/ 158
1 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
nt que dans l’ensemble de son développement historique176, l’histoire générale de la tragédie forme, avec la théorie sommaire de
ire, qui ne serait elle-même qu’un effet par rapport à une cause plus générale , mais dans l’histoire même de l’Absolu. L’Esprit
intérêts de la cité. Là, le salut public refoule au fond du cœur d’un général d’armée la tendresse paternelle. Dans cette jeune
héros possédaient en eux-mêmes le principe divin de leurs entreprises générales . Leurs actions, partant de leur personnalité comm
quise par la personne humaine est le trait le plus profond et le plus général du changement survenu alors dans la conscience du
-même du drame divin développé par elle dans l’histoire. Les intérêts généraux de la Société, les droits de la Famille, toutes c
e, qui est la guerre des Dieux, c’est-à-dire des sentiments à la fois généraux et généreux de l’âme humaine., dans le for intéri
ui d’une manière plus pure et plus vraie dans ses créations hautement générales , qu’elle ne peut l’être par la Nature et par l’Hi
e. Ils voient cette mascarade irréligieuse se terminer par la déroute générale du mensonge et de la perversité, et leur majesté
principe, en Grèce, l’incarnation d’un petit nombre d’idées hautement générales , que le poète n’avait pas tirées de son propre fo
nt de supposer que l’homme put dès lors cesser de participer à la vie générale de la Société, pour s’enfermer, d’une façon exclu
les individus ne cessèrent point de se mouvoir dans un cercle d’idées générales et de sentiments généraux. L’amour de Roméo et de
point de se mouvoir dans un cercle d’idées générales et de sentiments généraux . L’amour de Roméo et de Juliette me touche, sans
ut que cet ambitieux et que ces amants se brisent contre la puissance générale et solide, malgré laquelle ils veulent parvenir à
loppent dans leur rapport avec une idée morale, avec quelque grand et général intérêt de la Société, de la Famille ou de la Rel
que j’ai admirée dans Shakespeare, mais d’une vérité plus pure, plus générale et plus philosophique, qui supprime dans les repr
réer, en Angleterre, des caractères individuels, en France, des types généraux , est devenu pour le poète la grande chose, et si
e, enchaîné à un texte, ne peut juger selon sa propre inspiration. Le général d’armée, impatient de couvrir sa personne de gloi
197. Dans Roméo et Juliette, la division des familles est la base générale de l’action. De même dans Hamlet, on voit par l’a
irer le plus de conséquences logiques que nous avons pu des prémisses générales posées par Hegel. Car voici à quoi se réduit sa c
droits par lesquels la liberté est fixée et régularisée d’une manière générale et abstraite sont indépendants de la volonté indi
ui échappent à leur direction et à leur pouvoir personnel. De même un général d’armée, dans nos temps modernes, est bien revêtu
2 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre premier. » pp. 5-11
Chapitre premier. Idée générale de l’ouvrage. Nous avons vu la corruption des m
Idée générale de l’ouvrage. Nous avons vu la corruption des mœurs générales se répandre de la cour de François Ier sur la nat
dans tout leur ridicule. Il était naturel que l’effronterie des mœurs générales ne distinguât rien dans ce mélange et qu’elle s’é
talent du poète comique suppose une vive sympathie avec le sentiment général des ridicules, sans exclure, sans doute, l’appréc
3 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
Chapitre XV Observations générales sur les six premières périodes du xviie  siècle.
l’ouvrage de deux sociétés distinctes qui se partageaient la société générale des femmes honnêtes. Je vais y concourir pêle-mêl
es, et séparément la société choisie. Je parlerai d’abord du concours général . Laissant donc à part la distinction des précieus
lle académie a pu jamais faire pour la langue ce que fit cette ardeur générale de conversation ? L’académie était partout. Tout
ui, aucune illusion n’entoure ces objets du culte qui était autrefois général . Les gradations des rangs qui procédaient du mona
4 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
ne saisis pas bien l’analogie qu’on veut établir entre la position du général thébain et celle du marquis de Montespan. Jupiter
. Or je ne trouve rien de pareil dans Amphitryon. Veut-on comparer le général thébain au marquis de Montespan ? Il est vrai qu’
marquise de Montespan n’a jamais répondu à son mari comme la femme du général thébain : elle n’a pas essayé de lui persuader qu
d’un trait sans doute s’adresse aux courtisans. Quant aux chagrins du général thébain, il est probable qu’ils lui rappelaient s
5 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
tantif Précieuse. Différentes classes de précieuses. — Leur caractère général . — Écrits relatifs aux précieuses. — L’abbé d’Aub
aussi marquèrent plus sensiblement par leur opposition avec les mœurs générales . Ce fut alors que le mot de précieuses commença à
a cour et à la masse corrompue de la société de Paris. L’incontinence générale ne pouvait souffrir patiemment cette réserve de l
Sévigné, des La Fayette, importunait la cour, foyer de la dissolution générale , choquait les personnages importants de la capita
Mystère des ruelles, et dans les Dictionnaires de Somaise, les traits généraux qui peuvent s’appliquer aux grandes précieuses et
d’honneur de porter ses premières armes en Piémont sous le lieutenant général du royaume, Brissac, grand et illustre capitaine,
aisait profession de mœurs plus réservées, plus chastes que les mœurs générales , où l’on parlait un langage analogue, où l’on s’a
commune. Il avait pu se persuader que les mœurs de la cour, les mœurs générales , ne pouvaient pas avoir tort, et que la dissoluti
e nos jours, et où il est, d’un moment à l’autre, employé à l’utilité générale . L’estime de Boileau pour mademoiselle de Scudéry
aisait de Chapelain ne l’avait pas empêché de le sacrifier à la risée générale  : Qu’on vante en lui la foi, l’honneur, la probi
autres de ma connaissance. La pièce fut jouée avec un applaudissement général . » C’est évidemment une faute d’impression de dir
e grande partie de ce tout. Ménage la comprend dans l’applaudissement général donné par l’hôtel de Rambouillet, puisqu’il ne l’
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
d’équipages, toujours à cheval, même en en route, il mangeait chez le général . On lui laissait parcourir les tranchées et couri
euse et splendide. La reine et le cardinal, au milieu de l’enivrement général , ne négligeaient pas de diriger l’esprit et les p
pas être plus régulières que celles de la cour. Le débordement était général . Il est peint dans les Conséquences du règne de F
7 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [67, p. 103-104] »
de Soissons, né le 3 mai 1635, s’établit en France, où il fut colonel général des Suisses et Grisons, gouverneur de Champagne e
es Suisses et Grisons, gouverneur de Champagne et de Brie, lieutenant général des armées du roi. Après s’être distingué en plus
8 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110
urs tombent qui sur les pieds, qui sur la tête, au milieu du brouhaha général .) Le comique est le contraire du sublime. — Danso
urs d’un syllogisme bien tendu138. — Le sublime ambitionne les termes généraux qui ont de la noblesse : le comique doit donc rec
é pour se faire une surface unie a donné aux Français pour les termes généraux un goût contraire au vrai style comique. De même
un goût contraire au vrai style comique. De même que les expressions générales , ils aiment les sentences générales165. Ainsi le
9 (1910) Rousseau contre Molière
être significatif de Rousseau sur d’autres pièces de Molière ; griefs généraux de Rousseau contre Molière ; idées générales de M
ièces de Molière ; griefs généraux de Rousseau contre Molière ; idées générales de Molière et de Rousseau. Cet ordre ropalique, j
traité ici la question de Rousseau ennemi du théâtre. Cette question générale , je la traite à part dans un volume intitulé Rous
pas strictement. Rousseau reconnaît que c’est bien ainsi, d’une façon générale , que Molière a conçu son caractère ; qu’Alceste «
que cette page de critique ait une grande allure et contienne une vue générale très juste : les comiques sont entraînés à prendr
ractère du reste, le sont toujours, partie par horreur des injustices générales des hommes, partie par colère contre celles dont
n, ou même quand elle s’adresse à lui, et tout de suite c’est au vice général qu’il s’en prend : Eh ! Madame, l’on loue aujour
ous tel que nous le rêve Rousseau ; il est irrité contre, d’une façon générale , les défauts universels des hommes ; mais il ne s
toujours le bon côté de toutes choses, qui n’est attristé ni des maux généraux de l’humanité ni des malheurs qui l’atteignent lu
us ai connu bien meilleur que vous n’êtes, puis, revenant à la thèse générale  : « Laissez ce système aux opulents sans entraill
que, a été de présenter d’abord Philinte comme indifférent au malheur général , sur quoi le public s’est dit : « Bon ! c’est un
quoi Rousseau s’y est-il mépris à ce point ? D’abord pour des raisons générales que nous verrons amplement plus loin : Rousseau e
nous verrons amplement plus loin : Rousseau est persuadé, d’une façon générale , que Molière n’aime pas les honnêtes gens, et s’i
elle prêche est plus dangereux que le mal lui-même… » Voilà la raison générale pour quoi Rousseau s’est acharné sur le Misanthro
e assez rudement, l’honnête homme sera pour lui Alceste. Voilà l’état général des choses. Mais est-il nécessaire qu’il y ait un
ncomparablement flatteuse de sa faveur. Cela ne regarde pas la morale générale . C’est en dehors d’elle. Cela ne démoralisera poi
une très grande importance. Au contraire, je crois qu’aux intentions générales , au moins, de Don Juan, Molière attachait une imp
isse le charme d’un pareil grotesque ; et ceci est d’un intérêt assez général . A son censeur Molière pourrait répondre : « Je s
t une réponse assez forte à opposer à ce grief. IV - Les reproches généraux Ils se réduisent, à la vérité, à un seul. Rous
erre qui est composé d’hommes très médiocrement honnêtes. Ce reproche général se subdivise de la manière suivante : Molière « n
int de vue personnel.   Continuons à suivre Rousseau dans sa critique générale . Molière, dit-il, ne se contente pas de ne pas fa
e à en être peu discernable, on en est responsable (d’après l’opinion générale des hommes), on en est coupable, on le fait exprè
t qui ne peint pas les mœurs des hommes, mais plutôt leurs sentiments généraux et éternels, et qui, pour cela, est raillée, un p
i, qu’à peindre telles qu’elles sont les choses qui sont d’une vérité générale . C’est, comme on le sait bien, la différence de
ne concluez rien ni pour ni contre Molière. Si on accepte la théorie générale de Rousseau sur la comédie, il n’y a rien du tout
au sur cette piste, nous sortirions de notre sujet. VI - Les idées générales de Rousseau et de Molière Nous avons vu les di
par les attitudes ordinaires de Molière ; mais il y a une raison plus générale et plus profonde par où, tout naturellement, Rous
ement qu’il y songe ; c’est que toutes les opinions, toutes les idées générales de Rousseau sont directement contraires à celles
nt ainsi, de ce qu’il n’a pas l’air même de s’en douter. Or les idées générales de Rousseau sont celles-ci : patriotisme, civisme
et le succès obtenu ; et il va de plus en plus dans le sens des idées générales de son temps et des préjugés de son temps, et cel
sités de son métier de directeur l’ont ramené, et vivement, aux idées générales qu’il avait puisées dans la boutique paternelle e
me nous le verrons, ne sont peut-être que l’exagération des principes généraux de ces trois personnages. Rousseau, dans Sophie,
es autres, de sorte qu’elle a grandement à compter avec la réputation générale qu’elle aura dans la cité. « Il ne suffit pas qu’
n’existe que si nous en sommes juges ; et c’est lui qui de cette loi générale excepte formellement la femme, comme incapable de
t ses « amants », c’est élémentaire ; il y a mieux. « … Dans le désir général de plaire, la coquetterie suggère de semblables m
il n’entre, à le bien prendre, aucune générosité ni même aucune idée générale  ; mais où il entre beaucoup d’égoïsme naïf et ing
ce n’est point ainsi qu’il faut doser. Il faut recevoir l’impression générale des choses ; il faut noter la place où, tout le r
dans son esprit. Tant y a que Rousseau, par tempérament et par nature générale d’esprit inconciliable et irréconciliable avec Mo
cte, ne sont qu’exagération bouffonne jusqu’au burlesque de la pensée générale des Femmes savantes, que Molière s’amusant à se m
chez tel peuple à tel moment. Le bon sens est le respect des opinions générales des hommes que l’on fréquente. Le bon sens est un
religion en ce qu’il rallie et réunit les hommes dans un consentement général à des croyances que chacun n’a que parce que tous
i n’est sens commun que dans les limites de ce groupe. Le sens commun général , c’est le sens qui est commun à la très grande ma
c l’ École des Maris. Il n’était pas sensiblement, comme intelligence générale , au-dessus de son public de bourgeois parisiens.
c’est-à-dire une intelligence impersonnelle ; c’est-à-dire une façon générale de comprendre les choses qui est celle de tout le
ès évidemment que la santé sociale dépend du sens commun, du bon sens général , inspirant et dirigeant la conduite de chacun ; R
Autres pièces blâmées III. — Silence significatif IV. — Les reproches généraux V. — Molière vu à travers ses successeurs VI. — L
es généraux V. — Molière vu à travers ses successeurs VI. — Les idées générales de Rousseau et de Molière VII. — Un point où ils
10 (1900) Molière pp. -283
ayer de juger l’écrivain. Tâchons d’abord de vous donner un caractère général de sa vie et de son théâtre, Ouvrez Molière, mess
Bussy-Rabutin. Bussy-Rabutin avait eu des succès très brillants comme général  ; il tombe tout à coup en disgrâce ; on le met à
âteau de Bussy-Rabutin, dans son manoir de Bourgogne, où il se rêvait général de génie, comme Molière à Pézenas se rêvait grand
s je dis qu’il était visionnaire dans le sens le plus haut et le plus général du mot ; il avait le don de double vue, le don de
de son rare talent pour la scène. Molière a usé de cette disposition générale  ; je ne le blâme donc pas, je le loue ; mais je c
est ce que j’ai essayé de faire pour Molière. J’ai tracé le caractère général de sa vie, de sa conduite, de ses mœurs, tel qu’i
r les considérer en elles-mêmes, et non plus d’après leurs caractères généraux  ; ce sera la troisième partie de ces études, puis
est peint ici : ce portrait, devenu, tout en restant particulier, si général , c’est celui de l’esprit de système : il s’y trou
l’esprit de province ; mais non pas seulement dans ce qu’il a de plus général . Tout à l’heure, je vous faisais voir, dans Moliè
olière, le type de M. Purgon, qui, à force d’être bien peint, devient général  ; eh bien, voilà maintenant des types généraux qu
tre bien peint, devient général ; eh bien, voilà maintenant des types généraux qui ne sont pas seulement des types généraux ; il
ilà maintenant des types généraux qui ne sont pas seulement des types généraux  ; ils deviennent des êtres concrets, en chair et
coutumées, si bien que tout le monde reconnaît, non pas les ridicules généraux des médecins, mais les personnes mêmes ; — Guy Pa
t qui étaient bien faits pour tenter Molière. Mais cette raison toute générale ne suffit pas pour expliquer le caractère d’achar
urs de conscience de ce temps-là ; et Molière a si bien pris les plus générales et les plus durables, que je crois bien qu’on les
e la dévotion outrée) comme mal social, comme vice social, comme état général , ou répandu, des esprits. Il y a sous le règne de
nque le plus chez les auteurs du xviie  siècle, c’est un certain sens général , élevé et supérieur, de l’humanité. Les prédicate
sible qu’à des conditions très précises et très déterminées. En thèse générale , cette alliance de la poésie et de la politique n
ages illustres, les seuls par lesquels nous puissions juger de l’état général des choses, parce que ce sont les seuls que nous
s les exceptions qu’il faut opposer aux exceptions, ce sont les faits généraux aux faits généraux, les maximes dominantes aux ma
’il faut opposer aux exceptions, ce sont les faits généraux aux faits généraux , les maximes dominantes aux maximes dominantes. I
est devenu plus décent depuis et, croyez-le bien, c’est la conscience générale qui l’impose et non pas l’hypocrisie. Et non seul
’existe plus guère ; on n’en fait plus du moins, maintenant, un usage général , il a disparu, ou à peu près, de nos mœurs. Mais
moral historique, il ne faut pas oublier ce qui est en lui de morale générale et éternelle, dont on peut constamment faire son
eut constamment faire son profit ; il a si bien atteint des ridicules généraux , des travers malheureusement éternels, qu’on pour
vieux préjugé : elle ne sert jamais à rien. Il n’y a pas d’expérience générale , il n’y a que des expériences particulières à cha
Mais si l’on néglige les particularités pour s’attacher à ce qui est général , un fait tout à l’avantage de la société que nous
té conçue en France, peignant les passions sous leurs traits les plus généraux , choisissant ses héros dans l’antiquité la plus r
Mais si l’on néglige les particularités pour s’attacher à ce qui est général , un fait tout à l’avantage de la nouvelle société
 : la Sorbonne garde encore le souvenir d’une composition au Concours général de philosophie traitée en dialogue, à l’instar de
ublicaines. Toi-même, qu’as-tu fait ? Lorsque tu as échangé l’épée de général contre le sceptre et la couronne, tu as senti que
qu’un héros qui puisse juger notre dispute. Laissons là César, grand général par accident, et rhéteur par nature. Nous lui env
11 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
es d’Angennes, marquis de Rambouillet. Quelle que soit la corruption générale d’une grande nation, même d’une grande cour, il s
ée dans une famille de mœurs pures et décentes, de partager le dégoût général pour les amours du roi, qui n’avaient plus l’excu
t qu’à la fin du xvie  siècle et au commencement du xviie , un besoin général de communications sociales plus intimes et puis v
ôt aussi le talent de converser devînt le but d’une émulation vive et générale  : on en vint plus tard à mettre par écrit les con
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260
oient trouvés ensemble, ils se seroient expliqués. Plus de confession générale par conséquent. Moliere a paré le coup, en sépara
pere & l’arrivée du fourbe, par un monologue qui tient à l’action générale , & à celle des deux scenes qu’il lie. Quel do
auroit détruit l’embarras des uns & le plaisir des autres. Regle générale  ; les liaisons de surprise ne peuvent jamais lais
13 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
’a inspirée, dans le génie de la nation qui lui a donné son caractère général , dans le tempérament, les habitudes et la vie de
lèmes, éveiller la curiosité du lecteur sur les questions de critique générale , et lui inspirer, avec le goût de leur examen, le
maîtresses de tous les artistes d’un même peuple à une grande faculté générale qui sera, par exemple, le génie oratoire pour Rom
14 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
e, mais l’exemple du roi, et le désordre de la cour, et les habitudes générales , la suspendent encore. Bussy-Rabutin, historien t
la société polie avait marqué le moment d’une réforme, pour les mœurs générales comme pour celles de la cour et du monarque même,
rippa une de ces impressions qui dans les familles se transmettent de général ton en génération, forment dans l’esprit des enfa
e couvent, soit par cette disposition à sympathiser avec des opinions générales , disposition qui formait un des traits de son car
15 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
Pièce a pris tout d’un coup  ; pour dire qu’elle a eu applaudissement général dès la première fois qu’on l’a jouée. Faites-y at
èces justificatives de ce qu’avance l’Auteur pour anéantir le préjugé général . Je ne lui sais pourtant pas mauvais gré d’avoir
rsuadé que j’ai raison, surtout aujourd’hui, que le bon goût est plus général qu’il ne l’était du temps de Molière. L’Auteur à
i fait : mais persuadé que je suis, que les sentiments ne sont jamais généraux sur le bon ou le mauvais d’un Ouvrage, je ne voud
16 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
dre pire que le sien, en autorisant au plus haut degré le dérèglement général . Cet exemple reçut encore un accroissement de for
r l’approbation d’un prince dont le règne brillant dominait l’opinion générale , et faisait une mode de tout ce qui était de son
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
r les scenes : d’accord. Mais si le monologue ne tient pas à l’action générale , s’il ne tient pas à l’action particuliere des de
es plus brillantes de son drame avant que d’être bien sûr de son plan général . « Il est quelquefois fort agréable de voir un h
merois beaucoup si on les plaçoit dans la bouche d’un Magistrat, d’un Général d’armée : mais dans celle d’un valet, d’un homme
18 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIV » pp. 251-258
e la septième période). — Influence de la société polie sur les mœurs générales et sur le langage. — Mots qu’elle élimine de la l
s sociétés choisies n’est pas fondée uniquement sur cette observation générale  : elle l’est sur des faits positifs. Nombre de mo
19 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
restaurateur de la comédie. Le goût pour les spectacles étoit presque général en France, depuis que le cardinal de Richelieu av
s de piéces chaque acteur de la troupe de Moliere, en suivant un plan général , tiroit le dialogue de son propre fonds,7 à la ma
icules ; jamais succès ne fut plus marqué.11 Il produisit une réforme générale  ; on rit, on se reconnut, on applaudit en se corr
is royal, le 9 septembre 1668. céda pour quelque tems à la prévention générale  ; l’auteur qui avoit été obligé de le retirer47 à
, par des fêtes galantes, le cœur d’une princesse. Suivant cette idée générale , Moliere réunit à la hâte dans différens interméd
ent, dans un seul point & dans un même sujet, l’excès du ridicule général qu’on vouloit corriger. Le bourgeois gentilhomme
s la maniére de les peindre, n’ont représenté qu’une partie des mœurs générales de Rome. Le poëte françois a non seulement exposé
nt à former ses acteurs ; il entroit dans toutes leurs affaires, soit générales , soit particuliéres, il étoit leur maître & l
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
i adresse son discours, comme si elle étoit effectivement la femme du Général . Lorsqu’il croit avoir bien répété son rôle pour
homme très instruit, que c’est une coupe d’or dans laquelle buvoit le Général ennemi, & qui est présentement dans un petit
ement, que pour éprouver la vivacité de son amour. D’un autre côté le Général , étonné de venir trop tôt au gré de son épouse, é
mais il a encore su ennoblir son héros, le faire parler & agir en Général d’armée. Chez Plaute, Amphitrion se félicite &
urs ; convenons aussi qu’il a vu bien mieux qu’eux & l’ordonnance générale & les détails. Il les a imités en grand homme
21 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VIII » pp. 70-76
n esprit en avait conçu les lois : mais la chose était hors des mœurs générales  ; le mot décence n’existait même pas ; pour l’en
dérèglement des mœurs, ou tout au plus un palliatif de l’incontinence générale . Sans doute, plus les mœurs sont dissolues, et pl
22 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIX » pp. 207-214
oyale, des profusions ruineuses, étaient au grand préjudice des mœurs générales . On faisait tomber les ridicules, mais on les imm
le des femmes. Trop souvent même, c’est sympathiser avec le sentiment général  ; c’est au moins imiter quelque noble exemple. En
23 (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)
t pris, conquis aussitôt jusqu’au moment prochain où un éclat de rire général fait résonner la salle, de l’orchestre à l’amphit
une Mathurine, un pauvre pécheur, un M. Dimanche et d’une façon plus générale de se placer au-dessus des lois humaines et divin
elà l’individuel qui est complexe et contradictoire, ils expriment le général qui est simple et un. Mais cet art de bâtir des p
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
faut encore que la petite intrigue puisse faire partie de l’intrigue générale , & concourir avec elle au dénouement. Puisque
générale, & concourir avec elle au dénouement. Puisque l’intrigue générale roule sur le dessein que Valere a d’enlever Isabe
utres, ou dont l’intrigue particuliere ne fait pas marcher l’intrigue générale , est mal faite. Elle a beau être remplie de beaut
la scene la moindre gradation ; elle ne concourt pas avec la machine générale , puisqu’on pourroit la retrancher sans nuire à la
25 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
CHAPITRE XII. Réflexions Générales . Quand, arrivé au terme de cette délicate et i
é Racine.   Fénelon se contente de reprocher à Molière, d’une manière générale , « qu’il a donné un tour gracieux au vice, avec u
de tous les auteurs et acteurs comiques, on ne parlait de la question générale des spectacles ; car enfin, si le spectacle est a
t formelle réprobation. Même pour les spectacles modernes, la défense générale de ce genre de plaisir paraîtra raisonnable à ceu
26 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
atives à Molière, tirées de l’exemplaire de M. de Spoelberch Principe général très propre à décider la question entre Molière e
ette série qui est ainsi désigné sous le nº 958, p. 288, du Catalogue général des Manuscrits des Bibliothèques publiques de Fra
monsieur. » mais il porte On en rit. — F. 3. recto : RÉFLEXIONS GÉNÉRALES Elles finissent au verso du f. 5 avec : « Place
dix-sept. Le Secrétaire Général de la Préfecture. Pour le Secrétaire Général , Le Conseiller de Préfecture délégué, [illisible
défaut, c’est que ce n’est pas seulement une fausseté dans le sistème général des choses, cela fait paraître l’interlocuteur so
tère de Williams, mais aussi celui de Mme Pernelle est bien autrement général . Il peut y avoir cent Williams en France, il y a
éviter que ce sot ne prit la chèvre de cette manière. Sa belle maxime générale « Les hommes la plupart sont étrangement faits »,
est pour l’Archevêque de Paris, mais il ne faut jamais dire de maxime générale à un sot, vous lui faites mal à l’esprit, vous le
artuffe. C’est le seul qu’il coure dans la pièce. (Voyez la réflexion générale à la fin de la pièce.) Orgon      Vite, quitt
t, est une âme basse. fin des notes sur le Tartuffe. Réflexions générales sur le Tartuffe La marche de cette pièce n’es
n de George Dandin. En faire par exemple un homme de finance, fermier général ayant hérité de 60.000 francs de rente de son pèr
ar le trou de la serrure. Faute de tactique de ce pauvre mari dont le Général ennemi profite sur-le-champ. [Acte II, scène X
in (à part). Pauvres maris ! voilà comme on vous traite. La couleur générale du rôle de Dandin est de s’entendre tourner en ri
isant ce commentaire, c’est pourquoi il n’y a point ici de réflexions générales . J’ai cependant fort bien fait de travailler et m
’il ne voudrait pas changer sa renommée Contre tous les honneurs d’un général d’armée. Toujours satire et pas d’amour, quoique
de la faiblesse du petit vieillard sanguin. On en rit. Réflexions générales Ce qu’il y a de moins bon dans cette pièce, ce
30. Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts. Catalogue général des manuscrits des Bibliothèques publiques de Fra
27 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVIII » pp. 198-205
voir les particularités de leurs entretiens. Après quelques questions générales , il en vient aux détails. Arnolphe. Ne vous fai
evant lequel Molière, approuvé par la cour et autorisé par la licence générale des mœurs, n’avait pas besoin d’excuse. Molière d
28 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
c’est-à-dire le don de réaliser dans des types individuels les traits généraux de la nature humaine, est essentiellement imperso
e image fidèle qui ne copie point ce qu’elle représente, cette satire générale sans fiel et sans aigreur, comme Boileau l’a si b
elle possible ? et l’objection ne porte-t-elle pas sur tous les types généraux créés par le génie des poètes, dont on peut faire
lonté ou s’écarte du modèle intérieur dont il prétend faire une règle générale . Philinte n’est pas davantage, dans la pensée de
29 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
faire saisir sur le texte même ; d’éviter le plus possible les idées générales et d’atteindre l’ intimité même de l’auteur, de v
eut une image exacte pour tirer de toutes, plus tard, des conclusions générales . La Jalousie du Barbouillé La Jalousie du B
t pas sa protégée. Il a raisonné en parfait absurde. D’une façon plus générale la thèse nous paraît très juste encore à nous hom
nous en occuperons donc quand nous en serons à étudier les principes généraux de Molière sur L’art dramatique. Observons seulem
e a laissées à Plaute, ni de l’agencement des scènes, ni du mouvement général , toutes choses par où Molière est, à mon avis, in
auchement. Un peu d’odieux aussi sera en lui parce que c’est une idée générale de Molière et parfaitement juste que les travers,
Cour et la Ville et il n’a presque peint que l’une et l’autre. Types généraux et qui ne sont précisément d’aucun temps ni d’auc
e due à la collaboration de Molière et de M. Tibaudier. Ses idées générales Molière est un bourgeois de Paris de 1660. Tou
érales Molière est un bourgeois de Paris de 1660. Toutes ses idées générales sont certes d’un bourgeois de Paris de 1660, moin
able d’en faire, par Tartuffe amené à en faire en effet. L’impression générale que doit tirer de Tartuffe un esprit moyen, sain
religieuse commençait à se répandre à cette époque), toutes les idées générales de Molière sont celles d’un honnête bourgeois de.
e. Sur un autre point Molière semble peut-être s’écarter de l’opinion générale du public de bourgeois pour lequel il travaille e
sur ce point, il se soit beaucoup écarté de l’opinion ou du sentiment général de son public. D’abord il est dans, la tradition
exceptionnelle et ne voudraient pas que la chose fût érigée en règle générale . Tout le monde sent que le mariage d’amour entre
qu’il y a de plus sain, de plus droit et de plus favorable à la santé générale de la tribu. Si le public voit avec plaisir, malg
s les nuances, revenons et disons qu’en son ensemble et en sa couleur générale Molière est l’homme du bon sens moyen, l’homme de
de tribunal. J’ajoute qu’Angélique ne plaide point du tout une thèse générale , qui serait le seul cas où l’on serait — très peu
s avez du « bon sens », du « sens commun », et c’est-à-dire une façon générale de comprendre les choses qui est celle de tout le
fait le gentilhomme, c’est pour la même raison et pour celle-ci, plus générale , que ce genre d’ambition détraque un brave homme
s’ingénie à faire peser sur vous et un moyen de se dérober à l’effort général de la communauté ; s’il n’aime que modérément le
ès évidemment que la santé sociale dépend du sens commun, du bon sens général auquel chacun obéira. Rousseau croit certainement
ais non pas à la nature, sens commun et sens social, toutes les idées générales de Molière me semblent contenues dans cette formu
ette formule. Sa morale D’après ce que nous avons dit des idées générales de Molière, on imagine sans doute que sa morale d
à ne pas faire, demandez-vous si vous voudriez qu’il fût érigé en loi générale des actions humaines, on juge par-là de toute la
nous fait son manquement de foi ? Amorphe n’écoute pas ses discours généraux  ; il est trop absorbé et trop distrait par d’autr
uet a manqué ici de charité ou d’esprit de finesse. Quant au reproche général  : Molière a toujours attaqué les ridicules et non
aire, son génie dramatique, rendons-nous compte des idées littéraires générales qui présidaient en quelque sorte à son travail et
ui peut y avoir -mis une autre unité (d’intérêt, d’impression, d’idée générale ) qui fera que le spectateur ne fera aucune attent
là ». Il est très vrai. Tout en le reconnaissant vrai dans ses traits généraux puisqu’il met du texte de Molière dans son texte
point à profiter de toute sa succession, ni à s’attirer une donation générale de tous ses biens, s’il s’agit surtout de les en
qui, par son naturel et par un grain d’âpreté, tranche sur la fadeur générale , le concerté, l’atténué et le gris. Alceste ne co
artufferie du dernier, il faut bien que je convienne que, d’une façon générale , il réunit en lui des contradictoires. Cela le fa
impression, que je sais qui est nécessaire, par la fermeté des lignes générales . Chose à remarquer que c’est au théâtre, où l’on
leau l’est bien davantage. Cela est si vrai que pour donner de la vie générale , de la vie ambiante à un portrait, on met auprès
modèle, toutes jusqu’à la dernière. Tel est, dans ses grandes lignes générales , le réalisme de Molière. Ce réalisme sera-t-il l’
vant la nature, vous arrives à ne plus donner que les traits les plus généraux . Tels, seront ceux qui feront de la peinture en i
Avare. Ce n’est pas que je feu félicite, d’abord parce que, en thèse générale , je suis pour qu’on étudie tout et pour que l’on
discutera toujours. En tout cas Philaminte ne fait aucune déclaration générale qui permette de croire qu’elle ait changé, qu’ell
30 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
curieuse. Alors Épistémon commença son histoire au milieu d’un calme général et d’une curiosité attentive. Épistémon, c’est la
illustres. Cette critique se compose d’idées particulières et d’idées générales . Les idées particulières, nous en avons un spécim
e qui nous importe, ce qui nous intéresse vraiment, ce sont les idées générales . Voyons. Aristophane est un poète doué d’imaginat
endre toutes ces belles choses, et quand on a la tête meublée d’idées générales de cette force, on a fini ses études ; on a du ju
agnols, ou leur a plu à un certain moment de leur histoire. Esprit général de la critique littéraire Ainsi, une littératu
tinuer ; mais je ne pus. Mon esprit flottait dans le vague, des idées générales , et il m’était impossible de le fixer sur un poin
à écrire dans une revue sur le salon de 1865, je laisserais mes idées générales dans ma bibliothèque entre Hegel et Spinoza, et j
u lieu d’expliquer le discours guerrier de Sosie par les grands faits généraux de l’histoire romaine, elle expliquerait le disco
blier quelques-uns des goûts de ma patrie, notre amour pour les idées générales nettes, moyennes, accessibles, pour les lieux com
ité de ses divers personnages qui le préoccupe le plus ; c’est l’idée générale incarnée dans chacun d’eux ; il est sobre d’incid
Les Précieuses ridicules, la pièce fut jouée avec un applaudissement général , dit Ménage, et il est probable que les gens d’es
31 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
éveloppements. En l’an 1576, au moment où allaient s’ouvrir les États généraux de Blois, quatre ans après la Saint-Barthélemy, H
en temps une destination plus sérieuse : ainsi elle servit aux États généraux tenus en 1614, les derniers de la France monarchi
rillo. Les Gelosi reparurent, en 1588, à l’occasion des seconds États généraux de Blois, qui furent plus orageux encore que les
32 (1884) Tartuffe pp. 2-78
sa femme. Molière avait fait de lui, comme il fait toujours, un type général , un caractère et non une exception. Il arrive rar
istinguer soigneusement des célèbres originaux dont il était la copie générale  ; protester que bien loin d’avoir voulu peindre l
à le rendre très ridicule… Il ne pense point à s’attirer une donation générale de tous les biens de son ami, s’il s’agit surtout
à le rendre très ridicule… Il ne pense point à s’attirer une donation générale de tous les biens de son ami, s’il s’agit surtout
a vérité pure avec tant de franchise, c’est la satire des confessions générales  ; c’est la charge de l’humilité chrétienne, c’est
: Venger le ciel qu’on blesse… comme dans la scène de la confession générale , comme plus loin, à la dernière scène du rôle, qu
seulement le jésuite, car il s’agit là d’un personnage beaucoup plus général , qui est de toutes les confessions ; toutes ont l
33 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
ivers ; — 2º quant à la forme, le comique a l’horreur des expressions générales , parce qu’elles ont de la noblesse et sont du sty
sque étant a posteriori au lieu d’être a priori, elle deviendra moins générale , plus individuelle et, partant, plus comique 284.
s ces œuvres aient une essence commune, et, pour dégager ce caractère général qui doit constituer le fond de chacune d’elles, l
ésespérons d’élever. Car, voici : cette essence commune, ce caractère général qui constitue le fond de toute œuvre comique, ne
ante, réelle dans les études de la critique303 ; quant aux caractères généraux qui peuvent être communs à tous les théâtres et à
quelques exclamations profondément senties, il est vrai, mais un peu générales peut-être et médiocrement instructives, sur la pe
ans l’histoire universelle de l’art, ont obtenu des hommes un long et général assentiment ; on les appelle classiques 315. C’es
34 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
oit être réputé vraisemblable, etc. « La seconde objection a été plus générale . Ce long équivoque de Cléomène qui, tâchant de re
dicules ; jamais succès ne fut plus marquéa. Il produisit une réforme générale  ; on rit, on se reconnutb ; on applaudit en se co
vinité parmi les comédiens, les encens qu’on lui donne ne sont pas si généraux que ceux de son frère : ne croyez pourtant pas qu
autres de ma connaissance. La pièce fut jouée avec un applaudissement général  : et j’en fus si satisfait en mon particulier, qu
e date préférablement à celle du 28 mars, qui se trouve dans la table générale des pièces de théâtre de Molière, édition in-12,
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
sophe s’assujettiroit sans doute aux conventions de son temps, au ton général qu’il trouveroit établi : les changements arrivés
sophe s’assujettiroit sans doute aux conventions de son temps, au ton général qu’il trouveroit établi : les changements arrivés
36 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « À M. Vacherot » p. 1
de licence. Vous m’avez communiqué le goût des questions de critique générale , et, ce qui est plus, beaucoup d’idées : je vous
37 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [13, p. 44] »
de Rambouillet s’y trouva. La pièce fut jouée avec un applaudissement général . Au sortir de la comédie, prenant M. Chapelain pa
38 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [47, p. 80] »
par son esprit. Son mérite l’éleva dès 1669 à la place importante de général des galères de France, et en 1675 il fut fait mar
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397
ment attaché au genre dramatique par la nécessité de n’imiter l’ordre général des choses que dans le cas où il s’est plu à comb
est-il bien dans le siecle où nous sommes.... Alceste. Non, elle est générale & je hais tous les hommes ; Les uns parcequ’i
40 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
me, ni aux délices d’Italie ; ils ne veulent, ils ne demandent que le général  ; ils appréhendent la fin de la guerre, de peur d
rsations particulières de la marquise n’étaient pas les conversations générales et habituelles de sa société tout entière. Je cro
41 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
agnie. Le duc de Lauzun en faisait partie. Quand il fut nommé colonel général des dragons, il prit le frère de madame de La Sab
ait, succéda une de ces passions qui placent les femmes hors des lois générales , sans les mettre au-dessus. Madame de La Sablière
42 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
ft et Voltaire. — Regnard et le Sage. — Piron et Legrand. — Caractère général du tragique. — II. Aristophane et la poésie. — II
lquefois elle se moque des travers des hommes, c’est d’une manière si générale qu’elle fait rire tout le monde sans offenser per
a connaissance particulière des mœurs d’une société et sur la science générale de l’homme. Le répertoire presque tout entier du
ature humaine dans l’état de l’idéal comique65. Telles sont les idées générales qui doivent soutenir et éclairer notre critique.
lent tournées en ridicule. Sa critique est fort juste, mais ses idées générales sur les rapports de la morale et de la comédie so
me donné l’analyse. Maintenant sa critique sur les hauteurs des idées générales , il a cru qu’il suffisait d’annoncer au monde la
. — Septième leçon. 47. Si le sérieux gagne du terrain dans le but général de la composition, comme dans l’intérêt et les se
43 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [58, p. 95-96] »
nelius Scipio Africanus (v. -235 – Literum -183) : homme politique et général romain. Nommé proconsul en Espagne en -211 lors d
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
st renversé aujourd’hui, & le monde est tombé dans une corruption générale  ! Une licence épouvantable regne par-tout ; &
7 Mai jusqu’au 13 inclusivement du même mois. On lui donna pour titre général , les Plaisirs de l’Isle enchantée. 23. Les Coméd
45 (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258
matériaux, la forme triomphale de la façade du monument, l’exécution générale en tant que main-d’œuvre, les détails d’architect
s il n’était pas insoluble. La façade de M. Visconti a bien un aspect général de destination votive; les colonnes, le fronton,
46 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Du choix des Caracteres. » pp. 261-262
ont plus ou moins propres à la scene selon leur qualité. Caracteres généraux ou propres à tous les pays. Caracteres nationau
47 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
t est renversé aujourd’hui, et le monde est tombé dans une corruption générale . Une licence épouvantable règne partout, et les m
ester fidèle à la vérité, j’aime mieux avouer que, dans cette attaque générale , personne ne porta à l’ennemi commun des coups pl
la vie de Gassendi avait été consacrée à renouveler Épicure (Histoire générale de la Philosophie, p. 388). M. Nourrisson nous av
e l’Odyssée, saint Jérôme, saint Paul… et voilà pourquoi le procureur général conclut au rejet de l’appel. » (Raynaud, p. 271)
48 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
ges propres à chaque nation : il faut aussi distinguer des caracteres généraux , & des caracteres particuliers. Dans tous les
des riches insolens & superbes. Voilà ce qu’on appelle caracteres généraux . Mais parce qu’en conséquence des usages établis
u théatre toute imitation personnelle, borna la comédie à la peinture générale des mœurs. C’est alors que la comédie nouvelle ce
ur du gouvernement, les prévarications des magistrats, les fautes des généraux , & sa propre facilité à se laisser corrompre
imitant la nature. D’ailleurs si le comique porte sur des caracteres généraux & sur quelque vice radical de l’humanité, il
r ; ce qui assûre à jamais le succès du comique qui attaque les mœurs générales . Il n’en est pas ainsi du comique local & mom
49 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. De ce que nous entendons par caractere. » pp. 259-260
faut distinguer les mœurs ou caracteres, d’avec les mœurs ou passions générales , & que ces mœurs ou caracteres y doivent préd
50 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
surprises, de contrôle et de vérification par les faits de l’histoire générale ; M. Soulié, en 1863, a eu le mérite de faire fai
e de sa part aux fêtes données à Toulouse pour l’entrée du lieutenant général du roi dans la ville. Le 10 janvier 1650, Molière
port à l’Etourdi elle manque d’ampleur et de fond. D’une manière plus générale , elle manque de réalité, elle est en dehors et au
restait à créer à Molière. III. L’Art de Molière. D’une manière générale , c’est la prétention ou la coquetterie des écriva
ormel, c’est-à-dire à l’art. En second lieu, Molière dégage l’élément général des faits particuliers qu’il met en scène. En eff
e La Bruyère et de Bayle, nous pouvons en conclure que, d’une manière générale les contemporains et les successeurs de Molière,
i destiné pour les yeux, mais pour l’oreille. Et le caractère le plus général du style classique, de 1636 à 1690, a été d’être
51 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
re n’en a emprunté que quelques scènes et quelques traits, et le plan général de sa pièce est entièrement différent. Celui de l
tiques ne porteront en conséquence que sur l’esprit et la disposition générale des comédies régulières que nous venons de nommer
ité des deux marquis et par la jalousie d’Arsinoé. D’ailleurs le plan général de la pièce n’est pas même vraisemblable. Le but
époque, avec assez de détail pour que je puisse amener les remarques générales à l’occasion de chaque pièce en particulier, avan
passer brusquement de la gravité solennelle, que semble exiger le ton général de la tragédie française, à une violence de passi
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Caracteres propres à tous les rangs. » pp. 328-330
oliere : il a senti tout l’avantage qu’il pouvoit tirer d’un ridicule général , puisque les Princes prennent le titre de Rois, q
53 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
ys, ils sont faits de tête ; et s’ils sont hommes par quelques traits généraux , Corneille ne leur a pas donné la physionomie par
fait un si mauvais emploi. Chacun parle à la fois le langage le plus général et le plus propre à la personne. Leurs pensées so
sont en même temps des traits de caractère individuel, et des vérités générales . Quoiqu’ils ne disent rien qui ne soit dans leur
le Molière a-t-il le moins perdu au théâtre ? Il y en a des raisons générales , tirées de la nature même de la tragédie. Il entr
t. La langue qu’ils parlent, dans les changements que subit la langue générale , devient savante. Elle n’arrive dans la plénitude
54 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre IV. — Molière. Chœur des Français » pp. 178-183
t communs de l’humanité245. Ses personnages, élevés du particulier au général , résument en eux des catégories entières ; ils pa
55 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
Leçon première. Aperçu général de la vie et de l’œuvre de Molière. Messieurs,
s, Nous avons essayé dans notre dernière leçon de tracer un tableau général de la vie et de l’œuvre de Molière. C’est une vue
autres de ma connaissance. La pièce fut jouée avec un applaudissement général ; et j’en fus si satisfait, en mon particulier, qu
nt qui s’opéra ne fut pas un changement du blanc au noir ; la couleur générale resta la même, mais les fausses teintes disparure
lui échapper; mais il s’égare rarement : instinct de tous, conscience générale de l’humanité, il est de tous les guides le moins
e méthode qu’avec Corneille et Racine : avant d’aborder les questions générales , nous étudierons quelques-unes de ses pièces, le
touchons à un de ces points où il faut savoir associer aux exigences générales de la nature humaine les besoins particuliers de
rhétorique dont le temps est fini, que tout en en conservant l’esprit général , il est facile de les modifier dans le détail, de
s réserves faites, leur instruction doit être, comme le veut Molière, générale et propre à donner des clartés de tout. Les homme
de sa destinée. La femme, en effet, ne choisit pas sa vocation. Thèse générale , elle se marie. Mais les caprices des circonstanc
egard, elle les dirige dans leurs études préliminaires, études toutes générales aussi, et auxquelles elle ne peut s’associer heur
oses qui lui sont le plus étrangères, règne souvent un certain esprit général , qui, sans qu’il s’en doute, trahit l’esprit dont
’elle met sous nos yeux, et chercher à se rendre compte de cet esprit général qui trahit le poète, et par lequel il peut exerce
ous disons ici de l’avocat Patelin, on pourrait le dire d’une manière générale , sauf quelques exceptions sans doute, de l’ancien
l’avons fait pour la farce de Patelin, nous cherchons de quel esprit général est animée l’œuvre du poète, nous aurons quelques
en raillant les règles convenues : il se pose en travers du mouvement général , il fait barrière contre le flot du siècle. La si
56 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
février    1671.   Signé : le duc d’Aumont.   Enregistré au contrôle général de l’argenterie par moi, intendant et contrôleur
au contrôle général de l’argenterie par moi, intendant et contrôleur général de ladite argenterie, et des menus plaisirs et af
57 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XX » pp. 215-219
e Montausier, en achetant sa charge, ne fit que partager le sentiment général qui la condamnait. Cette place de dame d’honneur
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux. » pp. 263-267
CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux . Une ambition excessive est permise aux Poëtes
59 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
nt par des fêtes galantes le cœur d’une princesse. Suivant cette idée générale , Moliere réünit à la hâte, dans différens interme
s la maniéré de les peindre, n’ont représenté qu’une partie des mœurs générales de Rome. Le poète françois a non seulement exposé
dor, contenant qu’il a été assigné par devant les sieurs commissaires généraux , députés par Sa Majesté à la suite de son Conseil
s justificatifs de sa noblesse par devant lesdits sieurs commissaires généraux  ; et cependant fait défenses audit Scard et autre
2, mariée le 28 février 1661 à Mathieu Dennebault, commis de la ferme générale en Guienne. 81. Mlle Dupin (Louise Jacob), née l
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
acte doit encore, de toute nécessité, tenir & servir à la machine générale  ; sinon c’est un défaut essentiel. Dans l’exemple
Femmes Savantes, ce que fait Clitandre tient & sert à la machine générale , puisqu’il prie l’oncle de sa maîtresse d’être fa
61 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
a gaité des robins. La même année il était question, dans l’Assemblée générale du Clergé de France, de proposer au Roi « la tran
justice fut saisie, et le Parlement de Paris informé par le procureur général que, « sous le voile de la piété et de la dévotio
ez divers collaborèrent, qu’il n’est pas indifférent, pour l’histoire générale , d’éclaircir. II. Les « libertins » de lettres
forte poussée réactive de la libre pensée contre le courant religieux général . C’est de 1662 à 1605 que Bossuet, nota leur si e
62 (1821) Scène ajoutée au Boulevard Bonne-Nouvelle, pour l’anniversaire de la naissance de Molière pp. -
gue sont groupés autour de lui, et s’apprêtent à le couronner.) Chœur général . (Air : Pour Saint-Cyr, ah ! quelle gloire.) Célé
63 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
bon : et que toutes sortes de sujets peuvent être traités d’un style général . Mon Critique ne voulait point « d’aventures dans
de Religion ; mais cependant il ne laisse pas d’être vrai que la vue générale de ces deux professions si opposées, est la même 
c la chose est vraie ; la conséquence n’est pas juste. Ces caractères généraux peuvent s’appliquer à tant de sujets, que l’on pe
64 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
, M. Rambert la cherchera dans l’instinct de tous, dans la conscience générale de l’humanité. Le poète entonne, dit-il, mais il
ler, toujours philosophe, s’inspirait de ses théories sur l’éducation générale de l’humanité, et songeait soit à la liberté poli
qui devait poursuivre Racine. Elle s’y présente sous une forme toute générale , et sans qu’il y ait moyen de faire des applicati
65 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
ent et Laporte (1775) s’imposent entre les deux comme un recueil très général , sur les auteurs, les acteurs et les pièces, et p
Restaurateur de la Comédie. Le goût pour les Spectacles était presque général en France, depuis que le Cardinal de Richelieu av
différentes ; ce qui engage à croire que Molière n’a eu que des vues générales en composant ce personnage. Tome I, p. 155
de Pièces, chaque Acteur de la Troupe de Molière, en suivant un plan général , tirait le Dialogue de son propre fond, à la mani
des Précieuses ridicules : La Pièce fut jouée avec un applaudissement général . Au sortir de la Comédie, Ménage* prenant Chapela
ofiter de toute la succession de son ami, ni à s’attirer une donation générale de tous ses biens. Il ne se joue point à la ligne
Restaurateur de la Comédie. Le goût pour les Spectacles était presque général en France, depuis que le Cardinal de Richelieu av
ine (1617 – 12 mars 1670) : conseiller du roi, il fut le surintendant général des bâtiments de Louis XIV. (Wikipédia). 103. V
66 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8
res qu’il a heureusement appropriés à notre scène, mais encore l’idée générale qu’il s’est faite de son art. Il n’est guère moin
67 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304
érieure à ce départ, puisqu’elle annonce sa proximité et l’impatience générale d’en voir les circonstances. 4° La rupture dont p
68 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
, par des fêtes galantes, le cœur d’une princesse. Suivant cette idée générale , Molière réunit à la hâte dans différents intermè
lement, dans un seul point et dans un même sujet, l’excès du ridicule général qu’on voulait corriger. Le Bourgeois gentilhomme
·à un homme qui a fait des ouvrages qui ont eu une approbation aussi générale que ses Paraphrases sur le Cantique des Cantiques
différentes ; ce qui engage à croire que Molière n’a eu que des vues générales en composant ce personnage. *. [Note marginale]
69 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
es prolétaires et des femmes qui, « pour être peu apte aux inductions générales et aux déductions fort prolongées, est d’ordinair
m et sa naissance… Mais elle ne s’attarde guère à ces considérations générales . Tartuffe veut épouser Angélique, et ce mariage n
dale », dit encore Molière (et c’est là un conseil d’une portée toute générale où il faudrait se garder de voir une coupable tol
70 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127
ois pour toutes, y reproduisaient chaque ridicule dans son expression générale , nos bouffons ne perdaient pas l’habitude de rega
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Des différents Genres en général. » pp. 1-8
enres en général. Tous les genres sont bons : voilà le cri presque général  ; voilà ce qu’on entend dire aux foyers, dans les
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
simuler qu’il coûte cher, puisqu’on le paie de toute sa gloire. Regle générale , jamais un ouvrage fait exprès pour une fête ne m
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
rge de Contrôleur, Intendant, Correcteur, Reviseur & Restaurateur général des enseignes de Paris ; enfin, les divers caract
74 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
pagnie. Ensuite l’estime de M. de Coulanges pour madame Scarron était générale et ancienne dans la famille. Mais cet esprit aima
75 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
Molière Études générales Influence de Molière sur le monde civilisé.
t sorti, par l’effort lent de la critique, la question bien autrement générale de l’éducation des filles, qui s’y trouvait impli
à propos de Don Juan ; rompez avec une vieille habitude d’admiration générale qui a, en quelque sorte, passé dans notre sang ;
isément. Le premier point est que l’idée, exprimée par la scène, soit générale , et trouve, dans la vie réelle, de nombreuses app
gnaler quelques-unes et de les analyser. Il faut donc que l’idée soit générale  ; mais il faut aussi que les traits par où elle s
verrez comme vous serez reçu. La scène est admirable ; l’idée en est générale  ; mais les traits dont elle se compose sont si pa
dans Molière. Le moindre a encore son prix. Vous trouverez parmi les généraux thébains un certain Argatiphonthidas qui n’a en t
une médiocre importance à ces détails de costume. Pourvu que l’aspect général soit agréable, c’est tout ce que je demande. Si j
pécialement pour recevoir les coups de bâton de Polichinelle. Le côté général et humain, qui donne à la pièce son inquiétante g
t parmi les plus fortes qu’ait jamais imaginées Molière, l’impression générale n’est point de gaîté franche. J’oserais presque d
les voiles, à vous retirer dans les lieux communs de la conversation générale , et à prendre congé en saluant. Or, Tartuffe cont
de la phrase, surtout quand il est rapide, et il se contente du sens général qu’elle lui apporte. C’est ainsi que Coquelin déb
ière la scène, tout stupéfait de cette explosion. C’était un désarroi général . — Ils redemandent le chœur ! — Bah ! les amis de
it efforcé de mettre en lumière. Vous savez que Provost, par l’aspect général de sa personne, ressemblait à un de ces grands bo
ation qui vise plus loin que Mlle Baretta, et dont la portée est plus générale . Vous savez qu’Argan, pour éprouver les sentimen
l faut que toutes les parties d’une œuvre se fondent dans un ensemble général , et que le plaisir du public ne soit troublé par
ne dissonance. Le Malade imaginaire est une comédie, et l’impression générale que le spectateur en doit importer est une impres
Regnard s’arrête aux superficies. Il y a dans chaque siècle une façon générale de sentir et de parler, comme de s’habiller. Ains
on raillait sa propre souffrance. C’est là ce que j’appelle une façon générale de sentir, parce que, en effet, le sentiment, out
spirituelle et brillante dans l’expression, qui était comme la forme générale , la superficie de cette société. Molière ne s’y a
posé mathématiquement en deux autres dont Molière a fourni tout, type général , détails, costume : Crispin, c’est Mascarille et
lieux communs parés d’une rhétorique brillante ; mais où les vérités générales s’échauffent d’un sentiment personnel et se fixen
i que du fatras prudhommesque. Les critiques n’échappent pas à la loi générale  : ils vieillissent et se fanent. Mais laissez-moi
ette commission, dit-il, était composée de M. de Sartines, lieutenant général de police ; de M. du Lys, lieutenant criminel, et
ur la fortune de l’ensemble. Non, je soupçonne là quelque motif plus général . Diderot prétendait dans sa poétique, qui était n
76 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
e de ses adversaires et de leurs témoins. Cette opinion est tellement générale et enracinée que je ne suis nullement étonné de l
sentence à néant, et, faisant droit sur les réquisitions du procureur général , déclara l’appelant absous de l’accusation portée
les renseignements qu’ils nous donnent sur ce milieu et sur les faits généraux qui se rapportent à l’histoire du théâtre dont Mo
rigées contre eux n’avaient qu’un caractère purement moral. L’opinion générale , ajoutait-il, est fausse sur ce point comme sur b
es Deux-Mondes, où l’auteur essaye de rompre en visière à la croyance générale , à la tradition universelle qui veut que Molière
i qu’il en ait, son individualité à son œuvre. Cette œuvre, la pensée générale en est abstraite et impersonnelle sans doute ; ma
tableau que présentent les classes dirigeantes. Dans cet effondrement général , les principes eux-mêmes fléchissent : la morale
77 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
-d’œuvre de Molière. La peinture des mœurs y est moins étendue, moins générale que dans Le Misanthrope ; mais l’action en est pl
é Chrysale à Philaminte, comme le représentant, l’organe de l’opinion générale de l’époque sur le degré de savoir auquel il étai
l de la société, ou, pour mieux dire, privé de ce caractère de vérité générale qui convient à la comédie de mœurs. De tout temps
n vice caractéristique de la profession, et pour prêter à une censure générale . Il en est autrement des notaires. Ils trouvent,
78 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
borner. Molière et le Tartuffe m’ont conduit à envisager la moralité générale de l’art dramatique. Sur ce sujet, j’ai pu souven
abrégé saisissant combien la parole de l’orateur, sans cesser d’être générale , comme il convient, s’adresse directement à son a
jugés de Dieu ; et anathème à quiconque ne vous dira pas que ces lois générales sont pour vous d’autant plus terribles que vous a
teste ; et, ce qui n’est pas moins digne de remarque, ce sentiment si général semble n’avoir aucune influence sur celui qui en
tôt que le vice qu’il entretient dans nos cœurs, est la cause la plus générale de la damnation des hommes, et que c’est lui qui
s’en prévaloir. Le comble du désordre, c’est que les devoirs les plus généraux et les plus inviolables chez les païens mêmes, so
et d’attendre. Il attendit un an et renouvela ses instances auprès du général . On a conservé sa lettre. « Mon très révérend Pè
ns l’amertume de mon âme. Voilà le sujet de tous mes vœux, etc. » Le général ne résista pas à cette lettre ; il accorda au P.
dire, la lutte des deux moralistes dont nous avons tracé le portrait général et esquissé la vie. Voyons ce qu’ils ont dit à l’
a nature de l’homme est ordonnée en vue de sa conservation et du bien général . Sa raison, sa conscience, son instinct même en s
lheureux et mauvais de notre premier poêle comique, c’est la peinture générale qu’il fait des femmes. Il les aimait, dit-on. Oui
t à profiter de la succession de son ami, ni à s’attirer une donation générale de tous ses biens… Il ne se joue point à la ligne
79 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
roit les Acteurs, & ne serviroit de rien au peuple. Observation générale contre les Censeurs de ce Dictionaire.Ce ne sont
it solum dari Populo ut placerent quas fecisset fabulas. Observation générale contre les Censeurs de ce Dictionaire. 33. Qu’i
80 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
ont autant d’expositions qui doivent être englobées dans l’exposition générale , & qu’il est pourtant bon de traiter séparéme
ue l’Auteur fît mention de lui dès le commencement de la piece. Regle générale , c’est du pied d’un arbre que doivent partir tout
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377
éfiant ; & l’on a de grandes ressources avec des caracteres aussi généraux . Quant aux autres, quoiqu’ils ne soient pas autan
ns d’un habile homme. Moliere n’a traité que deux ou trois caracteres généraux  ; toutes ses pieces fourmillent pourtant de carac
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
orps : tous les Sacrements lui sont administrés, après une confession générale de ses péchés, dont il n’obtient l’absolution qu’
ichard. Moi, Monsieur, ce ne sont pas là mes affaires. Si le portrait général que je fais de la Cour se trouve vrai, & qu’i
83 (1769) Éloge de Molière pp. 1-35
eint des mœurs vicieuses, c’est qu’elles existent ; et quand l’esprit général de sa Pièce emporte leur condamnation, il a rempl
tains vices ont formé les mêmes prétentions, et ont trouvé une faveur générale . Ce sont des vices protégés par le Public, dans l
84 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
is, tous ces traits particuliers sont venus se fondre dans le tableau général de la société contemporaine, et la peinture de ce
« N’allons point nous appliquer à nous-mêmes les traits d’une censure générale  : ce sont miroirs publics, etc., etc. »(Scène VII
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102
différentes pieces pour voir si leurs titres leur conviennent. Regle générale , tous les titres sont bons quand ils exposent aus
86 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412
gné avec madame de Grignan. Le libertinage du roi inspirait un dégoût général dans cette société. « Quand la débauche et le dév
87 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
si dire glissé au milieu du tumulte des fêtes, ce fut un déchaînement général parmi tous les dévots ; c’était l’abomination de
cs sont trop souvent exposés à prendre pour l’expression de l’opinion générale . Si l’on se reporte à un temps où les pratiques s
ter au moins l’invention. M. Signorelli, savant auteur d’une Histoire générale des théâtres, imprimée à Naples il y a une trenta
e toute la succession d’un homme opulent, ni à s’assurer une donation générale de tous ses biens, s’il s’agit surtout de les enl
88 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
de tous les traits, rien de déplaisant ni de vulgaire, une expression générale de force, de génie et de bonté. C’est dans le der
buste de Houdon que l’on a sous les yeux. Ce Molière est à la fois si général et si présent au souvenir de tous, qu’il provoque
tement ou par l’intermédiaire des religieux ; c’était là une pratique générale chez les comédiens. Mais, en son propre et seul n
l a lui-même choisie ; et il y a bien des choses dans une habitude si générale  : la confiance en ses propres forces, la défiance
89 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
autres de ma connaissance. La pièce fut jouée avec un applaudissement général , et j’en fus si satisfait en mon particulier, que
sprit et était fort distrait. Un jour il demandait au duc de Vivonne, général des galères : Quand est-ce que le Roi ira à la c
90 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
s les mœurs la confusion des rangs et l’esprit de société devenu plus général . Un ton léger et persifleur, une affectation d’in
n front sec, Un jour sur votre album écrivit un mot grec ; Et le gros général qui rit bien comme trente : Par malheur sa gaîté
malheur sa gaîté suit le cours de la rente. Eh bien ! C’est ce gros général , c’est l’auteur nébuleux dont parle Danville, qu’
faisaient alors grand bruit ; on les recherchait, et beaucoup de nos généraux de l’empire mis à la retraite, retrouvant sans do
art prescrit de n’exposer sur la scène que des vices et des ridicules généraux . Sans doute un personnage absolument semblable à
mbattre davantage, jugeant sans doute que le rôle, dans son exécution générale , perdrait plus qu’il ne gagnerait à cette lutte.
point à profiter de toute sa succession, ni à s’attirer une donation générale de tous ses biens, s’il s’agit surtout de les enl
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
n traitant les sujets les plus graves, est-il assuré d’exciter un ris général  ? C’est qu’il a étudié dans le monde & dans l
92 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30
de Callot. Il nous paraît bien représenter le type dans son caractère général  : il a dans son vêtement l’ampleur que Pierrot a
93 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
antes. Mais le ridicule d’étaler de la science ne pouvait être assez général pour être connu du public, pour le blesser et lui
94 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
délicate des trois questions particulières qui composent la question générale de la critique littéraire. Le goût a ceci d’origi
95 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
e. Dans le Discours préliminaire, m’élevant à des considérations plus générales que dans les notes et les Notices, sur l’art de l
avait de plus élevé ; elle se mit donc à insulter les magistrats, les généraux , les orateurs, les philosophes, tous ceux enfin q
els et des personnes existantes, restreignit la comédie à l’imitation générale des mœurs. Ce fut alors la comédie telle que nous
st de faire rire. Ces deux propositions, dont la première serait trop générale si elle n’était limitée par la seconde, semblent
t tous les êtres créés. C’est une heureuse combinaison des caractères généraux et des caractères particuliers ; c’est l’utile mo
lière ne pouvait manquer de mettre en action ces traits d’observation générale . Mais, hors de ces cas peu nombreux, il n’a oppos
lus que celle des professions, et peut-être aussi afin de rendre plus générale sa censure des vices et des ridicules, s’est abst
giment levé à ses frais. Une princesse, cousine du jeune roi, devenue générale d’armée, eut pour maréchales de camp des dames de
96
contient deux pièces, ayant une pagination particulière sous un titre général commun, et traduites par divers auteurs. C’est ai
autres aux Jésuites, mais son « imposteur » a été dès l’abord un type général , non un portrait. Une critique étendue de la trad
reindre : conserver à chacun des personnages son style propre, le ton général de ses discours, et appliquer le plus grand soin
s d’avoir supprimé Ariston, Clitandre et leurs camarades. Mais le ton général de la tirade nous paraît avoir souffert de cette
ns de nos jours, tombée dans le ruisseau, dégradée dans une monomanie générale de bric-à-brac effréné, qui fait que tout le mond
éral Desaix ont été coupés par Denon, personnellement, sur la tête du général , lors de l’inhumation du corps de Desaix, dans so
de Marie-Anne sur les fonds de baptême. Il y eut un mouvement de joie générale  ; la recette se releva ; mais, deux jours après,
aspect de la veille : il n’est pas rare de voir ainsi les répétitions générales escompter l’effet des premières. Le lendemain, le
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
ous la main. LE MISANTHROPE. ACTE I. Scene I. Alceste. Non, elle est générale , & je hais tous les hommes ; Les uns, parcequ
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
le fondement de toutes les pieces de théâtre ; elle est le caractere général auquel on doit reconnoître un bon & un mauvai
99 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
i Pavait subjugué par sa gloire et ses bienfaits, da us la corruption générale qui demandait au poète comique de faire rire le p
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
nanciers venus après ce petit Receveur des Tailles, même les Fermiers généraux les plus huppés, l’ont copié sans l’éclipser, com
ice, approuva ce que ses enfants avoient fait, & on but une santé générale à ces trois mariages ». Extrait de la Piece.
/ 158