dre ; il insinue ses sentiments avec adresse, il y a du tour dans son
expression
; mais je ne conviens pas qu’il pense toujours ju
e. « Je suis un Auteur qui m’emporte ; je hasarde ; tout terme, toute
expression
m’accommode pour me faire entendre. Suis-je de l’
que je n’ai rien hasardé. La noblesse et le choix des termes, et des
expressions
, la netteté, la concision, sont des principes que
erver trop rigoureusement la pureté de la Grammaire, à s’en tenir aux
expressions
communes, à préférer toujours le propre au figuré
norants s’élève contre lui : leur malignité va si loin, que quand une
expression
heureuse les choque, parce qu’elle est nouvelle p
longues observations, je pouvais placer quelques termes, et quelques
expressions
; surtout dans une matière, où j’avais beaucoup d
éviter l’École, d’imiter la Nature, et même de hasarder un terme, une
expression
, si elle relève le sentiment, ou la matière. Je n
l’on eût dit du temps de François Premier, Je me suis rabattu sur l’
expression
, pour j’ai cherché ma satisfaction dans son sty
es Comédiens. Mais avant que de l’essayer il devait plus observer mon
expression
; car je n’ai point dit qu’« avant et après Moliè
rages avant Molière, comme nous l’avons été après l’avoir perdu . Mon
expression
n’exclut point, comme celle de mon Censeur, les b
si fortement le parti des restes de leur troupe. Comment ! à lire les
expressions
de mon Censeur ; quand j’aurais parlé peu respect
l’Auteur. Un Acteur ne doit point appuyer sur les termes, mais sur l’
expression
entière ; et remarquer le mot qui détermine la pe
Censeur, qui tranche si fort du grand homme par la supériorité de ses
expressions
, que je doute que ses sentiments et sa conduite y
e jugement du Public ? Non, j’ai taché de prévenir le Lecteur par mes
expressions
, et de l’amener au sentiment qu’il devait avoir s
mis le Courtisan en action, si je n’avais peint son caractère par ses
expressions
, que je n’aurais pu employer dans un simple récit
éprendre ? Ne dévelope-t-on pas aisément la malignité d’un Auteur aux
expressions
, à la conduite de l’Ouvrage, aux intérêts qui y s
ut préjugé, je n’ai pas trouvé la Vie de Molière dans cet Ouvrage ; l’
expression
ne m’a point dédommagé, elle est trop hardie. Pou
il prenne si souvent à gauche : avec ses grands termes, et ses belles
expressions
il se serait fait une réputation d’homme d’esprit
ins de son temps, il lui reproche de tomber parfois dans le jargon. L’
expression
nous parait dure à propos d’un tel homme. Pour pe
Bruyère. Il y a en effet dans Amphitryon plus d’une période chargée d’
expressions
parasites, tandis que dans les Femmes savantes il
e dans les Femmes savantes il serait bien difficile de rencontrer des
expressions
de cette nature. Sans pousser à l’excès la délica
ans et venait d’achever le Tartuffe. On est donc forcé de mettre les
expressions
parasites sur le compte de la nécessité. Sans dou
se se passer de la décence du langage. La bienséance du langage est l’
expression
naturelle des mœurs honnêtes. La bienséance du la
période, en examinant la doctrine de Molière sur l’usage de plusieurs
expressions
qu’il a voulu maintenir, et que l’usage a écartée
ire (carmen seculare), ouvrage solennel, hymne national, renferme des
expressions
dont la propriété et la spécialité, relevées pour
is qui je ne lui préférerois pas. Angélique. Je ne mettrai jamais d’
expression
pareille. Dorimene. Quelle enfance ! Angélique.
froidement Dorval ; il n’y a point de prude qui voulût se contenter d’
expressions
si mitigées ; continuez sans rien craindre. — Mai
t jamais acquitté si facilement envers moi. J’exige en pareil cas les
expressions
les plus authentiques. — Pour moi, repliqua Lucil
qu’un homme qui va se battre, & un poltron sur-tout, cherche des
expressions
bouffonnes ? Enfin parut le grand Moliere. Guidé
e maladie s’est introduite parmi nous. Je suis persuadé que le goût d’
expression
qui regne aujourd’hui, vient moins d’une imaginat
les traces de ce grand homme, & de présenter leurs idées avec des
expressions
naturelles, comiques, intelligibles aux spectateu
diction soit ornée ; d’accord : mais on ne doit pas se permettre des
expressions
forcées, parcequ’elles blessent à la fois le simp
d’un moment, comment peuvent-ils, sans frémir, employer des mots, des
expressions
qui, bien souvent, ne sont de mode que vingt-quat
pos des petites-maîtresses du haut rang, & s’empare bien vîte des
expressions
qui leur sont familieres, & de leurs mots fav
c’est un Auteur qui s’emporte, mais qui paraît assez le maître de son
expression
, qu’il hasarde aussi effrontément que s’il était
ontément que s’il était le Directeur de la Langue : tout terme, toute
expression
l’accommode pour se faire entendre. Est-il de l’A
es. Ce serait faire un Volume, que de vous faire remarquer toutes les
expressions
hardies qui sont dans ce Livre ; il en est tout r
la matière de cet Ouvrage, et que l’Auteur n’y est de part que pour l’
expression
. « Plût à Dieu, dit le grand-père de Molière à s
ai point trouvée, le Livre ne m’a point plu. Je me suis rabattu sur l’
expression
au défaut de la matière ; celle-là m’a paru trop
un peut-on soutenir une pièce où l’on ait mis tarte à la crème. Cette
expression
fut bientôt répétée partout le monde. Molière fit
(Pierre Bonvallet, Molière de tous les jours, p. 88-96). 209. Cette
expression
se trouve dans l’Acte I scène 1, vers 99. 210. C
la nature, et rapportant à son art toutes les attitudes et toutes les
expressions
qui caractérisent les passions, il copiait le ges
s animé que le troisième : aussi fécond en ressorts, aussi vif dans l’
expression
, aussi moral qu’aucun des trois. Peut-être que la
istiche ; mais Molière soutint qu’il fallait s’en tenir à la première
expression
, et que la raison et l’art même demandaient et au
naturelle ; et il faut sacrifier toute régularité à la justesse de l’
expression
: c’est l’art même qui doit nous apprendre à nous
femmes honnêtes. Je vais y concourir pêle-mêle, qu’on me passe cette
expression
, la société dite des précieuses, et séparément la
raison de cette différence est que la littérature d’une nation est l’
expression
de ses mœurs. Pourquoi les genres se démêlèrent-i
ne divertissent guère. On souffrait à l’idée de revêtir ses pensées d’
expressions
nobles et vigoureuses, ou de voir quelqu’un pénét
adame Scarron prouve encore ici, ne fût-ce que par l’absence de toute
expression
de gratitude, qu’elle ne craint rien tant que le
vait jusque-là rebutées, se laissait aller à une légère bouderie, à l’
expression
d’un léger mécontentement. C’est là ce que suppos
le, sur le mot il et l’occasion du nouveau bienfait du roi. Voici ses
expressions
: « Le roi étant entré chez son fils, la trouva s
ques destinées à porter en tous lieux les événements, les usages, les
expressions
et les modes de la capitale. Il est presque vrai
si élevé ? Comment surtout ne pas faire étalage devant eux des belles
expressions
et des belles manières qu’on avait apprises en un
L’un, robin pédant, galant et fade, mêle, dans ses billets doux, les
expressions
du Digeste à celles de L’Astrée ; sentant l’énorm
et naturelles dans leurs sentiments, dans leurs manières, dans leurs
expressions
? Étaient-elles radicalement guéries de cet amour
ment expié, d’irriter deux hommes, dont un trait de plume, suivant l’
expression
de l’abbé d’Olivet, donnait à qui bon leur sembla
prudes tout ensemble ; raffinant sur les idées, les sentiments et les
expressions
; dédaignant tous les soins d’épouse, de mère et
alde dit, comme l’athée don Juan, et en outrant même le mépris de ses
expressions
: « La médecine est une des plus grandes folies q
t un art fort pratiqué, avait fourni au discours familier une foule d’
expressions
figurées dont tout le monde se servait. Corneille
servait. Corneille, dans Le Menteur, n’a pas craint de mettre de ces
expressions
dans la bouche d’une femme parlant à une autre fe
curément, en ne les écoutant pas. Quant à la grossièreté de certaines
expressions
prétendues naïves, qui n’auraient point trop révo
moins l’usage de certains tours, de certaines formes et de certaines
expressions
réputées nobles et élégantes, que l’ignorance par
vec sa position, elle fit naître ces situations comiques, jaillir ces
expressions
si vraies, si naturelles, qu’elles peignent tout
qu’il a pu amasser ? Il faut toujours qu’il réserve pour la fin, ces
expressions
énergiques, ces profondes saillies qui souvent dé
l naisse, qu’il découle du sujet même. Du Style. Le style est l’
expression
des personnages mis en scène ; il doit être propo
ion moins scrupuleuse, ne pas éplucher, si je puis me servir de cette
expression
, la possibilité physique de la marche et des inci
trouve des personnages froids, des scénes peu liées entre elles, des
expressions
peu correctes ; le caractére de Lélie n’est pas m
a par instinct, Courage, Moliere, voilà la bonne comédie, est la pure
expression
de la nature, qui montre l’empire de la vérité su
t homme vertueux pourroit se faire honneur ; mais ce mot est plûtôt l’
expression
vive du cas que l’on doit faire de la vertu, quan
quable par la délicatesse des sentimens, & par la simplicité de l’
expression
; en général, tout ce que disent les deux amans e
lable au peintre habile, qui, toujours attentif à remarquer, dans les
expressions
extérieures des passions, les mouvemens & les
L’art caché sous des graces simples & naïves, n’y employe que des
expressions
claires & élégantes, des pensées justes &
C’est alors que, par la vérité des sentimens, par l’intelligence des
expressions
, & par toutes les finesses de l’art, il sédui
e pierre conviée à un repas, ce qui a été mal rendu en françois par l’
expression
de festin de Pierre. Dom Pedre, nom du commandeur
leur est trop sincère, trop personnelle pour qu’on n’y retrouve pas l’
expression
des chagrins secrets dont était torturé le mari m
cès de Molière s’il n’y fallait ajouter une qualité particulière de l’
expression
et du style. Nous avons fait allusion déjà aux cr
s fondement réserve aux races du Nord, ont trouvé leur plus splendide
expression
dans l’œuvre d’un Hugo. Toutes les variétés de no
eune tille qu’il épousera ; Molière réduit le problème à cette simple
expression
: sera-t-il cocu ou non ? portera-t-il des cornes
ts délicats et polis n’ont pas le droit d’exclure de leur langage des
expressions
grossières et brutales, et j’observe ici que si l
ne soit dévorée. Voilà le vrai don Juan, fils du dix-neuvième siècle,
expression
de notre époque. Vous l’accusez d’inconstance, vo
, il s’agite, il se dépite, il la querelle, il lui fait des scènes !
expression
vulgaire et admirable qui trahit la nature des se
rance n’a pas dit un mot. Vous n’entendez pas non plus chez Molière l’
expression
du repentir. Le repentir est la marque des grande
t que cela cause, il faut reconnaître là une intention réfléchie et l’
expression
d’un sentiment personnel. En vérité, on exalte Sh
eries de Charlotte ou de M. Dimanche 768, sait passer tout à coup à l’
expression
la plus pure de la foi chrétienne et aux élans le
défendre contre ceux qui l’attaquent est inutile771. Pour trouver des
expressions
qui en fassent sentir la haute moralité, on ne pe
ent œuvres de Molière. Mais il n’y faut chercher, on le répète, que l’
expression
d’un sentiment personnel sur la religion, non des
’autre part cette précieuse protection du roi Louis XIV, qui, selon l’
expression
de Comte, « ne résulta pas seulement des goûts pe
ttre au cabinet. Vous vous êtes réglé sur de méchants modèles, Et vos
expressions
ne sont point naturelles… Et le misanthrope cond
ressions ne sont point naturelles… Et le misanthrope condamne chaque
expression
tour à tour ; il n’en épargne aucune et, pour pro
ue de cela… On croirait entendre là, si j’ose me servir ici de cette
expression
, comme une « parodie » des propos jansénistes. Ce
Un cloître est l’époux qu’il me faut. » La pensée est la même, si les
expressions
ne sont point semblables. Elles veulent la mort o
Il n’a pas pris, dans la pièce italienne, une seule phrase, une seule
expression
remarquable : il faut bien qu’il ne l’y ait pas t
le sens toujours exact. Molière qui, en général, pèche souvent par l’
expression
, ne pèche jaunis par la pensée et les plus grande
s’il ne dit pas je vous aime après je vous adore, parceque la seconde
expression
est plus foible que la premiere ; à plus forte ra
ertainement. Lisette. Il ne déclare rien bien positivement. C’est une
expression
ordinaire & naïve. Mais si vous voulez être u
des spectateurs la force de la passion qui le domine, à diminuer son
expression
, à lui donner une uniformité ennuyeuse. Tel est n
cette espece de caractere mitigé, s’il m’est permis d’employer cette
expression
, dont nous venons de parler ; il peut très bien f
rme. La lettre du 15 novembre, en réponse, est ironique dans quelques
expressions
, sévère dans d’autres ; mais elle tend surtout au
D’un autre côté, peut-on penser que l’accent de madame Scarron dans l’
expression
de son chagrin, cet accent qui alla au cœur du ro
ale que les hommes publics sont trop souvent exposés à prendre pour l’
expression
de l’opinion générale. Si l’on se reporte à un te
oyait au-delà des flatteries contemporaines, et qui, suivant la belle
expression
du poète, aspirait à un monument plus durable que
titulée La Critique du Tartuffe ? Misérable parodie où le cynisme des
expressions
le dispute à l’indécence des personnages. L’auteu
u roi ? Qu’on rapproche en effet les passages qu’on vient de lire des
expressions
mêmes du poète comique : « Votre majesté a beau d
que son auteur parle presqu’à chaque ligne des tartuffes, comme si l’
expression
était dès longtemps consacrée par l’usage. Au res
’ont pas même épargné les points et les virgules. Celui-ci relève une
expression
qui lui paraît impropre, celui-là découvre à la l
V. Qu’un commentateur explique des usages qui n’existent plus, ou des
expressions
tombées en désuétude, qu’il éclaircisse des passa
aintien, son langage, ne peuvent tromper personne ; plus il abuse des
expressions
pieuses, plus il inspire d’horreur ; c’est le res
e détails indifférents en eux-mêmes, qui n’ont de prix que celui de l’
expression
d’une passion, que Molière tire et fait jaillir c
eois le plus prudent et le plus retors, je ne trouve pas trop forte l’
expression
de Diderot, qui ne voulait voir dans cette suite
it pas raffiné dans son style ; toutes les grossièretés imaginables d’
expression
, vous pouvez les ramasser dans ses comédies ; il
ramasser dans ses comédies ; il met, toutes les fois qu’il le peut, l’
expression
crue et brutale : eh bien, il veut peindre un jou
n’aurais pas manqué de les laver avec du son17. Tournez et voyez ces
expressions
comme vous voudrez, vous y trouverez langage et i
is passé par les mains des médecins ! Même justesse dans le choix des
expressions
destinées à exprimer une condition ou un caractèr
eindre qu’à fresque et d’une grande touche. Goethe a créé un mot, une
expression
de génie que tout le monde connaît : l’éternel fé
sujet : La Rochefoucauld, La Bruyère, Racine. Goethe, en créant cette
expression
, qui est à la fois chez lui une expression poétiq
e. Goethe, en créant cette expression, qui est à la fois chez lui une
expression
poétique et scientifique, a voulu signifier que l
dit qu’il est impossible que la vanité méchante trouve nulle part une
expression
plus naturelle et plus forte. Il y a dans le théâ
ment bourgeois du xviiie siècle, ce théâtre si honnête, si poétique,
expression
achevée de cette bourgeoisie à la fois tempérée e
uide par conséquent, « son seigneur et son maître », pour prendre les
expressions
de L’École des femmes, poussée dans les bras de c
en médecine ; vous savez qu’il a fait Dom Juan « impie — ce sont ses
expressions
— en médecine » comme en toute autre chose. Il y
est pas. Il y a l’article homme, dans lequel vous trouvez encore les
expressions
genre humain, espèce humaine, famille humaine ; v
n’est que de cette façon que les grands esprits qui ont été le plus l’
expression
de leur monde, qui l’ont le plus devancé et l’ont
éomètres, jurisconsultes ; et aux femmes, suivant l’heureuse et juste
expression
de Molière, qui n’en a guère rencontré de plus he
a médecine rien d’obscur, de difficile ni de douteux, et qui, selon l’
expression
de Molière, « avec une impétuosité de prévention,
ent nous ne supportons plus. Ces crudités de langage, ces mots et ces
expressions
« bravant l’honnêteté », ces traits de mœurs brut
rsonne, quand il le fallait, n’a eu, autant que lui, de mesure dans l’
expression
d’un caractère et d’élévation dans les sentiments
de l’historien, le génie particulier de ceux qui ont causé, suivant l’
expression
de Bossuet, « les grands mouvements du monde ». L
it être la femme ; et servent de correctif à ce qu’a d’exagéré dans l’
expression
la fameuse tirade, si juste au fond, du bonhomme
es qualités plus sympathiques ; mais c’est, dans toute la vérité de l’
expression
, ce qu’on peut appeler une honnête femme. Madame
prouvent que nul n’a mieux connu ni plus aimé ce sexe, qui, suivant l’
expression
de La Fontaine, fait notre joie ; ce sexe mobile
demi-Ménandre, & lui reprochoit de n’avoir pas la force comique ;
expression
que les commentateurs ont interprété à leur façon
lleurs pantomime, a donné lieu à ce jeu muet, qui quelquefois par une
expression
vive & plaisante, & souvent par des grima
oeud, un dénouement, c’est-à-dire les parties essentielles. Quant à l’
expression
, elle se ressentit nécessairement de la dureté du
dénouer ; des traits, des pensées pour caractériser ses acteurs ; des
expressions
naïves, fortes, moëlleuses, pour rendre les pensé
hez les Grecs, soit dans le tour des pensées, soit dans le choix de l’
expression
. On doit sur-tout admirer l’art étonnant avec leq
p; plus animé que Térence. Aussi fécond en ressorts, aussi vif dans l’
expression
, aussi moral qu’aucun des trois. Le poëte grec so
le ciel en odeur de suavité, est le symbole de vos prieres ». Cette
expression
est prise de l’Ecriture, comme il paroît par la G
femme ? Et le public éclate. Cependant quel esprit, quelle finesse d’
expression
y a-t-il dans la réplique de George Dandin ? Aucu
’amour hors de saison est encore une source très abondante. Les mêmes
expressions
qui toucheroient dans la bouche d’un jeune homme,
it aussi dans l’horreur convulsive du mauvais langage, et surtout des
expressions
qui se rapportent à l’amour vulgaire et grossier
ous les jouis dans l’esprit du roi lui-même. Je ne puis retenir ici l’
expression
d’un sentiment dont j’ai eu plus d’une fois l’occ
nflamme le cœur du Prince. Il a, dit-il, puisé son feu dans la neige,
expression
vraiment espagnole. Il forme le dessein de réduir
La Princesse éclate ; passe de la priere aux menaces, des fureurs à l’
expression
de l’amour le plus tendre. Son cœur s’envole en p
s entendoient les dévots espagnols faire retentir leur théâtre de ces
expressions
: Vive Dieu ! Vive le Christ ! Allez-vous-en avec
du texte, excepté quand cette méthode l’aurait obligé à employer des
expressions
indécentes, ou peu naturelles et peu claires » 4
e autre langue, présentent un sens tout différent. C’est le cas d’une
expression
que Molière a mise dans la bouche de Gros-René. I
éâtre (le théâtre Italien) ne permettrait pas l’emploi d’une pareille
expression
, surtout en parlant à une dame. J’ai donc été obl
ouche d’un valet et d’une suivante, amoureux l’un de l’autre, quelque
expression
un peu chargée, celles que Molière place dans la
e suis ivre ! » « Je n’aime, dit l’auteur, ni l’une ni l’autre de ces
expressions
; j’ai changé la dernière, bien que j’aie dû cons
scrupules du théâtre italien de son époque, pour rendre une semblable
expression
. Il traduit donc : « Bisogna ricordarti de buoni
ertaines libertés de jeu et de langage, ou à hésiter, devant quelques
expressions
un peu fortes de l’original, sur le choix d’un éq
la tournure des phrases hollandaises, du mélange de mots pompeux et d’
expressions
triviales, des allures un peu gauches de la rime.
fin de donner ainsi plus de relief à la pensée et plus de vigueur à l’
expression
. Les infidélités ne sont pas nombreuses, d’ailleu
t d’une grande valeur littéraire. Il y a des scènes, des tirades, des
expressions
qui ont été traitées de main de maître. La jolie
mme s’il y avait « ramener le fils dans les bras de son père ». Cette
expression
sent un peu son Tartuffe. La grande tirade de Clé
s vers un peu plus frappés. Nous n’avons pas retrouvé, par exemple, l’
expression
énergique et qui est d’un grand effet au théâtre
us d’un endroit l’auteur a fort spirituellement remplacé l’image de l’
expression
française par une image hollandaise du même genre
pas de papier sur la table ; tapis sans franges ; Orgon, visage sans
expression
, très longue perruque, rabat plat, vêtement bouto
t de chausses collant, les bas au-dessus des genoux ; même pose, même
expression
insignifiante que dans toutes les éditions précéd
l n’y a guère moyen de se faire cette illusion. Galimatias, c’est une
expression
favorite de Boileau. Impitoyable pour tout ce qui
s se réduisent à rien, faites-les contraster entre elles & dans l’
expression
. « Voulez-vous qu’une piece de musique soit sans
p; dans l’expression. « Voulez-vous qu’une piece de musique soit sans
expression
& sans génie, jettez-y du contraste, & vo
froideur dans les personnages, des scènes peu liées entre elles, des
expressions
incorrectes. Ces défauts sont couverts par une va
arquable par la délicatesse des sentiments, et par la simplicité de l’
expression
. Fragment d’une pastorale comique, représentée d
re remarquer ici que Molière, presque toujours, donne aux enfants des
expressions
plus élégantes, des idées plus raffinées, et même
ies de son humeur sophistique, il a trouvé plaisant d’appliquer cette
expression
convenue d’honnête homme, à un homme qui n’est ri
is barbares et affectés ; mais ses idées sont plus naturelles que ses
expressions
; son style, infecté des vices communs à son sièc
allié Térence à Tabarin ; et ce n’est point là une figure, c’est une
expression
littérale, puisqu’en effet il a pris au comique l
e la langue française ; mais les mots ont-ils le même sens, les mêmes
expressions
rendent-elles les mêmes idées des deux côtés du J
ilité, ils revêtent à Paris, à l’heure où il parle ; et cependant ses
expressions
, comme ses idées, ont un point de départ et un ra
ait fait de ses cours une étude comparée des littératures diverses, l’
expression
des développements divers de la nature humaine. V
t le silence du repentir, il conçut ce type immortel de Joad, la mâle
expression
de la foi chrétienne. « Quelque chose de pareil s
re dans son bonnet carré, les repousse loin de lui avec une énergique
expression
: Tirez, tirez, ils ont… etc… Eh bien, le langage
élicatesse ; on raffinait à toute heure sur les sentiments et sur les
expressions
. Le malheureux nom de Catherine, que portait la m
le comique incisif et redoublé : Molière est désormais maître de son
expression
. C’est à partir des Précieuses ridicules que notr
lus chastes des oreilles que de tout le reste du corps » (ce sont ses
expressions
), qui jettent les hauts cris au moindre mot scabr
édien des pieds jusqu’à la tête. Il se tenait toujours dans une juste
expression
, tandis que ses rivaux criaient et gesticulaient
utorité de Molière ;une anecdote prouve qu’il a cherché longtemps une
expression
aussi caractéristique que celle-là ; on assure qu
espect qui lui est dû ; un regard, un mouvement de lèvres arrêtent, l’
expression
d’une parole trop vive de leur part. Dans la scèn
odements de l’amour délicat n’ont été retracés avec une plus adorable
expression
. Nous avons fait remarquer, à plusieurs reprises,
plaisirs du prince, les souvenirs de Messaline (je n’ose rappeler les
expressions
dont Tacite l’a flétrie) influaient sur les mœurs
est né; de même que le plus inconnu de nos soldats porte suivant une
expression
vulgaire consacrée par la victoire, un bâton de m
s derniers instants. Le buste de Molière est, sans contredit, par son
expression
et par le fini de son exécution, un des plus beau
voir comme elle est furieuse contre une gueuse de marquise (c’est son
expression
), qui avec un vieux carrosse traîné par deux chev
généraux qui ont de la noblesse : le comique doit donc rechercher les
expressions
individuelles à l’adresse des sens139. Un chapit
mes généraux un goût contraire au vrai style comique. De même que les
expressions
générales, ils aiment les sentences générales165.
orce d’esprit et de caractère dévolue à Molière. On cherche en vain l’
expression
de cette force dans la statue de M. Seurre. Et d’
t banal que M. Pradier s’est plu à leur donner. Assurément, ni dans l’
expression
ni dans la pose elles ne sentent le goût du théât
coup d’œil. Mais si les alexandrins nous ont paru peu favorables à l’
expression
du pathétique, c’est déjà une chose comique en so
a voulu appliquer cette idée aux inclinations tendres, et en effet, l’
expression
naïve des mouvements de lame qui se trahissent in
’on a raison. En revanche, on lui reproche un jeu trop frivole dans l’
expression
des sentiments ; mais, est-il juste de demander à
pondit Voltaire, « une actrice doit avoir le diable au corps ». Cette
expression
ne dénote pas du moins un sentiment bien délicat
r, et si l’on ne peut attribuer aux poètes ce manque de mesure dans l’
expression
des mouvements passionnés, ce que nous avons repr
ions un mélange de galanterie guindée, de sentiments romanesques et d’
expressions
bizarres, qui composaient un jargon nouveau, inin
ique, Et trop malsain pour ceux qui craignent la colique. Il y a des
expressions
qui ont vieilli. Il y a aussi des termes que la p
né dans l’École des maris. On se révolta généralement contre quelques
expressions
qui paraissent indignes de Molière ; on désapprou
illeur. On trouve aussi à la vérité, dans L’Avare de Molière quelques
expressions
grossières comme : Je sais l’art de traire les h
éclairée est opposée à la dévotion imbécile d’Orgon, sont, à quelques
expressions
près, le plus fort et le plus élégant sermon que
oit trop de liberté d’inventer de nouveaux termes, & de nouvelles
expressions
(D) : il lui échapoit même fort souvent des barba
noit trop de liberté d’inventer de nouveaux termes & de nouvelles
expressions
.] Prenez bien garde qu’on ne blâme ici que l’excè
s en manquent. Remarquez bien que par barbarisme je n’entends pas des
expressions
, ou des paroles tirées des autres Langues, &
devenus moins nécessaires et moins urgents. Enfin, les proverbes, les
expressions
tirées des manières, des modes, des exercices et
esse souvent heureuse, la saillie, la vivacité de ses tours et de ses
expressions
, sont des qualités qui ne sauraient être trop étu
a société mettent la plus grande différence possible de sentiments, d’
expressions
et de manières, parlent, non pas le même langage,
a plupart des cas où il paraît incorrect, il n’a fait qu’employer des
expressions
et des tours fort usités alors ; et qu’ainsi, en
iteurs sans, mission, sans autorité littéraire, qui ont substitué aux
expressions
et aux vers de Molière, des expressions de leur c
éraire, qui ont substitué aux expressions et aux vers de Molière, des
expressions
de leur choix et des vers de leur façon. Je me co
angage, brille un ouvrage qui a traversé les siècles, qui a donné des
expressions
et des proverbes à notre langue, et qui, rajeuni
vantage la saillie, la vivacité et l’audace heureuse des tours et des
expressions
? Il me reste à parler de Molière comme imitateur
le de l’époque, dont j’ai pu croire que le lecteur était informé. Ces
expressions
qui font allusion à des faits, et quelquefois sus
grément, apeut-être eu tort de prononcer trop absolument qu’une telle
expression
, une telle tournure n’était pas française, au lie
orisée à. » Cependant, dispenser, dans le sens d’autoriser, était une
expression
fort usitée à l’époque où écrivait Corneille : Ro
de là : il a reconnu la dette avec une franchise et une bienséance d’
expression
qui prouvent la délicatesse de son esprit et l’ho
lle est plus naturelle, dit-il ; et il faut préférer la justesse de l’
expression
à la régularité scrupuleuse du vers. C’est l’art
a parfaite ressemblance de ce portrait, qui n’en est que le résumé, l’
expression
abrégée. Voilà pourtant l’homme qu’un ancien biog
oit trop de liberté d’inventer de nouveaux termes, & de nouvelles
expressions
: il lui échapoit même fort (D) souvent des barba
es en manquent. Remarquez bien que par barbarisme je n’entens pas des
expressions
, ou des paroles tirées des autres langues, &
mais de l’univers ; — 2º quant à la forme, le comique a l’horreur des
expressions
générales, parce qu’elles ont de la noblesse et s
ites choses, et même jusqu’aux parties de ce qu’il a subdivisé. Cette
expression
: cela ne vaut pas grand-chose, n’est point comiq
ière, d’Holberg et de Louis Tieck, un assez grand nombre de traits, d’
expressions
, de gestes, comiques pour toutes les époques et p
ce que ces sentiments ont leur source, il n’y a, dans le fait de leur
expression
intelligible, de leur traduction en idées, qu’un
é (Préface du Cid) et il en dit tant qu’on est tenté de prendre cette
expression
à la lettre. 281. On peut bien m’énumérer tous
é dans l’intrigue ! quelle variété d’incidents ! quelle vérité dans l’
expression
, toujours différente, de la colère de Mascarille
ilosophique263. Mais il n’a point créé de types qui soient demeurés l’
expression
éternelle d’un sentiment, d’un vice, d’une passio
e, et la toile tombe quand il lui a donné sa dernière et sa plus vive
expression
. De même, dans le drame de la vie de Molière, le
e les mêmes précautions pour ne rien brusquer, pour éviter toutes les
expressions
qui, n’étant pas suffisamment préparées et ménagé
prendre pour exemple. Ce sont les mêmes sentiments, souvent les mêmes
expressions
que dans l’auteur italien, et pourtant quelle dif
’elle aime ; mais elle ne sacrifiera rien, même à son impatience, des
expressions
détournées et des périphrases choisies qu’exige l
t et en attaquant la note avec justesse. Tous les peuples donnent à l’
expression
des sentiments naturels une tournure conforme à l
naturelle ; et il faut sacrifier toute régularité à la justesse de l’
expression
; c’est l’art même qui doit nous apprendre à nous
aisonnement pour s’empêcher d’avoir du plaisir ! Ce bon sens-là est l’
expression
la plus naïve et la plus juste de la nature; cert
œuvre isolée dans la poésie française. Tartuffe porte à sa plus haute
expression
le génie d’une race nombreuse, d’une longue série
ieux et séculaire. Les œuvres que nous admirons le plus ne sont que l’
expression
dernière et la mieux réussie d’une pensée qui aup
ent Aristophane. Molière a fait autrement que lui. Mais si, selon son
expression
, il a su nous prendre par les entrailles, les règ
ile de remarquer qu’il y a paroles et paroles. Les unes ne sont que l’
expression
d’une idée ou d’un sentiment; les autres sont des
re s’est rendu coupable, si faute il y a, de quelques irrégularités d’
expression
, qui ne sont plus admises, et de quelques tours q
e qui existe entre l’incorrection de son langage et l’à-propos de ses
expressions
: c’est là, en partie, ce qui fait l’intérêt comi
ns la poésie. Ils ajoutent que l’image a aussi pour but de donner à l’
expression
plus de vivacité, et c’est en effet à quoi elle s
gneur Journalisme ne serviraient qu’à la clarté ou à la vivacité de l’
expression
? Dans ce cas, on pourrait les détacher de la pen
nne où s’agitent les questions de convenance, et qui est la plus mâle
expression
de la foi chrétienne. Mais il y a entre Molière e
’accuse d’être une glorieuse ; que madame de Sévigné se sert de cette
expression
pour peindre son caractère. Elle était en effet u
s dépositaires des lettres de madame de Maintenon y ont laissées, une
expression
que je n’aurais sûrement pas été le premier à rem
ie dramatique » ou le style d’Andromaque et de Phèdre de fourmiller d’
expressions
impropres et d’exemples notoires de « cacologie »
ns ; quelques endroits de son théâtre, où la franchise toute nue de l’
expression
et la liberté très crue de la plaisanterie blesse
donnait trop de liberté d’inventer de nouveaux termes et de nouvelles
expressions
: il lui échappait même fort souvent des barbari
salons précisément, pour effaroucher les précieuses. Les mots ou les
expressions
dont il paraît être le créateur n’ont en général
e à ses personnages, n’ayant rien que d’assez vulgaire, trouvent leur
expression
accomplie dans sa langue de tous les jours, au vo
s vers. On ne peut pas tout dire en vers ; le vers ne se plie pas à l’
expression
de certains détails ; ce qu’il y a de chantant et
sans conviction un texte de déclamations reçues et en fait exagérer l’
expression
, pour ne pas reproduire les mêmes idées préciséme
té, cette rougeur de celle qui le reçoit pour la première fois, cette
expression
d’étonnement et de reconnaissance, qu’aucun autre
fficile que de demeurer dans l’état où je suis. » Cette lettre est l’
expression
d’une mélancolie profonde. Elle est d’une femme s
araître avoir d’eux plus facilement raison, il s’est mis, suivant une
expression
familière, à enfoncer les portes ouvertes et à dé
siècle, peu de temps après l’époque de notre littérature où, selon l’
expression
naïve d’un des historiens du théâtre, « on commen
e d’Autriche ne tarda pas à devenir orageuse. On vit bientôt, selon l’
expression
d’un homme d’esprit, « ce mélange singulier du li
cruellement défavorables, qu’en moins d’un mois il demeura, selon son
expression
, « vêtu comme notre premier père Adam sortit du p
i quelqu’un avait payé pour cela, il n’eut pas, on le voit, suivant l’
expression
du chroniqueur, à plaindre sa monnaie . C’est da
scuté avec une recherche exagérée de tours et un raffinement puéril d’
expressions
, tels étaient les sujets dont s’occupait cet aréo
ts. Par tout ce qu’ils appelaient délicatesse, sentiment et finesse d’
expression
, ils étaient enfin parvenus à n’être plus entendu
r une juste idée de l’innocence, nous allions dire du crédit de cette
expression
dans le grand siècle, une réponse d’une dame Lois
urant de tous les lauriers, de toutes les palmes, en faisait, selon l’
expression
d’un de nos écrivains, des fleurons de sa couronn
ésister aux prodigalités vraiment royales de cet homme, dont, selon l’
expression
de Bussy-Rabutin, on était le pensionnaire sitôt
Cotin. Son Remerciement, qu’il fit imprimer, fut, en même temps que l’
expression
de sa reconnaissance envers le Roi, sa première v
s qu’ils connaissaient le moins. Molière, se fiant maladroitement à l’
expression
souriante de la figure d’un vieux courtisan, s’in
, le plus nouveau pour elle. Huit jours auparavant, le Roi, suivant l’
expression
de Molière, « lui avait commandé de travailler su
t du fameux ministre, Guénaut reçut un compliment non moins flatteur,
expression
naïve de la reconnaissance populaire. Il se trouv
naturelle ; et il faut sacrifier toute régularité à la justesse de l’
expression
; c’est l’art même qui doit nous apprendre à nous
ce joug ridicule, il voua une vive amitié à notre auteur, et, selon l’
expression
de Voltaire, vécut avec lui comme Lélius avec Tér
Tartuffe, retrouvera dans la Lettre sur l’Imposteur des tours et des
expressions
qui ne sont qu’à lui. Cette pièce, une des plus i
dieu. » Ici nous sommes forcés d’abandonner le traducteur, dont les
expressions
pourraient paraître à beaucoup de lecteurs un peu
nt dont les considérants sont généralement aussi peu fondés, dont les
expressions
sont aussi acerbes. Mais combien la surprise n’es
emier acte ; celle du diamant au troisième, et tant d’autres dont les
expressions
si naturelles ne le sembleraient plus autrement d
t, lui constituèrent une pension pour, suivant leur délicate et noble
expression
, qu’il vécût avec honneur. « Cette pension, dit
le programme d’une réception de docteur à la Faculté et bon nombre d’
expressions
techniques. Le jour de la quatrième représentatio
C’est alors que, par la vérité des sentiments, par l’intelligence des
expressions
et par toutes les finesses de l’art, il séduisait
éaliser le projet de Lekain, mais de placer dans son foyer, suivant l’
expression
de cet acteur, un buste du fondateur de la vraie
fait La Cocue Imaginaire, dont un sot A pris avec soin mot à mot L’
expression
et la matière Dans Le Cocu du sieur Molière, Dont
ndées et les moins admissibles. M. Raymond, à qui nous empruntons ces
expressions
de la convention « à leurs risques et périls », q
ie, p. 290 et 503. 74. Nous croyons devoir changer quelques-unes des
expressions
du récit de Voltaire. 75. Disons tout de suite,
es, pour n’être composé que d’esquisses légères, n’en est pas moins l’
expression
la plus fidèle des mœurs de la Restauration. Les
oins, dans cette tirade si pleine de poésie, les tours de phrase, les
expressions
, leur emploi, tout est naturel, et l’on sent que
olitiques et morales d’un pays à l’aide seulement de comédies, fidèle
expression
de ses mœurs. Si cette supposition n’est pas plus
du talent de notre antagoniste. « Si la comédie était constamment l’
expression
de la société, dit M. Scribe., elle aurait dû, s
qu’on s’empresse de vous offrir. Le théâtre est donc bien rarement l’
expression
de la société, ou du moins, et comme on l’a vu, i
n de la société, ou du moins, et comme on l’a vu, il en est souvent l’
expression
inverse, et c’est dans ce qu’il ne dit pas qu’il
il excellait et auxquels ses manières dégagées, son laisser-aller, l’
expression
naturellement railleuse de sa physionomie, conven
ont représenté. Ils ont donné à leur physionomie, à leur maintien une
expression
d’hypocrisie tellement prononcée, que ce personna
n que je ne saurais voir, il y jetait les yeux à la dérobée avec une
expression
de concupiscence. Cela pouvait faire rire, mais c
ui donner quelque chose de mystérieux. Il doit faire valoir certaines
expressions
en les détachant ou les marquant d’une inflexion
ue en son premier état. Molière en avait retranché principalement ces
expressions
, ces formules consacrées dont l’église se réserve
aine disgrâce qui menace les maris, et que désignait de son temps une
expression
naïve repoussée par la délicatesse actuelle du la
rançais dévore en silence ce glorieux affront, et, pour me servir des
expressions
mêmes du comique, n’avale qu’avec un extrême dégo
ies morales, des proses liturgiques entremêlées de patois et, selon l’
expression
consacrée, des épîtres farcies « epistolæ farcitæ
la croix, les joies du ciel et ses concerts adoucissent et, suivant l’
expression
d’Aristote, purifient le sentiment douloureux du
Aujourd’hui nous avons dû commencer par déblayer (permettez-moi cette
expression
) les avenues de notre sujet, semblables à ces ouv
trouve des personnages froids, des scènes peu liées entre elles, des
expressions
peu correctes ; le caractère de Lélie n’est pas m
ions un mélange de galanterie guindée, de sentiments romanesques et d’
expressions
bizarres, qui composaient un jargon nouveau, inin
a par instinct, courage, Molière, voilà la bonne comédie, est la pure
expression
de la nature, qui montre l’empire de la vérité su
er droit au fait, et l’envisager en face, Molière a été la plus haute
expression
de ce génie national. Du jour où il a pris posses
été dit, et bien dit. Mais par un de ces redoublements de pensée et d’
expression
, que vous blâmez, mon cher collaborateur, et que
, de ces répétitions qui sont dans la nature. Mais il les varie par l’
expression
et, le plus souvent, il tâche d’enchérir sur le p
os francs marquis essuyer la cervelle. Essuyer la cervelle ! quelle
expression
forcée et bizarre : elle ne s’explique que si l’o
t des écoliers et des étudiants. Il nous reste de cette mode quelques
expressions
qui ont passé dans la langue ; ainsi on dit très
is de les rajeunir, en les mettant au goût du jour, en remplaçant les
expressions
précieuses du temps de Molière par des affectatio
s la physionomie des loges ; je retrouvais sur tous les visages cette
expression
d’ennui respectueux et décent qui m’avait frappé,
e d’ailleurs et compatissante ; incapable de sourire maligne ment à l’
expression
d’un sentiment vrai, de s’amuser d’une douleur si
ours : Ma bonne vieille nounou, à une fille qui n’a que trente ans. L’
expression
était impropre, je le reconnais, et je la retire.
e on n’en trouve que dans Corneille, d’un sentiment si emporté, d’une
expression
si naturelle, un vers de génie ! Quel siècle que
x pièces débitées par Trissotin sur la scène, qui, pour me servir des
expressions
de l’abbé d’Olivet, « avait traduit certains pass
ay. Il prend le joueur au sérieux ; il tâche de nous rendre, et par l’
expression
de la physionomie, et par le geste, et par la voi
soucieuse dans le sentiment, de grâce spirituelle et brillante dans l’
expression
, qui était comme la forme générale, la superficie
rts de ses épîtres. Ce qui nous a charmés et charmés au-delà de toute
expression
dans cette pièce de Regnard, c’est précisément la
rie et la finesse en style bas et trivial, d’affubler ses madrigaux d’
expressions
bourgeoises et familières ; ses pensées les plus
n homme de théâtre ; c’est que ce tatillonnage, pour me servir de son
expression
, ne se fait pas sur place. La distance entre le p
, trouvent naturellement les tours de langage les moins naturels, les
expressions
les plus contournées, les plus tirées. Partout ai
ngulière et fine, et il rencontrait plutôt qu’il ne les cherchait des
expressions
raffinées et piquantes, qui lui étaient nécessair
une bergerie de Watteau. Toutes les attitudes sont justes, toutes les
expressions
de visage sont vraies, et cependant on se sent da
tout haut Le Jeu de l’amour et du hasard. Je n’ai plus la sincérité d’
expression
qu’il faudrait, et je ne saurais plus la ressaisi
ment dirai-je cela ? plus abstrait, comme ces chimères qui, suivant l’
expression
de Rabelais, bombicinent dans le vide, tandis que
abstrait comme “ces chimères qui bombicinent dans le vide”, suivant l’
expression
de Rabelais. » Cette façon de comprendre les hér
ue cet axiome : médiocre et rampant, et l’on arrive à tout, eût été l’
expression
d’une vérité originale, un axiome individuel, que
d’idées qui étaient universellement reçues, qui avaient cours, dont l’
expression
devait faire tressaillir tout un public ! Analyse
ximes, l’autre se répandra en images vives, en métaphores outrées, en
expressions
pittoresques, en alliances de mots bizarres, en a
’être relevé par la grandeur des personnages et par la sublimité de l’
expression
? N’est-ce pas qu’au théâtre ce ne serait pas ass
entés une fois pour toutes, y reproduisaient chaque ridicule dans son
expression
générale, nos bouffons ne perdaient pas l’habitud
t homme vertueux pourrait se faire honneur ; mais ce mot est plutôt l’
expression
vive du cas que l’on doit faire de la vertu, quan
j’avoue, Que Molière son auteur, N’a rien fait de cette hauteur. Les
expressions
en sont belles, Et vigoureuses et nouvelles, Le p
blable au peintre habile, qui, toujours attentif à remarquer dans les
expressions
extérieures des passions, les mouvements et les a
; l’art, caché sous des grâces simples et naïves, n’y emploie que des
expressions
claires et élégantes, des pensées justes et peu r
c’est alors que par la vérité des sentiments, par l’intelligence des
expressions
, et par toutes les finesses de l’art, il séduisai
marquable par la délicatesse des sentiments et par la simplicité de l’
expression
; en général, tout ce que disent les deux amants
eilleur. On trouve aussi à la vérité dans L’Avare de Molière quelques
expressions
grossières, comme je sais l’art de traire les hom
éclairée est opposée à la dévotion imbécile d’Orgon, sont, à quelques
expressions
près, le plus fort et le plus élégant sermon que
ire que le sage, ou plutôt l’honnête homme de Molière (car dans cette
expression
de sage il y a quelque chose d’exceptionnel et d’
donnait trop de liberté d’inventer de nouveaux termes et de nouvelles
expressions
. Il lui échappait même fort souvent des barbarism
esse rapide Répande dans les fonds, à grands traits non tâtés, De ses
expressions
les touchantes beautés27. Telle est son exécutio
e de Boileau, si une fine logique ne les faisait toutes concourir à l’
expression
de la pensée maîtresse qui les enchaîne, je veux
l’œil de l’observateur ? La mobilité du pur caprice n’est-elle pas l’
expression
dominante de celle que sa cousine Éliante jugeait
te esquisse superficielle, il en a donc changé la physionomie par une
expression
toute différente. À peine doit-il aussi quelques
croit le mal détruit, et il ne fait que se transformer, ou, suivant l’
expression
médicale, se répercuter. C’est ainsi que, tout en
le, Molière a su varier les nuances et distinguer les figures par une
expression
très individuelle. Chacune d’elles a donc la phys
poitrine, parce qu’on disait poitrine de veau (I, 216, Vaugelas) ? L’
expression
à présent faillit être proscrite, parce qu’un cou
valet, sinon pour avancer une chaise, ou porter une lettre. » 46. L’
expression
est de M. Nisard. 47. Histoire de la littératur
de bien de le convertir, comme l’Euclion de Plaute. 150. Ce sont les
expressions
de Bossuet caractérisant un jeune homme de vingt-
plus hautes créations, s’est élevé à l’absence de caractère. » 192.
Expression
de Hegel, t. V, p. 178. 193. La faiblesse de l
byrinthe des intrigues, l’imprévu des événements. T. V, p. 170. 202.
Expressions
de Hegel, t. V, p. 221. 203. L’art est appelé
94. 213. Rappelons-nous la définition hégélienne de la satire. 214.
Expression
de Hegel. T. V, p. 206. 215. Dans les tragédie
es formes sans en avoir aucune, il devient éminemment propre à être l’
expression
mobile de l’esprit qui se manifeste et agit par l
n’étalent que des sentiments outrés & romanesques, n’ont que des
expressions
bizarres, composent un jargon nouveau & inint
tre au cabinet : Vous vous êtes réglé sur de méchants modeles, Et vos
expressions
ne sont point naturelles. Qu’est-ce que nous berc
clairée est opposée à la dévotion imbécille d’Orgon, sont, à quelques
expressions
près, le plus fort & le plus élégant sermon q
menus plaisirs de la cour et de la nation. 24. C’est exactement l’
expression
métaphorique qu’emploie Trufaldin à la scène iv d
ds des idées satiriques et morales, mais par l’abondance des moyens d’
expression
; élément en quelque sorte matériel, artificiel,
orneille et du Cid et d’Horace. Les apparitions du Lutin qui, selon l’
expression
de Molière même, lui dictait ses beaux vers, deve
ns de ses dénouements, à quelques négligences de style, et à quelques
expressions
licencieuses, il fut avec Racine celui qui marcha
à remarquer dans ces petites pièces dont Molière, suivant ses propres
expressions
, régalait les provinces, et auxquelles il ne reno
uses litanies où se déroule tout ce que la langue italienne possède d’
expressions
de tendresse : — O mio bene ! — O mio cuore ! —
ent cette pensée est rendue. Or cet ouvrage, que je considère comme l’
expression
la plus haute du génie comique de Molière, n’a pa
s comme il s’agit de ramener les comédiens à la modestie, la première
expression
me semble mériter la préférence. Il y a dans leur
îté souvent fut voisine des pleurs 19, » et qui, suivant l’heureuse
expression
de Sainte-Beuve, au milieu des applaudissements e
é, qu’il a mises dans la bouche de son héros, ne sont pas pour cela l’
expression
vraie de :ses sentiments personnels, une diatribe
assions lui suggèrent ; il les prend pour raisonnables, comme étant l’
expression
du bien, de la justice et de la vérité. Il est do
gants, immoraux, qu’il a dépeints, il fait voir que la folie, selon l’
expression
heureuse du Dr Baillarger, est une infortune qui
mble de prime-abord n’être qu’une plaisanterie, est malheureusement l’
expression
d’une vérité. Dans cette circonstance comme dans
personnel. Les maximes de La Rochefoucauld ne sont que trop souvent l’
expression
exacte de la vérité. Si l’humanité est ainsi fait
ut l’univers ne peut me réparer. » Ces vers admirables, qui par leur
expression
sentimentale peuvent rivaliser avec les plus beau
Belise lorsqu’elle entend que ses extravagances, qu’elle croit être l’
expression
de la vérité, sont qualifiées de chimères. Reveno
par la rigueur et par les punitions ; en un mot, pour me servir d’une
expression
proverbiale, il n’ignore pas que, pour les faire
elles étaient l’indécence même. Pour faire sentir la propriété de ses
expressions
, on se hérissa d’un purisme intraitable. Pour fai
xagération de tous les traits, rien de déplaisant ni de vulgaire, une
expression
générale de force, de génie et de bonté. C’est da
pre, couronné de lauriers, le bâton de commandement à la main, il a l’
expression
solennelle que prennent les comédiens dans les rô
la Comédie-Française l’atteint tout à fait ; il est, selon l’heureuse
expression
de M. Perrin, « le Molière de la postérité. »
y a point là développement heureux des lieux-communs du théâtre, mais
expression
de sentimens personnels. Nul moins que lui n’est
bord, je voudrais bien savoir quelles sont les idées dont l’éloquente
expression
tient les philosophes modernes suspendus aux lèvr
lles ont besoin du charme de l’éloquence, et que, dépouillées de leur
expression
oratoire, elles perdent leur intérêt ? J’en ai pe
une comédie de Plaute où Sosie embouche la trompette héroïque, sont l’
expression
vive et fidèle d’une société ; une œuvre d’art pl
ophiques du dix-huitième siècle, et de voir dans le Faust de Goethe l’
expression
du génie métaphysique et profond de l’Allemagne ;
n plus sensible dans la sculpture sentimentale de notre époque. Ici l’
expression
de l’âme sur le visage, la pensée du front, est t
la Place-Royale dont le cheval évacue un arbre, pour me servir d’une
expression
qui ne rend pas mon idée. Nous aurons un Molière
s étaient, en outre, habiles à amuser les spectateurs avec des lazzi,
expression
technique qui désignait moins des bons mots, comm
il ne convient pas de m’appeler madonna. ALBERTO. Je me sers de cette
expression
par respect pour votre âge. Mais, dites-moi, vous
vous, mon cher lecteur, vous haussez légèrement les épaules avec une
expression
de quasi-mépris sur les lèvres, je vous plains, e
iques passés, présents et futurs. S’il est inférieur à Shakespeare en
expression
poétique, — ce n’était pas son affaire ; — • il l
dit M. du Boulan, Fauteur du livre que je viens de désigner, a été l’
expression
, mieux que cela, « l’explosion « de l’honnêteté
and il a trouvé, il n’a pas perdu sa journée et, pour me servir d’une
expression
familière, il ne revient pas bredouille. « Il ren
mene, & sur-tout à l’honnêteté, sait si bien composer à son gré l’
expression
de son visage, qu’il a fait ébaucher son portrait
usages des temps dont on parle, et que c’est justement dans la juste
expression
des caractères que les poètes font paraître cet a
Virgile, Horace ne sont au-dessus des autres écrivains que par leurs
expressions
et par leurs images : il faut exprimer le vrai po
faire. Eh bien ! jugez, par cet essai, Si nos Auteurs n’ont pas cette
expression
tendre... (A Eraste, qui s’avance.) Je lui disois
me des narrations, la justesse des observations, la finesse naïve des
expressions
, la grâce des tours, et enfin la solidité des pen
le trône de notre bon Henri IV, ni sur le trône que, suivant la belle
expression
de Chamfort, Molière a laissé vacant. Si le temps
ts délicats, la naïveté charmante, l’innocence et la pudeur dans leur
expression
la plus gracieuse. Corneille avait peint l’amour
sent mieux qu’il n’exprime, ce fut « un charme, » « un ravissement, »
expressions
que le temps devait rendre banales, mais qui rete
oir, malgré quelques tournures languissantes et quelques-faiblesses d’
expression
, un des beaux morceaux de la prose française en s
erve fort sage en pareil cas. On peut, tout au plus, admettre comme l’
expression
possible de la vérité ces paroles que Grimarest m
, qu’ils sont bons à mettre au cabinet, et qui cependant prodigue les
expressions
de l’admiration et de l’enthousiasme, et proteste
éplaire ?Autre insulte mortelle. Sainville. C’est de mes sentiments l’
expression
fidelle. Angélique, à part. De peur que je n’en d
remontrances. Cependant, à une des représentations du Solliciteur, l’
expression
de figure féodale, d’autant plus comique dans la
épineuses avec dextérité et finesse, toutes réduites à la plus simple
expression
, toutes riches de substance et surtout nettes de
corrections, et les libertés qu’il se donnait d’inventer de nouvelles
expressions
; mais c’est tout cela, avec le vieux fonds de fa
se et ce cossu qu’y admirait Sainte Beuve. Et cette langue est bien l’
expression
de sa pensée, large, vaillante et généreuse, et h
et qu’elle exprime l’un ou l’autre, si franche et si simple dans son
expression
? Et n’était-ce pas un crime en effet punissable
, selon que le sujet le demandoit ; il lui arrivoit même de changer l’
expression
des têtes qui ne convenoient pas à son idée, en s
e le sujet même mis en dialogue : on a cru devoir conserver jusqu’aux
expressions
, qui dans l’original sont en effet aussi plaisant
il est furieux ; enfin toute la pièce, hors le dénoument et quelques
expressions
basses, est sublime. LA CRITIQUE DE L’ÉCOLE DE
comédie soutenue, et cela précisément à cause de la spontanéité de l’
expression
. Ajoutons ce qui est plus important à constater p
sitions bizarres que renferme la lettre à madame d’Heudicourt, et des
expressions
pleines d’humeur sans conviction qui la caractéri
i servaient d’acteurs, et lui-même les stylait, leur donnait la vraie
expression
du rôle ;le grand roi ne dédaignait pas d’être le
enrôlement dans la compagnie comique. Nous croyons, d’ailleurs, quel
expression
de maître écrivain n’a pas le sens de professeur
e Parnasse vous en rend grâce, elle n’y est remontée, etc. » sont des
expressions
qui n’indiquent pas des faits éloignés de plusieu
vrai de dire que l’on ne souffrirait pas de nos jours sur la scène l’
expression
de pareils sentiments, quelque soin que l’auteur
uedoc14 ». « Joué et fait une comédie » ; y a-t-il dans cette double
expression
le souci d’une exactitude particulière, et le réd
tait contemporaine des faits, il y aurait beaucoup à en conclure. Les
expressions
dont se sert l’auteur : « il devait conduire des
prit, où les masques se détachent, où les physionomies ont toute leur
expression
, où les caractères ont tout leur jeu, où les cond
r à notre scène le dialogue de ces poètes, ainsi qu’un grand nombre d’
expressions
qui joutent de concision et d’énergie avec le mod
t toujours aux lèvres le récit de leurs prouesses, et qui abusent des
expressions
techniques qui composent le langage du noble dive
oi pour ce soir la place de celui qui vient de vous offenser et que l’
expression
de mon mécontentement pour cette injuste offense
lui est supérieure par la puissance de l’observation et la verve de l’
expression
. Arnolphe et Agnès sont plus fortement conçus et
olière, le peintre des maris jaloux et trompés, n’eut plus, suivant l’
expression
de M. Chasles, qu’à observer sur le vif et à dépe
evient un mort-né. Quant à la jalousie des Trissotins, elle eut son
expression
la plus basse dans une pièce de vers intitulée L’
, Purgon, Diafoirus et tant d’autres ne sauraient mourir : ils sont l’
expression
définitive de vices ou de travers qui ne disparaî
rôles, c’est qu’il y a dans tous la même netteté et la même fermeté d’
expression
; enfants du génie, les personnages, même les plu
ement l’origine du buste et de la plaque de marbre blanc ; ils sont l’
expression
d’une tradition manifestement égarée et erronée,
oué en janvier 1664 à l’hôtel de Bourgogne. 97. Racine se sert d’une
expression
un peu plus crue. Racine le fils, quand il publia
e fils, quand il publia la lettre de son père, voulant atténuer cette
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, mit : « Il l’accuse d’avoir épousé sa propre fil
du tableau général ? Aura-t-il l’adresse de proportionner le degré d’
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au degré d’intérêt que son personnage prend au su
ivent, avant leur sortie, avoir employé les gestes, la voix & les
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les plus fortes pour nous pénétrer de son importa
it vers le lit de son pere. Tous versent de ces larmes délicieuses, l’
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du sentiment. Fanni montée au rang des Ladis leur
’époque où écrivait Molière, cette susceptibilité morale que blesse l’
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de certains sentiments contraires aux affections
à voir au théâtre qu’à rencontrer dans le monde. Les Anglais ont une
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bien philosophique pour désigner un avare : ils l
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