de la septième période). — Madame Scarron chargée de l’éducation des
enfants
naturels du roi et de madame de Montespan. — Habi
is ans. Le 30 mars 1670 naquit le duc du Maine. La naissance des deux
enfants
fut tenue secrète pendant plusieurs années. Dès 1
ent faire penser à mes amis qu’on me tend un piège. Cependant, si les
enfants
sont au roi, je le veux bien 80. Je ne me charger
nges était sa sœur. Ces personnes n’avaient proposé que l’éducation d’
enfants
nés de madame de Montespan. On faisait mystère du
on pour être fort clair dans son esprit. Il s’agissait évidemment des
enfants
naturels du roi et de madame de Montespan. On fai
de Montespan, et parce que les lois s’opposant à la reconnaissance d’
enfants
nés d’un commerce doublement adultère, il fallait
quelques exemples une éclatante infraction de ces lois en faveur des
enfants
de madame de Montespan, qui ne devaient pas reste
lair pour madame Scarron que l’issue de cette éducation clandestine d’
enfants
réprouvés par les lois, qui, peut-être, ne seraie
eler sur elle, par l’aveu secret de ce prince pour l’éducation de ses
enfants
naturels. C’est dans ces considérations qu’il me
ersuader que madame de Montespan, séparée de son mari, avait d’autres
enfants
à faire élever que ceux de son commerce avec le r
Scarron aurait-elle pu croire que si la maîtresse du roi avait eu des
enfants
d’un autre que lui, on se fût adressé à elle pour
enfants d’un autre que lui, on se fût adressé à elle pour élever ces
enfants
destinés à être les rebuts Ce tout le monde ; que
que le bruit de cette liaison avait cessé, quand on proposa les deux
enfants
de madame de Montespan à madame Scarron, et l’un
deux enfants de madame de Montespan à madame Scarron, et l’un de ces
enfants
n’était pas encore né. Ici je remarquerai encore
vivait bien avec son mari, j’aurais consenti volontiers à élever ses
enfants
: ainsi qu’on ne croie pas que c’est l’orgueil ou
Scarron pouvait à bon droit trouver au-dessous d’elle l’éducation des
enfants
légitimes du marquis de Montespan, bien qu’ils fu
s’en trouve souvent dans les écrits qui ne sont pas francs : « Si les
enfants
sont au roi, je veux bien m’en charger ; je ne me
dame de Montespan. » Ces mots signifient, je veux bien me charger des
enfants
du roi et de madame de Montespan, si le roi me l’
e. Mais ma conscience aurait trop à souffrir, si j’avais à élever des
enfants
de madame de Montespan, qui ne seraient pas du ro
du roi. La conscience aurait pourtant été moins chargée d’élever les
enfants
de madame de Montespan et de Lauzun qui était gar
que le roi préludât, par l’ordre demandé, à la reconnaissance de ses
enfants
, il est présumable qu’elle avait autorisé, peut-ê
rtait à madame Scarron et son désir de lavoir pour gouvernante de ses
enfants
, ne prévoyant pas sans doute qu’un jour cet intér
t pour la seconde fois en particulier, lui demanda ses soirs pour ses
enfants
, et elle devint leur gouvernante. Je n’ai trouvé
e a été le premier motif de sa nomination à la place de gouvernante d’
enfants
naturels qu’il avait l’intention de reconnaître e
it que celui de madame de Montausier pour la place de gouvernante des
enfants
de France. Le roi trouvait dans madame Scarron un
e premières démarches pour engager madame Scarron à se charger de ses
enfants
naturels, aucune apparence de dévotion ne se renc
et en trouver un prétexte dans ses devoirs religieux, si la mère des
enfants
qu’elle allait élever lui rendait la vie désagréa
qu’elle pouvait, sans scrupule, se charger de l’éducation secrète des
enfants
de l’adultère, parce que c’était jeter un voile c
Les arrangements qui eurent lieu pour l’éducation des deux premiers
enfants
du roi et de sa maîtresse, en 1670, ne doivent pa
me de Maintenon nous apprend que pour cacher l’existence des premiers
enfants
qui lui furent confiés, on les plaça avec leur no
nge, de la viande, et je passais quelquefois les nuits chez un de ces
enfants
malades dans une petite maison hors de Paris. Je
nt du 24 avril 1670, puisqu’en 1669 madame de Montespan n’avait qu’un
enfant
du roi, et que le duc du Maine ne naquit que six
itième période). — Inquiétudes jalouses de madame de Montespan. — Les
enfants
légitimés sont présentés à la reine. — Le roi est
ur. » Madame de Montespan ne considérait pas qu’en donnant au roi un
enfant
chaque année, elle l’avait habitué aux dames, et
option d’un genre nouveau. Il paraît résulter de ces lettres, que les
enfants
habitaient encore la maison de Paris ; que, cepen
s résolue, puisque vous l’avez voulu, de me laisser conduire comme un
enfant
, de tâcher d’acquérir une profonde indifférence p
illerez… J’ai bien fait votre cour sur les soins que vous avez de nos
enfants
et sur les dessins que vous avez imaginés pour le
lle-ci, j’ai bien fait votre cour sur les soins que vous donnez à nos
enfants
, ce qui veut dire : Je quitterai la cour quand vo
ine à Anvers, près d’un empirique qui devait rétablir la jambe de cet
enfant
dans l’état naturel. Alors elle n’était point enc
ommencera ses remèdes. Je souffre par avance de tout ce que le pauvre
enfant
souffrira. C’est bien à présent, madame, que vous
Vous êtes bien raisonnable. — Il faut bien que je le sois, répondit l’
enfant
: j’ai une gouvernante qui est la raison même.— A
roi en fut hier témoin ; et ces procédés, joints aux maladies de ses
enfants
, me mettent dans un état que je ne peux soutenir.
ur mes habits. » Ces lettres sont postérieures à l’établissement des
enfants
à Versailles, c’est-à-dire à 1674. En effet, pour
suis inutile ici pour moi et pour les autres On nourrit très mal cet
enfant
… On écoute mes conseils, quelquefois on m’en sait
é sous la fatigue. Madame Scarron avait passé trois nuits près de ces
enfants
malades, et elle croyait n’avoir encore rien fait
, et ne peut être antérieure à l’époque où l’on a commencé à voir les
enfants
et la gouvernante à la cour. 99. Cette lettre du
me prêché pour la première fois par Bourdaloue, et de l’époque où les
enfants
étaient souvent amenés à Versailles et où ils éta
ections de ses amis. — Madame Scarron concentrée dans l’éducation des
enfants
du roi. — L’inclination du roi pour elle commence
et madame de Montespan avaient voulu envelopper l’existence de leurs
enfants
, s’était éclairci quelque peu, dans l’intervalle
671. La liaison des deux amants était devenue, par le nombre de leurs
enfants
, qui était alors de quatre, une espèce de mariage
la douleur que ressentait madame Scarron de la mort du premier de ces
enfants
, qu’il serait doux d’être aimé par madame Scarro
frère de madame Scarron d’inclination. Sous prétexte d’aller voir ses
enfants
dans la maison de Vaugirard, il allait souvent vo
Maine pour aller consulter un empirique hollandais sur l’état de cet
enfant
), montre qu’à cette époque elle était brouillée a
nt le nom de Bourbon. Saint-Simon remarque, à cette occasion, que ces
enfants
, qui, dit-il, furent tirés du profond non-étre de
nces que les princes du sang même ne portaient pas97. L’élévation des
enfants
confiés à madame Scarron était aussi la sienne. E
e qui plaisait le plus à madame de Montespan, dans l’élévation de ses
enfants
. Mais elle pouvait bien l’endurer pour le prix qu
t bizarre. Elle ne pouvait se dissimuler que l’éducation donnée à ses
enfants
, par madame Scarron, avait contribué, dans l’espr
M. Bouchardy. Les anciens, nos maîtres en toutes choses, étaient des
enfants
, comparés à ce M. Bouchardy, qui est dans son gen
médie et elle veut jouer la comédie. Elle la jouait d’abord comme une
enfant
, avec les meubles de sa mère. Le paravent représe
sur un pied, saluez ! c’est l’éternel amoureux de la comédie. Le bel
enfant
anime de sa passion naissante cet acajou massif ;
enfant anime de sa passion naissante cet acajou massif ; peu à peu l’
enfant
grandit, et sa passion avec elle ; la comédie de
ive, de lui tendre sa main puissante ; mademoiselle Mars a pitié de l’
enfant
, elle ne veut pas qu’elle soit noyée dans ce traj
t, elle ne veut pas qu’elle soit noyée dans ce trajet difficile, et l’
enfant
passe. Aussitôt le parterre est charmé de ce jeun
tes les vieillesses du théâtre, demande quel est l’âge de cette belle
enfant
? Alors on lui répond qu’elle a seize ans à peine
gagnait de voir faire tant de bruit, à propos de cette calme et belle
enfant
. — Et c’est là tout ce que tu diras ? reprit Henr
rses, moins populaires que vous ne dites. Ceci fait, j’aurais suivi l’
enfant
dans sa seconde entreprise ; de L’École des femme
oi bon cette question, et quel rapport trouvez-vous enfin entre cette
enfant
qui débute et ce piano d’Érard ? — Malheureux, tu
donc, mon ami, ce qui se passe dès le premier jour du début de cette
enfant
! Laissez de côté votre admiration pour Molière,
est-il pas vrai que cette petite Agnès n’a rien de naïf, et que cette
enfant
est très avancée pour son âge ! Plus elle s’envel
voulez pas que je m’attriste quand je viens à reconnaître, dans cette
enfant
qui débite en rougissant tout l’esprit de Molière
s des Tuileries ? Quel changement s’est opéré dans le destin de cette
enfant
? Aujourd’hui, rieuse et naïve, et le lendemain c
d’oiseau joyeux est remplacé par une déclamation savante : ce geste d’
enfant
par les belles révérences. À cette heure, elle ét
sole, que je me lamente, quand j’assiste à ce funeste sacrifice d’une
enfant
? Vous ne voulez pas que je m’étonne quand j’ente
remetteuse et l’escroc, n’était pas faite pour y faire apparaître des
enfants
frais et blonds. Il parla ainsi longtemps, et c’e
es, à ces hasards ; et les reproches de pleuvoir sur le père de cette
enfant
, qui était un très mauvais poète, un très bon com
s bon comédien et qui s’appelait Monvel. Hé bien ! qu’arriva-t-il ? L’
enfant
joua peu à peu tous les petits rôles de Molière ;
mba de cette voix éclatante, sonore, et touchante. Aujourd’hui, cette
enfant
accueillie à ses débuts de ces mauvais présages,
ême chaîne. Voilà donc que, pour augmenter l’embarras de cette pauvre
enfant
, le même jour et pour ainsi dire à la même heure,
plaudir, vous êtes ivres de joie, et personne ne prend en pitié cette
enfant
, la voyant la proie et la victime de votre admira
poussa à l’œuvre commune. Ainsi, c’est à M. Régnier, un de ses dignes
enfants
, que Molière est redevable de sa statue, entre la
ui rassemble et réchauffe les cœurs autour du père ? Excepté quelques
enfants
meilleurs que leurs parents, et quelques parents
rt, le père fut le premier roi au milieu du peuple respectueux de ses
enfants
. Il y a loin de la tribu nomade d’Abraham aux gra
nérable et sacrée chez tous les peuples ? Malheureux le peuple où les
enfants
ignorent le respect des cheveux blancs665 ! Crimi
devenus si durs et si égoïstes, que véritablement la révolte de leurs
enfants
devient un devoir, et la ligue de leurs domestiqu
font une guerre haineuse aux désirs naturels et raisonnables de leurs
enfants
? Obliger sans cesse le spectateur à mépriser des
s tous entêtés jusqu’à la folie et crédules jusqu’à l’idiotisme ? Les
enfants
révoltés contre ce risible et monstrueux pouvoir
la dignité du vieillard ? N’y eu aura-t-il pas un qui s’occupe de ses
enfants
? qui songe à leur éducation et à leur bonheur ?
de modération687. Mais de quel droit les pères parlent-ils raison aux
enfants
sur ce théâtre ? Eu voyons-nous un seul qui, par
e jamais une famille honnête ni heureuse, où les parents aiment leurs
enfants
avec intelligence et dévouement, où l’expérience
comme membres d’une famille : ce sont des fléaux domestiques, que les
enfants
semblent trop bons de supporter avec tant de pati
ts si dépourvus d’intelligence et d’élévation produisent toujours des
enfants
si admirables. La nature peut faire une fois par
ntes, dévouées, désintéressées, aimantes, qui sont des mères pour les
enfants
et une providence pour la maison, peuvent se trou
soins et d’exemples, par l’esprit de famille : c’est un fruit que les
enfants
doivent aux vertus des parents, aux traditions d’
e sans une mère digne de ce nom ? Quelle éducation peuvent donner aux
enfants
de leur amour ceux qui n’ont pu s’aimer qu’en se
s mérites, s’il n’est capable de donner à sa femme et à sa patrie des
enfants
dignes de lui, s’il ne peut remplir ce rôle saint
ulière ! c’est à lui que nous devons, en partie du moins, l’orgueil d’
enfants
qui nous fait croire que nous avons tout inventé
(continuation de la huitième période). — Accroissement du nombre des
enfants
naturels du roi. — Maison, rue de Vaugirard, où m
ique un goût très vif pour madame de Scarron. En 1672, le nombre des
enfants
de madame de Montespan s’étant accru du comte de
ont pas indifférentes. D’abord, elle est certainement du temps où les
enfants
et la gouvernante habitaient la maison isolée de
ent jeté des regards amoureux sur madame Scarron avant qu’elle et les
enfants
vinssent à Versailles et s’y établissent. Il rest
que l’année qu’elle allait passer dans une solitude forcée, avec les
enfants
dont il fallait cacher l’existence, serait consac
orté par madame de Caylus dans ses Souvenirs, page 89 : « L’aînée des
enfants
de madame de Montespan mourut à l’âge de trois an
nfants de madame de Montespan mourut à l’âge de trois ans. » (C’est l’
enfant
que Saint-Simon nomme Madame la duchesse, t. XIII
e la gouvernante dont la douleur n’était pas toute pour la perte de l’
enfant
et s’était accrue de la douleur du père ? Mais la
hériter de sa considération. Elle avait été appelée à l’éducation des
enfants
naturels par les mêmes motifs qui avaient fait co
êmes motifs qui avaient fait confier à madame de Montausier celle des
enfants
légitimes. Elle était distinguée dans la société,
y avait de la différence sans doute entre la place de gouvernante des
enfants
de France et celle des enfants naturels : il y av
oute entre la place de gouvernante des enfants de France et celle des
enfants
naturels : il y avait aussi de la distance entre
me à peu près équivalentes à la légitimité. Le roi avait légitimé les
enfants
qu’il avait de madame de La Vallière ; madame Sca
blement, ni plus tendrement pour feu madame de Montausier. » 83. L’
enfant
de madame d’Heudicourt, qui fut depuis madame de
me magnificence ; ses domestiques le servoient également. Bientôt ses
enfants
se lasserent du joug qu’ils s’étoient imposé, &am
ume & de l’encre, il va faire un beau livre sur l’ingratitude des
enfants
en faveur de qui un pere s’est dépouillé. Avec qu
intérieurement les acteurs. La conversation tomba sur son trésor. Mes
enfants
, leur dit-il, je vais vous découvrir ma manie : j
illard vécut cinq ou six ans : il eut le plaisir de voir toujours ses
enfants
dans cette même crise de sentiments : il n’avoit
r. Géronte encore à la fleur de son âge s’est sacrifié pour ses chers
enfants
; il leur a cedé tous ses biens, & ne s’est r
our trois fils ingrats. Le pere, aveuglé par sa tendresse, excuse ses
enfants
, ne se repent pas de sa libéralité ; il est seule
e liguent pour lui faire voir dans tout son jour l’ingratitude de ses
enfants
, & pour lui faire rattrapper une partie des b
menez-vous sur les boulevards, vous y verrez dans une parade Arlequin
Enfant
prodigue mangeant du son avec les pourceaux qu’il
’admiration de la populace en détonnant avec emphase le cantique de l’
Enfant
prodigue : lisez l’Enfant prodigue du Pere du Cer
en détonnant avec emphase le cantique de l’Enfant prodigue : lisez l’
Enfant
prodigue du Pere du Cerceau, vous bâillerez : all
vous vous attendrirez avec les gens de goût à la représentation de l’
Enfant
prodigue de M. de Voltaire, & vous verrez que
es d’Ogre 51 avec lesquels les Bonnes amusent ou endorment les petits
enfants
? Eumélie, abandonnée dans le bois aux deux paren
delène l’Hermite de Souliers, en Limousin, de laquelle il n’eut pas d’
enfants
. Il paraît que le comte de Modène contracta ces d
e sa fille était devenue. Le vieux Bejard s’était fait procureur. Ses
enfants
continuaient de jouer la comédie avec Molière, to
la perdit pas entièrement de vue. En effet, il fut parrain du second
enfant
qu’elle eut de Molière, le 4 août 166523. Aussi l
inscrits ainsi : Armande-Grésinde, acte de mariage de 1662 ; premier
enfant
, 1664 ; second, 1665 ; Armande-Claire-Elisabeth B
ant, 1664 ; second, 1665 ; Armande-Claire-Elisabeth Bejard, troisième
enfant
, 1672 ; Grésinde, mariage avec Guérin, 1677 ; Arm
la dot donnée par la prétendue mère qui aurait eu encore trois autres
enfants
, lorsque Molière signa l’acte de célébration. Il
de sa prétendue sœur : c’est-à-dire, que madame Bejard aurait fait un
enfant
sept ans après l’accouchement de sa fille. Peut-ê
il reconnaîtra la France aux monuments qu’elle consacre à ses propres
enfants
. Celle France comprend enfin qu’elle n’est montée
inte-Chapelle, où priait Saint Louis, ni Molière, lui-même, le simple
enfant
de Paris, élevé sous les piliers des Halles, ne s
st surtout du peuple. Et comment le peuple l’aurait-il oublié, lui, l’
enfant
du peuple, le plus gracieux, le plus charmant des
ère. Mais le peuple, le vrai peuple, où l’a-t-il observé ? Je le vois
enfant
dans la rue Saint-Honoré ou sous les piliers des
e Saint-Honoré ou sous les piliers des Halles, jouant avec les libres
enfants
de Paris, et s’incarnant cet esprit goffe et facé
pleure à genoux celui qui fut Molière !… II. Molière ! noble
enfant
du peuple de Paris, De ce siècle si grand un des
À l’étude en naissant n’étant point asservi, C’est son propre génie,
enfant
, qu’il a suivi. Mais bientôt un désir inconnu le
, que son grand cœur défend, Sur les fonts de baptême il veut tenir l’
enfant
, Et le fils d’un acteur, malgré l’intolérance, A
de ses coups, Cède au baume enivrant d’un sentiment plus doux. Une
enfant
gracieuse et belle16, Gomme Agnès ou comme Isabel
t en vain ! À peine de l’hymen a-t-il formé la chaîne, Que la naïve
enfant
se change en Célimène ; Alors plus de repos pour
ant la tête et en s’essuyant les yeux, car elle avait vu Caillié tout
enfant
et elle disait : celui-ci était le camarade de mo
s relations. 15. Louis XIV teint sur les fonts baptismaux le premier
enfant
de Molière, avec Henriette d’Angleterre. Cette en
maux le premier enfant de Molière, avec Henriette d’Angleterre. Cette
enfant
qui portait le nom de Louis ne vécut pas. 16. Ar
qui dès lors eut le pressentiment de son avenir ; et, quoique encore
enfant
, il dut se dire comme le Corrège, par une inspira
le temps perdu fut réparé, Poquelin eut pour camarades de classe des
enfants
qui furent depuis des hommes célèbres. Chapelle,
ns préventions ; aussi veut-il que ses acteurs amènent toujours leurs
enfants
aux répétitions. Voyez-le donnant au jeune Baron
e plus grande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait quatre
enfants
, tons jolis, deux garçons et deux filles ; il leu
onné son idée, il quitta son orgue et vînt à Paris avec sa femme, ses
enfants
, et l’épinette ; il obtint une permission de fair
que le troisième clavier répétait seul d’un bout à l’autre, les deux
enfants
ayant les bras levés ; ensuite le père les faisai
que l’on ouvrit le corps de l’épinette, d’où l’on vit sortir un petit
enfant
de cinq ans, beau comme un ange ; c’était Raisin
dans le moment caressé de toute la cour. Il était temps que le pauvre
enfant
sortit de sa prison, où il était si mal à son ais
Il commençait son spectacle par sa machine, ensuite de quoi les trois
enfants
dansaient une sarabande ; ce qui était suivi d’un
»Ces parents saisirent ce conseil, plus par envie de se défaire de l’
enfant
, pour dissiper plus aisément le reste de son bien
(car son mari était mort alors). Cette femme fut ravie de trouver un
enfant
qui était capable de remplir tout ce que l’on sou
e l’on n’en avait eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un
enfant
de dix ou onze ans, sans avoir été conduit dans l
ordre de les dépenser à ses plaisirs. Tout cela était un rêve pour un
enfant
de douze ans, qui était depuis longtemps entre le
e intitulée Marc-Antoine et Cléopâtre 10. La Thorillière laissa trois
enfants
: savoir, la demoiselle Charlotte Le Noir, femme
de comédiens qui était alors en Hollande. Cet acteur n’avait point d’
enfant
, et s’était engagé par un vœu solennel à en adopt
la petite Bourguignon, et, augurant bien des talents futurs de cette
enfant
, il lui fit proposer de passer dans sa troupe ave
ël à Baron ; et le costumier du théâtre, imaginant sans doute que les
enfants
juifs étaient vêtus et coiffés comme ceux des bou
coiffés comme ceux des bourgeois de Paris, lui fit prendre un toque d’
enfant
et des manches pendantes : on conçoit qu’il devai
. Lisban. Ainsi vit-on chez nous autres François. Marton, l’aimable
enfant
! Toujours dansant, chantant, sautant, gesticulan
e trouve charmant. Mad. Lisban. Il m’aime par bonté, comme on aime un
enfant
; Et, sans rendre justice à ma délicatesse, Il ne
a pour son époux : Madame Lisban répond qu’elle aime Lindor comme un
enfant
, & qu’on est sage quand on le veut. Marton se
des ridicules à trente, rendirent intéressant aux yeux de Bélise cet
enfant
bien né, qui avoit l’honneur d’appartenir à la fa
e n’ai pour moi que mon âge & ma figure, vous me traitez comme un
enfant
; mais quand vous aurez entendu dire : Il s’est t
’étoit reproché cent fois les rigueurs qu’elle n’avoit pas. Ce pauvre
enfant
, disoit-elle, m’aime de toute son ame : rien de p
écrirons. Adieu. — Adieu, ma belle Cousine. — Adieu, adieu, mon cher
enfant
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Le Chevalier de Luzel parut chez moi. Je le traitois d’abord comme un
enfant
; & cet empire de ma raison sur la sienne ne
! tu me revois ! Je suis bien bon de venir passer la soirée avec cet
enfant
! Tu ne rougis donc pas d’aimer ton mari ? Sais-t
fort ; j’y compte si bien, que je te défie de la vaincre. Tiens, mon
enfant
, j’ai connu des femmes sans nombre ; jamais aucun
et des erreurs de quelques-uns ? Tout parti a ses tirailleurs et ses
enfants
perdus qui le servent moins qu’ils ne le comprome
1643, Molière ne fût déjà en liaison réglée avec la famille de cette
enfant
et en particulier avec la fille aînée, Madeleine
campagne, dans quelque village des environs de Paris. C’est la qu’une
enfant
voit le jour, une petite fille, qui bientôt s’app
uve, pour renouveler cette union morganatique, de faire disparaître l’
enfant
, témoignage vivant de son infidélité. Il faut don
dame Cardinal, qui, jadis, s’est prêtée à être la marraine du premier
enfant
que sa fille a eu de M. de Modène, prouvant ainsi
e fait d’une mère d’actrice qui déclara comme sien, à l’état civil, l’
enfant
de sa fille, non mariée : « Nous citerions les no
il laisse de grosses dettes et que les créanciers sont pressants, ses
enfants
doivent renoncer à sa succession. Pour cela, il f
ivil Antoine Ferrand. Elle lui déclare que son mari lui a laissé cinq
enfants
tous encore mineurs : Joseph, Madeleine, Genevièv
ice ; ils ne réclament point la production des actes de naissance des
enfants
; ils s’en remettent au conseil de famille du soi
ierre Béjart, procureur au Châtelet, un vieillard, oncle paternel des
enfants
: tous les autres étaient des étrangers, qualifié
ent des étrangers auraient-ils pu savoir à un an près l’âge de tant d’
enfants
? Tous furent, tous devaient être dupes, et Pierr
ux ou trois ans même, ne faisaient pas une affaire. Donc, si deux des
enfants
Béjart se rajeunirent de parti pris, avec la comp
r sauvegarder leurs intérêts, car, pas plus alors qu’aujourd’hui, les
enfants
n’étaient obligés d’accepter la succession patern
veuve Béjart, le jour où elle fit nommer un subrogé-tuteur à ses cinq
enfants
, avait dit au lieutenant civil, un haut fonctionn
vingt-cinq ans, non à un étranger, qui ne saurait prendre intérêt aux
enfants
. » Paraître au conseil de famille, c’est justemen
encore. Elle institue pour légataires universels en nue propriété les
enfants
nés et à naître du mariage de Molière et d’Armand
e de Molière et d’Armande, avec substitution à l’infini au profit des
enfants
mâles de l’aîné. Armande légataire universelle en
laisses seulement 400 livres de rente viagère ! Que m’importe que mes
enfants
et leurs descendants soient riches un jour ! Que
leine, au détriment de cette veuve et de son fils ! Car elle avait un
enfant
de son premier mariage, un fils d’une dizaine d’a
ins sages et moins bien justifiées. C’est au mépris des droits de cet
enfant
, orphelin de père, que Molière aurait souffert qu
façon et, au besoin, sur sa propre fortune ! Tartuffe dépouillait les
enfants
d’Orgon, mais au moins Damis et Mariane n’étaient
au-père, ce fameux Michel Lambert dont Boileau a parlé, sa femme, ses
enfants
et tout le genre humain, disant au ciel dans leur
mercenaires, car ses héritiers autres que son fils aîné étaient trois
enfants
mineurs ? Molière ne voulait qu’une chose : s’ass
son n’était pas louée. Comment dès lors obtenir de ces copartageants,
enfants
mineurs dont tout l’émolument dans la succession
ur être reporté dans un lieu non consacré, destiné à la sépulture des
enfants
mort-nés ou morts sans baptême, des suicidés et d
a-t-il cru que le cimetière Saint-Eustache servait exclusivement aux
enfants
morts avant d’être baptisés, ou bien a-t-il été i
après le fameux édit de 1641 ? Non. Un excommunié pouvait-il tenir un
enfant
sur les fonts baptismaux ? Non. Or, Molière a été
n. Cela est vrai ; mais, excellentes pour peindre la jalousie de deux
enfants
ou de deux domestiques, elles dégradent Moncade.
des épithetes que je ne puis décemment lui donner ici. Mariane est un
enfant
, Julie une mere imbécille qui couronne les feux d
ou maîtresse de Pamphile, est prête d’accoucher, qu’on veut élever l’
enfant
; il sort pour avertir Pamphile de ce qui se pass
i s’entretiennent de Pamphile : il veut, disent-elles, faire élever l’
enfant
dont va bientôt accoucher Glycerion. Elles entren
iage projetté, & qu’on poussera l’artifice jusqu’à lui montrer un
enfant
nouveau né. Simon lui dit d’aller tout préparer p
m, hem, hem. Vous toussez. Ce n’est rien.Je l’espere. Tous ces petits
enfants
, dont vous serez le pere, Auront besoin de vous,
nner. Mysis, seule, déplore l’infortune de sa maîtresse. Dave porte l’
enfant
nouveau né, & ordonne à Mysis de le mettre su
ettre sur des herbes devant la porte de Chrémès. Chrémès sort, voit l’
enfant
: Mysis dit que c’est l’enfant de Pamphile : Dave
porte de Chrémès. Chrémès sort, voit l’enfant : Mysis dit que c’est l’
enfant
de Pamphile : Dave lui soutient le contraire afin
ans cet acte sont adroits ; au lieu d’alarmer Chrémès par la vue de l’
enfant
, il fait venir Glycerie, qui, toute abattue par s
s suites de. ce mot, quand je les envisage, Me font voir un mari, des
enfants
, un ménage ; Et je ne vois rien là, si j’en puis
caractère essentiel512 ce lien honnête seul peut assurer l’avenir des
enfants
, pour lesquels il n’y a que honte et malheur sans
, comme, parmi ces grands élans d’amour, ils songent sérieusement aux
enfants
, au ménage 520, à la fortune même521, en tant qu’
e ne changeait pas tant les gens 536 ; s’ils négligeaient moins leurs
enfants
, ces seconds liens des cœurs, qui viennent rempla
ont jamais une bonne fin541. » II. « Les suites du mariage sont des
enfants
et un ménage542. » III. « ...Cette union, de
ménage, des enfants579 ; » « Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens
e qui de cet ouvrage fait un chef-d’œuvre. Le proverbe, À père avare,
enfant
prodigue, renferme une observation de mœurs que M
moins naturelle, c’est le manque d’amour et de respect de la part des
enfants
. L’avarice, nuisible à tous, par conséquent odieu
ture, un avare ne doit point compter sur l’amour et le respect de ses
enfants
, s’il doit, au contraire, s’attendre à leur haine
iété et pour le vicieux lui-même. Or, l’aversion et l’irrévérence des
enfants
sont, sans contredit, la punition, la plus terrib
oète serait donc incomplète, insuffisante, si l’avare n’avait point d’
enfants
qu’il pût rendre victimes de ses mauvais traiteme
drame serait invraisemblable, si, l’avare étant père de famille, ses
enfants
, réduits par lui aux plus dures et aux plus humil
tions, n’en étaient pas moins tendres et respectueux. Peindre de tels
enfants
autrement qu’ils ne sont, qu’ils ne peuvent être,
censure du poète guérit le vice des pères, elle prévient le crime des
enfants
qui en est la conséquence ; et ainsi, loin d’être
’acte solennel d’un père justement courroucé, foudroyant la tête d’un
enfant
coupable ; c’est simplement le trait d’humeur, la
ommes de l’avarice, il leur dit : Si vous êtes avares, vous aurez des
enfants
dissipateurs qui, privés par vous du nécessaire,
u nécessaire, se procureront le superflu par des moyens ruineux ; des
enfants
qui, victimes de votre odieuse passion et témoins
la France a racheté de leurs mains avides, pour en faire hommage à l’
enfant
royal sur qui reposent nos destinées futures. Cet
AU PAVILLON DES CINGES. Le père, très à son aise, mais se voyant huit
enfants
en bas-âge, n’avait point d’autre ambition pour l
Dans ces vues, il lui fit apprendre à lire, à écrire, et le mit, tout
enfant
, à garder la boutique. La renommée des Poquelin,
il perdit sa mère. Son père, l’année d’ensuite, se remaria. Le pauvre
enfant
vit donc sa famille non-seulement lui manquer, ma
leur amitié, de leur gaîté naïve et courageuse. Cependant de nouveaux
enfants
naissaient du second mariage, et le petit Poqueli
comme externe au collège des Jésuites. Mais au fond, que demandait l’
enfant
? c’était de fuir cette sombre boutique, cette ma
lle une petite sœur de quelques mois seulement. Molière, devant cette
enfant
, se prenait à rêver... Des projets lui vinrent, v
t davantage aux sourires de la petite Armande (c’était son nom); et l’
enfant
, de son côté, n’était heureuse qu’avec Molière. E
ette légèreté pouvait la conduire. Il la supplia, cent fois, comme un
enfant
, d’être moins coquette, moins étourdie, moins dép
enir sur les fonds baptismaux, le premier-né de son grand comédien. L’
enfant
reçut le nom de Louis ! XI. Molière, par ce
à une coureuse, nommée la Raisin, directrice ambulante d’une troupe d’
enfants
, ruinée par suite de désordres, comptant sur la g
alais-Royal. Il fut étonné, ravi plus que personne du jeu naïf de cet
enfant
; aussi, après la pièce, il le retint à souper, pu
retint à souper, puis il envoya chercher son tailleur (car le pauvre
enfant
était fort mal accommodé), et lui fit faire un ha
e fit causer, et il ajouta aux habits six beaux louis d’or. Le pauvre
enfant
croyait rêver, lui qui avait été toujours si dure
Malgré cela, aimé de tous ceux qui l’entouraient, jusqu’aux moindres
enfants
, ses comédiens, Boileau, La Fontaine, Ninon, Mme
avec eux, à la condition, toutefois, qu’ils ne feraient pas boire cet
enfant
. Voilà Chapelle de mauvaise humeur; il se met à f
s, il ne voulait pas qu’elle les entendît seule. Il faisait venir les
enfants
de tous ses comédiens ; il lisait Pourceaugnac, l
ais ce qui le charma le plus dans la petite fille, et qu’ont tous les
enfants
, ce fut cette attention merveilleuse à écouter, c
les dispositions les plus merveilleuses pour la comédie ; il était l’
enfant
gâté chez Molière; et lui, de son côté, n’avait p
rsis ( le père adoptif ). On y disait de Myrtil : Il n’est pas tant
enfant
qu’à le voir chaque jour, Je ne le croie atteint
d’Alcmène fut écrit pour sa femme, et qu’il avait, à cette époque, un
enfant
de deux ans dont il ne se croyait pas le père. NO
cela que le ciel l’a créée. Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens
int mère pour la troisième fois. Molière voulut, pour marraine de cet
enfant
, la belle Mlle Mignard, et pour parrain le frère
d, et pour parrain le frère de son ami Despréaux, Boileau Puimorin. L’
enfant
reçut les noms de Pierre Jean-Baptiste Armand, le
noms réunis du père et de la mère, précédés de celui de Mignard. Cet
enfant
mourut peu après sa naissance, comme avait fait l
les supérieurs étaient autrefois les seules qui fussent permises aux
enfants
en parlant à leurs père et mère. Cette habitude d
iarité plus tendre, qui a autorisé le tutoiement réciproque entre les
enfants
et leurs parents. Aujourd’hui Racine ne regardera
nant le crime de Laïus, et la peine que les dieux en ont porter à ses
enfants
: Et s’il faut après tout qu’un grand crime s’ef
is à sa race… Sans doute il aurait fallu dire : par le châtiment des
enfants
de Laïus ! mais Corneille n’écrivait pas en prose
erdit son petit garçon. On fit relâche, mais il lui fallut, à peine l’
enfant
enterré, jouer L’Avare. Molière n’avait pas le te
ui seront nommés par lesdites damoiselles ses sœurs et par l’ainé des
enfants
de la damoiselle de Molière, l’une d’elles, et de
re ; et après ladite Madeleine-Esprit Poquelin décédée, l’aîné de ses
enfant
mâles, ou de ses filles si elle n’avait point de
înée, si, comme dit est, ladite Madeleine-Esprit Poquelin n’a point d’
enfant
mâle ; et si icelle Madeleine-Esprit Poquelin déc
d’enfant mâle ; et si icelle Madeleine-Esprit Poquelin décédait sans
enfants
nés en légitime mariage, ladite damoiselle testat
qui seront acquis comme il a été devant exprimé, à l’aîné des autres
enfants
dudit sieur de Molière et de ladite damoiselle Gr
et en cas que lesdits sieur et damoiselle de Molière décédassent sans
enfants
nés d’eux, lesdits héritages retourneront aux enf
écédassent sans enfants nés d’eux, lesdits héritages retourneront aux
enfants
du sieur Louis Béjart et de ladite damoiselle de
rie Hervé n’avait-elle pas déjà accepté d’être la marraine de l’autre
enfant
de Madeleine, ce qui indique une mère bien facile
re bien facile à vivre, puisque Madeleine ne mettait au monde que des
enfants
naturels ? Quand Molière conduisit la pauvre Made
fut accusé d’avoir empoisonné sa maîtresse « pour lui avoir donné un
enfant
». On retrouve les traces de cette accusation d’e
oulait à son amant qui, après tout, était la cause de sa mort par cet
enfant
venu si mal à propos9. Mais, comme a dit un conte
dit seulement d’un pâté. Il sortit donc de Paris avec sa femme et ses
enfants
, lui cinquième, en compagnie d’un petit âne tout
ses mains. Filandre, chef d’une troupe vagabonde, adopta à son tour l’
enfant
anonyme. Il l’exposa sur son théâtre, mais ne la
elle n’avait pas de temps à perdre pour donner un père à son premier
enfant
. Pierre qui roule n’amasse pas de mousse, mais le
pas tous les jours à la noce avec une femme qui lui donna vingt-huit
enfants
. Paphetin chassa Beauval et obtint de l’archevêqu
fût, conte ainsi les aventures de Jeanne : « Née de parents inconnus,
enfant
de l’amour, abandonnée par une fille coupable, ou
ts inconnus, enfant de l’amour, abandonnée par une fille coupable, ou
enfant
d’un hymen légitime, jetée sur le parvis d’une ég
nts avaient attirée. Cette bonite créature avait remplacé auprès de l’
enfant
sa mère véritable ; elle l’avait élevée jusqu’à l
soit, selon le vers connu : « À vingt-sept ans, j’avais déjà quatorze
enfants
. » III Mlle Beauval n’était pas faite pour
Louis XIV dit avec humeur : « Qu’elle retourne en province faire des
enfants
. » Enfin la Beauval joua ; jouer, pour elle c’éta
urrait-on me reprocher ? J’ai mis au monde vingt-quatre ou vingt-huit
enfants
, je ne sais plus combien ; une Agnès ou une d’Esc
Molière. « Eh bien ! dit Mme Beauval, je vais apprendre à lire à mes
enfants
. » Elle avait eu vingt-quatre enfants ! aussi j
e vais apprendre à lire à mes enfants. » Elle avait eu vingt-quatre
enfants
! aussi jamais maîtresse d’école n’eut une plus r
u’elle se vantait beaucoup en disant qu’elle apprendrait à lire à ses
enfants
, puisqu’elle n’avait jamais su lire. Ce n’est pas
ien dans cette famille où la mère avait eu vingt-quatre ou vingt-huit
enfants
. Hillemacher a gravé Mlle Beaubourg d’après un cr
la tombée du jour. Ô comédiens et comédiennes, jouets brisés par des
enfants
! Qu’est-il devenu ce conquérant sous la pourpre
les Confrères de la Passion. Ces comédiens primitifs, les véritables
enfants
sans souci et sans art, vivaient encore, en dépit
tre et de ne plus se montrer à l’avenir. Hélas ! il fallut obéir. Les
enfants
sans souci se séparèrent, plus de joie et plus de
pas besoin d’être défendue par de pareils moyens. Quant aux derniers
enfants
du gai-savoir, une fois séparés, la misère les pr
ntraire il était impossible d’être plus naïf, plus ridicule, plus bon
enfant
. Il était si admirablement bête ! Il y avait cela
est vrai. Le comédien est resté l’être imprévoyant par excellence, l’
enfant
du hasard, le bohémien, le frondeur, le bon vivan
in pour mourir. Ainsi vous avez vu disparaître madame Saint-Amand, un
enfant
perdu, ou, si vous aimez mieux, un enfant trouvé
ître madame Saint-Amand, un enfant perdu, ou, si vous aimez mieux, un
enfant
trouvé de Molière. Elle était venue au monde dans
la verve et en même temps le bon goût de la jeune catéchumène… Donc l’
enfant
grandit sous les chênes touffus, au bord des ruis
y a, voyez-vous, du printemps, du soleil et des fleurs pour tous les
enfants
de ce monde ! À quinze ans, l’enfant était une jo
eil et des fleurs pour tous les enfants de ce monde ! À quinze ans, l’
enfant
était une jolie fille à la mine éveillée, à la ta
s troué à cette jambe, toute la ville eût demandé en quel lieu donc l’
enfant
avait acheté ces bas brodés à jour ? Ainsi elle a
it là toute notre vie. Molière, notre père, avait soin de nourrir ses
enfants
. Chaque jour nous apportait son pain et son espri
cet âge, le dieu devient dur et cruel ; à quinze ans nous étions les
enfants
chéris de ce dieu-là, nous sommes à peine ses bât
ous sommes à peine ses bâtards, à soixante. Allons, venez à mon aide,
enfants
, je n’ai rien à me reprocher, car j’ai été fidèle
t prodigué. La caisse d’épargne doit être expressément défendue à ces
enfants
perdus de Corneille et de Molière. Un comédien qu
ait : « Est-ce bien moi qui ai fait cela ? » et il pleurait, comme un
enfant
, aux beaux passages du Père de famille. « Oui, di
s bonbons que l’on tire de sa poche et qu’on offre aux femmes, et aux
enfants
, sans que jamais on y touche soi-même. Il faut l’
savez-vous ? Ils ont été peut-être dix mille… ! il n’y a pas de petit
enfant
qui ne vous dise le nom de celui qui a brûlé le t
ait donc tout comme si nous nous étions amusés, ce soir-là, à voir un
enfant
battre à grands coups de pied son bisaïeul ! Tris
c elle, à moins qu’un jour lui, son mari, il ne retrouve Gillette, un
enfant
légitime dans ses bras, et, à son doigt, l’anneau
lle avait au doigt l’anneau d’or, et sur chacun de ses bras, ses deux
enfants
. « Monseigneur, dit-elle, avec un juste orgueil,
lle, avec un juste orgueil, votre condition est accomplie, voici deux
enfants
de vous, et voici votre bague ! » Qui fut bien h
heureux ? Ce fut le comte. Il retrouvait en même temps, sa femme, ses
enfants
, sa bague, son repos ; aussi bien il ouvrit ses b
n poème épique, il a fait, bien souvent, un conte pour le Journal des
Enfants
; d’un discours-ministre, il a tiré, plus d’une f
it dans les sentiers connus ; il le traitait comme un père traite son
enfant
; et par tant de bons soins, par tant de bonnes p
ent, hélas ! plus d’une fois : — « C’est que je ne vois plus mon cher
enfant
Monrose ; Il emporte avec lui ma guirlande de ros
malheureux homme qui ne sait plus son nom, qui ne reconnaît plus ses
enfants
, ses amis ; tous ceux qu’il aime, accourez en tou
élevée au milieu des pédants, l’ironie alerte et de bon goût de cette
enfant
obligée de se défendre contre les vices du bel-es
rit, sans sagesse et sans cœur ; — enfin les dangers courus par cette
enfant
, les obstacles apportés à cet amour légitime, le
et loyales natures, le courage de ce bonhomme et l’espérance de cette
enfant
. Ce rôle est fait, on le dirait, à la taille, à l
eux on doit le plus haïr, cette mère de famille livrée à des jouets d’
enfant
, ou cette vieille fille qui se jette dans l’amour
client, d’autre protecteur. Venu dix-huit ans après Térence, ce digne
enfant
de Ménandre, Térence, un Athénien sous l’envelopp
pas cette gaieté éveillée, avinée, alerte, cruelle, impitoyable d’un
enfant
des faubourgs ; il n’est pas, tant s’en faut, la
escendants de Lucrèce et de Virginie. Ils applaudissaient, véritables
enfants
de la louve, à l’espièglerie abominable du jeune
e ; or l’esclave n’est pas une personne, c’est une chose ; plus cette
enfant
se lamente, et plus nous devons applaudir à l’esp
« Plus belle que Thaïs », dit Parménon ; et, sans mot dire, la pauvre
enfant
pénètre dans cette maison qui sera sa perte. — Vo
, de gaieté de cœur, et même sans trop savoir à qui il s’adresse, une
enfant
sans défense, est un crime horrible, hideux, insu
pour sa bonne humeur, pour sa vivacité et sa bonne grâce, est bien un
enfant
de Térence. Cette jeune fille est très belle ! Ce
s cet éventail et rafraîchis l’air ! » Et enfin le désespoir de cette
enfant
, ses vêtements déchirés, ses larmes… tout cela a
ntenant que vous êtes en enfance. — Mais, dit le père, tu battras tes
enfants
à ton tour. — Eh ! reprend le fils, si je n’ai pa
tras tes enfants à ton tour. — Eh ! reprend le fils, si je n’ai pas d’
enfants
, je vais donc garder pour moi les coups que vous
pitoyable, il serait insupportable. Le malade de Molière est un grand
enfant
, mais madame Sturmer est le véritable malade imag
. Bonnefoi est consulté par M. Argan, qui veut dépouiller ses propres
enfants
de tout son bien. — La coutume y résiste, dit le
ie ; la gentille Agnès de L’École des femmes, charmante et malicieuse
enfant
qui n’a pas d’autre maître que l’amour, vient de
de mettre au monde son troisième fils, et elle ne demande plus si les
enfants
se font par l’oreille. Avez-vous entendu raconter
, si sobre, si amoureux de sa femme, vêtu de noir, et dont les petits
enfants
avaient peur. — Vive la joie autour du nouveau ve
on génie, et plus d’une fois il fit pousser des cris de douleur à cet
enfant
incorrigible, mal élevé, rempli de préjugés et de
de Molière ; mais, en fin de compte, quel bon vivant, quel bel et bon
enfant
, quel luron doucement aviné ! Regnard a été, de s
au plus du censeur royal. Il est hardi, il est infatigable, il est l’
enfant
gâté de la foule ; s’il ne réussit pas aujourd’hu
au moins sera-t-elle (il faut l’espérer) la grande consolation de nos
enfants
. La gaîté, dans le poème, c’est l’air, l’espace,
n mari, tranquillement assis au coin de son feu, avec sa femme et ses
enfants
. Or (et c’est justement à poursuivre ces variante
ait beau, bien fait et insolent à outrance, comme son élève, comme un
enfant
qu’il avait sauvé, à la bonne heure ; La Bruyère
Il se laisse bander les yeux, et conduire à ce rendez-vous, comme un
enfant
. Arrivé dans ce salon mystérieux il garde loyalem
de tous les entrepreneurs ; des gens qui riaient toujours, véritables
enfants
de ce bon père Molière, qui avait gardé pour lui-
venue lui demander Avec une innocence à nulle autre pareille Si les
enfants
qu’on fait se faisaient par l’oreille ! A ce tra
harangues ; j’ai gagé que c’était une fausseté pure… — Oh !s’écrie l’
enfant
, ne gagez pas, vous perdriez !…Et dans l’ingénuit
Montre d’obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un
enfant
à son père, À son supérieur le moindre petit frèr
anteau, et prend la main d’Agnès, qui ne le reconnaît point. Les deux
enfants
— ils le sont par la confiance et la pureté de cœ
! Votre simplicité qui semble sans pareille, Demande si l’on fait les
enfants
par l’oreille, Et vous savez donner des rendez-vo
se sent, par une humeur ingrate, Cherche à faire du mal…. La pauvre
enfant
a grand peur tout d’abord ; mais elle sent son dr
lphe, enrageant ; mais je voulais vous épouser, moi. — Ah ! repart l’
enfant
, vous, ce n’est pas la même chose ; vous faites l
son cœur. — Hélas ! vous le pouvez, si cela peut vous plaire, dit l’
enfant
; et cette douceur fait qu’il n’ose ; et tout en
sé sa fille. On sait la réponse de Louis XIV : le 28 février -1664, l’
enfant
né à Molière six semaines auparavant était tenu s
e courage ? Je vous en prie, laissez-la venir à vous,comme les petits
enfants
, avec cette candeur qui lui vient bien plus de.la
et homme à certaines questions qu’elle lui faisait et comme celle des
enfants
, vous savez. Il lui a fait éprouver ce sentiment
Delaunay épouse Agnès, avec qui il vivra heureux et aura. beaucoup d’
enfants
. Molière l’a ainsi voulu, Molière toujours miséri
elle sait ; et cela ne diminue pas son charme. Henriette sait que les
enfants
qu’on fait ne se font pas par l’oreille. Elle sai
es suites de ce mot, quand je les envisage, Me font voir un mari, des
enfants
, un ménage ; Et je ne vois rien là, si j’en puis
sa digne compagne et non sa servante avilie ; et quand viendront ces
enfants
, qu’elle envisage d’avance sans frissonner, elle
éculateur qui se fait tuer dans le combat pour assurer le trône à ses
enfants
. C’est du moins ce que démontre, paraît-il, un Al
on vit reparaître Anne et Joachim, qui se désolaient de n’avoir pas d’
enfants
et qui imploraient Dieu et ses anges. Gabriel des
pour aller aux provisions, est tout ravi, à son retour, de trouver l’
enfant
né et joint son hymne d’adoration à celui des ang
i de représenter le môme personnage aux diverses époques de sa vie, «
enfant
au premier acte, et barbon au dernier. » Il est v
joué au Mans en 1510, dura même quarante jours. Malgré cela, comme un
enfant
n’avait pas le temps de devenir barbon en 40 jour
ne Sara, Ci fine le petit Samuel, Fin du petit Salomon, cy fine Jésus
enfant
, cy commence la grande Marie. »On remontait même
scène dès le moment de sa naissance : « Icy, dit le livret, fault un
enfant
nouveau-né. » On peut imaginer ce qu’il fallait
e Jésus après la discussion au Temple avec les Docteurs : O mon doux
enfant
gracieux, lui dit-elle en l’embrassant, Fils de t
rome, » apprend de son père que Dieu commande qu’il soit sacrifié : l’
enfant
se soumet, non sans regret de la vie, aux ordres
a à une figue sur le haut d’un figuier, & les trois Princes à des
enfants
qui veulent faire tomber la figue à coups de pier
beau résister quelque temps, qu’attendrie par les coups de pierre des
enfants
, elle tombe enfin au profit de l’un d’eux. Les ri
ollon. Diana marque le mépris qu’elle a pour l’amour, qui n’est qu’un
enfant
. Les musiciens finissent par un couplet dont voic
as se fier à l’amour ; il cache sa puissance sous la forme d’un petit
enfant
. Polilla paroît vêtu en Médecin. Il possede, dit
uire le portrait de l’ingrat. Elle déclame contre l’amour, qui est un
enfant
dans ses jeux, mais un Dieu dans sa vengeance. El
nesse ! Ignorez-vous quel est la douceur de se voir renaître dans des
enfants
chéris ? Ne connoissez-vous pas quelle volupté pr
ens n’ayant pas de sentiments qui dussent les engager à destiner leur
enfant
à des occupations plus élevées : De sorte qu’il r
le fixer. Molière avait passé des amusements que l’on se fait avec un
enfant
, à l’amour le plus violent qu’une maîtresse puiss
e plus grande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait quatre
enfants
, tous jolis, deux garçons et deux filles ; il leu
né son idée, il quitte son orgue, et vient à Paris avec sa femme, ses
enfants
, et l’épinette. Il obtint une permission de faire
que le troisième clavier répétait seul d’un bout à l’autre, les deux
enfants
ayant les bras levés. Ensuite le père les faisait
que l’on ouvrît le corps de l’épinette, d’où l’on vit sortir un petit
enfant
de cinq ans, beau comme un Ange. C’était Raisin l
dans le moment caressé de toute la Cour. Il était temps que le pauvre
enfant
sortît de sa prison, où il était si mal à son ais
Il commençait son spectacle par sa machine, ensuite de quoi les trois
enfants
dansaient une sarabande ; ce qui était suivi d’un
. Ces parents saisirent ce conseil plus par envie de se défaire de l’
enfant
, pour dissiper plus aisément le reste de son bien
n, car son mari était mort alors. Cette femme fut ravie de trouver un
enfant
qui était capable de remplir tout ce que l’on sou
e l’on n’en avait eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un
enfant
de dix ou onze ans, sans avoir été conduit dans l
ordre de les dépenser à ses plaisirs. Tout cela était un rêve pour un
enfant
de douze ans, qui était depuis longtemps entre le
de son mari, elle ne pouvait souffrir qu’il eût de la bonté pour cet
enfant
, qui de son côté à treize ans n’avait pas toute l
dit Molière à son Épouse, que vous ayez eu l’imprudence de frapper un
enfant
aussi sensible que vous connaissez celui-là ; et
essein d’aller s’y établir. Il commença par y envoyer sa femme et ses
enfants
; et quelque temps après il demanda au Roi la per
passer du Théâtre. Il part ; mais il trouva chez lui une femme et des
enfants
rebelles ; qui le reçurent non seulement comme un
maltraitèrent. Il fut battu plusieurs fois par sa femme, aidée de ses
enfants
, qui ne voulaient point partager avec lui la joui
vous vois en humeur de vous divertir toute la nuit ; le moyen que cet
enfant
puisse tenir ; il en serait incommodé, je vous pr
lement quatre vers de ma pièce ; et je ne saurais voir maltraiter mes
enfants
de cette force-là, sans souffrir comme un damné .
e l’on n’en usait point avec l’Empereur du Mogol détrôné, et avec ses
enfants
, aussi inhumainement qu’on le fait en Turquie. ―
e pas de vous confier la sienne. Bernier vit bien que Baron était un
enfant
gâté ; il mit la conversation sur son chapitre. M
être Grapignan. COQUINIÈRE. Avant toutes choses, dites-moi, mon cher
enfant
, aimez vous l’argent avec âpreté ? Vous sentez-vo
! diable ! je vois que vous l’entendez… COQUINIÈRE. Tu vois, mon cher
enfant
, que je te parle en père et je te fais voir les e
nsignation ; c’est le vrai patrimoine des procureurs. Voilà, mon cher
enfant
, les préceptes solides que mon honneur et ma cons
faire banqueroute au moins une fois en sa vie, pour l’avantage de ses
enfants
. Il n’y a point à cela de milieu. Allons, touchez
s gens, fort accommodés, qui prêtent sur de la vaisselle d’argent aux
enfants
de famille au denier quatre57, quand ils ne trouv
in (c’est le nom de son père ; sa mère avait nom Marie Cressé) est un
enfant
de Paris, du Paris plein de bruit, de tumulte et
d’avaleurs de pois gris, Molière s’en est souvenu, le vieillard et l’
enfant
tout joyeux ne se lassaient pas des amours de Tab
là, l’éducation populaire était, grâce à Dieu, à la portée de tous, l’
enfant
fut mis au collège de Louis-le-Grand, dont les ré
obéir aux inspirations de la comédie, et de mener la vie heureuse des
enfants
sans souci. À ce bel âge, avec un peu d’argent da
ec un peu d’argent dans sa poche et beaucoup de feu dans les yeux, un
enfant
de Paris ne doute de rien. Celui-ci voulut avoir
eigneur Arnolphe, et le châtiment de sa jalouse humeur. Agnès est une
enfant
qui sera bientôt très habile à se défendre, elle
d’Agnès, à la sottise habile de son tyran. Rien que le récit de cette
enfant
, d’un jeune homme qui le matin l’a saluée, est un
e, met dans son secret un esclave nommé Lampadisque, qui va exposer l’
enfant
nouveau né avec des joujous dans un panier. Une v
Lampadisque se cache, & voit la vieille qui, touchée du sort de l’
enfant
exposé, l’emporte. Cependant Démiphon devient veu
re par hasard quelque temps après son mariage, & voudroit avoir l’
enfant
provenu du viol : mais où le prendre ? Lampadisqu
uve par hasard la seconde fille de Démiphon. On apporte les joujous d’
enfant
, pour les faire reconnoître par la mere de la fil
dans tous les états, On ne peut de mon art assez faire de cas ; Qu’un
enfant
de famille, & qu’on veut bien instruire, Devr
nes plus belles encore, où Harpagon prête, au plus gros intérêt, à un
enfant
de famille qui lui promet que son pere mourra bie
ant quelquefois. J’ai souvent été de ces soupers où Plutus réunit les
enfants
de Thalie & de Melpomene. Dieu sait si l’on p
e Philosophe marié. Mais lorsque nous verrons Harpagon avare avec ses
enfants
, ses domestiques, l’entremetteuse de ses amours,
cala, le paysan Cavicchio veille dans sa cabane, avec sa femme et ses
enfants
, qui fabriquent des paniers. Lui, pour tenir sa f
sure, et Cavicchio, reprenant sa cornemuse, fait danser sa femme, ses
enfants
, les soldats et jusqu’au capitaine. Le théâtre re
n cadeau de mille ducats le jour où Franceschina mettrait au monde un
enfant
du sexe masculin. Cet enfant se fait attendre et
our où Franceschina mettrait au monde un enfant du sexe masculin. Cet
enfant
se fait attendre et les deux époux s’accusent mut
pas que je sois assez folle pour copier Lucinde. Pasquin. Adieu, mon
enfant
; je vous donne le bon jour. Marton. La peste soi
lavements, lui suscite ensuite des créanciers, plusieurs femmes, des
enfants
, & finit enfin par lui faire craindre d’être
par le dernier moyen, les lavements, les créanciers, les femmes, les
enfants
, loin de produire le moindre effet sur le héros &
on sommeil ? Ouvre, me dit-il, n’appréhende rien ; tu verras un petit
enfant
qui est tout mouillé & qui s’est perdu dans l
scurité. Cela me fait pitié, j’ouvre, & je vois en effet un petit
enfant
qui avoit un arc, des ailes, & un carquois :
le caressant. Que vous avez bien le ton & toutes les façons d’un
enfant
gâté ! Cyane, le caressant aussi. Comment ne l’au
franchise du sien, l’horreur des mésalliances, des maîtresses et des
enfants
naturels. Le Roi, voulant donner à sa belle-sœur
classe d’êtres malheureux, que la misère oblige à vendre du latin aux
enfants
de famille ; que leurs élèves détestent, tourment
, pour prouver que sa raison n’était point affaiblie, comme d’ingrats
enfants
le prétendaient, il invita ses juges à venir l’en
ur manie, des lueurs de raison et des retours de tendresse pour leurs
enfants
. Mais cette manie est telle, qu’habituellement le
ui flatte leur manie pour s’emparer de leur bien et en frustrer leurs
enfants
; mais, incapables de céder à la raison, ils ne p
ntiments et la même conduite : l’une a une tendresse de mère pour les
enfants
de son mari ; l’autre n’est qu’une marâtre pour l
pour les enfants de son mari ; l’autre n’est qu’une marâtre pour les
enfants
du sien. La différente constitution des deux pièc
parce qu’il faut que l’hypocrite, non content de vouloir spolier les
enfants
de son bienfaiteur, veuille aussi séduire sa femm
ontraire, c’est la belle-mère elle-même qui veut faire déshériter les
enfants
d’un premier lit, pour s’enrichir de leurs dépoui
de Béline M. Bonnefoi, son complice, dans le projet de dépouiller les
enfants
de son mari. Les notaires figurent souvent sur la
tre qui était son ouvrage, et des comédiens qu’il regardait comme ses
enfants
. Il était, de plus, le mari très amoureux d’une f
; s’habitua dans Paris, où il prit femme, de laquelle il eut quelques
enfants
. Philippe d’Estampes demeura à Chartres, faisant
de son pere, qui étoit orfevre. Il s’y maria ; mais il ne put avoir d’
enfants
. Un certain filou, natif de Chartres, étant à Par
de son frere Philippe d’Estampes, & la bonne, que n’ayant point d’
enfant
, il étoit son héritier, & qu’il l’avoit laiss
par son testament, dont il le faisoit exécuteur, & tuteur de ses
enfants
, le priant de venir en diligence à Paris pour don
œur la sérieuse pensée du devoir, de l’époux qu’elle devra aimer, des
enfants
qu’elle devra élever350. Qu’elle s’exerce d’avanc
et la rendent digne de devenir femme352. Epouse, que son mari et ses
enfants
deviennent sa vie ; que le monde, les plaisirs de
se joint, chez Elmire, quelque chose de plus beau : l’amour pour ses
enfants
d’adoption. Ce n’est pas une marâtre qui supporte
putation des siens, à la paix du ménage, à l’avenir et au bonheur des
enfants
. Enfin, quand elle voit tous ses efforts sur le p
e je monte Le Sicilien ? Vous m’assurez que Justin Cadeaux est un bon
enfant
, mais Cadet-Roussel aussi est bon enfant, et vous
ue Justin Cadeaux est un bon enfant, mais Cadet-Roussel aussi est bon
enfant
, et vous ne me demandez pas de jouer ses opéras c
arti honorable. En 1664, la comtesse de Grignan mourut, laissant deux
enfants
, dont il est plusieurs fois question dans les let
de pleurer sa mère : il la fit passer de la place de gouvernante des
enfants
de France, à celle de dame d’honneur de la reine,
nous changerons d’avis. George Dandin. Oui, voilà qui est bien, mes
enfants
seront Gentilshommes ; mais je serai cocu, moi, s
Montre d’obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un
enfant
à son pere, A son supérieur le moindre petit frer
mon honneur jouer d’un mauvais tour : Et quel affront pour vous, mes
enfants
, pourroit-ce être, Si l’on avoit ôté l’honneur à
te vois jamais avec un Gouvernement, n’oublie pas ta femme & tes
enfants
. Sancho notre fils a déja ses quinze ans passés,
gendre puisse à ma fille reprocher ses parents, & qu’elle ait des
enfants
qui aient honte de m’appeller leur grand-maman. S
rap auprès de la porte Saint-Innocent. Ils ont amassé du bien à leurs
enfants
, qu’ils paient maintenant peut-être bien cher en
ation. — Le roi va en Flandre, madame de Maintenon à Barèges avec les
enfants
, madame de Montespan à sa terre de Clagny. — Dépe
le fait… J’ai grande envie d’aller à Maintenon, mais les maux de ces
enfants
me retiennent. » Les irrésolutions concernaient
e se soumettait à l’intérêt qu’excitait en elle la mauvaise santé des
enfants
confiés à ses soins. Peu de temps après, un mot t
tte rechute que madame de Maintenon arrive et ramène sur ses jambes l’
enfant
chéri qu’elle a emmené impotent. Madame de Montes
ravaillent pour son père. Cette perspective était propre à donner à l’
enfant
une notion variée et complète de la vie réelle. L
s de mai 1632, à l’âge de trente et un ans, ayant donné le jour à six
enfants
, dont quatre lui survivaient : Jean âgé de dix an
e dans son existence. La part que Marie Cressé laissa à chacun de ses
enfants
, fut de cinq mille livres, bien qu’elle n’eût reç
jeune Poquelin au théâtre semblent dire que c’est par là que Molière
enfant
eut quelque vue sur le monde de la littérature et
s cents maîtres, et quatre cents écoliers internes parmi lesquels les
enfants
des plus grandes maisons du royaume. Il y fit ses
raient eu garde de le contester, dit M. F. Brunetière : « Les Grecs,
enfants
gâtés des filles de Mémoire, […] aimaient ces sor
de la foire Saint-Germain. Là, pendant la durée de la foire, Molière
enfant
put faire connaissance avec l’Orviétan et Bary, o
jugeaient une folie. Perrault raconte que ces parents envoyèrent à l’
enfant
prodigue un ancien maître de pension pour tâcher
ge de tapissier du roi, dont il avait la survivance, tel autre de ses
enfants
qu’il lui plairait et se démettant de tout droit
devant le lieutenant civil pour demander, en son nom et au nom de ses
enfants
, à renoncer à la succession de son défunt mari. M
t mari. Marie Hervé, mariée le 6 octobre 1615, avait eu onze ou douze
enfants
. Il lui en restait cinq vivants à l’époque du déc
pu faire lui-même en province une tournée avec les deux aînés de ses
enfants
et monter même sur le théâtre. Il ne s’explique q
n, non en qualité d’actrice, mais pour corroborer l’engagement de ses
enfants
, et particulièrement celui de Geneviève. « Noble
e. Les comédiennes de la troupe étaient d’une singulière fécondité. L’
enfant
était baptisé où il naissait, et les camarades ét
L’acte de naissance du 18 mai montre que Marie Hervé accompagnait ses
enfants
dans leurs pérégrinations. Il est bien possible q
re, car un des acteurs, Pierre Réveillon, tient, le 19 de ce mois, un
enfant
sur les fonts de baptême en l’Église Sainte-Croix
lui adresse son amant, qui est au service. Malheureusement la pauvre
enfant
ne sait pas lire. « Escusatz, mestre Zély, dit-el
sinuante, boudriotz pas me léjji aquesto létro ? - Pourquoi pas, mon
enfant
? » répond maître Gély. Mais, comme il est en ce
passage de la prétendue lettre. La guérison presque miraculeuse de l’
enfant
de Mars a fait grand bruit, et lui a attiré la vi
doc fut close, le 22 février 1656, il acceptait « avec une docilité d’
enfant
», les règles de conduite que lui imposait l’aust
u 1660, date probable de la lettre de Chapelle, elle n’eût été qu’une
enfant
en 1653, et, quoique Éphyre soit un petit rôle de
hyre soit un petit rôle de quatre vers, encore n’est-ce pas un rôle d’
enfant
: c’est une des Néréides jalouses d’Andromède. On
, et ses canons semblaient n’être faits que pour servir de caches aux
enfants
qui jouent à cligne-musette. Un brandon de glands
personnalité humaines, même dans les faibles, dans les femmes et les
enfants
. Je trouve que le cœur est ce qu’il faut gagner
dès qu’elle sut parler. » Tout en s’occupant de la vive et gentille
enfant
, Molière se laissa séduire par cette printanière
celui de la future épouse, sera permis à icelle future épouse et aux
enfants
qui naîtront dudit mariage, d’accepter la communa
était fort naturel de conclure à première vue que cette fille était l’
enfant
qu’elle avait auprès d’elle : il eût fallu y rega
: elle consentit à se déclarer mère et à faire feu son mari père de l’
enfant
née en 164581.. »Ce raisonnement a séduit quelque
de, Marie Hervé à Madeleine, aurait commencé à la naissance même de l’
enfant
, d’où la fausse déclaration de Marie Hervé le 10
l’un que l’autre. Le comte l’avait bien prouvé, au baptême du premier
enfant
de la Béjart, en reconnaissant cet enfant adultér
ouvé, au baptême du premier enfant de la Béjart, en reconnaissant cet
enfant
adultérin et en le faisant tenir sur les fonts pa
e la veuve Béjart renonçant à la succession de son mari au nom de ses
enfants
mineurs, car de ces enfants, il y en avait bien t
à la succession de son mari au nom de ses enfants mineurs, car de ces
enfants
, il y en avait bien trois qui étaient mineurs, ma
a responsabilité des mensonges que cachait cet acte83. On a donné aux
enfants
un curateur étranger à la famille, Simon Bedeau,
des dettes est un acte qu’on simplifie autant que possible. Sur cinq
enfants
, il y avait trois mineurs ; cela suffisait pour q
enfants, il y avait trois mineurs ; cela suffisait pour que tous les
enfants
fussent désignés comme tels, du moment où l’on ét
t parce qu’elle avait un âge insolite, eût pu présenter comme sien un
enfant
qu’elle n’eût pas mis au monde. On a vu dans le c
une fille, que comme une sœur, et qui avait dû remplacer pour elle l’
enfant
qu’elle avait perdue, sans parler de l’ancienne a
codicille, en avantageant Armande et en n’appelant à lui succéder les
enfants
de Geneviève qu’au cas où ceux de Molière et d’Ar
ent à ces attaques odieuses, accepta d’être le parrain de son premier
enfant
. Comment Molière éclaira-t-il le roi ? Sans doute
yer. Ce qui porterait à croire que la Béjart savait Molière père de l’
enfant
, c’est qu’elle prétendait faire un mariage nomina
ntourait ; elle fit la duchesse, comme dit Grimarest. Au baptême d’un
enfant
dont elle était marraine (23 juin 1663), elle se
é à la cour98. » La réponse du roi ne se fit pas attendre. Un premier
enfant
étant né à Molière de son mariage, le 19 janvier
ent l’honneur de tenir, par procuration, sur les fonts de baptême cet
enfant
qui fut nommé Louis par le duc de Créquy, tenant
sy, tenante pour Madame Henriette d’Angleterre, duchesse d’Orléans. L’
enfant
est né le 19 janvier audit an. Signé : Colombet
eleine Béjart, sa marraine, les noms d’Esprit-Madeleine Poquelin. Cet
enfant
est le seul qui ait survécu à Molière. À côté des
x épicurien renonçât hautement à toutes prétentions. Chapelle était l’
enfant
terrible de la maison. Il est un certain nombre d
la suite comtesse de Feuquières, fut marraine du troisième et dernier
enfant
du poète. On doit à, Mignard plusieurs des portra
aresses des jeunes femmes de la troupe, dit M. Philarète Chasles, cet
enfant
, d’une beauté rare et d’une grâce parfaite, placé
e, dit Molière à son épouse, que vous ayez l’imprudence de frapper un
enfant
aussi sensible que vous connaissez celui-là ; et
universels. Dans le cas où Madeleine-Esprit Poquelin décéderait sans
enfant
, elle voulait que son héritage passât à l’aîné de
sans enfant, elle voulait que son héritage passât à l’aîné des autres
enfants
de Molière et d’Armande. Si Molière et sa femme d
e Molière et d’Armande. Si Molière et sa femme décédaient sans autres
enfants
, alors cet héritage retournerait aux enfants de L
e décédaient sans autres enfants, alors cet héritage retournerait aux
enfants
de Louis Béjart et de Geneviève. Le peintre Migna
corps dans une bière de bois couverte du poëlle des tapissiers ; six
enfants
bleus portant six cierges dans six chandeliers d’
enir. Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Molière, des trois
enfants
qu’il avait eus, ne laissait qu’une fille, Esprit
t ans. Son fils Nicolas Guérin mourut en 1707 ou 1708, sans laisser d’
enfants
d’une demoiselle Guignard qu’il avait épousée. La
: « II considérait volontiers cette triste humanité comme une vieille
enfant
et une incurable qu’il s’agit de redresser un peu
qu’il y a dans tous la même netteté et la même fermeté d’expression ;
enfants
du génie, les personnages, même les plus modestes
îné des Béjart, Joseph, qui fut avec sa sœur Madeleine le premier des
enfants
de Joseph Béjart, huissier ordinaire du roi ès ea
n exubérante personnalité : La Jalousie de Gros-René, Gros-René petit
enfant
; Gros-René écolier. Duparc mourut le 28 octobr
né : Marquise de Gorla, etc. Marquise-Thérèse donna ses prénoms à une
enfant
dont elle fut marraine le 26 mars 1654 (paroisse
emble vraiment, du moins, que ces lignes traduisent le souvenir d’une
enfant
: elles ne laissent deviner ni le charme ni l’ori
de La Grange. M. Jal a constaté que Mlle Debrie donna le jour à deux
enfants
: elle eut une fille le 9 novembre 1659 ; cette f
e 1636, il était avec sa femme à Montpellier où il faisait ondoyer un
enfant
nouveau-né, Achille Varlet plus tard comédien sou
dit seulement d’un pâté. Il sortit donc de Paris avec sa femme et ses
enfants
, lui cinquième, en comptant un petit âne tout cha
Elle avait eu, non pas seize, comme dit Tallemant des Réaux, mais six
enfants
. Michel Baron avait neuf ans lorsqu’il demeura or
ette dans le corps de laquelle il faisait entrer le plus jeune de ses
enfants
, J.-B. Raisin, âgé de cinq ans, et qui déjà savai
magina d’ajouter à son spectacle un petit divertissement joué par ses
enfants
et par quelques autres. Cette troupe juvénile pri
nege des femmes. La Présidente. Mais encore. Le Président. Je suis un
enfant
là-dessus. La Présidente. Vous savez qu’aucune au
Vous n’imaginez rien ! vous avez l’esprit bouché ! vous n’êtes qu’un
enfant
! Le Président. Ce sont des plaisanteries que je
arpagon, qui dans un moment dévoile toute son avarice aux yeux de ses
enfants
, de son intendant, de Maître Jacques, & la dé
sublime ! Toi que nous admirons, sans oser nous flatter Que parmi tes
enfants
tu daignes nous compter, Pardonne notre audace au
au feu qui nous anime : Que notre amour nous légitime, Et soyons tes
enfants
, au moins pour te fêter. (Elle s’approche du bust
asion de faire remarquer ici que Molière, presque toujours, donne aux
enfants
des expressions plus élégantes, des idées plus ra
e ceux qui ne sont pas ridicules ou vicieux, ont, par rapport à leurs
enfants
, une certaine grossièreté de pensées, de discours
uquel tous les parents, dans les classes inférieures, donnent à leurs
enfants
une éducation supérieure à celle qu’ils ont reçue
n a voulu marquer les progrès naissants, lorsqu’il a donné à tous les
enfants
, sur tous les pères, cette espèce de prééminence
s le titre de La Belle et la Bête, un conte destiné à l’amusement des
enfants
. Ce conte eut la même fortune que la fable origin
euples de l’antiquité, où la guerre, la piraterie et l’exposition des
enfants
séparaient de leur famille nombre de jeunes garço
bronze : Du côté de la barbe est toute la puissance. Et les petits
enfants
savent qu’en France le profit est toujours du côt
orale de l’ignorance; employée comme cadenas pour emprisonner un cœur
enfant
, tout ingénieuse qu’elle est et prêtant aux dével
orce, c’est d’avoir divorcé !... Sur ces questions terribles, c’est l’
enfant
que je voudrais surtout interrogerai l’enfant ava
ions terribles, c’est l’enfant que je voudrais surtout interrogerai l’
enfant
avait une voix. J’en ai tant vu de ces orphelins
is que le vrai théâtre-femme serait celui qui prendrait le parti de l’
enfant
! Mesdames et messieurs, je vais vous laisser ave
bandonnée après l’avoir épousée à Pézenas, & d’avoir eu plusieurs
enfants
d’elle. Oronte, touché des plaintes de Lucette, p
; & toutes deux, pour se rendre plus intéressantes, appellent les
enfants
qu’elles prétendent avoir eus de Pourceaugnac. S
’elles prétendent avoir eus de Pourceaugnac. Scene X. Une douzaine d’
enfants
paroissent, entourent Pourceaugnac, le poursuiven
udie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens
, quand je les envisage, répond Henriette, Me font voir un mari, des
enfants
, un ménage, Et je ne vois rien là, si j’en puis r
à sa femme, il chasse malgré lui en lui disant : Va-t-en, ma pauvre
enfant
. Que de raison également et d’à-propos dans le l
qu’enterrer le mari, dont elle flattait les manies, et dépouiller ses
enfants
! Sous la forme d’un lutin, cette alerte et rieus
r le moins, que l’homme dont vous nous parlez, périt sur mer avec ses
enfants
& sa femme, en voulant dérober leur vie aux c
u’il n’appartient qu’à toi de faire des miracles ! Embrassez-moi, mes
enfants
, & mêlez tous deux vos transports à ceux de v
esprit un dessein salutaire ; Il partit, me laissant par bonheur sans
enfants
. Strabon. C’est tout comme chez nous. Depuis le m
. M’en aller au plutôt. Que ma surprise est forte ! Dis-moi, ma chere
enfant
, pourquoi n’es-tu pas morte ? Cléanthis. Pourquoi
r. Dira-t-on que cette piece donne de mauvaises leçons, & que les
enfants
de famille y apprennent à commercer avec les usur
carriere infructueuse. Lorsque les Anciens vouloient inspirer à leurs
enfants
l’horreur que tout honnête homme doit avoir pour
éros avoit une fortune à risquer : ajoutons s’il avoit une femme, des
enfants
, ou quelque emploi qui le mît à même de faire l’i
sur son amour pour Angélique, il exhortoit les peres à donner à leurs
enfants
une éducation qui les mît à l’abri des chagrins q
ibue du moins à leurs progrès. La Médecine est déshonorée par les
enfants
de l’ignorance : sans dire précisément comme Sgan
corriger en leur présence & livrer aux traits de leur mépris les
enfants
du mauvais goût : donnez sur-tout la préférence à
inquiétudes continuelles de perdre son trésor, redoutant jusqu’à ses
enfants
qu’il regarde comme autant d’ennemis, & se la
udie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens
r le mariage, prendre en horreur non pas absolument l’époux, mais les
enfants
et le ménage ; qui mettent un mauvais orgueil au
Il croit toucher au but. Agnès ne sait rien, demande si l’on fait les
enfants
par l’oreille. Il va pouvoir l’épouser en paix. E
n. De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère,
enfant
, mère et femme, Que je m’en soucierais autant que
rétend substituer au père dans la direction morale de l’épouse et des
enfants
, et qui, pour être dévot, n’en sera pas moins hom
tes choses sans la laisser empiéter sur ses droits. Il exigera de ses
enfants
l’obéissance, mais la leur rendra facile, car il
sur la puissance paternelle, qui dit : Tel est le pere, tels sont les
enfants
? Votre fille n’est-elle pas votre chair & vo
, Que le sort les sépare & le sang les rejoint : Etant vrai que l’
enfant
est l’ouvrage du pere, Sa douleur sur lui-même ai
nt réverbere, Et le sang l’un de l’autre est si fort dépendant, Que l’
enfant
met le pere en un trouble évident. Fernand. Il es
passe autre part. « Vous verrez un homme du tiers état, riche de deux
enfants
& de force quarts d’écus. Le fils restoit à p
s sont dignes pour la plupart de figurer avec ceux d’Arlequin statue,
enfant
, perroquet, ramonneur, fauteuil, petit More, sque
un fils nommé Silvio : les deux vieillards ont projetté d’unir leurs
enfants
. Aurora en est au désespoir ; elle fait avertir C
rands poètes, les petits maîtres de l’école du goût ressemblent à des
enfants
ou à des dames s’amusant à manier dans un salon,
vial, défauts dans lesquels il tombe trop souvent. Des
enfants
de Japhet toujours une moitié
berger conduisant son troupeau, une nourrice attendrie pour son petit
enfant
». Le soleil couché, il se promène à petits pas,
ssi beaux vers à un père qui attend avec anxiété des nouvelles de son
enfant
. D’accord ; mais il faut aller plus loin. N’aperc
qui charment ce petit public. L’artiste reste toujours plus ou moins
enfant
, plus ou moins soumis à l’influence du milieu où
er dignement des crocodiles, ne va pas se mêler au groupe de bonnes d’
enfants
et de soldats badauds qui regardent au Jardin des
sez les bonnes lettres naïves qu’il écrivit alors à sa femme et à ses
enfants
, vous n’aurez pas besoin, pour comprendre la théo
anche ? Certes, si j’avais à entreprendre l’éducation littéraire d’un
enfant
, je ne lui enseignerais pas d’autre critique théo
nerais pas d’autre critique théorique et appliquée que celle-là ; mon
enfant
apprendrait ainsi à faire de bons devoirs ; et si
er des successeurs et des vainqueurs. Par l’étude de l’antiquité, nos
enfants
ne deviendront pas des Sophocles ; mais ils pourr
à la critique philosophique. Reprenons nos artistes, enseignons à nos
enfants
l’orthographe ; mais dans le passé où nous ne pou
ir l’œil sur leurs gens, de former aux bonnes mœurs l’esprit de leurs
enfants
, et de régler la dépense avec économie, vont cher
e son ajustement, son amour du monde, l’éducation qu’elle donne à ses
enfants
, ses propos les plus innocents. Entêtée de Tartuf
a philosophie qu’elle n’ait trouvé le temps de se marier, d’avoir des
enfants
, et de mener Chrysale, en bête, par le nez. C’es
cette malheureuse reine d’Angleterre, si dévouée à son mari et à ses
enfants
, et cette gracieuse duchesse d’Orléans dont Racin
stique, aux détails du ménage, afin qu’elle soit en état d’élever des
enfants
avec autorité et prudence dans la crainte de Dieu
es suites de ce mot, quand je les envisage, Me font voir un mari, des
enfants
, un ménage, Et je ne vois rien là, si j’en puis r
son mari, elle en souffre, et cependant elle a su conserver dans les
enfants
le respect de l’autorité paternelle. Damis a sans
sérieuses, lui ouvrira des chemins pour sortir d’embarras. Quand les
enfants
viendront, elle ne s’en remettra pas à une autre
é, sous leurs coups triomphants Tu faillis au berceau voir mourir tes
enfants
. Paris demeura froid aux vers du Misanthrope. En
umain, Toujours votre justice ait la marotte en main. Le monde, vieil
enfant
que notre fouet corrige, Demande un précepteur qu
ce, Avoir un autre esprit et d’autres dons des cieux Que les
enfants
des autres dieux. C’était encore un courtisan qu
ore un courtisan quand il disait, dans une dédicace, à la mère de cet
enfant
adultérin : Le temps qui détruit tout, respectan
écartée de mon devoir. Eh ! que veut-il que devienne notre fils ? Cet
enfant
si cher, seul fruit de notre mariage, sera donc r
fant si cher, seul fruit de notre mariage, sera donc regardé comme un
enfant
illégitime ? Ah ! je ne survivrai jamais à un par
prévenues pour un fils très mauvais sujet lui sacrifient leurs autres
enfants
, & finissent par recevoir de lui les chagrins
ens n’ayant pas de sentiments qui dussent les engager à destiner leur
enfant
à des occupations plus élevées : de sorte qu’il r
e fixer. Molière avait passé, des amusements que l’on se fait avec un
enfant
, à l’amour le plus violent qu’une maîtresse puiss
e plus grande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait quatre
enfants
, tous jolis, deux garçons et deux filles ; il leu
nné son idée, il quitte son orgue et vient à Paris avec sa femme, ses
enfants
, et l’épinette ; il obtint une permission de fair
que le troisième clavier répétait seul d’un bout à l’autre, les deux
enfants
ayant les bras levés ; ensuite le père les faisai
que l’on ouvrît le corps de l’épinette, d’où l’on vit sortir un petit
enfant
de cinq ans, beau comme un ange ; c’était Raisin
dans le moment caressé de toute la cour. Il était temps que le pauvre
enfant
sortît de sa prison, où il était si mal à son ais
Il commençait son spectacle par sa machine, ensuite de quoi les trois
enfants
dansaient une sarabande ; ce qui était suivi d’un
» Ces parents saisirent ce conseil, plus par envie de se défaire de l’
enfant
, pour dissiper plus aisément le reste de son bien
(car son mari était mort alors). Cette femme fut ravie de trouver un
enfant
qui était capable de remplir tout ce que l’on sou
e l’on n’en avait eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un
enfant
de dix ou onze ans, sans avoir été conduit dans l
ordre de les dépenser à ses plaisirs. Tout cela était un rêve pour un
enfant
de douze ans, qui était depuis longtemps entre le
de son mari, elle ne pouvait souffrir qu’il eût de la bonté pour cet
enfant
, qui, de son côté, à treize ans, n’avait pas tout
e, dit Molière à son épouse, que vous ayez l’imprudence de frapper un
enfant
aussi sensible que vous connaissez celui-là, et e
essein d’aller s’y établir. Il commença par y envoyer sa femme et ses
enfants
; et quelque temps après il demanda au roi la per
passer du théâtre. Il part ; mais il trouva chez lui une femme et des
enfants
rebelles, qui le reçurent non-seulement comme un
maltraitèrent. Il fut battu plusieurs fois par sa femme, aidée de ses
enfants
, qui ne voulaient point partager avec lui la joui
vous vois en humeur de vous divertir toute la nuit ; le moyen que cet
enfant
puisse tenir ! il en serait incommodé ; je vous p
lement quatre vers de ma pièce ; et je ne saurais voir maltraiter mes
enfants
de cette force-là, sans souffrir comme un damné.
e l’on n’en usait point avec l’empereur du Mogol détrôné, et avec ses
enfants
, aussi inhumainement qu’on le fait en Turquie. «
pas de vous confier la sienne. » Bernier vit bien que Baron était un
enfant
gâté ; il mit la conversation sur son chapitre. M
euses et les situations les plus tristes. La Thorillière laissa trois
enfants
, savoir : la demoiselle Charlotte Le Noir, femme
, et dont elle blanchissait le linge. Cet acteur, qui n’avait point d’
enfant
, avait fait vœu d’en prendre un dans le cas où se
uer plus de dix ou douze jours. (Il est vrai qu’elle eut vingt-quatre
enfants
.) Au reste, mademoiselle Beauval était d’un carac
dit seulement d’un pâté. Il sortit donc de Paris avec sa femme et ses
enfants
, lui cinquième, en comptant un petit âne tout cha
les fonts de baptême, avec madame Henriette d’Angleterre, le premier
enfant
de Molière, et lui donnait le nom de Louis. C’est
lisait ses pièces aux comédiens, il voulait qu’ils y amenassent leurs
enfants
pour tirer des conjectures de leurs mouvements na
as moins à Rome et dans la Grèce. De la barbare coutume d’exposer les
enfants
, de la vente et de la dispersion des captifs, enf
les côtes, il résultait que beaucoup de pères étaient enlevés à leurs
enfants
, et beaucoup d’enfants à leurs pères. Souvent, ap
que beaucoup de pères étaient enlevés à leurs enfants, et beaucoup d’
enfants
à leurs pères. Souvent, après une longue séparati
res années ayant été partagées entre les écoles que fréquentaient les
enfants
du pauvre et un collège qui comptait des princes
père avare trouve la punition de son vice dans le vice opposé de ses
enfants
. De même encore, le goût excessif d’une femme pou
r. Orgon et Argan sont bons pères, et on les amène à déshériter leurs
enfants
; le premier est dévot, et il s’emporte ; le seco
lui résiste plus. Enfin, Harpagon, consentant au mariage de ses deux
enfants
, exige que le beau-père futur fasse les frais des
était né pour la mécanique. Comment, à la vue des jeux du théâtre, l’
enfant
qui devait être un jour Molière, n’aurait-il pas
pour précepteur le célèbre Gassendi23, et pour compagnon d’études un
enfant
pauvre, Bernier24, que devaient rendre fameux un
oué : c’était comme une suite de cette habitude qu’ont au collège les
enfants
liés entre eux d’amitié de mettre en commun tout
la province, avec son luth, son théorbe, et ses deux petits pages ou
enfants
de musique, société suspecte qui lui valut les ép
fille. M. de Modène avait des idées toutes différentes. Il était sans
enfants
; mais il avait quatre neveux de son nom, à qui i
ous offre celui de la femme d’un Robert Poquelin, qui, ayant eu vingt
enfants
en vingt-six ans, ne pouvait pas être âgée de moi
uvait manquer d’être malheureux ; et il le fût beaucoup. Il eut trois
enfants
de ce mariage. Le premier, qui était un fils, naq
la cour ; il aurait pu ajouter : et Molière y est estimé. Son second
enfant
fut une fille : elle naquit au mois d’août 1665,
eux-là mêmes dont on prétendait que sa mère était fille. Le troisième
enfant
de Molière eut pour parrain Boileau de Puimorin54
lement qu’elle est antérieure à la mort de Molière. Sa fille, le seul
enfant
qui lui ait survécu, était, disent les historiens
lisait une pièce aux comédiens, il voulait qu’ils y amenassent leurs
enfants
: des mouvements libres et ingénus de ces petits
onte sa vie,Jean-Baptiste, et qu’ainsi il pourrait bien ne pas être l’
enfant
qui fut baptisé sons le nom deJeanseulement. L’ob
oie, fille de Henri IV, ensuite à celui de Louis XIII et de Louis XIV
enfant
, qu’il divertissait par ses vers bouffons. On a d
accusent Pourceaugnac de les avoit épousées, appellent une douzaine d’
enfants
, se disputent la gloire de le faire pendre, &
ers, des coquines qui prétendoient être ses femmes, & un déluge d’
enfants
qui l’appellent papa. On le fait aussi déguiser e
épouse4, fille aussi d’un tapissier, obtinrent, pour leur fils encore
enfant
, la survivance de leur charge, et le firent éleve
cer auprès du roi les fonctions de sa charge ; elle avait contrarié l’
enfant
avide d’instruction, elle ouvre aujourd’hui la mi
sans se piquer de la soutenir par un costume ruineux, ils affectent,
enfants
ingrats et parcimonieux, de ne traiter sans façon
ler la prédiction que lui fit dans son enfance une magicienne : « Cet
enfant
, dit-elle, ne périra ni par le poison, ni par le
nsensiblement séduit, comme Arnolphe, par les charmes naissants d’une
enfant
élevée sous ses yeux, il n’ait pas les mêmes rais
poing. Mais un mot, un regard, lui rendent toute sa faiblesse ; plus
enfant
que celle qui le subjugue, il tombe à ses genoux,
uper, et le fit coucher chez lui : qu’on se figure la surprise de cet
enfant
quand, à son réveil, on lui apporta un habit magn
nd Molière, mais huit. Dès ce moment, Molière regarda Baron comme son
enfant
, il l’avait sans cesse avec lui, et ne manquait p
de mes lecteurs sont allés sans doute chez un certain petit espiègle,
enfant
gâté des Français, qu’on appelle le Vaudeville ;
blement quatre vers de ma pièce, et je ne saurais voir maltraiter mes
enfants
de cette force-là, sans souffrir comme un damné.
rapport à Tartuffe, n’est rien moins qu’imbécile, avec sa femme, ses
enfants
; il n’a même pas avec eux un seul instant de fai
qui pouvaient le consoler ; elle voyait avec peine ses bontés pour un
enfant
de treize ans, pour Baron : elle s’oublia même ju
exemple, Euclion ne redoute pas, comme Harpagon, d’être volé par ses
enfants
; il ne force pas son fils à puiser dans la bours
es trousses des faux créanciers, des aventurières avec une douzaine d’
enfants
, dont elles le disent père ; il finit par le fair
e Pourceaugnac de quelques suisses, des trois quarts de ses prétendus
enfants
, des lavements qui le couchent en joue, et nous a
dont on ne l’avait pas soupçonné. Molière nous a sauvé l’exemple d’un
enfant
de famille qui vole un étui d’or. La scène, que
s du mariage, la seconde se complaît dans l’idée d’avoir un mari, des
enfants
, un ménage. Deux pédants également vains nous son
aît. Un époux prétend être maître chez lui et pouvoir disposer de ses
enfants
; son épouse a les mêmes prétentions ; mais elle
al ? D’ailleurs, la belle-mère de Térence n’a rien à démêler avec des
enfants
d’un premier lit ; il n’y en a pas ; c’est avec s
lque chose à désirer ? Béline démasquée peut-elle désormais nuire aux
enfants
de son mari ? Angélique, l’intéressante Angélique
auche. Le rôle d’Angélique. Le professeur. Approchez, ma belle
enfant
, vous qui me paraissez si bien faite pour jouer l
ouison, fille de la première femme d’Argan ? L’élève. Elle est encore
enfant
, puisqu’on essaie de lui persuader que le petit d
ifficultés ; je ne connais, dans tout notre théâtre, que deux rôles d’
enfant
: celui de Joas, et celui de la petite Louison. L
ent d’avance83 la manière dont il allait prendre parti pour un de ses
enfants
chéris, pour ce clystère qu’il avait pris plaisi
oinette amène un dénouement heureux. Le professeur. Tudieu, la belle
enfant
! qui vous en a tant appris ? L’élève. Madame Bel
pose d’imiter s’entend avec la soubrette qui lui apporte une chaise d’
enfant
, de sorte que ses longues jambes, dont il ne sait
demandaient des conseils à mademoiselle Duménil, très volontiers, mes
enfants
, leur disait-elle avec bonté, mais à condition qu
ue d’un mariage secret avec M. de Modène, gentilhomme d’Avignon ; cet
enfant
suivit la troupe et prit l’habitude d’appeler Mol
r ! La vieille qui veut séduire Agnès, lui dit, en l’abordant : Mon
enfant
, le bon Dieu puisse-t-il vous bénir ! 32. Volt
différentes humeurs, qui donnent chacun une éducation différente aux
enfants
qu’ils élèvent ; il y a de même dans L’École des
le plus grande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait trois
enfants
, deux garçons et une fille. Cette dernière lui ét
et vint à Paris en 1660 ou au commencement de 1661 avec sa femme, ses
enfants
, et l’épinette ; il obtint une permission de fair
que l’on ouvrît le corps de l’épinette, d’où l’on vit sortir un petit
enfant
de cinq ans, beau comme un ange ; c’était Raisin
dans le moment caressé de toute la Cour. Il était temps que le pauvre
enfant
sortît de sa prison, car il était si mal à son ai
onna à cette foire, et de plus, il nous apprend que l’épinette et les
enfants
de Raisin parurent encore devant le roi et toute
sans complaisance, En dirent du bien d’importance, Et des trois beaux
enfants
aussi, (Dudit Raisin, le cher souci.) Qui dansaie
t prit des jeunes gens de l’un et de l’autre sexe qu’il joignit à ses
enfants
, dont il fit une troupe qui prit le titre de la T
nes de Molière. On désapprouva le corbillon, la tarte à la crème, les
enfants
faits par l’oreille. Mais aussi les connaisseurs
que le troisième clavier* répétait seul d’un bout à l’autre, les deux
enfants
ayant les bras levés. » *. [Note marginale] C’
re ce vers. 3. [Note marginale] Le petit Raisin. a. « [*]Les trois
enfants
de Raisin, et quelques autres dont Raisin avait f
ant la naissance du duc du Maine avec les honneurs démesurés dont cet
enfant
fut comblé, se laissa aller au plus cruel et au p
loin de tirer du non-être par état, et de porter après ces ténébreux
enfants
au degré de puissance qu’on voit ici par leurs ét
transmettent de général ton en génération, forment dans l’esprit des
enfants
qui se succèdent une idée fixe autour de laquelle
urs en musique, des profanes. Il conte dans un des chapitres qu’étant
enfant
, comme il avait l’oreille très délicate, on s’amu
es de la scène ; il ne s’agit pas de leur donner le ton simple et bon
enfant
de coquins ordinaires. Ils ont quelque chose dans
c’est qu’il n’a pas plus d’esprit que de mémoire. Il a été, comme les
enfants
, ravi de revêtir un costume de carnaval, et il ne
re cocu. Et cependant il a envie d’avoir un intérieur, un ménage, des
enfants
. Ce n’est pas un célibataire de conviction. Il ne
sionnaire est des plus singuliers. Il a acheté à une femme pauvre une
enfant
de quatre ans, qui lui a semblé gentille et douce
de méchants tours ; elle tiendrait son ménage et débarbouillerait ses
enfants
; elle vivrait uniquement pour Dieu et pour son m
d’un côté, un homme qui a passé l’âge des amours, et, de l’autre, une
enfant
de seize ans qui ne sait rien de rien. L’homme pr
rvira comme d’une arme, faisant luire aux yeux de cette imagination d’
enfant
les feux de l’enfer, et enfin ce sentiment de sa
mme rare que ce tuteur. Il voit grandir et se développer au cœur de l’
enfant
cette passion dont les suites l’inquiètent. Il fa
le surtout la femme qui, en lui tenant son ménage, en lui donnant des
enfants
, gardera son honneur intact et le préservera du m
y découvre pas ombre de passion : Un air doux et posé parmi d’autres
enfants
M’inspire de l’amour pour elle dès quatre ans. C
tion. Le rôle d’Alcmène n’était pas trop bien choisi pour cette frêle
enfant
de dix-huit ans. Alcmène est certes une jeune mar
analogue à celui dont vous êtes saisi, quand vous voyez une troupe d’
enfants
martyriser un pauvre chien, rire aux éclats, tand
vec ce cuistre sa fille qui le déteste ; on s’apitoie sur cette jeune
enfant
; mais on comprend la sottise affreusement tyrann
ère l’a-t-il mariée, jeune encore, à un veuf déjà père de deux grands
enfants
. C’est un mariage de raison et de convenances. C
fille a encore de belles épaules à cacher. Elle n’a point nourri les
enfants
; mais, comme me le disait un de vos camarades du
e pardonnerez quand je vous aurai dit que je vis dans une maison où l’
enfant
dit tous les jours : Ma bonne vieille nounou, à u
udy a excités quand il a dit d’un air persuadé : « Voilà trois de mes
enfants
dont il m’a fait l’honneur de conduire la maladie
s comme cela : — Sans doute, reprend-il. Il ne me reste plus que deux
enfants
, dont il prend soin comme des siens ; il les trai
au : quinze ans à peine, le regard vague et ravi de l’innocence ; une
enfant
qui ne comprend ! rien aux transports qu’elle exc
r dit cela de la meilleure foi du monde, en riant presque ; c’est une
enfant
véritable et une bonne enfant. Mlle Favart est ch
du monde, en riant presque ; c’est une enfant véritable et une bonne
enfant
. Mlle Favart est chargée de rendre ce personnage.
vart ne pouvait mieux faire ni même faire autrement. Peut-être qu’une
enfant
de quinze ans, jolie comme Mlle Dubois quand elle
udie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
… Il semblait que ce fût la sagesse éternelle qui
Martine à la porte, lui glisse à l’oreille un : « Va-t’en, ma pauvre
enfant
», tout mouillé d’excuses et de regrets. C’est en
égoïste, ramassé sur sa prétendue maladie, qui sacrifierait femme et
enfants
à sa santé, et qui s’échappe sans cesse de cette
our la compagnie, donnera au fils de M. Diafoirus une petite chaise d’
enfant
, qui le pincera, le lutinera, et qui prendra sa t
nalogue qu’on puisse citer est celui de L’Avare où Frosine assure aux
enfants
d’Harpagon que leur père n’a pas six mois à vivre
e et veuve à vingt ans, N’a pas dû vous laisser, je crois, beaucoup d’
enfants
. Et Crispin répond : Rien que neuf ; mais, le c
en répertoire, ne sera plus jouée avec la naïveté inconsciente et bon
enfant
qu’y ont portée jadis les créateurs des divers rô
es dit à la bonne franquette, vivement, gaîment, gentiment, comme une
enfant
heureuse de vivre. Ce serait délicieux, croyez-vo
le mari qu’on lui destine, si elle fera bien de l’épouser. La pauvre
enfant
! elle ne connaît rien du monde ; mais elle a tou
e à travers sa grave philosophie de surface et ses jolies bouderies d’
enfant
gâté. Je vois du premier coup que c’est un bon pe
ent l’effroi de toute une maison. Ergaste s’est marié ; sa femme, ses
enfants
, son domestique ne lui connaissent encore que ce
costume. Elle revient en soubrette ; elle pétille de joie, comme une
enfant
de six ans qui a mis un masque pour faire peur à
ibilité, très affinée, touche à la mélancolie, Sylvia a la gaîté de l’
enfant
dont on dit qu’il rit aux anges, Cette gaîté a, c
peindre ! Point de grands éclats de colère ! Non, elle boude comme un
enfant
pris en flagrant délit de vol de confitures. Son
sœur, s’étaient roulés ensemble sur les tapis, tandis qu’ils étaient
enfants
! Ils s’étaient égratignés, battus, et la petite
rs ! Ainsi nous avons vu par hasard et pour de rire, comme disent les
enfants
, une comédienne intelligente, à coup sûr, habile
Anaïs, chef d’emploi, et Mme Plessy, alors jeune débutante. — Chère
enfant
, lui dit Mlle Anaïs, je t’ai fait un beau pont. T
er-aller de son indolente et aimable nature. Elle avait un air si bon
enfant
! On sentait si bien qu’elle n’était pas faite po
emparent, on le trouve charmant, et c’est, comme on dit, le meilleur
enfant
du monde. » Et tandis que je relisais cette page
ux ans, en a fait, pour expliquer le génie d’un de ses plus illustres
enfants
, une description qui est une merveille d’ingénios
il a rencontré Chloé dans l’intervalle, Chloé avec qui il avait joué
enfant
, Chloé qui lui a paru charmante, et il s’écrie :
r, Donne-lui, si tu veux, des soins à ton retour. Eh bien ! ma chère
enfant
, si vous dites ce couplet de la même voix aigrele
pied à terre, Entre ses bras la prend : « Embrasse-moi, la belle
enfant
. » « — Hélas ! lui dit-elle, Le cœur tran
taché à montrer quels sont les devoirs de l’époux, des parents et des
enfants
, et, de cette sorte, les devoirs essentiels de la
, tout à fait moderne, orné de groupes de porcelaine, et un berceau d’
enfant
remplit, en regard du lit, le coin jadis réservé
ée. Ce fut sur la proposition de Lekain que les comédiens du roi, les
enfants
chéris de Molière, comme il les appelait, décidèr
r des beaux-arts, sous le règne de Louis XV, verra sans peine que des
enfants
chéris élèvent un monument à la gloire de leur pè
de ronces, Paris dans le rayonnement de sa grandeur ! Il y revint, l’
enfant
de la balle, et lui aussi dut se sentir joyeux de
butiements. Ces reliquiæ et ces fragments sont comme les hochets de l’
enfant
que la mère conserve avec piété et qu’elle regard
conserve avec piété et qu’elle regarde encore quelquefois, lorsque l’
enfant
est devenu un homme. Il faut tout aimer dans ceux
le fixer. Molière avait passé des amusements que l’on se fait avec un
enfant
à l’amour le plus violent qu’une maîtresse puisse
t ces mensonges, y répliqua en servant lui-même de parrain au premier
enfant
de Molière27. Ce mariage n’en fut pas moins, on l
oir, et par ces deux puissances faites de faiblesses, — la femme et l’
enfant
, — guider l’homme à sa fantaisie et faire de la
onsentit aux dragonnades et donna ainsi à la Prusse les meilleurs des
enfants
protestants de la France : — Il lui sera beaucoup
rences. Comédien, on disait de lui qu’il savait faire jouer jusqu’aux
enfants
(Le Malade imaginaire) et qu’il ferait, s’il le f
rleur n’aurait pu dire en une heure. » « Il faisait jouer jusques aux
enfants
. On voit par là que ce n’est pas sans raison qu’i
nous l’avons vu, pénétrer dans l’église où l’on avait apporté Molière
enfant
. À peine laissa-t-on enfouir dans un coin du cime
Alfred de Musset l’avait bien senti, lui qui réagit si bravement, en
enfant
terrible, au nom du génie français, contre les ex
s-Royal. Elle expia par lui les légèretés coupables de sa jeunesse. L’
enfant
qu’elle eut de ce Guérin mourut comme ceux qu’ell
die à Paris, morte à soixante-treize ans, après avoir eu vingt-quatre
enfants
. Joua, entre autres rôles, Nicole du Bourgeois ge
corps dans une bière de bois couverte du poelle des tapissiers ; six
enfants
bleus portans six cierges dans six chandeliers d’
15 septembre 1672, mort le 11 octobre de la même année. Son troisième
enfant
fut une fille, Esprit-Madeleine, née le 4 août 16
voici que, en 1867, Jal produit l’acte de baptême de l’avant dernier
enfant
de Marie Hervé : c’est une fille, nommée Bénigne-
hâteau royal de Saint-Germain-en-Laye (2 octobre 1667), son troisième
enfant
, légitimé de France sous les noms de Louis de Bou
n’était pas homme à rester veuf, lors même qu’il n’eût pas eu quatre
enfants
sur les bras. Un nouveau mariage pouvait lui appo
payement de quelques sommes ; celles dont il doit rendre compte à ses
enfants
sont le plus amer de ses soucis. Il fait tout, po
ui réclamer une part de sa légitime ! Ne lui avait-il pas suffi à cet
enfant
ingrat d’avoir dévoré, pour une éducation désorma
exigea que dès lors il se dessaisît, « en faveur de tel autre de ses
enfants
, qu’il lui plairait », du titre qu’il lui avait f
Le contrat même, où l’on voit la pauvre Marie Hervé, qui vit chez ses
enfants
et aux frais de ses enfants, donner 10,000 livres
t la pauvre Marie Hervé, qui vit chez ses enfants et aux frais de ses
enfants
, donner 10,000 livres, c’est-à-dire 50,000 francs
ur la France, et surtout pour Paris, dont il est un des plus glorieux
enfants
. Avec Corneille, avec Racine, avec La Fontaine,,
re n’est pas celui de sa famille. Grand homme, il s’appelle Molière ;
enfant
et jeune homme, il s’appela Poquelin. Or, comme c
e ; enfant et jeune homme, il s’appela Poquelin. Or, comme c’est de l’
enfant
et du jeune homme dont je dois surtout vous entre
vait été son compère : il avait tenu sur les fonds un des vingt et un
enfants
de Robert Poquelin. Qu’on ne s’étonne pas du nomb
êmes Poquelin, Louis et Jean-Baptiste, nous trouvons d’une part douze
enfants
, et de l’autre seize. En 1717, chez un certain Du
endie, ce fut encore bien mieux. Marié deux fois, il eut trente et un
enfants
: dix-neuf de sa première femme, douze de la seco
gé après sa mort, nous a révélé de ses habitudes. Pour chacun des six
enfants
qu’elle eut en onze années de ménage, et dont Mol
ge et tapissier de M. de Liancourt, il sent passer, dans son esprit d’
enfant
, ses premières esquisses de grands seigneurs lett
ancourt, dont il était devenu le poète fêté, après n’y avoir été tout
enfant
que le neveu du concierge. Les pratiques de son p
un peu Tartufe. Le père Poquelin, lors même qu’il n’eût pas eu quatre
enfants
sur les bras, n’aurait pas été homme à rester veu
charge de tapissier du roi. Il avait compris que c’était désormais un
enfant
perdu pour ses projets, lequel ne serait rien de
oiqu’il fût bègue, s’associe à une troupe,.formée récemment par « des
enfants
de famille », et qui se fait appeler « l’Illustre
pe de la mère, Madeleine Béjard, dont il fut le comédien par amour. L’
enfant
promit ce que devait être la femme. Toutes les co
oque de la Psyché, où les plaintes qu’il prête au père regrettant son
enfant
indiquent chez Molière une disposition d’esprit s
st assez pour qu’on ait eu le temps de mettre tout son espoir dans un
enfant
, surtout lorsque, comme Molière, on est contraint
ère se fait un bonheur d’être, à lui seul, toute une famille pour son
enfant
. Molière pleura donc bien ce premier né ; j’en ai
e lui. Son cœur se l’était gardé. En lui, dit le père, parlant de son
enfant
perdu, En lui j’ai renfermé. par des soin ? Assi
nd on n’aime pas sa maison, l’on n’a qu’une faible affection pour ses
enfants
; s’ils meurent, on ne sait pas les pleurer. La n
aissance d’un second fils, les soins qu’elle devait à sa fille, seule
enfant
qui survécut à Molière, ne l’attachèrent pas beau
à-dire à l’époque dont nous parlons, tout donne à penser qu’un nouvel
enfant
, une seconde fille, fut encore le fruit de cet am
s, son père Joseph Béjard et sa mère Marie Hervé, qui reconnurent cet
enfant
, non comme leur petite-fille, mais comme leur fil
t que trop bien Molière à ces intrigues de naissances mystérieuses, d’
enfants
supposés, et dont il fit l’ingénieux ressort de q
t le sort de la pauvre comédienne laissée en France, et l’avenir de l’
enfant
né de leurs amours ? » La Béjard le comprit, et n
ance de Madeleine, en consentant à tenir avec elle, sur les fonts, un
enfant
de Molière, et qu’il semble avoir fait de ce bapt
st aussi par l’histoire de sa naissance. Comme Armande, Agnès est une
enfant
abandonnée par son père, et dont un tuteur prend
en glissa un souvenir au dénouement. Là encore, un père revient, des
enfants
sont reconnus, et cette fois, pour qu’on ne s’y m
isaient pleuvoir en ses mains les prémices de leurs vendanges. Tout
enfant
encore, ajouta Molière quand il eut achevé son ap
deux chevaux, dont j’aurois eu mille écus d’un autre. — Eh bien ! mon
enfant
, que t’a-t-il dit ? lui demanda le bonhomme. — Lu
e s’il s’agissait du plus grave outrage fait aux saints mystères. Les
enfants
par L’oreille excitèrent une violente indignation
n 1664, il lui fit l’insigne honneur d’être le parrain de son premier
enfant
. La duchesse d’Orléans était la marraine. Molière
fois, Louis XIV, nous l’avons dit, avait voulu être le parrain de son
enfant
; or, une fille vient encore de naître de ce mari
ieux et gens, Vous ne vous verriez pas, au plus beau de vos ans, Avec
enfants
et femme et comblé de richesses, Dévoré nuit et j
dame Claude de France, fille de Henri II, dont elle était le septième
enfant
, s’était mariée avec Charles II, duc de Lorraine,
t à belles injures. Merci Dieu ! Vilain, me veux-tu ruiner avec tes
enfants
? Ah ! ma foi, de moi il n’en ira pas ainsi. » Su
Il est déjà un homme, quand il l’écrit, mais son génie est encore un
enfant
, et un enfant dépaysé, hors de l’inspiration nata
n homme, quand il l’écrit, mais son génie est encore un enfant, et un
enfant
dépaysé, hors de l’inspiration natale, un enfant
ore un enfant, et un enfant dépaysé, hors de l’inspiration natale, un
enfant
qui, avant de savoir sa langue, est obligé de par
son estime pour le poète. Quelques mois après, il était parrain de l’
enfant
, qui naquit le premier du mariage dont on incrimi
lière lui-même. Il n’alla pas bien loin, pour faire sa moisson ;’tout
enfant
, dans la maison natale, il l’avait commencée, et
après les documents récemment trouvés. Veuf comme Harpagon, ayant des
enfants
, fils et filles, il n’aimait pas plus que lui à r
payé de son dû. Molière y mit la plus parfaite bonne grâce. Ce fut l’
enfant
prodigue payant son passé, comme si ce passé n’ét
rie, et si peu en pratique, puisqu’il mit, comme vous savez, tous ses
enfants
aux Enfants trouvés, ce qui, par parenthèse, est
eu en pratique, puisqu’il mit, comme vous savez, tous ses enfants aux
Enfants
trouvés, ce qui, par parenthèse, est une assez ma
ou de panetière ; c’est Mélicerte, où Molière fit, pour Baron, encore
enfant
, le rôle du berger Myrtil. On a ramassé ce débris
Robert Poquelin, fils d’un marchand du même nom, qui avait eu vingt
enfants
, de son mariage avec Simone Gandouin, était, dès
avec Anne Faverolles, fille d’un secrétaire du roi, dont il eut seize
enfants
. Il faisait la banque, et à ce titre, il était, e
rouve placée près de lui dans des conditions particulières. C’est une
enfant
qu’il a achetée autrefois à sa mère, qui était tr
udra de toi à aucun prix. Et pourquoi Molière a-t-il fait d’Agnès une
enfant
abandonnée ? C’est qu’il a voulu qu’elle fût seul
ve, il n’a que ce qu’il mérite, c’est sa juste punition. Il avait une
enfant
entre les mains ; il l’a élevée dans une ignoranc
occupe-t-on ? Pour les filles de la noblesse, pour toutes ces belles
enfants
qui auront un rang à la cour et qui occuperont de
Jean Pocquelin et de Marie Cressé portant la date du 27 avril 1621. L’
enfant
perdit sa mère de bonne heure, en 1633 ; il n’ava
, comme le font bénévolement quelques moliéristes, sur le sort de cet
enfant
de génie condamné par un père barbare à l’apprent
ls du tapissier Pocquelin et l’un de ceux que La Bruyère appelait les
enfants
des Dieux, il ait pu naître, non pas même un semb
avait pas mis ou ne devait pas mettre au monde moins d’une douzaine d’
enfants
, et d’un pauvre huissier à la table de marbre, on
t général du roi dans la ville. Le 10 janvier 1650, Molière tenait un
enfant
sur les fonts à Narbonne. Le 15 février 1650, nou
plus grande partie de cette année. Nous avons l’acte de baptême d’un
enfant
de Mlle du Parc, il est daté du 8 mars 1654. Elle
des propositions peu honnêtes à une jeune fille qui se trouve être l’
enfant
cachée d’un grand seigneur ; celui-ci la fait red
ord que les dénouements comme celui de l’Avare, avec reconnaissance d’
enfants
enlevés par des pirates, étaient peu invraisembla
Montre d’obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un
enfant
à son père, A son supérieur le moindre petit frèr
à celui de la piece françoise, avec la différence qu’il n’y a point d’
enfant
; que les scenes de Jarvis & de Stukéli se pa
de le châtier, on le combloit de récompenses & d’éloges. Quand un
enfant
s’est annoncé avec ce caractere, ses vices se for
est dans le fauteuil, & Jarvis sur la chaise.) Jarvis arrange l’
enfant
, le félicite de dormir sans avoir peur d’être éve
amouche dit à la reine que si elle voulait lui permettre de prendre l’
enfant
royal dans ses bras, il se flattait de le calmer.
rs tant de grimaces et des figures si plaisantes, que non seulement l’
enfant
cessa de pleurer, mais encore qu’il fut pris d’un
ens offraient au public ces attrayants spectacles, une jeune troupe d’
enfants
de famille, la plupart Parisiens de naissance, s’
ndre à d’odieuses calomnies, il voulut être le parrain de son premier
enfant
, Molière put croire que le roi l’estimait, nnon s
: âgé déjà de quarante ans, touché des grâces et de l’innocence d’une
enfant
de dix-sept ans, il lui offrit sa main et l’épous
qui adore sa fille, qui mourrait si elle mourait, qui pleure comme un
enfant
en la voyant malade, qui, pour la soigner, fait a
e servante, les impressions dont il surprend la trace sur le visage d’
enfants
qu’il fait assister à ses répétitions, tout lui e
er sur la tombe de sa fille, tous les pères qui portent le deuil d’un
enfant
ont uni leurs larmes aux siennes; mais le jour où
ne pour l’héritier légitime de tout vieillard qui meurt riche et sans
enfants
; et il faut que celui-ci le déshérite, s’il veut
-il une âme qui réponde à la sienne ? Il aimerait avec l’abandon d’un
enfant
ingénu et la puissance d’affection d’un homme lon
eur à moi ! Ainsi seul je dois être oublié, moi le plus fidèle de tes
enfants
. »Mais Jupiter répond : « Si tu t’es attardé dans
le plus comique. Le comique humain est le seul que Molière ait connu.
Enfant
du XVIIe siècle, né au milieu d’une société qui c
a gaîté est un comique libre et folâtre. C’est un jeu, mais celui des
enfants
, et pas du tout celui des hommes. Ce genre de com
ant des poètes comiques. Dans chacune de ses pièces, le jeu, un jeu d’
enfant
inépuisable de verve et d’entrain, cache une sati
Montre d’obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un
enfant
à son père, À son supérieur le moindre petit frèr
ses affections, et qu’elle ait pour première société son mari et ses
enfants
. En elle réside le génie de la famille. Les enfan
é son mari et ses enfants. En elle réside le génie de la famille. Les
enfants
s’abritent sous son aile; elle les suit du regard
rendre intérêt à l’œuvre de celui qui travaille pour elle et pour ses
enfants
, de pouvoir le suivre d’un regard ami dans le cha
udie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens
t un avare qui aime beaucoup plus son or que son fils. Cléante est un
enfant
mal élevé, qui dresse contre les trésors de son p
ue le monde tel qu’il est; or dans le monde il n’est pas rare que des
enfants
indignes soient le châtiment d’un père avili. Mol
ce spectacle, les détournent. Le théâtre de Molière n’est ni pour des
enfants
, ni pour des anges, mais pour des hommes. Je retr
était de celles dont on n’a pas conscience: pensée de poète, pensée d’
enfant
. Qui sait s’il n’a pas ri quelquefois avec Célimè
n du voile de l’avenir, n’est, malgré son regard d’aigle, qu’un petit
enfant
à côté de Molière. Il n’a jamais eu que le presse
t sur ses richesses, voici venir des impies et des esprits forts, des
enfants
de don Juan, souillés comme lui de plus d’un vice
Louis XIV et la duchesse d’Orléans parrain et marraine de son premier
enfant
; mot de Belloc, valet de chambre du Roi ; Louis
Ces attaques le font accuser d’hérésie. Sa femme lui donne un second
enfant
; les dérèglements de celle-ci amènent une sépara
l’église, aurait été enterré dans la partie du cimetière réservée aux
enfants
mort-nés. Sonnet à ce sujet. Épitaphe de Molière
ctions importantes qui donnaient quelquefois la noblesse. Aîné de dix
enfants
, le jeune Poquelin fut dès son bas âge destiné au
ait tout ce que les marchands croyaient alors devoir faire pour leurs
enfants
. Les sciences et les belles-lettres n’étaient cul
collège de Clermont, dirigé par les jésuites, reçut, comme externe, l’
enfant
qui devait être un jour l’immortel auteur du Tart
gère à ses succès. Les mêmes cours étaient alors suivis par plusieurs
enfants
qui plus tard se firent un nom dans les sciences
tudes que Poquelin fit chez les Jésuites, recevant tous les jours des
enfants
destinés à rester laïques, qui auront donné lieu
ui et Marie Hervé, sa femme, s’occupèrent peu de l’éducation de leurs
enfants
, qui tous prirent le parti du théâtre. Malgré l’i
e parrain, dans une paroisse de cette ville, à l’acte de baptême de l’
enfant
d’une demoiselle Anne14. Il était dans cette vill
its de la vie de Sylla est d’avoir dit qu’il voyait dans César encore
enfant
plusieurs Marius, c’est-à-dire un esprit plus amb
re égalés que par les critiques furieuses dont elle fut l’objet. Les
enfants
par l’oreille et Tarte à la crème soulevèrent
le Béjart l’aînée. Mais Montfleury ne manqua pas d’affirmer que cette
enfant
, dont le comte de Modène avait bien voulu se reco
se d’Orléans firent à l’accusé l’insigne honneur de tenir son premier
enfant
sur les fonts de baptême. Le rapprochement de ces
, ordonna qu’on l’ouvrît sur-le-champ, et l’on en vit sortir un jeune
enfant
, fils de Raisin, qui commençait à se trouver fort
Roi, touché de sa position, l’autorisa à établir à Paris une troupe d’
enfants
sous le titre de Troupe de Monseigneur le Dauphin
spectacle dans sa Muse historique du 7 juin suivant. C’est parmi ces
enfants
que Molière distingua Baron, et Raisin étant venu
jamais changé de religion que pour faire fortune et mieux avancer ses
enfants
». Mais l’horreur succéderait au mépris qu’inspir
fait découvrir aux gens les mieux portants mille maladies mortelles,
enfants
de leur imagination. Dans L’Amour médecin, ses pl
ur médecin, le 4 août, mademoiselle Molière donna le jour à un second
enfant
. Son mari avait lieu d’espérer que cette circonst
édiens, lorsqu’il leur soumettait ses pièces, qu’ils amenassent leurs
enfants
« pour tirer des conjectures de leurs mouvements
lement quatre vers de ma pièce ; et je ne saurais voir maltraiter mes
enfants
de cette force-là sans souffrir comme un damné. »
ent il tourne en dérision les respectables droits des pères sur leurs
enfants
, des maris sur leurs femmes, des maîtres sur leur
rvant la patrie avec désintéressement, plus jaloux de laisser à leurs
enfants
un nom sans tache et de bons exemples que des tit
dre. « Supposons que, dans un sermon, l’orateur dit à l’avare : “Vos
enfants
sont vertueux, sensibles, reconnaissants, nés pou
se souvenir que vous êtes leur père, si vous oubliez qu’ils sont vos
enfants
, le vice l’emportera sur la vertu, et le mépris d
valets se ligueront pour dérober à votre avarice les secours que vos
enfants
n’ont pu obtenir de votre amour. La dissipation e
La dissipation et le larcin seront le fruit de vos épargnes ; et vos
enfants
, devenus vicieux par votre faute et pour votre su
en action. Ni l’orateur ni le poète ne veulent encourager par là les
enfants
à manquer à ce qu’ils doivent à leurs pères ; mai
e aux pères à ne pas mettre à cette cruelle épreuve la vertu de leurs
enfants
. » L’Avare fut, en 1733, transporté avec un pro
ar celui d’Auteuil, pour tenir également sur les fonts de baptême les
enfants
de deux officiers du Roi82. À Pâques 1670, d’asse
, avait eu le désir de s’y aller fixer. Il y avait d’abord envoyé ses
enfants
et sa femme, et était demeuré en France jusqu’à c
mpressa néanmoins de courir en masse aux représentations de ce nouvel
enfant
prodigue. M. Jourdain eut seul le talent de la ra
pas au moins du ciel en terre, vous auriez quelque pitié de vos chers
enfants
qui sont à la veille de se rompre le col, et ne l
baptême le 1er octobre suivant ; mais il eut la douleur de perdre cet
enfant
le 11 de ce dernier mois. Le 17 février de la mêm
e corps dans une bière de bois couverte du poêle des tapissiers ; six
enfants
bleus portant six cierges dans six chandeliers d’
ppartenait pas, à lui, de refaire et de continuer l’auteur. Des trois
enfants
que Molière avait eus, un seul lui survécut ; c’é
l de Montalant, homme d’une quarantaine d’années, et veuf avec quatre
enfants
. Mademoiselle Guérin commença quelques poursuites
nt mourut le 23 mai 1723, et son mari le 4 juin 1738, sans avoir eu d’
enfants
de leur mariage. Ainsi s’éteignit la descendance
était déjà en puissance de mari quand elle fut marraine du troisième
enfant
de Molière. Le marquis de Feuquières, et non M. d
sse. « Trois cents livres.Voilà ce qui m’outre le plus. Donner à ses
enfants
des leçons là-dessus ! A quoi lui servois-tu ? Ad
Qui n’a point de ceinture, & va nonchalamment, Par certain air d’
enfant
qu’elle donne au visage, Est nommée innocente, &a
se, incapable d’amour et de famille305 ; une gracieuse et spirituelle
enfant
près d’être immolée à l’engouement de sa mère pou
es suites de ce mot, quand je les envisage, Me font voir un mari, des
enfants
, un ménage ; Et je ne vois rien là, si j’en puis
ont reproché à Molière les mots fameux de la tarte a la crème et des
enfants
par l’oreille 333 ; les pudibonds se sont indigné
ve ridicule de se priver d’une partie de ses biens et des soins d’une
enfant
chérie, en faveur d’un étranger ; et rien ne lui
ée, est que les filles ne sont pas faites pour se marier et avoir des
enfants
à leur tour, mais pour vieillir en tenant la mais
ue ; aimant leurs femmes et leur donnant des coups ; chérissant leurs
enfants
et ne leur donnant pas de pain ; travaillant pour
mme dans l’autre, Myrtil et Mélicerte devaient être reconnus pour des
enfants
nés d’un sang illustre, que des motifs de politiq
et en os ! Pauvres femmes, dont nos pères se moquaient, leurs petits
enfants
vous ont cruellement regrettées quand ils se sont
éfense et la protection d’un tas de poètes nouveaux qu’elle avait vus
enfants
, et qui venaient abriter, à cette ombre charmante
es sans amour, l’innocence des premiers jours, les bondissements de l’
enfant
, les rêveries de la petite fille. Cela fait toujo
dans la tour du Temple, à côté de son père, de sa mère, de son frère
enfant
, était enfermée une jeune fille de quinze ans, —
e jeune fille de quinze ans, — l’âge de la jeune débutante ! Ces deux
enfants
étaient nées à Versailles le même jour, et pour a
ent constitué une pension de douze cents livres sur la tête de chaque
enfant
, venu au monde le même jour que la princesse roya
le Mars eût fait de Madeleine sa légataire universelle. Aujourd’hui l’
enfant
glane, et cherche sa vie, à travers ces domaines,
lement quatre vers de ma pièce ; et je ne saurais voir maltraiter mes
enfants
de cette force-là, sans souffrir comme un damné.
ommencement de 1672 on ignorait encore dans le public l’existence des
enfants
de madame de Montespan, et par conséquent on igno
ritent à peine cette leçon : Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens
ait ses pièces aux comédiens, il voulait135 qu’ils y amenassent leurs
enfants
, pour tirer des conjectures de leurs mouvements n
neux, et avec cela amoureux : la vraie morale de l’Avare est dans ses
enfants
. Par sa négligence coupable, l’honneur de sa fill
nd-chance pour que les choses tournent autrement. Il cherche pour ses
enfants
des mariages de pur intérêt, destinés à être un m
u’elles émoussent promptement ; il les hait pour sa famille, pour ses
enfants
et pour ses serviteurs ; il les hait pour l’honne
n lourdaud perdre l’équilibre ; un étranger faire des quiproquos ; un
enfant
parler politique ; un roi et son ministre jouer à
creuser encore, et ailleurs ; mais il ne la trouvera pas plus que les
enfants
du laboureur ne trouvèrent for qu’ils croyaient e
convaincu ou de convaincre ? Le sentiment Uranie n’est pas un
enfant
gâté de la nature, qu’une fée aurait doté à son b
e manière, et a-t-elle erré quelquefois ? Pourquoi, lorsqu’elle était
enfant
, n’aimait-elle pas Molière ou l’aimait-elle si ma
raduction en idées, qu’un retour à leur origine. Lorsque Uranie était
enfant
, comment aurait-elle apprécié Le Misanthrope ? Gr
ne savait pas lire. Elle se divertissait aux choses qui font rire les
enfants
, les gens du peuple et le Marquis. Le reste étant
e. Le public ne partagea pas la tendresse du citoyen Champagne pour l’
enfant
chéri. On déchira l’affiche, on fit des papillote
dans la gloire ; dans un amour intime de la terre natale, de tous ses
enfants
, de tous ses intérêts; dans la vie intérieure du
er sur la tombe de sa fille, tous les pères qui portent le deuil d’un
enfant
ont uni leurs larmes aux siennes. Mais le jour où
sur cette vie aussi riche en instructions chrétiennes que celle de l’
enfant
prodigue. Racine les avait quittés, entraîné par
piter, malheur à moi, qui seul suis oublié, moi le plus fidèle de tes
enfants
! — Où donc étais-tu, dit Jupiter lorsqu’on a par
deux fois avant de damner un homme de ma sorte ! Sganarelle, c’est l’
enfant
du peuple, homme timoré et de bon sens, croyant e
si mal venu dans ce drame de joie, de duels, de dettes non payées, d’
enfants
railleurs, de filles abusées, de pères conspués ;
e bas monde : l’homme se lasse du pain frais, le savant de l’étude, l’
enfant
de la bouillie ; le roi même se lasse de son trôn
(ou Carion) et les villageois. Proudhon. Mes amis ! mes amis ! rudes
enfants
du travail, jusqu’à ce jour c’est à peine si votr
uand vous devriez me pousser à grands coups de pied ! Hâtez-vous, mes
enfants
, haussez le ton, faisons autant de bruit que le C
édie. Il avait — ce vil bouffon — la verve ingénieuse de ces Italiens
enfants
de la mélodie, qui chantent comme l’oiseau chante
a sainte recluse il y eut encore bien des agitations ; la mort de son
enfant
, les désordres du roi, qui lui était toujours si
pocryphe qui s’amuse à jouer avec les dames de la cour, à parler de l’
enfant
que le roi a fait à la duchesse de Roquelaure : i
Parlement, les auteurs lui ont mis, à la main, le fouet qu’il avait (
enfant
), la première fois qu’il entra en son Parlement,
l s’enferma dans un vieux château, non loin de Toulouse, et quand ses
enfants
lui demandaient des nouvelles de leur mère : — El
rte et vrai ; même il parle tous les genres de patois, comme un digne
enfant
des Halles : Tout lui va, le patois de la ville e
ne nénie à la gloire de Molière ! On a pas goûté ce prologue en mal d’
enfant
! Le poète était trop jeune pour la circonstance
t, en faisant élever, sous l’habit de garçon, Ascagne, qu’il croit un
enfant
supposé, frustre d’un bien considérable Polidore,
ciété trace le plan, chacun y met quelque détail ; le précepteur de l’
enfant
de la maison transcrit ce qu’on appelle une piece
lant, Qui promettoit tant, Refuse le service. Menez donc le chétif
enfant
Loger à l’écrevisse, Lon la, Loger à l’écrevi
’un disoit à l’autre pere : Ecoutez, je prétends, mon frere, Que nos
enfants
soient bien, qu’ils ne puissent faillir ; Et pour
lle Il fit l’honneur à ce parent, Non de recommander à ses soins son
enfant
, Mais de le subroger en sa place de pere : En un
Un an depuis s’est écoulé ; En sorte que, tout calculé, La pauvre
enfant
se trouve âgée De dix-sept ans, & partagée
oiqu’il veuille le dérober à la connoissance de sa femme & de ses
enfants
, il lui échappe de l’appeller son fils dix fois l
rands frais. LE RETOUR. Le Marquis, homme unique pour apprendre à un
enfant
de famille l’art de se ruiner, & la jeune Cid
it ressemblants. L’on nomma l’un Menechme, & l’autre Sosicle. Ces
enfants
avoient déja sept ans quand Moschus s’embarque av
ne de la piece latine est d’abord plus naturelle que la françoise. Un
enfant
de sept ans perdu outre mer, transplanté ensuite
s volontés. La veuve jette les hauts cris, quand le précepteur de ses
enfants
, qui l’avoit aidée dans le particulier à soutenir
t, cette duplicité d’action seroit choquante, parceque l’avarice d’un
enfant
est tout-à-fait différente de celle d’un homme mû
t-quatre heures, nous fait voir son héros refuser le nécessaire à ses
enfants
, conseiller à son fils, qui se trouve mal, de boi
. Eh ! Maître Herman de Breme, peut-on entretenir une femme & des
enfants
avec cela ? Herman. Pourquoi non ? Vous imaginez-
, qui néglige sa maison, & qui laisse souffrir sa femme & ses
enfants
? Herman. Crispin, donne à ma femme un verre de b
e l’enthousiasme public : si avant tout elles étaient pour Molière, l’
enfant
de Paris, l’une des gloires hors ligne de la Fran
. Molière a obtenu la justice qui lui était due. Mais il est un autre
enfant
de Paris, qui a porté haut et loin l’honneur de l
ènes. Les Furies chargent de leurs accusations et de leurs clameurs l’
enfant
de Clytemnestre défendu par Apollon. Elles font v
a vie, est d’un ordre plus élevé que le lien nécessaire par lequel un
enfant
tient à ses parents. Car le véritable principe du
iteurs les maîtres, où le père a perdu par sa faute le respect de ses
enfants
. Une pareille maison ouvre pour ainsi dire toutes
et se démène contre la saine politique et contre l’ordre social, ces
enfants
qui insultent à la majesté paternelle, sont réell
s ; elle s’occupe plus de son ménage que de littérature. Viennent les
enfants
. Au bout d’une dizaine d’années, les nuits sont f
a eu pour lui autant de libéralité que Shakespeare pour aucun de ses
enfants
. L’ingénieux hidalgo n’est fou que sur un point.
l’agression papale ». L’œuvre de Molière dut prouver suffisamment aux
enfants
spirituels d’Elisabeth que le Pape est un chef de
on loue de veiller sur l’honneur de leur nom et sur l’avenir de leurs
enfants
. Pendant treize ans, Molière mena la vie de coméd
XIV, sans même vouloir qu’on examinât l’accusation, fut parrain de l’
enfant
né de ce mariage. — Enfin, Louis XIV, malgré le P
, qu’on vit plus tard rentrer dans la famille comme parrain du second
enfant
de l’auteur du Tartuffe. Mais, d’un autre côté, B
de nature fort complaisante ; car on la voit, en 1658, marraine de l’
enfant
illégitime dont accouche à vingt ans sa fille Mad
e consentit donc à se déclarer mère et à faire feu son mari père de l’
enfant
né en 1645 ; ce qui lui donnait, à elle, une féco
lesser aucun fait, nous semble confirmée par celui-ci : que le second
enfant
de Molière, né en 1665, eut pour parrain ce même
cette capitale) ! Les femmes ne s’arment plus contre la pudeur ; les
enfants
ne soupirent plus après les plaisirs mortels et n
Jam fœtet.« Ainsi, un père vicieux pervertit sans le vouloir même ses
enfants
… Ainsi, une femme sans conscience dérègle toute
r. Le père de Bourdaloue accourut en poste pour reprendre son fils. L’
enfant
ne résista point, les religieux dont il désirait
ment. Mme de Montespan était là, maîtresse déclarée, mère de nombreux
enfants
doublement adultérins, que leur père voulait auda
prodige, mais par cette fureur de dupe qui le porte à dépouiller ses
enfants
. Il n’est pas possible de forcer plus outrageusem
ppose, qui ne sache qu’une part au moins de son bien appartient à ses
enfants
et qui se décide à les dépouiller sans consulter
nfiance d’un ami malheureux ; il verrait sans sourciller mourir amis,
enfants
, mère et femme, et tout cela par un principe de p
r un gendre dont la piété lui garantisse le repos et l’honneur de son
enfant
. Bientôt, quelque mouvement naturel de la vraie p
pour rien, De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je venais mourir
enfants
et mère et femme, Que je m’en soucierais autant q
, les Scapin, les Crispin, les Sganarelle et les Mascarille, célèbres
enfants
de sa belle humeur, qui tous ensemble enseignent
pour rien, De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je venais mourir
enfants
et mère et femme, Que je m’en soucierais autant q
s cesse. Le grand homme donne son art à tous, même aux simples et aux
enfants
. Le comédien finit sur son champ de bataille, le
gens n’ayant pas de sentimens qui dussent les engager à destiner leur
enfant
a des occupations plus élevées : de sorte qu’il r
le fixer. Moliere avoit passé des amusemens que l’on se fait avec un
enfant
, à l’amour le plus violent qu’une maîtresse puiss
que l’on ouvrît le corps de l’Epinette, d’où l’on vit sortir un petit
enfant
de cinq ans, beau comme un Ange. C’étoit Raisin l
dans le moment caressé de toute la Cour. Il étoit temps que le pauvre
enfant
sortît de sa prison, où il étoit si mal à son ais
s ? Ces parens saisirent ce conseil plus par envie de se défaire de l’
enfant
, pour dissiper plus aisément le reste de son bien
n, car son mari étoit mort alors. Cette femme fut ravie de trouver un
enfant
qui étoit capable de remplir tout ce que l’on sou
e l’on n’en avoit eu à chercher l’Epinette. Il étoit surprenant qu’un
enfant
de dix ou onze ans, sans avoir été conduit dans l
ordre de les dépenser à ses plaisirs. Tout cela étoit un rêve pour un
enfant
de douze ans, qui étoit depuis long-temps entre l
de son mari, elle ne pouvoit souffrir qu’il eût de la bonté pour cet
enfant
, qui de son côté à treize ans n’avoit pas toute l
e, dit Moliere à son Epouse, que vous ayez l’imprudence de frapper un
enfant
aussi sensible que vous connoissez celui-là ; &am
vous vois en humeur de vous divertir toute la nuit ; le moyen que cet
enfant
puisse tenir ? Il en seroit incommodé, je vous pr
le pas de vous confier la sienne. Bernier vit bien que Baron étoit un
enfant
gâté ; il mit la conversation sur son chapitre. M
au pere de mon maître ; Qu’ils étoient grands amis, n’étant encore qu’
enfants
, Et qu’il y peut avoir déja près de huit ans Que
quand sa maîtresse aura accouché, quand le jour de la naissance de l’
enfant
viendra, quand il sera initié aux grands mysteres
aux grands mysteres : enfin à toutes les bonnes fêtes on donnera à l’
enfant
, & ce sera la mere qui en profitera. N’est-ce
abes sur douze tons, à peu près comme une bonne qui fait réciter à un
enfant
Maître corbeau sur un arbre perché. On appelle ce
inissez-donc. — Quoi ! de vous rendre justice ? Allons, vous faites l’
enfant
. Fi ! que cette modestie vous sied mal ! Ces Mess
devant une jatte de crême qu’elle distribuoit à son mari & à ses
enfants
, une épingle, trop foible pour soutenir un énorme
tomber sa gorge, & qu’afin de ne point scandaliser ses gens, ses
enfants
& leur précepteur, elle avoit été obligée de
moment descendu de son char de victoire, Retrouve dans les arts, doux
enfants
de la paix, Des lauriers que les pleurs n’arrosèr
de nouveau de nourrissons des arts, Le disputant de gloire aux fiers
enfants
de Mars. Mais un frondeur chagrin et que tout inq
n trésor. Liconide, qui a violé la fille d’Euclion, qui lui a fait un
enfant
, paroît : il voit le désespoir du vieillard, croi
l’excès de son avarice, & la maniere austere dont il vit avec ses
enfants
, pourroient autoriser des choses plus étranges. P
ement prononcés. Euclion ne redoute pas, comme Harpagon, ses propres
enfants
; il ne laisse pas manquer sa fille même des chos
ster toute ma vie de mes voisins, de mes parents, de ma femme, de mes
enfants
, &, pour ma récompense, j’aurai la douleur mo
▲