tier : mais qu’on n’en sache rien : Et par elle apprenez que les plus
fines
dames, De pareilles douceurs entretiennent leurs
assez ; Je renonce à mon legs, si vous n’applaudissez. Boissy, à la
fin
de son Babillard, demande des applaudissements av
ù l’on a toujours été de voir des pieces sans commencement & sans
fin
, qui a introduit cet usage. Mais pourquoi finir p
rès estimable, & le restaurateur du théâtre Italien, adresse à la
fin
de quelques-unes de ses pieces un sonnet au spect
us de langue que d’argent. Souvenez-vous que l’honneur est une étoffe
fine
; si l’on y répand de l’huile ou du vin, la tache
ghave troppa lengua, e pochi bezzi : Avverti, che l’onor è un panno
fin
: Presto, presto la giozza si dilata ; Se se ghe
brette qui se mêle d’intriguer ne doit employer que ces petits traits
fins
, adroits, déliés, auxquels les femmes sont si bie
ort. Champagne refuse de dire une chose dont il n’est pas certain. La
fine
Soubrette sait à propos lui montrer un diamant, &
deux champions. Isabelle y consent : tout est si bien disposé par la
fine
Soubrette, qu’Accante voit entrer le Marquis dans
oulu faire remarquer les ressorts que Laurette met en usage. Ils sont
fins
, souples, déliés, dignes enfin de son sexe. Mais
que nous avons reproché aux Anciens ; elles se trouvent inutiles à la
fin
de la piece, & n’y ont été mises en jeu que p
n maître. . . Oh !Gageons, si tu veux. Laurette. Ah ! que les gens si
fins
sont quelquefois fâcheux ! Champagne. Ce poulet v
rquis ?Tu devines. Champagne. Nous démêlons un peu les ruses les plus
fines
. Les voyages font bien les gens ! Laurette. Les
dire, avec le fameux critique des Lundis3, que l’acte de 1402 fut une
fin
et non pas un commencement, exagération bizarre q
chapper à cette double influence. Écoutons Boileau : Le savoir, à la
fin
, dissipant l’ignorance, Fit voir de ce projet la
ngue française. Cette œuvre, cet unique et insigne débris, date de la
fin
du IXe siècle, mais n’a rien de commun avec les o
sont du moins un des monuments les plus précieux de notre langue à la
fin
du Xe siècle. Un fait nouveau se produit au XIe s
me examen, à le faire redescendre au siècle suivant. « C’est vers la
fin
du XIIIe siècle, dit M. Magnin lui-même, que le t
eprésentées. En outre, toutes, à l’exception du Miracle, datent de la
fin
du XIIIe siècle et confinent, par conséquent, au
t pas d’indiquer ces changements de personnes dans le même rôle, « Ci
fine
la jeune Sara, Ci fine le petit Samuel, Fin du pe
angements de personnes dans le même rôle, « Ci fine la jeune Sara, Ci
fine
le petit Samuel, Fin du petit Salomon, cy fine Jé
dans le même rôle, « Ci fine la jeune Sara, Ci fine le petit Samuel,
Fin
du petit Salomon, cy fine Jésus enfant, cy commen
fine la jeune Sara, Ci fine le petit Samuel, Fin du petit Salomon, cy
fine
Jésus enfant, cy commence la grande Marie. »On re
oser que là, comme en bien d’autres sujets, les grands artistes de la
fin
du XVe siècle et du XVIe n’ont fait que traduire
ait si bien, l’enveloppe de tant de cajoleries, que le marchand, pour
fin
et défiant qu’il soit, lui laisse emporter à cour
nd plus rien. Il écume, il râle, il va trépasser. Maître drapier à la
fin
est vaincu, non sans peine; il se sauve, persuadé
çaise ne compte pas, je crois, une seconde scène comme celle-là. À la
fin
le rusé avocat est lui-même berné par le madré pa
mis. Les années 1677 et 1678 ne présentent que la continuation, à la
fin
très monotone, des mêmes alternatives de refroidi
ssel. On annonce le retour du roi triomphant à Saint-Germain, pour la
fin
du mois de mai, après trois mois d’absence. Madam
que trop paraître sa furie ». Madame de Maintenon était revenue, à la
fin
de septembre ou au commencement d’octobre, de Bar
qui se laissait entrevoir dans les nuages. Au reste, nous avons vu la
fin
de 1677, nous allons voir 1679 ; par le point d’a
de Grignan étant venue passer 22 mois avec sa mère à Paris, depuis la
fin
d’octobre 1677 jusqu’en septembre 1679, nous nous
protégé et défendu, obstinément, cette illustre artiste ; tant sur la
fin
de sa vie elle avait peine à se défendre contre l
Nous voulons parler des couronnes et des bouquets qui se jettent à la
fin
d’un opéra, d’un ballet ou d’une comédie, aux pie
nous rapportera des fleurs, la Taglioni danse ce soir !” « Donc, à la
fin
de la petite comédie, plusieurs couronnes ont été
e histoire ! Et puis l’on s’étonne que la critique protège jusqu’à la
fin
une pareille femme ! On nous reproche notre admir
Baron comme le dernier confident des pensées du maître, et jusqu’à la
fin
de sa vie il l’entoura d’attentions et de respect
’à la passion dans la comédie et dans le drame, il jouait, jusqu’à la
fin
, le rôle des beaux jeunes gens amoureux que Moliè
ils ne veulent, ils ne demandent que le général ; ils appréhendent la
fin
de la guerre, de peur de le perdre à la paix ; il
uguste et ses amis ont été de ces honnêtes voluptueux. Auguste fut la
fin
du bon temps, Scipion en fut la fleur. « Le sénat
, qui entretient la durée par la modération, et menace la violence de
fin
… Ce repos, ces distractions sont des besoins de l
e république de fer et de bronze, parmi des citoyens d’une simplicité
fine
, d’une innocence spirituelle… Ils recevaient le s
l’aspect. « Ces grâces, madame, et cette majesté, se séparèrent à la
fin
. Les grâces parurent encore sous les empereurs, m
pour écarter Alceste. Mais alors : Souffrez que je revienne avant la
fin
du jour, dit-il. Avant la fin du jour est admi
: Souffrez que je revienne avant la fin du jour, dit-il. Avant la
fin
du jour est admirable. Il y a dans l’homme un be
inuité dans l’existence. Mais combien de fois reviendra-t-il avant la
fin
du jour ? Je ne puis quitter Alceste sans contemp
source, une ficelle ; mais il n’a fait que la parodier une fois. À la
fin
d’une comédie, j’entends ce cri honteux : Regard
ce cri honteux : Regarde, Amphitryon, quel est ton imposteur ! À la
fin
de Tartuffe, la toute-puissance apparaît, non pas
chés de l’infini ; l’unité régnait au commencement, elle régnera à la
fin
. Eschyle et Homère n’auraient pas compris nos fra
une ancienne pièce de Molière dont nous nous réservons de parler à la
fin
de cet article. La 3e entrée est le Pourceaugnac.
ourceaugnac devant Sa Majesté, et y réussit à merveille, surtout à la
fin
de la pièce, quand les apothicaires, armés de leu
peut-être oculaire, que la poursuite des apothicaires avait lieu à la
fin
de la pièce, — que Lully jouait le rôle de Pource
mblent se présenter sans raison, et la pièce eût surtout gagné par sa
fin
, qui eût été faite avec la poursuite des apothica
’ignore la place, peut-être faisait-il partie du divertissement de la
fin
. V Y a-t-il outrecuidance à supposer un liv
miers mots d’Eraste, qui devenaient alors inutiles. Les entrées de la
fin
furent-elles conservées dans la comédie ? Si elle
voient pris pour leur gendre qu’à cause de ses grands biens... Sur la
fin
de l’acte, le païsan est interrompu par une bergè
r il est peu probable qu’il jouât certaines scènes en pantomime) ; la
fin
de chacun des actes de la comédie, telle qu’elle
. — Publication du divertissement de Chambord chez J. Hotot, à Blois,
fin
de 1869, — Idem chez Ballard, in-4° 1670. — Publi
lle sans être parfaite. M. Lysidas se souvient-il d’une remarque bien
fine
et bien juste que faisait Uranie, le jour où L’Éc
’est son harmonie intérieure, l’accord des moyens qui concourent à sa
fin
, l’union des qualités qui conviennent à son idée.
r ses lunettes dans sa soupe. Je crois aussi que du commencement à la
fin
du monde, des bords de l’Atlantique et du Grand O
race, et Alceste. Boileau définit la comédie : une peinture fidèle et
fine
de caractères296, ne songeant pas ou ne voulant p
tures fantastiques de l’ancienne comédie n’étaient le plus souvent ni
fines
, ni fidèles. Schlegel déclare que l’intrigue est
ec le calme sourire du bon sens triomphant, demandent à la poésie une
fin
pratique en dehors d’elle-même ou l’exposition lo
rofondeur. Monsieur Lysidas. Étude nouvelle par Dorante (suite et
fin
). Chapitre II. — Le goût Laissons-nous aller
interdit-elle pas absolument d’admirer L’École des femmes ? Voilà la
fin
du spectacle. On sort. Eh ! que faites-vous donc
14. Par la culture et l’exercice, elle s’est fait une esthétique plus
fine
que celle des philosophes. Il est un petit nombre
i est pur. Rien de pareil chez Uranie. Son sens moral est resté aussi
fin
, aussi délicat, aussi susceptible que son sens es
tte émotion maîtrisée par la sagesse des sages, en laissant à de plus
fins
que nous la satisfaction de croire qu’ils ont tro
r le beau ne peut être un concept, ni par conséquent le concept d’une
fin
déterminée. Critique du Jugement, § xv. 293.
hilosophe est ici le précurseur de l’école historique. Voyez toute la
fin
du c. ier de la IIIe partie. 304. L’architectur
Molière, de Voltaire et de Lessing. 308. Uranie va rester jusqu’à la
fin
de ce chapitre la personnification de la critique
que peu de temps : nous en marquons le commencement, le progrès et la
fin
. Tandis que ces nouveaux comédiens exerçaient leu
théâtre, le vice soit puni ou la vertu récompensée, il se trouve à la
fin
du compte que le capitaine se met à la place du p
nçais. Quelques personnes de goût nous ont conseillé de joindre, à la
fin
de ce volume, un catalogue chronologique des pièc
logique des pièces du théâtre français, depuis son origine jusqu’à la
fin
de l’année 1665. Nous nous sommes d’autant plus p
point d’intrigue dans les Adelphes et celle de L’École des maris est
fine
, intéressante et comique. Une des femmes de la pi
pour rendre encore plus gens, À la visiter diligents. Comme elle est
fine
, entre les fines, Elle fait jouer des machines. M
ore plus gens, À la visiter diligents. Comme elle est fine, entre les
fines
, Elle fait jouer des machines. Mais pour ne plus
e les lui a laissé ignorer, ne sont pas les mêmes que ceux d’Isabelle
fine
et déliée, qui n’ont d’autre principe que la cont
rique du 13 janvier 1663. Le Roi festoya l’autre jour, La plus
fine
fleur de sa cour, Savoir sa mère, et son épouse,
cer le contraire. L’École des Femmes, enfin Doit passer pour ouvrage
fin
. Permettons à chacun d’en rire ; Défendons à tous
. » Ces vers de M. Despréaux sur L’École des femmes, se trouvent à la
fin
des Œuvres de Molière, mais sans nom d’auteur. No
toutes les nuances et toute la vraisemblance possible, et l’art y est
fin
et caché tout ensemble. Mais comme on trouve diff
aise origine, Est un Troyen nommé Raisin, Pourvu d’esprit, et du plus
fin
, Lequel étant heureux et sage, En la fabrique de
, autant qu’on peut dire, Il en charma notredit sire, Samedi* vers la
fin
du jour, Et plusieurs des grands de la Cour, Qui
ieu était si rempli que la veuve Raisin fit plus de mille écus. » La
fin
de ce récit de Grimarest est assez conforme à cel
e. Et touchant le style enjoué, Plusieurs déjà m’ont avoué, Qu’il est
fin
à son ordinaire, Et d’un singulier caractère ; Le
éralités du roi en 1663 par les soins de M. Colbert. On trouvera à la
fin
du tome VI, édition de 1739, in-12, le remercieme
des plaisirs de l’Île enchantée. *. [Note marginale] 9 mai. a. À la
fin
de la sixième et dernière entrée de ce ballet. «
cine, qui fut aussitôt réduit en cendre par un feu d’artifice qui mit
fin
à cette aventure, et aux divertissements de l’Île
ue de Loret. Cet auteur mourut quelque temps après, c’est-à-dire à la
fin
du mois de mai suivant. a. « [*]L’original de l
de Pierre sous le titre de L’Athée foudroyé, qui fut représentée à la
fin
de 1669, ou au commencement de 1670. « Enfin la T
ice de la morale ou de la religion. Libre et contenant en lui-même sa
fin
, il a, dans son indépendance, son propre sens mor
Il doit connaître tout le néant de ses folies, prévoir d’avance leur
fin
et l’accepter gaiement. De peur d’être entraîné d
lle-même par l’excès de sa folie211. C’est là, c’est dans ces satires
fines
et animées que l’on doit voir la véritable comédi
ance générale et solide, malgré laquelle ils veulent parvenir à leurs
fins
particulières ; Wallenstein ira sombrer contre le
s, entre directement en conversation avec les Athéniens. Une bonhomie
fine
, un abandon mesuré, dans les rapports du poète co
n avare est contradictoire. Il prend pour son souverain bien, pour sa
fin
suprême, l’abstraction morte de la richesse, l’ar
s de la sagesse de ses discours238. Cependant, il conserve jusqu’à la
fin
la foi la plus naïve et la plus sérieuse en sa mi
r insensé, je m’en ris. Mes intentions sont toujours dirigées à bonne
fin
, c’est-à-dire à faire du bien à fous, à ne faire
naïve et sérieuse qu’il garde en lui-même et en sa mission jusqu’à la
fin
. Quant à moi, son disciple, je n’ose, je ne puis
rnelle qui, dans sa domination absolue, brise la justice relative des
fins
et des passions exclusives, parce qu’elle ne peut
n ton âcre et repoussant. Molière, en particulier, dans celles de ses
fines
comédies, qui ne sont nullement du genre purement
le poursuivent avec toute l’ardeur de ce sérieux. Aussi, lorsqu’à la
fin
ils sont déçus ou déconfits par leur faute, ils n
ue pour la lever il faut un deus ex machina. L’homme de justice, à la
fin
, est obligé de dire : Remettez-vo
prend l’abstraction morte de la richesse, l’argent comme tel, pour la
fin
suprême où elle s’arrête. Elle cherche à atteindr
ses moyens, de la ruse, du mensonge, etc., elle ne peut arriver à ses
fins
. Mais, maintenant, si le personnage s’absorbe tou
le tromperoit en lui faisant de fausses confidences, & qui, aussi
fin
que les Daves, les Mascarilles, les Scapins, mett
davantage. Dans quels temps les valets ont-ils été plus éduqués, plus
fins
, plus civilisés, plus élégants, plus familiarisés
elui-ci ? Les Merlins du siecle ne sont-ils pas de toutes les parties
fines
de leur patron, ne les arrangent-ils pas, n’y con
s en mouvement pendant quatre actes, se trouve n’avoir rien fait à la
fin
, puisque les différents ressorts qu’il a employés
te nièce prétentieuses du tout rond Gorgibus ? Plus tard, presqu’à la
fin
de sa vie, et comme s’il avait voulu couronner so
oute sa force, quand il le faut. Y a-t-il rien de plus sensé, de plus
fin
et de plus mordant que ses réparties aux impertin
riane et de Lucile avec leurs amants, suivies de raccommodements sans
fin
. À ce propos de raccommodements, me sera-t-il per
roire à un mouvement sincère de repentir et de tendresse, quand, à la
fin
du cinquième acte, elle dit à Alceste, qui seul n
respect. Et cette Toinette, du Malade imaginaire, quelle heureuse et
fine
nature ! Que de malice et de cœur tout à la fois
laisirs, Dont le penchant de l’âge a sevré leurs désirs. Avec quelle
fine
ironie elle répond aux questions d’Orgon, qui, à
erait-on dans l’intrigue de la pièce, dont les beautés ingénieuses et
fines
ne sont pas également vives et intéressantes ; da
a liberté de dire que Le Misanthrope est une satire plus sage et plus
fine
que celles d’Horace et de Boileau, et pour le moi
défaut dont il a voulu corriger son siècle. Les nuances étaient trop
fines
pour frapper des spectateurs accoutumés à des cou
evront de leurs maîtresses est une adresse de l’auteur qui prépare la
fin
de sa pièce, comme vous le remarquerez dans la su
udicieux. Comme la médisance est un vice, il était nécessaire qu’à la
fin
de la comédie, elle eût quelque sorte de punition
harmants du monde, Leur tour, leur force, est sans seconde, Et serait
fin
qui ferait mieux. Mais je prouve ainsi ma censure
rsonneb : le sort de la scène française en décida autrement. « Sur la
fin
de l’année 1657, Molière avec sa troupe partit po
, sur un théâtre élevé dans la salle des gardes du Vieux Louvre. À la
fin
de la pièce, Molière ayant fait au roi un remerci
ls ont intérêt de cacher leurs sentiments. Ces dernières scènes, plus
fines
et plus piquantes que les premières, se ressemble
Qu’une petite bagatelle : Mais cette bagatelle est d’un esprit si
fin
, Que s’il faut que je vous le die,
Pour voir ce rare objet qu’il aime, (Car, comme on sait, l’amour est
fin
,) Fait si bien qu’il l’enlève enfin, Par une intr
ésies, Du feu sieur Plaute, franc latin, Et que dans un français très
fin
, Son digne successeur Molière, A travesti d’une m
Qui s’y fait par un dialogue, De Mercure avecque la Nuit, Jusqu’à la
fin
de ce déduit, L’aimable enjouement du comique, Et
ssein de traverser l’action, qui semble devoir aller d’elle-même à la
fin
, mais qui néanmoins se trouve interrompue par des
, ne savent de quel parti se ranger. Alors l’action est conduite à sa
fin
, par l’éclat que doit faire nécessairement la tro
t de traits qui n’expriment parfaitement leur véritable image. Sur la
fin
de l’acte le paysan est interrompu par une bergèr
, Que dans Le Médecin forcé *, Et depuis qu’on a commencé, Jusqu’à la
fin
, que l’on fait pouffe, De rire presque l’on s’éto
de Pantalon, devient jaloux de son crédit, et ne néglige, jusqu’à la
fin
de la pièce, aucune occasion de le persécuter.
en mouvement, et l’agitation théâtrale augmente par degrés jusqu’à la
fin
. La raillerie fine de Dorine, dans la scène avec
’agitation théâtrale augmente par degrés jusqu’à la fin. La raillerie
fine
de Dorine, dans la scène avec son maître, nous dé
l’hypocrisie rendait indispensable. L’éloge de Louis XIV, placé à la
fin
de la pièce, dans la bouche de l’Exempt, ne peut
alage*, Molière avait commencé de jouer la comédie en province sur la
fin
de l’année 1645. Ce fut à Bordeaux qu’il fit son
u’il partit pour Lyon. « La troupe du Palais-Royal fut établie sur la
fin
de l’année 1659 (1658), après que les principales
ange qui s’engagèrent avec Molière, ainsi qu’on vient de le voir à la
fin
de la note précédente. b. « [*]On prétend que l
aisément dire où Molière plaça ces vers, puisqu’ils se trouvent à la
fin
du prologue des Amants magnifiques ; voici les de
oliere n’eut pas la force d’assister à la représentation jusques à la
fin
; il falut l’emporter chez lui avant que toute la
l y avoit de le renvoyer, il s’efforça, & joüa presque jusqu’à la
fin
, sans s’appercevoir que son incommodité fût augme
lui réussit. Il semble même qu’à l’égard de ces pensées, & de ces
fines
railleries à quoi tous les Siecles & tous les
ez que ces Dames conviendront que ces pensées sont belles, délicates,
fines
. Il y a des beautez d’esprit qui sont à la mode d
ent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon, l’agreable & le
fin
, Et sans honte à Terence allié Tabarin. Dans ce s
blâmer Moliere de ce qu’il a travaillé non seulement pour les esprits
fins
, & de bon goût, mais aussi pour les gens gros
ar sans cela, ne fût-elle qu’un elixir de pensées rares, ingénieuses,
fines
au souverain point, elle ruïneroit les Acteurs, &
iner à son retour. Molière est sept semaines sans jouer. Ce n’est que
fin
septembre enfin que reprenant courage Malgré la
t brave. En outre, quand il composa Tartuffe, c’est-à-dire ou vers la
fin
de 1663 ou dans les premiers mois de 1664, il éta
ment de la version que Molière appela l’Imposteur ou Panulphe. Dès la
fin
de 1665, donc, Molière remaniait son ouvrage. Il
tre au roi ? Je considère comme probable qu’il lui en lut au moins la
fin
; et cela expliquerait la permission verbale que
u grave, elle est trop relevée pour Dorine. Il y avait une scène à la
fin
du deuxième acte entre Elmire, Cléante et Dorine,
tablie dans l’Église. La « paix de religion » est effectivement de la
fin
de 1668, et Port-Royal, après un semblant de soum
’empêcha pas Bossuet de s’écrier : « La postérité saura peut-être la
fin
de ce comédien qui en jouant le Malade imaginaire
ot. Il était, nous en sommes sûr, fort propre sur soi, vêtu d’étoffes
fines
et chaudes, mais de nuances peu voyantes, noires
ordre pensera et gouvernera pour nous. N’est-ce pas là œuvre pie ? La
fin
, c’est le règne des saints. Cela justifie bien de
e mon infirmité, les tribulations de votre esclave indigne , et cette
fin
de déclaration : Et je vais être enfin, par votr
gamme, depuis le hé hé de bonne compagnie qui salue au passage les
fines
railleries du Sicilien, jusqu’au hou hou à vent
u, qui envoie les saints au désert et les filles au cloître. C’est la
fin
logique des pures croyances ; c’est le langage du
roient lui acquérir le degré de réputation auquel il aspiroit. Sur la
fin
de l’année 1657, Moliere avec sa troupe partit po
r, sur un théatre élevé dans la sale des gardes du vieux louvre. A la
fin
de la piéce, Moliere ayant fait au Roi un remerci
nduire dans une carriére de comique ignorée jusqu’à lui. Une critique
fine
& délicate des mœurs & des ridicules qui
seulement l’intérêt de peres, mais encore celui d’amans ; intérêt si
fin
, si vif, qu’il forme une piéce toute nouvelle, su
e les lui a laissé ignorer, ne sont pas les mêmes que ceux d’Isabelle
fine
& déliée, qui n’ont d’autre principe que la c
défaut dont il a voulu corriger son siécle. Les nuances étoient trop
fines
pour frapper des spectateurs accoûtumés à des cou
mouvement, & l’agitation théatrale augmente par degrés jusqu’à la
fin
. La raillerie fine de Dorine, dans la scéne avec
’agitation théatrale augmente par degrés jusqu’à la fin. La raillerie
fine
de Dorine, dans la scéne avec son maître, nous dé
l’hypocrisie, rendoit indispensable. L’éloge de Louis XIV, placé à la
fin
de la piéce, dans la bouche de l’éxemt, ne peut j
pas encore exposé sur la scéne ; Clitidas, plaisant de cour, est plus
fin
que n’est Moron dans la princesse d’Elide. Un ast
ils ont intérêt de cacher leurs sentimens. Ces derniéres scénes, plus
fines
& plus piquantes que les premiéres, se ressem
béralités du Roi en 1663, par les soins de m. Colbert. On trouve à la
fin
du tome VI de cette édition le remerciement que M
riguée, est un des chef-d’œuvre de Molière ; on y trouve une critique
fine
et délicate des mœurs et des ridicules de son tem
ancienne et moderne. L’intrigue n’est pas vive, mais les nuances sont
fines
. Le Médecin malgré lui , comédie en 3 actes et
de Palais royal, le 10 juin 1667. Petite comédie d’intrigue, dialogue
fin
, et peinture vive de l’amour. Le Tartuffe , ou
les caractères en sont aussi variés que vrais, le dialogue également
fin
et naturel. Amphitrion , comédie en trois actes
, à gauche, suivant la fantaisie du moment. Tel fut Louis XIV vers la
fin
de 1676. Qu’on se figure, dans la position de mad
ondé, le 21 avril, et prend cette ville le 28. Il prend Bouchain à la
fin
de juin, et quitte l’armée, le 4 juillet, pour re
prie de ne pas vous laisser surprendre par l’abbé, qui est intrigant,
fin
et adroit119. » Madame de Montespan, toute conte
s ; il avait osé poursuivre le roi qui lui avait échappé. Il fit à la
fin
cesser tout commerce, et acheva de faire couronne
elle s’adore, elle est la comédie universelle, elle est Je drame sans
fin
; elle a l’Univers pour témoin, et le genre humai
ce, ou quelque belle douée de sa voix, ou bien ornée de cet esprit si
fin
, ou tout au moins en passe de conquérir un peu de
nard à ma main ! « Ingrats qui me reprochez d’être restée, jusqu’à la
fin
, un grand artiste, lorsque tant d’autres, après l
n aide Molière et Marivaux, ses deux amis fidèles, fidèles jusqu’à la
fin
; celui-ci austère, sérieux, solennel, même dans
dramatique et par conséquent, le plus sincère et le plus vrai, de la
fin
du xviiie siècle. Ce n’était point par l’action,
ouveraine, sur les débris des petits salons. Alors vraiment arriva la
fin
du monde, et nul depuis ce temps, n’a osé reprend
: pas une d’elles n’a voulu se souvenir que la causerie, une causerie
fine
, agaçante, spirituelle, est surtout le partage de
ais ; adieu à ce beau geste que j’aimais tant ; adieu à cet esprit si
fin
qui s’en va d’où il est venu, qui retourne à Moli
étique, elle n’avait qu’une seule crainte, c’était d’être prise, à la
fin
de ses jours, par une de ces longues agonies qui
lerie, innocence, bel esprit, moquerie pleine de verve, causerie sans
fin
, gracieuse façon de tout dire, profond sentiment,
surtout pour les reines de théâtre. Tout pour elles d’abord, et à la
fin
, rien pour elles ! Hier encore la flatterie n’ava
n enfance et de sa jeunesse, mademoiselle Mars l’a touchée jusqu’à la
fin
de ses jours. À chaque trimestre, elle attestait
lière se crut obligé de reprendre le même sujet de comédie jusqu’à la
fin
de sa vie287. Il continua la guerre à la préciosi
vous montre Henriette, pleine de bon sens, de timidité, de grâce, de
fines
reparties ; sa droiture d’esprit lui suffit pour
quand nous nous mettons quelque chose à la tête, Que l’homme le plus
fin
ne soit pas une bête ?. Toutes ces gardes-là sont
succès : Pour moi, j’y portai trente sous : Mais, oyant leurs
fines
paroles. J’en ris pour plus de dix pistoles.
ans la balance met Aristote et Cotin ; Puis, d’une main encor plus
fine
et plus habile. Pèse sans passion Chapelain et
ide. Molière a été de son vivant apprécié à sa juste valeur. Toute la
fin
du XVIIe siècle lui est encore favorable. Ses cam
en 1700, assister jusqu’au bout à une représentation de L’Avare. À la
fin
de sa vie, son goût pour Molière s’étant réveillé
e même trop mâle et trop simple. Il leur fallait de l’ingénieux et du
fin
, du compassé et de l’élégant. Ce qui leur convena
Angleterre. Il fut traduit et imprimé à Francfort dès 1670. Avant la
fin
du XVIIe siècle, deux traductions plus complètes
tre. L’Italie eut aussi les œuvres de Molière dans sa langue avant la
fin
du XVIIe siècle. La remarquable traduction de Nic
le goût des représentations scéniques aurait été et le principe et la
fin
. Jean-Baptiste Poquelin, en se faisant comédien,
n pendant trois ans. Puis, la salle ne pouvant être prête que vers la
fin
de l’année, les nouveaux comédiens partirent pour
es jeunes acteurs auraient donc établi leurs tréteaux à Rouen vers la
fin
de cette foire renommée. On manque d’autres rense
de leur séjour dans la capitale normande. Ils étaient de retour à la
fin
de décembre. Le 28 de ce mois, ils purent s’adres
efforts qu’il lui en resta une sorte de hoquet qu’il garda jusqu’à la
fin
de ses jours. On aurait droit de s’étonner que le
fortune ennemie ; il demeura au Jeu de paume des Mestayers jusqu’à la
fin
de l’année 1644. Est-ce à l’année 1644 ou à 1645
t à cette dernière date retiré au cloître des Carmes, et proche de sa
fin
; il mourut quatre mois après12. Leur séjour à Al
désormais les voir presque tous les ans remplir le même emploi. A la
fin
de l’année 1651 et au commencement de 1652, Moliè
déjà distincte ; et désormais elle ne fera plus que grandir. Vers la
fin
de juillet de cette même année 1653, se passaient
Pézenas. Il y demeura en effet pendant quelques mois ; puis, vers la
fin
de l’année, il se rendit à Paris : il y vint épou
; pendant ce temps-là je ne perdais pas de vue Boissat lui-même. À la
fin
, Georges de Musy, premier président de la cour de
t de Montpellier peu après la clôture des états. Elle est à Lyon à la
fin
d’avril 1655. Un acte de mariage entre deux coméd
emontons le cours du temps : un mois passé à Avignon nous ramène à la
fin
de septembre ; trois mois à Lyon, à la fin de jui
à Avignon nous ramène à la fin de septembre ; trois mois à Lyon, à la
fin
de juin. On peut bien mettre une quinzaine de jou
soucy aurait rejoint à Lyon les comédiens, qui y étaient arrivés à la
fin
d’avril. Cela laisse un intervalle de six semaine
ainsi que toute la troupe, à Marseillan et ramené à Pézenas. » À la
fin
de la session des états, qui furent clos le 22 fé
assignation donnée par le prince de Conti sur le fond des étapes à la
fin
de la session de 1654-1655, en fournissaient le m
la convocation et la direction des états. Entre ce 17 novembre et la
fin
de l’année, Molière fit représenter sa deuxième c
ue la somme à verser aux pauvres était un peu plus élevée. » Vers la
fin
de l’année, les comédiens redescendirent dans le
r un acte passé devant M. Abraham Moisson et Claude Gruchet, prend la
fin
du bail du jeu de paume des Marais, à Paris, pour
Paris, pour dix-huit mois, du 1er octobre 1658 au 1er avril 1660. La
fin
du bail était cédée par messire Louis Redhon de T
té et l’ardeur que lui donnait la conscience de son génie. C’était la
fin
de son exil, le terme de son apprentissage, le pr
les plus petits détails, ainsi que nous le voyons dans un livre de la
fin
du siècle : L’art de prononcer parfaitement la la
roi et la cour partirent pour Lyon, où ils devaient rester jusqu’à la
fin
du mois de janvier 1659. Molière s’arrangea imméd
sages que fous ! Pour moi, j’y portai trente sous : Mais, oyant leurs
fines
paroles, J’en ris pour plus de dix pistoles61. «
a été trouvé partout le plus beau morceau de l’ouvrage ». C’était une
fine
et heureuse flatterie. On comprend combien ce bru
vembre, et eurent quarante-deux représentations consécutives. Vers la
fin
de ce mois, le 20 novembre 1661, Molière tint sur
elin et son fils à survivance ». Molière garda cette place jusqu’à la
fin
de ses jours, et ne manqua pas, dit La Grange, de
la plus terrible affaire Qu’eut jamais le grand Jupiter. Pour mettre
fin
à cette guerre, Il fut obligé de quitter Le soin
ns l’acte de renonciation du 10 mars 1643. Née par conséquent ou à la
fin
de 1642 ou tout au commencement de 1643, elle ava
(9 janvier 1670) lui donne quatre-vingts ans à cette date. Donc à la
fin
de 1642, au moment où elle donna le jour à Armand
er ? Le registre de La Grange offre les deux mentions que voici. À la
fin
de l’année théâtrale 1660-1661, La Grange inscrit
nsinuer dans les cœurs. — Pour de l’esprit… — Ah ! Elle en a, du plus
fin
, du plus délicat. — Sa conversation… — Sa convers
écuyer, sieur de Molière ». Elle pouvait avoir de l’esprit, « du plus
fin
et du plus délicat » ; mais ce n’était ni un cœur
railleur qui sera dupe, l’homme des vieux contes, disant avec un air
fin
: Je sais les tours rusés et les subtiles trames
rien et avait beaucoup vu, lu et relu de diverses histoires ; mais la
fin
principale à quoi tendait son exercice et tout so
et ès personnes de leurs maris, exécutées. Et ce fit-il tendant à la
fin
d’être mieux prémuni et sur sa garde, si sa femme
culier pour la nature féminine, et, avec cela, passionné. Lorsqu’à la
fin
la jeune proie qu’il se réservait lui échappe, Ar
overses, les anecdotes, les allusions, tout cela formait un spectacle
fin
, distingué, aimable, qui nous ravit encore aujour
était l’objet. Représenté sur le théâtre de l’hôtel de Bourgogne à la
fin
de septembre ou au commencement d’octobre 1653, L
nter la palinodie pour complaire à leurs maîtresses, de sorte qu’à la
fin
tout le monde est d’accord contre Molière. La cho
prologue où Molière est loué au commencement et un peu critiqué à la
fin
. Auger remarque justement qu’aucune pièce de théâ
D’après La Gazette il serait revenu de Villers-Cotterets le 24. À la
fin
de novembre de cette même année 1664, Molière et
re, font parfois presque oublier la scélératesse, conserve jusqu’à la
fin
une sorte de prestige. C’est qu’en réalité cela s
l’aurais cru. Il y a un homme sous ses guenilles. » C’est dans cette
fin
de scène que la note morale résonne, la note mora
nir, toutes les impertinences du monde ? Et il prétend justifier à la
fin
sa comédie si pleine de blasphèmes, à la faveur d
ance que l’hérésie est aux abois et qu’elle tire continuellement à sa
fin
; ce grand roi, qui n’a point donné de relâche, n
fumer, ce qui interrompit le dialogue pendant quelques instants. À la
fin
de la comédie, un page couvert d’une livrée jaune
elle-ci, une tendresse passionnée ; il en fut toujours, et jusqu’à la
fin
, profondément amoureux. La situation se dessinant
un à la suite de l’autre ; d’un côté, la vue la plus haute et la plus
fine
de la nature humaine, l’élévation de la pensée, l
deuil de la reine mère fut terminé, les fêtes recommencèrent. Vers la
fin
de 1666, Louis XIV voulut donner à sa cour le gra
fois, qu’il y eut une nouvelle éclipse du comédien, car Robinet, à la
fin
de sa lettre du 31 décembre de la même année, écr
e, Que dans Le Médecin forcé ; Et, depuis qu’on a commencé Jusqu’à la
fin
que l’on fait pouffe. De rire presque l’on s’étou
joua le soir Le Tartuffe ou l’Imposteur. Molière était parvenu à ses
fins
. Il avait obtenu l’autorisation sollicitée depuis
on, qui a le plus de tenue et de gravité dans la conduite. Jusqu’à la
fin
de sa vie, Molière affectionna ce séjour d’Auteui
ux et faisant des efforts de poitrine qui semblaient le menacer d’une
fin
prochaine. Molière, assez froid naturellement, fi
douleur je succombe. À l’extrême chagrin par ce trépas réduit. Je mis
fin
à ces vers en février le dix-huit. Molière expir
ce proportionne sa vive douleur au plaisir que tu lui as donné par la
fine
et sage plaisanterie. »C’est une faible et lâche
olière, Qui de malade imaginaire Le devint véritablement. Et comme la
fin
de la vie Se rapporte au commencement. Ce pauvre
par une ample satire. Il me figurait Élomire Qui ne trouva dedans sa
fin
Ni Dieu, ni loi, ni médecin ; Car son Malade imag
tenant un tonnelet de taffetas vert avec une petite dentelle d’argent
fin
, une chemisette de même taffetas, deux cuissards
les festons, la ceinture et un jupon, et un bonnet brodé or et argent
fin
. L’habit de la représentation de Tartuffe (rôle d
se, sabre et la sangle, ledit juste-au-corps garni de galons d’argent
fin
, une paire de gants de cerf, une paire de bas à b
rretières, bas, festons, fraise et manchettes, le tout garni d’argent
fin
. Un habit du Sicilien, les chausses et manteau de
ous quelque temps cause un fâcheux murmure, Un tour de ville y mettra
fin
, Et vous rirez de l’aventure. C’était Mlle Moliè
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le
fin
, Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans ce s
n lui le bouffon, pour lequel on le blâme de quitter l’agréable et le
fin
, qu’il traitait en son lieu mieux que Térence mêm
L’Amarillis de Rotrou par les comédiens de l’hôtel de Bourgogne à la
fin
de 1652, on lit ces vers : Venez en foule, appor
nnage, Et que ladite anthropophage Occit de son trait meurtrier, À la
fin
, mercredi dernier ; Ayant paru bonne chrétienne A
ne avoue qu’au moins dans les pièces de son mari elle fut, jusqu’à la
fin
de ses jours, inimitable. Ce furent sous ses trai
-Thomas-du-Louvre151. »Sa part fut continuée à Mlle Duparc jusqu’à la
fin
de l’année théâtrale. MADEMOISELLE DUPARC M
n grand rôle dans l’histoire anecdotique de la comédie française à la
fin
du XVIIe siècle et pendant le XVIIIe. HUBERT
res, dont quatre d’acteurs français et deux d’acteurs étrangers. À la
fin
du siècle il n’en subsistait plus qu’un seul (à n
r l’autre et finit par supplanter le nom de Mademoiselle qui, vers la
fin
du XVIIIe siècle, ne s’appliquait plus qu’aux fem
bien. Mmela duchesse de Bourgogne le pressa fort de rester jusqu’à la
fin
, mais il ne put s’y résoudre. » 177. Avocat alo
oliere n’eut pas la force d’assister à la representation jusques à la
fin
; il falut l’emporter chez lui avant que toute la
l y avoit de le renvoyer, il s’efforça, & joüa presque jusqu’à la
fin
, sans s’appercevoir que son incommodité fût augme
lui réüssit. Il semble même qu’à l’égard de ces pensées, & de ces
fines
railleries à quoi tous les siecles & tous les
ez que ces Dames conviendront que ces pensées sont belles, délicates,
fines
. Il y a des beautez d’esprit qui sont à la mode d
me comique qui elle-même peut-être a été inspirée par cette légère et
fine
ironie dont Gassendi a su animer la plupart de se
appétibilité ou dans la convenance ; si le bien se réciproque avec la
fin
, si la fin nous peut émouvoir par son être réel o
é ou dans la convenance ; si le bien se réciproque avec la fin, si la
fin
nous peut émouvoir par son être réel ou par son ê
a pâle est aux jasmins en blancheur comparable; La noire à faire peur
fine
brune adorable; La maigre a de la taille et de la
, c’est-à-dire, qu’il prend l’image pour la réalité, le moyen pour la
fin
, et une privation pour une jouissance. N’est-ce p
ici aux principes que j’ai rappelés, à l’occasion de L’Avare, sur la
fin
et les moyens de la comédie, en ce qui regarde la
s divertissements, et même, dit-on, fait les paroles italiennes de la
fin
du premier acte, chanta le rôle d’un des deux méd
farce. Pourquoi ? Ce n’est pas parce que la plaisanterie y est moins
fine
, la moquerie moins délicate et la gaîté plus facé
els ; aux mots de caractère et de situation, il substitua les phrases
fines
et recherchées ; aux saillies d’une gaîté vive et
L’astrologie judiciaire, décriée, mais non tout à fait détruite, à la
fin
du dix-septième siècle, comptait encore quelques
ourceaugnac devant Sa Majesté, et y réussit à merveille, surtout à la
fin
de la pièce, quand les apothicaires, armés de leu
ui le joua. Ensuite, il est certain que, dans le divertissement de la
fin
du premier acte, et non pas de la fin de la pièce
e, dans le divertissement de la fin du premier acte, et non pas de la
fin
de la pièce, Lulli représenta l’un des deux médec
françaises les plus dévastées par le vice ; et il est bien près de sa
fin
, quand cette dernière trace de la vertu oubliée,
cendre cette pente, insensible d’abord, qui devient un précipice à la
fin
: Dans le crime il suffit qu’une fois on débute
06, tome III, p. 143). 37. D’ailleurs don Juan se fait Tartuffe à la
fin
, et il est incrédule en médecine : c’était s’atti
I, V. 102. Id., act. IV, sc. VI. 103. Plaute, Aulularia, v. 637 ad
fin
. 104. L’Avare, act. II, sc. VI. 105. Id., act
schereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, à la
fin
. 123. Voir Loret, Lettre du 6 février 1655. — À
aniere que rien ne s’y démente, & que le spectateur y trouve à la
fin
comme au premier acte les personnages introduits,
ement de la tragédie dans son principe, dans ses moyens & dans sa
fin
. La sensibilité humaine est le principe d’où part
’horreur des grands crimes & l’amour des sublimes vertus sont les
fins
qu’elle se propose. La malice naturelle aux homme
es pointes du diamant à polir le diamant même. C’est là l’objet ou la
fin
de la comédie. Mal-à-propos l’a-t-on distinguée
omédie d’une action toute pathétique, & d’où il écarte jusqu’à la
fin
avec une précaution marquée le seul personnage qu
Plaute est plus vif, plus gai, plus fort, plus varié ; Terence, plus
fin
, plus vrai, plus pur, plus élégant : l’un a l’ava
é Joüa les Saints, la Vierge, & Dieu par piété. Art poétiq. La
fin
du regne de Charles V. ayant vû naître le chant r
p; dernierement à Paris, avec le nombre des personnages qui sont à la
fin
dudit livre, & font en nombre cxlj. 1541. in-
urs comédies, nonobstant les défenses de la cour, furent renvoyés par
fin
de non-recevoir, & défenses à eux faites de p
n ; au contraire il assaisonna ses comédies d’une plaisanterie douce,
fine
, délicate & bienséante. La licence ayant été
Atticisme, c’est-à-dire de ce qu’il y a de plus délicat & de plus
fin
chez les Grecs, soit dans le tour des pensées, so
lais-Royal ; inde iræ, de là les douleurs de Racine. Qu’est-ce que la
fin
de sa préface ? Un coup de sifflet, que dis-je ?
eux se trouve un sommaire, suivi de jugements, d’anecdotes, etc. À la
fin
du volume viennent des Observations du traducteur
nt à une dame. J’ai donc été obligé de la remplacer. »5 Presqu’à la
fin
de la même scène, Eraste, s’adressant à Marinette
a su singulièrement améliorer la dernière réplique de Gros-René à la
fin
de la vie scène du Ier acte ; qu’on en juge : R
ces trahisons légères, c’est une pointe d’originalité comique, moins
fine
peut-être mais non moins amusante que celle du po
nt avoir vu une traduction hollandaise en vers de George Dandin de la
fin
du dix-septième siècle, où Angélique, dans une lo
re destination est bien connue des collectionneurs : il existait à la
fin
du xviie siècle un fabricant qui se servait spéc
ce petit nombre de pièces annoncées, il en est, comme Le Chevalier de
fin
matois, comme La Tolédane ou Ce l’est, ce ne l’es
dignitaire, qui seul avait qualité pour mener cette exécution à bonne
fin
, fut très probablement poussé à cette mesure disc
ensuelle, tome II, nº 17, 1er août 1880, p. 131-138. II25 À la
fin
d’un article où j’examinais la valeur d’une anecd
te à cet égard, c’est que Molière, qui aurait pu si facilement mettre
fin
aux réclamations d’une partie du clergé, en faisa
ue dans les éditions de 1693 et 1710 ; la gravure est d’un trait plus
fin
; le décor est un peu différent : le plafond est
éguisent pour plaire à deux femmes, et que leurs maîtres battent à la
fin
. Il y a seulement cette petite différence que dan
père en mari, et la jeune première ou l’ingénue en femme. Jusqu’à la
fin
du dernier siècle, on ne voyait guère sur la scèn
ittérale de L’Étourdi. L’héroïne, Mme Millicent (Clélie), épouse à la
fin
le valet Warner (Mascarille), qui est le parent d
scarille et de Jodelet. Thomas Shadwell, l’auteur dramatique, et à la
fin
de sa vie le poète-lauréat de Guillaume III, qui
u reste du passage, que vous connaissez bien et qui est l’un des plus
fins
morceaux du Maître. Rien de charmant comme le déd
e. » Et il se lance dans des considérations dignes de La Bruyère, ce
fin
esprit si bien fait pour s’entendre avec Molière,
rouver ces imitations, qui font, chez nous, les délices des revues de
fin
d’année ? Quatre ans plus tôt déjà, et avant d’at
travailler à sa machine, et j’espère qu’elle paraîtra à Paris vers la
fin
de janvier. » Ainsi, dans les calculs des deux C
-être à cause de l’absence de la Cour, partie de Fontainebleau dès la
fin
de juillet 1659, La Toison d’or ne fut pas représ
prince de Conti aux États du Languedoc, était rentrée à Lyon, vers la
fin
de l’année 1653, avec le prince qu’elle accompagn
Molière amusait, avec ses Précieuses ridicules, les spectateurs, plus
fins
et plus lettrés, du théâtre du Petit-Bourbon. Apr
farce de Lustucru, qui pourrait bien en être originaire. C’était à la
fin
de décembre 1857. J’avais quitté Rome pour m’emba
res « Et que c’est un chef-d’œuvre enfin, « Oui, sans en faire ici le
fin
, « Je sens que mon cœur est la proie « Plus de la
1630. 24. Ces affiches selon l’usage du temps, qui a duré jusqu’à la
fin
du xviiie siècle, sont entourées d’une bordure r
ner à l’irréligion, dont les semences sont répandues d’une manière si
fine
et si cachée dans la plupart de ses autres pièces
vent grimacer ses figures ; Quitté pour le bouffon l’agréable et le
fin
, Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans
connaître. Il dit qu’il n’a pas prétendu faire dans Scapin une satire
fine
comme dans Le Misanthrope. Scapin, selon lui, est
eigneur ce même baron de Florac, déjà nommé. Or, qu’advint-il vers la
fin
de 1655, à la date où le prince de Conti fit à Mo
stible instinct me porte à les railler. C’est dans le sang ! Et, à la
fin
des fins, ma foi ! je sens qu’il sied maintenant
nstinct me porte à les railler. C’est dans le sang ! Et, à la fin des
fins
, ma foi ! je sens qu’il sied maintenant de clore
travers de la mer soit passé par un trou, Ainsi qu’un godenot que, de
fine
manière, Brioché fait sortir hors de sa gibecière
près de Célie, à n’en faire qu’un marchand, qui avait vu ce fils à la
fin
de son esclavage ; et nous venons de voir qu’un m
Parasite qui ont donné à Molière l’idée de cette substitution ? A la
fin
de cet acte III (scène 9) de l’Étourdi, Trufaldin
’en un lieu, qu’en un temps, un seul fait accompli Tienne, jusqu’à la
fin
, le théâtre rempli. En effet, on ne peut méconna
archie. Revenons à l’état historique de la langue et des lettres à la
fin
de la 6e période du xviie siècle. La Bruyère qui
permettre de dire : qu’une poésie est bien châtiée ; qu’un souris est
fin
, qu’un souris est amer ; qu’un mauvais poète est
e qu’il est Molière ; on ne pense pas qu’il ait de commencement ni de
fin
; et où est-il ? Molière est partout. Quelquefois
la chambre qu’on en reconnaît le maître, c’est Lulli. Aussi, vers la
fin
de la vie de Molière, le Florentin l’emportera-t-
— point de bonne chère, point de feu d’artifice, point de roi ! A la
fin
, lorsque le valet annoncera : Monsieur, ce sont
ù une fantasmagorie est encadrée, — les personnages de celle-ci, à la
fin
, jouant une tragédie qui forme une troisième acti
il ne traite pas le bouffon avec moins de génie que l’agréable et le
fin
231. Au point de vue de l’art, on ne doit pas plu
qui, au péril de ses bras et de ses épaules, sait mettre noblement à
fin
les entreprises les plus difficiles ; et qui, tel
aison, dans toutes les entreprises de son infâme industrie ; et, à la
fin
, on est si bien pris au charme de cette joyeuse c
e invraisemblance qui est une faute ; c’est que Valère, présenté à la
fin
sous les plus nobles couleurs264, et montré dès l
ppétibilité ou dans la convenance, — si le bien se réciproque avec la
fin
, — si la fin nous peut émouvoir par son être réel
u dans la convenance, — si le bien se réciproque avec la fin, — si la
fin
nous peut émouvoir par son être réel, ou par son
ai jamais donné de quinquina » (remède nouveau alors) (16), et sur la
fin
de sa vie, dans un moment d’enthousiasme, entonne
l les croyait tous faux, il ne demandait qu’une égale tolérance et la
fin
de toutes les disputes. Son caractère était aimab
le existera, elle qui l’a tant fait souffrir, il l’a aimée jusqu’à sa
fin
: bien plus, il s’est sacrifié pour elle. Malade,
plus à l’abri de tout soupçon que son adversaire. (Voir la note de la
fin
sur Gassendi.) 32. Les Femmes savantes, acte I,
, p. 257, 325. 37. Id., p. 271. 38. Voir sur Gassendi la note à la
fin
. 39. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 4
f. 7 reprend avec « Il y a des arts » à la p. 133 et va jusqu’à la
fin
de la p. 134 de mon livre : « L’empereur par Can
11 verso l’introduction : « Si vous lisez une comédie. » jusqu’à la
fin
« Passons à l’examen détaillé de la pièce. » Ce
e La Harpe d’Auger. » V — F. non numéroté [20 bis] Manuscrit.
Fin
du Commentaire sur George Dandin. 8 9bre à Milan
revenant à une heure du jardin du Roy. » Au recto de la reliure à la
fin
: Volume retrouvé le 24 avril 1827 rue de Grenel
e volume de M. Jean de Mitty sur Napoléon 58. L’ouvrage contient à la
fin
des notes sommaires extraites des papiers de Gren
lus de grâce. La nuance est bien placée, mais elle est mal peinte. La
fin
de cet acte est froide. [Acte IV, scène premiè
ans le peuple. Pourquoi Molière n’a-t-il pas mis toutes ces remarques
fines
, ces portraits qui supposent de l’observation et
charmé de le connoître ; Et vos ravissements ne prendroient point de
fin
. C’est un homme… qui… ah !… un homme… un homme en
le seul qu’il coure dans la pièce. (Voyez la réflexion générale à la
fin
de la pièce.) Orgon Vite, quittons la pl
e voilà traître !… Orgon outre qu’il est un sot, est une âme basse.
fin
des notes sur le Tartuffe. Réflexions généra
’il rencontre. Orgon est un sot et une âme étroite. Tartuffe un homme
fin
, un bon comédien qui ne peut se défaire en parlan
n instant auparavant. Celui-ci trouverait moyen de se retourner. À la
fin
, l’évêque qui a assez d’esprit, serait convaincu
ire mes plaintes au père et à la mère, et les rendre témoins, à telle
fin
que de raison, des sujets de chagrin et de ressen
e leur fille me donne. Mais les voici l’un et l’autre fort à propos.
Fin
de la Ire phrase comique (terme de musique). Avan
vous laisse sur la bonne bouche. Sottise de Lubin qui se croit bien
fin
. et dont on rirait si ce rôle était bien joué.
Didot. An VII, 1799, 8 vol. in-18. 10. Molière, V, feuillets de la
fin
. 11. Je n’ai pas besoin de rappeler que Shakespe
bien Antonio. 12. The Merchant of Venice. 13. Molière, II , à la
fin
14. Cette note est tirée de la dernière feuille
e, Ibid. 20. Grenoble, R.. 5896. 21. Molière, II ; feuillets de la
fin
. 22. Molière. I. p. 72. 23. Tiré des feuillets
ets de la fin. 22. Molière. I. p. 72. 23. Tiré des feuillets de la
fin
du vol. I, du Molière. 24. Répétition de Stendha
ournal, p. 228). 27. Cette note est tirée des feuillets blancs de la
fin
du vol. VI, du Molière. 28. Cette note est tirée
, « De la Mode », p. 443.) 74. Avec la comtesse Simonetta. 75. À la
fin
du vol. IV du Molière. — Dans le vol. VI, p. 5, d
e : la vieille servante et l’élégante comédienne ; ce gros rire et ce
fin
sourire, ces deux bonnes mains, et ces deux mains
s rire et ce fin sourire, ces deux bonnes mains, et ces deux mains si
fines
; ce tablier et ces dentelles ; vous aurez, en un
in, un esprit fort, un hypocrite ; il ne devient un hypocrite qu’à la
fin
du drame, et quand il faut absolument pousser jus
aphie ardente de ce fatal Don Juan. C’est que, pour suivre jusqu’à la
fin
ce héros vagabond, Molière a pris tout simplement
Bourgeois gentilhomme ou Le Malade imaginaire. Au contraire, c’est la
fine
fleur des grands seigneurs pour l’esprit, pour le
e et sépulcrale, et que voulait-il que nous fissions de ce drame sans
fin
? Rétrécissons cette comédie et la mettons en ver
es duchesses et les bergères ! Tout comme les autres arrivent à leurs
fins
amoureuses, par le dévouement, par l’abnégation,
ime quelquefois, à force de probité, de croyance et de bon sens. À la
fin
donc ce beau drame était retrouvé tout entier ! À
n sens. À la fin donc ce beau drame était retrouvé tout entier ! À la
fin
il se montrait à nous dans toute sa sévère et som
l se montrait à nous dans toute sa sévère et sombre physionomie. À la
fin
, nous le tenions tel qu’il est sorti des mains ou
Juan ; il le connaît trop bien pour nous le montrer occupé jusqu’à la
fin
de ces billevesées. Don Juan veut, à cette heure,
d de cette gaieté ; c’est qu’une lamentation immense a traversé, sans
fin
et sans cesse cette raillerie de l’esprit, cet or
d’esprit ! M. Bulwer a tant d’invention ! C’est un homme d’un goût si
fin
et si habile ce M. Bulwer ! Donc Chremyle, citoye
exercices, au respect, à la politesse proportionnée et délicate, à la
fine
et honnête galanterie », parce que, sans le poète
touré dans sa vie ! À peine mort, il devint le sujet de louanges sans
fin
… le héros de mille apothéoses ! — On a même impri
ux souvenirs poétiques du grand siècle, nous ramènent aux drames sans
fin
dont les amours de Louis XIV ont été le sujet, et
austérité de la vie qu’elle est prête d’embrasser, elle en regarde la
fin
avec une consolation qui ne lui permet pas d’en c
elle jouit seule, a beau paraître deux fois, au commencement et à la
fin
du drame, rien n’empêche qu’elle ne soit un perso
eau et de son front, pour la Melpomène antique, la Comédie légère, au
fin
sourire, au gai regard, aux bras charmants, à la
t & le personnage qui sont d’intelligence pour parvenir à la même
fin
; mais la piece est conçue de façon qu’il est trè
s avec tant de jugement, que la premiere suffiroit pour arriver à ses
fins
, s’il n’étoit croisé par les étourderies de son m
. . . . . . . . Pourquoi la ruse de l’intrigante nous paroît-elle si
fine
? Pourquoi trouvons-nous si sublimes les cinq à s
t une excuse de plus aux yeux du spectateur, qui ne rencontre qu’à la
fin
l’objection timide de Sosie : Le seigneur Jupite
lité de tout cela par l’Egyptienne et les Egyptiens qui chantent à la
fin
de la Pastorale : Croyez-moi, hâtons-nous, ma Sy
deux cœurs s’aiment bien, Tout le reste n’est rien637. À la
fin
de la pièce, une foule de masques viennent se joi
imes et Réflexions sur la Comédie : « La postérité saura peut-être la
fin
de ce poète comédien, qui, en jouant son Malade i
rands flots ; quelquefois elle s’insinue comme goutte à goutte : à la
fin
on n’en est pas moins submergé. » 654. Voir plu
nie est dépourvue de gaieté comique. L’ironie la plus légère, la plus
fine
, fût-ce celle de Voltaire, est toujours grave au
re de Regnard, un pauvre vieillard, accablé d’infirmités, touche à sa
fin
; des scélérats le tourmentent pour son héritage,
spectateur de la tragédie, je veux dire en voulant arrêter jusqu’à la
fin
ses yeux sur un objet unique, sans incidents, san
tère hautement philosophique. Si l’on soutient enfin qu’elle est plus
fine
dans la peinture d’un caractère, plus habile dans
un éblouissement ». Cela est d’un comique franc et en même temps très
fin
. Mais la franchise du comique de Molière est le p
ci la pièce est interrompue. Mais les arguments nous en apprennent la
fin
. L’oncle se retire devant le neveu, et le maître
péra buffa des Italiens. Molière, né pour la farce, a voulu faire une
fine
comédie ; il a produit une œuvre bâtarde, qui n’e
e une fine comédie ; il a produit une œuvre bâtarde, qui n’est ni une
fine
comédie, ni une farce. Oh ! sans doute, le combat
tion du monde que l’on peut animer un drame et le rendre vivant. À la
fin
de ces discussions, qui n’ont pas plus de raison
la rabaisser. — Septième leçon. 46. Le bouffon privilégié, tantôt
fin
et spirituel, tantôt épais et balourd, a hérité q
de la finesse du comique d’observation, ce sont les discussions sans
fin
d’Alceste et de Philinte sur la conduite à tenir
e je ne cessai point d’accoller ma catin, Jusques à serre-nuit dès le
fin
grand matin. Lors Mopse me voyant, Mopse qui par
s les plus tendres, & brise ses liens. Mon Lecteur verra avant la
fin
de cet article la raison pour laquelle je lui rap
ût dit qu’il observoit un phénomene : voilà, dit-il, étant près de sa
fin
, la premiere mort que je vois. Son Médecin l’ayan
très-intelligents, qui font peu de chose, et s’amusent tant, qu’à la
fin
, ce peu de chose est un chef-d’œuvre. On étudiait
n’avait pas trouvé toute sa comédie, il en possédait le langage. À la
fin
, quand pendant trois grands mois, L’Étourdi eut c
s qu’il a rencontré Alceste et Célimène ? On en dissertera jusqu’à la
fin
du monde. Avec quel courage il attaquait des cara
de concert, et pour qui la France entière chantait sans cesse et sans
fin
: Domine salvum fac regem ! Mais, le poète en pr
et les douleurs contenus dans cet étroit espace. Il lutta jusqu’à la
fin
, passant d’une torture à l’autre, et quand enfin,
aité plus mal, certes, que Luther ou Calvin : « La postérité saura la
fin
de ce poète-comédien qui, en jouant son Malade im
Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris À la
fin
de l’année où l’on représenta La Rosaure, une tro
sûr de son fait et qu’elle aime Fabio. Lelio veut le nier, mais à la
fin
elle avoue. Elle raconte alors comment, ayant obs
ne équivoque licencieuse. Une grande gaieté se répand sur toute cette
fin
de pièce. Fabio en est fort surpris, et s’étonne
engeance des Marquis 42 ; il n’osait les jouer autrement, mais à la
fin
il nous a fait voir qu’il avait le visage assez p
qui représente Molière adressant au public le compliment d’usage à la
fin
du spectacle. On trouvera sans doute que la physi
our l’armée de Flandre. Mais ceci un fait généralement reconnu que la
fin
de la campagne le ramena dans les bras de madame
urs. La rupture et la lettre qui l’annonce paraissent donc être de la
fin
d’avril ou du commencement de mai 1671.
dans la même situation, depuis le commencement d’une piece jusqu’à la
fin
, n’est pas moins ridicule dans la comédie, que l’
esire continuellement quelque chose depuis le commencement jusqu’à la
fin
, comme dans Pourceaugnac, & je permettrai alo
e l’attention du spectateur, & l’enchaîner à son sujet jusqu’à la
fin
. J’ai dit plus haut que Moliere est le plus intér
qu’en le nommant & en déclarant qu’il est le pere d’Agnès, on met
fin
à tous les débats d’Arnolphe & d’Horace. Quel
rophe principale, que ce qui fait le dénouement, doit être placé à la
fin
de la piece ; cependant ce que nous venons de voi
ne sont immortels que parcequ’ils ont des plaisirs qui n’ont point de
fin
; & je suis sûr aussi que je ne saurois manqu
science du choix ou de la mesure). Ne soyons donc pas surpris que la
fine
et mystique délicatesse de Fénelon n’ait pas goût
nes ingénieuses dont chacune semblerait une satire de Boileau, si une
fine
logique ne les faisait toutes concourir à l’expre
a péché. Contrarié dans toute la pièce, il est violemment secoué à la
fin
; c’est mérité. Pourquoi gâte-t-il sa probité en
n esprit, mais désenchanté par les amertumes de l’isolement. Alors sa
fin
sera triste. Si nous voulons nous en assurer, reg
e, est dans Le Misanthrope plus élégant et plus contenu. Acaste, à la
fine
taille, et Clitandre aux belles dents, n’y sont p
répondit à la curiosité d’un monde amoureux de lui-même et friand de
fines
indiscrétions. Aussi La Bruyère écrivait-il en sa
lu, et même joué, d’abord en partie, puis dans son ensemble, avant la
fin
de 1664, en des représentations particulières don
ire avec laquelle il fallait compter ; et, si Louis XIV eut l’oreille
fine
, il dut entendre cette doléance secrète du poète
stilités de l’Église. Sermons de Bourdaloue Ce triomphe ne mit pas
fin
aux hostilités. Sans parler d’une parodie en vers
réflexions sur la comédie, lorsqu’il disait : « La postérité saura la
fin
de ce poète comédien qui […] passa des plaisanter
nt l’habileté, mais la reconnaissance qui dictait cet hommage : D’un
fin
discernement sa grande âme pourvue Sur les choses
vogue d’une farce dont l’auteur garda l’anonyme, et qui, intitulée Le
Fin
Lourdaud, ou Le Procureur dupé, avait probablemen
Venise, se met au service de ce vieillard pour arriver sûrement à ses
fins
. De plus, La Cameriera nobile (la femme de chambr
son teint frais et gaillard, il se garde bien de les payer. Quand la
fine
mouche lui fait le compte de la dot imaginaire qu
ui la ferme. Toutes deux procèdent du même dessein, et vont à la même
fin
. Avec quelques changements, les personnages de la
e l’amour. Les précieuses de noble parage aimaient alors à trouver de
fines
distinctions sur ces menus problèmes de psycholog
taille-douce : son burin pointille, il a tout loisir pour sa facture
fine
et déliée. 127. Il se peint dans cette professi
ôves de province où l’on n’était admis qu’à condition de connaître le
fin
des choses, le grand fin, le fin du fin. C’est à
n’était admis qu’à condition de connaître le fin des choses, le grand
fin
, le fin du fin. C’est à cette seconde génération
admis qu’à condition de connaître le fin des choses, le grand fin, le
fin
du fin. C’est à cette seconde génération de Préci
u’à condition de connaître le fin des choses, le grand fin, le fin du
fin
. C’est à cette seconde génération de Précieuses q
ssaires sur les ouvrages qui parurent au théâtre français, jusqu’à la
fin
du siècle passé. Le genre comique et moral, dont
pas encore exposé sur la scène ; Clitidas, plaisant de cour, est plus
fin
que n’est Moron dans La Princesse d’Élide. Un ast
vers de Robinet, du 15 novembre 1670. J’ajoute encore, pour la
fin
Qu’à Versailles, et qu’à Saint-Germain, La Cour s
pas l’ouverture simple et adroite de la pièce* (nous ferons voir à la
fin
de cet article que Molière doit encore plus à Rot
rès excellents ragoûts, Qui flairaient mieux que des égouts : Mais la
fine
galanterie, Que j’eusse cent fois plus chérie, Qu
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le
fin
, Et sans honte à Térence allié Tabarin ; Dans ce
’âge l’eût déjà mis hors de combat ; car il baissa extrêmement sur la
fin
de ses jours ; et même ses parents, à ce que dit
ur Tartuffe. b. « [*]Le latin macaronique qui fait tant rire à la
fin
du Malade imaginaire fut fourni à Molière par son
ur échappent involontairement. À ce dernier genre de comique, le plus
fin
et le plus spirituel de tous, appartient sans dou
s satisfaire, car elles ne sauraient épuiser le sujet ; et comme à la
fin
du dialogue les interlocuteurs se retrouvent au m
ureusement les manuscrits de l’Aulularia de Plaute sont tronques à la
fin
, mais, dans ce que nous en connaissons, il reste
ctions de Molière ; cette pièce et d’autres qu’il a composées vers la
fin
de sa vie, telles que Monsieur de Pourceaugnac, L
ourt à former une suite de scènes comiques du genre à la fois le plus
fin
et le plus amusant. Ce n’est que pour montrer com
nation était pour la farce : aussi a-t-il écrit des farces jusqu’à la
fin
de sa vie. Ses pièces sérieuses en vers offrent t
é et sans gaîté, sans richesse d’invention, et même sans aperçus bien
fins
sur les hommes et sur la société, il a pourtant m
Térence et non pas dans Molière que j’irais le chercher. Une peinture
fine
et juste des caractères s’allie avec succès dans
itions. Outre le principal caractère, développé et soutenu jusqu’à la
fin
avec un art admirable, on y remarque des personna
en quelque sorte son caractère par la noble conduite qu’il tient à la
fin
de la pièce, il eût fallu qu’il ne cessât pas d’ê
, c’est de son plein gré qu’il lui fait recouvrer tous ses biens à la
fin
de la pièce, et que de plus il l’unit à celle qu’
tre dans ses actions comme dans ses paroles, et particulièrement à la
fin
de la pièce, lorsque, dupe du stratagème employé
ntale, l’autre la comédie romanesque. Doué d’un esprit observateur et
fin
, Marivaux semble prendre à tâche de la gâter. Il
t celui très plaisant de Francaleu, admirablement soutenus jusqu’à la
fin
, l’excellent comique des détails, l’originalité d
et esprit d’investigation, d’analyse et de réforme qui caractérise la
fin
du dix-huitième siècle, n’influe point sur la com
nt réagi sur elles. Quatrième période. La période comprenant la
fin
du règne de Louis XVI et la République ne nous la
lein d’énergie et de passion; il abonde, en outre, en traits heureux,
fins
, piquants et comiques. Oserons-nous le dire cepen
nt quelque travers du jour, où l’on ne trouve des traits mordants, de
fines
railleries et des couplets satiriques, faisant al
e. Celle-ci ne trouve pas de moyen plus efficace, pour en venir à ses
fins
, que de conseiller à son vieil époux, toujours tr
iage qu’il veut conclure avec une jeune fille, et l’a conduit à bonne
fin
. Harpagon se confond en remerciements et ne tarit
ès, nous le savons bien; ils émeuvent et tiennent en éveil jusqu’à la
fin
la curiosité du spectateur; mais s’ils intéressen
es. S’ils lui sont pardonnés, ce sera, sans contredit en faveur de la
fine
peinture des mœurs et des caractères que souvent
doute il eût trouvé le bonheur ? Car remarquez bien qu’Éliante, à la
fin
de l’ouvrage, semble avoir fait un retour sur ell
s aucun piège, par conséquent bien assuré tôt ou tard d’en venir à se
fins
; un tel personnage n’aurait assurément rien de dr
e sur soi, comment ferait l’auteur pour infliger à ce misérable, à la
fin
de la pièce, le châtiment qu’il mérite et que la
ion. Que l’on juge si, dans la situation où se trouve Tartuffe, plus
fin
que lui ne se fût pas laissé prendre à ses discou
à un satyre, ou qui blesse le moins du monde les bienséances. Vers la
fin
de sa déclaration, plus maître de lui, Tartuffe,
ce qu’il brûle d’apprendre, parcequ’il s’intéresse à l’héroïne. Et la
fin
de l’acte est motivée, puisque Sganarelle qui emm
. Le public veut voir clairement le commencement, le milieu, & la
fin
de tout. A propos de cela, je me souviendrai tout
les scenes, les actes, la piece n’ont ni commencement, ni milieu, ni
fin
, & comme l’Auteur le sait bien, il est conven
tion même. Par exemple, dans la Métromanie, les personnages sont à la
fin
du quatrieme acte à la campagne ; ils ont besoin
; je le répete, la chose n’est pas impossible. Les Tuileries, sur la
fin
d’un beau jour, voient naître des passions, des f
fond votre mal, Je crois que vous serez obligée D’aller prendre à la
fin
l’air natal. Riccoboni se rendit à la Cour du
ui qui sut rendre sensible à une foule grossière, les traits les plus
fins
de l’esprit, les sentiments les plus délicats du
jeunesse ? Fleuve, dont l’onde enchanteresse Semble se dérouler sans
fin
! Trésors d’amour et de science, Plaisirs, dont l
Dominant le clergé, la volonté royale Veille encor sur Molière et met
fin
au scandale ; Puis, sans pompe, le soir, tous ses
et effort lui coûta la vie. 7. « La postérité saura peut-être la
fin
de ce poète comédien qui en jouant son Malade Ima
urthe. 9. Aujourd’hui rue Fontaine-Molière. 10. Voir la note A a la
fin
de la brochure. 11. Voir sur l’architecture du m
la brochure. 11. Voir sur l’architecture du monument la note B à la
fin
de la brochure. 12. Molière est mort le 17 févri
Public, dont il étoit très aimé ; il en donna des marques jusqu’à la
fin
de sa vie. A sa mort, le théâtre fut fermé pendan
ner à l’irreligion, dont les semences sont répandues d’une manière si
fine
et si cachée dans la plupart de ses autres pièces
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le
fin
, Et sans honte à Terence allié Tabarin. Dans ce s
livres39, est un ouvrage des. plus spirituels, et une satire des plus
fines
des airs des courtisans. Ce fut vers ce tems-là q
témoin l’histoire, que rapporte l’auteur de sa vie, de ceux qui, à la
fin
d’un repas qui avoit duré toute la nuit, formèren
pas encore exposé sur la scène ; Clitidas, plaisant de Cour, est plus
fin
que n’est Moron dans la Princesse d’Elide 136. Un
jugement qu’il n’auroit besoin que de la premiere pour arriver à ses
fins
; mais, l’étourdi détruisant par son caractère to
le à Eschinus ny à Ctésiphon. Pour Sganarelle, il conserve jusqu’à la
fin
son caractère d’homme sauvage et bizarre, ce qui
funèbre de Moliere, Mercure galant). 58. Tout ce qui suit jusqu’à la
fin
de ces Mémoires a été reproduit mot pour mot dans
la pièce. Ensuite l’examen des caractères, du plan et du style. À la
fin
se trouvera le jugement qui a été porté dans le t
u a émise sur ce chef-d’œuvre dans sa lettre sur les spectacles. A la
fin
de l’examen du Tartuffe, je compare cette pièce a
matériaux qu’il a pu amasser ? Il faut toujours qu’il réserve pour la
fin
, ces expressions énergiques, ces profondes sailli
nétrant. Aussi, un caractère doit-il toujours être le même jusqu’à la
fin
: en convertissant son personnage, un auteur détr
u que leurs conseils si je ne sais les suivre… Et qu’au moins vers ma
fin
je recommence à vivre ; Car je n’ai pas vécu ; j’
Dans la balance met Aristote et Cottin ; Puis, d’une main encor plus
fine
et plus habile, Pèse sans passion Chapelain et Vi
poétique : elle l’apprécie en moraliste profond, en esprit délicat et
fin
, en écrivain habile, en poète du premier ordre. Q
œurs dissolues et les mœurs chastes et décentes trouve son terme à la
fin
de la période que nous parcourons ; il était néce
qui seroit encore pis. Aussi l’intrigue est-elle traînante jusqu’à la
fin
du second acte, lorsque l’amour, ou, pour mieux d
de sang froid toutes les pieces dont l’action ne commence qu’après la
fin
ordinaire des autres, c’est-à-dire après le maria
r Boursault. Il assiste à une représentation du Portrait du peintre ;
fin
de leur querelle. Beau trait de Boursault envers
l de Bourgogne et lui enlève sa meilleure actrice. Cette brouille met
fin
aux réunions d’Auteuil et de la rue du Vieux-Colo
tte époque, jouer que de bien jeunes rôles, car il n’était né qu’à la
fin
de 1630. Ceux-ci tenaient le jour d’un Joseph Béj
; pendant ce temps-là je ne perdais pas de vue Boissat lui-même. À la
fin
, Georges de Musy, premier président de la cour de
orts qu’il fit pendant quelque temps pour le dissimuler. Il prit à la
fin
le parti de le confier à mademoiselle De Brie, do
able que ses camarades et lui parcoururent ensuite le Midi jusqu’à la
fin
de la belle saison. L’hiver les avait ramenés à L
elle saison venue, elle reprit sa vie nomade, nous la retrouvons à la
fin
de 1654 à Montpellier, où le prince et la princes
Molière les voyages et les séjours que nous allons la voir faire à la
fin
de 1657 et au commencement de 1658, ne nous perme
il fallait avoir prouvé qu’on connaissait, comme le dit Madelon, « le
fin
des choses », « le grand fin », « le fin du fin »
connaissait, comme le dit Madelon, « le fin des choses », « le grand
fin
», « le fin du fin », et y être présenté par un d
, comme le dit Madelon, « le fin des choses », « le grand fin », « le
fin
du fin », et y être présenté par un des hommes qu
le dit Madelon, « le fin des choses », « le grand fin », « le fin du
fin
», et y être présenté par un des hommes qui y don
sages que fous ! Pour moi, j’y portai trente sous ; Mais, oyant leurs
fines
paroles, J’en ris pour plus de dix pistoles. Nou
la troupe de Molière donnait ses représentations, fut abattue vers la
fin
d’octobre, lorsqu’on eut résolu de bâtir la colon
contenance, quand le refus d’une obscure fille d’honneur vint mettre
fin
à cette longue suite de succès. Le surintendant t
nsinuer dans les cœurs. — Pour de l’esprit… — Ah ! elle en a, du plus
fin
, du plus délicat. — Sa conversation… — Sa convers
, auxquels leur scrupuleuse austérité ne permit pas d’ouïr jusqu’à la
fin
ce tissu d’abominations. Un bel esprit patenté de
e du jeune Boursault, auquel Molière n’avait pas songé, afficha, à la
fin
de septembre sans doute ou au commencement d’octo
n’eut semblé depuis prendre à tâche de les justifier lui-même par sa
fin
tragique. Il mit, selon quelques biographes, tant
n’offrait plus de témoignage de cette ressemblance illicite. Vers la
fin
de 1663, il se trouva en butte à des calomnies do
nous l’avons démontré, ne connut mademoiselle Béjart l’aînée qu’à la
fin
de 1645, c’est-à-dire plus de sept ans après la n
e et de l’envie. La requête de Montfleury avait été présentée vers la
fin
de 1663, et le 28 février suivant le Roi et la du
sa troupe s’était considérablement accru, et chaque part devait, à la
fin
de cette année théâtrale, s’élever à un total de
s plus agréables ornements de ces jeux, par une infinité d’allégories
fines
sur les mœurs du temps et par des à-propos qui fo
e la caisse en fût moins vide. Le prince donna des ordres pour mettre
fin
à cet abus. Mais les plus mutins de ceux sur qui
portier fit pendant quelque temps la meilleure contenance, mais à la
fin
, contraint de céder au nombre, il jeta son épée à
cins. À la vérité, ces traits sont lancés par un personnage puni à la
fin
de la pièce ; mais il y aurait bien de l’amour-pr
d’applaudissements, et prit le parti de conserver ce rôle jusqu’à la
fin
de sa carrière théâtrale. On prétend qu’elle le j
même apostrophe sans que son antagoniste en entendit rien ; mais à la
fin
Boileau, Molière et les autres convives partirent
lle Qu’une petite bagatelle : Mais cette bagatelle est d’un esprit si
fin
, Que, s’il faut que je vous le die, L’estime qu’o
s ? La latinité avait assez le goût antique pour en imposer aux plus
fins
connaisseurs en ce genre, la galerie y fut trompé
embarras, s’avoua enfin pour l’auteur de la chanson improvisée. À la
fin
de cette même année, Louis, toujours avide de pla
théâtres n’était pas alors très sévère. Quand le troisième acte, à la
fin
duquel Jupiter descend sur un nuage avec fracas,
eigneurs. Mais le glorieux traité d’Aix-la-Chapelle étant venu mettre
fin
à ces débats sanglants et rendre les vainqueurs a
pouvons le répéter de sa prose. Celle des auteurs dramatiques que la
fin
du dix-septième siècle et le dix-huitième tout en
s excusée et toujours plaisante ?… « La postérité saura peut-être la
fin
de ce poète comédien qui, en jouant son Malade im
e songea à mettre à la scène une histoire plaisante qui eut lieu à la
fin
de cette année, et dont nous empruntons le récit
rès quoi le barbier a été mis en prison, où il est et sera jusqu’à la
fin
du procès. Quelques-uns disent qu’il y a quelques
ui diffère de celui de La Princesse d’Élide, et surtout par la guerre
fine
et délicate que Molière y déclare à l’une des err
e lui donner en laissant vivre le condamné. N’avons-nous pas vu, à la
fin
du dix-huitième siècle, un intrigant mystérieux,
nt assuré un grand nombre d’admirateurs. Molière, pour en venir à ses
fins
, inséra dans le premier intermède des Amants magn
ajouter à sa signature. Un auteur dramatique, quelquefois observateur
fin
et délicat, Poinsinet, n’a-t-il pas, par sa facil
aux à conduire que des comédiens ! » On avait eu plus de succès à la
fin
de l’année précédente dans les démarches qu’on av
n mari ne mourut que vingt-huit ans plus tard. Il avait perdu vers la
fin
de 1707, ou au commencement de 1708, un fils issu
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le
fin
, Et, sans honte, à Térence allié Tabarin. Dans c
sur les comédiens de son temps (par mademoiselle Poisson). 61. À la
fin
de 1663, les cantons suisses envoyèrent des ambas
Le Bas) ; Rouen, Julien Courant, 1674, in-12 : De deux comédiens la
fin
est bien diverse : Genest, en se raillant du bapt
rti prendre ? que faire ? Me glisser modestement & bien vîte à la
fin
de ce Chapitre. J’ai donné aux François la Présom
, & plusieurs Tragi-comédies, sur-tout un Mystere composé vers la
fin
du quinzieme siecle ; il est intitulé le Mystere
e point d’intrigue dans les Adelphes ; celle de l’Ecole des Maris est
fine
, interessante & comique. Une des Femmes de la
suffit pour en faire connoître le mérite. On y trouve des réflexions
fines
& délicates, avec des détails curieux & i
e ? Oui, dit-il, goûtez à votre aise et justement en celle-là tant de
fins
mérites et de solides vertus ; mais, en songeant
Si tu la tuais… ! (Scène première.) Passez ensuite tout à fait à la
fin
du théâtre de Molière, au Malade imaginaire, aux
nez de le voir, cet élément comique, cher à Molière, au début et à la
fin
de son théâtre, se traduit par des images égaleme
i ses pièces, où l’on est tout le temps dans Paris, on se trouve à la
fin
transporté, par un hasard presque toujours ininte
a bien des manières d’observer ; Molière ne cherche pas l’observation
fine
et subtile ; il n’essaye pas de fouiller les repl
l’homme de cour dans Dom Juan, et vous trouverez des phrases hachées
fin
et menu comme celles de Voltaire, dans la scène o
que leur condition irrite, qui veulent vivre dans le grand et dans le
fin
; comment Molière exprimera-t-il cet état d’espri
es, et le restaurateur Petit-Jean, chez qui l’on va faire des parties
fines
: tout le croquis d’une ville de province, ressus
des plus intelligents, se laissent embarquer dans des intrigues sans
fin
, se laissent mener chez de soi-disant duchesses,
illage ; cependant, il serait infiniment plus facile de jouer au plus
fin
avec Célimène qu’avec Agnès. On nous a célébré, c
cela, n’a pas voulu, ce semble, que les hommes songeassent trop à la
fin
fatale de leur vie. Mais quand l’idée de la mort
ement Le Malade ; supposez qu’Argan soit réellement malade, et que la
fin
réelle de la comédie doive être la mort d’Argan,
i s’abandonnait volontiers à ses passions. Nous sommes en 1662 ; à la
fin
de 1662, et au commencement de 1663, la liaison a
s trois premiers actes, en effet, forment une comédie complète ; à la
fin
du troisième acte, voici où nous en sommes : Tart
t plus les frondeurs du commencement du règne, et les frondeurs de la
fin
n’ont pas encore paru ; La Bruyère est encore inc
on injuste, car, s’étant fait homme de retraite et de méditation à la
fin
de sa vie, le prince de Conti a écrit contre la c
nir, toutes les impertinences du monde ? Et il prétend justifier à la
fin
sa comédie si pleine de blasphèmes à la faveur d’
On sent très bien qu’au plus fort de la persécution religieuse, à la
fin
du règne de Louis XIV, alors que tout le monde ap
nces particulières à chaque âge ! Par exemple à trente-cinq ans, à la
fin
de la jeunesse, vous connaissez les passions malh
éressaient aux choses de l’esprit. « En 1857, écrivait Weiss vers la
fin
de sa vie, dans ce coin reculé et isolé du pays d
était riche et solide, dont le goût surgissait par éclairs, prompt et
fin
. « Le jeudi, vers quatre heures de l’après-midi,
comme le vers leste et varié du vaudeville. Quand notre poésie, à la
fin
du moyen âge, en était encore à des tâtonnements,
……………………………………… [N.-B.] Ce dernier dialogue s’arrête court : la
fin
a-t-elle été détruite, a-t-elle été égarée ? La p
t il commence à tout propos des discours dont on n’aperçoit jamais la
fin
. Il nous interrompt dix fois en un quart d’heure
avoir, comme la piece entiere, son commencement, son milieu & sa
fin
. Personne n’est, je crois, assez ignorant pour pe
e j’entends par le commencement d’une scene sa premiere ligne, par la
fin
, sa derniere, & par le milieu, celle qui est
isant brusquement, pour toute réponse, serviteur. Toute scene dont la
fin
ne répond pas au milieu & au commencement ; d
oivent entrer pour rien dans la piece. Continuons, & voyons si la
fin
répondra mieux au commencement, que le milieu. A
mmé Donneau fit jouer à l’hôtel de Bourgogne la Cocue imaginaire à la
fin
de 1661. Don Garcie de Navarre, ou Le Prince j
e point d’intrigue dans les Adelphes ; celle de l’École des maris est
fine
, intéressante et comique. Une des femmes de la pi
le monde joue ; il y en a qui ne sont faits que pour les esprits plus
fins
et plus appliqués. Si on osait encore chercher da
erait-on dans l’intrigue de la pièce, dont les beautés ingénieuses et
fines
ne sont pas également vives et intéressantes ; da
liberté de dire, que Le Misanthrope est une satire plus sage et plus
fine
que celles d’Horace et de Boileau, et pour le moi
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le
fin
, Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans ce s
i des dénouements assez heureux, tant l’art dramatique est difficile.
FIN
DE LA VIE DE MOLIÈRE, ETC. 1. Toureil 2. Fon
chapitre ; vous voyez tout d’un coup le commencement, le milieu et la
fin
de cette œuvre qui, pour bien faire, doit être ég
st fatigant, plus que je ne saurais dire, de vous entendre crier sans
fin
et sans cesse, les uns et les autres : — « Molièr
d’un tapis poudreux ! Qu’a-t-elle fait de cette peau si blanche et si
fine
qu’on l’eût prise pour la feuille transparente de
t par ses veilles ; il porte plus haut ses projets ; il agit pour une
fin
plus relevée ; il demande aux hommes un plus gran
st redevable de sa statue, entre la Comédie sérieuse et la Comédie au
fin
sourire : Prætextata ! — togata ! Mademoiselle B
hez elles ? avec Armande Béjart, les Célimènes qui vivront jusqu’à la
fin
des siècles ? Et ainsi de tous les autres caractè
t toutefois vous plaire, Afin de trouver de l’argent. J’ai couru cent
fins
le notaire. Que mon sort voua fasse pitié : Trouv
À vous former les traits de l’esprit et du corps. Mais, lasse sur la
fin
d’un si pénible ouvrage, Elle vous a mal fait l’h
a gloire ; Et de tant d’amitiés, faites diversement, N’en aime que la
fin
ou le commencement. D’un amant qui vous rient vo
ci-bas sans seconde, Devait briller encore après celle du monde, À la
fin
s’est éteinte, et contre votre foi, Vous en favor
lxxvlt. Item. Un déshabillé complet, couleur aurore, garni d’argent
fin
, prisé deux cents livres, ci… iiclt. Item. Un au
ure, un corps, une jupe de taffetas vert, garnie de dentelle d’argent
fin
, prisé quatre-vingt-dix livres, ci… iiiixxxlt. I
tem. Une jupe de tabis jaune, Ramie de six petites dentelles d’argent
fin
, prisée douze livres, ci…xiilt. Item. Une jupe d
encore parmi ses adorateurs. Mais ce n’était pas encore sa nuit. À la
fin
de la représentation, il lui crayonna ces vers :
é à demi mort de douleur. Je ne sais si La Fontaine pleura, mais à la
fin
du roman de Psyché, il a pour ainsi dire consacré
e linon rayé avec une petite dentelle de Malines à bride, une chemise
fine
à usage d’homme, la dentelle faisant le tour du c
i ses grands jours, puisque ladite voleuse lui enlevait « une chemise
fine
». Il parait qu’on volait beaucoup les époux Beau
us voulez me voir l’épée à la main. — Et en disant cela, c’était à la
fin
de la farce, elle va quérir deux épées point époi
n une page cette vie en plein orage avec de rares arcs-en-ciel que ce
fin
lettré qui s’appelle Henri Lavoix, dans son excel
ui appartient à la curiosité publique morne par-delà la tombe ! Cette
fin
, un deuil pour le monde entier, n’est qu’un événe
ana page 38.) XVI. Le Latin Macaronique qui fait tant rire à la
fin
du Malade Imaginaire, fut fourni à Moliere par so
érentes folies. Moliere avoit peut-être en vue cette idée, quand à la
fin
de sa premiere Scene de l’Ecole des Femmes, il fa
& faisant des efforts de poitrine qui sembloient le menacer d’une
fin
prochaine. Moliere assez froid naturellement ; fi
c Scarron. — Naissance de son amour pour le roi. Nous touchons à la
fin
de cette guerre élevée entre la politesse sociale
mes honnêtes, spirituel les et polies, que nous avons remarquées à la
fin
de la période précédente, une doit faire la gloir
ondes. Il leur impose la durée malgré le temps qui hâte toujours leur
fin
. Il offre tant de sympathies diverses à satisfair
La
fin
du XVIIe siècle voit apparaître un genre de l’his
ge du Roi qui représentait Neptune dans une fête, et qu’il plaça à la
fin
du Prologue des Amants Magnifiques. Il ne s’en dé
tout le sujet de la Pièce, sur ce qu’on lui en expliqua ; et dit à la
fin
, qu’il aurait souhaité qu’il y eût dans le dénoue
rentes folies. Molière avait peut-être en vue cette idée, quand, à la
fin
de la première Scène de L’École des femmes, il fa
x, et faisant des efforts de poitrine qui semblaient le menacer d’une
fin
prochaine. Molière, assez froid naturellement, fi
. Tome I, p. 508 Le latin macaronique, qui fait tant rire à la
fin
de cette même Comédie, fut fourni à Molière par s
e La Princesse d’Elide. Ce fut même, de sa part, une galanterie assez
fine
, de présenter à deux Reines, Espagnoles de naissa
Tome II, p. 203-204 Louis XIV marchait vers la Lorraine sur la
fin
de l’été de 1662. Accoutumé, dans ses premières c
Paris, fut le Tartuffe : son admiration allait jusqu’à l’extase. À la
fin
de la Pièce, ses transports de joie augmentant en
Moliérana, 89, p. 133 Tome II, p. 406 C’est par les critiques
fines
et judicieuses, dont cette Pièce [L’Impromptu de
eaux esprits Français qui l’entouraient, souriaient à tous les traits
fins
, à toutes les Épigrammes, dont cette Pièce est re
s parus avant 1670. Elle sera largement diffusée, en revanche, dès la
fin
du siècle, par la parodie. On considère que l’air
ussi après, une place essentielle dans la troupe. Orateur chargé à la
fin
du spectacle de présenter devant le public la piè
à propos : Et ne saurait souffrir, qu’une phrase insipide Vienne à la
fin
d’un vers remplir la place vide. Ainsi, recommenç
ouvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon, l’agréable et le
fin
, Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans ce s
totélisme, avait été, de la part de son maître Gassendi l’objet de si
fines
, amères et victorieuses railleries796 ? Il faut
n feront au commencement du siècle suivant les esprits forts, et à la
fin
de ce même siècle les scélérats qui ont fait de l
enir toutes les impertinences du monde ? Et il prétend justifier à la
fin
sa comédie si pleine de blasphèmes, à la faveur d
l’histoire de Scaramouche Hermite (voir la Préface du Tartuffe, à la
fin
; voir aussi J. Taschereau, Histoire de la vie et
Chapitre XXXVII et dernier 1679 et 1680 (
fin
de la huitième période). — Mademoiselle De Fontan
ter le règne par une ostentation et des profusions sans exemple. À la
fin
de février, le roi partant pour aller au-devant d
dont il faisait le malheur par le désordre de sa vie, et d’avoir mis
fin
à la contagion de son exemple. Voilà le véritable
la société dévote que La Bruyère a si bien peinte. Elle allait mettre
fin
au scandale de ses désordres par une à hypocrisie
laquelle Goudouly était retiré au cloître des Carmes et proche de sa
fin
, étant mort quatre mois après). Que nous disent l
chaque pas l’intention de Molière. [1857-09] Édouard THIERRY. (La
fin
à la prochaine livraison) Quelques-uns de nos l
ent de la main. Le verre ainsi refusé reste sur la table ; mais, à la
fin
de l’acte, quand Orgon, plus ébloui que jamais, v
ge. Fechter joue bien aussi le changement d’attitude de Tartuffe à la
fin
du quatrième acte. Il tourne derrière Orgon, humb
iquée au « Chapeau Rouge » (Q. 109933). La maison fut démolie vers la
fin
du siècle dernier. Elle tenait son nom d’un potea
et ce n’en est pas moins un de ses morceaux les plus gais et les plus
fins
. Eraste attend, comme Juliette, la réponse à un m
ême qu’il est difficile de préciser. On la place généralement vers la
fin
de l’année de 1645, le dernier document connu jus
la vivacité naturelle de leurs saillies que l’agrément de leur jeu si
fin
dans sa bouffonnerie. Scaramouche était son acteu
r à son secours avec une barque, tout fut vain, on le ramena mort. La
fin
malheureuse de ce peintre est un mémorable exempl
définitivement donnée parce qu’elle expliquait, tant bien que mal, la
fin
d’un artiste dont ses compatriotes n’avaient plus
’une seule comédie de Molière, mais sa traduction est on ne peut plus
fine
et spirituelle, plus fidèle et à la fois plus per
ui a pour but de glorifier la mémoire de Molière. Cet esprit élevé et
fin
possède lui-même un grain de la superbe ironie de
mi les théâtres allemands, non seulement par son opéra, qui réunit la
fine
fleur des chanteurs et cantatrices allemands, mai
ernant Poquelin. Malheureusement une faute d’impression en a rogné la
fin
qu’il faut rétablir ainsi : « déclarant que pour
nduire dans une carrière de comique ignorée jusqu’à lui. Une critique
fine
et délicate des mœurs et des ridicules qui étaien
nt sages que fous ; Pour moi, j’y portai trente sous Mais oyant leurs
fines
paroles, J’en ris pour plus de dix pistoles. Ava
les autres jours. La salle du Petit-Bourbon ayant été démolie vers la
fin
d’octobre 1660, le roi accorda à Molière et aux c
gements sur ses ouvrages. 2. [Note marginale] Nous en parlerons à la
fin
de cet article. [*]. [Note marginale] Vie de Mol
dons compte ici, mais encore de deux autres, dont nous parlerons à la
fin
de cet article, et d’un dictionnaire en deux volu
ystère est répandu dans son Livre depuis le commencement jusques à la
fin
: c’est une Énigme continuelle. Les égards de cet
eur qui a senti par avance cette objection, y répond modestement à la
fin
de son Livre. Un tel Ouvrage, dit-il, est au-dess
ne pas sûrement les personnes que l’Auteur a cachées. Nous voici à la
fin
du Livre, où l’Auteur nous dit qu’il a assez fait
uniment au commencement d’un acte la fable où il l’avoit laissée à la
fin
du précédent. Le public sait aussi mauvais gré au
ages, le spectateur & l’intrigue ne sont pas plus avancés qu’à la
fin
du second. Il ne suffit pas que l’entr’acte soit
piece est bien faite, l’Auteur a pris soin de l’en instruire avant la
fin
d’un acte & au commencement de l’autre. D’ail
en le voyant mimer le récit de l’aventure. Il lui accorda jusqu’à la
fin
de ses jours une faveur spéciale, et dans les inf
ienne ne fit pas cette fois un long séjour à Paris ; elle partit à la
fin
de l’année 1647 ou au commencement de 1648. On en
n coup de pistolet sur un de ses compagnons Ottavio, aventure qui mit
fin
à sa carrière théâtrale. Les caractères et les sc
décadence de la Compagnie » de Paris, et que c’est, proprement, à la
fin
de cette année quelle « finit, » bien que ce n’ai
la fin de cette année quelle « finit, » bien que ce n’ait été qu’à la
fin
de 1660 ou au commencement de 1660 que les « offi
partout « dans le monde; » ils y promènent avec impertinence « leurs
fines
railleries, leurs dédaigneux sourires, leurs demi
ans de famille » dont il était le chef s’installa en 1644. Or, dès la
fin
de l’année, la jeune troupe résilie son bail et «
ur eux, l’idéal d’une association de dévots. Quelle est, pour eux, la
fin
rationnelle de la vie chrétienne? C’est le soin q
ivains, t. V, Notice sur Don Juan. 22. « Qu’est-ce que signifie la
fin
de Don Juan, »disait en 1906 (L’Anticléricalisme,
&c. La meilleure façon pour lier les scenes, est de préparer à la
fin
de chacune, comme je l’ai dit plus haut dans le c
e épitaphe, qui n’est pas merveilleuse : J’ai vécu l’homme le moins
fin
Qui fût dans la machine ronde, Et je suis mort la
n que Baron ait eu toujours la même adresse. Dans la même piece, à la
fin
du premier acte, la scene de toilette que Pasquin
, qui ne suis qu’une simple suivante, J’ai deviné l’énigme : elle est
fine
& galante ; Le tour est délicat. Lucile. Le
de l’auteur qu’on est étonné, c’est de soi-même. Molière n’est jamais
fin
; il est profond, c’est-à-dire, que lorsqu’il a do
se donnent pas des rendez-vous chez Barbin; ils sont aujourd’hui plus
fins
et plus polis, et en savent beaucoup davantage. O
ans les amoureux tragiques ; mais, mieux fait et avec des traits plus
fins
, aurait-il réussi complètement dans la comédie et
successivement ou à la fois, et dont la carrière diffère tant vers la
fin
de ce qu’elle fut au commencement. Il est impossi
ec instances. C’est, du moins sa femme qui le dit dans la « requête à
fin
d’inhumation » qu’elle présentait à l’archevêque
mme nous dirions aujourd’hui ; ainsi « une grande coupe de porcelaine
fine
, » soixante-huit pièces de cette porcelaine de Ho
i d’action, le poète fait de Sganarelle un médecin pour rire, à seule
fin
, semble-t-il, de pouvoir placer sur les médecins
e voix, enfin que, par surcroit, il souffrait de l’estomac, et sur la
fin
de sa vie, ne pouvait plus se nourrir que de lait
re absolument. » Sa dernière heure d’activité fut pour son art. Noble
fin
, et digne de lui, malgré le terrible anathème de
nemis, à la façon de Corneille ou de Racine. Ce fut seulement vers la
fin
de sa carrière que, pris d’impatience, à la longu
nnette. Une longue cornette, ainsi qu’on nous en voit, D’une dentelle
fine
, & d’environ un doigt, Est une jardiniere : &
d’un lacet : Et comme il rend la taille & moins belle & moins
fine
, On a cru lui devoir le nom de gourgandine. Vous
’arc de triomphe, en général, ce fragment de mur sans commencement ni
fin
, ce joujou qu’il n’appartient qu’aux fabricans de
it délicieux; sous Louis XV, on a écrit des comédies charmantes; à la
fin
du XVIIIe siècle même, et à la veille de la révol
t le Tartuffe de Molière ; son admiration alla jusqu’à l’extase. À la
fin
de la pièce, ses transports de joie augmentant en
nage sur ses préventions et sur ses habitudes. Lorsque Gorgibus, à la
fin
de la pièce, dit aux deux folles qui font sa hont
, une idée des bienséances de la scène italienne à cette époque. À la
fin
du second acte, il est nuit. Delmire, charmée de
e point d’intrigue dans les Adelphes ; celle de L’École des maris est
fine
, intéressante et comique. Une des femmes de la pi
core ici le cas d’appliquer la distinction que j’ai déjà établie à la
fin
des notes du Cocu imaginaire, entre le dénouement
té mis par Molière lui-même dans le secret de ses intentions les plus
fines
, on peut dire qu’il les a devinées avec une sagac
harme de tous les esprits. L’action simple et peu animée, les beautés
fines
, délicates, mais quelquefois un peu sérieuses du
e, mère de Louis XIV, était morte au commencement de 1666. Jusqu’à la
fin
de cette année, les jeux et les fêtes de la cour
rade, voyait déjà Molière d’un œil jaloux et malveillant ; mais, plus
fin
courtisan qu’habile poète, il crut devoir flatter
elle Qu’une petite bagatelle, Mais cette bagatelle est d’un esprit si
fin
, Que s’il faut que je vous le die, L’estime qu’on
s les cœurs. — Pour de l’esprit…. — Ah ! elle en a, Covielle, du plus
fin
, du plus délicat. — Sa conversation… — Sa convers
e du Bourgeois gentilhomme, à l’occasion dédaigneux ou hautain, d’une
fine
ironie ou d’une insolence méprisante, comme le Cl
ur elle que des jeux de scène et une situation très plaisante vers la
fin
, lorsque la fausse muette s’épanche tout à coup e
d’eux ne l’accusa d’être ce qu’il craignait tant de devenir. Vers la
fin
de son Impromptu de l’hôtel de Condé, Montfleury
te lors de Psyché ; en tout cas, elle n’eut pas lieu plus tard que la
fin
de 1671, entre les Fourberies de Scapin et la Com
d’accueillir le Palais-Royal : une longue rivalité aurait ainsi pris
fin
. Mais, accepter cette réunion, n’était-ce pas, de
plus qu’elle avait bien besoin d’un homme pour la protéger et mettre
fin
par sa seule présence à une situation des plus pé
nuer dans les cœurs. — Pour de l’esprit... — Ah ! Elle en a, du plus
fin
, du plus délicat. — Sa conversation... — Sa conve
Roman comique et tel chœur d’Aristophane, ou certaines échappées sans
fin
de Rabelais. Le génie de l’ironique et mordante g
e s’étourdir. Pendant que sa verve se répandait ainsi en un rire sans
fin
, il souffrait à la fois et de ses chagrins domest
ent, le général Lamachus fait les apprêts du combat, et revient, à la
fin
, las, blessé et vaincu; tandis que le bon bourgeo
ment naturel pour le vrai et le beau. Ces observations sont justes et
fines
; mais il faut y en ajouter une autre à laquelle j
ou s’il en dissimule l’absence, car il sert également à cette double
fin
; le critique allemand habitué au contraire à ent
er un confrère, et il se fiait tant prier, qu’il est bien obligé à la
fin
de se faire une douce violence et de dire tout le
e l’année, où à propos de rien il jeûne ou fait abstinence: mais à la
fin
de l’hiver il tousse, il a une mauvaise poitrine,
t, à qui il veut nuire et dont il désire la dépouille. Il vient à ses
fins
sans se donner même la peine d’ouvrir la bouche:
its peut-être pour lesquels le crayon de La Bruyère, ordinairement si
fin
, semble s’être émoussé, il nous paraît vivant et
ns admirables; elle n’apparaît que deux fois, au commencement et à la
fin
: elle engage l’action et elle la clôt; mais avec
e aux faiblesses ridicules, où échappe la jeunesse. Elle entrevoit la
fin
solitaire qui la menace, et, à en juger par son l
ont il a déroulé devant nous les rapides péripéties, se prolonge sans
fin
dans le monde des rêves. Avons-nous perdu notre t
ditations mélancoliques ; il voudrait en savoir le commencement et la
fin
, et son regard, à la fois vague et profond, scrut
rneille et Molière, peuvent se tendre la main. Mais, dans ce duo sans
fin
que jouent la poésie héroïque et la poésie comiqu
si, place l’homme au milieu de la création. Elle lui sert à plusieurs
fins
. La nature étant en général plus sage et plus rég
es que cela peut avoir pour les hommes. Clitandre a un sentiment très
fin
des bienséances que la femme cultivée doit observ
u’en intérêt littéraire. Le berger Agnelet, ce trompeur d’autant plus
fin
qu’il a l’air plus niais, est l’instrument dont s
seule vertement châtiée. Il est vrai ; mais est-il nécessaire qu’à la
fin
d’une œuvre dramatique se fasse une distribution
dition où Dieu les a placés, est pour eux une source de déboires sans
fin
. La piteuse mine de Georges Dandin renferme toute
pitales. Le génie du poète tragique ne prit tout son essor que sur la
fin
de sa carrière, et sous l’influence d’une grande
uvent grimacer ses figures ; Quitté pour le bouffon, l’agréable et le
fin
, Et sans honte à Térence* allié Tabarin. Un cont
aux jeux de mots. Je ne dis point qu’on ne puisse y mettre des traits
fins
& malins ; mais il faut que tout le comique q
i. Nous ne trouvons à cette réponse, isolée de la situation, rien de
fin
, rien de malin, & sur-tout rien de comique. L
s plaintes au pere & à la mere, & les rendre témoins, à telle
fin
que de raison, des sujets de chagrin & de res
aractere, en nous peignant sa naissance, ses divers progrès, & sa
fin
? Baron nous a donné l’Homme à bonne fortune. Mo
nnus. Sa raillerie était délicate, et il la tournait d’une manière si
fine
, que quelque satire qu’il fît, les intéressés, bi
s qu’on a trouvé à propos de converser. Le Lecteur observa que sur la
fin
de la Comédie Le Malade imaginaire qui était repr
t de fonder une théorie de la comédie sur le modèle moliéresque. À la
fin
de la première édition (1772) figurent les Causes
s plus agréables ornements de ces jeux, par une infinité d’allégories
fines
sur les mœurs du temps, et par des à-propos qui f
ns l’action, a tout à fait disparu ; le commencement, le milieu et la
fin
sont autant de pièces à la suite l’une de l’autre
otive et rend vraisemblable l’hypocrisie à laquelle il a recours à la
fin
pour masquer ses vices et protéger ses forfaits.
219 n’est ni moins naturel, ni moins ingénieux, et il est d’un plus
fin
comique. Mais le prodige de l’art, pour se tirer
xa à Paris, au collège de Clermont (1666). Ce bel esprit, un des plus
fins
connaisseurs de la langue française, passait pour
s celles que nous connaissons. Les études historiques reçurent dès la
fin
du dix-huitième siècle une impulsion dont le véri
de ce goût qui suffit à la critique. Ce petit morceau est agréable et
fin
; mais nous apprend-il quelque chose sur Molière
faire. Il a répété que ses idées étaient justes, nombreuses, variées,
fines
, élégantes, piquantes, intéressantes, instructive
étend conclure ?) Corneille est sublime, mais inégal. Racine est plus
fin
, plus touchant, plus pur, mais moins grand. Moliè
, qu’en un jour un seul fait accompli Tienne jusqu’à la
fin
le théâtre rempli339. « Il y a là un grand probl
et je serais bien fâché de lui chercher noise auprès des amateurs de
fines
remarques littéraires. Mais, sans contredire La H
ils et indignes de cette science. Nous pouvons placer en tête ou à la
fin
de nos ouvrages un hymne à la Nature ; mais il su
morceau de critique admirative. Réponse de Lysidas au Chevalier (
fin
). Chapitre III. — Molière Molière est bien he
accessibles, pour les lieux communs de morale mondaine, les sentences
fines
et brèves, l’unité, la rapidité, la précision, la
yant une partie de quinze d’un détachement d’infanterie ; et, vers la
fin
de sa longue carrière, il s’indigna des scrupules
entures de Psyché, est Apulée, né à Madaure, ville d’Afrique, vers la
fin
du deuxième siècle : elles font partie de son rom
l’enfance, vendue comme esclave, devenue courtisane, et reconnue à la
fin
par quelque honnête citoyen. Ces événements étaie
uvent grimacer ses figures, Quitté, pour le bouffon, l’agréable et le
fin
, Et sans bonté à Térence allié Tabarin : Dans ce
un bon gentilhomme, comme il en est, qui se font un plaisir de mettre
fin
aux différends de leurs vassaux, & qu’on trai
entre eux deux. Il est aisé de s’en convaincre en lisant seulement la
fin
du second acte. Dans toutes les comédies, il y a
font cette critique platement ; les autres d’une façon ironique &
fine
. Par exemple, lorsqu’on appelle sur le théâtre un
re, quant il appelle un Notaire M. Bonnefoy. Le trait n’est pas moins
fin
, moins vif & moins senti. Je dois répéter ici
▲