la victoire des Thébains, tel qu’il pourrait être dans une histoire ou dans un poème. Molière a conservé le ton de la
ctacle plaît aux Espagnols, ou leur a plu à un certain moment de leur histoire . Esprit général de la critique littéraire A
vapeur et par le chemin de fer. Il ira en Angleterre avant d’écrire l’ histoire de la littérature anglaise ; en France, en Allema
x, ni laids : ils sont des crocodiles. Je ne suis pas plus fort sur l’ histoire naturelle de ces grands sauriens que le Chevalier
ns, cela suffit. Mais, dans ce mot que de choses ! « Celui qui dans l’ histoire de la nature célèbre la puissance mystérieuse des
oète, mais jamais il ne sera naturaliste393. » Le critique qui dans l’ histoire littéraire célèbre l’indépendance de la Muse, et
es déviations de l’ordre et de la loi395. Croit-on qu’il y ait dans l’ histoire , et, pour borner le champ de notre réflexion, dan
dans l’histoire, et, pour borner le champ de notre réflexion, dans l’ histoire littéraire, un seul fait, un seul ouvrage assez c
fisent pas à nous expliquer l’existence et la nature d’une œuvre, à l’ histoire nous ajouterons la biographie, et nous finirons b
ù elle s’est enfermée, avait ouvert à la mienne de vastes horizons. L’ histoire entière de l’art repassait successivement dans mo
entière de l’art repassait successivement dans mon souvenir, comme l’ histoire même de l’humanité racontée en caractères symboli
C’était ensuite la statuaire qui déroulait devant mes yeux, avec son histoire , quelque chose de l’histoire de l’esprit humain.
qui déroulait devant mes yeux, avec son histoire, quelque chose de l’ histoire de l’esprit humain. J’entrais en imagination dans
quer le discours guerrier de Sosie par les grands faits généraux de l’ histoire romaine, elle expliquerait le discours plaisant d
Commandeur441. En l’année 1667442, commence un fait important dans l’ histoire du dix-septième siècle, curieux pour celle du thé
que celle de l’esprit français, ne suffit pas. À l’ethnologie et à l’ histoire , il faut ajouter la biographie ; alors seulement
r en lui les instincts du crocodile. » Taine, Essais de critique et d’ histoire . 389. « Le critique est le naturaliste de l’âme
oyant, de la diversité de la nature. » Taine, Essais de critique et d’ histoire . 390. « Le beau et le laid, qualités dérivées e
e faire raisonnable et circonspecte. » Taine, Essais de critique et d’ histoire . 392. « Pour connaître l’homme, ce ne sont pas
doit atteindre. » Id., ibid., préface. 393. Herder, Philosophie de l’ histoire de l’Humanité, livre XIII, chap. vii. 394. Spino
thique, avant-propos de la troisième partie. Herder, Philosophie de l’ histoire de l’Humanité, livre XIII, chap. vii. Scherer, Re
 février 1861. 395. Spinoza, Scherer, ibid. Herder, Philosophie de l’ histoire de l’Humanité, livre VIII, chap. ii. 396. Entre
doit être, et il n’en peut être autrement. » Herder, Philosophie de l’ histoire de l’Humanité, livre VIII, chap. ii. 414. « Tou
rent ne peut plus remonter vers sa source. » Herder, Philosophie de l’ histoire de l’Humanité, livre XV, chap. iv. 415. Taine, H
osophie de l’histoire de l’Humanité, livre XV, chap. iv. 415. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
nd de n’être pas de verre. Les Femmes savantes, III, ii. 419. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
Histoire de la littérature anglaise, livre III, chap. i. 420. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
du théâtre. 428. Dates données par Roederer, Mémoire pour servir à l’ histoire de la société polie. 429. Julie d’Angennes, sœur
ière, sa vie et ses ouvrages. 452. Roederer, Mémoire pour servir à l’ histoire de la société polie. 453. Ibid. 454. Henri Ma
r à l’histoire de la société polie. 453. Ibid. 454. Henri Martin, Histoire de France. 455. Taschereau, Histoire de la vie e
53. Ibid. 454. Henri Martin, Histoire de France. 455. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière. 456. Guy P
4 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
e les suit, elle en reçoit l’influence, et devient en quelque sorte l’ histoire morale, des nations. Elle est, pour la postérité,
dans un autre, et qui se prolonge à travers la succession des âges. L’ histoire nous rappelle, nous retrace le passé, la comédie
pinceau de ce grand homme, la comédie s’est tout à fait associée à l’ histoire  ; il semble que les personnages de l’une soient d
res, tout ce qui a été écrit sur les deux derniers siècles a disparu. Histoire , chronique, inscriptions, médailles, tout s’est a
ales des deux siècles, et c’est dans la comédie que se retrouverait l’ histoire . Au premier coup d’œil jeté sur les œuvres de Mol
c’est que le théâtre de ces temps malheureux pourrait aussi en être l’ histoire . Je n’ai tracé qu’une esquisse rapide et légère,
u temps où elle a paru, et en devenir, si je puis m’exprimer ainsi, l’ histoire dialoguée. On trouvera mon système plus spécieux
èse dans laquelle je me suis placé ; et je répondrai d’ailleurs que l’ histoire de certains peuples de l’antiquité repose sur des
5 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
’en trouve heureusement circonscrit. Il ne s’agit point d’embrasser l’ histoire de l’art comique italien dans toute son étendue,
res d’Italie et d’Europe2. » Au fond, c’est là probablement la vraie histoire du seigneur Polichinelle et de plus d’un type de
iccoboni dit Lelio, dans la première moitié du dix-huitième siècle, l’ Histoire de l’ancien théâtre italien, publiée par les frèr
me point de vue que le mien, constituent toute une série de travaux d’ histoire et de critique littéraire, qui témoignent que c’e
on tour. Parmi les modernes, il faut citer M. Charles Magnin pour son Histoire des marionnettes, et surtout pour son article sur
6 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
compte ici. Eh bien, comme après la chute d’une royauté l’impartiale histoire établit la comparaison des conquêtes et des rever
morale, on ne prétend point examiner cette question par le côté de l’ histoire ni par celui de la critique, ni dire en quelques
, 1673, tome 1. 803. Titre de la première édition du ‘Discours sur l’ Histoire universelle, Paris, S. Mabre-Cramoisi, 1681. 804
nt revenus à Paris, alternèrent de nouveau avec eux. » J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, not
faiblesse inexcusable de la part d’un ami de Molière et des lettres ( Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III).
1821.   Aimé Martin, Œuvres de Molière, 1823-1826.   J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, 1825, avec
Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique.   D. Nisard, Histoire de la Littérature française.   F. Génin, Lexiqu
hap. IX. 825. Voir toutes les vies de Molière, et particulièrement l’ histoire de son dernier jour : « Il y a cinquante pauvres
donner du pain un seul jour, le pouvant absolument » (J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III).
irs religieux dans sa paroisse de Saint-Eustache. Voir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, no
7 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
uences royales en littérature Les écrivains qui recherchent dans l’ histoire des langues celle des idées, ou du moins celle de
semblent avoir été imaginés. Depuis qu’un écrivain illustre, mêlant l’ histoire et la biographie à l’étude des grandes œuvres de
tions aux jansénistes, et qu’il peut figurer avantageusement dans une histoire de Port-Royal, où un parallèle entre Polyeucte et
itre seul, le Siècle de Louis XIV, donné à un ouvrage qui n’est que l’ histoire du règne et non du siècle, a suffi pour popularis
ais s’il n’eût pas eu à écrire pour ce jeune prince le Discours sur l’ Histoire universelle et la Connaissance de Dieu et de soi-
les la barbarie, après elles la décadence. Rien de moins conforme à l’ histoire , et les deux règnes présentent au contraire à cet
jusqu’au moment où, quelques hardiesses ayant été signalées dans son histoire de France, cette pension fut réduite à 2,000. En
on l’enseignait officiellement, et vous saurez ce que pouvait être l’ histoire sous l’ancien régime. Ce qu’il importe de remarqu
tenait d’un vieux médecin de la cour… Tout cela ne donne pas à cette histoire un grand air d’authenticité. En outre, si Louis X
n riant. 5. Voir Tallemant des Réaux. 6. Aug. Thierry, Essai sur l’ histoire du Tiers-État, 2e édit., p. 235. 7. Tallemand. E
travail auquel ils étaient peu préparés sans doute ; celui d’écrire l’ histoire de ses campagnes. Mmede Sévigné prend la liberté
té de se moquer un peu de ce choix. Il est vrai qu’au lieu d’écrire l’ histoire , Racine se contenta de faire sa cour, et d’abando
8 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102
uses ridicules. 282. A. Constantin, Dictionnaire de biographie et d’ histoire de Dezobry et Bachelet, article Rambouillet. 28
Dezobry et Bachelet, article Rambouillet. 283. Voir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. 28
. 286.   Les Précieuses ridicules, sc. III, IV, V. Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
la Littérature française, liv. III, chap. IX, g 2, et J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voi
laminte et Armande sont de vraies précieuses. Aussi Rœderer, dans son Histoire de la Société polie, qu’il confond avec la sociét
urs de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
tradition de l’Église, par le prince de Conti (1667) ; J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II ; A
urs de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
9 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
rt de la haute comédie77. Ce n’est pas le lieu non plus de raconter l’ histoire de cette pièce, dont la représentation fut une af
nt avec la troupe de Molière sur le même théâtre (Voir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, not
faux dévot, Molière en a peur, il en a horreur du moins. » D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. Il1, chap. ix,
p. VI, sect. 5, et F. Genin, Vie de Molière, chap. V. 78.   Pour l’ histoire du Tartuffe, voir :   La Préface et les Placets
e Molière, édition vario-rum, Notice du Tartuffe) ;   J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II et
re, IIe partie ;   F. Génin, Vie de Molière, chap. V ;   D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
oins capables d’en faire un juste discernement. » Voir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II, no
La portée morale de cette scène est bien appréciée par J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, à l
10 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37
ropres amours dégagés de toute idée grossière, et où, « par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d’autres, sont dé
ur platonique et dégoûter des grossièretés de l’amour physique. Cette histoire de d’Urfé était fort répandue, comme toutes les a
n y reconnut, dit Patru, une pastorale allégorique , un assemblage d’ histoires des amours de d’Urfé avec Marguerite de Valois, a
, et d’autres amours du temps. L’auteur, dit encore Patru, a mêlé ces histoires de fictions pour les rendre plus agréables, et le
11 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
de 1668) Au printemps de 1668, commence une nouvelle époque dans l’ histoire de l’ancien théâtre italien. D’abord quelques cha
e fixer à cette date le point de départ d’une nouvelle période dans l’ histoire de la comédie italienne à Paris, c’est que ces ac
lement de Rouen. De ce moment, le théâtre italien prend aux yeux de l’ histoire un intérêt d’une autre sorte ; mais il perd celui
suffit de lire l’analyse que donnent de ce scénario les auteurs de l’ Histoire de l’ancien théâtre italien, pour se convaincre q
ierrot, tel qu’il parut en 1673, reproduit d’après la planche 18 de l’ Histoire du Théâtre italien de Riccoboni. Pierrot est tout
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
u l’Epreuve de la Vertu, Comédie en cinq actes & en prose, avec l’ histoire véritable de la Piece. Histoire de la Piece.
cinq actes & en prose, avec l’histoire véritable de la Piece. Histoire de la Piece. « Le sixieme volume de l’Encyclopé
venoit de s’y passer. Il satisfit à mes questions. Il me raconta son histoire . Je tremblai avec lui des épreuves auxquelles l’h
u, je vis & j’entendis ce qu’on va lire ». Je ne transcris pas l’ histoire , parcequ’on la verra dans l’extrait de la piece ;
n que j’intitulai le Fils naturel ou les Epreuves de la vertu, avec l’ histoire véritable de la piece. « Sans la supposition que
donner l’extrait, & je le copierai tel que je l’ai trouvé dans l’ Histoire du Théâtre Italien, pour qu’on ne puisse pas m’ac
13 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
e, ces diverses études de la comédie aux différentes époques de notre histoire , et nous espérons fort, pour peu que le lecteur n
river à quelque utile résultat. On n’a jamais fait, que je sache, une histoire complète de l’art dramatique ; autant vaudrait en
istoire complète de l’art dramatique ; autant vaudrait entreprendre l’ histoire universelle du genre humain. Les plus savants se
ni, après quoi ils se sont reposés, plus fatigués d’avoir entrepris l’ histoire des marionnettes que celle des Mèdes, des Assyrie
t à partir d’Aristophane ou seulement à partir de Théophraste, quelle histoire plus variée à la fois et plus charmante, avec un
sons à danser, carmen saltare , mais non, les historiens de la grande histoire (eh ! nous voilà sur les domaines de M. Monteil !
tons depuis qu’il y a des hommes en société, ont été dépensées pour l’ histoire des usages et des mœurs de la société civile. Pen
sais quelle ressemblance violente, qui ressemble à la comédie ou à l’ histoire , comme le bistouri qui sauve ressemble au couteau
-il mieux chercher nos pères dans Le Cabinet satyrique 37, que dans l’ histoire de France écrite en très beau latin, par M. le pr
es du Louvre elle se fera une cabane ! Elle a pour elle, l’éclat de l’ histoire et l’éclat du théâtre ; elle a la poésie et le ro
— Et le voilà, appartenant à qui veut l’écrire, ce livre de morale, d’ histoire , et de philosophie où se doit rencontrer, à la lo
ortant, avec soi, dans sa tombe ignorée, un lambeau de la vie et de l’ histoire universelles ! En vain les curieux impertinents s
ivaux ; elle est pour quelques-uns un regret, elle est pour tous de l’ histoire  ; elle a été un grand écueil pour ceux qui ont vo
les ont criblé de pétitions la Chambre des Pairs, elles ont arrangé l’ histoire à la taille de leurs petites passions, elles ont
tterie, indiquaient aux moins clairvoyants un adieu éternel ! C’est l’ histoire et c’est le conte des amoureux qui se séparent, l
14 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
de 1671 et 1673, qui n’eurent rien de commun. M. de Beausset, dans l’ Histoire de Bossuet, redresse la seconde des erreurs de da
ne sainte résignation. Trente pages de La Beaumelle contiennent cette histoire presque toute dialoguée, à laquelle il ne manque
re. Pendant son absence, que se passait-il à la cour et à l’armée ? L’ histoire nous apprend que le roi, qui était parti dans les
je me représente Didon qui fait bâtir Carthage110. La suite de cette histoire ne se ressemblera pas… La reine a diné aujourd’hu
e imposteur. Puis-je me dispenser, dans un ouvrage qui a pour objet l’ histoire de la société d’élite, de faire remarquer dans ce
obles amies l’avaient entendu. Voici comment M. de Beaussel, dans son Histoire de Bossuet, s’exprime sur ce sujet113. « Louis X
15 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
’explique ce que le comte d’Argenson est obligé de consigner dans son histoire , vers cette date de 1660 : « L’esprit du monde ne
rdres assez divers collaborèrent, qu’il n’est pas indifférent, pour l’ histoire générale, d’éclaircir. II. Les « libertins » d
stiques, et les documens nouveaux par lesquels peu à peu s’illumine l’ histoire de la mystérieuse Compagnie nous apportent, sur c
gieuses du xviie siècle, de nouvelles précisions. Sans refaire ici l’ histoire de la guerre, qui fut quelque temps clandestine e
Dans ces congrégations de Notre-Dame, se rencontre l’auteur même de l’ histoire du Saint-Sacrement, le conseiller d’État de Voyer
les Lair, Mllede La Vallière, 3* édition ; F. Brunetière, Manuel de l’ histoire de la Littérature française, 2* edit., p. 113, 17
lière, t. I, p. 225-226. 19. A. Gazier, Mélanges de littérature et d’ histoire , p. 6, 15, 18; E. Faguet, Propos de théâtre, p. 2
« ce que Molière a voulu faire entendre, car je n’en sais rien. »— L’ histoire des hommes et des actes de la Compagnie du Saint-
. 31. Propos de théâtre, p. 203. 32. Mélanges de littérature et d’ histoire , 1904 (Pavillon, Molière et Conti). 33. Mlle de
le. 37. Deux ans après la date probable où Tallemant racontait cette histoire . 38. Notons que le confrère de Bernières-Louvign
t tentent avec plus de circonspection de résoudre ce petit problème d’ histoire littéraire et morale, à l’aide des élémens solide
(ch. xix), à l’aide aussi de M. Gazier, Mélanges de littérature et d’ histoire (1904), à l’aide enfin des notices d’Eugène Despo
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296
z donc la tête... Regardez-nous... Allons, faites-nous quelque petite histoire pour nous amuser. L’Amour. Non, je veux dormir. E
s. (Elles se levent, & veulent l’emmener.) Voici présentement l’ histoire telle qu’elle est dans Gayot de Pitaval. Le héros
il les prie en vain de lui laisser un bras libre, comme le héros de l’ histoire  : il les menace comme lui de s’endormir, & le
ait copié exactement le tableau de la comédie. 31. J’ai lu la même histoire différemment tournée ; il n’y est point question
17 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
et du Mariage forcé 196, qu’on doit conserver dans les archives de l’ histoire de la science à côté de l’Arrêt burlesque de Boil
VII. 125. Matth., chap. V, v. 48. 126. 1666. 127. Voir D. Nisard, Histoire de la littérature française, liv. III, chap. IX,
, act. IV, sc. I. 133. Id., act. I, sc. I. 134. Voir J. Tachereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II ; A
e la charité ; Philinte tombe dans l’égoïsme indigne. Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. IV, chap. VI, §
qu’un fort vilain homme ; un mot le résume : c’est l’égoïste, etc. » Histoire de la Littérature française, liv. III, ch. IX, §
dont le bon sens murmure. Voir plus loin, chap. VII. 191. D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap ? I, §
ne intention formelle de réforme scolaire se trompent (J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II). M
18 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
t plus permis de faire des théories littéraires. Vingt-cinq siècles d’ histoire littéraire se chargent de les réfuter toutes. En
machine humaine est détruite par la folle du logis. Ce n’est point l’ histoire qui a enseigné cela à M. Taine. C’est une constru
que Sophocle, Virgile, Racine, Goethe, vraiment trop superflus dans l’ histoire littéraire. Il faut l’avouer : nos trois écoles s
vérité totale, de cette inconnue que nous cherchons). Ce livre est l’ histoire d’un esprit qui a passé par ces trois moments. Ma
19 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
excusait ses infidélités par les emportements de la reine : c’était l’ histoire de tous les mauvais ménages2. En 1609, Henri mit
ice. Plusieurs écrivains, et en dernier lieu, M. Taschereau, dans son Histoire de Molière, y trouvent une première preuve de l’a
après cette sommation que le roi est tué par Ravaillac. On lit dans l’ Histoire universelle anglaise, t. XXXI, p. 259 que Ravaill
chef. 5. Moréri. — Fléchier, Oraison funèbre. 6. Mad. de Genlis, Histoire de Henri IV, t. II, p. 355. 7. Fléchier. 8. Il
lles de Voiture, celles de Mad. de Scudéry et de bien d’autres. 15. Histoire de La Fontaine, t. V, p, 249.
20 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « epigraph »
n l’a dit et comme de notre temps on ne se lasse pas de le prouver, l’ histoire est toujours à faire, cela est vrai surtout de l’
prouver, l’histoire est toujours à faire, cela est vrai surtout de l’ histoire des lettres, où les tentatives nouvelles du talen
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
nie, mise à côté d’une anecdote ; & les Fils ingrats, à côté de l’ histoire d’un Marchand d’Anvers. Le mérite ne va plus dé
mp; dans l’Esprit des Conversations, ouvrage de Gayot de Pitaval, une histoire qui a beaucoup de rapport avec cette comédie : je
e qui a beaucoup de rapport avec cette comédie : je vais transcrire l’ histoire . Un riche marchand d’Anvers, qu’on appelloit Jea
ort effraie un cœur aussi perfide ! Le faiseur d’écran a pris cette histoire dans l’Esprit des conversations agréables. Gayot
22 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
is au concours cette question : « De la nécessité de concilier dans l’ histoire critique des lettres le sentiment perfectionné du
leur juste part aux dogmes littéraires, au sentiment littéraire, à l’ histoire littéraire ? Or, je vois bien ce qu’il y a de bon
y a de mauvais dans les dogmes seuls, dans le sentiment seul, dans l’ histoire seule ; mais quand j’ai rassemblé tout ce que je
re, c’est l’étude des faits ; ses instruments sont éprouvés : c’est l’ histoire , c’est la psychologie. Quelle lumière elle répand
23 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
la peinture. La date seule est à changer. Il y a, Messieurs, pour l’ histoire de notre vieux théâtre, une date importante et fo
dit, je ne saurais trouver un résumé plus net et plus saisissant de l’ histoire de notre théâtre. Je crois avoir vu, Messieurs, p
ie n’a pas trop l’air d’y croire, il l’en punit en le rendant muet. L’ histoire continue à se dérouler, à peu près telle que l’Ev
près de deux siècles. Ils aimaient ces représentations vivantes d’une histoire , si dramatique par elle-même, et qui renfermait t
siècle, comprenait la sortie d’Égypte, le passage de la mer rouge, l’ histoire de Job, de Tobie, de Daniel, de Suzanne, d’Esther
des Dave, il se fut consacré à perpétuer les souvenirs héroïques de l’ histoire nationale ou à peindre les mœurs de notre société
èges un livre qui peut vous donner une idée de ces moralités. C’est l’ histoire d’un nommé Chrétien qui, séduit par Orgueil et Fa
et blême suivait toujours Chrétien ; c’était le nommé Remords. Cette histoire , qui avait sans doute l’intention d’être édifiant
ud, transféré de la chaire du Littérature, française dans la chaire d’ Histoire et de Géographie. 5. M. Emmanuel des Essarts, d
24 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
dix-huit chemises de nuit ; mais nous n’avons point, en attendant, l’ histoire des origines de la comédie de Molière, où l’on tr
ence plus approfondie de son œuvre. Mais sa famille, son éducation, l’ histoire de ses pérégrinations à travers la province ont f
vaux. En 1848, Bazin emploie pour la première fois à cette question d’ histoire littéraire, cette méthode ingénieuse, féconde, ri
riche en surprises, de contrôle et de vérification par les faits de l’ histoire générale ; M. Soulié, en 1863, a eu le mérite de
. Soulié, en 1863, a eu le mérite de faire faire un troisième pas à l’ histoire critique de la vie de Molière, en soumettant le g
tes. La vie de Molière, à partir de sa rentrée à Paris, ou du moins l’ histoire de ses ouvrages et de cette incomparable successi
ien connues. Ce qui l’est malheureusement presque aussi bien, c’est l’ histoire de son mariage. Le 29 février 1662, Molière épous
e eut à vaincre pour le faire enterrer  : ici encore, la légende et l’ histoire sont mêlées et confondues ; il est bon de les sép
le a voulu en tracer un. Un caractère en littérature, c’est, comme en histoire naturelle, un caractère essentiel, une dispositio
d’apparence. Est-ce les maux dont le fanatisme a été la cause dans l’ histoire ? Non sans doute. Ou bien enfin est-ce la morale
fait. Quelle place cette philosophie assigne-t-elle à Molière dans l’ histoire des idées ? « M. Molière, dit le docte Baillet
ent à « laïciser » la pensée. Et leur influence est telle que, dans l’ histoire des idées du XVIIe siècle, ayant balancé le pouvo
vulgaire fût encore capable. Par là sa place est considérable dans l’ histoire des idées et dans l’histoire de la morale. V.
Par là sa place est considérable dans l’histoire des idées et dans l’ histoire de la morale. V. Langue, versification et styl
yle de Molière est le style dramatique, et non celui du roman ou de l’ histoire . Ce « genre » de style est assez difficile à défi
éfauts ne l’empêchent point d’être unique en son genre, et dans notre histoire littéraire, pour des qualités qui tiennent étroit
25 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
thrope, cette puissante création qui marque une date glorieuse dans l’ histoire de l’art dramatique, ce tableau si riche et si va
esprit, et nous obligent à trouver ici des allusions personnelles, l’ histoire de son cœur. On l’a dit, Le Misanthrope, c’est le
étant ses chefs-d’œuvre, racontait à cette grande société française l’ histoire intime de son cœur et de ses souffrances. De quel
son temps, par Amédée Roux, 1861, p.244 et suivantes. 4. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière. – Geoffroy,
es fois. » (Voir Sainte- Beuve, Nouveaux portraits.) 36. D. Nisard, Histoire de la littérature française. 37. Armande Béjart
française, etc. ; Janin, Hist. de L’art dramatique ; Hippolyte Lucas, Histoire philosophique et littéraire du théâtre français;
de cette troupe accomplie que dirigeait Molière, on peut consulter L’ Histoire du théâtre français, par les frères Parfait, t. X
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
aré à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’ histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la natur
rtainement un plus grand nombre. Il y a un excellent rôle de valet. L’ Histoire du Théâtre François va nous dire de quel endroit
Acaste, Chammeslé n’a fait que les indiquer. Comment les Auteurs de l’ Histoire du Théâtre ont-ils pu faire un reproche à Dufresn
ations. L’aventure du faux Martin Guerre a fourni le fonds du sujet. Histoire abrégée du faux Martin Guerre. Martin Guerre, né
oire qu’il mérite pour avoir transporté sur la scene, avec décence, l’ histoire d’un scélérat. Il n’est peut-être pas bien nature
27 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
sa mort, arrivée le 13 avril 1671 ; à sa mort, grand événement dans l’ histoire des mœurs du xviie  siècle. Maintenant, il est né
rtrait de la comtesse de Maure sous le nom de reine de Misnie, dans l’ histoire allégorique de la Princesse de Paphlagonie. « C’
tions ; et madame de La Sablière tient un rang considérable dans leur histoire  : sachant ce qu’en pensait madame de Sévigné, nou
ses hommes illustres, et dans son Apologie des femmes, l’autre dans l’ Histoire de l’Académie ; Fontenelle, dans ses Œuvres diver
28 (1900) Molière pp. -283
M. Étienne Arago, l’un des hommes très rares qui possédaient à fond l’ histoire du théâtre depuis deux cents ans, et que l’on pou
ritique, procédés qui consistent à ne pas séparer de la littérature l’ histoire et le tableau historique de l’heure et du temps,
is aussi de ne pas trop écraser la littérature et l’esthétique sous l’ histoire , comme le font trop la critique allemande et la n
énage, le scandale de sa femme et le scandale de sa propre vie… Cette histoire du mariage de Molière est infiniment trop délicat
qu’on veut étudier complètement et à fond un grand homme, soit dans l’ histoire , soit dans la littérature, il faut préalablement,
l’homme idéal avec son rôle historique, dans la littérature et dans l’ histoire , et de montrer à la fois l’homme et le grand homm
dans la vie, on lit tous les jours dans la Gazette des tribunaux ces histoires incroyables, où des gens qu’on connaît, qu’on a t
e j’ai eu dans l’idée toute la nuit26… Comme elle est longue, cette histoire et comme elle est tirée par les cheveux ! Et quel
suppose chez cette petite fille, qui instantanément sait arranger une histoire pareille, sans hésiter ; voyez Rosine, au contrai
étrant bien au-delà de l’activité immédiate de l’âme et de celle de l’ histoire , peut voir une passion jusqu’à des extrémités où
où nous la rencontrons rarement dans la vie, un vice agissant dans l’ histoire bien au-delà du temps où il vit et qu’il contempl
oyiez, cet homme qui vit à travers les tortures de la maladie, dans l’ histoire , loin de vous, dans quelque personnage qui ne vou
ance est devenue littéralement, et ce n’est pas le seul moment de son histoire où elle l’ait été, la maison du bonhomme Orgon, e
de ces moments de crise qui sont rares, en bien comme en mal, dans l’ histoire des peuples, et où l’émotion universelle des cœur
que toujours. On en trouverait des exemples frappants, surtout dans l’ histoire de la poésie allemande, depuis 1820 jusqu’à 1848
toire de la poésie allemande, depuis 1820 jusqu’à 1848 et même dans l’ histoire de nos poètes contemporains. Si le poète n’agit p
sur la politique, il peut agir très efficacement sur le courant de l’ histoire politique, de même qu’il agit et peut agir très v
ue, de même qu’il agit et peut agir très vivement sur le courant de l’ histoire sociale. Il plane au-dessus des événements de l’u
e philosophie, encore une fois, il a plané en prophète au-dessus de l’ histoire dans ces occasions, plutôt qu’il n’a agi sur elle
it sans combattre, et que la faiblesse tolère. Nous les lisons dans l’ histoire , quand ce ne serait que chez le peuple romain. Vo
es maintenir dans le bon chemin. Eh bien, quand on passe du droit à l’ histoire , aux faits historiques, quand on en vient à quelq
le et de la société. Non, les idées compteraient pour trop peu dans l’ histoire , la civilisation serait achetée beaucoup trop che
des modifications qui les altèrent dans leur essence. Étudiées dans l’ histoire de l’humanité et dans la suite des siècles, elles
vous faire toucher la chose du doigt par un exemple précis, tiré de l’ histoire même de notre société et de notre comédie ; l’exe
du temps de Molière, on ne le ressentait pas ainsi. C’est que, dans l’ histoire de ce sentiment, deux faits sociaux sont en face
es auteurs français au verre grossissant ; les petites manies, dans l’ histoire morale, ne sont pas petites, il n’en est aucune q
om Carlos. C’est le Clavijo de Goethe, pièce qui a fait époque dans l’ histoire des mœurs, et que je pourrais presque appeler une
a été la plus efficace et la plus décisive. Molière a donc eu, dans l’ histoire de notre société et de nos mœurs, une action cons
nir de l’antiquité classique, le seul analogue que l’on trouve dans l’ histoire des lettres, ces soldats de Crassus, prisonniers
états divers qu’elle se soit trouvée aux différents siècles de notre histoire , naïve, grossière, polie et noble jusqu’à l’excès
ans la fable avec La Fontaine, dans la morale avec La Bruyère, dans l’ histoire avec Saint-Simon, dans l’éloquence judiciaire ave
le privilège du désintéressement et de l’innocence parfaite ; dans l’ histoire de nos erreurs et de nos fautes, il a sa part, je
cette transformation que sur la scène comique. Quand nous étudions l’ histoire , l’éclat des événements politiques laisse notre v
tats bizarres ; elle a amené, entre autres, pour ne point sortir de l’ histoire de nos travers, un déplacement de la vanité socia
iales enfin, plus de douceur et de sûreté. Il faudra le conclure de l’ histoire de notre théâtre : c’est l’égalité qui civilise e
e les vivants qui sont assez enclins à se croire parfaits, et quand l’ histoire ne devrait avoir pour les morts que des sévérités
29 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
et à celle de sa femme, c’est là une façon si étrange de comprendre l’ histoire littéraire qu’on a bien le droit d’en sourire. La
re de telles questions fort au-dessus de celles qui se rattachent a l’ histoire de sa vie, c’est un point qu’il est juste de conc
t un point qu’il est juste de concéder. Reconnaissons toutefois que l’ histoire du poète est intimement liée à celle de ses ouvra
r Molière. Plusieurs écrivains, qui ont traité certaines parties de l’ histoire de notre grand comique et de sa famille, ont puis
let anonyme postérieur à la mort de Molière, la Fameuse Comédienne ou Histoire de la Guérin. La Guérin c’est Mlle Molière, qui a
peut-être qu’il reste encore des choses neuves à découvrir dans cette histoire de la famille de Molière qu’on croit si connue. L
seulement à l’honneur d’un membre de cette famille, elle se relie à l’ histoire du théâtre au dix-septième siècle. Disons d’abord
aucune réparation des injures qui lui avaient été prodiguées. V. L’ histoire de la Guérin. Comme on a pu s’en convaincre p
ntienne s’évanouissent quand on les examine de près, le flambeau de l’ histoire à la main. Mais les nouveaux champions d’une vert
donnent sur ce milieu et sur les faits généraux qui se rapportent à l’ histoire du théâtre dont Molière et sa veuve furent les di
ce passage toute la valeur d’un document historique. C’est bien de l’ histoire , en effet, de la plus intime et de la plus vraie.
a manière de voir : la mienne diffère un peu de celle-là. Rappelons l’ histoire en quelques mots : François de Lescot, président
son livre : La maison mortuaire de Molière,que ne l’a-t-il intitulé : Histoire de la rue Richelieu ! Il eût évité l’ennui de s’e
eût rien perdu de son intérêt. M. Vitu fait partie de la Société de l’ histoire de Paris, et l’on ne pourrait dire, tant il sait
s sagaces et patientes investigations ont tant contribué à éclairer l’ histoire de notre grand poète comique. M. Vitu en a jugé a
cieuses et que celui qui les allègue jouit, en tout ce qui concerne l’ histoire de Molière, d’une juste autorité, beaucoup se sen
iens. » Un écrivain qui jouit d’une compétence spéciale en matière d’ histoire ecclésiastique, M. A. Gazier, examina la question
siastique, M. A. Gazier, examina la question dans la Revue critique d’ histoire et de littérature du 3 novembre 1884 ; il adopta
de d’Olivet dans le second volume de la suite donnée par cet abbé à l’ Histoire de l’Académie française, de Pellisson, page où il
récits imaginaires, et qui pullulèrent en France après le succès de l’ Histoire amoureuse des Gaules, un de ces petits romans com
02. 11. Études critiques, p. 189. 12. Mémoires de la Société de l’ histoire de Paris, t. XI, p. 256. 13. Au moment où ces li
30 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
ur ait pris les semaines pour les mois. Trouvez-vous, Monsieur, que l’ histoire de la petite Épinette convienne à la Vie d’un hom
que de l’avoir maltraité si mal à propos. Je suis assez content de l’ Histoire du Misanthrope : mais je n’approuve nullement que
elle ne cherchera jamais la bassesse ? Je ne suis pas mécontent de l’ histoire du succès du Bourgeois Gentilhomme et des Femmes
u-dessus de ma portée ; et quand je l’aurais fait, c’eût été donner l’ histoire du Théâtre de Molière, et non pas sa vie. Eh bien
lontaire. Cependant l’Auteur se plaint que l’on ait fait de mauvaises histoires sur son compte ; et il attaque effrontément sur c
31 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
Histoire du monument élevé à Molière. Lorsqu’un grand p
e quelques-uns de ses rois, la sculpture ne lui racontait rien de son histoire  : les beaux-arts n’avaient point encore personnif
arts à leur plus haute mission, celle d’instruire les peuples de leur histoire , et par leur histoire, de la vertu. La statuaire
mission, celle d’instruire les peuples de leur histoire, et par leur histoire , de la vertu. La statuaire devenait ainsi une éco
ière. Là s’arrête sa vie, mais ne s’arrêtent pas les. tribulations. L’ histoire des monuments consacrés à sa mémoire est pleine d
it cette remarque, Molière serait encore aujourd’hui sans monument. L’ histoire des hommages rendus à Molière se partage en deux
aise au meilleur poème sur le monument dont nous venons d’esquisser l’ histoire . Cette muse charmante, il faut le dire, n’a chant
homme tout entier. Après cette belle poésie, restait encore à faire l’ histoire du monument, à justifier le programme académique.
32 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
de l’éviter, j’en juge tous les jours par moi-même. Il fait ensuite l’ Histoire de son mariage ; & après quelques réflexions
on Polixeme. c. Voyez le livre intitulé, La fameuse Comedienne, ou Histoire de la Guerin, auparavant femme & veuve de Mol
ison funebre en prose un peu badine. a. Pag.249. remarque B. b. Histoire de la Guerin auparavant femme & veuve de Moli
eux de cette femme, & en fut aimé, & l’attira dans sa Troupe. Histoire de la Guerin, p. 8. b. Ibid. p. 28. c. Ibid.
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
decin volant, canevas italien ; le Médecin volant, de Boursault ; une histoire russe ; un vieux conte intitulé Vilain Mire ; un
re de faire un Médecin à grands coups de bâton, sont puisées dans une histoire connue en Russie vingt ans avant que Moliere fît
r d’abord tout son savoir. Si Moliere n’a pas entendu raconter cette histoire , il doit sans doute avoir lu dans un manuscrit du
34 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
En quoi le drame antique diffère essentiellement du drame moderne. —  Histoire de l’Absolu. — Théorie de la tragédie. — III. L’A
pleinement que dans l’ensemble de son développement historique176, l’ histoire générale de la tragédie forme, avec la théorie so
e-même qu’un effet par rapport à une cause plus générale, mais dans l’ histoire même de l’Absolu. L’Esprit universel, après s’êtr
umanité se donne à elle-même du drame divin développé par elle dans l’ histoire . Les intérêts généraux de la Société, les droits
ns hautement générales, qu’elle ne peut l’être par la Nature et par l’ Histoire  ; par celle-là, dans ses plus belles productions,
e, en Grèce, au Pérou. C’est pour ressaisir l’idéal, en échappant à l’ histoire . Goethe, avec ce grand sens qu’il a porté dans to
giques français, par le retour à l’antiquité héroïque, ou enfin par l’ histoire , comme Goethe ; car, si vous y restez, il n’y a q
moment où l’Esprit universel, dans son développement qui constitue l’ histoire absolue, entre en harmonie avec, lui-même, est ma
réel, te monde de l’art est plus vrai que celui de la nature et de l’ histoire , t. Ier, p. 8. Aristote a dit aussi dans l’endro
uelque chose à la fois de plus philosophique et de plus sérieux que l’ histoire , puisque la poésie s’occupe davantage de l’univer
stoire, puisque la poésie s’occupe davantage de l’universel, et que l’ histoire s’occupe davantage du particulier (ch. ix, § 3. T
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93
possible,   Me conter ce qui s’est passé. . . . . . . . . Alcmene. L’ histoire n’est pas longue. A vous je m’avançai,   Pleine d
si je l’avois quittée depuis long-temps ; on me pria de raconter mon histoire , afin de voir, disoit-on, si elle prêtoit réellem
voriser en leur présentant Sainval : ils lui raconterent leur commune histoire , sans oublier les plus petites circonstances. Sai
or ne fut pas extrêmement tendre ». Dans le temps que je racontois l’ histoire , mes auditeurs rioient à gorge déployée. Je me fé
36 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
Scarron, et finit sous le nom de marquise de Maintenon. En 1670, son histoire et celle de la bonne compagnie se confondent avec
670, son histoire et celle de la bonne compagnie se confondent avec l’ histoire des mœurs de la cour et celle du roi lui-même. Il
dans une extrémité opposée ; je veux dire dans l’aveugle dévotion. L’ histoire de madame de Maintenon comprend celle de sa socié
mettre en oubli tout ce que j’avais lu ou entendu sur son compte, les histoires de La Beaumelle, de Laus de Boissy, de madame de
37 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
Préface On a vu, dans les volumes précédents de cette Histoire , les vains efforts que firent les poètes dramatiq
i rude espéra revenir, Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. L’ histoire de Molière, celle de M. Racine, et le récit de qu
profession que je fais de l’honorer, si je n’avouais hautement que l’ histoire d’Alcamène et de Ménalippe m’a fourni les premièr
s, et que ceux qui ont excellé dans ces deux choses ont eu place en l’ histoire , je puis bien vous faire ici un abrégé de sa vie
onneauc, mais qui n’a pas été représentée ; ainsi elle n’entre dans l’ Histoire du théâtre français qu’à titre d’anecdote sur la
ma foi d’autant, Exerçant des mieux la mâchoire : Et je collige de l’ histoire Que les comédiens d’ici, Ne sont pas gens cosi, c
[Note marginale] M. Magnon. a. Voici une nouvelle découverte pour l’ histoire des célèbres farceurs. Ce Gilles le Niais était s
38 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
genre, de tout âge et a de tous personnages. » On voudrait écrire l’ histoire même du feuilleton, né avec un esprit au-dessous
ience et d’esprit, on n’écrirait pas une plus juste et plus véridique histoire . — Un peu plus loin, M. le duc de Saint-Simon, co
ion, de l’esprit et du cœur ! » Pourtant, comme disait Suétone en ses Histoires  : Maledicere senatoribus non oportet. Quelques
dépit des tempêtes dont elle fut si longtemps le jouet. Molière. —  Histoire de la représentation de Tartuffe. — L’Anathème de
l avait faites, on en était trop près pour les voir. À ce moment de l’ histoire , il se passait à la cour de France ce qui s’est p
l’on se trouve en présence de l’une des grandes difficultés de cette histoire du xviie  siècle, par Bossuet, cet exilé de la po
tome, quand il n’eût pas mieux demandé que d’agir comme saint Paul. L’ histoire de cette réfutation de Bossuet est très curieuse,
rtements et ce hennissement des cœurs lascifs. Malheureusement pour l’ histoire de la critique, et peut être malheureusement pour
on sens et de l’amour. Et l’un et l’autre, ils enseignent, celui-ci l’ histoire d’Angleterre à la cour d’Élisabeth, celui-là la g
gène. C’est ainsi que Molière a trouvé Alceste, le grand seigneur des histoires d’autrefois, Alceste qu’on pourrait comparer à un
tait à peine, odieux vice ou plutôt crime abominable qui méritait une histoire à part ; or cet historien ne pouvait être que Mol
muser beaucoup à la représentation du Malade imaginaire. En un mot, l’ histoire de M. Argan ressemble trop à notre histoire coura
imaginaire. En un mot, l’histoire de M. Argan ressemble trop à notre histoire courante de chaque jour, pour qu’elle puisse beau
se marie malgré lui, excellente occasion pour Molière de nous faire l’ histoire du mariage forcé de Sganarelle. Au premier mot qu
tiques de M. Figaro, qui jettent quelque chose de si triste sur cette histoire des jeunes passions ; je laisse de côté, la compa
Fabre introduit en sa comédie, bientôt il va prendre sa place dans l’ histoire  ; car, ne l’oubliez pas, cette comédie est jouée,
tte parole jetée à son valet par un homme en fureur, à ce moment de l’ histoire de France, est plus dramatique, selon moi, que le
ît pas, moi ! s’il y en a un seul, non pas au théâtre, non pas dans l’ histoire , mais dans vos annales secrètes, dans les histoir
re, non pas dans l’histoire, mais dans vos annales secrètes, dans les histoires particulières de chacun de nous, dans ces pages d
infâme, ce qui est arrivé à Molière. Entendez-vous Molière faisant l’ histoire du franc scélérat qui l’opprime ? Boileau n’a pas
s uns et les autres, racontant à cette grande société française cette histoire intime d’un homme de génie dont ils étaient les f
ncore, on pouvait faire une agréable nouvelle ; Marivaux a fait, de l’ histoire de Marianne, un livre en deux tomes. C’est à l’éc
t. 3. Réflexions sur la grammaire, la rhétorique, la poétique et l’ histoire ou Mémoires sur les travaux de l’Académie Françai
39 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
alheur, la Bibliothèque, le Musée, les Archives ne mouvraient guère l’ histoire du passé. Aux Archives, si ce n’est le registre d
bientôt tous ces portraits, qui aujourd’hui sont de vraies pages de l’ histoire dramatique. Beaucoup de mes amis les connaissent 
e quatre portraits de la femme de Molière. J’espère que les affamés d’ histoires dramatiques auront enfin sous les yeux de quoi no
eusement reproduit ce qu’il voyait. Là, est le cachet de la vérité. L’ histoire ne vit que par la vérité. AR-H-YE. I. Madelei
, dans sa conférence sur les Amours de Molière, a très bien dit cette histoire  : « Il paraît que, pendant son séjour en cette vi
moder à mon désir, je suivis encore Molière à Narbonne. » Voilà de l’ histoire  ; c’est de l’histoire par un poète ; mais les poè
suivis encore Molière à Narbonne. » Voilà de l’histoire ; c’est de l’ histoire par un poète ; mais les poètes sont les historien
de l’Amérique. Le testament étant toujours une pièce capitale dans l’ histoire d’un homme ou d’une femme, je le transcris ici à
La servante de Molière, c’est la légende ; mais Mlle de Brie c’est l’ histoire . Molière a bien pu çà et là dire à La Forest de r
le siège de Troie, aux prises avec Junon, Minerve et Vénus. Voilà l’ histoire , que t’en semble ! Crois-tu pas un homme avisé ?
porain, « si ce n’eût pas été Racine, c’eût été un autre. » Dans son histoire de Racine, M. Adolphe Régnier commente ainsi les
s à lui en remontrer. Son entrée au Théâtre français est presque de l’ histoire  : en 1670, Colbert prit les ordres de Louis XIV p
uments dans la vie intime des gens de théâtre au temps de Molière ? L’ histoire est là toute vivante. Mme Beauval fut une de ces
aussi son souper d’Auteuil, mais il paraît que cette légende est une histoire , quoique Voltaire n’y croie pas ni moi non plus.
ue Voltaire n’y croie pas ni moi non plus. Parmi les légendes, dans l’ histoire de la vie de Molière, il y a encore le mot de Rac
nnette des Urlis ont été un moment de la troupe de Molière, quoique l’ histoire ne les représente que comme comédiennes du théâtr
mporains ne parlent pas. Il faut se méfier de la tradition qui aime l’ histoire , mais qui aime aussi le roman. Il y a aussi Phili
finiment petites sœurs. Sans doute elle fut heureuse : elle n’a pas d’ histoire . 1. Pour soutenir l’Illustre théâtre et les c
13. Variante. — Mais de trop près son papa la talonne. 14. Dans l’ histoire de la fille de Molière on trouve d’autres lettres
40 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
directe de la comédienne et du comédien, dans ces fables et dans ces histoires qui enseignent à pécher10. Une fois cette interve
tres, chantez ou rêvez à votre aise ; moi, il faut que je raconte mon histoire de chaque semaine. À l’instant même je me mis à l
isté de l’éclat du lustre, et le parterre bat des mains ! Voilà cette histoire  ; elle est bien simple, elle est facile à raconte
faites mal, vous me faites peur : le moyen de raconter une si honnête histoire au milieu de tout ce bruit que vous faites là ! A
ues de ce grand maître dans l’art de la comédie, j’aurais terminé mon histoire par ces vers de L’École des femmes : Il faut qu’
elle admirable place il laisse en fin de compte, à la critique et à l’ histoire  ! Dans La Critique de l’École des femmes, un chef
41 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
s autres le déclameront jusqu’à la consommation des siècles ; c’est l’ histoire des moutons de Panurge appliquée au vers et à la
se contenter (et l’on s’en contentait) du Festin de Pierre en vers. L’ histoire de cette comédie est singulière. Les camarades de
devait, reconquérir (voilà le malheur de nos vices !) les droits de l’ histoire , dans ce royaume de France, livré à toutes les co
relle, qui ne soit devenu : juste ciel ! Bertrand, l’ami de Macaire ! Histoire de toutes les grandes origines ! Ainsi a fini plu
lecteur, cette charmante satire d’Aristophane, Plutus ? C’est déjà l’ histoire d’une société qui se perd ; c’est déjà le pauvre
par Monsieur, par Mademoiselle, par le Roi enfin. Ce serait toute une histoire , l’histoire de ces divertissements dans lesquels
, par Mademoiselle, par le Roi enfin. Ce serait toute une histoire, l’ histoire de ces divertissements dans lesquels se divertiss
mmes, je retrouve tous les grands noms des champs de bataille et de l’ histoire  : le duc d’Enghien, le comte d’Harcourt, le comte
ns que le souvenir de ces fêtes, ces aimables et chers souvenirs de l’ histoire de Versailles : La Vallière, Montespan, dont le n
V ; aussi ne furent-elles jamais insultées, que je sache, ni dans les histoires , ni dans les salons, ni dans les livres, ni au th
d’excuse et de pardon ! Rien de plus funèbre que ce dénouement d’une histoire d’amour, depuis l’histoire d’Héloïse et d’Abeilar
en de plus funèbre que ce dénouement d’une histoire d’amour, depuis l’ histoire d’Héloïse et d’Abeilard ! La cloche sonne comme e
tout est fait. Et voilà de quels respects nous entourons notre propre histoire  ! Alors de quel droit nous fâcher contre la tragé
mbre de romans ; et comme il s’agit ici du plus grand siècle de notre histoire , il m’a semblé qu’il ne serait pas hors de propos
aire agir et parler, comme une folle, une des plus grandes dames de l’ histoire de France, et comme la chose est bien trouvée : A
). — « Cent mille couronnes ! » Eh bien ! c’est là encore mentir à l’ histoire et avilir à plaisir et sans aucune nécessité dram
ominables mensonges, et ces honteux démentis donnés à la majesté de l’ histoire  ! Certes le public anglais est trop versé dans le
i s’ennuie. L’auteur n’entend guère plus les passions qu’il ne sait l’ histoire , et il se perd lui-même dans un chaos d’événement
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
ITRE XII.M. COLLÉ. Dupuis et Desronais, Comédie, mise à côté d’une histoire des Illustres Françoises ; la Partie de chasse, à
ffiche, aux premieres représentations, que la piece étoit tirée d’une histoire insérée dans les Illustres Françoises, Roman de M
ée dans les Illustres Françoises, Roman de M. de Challes. Comme cette histoire a plus de cent pages, nous allons l’extraire. Pr
e histoire a plus de cent pages, nous allons l’extraire. Précis de l’ Histoire de M. Desronais & de Mademoiselle Dupuis. Du
unir à sa fille. Mademoiselle Dupuis devient infidelle. Le reste de l’ histoire n’a aucun rapport avec la comédie. Extrait de la
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
CHAPITRE XV.M. DE CHAMFORT. La jeune Indienne, mise à côté de l’ Histoire d’Inkle & d’Yarico, insérée dans le Spectateu
elle s’écrie : Quoi ! sans cet homme noir je n’aurois pu t’aimer ! HISTOIRE D’INKLE ET D’YARICO. M. Thomas Inkle, troisieme
n que M. de Riveri a traduite en vers françois. C’est d’après la même histoire que M. Dorat a composé sa Lettre de Zéila, jeune
n dansant. Le roman de cette piece charmante ressemble beaucoup à une histoire recueillie dans le second volume des Contes, Aven
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
& des épées qu’on ne cesse de lui présenter, & il épouse.   L’ histoire d’Arlequin est en gros celle de Sganarelle, avec
e, per omnes modos & casus ; homme qui possede Fable, Mythologie, Histoire , Grammaire. Là-dessus il lui fait une énumération
votre sœur, & j’y retourne avec vous pour finir cette affaire. L’ histoire du Comte de Gramont peut avoir rappellé à Moliere
45 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
devait se trouver le véritable texte de Molière. Nous ne ferons pas l’ histoire de ce livre, quelque intéressante qu’elle puisse
pour les vers, ajoute qu’il travaille à mettre en madrigaux toute l’ Histoire romaine ? Les commentateurs ne manquent pas de vo
, la Satire Ménippée, les Essais de Montaigne, et les Provinciales. L’ histoire de la bibliothèque d’un homme de lettres n’est po
s contemporains. Quant aux notes grammaticales, tout ce qui tient à l’ histoire de la langue a trouvé place dans notre commentair
cu‌ 22. Un pareil ouvrage, pour être complet, devait être suivi de l’ histoire « de cette troupe accomplie de comédiens, formée
l’ouvrage le plus complet, le plus exact, et le plus judicieux sur l’ histoire du théâtre français. Cet ouvrage, ainsi que celui
aître tel qu’il était. Le public est rempli d’une infinité de fausses histoires à son occasion. Il y a peu de personnes de son te
e donna en spectacle avec succès pendant du temps. Je sais que cette histoire n’est pas tout à fait de mon sujet ; mais elle m’
sur son chapitre. Molière, qui en parlait avec plaisir, en commença l’ histoire  ; mais Baron, ennuyé de l’entendre, alla chercher
e détail de la mort de Molière, pour désabuser le public de plusieurs histoires que l’on a faites à cette occasion. Il mourut123
e me la suis faite à moi-même. Mais n’est-ce point été faire plutôt l’ histoire du théâtre de Molière, que composer sa vie ? Il m
galer. »(Extrait en partie de la Vie de Molière, écrite en 1724.) Histoire de la troupe de Molière. Acteurs et actrices
homme nourri dans le giron des rois. « J’ai lu, disait-il, toutes les histoires anciennes et modernes ; la nature, prodigue, a pr
rance, décembre 1729 ; 9° Parnasse français, de Titon du Tillet ; 10° Histoire du Théâtre français, par les frères Parfait.
Brie. Si l’on s’en rapporte à l’auteur de la fameuse Comédienne, ou l’ histoire de la Guérin, auparavant femme de Molière, mademo
ère le ramenèrent à mademoiselle de Brie. Quoi qu’il en soit de cette histoire , mademoiselle de Brie était une fort bonne comédi
n la nommait Marotte. (Frères Parfait, tome XIII, page 299.) FIN DE L’ HISTOIRE DE LA TROUPE DE MOLIÈRE. 1. L’Imposteur ou
Bourgogne, au bout de deux ou trois ans, en 1634, que se termina leur histoire par la plus touchante catastrophe : « Gros-Guilla
abbé Tallemant, dans des Mémoires manuscrits cités par M. Walckenaer ( Histoire de La Fontaine, page 73), dit que Molière avait d
nus. Molière passa à Lyon toute l’année de 1653. 41. On trouvera une histoire de la troupe de Molière à la suite de ces Mémoire
chant poète, puis méchant comédien. Dassoucy, qui nous a conservé son histoire , dit qu’à force de faire crédit à ses confrères d
on suivante, avec Chapelle, est extraite de la Fameuse Comédienne, ou histoire de la Guérin, auparavant femme de Molière. Cette
t Lafosse : c’était un homme d’honneur, et incapable d’inventer cette histoire . Il disait donc que Louis XIV ayant su que les of
l s’agit ici du rôle de Myrtil dans Mélicerte. (Voyez le tome XV de l’ Histoire du théâtre français, par les frères Parfait.) 8
’Histoire du théâtre français, par les frères Parfait.) 80. Voyez l’ Histoire de la troupe de Molière. 81. Un autre trait méri
a Préface de Palaprat à la tête de ses Œuvres, page 30.) 84. Voyez l’ Histoire de la troupe de Molière, à la suite de la Vie. 8
tryon de Molière fut représenté pour la première fois. 103. Voyez l’ Histoire de la troupe de Molière à la suite de ces Mémoire
vue de deux amis de collège. 107. Cette conversation de Molière et l’ histoire du Tartuffe de Chapelle sont d’une absurdité inco
èvre, 1844.) 110. L’auteur désigne ici mademoiselle de Brie. Voyez l’ Histoire de la troupe de Molière, à la suite de ces Mémoir
46 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
phie de son époque. I. Il n’est pas besoin de connaître à fond l’ histoire des idées au dix-septième siècle, pour savoir que
odos et casus, — homme qui possède, superlative, fable, mythologie et histoire , — grammaire, poésie, rhétorique, dialectique et
extes ; nous l’avons vu, et comme si cette preuve ne suffisait pas, l’ histoire est là pour l’appuyer. Un témoignage catégorique
laré que la vie de Gassendi avait été consacrée à renouveler Épicure ( Histoire générale de la Philosophie, p. 388). M. Nourrisso
ude par ces mots : « En tout Gassendi est sensualiste. » (Essai sur l’ Histoire de la Philosophie, Dix-septième p. 48.)- M. Baill
te I, sc. II. 55. Syntagma, t. II, p. 488 56. Damiron, Essai sur l’ histoire de la Philosophie, Dix-septième siècle, t.1, p. 4
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. Pieces intriguées par un événement ignoré de la plupart des Acteurs. » pp. 192-198
s qu’elle en sache rien. Ecoutons-le raconter lui-même son incroyable histoire . ACTE I. Scene I. LE MARQUIS, LA FLEUR. La Fleur
is, la chose se passa. La Fleur. Mais avec de l’esprit on compose une histoire . Le Marquis. C’est une vérité. La Fleur. C’est u
48 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VIII » pp. 70-76
’il a voulu maintenir, et que l’usage a écartées de la langue. 29. Histoire amoureuse des Gaules. 30. Sans parler d’une mul
Pompéia une multitude de phallus en ivoire, percés par le milieu ; et histoire nous apprend que les femmes stériles les suspenda
49 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
Cette piece eut seize représentations. MM. Parfait disent, dans leur Histoire du Théâtre François, que le dénouement est pris d
acte en prose. Cette comédie eut vingt-trois représentations. Deux histoires réelles ont fourni à d’Ancourt le fonds & l’i
ons par vérifier la plus conséquente de ces imitations. Extrait de l’ histoire de Louis de la Pivardie, Sieur du Bouchet. Louis
t enfin forcé de se rendre à des preuves convaincantes. Extrait de l’ histoire de la Femme retrouvée. Dans l’année 1554, un mar
& lui soutient qu’il est noyé.   Il est aisé de voir que les deux histoires rapportées en abrégé sont fondues dans cette comé
r devenir intéressant, quand, moins cruel que l’héroïne de la seconde histoire , il se montre dès qu’il sait qu’on fait le procès
homme qui est huissier & cabaretier en même temps ! 19. Ces deux Histoires sont rapportées très au long dans le recueil des
50 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
olume de ce qui ne devroit remplir que peu de pages, sont cause que l’ Histoire des Hommes célebres est presque toujours gâtée pa
n de Racine faite en 1728. Pour lui, il se propose, dans cette courte Histoire de la Vie de Moliere, d’éviter cet écueil. On ne
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
is venue ici pour vous faire. Ce conte toutefois se peut appeller une histoire , car rien ne fut jamais plus véritable. Elle vien
ni le papier n’étant pas encore trouvés, les Doctes y avoient tracé l’ Histoire universelle ; & sur cela remontant de Pharamo
ur, ne voilà pas un joli Ganimede ? Et c’est pourtant le héros de mon histoire  ! Cet honnête homme régente une classe dans l’Uni
, à part. Ah ! malheureux, je suis trahi ! C’est sans doute ma propre histoire qu’elle me conte. (Haut.) Mademoiselle, passez ce
ou, ce Moine bourru.... Granger. Passez outre : cela ne fait rien à l’ histoire . Genevote. Commanda à son fils d’acheter quelque
pere de son amant sur son passage, & lui rend naïvement sa propre histoire . Elle veut même le forcer à rire avec elle de ce
flattent-ils bien mieux la malignité du spectateur. Les Auteurs de l’ Histoire du Théâtre François assurent que le dialogue des
52 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
présent n’avait donné ni dans un certain détail, ni avec fidélité, l’ histoire de cet établissement de la troupe du Palais-Royal
s manuscrits originaux et exacts nous ont mis en état de donner cette histoire avec toutes ses circonstances. On ne trouvera pas
nnant l’extrait de La Sœur, comédie de Rotrou, t. VI. p. 396 de cette Histoire , nous avons dit que la première scène de cette pi
me scène du premier acte de La Sœur. Lélie raconte à son ami Éraste l’ histoire de ses amours avec Aurélie, mais en amant passion
l’extrait du Pédant joué de Cyrano, tome VIII, page première de cette Histoire , on verra que ce n’est que le fonds de ces deux s
Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. 1. [Note marginale] Histoire de l’Académie française, tome II, p. 185. 1. [No
, tome I, année 1672. [*]. [Note marginale] Mémoires pour servir à l’ histoire des gens de lettres, par le P. Nicéron, t. XXIV,
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
e Chevalier ; & une ou deux pages de Ne pas croire ce qu’on voit, histoire espagnole. Cette piece, faite & jouée pour l
autre part que dans ma maison. . . . . Ne pas croire ce qu’on voit, Histoire Espagnole 43. . . . . . . . . . Mendoce s’en ret
54 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
point parvenus, et nous ignorons s’il vivait après ou avant Apulée. L’ histoire de Psyché a exercé la sagacité de plusieurs de ce
mé la Farnésine ; et, bientôt après, son crayon traduisit en entier l’ histoire de Psyché dans une suite de trente-deux dessins q
 Fontaine et deux pièces de théâtre n’eussent pas suffi pour rendre l’ histoire de Psyché assez vulgaire, la féerie l’emprunta à
ul objet de cette Notice. C’est sans doute un fait remarquable dans l’ histoire des lettres, qu’une pièce de théâtre composée par
lantes saillies nées de sa propre verve. Voilà, si je ne me trompe, l’ histoire de la composition des Fourberies de Scapin. Cette
55 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
ure de France d’août 1735. A cette date, tout était nouveau en fait d’ histoire théâtrale : le premier ouvrage sur les auteurs et
hèque des Théâtres, de Maupoint, est de 1733 ; le premier volume de l’ Histoire du Théâtre François, des frères Parfaict, paraiss
de mai 1738 (p. 826 à 836), sous le titre de Mémoires pour servir à l’ histoire du théâtre, et spécialement à la vie des plus cél
-1780). La seconde partie du tome Ier de ces Variétés contient une «  Histoire abrégée des plus célèbres Comédiens de l’antiquit
avait soixante-douze ans quand il donna ses Mémoires pour servir à l’ histoire de Molière et de ses ouvrages, qui furent avec ra
un avantage : c’étoit de le dispenser des excès de ses amis, témoin l’ histoire , que rapporte l’auteur de sa vie, de ceux qui, à
le sur la vie et les ouvrages de Moliere. Mémoires pour servir à l’ histoire du théâtre et spécialement à la vie des plus célè
propres à sa nation, que ses comédies peuvent être regardées comme l’ histoire des mœurs, des modes et du goût de son siècle ; a
56 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
dessus de tout éloge. À la suite de la notice de M. Picard on lit une histoire abrégée, mais suffisante, de la troupe dont Moliè
es diverses fortunes. On ne saurait trouver dépourvue d’intérêt cette histoire , riche d’anecdotes et de faits curieux, qui jette
qui ont créé les différents rôles. Cette indication fidèle complète l’ histoire de la troupe comique dirigée par Molière. Enfin q
on buste : Rien ne manque à sa gloire ; il manquait à la nôtre3. Histoire de la troupe de Molière. Acteurs et actrices
se donna en spectacle avec succès pendant du temps. Je sais que cette histoire n’est pas tout-à-fait de mon sujet, mais elle m’a
homme nourri dans le giron des rois. « J’ai lu, disait-il, toutes les histoires anciennes et modernes ; la nature, prodigue, a pr
de lui céder cet emploi. Chapuzeau et les frères Parfaict (dans leur Histoire du Théâtre français) lui rendent à cet égard le t
ère le ramenèrent à mademoiselle de Brie. Quoi qu’il en soit de cette histoire , mademoiselle de Brie était une fort bonne comédi
57 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
nne des conseils à Octave ; la sixième, où Scapin raconte à Argante l’ histoire du mariage de son fils ; dans le deuxième acte, l
la suivante, la troisième, où Zerbinette raconte à Géronte sa propre histoire , et celles que j’ai indiquées : voilà les scènes
son avis ; la treizième, où Merlin reçoit Géronte, et lui conte mille histoires pour l’empêcher d’entrer ; la seizième, où Géront
58 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
habit convenable à la situation où vous devez être. » J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III.
Voiries diverses vies de Molière, et particulièrement J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II ; A
Satire X, V. 525. - Voir encore, sur Célimène et Arsinoé, D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
59 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
après Molière. En dépit du titre un peu compromettant de notre livre, Histoire dramatique, etc., nos lecteurs ne doivent pas s’a
stoire dramatique, etc., nos lecteurs ne doivent pas s’attendre à une histoire complète ; il n’y a pas d’histoire complète, et p
rs ne doivent pas s’attendre à une histoire complète ; il n’y a pas d’ histoire complète, et puis nous ne pouvons entreprendre qu
a pas d’histoire complète, et puis nous ne pouvons entreprendre que l’ histoire des œuvres nouvelles, ou des œuvres récemment rem
ns par les nécessités du sujet dont il parle. En un mot, ceci est une Histoire du Théâtre, en ce sens que toutes les choses dont
propos de Don Juan et pas un mot de L’Avocat Patelin ? Pourquoi cette histoire (il est vrai que ce livre est mal nommé) ne remon
comédiens et des marionnettes, une des plus terribles collisions de l’ histoire de France, pouvaient invoquer plus d’un précédent
représentant de la comédie improvisée : moralités, mystères, soties, histoire du ciel, histoire de la terre, drames, miracles,
a comédie improvisée : moralités, mystères, soties, histoire du ciel, histoire de la terre, drames, miracles, coups d’épée, coup
, pourtant, si l’on avait du temps à perdre, aurait sa place dans une histoire de l’art dramatique ; on y verrait, et de plein d
visages ridés ! Hélas ! c’eût été aussi amusant pour vous d’écrire l’ histoire de la bataille de Cannes ou de la bataille d’Aust
le frondeur, le bon vivant. D’un pareil comédien, nous vous dirons l’ histoire tout à l’heure ; il s’appelait Rosambeau ; sa vie
e porte en porte ; elle est comme le passant dont il est parlé dans l’ histoire de Sparte : —  Passant, va dire à Lacédémone que
aberration de la comédie et des comédiens. Par exemple, à propos de l’ histoire d’un certain Mégani, le Feuilleton s’inquiétait d
s dames de si haut, on n’en faisait pas les héroïnes des plus grandes histoires de fidélité et de passion, et toutes choses n’en
il exempte de son exil. Pour ma part, j’aime mieux le dénouement de l’ histoire du seigneur Zapata, à quelques années de là, — « 
eût dit un crétin du Valais qui rencontre un éléphant. J’ai lu dans l’ histoire , qu’après une bataille, le bouffon du roi Françoi
tre à grands coups de pied son bisaïeul ! Triste plaisir ! Lamentable histoire  ! la vieillesse des comédiens qui ne savent pas q
ien inventer, nous autres, — un blagueur ! Shakespeare a trouvé cette histoire parmi les contes de Boccace, cette source inépuis
ppés par un mal invisible, se glisse, à votre insu, dans ces galantes histoires , si galantes qu’elles en sont naïves ! Grande et
us rappelez, et Shakespeare s’en est souvenu avant vous, la touchante histoire de Gillette de Narbonne, si bien contée par la be
ets, qui doit comprendre mieux que personne, pour peu qu’elle sache l’ histoire de sa maison, les chagrins, les douleurs et les t
d’où sortent incessamment la comédie et le roman, le vaudeville et l’ histoire , le drame et le journal, un rien les détraque… un
cette place où j’écris, au milieu de tant de joie et de tristesse, l’ histoire littéraire de ce temps-ci : Hic jacet… Hoc saxum
ue inutile ? En ce moment (voilà le mystère !) notre poète écrivait l’ histoire des Bélise et des Araminte du siècle suivant, apr
ue dirait-elle dans son gros bon sens ? Ah ! ah ! voici une nouvelle histoire  ! Qu’est-ce que c’est donc, mon mari, que cet équ
armi les écumeurs d’anecdotes singulières, qui ait mis à profit cette histoire du loup introduit dans la bergerie. Térence lui-m
us si les enfants se font par l’oreille. Avez-vous entendu raconter l’ histoire de madame Célimène ? Elle est plus triste que cel
rire était mêlé aux larmes. Les larmes ont fini par dominer ; c’est l’ histoire de toute comédies en ce monde, quand on la pousse
éfend. Or, ce n’est pas là un des moindres mystères du théâtre, cette histoire et cette représentation des mœurs, comme on l’app
attraperai la fin ! 35. On racontait jadis, au Théâtre-Français, l’ histoire de quatre montres toutes pareilles, données, en c
60 (1884) Tartuffe pp. 2-78
eur et qu’il ne veut pas que nous en ayons peur non plus. Rappelons l’ histoire de la pièce. Je ne veux d’abord que préciser les
somme donc, cinq ans de lutte et trois révisions successives, voilà l’ histoire de notre chef-d’œuvre. Cela suffit pour faire ape
à songer. Il avait reçu des conseils de Condé. Ninon lui avait dit l’ histoire de la cassette. Il utilisa tout cela. Il se dit q
ano, son condisciple en Gassendi, un vert et original penseur, dont l’ Histoire comique renferme des pages surprenantes de hardie
du paradis perdu, le serpent est trompé par la femme. Analysons cette histoire et voyons si quelque trait contredit mon interpré
tout entière à sa proie attachée. De telles œuvres éclairent toute l’ histoire de l’humanité. Le quatrième acte, bien que remani
Grands écrivains de la France. 8. Publiée clans l’éd. Mosnard. 9. Histoire de France, éd. Chamerot, t. XIII. 10. Le Tartuf
61 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
l’éviter, j’en juge tous les jours par moi-même ». Il fait ensuite l’ Histoire de son mariage ; & après quelques réflexions
selles 1694. 3. Voiez le Livre intitulé, La fameuse Comedienne, ou Histoire de la Guerin. auparavant femme & veuve de Mol
c une Oraison funebre en prose un peu badine. 6. Remarq. (B). 7. Histoire de la Guerin auparavant femme & veuve de Moli
eux de cette femme, & en fut aimé, & l’attira dans sa Troupe. Histoire de la Guerin, pag. 8. 14. Hist. de la Guerin. pa
62 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
joué dans le même temps (voir plus haut, chap. IX, p. 166) : c’est l’ histoire de Scaramouche Hermite (voir la Préface du Tartuf
te (voir la Préface du Tartuffe, à la fin ; voir aussi J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III).
nne, que Molière avait des habitudes religieuses (voir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, no
s et profanes. Voir V. Fournel, les Contemporains de Molière, tome 1, Histoire de l’Hôtel de Bourgogne. On pouvait donc légaleme
63 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
ir, compléter et nous autoriser à publier la cinquième édition de son Histoire de la vie et des ouvrages de Molière. Quant à l’e
xécution matérielle, le public est à même d’en juger. Préface de l’ Histoire de la vie et des ouvrages de Molière La maiso
a demandé l’autorisation de réimprimer, pour la cinquième fois, notre Histoire de la vie et des ouvrages de Molière en tête d’un
ère reprendra quelque jour son bien, espérons-le, et nous donnera une Histoire sans imaginations, une Histoire véridique et défi
ien, espérons-le, et nous donnera une Histoire sans imaginations, une Histoire véridique et définitive. C’est dans la même école
e nous aurons à le montrer encore dans une prochaine édition de notre Histoire de la vie et des ouvrages de Corneille, M. Édouar
nt, non pas au-delà, mais au rebours de la réalité. Il apporte dans l’ histoire littéraire des habitudes d’auteur dramatique ; et
imaginaires5. M. Bazin s’y est laissé prendre, et croyant faire de l’ histoire , il a composé un piquant tableau de fantaisie où,
lui qui vous aurait tout appris. Nous avions imprimé deux fois notre Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, quand il vo
nt aux exigences d’un travail de critique et d’érudition, d’aperçus d’ histoire littéraire, et d’une biographie. Tantôt l’élévati
se à Molière sa satire II. Anecdote invraisemblable à cette occasion. Histoire du clavecin de l’organiste Raisin ; Molière se ch
e dans cette pièce. Son désespoir quand ses vers étaient mal débités. Histoire de Beauval et de sa femme. Mot de Molière sur cet
mer un contraste choquant dans un portrait où tout contraste ; dans l’ histoire d’un homme de lettres qui connut le monde et la c
e temps un sentiment plus tendre, figurera plus d’une fois dans cette histoire  ; quant à leur jeune sœur Armande-Grésinde-Claire
ccorder Minerve, Junon et Vénus, et la terminait en disant : Voilà l’ histoire  ; que t’en semble ? Crois-tu pas qu’un homme avis
répartition des sommes font de cette pièce un document curieux pour l’ histoire littéraire. Quelque faible que fût comparativemen
pas moins glorieux pour le protégé que pour l’illustre protecteur ; l’ histoire redira à jamais avec quel noble empressement le m
au mois de mai 1664 par le Roi à la Reine et à la Reine mère, selon l’ histoire  ; à mademoiselle de La Vallière, selon la chroniq
fèvre, monsieur Josse », et une foule d’autres traits dignes de cette histoire générale des donneurs d’avis, ne périront pas tan
’ailleurs démontré, que cette opinion ne repose que sur une erreur en histoire médicale, sur une sorte d’anachronisme. Ces cense
titude les services qu’il en avait reçus. Reprenons à sa source cette histoire , que le nom du coupable rend plus pénible à retra
our la soutenir, de l’appuyer du Médecin malgré lui. Ce petit trait d’ histoire littéraire, d’ailleurs fort piquant, et par consé
illi sans autre examen, a cela de commun avec beaucoup de traits de l’ histoire proprement dite, qu’il est original, mais controu
de goût du parterre. Il fit passer son conte : voilà comme on écrit l’ histoire  ! Chacun s’empressa de l’adopter : voilà comme on
te de La Fontaine, M. de Saint-Gilles, qui a déjà eu place dans cette Histoire . Célimène, selon les uns, est cette fameuse madam
comme presque tous ceux qu’a tracés Molière, est étroitement lié à l’ histoire des mœurs de son siècle. L’habit d’Oronte, ce bel
L’Avare est, ainsi que Les Femmes savantes, une page immortelle de l’ histoire de nos mœurs ; mais le vice auquel Molière avait
économie. » Nous pouvons aussi en tirer quelques documents pour cette histoire . Molière, ici comme dans plusieurs autres de ses
ondance (21 novembre 1669) que Molière songea à mettre à la scène une histoire plaisante qui eut lieu à la fin de cette année, e
ut rien laisser à désirer. C’est ici l’occasion d’examiner un point d’ histoire et de morale littéraire sur lequel on n’a guère j
e dupe imprudente. L’évasion de madame de La Motte donne encore à son histoire et à celle de La Tourelle une plus grande conform
es de Molière, avec un travail de critique et d’érudition, aperçus et histoire littéraire, biographie, examen de chaque pièce, b
archiviste de la mairie de cette ville, pages 12 et suivantes de son Histoire des théâtres de Bordeaux, Bordeaux, 1860, in-8. C
action du registre ne se seraient pas produits dans son esprit. 14. Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
riques sur la vie de Molière, Paris, 1861, p. 45, et M. Emm. Raymond, Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, p. 68, note. 17. Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
le remboursement des 5 000 francs de la succession de celui-ci. 18. Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
ns de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages 119-120. 19. Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
dans la carrière, fit représenter son Œdipe le 24 janvier 1659. 29. Histoire du Théâtre-Français, par les frères Parfait, t. V
ois qu’Alexandre le Grand Et César, autre conquérant, Quoique d’eux l’ histoire témoigne, N’allaient pas si vite en besogne. Voi
ouis XIV, faisant partie de la Collection des Documents inédits sur l’ Histoire de France. Nous avons relevé, aux Archives de l’E
64 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47
hal d’Ancre est assassiné ; Galigaï, sa femme, décapitée et brûlée. L’ histoire n’a pas expliqué comment Louis XIII, prince si do
tpensier, qui certes n’était point une précieuse, s’est plu, dans son histoire allégorique de la princesse de Paphlagonie, à fai
65
d succès. — M. Alphonse Pagès, dans une courte conférence, a résumé l’ histoire des hommages à Molière en homme qui possède à fon
e par M. Zola dans un feuilleton sur l’ouvrage nouveau de M. Jullien, Histoire du costume au théâtre, ne présente pas des caract
i a si justement restitué ; ni du fauteuil de Pézenas, dont on sait l’ histoire et qui est à Paris depuis 1873 ; ni d’aucun des v
gle de l’édifice, poteau dont M. J. Romain Boulenger nous a raconté l’ histoire à cette place. (Voir Le Moliériste du 1er juillet
avec intérêt au point de vue de la langue, de la littérature et de l’ histoire des mœurs, mais elle ne se prête plus à être joué
teur à cette héroïque Expédition d’Égypte, demeurée légendaire dans l’ Histoire  ; — qu’il fit la mémorable et périlleuse Conquête
s affiches dans ce lot dédaigné de papier à la livre, qui contenait l’ histoire de notre vieux théâtre, plus précise et plus comp
Misanthrope n’en est pas moins fort curieux. C’est Clio, la muse de l’ histoire , qui parle ici : S’il m’en souvient, on a bien r
nseignements contemporains et l’un des plus précieux documents pour l’ histoire anecdotique du théâtre au xviie  siècle. Molière
ns la Nouvelle collection moliéresque, des « Notes et documents sur l’ histoire des Théâtres de Paris, extraits du manuscrit de J
vres sur l’hôtel de ville41. Il a publié quelques cartes et travaux d’ histoire et de géographie. Sa fille (c’est-à-dire la sœur
e sont imitées. M. Langbaine, dans son Account of the Dramatic Poets ( Histoire des poètes dramatiques), publiée en 1688, admet,
tirés enfin de la poussière des archives, demeureront pour servir à l’ histoire de Molière et pareillement à celle des comédiens
tres de l’Hôtel de Bourgogne, qui laissera toujours une lacune dans l’ histoire de l’ancien Théâtre-Français. 4. « In questa tra
e des obsèques de l’Empereur. 15. Denon scrips. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8, 1821. tome VI, page 186. 17. Vi
Histoire de Paris, in-8, 1821. tome VI, page 186. 17. Vid. Chalmel, Histoire de Touraine. Paris 4 vol. in-8, 1828 ; l’Abbé Bou
yales de Saint-Denis. Paris in-12, 1872, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821, tome IV, page 432, et Georges d’H
u moment où il revient de chez le Roi. 27. Le collet ou rabat a son histoire . Voici comment elle est retracée dans les « Lois
66 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
« désabusé » et de « déniaisé ». Au surplus, si nous discutions ici l’ histoire de ces deux comédies, (l’une portant et comportan
constituent précisément le plus fameux événement littéraire de notre histoire locale. — Dans les archives municipales de la com
67 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
e peut s’entendre avec convenance, sera bientôt mis au rebut. Voilà l’ histoire de la langue dans les académies des précieuses. J
t déjà distribué aux arts, aux sciences, à la chaire, au barreau, à l’ histoire , à la morale, à la poésie, à la scène comique, à
68 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
règles des mœurs pour rendre les hommes meilleurs. On peut dire de l’ histoire , bien plus que de la comédie, qu’elle enseigne la
berg considéré comme imitateur de Molière, chap. I, 1. 2. D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap. i, § 2
sur les leçons de Gassendi, est une des plus curieuses chimères de l’ histoire des lettres. Il était mieux apprécié par Goldoni,
69 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [28, p. 53-54] »
ent à la vie de Molière », 1773. Plus tard, elle sera utilisée dans L’ Histoire de la vie et des ouvrages de Molière de Tascherea
70 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30
son naturel. » Le Docteur est reproduit d’après la gravure nº 5 de l’ Histoire du Théâtre italien de Riccoboni. Le costume est c
nage. Le Capitan, que nous reproduisons d’après la gravure nº 10 de l’ Histoire du Théâtre italien, est le capitan espagnol qui f
71 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
imprimer était ordinairement transformé en comédie écrite. C’est là l’ histoire des pièces que Ruzzante publia à la fin de sa vie
que Ruzzante publia à la fin de sa vie d’improvisateur et d’acteur, l’ histoire de L’Angelica du capitaine Cocodrillo et d’un trè
72 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [53, p. 87] »
rique en 1785. L’anecdote fut reprise par Taschereau dans son ouvrage Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, 1825. (Pier
73 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [55, p. 89] »
, plutôt qu’à présenter des situations vraisemblable ou à respecter l’ histoire . (DLF XVIII, p. 1222).
74 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [87, p. 131-132] »
e bonhomme. 281. Pierre Bonvallet a rencontré cette anecdote dans L’ Histoire de l’Académie françoise de l’abbé d’Olivet datant
75 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
Préface Si les volumes précédents de cette Histoire de notre théâtre ont pu, comme nous osons l’espér
omplète. Rien de plus curieux en effet, rien de plus important pour l’ histoire de notre théâtre, que le détail dans lequel nous
sants, dont ce morceau est rempli, il y en a un qui est unique dans l’ histoire du théâtre français, et qui a été ignoré jusqu’à
parut le même jour sur ces deux théâtres. Le dixième volume de cette Histoire rassemblera la vie de Molière et celle de Racine,
es qui parurent alors. Depuis l’impression des tomes V et VI de cette Histoire , il nous est tombé entre les mains une seconde pa
1.       Fouquet, dont l’illustre mémoire, Vivra toujours dans notre histoire , Fouquet, l’amour des beaux esprits, Et dont un r
re intitulé : Les Nuits facétieuses du Seigneur Straparolle, dans une histoire duquel un rival vient tous les jours faire confid
le du Dauphin, dont les événements nous ont paru devoir entrer dans l’ Histoire du théâtre français. Terminons cet article par le
x qui ont rapport à la pièce qui fait le sujet de cet article, et à l’ histoire que nous traitons ; mais nous abrégerons le plus
76 (1871) Molière
ien mourir une personne qu’aucun médecin qui soit dans la ville… » L’ histoire a conservé les noms des comédiens qui composaient
comique ; M. Destin et mademoiselle la Caverne. Il faut renoncer à l’ histoire même du prince de Conti Mais, pour être exact, en
lui, ceci ne fait pas un doute. Entre autres anecdotes, chacun sait l’ histoire du mendiant qui rapporte à Molière un louis d’or 
n lit dans le manuscrit de La Grange, qui longtemps a contenu toute l’ histoire de Molière, les détails que voici : La troupe se
77 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
volume présente au lecteur une partie des plus brillantes années de l’ histoire du théâtre français, puisqu’il renferme la suite
sent ce volume ne sont pas moins intéressantes dans leur genre pour l’ histoire du théâtre français ; nous espérons que le lecteu
hentique de ce que je viens d’annoncer, pour n’en pas rapporter ici l’ histoire en peu de mots. « Le Misanthrope étant tombé, Mol
ne, Et nullement la race humaine, Comme elle était à ce Timon, Dont l’ Histoire a gardé le nom, Comme d’un monstre de nature. Cha
t propres à sa nation que ses comédies peuvent être regardées comme l’ histoire des mœurs, des modes et du goût de son siècle ; a
élicerte, sous l’année 1699. « Ve entrée. Clio, muse qui préside à l’ Histoire . « VIe entrée. Calliope, muse des beaux vers. Les
tout Paris, Qui la voulut voir à ce prix, Qu’ils méritent bien que l’ histoire , En conserve aussi la mémoire. À l’Hôtel * le sie
ter Élomire, ou l’obliger à corriger ses pièces ; Élomire raconte son histoire et commence son récit par rappeler le temps où il
rapporter de la comédie d’Élomire hypocondre, l’auteur n’oublie pas l’ histoire de l’Illustre Théâtre ; mais il ne parle qu’en gé
te marginale] Voyez l’article de cette pièce, tome V, p. 229 de cette Histoire . *. [Note marginale] Solventur risu tabulæ, tu
a. Voyez la comédie de La Belle Plaideuse, tome VII, p. 66 de cette Histoire . a. « Pour preuve de tout ce que l’on a avancé,
e, acte V, scène première) : Un traître, dont on sait la scandaleuse histoire , Est sorti triomphant d’une fausseté noire, Toute
78 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
riosité de ce chercheur explorait les points les plus divers de notre histoire nationale, sans que la folle du logis cessât de h
es de la vie de Molière. Ce n’est pas le lieu d’aborder incidemment l’ histoire rebattue de ses prétendues infortunes conjugales,
mertume ne se mêlerait à son dernier adieu. Pour avoir tout entière l’ histoire de son cœur, il ne faut pas parler que de ce seul
ssitudes, dont les plus singulières sont connues de ceux qui savent l’ histoire de la révolution de Naples, au temps de Masaniell
e caractère, qu’Armande est l’Agnès de cette pièce, c’est aussi par l’ histoire de sa naissance. Comme Armande, Agnès est une enf
e la comédie, le père revient et se fait connaître ; à un moment de l’ histoire , le père revient de même et se fait reconnaître a
nt, pour qui les étudie bien, toutes les parties les plus obscures. L’ histoire de M. de Modène et de son retour, qui rendait un
r la dénouer, il ferait intervenir Louis XIV. Ninon lui avait conté l’ histoire d’un dépôt précieux remis aux mains d’un faux dév
e d’oublier en son Recueil de Chants bretons 111. C’est tout à fait 1 histoire de don Juan et de l’apparition du Commandeur, ain
n, — et c’est ce qui nous a fait insister sur ce chef-d œuvre, dont l’ histoire tient à celle de l’auteur, par des points trop in
qui m’avait toujours semblé d’un très grand prix au point de vue de l’ histoire du théâtre, mais dont la valeur s’est encore accr
eux, comme on va voir, et pour la biographie du grand homme et pour l’ histoire du théâtre : « J’aime, écrit-il donc à Laharpe p
ne les connaissaient pas. Ayant à parler du Médecin volant, dans leur Histoire de l’ancien Théâtre italien, ils ne dirent mot de
s yeux durent se porter sur M. de La Feuillade, dont on connaissait l’ histoire avec cet illustre de l’écurie145. Qui sait même s
ner en raillerie malveillante : LE COMTE. Il faut que je te dise une histoire jolie, Dont Molière a causé la conversation, Et d
n’a pas seulement un grand intérêt de comédie, mais un réel intérêt d’ histoire . VI - Le Misanthrope (1666) Il est inouï q
us les grands faits, et celui-là est un des plus considérables dans l’ histoire de l’esprit humain, mille et une causes avaient f
dée de son maître Jacques, tour à tour cuisinier ou cocher. Une autre histoire , qui courait Paris pendant sa jeunesse, lui fut e
nalités, il ne manquait pas d’indiscrets, qui venaient lui conter des histoires , et l’approvisionnaient ainsi d’observations. Tou
ont il était le proche voisin, dans la Cour du Palais. Il n’est pas d’ histoires qu’il n’en contât. Sa dixième satire, où la lieut
e crois, n’a jamais été citée à ce propos, nous met sur la piste de l’ histoire . Il y est dit que, « Mme étant allée avec beaucou
par alliance, ni par parrainage. Il ne faut pas les confondre dans l’ histoire plus qu’ils ne se mêlaient dans la vie. La gloire
omédien. Les familles s’étaient ainsi rapprochées ; nous laisserons l’ histoire les rapprocher aussi. Nous allons donc reproduire
n différent, non seulement comme nuance d’étoffe, mais comme nuance d’ histoire . L’habit gris, sous Louis XIV, c’était tout un mo
rs, et qui réussissez souvent à combler sur ce point les lacunes de l’ histoire littéraire. C’est ce qui m’engage à vous signaler
de la Légende dans sa comédie. Nous en trouvons un tout pareil dans l’ histoire de la jeunesse de Louis XV : « Une puce l’incommo
Bourgeois gentilhomme, l’occasion étant bonne pour repasser un peu l’ histoire de ce chef-d’œuvre, nous nous en sommes donné le
ait lui-même inspiré. Sa Majesté, en souvenir de l’une de ses propres histoires d’amour, désirait que l’aventure de Bérénice avec
que s’occupe de notre théâtre en son plus beau temps. X - Un mot d’ histoire sur le Malade imaginaire Le dimanche 15 janv
ls ont encore, et sous plus d’un point de vue, un véritable intérêt d’ histoire théâtrale. Ces sortes d’intermèdes, que Molière s
èce toute d’allusions, dont il faut qu’en peu de mots je vous fasse l’ histoire , afin qu’elle ne vous échappe plus, lorsque vous
immuable pour l’interprétation de son répertoire. Il faudrait faire l’ histoire du jeu de Molière, comme on a fait celle de sa vi
n différent, non seulement comme nuance d’étoffe, mais comme nuance d’ histoire . L’habit gris, sous Louis XIV, c’était tout un mo
fournit l’aventure, qui n’est pas, du reste, la moins inconnue de son histoire en ces premières années. Nous devons de la savoir
emps, plusieurs volumes, où quelques-unes des plus belles années de l’ histoire du Théâtre-Français et ce qu‘il a conservé de vra
it prochaine, M. Delorme voudra bien permettre à l’un de ses aînés en histoire théâtrale, de lui signaler certains points où il
pour lesquels, je crois, il n’est pas assez remonté de la légende à l’ histoire . Je commencerai par la fameuse fable de la cloche
se, était un homme d’esprit, d’honneur, et incapable d’inventer cette histoire . » Je n’insisterai pas davantage. On voit quel c
u Paris, 1777, in-8, p. 191. 58. Gazette du 1er février 1673. 59. Histoire de l’ancien Théâtre-Italien, 1753, in-12, p. 107.
moires de Choisy, collection Petitot, 2e série, t. LXIII, p. 71, et L’ Histoire de Daniel de Cosnac, par M. le marquis de T…, Rec
84. Lettres, t. VII, 436. 85. V. notre petit livre L’Esprit dans l’ Histoire . 86. Lettre du 9 septembre 1677. 87. Mémoire
p. 439-440. 89. Tallemant, édit. Paulin Paris, t. III, p. 237. 90. Histoire de l’Église métropolitaine d’Utrecht, p. 94. 91.
37. 90. Histoire de l’Église métropolitaine d’Utrecht, p. 94. 91. Histoire de l’Église d’Autun, 1774, in-8, p. 246. 92. Not
(Revue des Deux-Mondes, 15 janvier 1848, p. 200, 201). 109. Racine, Histoire de Port-Royal. édit. stéréot., t. IV, p. 214-215.
de l’Éditeur). 145. Voyez ci-dessus, à la page 107, cette plaisante histoire , qui prouve que Gaveau pouvait bien être le type
79 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [90, p. 134] »
285. Saxe, Maurice, comte de (1696 – 1750) : maréchal de France. L’ histoire littéraire fait mention de lui à propos de MmeFav
80 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
lle a besoin d’être forte pour se défendre. C’est à proprement dire l’ histoire de mademoiselle Mars, avec le parterre de ce temp
acrilèges, volées par un païen sur un tombeau ! « Voilà cette funeste histoire  ! Et puis l’on s’étonne que la critique protège j
81 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
la plus pure, et adoucit la plus sévère. » M. de Beausset, dans son Histoire de Bossuet, voit avec peine que madame de Mainten
tions. 119. Cette lettre se rapporte à celle du 27 juin 1676. 120. Histoire de Bossuet, t. II, p. 74, 75 et 76.
82 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXI » pp. 220-221
difficulté vaincue au mérite du talent le plus élevé. Je reviens à l’ histoire galante de la cour.
83 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
dre ni l’indifférence ni l’infidélité. Et le peu que nous savons de l’ histoire de son cœur permet de supposer qu’il trouva plus
422. Phèdre. 423. Voir, sur le mariage de Molière, J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II et
qu’il ne voyait plus qu’au théâtre, jouait Célimène. Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX,
84 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
attaques n’avaient été dirigées contre lui que par de faux dévots, l’ histoire en serait bientôt faite : on n’y verrait que de s
ses Mémoires. Suivant cet abbé, un des hommes les mieux informés de l’ histoire secrète du siècle de Louis XIV, M. de Guillerague
jugé impossible de donner au public ? 4. Les auteurs si exacts de l’ Histoire du Théâtre-Français n’osent l’assurer ; mais Volt
, dit-il, balançait celui du Tartuffe. Dans tous ces petits détails d’ histoire littéraire, Voltaire est, en général, d’une grand
85 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
e ses caracteres sont, pour ainsi dire, tous donnés par la fable ou l’ histoire . Aut famam sequere, aut sibi convenientia finge,
; l’autre, comme ils ont coutume d’être. La tragédie est un tableau d’ histoire , la comédie est un portrait ; non le portrait d’u
éerie & Pastorale. Cet article est de M. de Marmontel. Comédie, Histoire Ancienne * Comédie, (Hist. anc.) La comédie d
n est encore de nos jours un reste ridicule. Alain Chartier, dans son histoire de Charles VII. parlant de l’entrée de ce roi à P
st, liv. XXVIII. des actes capitulaires, fol. 153. De Rubis, dans son histoire de la même ville, liv. III. ch. liij. fait mentio
& les fêtes après le disner, furent représentées la pluspart des histoires du vieil & nouveau Testament, avec la farce a
86 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
que grossir le nombre enrayant des vaines tentatives qu’enregistre l’ histoire théâtrale. Célimène a vingt ans et son expérience
ue tradition vague ou conjecture. Je ne crois pas qu’il y ait, dans l’ histoire littéraire, de question qui montre davantage les
oins à la timide et passive Agnès. On invoque des analogies ; ainsi l’ histoire d’Agnès, remarquée par Arnolphe dès l’âge de quat
a probablement fait partie de leur troupe, elle connaît par le menu l’ histoire de leur théâtre. Le caractère et la manière d’êtr
ez le lecteur ; il voit trop bien qu’il a sous les yeux un ramassis d’ histoire suspectes, et, s’il lui prend fantaisie de les co
a part de La Grange y fut trop considérable, et il faudrait mêler à l’ histoire d’Armande trop de faits qui regardent plutôt son
87
à 300 exemplaires seulement : L’Instruction en Province avant 1789 : histoire littéraire de la ville d’Albi 3, dont le chapitre
verte des trois documents précités est d’une importance réelle pour l’ histoire , si confuse encore, de la jeunesse de Molière ; c
ir prochain, reconstitué l’Odyssée complète de Molière en province. L’ Histoire littéraire de la ville d’Albi 4 mériterait à coup
sur les éclaircissements que contiennent ces dates et ces noms pour l’ histoire des voyages de Molière, pour sa biographie et pou
à nos peintres lorsqu’ils avaient à traiter des sujets puisés dans l’ histoire de France des temps reculés. Le cit. Vincent, par
cuments relatifs à la troupe du duc d’Épernon que j’ai publiés dans l’ Histoire littéraire de la ville d’Albi. Permettez-moi de v
si légèrement. Si les commentateurs avaient pris la peine d’étudier l’ histoire typographique du Dépit amoureux, ils auraient rec
de ses pièces : Les Précieuses avaient été publiées malgré lui, et l’ histoire du Cocu imaginaire édité par le Sieur de Neuf Vil
dans la pierre : « rue des Prêtres ». Enfin, pour en terminer avec l’ histoire de la rue des Jardins, je dirai encore qu’elle po
ntient-il un point de vérité, et ne faudrait-il voir, dans la fameuse histoire de la noyade d’Auteuil, qu’une partie de bain ou
ent poétique. Nous avons trouvé la preuve qu’il était médecin, dans l’ Histoire chronologique de la médecine et des médecins, par
88 (1739) Vie de Molière
olume de ce qui ne devrait remplir que peu de pages, sont cause que l’ histoire des hommes célèbres est presque toujours gâtée pa
ite à Paris en 1728. On tâchera d’éviter cet écueil dans cette courte histoire de la vie de Molière ; on ne dira de sa propre pe
rapportée, et la seule qui ne soit pas dans cette fausse et mauvaise histoire qu’on a mise jusqu’ici au devant de ses ouvrages 
fêtes que Louis XIV donna dans sa jeunesse, méritent d’entrer dans l’ histoire de ce monarque, non-seulement par les magnificenc
ir plus de pédanterie que d’agrément. Tous ceux qui sont au fait de l’ histoire littéraire de ce temps-là, savent que Ménage y es
89 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
e. C’est Goldoni qui le premier porta à la scène la personnalité et l’ histoire de Molière, dans la comédie qu’il fit jouer à Tur
rapprochements qui ne coûtent pas beaucoup en somme à la vérité de l’ histoire , et qui confondaient le nom de leurs grands histo
S, L’ILLUSTRE THÉÂTRE On touchait à un moment remarquable de notre histoire , à une époque pleine d’effervescence et d’élan. L
ur la biographie de Molière. Il est aussi du plus haut intérêt pour l’ histoire des origines de la Comédie française. La Comédie
L’Hôpital des fous et de trois ou quatre autres pièces citées dans L’ Histoire du Théâtre français des frères Parfait. Si c’étai
des mœurs de leur temps ; tous deux ont retracé une page bizarre de l’ histoire morale de leur pays. CHAPITRE III. DÉPART. LES
ignements deviennent un peu plus positifs. M. Jules Rolland, dans son Histoire littéraire d’Albi, a publié des documents dignes
duire quelque chose de la physionomie de l’époque. L’épisode de notre histoire qui touchait à son dénouement, la Fronde, ressemb
’Étourdi et Le Dépit amoureux, la légende, qui cherche à suppléer à l’ histoire intime de Molière, absolument inconnue, a placé u
g dans un mauvais livre ayant pour titre : La Fameuse comédienne ou l’ histoire de la Guérin 40. Ce livre, dirigé contre la veuve
42. Tel est le récit que nous trouvons dans les premières pages de l’ histoire de La Fameuse comédienne. Que les détails soient
édien, dont il tire la gloire Qu’il nous vient d’étaler racontant son histoire . Le langage est grossier ; mais les jalousies, l
artificiel. La phase distincte que le précieux représente dans notre histoire , ce règne de l’affectation, ce fanatisme du bel e
nc pas seulement au théâtre de Molière, elles appartiennent aussi à l’ histoire  : leur caractère s’explique précisément par l’ind
se, était un homme d’esprit, d’honneur, et incapable d’inventer cette histoire . Il disait que Louis XIV ayant su que les officie
MARIAGE Nous venons de toucher par ces dernières observations à l’ histoire intime de Molière. Il est temps de pénétrer plus 
llas, de Junon et de Cypris, Chapelle conclut par ces mots : Voilà l’ histoire  ; que t’en semble ? Crois-tu pas qu’un homme avis
s fallu se mettre en grande dépense d’imagination pour inventer cette histoire  ; on n’avait fait que prendre tout simplement le
le rôle qu’on attribue à Molière sont absurdes et odieux. Toutes ces histoires sont apocryphes et diffamatoires ; il s’en fallai
ait très grand historien et avait beaucoup vu, lu et relu de diverses histoires  ; mais la fin principale à quoi tendait son exerc
comment femmes peuvent décevoir leurs maris. Car, la Dieu merci, les histoires anciennes, comme Mathéolet, Juvénal, Les Quinze j
us souvent tirés de l’esprit de celui qui les fait parler que de leur histoire . Il n’en est pas de même des fous que l’on peint
r qu’on nous ôte nos mères ! » Ce jour était, comme nous l’apprend l’ histoire du jansénisme, le 26 août 1664. Tout le monde vou
ages qui sont, non pas du domaine de la fiction, mais du domaine de l’ histoire  ? Le Tartuffe et Don Juan sont les deux plus gra
et diffamatoire dont nous avons déjà parlé : La Fameuse Comédienne ou Histoire de la Guérin ; et encore ce livre est-il pris sur
s avec ses amis font toutes le plus grand honneur à son caractère ; l’ histoire anecdotique du siècle, si abondante et faite à de
nomme Jean-Armand de Mauvillain, joue un rôle assez important dans l’ histoire de la Faculté. Après des luttes très vives contre
dotale. Le danger qui les frappait n’était nullement chimérique, et l’ histoire du Tartuffe jusqu’à nos jours l’a suffisamment pr
t là une lutte qui n’est pas près de finir et qui est presque toute l’ histoire et toute la vie de notre civilisation. Molière, q
fois en 1800, dans « Le Conservateur ou Recueil de morceaux inédits d’ histoire tirés des portefeuilles de M. François de Neufchâ
Dictionnaire et traités de philosophie. Environ vingt vol., à Paris. Histoires d’Espagne, de France et d’Angleterre. Quelques vo
qu’elle était tout entière attachée à son ménage, et les auteurs de L’ Histoire  du Théâtre français ajoutent que, retirée habitue
tre les années 1646 et 1658. On l’a vu figurer plus d’une fois dans l’ histoire de ces pérégrinations ; à Montpellier, aux États
t Baron et Dancourt. Toute cette famille remplit un grand rôle dans l’ histoire  anecdotique de la comédie française à la fin du X
aron avait neuf ans lorsqu’il demeura orphelin. Grimarest a raconté l’ histoire  de cet organiste de Troyes, nommé Raisin, qui ima
nant le théâtre du Palais-Royal dont il est question à la page 345. L’ histoire de la sépulture de Molière depuis les obsèques ju
es de Daniel de Cosnac, archevêque d’Aix, publiés par la Société de l’ histoire de France, par le comte Jules de Cosnac ; Paris, 
figurer dans l’acte de baptême du 10 janvier 1650, à Narbonne. 31. Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
e royale de musique depuis 1673 jusqu’à l’incendie de 1763. » 132. Histoire de la troupe de Molière, journal L’Ordre, 12 mars
le conjecturer, elle était née en 1624. 140. Voyez page 229. 141. Histoire du Théâtre français, tome XI, p. 305. 142. Nouv
6. 160. Voyez p. 90. 161. Recueillie par les frères Parfait, dans L’ Histoire du Théâtre français, tome XII, page 472. 162. Po
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
eu des ressorts, &c. Après avoir fait part au spectateur de l’ histoire secrete des principaux personnages d’un drame, &a
content de n’apprendre que là au spectateur le véritable nom & l’ histoire secrete d’un acteur qu’il a vu dès le premier act
ils Horace Douze ans aient découvert jamais la moindre trace. Voilà l’ histoire en gros, redite seulement Afin de vous servir ici
91 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
reurs, toute sa passion, toute sa fièvre dans les entrailles de notre histoire . Alors, elle cessera d’être pour nous ce fantôme
poète Tyrtée hâtait par ses chants le pas accéléré des Spartiates, l’ histoire avoue qu’il marchait devant et qu’il était boiteu
stances atténuantes. Que dire après Molière ? Vous souvenez-vous de l’ histoire de milady ? Je vous ai expliqué de mon mieux pour
92 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
oyage du monde de Descartes, et des nouveaux Mémoires pour servir à l’ histoire du Cartésianisme. Mais il y a plus à s’étonner, s
Séparez donc l’étude des lettres de celle de la philosophie et de son histoire , et, entr’autres résultats, vous aurez celui de r
93 (1818) Épître à Molière pp. 6-18
plaisirs et ta gloire Quand des mœurs de ton temps tu nous traçais l’ histoire  ; Quand tes vers, devenus proverbes en naissant,
comme ils n’ont rien appris : Ils ne peuvent encore, en lisant notre histoire , Nous pardonner trente ans de travaux et de gloir
94 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [56, p. 89-93] »
es humanités à l’époque du pseudo-classicisme. Grammaire, rhétorique, histoire , philosophie : il a touché à toutes ces matières,
95 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre IV. — Molière. Chœur des Français » pp. 178-183
euve, Notice sur Molière. 249. Boileau, Fénelon, Taschereau, Nisard, Histoire de la littérature française. 250. Louis Moland.
96 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
me de critique absolue, ne seront peut-être pas jugés inutiles pour l’ histoire de notre langue4. On a beaucoup reproché à Voltai
Molière dans son art sont attentivement observés, non seulement fût l’ histoire de ses ouvrages, mais même pût être considéré, en
ses ouvrages, mais même pût être considéré, en quelque sorte, comme l’ histoire de son génie. Tout l’ouvrage est précédé d’un Dis
cite la plaisante difformité de son masque. J’aurais voulu retracer l’ histoire de la comédie, depuis Molière jusqu’à nos jours.
tel fait littéraire, telle anecdote personnelle, tel trait enfin de l’ histoire politique ou morale de l’époque, dont j’ai pu cro
ut des rapports, je faisais, de la Vie de ce grand poète, une sorte d’ histoire abrégée de l’époque glorieuse dont il fut un des
is, à l’étranger, en 1688, sous le titre de la Fameuse Comédienne, ou Histoire de la Guérin, auparavant femme et veuve de Molièr
pour un édifice public être préféré à celui d’un architecte : c’est l’ histoire de Claude Perrault et du cavalier Bernin. Avant q
u récit et à la critique des diverses particularités qui en forment l’ histoire , je ne pourrais, dans ce récit purement biographi
aucoup de succès. Ses autres ouvrages sont un Voyage de la Luneet une Histoire comique des États et Empires du Soleil. 27. Suiv
temps, explique ses vers par les mêmes faussetés dont il a rempli son histoire . 38. On cite de Molière un mot facétieux, qui se
omplètes de Molière, avec les notes de tous les commentateurs, et une Histoire de la Vie et des Ouvrages de Molière.Ce jeune écr
se, était un homme d’esprit, d’honneur, et incapable d’inventer cette histoire . » 65. « Chapelle,dit Saint-Marc, éditeur de se
97 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
s encore envie. Le génie de la France, tel qu’il apparaît à travers l’ histoire , brûlant et brillant à la fois, sain, vigoureux e
les tableaux, il n’a jamais dîné. Mensonges de la tradition et que l’ histoire anéantit. Cette jeunesse de Molière est singulièr
nde énergie. Ce fier visage de songeur nous apparaît donc à travers l’ histoire comme un des plus nobles et des plus sympathiques
avait point fini avec les tribulations. Il fallut (et sur ce point, l’ histoire doit savoir quelque gré à Louis XIV), il fallut l
e des femmes n’est qu’un pot-pourri de La Précaution inutile et d’une histoire de Straparolle. » Ce reproche de pillerie, on l’
nnent encore rendre hommage. Ces vers, il faut l’avouer, sont pour l’ histoire littéraire d’un intérêt tout à fait capital, et o
eints exceptés, dans le bras, — mais encore c’est là comme une page d’ histoire . On s’imagine, en la voyant, Molière portant déjà
Mignard et que grava Nolin en 1685. Celui-là est vraiment une page d’ histoire et, pour la critique littéraire, il est, psycholo
des latins, Balzac, Montaigne, un traité de philosophie, des livres d’ histoire et des voyages. Bibliothèque de penseur et non de
ure de la taille d’Hamlet, une vision de la valeur de La Tempête, une histoire d’amour du charme de Roméo et Juliette, un drame
ttres au Mercure de France (1673, 1722 et 1740) sont curieuses pour l’ histoire de Molière. Beaubourg (Louise Pitel de Beauval,
ne branche d’olivier à la main, pour représenter la muse antique de l’ histoire . Puis venaient : MM. Samson, en Mascarille ; Geff
t demi, mais n’en dites rien à ma mère ! » 28. Voyez l’édition de l’ Histoire de la Guérin, qu’a publiée, avec une préface et d
98 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
conque, on ne supporterait pas l’invraisemblance et la monotonie de l’ histoire . Tartuffe se dit dévot, toute la popularité de l’
s ne sera pas sans utilité. Il y a là un épisode intéressant de notre histoire littéraire. Et cette histoire, pour le dire en pa
y a là un épisode intéressant de notre histoire littéraire. Et cette histoire , pour le dire en passant, sera mal connue tant qu
seurs. L’auteur est M. Bazin, savant et homme d’esprit, dont on a une Histoire de Louis XIII, composée avec beaucoup de patience
écu sans culte, il est mort en dehors de toute forme de religion. Son Histoire de Louis XIII respire le plus tranquille mépris p
sait ménage depuis seize ou dix-sept ans. Bazin conte au long toute l’ histoire  ; elle est déplorable. On accusait Molière d’avoi
rale ! Le prince lui répond par un discours où il décrit longuement l’ histoire de sa flamme et où il y a bien de quoi faire pâme
leux que les prophètes remplissaient auprès des rois d’Israël. Dans l’ histoire sacrée, les prophètes apparaissent devant les roi
d’Amphitryon, Mascaron prêchant le Carême devant le roi, paraphrasa l’ histoire de David, et prononça les paroles foudroyantes qu
sermon sur l’éloignement de Dieu et le retour à Dieu. Paraphrasant l’ histoire de la résurrection de Lazare, il montre le sommei
tres villes. Cela dura quelques années, et ces années comptent dans l’ histoire de la littérature française. Molière faisait repr
e uniforme. Allons d’abord aux sources de l’inspiration de Molière. L’ histoire du Tartuffe n’est pas moins intéressante que l’œu
neur (la vilaine !) et fit placer ces grilles restées fameuses dans l’ histoire . Ce scandaleux éclat n’avait d’autre but que d’em
Mais alors tout cela crève de scélératesse et d’iniquité ; c’est une histoire de bandits que nous avons sous les yeux, et non p
el est comme suspendu par les énergies de sa volonté aidée de Dieu. L’ histoire des saints est pleine d’événements et de circonst
e faisait par­donner les faiblesses de son sexe, celle-ci lui conta l’ histoire d’un hypocrite avec des traits si naturels et si
99 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
ic, toujours disposé à diminuer la gloire des grands hommes. (Voyez l’ Histoire du Théatre François.) XI. Moliere, étoit de
rançoise ; & nous ne doutons point, disent MM. Parfaict dans leur Histoire du Théatre François, qu’en lisant ceci, beaucoup
100 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82
onne plaisanterie, de verve et de grossièreté, etc. » J. Taschereau, ( Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voi
e de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voir aussi D. Nisard ( Histoire de la Littérature française, liv. III chap. IX, §
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