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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. De l’Illusion Théâtrale. » pp. 426-433
tier : mais qu’on n’en sache rien : Et par elle apprenez que les plus fines dames, De pareilles douceurs entretiennent leurs
assez ; Je renonce à mon legs, si vous n’applaudissez. Boissy, à la fin de son Babillard, demande des applaudissements av
ù l’on a toujours été de voir des pieces sans commencement & sans fin , qui a introduit cet usage. Mais pourquoi finir p
rès estimable, & le restaurateur du théâtre Italien, adresse à la fin de quelques-unes de ses pieces un sonnet au spect
us de langue que d’argent. Souvenez-vous que l’honneur est une étoffe fine  ; si l’on y répand de l’huile ou du vin, la tache
ghave troppa lengua, e pochi bezzi : Avverti, che l’onor è un panno fin  : Presto, presto la giozza si dilata ; Se se ghe
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
brette qui se mêle d’intriguer ne doit employer que ces petits traits fins , adroits, déliés, auxquels les femmes sont si bie
ort. Champagne refuse de dire une chose dont il n’est pas certain. La fine Soubrette sait à propos lui montrer un diamant, &
deux champions. Isabelle y consent : tout est si bien disposé par la fine Soubrette, qu’Accante voit entrer le Marquis dans
oulu faire remarquer les ressorts que Laurette met en usage. Ils sont fins , souples, déliés, dignes enfin de son sexe. Mais
que nous avons reproché aux Anciens ; elles se trouvent inutiles à la fin de la piece, & n’y ont été mises en jeu que p
n maître. . . Oh !Gageons, si tu veux. Laurette. Ah ! que les gens si fins sont quelquefois fâcheux ! Champagne. Ce poulet v
rquis ?Tu devines. Champagne. Nous démêlons un peu les ruses les plus fines . Les voyages font bien les gens ! Laurette. Les
3 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
dire, avec le fameux critique des Lundis3, que l’acte de 1402 fut une fin et non pas un commencement, exagération bizarre q
chapper à cette double influence. Écoutons Boileau : Le savoir, à la fin , dissipant l’ignorance, Fit voir de ce projet la
ngue française. Cette œuvre, cet unique et insigne débris, date de la fin du IXe siècle, mais n’a rien de commun avec les o
sont du moins un des monuments les plus précieux de notre langue à la fin du Xe siècle. Un fait nouveau se produit au XIe s
me examen, à le faire redescendre au siècle suivant. « C’est vers la fin du XIIIe siècle, dit M. Magnin lui-même, que le t
eprésentées. En outre, toutes, à l’exception du Miracle, datent de la fin du XIIIe siècle et confinent, par conséquent, au
t pas d’indiquer ces changements de personnes dans le même rôle, « Ci fine la jeune Sara, Ci fine le petit Samuel, Fin du pe
angements de personnes dans le même rôle, « Ci fine la jeune Sara, Ci fine le petit Samuel, Fin du petit Salomon, cy fine Jé
dans le même rôle, « Ci fine la jeune Sara, Ci fine le petit Samuel, Fin du petit Salomon, cy fine Jésus enfant, cy commen
fine la jeune Sara, Ci fine le petit Samuel, Fin du petit Salomon, cy fine Jésus enfant, cy commence la grande Marie. »On re
oser que là, comme en bien d’autres sujets, les grands artistes de la fin du XVe siècle et du XVIe n’ont fait que traduire
ait si bien, l’enveloppe de tant de cajoleries, que le marchand, pour fin et défiant qu’il soit, lui laisse emporter à cour
nd plus rien. Il écume, il râle, il va trépasser. Maître drapier à la fin est vaincu, non sans peine; il se sauve, persuadé
çaise ne compte pas, je crois, une seconde scène comme celle-là. À la fin le rusé avocat est lui-même berné par le madré pa
4 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412
mis. Les années 1677 et 1678 ne présentent que la continuation, à la fin très monotone, des mêmes alternatives de refroidi
ssel. On annonce le retour du roi triomphant à Saint-Germain, pour la fin du mois de mai, après trois mois d’absence. Madam
que trop paraître sa furie ». Madame de Maintenon était revenue, à la fin de septembre ou au commencement d’octobre, de Bar
qui se laissait entrevoir dans les nuages. Au reste, nous avons vu la fin de 1677, nous allons voir 1679 ; par le point d’a
de Grignan étant venue passer 22 mois avec sa mère à Paris, depuis la fin d’octobre 1677 jusqu’en septembre 1679, nous nous
5 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
protégé et défendu, obstinément, cette illustre artiste ; tant sur la fin de sa vie elle avait peine à se défendre contre l
Nous voulons parler des couronnes et des bouquets qui se jettent à la fin d’un opéra, d’un ballet ou d’une comédie, aux pie
nous rapportera des fleurs, la Taglioni danse ce soir !” « Donc, à la fin de la petite comédie, plusieurs couronnes ont été
e histoire ! Et puis l’on s’étonne que la critique protège jusqu’à la fin une pareille femme ! On nous reproche notre admir
Baron comme le dernier confident des pensées du maître, et jusqu’à la fin de sa vie il l’entoura d’attentions et de respect
’à la passion dans la comédie et dans le drame, il jouait, jusqu’à la fin , le rôle des beaux jeunes gens amoureux que Moliè
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
ils ne veulent, ils ne demandent que le général ; ils appréhendent la fin de la guerre, de peur de le perdre à la paix ; il
uguste et ses amis ont été de ces honnêtes voluptueux. Auguste fut la fin du bon temps, Scipion en fut la fleur. « Le sénat
, qui entretient la durée par la modération, et menace la violence de fin … Ce repos, ces distractions sont des besoins de l
e république de fer et de bronze, parmi des citoyens d’une simplicité fine , d’une innocence spirituelle… Ils recevaient le s
l’aspect. « Ces grâces, madame, et cette majesté, se séparèrent à la fin . Les grâces parurent encore sous les empereurs, m
7 (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-
pour écarter Alceste. Mais alors : Souffrez que je revienne avant la fin du jour, dit-il. Avant la fin du jour est admi
 : Souffrez que je revienne avant la fin du jour, dit-il. Avant la fin du jour est admirable. Il y a dans l’homme un be
inuité dans l’existence. Mais combien de fois reviendra-t-il avant la fin du jour ? Je ne puis quitter Alceste sans contemp
source, une ficelle ; mais il n’a fait que la parodier une fois. À la fin d’une comédie, j’entends ce cri honteux : Regard
ce cri honteux : Regarde, Amphitryon, quel est ton imposteur ! À la fin de Tartuffe, la toute-puissance apparaît, non pas
chés de l’infini ; l’unité régnait au commencement, elle régnera à la fin . Eschyle et Homère n’auraient pas compris nos fra
8 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
une ancienne pièce de Molière dont nous nous réservons de parler à la fin de cet article. La 3e entrée est le Pourceaugnac.
ourceaugnac devant Sa Majesté, et y réussit à merveille, surtout à la fin de la pièce, quand les apothicaires, armés de leu
peut-être oculaire, que la poursuite des apothicaires avait lieu à la fin de la pièce, — que Lully jouait le rôle de Pource
mblent se présenter sans raison, et la pièce eût surtout gagné par sa fin , qui eût été faite avec la poursuite des apothica
’ignore la place, peut-être faisait-il partie du divertissement de la fin . V Y a-t-il outrecuidance à supposer un liv
miers mots d’Eraste, qui devenaient alors inutiles. Les entrées de la fin furent-elles conservées dans la comédie ? Si elle
voient pris pour leur gendre qu’à cause de ses grands biens... Sur la fin de l’acte, le païsan est interrompu par une bergè
r il est peu probable qu’il jouât certaines scènes en pantomime) ; la fin de chacun des actes de la comédie, telle qu’elle
. — Publication du divertissement de Chambord chez J. Hotot, à Blois, fin de 1869, — Idem chez Ballard, in-4° 1670. — Publi
9 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
lle sans être parfaite. M. Lysidas se souvient-il d’une remarque bien fine et bien juste que faisait Uranie, le jour où L’Éc
’est son harmonie intérieure, l’accord des moyens qui concourent à sa fin , l’union des qualités qui conviennent à son idée.
r ses lunettes dans sa soupe. Je crois aussi que du commencement à la fin du monde, des bords de l’Atlantique et du Grand O
race, et Alceste. Boileau définit la comédie : une peinture fidèle et fine de caractères296, ne songeant pas ou ne voulant p
tures fantastiques de l’ancienne comédie n’étaient le plus souvent ni fines , ni fidèles. Schlegel déclare que l’intrigue est
ec le calme sourire du bon sens triomphant, demandent à la poésie une fin pratique en dehors d’elle-même ou l’exposition lo
rofondeur. Monsieur Lysidas. Étude nouvelle par Dorante (suite et fin ). Chapitre II. — Le goût Laissons-nous aller
interdit-elle pas absolument d’admirer L’École des femmes ? Voilà la fin du spectacle. On sort. Eh ! que faites-vous donc 
14. Par la culture et l’exercice, elle s’est fait une esthétique plus fine que celle des philosophes. Il est un petit nombre
i est pur. Rien de pareil chez Uranie. Son sens moral est resté aussi fin , aussi délicat, aussi susceptible que son sens es
tte émotion maîtrisée par la sagesse des sages, en laissant à de plus fins que nous la satisfaction de croire qu’ils ont tro
r le beau ne peut être un concept, ni par conséquent le concept d’une fin déterminée. Critique du Jugement, § xv. 293.
hilosophe est ici le précurseur de l’école historique. Voyez toute la fin du c. ier de la IIIe partie. 304. L’architectur
Molière, de Voltaire et de Lessing. 308. Uranie va rester jusqu’à la fin de ce chapitre la personnification de la critique
10 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
que peu de temps : nous en marquons le commencement, le progrès et la fin . Tandis que ces nouveaux comédiens exerçaient leu
théâtre, le vice soit puni ou la vertu récompensée, il se trouve à la fin du compte que le capitaine se met à la place du p
nçais. Quelques personnes de goût nous ont conseillé de joindre, à la fin de ce volume, un catalogue chronologique des pièc
logique des pièces du théâtre français, depuis son origine jusqu’à la fin de l’année 1665. Nous nous sommes d’autant plus p
point d’intrigue dans les Adelphes et celle de L’École des maris est fine , intéressante et comique. Une des femmes de la pi
pour rendre encore plus gens, À la visiter diligents. Comme elle est fine , entre les fines, Elle fait jouer des machines. M
ore plus gens, À la visiter diligents. Comme elle est fine, entre les fines , Elle fait jouer des machines. Mais pour ne plus
e les lui a laissé ignorer, ne sont pas les mêmes que ceux d’Isabelle fine et déliée, qui n’ont d’autre principe que la cont
rique du 13 janvier 1663.       Le Roi festoya l’autre jour, La plus fine fleur de sa cour, Savoir sa mère, et son épouse,
cer le contraire. L’École des Femmes, enfin Doit passer pour ouvrage fin . Permettons à chacun d’en rire ; Défendons à tous
. » Ces vers de M. Despréaux sur L’École des femmes, se trouvent à la fin des Œuvres de Molière, mais sans nom d’auteur. No
toutes les nuances et toute la vraisemblance possible, et l’art y est fin et caché tout ensemble. Mais comme on trouve diff
aise origine, Est un Troyen nommé Raisin, Pourvu d’esprit, et du plus fin , Lequel étant heureux et sage, En la fabrique de
, autant qu’on peut dire, Il en charma notredit sire, Samedi* vers la fin du jour, Et plusieurs des grands de la Cour, Qui
ieu était si rempli que la veuve Raisin fit plus de mille écus. » La fin de ce récit de Grimarest est assez conforme à cel
e. Et touchant le style enjoué, Plusieurs déjà m’ont avoué, Qu’il est fin à son ordinaire, Et d’un singulier caractère ; Le
éralités du roi en 1663 par les soins de M. Colbert. On trouvera à la fin du tome VI, édition de 1739, in-12, le remercieme
des plaisirs de l’Île enchantée. *. [Note marginale] 9 mai. a. À la fin de la sixième et dernière entrée de ce ballet. « 
cine, qui fut aussitôt réduit en cendre par un feu d’artifice qui mit fin à cette aventure, et aux divertissements de l’Île
ue de Loret. Cet auteur mourut quelque temps après, c’est-à-dire à la fin du mois de mai suivant. a. « [*]L’original de l
de Pierre sous le titre de L’Athée foudroyé, qui fut représentée à la fin de 1669, ou au commencement de 1670. « Enfin la T
11 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
ice de la morale ou de la religion. Libre et contenant en lui-même sa fin , il a, dans son indépendance, son propre sens mor
Il doit connaître tout le néant de ses folies, prévoir d’avance leur fin et l’accepter gaiement. De peur d’être entraîné d
lle-même par l’excès de sa folie211. C’est là, c’est dans ces satires fines et animées que l’on doit voir la véritable comédi
ance générale et solide, malgré laquelle ils veulent parvenir à leurs fins particulières ; Wallenstein ira sombrer contre le
s, entre directement en conversation avec les Athéniens. Une bonhomie fine , un abandon mesuré, dans les rapports du poète co
n avare est contradictoire. Il prend pour son souverain bien, pour sa fin suprême, l’abstraction morte de la richesse, l’ar
s de la sagesse de ses discours238. Cependant, il conserve jusqu’à la fin la foi la plus naïve et la plus sérieuse en sa mi
r insensé, je m’en ris. Mes intentions sont toujours dirigées à bonne fin , c’est-à-dire à faire du bien à fous, à ne faire
naïve et sérieuse qu’il garde en lui-même et en sa mission jusqu’à la fin . Quant à moi, son disciple, je n’ose, je ne puis
rnelle qui, dans sa domination absolue, brise la justice relative des fins et des passions exclusives, parce qu’elle ne peut
n ton âcre et repoussant. Molière, en particulier, dans celles de ses fines comédies, qui ne sont nullement du genre purement
le poursuivent avec toute l’ardeur de ce sérieux. Aussi, lorsqu’à la fin ils sont déçus ou déconfits par leur faute, ils n
ue pour la lever il faut un deus ex machina. L’homme de justice, à la fin , est obligé de dire :                 Remettez-vo
prend l’abstraction morte de la richesse, l’argent comme tel, pour la fin suprême où elle s’arrête. Elle cherche à atteindr
ses moyens, de la ruse, du mensonge, etc., elle ne peut arriver à ses fins . Mais, maintenant, si le personnage s’absorbe tou
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
le tromperoit en lui faisant de fausses confidences, & qui, aussi fin que les Daves, les Mascarilles, les Scapins, mett
davantage. Dans quels temps les valets ont-ils été plus éduqués, plus fins , plus civilisés, plus élégants, plus familiarisés
elui-ci ? Les Merlins du siecle ne sont-ils pas de toutes les parties fines de leur patron, ne les arrangent-ils pas, n’y con
s en mouvement pendant quatre actes, se trouve n’avoir rien fait à la fin , puisque les différents ressorts qu’il a employés
13 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
te nièce prétentieuses du tout rond Gorgibus ? Plus tard, presqu’à la fin de sa vie, et comme s’il avait voulu couronner so
oute sa force, quand il le faut. Y a-t-il rien de plus sensé, de plus fin et de plus mordant que ses réparties aux impertin
riane et de Lucile avec leurs amants, suivies de raccommodements sans fin . À ce propos de raccommodements, me sera-t-il per
roire à un mouvement sincère de repentir et de tendresse, quand, à la fin du cinquième acte, elle dit à Alceste, qui seul n
respect. Et cette Toinette, du Malade imaginaire, quelle heureuse et fine nature ! Que de malice et de cœur tout à la fois 
laisirs, Dont le penchant de l’âge a sevré leurs désirs. Avec quelle fine ironie elle répond aux questions d’Orgon, qui, à
14 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
erait-on dans l’intrigue de la pièce, dont les beautés ingénieuses et fines ne sont pas également vives et intéressantes ; da
a liberté de dire que Le Misanthrope est une satire plus sage et plus fine que celles d’Horace et de Boileau, et pour le moi
défaut dont il a voulu corriger son siècle. Les nuances étaient trop fines pour frapper des spectateurs accoutumés à des cou
evront de leurs maîtresses est une adresse de l’auteur qui prépare la fin de sa pièce, comme vous le remarquerez dans la su
udicieux. Comme la médisance est un vice, il était nécessaire qu’à la fin de la comédie, elle eût quelque sorte de punition
harmants du monde, Leur tour, leur force, est sans seconde, Et serait fin qui ferait mieux. Mais je prouve ainsi ma censure
rsonneb : le sort de la scène française en décida autrement. « Sur la fin de l’année 1657, Molière avec sa troupe partit po
, sur un théâtre élevé dans la salle des gardes du Vieux Louvre. À la fin de la pièce, Molière ayant fait au roi un remerci
ls ont intérêt de cacher leurs sentiments. Ces dernières scènes, plus fines et plus piquantes que les premières, se ressemble
    Qu’une petite bagatelle : Mais cette bagatelle est d’un esprit si fin ,             Que s’il faut que je vous le die,   
Pour voir ce rare objet qu’il aime, (Car, comme on sait, l’amour est fin ,) Fait si bien qu’il l’enlève enfin, Par une intr
ésies, Du feu sieur Plaute, franc latin, Et que dans un français très fin , Son digne successeur Molière, A travesti d’une m
Qui s’y fait par un dialogue, De Mercure avecque la Nuit, Jusqu’à la fin de ce déduit, L’aimable enjouement du comique, Et
ssein de traverser l’action, qui semble devoir aller d’elle-même à la fin , mais qui néanmoins se trouve interrompue par des
, ne savent de quel parti se ranger. Alors l’action est conduite à sa fin , par l’éclat que doit faire nécessairement la tro
t de traits qui n’expriment parfaitement leur véritable image. Sur la fin de l’acte le paysan est interrompu par une bergèr
, Que dans Le Médecin forcé *, Et depuis qu’on a commencé, Jusqu’à la fin , que l’on fait pouffe, De rire presque l’on s’éto
de Pantalon, devient jaloux de son crédit, et ne néglige, jusqu’à la fin de la pièce, aucune occasion de le persécuter.
en mouvement, et l’agitation théâtrale augmente par degrés jusqu’à la fin . La raillerie fine de Dorine, dans la scène avec
’agitation théâtrale augmente par degrés jusqu’à la fin. La raillerie fine de Dorine, dans la scène avec son maître, nous dé
l’hypocrisie rendait indispensable. L’éloge de Louis XIV, placé à la fin de la pièce, dans la bouche de l’Exempt, ne peut
alage*, Molière avait commencé de jouer la comédie en province sur la fin de l’année 1645. Ce fut à Bordeaux qu’il fit son
u’il partit pour Lyon. « La troupe du Palais-Royal fut établie sur la fin de l’année 1659 (1658), après que les principales
ange qui s’engagèrent avec Molière, ainsi qu’on vient de le voir à la fin de la note précédente. b. « [*]On prétend que l
aisément dire où Molière plaça ces vers, puisqu’ils se trouvent à la fin du prologue des Amants magnifiques ; voici les de
15 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
oliere n’eut pas la force d’assister à la représentation jusques à la fin  ; il falut l’emporter chez lui avant que toute la
l y avoit de le renvoyer, il s’efforça, & joüa presque jusqu’à la fin , sans s’appercevoir que son incommodité fût augme
lui réussit. Il semble même qu’à l’égard de ces pensées, & de ces fines railleries à quoi tous les Siecles & tous les
ez que ces Dames conviendront que ces pensées sont belles, délicates, fines . Il y a des beautez d’esprit qui sont à la mode d
ent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon, l’agreable & le fin , Et sans honte à Terence allié Tabarin. Dans ce s
blâmer Moliere de ce qu’il a travaillé non seulement pour les esprits fins , & de bon goût, mais aussi pour les gens gros
ar sans cela, ne fût-elle qu’un elixir de pensées rares, ingénieuses, fines au souverain point, elle ruïneroit les Acteurs, &
16 (1884) Tartuffe pp. 2-78
iner à son retour. Molière est sept semaines sans jouer. Ce n’est que fin septembre enfin que reprenant courage Malgré la
t brave. En outre, quand il composa Tartuffe, c’est-à-dire ou vers la fin de 1663 ou dans les premiers mois de 1664, il éta
ment de la version que Molière appela l’Imposteur ou Panulphe. Dès la fin de 1665, donc, Molière remaniait son ouvrage. Il
tre au roi ? Je considère comme probable qu’il lui en lut au moins la fin  ; et cela expliquerait la permission verbale que
u grave, elle est trop relevée pour Dorine. Il y avait une scène à la fin du deuxième acte entre Elmire, Cléante et Dorine,
tablie dans l’Église. La « paix de religion » est effectivement de la fin de 1668, et Port-Royal, après un semblant de soum
’empêcha pas Bossuet de s’écrier : « La postérité saura peut-être la fin de ce comédien qui en jouant le Malade imaginaire
ot. Il était, nous en sommes sûr, fort propre sur soi, vêtu d’étoffes fines et chaudes, mais de nuances peu voyantes, noires
ordre pensera et gouvernera pour nous. N’est-ce pas là œuvre pie ? La fin , c’est le règne des saints. Cela justifie bien de
e mon infirmité, les tribulations de votre esclave indigne , et cette fin de déclaration : Et je vais être enfin, par votr
gamme, depuis le hé hé de bonne compagnie qui salue au passage les fines railleries du Sicilien, jusqu’au hou hou à vent
u, qui envoie les saints au désert et les filles au cloître. C’est la fin logique des pures croyances ; c’est le langage du
17 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
roient lui acquérir le degré de réputation auquel il aspiroit. Sur la fin de l’année 1657, Moliere avec sa troupe partit po
r, sur un théatre élevé dans la sale des gardes du vieux louvre. A la fin de la piéce, Moliere ayant fait au Roi un remerci
nduire dans une carriére de comique ignorée jusqu’à lui. Une critique fine & délicate des mœurs & des ridicules qui
seulement l’intérêt de peres, mais encore celui d’amans ; intérêt si fin , si vif, qu’il forme une piéce toute nouvelle, su
e les lui a laissé ignorer, ne sont pas les mêmes que ceux d’Isabelle fine & déliée, qui n’ont d’autre principe que la c
défaut dont il a voulu corriger son siécle. Les nuances étoient trop fines pour frapper des spectateurs accoûtumés à des cou
mouvement, & l’agitation théatrale augmente par degrés jusqu’à la fin . La raillerie fine de Dorine, dans la scéne avec
’agitation théatrale augmente par degrés jusqu’à la fin. La raillerie fine de Dorine, dans la scéne avec son maître, nous dé
l’hypocrisie, rendoit indispensable. L’éloge de Louis XIV, placé à la fin de la piéce, dans la bouche de l’éxemt, ne peut j
pas encore exposé sur la scéne ; Clitidas, plaisant de cour, est plus fin que n’est Moron dans la princesse d’Elide. Un ast
ils ont intérêt de cacher leurs sentimens. Ces derniéres scénes, plus fines & plus piquantes que les premiéres, se ressem
béralités du Roi en 1663, par les soins de m. Colbert. On trouve à la fin du tome VI de cette édition le remerciement que M
18 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
riguée, est un des chef-d’œuvre de Molière ; on y trouve une critique fine et délicate des mœurs et des ridicules de son tem
ancienne et moderne. L’intrigue n’est pas vive, mais les nuances sont fines . Le Médecin malgré lui , comédie en 3 actes et
de Palais royal, le 10 juin 1667. Petite comédie d’intrigue, dialogue fin , et peinture vive de l’amour. Le Tartuffe , ou
les caractères en sont aussi variés que vrais, le dialogue également fin et naturel. Amphitrion , comédie en trois actes
19 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
, à gauche, suivant la fantaisie du moment. Tel fut Louis XIV vers la fin de 1676. Qu’on se figure, dans la position de mad
ondé, le 21 avril, et prend cette ville le 28. Il prend Bouchain à la fin de juin, et quitte l’armée, le 4 juillet, pour re
prie de ne pas vous laisser surprendre par l’abbé, qui est intrigant, fin et adroit119. » Madame de Montespan, toute conte
s ; il avait osé poursuivre le roi qui lui avait échappé. Il fit à la fin cesser tout commerce, et acheva de faire couronne
20 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
elle s’adore, elle est la comédie universelle, elle est Je drame sans fin  ; elle a l’Univers pour témoin, et le genre humai
ce, ou quelque belle douée de sa voix, ou bien ornée de cet esprit si fin , ou tout au moins en passe de conquérir un peu de
nard à ma main ! « Ingrats qui me reprochez d’être restée, jusqu’à la fin , un grand artiste, lorsque tant d’autres, après l
n aide Molière et Marivaux, ses deux amis fidèles, fidèles jusqu’à la fin  ; celui-ci austère, sérieux, solennel, même dans
dramatique et par conséquent, le plus sincère et le plus vrai, de la fin du xviiie  siècle. Ce n’était point par l’action,
ouveraine, sur les débris des petits salons. Alors vraiment arriva la fin du monde, et nul depuis ce temps, n’a osé reprend
: pas une d’elles n’a voulu se souvenir que la causerie, une causerie fine , agaçante, spirituelle, est surtout le partage de
ais ; adieu à ce beau geste que j’aimais tant ; adieu à cet esprit si fin qui s’en va d’où il est venu, qui retourne à Moli
étique, elle n’avait qu’une seule crainte, c’était d’être prise, à la fin de ses jours, par une de ces longues agonies qui
lerie, innocence, bel esprit, moquerie pleine de verve, causerie sans fin , gracieuse façon de tout dire, profond sentiment,
surtout pour les reines de théâtre. Tout pour elles d’abord, et à la fin , rien pour elles ! Hier encore la flatterie n’ava
n enfance et de sa jeunesse, mademoiselle Mars l’a touchée jusqu’à la fin de ses jours. À chaque trimestre, elle attestait
21 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102
lière se crut obligé de reprendre le même sujet de comédie jusqu’à la fin de sa vie287. Il continua la guerre à la préciosi
vous montre Henriette, pleine de bon sens, de timidité, de grâce, de fines reparties ; sa droiture d’esprit lui suffit pour
quand nous nous mettons quelque chose à la tête, Que l’homme le plus fin ne soit pas une bête ?. Toutes ces gardes-là sont
succès :   Pour moi, j’y portai trente sous :   Mais, oyant leurs fines paroles.   J’en ris pour plus de dix pistoles.
ans la balance met Aristote et Cotin ;   Puis, d’une main encor plus fine et plus habile.   Pèse sans passion Chapelain et
22 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
ide. Molière a été de son vivant apprécié à sa juste valeur. Toute la fin du XVIIe siècle lui est encore favorable. Ses cam
en 1700, assister jusqu’au bout à une représentation de L’Avare. À la fin de sa vie, son goût pour Molière s’étant réveillé
e même trop mâle et trop simple. Il leur fallait de l’ingénieux et du fin , du compassé et de l’élégant. Ce qui leur convena
Angleterre. Il fut traduit et imprimé à Francfort dès 1670. Avant la fin du XVIIe siècle, deux traductions plus complètes
tre. L’Italie eut aussi les œuvres de Molière dans sa langue avant la fin du XVIIe siècle. La remarquable traduction de Nic
le goût des représentations scéniques aurait été et le principe et la fin . Jean-Baptiste Poquelin, en se faisant comédien,
n pendant trois ans. Puis, la salle ne pouvant être prête que vers la fin de l’année, les nouveaux comédiens partirent pour
es jeunes acteurs auraient donc établi leurs tréteaux à Rouen vers la fin de cette foire renommée. On manque d’autres rense
de leur séjour dans la capitale normande. Ils étaient de retour à la fin de décembre. Le 28 de ce mois, ils purent s’adres
efforts qu’il lui en resta une sorte de hoquet qu’il garda jusqu’à la fin de ses jours. On aurait droit de s’étonner que le
fortune ennemie ; il demeura au Jeu de paume des Mestayers jusqu’à la fin de l’année 1644. Est-ce à l’année 1644 ou à 1645
t à cette dernière date retiré au cloître des Carmes, et proche de sa fin  ; il mourut quatre mois après12. Leur séjour à Al
désormais les voir presque tous les ans remplir le même emploi. A la fin de l’année 1651 et au commencement de 1652, Moliè
déjà distincte ; et désormais elle ne fera plus que grandir. Vers la fin de juillet de cette même année 1653, se passaient
Pézenas. Il y demeura en effet pendant quelques mois ; puis, vers la fin de l’année, il se rendit à Paris : il y vint épou
; pendant ce temps-là je ne perdais pas de vue Boissat lui-même. À la fin , Georges de Musy, premier président de la cour de
t de Montpellier peu après la clôture des états. Elle est à Lyon à la fin d’avril 1655. Un acte de mariage entre deux coméd
emontons le cours du temps : un mois passé à Avignon nous ramène à la fin de septembre ; trois mois à Lyon, à la fin de jui
à Avignon nous ramène à la fin de septembre ; trois mois à Lyon, à la fin de juin. On peut bien mettre une quinzaine de jou
soucy aurait rejoint à Lyon les comédiens, qui y étaient arrivés à la fin d’avril. Cela laisse un intervalle de six semaine
ainsi que toute la troupe, à Marseillan et ramené à Pézenas. » À la fin de la session des états, qui furent clos le 22 fé
assignation donnée par le prince de Conti sur le fond des étapes à la fin de la session de 1654-1655, en fournissaient le m
la convocation et la direction des états. Entre ce 17 novembre et la fin de l’année, Molière fit représenter sa deuxième c
ue la somme à verser aux pauvres était un peu plus élevée. » Vers la fin de l’année, les comédiens redescendirent dans le
r un acte passé devant M. Abraham Moisson et Claude Gruchet, prend la fin du bail du jeu de paume des Marais, à Paris, pour
Paris, pour dix-huit mois, du 1er octobre 1658 au 1er avril 1660. La fin du bail était cédée par messire Louis Redhon de T
té et l’ardeur que lui donnait la conscience de son génie. C’était la fin de son exil, le terme de son apprentissage, le pr
les plus petits détails, ainsi que nous le voyons dans un livre de la fin du siècle : L’art de prononcer parfaitement la la
roi et la cour partirent pour Lyon, où ils devaient rester jusqu’à la fin du mois de janvier 1659. Molière s’arrangea imméd
sages que fous ! Pour moi, j’y portai trente sous : Mais, oyant leurs fines paroles, J’en ris pour plus de dix pistoles61. « 
a été trouvé partout le plus beau morceau de l’ouvrage ». C’était une fine et heureuse flatterie. On comprend combien ce bru
vembre, et eurent quarante-deux représentations consécutives. Vers la fin de ce mois, le 20 novembre 1661, Molière tint sur
elin et son fils à survivance ». Molière garda cette place jusqu’à la fin de ses jours, et ne manqua pas, dit La Grange, de
la plus terrible affaire Qu’eut jamais le grand Jupiter. Pour mettre fin à cette guerre, Il fut obligé de quitter Le soin
ns l’acte de renonciation du 10 mars 1643. Née par conséquent ou à la fin de 1642 ou tout au commencement de 1643, elle ava
 (9 janvier 1670) lui donne quatre-vingts ans à cette date. Donc à la fin de 1642, au moment où elle donna le jour à Armand
er ? Le registre de La Grange offre les deux mentions que voici. À la fin de l’année théâtrale 1660-1661, La Grange inscrit
nsinuer dans les cœurs. — Pour de l’esprit… — Ah ! Elle en a, du plus fin , du plus délicat. — Sa conversation… — Sa convers
écuyer, sieur de Molière ». Elle pouvait avoir de l’esprit, « du plus fin et du plus délicat » ; mais ce n’était ni un cœur
railleur qui sera dupe, l’homme des vieux contes, disant avec un air fin  : Je sais les tours rusés et les subtiles trames
rien et avait beaucoup vu, lu et relu de diverses histoires ; mais la  fin principale à quoi tendait son exercice et tout so
et ès personnes de leurs maris, exécutées. Et ce fit-il tendant à la fin d’être mieux prémuni et sur sa garde, si sa femme
culier pour la nature féminine, et, avec cela, passionné. Lorsqu’à la fin la jeune proie qu’il se réservait lui échappe, Ar
overses, les anecdotes, les allusions, tout cela formait un spectacle fin , distingué, aimable, qui nous ravit encore aujour
était l’objet. Représenté sur le théâtre de l’hôtel de Bourgogne à la fin de septembre ou au commencement d’octobre 1653, L
nter la palinodie pour complaire à leurs maîtresses, de sorte qu’à la fin tout le monde est d’accord contre Molière. La cho
prologue où Molière est loué au commencement et un peu critiqué à la fin . Auger remarque justement qu’aucune pièce de théâ
D’après La Gazette il serait revenu de Villers-Cotterets le 24. À la fin de novembre de cette même année 1664, Molière et
re, font parfois presque oublier la scélératesse, conserve jusqu’à la  fin une sorte de prestige. C’est qu’en réalité cela s
l’aurais cru. Il y a un homme sous ses guenilles. » C’est dans cette fin  de scène que la note morale résonne, la note mora
nir, toutes les impertinences du monde ? Et il prétend justifier à la fin sa comédie si pleine de blasphèmes, à la faveur d
ance que l’hérésie est aux abois et qu’elle tire continuellement à sa fin  ; ce grand roi, qui n’a point donné de relâche, n
fumer, ce qui interrompit le dialogue pendant quelques instants. À la fin de la comédie, un page couvert d’une livrée jaune
elle-ci, une tendresse passionnée ; il en fut toujours, et jusqu’à la fin , profondément amoureux. La situation se dessinant
un à la suite de l’autre ; d’un côté, la vue la plus haute et la plus fine de la nature humaine, l’élévation de la pensée, l
deuil de la reine mère fut terminé, les fêtes recommencèrent. Vers la fin de 1666, Louis XIV voulut donner à sa cour le gra
fois, qu’il y eut une nouvelle éclipse du comédien, car Robinet, à la fin de sa lettre du 31 décembre de la même année, écr
e, Que dans Le Médecin forcé ; Et, depuis qu’on a commencé Jusqu’à la fin que l’on fait pouffe. De rire presque l’on s’étou
joua le soir Le Tartuffe ou l’Imposteur. Molière était parvenu à ses fins . Il avait obtenu l’autorisation sollicitée depuis
on, qui a le plus de tenue et de gravité dans la conduite. Jusqu’à la fin de sa vie, Molière affectionna ce séjour d’Auteui
ux et faisant des efforts de poitrine qui semblaient le menacer d’une  fin prochaine. Molière, assez froid naturellement, fi
douleur je succombe. À l’extrême chagrin par ce trépas réduit. Je mis fin à ces vers en février le dix-huit. Molière expir
ce proportionne sa vive douleur au plaisir que tu lui as donné par la fine et sage plaisanterie. »C’est une faible et lâche
olière, Qui de malade imaginaire Le devint véritablement. Et comme la fin de la vie Se rapporte au commencement. Ce pauvre
par une ample satire. Il me figurait Élomire Qui ne trouva dedans sa fin Ni Dieu, ni loi, ni médecin ; Car son Malade imag
tenant un tonnelet de taffetas vert avec une petite dentelle d’argent fin , une chemisette de même taffetas, deux cuissards
les festons, la ceinture et un jupon, et un bonnet brodé or et argent fin . L’habit de la représentation de Tartuffe (rôle d
se, sabre et la sangle, ledit juste-au-corps garni de galons d’argent fin , une paire de gants de cerf, une paire de bas à b
rretières, bas, festons, fraise et manchettes, le tout garni d’argent fin . Un habit du Sicilien, les chausses et manteau de
ous quelque temps cause un fâcheux murmure, Un tour de ville y mettra fin , Et vous rirez de l’aventure. C’était Mlle Moliè
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le fin , Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans ce s
n lui le bouffon, pour lequel on le blâme de quitter l’agréable et le  fin , qu’il traitait en son lieu mieux que Térence mêm
L’Amarillis de Rotrou par les comédiens de l’hôtel de Bourgogne à la fin de 1652, on lit ces vers : Venez en foule, appor
nnage, Et que ladite anthropophage Occit de son trait meurtrier, À la fin , mercredi dernier ; Ayant paru bonne chrétienne A
ne avoue qu’au moins dans les pièces de son mari elle fut, jusqu’à la fin de ses jours, inimitable. Ce furent sous ses trai
-Thomas-du-Louvre151. »Sa part fut continuée à Mlle Duparc jusqu’à la fin de l’année théâtrale. MADEMOISELLE DUPARC M
n grand rôle dans l’histoire anecdotique de la comédie française à la fin du XVIIe siècle et pendant le XVIIIe. HUBERT
res, dont quatre d’acteurs français et deux d’acteurs étrangers. À la fin du siècle il n’en subsistait plus qu’un seul (à n
r l’autre et finit par supplanter le nom de Mademoiselle qui, vers la fin du XVIIIe siècle, ne s’appliquait plus qu’aux fem
bien. Mmela duchesse de Bourgogne le pressa fort de rester jusqu’à la fin , mais il ne put s’y résoudre. » 177. Avocat alo
23 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
oliere n’eut pas la force d’assister à la representation jusques à la fin  ; il falut l’emporter chez lui avant que toute la
l y avoit de le renvoyer, il s’efforça, & joüa presque jusqu’à la fin , sans s’appercevoir que son incommodité fût augme
lui réüssit. Il semble même qu’à l’égard de ces pensées, & de ces fines railleries à quoi tous les siecles & tous les
ez que ces Dames conviendront que ces pensées sont belles, délicates, fines . Il y a des beautez d’esprit qui sont à la mode d
24 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
me comique qui elle-même peut-être a été inspirée par cette légère et fine ironie dont Gassendi a su animer la plupart de se
appétibilité ou dans la convenance ; si le bien se réciproque avec la fin , si la fin nous peut émouvoir par son être réel o
é ou dans la convenance ; si le bien se réciproque avec la fin, si la fin nous peut émouvoir par son être réel ou par son ê
a pâle est aux jasmins en blancheur comparable; La noire à faire peur fine brune adorable; La maigre a de la taille et de la
25 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
, c’est-à-dire, qu’il prend l’image pour la réalité, le moyen pour la fin , et une privation pour une jouissance. N’est-ce p
ici aux principes que j’ai rappelés, à l’occasion de L’Avare, sur la fin et les moyens de la comédie, en ce qui regarde la
s divertissements, et même, dit-on, fait les paroles italiennes de la fin du premier acte, chanta le rôle d’un des deux méd
farce. Pourquoi ? Ce n’est pas parce que la plaisanterie y est moins fine , la moquerie moins délicate et la gaîté plus facé
els ; aux mots de caractère et de situation, il substitua les phrases fines et recherchées ; aux saillies d’une gaîté vive et
L’astrologie judiciaire, décriée, mais non tout à fait détruite, à la fin du dix-septième siècle, comptait encore quelques
ourceaugnac devant Sa Majesté, et y réussit à merveille, surtout à la fin de la pièce, quand les apothicaires, armés de leu
ui le joua. Ensuite, il est certain que, dans le divertissement de la fin du premier acte, et non pas de la fin de la pièce
e, dans le divertissement de la fin du premier acte, et non pas de la fin de la pièce, Lulli représenta l’un des deux médec
26 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
françaises les plus dévastées par le vice ; et il est bien près de sa fin , quand cette dernière trace de la vertu oubliée,
cendre cette pente, insensible d’abord, qui devient un précipice à la fin  : Dans le crime il suffit qu’une fois on débute 
06, tome III, p. 143). 37. D’ailleurs don Juan se fait Tartuffe à la fin , et il est incrédule en médecine : c’était s’atti
I, V. 102. Id., act. IV, sc. VI. 103. Plaute, Aulularia, v. 637 ad fin . 104. L’Avare, act. II, sc. VI. 105. Id., act
schereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, à la fin . 123. Voir Loret, Lettre du 6 février 1655. — À
27 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
aniere que rien ne s’y démente, & que le spectateur y trouve à la fin comme au premier acte les personnages introduits,
ement de la tragédie dans son principe, dans ses moyens & dans sa fin . La sensibilité humaine est le principe d’où part
’horreur des grands crimes & l’amour des sublimes vertus sont les fins qu’elle se propose. La malice naturelle aux homme
es pointes du diamant à polir le diamant même. C’est là l’objet ou la fin de la comédie. Mal-à-propos l’a-t-on distinguée
omédie d’une action toute pathétique, & d’où il écarte jusqu’à la fin avec une précaution marquée le seul personnage qu
Plaute est plus vif, plus gai, plus fort, plus varié ; Terence, plus fin , plus vrai, plus pur, plus élégant : l’un a l’ava
é Joüa les Saints, la Vierge, & Dieu par piété. Art poétiq. La fin du regne de Charles V. ayant vû naître le chant r
p; dernierement à Paris, avec le nombre des personnages qui sont à la fin dudit livre, & font en nombre cxlj. 1541. in-
urs comédies, nonobstant les défenses de la cour, furent renvoyés par fin de non-recevoir, & défenses à eux faites de p
n ; au contraire il assaisonna ses comédies d’une plaisanterie douce, fine , délicate & bienséante. La licence ayant été
Atticisme, c’est-à-dire de ce qu’il y a de plus délicat & de plus fin chez les Grecs, soit dans le tour des pensées, so
28
lais-Royal ; inde iræ, de là les douleurs de Racine. Qu’est-ce que la fin de sa préface ? Un coup de sifflet, que dis-je ?
eux se trouve un sommaire, suivi de jugements, d’anecdotes, etc. À la fin du volume viennent des Observations du traducteur
nt à une dame. J’ai donc été obligé de la remplacer. »5 Presqu’à la fin de la même scène, Eraste, s’adressant à Marinette
a su singulièrement améliorer la dernière réplique de Gros-René à la fin de la vie scène du Ier acte ; qu’on en juge : R
ces trahisons légères, c’est une pointe d’originalité comique, moins fine peut-être mais non moins amusante que celle du po
nt avoir vu une traduction hollandaise en vers de George Dandin de la fin du dix-septième siècle, où Angélique, dans une lo
re destination est bien connue des collectionneurs : il existait à la fin du xviie  siècle un fabricant qui se servait spéc
ce petit nombre de pièces annoncées, il en est, comme Le Chevalier de fin matois, comme La Tolédane ou Ce l’est, ce ne l’es
dignitaire, qui seul avait qualité pour mener cette exécution à bonne fin , fut très probablement poussé à cette mesure disc
ensuelle, tome II, nº 17, 1er août 1880, p. 131-138. II25 À la fin d’un article où j’examinais la valeur d’une anecd
te à cet égard, c’est que Molière, qui aurait pu si facilement mettre fin aux réclamations d’une partie du clergé, en faisa
ue dans les éditions de 1693 et 1710 ; la gravure est d’un trait plus fin  ; le décor est un peu différent : le plafond est
éguisent pour plaire à deux femmes, et que leurs maîtres battent à la fin . Il y a seulement cette petite différence que dan
père en mari, et la jeune première ou l’ingénue en femme. Jusqu’à la fin du dernier siècle, on ne voyait guère sur la scèn
ittérale de L’Étourdi. L’héroïne, Mme Millicent (Clélie), épouse à la fin le valet Warner (Mascarille), qui est le parent d
scarille et de Jodelet. Thomas Shadwell, l’auteur dramatique, et à la fin de sa vie le poète-lauréat de Guillaume III, qui
u reste du passage, que vous connaissez bien et qui est l’un des plus fins morceaux du Maître. Rien de charmant comme le déd
e. » Et il se lance dans des considérations dignes de La Bruyère, ce fin esprit si bien fait pour s’entendre avec Molière,
rouver ces imitations, qui font, chez nous, les délices des revues de fin d’année ? Quatre ans plus tôt déjà, et avant d’at
travailler à sa machine, et j’espère qu’elle paraîtra à Paris vers la fin de janvier. » Ainsi, dans les calculs des deux C
-être à cause de l’absence de la Cour, partie de Fontainebleau dès la fin de juillet 1659, La Toison d’or ne fut pas représ
prince de Conti aux États du Languedoc, était rentrée à Lyon, vers la fin de l’année 1653, avec le prince qu’elle accompagn
Molière amusait, avec ses Précieuses ridicules, les spectateurs, plus fins et plus lettrés, du théâtre du Petit-Bourbon. Apr
farce de Lustucru, qui pourrait bien en être originaire. C’était à la fin de décembre 1857. J’avais quitté Rome pour m’emba
res « Et que c’est un chef-d’œuvre enfin, « Oui, sans en faire ici le fin , « Je sens que mon cœur est la proie « Plus de la
1630. 24. Ces affiches selon l’usage du temps, qui a duré jusqu’à la fin du xviiie  siècle, sont entourées d’une bordure r
29 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
ner à l’irréligion, dont les semences sont répandues d’une manière si fine et si cachée dans la plupart de ses autres pièces
vent grimacer ses figures ; Quitté pour le bouffon l’agréable et le fin , Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans
connaître. Il dit qu’il n’a pas prétendu faire dans Scapin une satire fine comme dans Le Misanthrope. Scapin, selon lui, est
30 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
eigneur ce même baron de Florac, déjà nommé. Or, qu’advint-il vers la fin de 1655, à la date où le prince de Conti fit à Mo
stible instinct me porte à les railler. C’est dans le sang ! Et, à la fin des fins, ma foi ! je sens qu’il sied maintenant
nstinct me porte à les railler. C’est dans le sang ! Et, à la fin des fins , ma foi ! je sens qu’il sied maintenant de clore
31 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
travers de la mer soit passé par un trou, Ainsi qu’un godenot que, de fine manière, Brioché fait sortir hors de sa gibecière
près de Célie, à n’en faire qu’un marchand, qui avait vu ce fils à la fin de son esclavage ; et nous venons de voir qu’un m
Parasite qui ont donné à Molière l’idée de cette substitution ? A la fin de cet acte III (scène 9) de l’Étourdi, Trufaldin
32 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
’en un lieu, qu’en un temps, un seul fait accompli Tienne, jusqu’à la fin , le théâtre rempli. En effet, on ne peut méconna
archie. Revenons à l’état historique de la langue et des lettres à la fin de la 6e période du xviie  siècle. La Bruyère qui
permettre de dire : qu’une poésie est bien châtiée ; qu’un souris est fin , qu’un souris est amer ; qu’un mauvais poète est
33 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
e qu’il est Molière ; on ne pense pas qu’il ait de commencement ni de fin  ; et où est-il ? Molière est partout. Quelquefois
la chambre qu’on en reconnaît le maître, c’est Lulli. Aussi, vers la fin de la vie de Molière, le Florentin l’emportera-t-
— point de bonne chère, point de feu d’artifice, point de roi ! A la fin , lorsque le valet annoncera : Monsieur, ce sont
ù une fantasmagorie est encadrée, — les personnages de celle-ci, à la fin , jouant une tragédie qui forme une troisième acti
34 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82
il ne traite pas le bouffon avec moins de génie que l’agréable et le fin 231. Au point de vue de l’art, on ne doit pas plu
qui, au péril de ses bras et de ses épaules, sait mettre noblement à fin les entreprises les plus difficiles ; et qui, tel
aison, dans toutes les entreprises de son infâme industrie ; et, à la fin , on est si bien pris au charme de cette joyeuse c
e invraisemblance qui est une faute ; c’est que Valère, présenté à la fin sous les plus nobles couleurs264, et montré dès l
35 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
ppétibilité ou dans la convenance, — si le bien se réciproque avec la fin , — si la fin nous peut émouvoir par son être réel
u dans la convenance, — si le bien se réciproque avec la fin, — si la fin nous peut émouvoir par son être réel, ou par son
ai jamais donné de quinquina » (remède nouveau alors) (16), et sur la fin de sa vie, dans un moment d’enthousiasme, entonne
l les croyait tous faux, il ne demandait qu’une égale tolérance et la fin de toutes les disputes. Son caractère était aimab
le existera, elle qui l’a tant fait souffrir, il l’a aimée jusqu’à sa fin  : bien plus, il s’est sacrifié pour elle. Malade,
plus à l’abri de tout soupçon que son adversaire. (Voir la note de la fin sur Gassendi.) 32. Les Femmes savantes, acte I,
, p. 257, 325. 37. Id., p. 271. 38. Voir sur Gassendi la note à la fin . 39. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 4
36 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
f. 7 reprend avec « Il y a des arts » à la p. 133 et va jusqu’à la fin de la p. 134 de mon livre : « L’empereur par Can
11 verso l’introduction : « Si vous lisez une comédie. » jusqu’à la fin « Passons à l’examen détaillé de la pièce. » Ce
e La Harpe d’Auger. » V — F. non numéroté [20 bis] Manuscrit. Fin du Commentaire sur George Dandin. 8 9bre à Milan
revenant à une heure du jardin du Roy. » Au recto de la reliure à la fin  : Volume retrouvé le 24 avril 1827 rue de Grenel
e volume de M. Jean de Mitty sur Napoléon 58. L’ouvrage contient à la fin des notes sommaires extraites des papiers de Gren
lus de grâce. La nuance est bien placée, mais elle est mal peinte. La fin de cet acte est froide. [Acte IV, scène premiè
ans le peuple. Pourquoi Molière n’a-t-il pas mis toutes ces remarques fines , ces portraits qui supposent de l’observation et
charmé de le connoître ; Et vos ravissements ne prendroient point de fin . C’est un homme… qui… ah !… un homme… un homme en
le seul qu’il coure dans la pièce. (Voyez la réflexion générale à la fin de la pièce.) Orgon      Vite, quittons la pl
e voilà traître !… Orgon outre qu’il est un sot, est une âme basse. fin des notes sur le Tartuffe. Réflexions généra
’il rencontre. Orgon est un sot et une âme étroite. Tartuffe un homme fin , un bon comédien qui ne peut se défaire en parlan
n instant auparavant. Celui-ci trouverait moyen de se retourner. À la fin , l’évêque qui a assez d’esprit, serait convaincu
ire mes plaintes au père et à la mère, et les rendre témoins, à telle fin que de raison, des sujets de chagrin et de ressen
e leur fille me donne. Mais les voici l’un et l’autre fort à propos. Fin de la Ire phrase comique (terme de musique). Avan
vous laisse sur la bonne bouche. Sottise de Lubin qui se croit bien fin . et dont on rirait si ce rôle était bien joué.
Didot. An VII, 1799, 8 vol. in-18. 10. Molière, V, feuillets de la fin . 11. Je n’ai pas besoin de rappeler que Shakespe
bien Antonio. 12. The Merchant of Venice. 13. Molière, II , à la fin 14. Cette note est tirée de la dernière feuille
e, Ibid. 20. Grenoble, R.. 5896. 21. Molière, II ; feuillets de la fin . 22. Molière. I. p. 72. 23. Tiré des feuillets
ets de la fin. 22. Molière. I. p. 72. 23. Tiré des feuillets de la fin du vol. I, du Molière. 24. Répétition de Stendha
ournal, p. 228). 27. Cette note est tirée des feuillets blancs de la fin du vol. VI, du Molière. 28. Cette note est tirée
, « De la Mode », p. 443.) 74. Avec la comtesse Simonetta. 75. À la fin du vol. IV du Molière. — Dans le vol. VI, p. 5, d
37 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
e : la vieille servante et l’élégante comédienne ; ce gros rire et ce fin sourire, ces deux bonnes mains, et ces deux mains
s rire et ce fin sourire, ces deux bonnes mains, et ces deux mains si fines  ; ce tablier et ces dentelles ; vous aurez, en un
in, un esprit fort, un hypocrite ; il ne devient un hypocrite qu’à la fin du drame, et quand il faut absolument pousser jus
aphie ardente de ce fatal Don Juan. C’est que, pour suivre jusqu’à la fin ce héros vagabond, Molière a pris tout simplement
Bourgeois gentilhomme ou Le Malade imaginaire. Au contraire, c’est la fine fleur des grands seigneurs pour l’esprit, pour le
e et sépulcrale, et que voulait-il que nous fissions de ce drame sans fin  ? Rétrécissons cette comédie et la mettons en ver
es duchesses et les bergères ! Tout comme les autres arrivent à leurs fins amoureuses, par le dévouement, par l’abnégation,
ime quelquefois, à force de probité, de croyance et de bon sens. À la fin donc ce beau drame était retrouvé tout entier ! À
n sens. À la fin donc ce beau drame était retrouvé tout entier ! À la fin il se montrait à nous dans toute sa sévère et som
l se montrait à nous dans toute sa sévère et sombre physionomie. À la fin , nous le tenions tel qu’il est sorti des mains ou
Juan ; il le connaît trop bien pour nous le montrer occupé jusqu’à la fin de ces billevesées. Don Juan veut, à cette heure,
d de cette gaieté ; c’est qu’une lamentation immense a traversé, sans fin et sans cesse cette raillerie de l’esprit, cet or
d’esprit ! M. Bulwer a tant d’invention ! C’est un homme d’un goût si fin et si habile ce M. Bulwer ! Donc Chremyle, citoye
exercices, au respect, à la politesse proportionnée et délicate, à la fine et honnête galanterie », parce que, sans le poète
touré dans sa vie ! À peine mort, il devint le sujet de louanges sans fin … le héros de mille apothéoses ! — On a même impri
ux souvenirs poétiques du grand siècle, nous ramènent aux drames sans fin dont les amours de Louis XIV ont été le sujet, et
austérité de la vie qu’elle est prête d’embrasser, elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d’en c
elle jouit seule, a beau paraître deux fois, au commencement et à la fin du drame, rien n’empêche qu’elle ne soit un perso
eau et de son front, pour la Melpomène antique, la Comédie légère, au fin sourire, au gai regard, aux bras charmants, à la
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252
t & le personnage qui sont d’intelligence pour parvenir à la même fin  ; mais la piece est conçue de façon qu’il est trè
s avec tant de jugement, que la premiere suffiroit pour arriver à ses fins , s’il n’étoit croisé par les étourderies de son m
. . . . . . . . Pourquoi la ruse de l’intrigante nous paroît-elle si fine  ? Pourquoi trouvons-nous si sublimes les cinq à s
39 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
t une excuse de plus aux yeux du spectateur, qui ne rencontre qu’à la fin l’objection timide de Sosie : Le seigneur Jupite
lité de tout cela par l’Egyptienne et les Egyptiens qui chantent à la fin de la Pastorale : Croyez-moi, hâtons-nous, ma Sy
deux cœurs s’aiment bien,          Tout le reste n’est rien637. À la fin de la pièce, une foule de masques viennent se joi
imes et Réflexions sur la Comédie : « La postérité saura peut-être la fin de ce poète comédien, qui, en jouant son Malade i
rands flots ; quelquefois elle s’insinue comme goutte à goutte : à la fin on n’en est pas moins submergé. » 654. Voir plu
40 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
nie est dépourvue de gaieté comique. L’ironie la plus légère, la plus fine , fût-ce celle de Voltaire, est toujours grave au
re de Regnard, un pauvre vieillard, accablé d’infirmités, touche à sa fin  ; des scélérats le tourmentent pour son héritage,
spectateur de la tragédie, je veux dire en voulant arrêter jusqu’à la fin ses yeux sur un objet unique, sans incidents, san
tère hautement philosophique. Si l’on soutient enfin qu’elle est plus fine dans la peinture d’un caractère, plus habile dans
un éblouissement ». Cela est d’un comique franc et en même temps très fin . Mais la franchise du comique de Molière est le p
ci la pièce est interrompue. Mais les arguments nous en apprennent la fin . L’oncle se retire devant le neveu, et le maître
péra buffa des Italiens. Molière, né pour la farce, a voulu faire une fine comédie ; il a produit une œuvre bâtarde, qui n’e
e une fine comédie ; il a produit une œuvre bâtarde, qui n’est ni une fine comédie, ni une farce. Oh ! sans doute, le combat
tion du monde que l’on peut animer un drame et le rendre vivant. À la fin de ces discussions, qui n’ont pas plus de raison
la rabaisser. — Septième leçon. 46. Le bouffon privilégié, tantôt fin et spirituel, tantôt épais et balourd, a hérité q
de la finesse du comique d’observation, ce sont les discussions sans fin d’Alceste et de Philinte sur la conduite à tenir
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
e je ne cessai point d’accoller ma catin, Jusques à serre-nuit dès le fin grand matin. Lors Mopse me voyant, Mopse qui par
s les plus tendres, & brise ses liens. Mon Lecteur verra avant la fin de cet article la raison pour laquelle je lui rap
ût dit qu’il observoit un phénomene : voilà, dit-il, étant près de sa fin , la premiere mort que je vois. Son Médecin l’ayan
42 (1871) Molière
très-intelligents, qui font peu de chose, et s’amusent tant, qu’à la fin , ce peu de chose est un chef-d’œuvre. On étudiait
n’avait pas trouvé toute sa comédie, il en possédait le langage. À la fin , quand pendant trois grands mois, L’Étourdi eut c
s qu’il a rencontré Alceste et Célimène ? On en dissertera jusqu’à la fin du monde. Avec quel courage il attaquait des cara
de concert, et pour qui la France entière chantait sans cesse et sans fin  : Domine salvum fac regem ! Mais, le poète en pr
et les douleurs contenus dans cet étroit espace. Il lutta jusqu’à la fin , passant d’une torture à l’autre, et quand enfin,
aité plus mal, certes, que Luther ou Calvin : « La postérité saura la fin de ce poète-comédien qui, en jouant son Malade im
43 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris À la fin de l’année où l’on représenta La Rosaure, une tro
sûr de son fait et qu’elle aime Fabio. Lelio veut le nier, mais à la fin elle avoue. Elle raconte alors comment, ayant obs
ne équivoque licencieuse. Une grande gaieté se répand sur toute cette fin de pièce. Fabio en est fort surpris, et s’étonne
engeance des Marquis 42  ; il n’osait les jouer autrement, mais à la fin il nous a fait voir qu’il avait le visage assez p
qui représente Molière adressant au public le compliment d’usage à la fin du spectacle. On trouvera sans doute que la physi
44 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304
our l’armée de Flandre. Mais ceci un fait généralement reconnu que la fin de la campagne le ramena dans les bras de madame
urs. La rupture et la lettre qui l’annonce paraissent donc être de la fin d’avril ou du commencement de mai 1671.
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
dans la même situation, depuis le commencement d’une piece jusqu’à la fin , n’est pas moins ridicule dans la comédie, que l’
esire continuellement quelque chose depuis le commencement jusqu’à la fin , comme dans Pourceaugnac, & je permettrai alo
e l’attention du spectateur, & l’enchaîner à son sujet jusqu’à la fin . J’ai dit plus haut que Moliere est le plus intér
46 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
qu’en le nommant & en déclarant qu’il est le pere d’Agnès, on met fin à tous les débats d’Arnolphe & d’Horace. Quel
rophe principale, que ce qui fait le dénouement, doit être placé à la fin de la piece ; cependant ce que nous venons de voi
ne sont immortels que parcequ’ils ont des plaisirs qui n’ont point de fin  ; & je suis sûr aussi que je ne saurois manqu
47 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
science du choix ou de la mesure). Ne soyons donc pas surpris que la fine et mystique délicatesse de Fénelon n’ait pas goût
nes ingénieuses dont chacune semblerait une satire de Boileau, si une fine logique ne les faisait toutes concourir à l’expre
a péché. Contrarié dans toute la pièce, il est violemment secoué à la fin  ; c’est mérité. Pourquoi gâte-t-il sa probité en
n esprit, mais désenchanté par les amertumes de l’isolement. Alors sa fin sera triste. Si nous voulons nous en assurer, reg
e, est dans Le Misanthrope plus élégant et plus contenu. Acaste, à la fine taille, et Clitandre aux belles dents, n’y sont p
répondit à la curiosité d’un monde amoureux de lui-même et friand de fines indiscrétions. Aussi La Bruyère écrivait-il en sa
lu, et même joué, d’abord en partie, puis dans son ensemble, avant la fin de 1664, en des représentations particulières don
ire avec laquelle il fallait compter ; et, si Louis XIV eut l’oreille fine , il dut entendre cette doléance secrète du poète
stilités de l’Église. Sermons de Bourdaloue Ce triomphe ne mit pas fin aux hostilités. Sans parler d’une parodie en vers
réflexions sur la comédie, lorsqu’il disait : « La postérité saura la fin de ce poète comédien qui […] passa des plaisanter
nt l’habileté, mais la reconnaissance qui dictait cet hommage : D’un fin discernement sa grande âme pourvue Sur les choses
vogue d’une farce dont l’auteur garda l’anonyme, et qui, intitulée Le Fin Lourdaud, ou Le Procureur dupé, avait probablemen
Venise, se met au service de ce vieillard pour arriver sûrement à ses fins . De plus, La Cameriera nobile (la femme de chambr
son teint frais et gaillard, il se garde bien de les payer. Quand la fine mouche lui fait le compte de la dot imaginaire qu
ui la ferme. Toutes deux procèdent du même dessein, et vont à la même fin . Avec quelques changements, les personnages de la
e l’amour. Les précieuses de noble parage aimaient alors à trouver de fines distinctions sur ces menus problèmes de psycholog
taille-douce : son burin pointille, il a tout loisir pour sa facture fine et déliée. 127. Il se peint dans cette professi
ôves de province où l’on n’était admis qu’à condition de connaître le fin des choses, le grand fin, le fin du fin. C’est à
n’était admis qu’à condition de connaître le fin des choses, le grand fin , le fin du fin. C’est à cette seconde génération
admis qu’à condition de connaître le fin des choses, le grand fin, le fin du fin. C’est à cette seconde génération de Préci
u’à condition de connaître le fin des choses, le grand fin, le fin du fin . C’est à cette seconde génération de Précieuses q
48 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
ssaires sur les ouvrages qui parurent au théâtre français, jusqu’à la fin du siècle passé. Le genre comique et moral, dont
pas encore exposé sur la scène ; Clitidas, plaisant de cour, est plus fin que n’est Moron dans La Princesse d’Élide. Un ast
vers de Robinet, du 15 novembre 1670.       J’ajoute encore, pour la fin Qu’à Versailles, et qu’à Saint-Germain, La Cour s
pas l’ouverture simple et adroite de la pièce* (nous ferons voir à la fin de cet article que Molière doit encore plus à Rot
rès excellents ragoûts, Qui flairaient mieux que des égouts : Mais la fine galanterie, Que j’eusse cent fois plus chérie, Qu
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le fin , Et sans honte à Térence allié Tabarin ; Dans ce
’âge l’eût déjà mis hors de combat ; car il baissa extrêmement sur la fin de ses jours ; et même ses parents, à ce que dit
ur Tartuffe. b. « [*]Le latin macaronique qui fait tant rire à la fin du Malade imaginaire fut fourni à Molière par son
49 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
ur échappent involontairement. À ce dernier genre de comique, le plus fin et le plus spirituel de tous, appartient sans dou
s satisfaire, car elles ne sauraient épuiser le sujet ; et comme à la fin du dialogue les interlocuteurs se retrouvent au m
ureusement les manuscrits de l’Aulularia de Plaute sont tronques à la fin , mais, dans ce que nous en connaissons, il reste
ctions de Molière ; cette pièce et d’autres qu’il a composées vers la fin de sa vie, telles que Monsieur de Pourceaugnac, L
ourt à former une suite de scènes comiques du genre à la fois le plus fin et le plus amusant. Ce n’est que pour montrer com
nation était pour la farce : aussi a-t-il écrit des farces jusqu’à la fin de sa vie. Ses pièces sérieuses en vers offrent t
é et sans gaîté, sans richesse d’invention, et même sans aperçus bien fins sur les hommes et sur la société, il a pourtant m
Térence et non pas dans Molière que j’irais le chercher. Une peinture fine et juste des caractères s’allie avec succès dans
50 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
itions. Outre le principal caractère, développé et soutenu jusqu’à la fin avec un art admirable, on y remarque des personna
en quelque sorte son caractère par la noble conduite qu’il tient à la fin de la pièce, il eût fallu qu’il ne cessât pas d’ê
, c’est de son plein gré qu’il lui fait recouvrer tous ses biens à la fin de la pièce, et que de plus il l’unit à celle qu’
tre dans ses actions comme dans ses paroles, et particulièrement à la fin de la pièce, lorsque, dupe du stratagème employé
ntale, l’autre la comédie romanesque. Doué d’un esprit observateur et fin , Marivaux semble prendre à tâche de la gâter. Il
t celui très plaisant de Francaleu, admirablement soutenus jusqu’à la fin , l’excellent comique des détails, l’originalité d
et esprit d’investigation, d’analyse et de réforme qui caractérise la fin du dix-huitième siècle, n’influe point sur la com
nt réagi sur elles. Quatrième période. La période comprenant la fin du règne de Louis XVI et la République ne nous la
lein d’énergie et de passion; il abonde, en outre, en traits heureux, fins , piquants et comiques. Oserons-nous le dire cepen
nt quelque travers du jour, où l’on ne trouve des traits mordants, de fines railleries et des couplets satiriques, faisant al
e. Celle-ci ne trouve pas de moyen plus efficace, pour en venir à ses fins , que de conseiller à son vieil époux, toujours tr
iage qu’il veut conclure avec une jeune fille, et l’a conduit à bonne fin . Harpagon se confond en remerciements et ne tarit
ès, nous le savons bien; ils émeuvent et tiennent en éveil jusqu’à la fin la curiosité du spectateur; mais s’ils intéressen
es. S’ils lui sont pardonnés, ce sera, sans contredit en faveur de la fine peinture des mœurs et des caractères que souvent
doute il eût trouvé le bonheur ? Car remarquez bien qu’Éliante, à la fin de l’ouvrage, semble avoir fait un retour sur ell
s aucun piège, par conséquent bien assuré tôt ou tard d’en venir à se fins ; un tel personnage n’aurait assurément rien de dr
e sur soi, comment ferait l’auteur pour infliger à ce misérable, à la fin de la pièce, le châtiment qu’il mérite et que la
ion. Que l’on juge si, dans la situation où se trouve Tartuffe, plus fin que lui ne se fût pas laissé prendre à ses discou
à un satyre, ou qui blesse le moins du monde les bienséances. Vers la fin de sa déclaration, plus maître de lui, Tartuffe,
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288
ce qu’il brûle d’apprendre, parcequ’il s’intéresse à l’héroïne. Et la fin de l’acte est motivée, puisque Sganarelle qui emm
. Le public veut voir clairement le commencement, le milieu, & la fin de tout. A propos de cela, je me souviendrai tout
les scenes, les actes, la piece n’ont ni commencement, ni milieu, ni fin , & comme l’Auteur le sait bien, il est conven
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366
tion même. Par exemple, dans la Métromanie, les personnages sont à la fin du quatrieme acte à la campagne ; ils ont besoin
 ; je le répete, la chose n’est pas impossible. Les Tuileries, sur la fin d’un beau jour, voient naître des passions, des f
fond votre mal, Je crois que vous serez obligée D’aller prendre à la fin l’air natal. Riccoboni se rendit à la Cour du
53 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
ui qui sut rendre sensible à une foule grossière, les traits les plus fins de l’esprit, les sentiments les plus délicats du
jeunesse ? Fleuve, dont l’onde enchanteresse Semble se dérouler sans fin  ! Trésors d’amour et de science, Plaisirs, dont l
Dominant le clergé, la volonté royale Veille encor sur Molière et met fin au scandale ; Puis, sans pompe, le soir, tous ses
et effort lui coûta la vie.   7. « La postérité saura peut-être la fin de ce poète comédien qui en jouant son Malade Ima
urthe. 9. Aujourd’hui rue Fontaine-Molière. 10. Voir la note A a la fin de la brochure. 11. Voir sur l’architecture du m
la brochure. 11. Voir sur l’architecture du monument la note B à la fin de la brochure. 12. Molière est mort le 17 févri
54 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
Public, dont il étoit très aimé ; il en donna des marques jusqu’à la fin de sa vie. A sa mort, le théâtre fut fermé pendan
ner à l’irreligion, dont les semences sont répandues d’une manière si fine et si cachée dans la plupart de ses autres pièces
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le fin , Et sans honte à Terence allié Tabarin. Dans ce s
livres39, est un ouvrage des. plus spirituels, et une satire des plus fines des airs des courtisans. Ce fut vers ce tems-là q
témoin l’histoire, que rapporte l’auteur de sa vie, de ceux qui, à la fin d’un repas qui avoit duré toute la nuit, formèren
pas encore exposé sur la scène ; Clitidas, plaisant de Cour, est plus fin que n’est Moron dans la Princesse d’Elide 136. Un
jugement qu’il n’auroit besoin que de la premiere pour arriver à ses fins  ; mais, l’étourdi détruisant par son caractère to
le à Eschinus ny à Ctésiphon. Pour Sganarelle, il conserve jusqu’à la fin son caractère d’homme sauvage et bizarre, ce qui
funèbre de Moliere, Mercure galant). 58. Tout ce qui suit jusqu’à la fin de ces Mémoires a été reproduit mot pour mot dans
55 (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32
la pièce. Ensuite l’examen des caractères, du plan et du style. À la fin se trouvera le jugement qui a été porté dans le t
u a émise sur ce chef-d’œuvre dans sa lettre sur les spectacles. A la fin de l’examen du Tartuffe, je compare cette pièce a
matériaux qu’il a pu amasser ? Il faut toujours qu’il réserve pour la fin , ces expressions énergiques, ces profondes sailli
nétrant. Aussi, un caractère doit-il toujours être le même jusqu’à la fin  : en convertissant son personnage, un auteur détr
56 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
u que leurs conseils si je ne sais les suivre… Et qu’au moins vers ma fin je recommence à vivre ; Car je n’ai pas vécu ; j’
Dans la balance met Aristote et Cottin ; Puis, d’une main encor plus fine et plus habile, Pèse sans passion Chapelain et Vi
poétique : elle l’apprécie en moraliste profond, en esprit délicat et fin , en écrivain habile, en poète du premier ordre. Q
œurs dissolues et les mœurs chastes et décentes trouve son terme à la fin de la période que nous parcourons ; il était néce
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du point où doit commencer l’action d’une fable comique. » pp. 172-177
qui seroit encore pis. Aussi l’intrigue est-elle traînante jusqu’à la fin du second acte, lorsque l’amour, ou, pour mieux d
de sang froid toutes les pieces dont l’action ne commence qu’après la fin ordinaire des autres, c’est-à-dire après le maria
58 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
r Boursault. Il assiste à une représentation du Portrait du peintre ; fin de leur querelle. Beau trait de Boursault envers
l de Bourgogne et lui enlève sa meilleure actrice. Cette brouille met fin aux réunions d’Auteuil et de la rue du Vieux-Colo
tte époque, jouer que de bien jeunes rôles, car il n’était né qu’à la fin de 1630. Ceux-ci tenaient le jour d’un Joseph Béj
; pendant ce temps-là je ne perdais pas de vue Boissat lui-même. À la fin , Georges de Musy, premier président de la cour de
orts qu’il fit pendant quelque temps pour le dissimuler. Il prit à la fin le parti de le confier à mademoiselle De Brie, do
able que ses camarades et lui parcoururent ensuite le Midi jusqu’à la fin de la belle saison. L’hiver les avait ramenés à L
elle saison venue, elle reprit sa vie nomade, nous la retrouvons à la fin de 1654 à Montpellier, où le prince et la princes
Molière les voyages et les séjours que nous allons la voir faire à la fin de 1657 et au commencement de 1658, ne nous perme
il fallait avoir prouvé qu’on connaissait, comme le dit Madelon, « le fin des choses », « le grand fin », « le fin du fin »
connaissait, comme le dit Madelon, « le fin des choses », « le grand fin  », « le fin du fin », et y être présenté par un d
, comme le dit Madelon, « le fin des choses », « le grand fin », « le fin du fin », et y être présenté par un des hommes qu
le dit Madelon, « le fin des choses », « le grand fin », « le fin du fin  », et y être présenté par un des hommes qui y don
sages que fous ! Pour moi, j’y portai trente sous ; Mais, oyant leurs fines paroles, J’en ris pour plus de dix pistoles. Nou
la troupe de Molière donnait ses représentations, fut abattue vers la fin d’octobre, lorsqu’on eut résolu de bâtir la colon
contenance, quand le refus d’une obscure fille d’honneur vint mettre fin à cette longue suite de succès. Le surintendant t
nsinuer dans les cœurs. — Pour de l’esprit… — Ah ! elle en a, du plus fin , du plus délicat. — Sa conversation… — Sa convers
, auxquels leur scrupuleuse austérité ne permit pas d’ouïr jusqu’à la fin ce tissu d’abominations. Un bel esprit patenté de
e du jeune Boursault, auquel Molière n’avait pas songé, afficha, à la fin de septembre sans doute ou au commencement d’octo
n’eut semblé depuis prendre à tâche de les justifier lui-même par sa fin tragique. Il mit, selon quelques biographes, tant
n’offrait plus de témoignage de cette ressemblance illicite. Vers la fin de 1663, il se trouva en butte à des calomnies do
nous l’avons démontré, ne connut mademoiselle Béjart l’aînée qu’à la fin de 1645, c’est-à-dire plus de sept ans après la n
e et de l’envie. La requête de Montfleury avait été présentée vers la fin de 1663, et le 28 février suivant le Roi et la du
sa troupe s’était considérablement accru, et chaque part devait, à la fin de cette année théâtrale, s’élever à un total de
s plus agréables ornements de ces jeux, par une infinité d’allégories fines sur les mœurs du temps et par des à-propos qui fo
e la caisse en fût moins vide. Le prince donna des ordres pour mettre fin à cet abus. Mais les plus mutins de ceux sur qui
portier fit pendant quelque temps la meilleure contenance, mais à la fin , contraint de céder au nombre, il jeta son épée à
cins. À la vérité, ces traits sont lancés par un personnage puni à la fin de la pièce ; mais il y aurait bien de l’amour-pr
d’applaudissements, et prit le parti de conserver ce rôle jusqu’à la fin de sa carrière théâtrale. On prétend qu’elle le j
même apostrophe sans que son antagoniste en entendit rien ; mais à la fin Boileau, Molière et les autres convives partirent
lle Qu’une petite bagatelle : Mais cette bagatelle est d’un esprit si fin , Que, s’il faut que je vous le die, L’estime qu’o
s ? La latinité avait assez le goût antique pour en imposer aux plus fins connaisseurs en ce genre, la galerie y fut trompé
embarras, s’avoua enfin pour l’auteur de la chanson improvisée. À la fin de cette même année, Louis, toujours avide de pla
théâtres n’était pas alors très sévère. Quand le troisième acte, à la fin duquel Jupiter descend sur un nuage avec fracas,
eigneurs. Mais le glorieux traité d’Aix-la-Chapelle étant venu mettre fin à ces débats sanglants et rendre les vainqueurs a
pouvons le répéter de sa prose. Celle des auteurs dramatiques que la fin du dix-septième siècle et le dix-huitième tout en
s excusée et toujours plaisante ?… « La postérité saura peut-être la fin de ce poète comédien qui, en jouant son Malade im
e songea à mettre à la scène une histoire plaisante qui eut lieu à la fin de cette année, et dont nous empruntons le récit
rès quoi le barbier a été mis en prison, où il est et sera jusqu’à la fin du procès. Quelques-uns disent qu’il y a quelques
ui diffère de celui de La Princesse d’Élide, et surtout par la guerre fine et délicate que Molière y déclare à l’une des err
e lui donner en laissant vivre le condamné. N’avons-nous pas vu, à la fin du dix-huitième siècle, un intrigant mystérieux,
nt assuré un grand nombre d’admirateurs. Molière, pour en venir à ses fins , inséra dans le premier intermède des Amants magn
ajouter à sa signature. Un auteur dramatique, quelquefois observateur fin et délicat, Poinsinet, n’a-t-il pas, par sa facil
aux à conduire que des comédiens ! » On avait eu plus de succès à la fin de l’année précédente dans les démarches qu’on av
n mari ne mourut que vingt-huit ans plus tard. Il avait perdu vers la fin de 1707, ou au commencement de 1708, un fils issu
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le fin , Et, sans honte, à Térence allié Tabarin. Dans c
sur les comédiens de son temps (par mademoiselle Poisson). 61. À la fin de 1663, les cantons suisses envoyèrent des ambas
Le Bas) ; Rouen, Julien Courant, 1674, in-12 : De deux comédiens la fin est bien diverse : Genest, en se raillant du bapt
59 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. M. BARTHE. » pp. 413-419
rti prendre ? que faire ? Me glisser modestement & bien vîte à la fin de ce Chapitre. J’ai donné aux François la Présom
, & plusieurs Tragi-comédies, sur-tout un Mystere composé vers la fin du quinzieme siecle ; il est intitulé le Mystere
60 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
e point d’intrigue dans les Adelphes ; celle de l’Ecole des Maris est fine , interessante & comique. Une des Femmes de la
suffit pour en faire connoître le mérite. On y trouve des réflexions fines & délicates, avec des détails curieux & i
61 (1900) Molière pp. -283
e ? Oui, dit-il, goûtez à votre aise et justement en celle-là tant de fins mérites et de solides vertus ; mais, en songeant
Si tu la tuais… ! (Scène première.) Passez ensuite tout à fait à la fin du théâtre de Molière, au Malade imaginaire, aux
nez de le voir, cet élément comique, cher à Molière, au début et à la fin de son théâtre, se traduit par des images égaleme
i ses pièces, où l’on est tout le temps dans Paris, on se trouve à la fin transporté, par un hasard presque toujours ininte
a bien des manières d’observer ; Molière ne cherche pas l’observation fine et subtile ; il n’essaye pas de fouiller les repl
l’homme de cour dans Dom Juan, et vous trouverez des phrases hachées fin et menu comme celles de Voltaire, dans la scène o
que leur condition irrite, qui veulent vivre dans le grand et dans le fin  ; comment Molière exprimera-t-il cet état d’espri
es, et le restaurateur Petit-Jean, chez qui l’on va faire des parties fines  : tout le croquis d’une ville de province, ressus
des plus intelligents, se laissent embarquer dans des intrigues sans fin , se laissent mener chez de soi-disant duchesses,
illage ; cependant, il serait infiniment plus facile de jouer au plus fin avec Célimène qu’avec Agnès. On nous a célébré, c
cela, n’a pas voulu, ce semble, que les hommes songeassent trop à la fin fatale de leur vie. Mais quand l’idée de la mort
ement Le Malade ; supposez qu’Argan soit réellement malade, et que la fin réelle de la comédie doive être la mort d’Argan,
i s’abandonnait volontiers à ses passions. Nous sommes en 1662 ; à la fin de 1662, et au commencement de 1663, la liaison a
s trois premiers actes, en effet, forment une comédie complète ; à la fin du troisième acte, voici où nous en sommes : Tart
t plus les frondeurs du commencement du règne, et les frondeurs de la fin n’ont pas encore paru ; La Bruyère est encore inc
on injuste, car, s’étant fait homme de retraite et de méditation à la fin de sa vie, le prince de Conti a écrit contre la c
nir, toutes les impertinences du monde ? Et il prétend justifier à la fin sa comédie si pleine de blasphèmes à la faveur d’
On sent très bien qu’au plus fort de la persécution religieuse, à la fin du règne de Louis XIV, alors que tout le monde ap
nces particulières à chaque âge ! Par exemple à trente-cinq ans, à la fin de la jeunesse, vous connaissez les passions malh
éressaient aux choses de l’esprit. « En 1857, écrivait Weiss vers la fin de sa vie, dans ce coin reculé et isolé du pays d
était riche et solide, dont le goût surgissait par éclairs, prompt et fin . « Le jeudi, vers quatre heures de l’après-midi,
comme le vers leste et varié du vaudeville. Quand notre poésie, à la fin du moyen âge, en était encore à des tâtonnements,
……………………………………… [N.-B.] Ce dernier dialogue s’arrête court : la fin a-t-elle été détruite, a-t-elle été égarée ? La p
t il commence à tout propos des discours dont on n’aperçoit jamais la fin . Il nous interrompt dix fois en un quart d’heure
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
avoir, comme la piece entiere, son commencement, son milieu & sa fin . Personne n’est, je crois, assez ignorant pour pe
e j’entends par le commencement d’une scene sa premiere ligne, par la fin , sa derniere, & par le milieu, celle qui est
isant brusquement, pour toute réponse, serviteur. Toute scene dont la fin ne répond pas au milieu & au commencement ; d
oivent entrer pour rien dans la piece. Continuons, & voyons si la fin répondra mieux au commencement, que le milieu. A
63 (1739) Vie de Molière
mmé Donneau fit jouer à l’hôtel de Bourgogne la Cocue imaginaire à la fin de 1661. Don Garcie de Navarre, ou Le Prince j
e point d’intrigue dans les Adelphes ; celle de l’École des maris est fine , intéressante et comique. Une des femmes de la pi
le monde joue ; il y en a qui ne sont faits que pour les esprits plus fins et plus appliqués. Si on osait encore chercher da
erait-on dans l’intrigue de la pièce, dont les beautés ingénieuses et fines ne sont pas également vives et intéressantes ; da
liberté de dire, que Le Misanthrope est une satire plus sage et plus fine que celles d’Horace et de Boileau, et pour le moi
souvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon l’agréable et le fin , Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans ce s
i des dénouements assez heureux, tant l’art dramatique est difficile. FIN DE LA VIE DE MOLIÈRE, ETC. 1. Toureil 2. Fon
64 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
chapitre ; vous voyez tout d’un coup le commencement, le milieu et la fin de cette œuvre qui, pour bien faire, doit être ég
st fatigant, plus que je ne saurais dire, de vous entendre crier sans fin et sans cesse, les uns et les autres : — « Molièr
d’un tapis poudreux ! Qu’a-t-elle fait de cette peau si blanche et si fine qu’on l’eût prise pour la feuille transparente de
t par ses veilles ; il porte plus haut ses projets ; il agit pour une fin plus relevée ; il demande aux hommes un plus gran
st redevable de sa statue, entre la Comédie sérieuse et la Comédie au fin sourire : Prætextata ! — togata ! Mademoiselle B
65 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
hez elles ? avec Armande Béjart, les Célimènes qui vivront jusqu’à la fin des siècles ? Et ainsi de tous les autres caractè
t toutefois vous plaire, Afin de trouver de l’argent. J’ai couru cent fins le notaire. Que mon sort voua fasse pitié : Trouv
À vous former les traits de l’esprit et du corps. Mais, lasse sur la fin d’un si pénible ouvrage, Elle vous a mal fait l’h
a gloire ; Et de tant d’amitiés, faites diversement, N’en aime que la fin ou le commencement. D’un amant qui vous rient vo
ci-bas sans seconde, Devait briller encore après celle du monde, À la fin s’est éteinte, et contre votre foi, Vous en favor
lxxvlt. Item. Un déshabillé complet, couleur aurore, garni d’argent fin , prisé deux cents livres, ci… iiclt. Item. Un au
ure, un corps, une jupe de taffetas vert, garnie de dentelle d’argent fin , prisé quatre-vingt-dix livres, ci… iiiixxxlt. I
tem. Une jupe de tabis jaune, Ramie de six petites dentelles d’argent fin , prisée douze livres, ci…xiilt. Item. Une jupe d
encore parmi ses adorateurs. Mais ce n’était pas encore sa nuit. À la fin de la représentation, il lui crayonna ces vers :
é à demi mort de douleur. Je ne sais si La Fontaine pleura, mais à la fin du roman de Psyché, il a pour ainsi dire consacré
e linon rayé avec une petite dentelle de Malines à bride, une chemise fine à usage d’homme, la dentelle faisant le tour du c
i ses grands jours, puisque ladite voleuse lui enlevait « une chemise fine  ». Il parait qu’on volait beaucoup les époux Beau
us voulez me voir l’épée à la main. — Et en disant cela, c’était à la fin de la farce, elle va quérir deux épées point époi
n une page cette vie en plein orage avec de rares arcs-en-ciel que ce fin lettré qui s’appelle Henri Lavoix, dans son excel
ui appartient à la curiosité publique morne par-delà la tombe ! Cette fin , un deuil pour le monde entier, n’est qu’un événe
66 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
ana page 38.) XVI. Le Latin Macaronique qui fait tant rire à la fin du Malade Imaginaire, fut fourni à Moliere par so
érentes folies. Moliere avoit peut-être en vue cette idée, quand à la fin de sa premiere Scene de l’Ecole des Femmes, il fa
& faisant des efforts de poitrine qui sembloient le menacer d’une fin prochaine. Moliere assez froid naturellement ; fi
67 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
c Scarron. — Naissance de son amour pour le roi. Nous touchons à la fin de cette guerre élevée entre la politesse sociale
mes honnêtes, spirituel les et polies, que nous avons remarquées à la fin de la période précédente, une doit faire la gloir
ondes. Il leur impose la durée malgré le temps qui hâte toujours leur fin . Il offre tant de sympathies diverses à satisfair
68 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
La fin du XVIIe siècle voit apparaître un genre de l’his
ge du Roi qui représentait Neptune dans une fête, et qu’il plaça à la fin du Prologue des Amants Magnifiques. Il ne s’en dé
tout le sujet de la Pièce, sur ce qu’on lui en expliqua ; et dit à la fin , qu’il aurait souhaité qu’il y eût dans le dénoue
rentes folies. Molière avait peut-être en vue cette idée, quand, à la fin de la première Scène de L’École des femmes, il fa
x, et faisant des efforts de poitrine qui semblaient le menacer d’une fin prochaine. Molière, assez froid naturellement, fi
. Tome I, p. 508 Le latin macaronique, qui fait tant rire à la fin de cette même Comédie, fut fourni à Molière par s
e La Princesse d’Elide. Ce fut même, de sa part, une galanterie assez fine , de présenter à deux Reines, Espagnoles de naissa
Tome II, p. 203-204 Louis XIV marchait vers la Lorraine sur la fin de l’été de 1662. Accoutumé, dans ses premières c
Paris, fut le Tartuffe : son admiration allait jusqu’à l’extase. À la fin de la Pièce, ses transports de joie augmentant en
Moliérana, 89, p. 133 Tome II, p. 406 C’est par les critiques fines et judicieuses, dont cette Pièce [L’Impromptu de
eaux esprits Français qui l’entouraient, souriaient à tous les traits fins , à toutes les Épigrammes, dont cette Pièce est re
s parus avant 1670. Elle sera largement diffusée, en revanche, dès la fin du siècle, par la parodie. On considère que l’air
ussi après, une place essentielle dans la troupe. Orateur chargé à la fin du spectacle de présenter devant le public la piè
69 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
à propos : Et ne saurait souffrir, qu’une phrase insipide Vienne à la fin d’un vers remplir la place vide. Ainsi, recommenç
ouvent grimacer ses figures, Quitté pour le bouffon, l’agréable et le fin , Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans ce s
70 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
totélisme, avait été, de la part de son maître Gassendi l’objet de si fines , amères et victorieuses railleries796 ? Il faut
n feront au commencement du siècle suivant les esprits forts, et à la fin de ce même siècle les scélérats qui ont fait de l
enir toutes les impertinences du monde ? Et il prétend justifier à la fin sa comédie si pleine de blasphèmes, à la faveur d
l’histoire de Scaramouche Hermite (voir la Préface du Tartuffe, à la fin  ; voir aussi J. Taschereau, Histoire de la vie et
71 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
Chapitre XXXVII et dernier 1679 et 1680 ( fin de la huitième période). — Mademoiselle De Fontan
ter le règne par une ostentation et des profusions sans exemple. À la fin de février, le roi partant pour aller au-devant d
dont il faisait le malheur par le désordre de sa vie, et d’avoir mis fin à la contagion de son exemple. Voilà le véritable
la société dévote que La Bruyère a si bien peinte. Elle allait mettre fin au scandale de ses désordres par une à hypocrisie
72
laquelle Goudouly était retiré au cloître des Carmes et proche de sa fin , étant mort quatre mois après). Que nous disent l
chaque pas l’intention de Molière. [1857-09] Édouard THIERRY. (La fin à la prochaine livraison) Quelques-uns de nos l
ent de la main. Le verre ainsi refusé reste sur la table ; mais, à la fin de l’acte, quand Orgon, plus ébloui que jamais, v
ge. Fechter joue bien aussi le changement d’attitude de Tartuffe à la fin du quatrième acte. Il tourne derrière Orgon, humb
iquée au « Chapeau Rouge » (Q. 109933). La maison fut démolie vers la fin du siècle dernier. Elle tenait son nom d’un potea
et ce n’en est pas moins un de ses morceaux les plus gais et les plus fins . Eraste attend, comme Juliette, la réponse à un m
ême qu’il est difficile de préciser. On la place généralement vers la fin de l’année de 1645, le dernier document connu jus
la vivacité naturelle de leurs saillies que l’agrément de leur jeu si fin dans sa bouffonnerie. Scaramouche était son acteu
r à son secours avec une barque, tout fut vain, on le ramena mort. La fin malheureuse de ce peintre est un mémorable exempl
définitivement donnée parce qu’elle expliquait, tant bien que mal, la fin d’un artiste dont ses compatriotes n’avaient plus
’une seule comédie de Molière, mais sa traduction est on ne peut plus fine et spirituelle, plus fidèle et à la fois plus per
ui a pour but de glorifier la mémoire de Molière. Cet esprit élevé et fin possède lui-même un grain de la superbe ironie de
mi les théâtres allemands, non seulement par son opéra, qui réunit la fine fleur des chanteurs et cantatrices allemands, mai
ernant Poquelin. Malheureusement une faute d’impression en a rogné la fin qu’il faut rétablir ainsi : « déclarant que pour
73 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
nduire dans une carrière de comique ignorée jusqu’à lui. Une critique fine et délicate des mœurs et des ridicules qui étaien
nt sages que fous ; Pour moi, j’y portai trente sous Mais oyant leurs fines paroles, J’en ris pour plus de dix pistoles. Ava
les autres jours. La salle du Petit-Bourbon ayant été démolie vers la fin d’octobre 1660, le roi accorda à Molière et aux c
gements sur ses ouvrages. 2. [Note marginale] Nous en parlerons à la fin de cet article. [*]. [Note marginale] Vie de Mol
dons compte ici, mais encore de deux autres, dont nous parlerons à la fin de cet article, et d’un dictionnaire en deux volu
74 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
ystère est répandu dans son Livre depuis le commencement jusques à la fin  : c’est une Énigme continuelle. Les égards de cet
eur qui a senti par avance cette objection, y répond modestement à la fin de son Livre. Un tel Ouvrage, dit-il, est au-dess
ne pas sûrement les personnes que l’Auteur a cachées. Nous voici à la fin du Livre, où l’Auteur nous dit qu’il a assez fait
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
uniment au commencement d’un acte la fable où il l’avoit laissée à la fin du précédent. Le public sait aussi mauvais gré au
ages, le spectateur & l’intrigue ne sont pas plus avancés qu’à la fin du second. Il ne suffit pas que l’entr’acte soit
piece est bien faite, l’Auteur a pris soin de l’en instruire avant la fin d’un acte & au commencement de l’autre. D’ail
76 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
en le voyant mimer le récit de l’aventure. Il lui accorda jusqu’à la fin de ses jours une faveur spéciale, et dans les inf
ienne ne fit pas cette fois un long séjour à Paris ; elle partit à la fin de l’année 1647 ou au commencement de 1648. On en
n coup de pistolet sur un de ses compagnons Ottavio, aventure qui mit fin à sa carrière théâtrale. Les caractères et les sc
77 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
décadence de la Compagnie » de Paris, et que c’est, proprement, à la fin de cette année quelle « finit, » bien que ce n’ai
la fin de cette année quelle « finit, » bien que ce n’ait été qu’à la fin de 1660 ou au commencement de 1660 que les « offi
partout « dans le monde; » ils y promènent avec impertinence « leurs fines railleries, leurs dédaigneux sourires, leurs demi
ans de famille » dont il était le chef s’installa en 1644. Or, dès la fin de l’année, la jeune troupe résilie son bail et «
ur eux, l’idéal d’une association de dévots. Quelle est, pour eux, la fin rationnelle de la vie chrétienne? C’est le soin q
ivains, t. V, Notice sur Don Juan. 22. « Qu’est-ce que signifie la fin de Don Juan, »disait en 1906 (L’Anticléricalisme,
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260
&c. La meilleure façon pour lier les scenes, est de préparer à la fin de chacune, comme je l’ai dit plus haut dans le c
e épitaphe, qui n’est pas merveilleuse : J’ai vécu l’homme le moins fin Qui fût dans la machine ronde, Et je suis mort la
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
n que Baron ait eu toujours la même adresse. Dans la même piece, à la fin du premier acte, la scene de toilette que Pasquin
, qui ne suis qu’une simple suivante, J’ai deviné l’énigme : elle est fine & galante ; Le tour est délicat. Lucile. Le
80 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
de l’auteur qu’on est étonné, c’est de soi-même. Molière n’est jamais fin ; il est profond, c’est-à-dire, que lorsqu’il a do
se donnent pas des rendez-vous chez Barbin; ils sont aujourd’hui plus fins et plus polis, et en savent beaucoup davantage. O
81 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
ans les amoureux tragiques ; mais, mieux fait et avec des traits plus fins , aurait-il réussi complètement dans la comédie et
successivement ou à la fois, et dont la carrière diffère tant vers la fin de ce qu’elle fut au commencement. Il est impossi
ec instances. C’est, du moins sa femme qui le dit dans la « requête à fin d’inhumation » qu’elle présentait à l’archevêque
mme nous dirions aujourd’hui ; ainsi « une grande coupe de porcelaine fine , » soixante-huit pièces de cette porcelaine de Ho
i d’action, le poète fait de Sganarelle un médecin pour rire, à seule fin , semble-t-il, de pouvoir placer sur les médecins
e voix, enfin que, par surcroit, il souffrait de l’estomac, et sur la fin de sa vie, ne pouvait plus se nourrir que de lait
re absolument. » Sa dernière heure d’activité fut pour son art. Noble fin , et digne de lui, malgré le terrible anathème de
nemis, à la façon de Corneille ou de Racine. Ce fut seulement vers la fin de sa carrière que, pris d’impatience, à la longu
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
nnette. Une longue cornette, ainsi qu’on nous en voit, D’une dentelle fine , & d’environ un doigt, Est une jardiniere : &
d’un lacet : Et comme il rend la taille & moins belle & moins fine , On a cru lui devoir le nom de gourgandine. Vous
83 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
’arc de triomphe, en général, ce fragment de mur sans commencement ni fin , ce joujou qu’il n’appartient qu’aux fabricans de
it délicieux; sous Louis XV, on a écrit des comédies charmantes; à la fin du XVIIIe siècle même, et à la veille de la révol
84 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [68, p. 104] »
t le Tartuffe de Molière ; son admiration alla jusqu’à l’extase. À la fin de la pièce, ses transports de joie augmentant en
85 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
nage sur ses préventions et sur ses habitudes. Lorsque Gorgibus, à la fin de la pièce, dit aux deux folles qui font sa hont
, une idée des bienséances de la scène italienne à cette époque. À la fin du second acte, il est nuit. Delmire, charmée de
e point d’intrigue dans les Adelphes ; celle de L’École des maris est fine , intéressante et comique. Une des femmes de la pi
core ici le cas d’appliquer la distinction que j’ai déjà établie à la fin des notes du Cocu imaginaire, entre le dénouement
86 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
té mis par Molière lui-même dans le secret de ses intentions les plus fines , on peut dire qu’il les a devinées avec une sagac
harme de tous les esprits. L’action simple et peu animée, les beautés fines , délicates, mais quelquefois un peu sérieuses du
e, mère de Louis XIV, était morte au commencement de 1666. Jusqu’à la fin de cette année, les jeux et les fêtes de la cour
rade, voyait déjà Molière d’un œil jaloux et malveillant ; mais, plus fin courtisan qu’habile poète, il crut devoir flatter
87 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [92, p. 135-136] »
elle Qu’une petite bagatelle, Mais cette bagatelle est d’un esprit si fin , Que s’il faut que je vous le die, L’estime qu’on
88 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
s les cœurs. — Pour de l’esprit…. — Ah ! elle en a, Covielle, du plus fin , du plus délicat. — Sa conversation… — Sa convers
e du Bourgeois gentilhomme, à l’occasion dédaigneux ou hautain, d’une fine ironie ou d’une insolence méprisante, comme le Cl
ur elle que des jeux de scène et une situation très plaisante vers la fin , lorsque la fausse muette s’épanche tout à coup e
d’eux ne l’accusa d’être ce qu’il craignait tant de devenir. Vers la fin de son Impromptu de l’hôtel de Condé, Montfleury
te lors de Psyché ; en tout cas, elle n’eut pas lieu plus tard que la fin de 1671, entre les Fourberies de Scapin et la Com
d’accueillir le Palais-Royal : une longue rivalité aurait ainsi pris fin . Mais, accepter cette réunion, n’était-ce pas, de
plus qu’elle avait bien besoin d’un homme pour la protéger et mettre fin par sa seule présence à une situation des plus pé
89 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
nuer dans les cœurs. — Pour de l’esprit... — Ah ! Elle en a, du plus fin , du plus délicat. — Sa conversation... — Sa conve
Roman comique et tel chœur d’Aristophane, ou certaines échappées sans fin de Rabelais. Le génie de l’ironique et mordante g
e s’étourdir. Pendant que sa verve se répandait ainsi en un rire sans fin , il souffrait à la fois et de ses chagrins domest
ent, le général Lamachus fait les apprêts du combat, et revient, à la fin , las, blessé et vaincu; tandis que le bon bourgeo
ment naturel pour le vrai et le beau. Ces observations sont justes et fines ; mais il faut y en ajouter une autre à laquelle j
ou s’il en dissimule l’absence, car il sert également à cette double fin  ; le critique allemand habitué au contraire à ent
er un confrère, et il se fiait tant prier, qu’il est bien obligé à la fin de se faire une douce violence et de dire tout le
e l’année, où à propos de rien il jeûne ou fait abstinence: mais à la fin de l’hiver il tousse, il a une mauvaise poitrine,
t, à qui il veut nuire et dont il désire la dépouille. Il vient à ses fins sans se donner même la peine d’ouvrir la bouche:
its peut-être pour lesquels le crayon de La Bruyère, ordinairement si fin , semble s’être émoussé, il nous paraît vivant et
ns admirables; elle n’apparaît que deux fois, au commencement et à la fin  : elle engage l’action et elle la clôt; mais avec
e aux faiblesses ridicules, où échappe la jeunesse. Elle entrevoit la fin solitaire qui la menace, et, à en juger par son l
ont il a déroulé devant nous les rapides péripéties, se prolonge sans fin dans le monde des rêves. Avons-nous perdu notre t
ditations mélancoliques ; il voudrait en savoir le commencement et la fin , et son regard, à la fois vague et profond, scrut
rneille et Molière, peuvent se tendre la main. Mais, dans ce duo sans fin que jouent la poésie héroïque et la poésie comiqu
si, place l’homme au milieu de la création. Elle lui sert à plusieurs fins . La nature étant en général plus sage et plus rég
es que cela peut avoir pour les hommes. Clitandre a un sentiment très fin des bienséances que la femme cultivée doit observ
u’en intérêt littéraire. Le berger Agnelet, ce trompeur d’autant plus fin qu’il a l’air plus niais, est l’instrument dont s
seule vertement châtiée. Il est vrai ; mais est-il nécessaire qu’à la fin d’une œuvre dramatique se fasse une distribution
dition où Dieu les a placés, est pour eux une source de déboires sans fin . La piteuse mine de Georges Dandin renferme toute
pitales. Le génie du poète tragique ne prit tout son essor que sur la fin de sa carrière, et sous l’influence d’une grande
90 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [57, p. 94] »
uvent grimacer ses figures ; Quitté pour le bouffon, l’agréable et le fin , Et sans honte à Térence* allié Tabarin. Un cont
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
aux jeux de mots. Je ne dis point qu’on ne puisse y mettre des traits fins & malins ; mais il faut que tout le comique q
i. Nous ne trouvons à cette réponse, isolée de la situation, rien de fin , rien de malin, & sur-tout rien de comique. L
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLII. De l’art d’épuiser un Sujet, un Caractere. » pp. 493-503
s plaintes au pere & à la mere, & les rendre témoins, à telle fin que de raison, des sujets de chagrin & de res
aractere, en nous peignant sa naissance, ses divers progrès, & sa fin  ? Baron nous a donné l’Homme à bonne fortune. Mo
93 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
nnus. Sa raillerie était délicate, et il la tournait d’une manière si fine , que quelque satire qu’il fît, les intéressés, bi
s qu’on a trouvé à propos de converser. Le Lecteur observa que sur la fin de la Comédie Le Malade imaginaire qui était repr
94 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [81, p. 127] »
t de fonder une théorie de la comédie sur le modèle moliéresque. À la fin de la première édition (1772) figurent les Causes
95 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
s plus agréables ornements de ces jeux, par une infinité d’allégories fines sur les mœurs du temps, et par des à-propos qui f
ns l’action, a tout à fait disparu ; le commencement, le milieu et la fin sont autant de pièces à la suite l’une de l’autre
otive et rend vraisemblable l’hypocrisie à laquelle il a recours à la fin pour masquer ses vices et protéger ses forfaits.
96 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [46, p. 78-80] »
219 n’est ni moins naturel, ni moins ingénieux, et il est d’un plus fin comique. Mais le prodige de l’art, pour se tirer
97 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [52, p. 86] »
xa à Paris, au collège de Clermont (1666). Ce bel esprit, un des plus fins connaisseurs de la langue française, passait pour
98 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
s celles que nous connaissons. Les études historiques reçurent dès la fin du dix-huitième siècle une impulsion dont le véri
de ce goût qui suffit à la critique. Ce petit morceau est agréable et fin  ; mais nous apprend-il quelque chose sur Molière 
faire. Il a répété que ses idées étaient justes, nombreuses, variées, fines , élégantes, piquantes, intéressantes, instructive
étend conclure ?) Corneille est sublime, mais inégal. Racine est plus fin , plus touchant, plus pur, mais moins grand. Moliè
, qu’en un jour un seul fait accompli               Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli339. « Il y a là un grand probl
et je serais bien fâché de lui chercher noise auprès des amateurs de fines remarques littéraires. Mais, sans contredire La H
ils et indignes de cette science. Nous pouvons placer en tête ou à la fin de nos ouvrages un hymne à la Nature ; mais il su
morceau de critique admirative. Réponse de Lysidas au Chevalier ( fin ). Chapitre III. — Molière Molière est bien he
accessibles, pour les lieux communs de morale mondaine, les sentences fines et brèves, l’unité, la rapidité, la précision, la
99 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
yant une partie de quinze d’un détachement d’infanterie ; et, vers la fin de sa longue carrière, il s’indigna des scrupules
entures de Psyché, est Apulée, né à Madaure, ville d’Afrique, vers la fin du deuxième siècle : elles font partie de son rom
l’enfance, vendue comme esclave, devenue courtisane, et reconnue à la fin par quelque honnête citoyen. Ces événements étaie
uvent grimacer ses figures, Quitté, pour le bouffon, l’agréable et le fin , Et sans bonté à Térence allié Tabarin : Dans ce
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
un bon gentilhomme, comme il en est, qui se font un plaisir de mettre fin aux différends de leurs vassaux, & qu’on trai
entre eux deux. Il est aisé de s’en convaincre en lisant seulement la fin du second acte. Dans toutes les comédies, il y a
font cette critique platement ; les autres d’une façon ironique & fine . Par exemple, lorsqu’on appelle sur le théâtre un
re, quant il appelle un Notaire M. Bonnefoy. Le trait n’est pas moins fin , moins vif & moins senti. Je dois répéter ici
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