e n’ai su que trop lire Depuis que tu fais imprimer. Ce fut à son
frère
et à Racine et Molière qu’il trouva rassemblés, q
de s’aller réjouir. Puy-Morin le pressa avec tant de vivacité que son
frère
, perdant patience, lui dit d’un ton de colère : «
r manger chez des coquins qui ont crucifié Notre Seigneur. — Ah ! mon
frère
, s’écria Puy-Morin, en frappant du pied contre te
e en vers. Mais comme il ne put en venir à bout, il eut recours à son
frère
et à mon père, qui tournèrent ainsi cette réponse
pension, et l’avait portée de 2 000 à 6 000 livres. Il avait placé le
frère
de madame Scarron d’inclination. Sous prétexte d’
a faveur de la gouvernante. Une lettre que madame Scarron écrit à son
frère
, de Tournay, le 16 juin 1673 (elle était alors en
avec madame de Montespan. « N’espérez pas de plaisir, dit-elle à son
frère
, sur le récit de ce voyage, ni sur la citadelle d
on faisait encore un mystère de l’existence du duc du Maine et de son
frère
, cette marquise avait à la cour un petit appartem
e. Son fils, dont il s’agit ici, fut élevé page de Monsieur (Gaston),
frère
du roi Louis XIII, duquel il devint un des Chambe
lèbre Molière qu’elle accompagna dans la province, ainsi que ses deux
frères
et sa sœur, et avec lequel elle s’unit pour le re
t avant le second mariage de sa fille, puisque Charles de Raimond son
frère
, prêta hommage au Pape, pour la terre de Modène,
a hommage au Pape, pour la terre de Modène, le 2 décembre 1673, comme
frère
et substitué à ce fief par le décès de son frère
décembre 1673, comme frère et substitué à ce fief par le décès de son
frère
sans enfants29. La tradition de la naissance de m
s adresses des directeurs modernes ». Démasqué, il appelait Orgon son
frère
et entrait en matière pour se justifier, ce qui e
dans certaine hôtellerie borgne du voisinage, il nous semble voir les
frères
quêteurs de Le Sage, cachant sous la bure Raphaël
place, où le maître ne voit plus que par ses yeux. Il l’appelle son
frère
et l’aime dans son âme Cent fois plus qu’il ne fa
e grand dupeur est sa première dupe. Profondément humain en cela, mes
frères
! Qui de nous n’a ses capitulations de conscience
… Savez-vous après tout de quoi je suis capable, Vous fiez-vous, mon
frère
, à mon extérieur. Et pour tout ce qu’on voit, me
core un petit crime, plus rien qu’un et tout petit, le meurtre de son
frère
, je suppose ; promettant pour la peine un gros ci
aver sa situation : « Quoi ! vous croyez ?… » Il disait d’abord « mon
frère
»Quoi ! vous croyez, mon frère ? Cela rappella ce
us croyez ?… » Il disait d’abord « mon frère »Quoi ! vous croyez, mon
frère
? Cela rappella ce personnage en robe noire qui,
ans la maison d’Orgon ; le père est plein de faiblesses humaines ; le
frère
, sage sans égoïsme, s’emploie pour les enfants qu
pour rien. De toutes amitiés il détache mon âme Et je verrais mourir
frère
, enfants, mère et femme, Que je m’en soucierais a
répond son honnête homme à la théorie ? Les sentiments humains, mon
frère
que voilà ! Molière plaide pour l’humanité. Je n
ntentement. Elle s’en exprime ainsi dans une lettre du 15 juin, à son
frère
: « La vie que l’on mène ici est fort dissipée, c
Mie dans le voisinage de Paris. Le 6 septembre 1674, elle écrit à son
frère
qu’elle est en marché d’une terre dont elle offre
t faire des réparations urgentes. Le 20 novembre elle se plaint à son
frère
« de ne pouvoir obtenir la permission d’aller à M
arquable dans la lettre du 10 novembre, par laquelle elle mande à son
frère
l’achat de Maintenon. Cette lettre respire le con
Maia, ses cinq filles, ses gendres et les amoureux de ses filles, un
frère
jumeau Brizio, et des valets. Dans cette maison s
évoir. Ses filles trouvent des époux dans leurs amants, et Brizio, le
frère
avec qui il craignait d’être obligé de partager s
laisser oublier, bien entendu. BRIZIO. Que j’ai hâte d’embrasser mon
frère
! IPOCRITO. Grande est la force du sang. BRIZIO.
er qu’elle s’y trouvât. Le 27 mai, madame de Maintenon écrivait à son
frère
: « Le roi arrive lundi à Versailles, et nous y a
ademoiselle de Lenclos, pour l’engager à continuer ses conseils à son
frère
, qui en avait grand besoin. « Les avis d’une amie
ouffrirent réellement et durablement. Alors elle cessa d’écrire à son
frère
sur tout autre sujet que l’ordre et l’économie d’
e… Argan. Que faire donc quand on est malade ? Béralde. Rien, mon
frère
… il ne faut que demeurer en repos. La nature, d’e
our rien. De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir
frère
, enfant, mère et femme, Que je m’en soucierais au
é sa femme, il a brutalement mis son fils à la porte, il a rudoyé son
frère
et va sacrifier sa fille… Tels sont les dangers q
orité de chef de famille, s’il n’était vigoureusement exhorté par son
frère
, soutenu par sa servante. Il serait lâche naturel
oute apparence dogmatique et didactique, quand elle est donnée par un
frère
auquel son cœur et sa raison dictent à la fois ce
me hébété Depuis que de Tartuffe on le voit entêté : Il l’appelle son
frère
et l’aime dans son âme Cent fois plus qu’il ne fa
amoureux au désespoir, une fille cloîtrée, une autre déshéritée, deux
frères
brouillés, une intrigante maîtresse du logis ! Vo
omplète. Anne Martinozzi épousa, comme on l’a vu, le prince de Conti,
frère
puîné du grand Condé ; Laure Martinozzi épousa le
e mauvais goût fêtés par les précieuses. Le 1er avril 1661, Monsieur,
frère
du roi, épouse Henriette d’Angleterre, et les fêt
tard, le filleul du cardinal de Richelieu, le prince Armand de Conti,
frère
du duc d’Enghien, disons mieux, du grand Condé !
père un procureur au Châtelet. Madeleine en savait plus long que ses
frères
; elle avait déjà monté sur les planches, et vous
cident heureux, qui permit à Molière d’adresser un placet à Monsieur,
frère
du roi, disant : que lui et sa troupe représentai
a cour s’amuser de ces aimables leçons. Monseigneur le duc d’Orléans,
frère
unique du roi ; madame Henriette, et la reine et
tier 3 liv. 15 s. À Gilot, portier 3 liv. 10 s. À leur valet,
frère
dudit Saint-Germain 1 liv. 10 s. Un sergent e
dans la salle des gardes du vieux Louvre, par la Troupe de Monsieur, (
frère
unique du roi) le 24 octobre 1658. [*]L’ordre ch
ge de faire agréer ses services et ceux de ses camarades à Monsieur, (
frère
unique de Sa Majesté) qui, lui ayant accordé sa p
s, les encens qu’on lui donne ne sont pas si généraux que ceux de son
frère
: ne croyez pourtant pas que j’en veuille dire du
Paris en 1658. Le prince de Conti lui donna accès auprès de Monsieur,
frère
unique du roi Louis XIV. (Monsieur le présenta au
rs, dédiée à M. Molière, chef de la Troupe des comédiens de Monsieur,
frère
unique du roi, in-12, Paris, Jean Ribou, 1660. b
n’est pas si ridicule Ni si Scaramouche que moi. Jean Doucet et son
frère
ont les honneurs de la neuvième entrée. Ils veule
mme on le pense bien, ils sont dupes de celles-ci. Jean Doucet et son
frère
sont représentés par les sieurs Hance et Dolivet.
st-il de Jeans Doucets ? Et voici les vers « pour Jean Doucet et son
frère
voulant tromper les bohémiennes » : Quand un hom
ouver offensée. Elle a été soupçonnée de s’être entendue avec Gaston,
frère
du roi, pour le détrôner, et d’être convenue avec
ston, duc d’Orléans. Voiture commença par se faire poète de Monsieur,
frère
du roi, qui lui confia d’importants emplois : il
document ? « Le prince qui règne sur le pays, c’est l’amour coquet,
frère
de l’amour, mais frère bâtard, enfant de la natur
e qui règne sur le pays, c’est l’amour coquet, frère de l’amour, mais
frère
bâtard, enfant de la nature et du désordre, dont
roupe à Béziers. Les romans de d’Urfé, de La Calprenède, des Scudéry,
frère
et sœur, y avaient semé la galanterie précieuse e
. En 1641, elle fait paraître, sous le nom de Georges de Scudéry, son
frère
, Ibrahim ou L’Illustre Passa. En 1650 encore, ell
ustre Passa. En 1650 encore, elle publia, toujours sous le nom de son
frère
, Artamène ou Le Grand Cyrus, en 10 vol. Mais quan
de grâces je reçus ensuite de toute la maison. On dit que le meilleur
frère
est las au bout d’un mois de donner à manger à so
le meilleur frère est las au bout d’un mois de donner à manger à son
frère
; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères
onner à manger à son frère ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les
frères
qu’on puisse avoir, ne se lassèrent point de me v
arrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658 et se donnèrent à Monsieur,
frère
unique du Roi, qui leur accorda l’honneur de sa p
l au théâtre ? Madeleine Béjart avait couru la province avec ses deux
frères
avant de se hasarder avec Molière. En 1637, elle
ur de Modène et autres lieux, chambellan des affaires de Monseigneur,
frère
unique du roi, et de damoiselle Magdeleyne Béjart
t-Paul, soit dans un monastère, tel que voudront choisir le sieur son
frère
et les damoiselles ses sœurs, deux messes basses
adite damoiselle testatrice donne et lègue au sieur Louis Béjart, son
frère
, la moitié d’une place sise au faubourg Saint-Ant
l’autre moitié de ladite moitié comme l’ayant acquise dudit sieur son
frère
, à la charge et condition expresse qu’en cas qu’i
moiselle testatrice donne et lègue, tant audit sieur Louis Béjart son
frère
, qu’à damoiselle Geneviève Béjart, femme du sieur
l’avis d’experts qui seront nommés par lesdits sieurs et damoiselles,
frère
et sœur de ladite damoiselle testatrice ; les rev
t interrompant le religieux silence qui régnait dans l’église : « Mes
frères
, dit-elle, je déclare devant Dieu, et de cette dé
Poisson. Nicolle Gassot Du Croissy prit le parti du théâtre comme son
frère
, et devint : Mlle de Bellerose. Jal. 13. Varian
vant Chaillot, il prend congé d’eux et reprend sa besace ; c’était le
frère
quêteur des Minimes de Chaillot. Son silence, dit
t ; il repassait en France sans avoir rien conclu avec elle. Les deux
frères
de la demoiselle le joignirent à Douvres, dans le
ingue à la main, pour donner un lavement au malade. Un honnête homme,
frère
de ce prétendu malade, qui se trouve là dans le m
uation difficile, c’est ce trait du caractère du Tartuffe : Oui, mon
frère
, je suis un méchant un coupable, Un malheureux pé
doc, avec une troupe assez complète, composée principalement des deux
frères
nommés Gros-Resné, de Duparc, d’un pâtissier de l
l fit présent au jeune acteur de cent louis, et lui donna le plan des
frères
ennemis. Il éleva et il forma un autre homme, qui
, duc de Beaufort (1616–1669) : aristocrate et un militaire français,
frère
du mari de la duchesse de Nemours, Henri II duc d
(1612) empêche que ce Patrocle ait été autre chose (juste père ou le
frère
aîné du trop crédule mari de la réelle Angélique;
de Saint-Cyran, c’est contre eux tous, sans se soucier s’ils étaient
frères
ennemis, que dans le Tartufe et Don Juan, Molière
t point toujours nécessaire de sortir du désert pour être utile à ses
frères
; on leur fait souvent plus de bien de loin que d
Ce ne sont pas nos paroles qui versent l’huile dans les lampes de nos
frères
, qui entretiennent le feu du ciel dans leurs âmes
d’un apôtre : Si quelqu’un a des biens de ce monde et qu’il voie son
frère
en nécessité et lui ferme ses entrailles, comment
e il doit y avoir une erreur : Orgon doit être vêtu comme Cléante son
frère
, Damis, comme Orgon son père et son oncle Cléante
aire porter un |habit bourgeois, et non un habit de cour, comme à son
frère
ou à son fils ? Arrivons à Elmire. Elle est « dép
tre de La Grange sont précises à cet égard : « La troupe de Monsieur,
frère
unique du Roi, commença au Louvre devant S. M. le
ons une nouvelle preuve, et plus concluante, dans les Mémoires de son
frère
, Charles Perrault. Lorsque, au premier janvier 16
: « Je crois voir en nous deux, sous mêmes soins nourris, « Ces deux
frères
que peint L’École des maris. » La comtesse d’Esc
et les préparatifs furent poussés avec activité. Si bien que Thomas,
frère
du grand Corneille, écrivait le 1er décembre 1659
nnonces de Molière ! Si nous avions celle qu’il dût préparer pour Les
Frères
ennemis, nous verrions de quels soins délicats il
pavillon de Racine, et où le neveu de l’oncle Sconin aurait fait ses
Frères
ennemis. Que l’idée de reprendre un sujet déjà po
le part que Molière lui ait fait faire une avance de cent louis). Les
Frères
ennemis en étaient à leur douzième représentation
, descendu à 170 livres, arrêta les représentations de la pièce. Les
Frères
ennemis furent donc joués quinze fois devant le p
, plus un voyage à Villers-Cotterêts où Monsieur, recevant le Roi son
frère
et ayant sa troupe de comédiens pendant huit jour
à peu près le 26. À ce moment, le Roi n’était déjà plus l’hôte de son
frère
. Il est probable qu’on attendit le départ du Maît
s — qui avaient soutenu par un peu d’agrément les représentations des
Frères
ennemis. Le calcul de Molière était juste. Sans a
elatif à Jean Nicolas, sieur de Tralage : « M. de la Reynie avait un
frère
aîné, nommé Jean Nicolas, sieur de Tralage, lieut
omparé de la langue de Molière, par M. F. Génin. (Paris, Firmin Didot
frères
, 1845, p. 244.) M. Génin croit que Molière a rech
ient écoulées depuis lors. Des amis de Molière persuadent à Monsieur,
frère
du roi, de prendre la troupe sous sa protection.
a littérature comme il aurait auné de la toile, parce que Pierre, son
frère
, est déjà dans la partie et qu’il en vit honorabl
t honorablement ; qui n’a été de l’Académie que parce que Pierre, son
frère
, en avait lui-même été, et dont la réputation ne
a réputation ne s’est soutenue jusqu’à nous que parce que Pierre, son
frère
, a fait le Cid et Polyeucte. Don Bertrand de Ci
nt il en fait vers l’inhumanité ? Maintenant Il pourrait voir mourir
frère
, enfans, mère et femme Qu’il s’en soucierait bien
ière d’avoir mis cette phrase dans la bouche de don Juan, parlant aux
frères
de son Elvire : « Oui, je suis don Juan lui-même
à son maître, un enfant à son père, A son supérieur le moindre petit
frère
, N’approche point encor de la docilité, Et de l’o
inaire de la maison du roi le 2 avril 1631, par la résignation de son
frère
, Nicolas Poquelin. Le titre de valet de chambre n
âgé de six ans, et Madeleine Poquelin, âgée de cinq ans. Ce sont les
frères
et sœur de Molière, qui n’ont pas joué d’ailleurs
rue Saint-Jacques, il faut citer Armand de Bourbon, prince de Conti,
frère
du grand Condé et de Mlle de Longueville ; le pri
t’en plaignis à moi : Et je m’en souviens bien qu’en ce temps-là mes
frères
S’en gaussaient, t’appelant le mangeur de vipères
leine Béjart : Ce fut là que chez nous on eut pitié de toi : Car mes
frères
, voulant prévenir ta folie, Dirent qu’il nous fal
galement nommé Jean. L’aîné reprit la survivance après la mort de son
frère
en 1660. Molière n’a jamais cessé du reste, de se
s, notamment dans l’acte de baptême du 10 janvier 1650 à Narbonne. Le
frère
puîné ne fut reçu en survivance qu’en 1657 ; le p
e lui donna Marie Hervé. M. Soulié croit que cet huissier audiencier,
frère
d’un procureur du Châtelet, avait fort bien pu fa
osa, il y mit sans doute beaucoup de tact et de finesse, car le jeune
frère
du grand Condé ne pouvait être bien flatté de se
de grâces je reçus ensuite de toute la maison. On dit que le meilleur
frère
est las, au bout d’un mois, de donner à manger à
e meilleur frère est las, au bout d’un mois, de donner à manger à son
frère
; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères
onner à manger à son frère ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les
frères
qu’on puisse avoir, ne se lassèrent point de me v
on peut être persuadé qu’elle n’affichait plus sous ce titre, car le
frère
du grand Condé n’était pas d’un caractère commode
us ne vaudrez guère mieux, etc. Thomas marcha sur les brisées de son
frère
. Il composa pour elle l’élégie : Iris, je vais p
influentes intervinrent certainement en faveur de Molière. Monsieur,
frère
du roi, qui portait alors le titre de duc d’Anjou
censure et nous glose, Nous traite de canaille, et principalement Mes
frères
, qui l’ont fait ce qu’il est maintenant, J’entend
e troupe eut le droit de s’appeler désormais la « troupe de Monsieur,
frère
unique du roi ", lequel accordait à chacun des co
u même mois Loret écrivait dans la Muse historique : De notre roi le
frère
unique Alla voir un sujet comique À l’hôtel du Pe
atal. Le gagiste Croisac fut congédié. D’autre part, Jodelet55 et son
frère
, de l’Épy, acteurs du Marais, passèrent dans la t
« à Monsieur de Molière, chef de la troupe des comédiens de Monsieur,
frère
du roi, » dans laquelle il s’efforce d’expliquer
ère mit lui-même son ouvrage au jour, en le dédiant au duc d’Orléans,
frère
unique du roi, et en inscrivant son nom (J.B. P.
0, dans une circonstance toute semblable. Mais nous avons dit que son
frère
puîné, le second fils de Jean Poquelin, nommé aus
s biens et droits, sœur de ladite damoiselle. et de Louis Béjard, son
frère
, demeurant avec ladite damoiselle, leur mère, dan
dame Hervé, mère de la mariée, et Louis Bejard et Magdelaine Bejard,
frère
et sœur de lad. mariée, et d’autres, avec dispens
n, il y a deux procureurs au Châtelet, sans compter M. Pierre Béjart,
frère
du défunt. Ces hommes de loi n’auraient pas appro
, la troupe de Molière est mandée à Villers-Cotterets, chez Monsieur,
frère
du roi ; elle y reste du 20 au 27 septembre, et,
8, et il n’est pas certain non plus que Louis XIV, qui était chez son
frère
, y ait assisté. D’après La Gazette il serait reve
placer Molière et sa troupe sous sa protection immédiate. Il pria son
frère
de lui céder ses comédiens, leur assura une pensi
, âgé de vingt-cinq ans, avait vu son premier ouvrage dramatique, Les
Frères
ennemis, représenté en 1664 sur le théâtre du Pal
’eux-mêmes quelque bonne raison de remettre la partie. L’anecdote du
frère
quêteur se rattache aussi à la résidence d’Auteui
e d’Auteuil. Pour goûter le sel de l’anecdote, il faut savoir que les
frères
quêteurs des Bonshommes, Minimes et autres maison
deux philosophes que cet arbitre qu’ils s’étaient donné n’était qu’un
frère
quêteur, et qu’ils avaient pris un moine ignorant
avorablement : il eut deux parts d’auteur pour sa première pièce, Les
Frères
ennemis, en 1664. La troupe étant composée cette
dre, rappelle ce défaut : il fait dire par Élomire à Angélique : Tes
frères
? qui ? ce bègue et ce borgne boiteux ? Et à pro
anesques de la révolution de Naples, Molière, Madeleine Béjart et ses
frères
, rebutés à Paris, troussaient bagages pour la pro
ri, et Louis Béjart Lesguizé, lieutenant au régiment de la Ferté, son
frère
, et plusieurs autres amis de la défunte. Signé
é, suivant Le Boulanger de Chalussay, les infirmités de Louis Béjart,
frère
cadet des précédents. Boiteux, il l’était devenu
t à quel moment précis il fut incorporé dans la troupe formée par ses
frères
et sœurs. Sociétaire de la troupe de Monsieur, il
des registres paroissiaux de Ferrières-en-Brie, année 1607.) Il était
frère
consanguin d’Estienne Villequin, peintre estimé,
e à la Saint-Jean de 1643. Il la loua plus tard à son second fils, le
frère
puîné de Molière, en lui cédant son fonds de comm
», l’auteur dit deux fois de Louis Béjart : « Camarade de Molière et
frère
de sa femme ; son beau-frère… » 80. L’auteur de
uée d’une beauté rare et d’une éducation distinguée. Il advint que le
frère
, qui n’avait d’autre désir que de la bien marier,
meilleure fortune, un mari à sa sœur. Celle-ci, apprenant ce que son
frère
projetait, lui déclara qu’elle ne voulait plus se
pas comme un mariage ; depuis la mort de Scarron, elle écrivit à son
frère
: « Je n’ai jamais été mariée : dans mon union av
de l’édit de Nantes. 76. En 1706, madame de Maintenon écrivait à son
frère
, lettre CXVI de l’édition de Nancy : « Je n’ai pu
le marquis de Louvois, étaient ses amis ; le duc de Vivonne était son
frère
, madame de Thianges était sa sœur. Ces personnes
me pour mieux cacher le secret qui lui était confié. 79. C’était le
frère
de madame de Montespan. 80. Bien que la lettre a
ition nouvelle des Précieuses ridicules de Molière, l’un chez Garnier
frères
, l’autre chez Paul Dupont, tous deux avec notes h
est une dangereuse vipère : elle ne l’aime point, elle s’en défie. Le
frère
est un philosophe, qui a d’un coup d’œil jaugé le
plus d’un homme si prodigieusement prévenu. Orgon reste seul avec son
frère
; et ce frère qui est philosophe, qui sait raison
e si prodigieusement prévenu. Orgon reste seul avec son frère ; et ce
frère
qui est philosophe, qui sait raisonner, s’y prend
, il répond aussi, comme tous ceux qui sont dans son cas : — Ah ! mon
frère
, vous ne le connaissez pas ! Ah ! si vous le conn
tout frais encore. Vous savez comment Tartuffe se justifie : Oui mon
frère
, je suis un méchant, un coupable…etc. Vous conna
Tout le monde se rappelle ce passage où Orgon parle de Tartuffe à son
frère
: Mon frère vous seriez charmé de le connaître,
se rappelle ce passage où Orgon parle de Tartuffe à son frère : Mon
frère
vous seriez charmé de le connaître, Et vos raviss
que cet époux était Trissotin. Il rend compte de son ambassade à son
frère
, qui s’intéresse aux amours de Clitandre et d’Hen
toujours de grec et de latin ! — Et vous l’avez accepté ? s’écrie le
frère
. — Moi, point ; à Dieu ne plaise. — Et qu’avez-vo
ine ; c’est une impérieuse et superbe caricature. Elle dit à ses deux
frères
qu’elle connaît la personne que Clitandre aime en
vaudevillistes à la mode osait encore reprendre cette donnée, de deux
frères
jumeaux se ressemblant assez de visage pour qu’on
st pour lui seul : Assurément, lui dit-il. La guerre m’a défait d’un
frère
, heureusement. Depuis près de vingt ans, à la fle
vérité de fait, de la réalité comme disent les naturalistes. Les deux
frères
se ressemblent de visage, voilà la vérité matérie
l’a comprise Regnard ? Le comique de la situation, c’est que les deux
frères
étant semblables de figure et de voix, sont très
rchez ! — En avant ! dit le poète. Et tout aussitôt il met chacun des
frères
aux prises avec les mêmes situations et il les re
jolis vaudevilles de Duvert et Lauzanne. Prosper et Vincent sont deux
frères
jumeaux, comme l’exige le thème. Mais on ne voit
ras, le cache au public, qui serait bien en peine de dire si les deux
frères
ont même visage, car il n’en a jamais vu qu‘un. L
ouche à travers les incidents que lui suscite sa ressemblance avec ce
frère
que nous n’avons pas vu et qu’il ne connaît pas l
oisième moyen) la proposer franchement, mettre sous nos yeux les deux
frères
et nous dire : Ils se ressemblent ; c’est une sup
uit ans, émue d’un sentiment tendre pour un cousin ou pour l’ami d’un
frère
, n’ait senti le délicieux secret lui peser sur le
tre assez. Qu’y a-t-il de plus aimable que le père de Sylvia ? et son
frère
, Mario, avec ses aimables taquineries, n’est-il p
amuser. Et Dorante arrive sous l’habit de Bourguignon ! Le père et le
frère
, par taquinerie, se divertissent à forcer Bourgui
échappent quand même ; Bourguignon tombe à ses pieds ; le père et le
frère
(Orgon et Mario) les surprennent tous deux dans c
oude comme un enfant pris en flagrant délit de vol de confitures. Son
frère
l’agace, et elle lui répond d’un joli petit air d
gentil et malicieux ! Comme on sentait que ces deux êtres charmants,
frère
et sœur, s’étaient roulés ensemble sur les tapis,
ystification ! Elle s’enfuit comme un tourbillon ; elle rencontre son
frère
; elle lui jette des paroles incohérentes, d’une
constitue la blague contemporaine. Florine lui dit qu’elle trouve son
frère
un peu niais, et qu’elle sent quelque honte à l’a
ez de l’esprit, et votre fille est sotte ; Vous avez pour surcroît un
frère
qui radote ; Eh bien ! c’est leur affaire après t
le, Le cœur transi de peur, Volontiers, monseigneur. Mon
frère
est dans ses vignes. Vraiment, s’il voyait ça
iginal, et qu’il l’a surpassé. Cette imitation consiste dans les deux
frères
que Terence met sur la scène ; celui qu’il nomme
ste, et son Demea est Sganarelle. Ce que Moliere fait dire à ces deux
frères
convient infiniment mieux, et leur dialogue est s
nner notre auteur d’avoir ni traduit, ni même imité Terence. Les deux
frères
ici ne sont point mariés ; ils sont les tuteurs d
mme la Fille capitaine, la Femme Juge et partie, deux comédies de son
frère
. 114. Claude Deschamps. 115. Cette pièce est de
olière. Elle méritait plus que la précédente d’être nommée ici. 162.
Frère
, et non pas oncle, Louis Béjart, le cadet, dit l’
cles qui s’opposaient à son établissement dans la capitale. Monsieur,
frère
du roi, prit l’affaire à cœur : il autorisa la tr
cteurs. Béjart l’aîné. Béjart l’aîné faisait, ainsi que son
frère
, ses deux sœurs, Duparc et Molière, partie de l’i
volume in-folio imprimé à Lyon en 1655. Béjart cadet. Béjart,
frère
des trois actrices de ce nom, prit fort jeune l’é
iens, en 1637, et parcourut le Languedoc et la Provence avec ses deux
frères
. Ce fut en Provence qu’elle fit connaissance d’un
e le 2 juillet 163811. Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses deux
frères
, en 1645, et concourut à former l’illustre théâtr
selle de Rambouillet, à la marquise sa mère, au marquis de Pisani son
frère
: ses lettres sont l’opposé, quand elles s’adress
, qui n’est guère là que pour servir de plastron aux boutades que son
frère
le bonhomme Chrysale voudrait bien, mais n’ose ad
le bonhomme Chrysale dire à Ariste : Mon Dieu ! vous en parlez, mon
frère
, bien à l’aise Et vous ne savez pas comme le brui
st pas d’une moins belle invention que l’exempt dans L’Imposteur), un
frère
, qui, quoique bien jeune, paraît l’homme du monde
main, pour donner un lavement au Malade imaginaire. Un honnête homme,
frère
de ce prétendu Malade, qui se trouve là dans ce m
issotin et Vadius. La même scène s’était passée entre Gilles Boileau,
frère
du satirique (ici ce n’est plus Ménage) et l’abbé
teur n’a eu tant de talent ni de réputation. » (M. Perrault avait un
frère
médecin, et voilà sans doute la raison pour laque
: on devinera aisément pourquoi, en lisant ce qu’elle écrivait à son
frère
après un nouveau séjour à Maintenon, « Maintenon,
n à cause du lieu de sa naissance que pour le distinguer de son jeune
frère
le célèbre « déchiffreur » des hiéroglyphes d’Egy
me. [Acte premier, scène VI] Scène VI Orgon, Cléante Orgon Mon
frère
, vous seriez charmé de le connoître ; Et vos ravi
homme enfin tel qui qui sait bien, etc. ; Orgon Et je verrois mourir
frère
, enfants, mère, et femme, Que je m’en soucierois
d’attention sans doute qu’aux simples actions ordinaires. Orgon Mon
frère
, ce discours sent le libertinage : Vous en êtes u
petite tête à laquelle il a affaire. . Cléante Je ne suis point, mon
frère
, un docteur révéré, Et le savoir chez moi n’est p
age79. Quel changement produit celle-ci ? d’apprendre à Élise que son
frère
est amoureux. Ce qui produit peu d’effet. Le but
vraiment, chimères est fort bon ! Je me réjouis fort de chimères, mes
frères
: Et je ne savois pas que j’eusse des chimères.
x yeux du spectateur, elle est donc très ridicule. Elle plaisante ses
frères
au sujet sur lequel elle doit, seule, être plaisa
uzée. [Acte II, scène IV] Scène IV Chrysale, Ariste Ariste Mon
frère
, il n’est pas mal d’avoir son agrément, Allons… C
, parce qu’on y avait remplacé des vitres de cristal par du verre. Le
frère
aîné de d’Urfé avait épousé cette belle par arran
e dans l’embarras de ce valet, forcé de jouer le rôle de son prétendu
frère
en même temps que le sien, et cela, presque sous
n coude son chapeau et sa fraise, et à faire semblant d’embrasser son
frère
le docteur. La farce est complète, on le voit. No
e se trouverait dans l’exacte position de George Dandin. La série des
frères
et amis raisonneurs, non moins que raisonnables,
laisser habiller par son tailleur. Molière a pris à Térence ses deux
frères
, dont l’un est doux et complaisant, l’autre mauss
du poète français, pousse un peu trop loin la tolérance; il dit à son
frère
: Non est flagitium; mihi, crede, adolescentulum
est-il indispensable ? le notaire demandé se montre ! voulez-vous un
frère
qui raisonne, vous l’aurez par le même procédé. P
admet aisément le commode voisinage du commissaire, du notaire et du
frère
. Il est une chose qui devrait singulièrement fair
ue temps sa liaison avec la fille d’honneur d’Henriette, femme de son
frère
, d’autant plus soigneusement qu’il redoutait la j
aux plus grandes bibliothèques de Paris. 1. À la librairie Garnier
frères
, sept volumes in-8. 2. Traduction de M. Ristelhu
e Louis XIII, oncle du roi, âgé de quarante ans ; le prince de Conti,
frère
puîné du prince de Condé, âgé de vingt-cinq à vin
n se conformant aux règles prescrites aux émancipés ? Et, quant à son
frère
aîné, son devoir est de comparaître ici : c’est à
el n’est qu’un leurre ! Au fond, je ne suis pas mieux traitée que ton
frère
et ta sœur, à chacun desquels tu laisses seulemen
on 180,000 francs de nos jours. Au contraire, Joseph et Geneviève, le
frère
et la sœur de Madeleine, étaient loin de vivre da
ortait le titre d’intendant des bâtiments de Monsieur, duc d’Orléans,
frère
unique du roi. De Visé raconte, dans son Mercure
de plusieurs camarades de Mlle Molière et de Sébastien Aubry, dont le
frère
, Aubry des Carrières, avait épousé Geneviève Béja
t Lulli avait invoqué le témoignage : « La Aubry, digne sœur d’un tel
frère
; la Verdier, sa vilaine amie ; la Brigogne, cett
Paris que depuis dix-huit mois, n’appartînt point au roi, mais à son
frère
, il n’est pas absolument invraisemblable que Loui
de la troupe dirigée par Molière, sont mademoiselle Béjart, les deux
frères
de cette actrice, Duparc et sa femme, Gros-René,
non seulement pour son compte, mais pour servir les fredaines de son
frère
. Dans la comédie de Molière, Léonore, qui jouit d
t-on. Oui, mais sans ses mauvais procédés il devenait époux comme son
frère
. L’exposition. — Très bonne ; elle est en action
il nomme bien distinctement Isabelle, Ariste le fait remarquer à son
frère
: est-il possible que Sganarelle n’ouvre point le
narelle, avec un habit de velours noir, plus négligé que celui de son
frère
, mais fait de manière à marquer la bizarrerie, et
s heureuses dispositions : il le fait chercher, lui donne le plan des
Frères
ennemis, de cette même tragédie, vraisemblablemen
Tant de bons procédés auraient dû attacher pour toujours l’auteur des
Frères
ennemis à Molière ; et l’acteur, dont celui-ci va
e sous les jambes du batelier. Chapelle était furieux d’avoir pris un
frère
quêteur pour un savant ; Molière, mettant à profi
ulace tombe sur lui, alors le faux dévot feint de le défendre : « Mes
frères
, laissez-le en paix, pour l’amour du Seigneur ; j
ène vi, Orgon et Cléante sont seuls ; le premier dit à celui-ci, Mon
frère
, ce discours sent le libertinage ; à quoi Cléant
miphon part pour aller voir un ancien hôte en Cilicie, et Chremès son
frère
, pour joindre une seconde femme et une fille qui
à sa femme, Je vis de bonne soupe, et non de beau langage ; à son
frère
, J’aime fort le repos, la paix et la douceur, Et
pèse ; à Bélise, C’est à vous que je parle, ma sœur ; encore à son
frère
, …………………… C’est souffrir trop longtemps, Et je m’
latans, et d’avoir attaqué la médecine elle-même. Perrault avait son
frère
médecin ; et Toinette lui répondra poliment : la
l avait aimé mademoiselle Hamilton, et repassait en France ; les deux
frères
de la demoiselle le joignirent à Douvres, et lui
nt par la suite son protecteur, était alors son condisciple. Outre ce
frère
du grand Condé, il comptait également pour émules
de grâces je reçus ensuite de toute la maison. On dit que le meilleur
frère
est las au bout d’un mois de donner à manger à so
le meilleur frère est las au bout d’un mois de donner à manger à son
frère
; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères
onner à manger à son frère ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les
frères
qu’on puisse avoir, ne se lassèrent pas de m’avoi
étant revenu au commencement de septembre, le recommanda à Monsieur,
frère
unique du Roi. Celui-ci le présenta, connue chef
rrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658, et se donnèrent à Monsieur,
frère
unique du Roi, qui leur accorda l’honneur de sa p
, pour Molière et pour ses camarades, devenus la Troupe de Monsieur ,
frère
unique du Roi, l’attention du public à attirer d’
matière comme s’il n’avait jamais fait autre chose : De notre roi le
frère
unique Alla voir un sujet comique En l’hôtel du P
mais, en compensation, il enrôla un farceur en renom, Jodelet, et son
frère
, De L’Espy, tous deux du Marais, et trois autres
ois un hommage rendu à la mémoire d’un vieux camarade qui comptait un
frère
et une sœur dans la troupe, et une conséquence du
aison funèbre de madame de Montausier, sa fille. « Souvenez-vous, mes
frères
, dit l’orateur chrétien, de ces cabinets que l’on
la troupe se rendit, était le secrétaire d’État de la marine, ou son
frère
, un des trésoriers de l’Épargne. M. Le Tellier ét
À Monsieur de Molier, chef de la Troupe des Comédiens de Monsieur ,
frère
unique du Roi. Il justifie auprès de lui son pro
e signait alors en lisant les comédies de son ancien condisciple, son
frère
, le grand Condé, et le duc d’Enghien, fils de ce
ux de la foi jurée, se mit à courir sur la route de Douvres. Les deux
frères
de la belle abandonnée l’y joignirent, et du plus
uait presque dans cette pièce le rôle de M. Josse, puisqu’il avait un
frère
médecin, et les ennemis de l’auteur du Tartuffe,
eau, nous l’avons déjà dit, l’avait surnommé « le Contemplateur ». Le
frère
de celui-ci, Boileau-Puimorin, s’était avisé de c
, depuis que vous faites imprimer. » Il rapporta celle réplique à son
frère
et à Racine ; ils la trouvèrent si piquante qu’il
ieds du batelier, la besace qu’il y avait mise en entrant. C’était un
frère
servant ; les deux philosophes n’avaient point vu
rent naître la mésintelligence entre Molière et Pierre Corneille. Son
frère
avait en effet, pour se distinguer de lui, pris l
dans la scène où il congédie monsieur Fleurant, l’apothicaire de son
frère
, lui disait : « Allez, monsieur, on voit bien que
le même qui, selon Rigoley de Juvigny, assurait Piron qu’il avait un
frère
homme d’esprit. M. Poquelin mourut en 1772, sans
haque pièce, bibliographie, etc., par M. Louis Moland ; Pans, Garnier
frères
, 1863, t. I, p. clxix. 8. M. Moland nous reproc
t conduite à soft amant ; il s’apprête à jouir de la confusion de son
frère
qu’il croit victime de trop de confiance, et il l
lège, acquit des protections plus élevées encore, celles de Monsieur,
frère
du roi, de la reine-mère et du roi lui-même, et o
transformation. L’aïeule fut la mère, la mère une sœur, et l’oncle un
frère
: c’était comme une comédie qu’ils jouaient ; et
e troisième enfant de Molière eut pour parrain Boileau de Puimorin54,
frère
de Despréaux, et pour marraine la fille de Mignar
s.Racine fut trop peu reconnaissant. Après avoir fait représenter ses
Frères
ennemis et son Alexandre sur le théâtre de Molièr
rince de Conti, né Paris en 1629, et mort à Pézenas en 1666. Il était
frère
du grand Condé et de la duchesse de Longueville.
nça pour faire la guerre civile ; et, après avoir combattu contre son
frère
, il fut enfermé au Havre avec loi par ordre de Ma
ite Marie Hervé, mère de la mariée, Louis Béjard et Madelaine Béjard,
frère
et sœur de ladite mariée. Signatures. J.-B. Poque
rence d’âge d’environ vingt-trois ans. 54. Pierre Boileau Puimorin,
frère
puîné de Despréaux, était homme d’esprit et fort
Corneille ;et il lui rappelle, à ce sujet, le ridicule que son petit
frère
, Thomas Corneille, avait en de se donner le surno
isie de la vraie piété ! C’est à cet usage qu’il a destiné le rôle du
frère
. C’est le personnage honnête de presque toutes se
e honnête de presque toutes ses Pièces, et la réunion de ses rôles de
frère
formerait peut-être un cours de morale à l’usage
saure, une troupe de campagne, ayant obtenu le patronage de Monsieur,
frère
du roi, fit un premier début devant la cour (24 o
pt mois, épousé clandestinement Virginia, la sœur de Lelio, et que le
frère
veut s’en venger. Ricciardo ordonne à Zucca de ch
la plus sévère ! Allez, allez toujours dans cette voie, écrivains mes
frères
, qui êtes l’exemple et l’honneur du journal franç
t mourir que povre estre, Et ceulx qui povres apperront Leurs propres
frères
les haïront. C’est un quatrain du Roman de la Ro
nde, horrible avorton dont je ne sais que faire. — Va-t’en, Don Juan,
frère
cadet de Tartuffe. C’est bien assez d’avoir mis a
cadet de Tartuffe. C’est bien assez d’avoir mis au monde Tartuffe ton
frère
, l’an passé ! » Sans nul doute, ainsi aurait pu d
amné Don Juan, — ni la colère des maris poussés à bout, ni l’épée des
frères
déshonorés, ni les larmes des femmes au désespoir
couronne ! « Il fut forcé, dit Voltaire, d’exiler de Rome son propre
frère
, d’envoyer à Versailles son neveu, le cardinal Ch
eut l’atteindre, ni la colère des maris poussés à bout, ni l’épée des
frères
déshonorés, ni les larmes des femmes au désespoir
it amoureux parut, ce sujet n’était pas nouveau sur notre scène. Deux
frères
, d’Ouville et Boisrobert, l’y avaient montré, l’u
té de Julie de Rambouillet, elle les avait publiés sous le nom de son
frère
. Dégagée de toute contrainte par la séparation d’
ans le mois de septembre, le roi donne le gouvernement d’Amersfort au
frère
de madame Scarron. Le 19, elle écrit à d’Aubigné
ou si un jeune roi s’affranchit de leur tutelle, ils lui opposent un
frère
dont ils font partout retentir les louanges, et q
ou à rompre, le mettent dans les plus grands embarras. Lisée avait un
frère
jumeau qu’il croit perdu, et qui lui ressemblait
ère jumeau qu’il croit perdu, et qui lui ressemblait parfaitement. Ce
frère
revient à Milan, où se passe la scène, et la ress
des antres et la perdition de moi-même ? Vous vous êtes trompés, mes
frères
; faites-moi le but de vos injures et de vos pier
vent celui de Regnard. Quand le Ménechme provincial est pris pour son
frère
l’officier par un créancier importun qui se dit s
mais sur cette matière le refrain des imbéciles ou des fripons : Mon
frère
, ce discours sent le libertinage. On sait la rép
andale des autres et la perdition de moi-même? Vous vous trompez, mes
frères
: faites-moi le but de vos injures et de vos pier
la prose qu’on vient de lire à des vers tels que ceux-ci ! Oui, mon
frère
, je suis un méchant, un coupable, Un malheureux p
Savez-vous, après tout, de quoi je suis capable ? Vous liez-vous, mon
frère
, à mon extérieur? Et pour tout ce qu’on voit me c
en fut onc, Le roi, l’illustre reine mère, Monseigneur d’Orléans son
frère
, Et Madame pareillement, Y vinrent par ébattement
se fit appeler M. de L’Islea, que l’on dit être le nom de votre petit
frère
. » Dans la même dissertation, l’abbé d’Aubignac p
panache du chef, S’étant dégagé vers le père, Il arrive enfin que le
frère
, Qui paraît doux comme un mouton, Le contraint à
ainsi. Le roi, la reine, et reine mère, D’icelui roi, l’unique
frère
, Et l’objet de son amitié, Son aimable et chère m
uit, et il repassait en France sans avoir conclu avec elle ; les deux
frères
de la demoiselle le joignirent à Douvres, dans le
se faisait appeler M. de Lille, apparemment pour le distinguer de son
frère
. On croit que c’est de lui que Molière a voulu pa
issotin et Vadius. La même Scène s’était passée entre Gilles Boileau,
frère
du satirique, et l’Abbé Cotin*. Molière était en
ingue à la main, pour donner un lavement au malade. Un honnête-homme,
frère
de ce prétendu malade, qui se trouve là dans ce m
même accusée de trahison pour avoir correspondu secrètement avec son
frère
le roi d’Espagne. À la mort de Louis XIII, elle d
( Tartuffe) : femme d’Orgon. 123. Racine, 1664, La Thébaïde ou les
frères
ennemis : tragédie en 5 actes et en vers. 124.
s Chapeaux (I) Allusion à des moines qui ont leur suite quelque petit
Frère
qui porte le chapeau ». Nous avons choisi de clas
edoc, avec une troupe assez complète, composée principalement de deux
frères
nommés Gros-René, de Duparc, d’un pâtissier de la
Paris en 1658. Le prince de Conti lui donna accès auprès de Monsieur
frère
unique du roi Louis XIV ; Monsieur le présenta au
l fit présent au jeune auteur de cent louis, et lui donna le plan des
Frères
ennemis. Il n’est peut-être pas inutile de dire,
trouver dans six mois. Pendant ce temps-là Molière fit le dessein des
Frères
ennemis 63 ; mais le jeune homme n’avait point en
Béjart l’aîné faisait partie de l’illustre théâtre, ainsi que son
frère
, ses deux sœurs, du Parc, et Molière. On ne trouv
die que l’on représentait devant elle. » BÉJART CADET. Béjart,
frère
des trois actrices de ce nom, prit fort jeune le
diens en 1637, et parcourut le Languedoc et la Provence avec ses deux
frères
. Ce fut dans cette dernière province qu’elle fit
rtation de M. Beffara. Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses deux
frères
, en 1645, et concourut à former l’illustre théâtr
36) ; il resta au collège jusqu’à la fin de 1641. Le prince de Conti,
frère
du grand Condé, âgé de sept ans, fut un de ses co
ite Marie Hervé, mère de la mariée, Louis Béjart et Madeleine Béjart,
frère
et sœur de ladite mariée. » Cet acte est signé S
art). 45. Lisez, la sœur. 46. Armand de Bourbon, prince de Conti,
frère
du grand Condé, né le 11 octobre 1629, épousa, en
de grâces je reçus ensuite de toute la maison. On dit que le meilleur
frère
est las, au bout d’un mois, de donner à manger à
e meilleur frère est las, au bout d’un mois, de donner à manger à son
frère
; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères
onner à manger à son frère ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les
frères
qu’on puisse avoir, ne se lassèrent point de me v
évus, les travestissements, les méprises produites par deux Ménechmes
frère
et sœur, les substitutions de personnes, les reco
je n’y fais pas plus d’attention que je n’en fais aux petits vers du
frère
de M. X… J’admire les théories magnifiques, et c’
it partie. Quand il fut nommé colonel général des dragons, il prit le
frère
de madame de La Sablière pour secrétaire. C’était
tant. Elmire elle-même passe à la cheminée pour s’entretenir avec son
frère
. Mme Pernelle n’est pas bien sûre d’avoir toujour
tente fait la leçon à sa bru, à son petit-fils, à sa petite-fille, au
frère
même de sa bru, à une domestique de son fils, com
de défaillir à force d’émotion et de douleur : « Remettez-vous, mon
frère
… » lui dit Orgon d’un ton suppliant. Le nouvel O
y a plus de représentation, si Damis n’est pas avec Marianne comme un
frère
avec sa sœur, et s’il ne se tient pas devant Elmi
et l’autre derrière, appartenant auxdits sieurs Morot et dame Ferrand
frère
et sœur de leur propre chacun par moitié, seize à
ais et Allemands, unissons-nous dans l’adoration pour Molière, soyons
frères
dans ce digne et noble culte, et de là-haut, Boer
ent du haut de sa folie qu’il ignore, un sermon triomphant contre ses
frères
les fous126. Deuxième contredanse L’humoris
: Mais les dévots de cœur sont aisés à connaître. Notre siècle, mon
frère
, en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d’e
, le couvre de baisers, le bénit et s’écrie de toute sa force : « Mes
frères
, laissez-le en paix pour l’amour du Seigneur… C’e
tte à Trissotin. Lui-même il rougira bientôt de sa lâcheté devant son
frère
auquel il n’ose l’avouer. Une verte mercuriale lu
t sérieuse, qui entre dans les goûts, dans les études d’un mari, d’un
frère
ou d’un père, qui, sans quitter son ouvrage d’aig
e avec celle du baptême. 3. En vertu d’un acte de résignation de son
frère
cadet, Nicolas Poquelin, la charge était appointé
s 1664, à l’époque où Racine, âgé de vingt-cinq ans, débutait par Les
Frères
ennemis, le Tartuffe était à peu près terminé. Le
uffiée. 124. C’est bien l’homme qui disait : Et je verrais mourir
frère
, enfant, mère et femme, Que je m’en soucierais au
ne, sur laquelle il a gravé son inscription ; et comme le beau est le
frère
jumeau du bien, la tranquillité de cet espace uni
me dont elle est enthousiasmée. Chrysale appelle à son secours et son
frère
et sa fille et sa servante ; il ferait venir jusq
êt personnel. Tous deux sont contrariés dans ce projet insensé par un
frère
qui le combat avec les armes du raisonnement, et
ement au sujet ; que l’important pour lui est de prouver à Argan, son
frère
, non pas qu’il aurait tort de se confier à la méd
maternel, l’amour proprement dit, la piété filiale, la tendresse des
frères
et des sœurs, la tendresse conjugale, l’ambition,
lle que l’intérêt d’une cité ou d’une armée, le devoir d’ensevelir un
frère
, de venger un père assassiné, étaient tout entier
olu se saisit lui-même et se révéla dans un homme, qui enseigna à ses
frères
ou plutôt leur montra comment ils pouvaient aussi
rler comme Georges Dandin, devint la maitresse du novice, et les deux
frères
n’en furent que davantage ses amis. Voilà l’entré
nque pour servir de théâtre ; toujours attelé à cette Béjart et à ses
frères
, faisant le héros, faisant le bouffon, composant
régalait la province. » Il eut l’honneur de faire rire aux éclats le
frère
du roi, qui assistait à la représentation ; « et
cateur de la Reine Mère, comme Molière était le comédien de Monsieur,
frère
du roi. Lorsque Molière donnait les Précieuses po
et il est mort doyen de ce tribunal ; sa tante épousa un Chamillart,
frère
de l’intendant de basse Normandie, dont le fils f
me, et tout cela par un principe de piété. Les sentiments pieux, mon
frère
, que voilà ! Et ce n’est rien encore : quand l’im
Orgon, Cléante aurait sujet de répondre : Les sentiments humains, mon
frère
, que voilà ! Humains ou non, la parodie de Molièr
tte. Écoutons la suite. Où sont les vrais dévots ? Notre siècle, mon
frère
, en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d’e
Orgon, Cléante aurait sujet de répondre : Les sentiments humains, mon
frère
, que voilà ! Humains ou non, la parodie de Molièr
arrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658 et se donnèrent à Monsieur,
frère
unique du roi, qui leur accorda l’honneur de sa p
rempe son goupillon dans du vitriol pour en asperger le visage de ses
frères
, tout en se signant. Molière a raison, je vous ju
iennes qui en firent partie. Béjart (Joseph), l’aîné (1645-1659), le
frère
aîné des sœurs Béjart. — Joua avec Molière et Du
mais toute naturelle alors, Madame Pernelle dans Tartuffe. Comme son
frère
était bègue, Louis Béjart était boiteux. Il avait
e, dans Le Malade imaginaire. Longchamp (Henri Pitel, sieur de), son
frère
cadet, marqua assez peu dans la troupe de Molière
e dame Herué, mère de la mariée, et Louis Béiard et Madeleine Béiard,
frère
et sœur de lad. mariée et d’autres, avec dispense
nac. Limoges au xviie siècle, par P. Laforest. (Limoges, Chapoulaud
frères
, 1862, in-8.) À la page 6 : — Rencontrer à cent
elle est à peine esquissée. Mais, ces deux exceptées, je suis un faux
frère
pour ceux qui ont fait de ces types de femmes de
ou à un a près. Mais, auprès d’Argan comme auprès d’Orgon, il y a un
frère
qui déclame contre les médecins, comme l’autre dé
us trouvez des rivalités, des querelles, des haines, des procès entre
frères
et sœurs. Pour en revenir aux patriarches, Caïn n
roide, La Réconciliation normande. Non ; Regnard a pris la sœur et le
frère
à l’état normal ; l’un et l’autre ont bon cœur ;
nt considérables, — faites attention à la manière dont se parlent les
frères
et les sœurs. L’amitié fraternelle n’existe, dans
révolte contre le père ; quand ils ne sont pas alliés contre le père,
frères
et sœurs se connaissent à peine. Vous pouvez ouvr
lieu. Le rôle de Dom Carlos, dans Dom Juan, présente une situation de
frère
très tragique. Dom Juan a épousé sa sœur Elvire,
: vous en avez un document précis dans une pièce qui nous présente un
frère
en même situation que Dom Carlos. C’est le Clavij
banc, ils s’aperçoivent, à leur grande confusion, que ce n’est qu’un
frère
lai et non un profond théologien pour lequel ils
était d’une famille inébranlable dans sa fidélité à Henri IV. De huit
frères
qu’ils étaient, aucun n’entra dans le parti de la
: Mais les dévots de cœur sont aisés à connaître ; Notre siècle, mon
frère
, en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d’e
es vers admirables ce trait profondément vrai : Et je verrais mourir
frère
, enfant, mère et femme. Que je m’en soucierais au
tise sur la religion, cela vous ferait horreur… Elle trouve que votre
frère
a la simplicité de la colombe, il semble à sa mèr
e et la plus heureuse ? Non content de la similitude parfaite de deux
frères
, Shakespeare y a ajouté celle de deux esclaves, e
tins, les hypocrites et les dupes, Orgon qui chérit Tartuffe plus que
frères
, enfants, mère, femme et lui-même, Tartuffe qui f
Les personnages sensés de la pièce, le maître de la maison et son
frère
, la fille et son amant, et jusqu’à une servante q
suivants : Scapin à Sylvestre. « Va, nous partagerons les périls en
frères
; et trois ans de galère de plus ou de moins ne s
on ne peut mieux saisi et rendu par Molière : orgon a cléante. « Mon
frère
, vous seriez charmé de le (Tartuffe) connaître ;
assionné reste réfractaire aux considérations les plus sensées de son
frère
. Celle qui est basée sur l’imperfection de la nat
toujours dominée par sa passion romanesque, cherche à convaincre ses
frères
que la demande de la main d’Henriette faite par C
Vraiment, chimères est fort bon ! Je me réjouis fort de chimères, mes
frères
; et je ne savais pas que j’eusse des chimères. C
énechme envoie au diable Araminte et Finette qui le prennent pour son
frère
; la scène de M. Coquelet, qui est la même que da
ommandées, en pareille circonstance, par Petrus Hurtado. A l’appel du
frère
de done Elvire, il répond : « Vous savez que je n
je ne sais pas encore ce que ce sera. L’autre est un mariage pour mon
frère
. Je deviens la plus intéressée créature du monde,
eproches, cela va sans dire, dans la famille du petit Poquelin. Père,
frères
, beau-frères, oncles, cousins, grandes tantes, to
saie de nouveau par quelques représentations chez le prince de Conti,
frère
du grand Condé et son ancien condisciple. C’était
n ! te voilà, traître... mais Cléante l’interrompt : [...] Ah ! mon
frère
, arrêtez Et ne descendez point à des indignités.
our marraine de cet enfant, la belle Mlle Mignard, et pour parrain le
frère
de son ami Despréaux, Boileau Puimorin. L’enfant
our jamais au-dessus de ses affaires ? Voilà comme je parlerais à mon
frère
si j’en avais un. PERSILLET. Ah ! monsieur de la
— J’omets, comme étrangère, une pièce traduite de Kotzebue, Les Deux
Frères
. — Voilà quel gros de comiques sépare les grands
ée sur le même sujet. La duchesse de Bouillon et le duc de Nevers son
frère
protégeaient Pradon. Le prince de Condé, grand ad
oupçonne, si acharnée et si longue que parce que c’était une lutte de
frères
ennemis. Le goût des anciens et le goût des moder
e Goethe, que par un petit nombre d’initiés. Troisième exemple. — Le
frère
de l’habile critique que le Chevalier et moi nous
rtinent qui ose trouver mauvais que l’on caresse son accordée, est le
frère
aîné du comte Almaviva ; il représente tout un or
père indulgent659, une mère dévouée660, une fille respectueuse661, un
frère
affectueux662 : mais nulle part, dans ses œuvres’
Le 14 septembre 1634, il cède son fonds de commerce à son fils Jean,
frère
cadet de Molière, et il ne manque pas de stipuler
a seule attache religieuse qu’il y eût dans la famille de Molière Son
frère
Jean avait épousé, en 1656, une jeune orpheline,
u t’en plaignis à moy ; Et je me souviens bien qu’en ce temps là, mes
frères
T’en gaussaient, t’appelant le mangeur de vipères
rs de la Compagnie des Indes, sous le protectorat de Colbert, dont le
frère
avait été son compère : il avait tenu sur les fon
decine, était de la famille de la mère de Molière, dont, en outre, le
frère
avait épousé la sœur d’un chirurgien. On voit que
tiers, ce dut être sur ses instances ; et s’il acheta de Nicolas, son
frère
, la charge de tapissier du roi, ce fut sans doute
pris cette mesure. Il tenait la charge, dont il était si fier, de son
frère
cadet, Nicolas Poquelin, qui, bien qu’il l’eût ve
titre de tapissier du roi. Il y eut, sur cela, dispute entre les deux
frères
, pendant plus de six ans ; puis enfin, un accord
omique, s’y distinguait presque au complet : on y voyait la mère, les
frères
, les sœurs. Parmi celles-ci, Madeleine était la p
Pourquoi non ? Il ne fallait pas moins à l’abbé Roquette. Puisque le
frère
, M. de Conti, avait été l’Orgon de ce Tartuffe, p
qualité aussi, et même en grande évidence, par sa position auprès du
frère
du roi ; de plus, fort ami de Molière, et enfin,
, déjà si cruellement atteint comme père et comme époux. L’auteur des
Frères
ennemis, d’Alexandre et d’Andromaque, était passé
t. Le vieux Robert Poquelin, son fils, et Jean-Baptiste Poquelin, son
frère
, qui viendra tout à l’heure, formaient une associ
Robert, comme nous l’avons déjà dit. On l’a toujours confondu avec le
frère
cadet de Molière, bien qu’ils n’eussent de commun
[Note] Mon
frère
, Cher ami, j’imprime cette petite chose pour que
vaincu, en criant : Hé bien ! te voilà, traître... CLÉANTE. Ah ! mon
frère
, arrêtez, Et ne descendez point à des indignités
clarée irréprochable ? Qui ne connaît la lettre qu’elle écrivît à son
frère
dont le zèle pour les dragonnades l’affligeait ?
ris par le père de famille sans habit de médecin, il dit qu’il est le
frère
du médecin et qu’il lui ressemble comme deux gout
là le fond du Malade imaginaire. C’est précisément pour cela que son
frère
, en bon dialecticien, combattant sa passion par s
our rien, De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir
frère
, enfants, mère et femme, Que je m’en soucierais a
avec angoisse : « Je ne remarque pas qu’il hante les églises ». À son
frère
qui vient de lui dire cette chose bien insignifia
moi et c’est un badinage… » il répond, scandalisé et terrorisé : Mon
frère
, ce discours sent le libertinage : Vous en êtes u
un père, un fils, une fille ; dans les Femmes savantes, un père, son
frère
, sa sœur, sa femme, ses deux filles ; dans le Mis
ns apparenté ; son père paraît cependant et sa femme délaissée et les
frères
de la femme qu’il a trahie. Ajoutez les servantes
outes amitiés il détache mon âme, et je verrais mourir mère, enfants,
frère
, femme, que je m’en soucierais autant que de cela
Et la fausse monnaie à l’égal de la bonne ? […] Je ne suis point, mon
frère
, un docteur révéré ; Et le savoir chez moi n’est
grandes chances de survivre à l’homme qui l’écrivait. Critiques, nos
frères
, apprenez donc à ne pas trop compter sur les peti
ée, aime encore mieux se marier avec la sœur que de se battre avec le
frère
, mais le chevalier de Grammont, surpris à Douvres
ec le frère, mais le chevalier de Grammont, surpris à Douvres par les
frères
de mademoiselle Hamilton, au moment où il allait
clarté du lustre, que tout ceci se passe en famille, que le père, les
frères
, les sœurs, les amis, les coreligionnaires soient
oint. En ce moment, un faux rapport lui persuade que Rodrigue est son
frère
. On juge de son trouble, de son désespoir, de l’h
ès d’autres chefs-d’œuvre, Le Festin de Pierre et Le Misanthrope, ses
frères
puînés. Molière avait passé quarante ans quand il
n exemple, une pièce intitulée, La Farce des brus, dans laquelle deux
frères
ermites, frère Anselme et frère Ancelot, rencontr
dans plusieurs de ses comédies. L’École des maris met en scène deux
frères
, tuteurs de deux jeunes filles. Comme chacun song
à son maître, un enfant à son père, À son supérieur le moindre petit
frère
, N’approche point encor de la docilité, El de l’o
homme; dans celui-là se prépare le travail de la repentance. Ils sont
frères
; parfois ils sont complices. Sans être précisémen
le, un seul Corneille, la cité ingrate a cru pouvoir séparer les deux
frères
. D’autres villes m’offrent l’une Guttenberg, l’au
de la société, et se demande avec douleur, à propos de son malheureux
frère
: S’il est de petits corps un plus lourd assembl
nir le règne des poupées ! Ici madame de Tencin, la digne sœur de son
frère
, et quelque chose de pis, a fait jouer Le Complai
otre comédien rentre dans sa maison à la faveur d’un déguisement. Son
frère
est un des soldats du grand-duc ; il prend l’habi
. Son frère est un des soldats du grand-duc ; il prend l’habit de son
frère
. À peine en son logis voilà notre homme, qui pass
vers de Sganarelle dans L’École des maris, quand Sganarelle dit à son
frère
: Voulez-vous des muguets m’inspirer les manière
leur visage. Don Juan, quand il insulte une femme, voit au moins les
frères
de cette femme venir lui demander raison de leur
uer la Comédie. Cette troupe était composée de la Béjart, de ses deux
frères
, de Gros-René, de Duparc, de sa femme, d’un Pâtis
ieds du batelier sa besace, qu’il y avait mise en entrant. C’était un
Frère
lai, les deux Philosophes n’avaient point vu son
tre fidèle ; et déjà il avait repris le chemin de la France. Les deux
frères
de mademoiselle Hamilton se mirent à sa poursuite
rs. Les personnages sensés de la pièce, le maître de la maison et son
frère
, la fille et son amant, et jusqu’à une servante q
tort, Molière le montre, dans la première scène, accablant Ariste son
frère
, qui a élevé Léonor avec indulgence, de la supéri
à des vers admirables. Voisins que les maîtres de l’art appellent des
frères
chapeaux1. » Voici le jugement que M. de La Bruy
e marginale] Allusion à des moines qui ont à leur suite quelque petit
frère
qui porte le chapeau. 2. [Note marginale] Disco
stant, dans la tour du Temple, à côté de son père, de sa mère, de son
frère
enfant, était enfermée une jeune fille de quinze
ns deux des héros de sa pièce : cet Ariste qui lui ressemble comme un
frère
, cette Léonor où l’on retrouve si aisément Armand
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