dicule que d’amasser du bien avec de grands travaux, & élever une
fille
avec beaucoup de soin & de tendresse, pour se
uche de rien ? Non, je me moque de cet usage, & je veux garder ma
fille
& mon bien pour moi. Il est dans cette résol
Il est dans cette résolution, quand Lisette vient lui annoncer que sa
fille
s’est trouvée mal. Sganarelle fait vîte appeller
très mal. Pantalon. Vous vous trompez, Monsieur le Médecin ; c’est ma
fille
qui est malade, & non pas moi. Arlequin. N’av
paternelle, qui dit : Tel est le pere, tels sont les enfants ? Votre
fille
n’est-elle pas votre chair & votre sang ? Pan
e sang ? Pantalon. Oui, Monsieur. Arlequin. Hé bien, le sang de votre
fille
étant échauffé, altéré, le vôtre doit l’être auss
écieux : mais... Arlequin. Mais, mais enfin, Seigneur Pantalon, votre
fille
est-elle légitime ou bâtarde ?. . . . . . . . . .
’à moi ? Crispin. Et cela vous étonne ! Une tendresse extrême Rend la
fille
le pere, & le pere elle-même. Entre eux deux
ur Italien, ou bien si son Crispin prétend connoître la maladie d’une
fille
en tâtant le pouls de son pere, à cause de la sym
il prend le bras de Sganarelle. ACTE III. Scene V. Clitandre. Votre
fille
est bien malade. Sganarelle. Vous connoissez cela
i ? Clitandre. Oui, par la sympathie qu’il y a entre le pere & la
fille
. Les connoisseurs verront facilement combien Mol
e dans laquelle Sganarelle consulte les Médecins sur la maladie de sa
fille
, est visiblement imitée du Phormion de Térence. D
ONANDRES, MACROTON, BAHIS. Sganarelle. Messieurs, l’oppression de ma
fille
augmente : je vous prie de me dire vîte ce que vo
t. (Ils parlent tous quatre à la fois.) M. Tomès. La maladie de votre
fille
... M. Desfonandres. L’avis de tous ces Messieurs.
ace ! M. Tomès. Monsieur, nous avons raisonné sur la maladie de votre
fille
, & mon avis à moi, est que cela procede d’une
vous ai dit mon avis. Si vous ne faites saigner tout-à-l’heure votre
fille
, c’est une personne morte. (Il sort.) M. Desfona
ci un amant, déguisé sous l’habit de Médecin, dit à Sganarelle que sa
fille
ayant la manie de vouloir être mariée, il faut se
rat. Sganarelle approuve la plaisanterie, signe : le Médecin & sa
fille
s’évadent : il demande où ils sont ; on lui répon
er pere, interrompant. Allons, ma nymphelette ; il est vergogneux aux
filles
de colloquiser diu & privatim avec tant vert
que Sganarelle, ne connoissant pas le faux Médecin pour l’amant de sa
fille
, ne doit pas se méfier de lui : remarquons même q
crie sur une grande nouvelle ; l’Empereur de la Chine doit épouser la
fille
du Grand Mogol. Il l’annonce au Docteur Merlino :
it payer beaucoup. Pantalon parle à l’Apothicaire de la maladie de sa
fille
: celui-ci lui conseille de quitter le Docteur On
Docteur Buona Testa salue gravement Pantalon, qui le prie de voir sa
fille
. Il répond qu’il est trop couru, & qu’il n’au
ntalon sort content. Buona Testa demande si Pantalon aime beaucoup sa
fille
, s’il est riche. L’Apothicaire croit qu’on lui pa
p sa fille, s’il est riche. L’Apothicaire croit qu’on lui parle de la
fille
du Grand Mogol, dont il a la tête pleine. Ils fon
: elle conclut que la malade en est amoureuse. Pantalon demande à sa
fille
comment va sa santé : elle répond qu’elle est trè
t. Pantalon ne sauroit se persuader qu’un mari eût plus de soin de sa
fille
que lui-même. Colombine apporte une petite soupe.
le que lui-même. Colombine apporte une petite soupe. Pantalon prie sa
fille
d’en manger : elle refuse, & ne consent d’en
die. Pantalon voit Colombine qui porte un verre de vin de Chypre à sa
fille
: il s’écrie qu’on veut la tuer, renvoie le vin.
aura se trouve soulagée. Le Médecin conseille à Pantalon de marier sa
fille
. Pantalon annonce une consultation. Le Docteur On
nte qu’on ne l’accusât d’abuser de sa profession. Pantalon conduit sa
fille
par la main. Buona Testa soutient qu’elle est trè
rice apprend à Pantalon que le Docteur Onesti ne veut plus visiter sa
fille
. Pantalon craint qu’il ne désespere de la guérir.
son oncle le Prêtre veut le faire d’Eglise : pour Marie Sancho votre
fille
, je ne pense pas qu’un mari lui fasse peur ; si j
ma foi, que si je viens à être Gouverneur, je marierai si bien notre
fille
, qu’elle sera appellée Madame par tout le monde.
Vraiment, ce seroit une jolie chose que nous allassions marier notre
fille
avec quelque Baron, qui, quand il lui en prendroi
rendroit fantaisie, lui chanteroit pouilles, en l’appellant paysanne,
fille
de pitaud & de meneur de cochons ! Non, non,
de meneur de cochons ! Non, non, mon ami, je n’ai point nourri votre
fille
pour cela ; apportez-moi seulement de l’argent, &
ncho ; pourquoi veux-tu, sans rime ni raison, m’empêcher de marier ma
fille
avec quelqu’un qui me donne de grands Seigneurs p
érese ; j’ai bien peur que ces Comtés ne soient la perdition de votre
fille
. Vous en ferez tout ce que vous voudrez ; mais, D
billez-vous à la grandeur, si la fantaisie vous en prend ; mais notre
fille
& moi n’en ferons pas un pas davantage, ou je
ambe rompue, & ne sauroit sortir de la maison, & les honnêtes
filles
ne se divertissent qu’à travailler. C’est à ces g
son, & que tu fuis ton bonheur. Si je te disois qu’il faut que ma
fille
se jette du haut d’une tour en bas, ou qu’elle co
. . . Or çà, ma femme, dit Sancho, demeurons donc d’accord que notre
fille
sera Comtesse. Jour de Dieu ! le jour que je la v
femme se prit à pleurer à chaudes larmes, comme si elle eût porté sa
fille
en terre. Sancho l’appaisa, en l’assurant que, qu
je ne suis point gentilhomme. M. Jourdain. Touchez là, Monsieur ; ma
fille
n’est pas pour vous. Cléante. Comment ! M. Jourda
e je veux avoir un gendre gentilhomme. Mad. Jourdain. Il faut à votre
fille
un mari qui lui soit propre ; & il vaut mieux
ous fourrez toujours dans la conversation. J’ai du bien assez pour ma
fille
; je n’ai besoin que d’honneur, & je la veux
à de fâcheux inconvénients. Je ne veux point qu’un gendre puisse à ma
fille
reprocher ses parents, & qu’elle ait des enfa
t-on, cette Madame la Marquise, qui fait tant la glorieuse ? c’est la
fille
de Monsieur Jourdain, qui étoit trop heureuse, ét
aquets, & je veux un homme, en un mot, qui m’ait obligation de ma
fille
, & à qui je puisse dire : Mettez-vous là, mon
emeurer toujours dans la bassesse. Ne me répliquez pas davantage ; ma
fille
sera Marquise, en dépit de tout le monde ; &,
il y a un trait visiblement imité de cet endroit ; le héros refuse sa
fille
à un fort honnête garçon, parcequ’il n’est point
la même maison. Acte i. Scene iii. Magnifico a dessein de marier sa
fille
Eléonora ; il parle de ce mariage à Célio : celui
e de Moliere. Acte i. Scene vii. Harpagon veut absolument marier sa
fille
à un vieillard qui la prend sans dot. On a beau l
nements très solides, que la promesse qu’on lui a faite de prendre sa
fille
sans dot. L’Aulularia de Plaute. Acte ii. Scen
dot. L’Aulularia de Plaute. Acte ii. Scene ii. Euclion accorde sa
fille
à un homme très âgé qui la lui demande en mariage
épete : « Gardez-vous bien d’oublier notre convention, savoir, que ma
fille
ne sera point dotée ». La scene de Moliere, à
elle de Plaute, puisqu’Harpagon résiste par avarice aux prieres de sa
fille
, qui le conjure de ne point faire son malheur, &a
oint faire son malheur, & qu’Euclion, loin de savoir s’il rend sa
fille
infortunée, croit au contraire faire son bonheur
’Avare de Moliere. Scene ix. Harpagon veut que Valere prenne sur sa
fille
un pouvoir absolu : il ordonne à Elise de faire t
st bien plus comique d’entendre un pere exhorter l’époux secret de sa
fille
à lui continuer ses leçons, que de voir un maître
Amidor, riche, mais fort avare, est passionnément amoureux de Corine,
fille
d’Argine, qui plaide pour une grosse succession,
e, & c’est pendant ce temps-là qu’on enleve à l’avare Crispin, sa
fille
, un ballot, & son coffre-fort. Cette comédie
onner la question à toute ma maison, à servantes, à valets, à fils, à
fille
, & à moi aussi. Que de gens assemblés ! Je ne
us horrible qui jamais ait été commis. Valere a secrètement épousé la
fille
d’Harpagon : il croit qu’on a découvert son maria
éja trop malheureux par la perte de son trésor, apprend encore que sa
fille
a été subornée. L’Aululaire de Plaute. Acte iv
lus grand chagrin de la perte de son trésor. Liconide, qui a violé la
fille
d’Euclion, qui lui a fait un enfant, paroît : il
e croyant la cause du vol qu’on lui a fait : il découvre enfin que sa
fille
a été violentée par Liconide. Le même quiproquo
oches Célio son commis : celui-ci, qui a une intrigue secrete avec la
fille
de la maison, se croit découvert, avoue une faute
r une inclination qui n’est pas un grand mal entre un commis & la
fille
de son bourgeois ; mais Valere, marié secrètement
ée que celle d’Arlequin ; par-là Harpagon, apprenant l’intimité de sa
fille
avec un intendant, doit être dans une situation b
la plus vive passion. Elle est reconnue à la fin de la piece pour la
fille
d’Anselme, qui la donne à Cléante. Le Case svali
l’aime aussi ; il obtient la préférence : la belle se trouve ensuite
fille
du Docteur. On la marie à Célio. Voilà encore u
qu’elle est aimée de Magnifico. Quand le Docteur la reconnoît pour sa
fille
, il faut qu’Arlequin rassure ce pere sur la condu
r sa fille, il faut qu’Arlequin rassure ce pere sur la conduite de sa
fille
, & que le pere croie de bonne foi un répondan
nduite de sa mere. L’Avare de Moliere. Anselme veut épouser Elise,
fille
d’Harpagon : trop content d’obtenir sa main, il n
e l’Avare. L’Aulularia de Plaute. Mégadore est amoureux de Phædrie,
fille
d’Euclion, & la demande en mariage : il offre
scene, que Mégadore, étant riche, a résolu de faire la fortune d’une
fille
sans bien, mais honnête. Il jette les yeux sur Ph
e d’une fille sans bien, mais honnête. Il jette les yeux sur Phædrie,
fille
d’Euclion, qu’il croit misérable. EUCLION, MÉGA
rlez-vous ainsi seul ? Euclion. Je déplore ma misere. J’ai une grande
fille
à marier, & je n’ai point de dot à lui donner
la, Euclion ; ayez bon courage : on vous donnera de quoi marier votre
fille
: moi-même, je m’offre à vous assister. Dites, qu
présence au logis. Mégadore. Par Pollux ! quand je lui demanderai sa
fille
en mariage, il s’imaginera sans doute que je me m
franchis le pas ; & je vous prie de m’accorder mademoiselle votre
fille
en mariage. Promettez-moi que cela sera. Euclion.
te homme si je le faisois. Euclion. Pourquoi donc me demandez-vous ma
fille
? Mégadore. C’est afin que vous soyez mieux à cau
amp; le plus gueux de tous les humains. Cela supposé : si je marie ma
fille
avec vous, je m’imaginerai que vous êtes un bœuf,
’abord que je n’ai pas un sol à donner. Mégadore. Ne donnez rien. Une
fille
bien née, sage & de bonnes mœurs, apporte tou
use, je ne suis pas assez mauvais pere pour empêcher la fortune de ma
fille
: je vous la promets donc. Mais... mais.... Ecout
ais dessein. Mégadore. Finissons donc. A la fin m’accordez-vous votre
fille
? Euclion. A la condition que je vous ai dite ; c
Dieux ! gardez-vous bien d’oublier notre convention ; savoir, que ma
fille
ne sera dotée de quoi que ce soit. Mégadore. Ne c
ieres propositions qu’un homme opulent lui auroit faites d’épouser sa
fille
, Harpagon faisant des réflexions sur l’avidité de
’Avare ne se déterminera pas à faire de la dépense pour la noce de sa
fille
. Ce vieillard est si avare, si dur à la desserre,
clion voudroit bien acheter quelque chose pour le repas de noce de sa
fille
: il a été au marché, il a trouvé la viande trop
as, comme Harpagon, ses propres enfants ; il ne laisse pas manquer sa
fille
même des choses les plus nécessaires, & ne l’
tend pour le terrasser. Euclion se corrige, & donne pour dot à sa
fille
ce pot plein d’or qui lui a causé tant de soucis.
on, plus ferme, plus décidé, conserve toujours son caractere, cede sa
fille
, renonce même à l’amour qu’il a pour Mariane, à c
Beaumanoir, marquis de Lavardin, gouverneur du Maine et du Perche et
fille
de Rostain de la Baume, comte de Suze et de Roche
emmes perdues7. Le jeune Modène suivit cet exemple, et s’attacha à la
fille
d’un simple bourgeois de Paris, appelée Madelène
connue depuis par son goût pour le plaisir. Il eut de cette femme une
fille
qu’il fit baptiser le 11 juillet 1658 sous leur n
il ne connaissait point. Le principal objet des attachements de cette
fille
était le fils d’un tapissier, qui formait une tro
. Quand il fut revenu en France, il s’informa sans doute de ce que sa
fille
était devenue. Le vieux Bejard s’était fait procu
était devenu amoureux de son élève. Elle n’avait jamais voulu que sa
fille
jouât la comédie20, se flattant peut-être qu’à l’
de Bejard. La vieille madame Bejard, Marie Hervé, la reconnut pour sa
fille
, quoiqu’elle fut véritablement son aïeule et sa m
Ce fut ainsi que l’on vint à bout de faire disparaître légalement la
fille
de M. de Modène, qui cependant ne la perdit pas e
r la vie de cet homme illustre, reconnaît que la femme de Molière est
fille
de Madelène Bejard, et de M. de Modène24. Il soup
i osait être rival de Molière, crut si bien qu’Armande-Grésinde était
fille
de la comédienne Bejard, qu’il accusa Molière d’a
fille de la comédienne Bejard, qu’il accusa Molière d’avoir épousé la
fille
et d’avoir vécu autrefois avec la mère25, parce q
e, et sans aucune espèce de fondement, si la femme de Molière eut été
fille
légitime du procureur, et si elle avait eu pour m
uffert. Quant à son père, il était mort avant le second mariage de sa
fille
, puisque Charles de Raimond son frère, prêta homm
nt sa mort, citées par Bayle30 et par Joly31, la reconnaît aussi pour
fille
de Madelène Bejard, et d’un gentilhomme que Madel
r les Mémoires fournis par la famille de Modène, dit (en 1750) que la
fille
de M. de Modène a épousé Molière. Il commet à la
eut de la nommée Guérin, femme de… Bejard comédienne de Molière, une
fille
naturelle que celui-ci épousa. » On voit que la
dène eut de la nommée Bejard, comédienne de la troupe de Molière, une
fille
naturelle que celui-ci épousa (Guérin, femme de).
dame Bejard aurait fait un enfant sept ans après l’accouchement de sa
fille
. Peut-être cela est-il absolument possible ; mais
gly. Paris, 1741, t. 4, p. 195. 15. Il descendait d’Yolande d’Anjou,
fille
du roi René. 16. Histoire des révolutions de Na
pour les autres. Qu’il s’agisse d’un père égoïste qui veut marier sa
fille
contre son gré ; d’un tuteur égoïste qui prétend
rsonnage que ce Gorgibus, reprochant aux « précieuses ridicules », sa
fille
et sa nièce, leur parure et leurs caprices ! « C
e ! Pour moi, un de mes étonnements, c’est que vous ayez pu faire une
fille
si spirituelle que moi ! » — « Mon Dieu ! ma chèr
spirituelle, à merveille, mais qu’elle reste simple dans son rôle de
fille
, d’amante ou d’épouse. Et comme Aristophane jadis
ux yeux de la loi et de l’opinion, presque absolue. « Le devoir d’une
fille
est dans l’obéissance », répétait-on volontiers.
issance », répétait-on volontiers. Qu’un père eût résolu de mettre sa
fille
au couvent ou de la marier à quelque déplaisant p
, il proclame que la femme a droit au bonheur. Cherchez à faire d’une
fille
, d’une épouse, une esclave, et elle se révoltera,
ndrer pour eux que de funeste, ils cesseront de faire peser sur leurs
filles
et leur femme un joug honteux. Mais, comme il se
ntifiant M. de Sotenville et la prude Mmede Sotenville donnent à leur
fille
Angélique, femme du pauvre Dandin. Cette femme se
périls sans doute ; elle le reconnaît elle-même : Je fais, pour une
fille
, un projet bien hardi, Mais l’injuste rigueur don
ts, les verrous et les grilles Ne font pas la vertu des femmes et des
filles
: C’est l’honneur qui les doit tenir dans le devo
De vouloir posséder un cœur malgré lui-même ! Il savait bien qu’une
fille
qu’on garde est gagnée à demi. Il ne l’a point ga
nitive, les hommes pieux qui, par conviction religieuse, poussent une
fille
à renoncer à toute affection terrestre pour n’aim
i a enseigné pour ne point se laisser attendrir par les prières d’une
fille
qui le conjure de ne pas la sacrifier : Allons,
ent mis son fils à la porte, il a rudoyé son frère et va sacrifier sa
fille
… Tels sont les dangers qu’un mauvais directeur fa
couvent apparait-il chez lui comme un épouvantail. Gorgibus menace sa
fille
et sa nièce : « Ou vous serez mariées toutes deux
unes filles que l’on prétend contraindre à renoncer à leur amour : la
fille
d’Harpagon, celle de Philaminte, celle de Monsieu
et sa mâtine de servante, Nicole. S’avise-t-il de vouloir faire de sa
fille
une marquise, malgré elle ? Madame Jourdain sera
r pour dire un : je le veux ? Vous laisserez sans honte immoler votre
fille
Aux folles visions qui tiennent la famille, Et de
ccupé surtout de se choisir un gendre médecin, veut-il contraindre sa
fille
à épouser Thomas Diafoirus ou à s’enterrer dans u
plus savants raisonnements du monde : Argan. Je ne mettrai pas ma
fille
dans un couvent si je veux ? Toinette. Non, vou
frère et l’aime dans son âme Cent fois plus qu’il ne fait mère, fils,
fille
et femme… Tout cela inquiète la servante. Par el
servante vient au fait brutal, positif. Orgon va-t-il contraindre sa
fille
à s’unir avec Tartuffe ? C’est une chose grave.
lle à s’unir avec Tartuffe ? C’est une chose grave. Sachez que d’une
fille
on risque la vertu Lorsque, dans son hymen, son g
sonne Dépend des qualités du mari qu’on lui donne… Et qui donne à sa
fille
un homme qu’elle hait Est responsable au ciel des
nsent d’avoir du courage. Avec quelle dédaigneuse pitié cette robuste
fille
rappelle à la réalité sa petite maîtresse Angéliq
prisé par un fils insolent qui bravera sa malédiction. Il laissera sa
fille
Élise exposée aux entreprises de Valère. — Monsie
proie à la folie des grandeurs, délaisserait sa femme et donnerait sa
fille
au grand Turc, sans y attacher d’autre importance
, sans y attacher d’autre importance. — Un amoureux au désespoir, une
fille
cloîtrée, une autre déshéritée, deux frères broui
ière à tous les humains. Votre devoir de père, de mère, de tuteur, de
fille
, d’épouse, d’ami, de serviteur, de maître, de suj
t seconder ses desirs : ils cherchent un Médecin pour guérir Lucinde,
fille
de leur maître, qui est devenue muette. Martine s
n apothicaire. Sganarelle le présente à Géronte, en lui disant que sa
fille
en a besoin. La malade paroît. Le Médecin ordonne
se le pere pendant ce temps là ; mais Lucas avertit son maître que sa
fille
s’enfuit avec Léandre déguisé en apothicaire, &am
re son éleve, & promet de guérir Eularia. Pantalon. Monsieur, ma
fille
est malade ; je me flatte que vous la guérirez. A
utte Perce le plus dur rocher. Je tomberai goutte à goutte sur votre
fille
, & par le moyen de ce remede anodyn, je lui p
ertaine. Pantalon. Oh ! Monsieur, cela n’opérera pas. Je crois que ma
fille
est opilata. Arlequin. Ou Pilate ou Caïphe, je la
re Arlequin ; mais Pantalon donne son consentement au ravisseur de sa
fille
, & tout s’accommode. Dans la scene qui donn
ecin de campagne. Le voici à-peu-près : Un riche laboureur épousa la
fille
d’un gentilhomme. Craignant ensuite que, tandis q
ouriers de Cour qui lui demanderent à dîner. Elle apprit d’eux que la
fille
du Roi étoit fort incommodée d’une arête de poiss
lace à un procédé plus honnête. Je ne prétends point vous voler votre
fille
, & ce n’est que de votre main que je veux la
, votre vertu m’est tout-à-fait considérable ; & je vous donne ma
fille
avec la plus grande joie du monde. Dans la derni
ie du monde. Dans la derniere scene de Zélinde, Cléarque surprend sa
fille
Oriane avec Mélante son amant. Cléarque. Quoi !
ois actes, en prose, par M. Lacroix33. Lélio est amoureux d’Isabelle,
fille
de M. Baroquin. Ce dernier ne veut pas unir les d
cequ’il est l’ennemi mortel du pere de Lélio ; il donneroit plutôt sa
fille
au premier homme qui se présenteroit. Entre plusi
avec lui vous préparer pour la cérémonie, afin de voir ensuite votre
fille
, & de conclure le mariage. M. Jourdain. Tant
D, Facétie en un acte, en prose. Almanzor est amoureux de Zulime
fille
du Cadi. Le chagrin de ne pouvoir parler à l’obje
Extrait de la Piece. Avant-Scene. Cidalise a promis Rosalie sa
fille
à Damis, jeune Officier ; mais elle s’est depuis
sprit, qu’elle en est ensorcelée, & veut en conséquence marier sa
fille
avec Valere : elle lui dit pourtant d’espérer, &a
n ordonnant à Marton d’aller renfermer son Platon. La mere avoue à sa
fille
qu’elle ne l’aime pas précisément parcequ’elle es
voue à sa fille qu’elle ne l’aime pas précisément parcequ’elle est sa
fille
, mais en qualité d’être 34. Rosalie lui parle de
rnieres volontés d’un homme qui n’étoit qu’un sot, & ordonne à sa
fille
d’accepter Valere, qui, non content de l’aimer, s
les Philosophes, elle le quitte en lui protestant qu’il n’aura pas sa
fille
. Crispin accourt pour savoir si Damis son maître
je ne me trompe, à celui des Femmes Savantes. Cidalise veut donner sa
fille
à un homme qui flatte sa manie : Philaminte a la
ée pour Trissotin. Le pere de Rosalie vouloit avant sa mort marier sa
fille
avec Damis : Chrisale, vivant, veut unir sa fille
t sa mort marier sa fille avec Damis : Chrisale, vivant, veut unir sa
fille
avec Clitandre. Cidalise méprise les volontés de
duit chez Cidalise & la flatte bassement pour avoir le bien de sa
fille
? N’a-t-il pas son peu de délicatesse, ou plutôt
moins.Certainement. Marton. Je le suppose au moins. Certainement.Les
filles
Ne font rien, comme on sait, sans l’avis des fami
e est trop comique, & je rirai long-temps d’une mere qui prend sa
fille
pour un arbre. Alors tout le monde éclata, &
ut bas à chacune de lui donner la préférence, & sort. Les petites
filles
sont très contentes. Sganarelle les arrête pour l
ir la bouche, si sa femme peut résister à la fatigue du ménage, si sa
fille
est toujours jolie, si son fils fait toujours bie
e, en disant que la mort venge le ciel offensé, les loix violées, les
filles
séduites, les femmes mises à mal, & les maris
mp; lui conseille de prendre la fuite par la porte du jardin. Tisbéa,
fille
d’un pêcheur, paroît une ligne à la main. Elle se
ouver très courte, & en reconnoissance il lui promet de marier sa
fille
Dona Anna avec Don Juan. Ils sortent. Don Juan &a
Duchesse Isabelle. Le Roi indigné ne veut plus le marier à Dona Anna,
fille
de Gonzalo, & le bannit. On annonce au Roi le
is. Don Juan lui jure le contraire. Don Gonzalo entend les cris de sa
fille
: il paroît avec son épée nue. Dona Anna crie tou
le a quitté Naples, & la voici sur la scene. Tisbéa, cette petite
fille
de pêcheur que Don Juan a séduite, court aussi ap
S. François. (Extrait de la Piece Italienne.) Avant-scene. Isabelle,
fille
de Don Pedre, voit à la Cour le Duc Octave, en de
ire. Isabelle, désespérée, crie. Don Pedre vient avec une bougie : sa
fille
prend la fuite. Don Juan éteint la lumiere. Don P
le pour la Castille. Pendant ce temps-là Don Pedre a comploté avec sa
fille
Isabelle de soutenir que le Duc Octave s’est réel
r une tempête.) Arlequin & Don Juan luttent contre les flots. La
fille
d’un pêcheur les voit, a pitié d’eux, leur donne
u, & demande du vin. Don Juan revient à lui ; il trouve la petite
fille
qui l’a secouru fort jolie26, il feint de vouloir
e séduire Proserpine. Don Juan revient, & veut partir : la petite
fille
veut être du voyage, & lui rappelle les serme
e, qui, pour le consoler de Naples, veut lui faire épouser Dona Anna,
fille
du Commandeur d’Oliola. Le Roi en parle lui-même
mbeaux, jette les hauts cris. Deux domestiques emportent le mort : sa
fille
suit en pleurant. Acte IV. Le Duc prie le Roi d’
perstitieuse, amoureuse du merveilleux, ait vu avec grand plaisir des
filles
simples subornées par un scélérat, des rendez-vou
Le Festin de pierre, ou le Fils criminel, tragi-comédie 30. Amarille,
fille
de Don Pedre, promet à Don Philippe son amant de
de paroître devant son Monarque. Son ami lui annonce le bonheur de sa
fille
, lui apprend que le Roi veut la marier avec le Du
e l’avoue à l’auteur de ses jours. Celui-ci veut lui persuader qu’une
fille
bien née aime l’époux qu’on lui donne. Il lui com
e une chambre de l’appartement du Commandeur, qui est à table avec sa
fille
Anna & Don Juan.) Don Juan affecte de lorgne
Don Juan profite de l’absence du pere pour faire une déclaration à la
fille
. Elle lui dit d’obtenir l’agrément du Commandeur
rtune qu’il appaise un marchand, en lui demandant des nouvelles de sa
fille
, de sa femme, de son fils & du petit chien.
; il croit Sir Charles son fils à l’armée, & part avec Eugénie sa
fille
pour Londres. Le Lord Clarandon l’a séduite en fe
bre voisine de celle où il entre. Le Baron arrive, veut aller chez sa
fille
; le jeune homme l’arrête : ils mettent l’épée à
e servir pour traverser l’amour que D. Lope son frere a pour Jacinthe
fille
de Don Sanche. Il prie Alonse de persuader au vie
méprise ; il offre, dit-il, de le réparer en donnant la main à votre
fille
, & ne veut se nommer qu’après la parole donné
s n’est pas mort ; il change alors de dessein, ne veut plus donner sa
fille
à celui qui l’offensa, veut charger son fils d’un
con pour l’appeller, y trouve le Comte, se doute qu’il est là pour sa
fille
, crie au secours & veut le retenir ; le Comte
e conduit auprès de sa sœur. Le pere de l’Ecolier veut entrer chez sa
fille
, trouve un homme qui s’oppose à son passage. Act
ent fois visitée & courue, Il ne logea jamais Dame de qualité, Ni
fille
de mérite ou de rare beauté, Qui méritât d’un Com
œur, mon sang pour elle plaide : Et souviens-toi qu’elle est & ma
fille
& ta sœur. D. Pedre. Je sers mon ennemi contr
ame, ouvrez la porte, ou je la mets à bas. D. Félix. Un homme chez ma
fille
! ô Dieu ! D. Pedre. Un homme chez ma fille ! ô
Félix. Un homme chez ma fille ! ô Dieu ! D. Pedre. Un homme chez ma
fille
! ô Dieu !Contre son pere. Défendre un ennemi ! L
de ses fermiers nommé Adams, est frappé d’une figure céleste. Fanni,
fille
d’Adams, est un ange descendu sur la terre : elle
mis, nommé Thoward, rit de sa passion, propose au Fermier de céder sa
fille
au Lord moyennant une somme : le pere frémit d’in
ertueux Adams qui lui oppose la distance qu’il y a de son maître à sa
fille
. Thatley insiste, & demande seulement que le
mettre Angélique au couvent pour assurer toute la fortune à sa propre
fille
? Préférez-vous Philaminte, la savante ? Vous app
rsiffle. Toute son étude est de faire aller sa maison et de marier sa
fille
; et elle la mariera, car il s’est rencontré un h
la vieille roche. Elle est plus âgée que Philaminte ; elle est restée
fille
comme Mlle de Scudéry, et renchérissant ainsi sur
Quand elle se croit ruinée, elle n’en persiste pas moins à marier sa
fille
avec Trissotin, le supposant assez généreux pour
’elle dédaigne son mari, et qu’enfin, par suite de son entêtement, sa
fille
Henriette a failli épouser un plat intrigant. Arm
s. Peut-être même, en se corrigeant de la pédanterie, l’éducation des
filles
est-elle tombée dans un autre excès. Les arts d’a
l’esprit français fut longtemps sans égal. On ne demande pas que les
filles
apprennent le latin, ainsi que le permet Fénelon,
ses fautes ont leur excuse dans l’éducation qu’elle a reçue. Mais les
filles
peuvent naître coquettes, et même elles naissent
outes coquettes, dans un sens qu’il est à propos de déterminer, « Les
filles
, dit Fénelon20, naissent avec un désir violent de
ce sens, que toutes les femmes sont coquettes. Il n’est pas de petite
fille
, si petite qu’elle soit, qui ne rie à sa belle ro
nuisible à moins qu’elle ne serve à faire marier avantageusement une
fille
; mais comment y servira-t-elle, si elle n’est so
tterie. Tant de manèges et de ruses ne se comprendraient pas dans une
fille
; ils scandaliseraient dans une femme mariée ; le
arents, médiocrement favorisés de la fortune, croient préparer à leur
fille
un mariage meilleur en la montrant au monde dans
armi tant d’adorateurs il ne se présente bientôt un mari. Les pauvres
filles
ne tardent pas à être désabusées, car l’éducation
nfin la femme qui doit fixer son choix. Elle s’appelle, de son nom de
fille
, Henriette ; nom charmant, que par une rencontre,
ne rencontre, peut-être accidentelle, ont porté dans le même temps la
fille
de Henri IV, cette malheureuse reine d’Angleterre
perfection de son caractère. Je me la représente volontiers comme une
fille
de dix-neuf à vingt ans, plutôt petite que grande
singulière aux observations que j’ai présentées plus haut : « Si une
fille
doit vivre à la campagne, de bonne heure tournez
e, et celle-ci s’inquiète de ce qu’aucun esprit ne se fait voir en sa
fille
. Elle en a pourtant, et de l’excellent. Une douce
aussi Philaminte, Armande et Bélise ? Que Philaminte regarde donc sa
fille
comme une sotte ; qu’Armande voie en elle une Cen
ire craindre les accidents que peut entraîner la violence faite à une
fille
que l’on épouse malgré elle. Enfin, comme il est
ousée en secondes noces, et lui a apporté un grand fils et une grande
fille
. Rien n’est plus malaisé pour une belle-mère enco
de prudence pour ménager toutes les susceptibilités. Ce fils et cette
fille
, qui auraient pu la voir d’un œil jaloux, elle a
des doctrines que nous serions bien fâchés de voir pratiquées par nos
filles
. Aussi nous punissent-elles quelquefois de notre
de telles marques d’indépendance. Le vieux sénateur, abandonné par sa
fille
, lance au Maure qui l’emmène cette menace qu’il s
des Desdémones, et la morale ne se fonde pas sur des exceptions. Une
fille
rebelle sera très probablement une femme rebelle.
. 18. Ibid. II, 7. 19. Femmes savantes, V, 5. 20. Éducation des
Filles
, ch. X. 21. Fénelon, Éducation des filles, chap
V, 5. 20. Éducation des Filles, ch. X. 21. Fénelon, Éducation des
filles
, chap. X. 22. La bruyère, Des Femmes. 23. Mi
e met en fureur ; Moncade dit qu’il a vu le Marquis parler à Mariane,
fille
de Julie. Marton, femme de chambre de Julie &
ue lui causent les extravagantes jalousies de Moncade : il a pincé sa
fille
, il l’a égratignée, il lui a pressé la main avec
ie de remettre l’entretien à une autre fois. Julie veut savoir si sa
fille
est éprise de Moncade. Marton paroît, Julie lui
ler Marton, elle veut aussi lui parler. Julie craint de chagriner sa
fille
en lui demandant l’aveu de sa passion. Marton re
e, elle veut parler à toutes deux en même temps. Julie devine que sa
fille
craint une explication. Mariane & Marton par
Marton d’appeller Mariane ; elle vient à point nommé. Julie dit à sa
fille
qu’elle va tout préparer pour la marier à Moncade
de se plaint à elle de l’infidélité de Mariane : la mere ordonne à sa
fille
de s’excuser ; elle le fait, en jettant le portra
tesse propose à Julie le Marquis pour gendre ; Julie y consent, si sa
fille
l’accepte. Julie fait appeller Mariane & Mar
ie fait appeller Mariane & Marton. Julie propose le Marquis à sa
fille
, qui n’ose refuser : Marton parle pour elle, &
Je sors ; mais si content...Moi je ne le suis pas. Vous attaquez ma
fille
: il est bon de détruire Un soupçon qui m’offense
ns : Détrompez, s’il se peut, ma raison & mes sens ; Justifiez la
fille
aussi bien que la mere. Julie. Je ne sais rien, M
’assomme. Ici Madame amene un je ne sais quel homme, Le présente à sa
fille
en qualité d’époux : Sa fille le reçoit. Hé bien,
je ne sais quel homme, Le présente à sa fille en qualité d’époux : Sa
fille
le reçoit. Hé bien, qu’en dites-vous ? Ai-je perd
je dois à toute ma famille, L’intérêt que je prends à l’honneur de ma
fille
, M’oblige à vous donner un éclaircissement Quand
i vous ne vous servez de ce dernier moment Pour prendre de ma main ma
fille
aveuglément. Mais si vous me forcez à vous la mon
ent à Glycerion. Il veut persuader à son fils que son mariage avec la
fille
de Chrémès est prêt à être conclu : s’il ne refus
Scene III. Dave réfléchit à part sur le mariage de son maître avec la
fille
de Chrémès : il apperçoit Simon. Celui-ci l’appel
mphile déplore son malheur. Chrémès, qui ne vouloit pas lui donner sa
fille
, y consent maintenant ; son pere le presse de con
Dave : en tout cas, il va, dit-il, chez Chrémès pour lui demander sa
fille
. Chrémès arrive fort à propos. Le bon-homme Chrém
lle Sosie, lui peint sa joie, lui dit que Chrémès consent à donner sa
fille
, après cela il le renvoie. Chrémès vient dire à
t dire à Simon qu’il a changé d’avis, & qu’il craint de rendre sa
fille
malheureuse. Simon lui proteste que son fils est
vient certifier la chose, en donne des preuves : Glycerion se trouve
fille
de Chrémès : on la marie à Pamphile, qui prie son
lui de Térence étoit fait dès que Chrémès reconnoît Glycerion pour sa
fille
, & que les deux vieillards consentent à l’uni
alienne intitulée les vingt-six Infortunes d’Arlequin, Pantalon a une
fille
qu’il n’a pas vue depuis son enfance. Elle arrive
de son fils, qui veut s’introduire dans sa maison sous le titre de sa
fille
. Il donne ordre à Arlequin de la conduire dans un
opards, de tigres. Bientôt il découvre que c’est réellement sa propre
fille
qu’il a condamnée à la mort ; il tire un grand mo
on, que ses exclamations touchantes sur son malheur & celui de sa
fille
qu’il a immolée, se marient agréablement avec les
qu’on joue cette piece, tout le monde se récrie sur l’intérêt que la
fille
de Pantalon excite ; pour moi, je la trouve moins
nte, de la part de la Médecine, de procéder au mariage conclu avec sa
fille
, qu’il n’ait auparavant guéri M. de Pourceaugnac.
e lui enseigner le logement de M. Oronte, parcequ’il vient épouser sa
fille
. Sbrigani feint d’être surpris ; & après s’êt
acheter chat en poche. Oronte lui déclare qu’il ne veut pas donner sa
fille
à un homme contre lequel des marchands Flamands o
papa, papa. Oronte, indigné, ne songe absolument plus à lui donner sa
fille
, & le livre au courroux de Lucette & de N
feint d’être désespéré, & lui annonce que Pourceaugnac enleve sa
fille
, & que Julie en est éprise. Le pere veut fair
Pourceaugnac. Un tel procédé touche si fort Oronte, qu’il propose sa
fille
à Eraste, en augmentant sa dot de dix mille écus.
t Sparte, le Maroc, l’Égypte, la Moscovie ou la Perse. Isabelle était
fille
du roi d’Égypte ou veuve spartiate, et Burattino,
r groupes. Ainsi vous avez Pantalone de’ Bisognosi, Vénitien, avec sa
fille
Isabelle, son fils Oratio, son valet Pedrolino et
e part, Zanobio ou Cassandro ou le docteur Gratiano Forbisone avec sa
fille
ou sa femme Flaminia, son fils Flavio ou Cinthio,
uelques analyses sommaires. « Dans Lo Specchio (le Miroir), Isabelle,
fille
illégitime de Pantalon, est amenée à Rome par sa
n et son amour pour Olympia, Olympia abandonnée donnant le jour à une
fille
, cette fille grandissant, venant à Rome, se dégui
r pour Olympia, Olympia abandonnée donnant le jour à une fille, cette
fille
grandissant, venant à Rome, se déguisant en page
n quella e Olympia è mia madre !” (Mon père, c’est moi qui suis cette
fille
et Olympia est ma mère !). » Pantalon, attendri,
ourd’hui), Stefanello, Vénitien, est en correspondance pour marier sa
fille
Ortensia à un jeune homme de Gênes nommé Flaminio
d à Bologne et de Bologne à Rome, ayant pris le nom de Pantalon et sa
fille
celui d’Isabelle. Cependant Flaminio, qui n’était
t à Venise, et dans laquelle il a vu le vrai nom de celui-ci et de sa
fille
. Le capitan a excité la jalousie de Flaminio ; ma
a beauté d’Isabelle, il renonce à son projet et demande la main de sa
fille
. Isabelle découvre à Flaminio qui elle est et qui
a, bien qu’il soit aimé d’Isabelle, obtient de Pantalon la main de sa
fille
Flaminia. Flaminia, que le récit de Flavio a plon
parée, pour le fond & les détails, avec la creduta Maschio, ou la
Fille
crue Garçon, Piece Italienne ; gli Sdegni amorosi
remier volume5. Extrait du Dépit amoureux. Albert est pere de deux
filles
, Lucile & Ascagne. La derniere est déguisée e
de Valere avoue à Polidore que son fils est marié secrètement avec la
fille
d’Albert. Polidore, troublé, fait demander un ent
ami. Celui-ci craint que l’autre n’ait découvert le stratagême de sa
fille
déguisée en garçon : ils s’abordent en se demanda
mariage avec Valere. Lucile épouse Eraste. La creduta Maschio, ou la
Fille
crue Garçon, Canevas Italien en trois actes. Par
o quatre mille écus ; que si au contraire la Dame mettoit au jour une
fille
, Magnifico donneroit une pareille somme au Docteu
une pareille somme au Docteur. Le jour de l’accouchement arrive, une
fille
vient au monde ; Magnifico, ne voulant point donn
ls d’un de ses cousins, né le jour même, & fait ensuite élever sa
fille
Diane sous le nom de Fédéric, & sous les habi
eiller sur le faux Fédéric. Brighel reste seul, & s’étonne qu’une
fille
ait pu se rendre si adroite à tous les exercices
mi, qui le suit en le plaignant. Le Docteur sort de sa maison avec sa
fille
Victoire, qui est fort mélancolique : le pere veu
ire, qui est fort mélancolique : le pere veut en savoir la cause ; la
fille
dit qu’elle est triste naturellement. Le Docteur
it que son secret est découvert, & qu’on sait que Fédéric est une
fille
. Il se trouble à son tour ; ce qui augmente l’emb
ur s’explique : enfin Magnifico rentre sans rien répondre, accable sa
fille
de reproches. Grand désespoir de Béatrix qui prot
intérêts ; mais tout s’accorde à l’amiable. Magnifico donne ses deux
filles
aux deux fils du Docteur, & tout le monde est
bien fait de les supprimer. En revanche, je crois le dénouement de la
Fille
crue Garçon plus piquant & mieux amené que ce
rosi, ou les Dépits amoureux, Canevas en trois actes. Acte I. Diane,
fille
de Pantalon, aime Flaminio ; mais son pere la des
a demande au Docteur son pere, & l’obtient. Le Docteur exhorte sa
fille
à donner la main à Pantalon. Pour rendre sa joie
appaise enfin en apprenant que le brave est Flaminio. Il lui donne sa
fille
. Silvio épouse Béatrix, & Colombine se marie
t. Tandis qu’ils vont dîner, un petit mot, Pancrace. Dirois-tu qu’une
fille
eût de l’amour pour moi ? Pancrace. C’est qu’elle
sentations. Les scenes les plus plaisantes sont prises de l’Ecole des
Filles
, comédie de Montfleury. Contentons-nous de les ex
Auteur une copie de l’Avare de Moliere. Harpagon a un fils & une
fille
qu’il laisse manquer du nécessaire, quoiqu’il jou
Félix entre pour lui demander en grace de n’avoir plus pour Léonor sa
fille
des soins qui pourroient lui faire du tort, étant
onnête. Tous les deux se trouvent mal dès que Don Félix présente à sa
fille
Don Juan en qualité d’époux, ce qui devient très
sa rage : Don Félix augmente le trouble en frappant à la porte de sa
fille
: Don Juan veut lui épargner le chagrin qu’il res
dans une piece ! Quoi qu’il en soit, la Léonor de d’Ancourt n’est pas
fille
à passer aussi mal son temps que l’autre Léonor :
augnac. Le héros, sot comme le Limousin de Moliere, vient épouser une
fille
qui ne l’aime point. On lui fait mille niches, &a
On lui fait mille niches, & l’on met à ses trousses une prétendue
fille
d’Opéra, qui s’oppose à son mariage, parcequ’elle
i ? Merlin. Eh ! par charité, Mesdames, ayez compassion d’une honnête
fille
qui s’est laissé débaucher par un méchant homme.
i s’est laissé débaucher par un méchant homme. Lisette. Vous êtes une
fille
débauchée ? Merlin. Hélas ! oui, pour vous rendre
airoit comme baume dans tout le quartier. Lisette. Il perd toutes les
filles
de réputation ; je vous l’avois bien dit. Merlin.
it pas un exemple, il n’y aura plus de bonne foi dans le commerce des
filles
. Lisette. Oh ! cette affaire-ci ira loin, sur ma
Thomasseau. Je suis votre serviteur, Madame. Vivien. Voilà une grande
fille
qui n’est pas mal faite. Mad. Dubuisson. Hé ! com
d. Dubuisson. Vraiment oui ; c’est une de nos amies, une fort honnête
fille
, qui postule pour chanter gratis à l’Opéra, afin
ion, que Monsieur Vivien de la Chaponnardiere y étoit pour épouser la
fille
de Monsieur, j’ai cru ne pouvoir me dispenser de
ad. Dubuisson. Je vous le disois bien, elle a toujours passé pour une
fille
fort sage. L’Orange. Si vous saviez, Monsieur, co
z, Monsieur, vous devriez mourir de honte de faire des présents à des
filles
qui jurent comme cela. . . . . . . . . . Il est
i, Monsieur. M. Bernard. Comment oui ! Lisette. Que voulez-vous ? les
filles
sont curieuses. On est bien aise de voir jusqu’où
jolie que les autres, il en devient amoureux ; il apprend qu’elle est
fille
d’un Huissier nommé Pillard18, qui est cabaretier
femme, se fait Rat-de-cave, devient amoureux de mademoiselle Margot,
fille
du cabaretier de l’Ecu à Nemours, dit qu’il est v
’ai pourtant oui dire qu’à Nemours il y avoit d’assez bonnes pâtes de
filles
, & qui promettoient.... Julien, à part. A Nem
ausse, pargué, de moi. L’Epine. Il y avoit dans ce temps-là une jolie
fille
dans une certaine hôtellerie ; là, comment l’appe
tellerie ; là, comment l’appellez-vous ? aidez-moi à dire. Julien. La
fille
de l’Ecu ? L’Epine. Oui, justement, la fille de l
z-moi à dire. Julien. La fille de l’Ecu ? L’Epine. Oui, justement, la
fille
de l’Ecu. Julien, à part. Ce drôle-là me veut fai
moi ? Charlot. Oui, palsanguenne, à vous. Vous êtes un débaucheux de
filles
. Je sis garde-moulin ; le meûnier n’y est pas ; v
eurs, voyez mon spectacle ; vous y verrez la d’Ancourt & ses deux
filles
: toute la Cour a vu cela, toute la Ville a vu ce
d’un jeune étourdi avec une chanteuse, une joueuse d’instruments, une
fille
prostituée par un Marchand d’esclaves, ce qui ne
emps-là Périphane, pere de Stratippocle, apprend qu’Acropélistide, sa
fille
naturelle, & qu’il n’a jamais vue, est prison
Epidique. Que fait mon drôle ? Au lieu d’amener au vieillard sa chere
fille
, il lui présente la maîtresse de son jeune patron
é par les mains de son frere, de l’usurier, &c. est reconnue pour
fille
de Périphane, & la musicienne reste à Stratip
, épouse de Stalinon, son maître. Cette bonne femme donne à la petite
fille
le nom de Cassine, & l’éleve avec grand soin.
ans l’obscurité le métayer & son maître. Enfin, Cassine se trouve
fille
de Mirrine, voisine de Cléostrate. Cuthinic l’épo
, l’engage, moyennant un bon repas qu’il lui promet, à lui confier sa
fille
, pour la conduire chez le M... en qualité d’escla
donne soixante mines. Un instant après le Parasite vient réclamer sa
fille
, fait grand bruit, menace de la Justice le M... q
honneur. La nourrice apprend à Géronte que la belle Hyacinthe est sa
fille
, & le bracelet prouve que Zerbinette doit le
enceinte. Dupuis guérit, devient veuf : sa femme ne lui laisse qu’une
fille
fort belle. Desronais la voit, & l’aime ; la
ond qu’il est vieux, infirme, fort peu riche ; qu’il a fait sortir sa
fille
du Couvent pour qu’elle le serve, & qu’il ne
, benêt s’il en fut jamais dans la bonne ville de Paris, recherche sa
fille
. Il dit à Desronais qu’il faut se défier des femm
nt le fils est plus sot qu’à l’ordinaire. Dupuis dit malignement à sa
fille
que ne pouvant accorder ses deux amants, il ne ve
deux amants, il ne veut faire du tort à aucun, & qu’elle restera
fille
jusqu’à ce qu’elle puisse disposer de sa main par
upuis, déconcerté, est obligé de convenir qu’il ne veut pas marier sa
fille
: il a cependant une grande amitié pour Desronais
lui prête de l’argent pour acheter une charge, & pour calmer une
fille
à laquelle il a fait un enfant ; il le regarde en
gendre : mais ce n’est qu’à son dernier moment qu’il veut l’unir à sa
fille
. Mademoiselle Dupuis devient infidelle. Le reste
commande que Desronais l’attende. Celui-ci voudroit parler à Mariane,
fille
de M. Dupuis : elle est à sa toilette. Il demande
puis, en lui cédant sa charge, semble lui annoncer qu’il lui donne sa
fille
. Dupuis feint d’être surpris de la joie que mont
que le mariage est encore loin ; il cherche à donner des alarmes à sa
fille
sur la légéreté de Desronais : elle le croit fide
é pour faire le bonheur des autres. Acte II. Dupuis est fâché que sa
fille
ne croie pas à l’inconstance de Desronais : il fa
a galanterie, des soupçons qu’il veut faire naître dans le cœur de sa
fille
. Dupuis feint de se laisser fléchir, il veut pren
it avant d’avoir reçu la lettre, dit que Desronais sera l’époux de sa
fille
, mais qu’il lui faut des preuves d’une conduite p
résente le moulin.) Marguerite, femme du Meûnier, & Catherine sa
fille
, tricottent en faisant des contes de lutins, d’es
le Roi le condamne à faire une rente de deux cents écus d’or à cette
fille
: elle n’en veut point, se croiroit déshonorée si
in sont : Liseo, vieillard, chef de famille ; sa femme Maia, ses cinq
filles
, ses gendres et les amoureux de ses filles, un fr
; sa femme Maia, ses cinq filles, ses gendres et les amoureux de ses
filles
, un frère jumeau Brizio, et des valets. Dans cett
O. Dominus providebit. Liseo le consulte pour l’établissement de ses
filles
. Ipocrito passe en revue toutes les professions,
qui entend la charité à sa façon, sert les amours d’Annetta, une des
filles
de Liseo, et du jeune Zephiro. Il se charge de le
iseo Rocchetti, et vous ne l’ignorez pas. ZEPHIRO. Non. IPOCRITO. Ses
filles
sont donc les miennes, du moins par la charité, e
O. Quelque sot se désespérerait. GUARDABASSO. De quoi ? LISEO. De ces
filles
fugitives. GUARDABASSO. N’y pensez plus. LISEO. Q
favorable. Les choses tournent mieux qu’on ne pouvait le prévoir. Ses
filles
trouvent des époux dans leurs amants, et Brizio,
e, faire de sa puissance un emploi formidable. Il aspire à épouser la
fille
de la maison, il chasse le fils, il cherche à séd
vait vu de l’accueil fait par le roi à madame de Montespan : « Ah, ma
fille
! quel triomphe à Versailles ! quel orgueil redou
gus. Junon tonnante et triomphante. » Le 2 juillet, elle apprend à sa
fille
le retour d’Io à Versailles, où elle fait son ser
s mieux ce haillon loin que près. » Le 4 septembre, elle raconte à sa
fille
cette anecdote : « Un homme de la cour disait l’a
e madame de Montespan. Le 15 octobre, madame de Sévigné écrivait à sa
fille
« qu’on nommait la comtesse de Grammont pour une
mieux qu’on ne pensait. Le 20 octobre, elle écrit cette nouvelle à sa
fille
, en disant : « Il n’y a plus de chagrin présentem
mœurs 124. Dès le 14 septembre 1676, madame de Sévigné écrivait à sa
fille
: « On prétend qu’elle n’est plus ce qu’elle étai
de cinq à 6 mois dans la correspondance de madame de Sévigné avec sa
fille
, madame de Grignan étant arrivée à Paris le 22 d
à portée de recueillir et qu’elle aurait continué à transmettre à sa
fille
.
est bien connue, m’a donné huit portraits quelle suppose venir de la
fille
de Molière : la dame en question habite un petit
e mobilier vendu à la mort de M. de Montalant, mari et héritier de la
fille
de Molière, qui était allée mourir, comme on sait
ande Béjart avant la lettre, quand l’esprit n’est pas encore venu aux
filles
. Si M. Frédéric Hillemacher a virilisé ces femmes
a Femme de Molière. Je finirai ces études par un troisième volume, La
Fille
de Molière, qui jusqu’ici n’a jamais tenté un his
t alors qu’elle connut le comte de Modène, dont elle eut bientôt deux
filles
: la femme de Molière, Armande, dont on n’a pas t
s dans ses premières comédies. Voici l’acte de baptême de la première
fille
de Madeleine Béjart : Registres de St-Eustache :
fut baptisée Françoise, née du samedi, troisième de ce présent mois,
fille
de messire Esprit-Raymond, chevalier, seigneur de
oire que je meurs comme un autre Catulle. Si Armande Béjart était la
fille
de Madeleine Béjart, on peut dire : — Telle mère,
tait la fille de Madeleine Béjart, on peut dire : — Telle mère, telle
fille
. — Ces jolis vers de Molière qui ont la désinvolt
ier, Madeleine Béjart meurt sans pouvoir dire adieu à Molière ni à sa
fille
Armande, parce que ce jour-là « la troupe était à
n rentes ou en terres. » C’est la femme de Molière, et après elle la
fille
de Molière, que Madeleine nomme ses légataires un
anscris ici à mon tour : « Fut présente damoiselle Madeleine Béjart,
fille
majeure usante et jouissante de ses biens et droi
le testatrice veut et entend que Madeleine-Esprit Poquelin, sa nièce,
fille
dudit sieur de Molière et de ladite damoiselle Gr
eleine-Esprit Poquelin décédée, l’aîné de ses enfant mâles, ou de ses
filles
si elle n’avait point de mâles, jouira en usufrui
vers cette « sainte économie », qui est le dernier amour des vieilles
filles
. Et maintenant si vous voulez pénétrer dans l’int
avec l’exécuteur testamentaire, Armande Béjart, Geneviève Béjart, sa
fille
et sa sœur, à la suite du notaire et de l’huissie
que Madeleine Béjart thésaurisait ; c’est qu’elle travaillait pour sa
fille
Armande et sa petite-fille Madeleine. Il est hors
qui faisait la femme de Molière sa légataire, celle qui donnait à sa
fille
, qui était sa petite-fille, son nom de Madeleine
la calomnie jetait déjà au ciel de Molière en l’accusant d’épouser sa
fille
, lui l’ancien amant de Madeleine Béjart. Marie He
e fut plus d’une fois commère de Molière. Ainsi « Jeanne-Catherine »,
fille
de Romain Toutbel, née le 26 août 1669, eut pour
Le 12 décembre 1672, elle fut encore marraine avec Molière, d’une des
filles
jumelles de La Grange. En ce temps-là on était bo
r la femme de Molière en la choisissant pour la marraine d’une de ses
filles
quand il choisissait pour l’autre la maîtresse de
« marquise » est une qualité ou un nom. Dans l’acte de baptême de sa
fille
qui fut tenue sur les fonts par François de Rébé,
es fonts par François de Rébé, archidiacre, comte de Lyers, et par la
fille
du maréchal de Neuville, au lieu de marquise, on
e. Tartuffe est le rôle des grands comédiens. Sa femme, sa sœur et sa
fille
furent des comédiennes : sa femme, sous le nom de
ous le nom de Mlle de Bellerose, un vrai nom de théâtre primitif ; sa
fille
, sous le nom d’Angélique Du Croisy et sous le nom
’il devait prendre en récitant ses rôles. » Maintenant, passons à la
fille
qui commence aussi la vie par le chapitre des enl
nt criminel contre un individu qui avait enlevé Marie de Lécole, leur
fille
. « À M. le lieutenant criminel : Supplient humbl
dant ce temps aurait recherché en mariage damoiselle Marie de Lécole,
fille
du premier lit de ladite Claveau, à quoi lesdits
equièrent leur être par vous sur ce pourvu. » On enlevait toutes les
filles
de comédiens par amour pour la comédie — même la
it toutes les filles de comédiens par amour pour la comédie — même la
fille
de Molière qui joua son jeu tout comme une simple
que la damoiselle sa femme prit pour servante domestique Anne Cochon,
fille
, de la fidélité de laquelle André Cochon, son pèr
Mlle de Lécole : en ce temps-là tout commençait par un enlèvement. La
fille
de Molière elle-même y passa comme les autres. Ma
ur inespéré que d’épouser un tel comédien. Elle avait tour à tour été
fille
de chambre de Mlle de Brie, « si douce à servir »
a dit que Mlle Marie Ragueneau, Marotte, d’un nom familier, avait été
fille
de chambre de Mlle de Brie. Pourquoi ? Le Destin,
nde faisait à peu près tout. Il se peut donc que Marotte eût servi de
fille
de chambre à Mlle de Brie ; qu’elle eût représent
des poètes quand ils deviennent fous. » Marie Ragueneau fut d’abord
fille
de chambre de Mlle de Brie. Elle avait suivi son
onna sa boutique pour suivre celle de Molière emmenant sa femme et sa
fille
. La petite Marie, ou Marotte, comme on la nommait
sa fille. La petite Marie, ou Marotte, comme on la nommait, fut donc
fille
de chambre de Mlle de Brie. Elle fut aussi prépos
t à tous les curés de son diocèse de marier ces deux fous. Que fit la
fille
? Un dimanche, elle s’habille en mariée et va à l
ne : « Née de parents inconnus, enfant de l’amour, abandonnée par une
fille
coupable, ou enfant d’un hymen légitime, jetée su
t Jeanne chez sa blanchisseuse, « II proposa à celle-ci de prendre sa
fille
d’adoption et de lui donner un état plus brillant
oin, ainsi que notre digne curé, que moi, Jeanne Olivier Bourguignon,
fille
de parents inconnus, et par conséquent libre de m
de Beauval contre Jacques Deshayes, qui avait commencé par enlever sa
fille
Louise avant de l’épouser ». C’est un moyen qui a
st criminel, puisqu’il a commis le crime de rapt en la personne de la
fille
du plaignant, que le mariage prétendu solennisé e
n faisait emporter une grande quantité par des porteurs et une petite
fille
, et non contente de ce, ladite damoiselle son épo
service, en qualité de femme de chambre, la nommée Catherine Legrand,
fille
; qu’heure présente étant dans sa chambre et lui
t à la fin de la farce, elle va quérir deux épées point épointées. La
fille
en prit une, croyant badiner. La Beaupré, en colè
tre Renée Vannier, dite Laforest, avec Catherine Lemoyne, « servantes
filles
de chambre, après serment fait par elles de montr
ître que La Thorillière lui-même était d’une bonne noblesse et que sa
fille
était épousable. En effet, La Thorillière se qual
t épousable. En effet, La Thorillière se qualifiait au baptême de ses
filles
« ci-devant capitaine d’infanterie au régiment de
sanglier ! Il ne faut pas oublier Mlle Beaubourg, une des nombreuses
filles
de la Beauval. C’est elle qui, à l’âge de huit an
ommée Marie Claveau, et non Clavereau, comme l’appelle Soleirol. Leur
fille
, Marie-Angélique Gassot, épousa Paul Poisson. Nic
. — Mais de trop près son papa la talonne. 14. Dans l’histoire de la
fille
de Molière on trouve d’autres lettres de Mlle Du
ébut, c’est-à-dire le 15 novembre 1670, Mlle Beauval mit au monde une
fille
, que, le même jour, à Saint-Germain-l’Auxerrois,
equin, est depuis quelque temps dans la maison de Pantalon qui a deux
filles
: il se prépare à partir, quand un peintre, à qui
ait qu’on laisse sur une table. Celio prie Argentine de remettre à la
fille
aînée de Pantalon le portrait qu’on lui a porté.
étonnement la figure d’Arlequin. Pantalon survient ; il demande à sa
fille
aînée, d’un air courroucé, le portrait qu’Argenti
étourderie, & sur ce qu’il l’a exposé à quereller à tort & sa
fille
& Celio. Scapin lui soutient qu’il a bien rec
o au lieu de la sienne ; il prétend que le peintre est un sorcier. La
fille
cadette de Pantalon reconnoît le portrait de ce q
p; se découvre enfin. Arlequin l’épouse, & Celio se marie avec la
fille
aînée de Pantalon. On peut décider aisément de l’
dire que la jalousie en est cause. Fabio part très chagrin de voir sa
fille
sécher sur pied. Scene VI. Célia dit à Laura qu
a pu continuer son voyage, & rentre sans vouloir qu’on éveille sa
fille
. Scene VIII. Lisardo revient avec Dom Félix qui
c’est le vieux Fabio qui a vu Lisardo, qui a cru qu’il venoit pour sa
fille
, & qui veut le tuer. Lisardo a pris Marcella
avec ses gens pour courir après le ravisseur de celle qu’il croit sa
fille
. Ils quittent le théâtre. Scene XV. Dom Félix f
nt furieux de n’avoir pu joindre le suborneur de celle qu’il croit sa
fille
: Dom Félix dit qu’il est prêt à donner la main à
te, la viole, part pour son pays, s’y marie, & devient pere d’une
fille
. La jeune Phanostrate n’a pas été violée impunéme
n’a pas été violée impunément ; elle devient enceinte, accouche d’une
fille
, met dans son secret un esclave nommé Lampadisque
mpadisque rencontre par hasard la vieille matrone ; il apprend que la
fille
en question vit avec un jeune homme nommé Mélénid
lent lui donner une autre épouse, qui se trouve par hasard la seconde
fille
de Démiphon. On apporte les joujous d’enfant, pou
te les joujous d’enfant, pour les faire reconnoître par la mere de la
fille
exposée. Le hasard veut qu’ils soient perdus en r
en conséquence il est décidé qu’Octave, fils d’Argante, épousera une
fille
que Géronte eut jadis à Tarente, d’un mariage sec
e près de rendre l’ame. L’Egyptienne, amante de Léandre, est reconnue
fille
d’Argante ; & l’Etrangere, mariée avec Octave
fille d’Argante ; & l’Etrangere, mariée avec Octave, se trouve la
fille
même que Géronte faisoit venir de Tarente. On rec
oyage aux Indes ; mais il ne sait comment faire garder la vertu de sa
fille
Isabelle. « Et de fait, son honneur étant déja...
moin le Lecteur. Henri veut déterminer son maître à se marier avec la
fille
qu’on lui destine. LA MASCARADE. Acte II. Scene I
parents, contre la volonté desquels vous voulez vous promettre à une
fille
suspecte, que vous n’avez jamais vue qu’une fois
rendez la fable de la ville. Après cela viendront M. Léonard & sa
fille
. Le premier vous dira : « Vous imaginez-vous donc
emier vous dira : « Vous imaginez-vous donc, Monsieur Léandre, que ma
fille
est un jouet qu’on se jette de l’un à l’autre ? I
à une autre. (Dans ce récit il contrefait la voix du pere & de la
fille
.) Léandre. Cela pourroit bien tourner à-peu-près
ravement.) « Comme le Seigneur Léandre s’étoit promis à la Demoiselle
fille
unique de Monsieur Léonard, & que, depuis ce
je vous demande très humblement pardon. Je me détermine à prendre la
fille
de M. Léonard ». Là-dessus M. Léandre est mis en
nt dans la résolution de me marier ? Sylvestre. Oui. Octave. Avec une
fille
du Seigneur Géronte ? Sylvestre. Du Seigneur Géro
igneur Géronte ? Sylvestre. Du Seigneur Géronte. Octave. Et que cette
fille
est mandée de Tarente exprès pour cela ? Sylvestr
exil, & penser qu’on trouvera son fils dans le déréglement, ou sa
fille
malade, ou sa femme morte ; que tous ces accident
aison brûlée, son argent dérobé, sa femme morte, son fils estopié, sa
fille
subornée ; & ce qu’il trouve qui ne lui est p
ourroit-il donc faire davantage, je vous prie, s’il marioit sa propre
fille
? Il n’a pas gagné beaucoup de n’en point avoir,
ommencement, m’a-t-il dit, j’avois fait dessein d’épouser moi-même la
fille
de mon ami, car je prévoyois bien le malheur qui
is bien le malheur qui lui arriveroit, & je n’ignorois pas qu’une
fille
pauvre qui trouve un homme riche, devient plutôt
m’a-t-il dit, avertissez-moi au plutôt s’ils veulent me donner cette
fille
, afin que je me défasse de l’autre, & qu’on n
aura tout-à-l’heure. Qu’il retire sa parole, & qu’il prenne cette
fille
. Démiphon. Puisse-t-elle lui porter malheur ! Chr
p; sa femme pour aller à Lemnos, où il a une seconde épouse & une
fille
. Démiphon part en même temps pour aller en Cilici
s est fâché de n’avoir pas trouvé à Lemnos la femme & sur-tout la
fille
qu’il alloit y chercher. Son dessein étoit de la
au Parasite, qu’ils apprennent le véritable sort de Phanie : elle est
fille
de Chrémès. Le hasard a fait le mariage qu’ils av
ommoder aux bienséances de notre scene une intrigue qui roule sur une
fille
esclave, sur une autre qui ne peut épouser son am
Un riche marchand d’Anvers, qu’on appelloit Jean Conaxa, maria deux
filles
qu’il avoit, & leur constitua une dot de Duch
mesure que sa démarche en devenoit plus lente. Ses gendres & ses
filles
qui mouroient d’impatience de le voir à la fin de
s premiers jours il goûta la douceur du repos ; ses gendres & ses
filles
disputerent à qui le chériroit, le révéreroit le
a table fut servie par la frugalité elle-même : ses gendres & ses
filles
se mirent de niveau avec lui, enfin le placerent
auroit fait l’usage qu’ils méditerent. Conaxa invita le lendemain ses
filles
& leurs maris à venir dîner chez lui, leur di
ltat du conseil. On vint au devant de lui : Ah ! mon pere, lui dit sa
fille
aînée, approchez-vous du feu ; vous vous serez re
na rien. Par son testament il partagea son coffre-fort entre ses deux
filles
; il leur imposa la loi de ne l’ouvrir que quaran
tre plus assez riche pour faire un sort heureux à la belle Angélique,
fille
d’un homme auquel il doit lui-même sa fortune &am
ransformait en Polixène et en Aminthe Mlles Cathos et Madelon ; cette
fille
et cette nièce prétentieuses du tout rond Gorgibu
pas des personnes dépourvues de tout mérite que Mme Philaminte et sa
fille
Armande. La première est, en fin de compte, une f
orance et de la présenter comme la condition normale et désirable des
filles
; c’est qu’au contraire, dans le rôle si charmant
position de belle-mère était si délicate vis-à-vis d’un fils et d’une
fille
déjà nubiles. Elle a même su s’attirer leur respe
r pas observé quel rôle important jouent dans les familles ces braves
filles
que nous appelons aujourd’hui bonnes, à cause san
uiller ses enfants ! Sous la forme d’un lutin, cette alerte et rieuse
fille
n’est-elle pas, en réalité, l’ange gardien de tou
, l’ange gardien de toute la maisonnée ? Et l’agaçante Dorine, cette
fille
suivante, que Mme Pernelle trouve Un peu trop fo
t se mêlant surtout de dire son avis ; mais qui, malgré tout, est une
fille
d’esprit, de cœur et de sens, appréciée et écouté
détourner d’un mariage aussi odieux que ridicule : Sachez que d’une
fille
on risque la vertu, Lorsque dans son hymen son go
rtu, Lorsque dans son hymen son goût est combattu ; Et qui donne à sa
fille
un mari qu’elle hait Est responsable au ciel des
udicieux que Molière lui soumettait ses ouvrages, de cette excellente
fille
qui fut pour lui une sorte d’humble Providence do
nds que toute ma tendresse N’est que de l’amour paternel. Ah !... ma
fille
. Marianne. Ah !... ma fille.Qui ? vous... mon pe
’est que de l’amour paternel. Ah !... ma fille. Marianne. Ah !... ma
fille
.Qui ? vous... mon pere ? Eh ! pourquoi si long-te
qu’elle a été dans un couvent près de Poitiers ; qu’elle y a connu sa
fille
, & qu’elle ressent une tendresse extrême. Ma
. Argant, s’approchant. Votre cœur ne se trompe pas. Embrassez votre
fille
. Mad. Argant, embrassant sa fille qui se jette à
r ne se trompe pas. Embrassez votre fille. Mad. Argant, embrassant sa
fille
qui se jette à ses genoux. Embrassez votre fille
gant, embrassant sa fille qui se jette à ses genoux. Embrassez votre
fille
.O trop heureuse mere ! Voilà, comme je l’ai dit,
acteurs lui donneront le signal, en criant : Ah ! mon pere ! ah ! ma
fille
! ah ! ma mere ! ah ! ma sœur ! ah ! mon frere !
nte, mais bien froide. ACTE V. Scene derniere. Enrique reconnoît sa
fille
dans Agnès, & s’écrie : Je n’en ai pas douté
ord que je l’ai vue, Et mon ame depuis n’a cessé d’être émue. Ah ! ma
fille
, je cede à des transports si doux ! Agnès ne ré
re ? Mariane. C’est vous que ma mere a tant pleuré ? Anselme. Oui, ma
fille
, oui, mon fils, je suis Dom Thomas d’Alburci, que
dans son Etourdi, que Trufaldin reconnût Célie, son esclave, pour sa
fille
; Andrès, cru Egyptien, pour son fils. Il falloit
n rôle d’un bout à l’autre. Elle est un peu sotte, Agnès, bien petite
fille
. Aussi longtemps qu’Arnolphe a été pour elle comm
vices à Agnès ; ces services ne compteront pas. Arnolphe disait : une
fille
avisée, savante, habile, me ferait courir trop de
cependant les rapprocher très justement. Arnolphe voulait épouser une
fille
beaucoup plus jeune que lui ; George Dandin a épo
er une fille beaucoup plus jeune que lui ; George Dandin a épousé une
fille
d’un rang supérieur au sien. Eh bien, est-ce que
que ce qui arrive à Arnolphe avec Agnès ? Et cependant Angélique est
fille
de noblesse, c’est une bien apprise, elle a été é
es. Alors on a rappelé son mariage et on l’a accusé d’avoir épousé sa
fille
. On ne s’est pas arrêté là. Il y avait un dernier
aptive tout particulièrement. Et pour qui s’en occupe-t-on ? Pour les
filles
de la noblesse, pour toutes ces belles enfants qu
e, en France, va sortir de la Convention. Et que contient-il pour les
filles
? Rien. On ne songe pas encore à elles ; leur tou
s pédantesque avec ses gens, insolente avec son mari, cruelle avec sa
fille
; d’un autre côté et dans les choses de l’intelli
t toute chose, si l’auteur a posé et résolu le problème:des lycées de
filles
. Becque et Sarcey soutiennent que non. Je me suis
……… Les verrous et les grilles Ne font pas la vertu des femmes ni des
filles
! Eh bien ! Que celui qui ne les a jamais confon
contemporains, ni faire, comme Fénelon, un Traité sur l’éducation des
filles
. Encore ne faut-il pas perdre de vue ce mot école
dre à l’éternelle et redoutable question : Comment faut-il élever les
filles
pour en faire d’honnêtes femmes ? Notez que le je
ment d’une Marquise, qui est à Paris pour un grand procès. Elle a une
fille
fort belle & fort riche... Mon maître songe à
eveu fait le grand Seigneur auprès de la mere pour se faire donner la
fille
. La Branche. Vous l’avez dit, Monsieur. Depuis qu
Dame de céans, qui songe à manquer de parole à Dorante pour donner sa
fille
à mon maître. . . . Vous n’êtes pas assez proprem
e dois faire..... Vous savez, Monsieur, qu’on veut me faire donner ma
fille
à Dorante..... C’est un riche gentilhomme. Le Com
che. Ah ! ah ! La Marquise. Monsieur, je ne manque pas d’ambition. Ma
fille
a de l’esprit, de la beauté..... Elle portera à s
bs, bs. La Marquise, à part. Au Duc !... Si je pouvois lui donner ma
fille
! La Branche. Je n’entends pas. Le Comte, bas. J’
Marquise. Le Prince !... Il faut que j’aille rompre le mariage de ma
fille
avec Dorante. . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . Je veux être payée tout-à-l’heure : c’est pour la dot de ma
fille
. Je veux donner ce soir même cette somme à Monsie
ant ; une mere qui veut conserver l’honneur & la réputation de sa
fille
est défiante ; un philosophe qui connoît les homm
vie de représenter la défiance d’un pere tendre qui craint de voir sa
fille
, son gendre, & leurs enfants ne pas répondre
vivrois seul, & mourrois de tristesse, De perdre en même temps ma
fille
& mon ami... C’est cette juste défiance Q
Desronais. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ma
fille
& Desronais Auront beau m’accuser d’une injus
parbleu, je prouverai le contraire, s’écria le grand Rameau, & ma
fille
n’a qu’à s’arranger en conséquence : elle ne se m
rebuteroient les partis qui pourroient se présenter pour Henriette sa
fille
. Madame Patelin est au désespoir de voir son épou
poux si mal vêtu, mais elle est encore plus fâchée de voir briller sa
fille
. Elle interroge Colette sa servante ; celle-ci dé
ace de le faire pendre s’il ne consent au mariage de son fils avec la
fille
de Patelin ; il signe en enrageant. Comparaison
mais cet habit doit en imposer aux partis qui se présenteront pour sa
fille
: par-là les desseins du nouveau Patelin nous par
intéressons en quelque façon au succès de ses ruses, le bonheur de sa
fille
en dépend. Comparaison des deux intrigues. Le f
ardevant Notaire. Ce sont des charges d’une succession qui regarde ma
fille
Henriette, & j’en dois rendre un compte en fo
apitaine, vit avec une courtisanne nommée Thaïs. Il achete une petite
fille
nommée Pamphila, qu’on avoit prise dans l’Attique
scene est à Naples. Avant-scene. Un Capitaine de vaisseau prend une
fille
de deux ans sur les côtes d’Espagne, il la confie
valier, est indigné contre le premier, parcequ’il refuse d’épouser la
fille
du Marquis de Sardan, & veut la donner avec t
-même pour le frere de la nourrice de Zaïde. Cette derniere se trouve
fille
du Marquis de Sardan, on la marie au Chevalier, &
nte. Les Auteurs François se sont piqués de laisser à Térence cette
fille
de joie qui prie son favori de permettre qu’elle
quella ragazza, per moglie. Le Baron. Que je lui fasse épouser cette
fille
? Frontin. Ouei metis hodie, hoggi, hoggi. Le Bar
. L’exposition & le dénouement sont tout-à-fait à la latine : une
fille
perdue & retrouvée en fait tous les frais, l’
lio. Flaminio, amant de Virginia. Fabio, amant de Virginia. Lelio,
fille
en habit d’homme, crue garçon et amante de Fabio.
emme qui était grosse. Ricciardo soutenait qu’elle accoucherait d’une
fille
. Il soutint qu’il aurait un garçon. Ils firent un
n. Ils firent une gageure de deux mille écus. Sa femme accoucha d’une
fille
. Par cupidité, il publia qu’il lui était né un ga
ns le secret, mourut peu après ; et jusqu’à présent Lelio, qui est la
fille
en question, passe pour un garçon. Celle-ci, qui
dolfo se rassure et dit à Ricciardo qu’il veut auparavant parler à sa
fille
pour savoir d’elle la vérité, et que dans une heu
rt. scène iv. Pandolfo, Virginia. Pandolfo, étant convaincu par sa
fille
que tout ce que Ricciardo lui a dit est une impos
ence. Fabio et Zucca affirment ce qu’ils ont dit. Pandolfo appelle sa
fille
. scène vi. Virginia, les précédents. Virginia
proposé d’accommoder l’affaire et de faire épouser à Fabio une autre
fille
que Virginia, qui apportera six mille écus de dot
r de l’histoire du feint Lelio. Il dit qu’il est charmé d’avoir cette
fille
dans sa maison, parce qu’étant élevée comme un ga
âtre de l’Hôtel de Bourgogne, sous le titre de La Creduta maschio (la
Fille
crue garçon), avec un nouveau dénouement que son
son mouchoir et de ses mains. Pandolfo, qui connaît les habits de sa
fille
, est convaincu que c’est Virginia elle-même ; il
vient à son aide et découvre à Ricciardo et à Fabio que Lelio est une
fille
et que c’est elle, et non Virginia, que ce dernie
tel pouvoir ? — Amour le commande ainsi. » 46. « — La jalousie est
fille
de l’amour. Ou jaloux, ou non jaloux, Rodrigue se
u lieu de sortir, Fanchon se cache.) Dorante. Il faut cacher à cette
fille
ces sortes de petits démêlés : elle s’effraieroit
quelques bonnes œuvres affectées, l’engage à déshériter sa femme, sa
fille
, & se fait donner tout son bien : cependant c
de Valere, n’est qu’une imitation du Chevalier Acaste, amant des deux
filles
d’un Procureur, de la comédie des Grisettes de M.
e Champmeslé. Acte I. Le Chevalier Acaste cajole Catho & Manon,
filles
de Gripaut, Procureur. Le Marquis le raille sur s
oubler, a la bonté de croire qu’il vient lui parler pour une certaine
fille
qu’on nomme la Comtesse de Frétille. Acaste répon
l’amant l’appaise ; & lorsque le Procureur accourt aux cris de sa
fille
, elle lui demande s’il veut dîner. Gripaut remet
tandis que l’autre fera ses efforts pour souffler l’honneur des deux
filles
. Il voit Catho ; il lui persuade qu’il vient pour
auclet, marchand, & M. Pindare, apothicaire, & leur donne ses
filles
: ceux-ci les acceptent ; mais ils se méfient d’e
e ne veulent plus de Catho & de Manon : le pere jure de punir ses
filles
. Hé bien, voilà le fruit de votre impertinence !
rétablie dans sa félicité. » Enfin, le 2 septembre, elle raconte à sa
fille
que « la vision de madame de Soubise a passé plus
le garde sa chambre. » Le 30 septembre, madame de Sévigné écrit à sa
fille
: « Tout le monde croit que l’ami (le roi) n’a pl
emain, c’est autre chose. Madame de Sévigné écrit, le 2 octobre, à sa
fille
« que la veille l’ami et l’amie (le roi et madame
à fait sortie du cœur du roi. Le 15 du même mois, elle adressait à sa
fille
ces réflexions d’une profonde sagesse et d’une pa
es échos en demeurent d’accord et disent : c’est Langlée ! et moi, ma
fille
, je vous dis pour être à la mode : C’est Langlée.
ules, si elles ne nous font pas ôter tous les livres des mains de nos
filles
, elles nous font adorer dans une femme la simplic
ts, quelqu’un qui pose. Le Gorgibus de Sganarelle, qui veut marier sa
fille
à un homme qu’elle n’aime pas, c’était le bourgeo
le se lève, il est sur le point de l’épouser : son plan a réussi ; la
fille
lui paraît mûre pour lui ; il triomphe ; et comme
u’il se tienne caché, pour ne pas ajouter à la confusion de la pauvre
fille
. Elle entre dans sa chambre, simule des reproches
s L’École des Femmes, en voulant faire d’Agnès une sotte, en fait une
fille
de sens, qui aura plus de ressources pour lui éch
plus de pièges. Aussi Molière, qui a fait châtier Sganarelle par une
fille
d’esprit, rendra-t-il Arnolphe dupe d’une ingénue
systématique vaniteux qui voit tous ses plans tourner contre lui, une
fille
qui craint d’être mariée malgré elle, n’ont pas l
devenue l’ennemie des petits-enfants ; le père se fait le tyran de sa
fille
. Voilà bien cette sécheresse impitoyable, fruit d
ison, voilà la pensée de la pièce. Une mère bel esprit veut marier sa
fille
à un méchant poète dont elle est entichée ; le pè
rigue. Ce méchant poète est un cupide qui convoite la dot plus que la
fille
: il est découvert ; voilà le dénouement. Trissot
rs, il se sert du travers qu’il a soufflé à la mère pour arriver à la
fille
, et par la fille à la dot. Comme Tartufe, il trou
travers qu’il a soufflé à la mère pour arriver à la fille, et par la
fille
à la dot. Comme Tartufe, il trouble toute la mais
ale, et plus d’un pot en était trop salé. Molière vint au secours des
filles
négligées par leurs mères, comme Henriette ; des
nde. Il n’y a rien de plus finement observé que ses colères contre sa
fille
Armande, le bel esprit, sur le dos de laquelle il
rt, parie toujours ainsi : Des retours importuns évitons le souci21.
Fille
respectueuse et attachée à ses parents, elle n’es
onorable. Je n’ai pas peur de l’honnête liberté de ses discours ; une
fille
qui montre ainsi sa pensée n’a pas d’action à cac
des Maris ; Ariste, homme déjà mûr, qui doit épouser, comme lui, une
fille
de seize ans ; comme lui tendre et indulgent, ave
scrupule d’honnête homme, voulant se montrer avec ses défauts à cette
fille
, à laquelle il avait fait voir ses beaux côtés da
figurer qu’il va trouver son fils en faute, ou sa femme morte, ou sa
fille
malade. Et s’il y en a moins qu’il n’en a prévu,
ison brûlée, son argent dérobé, sa femme morte, son fils estropié, sa
fille
subornée ; et ce qu’il trouve qui ne lui en est p
ssé à son neveu. Madame Grognac, qui forçoit le Distrait à épouser sa
fille
, ne veut plus de lui, le croyant ruiné, & le
, sous l’habit d’un Médecin. Il dit au bon-homme que la maladie de sa
fille
n’a d’autre principe que le desir d’être mariée :
& même à Sganarelle, qui est bien surpris quand on lui dit que sa
fille
est chez son époux, & que tout ce qui vient d
e rien non plus à mon mariage, & qu’il me laisse possesseur de sa
fille
? Chrémès. Cela est très juste, à moins que votre
ile. Cela s’entend. Simon. J’y donne les mains. Chrémès. Pamphile, ma
fille
aura pour dot dix talents. Pamphile. Cela est trè
nus ; mais il seroit trop long d’attendre ici qu’il sortît de chez sa
fille
, venez avec moi le trouver. Et toi, Davus, cours
neau, en croyant signer un exploit, signe le contrat de mariage de sa
fille
avec le fils de Dandin. Je ne parle point des pie
ès bien ce comte de Grignan par les lettres de madame de Sévigné à sa
fille
. C’était un homme de qualité, un homme d’esprit,
son caractère. Les maris que la marquise de Rambouillet donnait à ses
filles
, prouvent mieux son bon goût que le contraire n’e
à 1660, nous voyons donc la marquise, âgée de 70 à 80 ans, sa seconde
fille
mariée au comte de Grignan et de temps à autre ma
trouve que rarement, à l’hôtel Rambouillet, madame de Longueville, sa
fille
, madame de Nemours ; madame de Sablé, les Scudéry
hôtel de Rambouillet ; la marquise, âgée, isolée par le mariage de sa
fille
, désolée de la mort de son mari et de celle d’un
la force d’une telle raison. »Madame de Sévigné date des lettres à sa
fille
, tantôt de chez M. de La Rochefoucauld où était m
mme désignation d’un caractère. En 1671, madame de Sévigné écrit à sa
fille
qu’elle a la première place dans son cœur, madame
pçons offensants. Le 1er septembre 1673, madame de Sévigné écrit à sa
fille
: « J’ai soupé avec l’amie de Quanto (avec madame
t d’esprit qui existaient entre madame Scarron, madame de Sévigné, sa
fille
, et leur société. Le jour de Noël 1673, la même à
rès du roi. Il est constant, par une lettre de madame de Sévigné à sa
fille
, du 7 août 1675, qu’à peu près à la même époque d
ran, et par celles que nous avons déjà vues de madame de Sévigné à sa
fille
. Vers la fin de 1671, non seulement la bigamie du
rnante se rendaient en secret. Madame Scarron avait pris chez elle sa
fille
(depuis comtesse de Montgon), qui passait tantôt
n cher Comte, Si tu fais tant le fier, ce n’est pas là mon compte. Ma
fille
te plaît fort, à ce que l’on m’a dit : Elle est r
ssance. Il le paroît encore par ce couplet qu’elle dit à Isabelle sa
fille
: Vous êtes dans l’erreur. Rodillard de Choupill
ui l’entoure comme la derniere des grisettes. Lisette, servante de sa
fille
, débute par lui dire des impertinences. ACTE I. S
Hé bien, Lisette ! Est-ce fait ? me voilà. Mad. Grognac. Que fait ma
fille
? Lisette. Que fait ma fille ?Quoi ! ce n’est qu
t ? me voilà. Mad. Grognac. Que fait ma fille ? Lisette. Que fait ma
fille
?Quoi ! ce n’est que pour cela ? Vous avez bonne
areil affront, & qui l’oublie tout de suite au point de donner sa
fille
à celui qui le lui a fait, & qui, pour la cal
me brillant, qui fait éclat. Arsinoé. Mens alta, sublimis, superba :
fille
à grands sentiments, fiere, haute. Artenice. Per
distingué, couvert de gloire. Célimene. Animus illecebris captans :
fille
séduisante par ses charmes impérieux. Céliante.
séduisante par ses charmes impérieux. Céliante. Illecebrosa puella :
fille
qui entraîne par ses attraits trompeurs. Clarice
es attraits trompeurs. Clarice. Mot latin. Clara, splendida puella :
fille
brillante, charmante. Clitandre. Vir inclitus :
frenis agitans : rapide, ardent cavalier. Hortense. Festiva puella :
fille
qui aime la joie & le plaisir, fille enjouée.
Hortense. Festiva puella : fille qui aime la joie & le plaisir,
fille
enjouée. Léandre. Vir popularis, aditu facilis :
traiter fort mal par le Comte de Tufiere, & lui donne ensuite sa
fille
. Cléon veut dire un homme qui se distingue, qui s
stait de l’ancienne maison de Rambouillet. Un an après avoir perdu sa
fille
, la marquise de Rambouillet, âgée de quatre-vingt
et en faisaient fleurir de nouvelles ; la duchesse de Montausier, sa
fille
, était employée à la cour ; des honneurs de cour
ne porte secrète par où le roi se rendait de nuit dans la chambre des
filles
de la reine. « On eut lieu, dit Saint-Simon, d’êt
fausse au nom du roi d’Espagne, pour informer la reine de France, sa
fille
, des amours du roi avec madame de La Vallière. L’
renez que vous ne devez pas dire ma femme, quand vous parlez de notre
fille
. Enfin George Dandin s’écrie, j’enrage ! Comment
je viens de citer, le héros dit à M. de Sotenville : Oh bien ! votre
fille
n’est pas si difficile que cela ; & elle s’es
veut dire cela, mon gendre ? George Dandin. Cela veut dire que votre
fille
ne vit pas comme il faut qu’une femme vive, &
. Mad. de Sotenville. Tout beau. Prenez garde à ce que vous dites. Ma
fille
est d’une race trop pleine de vertu pour se porte
seulement que la faveur de lui parler. George Dandin. Oh bien ! votre
fille
n’est pas si difficile que cela ; & elle s’es
de voir le pauvre Pourceaugnac en proie à un déluge de lavements, de
filles
de joie, qui se disent ses femmes, de petits fils
Si, comme je l’ai dit, il est contraint, pour vivre, à s’unir avec la
fille
d’un roturier, il croira que son alliance vaut le
equ’ils sont une franche amorce à voleurs. Scene V. Il craint que sa
fille
& son fils ne se fassent signe de le voler. I
’aller boire un verre d’eau. Scene VI. Harpagon a fait choix pour sa
fille
d’un homme mûr, qui n’a pas plus de cinquante ans
Elise & lui, Valere, qui est précisément en secret l’amant de sa
fille
. Valere lui dit qu’il a raison, parcequ’il ne sau
alere voit Harpagon qui revient, & s’écrie : Oui, il faut qu’une
fille
obéisse à son pere ; il ne faut point qu’elle reg
onne. Harpagon, enchanté de ce qu’il vient d’entendre, ordonne à sa
fille
de faire tout ce que Valere lui dira. Scene X. V
. Il sait ce que c’est que de vivre. Lorsqu’on s’offre de prendre une
fille
sans dot, on ne doit pas regarder plus avant. Tou
es & les trous qu’ils ont à leurs habits. Scene III. Il dit à sa
fille
d’avoir l’œil sur ce qu’on desservira, & de p
ison réglée avec la famille de cette enfant et en particulier avec la
fille
aînée, Madeleine Béjart. « Que l’on y prenne gar
nous aimons à professer pour une telle mémoire. Ou Armande serait la
fille
de Molière, ce qu’il est inutile de qualifier, ou
t inutile de qualifier, ou bien il aurait, à tout le moins, épousé la
fille
ou la sœur de sa maîtresse, deux cas sociaux qui,
une et ardent, elle nullement farouche, mère à vingt ans d’une petite
fille
dont le père est M. de Modène, un gentilhomme qu’
e contre Molière et l’a donnée au roi ; il l’accuse d’avoir épousé la
fille
et d’avoir aussi vécu avec la mère. »Tallemant es
l a d’abord été amoureux de la comédienne Béjart, dont il a épousé la
fille
. » Voilà, d’un seul coup et dans une même phrase,
prouve mensonger, et la série entière des pièces où Armande est dite
fille
des époux Béjart-Hervé perd à l’instant toute cré
es environs de Paris. C’est la qu’une enfant voit le jour, une petite
fille
, qui bientôt s’appellera Armande-Grésinde (Grésin
la femme Béjart-Hervé, alors âgée de cinquante-trois ans ? Est-ce sa
fille
Madeleine, qui n’en a que vingt-cinq ? Bien des r
que vingt-cinq ? Bien des raisons se réunissent pour l’attribuer à la
fille
: l’accouchement qui a lieu à la campagne, loin d
qui, jadis, s’est prêtée à être la marraine du premier enfant que sa
fille
a eu de M. de Modène, prouvant ainsi sa tolérance
a liaison avec ce grand personnage. Il est donc convenu que la petite
fille
, qu’on ne se hâte pas de baptiser, sera inscrite
mère d’actrice qui déclara comme sien, à l’état civil, l’enfant de sa
fille
, non mariée : « Nous citerions les noms, dit-il,
us encore mineurs : Joseph, Madeleine, Geneviève, Louis et une petite
fille
non encore baptisée, et elle demande à être autor
gers, qualifiés amis de la famille. Tous habitaient Paris ; la petite
fille
à qui ils donnaient un subrogé tuteur était née à
pacité des impétrants ? Quand Madeleine, qui de bonne heure, en vraie
fille
d’huissier qu’elle était, eut le goût des affaire
eraient encore insignifiants, moins d’un petit écu pour chacun. Votre
fille
, dites-vous, n’est majeure que depuis deux mois.
in de père, que Molière aurait souffert qu’on enrichit sa femme et sa
fille
, qui n’avaient nullement besoin de ce supplément
uccession dont on le dépouillait, des droits égaux à ceux qu’avait la
fille
de Molière ? Les mères ne pardonnent pas ces chos
eût affecté de prendre sa défense, par ménagement sans doute pour sa
fille
, la tradition lui était nettement hostile. Cette
duc Gaston d’Orléans, et Lulli avait. été élevé par les bontés de la
fille
de ce prince, Mlle de Montpensier, l’innamorata d
par « M. Boudet, tapissier du roi » 7, oncle et subrogé tuteur de la
fille
de Molière. Ce prêt fut fait le 23 mai 1673. La v
passe pour avoir découvert en 1821, à savoir qu’Armande était non la
fille
de Madeleine Béjart, mais sa sœur, en même temps
est très incertaine, que son père n’est que trop certain, qu’elle est
fille
de son mari, femme de son père. » Que ce fût là u
’il n’en était pas dupe, puisqu’il tenait Armande bien plutôt pour la
fille
de Madeleine que pour sa sœur. Guichard ne se bor
1669, avait volé et emporté les ornements de l’église du couvent des
Filles
de la Miséricorde, au faubourg Saint-Germain, et
bre des jolies pécheresses dont cette femme disposait se trouvait une
fille
La Tourelle, qui ressemblait tellement à Mme Moli
ans ses affaires. Molière, cette fois, pensa moins à son père qu’à sa
fille
; ce fut, en effet, Madeleine Molière qui profita
après. C’est seulement en 1711 qu’une transaction intervint entre la
fille
de Molière, devenue Mme de Montalant, et les héri
duire l’intention d’un don gracieux qui eût tourné au détriment de sa
fille
. Ils nous le montrent tel qu’il était en effet, b
gardé ? Comment personne n’en sut-il rien, ni son second mari, ni sa
fille
, ni ses camarades de théâtre, ni personne de son
r, sur ce point, que la femme de Molière, Armande Béjart, est bien la
fille
et non la sœur de Madeleine Béjart. Aux raisons q
ait jamais plus décent que lorsque la prostituée se trouvait être une
fille
de condition libre, digne de devenir l’épouse du
x-esprits si vains de leurs fadaises rimées ; le manant qui épouse la
fille
d’un gentilhomme, et le bourgeois qui aspire à pa
s Argan, cette manie pusillanime qui le porte à marier l’aînée de ses
filles
à un sot, et à les déshériter toutes deux au prof
e est la jalousie charmante d’Éraste et de Lucile, de Valère et de la
fille
d’Orgon, de Cléante et de la fille de M. Jourdain
e et de Lucile, de Valère et de la fille d’Orgon, de Cléante et de la
fille
de M. Jourdain. La jalousie peut être ridicule au
ieillards et ses jeunes gens, ses pères et ses fils, ses mères et ses
filles
, ses amoureux et ses amoureuses, ses valets et se
ule de cette source. Harpagon est avare, et il devient amoureux d’une
fille
sans bien ; il s’emporte contre son fils qui empr
que les grilles et les verrous peuvent seuls répondre de la Vertu des
filles
, et celle qu’il renferme sous dix clefs, est par
u’une idée et une manière de l’exprimer. Harpagon, voulant établir sa
fille
, est préoccupé d’une seule pensée, celle de la ma
é de ses rêves de grandeur, qu’il se retire en croyant avoir marié sa
fille
au fils du grand Turc. Chrysale couronne dignemen
Saint-Honoré, probablement près la croix du Trahoir, et que sa mère,
fille
d’un autre tapissier, demeurant aux Halles, se no
eunesse, une liaison intime avec Madeleine Béjart, il avait épousé la
fille
de cette femme et d’un gentilhomme avignonnais, n
contre Molière, et l’a donnée au roi : il l’accuse d’avoir épousé la
fille
, et d’avoir vécu autrefois avec la mère ; mais Mo
uvèrent que Molière n’avait connu la mère qu’après la naissance de la
fille
. Voltaire nous laisse ignorer quelle preuve elles
ne qui fût sans réplique, c’était l’extrait baptistaire de cette même
fille
. Il est douteux qu’on en eût connaissance alors.
aujourd’hui, grâce aux recherches de M. Beffara. D’après cet acte, la
fille
de Madeleine Béjart et du comte de Modène, nommée
rs que Molière fut successivement l’amant de la mère et le mari de la
fille
, du moins tout soupçon d’inceste serait à jamais
ommée, non pas Françoise, mais Armande-Grésinde ; elle y est déclarée
fille
de Joseph Béjart et de Marie Hervé, père et mère
de Marie Hervé, père et mère de celle dont on voulait qu’elle fût la
fille
; et cette mère prétendue, Madeleine Béjart, y fi
s, et que Molière, en épousant Armande, a pris pour femme, non pas la
fille
, mais la sœur de son ancienne maîtresse. Il sembl
tter qu’à l’aide de cet acte, elle ferait quelque jour reconnaître sa
fille
. M. de Modène avait des idées toutes différentes.
ie qu’ils jouaient ; et ils en avaient l’habitude. Une bonne dot à la
fille
, un dédommagement à la mère, et des présents aux
en. Ainsi l’on vint à bout de faire disparaître légalement Françoise,
fille
de M. de Modène, et d’y substituer une prétendue
ts, et qui ont toujours été répétés, donnent pour épouse à Molière la
fille
de Madeleine Béjart et du comte de Modène. Molièr
du comte de Modène. Molière, accusé par Montfleury d’avoir épousé la
fille
de son ancienne maîtresse, dont la calomnie voula
e de son ancienne maîtresse, dont la calomnie voulait faire sa propre
fille
, avait, dans le système établi sur les pièces nou
aptistaire de Françoise, prouver, du moins, que la naissance de cette
fille
était antérieure à sa liaison avec la mère ; il n
lgré l’acte de mariage qui faisait de Françoise une Armande, et d’une
fille
de Madeleine Béjart une sœur de cette comédienne,
nne, tout le monde demeura convaincu que la femme de Molière était la
fille
de son ancienne maîtresse ; et Grimarest, qui écr
noms, soit d’en intervertir l’ordre. Si elle était la sœur et non la
fille
de Madeleine Béjart, leur prétendue mère commune,
semblait l’appeler, n’a-t-elle pas prouvé qu’elle la réservait, comme
fille
du comte de Modène, pour un état plus honorable e
ypothèse d’une suppression d’état et de la métamorphose de Françoise,
fille
naturelle de Modène, en Armande Béjart, est d’acc
tresse de l’autre, et allait même jusqu’à donner à celui-ci sa propre
fille
pour épouse, on n’en doit pas conclure ou qu’ils
tradition constante, universelle, qui fait de la femme de Molière la
fille
du comte de Modène et de Madeleine Béjart. Mon ét
urait pu ajouter : et Molière y est estimé. Son second enfant fut une
fille
: elle naquit au mois d’août 1665, et fut tenue s
, c’est-à-dire par ceux-là mêmes dont on prétendait que sa mère était
fille
. Le troisième enfant de Molière eut pour parrain
arrain Boileau de Puimorin54, frère de Despréaux, et pour marraine la
fille
de Mignard55. Ce second fils, né le 15 septembre
e : on sait seulement qu’elle est antérieure à la mort de Molière. Sa
fille
, le seul enfant qui lui ait survécu, était, disen
à Argenteuil, où ils moururent sans postérité. Après la mort de cette
fille
, il ne resta de Molière que des collatéraux, dont
alors dans sa maison, où il leur donnait un asile113. Ces charitables
filles
lui avaient donné de leur mieux les secours de l’
, comme musicien et comme poète, au service de la duchesse de Savoie,
fille
de Henri IV, ensuite à celui de Louis XIII et de
es de son père, À la place de ces mots, il l’accuse d’avoir épousé la
fille
et d’avoir vécu avec la mère, on lit ceux-ci, il
cu avec la mère, on lit ceux-ci, il l’accuse d’avoir épousé sa propre
fille
. Louis Racine traduisait fidèlement sans doute la
lin, et de feue Marie Cressé, d’une part, et Armande-Gresinde Béjard,
fille
de feu Joseph Béjard et de Marie Hervé, d’autre p
ites, Et de l’art même apprend à franchir leurs limites. 55. Cette
fille
de Mignard était fort belle, et l’on a prétendu,
ier de s’entremettre dans ces sortes d’affaires. Elle connaissait une
fille
, nommée La Tourelle, qui ressemblait beaucoup à m
jolie ; mais mon esprit plaît beaucoup. La Muse. A quoi sert-il ? La
Fille
. A rien. La Muse. Apollon vous refusera si vous
n’êtes pas présentée par l’Esprit & conduite par le Bon-sens. La
Fille
. Oh ! l’Esprit a pris les devants. La Muse. Et le
ille. Oh ! l’Esprit a pris les devants. La Muse. Et le Bon-sens ? La
Fille
. Je l’ai laissé derriere. . . . . . . Au reste, a
r inutile, Et de chasser pour son bien Sa Soubrette bonne à rien. La
Fille
. Bon ! faut-il écouter la Critique ? Ne dit-elle
lus belle des pieces8, Toute vive enterrée à côté des deux nieces. La
Fille
. Je me moque de vos prédictions. Je vais continue
nt d’unir leur famille : L’un est pere d’un fils, & l’autre d’une
fille
, Qu’ils veulent ensemble établir, Et voici ce qu
e l’Etourdi, dans laquelle on rencontre des marchands d’esclaves, des
filles
qu’on achète et qu’on vend, est en dehors de nos
it au théâtre italien ; on cite deux comédies, la Creduta Maschio, la
fille
crue garçon, et Gli segni amorosi, les dépits amo
ns. Ceux qui n’ont pas lu la pièce ne peuvent s’en faire une idée. La
fille
crue garçon, sujet de la comédie de Molière, a to
italien. Avec le Dépit amoureux commence la galerie de ces charmantes
filles
de Molière, aussi sages que belles, honnêtes pers
sottes; le père de Célie a tort de vouloir forcer l’inclination de sa
fille
, pour lui faire épouser un homme qu’elle ne conna
que le mariage soit le fruit, et l’amour la fleur. Gorgibus dit à sa
fille
: De quolibets d’amour votre tête est remplie, E
, petits auteurs qui faisaient grand bruit, il a voulu montrer qu’une
fille
sage pouvait lire leurs ouvrages sans en perdre l
doux et complaisant, l’autre maussade et méfiant. A la place des deux
filles
, ce sont deux jeunes gens qu’élèvent les vieillar
ruits : Ariste eut à se repentir d’avoir épousé Léonor. De toutes les
filles
de Molière, Isabelle est la plus hardie. Agnès, q
r il a su fondre Térence et Boccace, substitua à une femme mariée une
fille
libre dont on veut contrarier le désir. Après avo
, et la mère de famille la plus sévère ne la désavouerait pas pour sa
fille
, tout en reconnaissant qu’elle a un peu trop de p
mmençait à briller à la cour, vers la jeune La Vallière, cette tendre
fille
d’honneur. Il avait pris au sérieux le vers de Bo
, parce qu’il a pignon sur rue et maison aux champs, s’imagine qu’une
fille
sans biens sera trop heureuse de l’avoir pour épo
heté d’accuser, auprès du roi, Molière de s’être marié avec sa propre
fille
; cette odieuse insinuation ne fut pas écoutée; el
ecouer toute espèce de joug il cacha quelque temps sa liaison avec la
fille
d’honneur d’Henriette, femme de son frère, d’auta
t les passions ? Le père de Diana, tout attristé qu’il est de voir sa
fille
rebelle à l’amour, n’admet pas ce moyen que Moliè
vec le vieux commandeur, et le tuer, après avoir cherché à séduire sa
fille
. Don Juan et son valet s’embarquent ensuite pour
e devaient pas être du goût de tous les spectateurs. Pour consoler la
fille
d’un pêcheur, trompée par son maître, il lui mont
t d’avoir recouvrée, et donne à son père le regret de ne plus voir sa
fille
muette, lui qui s’est tant inquiété, parce qu’il
n jeune seigneur français est amoureux aussi de la charmante esclave,
fille
raisonneuse et difficile à garder. Adraste, notre
rôle que l’amour, et qui montrent de vieux jaloux dupés par de jolies
filles
et de beaux cavaliers. Cailhava, à qui l’on doit
bien que Tartufe ne soit pas un abbé, puisqu’Orgon veut lui donner sa
fille
en mariage ; mais on n’ignorait pas l’intention p
alliance déplacée, et surtout à l’imprudence de ceux qui épousent une
fille
sans consulter son cœur. Nous avons eu occasion d
paradis terrestre de toucher à l’arbre de la science ; mais comme les
filles
d’Eve possèdent depuis lors la connaissance du bi
enre humain soit remplacée par une instinctive pudeur. Selon lui, une
fille
doit non-seulement s’abstenir de philosopher, mai
e est intraitable là-dessus. N’allez pas croire qu’il veuille que les
filles
, jusqu’au mariage, s’informent si les enfants se
ut esprit bien fait. On peut regarder Henriette comme le modèle d’une
fille
accomplie. Toutes les qualités qu’un honnête homm
fermeté qu’elle montre atteste une certaine maturité d’esprit qu’une
fille
qui ne doit surtout qu’à elle seule son éducation
ager sa sœur après lui avoir enlevé son amant avec malice ; c’est une
fille
sensée qui se défend par la raillerie, de la mauv
de se détermine à faire un coup d’autorité et à marier de lui-même sa
fille
à Clitandre, il dit à ce dernier: Allons, prenez
« Un jour qu’on tenait M. de Lauzun fort mal, M.de Biron et sa femme,
fille
de Nogent, se hasardèrent d’entrer, sur la pointe
ges Dandin. Les marquis, les chevaliers, plus disposés encore que les
filles
nobles à exploiter ces vanités roturières, déroge
, elles ne vivent que d’intrigues, et, dans la Parisienne, une petite
fille
que l’on croit innocente se ménage trois amans. C
dans une grande colère, jusqu’à ce qu’une certaine Marton, malicieuse
fille
ait l’obligeance de leur apprendre qu’ils n’ont d
e, on rencontre ce trait excellent : « Le père est un fripon, mais la
fille
est un bon parti. Ces sortes de mariages ne sont
parti, qu’il trouva une certaine chanteuse dont il devint fou. Cette
fille
étoit chez un marchand d’esclaves, le plus infame
aire, nous suivions ordinairement Phédria. Vis-à-vis du lieu où cette
fille
alloit prendre ses leçons, il y avoit une boutiqu
à faire ses funérailles : cela m’a fait une grande compassion : cette
fille
est d’une beauté charmante. Que te dirai-je davan
ver la vieille dont je t’ai parlé, il la prie de lui faire voir cette
fille
: elle le refuse, & lui représente qu’il a de
, & lui représente qu’il a des desseins fort injustes ; que cette
fille
est citoyenne d’Athenes ; qu’elle est bien élevée
oir. Il presse, supplie, conjure ; point d’affaire. On lui dit que la
fille
, quoique sans bien & sans appui, est de famil
? Madame Grognac. Oui. Valere. Oui.Vous ne voulez point marier votre
fille
? Mad. Grognac. Non. Valere. Non.Quand on vous e
ysan, a eu la folie de s’allier à la Noblesse, en épousant Angélique,
fille
de M. de Sotenville, Gentilhomme campagnard. Mada
Bocace. Pantalon ne veut point ouvrir sa porte à sa femme & à sa
fille
, qui sont sorties pendant la nuit. Elles feignent
assez l’ordinaire parmi les gens de cette profession : il épousa une
fille
de qualité, nommée Simone, qui n’étoit nullement
é sa femme, & vouloir se disculper aux dépens de son honneur ? Ma
fille
a été trop bien élevée pour être capable d’une ac
. Comme je lui pardonne de bon cœur, pardonnez-lui aussi. Comment, ma
fille
, dit alors la mere, avec des yeux étincelants de
grande antiquité ! Si j’en avois été crue, on vous auroit mariée, ma
fille
, à un homme de votre qualité, & vous n’auriez
sans cesse à son gendre l’honneur qu’il lui a fait en lui donnant sa
fille
; & celui de Mad. de Sotenville, qui ne croit
ganarelle. Gorgibus, après avoir promis à Lélie la main de Célie sa
fille
, veut profiter de l’absence de l’amant pour la do
er de l’absence de l’amant pour la donner à Valere. Il l’annonce à sa
fille
qui se trouve mal de chagrin, & laisse tomber
quin désespéré quitte la scene. Magnifico parle au Docteur & à sa
fille
de leur prochain mariage. Eléonora consent à donn
Piece Italienne, Acte II, Scene I. Magnifico veut marier Eléonora sa
fille
avec le Docteur qu’elle n’aime point : elle feint
à ce mariage. Piece Françoise, Acte I, Scene I. Gorgibus veut que sa
fille
Célie donne la main à Valere, pour qui elle n’a n
e de Lélie qu’elle aime. Cette contradiction entre le pere & la
fille
donne à la Scene Françoise une action, une vie qu
st un bon vieillard qui conseille à un pere de veiller de près sur sa
fille
, de l’enfermer, & de ne s’en fier qu’à lui-mê
r le mariage de son maître. Géronte se félicite de marier bientôt sa
fille
. L’Olive paroît en faisant claquer son fouet, &am
ce qu’a dit Géronte, apprend avec plaisir que le bon-homme laisse sa
fille
maîtresse de son sort : il espere qu’elle refuser
el il a bâti. « Un homme d’un âge avancé, pere d’un fils & d’une
fille
qui avoient déja passé le printemps de leur âge,
n grand repas, où il avoit invité ses plus intimes amis, son fils, sa
fille
, & les parents de sa femme. Son fils, après l
de l’assemblée, & qu’il avoit épousée depuis quelques années. La
fille
du bon-homme fit le même aveu pour un cavalier de
Oronte seul se plaint des embarras que lui causent son fils & sa
fille
; il voudroit bien les marier, mais il voudroit e
eurs. Il les fait venir, dit-il, pour célébrer la convalescence de sa
fille
. Nérine lui répond qu’au lieu d’employer tant de
Nérine lui répond qu’au lieu d’employer tant de gens pour réjouir sa
fille
, il n’a qu’à la marier. Oronte feint de ne pas l’
out son possible pour empêcher son pere d’entrer. Oronte annonce à sa
fille
qu’il va l’unir à M. Michault, homme riche, avec
e & remercie son beau-pere. Oronte présente ensuite Michault à sa
fille
: elle embrasse ses genoux, & lui dit qu’elle
d’Arnolphe avec une de ses comédiennes, Armande Béjart, qui était la
fille
de Madeleine, la comédienne avec laquelle il étai
, avec ses personnages traditionnels aussi, avec ce déguisement d’une
fille
en garçon, etc., est pour nous, était déjà en 165
rien de moins que la question de renseignement et de l’éducation des
filles
. Faut-il laisser aux jeunes filles une grande ind
Dans l’École des maris, il était question surtout de l’éducation des
filles
; dans l’École des femmes, il est question surtou
dans l’École des femmes, il est question surtout de l’instruction des
filles
. Un homme a fait élever une toute petite fille po
de l’instruction des filles. Un homme a fait élever une toute petite
fille
pour en faire sa femme et a défendu qu’on lui don
t que la punition de la sottise qu’a faite George Dandin d’épouser la
fille
d’un gentilhomme ridicule ». Rien de plus juste ;
scène à la lois essentielle et bien à sa place : Orgon proposant à sa
fille
Tartuffe pour époux, et puis, étant à court, il s
de même que l’homme infecté de sotte dévotion devient cruel envers sa
fille
, de même l’homme fêlé de vanité devient méchant a
de même l’homme fêlé de vanité devient méchant aussi à l’égard de sa
fille
, et si l’un veut faire épouser à sa fille une man
chant aussi à l’égard de sa fille, et si l’un veut faire épouser à sa
fille
une manière de sacristain, l’autre veut faire épo
ière il y a de fort bonnes choses. La scène où le roi se sépare de sa
fille
, réclamée par les dieux, rappelle tout à fait, mê
tte vive douleur dont je ressens les coups, Je veux bien l’étaler, ma
fille
, aux yeux de tous, Et dans le cœur d’un roi montr
trice qui a des prétentions à l’infaillibilité, qui prétend marier sa
fille
avec qui elle a choisi et qui en définitive éprou
aux prétentions de Philaminte ; tout le rôle enfin de Bélise, vieille
fille
née un peu folle, rendue folie complètement par l
malgré l’immoralité de ce spectacle, le jeune homme qui a épousé une
fille
pour son argent devenir un mari trompé, l’homme d
certainement un enfant de la nature ; mais vouloir épouser une jolie
fille
qui a de la fortune et obtenir les faveurs d’une
ourgeois gentilhommeou Martine encore dansles Femmes savantes, vraies
filles
de la nature s’il en fat, qui ne font point d’esp
et il n’y a aucun naturisme là-dedans, la seconde est qu’à marier une
fille
contre son gré, il y a un grand danger pour le ma
donc de celles des servantes de Molière qui sont véritablement des «
filles
de la nature » et des femmes « de bon sens naïf »
ent Martine représentant la pensée de Molière et Molière confiant aux
filles
de la nature la défense de leur mère ? Présenter
nt ; mais il ne faut pas avoir l’air de donner raison au fils et à la
fille
d’un avare qui, parce qu’il est avare, ont perdu
e ; les personnages sympathiques de l’Avare, c’est son fils, c’est sa
fille
, c’est La Flèche, c’est Frosine qui sont opposés
phe parce qu’Arnolphe a commis deux crimes, celui d’abêtir une petite
fille
et celui, vieux, de vouloir épouser une jeune fil
dans votre servante ou dans votre mari. Par suite (savez-vous ?) vos
filles
sont mal élevées : l’une donne dans vos travers e
int que les Orgon et les Argan : vous voulez donner pour mari à votre
fille
un gendre selon votre cœur et non selon le sien e
sion égoïste rend méchant et vous verriez mourir mère, enfant, femme,
fille
, que vous vous en soucieriez au- " tant que de ce
" tant que de cela ; et c’est presque vrai, car vous sacrifiez votre
fille
en la mariant contre son gré avec la plus parfait
ui aurez imposées et par le sombre chagrin de vivre avec vous ; votre
fille
vous méprisera, pareillement votre fils qui de pl
nue manie vous rend méchant où au moins dur. Vous voulez marier votre
fille
à un médecin, comme Orgon veut marier la sienne à
mps qu’il met la main sur la fortune d’Orgon et obtient la main de sa
fille
, ce qui ressortit à son ambition, il convoite sa
e s’insinue jamais dans une famille où se trouvent tout à la fois une
fille
à pourvoir et un fils à établir ; il y a là des d
n fils, la malédiction qu’il donne à ce fils, son projet de donner sa
fille
à Tartuffe et sa dureté à l’égard de sa fille ne
son projet de donner sa fille à Tartuffe et sa dureté à l’égard de sa
fille
ne doivent point du tout étonner. C’est le contra
ulsif ; il l’a fait se mettre en colère contre sa servante, contre sa
fille
, plus tard contre sa mère ; il l’a fait tel enfin
ient de l’égoïsme et le renforce. Le malade imaginaire veut marier sa
fille
avec un médecin pour avoir toujours un médecin so
avoir toujours un médecin sous la main, comme le dévot veut marier sa
fille
avec un ami de Dieu peut être toujours sous la ma
de Dieu peut être toujours sous la main de Dieu, et l’un tartufie sa
fille
pour sanctifier sa maison et l’autre diafoirise l
! Messieurs, que prétendez-vous faire ? puisqu’il songe à épouser la
fille
de Philaminte. Mais précisément c’est ce qui nous
omanesque. Son rôle pourrait être intitulé à quoi rêvent les vieilles
filles
. Elle a été jeune, elle a songé à l’amour, elle a
et qu’elle l’a désespéré par les escarpements de sa vertu. Toutes les
filles
qu’on ne peut pas saluer sans qu’elles croient qu
tresse lui ferme les yeux sur la dureté qu’il y a à vouloir forcer sa
fille
qui n’entend pas le grec à épouser un homme de le
es de Fontenelle, cette marquise qui, par parenthèse, était la propre
fille
de Mme de la Sablière. Son type est presque proph
e Pernelle la déteste qui a marié une première fois son fils avec une
fille
riche, puisque Mariane parle de son bien personne
d rien, supporte Tartuffe, est en très bons termes avec le fils et la
fille
de son mari, et même, si c’est un peu pour elle-m
est ce qu’il y a de plus naturel et de plus raisonnable. Agnès est la
fille
de la nature comme sa voulu Arnolphe et comme il
du plaisir ? […] Quel mal cela vous peut-il faire ? C’est une petite
fille
qui parle et une jeune fille qui agit, et de ce q
eune fille qui agit, et de ce que fait la jeune fille c’est la petite
fille
qui parle, chose juste étant donnée la manière do
a et aussi son fils est un joueur, un écornifleur et un voleur, et sa
fille
, très saine, est du moins insolente. « Grande leç
e jeune fille qui manque de duvet » a dit M. Jules Lemaître. C’est la
fille
de Chrysale, sa vraie fille. Elle est peuple, ave
duvet » a dit M. Jules Lemaître. C’est la fille de Chrysale, sa vraie
fille
. Elle est peuple, avec de l’esprit et de l’élégan
s de Molière, le style de Molière, quand il est le meilleur. C’est la
fille
de Molière encore plus que la fille de Chrysale.
uand il est le meilleur. C’est la fille de Molière encore plus que la
fille
de Chrysale. Quand les hommes de cinquante ans pe
propos d’abandonner sa femme et qu’il, promet le mariage à toutes les
filles
, choses qu’un gentilhomme ne fait pas : un gentil
re. Mais la concupiscence l’emporte. Il est sensuel et s’il épouse la
fille
pour sa dot il convoite la femme pour sa beauté.
donné son Harpagon comme amoureux et, bien plus, comme amoureux d’une
fille
sans aucun bien. Celui qui, vraisemblablement, ne
aucun bien. Celui qui, vraisemblablement, ne voudrait pas épouser une
fille
riche par considération des habitudes de luxe et
qu’elle introduirait dans sa maison, celui-là même est amoureux d’une
fille
pauvre et, sans doute, n’est pas très content qua
x employer à l’y mieux retenir ; Et je vais me hâter de lui donner ma
fille
Pour confondre l’orgueil de toute ma famille. Vo
été un peu un tyran domestique, et l’attitude de chien battu qu’a sa
fille
devant lui, encore qu’elle vienne de sa timidité
égadorus raisonne ainsi : « Si tous les riches prenaient sans dot les
filles
des citoyens pauvres, il y aurait dans l’État plu
ve raisonnable : Harpagon : […] Car encore n’épouse-t-on point une
fille
, sans qu’elle apporte quelque chose. Frosine
sans qu’elle apporte quelque chose. Frosine : Comment ! C’est une
fille
qui vous apportera douze mille livres de rente !
e est nourrie et élevée dans une grande épargne de bouche ; c’est une
fille
accoutumée à vivre de salade, de lait, de fromage
ne famille. Dans le Malade imaginaire, un père, une femme, une grande
fille
, une petite fille ; dans l’Avare, un père, un fil
e Malade imaginaire, un père, une femme, une grande fille, une petite
fille
; dans l’Avare, un père, un fils, une fille ; dan
grande fille, une petite fille ; dans l’Avare, un père, un fils, une
fille
; dans les Femmes savantes, un père, son frère, s
les Femmes savantes, un père, son frère, sa sœur, sa femme, ses deux
filles
; dans le Misanthrope, point de faon lié, mais un
a grand’mère, le père, sa seconde femme, son beau-frère, son fils, sa
fille
. Don Juan est moins apparenté ; son père paraît c
ule d’abord, mais parce qu’il est ce qu’il est, il a donné à ses deux
filles
pour marâtre une fausse infirmière qui les dépoui
contre leur gré, et parce qu’il est ce qu’il est, il allait marier sa
fille
à un médecin idiot et Dieu sait, mais vous aussi,
a très bonne femme pour courir après des marquises et il va marier sa
fille
avec le fils du Grand Turc, lisez, déduction fait
c’est l’Avare. Parce qu’Harpagon est avare son fils est voleur et sa
fille
est au moins très mal élevée et quelque peu avent
est sur le point de fondre sur toute la famille d’Orgon, et c’est la
fille
d’Orgon qui n’a que le choix entre un couvent et
ant la Jungfrau j’ai entendu un excellent homme, entre sa femme et sa
fille
, s’écrier : « Oh ! Quel bonheur ce serait de voir
ans Molière : « Pour moi, un de mes étonnements est que vous ayez une
fille
si spirituelle que moi. » — « Va, va, Pierrot, q
il est en grande estime. C’est une bourgeoise de Paris, peut-être une
fille
de petite noblesse, qui exprime son amour par tou
ssi sa cassette, et se livre au plus affreux désespoir ; on séduit sa
fille
; il prend l’amant pour le voleur, et cette mépri
ment sont amoureux, mais encore l’un aime une coquette et l’autre une
fille
pauvre. Dans Le Bourgeois gentilhomme et dans Le
téressante Marianne, la modeste et piquante Henriette, la malheureuse
fille
de L’Avare, et la fille vertueuse du Malade imagi
modeste et piquante Henriette, la malheureuse fille de L’Avare, et la
fille
vertueuse du Malade imaginaire ? Tous ses jeunes
te qui brusque son maître, trompe la belle-mère, et seconde l’aimable
fille
d’Argan accablée sous une marâtre ! On a dit que
ante ans, avait eu l’imprudence d’épouser une très jeune personne, la
fille
de cette même madame Béjart à laquelle il avait a
Croisy (Mademoiselle), femme de l’acteur. Du Croisy (Mademoiselle),
fille
de l’acteur, femme de Poisson. Duparc (Mademoise
naires. Raisin avait quatre enfants, tons jolis, deux garçons et deux
filles
; il leur avait appris à jouer de l’épinette. Qua
Marie Claveau, de la province du Poitou. De ce mariage naquirent deux
filles
: la première, nommée Angélique, qui jouait en 16
ôles d’amoureux d’une manière aussi noble qu’aisée. Il n’avait qu’une
fille
unique qu’il aimait beaucoup ; l’ayant mariée à u
nt jusqu’en 1679. Il mourut du chagrin que lui causa le mariage de sa
fille
Thérèse Le Noir avec Dancourt, qui l’avait enlevé
avec qui elle contracta, dit-on, un mariage secret, dont elle eut une
fille
le 2 juillet 163811. Madeleine Béjart revint à Pa
passer dans sa troupe avec des appointements, et de l’adopter pour sa
fille
. La jeune Bourguignon accepta ses offres, et quit
upe du Palais-Royal, et se retira en 1673. Mlle du Croisy [II].
Fille
de l’acteur, femme de Poisson ; elle remplit en j
ariage de ce dernier avec Armande Béjart, qui était la sœur et non la
fille
de Madeleine Béjart. 12. Molière n’eut qu’une fi
a sœur et non la fille de Madeleine Béjart. 12. Molière n’eut qu’une
fille
dont l’éducation fut négligée par sa mère. Elle s
xtrait du maître Etourdi. Gélio, fils de Pantalon, & promis à la
fille
du Docteur, est amoureux de Turqueta. L’amour qu’
esclave, je voulois la lui enlever pour qu’il fût tout entier à votre
fille
. Alors le Docteur, donnant dans un nouveau piege,
arler à sa maîtresse, & lui fait part de toutes les bontés que sa
fille
a pour lui. Acte V. Philipin obtient un second r
e sa voix, s’écrie, je suis Philipin. La mere reconnoît l’amant de sa
fille
, ne sait quel parti prendre, veut consulter son f
it déguiser. Il conseille à sa prétendue sœur de donner Cléandre à sa
fille
, quand Cléandre lui-même rit au nez du faux oncle
nce, qu’il eût banni de notre théâtre ces marchands d’esclaves, cette
fille
qu’on veut vendre & acheter, sa piece étoit i
les mieux accomplir qu’elle doit user des droits que Molière réclame.
Fille
, qu’elle soit modeste et douce comme Henriette 33
i supporte une belle-fille : c’est une mère qui veille au salut de sa
fille
, et qui pousse le dévouement maternel jusqu’à mén
comme Philaminte, une pédante orgueilleuse qui sacrifie son mari, sa
fille
, sa maison à la vanité, du bel esprit370 ; ni, co
et dévouée. Quand la mère. manquera, elle la remplacera auprès, des
filles
., comme Lisette 373, Donne 374, ou Toinette 375.
nt et du bon sens, sauvera la famille, comme fait Martine 379. Mais,
fille
ou mère, épouse ou servante, qu’elle soit douce e
e délicatesse, d’autorité dans la maison, pour être en même temps une
fille
suivante un peu trop forte en gueule et capable d
curité, en croyant s’unir avec Lucile. Elle lui dit que si elle étoit
fille
, son bonheur seroit de lui plaire. Valere rit du
nt ; Que pareille chaleur d’amitié vous transporte, Et que si j’étois
fille
, une flamme plus forte N’outrageroit point celle
re côté Polidore, ayant appris que Valere avoit épousé secrètement la
fille
d’Albert, lui fait demander une entrevue. Albert
ber dans un plus grand, quand Polidore lui dit que Valere a séduit sa
fille
Lucile. Scene IX. Lucile, très innocente de la
uer un homme. On sait que la chair est fragile quelquefois, Et qu’une
fille
enfin n’est ni caillou ni bois. Vous n’avez pas é
yage qu’on lui a ordonné. Ismene est devenue éprise de l’amant de sa
fille
; elle craint le retour de Champagne ; elle ouvre
er les deux jeunes amants, sans quoi Accante, espérant de s’unir à la
fille
, ne voudroit certainement pas épouser la mere. La
lard s’adresse. Le fourbe lui persuade que Julie est Constance, cette
fille
chérie qu’il n’a point vue depuis sa plus tendre
de Frontin. Argante lui fait mille caresses, en croyant embrasser sa
fille
: il est enchanté qu’elle ait quitté Bourdeaux ;
re à M. Argante que son fils lui a menti, que Julie est réellement sa
fille
: & pour l’engager à la retenir chez lui . .
rman de Breme, Potier d’étain. Madelaine, sa femme. Angélique, leur
fille
. Me. Antoine, amant d’Angélique. Crispin, valet
Hambourg. ACTE I. Scene I. Maître Antoine est amoureux d’Angélique,
fille
du potier ; il va la lui demander en mariage ; il
ntretenir d’une affaire de conséquence. J’ai envie de lui demander sa
fille
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Il y va e
fait honneur. Vous êtes un joli & honnête garçon. Je crois que ma
fille
ne seroit pas mal avec vous. Mais je desirerois f
s qui ont pu déterminer le Sénat à nommer son maître Bourg-mestre. La
fille
du Potier, qui craint que sa qualité ne l’empêche
va nous apprendre comment les choses se sont passées. Elle écrit à sa
fille
, le 29 avril 1676 : « La reine a été deux fois au
dissiper à Bourbon : « Elle part seule », dit madame de Sévigné à sa
fille
; « mais si elle avait voulu mener tout ce qu’il
es avec civilité. M. Fouquet (l’abbé Fouquet) et sa nièce (la seconde
fille
du surintendant), qui buvaient à Bourbon, l’ont é
revenir à Saint-Germain. Le 8 juillet, madame de Sévigné écrit à sa
fille
: « Le roi arrive ce soir à Saint-Germain, et par
’est une pure amitié. » Le surlendemain, madame de Sévigné écrit à sa
fille
les détails de l’arrivée du roi : « Le bon ami de
celles de 1740, mais encore, — et par induction, — celle de 1738. La
fille
de Du Croisy était, il est vrai, retirée du théât
femme d’un des meilleurs comédiens que nous ayons eus (Mlle Poisson,
fille
de Du Croisy), nous a donné (avant 1734) ce portr
êlée d’écrire, et laissant ce petit travers, — chez une femme, — à sa
fille
, Mmede Gomez. Donc, jusqu’à nouvel ordre et pre
ssa trois enfans : un fils connu par ses pièces de théâtre79, et deux
filles
, dont l’une, appellée Mlle d’Ennebault80 étoit co
ble, est arrière-petite-fille de Montfleury du côté de sa grand-mere,
fille
de la demoiselle d’Ennebault83. Le Comédien poèt
dustrieuse, 1692111. Françoise-Jacob d’Ennebault, sœur de Mlle Dupin,
fille
de Montfleury, grand-mere maternelle de Mlle.Desm
à bout. On a toujours trouvé dans cette comédie le déguisement d’une
fille
en garçon peu vraisemblable, mais on admire la sc
s deux frères ici ne sont point mariés ; ils sont les tuteurs de deux
filles
qu’un de leurs amis leur a laissées, pour les épo
permet que Leonor voye le beau monde et qu’elle aille vêtue comme une
fille
de qualité, sans néanmoins donner dans le ridicul
fort fade. Louise Jacob, épouse de Joseph du Landas, sieur Dupin188,
fille
de Montfleury, et sœur de la Dlle Ennebault. Elle
int d’enfants mâles, ses deux fils étant morts avant Molière; mais sa
fille
, Esprit-Madeleine, lui survécut, se maria avec M.
, Anne-Catherine Desmares, sœur cadette de Christine-Charlotte, était
fille
d’Anne-Françoise Dennebault, et par conséquent pe
de Pierre, représenté à Lyon en 1658. 112. En 1680. 113. Comme la
Fille
capitaine, la Femme Juge et partie, deux comédies
ans la deuxième lettre, p. 71. 149. Ce portrait serait dû à Poisson,
fille
de Du Croisy, d’après l’auteur des Mémoires de 17
167. Françoise Petit, femme de Nicolas Biet de Beau- champ, eut une
fille
, Madeleine Biet, qui épousa Jean Chantrelle, sieu
EMPS] Précis des Mœurs du Temps. Géronte, riche Financier, a une
fille
nommée Julie qu’il fait sortir du couvent pour la
i déteste ses airs de Cour, qui craint de le voir bientôt mépriser sa
fille
, & qui ne consent au mariage que par foibless
Madame Abraham, veuve d’un banquier, très riche, & qui n’a qu’une
fille
nommée Benjamine. Moncade lorgne cette derniere,
nsidérables, étale ses airs de grandeur auprès de la mere & de la
fille
, leur tourne la tête. On congédie Damis, amant &a
ses bonnes qualités. Je m’oubliois, je me deshonorois, j’épousois sa
fille
: elle a plus soin de ma gloire que moi-même : el
ue que votre mariage avec Cidalise... Le Marquis. Et si j’épousois la
fille
de ce logis, la petite Julie... Hem ? M. Dumont.
tte évidente leçon, Molière trouve moyen, quand il met en présence la
fille
philosophe et la fille qui veut un époux et un mé
ière trouve moyen, quand il met en présence la fille philosophe et la
fille
qui veut un époux et un ménage, de mettre toute l
seulement. Le bon sens le dit, et Molière le répète par la voix de la
fille
fraîche, spirituelle et chaste qui dit du fond du
urait le dévouement de considérer comme une obligation le salut de la
fille
, du père, de la fortune ? Qui donc surtout, excep
s 522 ; — si la raison, c’est « le beau mariage de la jeune Dorimène,
fille
du seigneur Alcantor, avec le seigneur Sganarelle
e ; Qu’il ne fait pas bien sûr, à vous le trancher net, D’épouser une
fille
en dépit qu’elle en ait ; Et qu’elle peut aller,
exhortations de Bossuet. Le 7 juin 1676, madame de Sévigné écrit à sa
fille
: « Le roi a fait ses dévotions à la Pentecôte108
an. » Madame de Sévigné, dans une lettre du 24 juillet, raconte à sa
fille
l’arrivée du roi. « Le roi arriva dimanche matin
orze jours après ce qu’on vient de lire, madame de Sévigné écrit à sa
fille
: « Les amies de la voyageuse (mesdames de la Fay
e roi et elle. Lisons madame de Sévigné qui en donne la nouvelle à sa
fille
, le 11 septembre 1675. « Il est certain que l’ami
où vous l’avez toujours connue, etc. » Madame de Sévigné écrit à sa
fille
, le 3 novembre : « M. Boucherat a passé par Véret
mois de mai. 110. Madame de Sévigné fait, dans une autre lettre à sa
fille
, du 7 août, la description du jardin de Clagny. «
es d’apparat. Vous cherchez sur l’ancien Parnasse les Muses, augustes
filles
de Jupiter, Thalie aux pieds légers, Melpomène en
tous les enfants de ce monde ! À quinze ans, l’enfant était une jolie
fille
à la mine éveillée, à la taille fluette, autour d
uettes ! — Déclamez pour moi votre tirade la plus amoureuse, ma chère
fille
; pour moi qui vous ai vue naître et grandir. Hél
à les entendre ; le duc régnant, par exemple, est tout simplement la
fille
d’un empereur d’Autriche, la veuve de l’empereur
mmissaire de police de notre quartier me demandaient la main de notre
fille
Isabelle, je dirais au duc de Parme : — Touchez l
Isabelle, je dirais au duc de Parme : — Touchez là ; la main de notre
fille
n’est pas pour vous ! Ma fille duchesse de Parme
arme : — Touchez là ; la main de notre fille n’est pas pour vous ! Ma
fille
duchesse de Parme ! ah bien oui ! À quoi la voisi
n’ont pas d’odeur ? Mais qui vous parle, ma voisine, de donner votre
fille
à un marchand de violettes ? Certes, à voir comme
reux d’une jeune ouvrière nommée Paula. La grande passion de la jolie
fille
, c’était d’aller au théâtre du grand-duc (chacun
onne, réplique l’imperturbable barbier, vous n’avez donc ni femme, ni
fille
? — J’ai une femme jeune et belle, repart Zapata,
endre ami Diégo, disant à ce Mégani : — Vous n’avez donc ni femme, ni
fille
? Six mois se passent. Paula est restée à Parme,
plus grands crimes et de plus grandes phrases pour séduire une petite
fille
qui joue la comédie. D’un pareil homme près de sa
de Narbonne, si bien contée par la belle Laurette. Gillette était la
fille
d’un savant médecin nommé Gérard. — En mourant, G
d’un savant médecin nommé Gérard. — En mourant, Gérard laissait à sa
fille
quelques-uns des mystères de son art. Restée seul
e arrive, elle dit au roi que dans huit jours, s’il veut se fier à la
fille
de Gérard, il redeviendra, tout à fait, le prince
à bout de remèdes et lassé de charlatans, reçoit assez mal la pauvre
fille
. Comment donc, lui dit-il, une si jeune femme, gi
ns à vous par la volonté de Dieu. Rappelez-vous que je suis la propre
fille
du fameux médecin Gérard de Narbonne ; enfin ma v
regard que vous n’êtes guère disposé à donner votre main à une humble
fille
de ma sorte ? — Essayez-en, répond le capitaine,
rince ! » Mais le comte de Roussillon ne veut pas pour sa femme d’une
fille
sans naissance. Cependant notre jeune homme n’ose
ù il n’était question que du fol amour du comte de Roussillon pour la
fille
d’une pauvre veuve qui demeurait non loin de cett
eusement que la dame veuve était une noble et honnête dame, et que sa
fille
était la digne fille de sa mère, et qu’elles étai
veuve était une noble et honnête dame, et que sa fille était la digne
fille
de sa mère, et qu’elles étaient à l’abri, l’une e
u’une pièce de huit sous à un procureur, une couronne française à une
fille
en taffetas, une gaufre au Mardi-Gras, une danse
brave homme, pour les douleurs intimes de la jeune Henriette, aimable
fille
d’un si rare bon sens, forcée de vivre dans les a
i bon lieu ! Ce doit être, en effet, une terrible révolution pour une
fille
bien avisée, passer soudain, d’un petit théâtre o
’est là une de ces nécessités difficiles à comprendre pour une petite
fille
qui nous faisait pleurer naguère, en chantant des
cette mère de famille livrée à des jouets d’enfant, ou cette vieille
fille
qui se jette dans l’amour idéal, faute d’une pass
sible de ses narrations les plus vraisemblables. Cette comédie est la
fille
des vendanges et du hasard ; elle est venue à Rom
ongeant la voie Sacrée, et qui s’en va du même pas, pour violer cette
fille
innocente et pure ! Car voilà tout le nœud comiqu
e fille innocente et pure ! Car voilà tout le nœud comique ; et cette
fille
déshonorée, ces voiles déchirés, ce désordre de l
jeune Chrêmes. Mais qu’y faire ? Leur excuse est toute prête ! Cette
fille
déshonorée est une esclave ; or l’esclave n’est p
à la nuit, de la femme libre et née libre, à l’affranchie, esclave et
fille
d’esclave ; c’est la différence de la débauche à
uel et librement consenti ; c’est la différence de la jeune et timide
fille
, bien née et défendue par les remparts sacrés de
qui tient à la chasteté antique ! Entre le bouffon et le valet, cette
fille
passe, la tête haute, esclave, mais résignée, et
sur le front d’une esclave qui sort du bain ! Une pareille fiction à
fille
achetée au marché !… un baiser ! S’il se fut cont
es, et l’onde salée et blanchissante, dont vous êtes sortie, ô Vénus,
fille
de la mer ! Écoutez ! c’est l’envie qui parle, c’
e. La comédie grecque, autant pour le moins que la tragédie, était la
fille
des yeux et des sens, de l’imagination et de l’es
qu’à Toinette, sa servante ; il n’exige guère les bons offices de sa
fille
Angélique ou de sa petite fille Louison ; sa femm
n’exige guère les bons offices de sa fille Angélique ou de sa petite
fille
Louison ; sa femme elle-même n’en prend qu’à son
e imaginaire, madame de Sturmer ne demande pas mieux que de donner sa
fille
à un médecin. « Je veux me faire un gendre et des
e Toinette. — C’est celle-là, Toinette, qui est une bonne et heureuse
fille
, un joyeux boute-en-train, une franche servante,
, en comprenant combien eût pu être belle et grande la destinée d’une
fille
de tant de rois, partageant l’exil de ce grand so
de la Bastille, non pas sans voler le geôlier et sans lui enlever sa
fille
. En vain a-t-on couru après lui, nul n’a su retro
se donnerait pas tant de soucis et tant de mensonges pour épouser une
fille
sans dot et sans famille. Cependant, qu’est deven
des valets et des soubrettes. Elle va enseigner comment on séduit les
filles
sans les épouser, comment on vole les oncles sans
omène avec Baron sous les charmilles de son jardin. Quant aux petites
filles
des comédies de Regnard, quant à ces innocentes,
ans la mansarde ; elle tente les femmes riches par le changement, les
filles
pauvres par la vanité. Elle a des paroles emphati
lle a été la grande passion… la grande vertu de nos pères ; la gaîté,
fille
du courage, de la bonne conscience et de l’honneu
te comtesse du premier acte à qui il écrit comme on n’écrit pas à une
fille
; ce monsieur-là est tout à fait le plus honnête
irière, madame Derville, avec son éternel refrain : J’ai pitié de ma
fille
, et malgré sa vertu, Je commence vraiment à n’êtr
Juan, ces belles personnes si retenues et si modestes, ces innocentes
filles
si charmantes, ces grandes dames si fières, ces a
s si spirituellement trahies, de les comparer avec les trois à quatre
filles
de joie, mises en scène par le comédien Baron. Ce
ansarde poétique. C’était mieux que la muse de d’Ancourt ; c’était la
fille
du comédien La Thorillière, qui n’avait jamais re
guère s’il devait se fâcher contre son fils ou lui porter envie ; la
fille
était si jolie ! Après toute délibération, on rés
eu de broderie sur l’habit, et quelque chose sur leur pain. Jamais la
fille
de La Thorillière n’avait été si jolie ; jamais l
s osé aborder les occupations sérieuses de la vie ; celle-là pour une
fille
vaniteuse et coquette qui faisait bon marché de l
, et rien de guindé ; des amours-propres de bons garçons et de bonnes
filles
; des appointements à la portée de tous les entre
c les plus honnêtes gens de la cour, mais côte à côte avec toutes les
filles
et tous les chevaliers d’industrie qui n’attendai
» Ainsi finit la pièce. On ne traiterait pas autrement une mauvaise
fille
qui aurait volé une paire de gants ou un pot de f
e laquelle la marquise avait atteint sa trente-cinquième année, et sa
fille
sa treizième. Il y a lieu de croire cependant qu’
ours qu’on la jouait. Ce fut en 1607 que la marquise eut sa cinquième
fille
, Julie, devenue depuis si célèbre par la passion
ar les lettres de Voiture que la marquise de Rambouillet et Julie, sa
fille
, écrivaient fort simplement ; ce qui autorise à p
dre, par votre exemple, d’écrire d’un style trop élevé ». Il dit à la
fille
, à l’occasion d’une plaisanterie un peu moqueuse
l a fait voir çà et là un père indulgent659, une mère dévouée660, une
fille
respectueuse661, un frère affectueux662 : mais nu
uinteux ? Pourquoi sans cesse a-t-il présenté de douces et innocentes
filles
comme les victimes de parents insensés ou cruels
t le désintéressement sont récompensés, si le bonheur des fils et des
filles
est assuré, ce n’est pas la faute des pères, et i
99, sont si ridicules ou si égoïstes, qu’il n’y a pas moyen que leurs
filles
les respectent ou les aiment. Quant aux personnes
étendre que des fils puissent être pleins d’honneur et de raison, des
filles
pleines de délicatesse, de pudeur et de grâce, sa
ct, d’affection et de dévouement qui constituent la famille. Pour une
fille
délicate et tendre comme Molière en a.tant représ
e usurpé. Cléonte répond à M. Jourdain, qui, avant de lui accorder sa
fille
, lui demande s’il est gentilhomme : Monsieur, la
. Ce qu’il y a de plus étrange est qu’on a dit que sa femme† étoit sa
fille
. Il avoit une facilité incroyable†† à faire des v
es à Moliere, que l’on n’a dit de douceurs à sa femme ; qu’elle étoit
fille
de la defunte Bejard Comedienne de campagne, qui
jeunes gens de Languedoc, dans le temps de l’heureuse naissance de sa
fille
. C’est pourquoi, ajoûte l’Auteur, il seroit très-
s pu souffrir que des gens de qualité, & que pour cette raison sa
fille
étoit d’un sang fort noble ; c’est aussi la seule
commandée, de ne s’abandonner qu’à des personnes d’élite. On l’a cruë
fille
de Moliere, quoi qu’il ait été depuis son mary ;
il ne le trouve point. A son retour, Pantalon le presse d’épouser sa
fille
Rosaura. Camille, amoureuse d’Arlequin, entend ce
el habit. Il répond qu’il l’a envoyé vendre. Pantalon lui présente sa
fille
; il n’en veut point. Camille lui dit qu’il fait
menace de le faire mettre en prison, puisqu’il ne veut pas épouser sa
fille
. Le Docteur & Celio lui font la même menace ;
son habit. Pantalon le voit, a peur, & ne veut plus lui donner sa
fille
, parcequ’il est, dit-il, possédé. Arlequin rit, f
ent fait perdre la mémoire à son fils. Lélio apprend que Flaminia est
fille
de Cassandre, alors il se félicite de la méprise
roubler l’acquisition du procureur ; il change d’avis en faveur de la
fille
de ce même procureur dont il est amoureux. Maugr
ole ! & quel chagrin pour une mere vertueuse qui ayant conduit sa
fille
au spectacle en croyant lui procurer un plaisir i
er, doit tout son mérite à sa bouquetiere & à son parfumeur : les
filles
à talent dictent ses arrêts dans leur alcove ou d
’un pas à faire : les rendre le jouet d’un faux Grand, ou de quelques
filles
petites-maîtresses48, c’est les ranger de bien pr
En voici le précis. Boniface, pere de Lise, veut mettre auprès de sa
fille
un surveillant capable d’en répondre. Cléandre, s
dans ma maison, Une charge avec un asyle. La charge est de garder ma
fille
. Thomas. Vous entendez bien le détail ? Cléandre.
ercice, & met Boniface au point de ne pouvoir plus lui refuser sa
fille
. 46. Moliere qui, à très bon droit, occupe la
’emparer de son esprit, qu’elle veut lui donner en mariage Mariane sa
fille
Tartufe, peu content de ses bontés, tente de sédu
punir les ennemis du saint homme, il veut non seulement lui donner sa
fille
, mais encore tout son bien. Elmire tâche de rame
so, le Docteur pédant scrupuleux. Acte I. Silvio est amoureux de la
fille
de Magnifico, autrement dit Pantalon. Il trouve l
; le maître se pardonnent mutuellement. Silvio trouve enfin Béatrice,
fille
de Pantalon, & lui fait une déclaration, qu’e
lichino Mercante prodigo, Arlequin Marchand prodigue. Pantalon a une
fille
nommée Argentine, qui est amoureuse de Célio. Son
se présente ensuite chez Pantalon : celui-ci lui dit que son indigne
fille
s’est évadée en secret avec un amant chéri. Célio
il la cherche & ne la trouve point. Pantalon arrive, reconnoît sa
fille
& Célio, leur avoue la supercherie qu’il leur
x employer à l’y mieux retenir : Et je vais me hâter de lui donner ma
fille
, Pour confondre l’orgueil de toute ma famille. .
et plus régulière, et cette Élise qui, franche et naturelle comme la
fille
cadette de Chrysale, se moque si bien de la prude
de famille, et la folie pédantesque de sa femme, de sa sœur et de sa
fille
aînée ; où tout le danger qui menace les personna
ançais. Il est raisonnable, enfin, lorsqu’il préfère pour époux de sa
fille
l’aimable et honnête Clitandre à ce vil et sot pé
sont les mêmes : c’est l’altière Philaminte, qui veut disposer de sa
fille
en faveur d’un autre ; c’est la jalouse Armande,
est enthousiasmée. Chrysale appelle à son secours et son frère et sa
fille
et sa servante ; il ferait venir jusqu’aux gens d
au-feu ne va pas bien et de ce qu’on veut marier déraisonnablement sa
fille
, vante, dans l’intérêt de sa fille et de son pot-
n veut marier déraisonnablement sa fille, vante, dans l’intérêt de sa
fille
et de son pot-au-feu surtout, les avantages de l’
’est pas d’une assez haute naissance pour se mésallier en épousant la
fille
d’un roturier, et qui a trop peu de bien pour ne
ment toutes les mères devraient vouloir pour gendres, ainsi que leurs
filles
pour maris. On parle de contraste : en est-il un
Bélise est exaltée et presque visionnaire ; c’est celle d’une vieille
fille
qui, n’ayant sans doute pas trouvé à se marier, s
nnet seul a fait docteur ; et chacun d’eux, par là, veut sacrifier sa
fille
à une passion qui se fonde uniquement sur son int
ésireuse de la mort de son mari, et éclater la tendre affection d’une
fille
que son père allait déshériter et condamner au cl
Argan, qu’ils n’effectueront pas le mariage projeté par eux pour leur
fille
. Entre Le Malade imaginaire et Les Fourberies de
imaginaire, avec cette seule différence qu’Argan parle de mettre sa
fille
dans un couvent , et qu’Argante parle de déshéri
e perfide, Il est temps que je rompe un silence timide. J’adore votre
fille
. Arbitre de mon sort, Vous tenez en vos mains &am
enir de même ! « Parlez, pressez, priez. Je desire à l’excès « Que sa
fille
aujourd’hui termine nos procès, « Et que le don d
. . . . . . . . . Pour cela je persiste à vous nommer mon gendre. Ma
fille
, en cas pareil, me vaudra bien, je crois, Et n’es
ant veuf de son épouse légitime, a toujours une première femme et une
fille
qu’il a laissées autrefois à Nicosie, et que cett
femme et une fille qu’il a laissées autrefois à Nicosie, et que cette
fille
, nommée Emilia, doit bien avoir à présent une vin
Flavia pour cette Emilia, et d’arracher au père qui n’a jamais vu sa
fille
l’argent nécessaire à la rançon de l’esclave. C’e
i a montré de la tendresse et du dévouement, et qui se trouve être la
fille
d’un voisin et ami de Polidoro. Emilia épouse un
e à l’Hôtel de Bourgogne en avril 1662. 3. La Figlia disubediente (la
Fille
désobéissante). 4. Il Basilico di Bernagasso (Ber
prose, en un acte, de Marivaux. Un jeune Seigneur de Paroisse aime la
fille
de la Concierge de son château : il craint de ne
Scene. Pantalon, Gouverneur de la ville où l’action se passe, a une
fille
nommée Rosaura : le Docteur, Juge de la même vill
son fils & le suit ; Pantalon rentre chez lui pour questionner sa
fille
. Bois. Arlequin arrive avec son âne, pour fair
veut savoir tout ce que savent les gentilshommes et il veut marier sa
fille
avec la fille du Grand Turc. Il n’est guidé que p
ut ce que savent les gentilshommes et il veut marier sa fille avec la
fille
du Grand Turc. Il n’est guidé que par la vanité ;
père, par exemple, fait un fils prodigue, insolent et indélicat, une
fille
insolente et assez près d’être dévergondée. Voilà
Voilà qui est bien, puisque c’est vrai ; mais aussi ce fils et cette
fille
, s’ils ne sont pas présentés comme sympathiques p
un qui est beaucoup moins coupable que le père de ce fils et de cette
fille
. Faut-il conclure que c’est la comédie de mœurs e
les autres. Si avant tout il est ambitieux, il cherchera à épouser la
fille
d’Orgon et à accaparer toute la fortune ; mais no
sa folle témérité que stupéfait de sa scélératesse : Vous épousez ma
fille
et convoitez ma femme ! Et il est ridicule et un
, mère et femme… » ; devient enfin méchant, maudit son fils, force sa
fille
à se marier contre son gré, devient enfin aussi «
irrévérence à l’endroit de la religion et s’opposer au mariage de sa
fille
avec un prétendant qui ne hanterait pas les églis
ur l’Avare — encore qu’Harpagon pût très bien dire à son fils et à sa
fille
qu’il n’est avare que pour l’amour d’eux — il s’a
ion mauvaise, d’une passion à base mauvaise ; et que quelques fils et
filles
méprisent ou moquent leur père pour cette même pa
ais que, pour avoir vu ou lu le Tartuffe, des femmes, des fils et des
filles
perdent le respect à l’égard de leur père simplem
qui cherche à séduire la femme de son hôte et à épouser par force sa
fille
et qui le vole ; ou d’un homme qui n’a d’autre dé
mais à votre moi dévot vous sacrifiez allègrement votre fils et votre
fille
. Prenez garde. Vous n’êtes qu’un sot, et encore p
oute par vos abstinences et l’ennui sombre de vivre avec vous ; votre
fille
vous méprisera, pareillement votre fils, qui de p
à un certain degré et devenue manie. Vous faites le malheur de votre
fille
en la voulant marier à un médecin stupide, comme
ut ce qu’on pourrait appeler l’intellectualisme. A cause de cela, vos
filles
sont assez mal élevées ; l’une, donnant dans vos
elle manque de très bons mariages ; l’autre, par réaction, excellente
fille
du reste et de grand bon sens, a le propos un peu
ère dans cette famille-là, que vous voulez faire épouser à une de vos
filles
un prétendant selon votre goût et non selon le si
ne prenne pas parti pour le fils d’Harpagon contre son père, pour la
fille
d’Harpagon contre son père, pour la femme de Dand
ges ! Voilà par sa mort chacun satisfait. Ciel offensé, lois violées,
filles
séduites, familles déshonorées, parents outragés,
ts, les verrous et les grilles Ne font pas la vertu des femmes ni des
filles
. C’est l’honneur qui les doit tenir dans le devoi
fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs
filles
. Les femmes d’à présent sont bien loin de ces mœu
le : Harpagon : Frosine, il y a encore une chose qui m’inquiète. La
fille
est jeune, comme tu vois ; les jeunes gens d’ordi
ie ! Depuis quand sont-ce les hommes qui se mêlent de l’éducation des
filles
? Qui est-ce qui empêche les mères de les élever
empêche les mères de les élever comme il leur plaît ?… Force-t-on vos
filles
à perdre leur temps en niaiseries ? Leur fait-on,
re à la nôtre et perdent la moitié de leur prix. » Donc que l’honnête
fille
ne cherche point à être un « honnête homme ». En
lui de Chrysale mis en belle prose : « J’aimerais cent fois mieux une
fille
simple et grossièrement élevée qu’une fille savan
erais cent fois mieux une fille simple et grossièrement élevée qu’une
fille
savante et bel esprit qui viendrait établir dans
st d’être ignorées, leur gloire est dans l’estime de leur mari… Toute
fille
lettrée restera fille toute sa vie, quand il n’y
ur gloire est dans l’estime de leur mari… Toute fille lettrée restera
fille
toute sa vie, quand il n’y aura que des hommes se
ente rêvée par Rousseau tous les garçons sont protestants, toutes les
filles
sont catholiques, relativement du moins à la faço
e de celle des hommes] , sa croyance est asservie à l’autorité. Toute
fille
doit avoir la religion de sa mère et toute femme
nd cette religion serait fausse, la docilité qui soumet la mère et la
fille
à l’ordre de la nature efface auprès de Dieu le p
rrème et Télémaque qui lui tomba par hasard dans les mains ; mais une
fille
capable de se passionner pour Télémaque a-t-elle
t voilà la mesure juste : « On ne doit donc pas contenir le babil des
filles
comme celui des garçons, par cette interrogation
nuelle que la loi voulait qu’elles fissent de leurs personnes : « Les
filles
de Sparte s’exerçaient, comme les garçons, aux je
ête, pas un sacrifice, pas une cérémonie où l’on ne vît des bandes de
filles
des premiers citoyens couronnées de fleurs, chant
ur sont inconnus ne vienne un jour égarer leurs cœurs. En France, les
filles
vivent dans des couvents et les femmes courent le
s courent le monde. Chez les anciens, c’était tout le contraire ; les
filles
avaient, comme je l’ai dit, beaucoup de jeux et d
maintenait mieux les mœurs. Une sorte de coquetterie est permise aux
filles
à marier ; s’amuser est leur grande affaire. Les
ent elles donnent le ton. Mères, faites du moins vos compagnes de vos
filles
. Donnez-leur un sens droit et une âme honnête ; p
seront dégoûtées. J’entends la clameur qui s’élève contre moi. Quelle
fille
résiste à ce dangereux exemple ?… Mais, avant de
les illusions de la vanité ?… Quand je veux qu’une mère introduise sa
fille
dans le monde, c’est en supposant qu’elle le lui
eu de musique ; elle doit suivre sans s’en rendre compte la religion,
fille
, de sa mère, femme, de son mari ; elle doit être
tout entière relative à l’homme. Les pères dans Molière marient leurs
filles
pour eux : « C’est pour moi que je la marie avec
s pour eux : « C’est pour moi que je la marie avec ce médecin, et une
fille
de bon naturel doit être ravie d’épouser ce qui e
au dans Emile et dans Sophie est que l’on doit catéchiser les petites
filles
, mais ne parler religion aux garçons qu’à dix-hui
t évidemment une enfant de la nature ; mais vouloir épouser une jolie
fille
qui a de la fortune est aussi très naturel, et Tr
rgeois gentilhomme ou Martine encore dans les Femmes savantes, vraies
filles
de la nature s’il en fut, qui ne font point d’esp
eux que Tartuffe commande dans la maison ; la seconde qu’à marier une
fille
à quelqu’un qui ne lui plaît pas, il y a danger p
avec quelques soufflets, lui qui nous a présenté évidemment comme sa
fille
d’élection Henriette, laquelle ne vous paraît pas
er en prison. Freeport brusque le Messager. On n’a jamais arrêté les
filles
par ordre du gouvernement. Fi ! que cela est vila
me je suis fait ; je m’appelle Freeport. Je réponds de la vertu de la
fille
autant que je peux, mais il ne faudroit pas qu’el
touche, qu’elle parte si elle en a envie ; il ne faut point gêner les
filles
: je me soucie de cinq cents guinées comme de rie
faisant. Madame Baccelli est dans cette piece une riche fermiere : sa
fille
& le valet de la ferme s’aiment secrètement ;
pable d’être un bon père de famille ; on nous le montre en haine à sa
fille
, en mépris à son fils. Ainsi don Juan pourrait av
is, ni des ophicléides, ni des tambours. Il s’agit d’une jolie petite
fille
qui débute au Théâtre-Français. Elle est la plus
s ces niaises apparences, et plus j’ai peur. D’ailleurs, cette petite
fille
est sans cœur à force d’être ignorante. Elle devr
ïf. Partout, même dans les plus charmantes minauderies de ses petites
filles
, le rire est caché, comme l’aspic sous les fleurs
ant qui débite en rougissant tout l’esprit de Molière, la même petite
fille
que j’ai rencontrée si souvent, suspendue au bras
ps, mon cher Henri, que dans ce même rôle d’Agnès débutait une petite
fille
plus jeune encore que la débutante d’hier. L’Agnè
e vous, qui disaient que c’était grand dommage de livrer cette petite
fille
à ces licences, à ces hasards ; et les reproches
te âme, de cet esprit, de ce jeune cœur ; et quand enfin la charmante
fille
a tout dit, quand vous ne lui avez épargné aucune
venues sans doute sur la foi du nom de Molière et avaient amené leurs
filles
. Avez-vous suivi leur mouvement de visage, lorsqu
d’images égrillardes ou même brutales qui ont pris le dessus. Le mot
fille
, si nous n’y prenons garde, ne tardera pas à pren
eilles pièces de vers qui sont délicieuses. Je tremble que, si le mot
fille
vient à être supprimé du dictionnaire de la bonne
pées d’ostracisme du même coup. Songez qu’à présent, quand on dit une
fille
sans la corriger par l’épithète de jeune, ce mot
upirera ces vers délicieux : Il n’a point détourné ses regards d’une
fille
, Seul reste des débris d’une illustre famille, t
a pièce est toujours un peu froid ; la querelle de Gorgibus et de ses
filles
, les deux longues tirades sur la façon dont doit
ombinaient, dans le plus étrange amalgame, l’argot des voleurs et des
filles
, celui des faubourgs, et celui des ateliers s’avi
s à la main de Marthe et de Nina, dans l’intimité Ninoche et Totoche,
fille
et nièce du général Raide. Pour se venger de l’ac
mmée Agnès. L’autre s’étonne. Arnolphe a quarante-deux ans, la petite
fille
n’en a que seize. Voilà une grande différence d’â
ici Molière a eu l’idée de poser le grave problème de l’éducation des
filles
? Pas le moins du monde. Il n’y songeait point. I
mmode à ses visées particulières l’éducation qu’il donne à une petite
fille
, voulant en faire sa femme. Et il a vu la chose,
il en a quarante-cinq et qu’il y a une loi de nature qui veut que les
filles
de seize ans aiment les jeunes gens de vingt-cinq
e la critique, la question bien autrement générale de l’éducation des
filles
, qui s’y trouvait implicitement enfermée. On s’es
; il est vrai que la plupart du temps elles ne l’avouent point à leur
fille
; cette discrétion prouve qu’il leur reste encore
oiselle » d’un paysan, et non la sottise qu’il a faite en épousant la
fille
de deux vieilles bêtes. Tout cela est fort bien
e que nous nous sommes formée de son avarice. Sa maison, sa femme, sa
fille
, ses relations l’expliquent et l’achèvent. Vous f
n effet impatronisé dans une famille, où tout le monde le déteste. La
fille
de la maison l’a en horreur, et la vieille gouver
il ne s’insinue jamais dans une famille où il y a tout à la fois une
fille
à pourvoir et un fils à établir ; il y a là des d
ère n’ira jusqu’à dépouiller, en faveur d’un étranger, son fils et sa
fille
? Et reprenant les causes sur lesquelles s’appuie
le suppose capable de tout ; Orgon songe à marier avec ce cuistre sa
fille
qui le déteste ; on s’apitoie sur cette jeune enf
rs comiques ; sans compter que le public, sachant qu’Orgon destine sa
fille
à Tartuffe, voit dans cette manière de comprendre
donc pas, quand le chef de la famille a tourné le dos, de laisser sa
fille
causer avec l’homme qu’elle a choisi, qu’elle aim
voyez-vous d’abord qu’elle ait nourri qui que ce soit ? Elle est une
fille
suivante, dit Mme Pernelle, et je n’ai pas besoin
us, si on admet vingt ans de service. À quarante ans, une plantureuse
fille
a encore de belles épaules à cacher. Elle n’a poi
aison où l’enfant dit tous les jours : Ma bonne vieille nounou, à une
fille
qui n’a que trente ans. L’expression était improp
licate et légère, qui a charmé le public. La colère naïve de ces deux
filles
envieuses, l’amer ressentiment de leur déconvenue
par être emportée par un grand courant de passion. Et le père et la
fille
, et celui qui se désespère et celle qui console,
e lui a coupé la parole, et lui a dit nettement qu’elle avait pour sa
fille
un époux tout prêt, et que cet époux était Trisso
quille, loin de la cour, dont il ne parle guère, et dont sa femme, sa
fille
, la pimbêche Armande, sa sœur, et Trissotin, leur
écus, quelque six cent mille francs de notre monnaie ; chacune de ses
filles
doit avoir une dot considérable, assez forte même
e avec des gestes menus, des yeux en coulisse, des sourires de petite
fille
. Pour un peu, elle zézayerait, parce que cela est
s ainsi ; Des retours importuns, évitons le souci.
Fille
respectueuse et attachée à ses parents, elle n’es
discrète. Je n’ai pas peur de l’honnête liberté de ses discours. Une
fille
qui montre ainsi sa pensée, n’a rien à cacher ; e
est approuvé par la raison. » Mlle Baretta est peut-être plus petite
fille
que ne le comporte le rôle, mais elle a un nature
inaire une simple farce de tréteaux. Il y a tel moment où il prend sa
fille
à bras-le-corps et exécute avec elle un pas de da
t sans cesse les gens… Vous m’avez reproché de presque danser avec ma
fille
en courant après Toinette ; ne faut-il pas que je
près Toinette ; ne faut-il pas que je fatigue tout le monde ? même ma
fille
? Voilà Argan. Il est insupportable, il crie, il
alade imaginaire ce que l’on appelle aujourd’hui la rosserie. — Votre
fille
, dit Toinette à Argan, doit épouser un mari pour
e n’a pas pour un sou d’esprit : elle est gaie. C’est comme une brave
fille
de bonne humeur et de bon sens, qui aime le gros
tous les mots de Toinette ; pour elle, elle n’y pensait pas, la bonne
fille
: elle n’était que gaie, telle que Dieu l’avait f
a-t-il là de spirituel ou même de plaisant ? C’est une imagination de
fille
en belle humeur. On rit, non des cris de Toinette
trahit. Eh ! comment s’en défierait-elle ? Toinette est une si bonne
fille
, l’air si avenant, le cœur sur la main ; est-ce q
uand on rit de si bon courage ? Mlle Dinah Félix fait de Toinette une
fille
d’esprit ; elle lui donne tout le sien, et elle e
ncore plus maligne qu’elle. À rouée, rouée et demie. » Mais une brave
fille
comme Toinette n’est pas rouée de la même façon q
gaieté d’une imagination en belle humeur. Si Toinette était une autre
fille
, la scène n’aurait pas le sens commun, car à quoi
lles. Mais pourquoi diantre donner de l’esprit à Toinette ? C’est une
fille
qui s’amuse. Elle n’y met pas tant de façons. Il
faut des sièges pour tout le monde ; il y a dans la maison une petite
fille
de sept ans ; sa chaise est là : Toinette trouve
ort touchant, qui est interrompu par le cri d’Argan, ravi d’avoir une
fille
si aimante. Mlle Baretta a cru devoir jouer la sc
joué la scène comme s’il s’agissait d’un père vraiment mort, et d’une
fille
qui fût réduite à le pleurer, comme disent les éc
vérité n’est rien, la vraisemblance est tout. Il est très vrai qu’une
fille
sensible qui aime son père, et qui vient d’appren
que médiocrement. Je n’irai pas me dire : « Après tout, cette pauvre
fille
, elle n’est pas au courant comme moi. Elle ne se
mander conseil ! Et la mère, elle, a bien remarqué l’inquiétude de sa
fille
, elle en a aisément deviné la cause et elle tremb
si on voulait se confier à l’amie ! Comme elle dirait volontiers à sa
fille
: « Allons, courage ! ne me cache rien, ta mère n
une mère, si bonne mère qu’elle soit, demeure toujours la mère de sa
fille
, et la fille ne saurait, en lui parlant, oublier
bonne mère qu’elle soit, demeure toujours la mère de sa fille, et la
fille
ne saurait, en lui parlant, oublier qu’elle est s
lle est bien fausse, cette mère qui, pour devenir la confidente de sa
fille
, lui dit : « Je ne serai que ton amie et ta mère
t comme on se sent prêt à l’aimer ! Les deux scènes où elle presse sa
fille
et lui tire l’aveu de la faute que cette aimable
t oublié son gant, et il revint sur ses pas. Ô surprise ! L’innocente
fille
était occupée à se regarder dans un miroir ; elle
l eut peur d’être une dupe. « Eh ! malheureux ! c’était cette aimable
fille
qui était une dupe de se donner tant de peine pou
convention, lorsqu’elle est admise. Il est absurde d’imaginer qu’une
fille
d’esprit, comme Lisette, ne voie pas du premier c
istes contemporains le savent également : Silvia est une bonne petite
fille
, très gaie, très pétulante, toute d’instinct et d
ingénue et spirituelle, pétille dans tous ses propos. Ah ! l’aimable
fille
! comme on sent tout de suite qu’elle a été élevé
’ils étaient enfants ! Ils s’étaient égratignés, battus, et la petite
fille
avait maintes fois crié : « Maman, Mario me donne
ucation étroite et inintelligente. La mère d’Angélique a voulu que sa
fille
ne sût rien de rien, tout comme Arnolphe s’est év
d’avoir de l’esprit ? Qu’est-ce que cela apprend ? Il y a des petites
filles
de sept ans qui sont plus avancées que moi. Cela
ouverez la magicienne, aussi bien dans l’inexpérience de cette petite
fille
qui débute que dans la grande habitude du chef d’
non seulement plein de gaieté et de verve, mais le rôle de la petite
fille
est d’une candeur et d’un intérêt charmants. Il y
, c’est l’idéal. Les ingénues s’imaginent toujours que Rosine est une
fille
très maligne et très délurée, qui est ravie de fa
si elle y transportait ses manèges équivoques. Rosine est une honnête
fille
très chaste, très pudique, d’un cœur simple et d’
rire ; qu’il dit justement tout ce qui peut dégoûter la baronne de la
fille
qu’il lui propose ; qu’elle ne devrait pas être a
tant goûter que les vers, depuis le riche Francaleu, prêt à donner sa
fille
, la riche Lucile, à un pauvre diable habile dans
le enfin que sont faits les parents. Vous avez de l’esprit, et votre
fille
est sotte ; Vous avez pour surcroît un frère qui
d’éclat et d’intérêt. Ce rôle est difficile à bien jouer : une jolie
fille
fait aisément la folle et l’impertinente ; elle e
emple une des plus jolies poésies du vaudevilliste. Il était une
fille
, Une fille d’honneur Qui plaisait fort à son
lus jolies poésies du vaudevilliste. Il était une fille, Une
fille
d’honneur Qui plaisait fort à son seigneur. E
d on le veut, on se défend. Mais on ne voit plus guère De ces
filles
d’honneur Refuser un seigneur. Et Weiss cont
, valet-de-chambre-tapissier chez le roi, et Anne Boudet son épouse4,
fille
aussi d’un tapissier, obtinrent, pour leur fils e
re celui-ci à un canevas italien, intitulé La Creduta Maschio, ou, La
Fille
crue Garçon. Précis de La Creduta Maschio.
o accouchait d’un garçon, le Docteur donnerait quatre mille écus. Une
fille
vient au monde, Magnifico, tenant à la somme conv
fils d’un de ses cousins, né le même jour, et fait ensuite élever sa
fille
, Diane, sous le nom de Fédéric. Le faux Fédéric a
uisement est découvert, et les deux fils du Docteur épousent les deux
filles
de Magnifico. Lisez la pièce de Molière. De
arice dans la conduite de ce père qui déguise le véritable sexe de sa
fille
, pour usurper le bien d’autrui ; et même indécenc
. Précis de l’acte italien. Magnifico veut marier Eleonora, sa
fille
, avec le Docteur qu’elle n’aime point. Eleonora,
tesse qui l’embellissait ? et les mères, accoutumées à conduire leurs
filles
au spectacle, reconnaissent-elles l’Isabelle de M
eureuse force à une démarche qu’elle se reproche ? Je fais, pour une
fille
, un projet bien hardi ; Mais l’injuste rigueur do
l’hymen, avaient sans doute arrêté Molière dans sa course rapide. La
fille
de mademoiselle Béjart, qui, dès sa plus tendre e
sonne ne peut résister à son adresse, à sa bravoure ; le parent d’une
fille
qu’il a séduite lui donne des coups de bâton, et
d de la mer. Dom Juan et son valet se débattent contre les flots ; la
fille
d’un pêcheur amène du secours, on les sauve ; dom
Gonzalo son père, accourt, mais, bien loin de remplir le projet de sa
fille
, il est tué. Le père de dom Juan se trouve en Cas
ité : paix ; la naïveté des paysans, l’aimable simplicité des petites
filles
séduites, les leçons vigoureuses de dom Louis, la
cause, dit-il, de la sympathie qu’il doit y avoir entre un père et sa
fille
. Le Phormion. Demiphon, voulant faire
que de faire tâter le pouls d’un père pour connaître la maladie de sa
fille
, il lui doit aussi le déguisement d’un de ses per
La scène où Sganarelle consulte quatre médecins sur la maladie de sa
fille
est évidemment calquée sur celle où Demiphon cons
Sganarelle est loin de penser que le faux médecin soit l’amant de sa
fille
. Dans l’acte II, scène ire , Lisette avance que,
mandent si elle ne connait pas un médecin assez habile pour guérir la
fille
du roi, fort incommodée d’une arête de poisson qu
t le pendre ; mais Pantalon donne son consentement au ravisseur de sa
fille
, et tout est pardonné. Molière, en tirant parti d
rme, et qui ne mérite pas d’être traité avec mépris en présence de sa
fille
. Ajoutons qu’en appliquant ces quatre vers à Orgo
te, et craignant de s’emporter encore, il s’écrie : Vous avez là, ma
fille
, une peste avec vous, Avec qui, sans péché, je ne
il ne s’insinue jamais dans une famille où se trouvent à la fois une
fille
à pourvoir et un fils à établir ; il y a là des d
avarice la plus outrée, et laisse languir dans le célibat Phédrie, sa
fille
unique, à qui Lyconide fait violence pendant les
re a de la peine à comprendre qu’un homme riche puisse rechercher une
fille
sans fortune, et se persuade qu’on en veut à son
eu rend l’or, le père touché, lui fait présent de sa fortune et de sa
fille
. Les principaux détails empruntés de Plaute, ser
e, lorsque, voulant acheter quelque chose pour le repas de noce de sa
fille
, et trouvant la viande et le poisson trop chers,
a française, Harpagon est un avare. Magnifico a dessein de marier sa
fille
; il consulte Célio ; celui-ci croit d’abord que
parents arrivant à propos pour être convaincus de l’innocence de leur
fille
et du désordre de son mari, le battent. Dans une
Sotenville n’y sont pas, il est vrai, punis de leur ridicule, ni leur
fille
, de sa conduite trop leste ; et c’est un défaut :
er, et force encore, par là, le bon Oronte à le supplier d’épouser sa
fille
. Ajoutons à tout cela une infinité de traits comi
ie si longue, si bruyante, puisse avoir lieu sans que Mme Jourdain sa
fille
, et Nicole surtout, s’en aperçoivent ? Comment ne
oups de bâton que Cléonte fait donner à celui dont il veut obtenir la
fille
? Cette galanterie est nouvelle. L’exposition. —
illeurs comment M. Jourdain, bien battu, bien trompé par sa femme, sa
fille
et son gendre, prendra toutes ces petites gentill
Cilicie, et Chremès son frère, pour joindre une seconde femme et une
fille
qui sont à Lemnos. Ils ont chacun un fils qu’ils
vieillards reviennent ; Chremès, bien fâché de n’avoir pas trouvé sa
fille
à Lemnos, parce qu’il voulait la marier à son nev
ucas part pour les Indes après avoir confié à Tabarin l’honneur de sa
fille
Isabelle ; elle a un amant nommé Rodomont, que Ta
ce de toutes les maladies en ie, ne veut plus que son neveu épouse la
fille
d’un homme rebelle à ses ordonnances, et déchire
ent les gens sévères81. Le professeur. Quel âge a la petite Louison,
fille
de la première femme d’Argan ? L’élève. Elle est
professeur. De le jouer ? L’élève. Non pas ; mais de le montrer à ma
fille
. Le professeur. Prenez garde à ses difficultés ;
sont point parées des grâces de l’enfance, Louison devient une petite
fille
qui, bien menteuse, bien fausse, ne peut nous int
asque 82. L’élève. Je sens tout ce que vous me faites remarquer ; ma
fille
le prouvera. Le professeur. À la bonne heure ; e
lui soutenant qu’il est bon, et ne voudra pas faire le malheur de sa
fille
. Le professeur. Très bien ! continuez. L’élève.
dans cette ville que mademoiselle Béjart fit venir auprès d’elle une
fille
qu’elle avait eue d’un mariage secret avec M. de
-ci voulant corrompre la maîtresse du poète, débute par ce vers : Ma
fille
, Dieu vous garde et vous veuille bénir ! La viei
istoriens disent : « mademoiselle Guérin n’avait eu de Molière qu’une
fille
, dont elle négligea l’éducation ; la jeune person
uvrir où est un chien perdu, & pour savoir si l’on est aimé d’une
fille
ou non. Je consens pour un instant que l’Auteur t
un médecin pour savoir où est un chien perdu, & ce que pense une
fille
, le seront-ils jamais au point de prendre les pil
a donation qu’il a faite à son neveu en faveur de son mariage avec la
fille
du Malade imaginaire, & ne veut plus avoir au
u roi3. À dix ans, il perdit sa mère4, qui laissait trois fils et une
fille
en bas âge5. Sa première enfance s’écoula dans un
dait assistance. Puis vient Philiade, un coquin dont il avait doté la
fille
, pour le récompenser d’avoir loué sa voix, dans u
se discrète nous charment par un contraste qui rappelle Henriette, la
fille
de Chrysale. C’est la même solidité, la même bonn
aïeule l’ennemie de ses petits-enfants, un père devenu le tyran de sa
fille
, en un mot la guerre civil dans un foyer mis sens
où nul personnage, sauf Marianne, ne mérite estime ou affection. Une
fille
sans mère que persécute un père sans entrailles,
le pendant de l’exilé huguenot qui surgissait à propos pour marier sa
fille
à Ergaste, le fils du vieil avare Séverin. Dans L
de Valère ; car il y a là un certain Lélio qui, amoureux de Flaminia,
fille
de Pantalon riche banquier de Venise, se met au s
ce trésor que sa vigilance n’empêchera point de passer, ainsi que sa
fille
, en des mains étrangères. Depuis qu’il le couve d
le jeune indiscret dont les galanteries ont compromis l’honneur de sa
fille
. C’est le neveu de Mégadore. Après avoir tout avo
son fils s’endette parce qu’un père lui refuse le nécessaire, que sa
fille
se laissera séduire, parce qu’il voudrait s’en dé
père » ; et, pour se délivrer d’une tutelle onéreuse, il sacrifie sa
fille
à un vieillard. « Sans dot », ce mot lui tient li
t que par conséquent Harpagon a le droit de se démentir en aimant une
fille
pauvre, comme le rigide Alceste en recherchant la
il n’entre pas dans ces calculs. « Car encore n’épouse-t-on point une
fille
sans qu’elle apporte quelque chose ! » Il faudra
bien quand le seigneur Anselme reconnaît son fils dans Valère, et sa
fille
dans Marianne. Toutes ces aventures romanesques H
mmes, où ils se nomment Élise et Dorante. L’une, aussi franche que la
fille
cadette de Chrysale, se moque des mines de Climèn
est affolée d’un méchant poète, et veut, à toute force, lui donner sa
fille
en mariage. Le père qui l’a promise à un galant h
démasque un fripon convaincu d’être plus amoureux de la dot que de la
fille
. Ce dénouement est excellent ; car il ne répugne
prude. L’âge aidant, elle finira comme Arsinoé. Bélise. La vieille
fille
. Sa folie Que dire de Bélise sinon qu’étant bo
? Il entre en effet de l’extravagance dans la manie de cette vieille
fille
qui ne connaît la vie que par les rêves de Mlle d
la cour. Quand il flatte la mère et sa manie, il prétend arriver à la
fille
, et par elle à la dot. Il y a donc de l’hypocrite
t pas que le bon sens et le cœur fassent défaut à ce père qui aime sa
fille
et désire son bonheur ; mais toute volonté lui ma
es fonctions, et de quel air victorieux il répond aux défiances de sa
fille
qui le supplie de tenir bon. À l’entendre, tout e
qu’un mari ne doit pas se laisser mener à la baguette et sacrifier sa
fille
à un cuistre, quand elle est recherchée par un ga
e pauvre, mais qui ne fera jamais un trafic de son blason, il aime la
fille
d’un riche roturier ; mais je suis certain qu’il
t à la science les malheurs de son pot-au-feu et le sot mariage de sa
fille
, vante l’ignorance comme le seul remède de ses di
vois que vous voulez Être à Monsieur Tartuffe […] Non, il faut qu’une
fille
obéisse à son père […] Point ; Tartuffe est votre
ès le premier jour qu’il se propose de séduire la femme, d’épouser la
fille
, et de déshériter le fils. Il a depuis longtemps
Il y a de l’égoïsme sous cette faiblesse de caractère. Il sacrifie sa
fille
à son repos. Pourtant, quand il la voit aux bras
ls & petit-fils de valets de chambre-tapissiers du Roi ; sa mere,
fille
aussi de tapissiers,1 s’appelloit N... Boutet. Il
s l’école des maris, ce sont deux tuteurs chargés d’élever chacun une
fille
qui leur a été confiée ; l’un sévere, l’autre ind
mérite de rencontrer dans cette piéce la datte de son mariage avec la
fille
de la comédienne Béjart.22 En 1664, le Roi donna
endit justice à l’auteur. La proposition faite à l’avare d’épouser sa
fille
sans dot, l’enlévement de la cassette, le désespo
le désespoir du vieillard volé, sa méprise à l’égard de l’amant de sa
fille
qu’il croit être le voleur de son trésor, l’équiv
ner divers moyens pour détourner également, & Oronte de donner sa
fille
à monsieur de Pourceaugnac, & monsieur de Pou
é de plus de cent flambeaux portés par ses amis. Il n’a laissé qu’une
fille
; & sa veuve épousa dans la suite le comédien
lignité & à ses plaisanteries. Le mariage qu’il contracta avec la
fille
de la comédienne Béjart, lui fit d’abord éprouver
Amst. in-folio, 1718, tome premier, p. 218. 56. Mademoiselle Poisson
fille
de du Croisy, comédien de la troupe de Moliere el
Moliere, qui avoit été amoureux de la Béjart, avoit épousé sa propre
fille
, mais elle étoit née en Languedoc avant qu’il eût
onnoissance avec la mere ; d’ailleurs, Grimarest assure qu’elle étoit
fille
d’un gentilhomme d’Avignon, nommé Modéne, Voyez p
ice de son enfance, & ceux qu’il fait lorsqu’il veut sacrifier sa
fille
à l’amour d’un homme qui la prend sans dot, cette
al, de boire un verre d’eau, parceque l’eau ne coûte rien ; donner sa
fille
à un vieillard, parcequ’il la prend sans bien ; c
e Marianne, embrasse les deux intrigues, l’une de Valere, amant de sa
fille
, & l’autre de son fils Cléante, amoureux de M
mbrasse ; mauvaise raison. Une piece dans laquelle un pere auroit dix
filles
qu’il voudroit marier ou ne pas marier, selon ses
roi en composant le service de la reine de dames d’honneur au lieu de
filles
d’honneur, avait pressé le renvoi de celles-ci et
la nomination des dames. Le 1er de l’an, madame de Sévigné écrit à sa
fille
: « On a fait cinq dames : mesdames de Soubise, d
ames, et avait autant à craindre de leur concurrence que de celle des
filles
d’honneur. L’événement le prouva : car madame de
ces, on ne les montrait point encore. Madame de Sévigné écrivait à sa
fille
, dans sa lettre du 1er de l’an : « On ne voit poi
e charme, demande-t-il, le charme, le trouve-t-on vraiment chez cette
fille
qui, d’un esprit si positif, oppose aux conceptio
s vertus ; mais, en songeant à son avenir de femme (comme à celui des
filles
que vous voulez former sur ce modèle), n’applaudi
de personnes, de ces changements de noms, de ces déguisements, de ces
filles
perdues et retrouvées, retrouvées et perdues, qui
ce, à nous peindre cette lutte si singulière et si vraie d’une petite
fille
qui vient à bout de toute la diplomatie du bourge
icules que voyons-nous ? C’est Cathos, et c’est Madelon, qui sont des
filles
romanesques, des filles de la bourgeoisie que leu
C’est Cathos, et c’est Madelon, qui sont des filles romanesques, des
filles
de la bourgeoisie que leur condition irrite, qui
re ! Pour moi, un de mes étonnements c’est que vous ayez pu faire une
fille
si spirituelle que moi20. Et, comme si sa pensée
ur lui. J’ai peine à me persuader que je puisse être véritablement sa
fille
, et je crois que quelque aventure un jour me vien
se trouve certainement condensé dans cette espèce de vanité féminine,
fille
de l’instinct pur, que l’éducation, les bonnes ma
it jamais mises sur aucun théâtre. Voyez plutôt la petite Louison, la
fille
du Malade imaginaire, qui fait si galamment la mo
toutes sortes de choses qu’il n’est pas absolument nécessaire qu’une
fille
de vingt ans sache, et elles combinent avec art,
’insu de son père, Argan, qui, comme vous le savez, voulant marier sa
fille
à un médecin, parce qu’il faut qu’une bonne fille
, voulant marier sa fille à un médecin, parce qu’il faut qu’une bonne
fille
épouse ce qui est utile à la santé de son père, é
tesse naïve et d’impudent mensonge ce conte suppose chez cette petite
fille
, qui instantanément sait arranger une histoire pa
n’est pas l’homme le plus intéressant du monde. Il a pris une pauvre
fille
qui lui a été confiée, il l’a fait élever au vill
de sa vie antérieure, imagina, dis-je, d’associer à sa vie une petite
fille
de dix-sept ans, Armande Béjart, élevée au théâtr
urs jaloux, contre les maris despotes, les femmes dominatrices et les
filles
arrogantes, il n’y a qu’une ardeur, une passion s
il se débarrasse, à une certaine scène, de Clitandre qui recherche sa
fille
malgré lui. Eh bien, voyez Argan dans la scène p
; à genoux devant un apothicaire, il veut de très bonne foi livrer sa
fille
à un médecin qui lui donnera de l’élixir de longu
is, Gorgibus, qui recommande ce qu’il appelle de bonnes lectures à sa
fille
Célie, et ne lui en indique que de ridicules, Mol
ce n’est pas tout. Arnolphe donne aussi à Agnès, comme Gorgibus à sa
fille
, un livre sain et bon à méditer. Ce livre, il l’i
on salut, de livrer à ce bon monsieur Tartuffe son bien, son fils, sa
fille
et jusqu’à sa femme. Transportons-nous vingt ans
voir le droit moral, équivalent à une contrainte réelle, de mettre sa
fille
au couvent quand il lui plaisait, le droit d’obte
contre les Turcs en qualité de célibataire éternel ; on envoyait les
filles
au couvent. C’est de cet usage que sont nés ces s
teur contemporain, elle est d’un auteur de l’ancien régime. « Si les
filles
qu’on sacrifie tous les jours avaient la résoluti
sans dot de l’Avare, dans Argan et dans Orgon, qui veulent que leurs
filles
se marient uniquement pour épouser ce qui est uti
leur état comme femmes, soit que l’on considère leur éducation comme
filles
; c’est lui qui a dit : … Que les soins défiants
s, les verrous et les grilles, Ne font pas la vertu des femmes et des
filles
. Vers qui ne paraissent rien aujourd’hui, mais q
fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs
filles
! Il faut donc que cela reste le fonds sur leque
qui se glisse dans la maison d’un homme pour y capter père, femme et
fille
. Je ne conseille, à vrai dire, à personne de les
prenez garde : quelque amour que vous ayez pour vos fils et pour vos
filles
, il y a une pente naturelle chez l’homme à vouloi
c’est une faute, prenez donc garde. Je sais bien que les fils et les
filles
ne se marient plus malgré eux, que la loi a prévu
ucation, et vous allez choisir, bien loin du faubourg Saint-Denis, la
fille
de quelque fonctionnaire illustre qui a été élevé
du génie, mais point d’autre titre que celui de sous-lieutenant ; les
filles
de parvenus passent près de lui sans le regarder
est votre servante, Monsieur. Je venois... Don Juan. Et votre petite
fille
Claudine, comment se porte-t-elle ? M. Dimanche.
te-t-elle ? M. Dimanche. Le mieux du monde. Don Juan. La jolie petite
fille
que c’est ! Je l’aime de tout mon cœur. M. Dimanc
usez si mal... Mad. Adam. Je... Vous cousez si mal...Nous marions ma
fille
. Valere. Quoi ! vous la mariez ! Elle est vive &a
ements. MOLIERE. Les Femmes savantes. Philaminte veut marier sa
fille
Henriette avec Trissotin ; Chrisale veut la donne
ame Grognac, nantie d’un dédit, veut absolument que Léandre épouse sa
fille
Isabelle : ce mariage n’arrange ni Isabelle qui a
le deuil. Madame Grognac change tout de suite d’avis, & donne sa
fille
au Chevalier. Dans ces deux dénouements une fau
pièce est belle. Le rôle principal, don Juan, est un grand coureur de
filles
et de femmes, et pourtant, en dépit de ces scélér
rôle de don Juan ; madame Béjard joue le rôle d’Elvire ; Armande, sa
fille
, joue un rôle de paysanne, et moi aussi. Molière
rire des grincements de dents, des douleurs infinies, les larmes des
filles
pleurant sur le sein de leur mère… ce que la fill
s, les larmes des filles pleurant sur le sein de leur mère… ce que la
fille
de Jephté pleurait sur la montagne ; le déshonneu
par le mensonge, par l’adultère, par la violence ; puis, une fois la
fille
séduite, à la bonne heure : — moi et Sganarelle,
ui a fait de sombres menaces, la mer a voulu l’engloutir, deux jolies
filles
de la campagne, deux alouettes au doux plumage qu
rame de joie, de duels, de dettes non payées, d’enfants railleurs, de
filles
abusées, de pères conspués ; un drame où tout abo
dans ce ballet joué à Chambord : bourgeois babillards, pages éventés,
filles
coquettes, Suisses, Gascons, Importuns, Espagnols
il se précipite, au péril de ses jours, dans la chambre d’une petite
fille
qui l’aime. Ce qui va vous étonner, c’est que le
plus que l’absolution du prêtre. Le prêtre arrive, il bénit la sainte
fille
… Et ceci dit, tout est dit ; et ceci fait, tout e
’a dit à Dunkerque, que le roi aimait une certaine jeune personne, la
fille
du brave La Vallière. Lauzun. — « À l’heure qu’i
Bragelone. — « Des reproches ! N’avez-vous pas honte de cette ruse de
fille
de joie (Harlot’s trick ?) » Et plus bas, quand
e au couvent. Grammont (à Lauzun). — « Je n’ai jamais ouï parler de
filles
d’honneur fuyant des rois. Lauzun. — « Si vous a
r de filles d’honneur fuyant des rois. Lauzun. — « Si vous aviez été
fille
, vous auriez été bien aimable, vous, polisson ! »
arquis de Montespan comme un infâme, et madame de Montespan comme une
fille
. Il fallut, bon gré mal gré, « réduire aux propor
’égaler vos outrages par sa douleur. Vous l’appelez femme-de-chambre,
fille
de joie, vous voulez la marier, elle, la duchesse
été la reine, c’était madame la duchesse de Montpensier ! — Véritable
fille
de l’Espagne, élégante jeunesse, visage charmant
nd dégoût que nous inspirent M. et madame de Sotenville et leur digne
fille
, voilà des êtres plus sévèrement châtiés et plus
n valet poltron et rusé, un seigneur oisif et perdu de débauches, une
fille
séduite qui est encore plus humiliée qu’elle n’es
nt enlevée par cet excellent Régnier et mademoiselle Brohan, la digne
fille
de sa mère, une vive, une railleuse, une piquante
us poursuiviez dans votre barque fragile, vous avez perdu deux jolies
filles
de la campagne sicilienne, deux alouettes au beau
d, aux bras charmants, à la ceinture d’or, que l’on prendrait pour la
fille
aînée de M. Scribe ou de Marivaux. Ces deux échos
re. Tchao-so, fils de Tchao-tun, & gendre du Roi. La Princesse,
fille
du Roi, & femme de Tchao-so. Un Envoyé du Roi
je ne pouvois en venir à bout. Tchao-so, fils de Tun, avoit épousé la
fille
du Roi : j’avois donné ordre à un assassin de pre
époux : je sais que vous êtes enceinte ; si vous mettez au monde une
fille
, je n’ai rien à vous dire ; mais si c’est un garç
au service de Monseigneur Doria. Lionetto devint amoureux de Claudia,
fille
d’un certain Albert, qui dans ce temps-là étoit d
s. Voici le commencement. LE LUXE ET LA DISETTE. Le Luxe. Allons, ma
fille
, venez avec moi, afin que vous fassiez votre offi
n âge et de ses prétentions en amour ; son tort n’est pas d’aimer une
fille
de seize ou dix-sept ans, et de vouloir en être a
endant fort coquette. Des enfants qu’il en eut, il ne conserva qu’une
fille
qu’il aimait beaucoup ; et, l’ayant mariée à un h
ion de 1 000 francs, et mourut vers la fin de 1695. L’une de ses deux
filles
, Marie-Angélique Gassaud, femme de Paul Poisson,
’il mourut, en cette année, du chagrin que lui causa le mariage de sa
fille
Thérèse Lenoir, avec Dancourt qui l’avait enlevée
[Mademoiselle Béjart] Mademoiselle Béjart. Cette actrice, dont la
fille
épousa Molière, joua pendant plusieurs années en
ractère très difficile. Elle tourmenta Molière avant son mariage ; sa
fille
le tourmenta après. On ne connaît avec certitude,
ce. [Armande Béjart] Armande-Claire-Élisabeth-Gresinde Béjart,
fille
de mademoiselle Béjart, et d’un gentilhomme nommé
e La Femme juge et partie, a laissé de meilleurs titres. L’une de ses
filles
fut célèbre au théâtre, sous le nom de madame d’E
charge de conseiller au Châtelet ; ils arrêtèrent son mariage avec la
fille
d’un de leurs amis ; Hauteroche ne voulut ni de l
n autre Sganarelle, consultant ses parents et ses amis au sujet de sa
fille
, ne reçoit d’eux que des avis intéressés. On peut
t le 2 novembre 1636, trois ans après son mariage. Elle avait eu deux
filles
dans cet intervalle, sœurs consanguines de Molièr
le contester, dit M. F. Brunetière : « Les Grecs, enfants gâtés des
filles
de Mémoire, […] aimaient ces sortes de rapprochem
singulière Avecque l’aimable Molière… La femme de Molière aussi Et sa
fille
, ange en raccourci, ce n’est point, nous n’avons
gne, Magdale Malingre, est inconnue. Catherine de Surlis ou Desurlis,
fille
aînée d’Étienne de Surlis, commis au greffe du co
it mai, en la paroisse Saint-Léonard de cette ville, fut baptisée une
fille
de Pierre Réveillon, le même acteur qu’un autre g
es témoins sont Dufresne, Du parc (René Berthelot), Marie Hervé et sa
fille
, Madeleine Béjart. Le texte du registre de l’Hôte
e rendre à l’héroïne son dialecte languedocien37. Une jeune et jolie
fille
de Pézenas ouvre timidement la porte de la boutiq
tant dans la salle, mais de ces petites bourgeoises de province, les
filles
du bonhomme Gorgibus, récemment débarquées à Pari
et lui demanda, à la manière accoutumée, ce qu’elle demandait. Cette
fille
lui répondit d’un air assez ferme : « Je demande
ions, parce qu’il y avait assez de témoins pour les confirmer. Si les
filles
qu’on sacrifie tous les jours, ajoute le futur év
mois, le 20 novembre 1661, Molière tint sur les fonts baptismaux une
fille
de Marin Prévost, bourgeois de Paris, et d’Anne B
mort le 6 avril 1660, laissa sa femme, Marie Maillart, enceinte d’une
fille
qui est désignée dans l’acte de baptême comme née
t rôle d’Éphyre. L’auteur de Molière inconnu, M. A. Baluffe, la dit «
fille
de Mathieu Roger (de Menou) de Champluisant, ou C
e partie pour damoiselle Armande-Grésinde-Claire-Élisabeth Béjard, sa
fille
, et dudit défunt sieur de Belleville, âgée de vin
de-Grésinde-Claire-Élisabeth Béjard : de damoiselle Madeleine Béjard,
fille
usante et jouissante de ses biens et droits, sœur
iller et donner auxdits futurs époux, à cause de ladite damoiselle sa
fille
, la veille de leurs épousailles, la somme de dix
Poquelin et de feue Marie Cresé (sic) d’une part ; et Armande Bejard,
fille
de Joseph Bejard et de Marie Hervé, d’autre part,
existé sur la filiation de cette jeune fille : on l’a dite longtemps
fille
et non sœur de Madeleine. Cette erreur eut cours
entre elles Madeleine et Armande était plutôt celle d’une mère à une
fille
que d’une sœur à une sœur : la distance rare et p
er le fait par lui même. On savait de plus que Madeleine avait eu une
fille
, et il était fort naturel de conclure à première
fille, et il était fort naturel de conclure à première vue que cette
fille
était l’enfant qu’elle avait auprès d’elle : il e
compte de la différence d’âge qu’il y aurait eue entre Armande et la
fille
du comte de Modène. Ajoutez qu’on ne se procurait
tirer parti. Leur raisonnement fut bien simple : si Armande était la
fille
de Madeleine, comme elle avait dix-neuf ans, elle
Madeleine avait commencé à cette époque ; donc Armande devait être la
fille
même de Molière. Nous verrons bientôt le comédien
poir de se faire épouser par le comte de Modène, et que cette seconde
fille
, née quatre ou cinq ans après l’autre, aurait été
, ne sont pourtant pas d’une rareté extrême. Marie Hervé avait eu une
fille
en 1639, c’est-à-dire trois ans avant de donner l
monde. On a vu dans le contrat de mariage que Marie Hervé donne à sa
fille
une dot de dix mille livres tournois. Là-dessus o
aurait-elle trouvé cette grosse somme ? Quand, deux ans plus tard, sa
fille
Geneviève épousa Léonard de Loménie, elle ne lui
t-cinq ans, qu’elle avait sans doute élevée, traitée plutôt comme une
fille
, que comme une sœur, et qui avait dû remplacer po
céderaient sans postérité. Cela ne prouve nullement qu’Armande fût sa
fille
, mais seulement que c’était sa préférée. Mais ce
85, que Molière ait répondu à ceux qui l’accusaient d’avoir épousé sa
fille
, par la production de l’acte de baptême d’Armande
ère et la donner au roi, l’accusant (non pas d’avoir épousé sa propre
fille
, comme on l’a souvent répété à tort), mais « d’av
fille, comme on l’a souvent répété à tort), mais « d’avoir épousé la
fille
et d’avoir autrefois aimé la mère » (ce qui n’est
l’enfant, c’est qu’elle prétendait faire un mariage nominal, faire sa
fille
épouse en titre et héritière, la retenir chez ell
[…] Les verroux et les grilles Ne font pas la vertu des femmes et des
filles
. C’est l’honneur qui les doit tenir dans le devoi
te contre Molière et l’a donnée au roi. Il l’accuse d’avoir épousé la
fille
et d’avoir autrefois aimé la mère97. Mais Montfle
l’esclavage. Le père de Dorimène est enchanté de se débarrasser de sa
fille
; Dorimène est heureuse d’échapper au joug de la
uard, électeur Palatin, mort le 10 mars 1663. Le 11 décembre 1663. la
fille
de cette princesse avait épousé le duc d’Enghien,
é fort attaché, comme le prouve le mariage de son fils unique avec la
fille
aînée de la Palatine. Anne de Gonzague fut une de
’HOMME DANS MOLIÈRE Au mois d’août 1665, Molière devint père d’une
fille
qui reçut du comte Esprit Raymond de Modène, son
ère, écrit de visu ; c’est celui qui a été tracé par Mlle Poisson, la
fille
de l’acteur Du Croisy, dont nous avons parlé préc
au-dessus des coups de la fortune. Henriette est la plus aimable des
filles
à marier : c’est non pas sans doute la fiancée id
enir. Molière, des trois enfants qu’il avait eus, ne laissait qu’une
fille
, Esprit-Marie-Madeleine Poquelin Molière, âgée al
’inventaire fait pour la conservation des droits de la veuve et de la
fille
mineure fut commencé le 13 mars et dura six jours
ne fort petite conséquence ; qu’elle ne voulait qu’un collier pour sa
fille
, qui était en religion. Aussitôt notre amoureux l
déshabillait ; ce fut un nouvel obstacle pour le président que cette
fille
; et comme il n’osait témoigner son inquiétude de
lui demanda d’un ton encore plus bas si l’on osait dire devant cette
fille
ce que l’on pensait. La Molière, étonnée de ce di
s laisser d’enfants d’une demoiselle Guignard qu’il avait épousée. La
fille
de Molière, Madeleine Poquelin, était, au témoign
ont jeté un grand jour sur ces événements domestiques, tout ce que la
fille
de Molière avait pu recueillir des héritages de s
Pèlerinage aux saintes reliques d’Argenteuil, un passage relatif à la
fille
de Molière. L’auteur du petit livre raconte que,
r de commandement. Mon ami me dit : « Ne prenez pas garde, « c’est la
fille
du fameux Molière… » Quoique fière, elle nous a s
andes franges… On ne lui voyait rien sur elle qui ne fût de prix. »La
fille
de Molière mourut, le 23 mai 1723, sans postérité
ris, qui avait épousé une demoiselle Poquelin, cousine germaine de la
fille
de Molière, et probablement fille de J.-B. Poquel
le Poquelin, cousine germaine de la fille de Molière, et probablement
fille
de J.-B. Poquelin, avocat au parlement, neveu de
aurait-elle gardés en sa possession, et les aurait-elle transmis à la
fille
de Molière ? Non, sans doute ; le mari de cette d
de Sotenville que Sganarelle, Mlle la comtesse d’Escarbagnas que les
filles
de Gorgibus. Ses types populaires ne sont nulleme
gentilhomme ordinaire de Monsieur (Gaston d’Orléans). Elle en eut une
fille
, née le 3 juillet 1638 et baptisée sous le nom de
rla, qui épousa René Berthelot, dit Duparc, le 23 février 1653, était
fille
de Giacomo de Gorla, se qualifiant premier opérat
, d’où ces lignes sont extraites, les impressions de Mlle Poisson, la
fille
de l’acteur Du Croisy, qui avait quinze ans quand
rt, un des vingt-quatre violons du roi, Nicolle Ravanne eut une autre
fille
, Jeanne-Françoise Brouart, qui épousa, le 23 avri
constaté que Mlle Debrie donna le jour à deux enfants : elle eut une
fille
le 9 novembre 1659 ; cette fille fut baptisée le
e jour à deux enfants : elle eut une fille le 9 novembre 1659 ; cette
fille
fut baptisée le 10 et nommée Catherine-Nicolle ;
que l’acte de mariage du 3 avril 1691 ; il épousa « Madeleine Jacob,
fille
du défunt maître Antoine Jacob, vivant avocat en
om de Verneuil ; il y était encore en 1638, où il faisait ondoyer une
fille
née le 14 mai. On croit qu’il partit de cette vil
e Ragueneau, qui est entrée actrice dans la troupe ». Il n’eut qu’une
fille
unique qu’il aimait beaucoup ; « l’ayant mariée,
e mariage) quand elle épousa La Grange en 1672. Marie Ragueneau était
fille
de Cyprien Ragueneau, mort à Lyon le 18 août 1654
uisque toute la troupe, Molière en tête, signa ce contrat de 1659. La
fille
de Ragueneau, nommée aussi Marie ou Marotte, comm
Ragueneau, nommée aussi Marie ou Marotte, commença, dit-on, par être
fille
de chambre de Mlle Debrie ; elle jouait la comédi
Ainsi Mlle Du Croisy se trouva déchue de sa part. » Une de ses deux
filles
, Marie-Angélique Gassot, joua dans Psyché le pers
emeurant rue de la Marche, et Marie Petit-Jean, âgée de vingt-un ans,
fille
de Pierre Petit-Jean, bourgeois de Paris, et de M
fils, Pierre de La Thorillière, né le 3 septembre 1659 ; une première
fille
, Charlotte, née le 16 avril 1661 ; une seconde fi
9 ; une première fille, Charlotte, née le 16 avril 1661 ; une seconde
fille
, Thérèse-Marie-Jeanne, née le 15 juillet 1663. Au
fils fut un très grand comédien, et son petit-fils un bon acteur. Ses
filles
épousèrent Baron et Dancourt. Toute cette famille
hel était fils d’André Boyron, comédien du roi, et de Jeanne Auzoult,
fille
de Jean Auzoult, aussi comédien du roi, et d’Anne
mois après avoir quitté la scène. Il avait épousé Charlotte Le Noir,
fille
de la Thorillère. On peut voir, dans les Nouvelle
jours. Celle-ci, malgré de nombreuses vicissitudes, est donc vraiment
fille
de Molière, et elle tire de cette origine non seu
et de 1700 par lesquels les héritiers de Jean Poquelin, notamment la
fille
de Molière, donnaient en location la maison qu’il
. 15. Voyez Recherches sur Molière, par M. Eud. Soulié, p. 254. 16.
Fille
du prévôt de la maréchaussée d’Alençon, née en 16
e titre de Mademoiselle restait propre aux femmes mariées qui étaient
filles
de parents nobles. C’était celui que prenaient le
Molière ». Si Armande était la sœur de Geneviève, elle n’était pas la
fille
de Madeleine. Mais la fureur ne raisonne pas, et
t sous-entendue dans sa requête. 91. M. Michelet. 92. Mlle Poisson,
fille
de Du Croisy. 93. Ils avaient été cinq mois à Fo
ténuer cette expression, mit : « Il l’accuse d’avoir épousé sa propre
fille
», ce qui aggravait l’accusation. 98. Œuvres co
isognosi, Fulvio son fils, Scapin, leur valet ; Beltrame ; Lavinia sa
fille
; Mezzetin, marchand d’esclaves, Celia, Laudomia,
s fidèles. Nouveau stratagème de Scapin. Fulvio doit épouser Lavinia,
fille
de Beltrame, qu’il néglige. Scapin va trouver Bel
e lettre de son père qui l’invite à demander à Beltrame la main de sa
fille
; il s’y résoudrait peut-être s’il n’était pas pi
i. Ce nouvel amoureux qui me parloit ici, Qui se promet de rendre une
fille
opulente... Hespérie. Quoi ! voulez-vous encor me
Et son cœur est épris des graces d’Henriette. Chrisale. Quoi ! de ma
fille
? Ariste. Quoi ! de ma fille ?Oui. Clitandre en
ces d’Henriette. Chrisale. Quoi ! de ma fille ? Ariste. Quoi ! de ma
fille
?Oui. Clitandre en est charmé ; Et je ne vis jama
tte affaire, est-ce lui ou le petit Eraste qui épouse si lestement la
fille
d’Oronte ? Quand on n’aurait évité à M. de Pource
femme ; il voulut remplir la passion que les charmes naissants de la
fille
de la Béjart avaient nourrie dans son cœur, à mes
aurait tout gâté de lui déclarer le dessein qu’il avait d’épouser sa
fille
. Il prit le parti de le faire sans en rien dire à
tant plus que la Béjart, qui le soupçonnait de quelque dessein sur sa
fille
, le menaçait souvent en femme furieuse et extrava
çait souvent en femme furieuse et extravagante, de le perdre, lui, sa
fille
et elle-même, si jamais il pensait à l’épouser. C
de désespoir, comme si Molière avait épousé sa rivale, ou comme si sa
fille
fût tombée entre les mains d’un malheureux. Néanm
t entendre à la Béjart que le plus grand bonheur qui pût arriver à sa
fille
, était d’avoir épousé Molière, qui perdit par ce
u’aux oreilles du roi et qui voulait que Molière eût épousé sa propre
fille
? Durant les deux années qui précédèrent la naiss
eux encore que les raisonnements. Au surplus Armande n’était point la
fille
, mais la sœur de Madeleine. Louis XIV, méprisant
eil qui a pour titre Anonymiana assure que plus tard il s’éprit de la
fille
de Mignard, qui devint Mme de Feuquières. Pourquo
orme d’épitaphe : Il se servit de la coquille Et de la mère et de la
fille
, Et ne trouva dedans sa fin Ni Dieu, ni loi, ni m
us vivant, le contemplateur, ce n’est pas celui de Mlle Paul Poisson,
fille
de Du Croisy, que je citais dans une note du chap
mais ce sont vraiment des femmes, vivantes, aimantes, mères, sœurs et
filles
. Elles vivent non de la vie du rêve, mais de la v
le enchantée de Molière. Béjart (Marie-Madeleine), l’aînée des trois
filles
de Joseph Béjart. — Parisienne, née en 1618 et mo
rope, etc., etc. La Grange (Marie Ragueneau, demoiselle). — C’est la
fille
du pâtissier-poète. Elle était fort laide. Joua B
Du Croisy. — Actrice médiocre ; quitta le théâtre de bonne heure. Sa
fille
, ou plutôt une de ses filles, joua une des Grâces
re ; quitta le théâtre de bonne heure. Sa fille, ou plutôt une de ses
filles
, joua une des Grâces dans Psyché, mais n’entra da
ande-Grésinde-Claire-Élisabeth Béjart, demoiselle), la plus jeune des
filles
de Joseph Béjart. — Née vers 1643, morte le 30 no
e eut de ce Guérin mourut comme ceux qu’elle avait eus de Molière. La
fille
de Molière, Madeleine-Esprit, qui survécut cepend
de Scapin. Dancourt (Thérèse Le Noir de la Thorillière, demoiselle),
fille
de La Thorillière, créa Œgiale dans Psyché. Pois
dans Psyché. Poisson (Marie-Angélique Gossot du Croisy, demoiselle).
Fille
de Du Croisy, femme de Paul Poisson. Reprit le rô
Molière. Beaubourg (Louise Pitel de Beauval, demoiselle). — C’est la
fille
de Beauval. À huit ans, elle joua la petite Louis
et de feue Marie Cresé (sic), d’une part, et Armande Grésinde Béiard,
fille
de feu Joseph Béiard et de Marie Herué, d’autre p
la foi ; Il se servit de la coquille Et de la mère et de la
fille
; Et ne trouva dedans sa fin, Ni Dieu,
authentique du mariage de Molière, qu’Armande était la sœur et non la
fille
de Madeleine Béjart. Mais le récit que voici n’en
art. Mais le récit que voici n’en est pas infirmé pour cela. Armande,
fille
ou sœur de Madeleine, dut agir de même. (Voir le
72, mort le 11 octobre de la même année. Son troisième enfant fut une
fille
, Esprit-Madeleine, née le 4 août 1665. Sa mère vo
parlez. — Cela ne se peut dire qu’à l’oreille… — Y croyez-vous ?.. Sa
fille
!… — Je crois Molière honnête homme, et il a des
vent du serein. — Et il a beau la lorgner en dessous, la bonne petite
fille
qu’elle est, tranquille et candide, n’avoue ni ne
ssé les affaires ; il faut savoir jusqu’où l’innocence peut mener une
fille
. Il causait ; bon ; cela vous chatouillait l’âme
… Et plus bas encore : — Je vous le disais bien qu’il avait épousé sa
fille
! Mais cet orage sous terre ne semble pas étonner
Et feignant de l’intérêt ; protecteur et goguenard : Bah ! bah ! la
fille
vous aime, vous vous raccrocherez. Il ne croit pa
requête dans laquelle il accusa ouvertement Molière d’avoir épousé sa
fille
. On sait la réponse de Louis XIV : le 28 février
, comme un Turc, dirait Lisette, qui achète pour son harem une petite
fille
; il l’a voulu rendre idiote, il le dit ; il avai
ale ; et il apprend le catéchisme à Agnès, comme Louis XV aux petites
filles
du Parc aux Cerfs ; mais un catéchisme à l’usage
sparence de sa naïveté vous voyez toutes les qualités aimables de nos
filles
: elle est compatissante, témoin son affliction d
se font pas par l’oreille. Elle sait quels dangers réels encourt une
fille
en ce monde ; et, le sachant, elle s’en peut défe
nu. Je n’hésiterais pas, si j’étais mère, à révéler la maternité à ma
fille
; à lui apprendre qu’en aimant, c’est à la matern
traignant l’homme à se gâcher l’esprit et le cœur dans la société des
filles
de plaisir. — J’ai pu, pour ma part, m’assurer pl
e-Grésinde-EIisabeth Béjart, qui devint madame Molière, était-elle la
fille
légitime de Joseph Béjart et de Marie Hervé, comm
e Marie Hervé, comme l’attestent vingt actes authentiques, ou bien la
fille
clandestine de Madeleine Béjart, que les mêmes do
’acte de baptême de l’avant dernier enfant de Marie Hervé : c’est une
fille
, nommée Bénigne-Madeleine, née le 20 novembre 163
Molière lui-même, au point d’être le parrain de la petite Madeleine,
fille
de Molière et d’Armande Béjart. Il y a là matière
n porte-paroles, n’accusait pas précisément Molière d’avoir épousé la
fille
après avoir vécu avec la mère. La calomnie n’y pe
iquer en toutes lettres dans son pamphlet rimé. Or, qu’Armande fût la
fille
de Madeleine, il n’y a vraiment pas lieu d’y croi
nous aimons à professer pour une telle mémoire ; ou Armande serait la
fille
de Molière, ce qu’il est inutile de qualifier, ou
t inutile de qualifier, ou bien il aurait, à tout le moins, épousé la
fille
ou la sœur de sa maîtresse, deux cas sociaux qui,
he n’épouse pas. Et quelle ressemblance découvrir entre Agnès, petite
fille
innocente, ignorante, sans usage du monde, et la
ès la mort de sa première femme, le 30 mai 1633, il se remariait à la
fille
d’honorable homme Eustache Fleurette, marchand et
on dit père, sa vie durant ; le semblable, ajoute-t-il, parlant de sa
fille
Madeleine, mariée alors depuis trois ans à André
morte en couche, trois ans après son mariage, il lui était resté une
fille
, nommée Catherine. Autre tutelle, autres comptes
erspective, autres tourments. Il les esquiva habilement. Il fit de sa
fille
une religieuse. Lorsqu’il eut, en 1635, donné 5,0
suivre près de lui des espérances de mariage, dont la naissance d’une
fille
, quatre ans auparavant, avait été le gage. Une au
ance d’une fille, quatre ans auparavant, avait été le gage. Une autre
fille
était née pendant le voyage, mais on l’avait lais
viève et sa mère, Marie Hervé, qui venait elle-même d’accoucher d’une
fille
, le père de toute cette bande, qui, suivant quelq
son du cul-de-sac Thorigny, elle s’est fait un nom parmi ces aimables
filles
qu’on appelait « les demoiselles du Marais. » L’h
us la caution de Marie Hervé, qui garantit, pour 300 livres, ses deux
filles
et Molière. La caution n’est pas solide, et 300 l
nt. La vérité était, je l’ai fait voir, qu’Armande ne pouvait être sa
fille
, puisqu’il n’avait connu.Madeleine qu’après sa na
chanceté de ces bruits était impossible. Tant qu’Armande resterait la
fille
de Madeleine, elle serait aussi pour tout le mond
terait la fille de Madeleine, elle serait aussi pour tout le monde la
fille
de Molière. Que faire ? Lui donner une autre mère
ient. Marie Hervé, l’aïeule, était, nous l’avons dit, accouchée d’une
fille
, presque dans le même temps que Madeleine. Cette
êmes à ce qu’ils veulent faire croire. Si Armande eût été vraiment la
fille
de Marie Hervé et non celle de Madeleine, avec qu
e contre Molière et l’a donnée au roi ; il l’accuse d’avoir épousé la
fille
et d’avoir aussi vécu avec la mère. » Que fit le
dire 50,000 francs d’aujourd’hui, à la mariée, qui passe pour être sa
fille
, suffirait comme témoignage. On voit bien que c’e
, qui donne. Elle ne déboursa pas un écu, lorsque Geneviève, sa vraie
fille
, se maria, et elle aurait donné 10,000 livres à A
st que la sœur, mais obligés de s’effacer devant elle, si elle est la
fille
, et c’est ce qu’ils font. Non, sur ce point, je l
l a d’abord été amoureux de la comédienne Béjard, dont il a épousé la
fille
. » II - La famille et la jeunesse de Molière4
violons, comme on les appelait, n’étaient pas mieux vus. Or, c’est la
fille
d’un de ces vingt-quatre, Agnès Mazuel, qu’un des
quelin, le tapissier Jean, épousa en 1594. Si, par ce mariage avec la
fille
d’un musicien, la considération n’est pas entrée
é, y a jeté son germe, et l’éclosion ne s’en fera guère attendre : la
fille
du violon Mazuel fut l’aïeule de Molière, qui la
« de noble homme Jehan Ledoux, président à Joigny », et à sa seconde
fille
, la femme du chirurgien Lirot, valet de chambre d
depuis peu. Avait-il laissé un gros héritage ? La dot apportée par sa
fille
, la nouvelle épouse, était-elle d’importance ? C’
t la belle place aux fils qu’elle pourrait avoir. Elle n’eut que deux
filles
et mourut en donnant le jour à la seconde. Alors
e d’un prélat, Mgr Bourlon, évêque de Césarée. Que fit-il de la seule
fille
, qui eut survécu de son second mariage ? Une reli
des espérances de mariage, dont avait été le gage la naissance d’une
fille
, reconnue par lui, quatre ans auparavant. Qu’arri
son du cul-de-sac Thorigny, elle s’est fait un nom parmi ces aimables
filles
qu’on appelle « demoiselles du Marais. » L’hôtel
de la mère des Béjard, qui garantit pour trois cents livres ses deux
filles
et Molière. La caution n’est pas très solide, et
ecrets du savoir féminin, qui dormaient sous l’ignorance de la petite
fille
, et qui se révéleraient bien vite dans les coquet
pleurer. La naissance d’un second fils, les soins qu’elle devait à sa
fille
, seule enfant qui survécut à Molière, ne l’attach
corrompu par ses débauches les belles qualités de son esprit18. » Une
fille
, qu’il reconnut, naquit en 1638, de ses relations
nt nous parlons, tout donne à penser qu’un nouvel enfant, une seconde
fille
, fut encore le fruit de cet amour. Cette fille se
el enfant, une seconde fille, fut encore le fruit de cet amour. Cette
fille
serait Armande, la future femme de Molière. Le co
reconnurent cet enfant, non comme leur petite-fille, mais comme leur
fille
. L’acte de mariage de Molière avec Armande témoig
arents19, semble prouver qu’elle voyait en elle plus qu’une sœur, une
fille
, et qu’elle avait à cœur de lui rendre au moins,
e aurait eu, étant ainsi délaissée, de faire donner par d’autres à sa
fille
une légitimité qu’elle ne pourrait jamais lui don
u’elle avait pu concevoir d’épouser le comte et de légitimer ainsi sa
fille
, elle chercha pour celle-ci, nous l’avons dit, un
oire qu’il était le père d’Armande, on put dire qu’il avait épousé sa
fille
! Ces premières pérégrinations provinciales durèr
s d’obstacles pour qu’elle devienne comtesse de Modène et pour que sa
fille
reprenne possession des droits de sa noble naissa
déré, donnait à croire que lui-même n’épouserait jamais la mère d’une
fille
ainsi mariée. En effet, en 1666, deux ans après q
r propre union, il se remarie, mais non avec la Béjard : il épouse la
fille
du poète Tristan l’Hermite22 ! Ce n’est pas la ri
c les débris du roman de M. de Modène, de la Béjard et d’Armande leur
fille
. Ce n’est pas seulement par le caractère, qu’Arma
e contre Molière et l’a donnée au roi ; il l’accuse d’avoir épousé la
fille
et d’avoir aussi vécu avec la mère119. » Si Louis
nous l’avons dit, avait voulu être le parrain de son enfant ; or, une
fille
vient encore de naître de ce mariage calomnié, et
septembre suivant, le curé de Saint-Roch l’admit comme parrain de la
fille
du marchand Romain Toutbel. Ainsi, non seulement
uvent les choses se passaient ainsi. Lorsque madame Claude de France,
fille
de Henri II, dont elle était le septième enfant,
Normand, maladroit, quand il parvint à se faire donner en mariage la
fille
de Tabarin. Il devait, en effet, avoir au moins c
tion définitive de notre farceur à Paris, c’est-à-dire vers 1620 ; la
fille
, au contraire, était encore jeune. Celui qu’elle
(et l’on sait à quel prix !), n’avait pu que doter très grassement sa
fille
; et cela est si vrai, quêtant devenue veuve, ell
îtresse manière jusqu’au terrible dénouement du mariage avec Armande,
fille
de Madeleine. Rien ne lui coûta pour se renseigne
te contre Molière et l’a donnée au roi. Il l’accuse d’avoir épousé la
fille
et d’avoir autrefois vécu avec la mère. Mais, ajo
rianne intervient beaucoup trop tôt dans l’entretien d’Orgon et de sa
fille
, et par là jette, pour le spectateur, trop de dis
elle doit s’y mêler. C’est sur ces vers : …... Oui, je prétends, ma
fille
, Unir par votre hymen Tartuffe à ma famille ; Il
ts récemment trouvés. Veuf comme Harpagon, ayant des enfants, fils et
filles
, il n’aimait pas plus que lui à rendre des compte
ampagne qui s’est payé de la noblesse en épousant à beaux deniers une
fille
noble, une « demoiselle », et que cette « demoise
tte et d’un comte te prendra pour dupe, et quand tu croiras marier ta
fille
au fils d’un prince, il se trouvera que tu ne lui
Constantinople, avant Guilleragues. La Mothe Le Vayer avait épousé sa
fille
, et, par lui, Molière, dont il était l’ami, avait
rgeois consente, au lieu de refuser, et qu’il soit heureux de voir sa
fille
mariée au fils du grand Turc, et vous aurez tout
op de chaleur les intérêts de mon maistre contre vous, touchant votre
fille
; mais je luy ai bien dit son fait : ce n’est pas
eté » sous le manteau de deux noms respectables, ceux d’Aloyse Sigée,
fille
savante et sage, demi-espagnole et demi-française
on d’Orgon. Seulement, il mène une double intrigue avec la mère et la
fille
, et voici quelques passages d’un discours qu’il t
’en aperçoit vite, à la manière dont elle joue Armande. C’est bien la
fille
et l’élève de la Philaminte que nous avons connue
heuse d’académie et à diplôme ; mais, si elle est sotte à la surface,
fille
d’esprit au fond, elle réveille à propos son cœur
t de lire : « Montfleury......accuse Molière d’avoir épousé sa propre
fille
. » 120. Acte II, scène VI. 121. Acte II, scène
rce paternel, et fit une alliance au-dessus de son rang. Il épousa la
fille
d’un receveur-général des finances, mademoiselle
os monsieur du commerce, qui se maria richement avec Anne Faverolles,
fille
d’un secrétaire du roi, dont il eut seize enfants
e lui. Lui seul, en effet, semblait veiller sur elle. « Cette petite
fille
, accoutumée avec Molière qu’elle voyait continuel
ibles, qui pourtant allaient bien à Molière ; N’est-il point quelque
fille
Qui pût accommoder le pauvre Mascarille ? À voir
s rusés jouant mille bons tours à de risibles Gérontes, leur enlevant
filles
, nièces, etc. Ce sont des comédies amusantes, ple
et les grilles, avait-il dit, Ne font pas la vertu des femmes ni des
filles
; C’est l’honneur qui les doit tenir dans le devo
contre Molière, dans laquelle il l’accusait d’avoir épousé sa propre
fille
, après avoir vécu en concubinage, autrefois, avec
quantité. On n’en peut trop avoir dans une pareille aventure. Ah ! ma
fille
! ma pauvre fille ! » Ils arrivent à quatre, en
peut trop avoir dans une pareille aventure. Ah ! ma fille ! ma pauvre
fille
! » Ils arrivent à quatre, en grande cérémonie;
le, l’autre de son cheval. SGANARELLE. Messieurs, l’oppression de ma
fille
augmente; je vous prie de me dire vite ce que vou
dait au ménage, tandis que, sous ses ordres, agissaient deux ou trois
filles
de cuisine. Parmi ces filles se trouvait même une
ous ses ordres, agissaient deux ou trois filles de cuisine. Parmi ces
filles
se trouvait même une certaine Martine, qui servit
ulière idée de lui faire jouer ce rôle à elle-même, quoique la pauvre
fille
n’eût, de sa vie, assurément paru sur le théâtre
tour. Molière s’écriait : Laforêt, retenez ce maudit âne... La digne
fille
faisait tous ses efforts; mais en vain, l’animal
n public, tant elle l’avait, disait-elle, trouvé honnête. Cette bonne
fille
était un vrai bonheur dans la maison de Molière,
nfance l’avaient séduit, mais ce qui le charma le plus dans la petite
fille
, et qu’ont tous les enfants, ce fut cette attenti
plus beau jour de sa vie, celui où il marie son fils, où il marie sa
fille
, où il va se marier lui-même. Et que d’heureuses
va se marier lui-même. Et que d’heureuses circonstances ! Il marie sa
fille
sans dot au seigneur Anselme, qui est un gentilho
si fréquentes visites, que le bruit courut qu’il était amoureux de sa
fille
. Mais la vérité, c’est qu’il ne pouvait plus rest
relations avec le comte de Guiche, ) survécut à Molière : c’était une
fille
, elle s’appelait Esprit-Madeleine ; elle avait eu
18 mai, en la paroisse Saint-Léonard de cette ville, fut baptisée une
fille
de Pierre Réveillon, en présence de Du Fresne, de
ne, de Du Parc (c’est-à-dire René Berthelot), de Marie Hervé et de sa
fille
Madeleine Béjart. Voici la femme, Molière n’est p
er pour Mme Pernelle. Dorine ferme naturellement la marche, comme une
fille
de chambre qui se tient à son rang. Encore une fo
lle dit nettement le mot pour Dorine : « Vous êtes, ma mie, une
fille
suivante « Un peu trop forte en gueule et fort im
sur la table de droite. Orgon n’a plus besoin d’ouvrir la porte de sa
fille
pour l’appeler, il la trouve déjà sur la scène, e
s’assoit parce que le sujet de l’entretien est sérieux. Il câline sa
fille
pour la gagner d’avance à son projet. C’est alors
as sortir de la tradition. Orgon vient secrètement à la chambre de sa
fille
; Dorine, qui a eu vent de quelque chose, se glis
frère de Molière. Il avait épousé, en 1651, Marie-Madelaine Poquelin,
fille
de Jean Poquelin et de Marie Cressé, laquelle mou
Molière ; après la mort de Molière, il est nommé subrogé-tuteur de la
fille
du défunt ; le 14 juillet 1673, il emprunte à la
p à la lettre ce que lui dit Mme Pernelle : « Vous êtes, ma mie, une
fille
suivante « Un peu trop forte en gueule et fort im
e compte de M. de Pourceaugnac, n’a plus l’intention de lui donner sa
fille
, et que celui-ci, craignant pour son… honneur, n’
mpagnée de Louise et d’Olivarès (suivante et écuyer) trouver Blanche,
fille
de Dom Cosme, promise par son père à Dom Blaize P
s administrateurs de l’Hôtel-Dieu de Paris, achetait à Anne Le Camus,
fille
majeure de Nicolas, devenue propriétaire par un a
enons d’abord l’avare. Vous savez ce que celui de Molière répond à sa
fille
, lorsqu’elle implore la grâce de Valère et rappel
pression d’une égale tendresse paternelle. Lorsque Shylock a perdu sa
fille
, enlevée par le marchand Antonio, sur quoi pensez
HYLOCK Eh ! bien, Tubal, quelles nouvelles de Gênes ? As-tu trouvé ma
fille
? TUBAL J’ai entendu parler d’elle en maint endro
ans compter d’autres bijoux précieux, bien précieux !… Je voudrais ma
fille
là, à mes pieds, morte, avec les bijoux à ses ore
ère phrase de Shylock et celle qu’Harpagon répond si brutalement à sa
fille
? Par-dessus le détroit qui sépare Douvres de Cal
ouis XIV tint sur les fonts baptismaux, avec la duchesse d’Elbeuf, la
fille
aînée de M. et madame Biancolelli (1er décembre 1
notre grand comique ne dédaignait pas de nommer au baptême la propre
fille
d’Arlequin ? Gherardi (Giovanni) dit Flautino, m
vieille dans deux mille ans. Madame Pernelle Vous êtes, ma mie, une
fille
suivante, Un peu trop forte en gueule, et fort im
iane Orgon Mariane ! L’armée ennemie fait un pas. Orgon annonce à sa
fille
qu’il veut la marier à Tartuffe. Cela rend le dés
sture de donner un soufflet à Dorine, et, à chaque mot qu’il dit à sa
fille
, il se tourne pour regarder Dorine, qui se tient
se tourne pour regarder Dorine, qui se tient droite sans parler.) Ma
fille
, vous devez approuver mon dessein… Voici le comb
éplacée ici, qu’il faut détourner Orgon, et promptement, de donner sa
fille
à Tartuffe. [Acte IV, scène IV] Scène IV E
I Tartuffe, Elmire, Orgon Orgon (arrêtant Tartuffe). Vous épousiez ma
fille
et convoitiez ma femme ! J’ai douté fort longtemp
mener à être pendu. Il est dans le caractère de l’Avare de mettre sa
fille
dans un couvent, avec une mince pension alimentai
vie. 3º Iº Être cocufié d’une manière scandaleuse et telle qu’une
fille
, votre égale, n’aurait pas osé se le permettre.
t pas osé se le permettre. 2º Bien plus, par la circonstance que la
fille
est noble. Qu’est-ce qui peut porter à une tell
, c’est-à-dire être cocufié d’une manière scandaleuse et telle qu’une
fille
votre égale, n’aurait pas osé se le permettre. B
pas osé se le permettre. B. Être cocufié par la circonstance que la
fille
est noble. Je n’ai qu’à me figurer Mme Setiet don
que la fille est noble. Je n’ai qu’à me figurer Mme Setiet donnant sa
fille
à un homme qu’elle aurait méprisé. Première situ
méprisé. Première situation : Une Mme Setiet dévote sachant que sa
fille
cocufié son gendre et la soutenant malgré ses pri
échale de Luxembourg (quand Boufflers parut à la cour), et portant sa
fille
qui est vertueuse et qui hésite, à prendre un ama
rgeois. Troisième situation : Le père, vieux courtisan, portant sa
fille
à écouter l’amour d’un prince (on voit bien que j
précautions. Un avare ne fait pas un mariage comme celui-là avec une
fille
qui n’a que sa noblesse. Il y a quelques nuances
fin que de raison, des sujets de chagrin et de ressentiments que leur
fille
me donne. Mais les voici l’un et l’autre fort à p
spectateur se dit : « Je n’aurais pas eu la bêtise moi d’épouser une
fille
noble ? » George Dandin J’enrage ! Comment ! ma
là ? Moi, aimer une jeune et belle personne qui a l’honneur d’être la
fille
de M. le baron de Sotenville ! Jeune et belle,
ne est complètement invraisemblable, on fait ressortir la faute d’une
fille
qui s’est servie d’un mot impropre et elle parle
Armande Chrysale (à Henriette, lui présentant Clitandre). Allons, ma
fille
, il faut approuver mon dessein. Enfin l’intrigue
remplacé ici par une figure le mot sots. 44. Note, Madame Clarke, (
fille
du capitaine Hay, de la marine royale anglaise, m
it les complices des déréglements de sa femme : il veut prouver à ses
filles
mêmes les torts de leur mere : enfin le fatal écr
et. « Plus, pour la jardiniere & pour des engageantes « Dont mes
filles
& moi nous fûmes bien contentes, « Trois cent
Qu’avez-vous à répondre à tout ce que j’ai dit ? Mad. Josse. Que mes
filles
, Monsieur, ont sur elles les pieces Que contient
une source de celle-là. * ** Manille, mère de Lucinde, va marier sa
fille
à un capitan ; mais Lucinde aime Lisandre et, par
muet, et peut-être Manille Prendra quelque soupçon que vous aimez sa
fille
; Que de son fils absent vous empruntez le nom, E
penard chagrin » (l’Étourdi, I, 2, vers 61) ; Phénice de même : Moi,
fille
de berlan ? penard injurieux ! (Le Parasite, III
t le valet qu’il fouille ; la cinquième entre l’avare, son fils et sa
fille
, quand ils veulent lui parler de leur mariage ; l
parler de leur mariage ; la septième, où l’avare prend l’amant de sa
fille
pour juge de son refus de se marier ; la scène si
t madame de Sotenville font enrager leur gendre qui se plaint de leur
fille
; la huitième, où George Dandin est obligé de dem
acte,où Argan compte ses mémoires ; la cinquième, où il propose à sa
fille
de se marier, Angélique croyant qu’il parle de so
ue je ne suis pas gentilhomme. M. Jourdain. Touchez là, Monsieur ; ma
fille
n’est pas pour vous. Cléonte. Comment ? M. Jourda
ent ? M. Jourdain. Vous n’êtes pas gentilhomme, vous n’aurez point ma
fille
. Madame Jourdain. Que voulez-vous donc dire avec
e je veux avoir un gendre gentilhomme. Mad. Jourdain. Il faut à votre
fille
un mari qui lui soit propre ; & il vaut mieux
’arriver. La raison en est toute simple ; la voici : ce qu’on appelle
filles
à Paris, est continuellement à l’affût pour saisi
lieres, & de leurs mots favoris : celles-ci, indignées contre ces
filles
pour plus d’une raison, les leur abandonnent, &am
eule chose qu’il soit raisonnable de lui conseiller, le mariage de sa
fille
; et, après qu’il a promis par serment à la pauvr
, est précisément celle qu’il refuse. Cependant il aime tendrement sa
fille
; il perd la tête de douleur en apprenant qu’elle
pas que l’équivalent de sa plainte qu’il croit si fondée, est que les
filles
ne sont pas faites pour se marier et avoir des en
de Dupuis et Desronais. A la vérité, Dupuis, en refusant de marier sa
fille
, n’est jaloux que de sa tendresse, et la dot qu’i
man de Cyrus, de mademoiselle de Scudéry. Mélicerte est reconnue pour
fille
d’Amasis, roi d’Égypte, qui avait usurpé la couro
ent acquis, rend le sceptre à Sésostris, et lui accorde la main de sa
fille
. Plusieurs de ceux qui ont écrit sur Molière, aff
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