as frappante par elle-même, & qui a besoin d’être soutenue par un
discours
fleuri. On rapporte qu’un homme curieux de voir l
faires, & je sais qu’il n’est pas honnête de prêter l’oreille aux
discours
des personnes qui se parlent. Que cela soit vrai
paysan auroit été moins poli, & eût malgré lui fait attention au
discours
des acteurs, s’ils eussent été animés par une act
et d’y être. Arrive ensuite Flavio, que la comédienne arrête avec des
discours
engageants. scène IV. Mais Flaminia les aperçoit
utres grâces célestes, Soit au visage ou aux gestes, Accompagnent ses
discours
! Divin esprit dont la France Adorera l’excellen
ais : « Les Bravacheries du capitaine Spavente, divisées en plusieurs
discours
en forme de dialogue, de François Andreini de Pis
en.) » À Paris, chez David Leclerc, 1608. Voici les arguments des six
discours
contenus en ce livre : Au 1er, le capitaine Spav
pitié soulager ses amours : Cent fois le jour j’entends de semblables
discours
. Je suis de mille amants sans cesse importunée, E
gnorez, ma sœur, ce que je vous veux dire. Hespérie. Je sais tous les
discours
de tous ces amoureux : Qu’il brûle, qu’il se meur
sœur !Qu’est-ce donc que veut dire ce hai ? Et qu’a de surprenant le
discours
que je fais ? On est faite d’un air, je pense, à
r le public. Sa conduite dans la vie était conforme en ce point à ses
discours
sur le théâtre. Il avait un médecin, ou plutôt un
esse affublés ; le grec et le latin dont ils lardaient leurs moindres
discours
, tout leur donnait cette physionomie pédantesque,
risée de ceux mêmes dont il condamne légitimement la’ conduite et les
discours
. Tandis que Alceste, vertueux et inflexible, gour
elle n’est pas de la Faculté ; il ne fait qu’imiter grotesquement les
discours
et les manières des véritables docteurs : mais il
nt la langue en faisant parler des villageois. Il leur font tenir des
discours
proportionnés à leur état, sans qu’il en coûte ri
es pastorales, que sous la condition d’ennoblir les sentiments et les
discours
des personnages. Molière subit cette loi imposée
ari a remportée, il met sa lanterne à terre, & il lui adresse son
discours
, comme si elle étoit effectivement la femme du Gé
alimatias que lui fait Sosie, lui ordonne de répondre par ordre à ses
discours
, lui demande quel est le téméraire qui l’a battu,
and cœur, Tout cela va le mieux du monde : Mais enfin coupons aux
discours
, Et que chacun chez soi doucement se retire. Su
, Et vous verrez l’effet s’accorder à ma voix. A quoi tant répéter ce
discours
inutile ? Me voici dans les champs, & je suis
urreau, viens-çà. Sais-tu, maître frippon, Qu’à te faire assommer ton
discours
peut suffire ; Et que, pour te traiter comme je l
’écouter, d’un valet, les sottises qu’il dit. Sosie, à part. Tous les
discours
sont des sottises, Partant d’un homme sans éclat.
ulez, malheureux s’il vous plaît. . . . . . . . . . Je sais qu’un tel
discours
de moi paroît étrange : Mais, Madame, après tout
p; de ce qui l’excite dans les bons & les petits esprits. Tom. I,
Discours
XXXV. Ride, si sapis... Martial, L. II. Epig. XL
l, L. II. Epig. XLI. 1. Riez, si vous êtes sage. M. Hobbes, dans son
Discours
sur la nature humaine, qui est, si je ne me tromp
compte. Ces trois lettres, fort étendues et que l’auteur a intitulées
Discours
, sont ce que Balzac a écrit de plus intéressant e
, et des conversations qui avaient lieu dans son intimité. Le premier
discours
est en partie le résumé, et en partie le développ
ivres de Tacite, qui avaient pour titre Les Facéties. » Le troisième
discours
de Balzac à la marquise de Rambouillet est intitu
vez penser, mêmement ceux qui ont expérimenté amour, combien tous ces
discours
étoient agréables à Maître Raimon. Or Nérin avoit
l défioit, graces aux Cieux, Sa femme, encor que trop rusée. A ce
discours
, ami Lecteur, Vous ne croiriez jamais, sans avoir
du ciel lorsqu’on trompe son mari. Enfin, l’on voit clairement que le
discours
de Don Pedre a fourni l’idée de celui d’Arnolphe.
pour voir comment Moliere a su tirer parti de la bêtise de Laure, des
discours
que lui tient la vieille sorciere, même de l’assi
que Scarron. Il lui doit, comme nous l’avons vu, la matrone & ses
discours
: il lui doit l’opposition sublime d’une fille si
Vous nous avez tantôt montré notre leçon. Arnolphe. Mais à ses beaux
discours
gardez-vous de vous rendre. Alain. Oh ! vraiment.
pendant...Est l’hymen impossible. La Fleur. Impossible, Monsieur ! Ce
discours
me surprend. N’êtes-vous pas garçon ? libre par c
r, à part. Oh ! voilà les vapeurs qui troublent son bon sens. Par les
discours
qu’il tient, la chose est avérée ; Et je n’en dou
blic et les gens de lettres. En tête de mon Commentaire j’ai placé un
Discours
sur la Comédie. A la suite, est la vie de Molière
mon travail, j’ai cru devoir soumettre au public et aux critiques le
Discours
que j’ai fait sur la Comédie, et qui précédera le
imes d’un des plus beaux génies qui aient jamais honoré la France.
Discours
sur la comédie. S’il est un art digne d’attire
u’ils ne mettent jamais dans la bouche d’un homme sans éducation, des
discours
qu’un homme bien élevé peut seul tenir. Des u
ls on dit à Cléante qu’il est bien heureux de n’avoir pas entendu les
discours
que Madame Pernelle a tenus à la porte. Scene IV
acte. Elmire, à Cléante. Vous êtes bienheureux de n’être pas venu Au
discours
qu’à la porte elle nous a tenu. Mais j’ai vu mon
rs il est à parier que Madame Pernelle n’a pas oublié Tartufe dans le
discours
qu’elle a tenu à la porte, & il eût été très
on veut fronder une Comédie et que l’on en parle beaucoup, les divers
discours
que l’on en tient y font venir du monde, et ceux
arlent continuellement sont cause qu’elles réussissent, puisque leurs
discours
obligent les autres à les aller voir. — Tout ce q
et nous en voyons tous les jours des exemples. Mais, pour changer de
discours
, je vous prie de me dire si vous avez vu la Sopho
Id., act. V, sc. VIII 153. La Rochefoucauld, Maximes. 154. Auger,
Discours
préliminaire aux Œuvres de Molière, 1819. 155.
rvation, si étrangement méconnue par Descartes lui-même (Voir surtout
Discours
sur la Méthode, IVe partie ; Les Météores, Discou
ême (Voir surtout Discours sur la Méthode, IVe partie ; Les Météores,
Discours
I et VII, etc.) : Syntagma philosophiœ Epicuri, c
ttent n’étaient suffisants à me convier à les apprendre. » Descartes,
Discours
sur la Méthode, 1re partie. 207. Il faut attribu
rrai-je à mon tour parler en liberté ? Don Garcie. Et par quels beaux
discours
que l’artifice inspire.... . . . . . . . . . . .
repentirez de l’éclat que vous faites. Don Garcie. Non, non, tous ces
discours
sont de vaines défaites, Et c’est moi bien plutôt
ces offensantes injures que tu viens de proférer contre moi. Non, ton
discours
n’est point obscur ; tu m’honores du titre d’adul
à former, parle ; sinon, attends à me répondre, que j’aie achevé mon
discours
. Rodrigue. Parlez donc. Delmire. Loué soit le Cie
bles, & non pas pour les innocents. Mais revenons à notre premier
discours
; réponds : Pourquoi, avant que de traiter Delmir
nte. Que te dirai-je davantage, Davus ? Nous fûmes tous touchés de ce
discours
, & Antiphon prenant d’abord la parole : voule
ux ? Mad. Grognac. Non. Valere. Non.Fort bien ! non, oui, non : beau
discours
! Vos repliques Me paroissent, pour moi, tout à f
un mot, & je te déshérite. Ariste. Je m’en vais, puisqu’enfin mon
discours
vous irrite. Géronte. Non, il faut m’éclaircir, &
e. Que n’ai-je un peu de cœur !Ah ! cesse devant moi, Traître, de ce
discours
l’insolence cruelle ! Sganarelle, à part. Sganare
retourner Sganarelle qui s’approchoit pour le tuer. Puisqu’un pareil
discours
émeut votre colere, Je dois de votre cœur me mont
pire ! Lucile. A peine à mes transports mes sens peuvent suffire : Le
discours
est trop foible, & je n’en puis former. Marqu
urs livres dont on fait l’éloge ou la critique. Cidalise a retenu le
Discours
sur l’Inégalité, & goûte d’avance le plaisir
trait, Ou bien que le lecteur m’ait gâté le sonnet. Mais laissons ces
discours
, & voyons ma ballade. Trissotin. La ballade,
Scene III. . . . . . . . . . Théophraste, à Valere. Connois-tu son
discours
sur les devoirs des Rois ? Valere. Ah ! ne m’en p
ait imaginé, des personnages réels & des personnages fictifs, des
discours
tenus & des discours supposés ; en un mot tou
ges réels & des personnages fictifs, des discours tenus & des
discours
supposés ; en un mot toute la poétique, où la vér
e son pere. Lélio se défend d’aimer Silvia : mais Mario, qui prend ce
discours
pour un effet de son amitié, l’interrompt & l
rices Est prompt à recevoir l’impression des vices, Est vain dans ses
discours
, volage en ses désirs, Rétif à la censure, et fou
cène vide : Que son style humble et doux se relève à propos : Que ses
discours
partout fertiles en bons mots Soient pleins de pa
eux, puisque la plus petite piece est aujourd’hui précédée d’un long
discours
, dans lequel l’Auteur s’efforce de prouver modest
ue je n’aurois pas le prix, parcequ’elle avoit résolu de couronner un
Discours
& non une Poétique, mais qu’on en parleroit a
sons ; premiérement, pour n’avoir pas l’air de vouloir lutter avec le
Discours
couronné. Je connoissois trop bien tout l’esprit
itement capable d’orner des fleurs de la rhétorique et de l’esprit un
discours
vide sur un poète qu’on n’a pas lu, et de faire r
e corps de mon pauvre père. Fragilité, ton nom est femme ! Le fond du
discours
d’Hamlet est dans la nature, cela suffit aux Angl
loin. N’apercevez-vous pas toute la portée de votre critique ? Si le
discours
de Théramène est invraisemblable, les autres disc
ritique ? Si le discours de Théramène est invraisemblable, les autres
discours
de Racine ne le sont-ils pas tous presque autant
r la forme et l’esprit de tout le théâtre de Racine, et d’accepter le
discours
de Théramène, puisque vous acceptez bien ceux de
tout simplement qu’à changer son explication ; au lieu d’expliquer le
discours
guerrier de Sosie par les grands faits généraux d
les grands faits généraux de l’histoire romaine, elle expliquerait le
discours
plaisant de Sosie par la biographie de Plaute, et
lité qui marchandaient des dentelles ; il paraissait attentif à leurs
discours
, et il semblait, par le mouvement de ses yeux, qu
329. Boileau, Neuvième réflexion critique sur Longin. 330. Voltaire,
Discours
de réception à l’Académie française. 331. Boilea
. Lysidas aurait pu citer encore en France La Bruyère disant dans son
Discours
sur Théophraste : « Que si quelques-uns se refroi
s’avança sur le bord du théâtre, salua avec une grâce infinie, fit un
discours
au roi, à toute l’assemblée (c’était l’usage), et
nter un de ces petits divertissements à la manière des Italiens... Le
discours
fut charmant, plein d’adresse, et plut beaucoup.
octeur Amoureux. Après avoir montré tant de bonne grâce dans le petit
discours
, Molière fut ravi de paraître sous l’accoutrement
un si grand succès que le roi, dès ce jour-là, le prit en estime. Le
discours
, d’ailleurs, plein d’une flatterie fine, l’avait
it contre quelque injustice, aussitôt une sage personne, avec un beau
discours
: Tons ces défauts humains nous donnent dans la
t tout noirs au dedans, il ajoute : Ce sont eux que l’on voit, d’un
discours
insensé Publier dans Paris que tout est renversé,
il arrivait à la jouer, voilà où serait sa réponse : Allez, tous vos
discours
ne me font point de peur, Je sais comme je parle
met à faire de la philosophie, et prononce, en se versant rasade, un
discours
sur le mépris de la vie. « - Tu as raison,s’écri
hâte, court en costume de nuit au bord de la rivière et leur tient ce
discours
: « - Mes amis, que vous ai-je donc fait ? Quoi !
e ne l’avait été ce procès ? qu’on en juge; voici un petit passage du
discours
des avocats de la danse : « Que, s’il fallait pa
le laissa passer. Baron avait préparé tout du long du chemin un beau
discours
pour demander pardon à son bienfaiteur; mais en v
nt que de mourir ! » La Molière et Baron furent vivement touchés du
discours
de M. de Molière, auquel ils ne s’attendaient pas
orte. « Peut-être Mascarille exagère-t-il un peu quand il tient ces
discours
à Lélie, déguisé en Arménien pour abuser Trufaldi
cerveau malade J’irai bientôt verser un pot de marmelade. LUCILE Quel
discours
? et quel pot ? suis-je au pays des fous ? PHÉNIC
elle fait plus : qu’elle l’impose à tel point, que toute obscurité du
discours
est une faute qualifiée confie la langue. La lang
tant d’auteurs depuis eux ont laissé perdre. L’on a mis enfin dans le
discours
tout l’ordre et toute la netteté dont il est capa
la langue en faisant parler des villageois ; ils leur font tenir des
discours
proportionnés à leur état, sans qu’il en coûte ri
ndreini, publier ses Bravure, ses bravacheries, divisées en plusieurs
discours
. L’esprit devait d’ailleurs se plier, se façonner
eu de théâtre qu’on appellelazzi. Ces lazzi interrompent toujours les
discours
de Scapin, mais en même temps ils lui donnent occ
f, qu’il vienne à moi et qu’il boive. » Dans la première partie de ce
discours
, il met en regard les désirs insatiables de nos c
oblème dont tout dépend ? Je vous laisse le soin de chercher dans son
discours
la réponse qu’y fait M. Monod ; mais je suppose q
e Tartufe pour un héros de sa taille. Cléante fait connaître, par ses
discours
, le caractère de la vraie piété plus qu’il ne la
pas Cléante qu’il faut opposer à Tartufe, c’est Alceste. Si de sages
discours
sont peu de chose en présence de cet abîme de bas
mais on y marchait à grands pas, et le cynisme se répandait dans les
discours
parce qu’il était déjà dans les actions. Les grav
et l’impuissance de la philosophie en nous montrant un sage dont les
discours
sont si peu d’accord avec les actions, et qui, fi
le héros de sa pièce s’acquitte on ne peut mieux de ce soin. Tous les
discours
, toutes les opinions de Cléon font sentir à merve
t souvent même n’en ont point exercé du tout sur la comédie. Dans son
discours
à l’Académie, M. Scribe en donne des raisons plus
n soit homme, et qu’en toute rencontre Le fond de notre cœur dans nos
discours
se montre, Que ce soit lui qui parle, et que nos
s vous abondez toujours; Mais vous perdez le temps et tous vos beaux
discours
. La raison, pour mon bien, veut que je me retire.
d plan, n’en a pas moins fait le véritable sage de la pièce. Dans ses
discours
comme dans ses actions, sa supériorité sur Alcest
nt. Il ne doit prendre un ton sévère que pour dire : Mettez dans vos
discours
un peu de modestie, Ou je vais sur-le-champ vous
e a de peu bienséant pour une femme d’honneur; aussi voit-on, par ses
discours
, combien sa délicatesse y répugne, et combien aus
trouve Tartuffe, plus fin que lui ne se fût pas laissé prendre à ses
discours
: TARTUFFE. On m’a dit qu’en ce lieu vous voulie
ur Un peu trop prompt peut-être à souffrir votre ardeur. TARTUFFE. Ce
discours
à comprendre est assez difficile, Madame, et vous
ppas, Un cœur se laisse prendre et ne raisonne pas. Je sais qu’un tel
discours
de moi paraît étrange ; Mais, madame, après tout,
uantes. La tradition veut encore, lorsque Orgon dit à Tartuffe : Ces
discours
ne sont plus de saison : Il faut tout sur-le-cham
; sans cérémonie. Tartufe. Mon dessein.... Orgon. Mon dessein....Ces
discours
ne sont plus de saison. Il faut tout sur le champ
, & qui trouve toujours L’art de ne vous rien dire avec de grands
discours
: Dans les propos qu’il tient on ne voit jamais g
outiens, moi.... Célimene. Et moi, je soutiens, moi....Brisons là ce
discours
, Et dans la galerie allons faire deux tours. Quoi
sans conséquence peut faire plus de mal que n’a fait de bien un beau
discours
sur la vertu. Bref, les conclusions seraient, sau
Mercure galant, 1673, tome 1. 803. Titre de la première édition du ‘
Discours
sur l’Histoire universelle, Paris, S. Mabre-Cramo
in non assidu au théâtre attribuait tout à Molière. 809. La Bruyère,
Discours
de Réception à l’Académie française. 810. Voir
oit encore toutes crues dans les pièces de Molière. On réprouvera les
discours
où ce rigoureux cen-seur des grands canons, ce gr
monieuse, Ces danses, ces héros à voix luxurieuse, Entendra ces
discours
sur l’amour seul roulans, Ces doucereux Renaud
te des plus grands péchés… Le spectacle saisit les yeux : les tendres
discours
, les chants passionnés, pénètrent le cœur par les
autorité des noms les plus respectés. L’éloquent Chrysostome, dans un
discours
sur l’hypocrisie même, a dit : « Le libertin ne m
i. C’est ce qu’il croit gagner en faisant de ses entretiens et de ses
discours
autant de satires de l’hypocrisie et de la fausse
éternelle des bienséances en toute aventure pareille : … Coupons aux
discours
, Et que chacun chez soi doucement se retire. Sur
, quoi qu’il puisse faire, il se le rend traitable. Pendant ces beaux
discours
, Orgon, sous une table, Incrédule toujours, pour
t la valeur de son enseignement. Auguste Comte écrit, à la fin de son
Discours
sur l’ensemble du positivisme : « La vie privée p
s grands mots. Ne paraissez point si savant, de grâce ; humanisez vos
discours
et parlez pour être entendu. Pensez-vous qu’un no
t à son tour cruelle, elle se venge impitoyablement… Tenez, tous vos
discours
ne me touchent point l’âme, Horace avec deux mots
mais sachez imposer votre volonté sans fracas. Une honnête femme, aux
discours
d’un galant, n’a que faire de jeter les hauts cri
iers succès de Molière dans différentes provinces, continue ainsi son
discours
: « En 1658, ses amis lui conseillèrent de s’app
e pièce. Artémise et Iscarie sont deux amies qui affectent dans leurs
discours
des termes singuliers. Isabelle, femme de chambre
ne jouent rien qui vaille, malgré la force de leur brigue. Après ce
discours
, M. Picorin commence la lecture d’une tragédie de
de publier ses louanges, mais non pas sans faire connaître par leurs
discours
qu’ils ne le faisaient que de peur de passer pour
mer, et qu’il ne l’aime que pour ses péchés. Ce n’est pas qu’avec ces
discours
, il ne paraisse aussi amoureux que les autres, co
on suivante au sujet de cette comédie : Pour changer un peu de
discours
, Une chose de fort grand cours, Et de beauté très
it très véritable, n’ayant aucun intérêt de déguiser la vérité. » Ce
discours
d’Angelo est si fort éloigné de la vraisemblance
giques. C’est par des exemples pareils, plus sensibles que de simples
discours
, qu’il s’appliquait à former les mœurs de celui q
. » Les auteurs du Journal littéraire 1, en rapportant ce passage du
discours
du père Porée, ajoutent très judicieusement ; « Q
s d’Amphitryon, sur un sujet aussi délicat. Mais, enfin, coupons aux
discours
, Et que chacun chez soi doucement se retire ;
eur, Fit en cinq ou six périodes, Valant six des meilleures odes, Un
discours
, qui bien reçu fut, Et dans lequel beaucoup me pl
ondus, et le poète justifié ; on trouva dans le caractère et dans les
discours
du vertueux Cléante des armes pour combattre les
que par charité, s’il m’est permis, dit-il, de parler de la sorte. Ce
discours
fit tout l’effet que Molière s’était promis : et
suite quelque petit frère qui porte le chapeau. 2. [Note marginale]
Discours
sur la question si le théâtre est une bonne école
trouvait autrefois si scandaleuse. On peut hardiment avancer que les
discours
de Cléante, dans lesquels la vertu vraie et éclai
t, non pas le même langage, mais la même langue ; c’est-à-dire que le
discours
, élégant et noble chez les uns, commun et même po
sorte, comme l’histoire de son génie. Tout l’ouvrage est précédé d’un
Discours
préliminaire et d’une Vie de Molière. Dans le Dis
t précédé d’un Discours préliminaire et d’une Vie de Molière. Dans le
Discours
préliminaire, m’élevant à des considérations plus
que de la société sur son génie, et de ses ouvrages sur les mœurs. Ce
Discours
, si l’exécution répond à mon dessein, doit réunir
trouvé au-dessous d’eux d’y consacrer une partie de leur talent11.
Discours
préliminaire Par son principe et par son moye
ina de les retracer, non par le simple récit, mais par l’action et le
discours
direct, fit la première des comédies. Il y a loin
démontre. C’est ainsi que Cléante et Tartuffe attaquent, l’un par ses
discours
, l’autre par ses exemples, la faiblesse d’Orgon ;
ue à tous les plus aigres réprimandes. À travers l’exagération de ses
discours
, je discerne ce qu’ils sont les uns et les autres
e régime. Molière, sérieux, grave, réglé dans ses actions et dans ses
discours
, blâmait dans Chapelle cette excessive facilité q
rivains, avait pour Molière une estime profonde, dont ses vers et ses
discours
rendent plus d’une fois témoignage. On sait qu’il
te gaieté de tempérament qui brille sur le visage, et éclate dans les
discours
de celui dont elle est l’heureux partage. L’obser
e plus attentive. Un de ses contemporains nous le montre écoutant les
discours
de toutes les personnes que le hasard lui fait re
nre d’exercice, car il y réussissait fort. Boileau, voulant vanter un
discours
de Baron, dit : « Il est dans le goût des compli
Monchesnay, dans le Bolœana dont il est l’éditeur, rapporte ainsi le
discours
de Boileau à Molière : « Mon pauvre monsieur Moli
bien que je finis. » Sa femme et un de ses camarades qui entendit ce
discours
, voulurent le dissuader de jouer ce jour-là. Il n
de la reine qu’il débitait celle morale ! Le prince lui répond par un
discours
où il décrit longuement l’histoire de sa flamme e
e ciel et la religion, il l’engage à plus de tenue : Mettez dans vos
discours
un peu de modestie… Couvrez ce sein que je ne sau
it encore toutes crues dans les pièces de Molière : on réprouvera les
discours
où ce rigoureux censeur des grands canons, ce gra
le vrai, lors même qu’il médite de s’en détourner et qu’il ourdit son
discours
comme un piège où la passion va l’aider à faire t
ardiment avancer, disait l’auteur de Zaïre et de l’Ecossaise, que les
discours
de Cléante (dans Tartuffe) sont, à quelques excep
e la vérité, aux rois de la subir. Les contemporains l’attestent, les
discours
qui nous ont été conservés le prouvent encore mie
’enveloppe d’un conseil délicat à présenter, ne veulent lire dans les
discours
les plus mâles que des flatteries dont ils essaye
intérêt à l’intérêt de Dieu. » Suivant la méthode invariable de ses
discours
, étudiée sur le profond de la nature humaine, il
e et qui n’a pu vous rapporter que très peu de fruits. Il faudrait un
discours
entier, si je voulais m’étendre sur cette morale,
« C’est ce qu’il croit gagner en faisant de ses entretiens et de ses
discours
autant de satires de l’hypocrisie et de la fausse
es scandales du siècle d’une manière extravagante Voy. plus haut, le
discours
de MmePernelle, et toute la première scène, y com
Tartuffe, où elle a été commise à dessein. Cléante n’a que d’inutiles
discours
et ne s’occupe que du spectateur ; Damis est un f
ne se croient plus doués d’Apollon, soit pour le sonnet, soit pour le
discours
politique, que les gens ne se laissent plus pouss
n. Par la prière, par l’aumône, par les bons exemples et par les bons
discours
, tous doivent prendre soin de l’âme de tous ; cel
etc. Est-ce bien la soubrette, laforte-en-gueule, qui peut tenir ce
discours
si châtié, et ne serait-il pas mieux dans la bouc
le de Jésus-Christ :Qui non od.it patrem… 30. Voy. plus haut, le
discours
de MmePernelle, et toute la première scène, y com
raît que l’idée de la fameuse leçon de prononciation est empruntée au
discours
physique de la parole, par le cartésien Cordemoy2
Molière, en tête de l’édition d’Aimé Martin). 2. En effet, dans le
discours
de la parole, qui ne mérite nullement néanmoins l
air ? Scapin, à part. Peut-être. Argante, se croyant seul. Tous leurs
discours
seront inutiles. Scapin, à part. Nous allons voir
e Chevalier, fort embarrassé d’abord, sort d’embarras en mêlant à ses
discours
quelques mots à l’oreille, ou quelques aparté, qu
veugla au point de lui proposer de l’épouser. La veuve, étonnée de ce
discours
, sachant qu’il avoit une femme & un fils, cru
e peut m’ébranler. Je vous le répete, vous n’êtes point mon fils. Vos
discours
artificieux n’exciteront pas ma pitié. Retirez-vo
entre les manieres ou le langage d’un homme, avec les airs & les
discours
qu’il veut affecter, auroit disparu chez un homme
vers, dit de Pure, et corrigent les passables. Elles jugent des beaux
discours
et des beaux ouvrages ; elles eu font elles-mêmes
ques exemples fournis par de Pure, de leurs conversations et de leurs
discours
. On examine à qui, des sciences ou de la poésie,
e néologismes bons et mauvais, attribués aux précieuses du temps. Les
discours
de Cathos et de Madelon, dans Les Précieuses de M
vulgaire, et de rechercher J’estime par la beauté des ouvrages ou des
discours
; de se donner aux plaisirs d’imagination, la réa
que vous lui faites embrasser.(I)262 (I) Voltaire adressa un pareil
discours
au fameux Lekain, lorsque ce dernier lui fit part
pirituelle, elle excelle à railler, elle a souvent l’avantage dans le
discours
: n’est-il pas juste qu’elle y ait quelquefois le
e la profondeur, sous une forme facile, à toutes leurs pensées. Leurs
discours
sont à la fois ceux des gens les plus occupés de
. Tout y est troublé, les amusements innocents, l’honnête liberté des
discours
, les plaisirs et les projets de la famille, un ma
ée, discrète, honorable. Je n’ai pas peur de l’honnête liberté de ses
discours
; une fille qui montre ainsi sa pensée n’a pas d’
te la hâte qu’elle pouvait, et revenait, l’oreille avide, dévorer mes
discours
. » 6. Acte Ier, scène VI. 7. Ce qui fait dir
bouteille, qui fut suivie d’une autre. Boileau, en s’animant dans son
discours
contre la passion du vin buvait avec lui, jusqu’à
. . . . . Alcmene. J’ai peine à comprendre sur quoi Vous fondez les
discours
que je vous entends faire ; Et si vous vous pla
r place la scene dans une Eglise. A Londres, les pendus adressent des
discours
au peuple ; les Anglois trouvent fort naturel qu’
n ; Le Sicilien, ou l’Amour peintre sert de texte non seulement à son
discours
, mais à sa musique, car ce charmant volume, sorti
es Maximes de La Rochefoucauld. Boileau publia dans le même temps son
Discours
au roi, dont j’ai déjà parlé : c’est un de ses me
première journée des plaisirs de l’Île enchantée, continue ainsi son
discours
. Le second jour* la comédie, Par le sieur de Mol
d’un de ses amants. Le prince, revenu de l’étonnement où l’a jeté le
discours
de la princesse, lui répond : [*] Qu’il admire la
oir ce sujet admirable, Et lequel est, dit-on, capable, Par ses beaux
discours
de toucher, Les cœurs de bronze et de rocher ; Ca
les changements de théâtre, Dont le bourgeois est idolâtre, Selon le
discours
qu’on en fait, Feront un surprenant effet ; Mais
son maître, qui en fait rire les autres. » L’auteur continue tout son
discours
sur le même ton, et finit par implorer l’autorité
marque leurs gestes, mais qui est trop loin d’eux pour entendre leurs
discours
, paraît charmé du changement qu’il aperçoit dans
venait la demander en mariage ; et que Lucinde ayant ajouté foi à ce
discours
, la joie avait déjà paru sur son visage ; mais qu
té ». Les MM. Parfait, qui rapportent cette lettre, ajoutent : « Ce
discours
d’Angelo est si fort éloigné de la vraisemblance,
ui qui l’ait son plus incontestable titre de gloire ; je parle de son
Discours
sur la méthode pour bien conduire sa raison et ch
aroît-il, nous le perdons de vue. Ce n’est pas tout ; il faut que les
discours
& les actions du héros le peignent précisémen
estique à soutenir le mensonge. Vous êtes curieux. Je vais, dans le
discours
, Leur donner à penser que mon pere est toujours D
avec deux Satyres, l’une d’Horace, l’autre de Regnier ; & avec un
discours
du Spectateur Anglois. Cette piece parut à Vaux
ire que nous parcourions auparavant une ou deux pages du Spectateur.
Discours
XXII.
as-tu pu la trouver à telle heure ? D. Pedre. O que non sans sujet ce
discours
me fait peur ! D. Félix. Il faut mourir, Don Pedr
tel sacrifice. D. Carlos. De grace, mon frere... D. Alonse. Tous ces
discours
sont superflus, il faut qu’il meure. D. Carlos. A
terres tout le temps de Fontainebleau : il tient à d’autres d’autres
discours
; puis revenant à celui-ci : Vous avez eu, lui di
défunt mari, lui demande comment il est mort : cette femme, à qui ce
discours
renouvelle ses douleurs, pleure, sanglote, &
C’est un style éloquent qu’un billet au porteur, Qui vaut mieux qu’un
discours
rempli de fariboles. Si vous vous en serviez... L
le, en blanc, d’elle valeur reçue »...... Et Dieu sait la valeur ! un
discours
aussi rond Fait taire l’éloquence & l’art de
oportions des manières et du langage d’un homme, avec les airs et les
discours
qu’il veut affecter, qui font un ridicule plaisan
par rapport à leurs enfants, une certaine grossièreté de pensées, de
discours
et de manières, qui semble appartenir à un autre
xcepte quelques raisonneurs, personnages sans action, et bornés à des
discours
moraux), madame Jourdain, toute sensée qu’elle es
espect, recherchant, avant tout, l’ornement, la parure et la grâce du
discours
. — À quoi bon, dira-t-on, et n’est-ce pas là une
ifficile de se tenir longtemps à la majesté du drame, à la hauteur du
discours
! Quanta ad rem tanta ad orationem fuit. Don
C’est vrai, on n’a pas voulu te croire, ami Sganarelle, parce que tes
discours
n’ont pas été d’accord avec tes actions ; parce q
ras, où le paysan et la paysanne plaidaient la Cause grasse, et leurs
discours
étaient un peu gras de saupiqué. Puis, venait dam
ier nos pensées éparses en les concentrant sur lui-même. » À ce beau
discours
« de cette jeune Diane qu’accompagnent des capric
s son propre couvent, et qu’en tout cas, si jamais le roi eût tenu ce
discours
, il ne l’aurait pas tenu avec dignité ! Alors le
onvoitise insensée du changement m’a entraîné ! » Ces amoureux petits
discours
, si jolis et si bien placés dans cette chapelle d
eaux, car je m’aperçois qu’il y avait encore à faire, — après tant de
discours
, — l’analyse du chef-d’œuvre, et justement la vei
re. 24. Pour nous reposer de ces folies, relisons la péroraison du
discours
de Bossuet : « Et vous ma sœur, qui avez commenc
t à se remettre avec lui, parce qu’il s’en reconnaissait indigne. Ces
discours
furent rapportés à Molière ; il en fut bien aise
our lui. Baron monta dans l’appartement de Molière ; et lui rendit le
discours
de Mondorge, avec peine, et avec précaution pourt
i-même embarrassé comment il les ramènerait ; et à la fin fatigué des
discours
de ses Comédiens, il dit à la Du-Parc, et à la Bé
que par charité, s’il m’est permis, dit-il, de parler de la sorte. Ce
discours
fit tout l’effet que Molière s’était promis ; et
es de Chapelle. On continue de boire, et insensiblement on changea de
discours
. À force de raisonner sur les choses qui font ord
, sans risquer d’être commis un moment après avec toute la terre. Ce
discours
ne tendait qu’à donner à Baron du dégoût pour la
ns bien que je finis. La Molière et Baron furent vivement touchés du
discours
de Mr de Molière, auquel ils ne s’attendaient pas
ntiments ; et ils n’omettaient rien pour les rendre publics par leurs
discours
, ou par leurs Ouvrages. Il y en a même encore auj
’yeux, des baissements de tête, Trois ou quatre soupirs mêlés dans un
discours
, Sont pour tout rajuster d’un merveilleux secours
très naturelle à l’esprit français qui a toujours été fort enclin aux
discours
. Dès le principe, dès les premiers essais, le dia
vertu devant Dieu & devant les hommes ». Elle parut consolée d’un
discours
si obligeant. . . Le Moine envoya chercher son am
omique a pris chez Térence. ACTE I. Scene II. Ariste. Mon frere, son
discours
ne doit que faire rire : Elle a quelque raison en
omédies bien lues pourraient suppléer à l’expérience, etc. » — Auger,
Discours
préliminaire aux Œuvres de Molière (1819) : « Le
sc. VII, déjà citée p. 4, note 1. On retrouve les mêmes idées dans le
Discours
au Roi imprimé en tête des Fâcheux : « Ceux qui s
ui convient au théâtre d’avec celui dont on peut faire parade dans un
discours
académique : or, pour savoir quelle sorte d’espri
roportions des manières et du langage d’un homme avec les airs et les
discours
qu’il veut affecter qui font un ridicule plaisant
ce long récit vous n’abrégez le cours, Le jour achèvera plutôt que ce
discours
: Laissez-moi le finir avec une parole, etc. La
l 1677, p. 186. *. [Note marginale] Mercure, mars 1682. b. Comme le
discours
du directeur est imprimé en entier, on peut assur
’avança sur le bord du théâtre, et prit la liberté de faire au roi un
discours
, par lequel il remerciait Sa Majesté de son indul
trouvait autrefois si scandaleuse. On peut hardiment avancer, que les
discours
de Cléante, dans lesquels la vertu vraie et éclai
, que Molière au théâtre. Voyez surtout cet endroit: Allez, tous vos
discours
ne me font point de peur ; Je sais comme je parle
oportions des manières et du langage d’un homme, avec les airs et les
discours
qu’il veut affecter, qui font un ridicule plaisan
r. Rousseau ici se moquerait de moi et me dirait que ceci n’est que
discours
et me citerait le premier mot de la réponse d’Alc
e de quiconque y veut être supporté. S’il s’y montrait autrement, ses
discours
ne feraient plus d’effet. L’intérêt de l’auteur e
vent sur la scène un personnage qui, soit par ses actes, soit par ses
discours
, donne la leçon morale à remporter chez soi. Et,
mme puisqu’il se bat ; mais un Tartuffe qui met le ciel dans tous ses
discours
, qui dit : « Le ciel a inspiré à mon âme le desse
c’est à savoir un sage qui parle et qui aussi agit conformément à ses
discours
et qui prêche par l’exemple autant que par les pa
te intervient auprès de Tartuffe, et c’est bien là un acte, et non un
discours
. Il reste que Rousseau a raison en général et que
des intentions de Molière, on la trouverait dans le rôle et dans les
discours
de celui de ses personnages que l’on nous donne c
gré, que ne fait aucun livre. Dans l’École des Femmes, on entend ces
discours
dits par le personnage donné évidemment pour le s
mettre dans la bouche de Chrysale, personnage sensé. Mais le fond des
discours
de Sganarelle, d’Arnolphe et de Chrysale est exac
re, parce qu’il est vieux, mais parce qu’il est ennuyeux et tient des
discours
éternels de sagesse et d’honneur ; enfin voilà un
ts et des idées qu’il anime et varie la physionomie, et c’est par les
discours
qu’il inspire que l’attention, tenue en haleine,
pour objet principal les choses utiles, l’autre, les agréables. Leurs
discours
ne doivent avoir de formes communes que celles de
inion. Il faut qu’elle apprenne à pénétrer leurs sentiments par leurs
discours
, par leurs actions, par leurs regards, par leurs
s comme ils sont, etc. Ailleurs : « Il faudrait avoir établi que les
discours
de Cléante sont l’expression de la vraie pensée d
ivants. Descartes a écrit le Traité des passions, les Méditations, le
Discours
sur la méthode et a fondé toute sa philosophie su
sseau, auteur de la Nouvelle Héloïse, de l’Émile, des Confessions, du
Discours
sur l’Inégalité et de la Préface de Narcisse, est
a démocratie despotique. Voltaire, l’auteur de Zadig, de Candide, des
Discours
sur l’homme et de trois mille petits vers délicie
rigéner Arnolphe, ne songe plus qu’à se moquer de lui et que tout son
discours
est raillerie ; que l’exagération même, énorme, d
mpé déja plus d’une fois. Moncade. Oh ! pour le coup, Monsieur, votre
discours
m’assomme. Ici Madame amene un je ne sais quel ho
ne chanson. Simon tousse pour avertir Chrémès de faire attention aux
discours
de Dave. Scene V. SIMON, CHRÉMÈS caché, DAVE.
l lui dit qu’il n’a feint que pour donner plus de vraisemblance à ses
discours
. Criton arrive de l’isle d’Andros afin de recueil
une parodie du doute, si fort recommandé dans les premières pages du
Discours
de la Méthode. Le lecteur me pardonnera de remett
« Quid igitur, » de Sanchez. N’est-ce pas deux ans seulement avant le
Discours
de la Méthode que la Mothe-le-Vayer, le coryphée
Il est emprunté à l’ouvrage de M. Raynaud sur les médecins. C’est le
discours
du procureur général Omer Talon, dans un procès d
s muses au bordel. Il a changé ces vers en ceux-ci : Heureux si ses
discours
craints du chaste lecteur Ne se sentaient des lie
té qui marchandaient des dentelles. Il paraissait si attentif à leurs
discours
qu’il semblait regarder jusqu’au fond de leurs âm
luait plus après sa chute. Enfin, c’est Thrasyclès qui entame un long
discours
où il lui conseille, dans son intérêt, de jeter t
elle ; elle pousse à la raillerie ; elle a souvent l’avantage dans le
discours
; n’est-il pas juste qu’elle y ait quelquefois le
on soit homme, et qu’en toute rencontre, Le fond de notre cœur en nos
discours
se montre… Quand il lui échappe de dire : … Je
e la profondeur, sous une forme facile, à toutes leurs pensées. Leurs
discours
sont à la fois ceux des gens les plus occupés de
e, dont la raison accourut cordialement au secours d’un ami. Dans son
Discours
au Roi (1665), démasquant ces gens, Qui, tous bl
ont le procès à quiconque ose rire : Ce sont eux que l’on voit, d’un
discours
insensé, Publier dans Paris que tout est renversé
esseur à l’Académie168, l’abbé de Dangeau, dit un mot de lui dans son
discours
de réception, et le Directeur de la Compagnie ne
tous les samedis, chez un barbier fort achalandé, pour y étudier les
discours
et propos d’un chacun. La citation où figure Élom
ques mois après la publication des Examens de Corneille, et des trois
discours
, Molière disait, dans la préface des Fâcheux : «
Molière est aussi noble, aussi élégant dans ses manières et dans ses
discours
, qu’il est affreux dans ses principes et dans ses
ait rimer un mot avec lui-même dans ces deux vers : À tous ces beaux
discours
, j’étais comme une pierre, On comme la statue est
ant Le Menteur, à Paris, M. Got a lu un Éloge de Corneille extrait du
discours
de réception du Racine à l’Académie. Voilà pour l
as mourir deux cents ans plus tard ; » mais ne les honorer que par ce
discours
, c’est les honorer à peu de frais ! Telles sont l
ps où parut la satire des Femmes, ne publia aucun autre écrit que son
discours
de réception à l’Académie française, en 1684. La
s, Que veut-on plus ? Au mois de mai 1684, dans son
discours
de réception à l’Académie française, il fit amend
les progrès faits, se sont placées sur des lignes abandonnées. 17.
Discours
sur les héros de roman. 18. Lettres à mademoisel
el de Régnier, se hâta de le remplacer par ceux-ci : Heureux si ses
discours
, craints du chaste lecteur, Ne se sentaient des l
x touchés par sa maîtresse, et qu’il était parfaitement placé dans le
discours
de Mascarille 10. Je prendrai mon second exemple
t à se remettre avec lui, parce qu’il s’en reconnaissait indigne. Ces
discours
furent rapportés à Molière ; il en fut bien aise
pour lui. Baron monta dans l’appartement de Molière, et lui rendit le
discours
de Mondorge, avec peine, et avec précaution pourt
-même embarrassé comment il les ramènerait ; et à la fin, fatigué des
discours
de ses comédiens, il dit à la du Parc et à la Béj
que par charité, s’il m’est permis, dit-il, de parler de la sorte. Ce
discours
fit tout l’effet que Molière s’était promis ; et
es de Chapelle. On continue de boire, et insensiblement on changea de
discours
. A force de raisonner sur les choses qui font ord
sans risquer d’être commis un moment après avec toute la terre. » Ce
discours
ne tendait qu’à donner à Baron du dégoût pour la
s bien que je finis. » La Molière et Baron furent vivement touchés du
discours
de M. de Molière, auquel ils ne s’attendaient pas
entiments, et ils n’omettaient rien pour les rendre publics par leurs
discours
, ou par leurs ouvrages. Il y en a même encore auj
Gratian le doctissime, Aussi bien que fallotissime. Horace, en beaux
discours
fréquent. Faisait l’amoureux éloquent : Pour Triv
e que j’entends dire à tout le monde, qu’il est très poli et dans ses
discours
et dans toutes ses actions. Mais il n’a pas seule
elieu. Il annonçait de bonne grâce, parlait facilement, et ses petits
discours
faisaient toujours plaisir à entendre. (Il était
ouvre. (Vie de Molière, par La Grange.) 52. Nous rétablissons ici le
discours
de Molière tel qu’il se trouve dans la Préface de
faire admirer encore plus la modestie de Molière, c’est qu’il tint ce
discours
dans la même année où les trois premiers actes du
cine, en 1664, dans La Renommée aux muses, Boileau, en 1665, dans son
Discours
au roi, avaient porté l’art de louer au plus haut
c. ne doivent pas moins présider l’une & l’autre à la diction. Le
discours
le plus familier est celui qui convient le plus à
ssons aux Latins. La comédie Latine n’a jamais franchi les limites du
discours
naturel. Ouvrons un tome de Plaute, & lisons.
us. Entre des Dieux tels que nous sommes, Il ne faut pas de longs
discours
. Laissons les compliments aux hommes, Ils en
e d’une femme qu’il veut épouser, & qu’il semble exhorter par ses
discours
à multiplier le nombre de ses alliés. Nous ne rap
comme si l’on eût craint de divulguer le peu qu’il en avait dit, son
discours
ne fut point inséré dans le recueil des harangues
un excès à un excès. Ce n’est assurément pas, en tenant de semblables
discours
, qu’il exprime l’opinion de Molière et celle de t
puisque ayant, comme on doit le conclure de l’élégante pureté de ses
discours
, toute l’instruction qu’on peut souhaiter dans un
qui, du temps de Molière, était un art fort pratiqué, avait fourni au
discours
familier une foule d’expressions figurées dont to
it décorée. Molière, après la tragédie de Nicomède, adressa au roi un
discours
plein d’esprit et d’adresse ; il terminait en dem
ient mieux aux sujets où les caractères se développent surtout par le
discours
, la prose est plus avantageuse dans ceux où ils r
e que j’entends dire à tout le monde, qu’il est très poli et dans ses
discours
et dans toutes ses actions. Mais il n’a pas seule
Gratian le doctissime, Aussi bien que fallotissime. Horace, en beaux
discours
fréquent, Faisait l’amoureux éloquent : Pour Triv
rvitude, tel est le sentiment qui leur a inspiré leurs plus éloquents
discours
en vers, tel est aussi le lieu commun qui résonne
177. 191. C’est ici le lieu de citer une belle phrase de Schelling (
Discours
sur les arts du dessin). « Winckelmann, dit-il, c
amatoire, et déploient tout l’art de la rhétorique. Aussi ce genre de
discours
se rapproche-t-il plus des défauts que l’on blâme
I, p. 170. 231. Les Brigands, acte Ier, scène ii. 232. Schelling,
Discours
sur les arts du dessin. 233. Cours d’esthétique
yre du vice. « On peut hardiment avancer, dit M. de Voltaire, que les
discours
de Cléante, dans lesquels la vertu vraie & éc
cet endroit » : ACTE I. Scene VI. Cléante. Voilà de vos pareils le
discours
ordinaire. Ils veulent que chacun soit aveugle co
grées, N’a ni respect ni foi pour les choses sacrées. Allez, tous vos
discours
ne me font point de peur : Je sais comme je parle
prit, M. Sturm ; on lui avait dit qu’il fallait faire tous les ans un
discours
d’ouverture d’environ une heure ; il plaçait sa m
n parle et cela n’est pas bien24. Nous n’accepterons pas ces mauvais
discours
sur Elmire ; mais je la prendrai dans la scène ca
elui d’une jeune personne qui, dès la première scène, tient de petits
discours
comme ceux-ci à sa sœur Armande, qui a des idées
urine, et Charlotte qui se laissent tourner la cervelle par les beaux
discours
de Dom Juan ! Le bourgeois, chez Molière, n’a qu’
’a jamais vu pareil brigandage. Sa sœur ne s’étonne pas du tout de ce
discours
. Remarquez que, dans cette querelle, il ne s’agit
ducation supérieure ; la preuve à l’appui toujours invoquée, c’est le
discours
, prodigieux d’éloquence, de Chrysale dans Les Fem
, qui savait quoi ? Bien tenir son ménage, coudre et filer. Il met ce
discours
dans la bouche de Chrysale, du parti duquel nous
des clartés de tout. Mais rien que cela ! Il y a des côtés par où le
discours
de Chrysale sera éternellement juste et éternelle
traîne à proposer sinon à imposer des lignes de conduite, à faire des
discours
et des systèmes ? Prenez-y bien garde ! Vous, pèr
e le pousse, se met à envier l’heureuse facilité dont elle débite ses
discours
et pose ses aphorismes. L’esprit jalouser la sott
dont on ne sait pas bien l’origine, et il commence à tout propos des
discours
dont on n’aperçoit jamais la fin. Il nous interro
et le chapeau de soie. * * * Petitot est pris à parti dès le début du
Discours
préliminaire : « Molière est admiré sans qu’on ap
pilateur exact et eût imprimé le morceau de Hobbes sur le Rire, et le
discours
XXXV du Spectateur, la page de Saint-Lambert sur
nge, et qui trouve toujours L’art de ne vous rien dire avec de grands
discours
: Dans les propos qu’il tient on ne voit jamais g
vanité qui disent : Je comprends parfaitement toute la finesse de ce
Discours
, cessent avec le premier acte. Les Vaniteux sont
on sans doute qu’aux simples actions ordinaires. Orgon Mon frère, ce
discours
sent le libertinage : Vous en êtes un peu dans vo
es hommes, il a gardé cette erreur, ridicule inhérent à chacun de ses
discours
, et sans lequel Molière eut été bien embarrassé p
mière] ACTE VScène première Henriette, Trissotin Trissotin Un tel
discours
n’a rien dont je sois altéré. À tous événements l
à moins qu’il n’y ait du déshonneur attaché.” » Le Spectateur, t. I.
Discours
XXXV. 26. « Plana comme Alfieri, je crois, mépri
n France les comédiens italiens. Il publia dans ce but « La Supplica,
discours
familier de Nicolo Barbieri dit Beltrame, adressé
Poëte Furius d’avoir inventé certains mots Latins qui abregeoient le
discours
, & qui n’avoient rien de rude pour les oreill
s à Paris servirent d’original à Moliere. Lisez ce qui suit, c’est un
discours
que l’on prête à Arlequin. « Si les Comediens Ita
approfondi dans Tartuffe. 771. Ce sont eux que l’on voit, d’un
discours
insensé, Publier dans Paris que tout est renve
e, S’il se moque de Dieu, craint Tartuffe et Molière. Boileau,
Discours
au Roi, v. 102 :1665. — Les trois premiers actes
nte, qui trouve toujours « L’art de ne vous rien dire avec de grands
discours
, » Damon « le raisonneur, » Timante « l’homme to
ires de l’Académie des sciences et belles-lettres de Berlin, 1770, le
Discours
sur Matière, par Bitaubé, p. 346. — Essai sur la
ans le manège quotidien de son hypocrisie et de ses mines que par les
discours
de Donne, de Madame Pernelle, de Cléante et d’Org
en de moins qu’un modèle de marivaudage. Il y a quelque part un petit
discours
sur l’astrologie qui est tout plein de bon sens s
mment allusion à la scène viii de l’acte IV de l’École des femmes, au
discours
de Chrysalde que je suis forcé de reproduire tout
front que nous fait son manquement de foi ? Amorphe n’écoute pas ses
discours
généraux ; il est trop absorbé et trop distrait p
r du bon côté. Arnolphe s’emporte en paroles amères : Après ce beau
discours
, toute la confrérie Doit un remerciement à Votre
avec vous nulle comparaison. N’est-il pas évident ; que dans tout ce
discours
Chrysalde n’est pas sérieux, que Chrysalde se div
la, que les coquins sont justiciables de la loi et de la satire et du
discours
public et non de la comédie ; que la comédie rail
d’apprendre qu’il l’est et qui le pousse dans cette voie par un long
discours
motivé et plein d’une conviction qui va jusqu’à l
ques expressions de la langue de l’amour divin se glissassent dans le
discours
par où Tartuffe déclare son amour terrestre. On p
st un badinage… » il répond, scandalisé et terrorisé : Mon frère, ce
discours
sent le libertinage : Vous en êtes un peu dans vo
endu seulement. Quand elle est en face, de Tartuffe, die lui tient un
discours
évidemment très préparé, assez adroit, assez invr
rive enfin à son très bon argument dont elle aurait dû faire tout son
discours
: Et lorsque j’ai voulu moi-même vous forcer A r
de telle sorte qu’en toute rencontre le fond de notre cœur dans leurs
discours
se montre. Or c’est faux : les « mots de nature »
lle-même est extrêmement naturelle dans ses propos et la suite de ses
discours
est une simple peinture naïve de son âme. Elle di
ept syllabes. Il entremêla l’alexandrin à l’octosyllabe dans tous les
discours
sérieux et tendres (entretiens de Jupiter et d’Al
du vers, à déplacer la césure, à faire des enjambements, à arrêter le
discours
d’un personnage au milieu d’un vers et à faire co
discours d’un personnage au milieu d’un vers et à faire commencer le
discours
de l’autre acteur à ce même milieu de vers, artif
exemples : N’importe, je ne pois m’anéantir pour toi, Et souffrir un
discours
si loin de l’apparence. Être ce que je suis est-i
généreux peut faire dire dans le triomphe, et vous approcherez de ses
discours
. On dit que la petite reprendra son train ordinai
effet, et en attendant le notaire, il lui fait un ample et mirifique
discours
sur les devoirs, du mariage et la condition subal
du monde, exprime l’avis du public quand elle dit : Tenez, tous vos
discours
ne me touchent point l’âme ; Horace avec deux mot
aime, soit un devoir avec Arnolphe, qui est si fâcheux- de mine et de
discours
? — Elle sent qu’on ne lui dit pas tout : et elle
ni la souveraine impartialité de son génie. 1. M. Ed. Thierry. —
Discours
prononcé sur la tombe de Samson.
proportionnées, sont ordonnées avec art39. Mais ce n’est pas tout. Un
discours
politique, un plaidoyer, un sermon, peuvent offri
temps que Louis XIV était « un prince ennemi de la fraude ». Après le
discours
inopiné du messager royal, on conçoit l’allégress
que l’auteur cesse de donner des motifs personnels aux actions et aux
discours
qu’il produit sur la scène, il sort du ton de la
ns à la fois, sous la vive et piquante lumière du contraste, le grave
discours
d’Auguste et son burlesque travestissement. Toute
naturel et rond Ose vous faire rire, on crie au mauvais ton ; Et ses
discours
trop vrais excitent le scandale. Eh ! Messieurs,
en seroit-il beaucoup mieux pour ma vie Si je... Mais laissons là ces
discours
superflus : Je ne dis point quels sont mes penser
pas dit... Métaphraste. Je n’ai pas dit...Encor ? Bon Dieu ! que de
discours
! Rien n’est-il suffisant d’en arrêter le cours ?
t à se remettre avec lui, parce qu’il s’en reconnoissoit indigne. Ces
discours
furent rapportez à Moliere ; il en fut bien aise
lui. Baron monta dans l’appartement de Moliere ; & lui rendit le
discours
de Mondorge, avec peine, & avec précaution po
ême embarrassé comment il les rameneroit ; & à la fin fatigué des
discours
de ses Comediens, il dit à la Du-Parc & à la
que par charité, s’il m’est permis, dit-il, de parler de la sorte. Ce
discours
fit tout l’effet que Moliere s’étoit promis ; &am
de Chapelle. On continuë de boire, & insensiblement on changea de
discours
. A force de raisonner sur les choses qui sont ord
r, sans risquer d’être commis un moment après avec toute la terre. Ce
discours
ne tendoit qu’à donner à Baron du dégoût pour la
bien que je finis. La Moliere & Baron furent vivement touchez du
discours
de M. de Moliere, auquel ils ne s’attendoient pas
rler pour elle. Trufaldin. . . . . Oh ! oh ! qui des deux croire ? Ce
discours
au premier est fort contradictoire. . . . . . . .
n cœur qu’elle a manqué, Soins de plaire affectés, souris, agaceries,
Discours
flatteurs, regards, gestes & lorgneries, Ma f
il veut parler, et qu’ils aient à se taire ; il se lève, commence son
discours
par l’éloge de ses confrères, et le termine par u
t Le Lutrin de Despréaux. La Bruyère, dans la préface qui précède son
discours
de réception à l’Académie française, s’élève cont
ineux, fut frappé de ce qu’il y avait de clarté et de vigueur dans le
Discours
sur la méthode et Les Méditations philosophiques;
qui doit terminer tous mes malheurs. Voici maintenant cet énergique
discours
rendu en vers dans la pièce de Molière : Il faut
es, passez-moi le terme, et que sa passion ne se dissipe pas en vains
discours
. Ici encore nous touchons à un de ces points où i
Elle eut été brisée en morceaux comme verre. PHILAMINTE. Remettons ce
discours
pour une autre saison; Monsieur n’y trouverait ni
onorer par ma conduite: moi, je ne veux plus m’exposer à entendre des
discours
qui me déshonorent. Adieu, reprends tes biens, re
e Tartuffe pour un héros de sa taille. Cléante fait connaître par ses
discours
le caractère de la vraie piété, plus qu’il ne la
iblesse. Ce sont là les retours des coquettes du temps. Le ton de ce
discours
était évidemment de nature à compromettre la port
as Cléante, c’est Alceste qu’il faut opposer à Tartuffe. Si les sages
discours
du premier sont peu de chose en présence de cet a
d’une exaltation passionnée, mais non d’une vraie sérénité ; dans le
Discours
sur l’histoire universelle de Bossuet, où il n’y
ète et qui engloutit sa proie. Pauvre poète, nul n’a pris garde à ses
discours
, sauf pour s’en divertir de plus belle. Il ne cro
▲