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1 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [76, p. 115-117] »
e n’ai su que trop lire   Depuis que tu fais imprimer. Ce fut à son frère et à Racine et Molière qu’il trouva rassemblés, q
de s’aller réjouir. Puy-Morin le pressa avec tant de vivacité que son frère , perdant patience, lui dit d’un ton de colère : «
r manger chez des coquins qui ont crucifié Notre Seigneur. — Ah ! mon frère , s’écria Puy-Morin, en frappant du pied contre te
e en vers. Mais comme il ne put en venir à bout, il eut recours à son frère et à mon père, qui tournèrent ainsi cette réponse
2 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
pension, et l’avait portée de 2 000 à 6 000 livres. Il avait placé le frère de madame Scarron d’inclination. Sous prétexte d’
a faveur de la gouvernante. Une lettre que madame Scarron écrit à son frère , de Tournay, le 16 juin 1673 (elle était alors en
avec madame de Montespan. « N’espérez pas de plaisir, dit-elle à son frère , sur le récit de ce voyage, ni sur la citadelle d
on faisait encore un mystère de l’existence du duc du Maine et de son frère , cette marquise avait à la cour un petit appartem
3 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
e. Son fils, dont il s’agit ici, fut élevé page de Monsieur (Gaston), frère du roi Louis XIII, duquel il devint un des Chambe
lèbre Molière qu’elle accompagna dans la province, ainsi que ses deux frères et sa sœur, et avec lequel elle s’unit pour le re
t avant le second mariage de sa fille, puisque Charles de Raimond son frère , prêta hommage au Pape, pour la terre de Modène,
a hommage au Pape, pour la terre de Modène, le 2 décembre 1673, comme frère et substitué à ce fief par le décès de son frère
décembre 1673, comme frère et substitué à ce fief par le décès de son frère sans enfants29. La tradition de la naissance de m
4 (1884) Tartuffe pp. 2-78
s adresses des directeurs modernes ». Démasqué, il appelait Orgon son frère et entrait en matière pour se justifier, ce qui e
dans certaine hôtellerie borgne du voisinage, il nous semble voir les frères quêteurs de Le Sage, cachant sous la bure Raphaël
place, où le maître ne voit plus que par ses yeux. Il l’appelle son frère et l’aime dans son âme Cent fois plus qu’il ne fa
e grand dupeur est sa première dupe. Profondément humain en cela, mes frères  ! Qui de nous n’a ses capitulations de conscience
… Savez-vous après tout de quoi je suis capable, Vous fiez-vous, mon frère , à mon extérieur. Et pour tout ce qu’on voit, me
core un petit crime, plus rien qu’un et tout petit, le meurtre de son frère , je suppose ; promettant pour la peine un gros ci
aver sa situation : « Quoi ! vous croyez ?… » Il disait d’abord « mon frère  »Quoi ! vous croyez, mon frère ? Cela rappella ce
us croyez ?… » Il disait d’abord « mon frère »Quoi ! vous croyez, mon frère  ? Cela rappella ce personnage en robe noire qui,
ans la maison d’Orgon ; le père est plein de faiblesses humaines ; le frère , sage sans égoïsme, s’emploie pour les enfants qu
pour rien. De toutes amitiés il détache mon âme Et je verrais mourir frère , enfants, mère et femme, Que je m’en soucierais a
répond son honnête homme à la théorie ? Les sentiments humains, mon frère que voilà ! Molière plaide pour l’humanité. Je n
5 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
ntentement. Elle s’en exprime ainsi dans une lettre du 15 juin, à son frère  : « La vie que l’on mène ici est fort dissipée, c
Mie dans le voisinage de Paris. Le 6 septembre 1674, elle écrit à son frère qu’elle est en marché d’une terre dont elle offre
t faire des réparations urgentes. Le 20 novembre elle se plaint à son frère « de ne pouvoir obtenir la permission d’aller à M
arquable dans la lettre du 10 novembre, par laquelle elle mande à son frère l’achat de Maintenon. Cette lettre respire le con
6 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XII. Lo Ipocrito et Le Tartuffe » pp. 209-224
Maia, ses cinq filles, ses gendres et les amoureux de ses filles, un frère jumeau Brizio, et des valets. Dans cette maison s
évoir. Ses filles trouvent des époux dans leurs amants, et Brizio, le frère avec qui il craignait d’être obligé de partager s
laisser oublier, bien entendu. BRIZIO. Que j’ai hâte d’embrasser mon frère  ! IPOCRITO. Grande est la force du sang. BRIZIO.
7 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412
er qu’elle s’y trouvât. Le 27 mai, madame de Maintenon écrivait à son frère  : « Le roi arrive lundi à Versailles, et nous y a
ademoiselle de Lenclos, pour l’engager à continuer ses conseils à son frère , qui en avait grand besoin. « Les avis d’une amie
ouffrirent réellement et durablement. Alors elle cessa d’écrire à son frère sur tout autre sujet que l’ordre et l’économie d’
8 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
e… Argan. Que faire donc quand on est malade ? Béralde. Rien, mon frère … il ne faut que demeurer en repos. La nature, d’e
our rien. De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère , enfant, mère et femme, Que je m’en soucierais au
é sa femme, il a brutalement mis son fils à la porte, il a rudoyé son frère et va sacrifier sa fille… Tels sont les dangers q
orité de chef de famille, s’il n’était vigoureusement exhorté par son frère , soutenu par sa servante. Il serait lâche naturel
oute apparence dogmatique et didactique, quand elle est donnée par un frère auquel son cœur et sa raison dictent à la fois ce
me hébété Depuis que de Tartuffe on le voit entêté : Il l’appelle son frère et l’aime dans son âme Cent fois plus qu’il ne fa
amoureux au désespoir, une fille cloîtrée, une autre déshéritée, deux frères brouillés, une intrigante maîtresse du logis ! Vo
9 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
omplète. Anne Martinozzi épousa, comme on l’a vu, le prince de Conti, frère puîné du grand Condé ; Laure Martinozzi épousa le
e mauvais goût fêtés par les précieuses. Le 1er avril 1661, Monsieur, frère du roi, épouse Henriette d’Angleterre, et les fêt
10 (1871) Molière
tard, le filleul du cardinal de Richelieu, le prince Armand de Conti, frère du duc d’Enghien, disons mieux, du grand Condé !
père un procureur au Châtelet. Madeleine en savait plus long que ses frères  ; elle avait déjà monté sur les planches, et vous
cident heureux, qui permit à Molière d’adresser un placet à Monsieur, frère du roi, disant : que lui et sa troupe représentai
a cour s’amuser de ces aimables leçons. Monseigneur le duc d’Orléans, frère unique du roi ; madame Henriette, et la reine et
tier     3 liv. 15 s. À Gilot, portier     3 liv. 10 s. À leur valet, frère dudit Saint-Germain     1 liv. 10 s. Un sergent e
11 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
dans la salle des gardes du vieux Louvre, par la Troupe de Monsieur, ( frère unique du roi) le 24 octobre 1658. [*]L’ordre ch
ge de faire agréer ses services et ceux de ses camarades à Monsieur, ( frère unique de Sa Majesté) qui, lui ayant accordé sa p
s, les encens qu’on lui donne ne sont pas si généraux que ceux de son frère  : ne croyez pourtant pas que j’en veuille dire du
Paris en 1658. Le prince de Conti lui donna accès auprès de Monsieur, frère unique du roi Louis XIV. (Monsieur le présenta au
rs, dédiée à M. Molière, chef de la Troupe des comédiens de Monsieur, frère unique du roi, in-12, Paris, Jean Ribou, 1660. b
12 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
n’est pas si ridicule Ni si Scaramouche que moi. Jean Doucet et son frère ont les honneurs de la neuvième entrée. Ils veule
mme on le pense bien, ils sont dupes de celles-ci. Jean Doucet et son frère sont représentés par les sieurs Hance et Dolivet.
st-il de Jeans Doucets ? Et voici les vers « pour Jean Doucet et son frère voulant tromper les bohémiennes » : Quand un hom
13 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47
ouver offensée. Elle a été soupçonnée de s’être entendue avec Gaston, frère du roi, pour le détrôner, et d’être convenue avec
ston, duc d’Orléans. Voiture commença par se faire poète de Monsieur, frère du roi, qui lui confia d’importants emplois : il
14 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
document ? « Le prince qui règne sur le pays, c’est l’amour coquet, frère de l’amour, mais frère bâtard, enfant de la natur
e qui règne sur le pays, c’est l’amour coquet, frère de l’amour, mais frère bâtard, enfant de la nature et du désordre, dont
roupe à Béziers. Les romans de d’Urfé, de La Calprenède, des Scudéry, frère et sœur, y avaient semé la galanterie précieuse e
. En 1641, elle fait paraître, sous le nom de Georges de Scudéry, son frère , Ibrahim ou L’Illustre Passa. En 1650 encore, ell
ustre Passa. En 1650 encore, elle publia, toujours sous le nom de son frère , Artamène ou Le Grand Cyrus, en 10 vol. Mais quan
15 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
de grâces je reçus ensuite de toute la maison. On dit que le meilleur frère est las au bout d’un mois de donner à manger à so
le meilleur frère est las au bout d’un mois de donner à manger à son frère  ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères
onner à manger à son frère ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères qu’on puisse avoir, ne se lassèrent point de me v
arrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658 et se donnèrent à Monsieur, frère unique du Roi, qui leur accorda l’honneur de sa p
l au théâtre ? Madeleine Béjart avait couru la province avec ses deux frères avant de se hasarder avec Molière. En 1637, elle
ur de Modène et autres lieux, chambellan des affaires de Monseigneur, frère unique du roi, et de damoiselle Magdeleyne Béjart
t-Paul, soit dans un monastère, tel que voudront choisir le sieur son frère et les damoiselles ses sœurs, deux messes basses
adite damoiselle testatrice donne et lègue au sieur Louis Béjart, son frère , la moitié d’une place sise au faubourg Saint-Ant
l’autre moitié de ladite moitié comme l’ayant acquise dudit sieur son frère , à la charge et condition expresse qu’en cas qu’i
moiselle testatrice donne et lègue, tant audit sieur Louis Béjart son frère , qu’à damoiselle Geneviève Béjart, femme du sieur
l’avis d’experts qui seront nommés par lesdits sieurs et damoiselles, frère et sœur de ladite damoiselle testatrice ; les rev
t interrompant le religieux silence qui régnait dans l’église : « Mes frères , dit-elle, je déclare devant Dieu, et de cette dé
Poisson. Nicolle Gassot Du Croissy prit le parti du théâtre comme son frère , et devint : Mlle de Bellerose. Jal. 13. Varian
16 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [35, p. 64] »
vant Chaillot, il prend congé d’eux et reprend sa besace ; c’était le frère quêteur des Minimes de Chaillot. Son silence, dit
17 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [3, p. 35] »
t ; il repassait en France sans avoir rien conclu avec elle. Les deux frères de la demoiselle le joignirent à Douvres, dans le
18 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [53, p. 87] »
ingue à la main, pour donner un lavement au malade. Un honnête homme, frère de ce prétendu malade, qui se trouve là dans le m
19 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [46, p. 78-80] »
uation difficile, c’est ce trait du caractère du Tartuffe : Oui, mon frère , je suis un méchant un coupable, Un malheureux pé
20 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
doc, avec une troupe assez complète, composée principalement des deux frères nommés Gros-Resné, de Duparc, d’un pâtissier de l
l fit présent au jeune acteur de cent louis, et lui donna le plan des frères ennemis. Il éleva et il forma un autre homme, qui
21 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [36, p. 64-67] »
, duc de Beaufort (1616–1669) : aristocrate et un militaire français, frère du mari de la duchesse de Nemours, Henri II duc d
22 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
(1612) empêche que ce Patrocle ait été autre chose (juste père ou le frère aîné du trop crédule mari de la réelle Angélique;
de Saint-Cyran, c’est contre eux tous, sans se soucier s’ils étaient frères ennemis, que dans le Tartufe et Don Juan, Molière
t point toujours nécessaire de sortir du désert pour être utile à ses frères  ; on leur fait souvent plus de bien de loin que d
Ce ne sont pas nos paroles qui versent l’huile dans les lampes de nos frères , qui entretiennent le feu du ciel dans leurs âmes
d’un apôtre : Si quelqu’un a des biens de ce monde et qu’il voie son frère en nécessité et lui ferme ses entrailles, comment
23
e il doit y avoir une erreur : Orgon doit être vêtu comme Cléante son frère , Damis, comme Orgon son père et son oncle Cléante
aire porter un |habit bourgeois, et non un habit de cour, comme à son frère ou à son fils ? Arrivons à Elmire. Elle est « dép
tre de La Grange sont précises à cet égard : « La troupe de Monsieur, frère unique du Roi, commença au Louvre devant S. M. le
ons une nouvelle preuve, et plus concluante, dans les Mémoires de son frère , Charles Perrault. Lorsque, au premier janvier 16
: « Je crois voir en nous deux, sous mêmes soins nourris, « Ces deux frères que peint L’École des maris. » La comtesse d’Esc
et les préparatifs furent poussés avec activité. Si bien que Thomas, frère du grand Corneille, écrivait le 1er décembre 1659
nnonces de Molière ! Si nous avions celle qu’il dût préparer pour Les Frères ennemis, nous verrions de quels soins délicats il
pavillon de Racine, et où le neveu de l’oncle Sconin aurait fait ses Frères ennemis. Que l’idée de reprendre un sujet déjà po
le part que Molière lui ait fait faire une avance de cent louis). Les Frères ennemis en étaient à leur douzième représentation
, descendu à 170 livres, arrêta les représentations de la pièce. Les Frères ennemis furent donc joués quinze fois devant le p
, plus un voyage à Villers-Cotterêts où Monsieur, recevant le Roi son frère et ayant sa troupe de comédiens pendant huit jour
à peu près le 26. À ce moment, le Roi n’était déjà plus l’hôte de son frère . Il est probable qu’on attendit le départ du Maît
s — qui avaient soutenu par un peu d’agrément les représentations des Frères ennemis. Le calcul de Molière était juste. Sans a
elatif à Jean Nicolas, sieur de Tralage : « M. de la Reynie avait un frère aîné, nommé Jean Nicolas, sieur de Tralage, lieut
omparé de la langue de Molière, par M. F. Génin. (Paris, Firmin Didot frères , 1845, p. 244.) M. Génin croit que Molière a rech
24 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
ient écoulées depuis lors. Des amis de Molière persuadent à Monsieur, frère du roi, de prendre la troupe sous sa protection.
a littérature comme il aurait auné de la toile, parce que Pierre, son frère , est déjà dans la partie et qu’il en vit honorabl
t honorablement ; qui n’a été de l’Académie que parce que Pierre, son frère , en avait lui-même été, et dont la réputation ne
a réputation ne s’est soutenue jusqu’à nous que parce que Pierre, son frère , a fait le Cid et Polyeucte. Don Bertrand de Ci
nt il en fait vers l’inhumanité ? Maintenant Il pourrait voir mourir frère , enfans, mère et femme Qu’il s’en soucierait bien
ière d’avoir mis cette phrase dans la bouche de don Juan, parlant aux frères de son Elvire : « Oui, je suis don Juan lui-même
à son maître, un enfant à son père, A son supérieur le moindre petit frère , N’approche point encor de la docilité, Et de l’o
25 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
inaire de la maison du roi le 2 avril 1631, par la résignation de son frère , Nicolas Poquelin. Le titre de valet de chambre n
âgé de six ans, et Madeleine Poquelin, âgée de cinq ans. Ce sont les frères et sœur de Molière, qui n’ont pas joué d’ailleurs
rue Saint-Jacques, il faut citer Armand de Bourbon, prince de Conti, frère du grand Condé et de Mlle de Longueville ; le pri
t’en plaignis à moi : Et je m’en souviens bien qu’en ce temps-là mes frères S’en gaussaient, t’appelant le mangeur de vipères
leine Béjart : Ce fut là que chez nous on eut pitié de toi : Car mes frères , voulant prévenir ta folie, Dirent qu’il nous fal
galement nommé Jean. L’aîné reprit la survivance après la mort de son frère en 1660. Molière n’a jamais cessé du reste, de se
s, notamment dans l’acte de baptême du 10 janvier 1650 à Narbonne. Le frère puîné ne fut reçu en survivance qu’en 1657 ; le p
e lui donna Marie Hervé. M. Soulié croit que cet huissier audiencier, frère d’un procureur du Châtelet, avait fort bien pu fa
osa, il y mit sans doute beaucoup de tact et de finesse, car le jeune frère du grand Condé ne pouvait être bien flatté de se
de grâces je reçus ensuite de toute la maison. On dit que le meilleur frère est las, au bout d’un mois, de donner à manger à
e meilleur frère est las, au bout d’un mois, de donner à manger à son frère  ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères
onner à manger à son frère ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères qu’on puisse avoir, ne se lassèrent point de me v
on peut être persuadé qu’elle n’affichait plus sous ce titre, car le frère du grand Condé n’était pas d’un caractère commode
us ne vaudrez guère mieux, etc. Thomas marcha sur les brisées de son frère . Il composa pour elle l’élégie : Iris, je vais p
 influentes intervinrent certainement en faveur de Molière. Monsieur, frère du roi, qui portait alors le titre de duc d’Anjou
censure et nous glose, Nous traite de canaille, et principalement Mes frères , qui l’ont fait ce qu’il est maintenant, J’entend
e troupe eut le droit de s’appeler désormais la « troupe de Monsieur, frère unique du roi ", lequel accordait à chacun des co
u même mois Loret écrivait dans la Muse historique : De notre roi le frère unique Alla voir un sujet comique À l’hôtel du Pe
atal. Le gagiste Croisac fut congédié. D’autre part, Jodelet55 et son frère , de l’Épy, acteurs du Marais, passèrent dans la t
« à Monsieur de Molière, chef de la troupe des comédiens de Monsieur, frère du roi, » dans laquelle il s’efforce d’expliquer
ère mit lui-même son ouvrage au jour, en le dédiant au duc d’Orléans, frère unique du roi, et en inscrivant son nom (J.B. P.
0, dans une circonstance toute semblable. Mais nous avons dit que son frère puîné, le second fils de Jean Poquelin, nommé aus
s biens et droits, sœur de ladite damoiselle. et de Louis Béjard, son frère , demeurant avec ladite damoiselle, leur mère, dan
dame Hervé, mère de la mariée, et Louis Bejard et Magdelaine Bejard, frère et sœur de lad. mariée, et d’autres, avec dispens
n, il y a deux procureurs au Châtelet, sans compter M. Pierre Béjart, frère  du défunt. Ces hommes de loi n’auraient pas appro
, la troupe de Molière est mandée à Villers-Cotterets, chez Monsieur,  frère du roi ; elle y reste du 20 au 27 septembre, et,
8, et il n’est pas certain non plus que Louis XIV, qui était chez son frère , y ait assisté. D’après La Gazette il serait reve
placer Molière et sa troupe sous sa protection immédiate. Il pria son frère de lui céder ses comédiens, leur assura une pensi
, âgé de vingt-cinq ans, avait vu son premier ouvrage dramatique, Les Frères ennemis, représenté en 1664 sur le théâtre du Pal
’eux-mêmes quelque bonne raison de remettre la partie. L’anecdote du frère quêteur se rattache aussi à la résidence d’Auteui
e d’Auteuil. Pour goûter le sel de l’anecdote, il faut savoir que les frères quêteurs des Bonshommes, Minimes et autres maison
deux philosophes que cet arbitre qu’ils s’étaient donné n’était qu’un frère quêteur, et qu’ils avaient pris un moine ignorant
avorablement : il eut deux parts d’auteur pour sa première pièce, Les Frères ennemis, en 1664. La troupe étant composée cette
dre, rappelle ce défaut : il fait dire par Élomire à Angélique : Tes frères  ? qui ? ce bègue et ce borgne boiteux ? Et à pro
anesques de la révolution de Naples, Molière, Madeleine Béjart et ses frères , rebutés à Paris, troussaient bagages pour la pro
ri, et Louis Béjart Lesguizé, lieutenant au régiment de la Ferté, son frère , et plusieurs autres amis de la défunte. Signé
é, suivant Le Boulanger de Chalussay, les infirmités de Louis Béjart, frère cadet des précédents. Boiteux, il l’était devenu
t à quel moment précis il fut incorporé dans la troupe formée par ses frères et sœurs. Sociétaire de la troupe de Monsieur, il
des registres paroissiaux de Ferrières-en-Brie, année 1607.) Il était frère consanguin d’Estienne Villequin, peintre estimé,
e à la Saint-Jean de 1643. Il la loua plus tard à son second fils, le  frère puîné de Molière, en lui cédant son fonds de comm
 », l’auteur dit deux fois de Louis Béjart : « Camarade de Molière et frère de sa femme ; son beau-frère… » 80. L’auteur de
26 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
uée d’une beauté rare et d’une éducation distinguée. Il advint que le frère , qui n’avait d’autre désir que de la bien marier,
meilleure fortune, un mari à sa sœur. Celle-ci, apprenant ce que son frère projetait, lui déclara qu’elle ne voulait plus se
27 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
pas comme un mariage ; depuis la mort de Scarron, elle écrivit à son frère  : « Je n’ai jamais été mariée : dans mon union av
de l’édit de Nantes. 76. En 1706, madame de Maintenon écrivait à son frère , lettre CXVI de l’édition de Nancy : « Je n’ai pu
28 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
le marquis de Louvois, étaient ses amis ; le duc de Vivonne était son frère , madame de Thianges était sa sœur. Ces personnes
me pour mieux cacher le secret qui lui était confié. 79. C’était le frère de madame de Montespan. 80. Bien que la lettre a
29 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
ition nouvelle des Précieuses ridicules de Molière, l’un chez Garnier frères , l’autre chez Paul Dupont, tous deux avec notes h
est une dangereuse vipère : elle ne l’aime point, elle s’en défie. Le frère est un philosophe, qui a d’un coup d’œil jaugé le
plus d’un homme si prodigieusement prévenu. Orgon reste seul avec son frère  ; et ce frère qui est philosophe, qui sait raison
e si prodigieusement prévenu. Orgon reste seul avec son frère ; et ce frère qui est philosophe, qui sait raisonner, s’y prend
, il répond aussi, comme tous ceux qui sont dans son cas : — Ah ! mon frère , vous ne le connaissez pas ! Ah ! si vous le conn
tout frais encore. Vous savez comment Tartuffe se justifie : Oui mon frère , je suis un méchant, un coupable…etc. Vous conna
Tout le monde se rappelle ce passage où Orgon parle de Tartuffe à son frère  : Mon frère vous seriez charmé de le connaître,
se rappelle ce passage où Orgon parle de Tartuffe à son frère : Mon frère vous seriez charmé de le connaître, Et vos raviss
que cet époux était Trissotin. Il rend compte de son ambassade à son frère , qui s’intéresse aux amours de Clitandre et d’Hen
toujours de grec et de latin ! — Et vous l’avez accepté ? s’écrie le frère . — Moi, point ; à Dieu ne plaise. — Et qu’avez-vo
ine ; c’est une impérieuse et superbe caricature. Elle dit à ses deux frères qu’elle connaît la personne que Clitandre aime en
vaudevillistes à la mode osait encore reprendre cette donnée, de deux frères jumeaux se ressemblant assez de visage pour qu’on
st pour lui seul : Assurément, lui dit-il. La guerre m’a défait d’un frère , heureusement. Depuis près de vingt ans, à la fle
vérité de fait, de la réalité comme disent les naturalistes. Les deux frères se ressemblent de visage, voilà la vérité matérie
l’a comprise Regnard ? Le comique de la situation, c’est que les deux frères étant semblables de figure et de voix, sont très
rchez ! — En avant ! dit le poète. Et tout aussitôt il met chacun des frères aux prises avec les mêmes situations et il les re
jolis vaudevilles de Duvert et Lauzanne. Prosper et Vincent sont deux frères jumeaux, comme l’exige le thème. Mais on ne voit
ras, le cache au public, qui serait bien en peine de dire si les deux frères ont même visage, car il n’en a jamais vu qu‘un. L
ouche à travers les incidents que lui suscite sa ressemblance avec ce frère que nous n’avons pas vu et qu’il ne connaît pas l
oisième moyen) la proposer franchement, mettre sous nos yeux les deux frères et nous dire : Ils se ressemblent ; c’est une sup
uit ans, émue d’un sentiment tendre pour un cousin ou pour l’ami d’un frère , n’ait senti le délicieux secret lui peser sur le
tre assez. Qu’y a-t-il de plus aimable que le père de Sylvia ? et son frère , Mario, avec ses aimables taquineries, n’est-il p
amuser. Et Dorante arrive sous l’habit de Bourguignon ! Le père et le frère , par taquinerie, se divertissent à forcer Bourgui
échappent quand même ; Bourguignon tombe à ses pieds ; le père et le frère (Orgon et Mario) les surprennent tous deux dans c
oude comme un enfant pris en flagrant délit de vol de confitures. Son frère l’agace, et elle lui répond d’un joli petit air d
gentil et malicieux ! Comme on sentait que ces deux êtres charmants, frère et sœur, s’étaient roulés ensemble sur les tapis,
ystification ! Elle s’enfuit comme un tourbillon ; elle rencontre son frère  ; elle lui jette des paroles incohérentes, d’une
constitue la blague contemporaine. Florine lui dit qu’elle trouve son frère un peu niais, et qu’elle sent quelque honte à l’a
ez de l’esprit, et votre fille est sotte ; Vous avez pour surcroît un frère qui radote ; Eh bien ! c’est leur affaire après t
le,     Le cœur transi de peur,     Volontiers, monseigneur.     Mon frère est dans ses vignes.     Vraiment, s’il voyait ça
30 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
iginal, et qu’il l’a surpassé. Cette imitation consiste dans les deux frères que Terence met sur la scène ; celui qu’il nomme
ste, et son Demea est Sganarelle. Ce que Moliere fait dire à ces deux frères convient infiniment mieux, et leur dialogue est s
nner notre auteur d’avoir ni traduit, ni même imité Terence. Les deux frères ici ne sont point mariés ; ils sont les tuteurs d
mme la Fille capitaine, la Femme Juge et partie, deux comédies de son frère . 114. Claude Deschamps. 115. Cette pièce est de
olière. Elle méritait plus que la précédente d’être nommée ici. 162. Frère , et non pas oncle, Louis Béjart, le cadet, dit l’
31 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
cles qui s’opposaient à son établissement dans la capitale. Monsieur, frère du roi, prit l’affaire à cœur : il autorisa la tr
cteurs. Béjart l’aîné. Béjart l’aîné faisait, ainsi que son frère , ses deux sœurs, Duparc et Molière, partie de l’i
volume in-folio imprimé à Lyon en 1655. Béjart cadet. Béjart, frère des trois actrices de ce nom, prit fort jeune l’é
iens, en 1637, et parcourut le Languedoc et la Provence avec ses deux frères . Ce fut en Provence qu’elle fit connaissance d’un
e le 2 juillet 163811. Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses deux frères , en 1645, et concourut à former l’illustre théâtr
32 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55
selle de Rambouillet, à la marquise sa mère, au marquis de Pisani son frère  : ses lettres sont l’opposé, quand elles s’adress
33 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
, qui n’est guère là que pour servir de plastron aux boutades que son frère le bonhomme Chrysale voudrait bien, mais n’ose ad
le bonhomme Chrysale dire à Ariste : Mon Dieu ! vous en parlez, mon frère , bien à l’aise Et vous ne savez pas comme le brui
34 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
st pas d’une moins belle invention que l’exempt dans L’Imposteur), un frère , qui, quoique bien jeune, paraît l’homme du monde
main, pour donner un lavement au Malade imaginaire. Un honnête homme, frère de ce prétendu Malade, qui se trouve là dans ce m
issotin et Vadius. La même scène s’était passée entre Gilles Boileau, frère du satirique (ici ce n’est plus Ménage) et l’abbé
teur n’a eu tant de talent ni de réputation. » (M. Perrault avait un frère médecin, et voilà sans doute la raison pour laque
35 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401
 : on devinera aisément pourquoi, en lisant ce qu’elle écrivait à son frère après un nouveau séjour à Maintenon, « Maintenon,
36 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
n à cause du lieu de sa naissance que pour le distinguer de son jeune frère le célèbre « déchiffreur » des hiéroglyphes d’Egy
me. [Acte premier, scène VI] Scène VI Orgon, Cléante Orgon Mon frère , vous seriez charmé de le connoître ; Et vos ravi
homme enfin tel qui qui sait bien, etc. ; Orgon Et je verrois mourir frère , enfants, mère, et femme, Que je m’en soucierois
d’attention sans doute qu’aux simples actions ordinaires. Orgon Mon frère , ce discours sent le libertinage : Vous en êtes u
petite tête à laquelle il a affaire. . Cléante Je ne suis point, mon frère , un docteur révéré, Et le savoir chez moi n’est p
age79. Quel changement produit celle-ci ? d’apprendre à Élise que son frère est amoureux. Ce qui produit peu d’effet. Le but
vraiment, chimères est fort bon ! Je me réjouis fort de chimères, mes frères  : Et je ne savois pas que j’eusse des chimères.
x yeux du spectateur, elle est donc très ridicule. Elle plaisante ses frères au sujet sur lequel elle doit, seule, être plaisa
uzée. [Acte II, scène IV] Scène IV Chrysale, Ariste Ariste Mon frère , il n’est pas mal d’avoir son agrément, Allons… C
37 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37
, parce qu’on y avait remplacé des vitres de cristal par du verre. Le frère aîné de d’Urfé avait épousé cette belle par arran
38 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
e dans l’embarras de ce valet, forcé de jouer le rôle de son prétendu frère en même temps que le sien, et cela, presque sous
n coude son chapeau et sa fraise, et à faire semblant d’embrasser son frère le docteur. La farce est complète, on le voit. No
e se trouverait dans l’exacte position de George Dandin. La série des frères et amis raisonneurs, non moins que raisonnables,
laisser habiller par son tailleur. Molière a pris à Térence ses deux frères , dont l’un est doux et complaisant, l’autre mauss
du poète français, pousse un peu trop loin la tolérance; il dit à son frère  : Non est flagitium; mihi, crede, adolescentulum
est-il indispensable ? le notaire demandé se montre ! voulez-vous un frère qui raisonne, vous l’aurez par le même procédé. P
admet aisément le commode voisinage du commissaire, du notaire et du frère . Il est une chose qui devrait singulièrement fair
ue temps sa liaison avec la fille d’honneur d’Henriette, femme de son frère , d’autant plus soigneusement qu’il redoutait la j
39 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
aux plus grandes bibliothèques de Paris. 1. À la librairie Garnier frères , sept volumes in-8. 2. Traduction de M. Ristelhu
40 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
e Louis XIII, oncle du roi, âgé de quarante ans ; le prince de Conti, frère puîné du prince de Condé, âgé de vingt-cinq à vin
41 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
n se conformant aux règles prescrites aux émancipés ? Et, quant à son frère aîné, son devoir est de comparaître ici : c’est à
el n’est qu’un leurre ! Au fond, je ne suis pas mieux traitée que ton frère et ta sœur, à chacun desquels tu laisses seulemen
on 180,000 francs de nos jours. Au contraire, Joseph et Geneviève, le frère et la sœur de Madeleine, étaient loin de vivre da
ortait le titre d’intendant des bâtiments de Monsieur, duc d’Orléans, frère unique du roi. De Visé raconte, dans son Mercure
de plusieurs camarades de Mlle Molière et de Sébastien Aubry, dont le frère , Aubry des Carrières, avait épousé Geneviève Béja
t Lulli avait invoqué le témoignage : « La Aubry, digne sœur d’un tel frère  ; la Verdier, sa vilaine amie ; la Brigogne, cett
Paris que depuis dix-huit mois, n’appartînt point au roi, mais à son frère , il n’est pas absolument invraisemblable que Loui
42 (1802) Études sur Molière pp. -355
de la troupe dirigée par Molière, sont mademoiselle Béjart, les deux frères de cette actrice, Duparc et sa femme, Gros-René,
non seulement pour son compte, mais pour servir les fredaines de son frère . Dans la comédie de Molière, Léonore, qui jouit d
t-on. Oui, mais sans ses mauvais procédés il devenait époux comme son frère . L’exposition. — Très bonne ; elle est en action
il nomme bien distinctement Isabelle, Ariste le fait remarquer à son frère  : est-il possible que Sganarelle n’ouvre point le
narelle, avec un habit de velours noir, plus négligé que celui de son frère , mais fait de manière à marquer la bizarrerie, et
s heureuses dispositions : il le fait chercher, lui donne le plan des Frères ennemis, de cette même tragédie, vraisemblablemen
Tant de bons procédés auraient dû attacher pour toujours l’auteur des Frères ennemis à Molière ; et l’acteur, dont celui-ci va
e sous les jambes du batelier. Chapelle était furieux d’avoir pris un frère quêteur pour un savant ; Molière, mettant à profi
ulace tombe sur lui, alors le faux dévot feint de le défendre : « Mes frères , laissez-le en paix, pour l’amour du Seigneur ; j
ène vi, Orgon et Cléante sont seuls ; le premier dit à celui-ci, Mon frère , ce discours sent le libertinage ; à quoi Cléant
miphon part pour aller voir un ancien hôte en Cilicie, et Chremès son frère , pour joindre une seconde femme et une fille qui
à sa femme, Je vis de bonne soupe, et non de beau langage ; à son frère , J’aime fort le repos, la paix et la douceur, Et
pèse ; à Bélise, C’est à vous que je parle, ma sœur ; encore à son frère , …………………… C’est souffrir trop longtemps, Et je m’
latans, et d’avoir attaqué la médecine elle-même. Perrault avait son frère médecin ; et Toinette lui répondra poliment : la
l avait aimé mademoiselle Hamilton, et repassait en France ; les deux frères de la demoiselle le joignirent à Douvres, et lui
43 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
nt par la suite son protecteur, était alors son condisciple. Outre ce frère du grand Condé, il comptait également pour émules
de grâces je reçus ensuite de toute la maison. On dit que le meilleur frère est las au bout d’un mois de donner à manger à so
le meilleur frère est las au bout d’un mois de donner à manger à son frère  ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères
onner à manger à son frère ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères qu’on puisse avoir, ne se lassèrent pas de m’avoi
étant revenu au commencement de septembre, le recommanda à Monsieur, frère unique du Roi. Celui-ci le présenta, connue chef
rrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658, et se donnèrent à Monsieur, frère unique du Roi, qui leur accorda l’honneur de sa p
, pour Molière et pour ses camarades, devenus la Troupe de Monsieur , frère unique du Roi, l’attention du public à attirer d’
matière comme s’il n’avait jamais fait autre chose : De notre roi le frère unique Alla voir un sujet comique En l’hôtel du P
mais, en compensation, il enrôla un farceur en renom, Jodelet, et son frère , De L’Espy, tous deux du Marais, et trois autres
ois un hommage rendu à la mémoire d’un vieux camarade qui comptait un frère et une sœur dans la troupe, et une conséquence du
aison funèbre de madame de Montausier, sa fille. « Souvenez-vous, mes frères , dit l’orateur chrétien, de ces cabinets que l’on
la troupe se rendit, était le secrétaire d’État de la marine, ou son frère , un des trésoriers de l’Épargne. M. Le Tellier ét
À Monsieur de Molier, chef de la Troupe des Comédiens de Monsieur , frère unique du Roi. Il justifie auprès de lui son pro
e signait alors en lisant les comédies de son ancien condisciple, son frère , le grand Condé, et le duc d’Enghien, fils de ce
ux de la foi jurée, se mit à courir sur la route de Douvres. Les deux frères de la belle abandonnée l’y joignirent, et du plus
uait presque dans cette pièce le rôle de M. Josse, puisqu’il avait un frère médecin, et les ennemis de l’auteur du Tartuffe,
eau, nous l’avons déjà dit, l’avait surnommé « le Contemplateur ». Le frère de celui-ci, Boileau-Puimorin, s’était avisé de c
, depuis que vous faites imprimer. » Il rapporta celle réplique à son frère et à Racine ; ils la trouvèrent si piquante qu’il
ieds du batelier, la besace qu’il y avait mise en entrant. C’était un frère servant ; les deux philosophes n’avaient point vu
rent naître la mésintelligence entre Molière et Pierre Corneille. Son frère avait en effet, pour se distinguer de lui, pris l
dans la scène où il congédie monsieur Fleurant, l’apothicaire de son frère , lui disait : « Allez, monsieur, on voit bien que
le même qui, selon Rigoley de Juvigny, assurait Piron qu’il avait un frère homme d’esprit. M. Poquelin mourut en 1772, sans
haque pièce, bibliographie, etc., par M. Louis Moland ; Pans, Garnier frères , 1863, t. I, p. clxix. 8. M. Moland nous reproc
44 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
t conduite à soft amant ; il s’apprête à jouir de la confusion de son frère qu’il croit victime de trop de confiance, et il l
lège, acquit des protections plus élevées encore, celles de Monsieur, frère du roi, de la reine-mère et du roi lui-même, et o
transformation. L’aïeule fut la mère, la mère une sœur, et l’oncle un frère  : c’était comme une comédie qu’ils jouaient ; et
e troisième enfant de Molière eut pour parrain Boileau de Puimorin54, frère de Despréaux, et pour marraine la fille de Mignar
s.Racine fut trop peu reconnaissant. Après avoir fait représenter ses Frères ennemis et son Alexandre sur le théâtre de Molièr
rince de Conti, né Paris en 1629, et mort à Pézenas en 1666. Il était frère du grand Condé et de la duchesse de Longueville.
nça pour faire la guerre civile ; et, après avoir combattu contre son frère , il fut enfermé au Havre avec loi par ordre de Ma
ite Marie Hervé, mère de la mariée, Louis Béjard et Madelaine Béjard, frère et sœur de ladite mariée. Signatures. J.-B. Poque
rence d’âge d’environ vingt-trois ans. 54. Pierre Boileau Puimorin, frère puîné de Despréaux, était homme d’esprit et fort
Corneille ;et il lui rappelle, à ce sujet, le ridicule que son petit frère , Thomas Corneille, avait en de se donner le surno
45 (1769) Éloge de Molière pp. 1-35
isie de la vraie piété ! C’est à cet usage qu’il a destiné le rôle du frère . C’est le personnage honnête de presque toutes se
e honnête de presque toutes ses Pièces, et la réunion de ses rôles de frère formerait peut-être un cours de morale à l’usage
46 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
saure, une troupe de campagne, ayant obtenu le patronage de Monsieur, frère du roi, fit un premier début devant la cour (24 o
pt mois, épousé clandestinement Virginia, la sœur de Lelio, et que le frère veut s’en venger. Ricciardo ordonne à Zucca de ch
47 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
la plus sévère ! Allez, allez toujours dans cette voie, écrivains mes frères , qui êtes l’exemple et l’honneur du journal franç
t mourir que povre estre, Et ceulx qui povres apperront Leurs propres frères les haïront. C’est un quatrain du Roman de la Ro
nde, horrible avorton dont je ne sais que faire. — Va-t’en, Don Juan, frère cadet de Tartuffe. C’est bien assez d’avoir mis a
cadet de Tartuffe. C’est bien assez d’avoir mis au monde Tartuffe ton frère , l’an passé ! » Sans nul doute, ainsi aurait pu d
amné Don Juan, — ni la colère des maris poussés à bout, ni l’épée des frères déshonorés, ni les larmes des femmes au désespoir
couronne ! « Il fut forcé, dit Voltaire, d’exiler de Rome son propre frère , d’envoyer à Versailles son neveu, le cardinal Ch
eut l’atteindre, ni la colère des maris poussés à bout, ni l’épée des frères déshonorés, ni les larmes des femmes au désespoir
48 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
it amoureux parut, ce sujet n’était pas nouveau sur notre scène. Deux frères , d’Ouville et Boisrobert, l’y avaient montré, l’u
49 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
té de Julie de Rambouillet, elle les avait publiés sous le nom de son frère . Dégagée de toute contrainte par la séparation d’
50 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
ans le mois de septembre, le roi donne le gouvernement d’Amersfort au frère de madame Scarron. Le 19, elle écrit à d’Aubigné
51 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
ou si un jeune roi s’affranchit de leur tutelle, ils lui opposent un frère dont ils font partout retentir les louanges, et q
ou à rompre, le mettent dans les plus grands embarras. Lisée avait un frère jumeau qu’il croit perdu, et qui lui ressemblait
ère jumeau qu’il croit perdu, et qui lui ressemblait parfaitement. Ce frère revient à Milan, où se passe la scène, et la ress
des antres et la perdition de moi-même ? Vous vous êtes trompés, mes frères  ; faites-moi le but de vos injures et de vos pier
52 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
vent celui de Regnard. Quand le Ménechme provincial est pris pour son frère l’officier par un créancier importun qui se dit s
mais sur cette matière le refrain des imbéciles ou des fripons : Mon frère , ce discours sent le libertinage. On sait la rép
andale des autres et la perdition de moi-même? Vous vous trompez, mes frères  : faites-moi le but de vos injures et de vos pier
la prose qu’on vient de lire à des vers tels que ceux-ci ! Oui, mon frère , je suis un méchant, un coupable, Un malheureux p
Savez-vous, après tout, de quoi je suis capable ? Vous liez-vous, mon frère , à mon extérieur? Et pour tout ce qu’on voit me c
53 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
en fut onc, Le roi, l’illustre reine mère, Monseigneur d’Orléans son frère , Et Madame pareillement, Y vinrent par ébattement
se fit appeler M. de L’Islea, que l’on dit être le nom de votre petit frère . » Dans la même dissertation, l’abbé d’Aubignac p
panache du chef, S’étant dégagé vers le père, Il arrive enfin que le frère , Qui paraît doux comme un mouton, Le contraint à
ainsi.       Le roi, la reine, et reine mère, D’icelui roi, l’unique frère , Et l’objet de son amitié, Son aimable et chère m
uit, et il repassait en France sans avoir conclu avec elle ; les deux frères de la demoiselle le joignirent à Douvres, dans le
54 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
se faisait appeler M. de Lille, apparemment pour le distinguer de son frère . On croit que c’est de lui que Molière a voulu pa
issotin et Vadius. La même Scène s’était passée entre Gilles Boileau, frère du satirique, et l’Abbé Cotin*. Molière était en
ingue à la main, pour donner un lavement au malade. Un honnête-homme, frère de ce prétendu malade, qui se trouve là dans ce m
même accusée de trahison pour avoir correspondu secrètement avec son frère le roi d’Espagne. À la mort de Louis XIII, elle d
( Tartuffe) : femme d’Orgon. 123. Racine, 1664, La Thébaïde ou les frères ennemis : tragédie en 5 actes et en vers. 124.
s Chapeaux (I) Allusion à des moines qui ont leur suite quelque petit Frère qui porte le chapeau ». Nous avons choisi de clas
55 (1739) Vie de Molière
edoc, avec une troupe assez complète, composée principalement de deux frères nommés Gros-René, de Duparc, d’un pâtissier de la
Paris en 1658. Le prince de Conti lui donna accès auprès de Monsieur frère unique du roi Louis XIV ; Monsieur le présenta au
l fit présent au jeune auteur de cent louis, et lui donna le plan des Frères ennemis. Il n’est peut-être pas inutile de dire,
56 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
trouver dans six mois. Pendant ce temps-là Molière fit le dessein des Frères ennemis 63 ; mais le jeune homme n’avait point en
Béjart l’aîné faisait partie de l’illustre théâtre, ainsi que son frère , ses deux sœurs, du Parc, et Molière. On ne trouv
die que l’on représentait devant elle. » BÉJART CADET. Béjart, frère des trois actrices de ce nom, prit fort jeune le
diens en 1637, et parcourut le Languedoc et la Provence avec ses deux frères . Ce fut dans cette dernière province qu’elle fit
rtation de M. Beffara. Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses deux frères , en 1645, et concourut à former l’illustre théâtr
36) ; il resta au collège jusqu’à la fin de 1641. Le prince de Conti, frère du grand Condé, âgé de sept ans, fut un de ses co
ite Marie Hervé, mère de la mariée, Louis Béjart et Madeleine Béjart, frère et sœur de ladite mariée. » Cet acte est signé S
art). 45. Lisez, la sœur. 46. Armand de Bourbon, prince de Conti, frère du grand Condé, né le 11 octobre 1629, épousa, en
de grâces je reçus ensuite de toute la maison. On dit que le meilleur frère est las, au bout d’un mois, de donner à manger à
e meilleur frère est las, au bout d’un mois, de donner à manger à son frère  ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères
onner à manger à son frère ; mais ceux-ci, plus généreux que tous les frères qu’on puisse avoir, ne se lassèrent point de me v
57 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
évus, les travestissements, les méprises produites par deux Ménechmes frère et sœur, les substitutions de personnes, les reco
58 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
je n’y fais pas plus d’attention que je n’en fais aux petits vers du frère de M. X… J’admire les théories magnifiques, et c’
59 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
it partie. Quand il fut nommé colonel général des dragons, il prit le frère de madame de La Sablière pour secrétaire. C’était
60
tant. Elmire elle-même passe à la cheminée pour s’entretenir avec son frère . Mme Pernelle n’est pas bien sûre d’avoir toujour
tente fait la leçon à sa bru, à son petit-fils, à sa petite-fille, au frère même de sa bru, à une domestique de son fils, com
de défaillir à force d’émotion et de douleur : « Remettez-vous, mon frère … » lui dit Orgon d’un ton suppliant. Le nouvel O
y a plus de représentation, si Damis n’est pas avec Marianne comme un frère avec sa sœur, et s’il ne se tient pas devant Elmi
et l’autre derrière, appartenant auxdits sieurs Morot et dame Ferrand frère et sœur de leur propre chacun par moitié, seize à
ais et Allemands, unissons-nous dans l’adoration pour Molière, soyons frères dans ce digne et noble culte, et de là-haut, Boer
61 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110
ent du haut de sa folie qu’il ignore, un sermon triomphant contre ses frères les fous126. Deuxième contredanse L’humoris
62 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
 : Mais les dévots de cœur sont aisés à connaître. Notre siècle, mon frère , en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d’e
, le couvre de baisers, le bénit et s’écrie de toute sa force : « Mes frères , laissez-le en paix pour l’amour du Seigneur… C’e
tte à Trissotin. Lui-même il rougira bientôt de sa lâcheté devant son frère auquel il n’ose l’avouer. Une verte mercuriale lu
t sérieuse, qui entre dans les goûts, dans les études d’un mari, d’un frère ou d’un père, qui, sans quitter son ouvrage d’aig
e avec celle du baptême. 3. En vertu d’un acte de résignation de son frère cadet, Nicolas Poquelin, la charge était appointé
s 1664, à l’époque où Racine, âgé de vingt-cinq ans, débutait par Les Frères ennemis, le Tartuffe était à peu près terminé. Le
uffiée. 124. C’est bien l’homme qui disait : Et je verrais mourir frère , enfant, mère et femme, Que je m’en soucierais au
63 (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258
ne, sur laquelle il a gravé son inscription ; et comme le beau est le frère jumeau du bien, la tranquillité de cet espace uni
64 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
me dont elle est enthousiasmée. Chrysale appelle à son secours et son frère et sa fille et sa servante ; il ferait venir jusq
êt personnel. Tous deux sont contrariés dans ce projet insensé par un frère qui le combat avec les armes du raisonnement, et
ement au sujet ; que l’important pour lui est de prouver à Argan, son frère , non pas qu’il aurait tort de se confier à la méd
65 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
maternel, l’amour proprement dit, la piété filiale, la tendresse des frères et des sœurs, la tendresse conjugale, l’ambition,
lle que l’intérêt d’une cité ou d’une armée, le devoir d’ensevelir un frère , de venger un père assassiné, étaient tout entier
olu se saisit lui-même et se révéla dans un homme, qui enseigna à ses frères ou plutôt leur montra comment ils pouvaient aussi
66 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
rler comme Georges Dandin, devint la maitresse du novice, et les deux frères n’en furent que davantage ses amis. Voilà l’entré
nque pour servir de théâtre ; toujours attelé à cette Béjart et à ses frères , faisant le héros, faisant le bouffon, composant
régalait la province. » Il eut l’honneur de faire rire aux éclats le frère du roi, qui assistait à la représentation ; « et
cateur de la Reine Mère, comme Molière était le comédien de Monsieur, frère du roi. Lorsque Molière donnait les Précieuses po
et il est mort doyen de ce tribunal ; sa tante épousa un Chamillart, frère de l’intendant de basse Normandie, dont le fils f
me, et tout cela par un principe de piété. Les sentiments pieux, mon frère , que voilà ! Et ce n’est rien encore : quand l’im
Orgon, Cléante aurait sujet de répondre : Les sentiments humains, mon frère , que voilà ! Humains ou non, la parodie de Molièr
tte. Écoutons la suite. Où sont les vrais dévots ? Notre siècle, mon frère , en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d’e
Orgon, Cléante aurait sujet de répondre : Les sentiments humains, mon frère , que voilà ! Humains ou non, la parodie de Molièr
67 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
arrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658 et se donnèrent à Monsieur, frère unique du roi, qui leur accorda l’honneur de sa p
rempe son goupillon dans du vitriol pour en asperger le visage de ses frères , tout en se signant. Molière a raison, je vous ju
iennes qui en firent partie. Béjart (Joseph), l’aîné (1645-1659), le frère aîné des sœurs Béjart. — Joua avec Molière et Du 
mais toute naturelle alors, Madame Pernelle dans Tartuffe. Comme son frère était bègue, Louis Béjart était boiteux. Il avait
e, dans Le Malade imaginaire. Longchamp (Henri Pitel, sieur de), son frère cadet, marqua assez peu dans la troupe de Molière
e dame Herué, mère de la mariée, et Louis Béiard et Madeleine Béiard, frère et sœur de lad. mariée et d’autres, avec dispense
nac. Limoges au xviie  siècle, par P. Laforest. (Limoges, Chapoulaud frères , 1862, in-8.) À la page 6 : —  Rencontrer à cent
68 (1900) Molière pp. -283
elle est à peine esquissée. Mais, ces deux exceptées, je suis un faux frère pour ceux qui ont fait de ces types de femmes de
ou à un a près. Mais, auprès d’Argan comme auprès d’Orgon, il y a un frère qui déclame contre les médecins, comme l’autre dé
us trouvez des rivalités, des querelles, des haines, des procès entre frères et sœurs. Pour en revenir aux patriarches, Caïn n
roide, La Réconciliation normande. Non ; Regnard a pris la sœur et le frère à l’état normal ; l’un et l’autre ont bon cœur ;
nt considérables, — faites attention à la manière dont se parlent les frères et les sœurs. L’amitié fraternelle n’existe, dans
révolte contre le père ; quand ils ne sont pas alliés contre le père, frères et sœurs se connaissent à peine. Vous pouvez ouvr
lieu. Le rôle de Dom Carlos, dans Dom Juan, présente une situation de frère très tragique. Dom Juan a épousé sa sœur Elvire,
: vous en avez un document précis dans une pièce qui nous présente un frère en même situation que Dom Carlos. C’est le Clavij
69 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
banc, ils s’aperçoivent, à leur grande confusion, que ce n’est qu’un frère lai et non un profond théologien pour lequel ils
70 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
était d’une famille inébranlable dans sa fidélité à Henri IV. De huit frères qu’ils étaient, aucun n’entra dans le parti de la
71 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
: Mais les dévots de cœur sont aisés à connaître ; Notre siècle, mon frère , en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d’e
es vers admirables ce trait profondément vrai : Et je verrais mourir frère , enfant, mère et femme. Que je m’en soucierais au
tise sur la religion, cela vous ferait horreur… Elle trouve que votre frère a la simplicité de la colombe, il semble à sa mèr
72 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
e et la plus heureuse ? Non content de la similitude parfaite de deux frères , Shakespeare y a ajouté celle de deux esclaves, e
tins, les hypocrites et les dupes, Orgon qui chérit Tartuffe plus que frères , enfants, mère, femme et lui-même, Tartuffe qui f
Les personnages sensés de la pièce, le maître de la maison et son frère , la fille et son amant, et jusqu’à une servante q
73 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
suivants : Scapin à Sylvestre. « Va, nous partagerons les périls en frères  ; et trois ans de galère de plus ou de moins ne s
on ne peut mieux saisi et rendu par Molière : orgon a cléante. « Mon frère , vous seriez charmé de le (Tartuffe) connaître ;
assionné reste réfractaire aux considérations les plus sensées de son frère . Celle qui est basée sur l’imperfection de la nat
toujours dominée par sa passion romanesque, cherche à convaincre ses frères que la demande de la main d’Henriette faite par C
Vraiment, chimères est fort bon ! Je me réjouis fort de chimères, mes frères  ; et je ne savais pas que j’eusse des chimères. C
74 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
énechme envoie au diable Araminte et Finette qui le prennent pour son frère  ; la scène de M. Coquelet, qui est la même que da
75 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
ommandées, en pareille circonstance, par Petrus Hurtado. A l’appel du frère de done Elvire, il répond : « Vous savez que je n
76 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
je ne sais pas encore ce que ce sera. L’autre est un mariage pour mon frère . Je deviens la plus intéressée créature du monde,
77 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
eproches, cela va sans dire, dans la famille du petit Poquelin. Père, frères , beau-frères, oncles, cousins, grandes tantes, to
saie de nouveau par quelques représentations chez le prince de Conti, frère du grand Condé et son ancien condisciple. C’était
n ! te voilà, traître... mais Cléante l’interrompt : [...] Ah ! mon frère , arrêtez Et ne descendez point à des indignités.
our marraine de cet enfant, la belle Mlle Mignard, et pour parrain le frère de son ami Despréaux, Boileau Puimorin. L’enfant
78 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
our jamais au-dessus de ses affaires ? Voilà comme je parlerais à mon frère si j’en avais un. PERSILLET. Ah ! monsieur de la
79 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
— J’omets, comme étrangère, une pièce traduite de Kotzebue, Les Deux Frères . — Voilà quel gros de comiques sépare les grands
80 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
ée sur le même sujet. La duchesse de Bouillon et le duc de Nevers son frère protégeaient Pradon. Le prince de Condé, grand ad
81 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
oupçonne, si acharnée et si longue que parce que c’était une lutte de frères ennemis. Le goût des anciens et le goût des moder
e Goethe, que par un petit nombre d’initiés. Troisième exemple. — Le frère de l’habile critique que le Chevalier et moi nous
rtinent qui ose trouver mauvais que l’on caresse son accordée, est le frère aîné du comte Almaviva ; il représente tout un or
82 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE X. Du Père, de la Famille, de l’Etat. » pp. 193-216
père indulgent659, une mère dévouée660, une fille respectueuse661, un frère affectueux662 : mais nulle part, dans ses œuvres’
83 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
Le 14 septembre 1634, il cède son fonds de commerce à son fils Jean, frère cadet de Molière, et il ne manque pas de stipuler
a seule attache religieuse qu’il y eût dans la famille de Molière Son frère Jean avait épousé, en 1656, une jeune orpheline,
u t’en plaignis à moy ; Et je me souviens bien qu’en ce temps là, mes frères T’en gaussaient, t’appelant le mangeur de vipères
rs de la Compagnie des Indes, sous le protectorat de Colbert, dont le frère avait été son compère : il avait tenu sur les fon
decine, était de la famille de la mère de Molière, dont, en outre, le frère avait épousé la sœur d’un chirurgien. On voit que
tiers, ce dut être sur ses instances ; et s’il acheta de Nicolas, son frère , la charge de tapissier du roi, ce fut sans doute
pris cette mesure. Il tenait la charge, dont il était si fier, de son frère cadet, Nicolas Poquelin, qui, bien qu’il l’eût ve
titre de tapissier du roi. Il y eut, sur cela, dispute entre les deux frères , pendant plus de six ans ; puis enfin, un accord
omique, s’y distinguait presque au complet : on y voyait la mère, les frères , les sœurs. Parmi celles-ci, Madeleine était la p
Pourquoi non ? Il ne fallait pas moins à l’abbé Roquette. Puisque le frère , M. de Conti, avait été l’Orgon de ce Tartuffe, p
qualité aussi, et même en grande évidence, par sa position auprès du frère du roi ; de plus, fort ami de Molière, et enfin,
, déjà si cruellement atteint comme père et comme époux. L’auteur des Frères ennemis, d’Alexandre et d’Andromaque, était passé
t. Le vieux Robert Poquelin, son fils, et Jean-Baptiste Poquelin, son frère , qui viendra tout à l’heure, formaient une associ
Robert, comme nous l’avons déjà dit. On l’a toujours confondu avec le frère cadet de Molière, bien qu’ils n’eussent de commun
84 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
[Note] Mon frère , Cher ami, j’imprime cette petite chose pour que
85 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
vaincu, en criant : Hé bien ! te voilà, traître... CLÉANTE. Ah ! mon frère , arrêtez, Et ne descendez point à des indignités 
86 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
clarée irréprochable ? Qui ne connaît la lettre qu’elle écrivît à son frère dont le zèle pour les dragonnades l’affligeait ?
87 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
ris par le père de famille sans habit de médecin, il dit qu’il est le frère du médecin et qu’il lui ressemble comme deux gout
là le fond du Malade imaginaire. C’est précisément pour cela que son frère , en bon dialecticien, combattant sa passion par s
our rien, De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère , enfants, mère et femme, Que je m’en soucierais a
avec angoisse : « Je ne remarque pas qu’il hante les églises ». À son frère qui vient de lui dire cette chose bien insignifia
moi et c’est un badinage… » il répond, scandalisé et terrorisé : Mon frère , ce discours sent le libertinage : Vous en êtes u
un père, un fils, une fille ; dans les Femmes savantes, un père, son frère , sa sœur, sa femme, ses deux filles ; dans le Mis
ns apparenté ; son père paraît cependant et sa femme délaissée et les frères de la femme qu’il a trahie. Ajoutez les servantes
outes amitiés il détache mon âme, et je verrais mourir mère, enfants, frère , femme, que je m’en soucierais autant que de cela
Et la fausse monnaie à l’égal de la bonne ? […] Je ne suis point, mon frère , un docteur révéré ; Et le savoir chez moi n’est
88 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
grandes chances de survivre à l’homme qui l’écrivait. Critiques, nos frères , apprenez donc à ne pas trop compter sur les peti
ée, aime encore mieux se marier avec la sœur que de se battre avec le frère , mais le chevalier de Grammont, surpris à Douvres
ec le frère, mais le chevalier de Grammont, surpris à Douvres par les frères de mademoiselle Hamilton, au moment où il allait
clarté du lustre, que tout ceci se passe en famille, que le père, les frères , les sœurs, les amis, les coreligionnaires soient
89 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
oint. En ce moment, un faux rapport lui persuade que Rodrigue est son frère . On juge de son trouble, de son désespoir, de l’h
90 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
ès d’autres chefs-d’œuvre, Le Festin de Pierre et Le Misanthrope, ses frères puînés. Molière avait passé quarante ans quand il
n exemple, une pièce intitulée, La Farce des brus, dans laquelle deux frères ermites, frère Anselme et frère Ancelot, rencontr
dans plusieurs de ses comédies. L’École des maris met en scène deux frères , tuteurs de deux jeunes filles. Comme chacun song
à son maître, un enfant à son père, À son supérieur le moindre petit frère , N’approche point encor de la docilité, El de l’o
homme; dans celui-là se prépare le travail de la repentance. Ils sont frères ; parfois ils sont complices. Sans être précisémen
91 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
le, un seul Corneille, la cité ingrate a cru pouvoir séparer les deux frères . D’autres villes m’offrent l’une Guttenberg, l’au
92 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
de la société, et se demande avec douleur, à propos de son malheureux frère  : S’il est de petits corps un plus lourd assembl
93 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
nir le règne des poupées ! Ici madame de Tencin, la digne sœur de son frère , et quelque chose de pis, a fait jouer Le Complai
otre comédien rentre dans sa maison à la faveur d’un déguisement. Son frère est un des soldats du grand-duc ; il prend l’habi
. Son frère est un des soldats du grand-duc ; il prend l’habit de son frère . À peine en son logis voilà notre homme, qui pass
vers de Sganarelle dans L’École des maris, quand Sganarelle dit à son frère  : Voulez-vous des muguets m’inspirer les manière
leur visage. Don Juan, quand il insulte une femme, voit au moins les frères de cette femme venir lui demander raison de leur
94 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
uer la Comédie. Cette troupe était composée de la Béjart, de ses deux frères , de Gros-René, de Duparc, de sa femme, d’un Pâtis
ieds du batelier sa besace, qu’il y avait mise en entrant. C’était un Frère lai, les deux Philosophes n’avaient point vu son
95 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
tre fidèle ; et déjà il avait repris le chemin de la France. Les deux frères de mademoiselle Hamilton se mirent à sa poursuite
96 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
rs. Les personnages sensés de la pièce, le maître de la maison et son frère , la fille et son amant, et jusqu’à une servante q
97 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
tort, Molière le montre, dans la première scène, accablant Ariste son frère , qui a élevé Léonor avec indulgence, de la supéri
98 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
à des vers admirables. Voisins que les maîtres de l’art appellent des frères chapeaux1. » Voici le jugement que M. de La Bruy
e marginale] Allusion à des moines qui ont à leur suite quelque petit frère qui porte le chapeau. 2. [Note marginale] Disco
99 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
stant, dans la tour du Temple, à côté de son père, de sa mère, de son frère enfant, était enfermée une jeune fille de quinze
100 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
ns deux des héros de sa pièce : cet Ariste qui lui ressemble comme un frère , cette Léonor où l’on retrouve si aisément Armand
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