ort de la marquise de Rambouillet. — La duchesse de Montausier nommée
dame
d’honneur de la reine. — Injuste accusation du du
t passer de la place de gouvernante des enfants de France, à celle de
dame
d’honneur de la reine, la première dignité du pal
mai 1690, reproche à madame de Montausier d’avoir accepté la place de
dame
d’honneur de la reine, dont la duchesse de Navail
me leur emploi… La duchesse fut obligée de se défaire de sa charge de
dame
d’honneur de la reine en faveur de madame de Mont
motifs, ne pouvaient douter de la faute grave qui était imputée à la
dame
d’honneur, et qu’ainsi, madame de Montausier, en
t que partager le sentiment général qui la condamnait. Cette place de
dame
d’honneur attira à la suite à la duchesse de Mont
de La Vallière lui ayant plu, il se lia une espèce d’amitié entre ces
dames
… Le grand Alcandre fut ravi de la voir tous les j
é, et que si elle témoignait la moindre chose de désobligeant à cette
dame
, elle l’obligerait à prendre des mesures. La volo
e ajoute que dans ce temps-là… madame de Montespan, qui était une des
dames
de la reine, « commença à aller chez madame de La
, accompagné de la reine, de mesdames de Montespan et de La Vallière,
dames
de la reine, et d’elle, Mademoiselle, on s’arrêta
adame de Montespan faisait partie de celui de la duchesse, qui, comme
dame
d’honneur, était chef des autres dames. Saint-Sim
elui de la duchesse, qui, comme dame d’honneur, était chef des autres
dames
. Saint-Simon dit ensuite que le marquis de Montes
emps après la scène que fît Montespan à madame de Montausier, « cette
dame
descendant, avec son écuyer et ses gens, un petit
lui-même, pressé du besoin de se venger, par un nouvel outrage sur la
dame
d’honneur, qu’il avait accusée hautement chez ell
ante. 61. T. III, p. 234. 62. La duchesse de Richelieu fut nommée
dame
d’honneur à la place de madame de Montausier, peu
e s’introduire chez Diana. Ils sortent. Cintia, Laura & plusieurs
Dames
suivent la Princesse ; elle est précédée par des
l’orgueil du Prince, en le rangeant au nombre de ses soupirants. Les
Dames
de sa fuite lui peignent le danger de cette entre
s on tire des rubans au sort ; que le Cavalier qui a la couleur d’une
Dame
est obligé de lui dire des douceurs pendant toute
bligé de lui dire des douceurs pendant toute la journée, & que la
Dame
est forcée d’y répondre. « Je sais, lui dit-il, q
ait commencer la fête. Les musiciens exhortent, par leurs chants, les
Dames
& les Cavaliers à tirer au sort. Le Prince de
rte. On danse, on chante. La même cérémonie se répete pour toutes les
Dames
de la Cour. Enfin Don Carlos tire un ruban incarn
change & représente un jardin. La Princesse y est entourée de ses
Dames
: elle chante. Le Prince est conduit par Polilla.
mps de lui rendre des soins, & de n’avoir des égards que pour les
Dames
de sa Cour. Carlos dit qu’il y consent d’autant p
voyant Diana. Diana entend chanter derriere le théâtre la beauté des
Dames
de sa Cour. Elle est indignée de n’entendre pas p
l’excuse, en disant qu’il n’est pas amoureux. Les Cavaliers & les
Dames
, précédés de la musique, défilent devant la Princ
a d’appeller Carlos. Il vient, en disant qu’il étoit à la suite de sa
Dame
. Diana frémit, lui demande le nom de cette beauté
e nom de cette beauté. Carlos la rassure un peu, en lui disant que sa
Dame
est la liberté. La Princesse lui avoue qu’elle a
ui enleva du cou un joyau qui renfermait le portrait d’une très belle
dame
, donné par celle-ci à ce cavalier nommé Oratio. T
uis elle mit fin à la visite. À peu de jours de là, le mari de ladite
dame
venant voir, lui aussi, la comédienne, celle-ci,
rlequin répond qu’un nommé Flavio la lui a donnée pour remettre à une
dame
. Le docteur prend la lettre et frappe Arlequin av
omédie est un noble divertissement et que la signora Vittoria est une
dame
honorable. Oratio, furieux, répond qu’il en a men
scène VI. Elle reproche à son mari de faire le galant avec toutes les
dames
et de la négliger16. Elle lui dit toutes ses véri
lus belle, disant que là où se trouvent les troupes de comédiens, les
dames
mariées ont la bouche sèche17. scène VII. Gratian
nt. Vous vous taisez, ah ! comme vous savez peu estimer l’amour d’une
dame
comme elle ! LE CAPITAINE. Est-il possible que j’
raindre les infidélités du roi en composant le service de la reine de
dames
d’honneur au lieu de filles d’honneur, avait pres
s d’honneur, avait pressé le renvoi de celles-ci et la nomination des
dames
. Le 1er de l’an, madame de Sévigné écrit à sa fil
Le 1er de l’an, madame de Sévigné écrit à sa fille : « On a fait cinq
dames
: mesdames de Soubise, de Chevreuse, la princesse
rcourt, madame d’Albret, madame de Rochefort, et madame de Richelieu,
dame
d’honneur. » Madame de Montespan ne considérait
qu’en donnant au roi un enfant chaque année, elle l’avait habitué aux
dames
, et avait autant à craindre de leur concurrence q
a campagne (à Clagny sans doute) à renverser à demi les fauteuils des
dames
, passa droit derrière celui de madame Scarron, en
même abbé Gobelin, ne laisse aucun doute sur la brouillerie des deux
dames
, et sur sa cause, et sur la mauvaise humeur qu’en
oint les accuser de manquer de goût, puisqu’ils prennent celui de ces
dames
. Peut-être est-ce pour cela, messieurs, que vous
ment de femmes, n’admettant les messieurs que pour donner la main aux
dames
et remplir ce rôle expiatoire des fatalités du di
à la fin (c’est malheureux, mais que voulez-vous !) ou bien qui tue (
dame
! il faut bien se garer). Gomment ! qui tue sa fe
tre. Ce n’est pas Agnès qui va au spectacle, on l’y mène, et quand la
dame
qui mène Agnès fait tant que d’acheter place au m
voulez, viser la demoiselle est une spéculation médiocre. Il faut la
dame
. Le théâtre est l’art de contenter la dame. Au te
ation médiocre. Il faut la dame. Le théâtre est l’art de contenter la
dame
. Au temps de Molière, on spéculait peut-être moin
ne fois une Anglaise qui aimait sincèrement Tanisette. Elle avait une
dame
de compagnie qui préférait le genièvre, une bonne
dire liberté. Le mot ivre est également indécent, surtout devant les
dames
: il faut dire empoisonné ou mieux victime. Dans
la maison anglaise trembla, le perroquet se jeta sur la Française, la
dame
de compagnie la battit, la bonne vieille tante la
’avoir, reçu le jour dans ces pays éclairés qui prennent nos vieilles
dames
aux Camélias pour en faire des duchesses (je croi
e, excommuniait le mot ivre, — sans prétendre pourtant que toutes les
dames
anglaises aient le goût en question, Dieu merci !
aucun rapport avec la sienne. Conte de Bocace, Nouvelle XXIII. Une
Dame
galante, contrefaisant la dévote & la prude,
éussir les affaires de son amant. Il y eut autrefois à Florence une
Dame
de qualité, que je ne veux pas nommer, parcequ’el
avec un artisan, qui n’avoit d’autre mérite que beaucoup de biens. La
Dame
devint passionnément amoureuse d’un jeune homme q
le étoit riche, il ne manqua pas de lui recommander la charité.... La
Dame
ajouta, en se retirant : « S’il nie la chose, mon
très grave censure sur les prétendues persécutions qu’il faisoit à la
Dame
. Le jeune homme répondit tout naturellement qu’il
pria de parler plus clairement, & de lui dire au moins de quelle
Dame
il s’agissoit. « Elle demeure en tel endroit, rép
t ; mais si froidement, que le Religieux demeura plus persuadé que la
Dame
avoit dit vrai. « Avez-vous le front de nier la c
confus : je reconnois ma faute, & je vous promets, puisque cette
Dame
est ainsi faite, de ne plus la chagriner ». Ce bo
héros lui-même la raconte. Je m’étois attaché tout à la fois à deux
Dames
fort aimables ; l’une étoit brune & l’autre b
; je riois même de tout mon cœur de la malice que j’allois faire. Ces
Dames
m’envelopperent, tout habillé que j’étois, je cro
fforts du monde pour me débarrasser de mes liens ; jusques-là que les
Dames
crurent, peu de temps après, que je les avois rom
el. Cette nuit fut délicieuse à la malignité & à la vengeance des
Dames
. Elles se leverent une heure avant le jour, &
e vint me démaillotter ; & lorsque je lui demandai où étoient les
Dames
: elles sont bien loin, me dit-elle ; elles doive
ns leur plus beau jour, l’héroïsme de ces messieurs, la beauté de ces
dames
, douce et favorable lueur que la comédie a perdue
son, à la lueur de nos propres chandelles, à notre barbe (ce sont ces
dames
qui parlent, on pourrait aisément s’y tromper), c
t ainsi sept jours encore. Le dernier soir venu, ces messieurs et ces
dames
de l’Hôtel de Bourgogne se disaient entre eux : N
ssion, lorsque parurent, pour le désespoir de ces messieurs et de ces
dames
, les marionnettes de la foire Saint-Laurent. Cett
, de n’avoir pas à redouter la concurrence de ces messieurs et de ces
dames
de l’Hôtel de Bourgogne ; chacun pour soi, et les
, s’amusaient à des quolibets du plus vil étage, ces messieurs et ces
dames
ont applaudi, du fond de leurs petites loges : Le
lle commission, il l’avait tout simplement acceptée. Aussi, jamais la
dame
en question n’était traitée que selon ses mérites
était traitée que selon ses mérites. Pour celle, qui était une grande
dame
, il était plein de politesse et de respect ; pour
rvalle des différents couplets de cette passion, ces messieurs et ces
dames
se disent toutes sortes d’impertinences qu’ils de
e aux comédiens, de bonnes et justes vérités que ces messieurs et ces
dames
ont désapprises depuis longtemps. « J’ai beau ex
le riait, elle était heureuse ! Elle admirait les héros et les belles
dames
, les beaux vers et les grandes actions, et elle a
nt à la fois… etc. » C’était là le bon temps ; on ne prenait pas ces
dames
de si haut, on n’en faisait pas les héroïnes des
de refuser cette consolation dernière à ces jeunes gens, à ces belles
dames
de seize à vingt ans, — que peut-être la peste em
orence, le temps des grands princes, des riches marchands, des belles
dames
, des artistes célèbres, des poètes et des conteur
et qui ont donné leur nom à la ville des Médicis. Heureusement que la
dame
veuve était une noble et honnête dame, et que sa
es Médicis. Heureusement que la dame veuve était une noble et honnête
dame
, et que sa fille était la digne fille de sa mère,
loin que le conteur d’Italie. Shakespeare donne un nom propre à cette
dame
veuve et pauvre, et savez-vous comme il l’appelle
nom que sa mémoire lui fournisse. — Lady Capulet, c’est le nom de la
dame
. Toute vieille et toute pauvre que peut être cett
le nom de la dame. Toute vieille et toute pauvre que peut être cette
dame
, elle est la parente de Juliette, la femme de Rom
aison où mourut, dans le silence et l’isolement, une des plus grandes
dames
de l’ancien empire français, une grande dame qui
t, une des plus grandes dames de l’ancien empire français, une grande
dame
qui était un bel esprit et un charmant écrivain.
eunes comédiennes qui ont repris la tradition où leurs anciennes, les
dames
sérieuses, l’avaient laissée ! Il y avait aussi,
oésies de M. Trissotin et soutenir convenablement l’admiration de ces
dames
savantes ? Là est le difficile, et il ne suffit p
de si loin, à se permettre ces coûteuses folies qu’elle laissera aux
dames
de la cour. — Les débutantes jeunes et belles ne
omaines ! quel plus bel esprit, et mieux fait pour parler aux grandes
dames
, aux sénateurs, aux chevaliers ! À chaque mot de
accident ! La Fontaine et Térence ! Le titre seul révolta les belles
dames
de cette jeune cour abandonnée à toutes les galan
des honnêtes femmes : tu ne vois les vestales qu’au théâtre ; et des
dames
patriciennes, portées dans leur litière entourée
lière faisaient même de Célimène (la Phédia de Térence) une si grande
dame
, qu’elle reçoit la meilleure société de la cour,
, dit Phédia à sa maîtresse, parce que c’est le privilège des grandes
dames
d’en avoir ; vous avez voulu une éthiopienne, ell
prend à son service des Turcs et des hussards. » Un peu plus loin la
dame
parle avec grand mépris des laquetons de bourgeoi
George Dandin qui se plaint, en son patois, d’avoir épousé une belle
dame
. — « Quel accouplement ! l’odeur du vin nouveau,
ans l’hydropisie, et ce faisant, à pas un de ceux qui l’entourent, la
dame
ne donne ni paix ni trêve. Mais surtout c’est la
s Anna, on lui prouvera que c’est son coquin de neveu qui a épousé la
dame
. Cela se fait ainsi dans Le Barbier de Séville, a
ttue… et battue, elle adora Clitandre. Clitandre adoré, trouva que la
dame
était insupportable, et il la joua au pharaon ave
oup sûr il existait. On l’avait rencontré donnant le bras à de belles
dames
qu’il avait ramenées de ses voyages. Et pour entr
ition que la comédienne ait vingt ans, et tout au plus ! À ces belles
dames
il recommande avant tout d’être parées, d’user be
de velours ; au besoin même il leur en donne. Surtout il défend à ces
dames
de fréquenter les comédiens, comme elles n’y ont
r exemple, esclave en Alger, un jour qu’il avait accompagna une belle
dame
dont il était épris. Ô dieux et déesses ! Se hasa
Tunis, et, par-dessus le marché du poète, le marchand avait donné la
dame
presque pour rien. Si donc notre Regnard fut cont
inon madame La Ressource fournirait, au besoin, et tout ensemble à la
dame
, la marchandise, et l’acheteur, qui ne serait pas
e remplacer leur haut-de-chausses, tantôt un jupon de flanelle que la
dame
aura porté, et dans lequel auront déteint ses bas
donc cet objet fortuné ? Mais, pour mieux s’en assurer, que fait la
dame
? Elle envoie sa soubrette chez M. Charles ; la s
vieille et ni jeune, ni belle, et ni laide, ni bourgeoise, ni grande
dame
. Le grison d’Araminte apporte une montre et une l
ura l’agrafe de Cidalise. Quant à écrire un mot de remerciement à ces
dames
, Monsieur ne daigne. Voyez-vous ces deux grisons
se de céans, c’est Cidalise, la femme à l’agrafe. Avouez que ces deux
dames
abusent étrangement de l’abnégation de madame Luc
ngement de l’abnégation de madame Lucinde ! Elles viennent chez cette
dame
, uniquement pour se disputer l’amant qui lui coût
endrement, se réunissent pour le perdre dans l’esprit de Lucinde. Ces
dames
-là n’ont pas un regret pour un amant ainsi perdu.
ec un mouchoir, sous prétexte de le conduire à une bonne fortune, ces
dames
feront le reste. Mais n’est-ce pas se donner bien
re tous, qui lui dit : — Adieu, perfide ! Et mons Éraste d’épouser la
dame
à belles baisemains, en disant : — Si je le veux
nues et si modestes, ces innocentes filles si charmantes, ces grandes
dames
si fières, ces amours si malheureux, ces passions
lière, afin que chacun pût l’aborder, sans trop de façon, cette noble
dame
d’une tournure si fière, et dont le regard sévère
meilleur parti ; et cependant il est logé, nourri et vêtu chez cette
dame
, par cette dame. Ce n’est pas tout : chez le four
; et cependant il est logé, nourri et vêtu chez cette dame, par cette
dame
. Ce n’est pas tout : chez le fournisseur de Monca
st pas tout : chez le fournisseur de Moncade se sont présentées trois
dames
, dans la matinée, pour payer les petites dettes d
dans la matinée, pour payer les petites dettes de ce Moncade. Or, ces
dames
, qui ne veulent pas être reconnues, étaient masqu
chaise cassée, un ongle que l’on se ronge, ou des mines à faire à une
dame
dans l’avant-scène ; ce sont là autant de détails
ne, mais en même temps il a résolu d’enlever, à chacune de ces bonnes
dames
, mille pistoles. Madame Patin, qui n’a rien à ref
de ses maîtresses lui a donné une robe de chambre ; quand une de ces
dames
arrive chez le galant, il se hâte d’endosser les
dames arrive chez le galant, il se hâte d’endosser les couleurs de la
dame
. Toujours des robes de chambre, dit-il ; il faut
dame. Toujours des robes de chambre, dit-il ; il faut avouer que ces
dames
nous aiment en déshabillé ! Du reste, il est cour
ui paie lui-même ses porteurs. Ceci arrangé, notre vicomte fait à ces
dames
le récit de la journée d’un joli homme. Le joli h
ien déclamé contre Regnard, ces messieurs se mettent à table avec ces
dames
, et à force de s’échauffer, ils finissent par se
de ce xviie siècle, prosterné également devant le roi et devant les
dames
. Don Juan, en effet, n’a rien qui rappelle la gal
s, à toute la belle et douce galanterie d’autrefois. Voilà ce que ces
dames
s’avouaient tout bas, en avisant au moyen de chât
ui, au moins faut-il reconnaître que notre gentilhomme ne prend à ces
dames
que ce qu’il peut leur prendre en tout bien, sino
t au rebours du tailleur de Moncade qui a touché trois fois, de trois
dames
masquées, le montant du même mémoire, M. Dimanche
les marchands, son courage avec les gentilshommes, sa beauté avec les
dames
. Le seul louis d’or dont il soit parlé dans toute
mme à bonnes fortunes et Le Chevalier à la mode. Ces Messieurs et ces
dames
déployaient à l’envi, dans ces deux pièces, les g
n argent comptant Je n’en avais au moins deux ans d’avance. Les
dames
, le jeu, ni le vin Ne m’arrachent point à m
a Comédie ; un aimable prince voulait mettre à l’unisson ces aimables
dames
, et véritablement le jeune homme se vit délivré,
tre présent au mari de la belle. Il eut l’art de s’introduire chez la
dame
, sans savoir qu’elle étoit l’épouse de son maître
Que diriez-vous, dit Nérin, que je sais bien où se tient cette belle
Dame
? & qu’ainsi soit j’ai devisé longuement avec
rien plus vrai, & ne vis oncques plus gracieuse ni plus plaisante
Dame
qu’elle. Je vous supplie, Monsieur mon ami, me fa
Monsieur le Docteur, que diriez-vous que je suis retourné vers cette
Dame
? mais la mauvaise & envieuse fortune m’a rom
Si-tôt que Maître Raimon fut allé en pratique, Nérin fut mandé par la
Dame
. Comme ils passoient leurs temps en plaisirs &
extrême danger que fit jamais homme vivant. Je m’en allai où loge la
Dame
que vous savez ; & ainsi que j’étois en propo
ù étiez-vous ? J’étois caché, dit Nérin, dedans une garde-robe que la
Dame
jetta hors du logis, &c17 ». Nérin enleve J
ez-vous dans l’église, auprès du bénitier. Présenter sur le doigt aux
dames
l’eau sacrée, C’est d’amourettes les prier. Si
crée, C’est d’amourettes les prier. Si l’air du suppliant à quelque
dame
agrée, Celle-là, sachant son métier, Vous env
étail, vous vous en doutez tous. Il s’y fit nombre de folies : La
Dame
étoit des plus jolies, Le passe-temps fut des p
entra dans le jardin, monta le petit escalier, & trouva encore sa
Dame
qui s’acquittoit de son devoir. Il l’embrassa tou
emmena madame de Montespan à Trianon. » Le même jour : « Il y a des
dames
qui ont été à Clagny. Elles trouvèrent la belle s
che matin à Versailles ; la reine, madame de Montespan, et toutes les
dames
étaient allées, dès le samedi, reprendre tous leu
extérieur il y a un fonds de tristesse. » 7 août 1675. « Toutes les
dames
de la reine sont précisément celles qui font la c
elle) comme depuis Pharamond. Quanto joue en robe de chambre avec la
dame
du château (avec la reine) qui se trouve trop heu
se bien, Il ne pleurait que sa liberté et ce lieu de sûreté contre la
dame
du château. » Il ne pleurait, pendant la séparati
mon amie de Lyon (madame de Coulanges) m’en paraît moins coiffée. La
dame
d’honneur même n’a plus les mêmes empressements,
t recherchée et florissante. En 1620 on y voit la marquise de Sablé,
dame
d’un grand esprit et d’un rare mérite , dit Vigne
e supériorité de raison qu’il avait un amour-propre de femme . Cette
dame
est la même qu’on revoit dans sa vieillesse en gr
t les plus insignes folies de sa vie et les plus indignes de lui. Ces
dames
, nées à la fin du siècle précédent, étaient à peu
entre madame de Maintenon et elle. — La duchesse de Richelieu nommée
dame
d’honneur. Une lettre de madame de Maintenon à
ous dirai le fait tel que je le tiens de madame de Noailles. La belle
dame
(madame de Montespan) ayant été à confesse à un p
madame de Richelieu succéda à madame de Montausier, dans la place de
dame
d’honneur de la reine, et madame de Richelieu éta
e autrefois. Lisardo lui fait part à son tour de son aventure avec la
dame
inconnue. Scene III. Marcella & sa suivante
cause des malheurs de son ami. Scene XXI. Calabacas annonce qu’une
dame
demande à parler à Dom Félix ; il se doute que c’
e le quereller tout bas. Scene XXIV. Dom Félix veut courir après la
dame
voilée pour tâcher de la reconnoître : Laura l’ar
rtement pour pouvoir épier la conduite de Dom Félix, & voir si la
Dame
qu’elle a déja vue chez lui y revient. Marcella n
ait. Scene XVIII. Lisardo paroît : Dom Félix lui fait voir les deux
Dames
; il lui demande à laquelle il a parlé : Lisardo
e chambriere. Avint qu’un jour, en un bourg arrêté, Il vit passer une
Dame
jolie, Leste, pimpante, & d’un Page suivie ;
. . . . Et s’informant comment on l’appelloit, C’est, lui dit-on, la
Dame
du village ; Messire Bon l’a prise en mariage. .
toutefois sans l’avis de sa femme. Le fauconnier plut très fort à la
Dame
; Et n’étant homme en tel pourchas nouveau, Guere
enfin, qui prit à cœur l’affaire, Leur inspira la ruse que voici. La
Dame
dit un soir à son mari : Qui croyez-vous le plus
; meurt quasi de froid, Le pélerin, qui le tout observoit, Va voir la
Dame
; avec elle se donne Tout le bon temps qu’on a, c
amp; qui n’est pas à soi. Quand le galant un assez bon espace Avec la
Dame
eut été dans ce lieu, Force lui fut d’abandonner
pélerin, d’aussi loin qu’il le vit, Feignit de croire appercevoir la
Dame
, Et lui cria : Quoi donc, méchante femme ! A ton
emps là-dessus, louons-le d’avoir embelli la fausse confidence que la
Dame
du château fait à Messire Bon : celle qu’Angéliqu
apportoit environ cent pistoles. Une fois possesseur du château de la
Dame
, il devint indifférent pour ses charmes : la Dame
ur du château de la Dame, il devint indifférent pour ses charmes : la
Dame
, de son côté, ne voulant pas être ingrate, eut po
oyages à son château, dit à sa femme qu’il arrive de son régiment. La
Dame
qui le croit, s’empresse de lui donner de l’argen
M. Dupuis, chez M. Desronais. M. Dupuis lit, & voit qu’une grande
Dame
donne un rendez-vous à Desronais pour le jeudi pr
d’hospitalité ; de grands hommes faire de petites actions, de belles
Dames
ne rien faire qui vaille. J’ai vu les honnêtes Av
urs même. Le Comte de Gulphar, parent du Chevalier, a du goût pour la
Dame
: elle s’en apperçoit, lui écrit une lettre fort
er les deux cents louis. Le Chevalier paroît, & lui assure que la
Dame
n’a point perdu au jeu. Le Comte lui demande où i
s louis que vous aurez la bonté de remettre à Monsieur votre mari. La
Dame
croit que le Comte a voulu donner le change à sa
on pourtant de la vivacité. Enfin le Galant Escroc dit au mari que la
Dame
, enchantée de son mérite, n’a pas voulu de ses de
es a remis à Madame Gasparin. Le mari exige qu’elle les lui rende. La
Dame
regarde le Comte comme un monstre, surtout lorsqu
n : lorsqu’elle veut l’examiner de près, la jeune fille se recule. Oh
dame
, dit-elle, quand on me regarde de près, je parois
: Traité des riens, avec une Dissertation sur la babiole, dédié aux
Dames
. Par M. l’Abbé Bagatelle. Premier volume. La Bag
nnêtes gens. Le Chevalier continue à lire. La nouvelle Toilette des
Dames
, avec une liste détaillée de tout ce qui la compo
ée des trois quarts, & qui n’est pas moins curieuse que celle des
Dames
. Quatrieme volume. La science de coeffer les uns
t est un perfide : pour le lui prouver, on dit à Moncade qu’une belle
dame
est charmée de son mérite, qu’il aura une convers
d au lieu assigné, & se laisse conduire en Colin Maillard chez la
dame
, qui est Lucinde. On le reconnoît, on lui donne d
de si Cidalise n’a pas envoyé ; Pasquin lui remet une lettre de cette
dame
& une montre. Moncade. Tu n’as qu’à la mettr
ivantes composées en France : 1. Il Regallo delle Damme (le Régal des
Dames
), 2 mai 1668. 2. Il Teatro senza commedie (le Thé
e, Mezzetin resta vingt ans en prison. Au bout de ce temps, une autre
dame
de la cour d’Auguste, qui, à cette époque, avait
epuis sa détention ». Il se jeta aux pieds du roi ; mais, bien que la
dame
joignît ses supplications aux siennes, Auguste de
pplications aux siennes, Auguste demeura inexorable. Toutefois, cette
dame
travailla si bien l’esprit du roi que, quelques m
de M. Goldoni, intitulée Il Cavaliere e la Dama, Le Cavalier & la
Dame
. La Dama est dans la plus grande misere. Il Caval
précisément pendant les premieres représentations de sa comédie. Une
Dame
venoit d’acheter deux ou trois pieces d’étoffe ;
de sa parente, la remercia en riant ; & je demandai tout bas à la
Dame
si elle avoit vu représenter le Bourru bienfaisan
cueil de La Rochefoucauld renferme quelques-unes ; et enfin que cette
dame
avait de la fortune, une bonne maison, une excell
il ; et que le duc de La Rochefoucauld allait souvent l’y voir. Cette
dame
, alors âgée au moins de 60 à ans, d’une santé tr
elle apprit, dit-elle, que Lauzun allait quelquefois chez une petite
dame
de la ville, nommée madame de La Sablière. Il fal
mbre du roi, fort aimé de ce prince, et dispensé de faire la cour aux
dames
. En 1661, Molière était âgé de 41 ans, La Fontain
secrètes dispositions du roi ; La Fontaine, le plus répandu parmi les
dames
du grand monde, donnaient à leurs jeunes amis, l’
, qu’il appelle un auteur burlesque; il rencontre une marquise, cette
dame
a un procès. On cause du théâtre ; on loue quelqu
le capuchon de la carmélite a voilé les cheveux flottons de la grande
dame
; lorsque le cilice de la sœur de la Miséricorde a
er de vie, de peur d’attirer la foudre sur lui. Don Juan accueille la
dame
avec bonté : il l’engagé à rester après l’avoir d
piter avait pris le visage de son époux. C’est un bel éloge donné aux
dames
de l’antiquité, qu’un Dieu pour les séduire ait é
devient pour elles une prison insupportable. » Voilà ce que pense des
dames
de son temps l’homme que Tacite appelle l’arbitre
emps l’homme que Tacite appelle l’arbitre du goût. Pour l’honneur des
dames
romaines, il faut ajouter qu’il est beaucoup plus
une rigueur absolue. Il arrive souvent qu’à la fin du second acte les
dames
prennent leurs chapeaux, les hommes se lèvent, le
, malgré la procession des seringues. La susceptibilité de nos belles
dames
s’offense actuellement de ces plaisanteries, mais
es dames s’offense actuellement de ces plaisanteries, mais nos belles
dames
ne trouvent rien à redire au viol d’Antony. Il fa
es d’alors fussent plus tolérantes que les nôtres, sauf celles de ces
dames
si précieuses, que Molière a ridiculisées encore
une espèce d’escroquerie pareille à celle des chevaliers. De grandes
dames
, résistant par calcul, lèvent des impôts sur les
squenet était utile. Clitandre Cela passe l’imagination. Eraste Une
dame
recevait-elle un bijou considérable de quelque am
bijou considérable de quelque amant, le mari n’avait rien à dire ; la
dame
l’avait gagné au lansquenet. La comtesse Il a rai
que les enfants de famille, les jolis hommes du temps, appelaient des
Dames
de la Providence. Toutes les femmes de Dancourt s
ur épurer le ciel. Nous avons vu Dancourt aux prises avec les grandes
dames
insolentes, les bourgeoises vaniteuses, les cheva
piquante ; elle a lieu entre un baron, un chevalier et deux aimables
dames
, dans une loge du théâtre, en attendant la représ
i, qu’il va chez le baigneur voisin, implorer les faveurs d’une autre
dame
; mais M. Jérôme, qui sait à quoi s’en tenir, ne
sa fille ; « mais si elle avait voulu mener tout ce qu’il y avait de
dames
à la cour, elle aurait pu choisir. » Quelle étai
le soir. On fit hier une promenade ensemble, accompagnés de quelques
dames
; on fut bien aise d’aller à Versailles pour le v
donner à la médisance le moindre sujet de mordre, on convint que des
dames
respectables et des plus graves de la cour seraie
t à la façon de ces lits sacrés des dieux du paganisme, on trouve une
dame
exposée aux yeux du public, quelquefois belle et
dividu, revêtu du titre d’alcoviste, était le chevalier servant de la
dame
: il l’aidait à faire les honneurs de sa maison e
du père et de la mère, et point celle du mari et de ses enfants. Ces
dames
, qui se recherchent si exactement les unes les au
et les marionnettes. Ils corrigent les vers médiocres, et font à ces
dames
des réputations d’esprit. » « Une précieuse »,
s femmes de qualité. Il n’y a encore rien ici qui soit applicable aux
dames
de Rambouillet. Ces bourgeoises sont de plus des
écore, qui vient de pecus, troupeau. 51. M. Petitot dit que « si les
dames
de l’hôtel Rambouillet souffrirent patiemment Les
petits maîtres de l’école du goût ressemblent à des enfants ou à des
dames
s’amusant à manier dans un salon, en l’absence du
qui dit tout cela, et le 24 avril 1827, tu étais dans son salon. Les
dames
t’entouraient. Tu leur mon : trais des bandelette
e ses cheveux ; plus tard ils tombèrent sous les coups de ciseaux des
dames
dont les larmes avaient mouillé les pages de ses
milieu de sa cour, l’amoindrissement de la noblesse ; la passion des
dames
et du beau monde pour les conversations spirituel
audirent plus haut que tout le monde. Mais un homme puissant, ami des
dames
qui pouvaient se croire offensées par la comédie
donner avis de ceux qui parlaient de lui dans son salon, et la noble
dame
avait refusé, avec une fierté polie, de remplir c
née de plaisir, on s’assembla sur le théâtre. Le roi, les reines, les
dames
, les courtisans prirent leurs places, les violons
e fort complaisante pour les amours du roi dans sa charge de première
dame
d’honneur de la reine, avait bien changé depuis q
de personne, et je suis persuadé que s’il eût été amoureux de quelque
dame
qui eût eu quelques légers défauts, ou en sa beau
isque le rang et la fortune laissent un loisir dont il semble que les
dames
elles-mêmes ne sauraient faire un meilleur usage
s de rhétorique qui persuadent. Et maître Cornichon, défenseur de la
dame
, redouble les coups à tort et à travers et accabl
ils chantent victoire ; Heureux les bourgeois de Paris ! L’été, les
dames
de Paris dirigent de préférence leurs promenades
r les bords la Seine, où les Parisiens se changent en tritons, où les
dames
elles-mêmes se livrent au plaisir de la natation
ris, au temps de La Bruyère, est le singe de la Cour. Pour imiter les
dames
de la cour, les femmes de la ville se ruinent en
amies diront aux jeunes gens : — Vous voyez bien, là-bas, cette belle
dame
qui porte des roses blanches sur la tête et qu’on
brisées et des têtes qui tombent, les grands seigneurs et les belles
dames
s’imaginaient que c’était tout simplement un coup
un insigne anachronisme : autant valait affubler ces messieurs et ces
dames
de la Chaussée-d’Antin, des broderies, des insign
grand seigneur à l’ancienne marque, et la digne suivante d’une belle
dame
à la mode des petits appartements ! Quelle fête c
it arrangé tant de modes nouvelles, et inventé ce rose à part que les
dames
du meilleur monde appelaient, par excellence, le
lus au théâtre, tout est dit. Maintenant, disent les messieurs et les
dames
, qu’elle vive ou qu’elle meure, ou bien que cette
pulaires, de courtisans, de chambellans, de soldats, de mendiants, de
dames
d’honneur ! Le Times, c’est la montagne en travai
de toutes les femmes qu’il rencontre, quelle que soit leur condition.
Dame
, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve r
esse, et parmi ces plaisirs, le gros Rieux et la belle Pâtissière, la
Dame
de pique et la Dame de carreau : dames, écoliers,
laisirs, le gros Rieux et la belle Pâtissière, la Dame de pique et la
Dame
de carreau : dames, écoliers, pages, chevaliers.
ieux et la belle Pâtissière, la Dame de pique et la Dame de carreau :
dames
, écoliers, pages, chevaliers. On passait ensuite
lier son excellence le Pont-Neuf qui chantait des chansons aux belles
dames
! La fantaisie a-t-elle jamais rien produit de pl
randeur se voyaient avec distinction, et où le commerce continuel des
dames
, de la reine-mère et des auteurs de la cour l’ava
s deux sexes, qui tous portaient et avaient le droit de s’appeler des
dames
et des seigneurs, et où il ne se trouvait que bie
uement admis, en cette illustre compagnie de jeunes gens et de jeunes
dames
: « Formés à la grâce, à l’adresse, à tous les ex
compagnie ? Même dans leur négligé, on sent que ces messieurs et ces
dames
se rappellent qu’ils sont à Versailles et qu’ils
u troisième acte ce Roquelaure apocryphe qui s’amuse à jouer avec les
dames
de la cour, à parler de l’enfant que le roi a fai
rmette de faire agir et parler, comme une folle, une des plus grandes
dames
de l’histoire de France, et comme la chose est bi
le vieux célibataire ne répondrait pas à sa servante Babet : « Belle
dame
quand tu parles, je rêve ce que devrait être l’am
troduit Ménage* chez madame Rambouillet. Ce dernier allant voir cette
dame
, après la première représentation des Femmes sava
re de pareils tours ; mais, pour l’en convaincre mieux, cette honnête
dame
devient amoureuse du petit page, et veut le prend
politesse, Reçut avec grande allégresse, Et son aimable épouse aussi,
Dame
, où l’on ne trouve aucun si, Que le Ciel bénisse
aint violon, Dans une salle ou beau salon, Pour divertir seigneurs et
dames
, On joua l’École des femmes, Qui fit rire Leurs M
; tout le monde l’a trouvée méchante, et tout le monde y a couru. Les
dames
l’ont blâmée, et l’ont été voir : elle a réussi s
principales règles. Chaque cavalier nomme une couleur à son choix. La
dame
qui a par hasard cette même couleur montre au cav
ices pendant tout le jour. Le cavalier est aussi obligé de tenir à la
dame
des propos de galanterie, et la dame pareillement
r est aussi obligé de tenir à la dame des propos de galanterie, et la
dame
pareillement doit, tant que le jour dure, faire s
ons bien articulés, Elle fait ce que vous voulez. Quand on lui dit, «
Dame
épinette, Jouez un peu la Boivinette, Jouez ceci,
té de principautés, Ducs, pairs et maréchaux de France, Seigneurs, et
dames
d’importance, Ont eu la curiosité, De voir ladite
Mais comme, dans ce siecle charmant, tout est soumis au tribunal des
Dames
, qu’elles font sur-tout le sort des ouvrages de g
beau sexe a reçu en partage, je me contenterai de faire remarquer aux
Dames
qui seront en ceci d’un avis contraire au mien, q
& ne songe nullement à l’abandonner : il trouve ensuite que cette
Dame
fait ses visites trop longues ; il attend à tous
en de plus juste, rien de plus raisonnable. Vas-y toi-même, salue ces
Dames
de ma part, & dis-leur qu’elles m’obligeront
Menechme le perdu est persécuté par l’humeur jalouse de sa femme. La
dame
n’a pas tout-à-fait tort, puisque son époux a une
l il laisse unique légataire sa chere épouse. Ce titre convenoit à la
dame
, à quelques formalités près. On ne dit pas si l
faire quelques legs, ou s’il crut connoître assez bien le cœur de la
dame
pour se fier à sa reconnoissance. Quoi qu’il en s
qu’équivoques, de ces traits qui fixent les yeux du parterre sur les
Dames
pour distinguer celles qui rougissent réellement
ait son mari cocu avec une bonne foi qui vaut mieux que la malice des
Dames
les plus expertes ». Ce qu’on voit de ce drame p
une répétition. Lelio, Auteur Comique, se présente, baise la main des
dames
, assure le Chef de la compagnie de son respect (L
dis, marquise de Saluces, et de sa merveilleuse constance, miroir des
dames
mariées, paraît aussi avoir été joué dès l’année
Toute la noblesse de Lorraine et du Rhin, « moult de seigneurs et de
dames
, » dit la chronique; une pleine foule de bourgeoi
étaient disposées à divers endroits du pourtour pour les Seigneurs ou
Dames
. Il était assez d’usage, Messieurs, que, dans ces
abaisser, cher maître, lui disent-elles, soyez-nous bénin. En vérité,
dame
, nenny, répond l’épicier, croyez que je n’y gagne
quer de goût pour les endroits relevez des Poëtes Latins. Montrez aux
Dames
d’esprit certaines pensées d’Horace, d’Ovide, de
qu’il vous plaira, pourveu qu’elle soit fidelle, vous verrez que ces
Dames
conviendront que ces pensées sont belles, délicat
l’oreille, ou quelques aparté, qu’il adresse alternativement aux deux
Dames
. Le Chevalier, à Madame Patin. Que tout ceci ne
uine ! — Mais, Monsieur, que prétendez-vous dire ? — La vérité, belle
Dame
. Vous avez d’ailleurs l’art de vous mettre comme
ie des Allégoristes ; elle se réunit chez l’abbé de Villeserain ; les
dames
y sont admises. — Il y a une troisième académie,
: Une tarte à la crème ! A ce mot qui fait éclater le parterre, les
dames
pincent les lèvres, un quidam à notre côté, à min
onde, grand éclat de rire autour de nous, grande inquiétude parmi les
dames
, dont les visages disparaissent derrière les éven
rabat et la calotte, entre dans une loge, offrant des confitures aux
dames
; les dames sont des plus précieuses ; et par not
calotte, entre dans une loge, offrant des confitures aux dames ; les
dames
sont des plus précieuses ; et par notre Parisien,
montée en carrosses ou en chaises ; les seigneurs prennent congé des
dames
, les plumes balayant la terre ; touche chez Arthé
a ? Les Auteurs doivent s’ingénier jusqu’à ce que les caleches de nos
Dames
puissent fournir au comique autant de richesses q
l’autre : Les Femmes savantes. Ces Comédies firent tant de honte aux
Dames
qui se piquaient trop de bel Esprit que toute la
de madame de Montausier si les déclamations tant répétées contre les
dames
de Rambouillet étaient fondées. Si la liaison du
en cas qu’il écrive à Eugénie ou à sa famille ; il fait sa visite aux
Dames
. Le Baron le félicite sur un riche mariage qu’il
tre théâtre. On a pu voir un peu de pantomime dans un entr’acte de la
Dame
invisible ou l’Esprit follet, comédie en vers, en
che, ce qui redoubla les éclats de rire de la reine, et de toutes les
dames
et seigneurs qui étaient dans l’appartement. Depu
possono fingere d’essere quelle che sono. Chacun sait que toutes les
dames
sont folles et que, par conséquent, elles ne peuv
m’instruit ni ne me corrige. Cette piece n’est bonne qu’à prouver aux
dames
qu’en épousant un distrait, elles risquent d’être
de faim cet hiver, & si un jeune chevalier qui fait la cour à la
dame
aura un régiment. De l’Age. L’âge des pri
; qui ne permettent pas à la maîtresse de se plaindre, quelque grande
dame
qu’elle soit. Mais aucune ne souffrira qu’un jeun
Duc Octave : il paroît, & dit qu’il fuit de son pays, parcequ’une
Dame
l’a accusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Le Ro
me l’a accusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Le Roi se doute que la
Dame
en question est Isabelle : il promet au Duc de l’
p; qui le présente à sa moitié. Comme le joueur est très mal vêtu, la
Dame
le rebute. Il revient au jeu, gagne des sommes co
nfidence au Jaloux, lui dit en secret, & comme malgré lui, que la
dame
enfermée dans sa maison est Dona Luisa. Le Jaloux
hysique du prince de Portugal, est piqué de son indifférence pour les
dames
de Padoue ; ce Raimond avait une très belle femme
ment ; le prince en devient amoureux, a l’art de s’introduire chez la
dame
, pousse l’aventure très loin, et va faire confide
est de tirer au sort des rubans ; le cavalier qui a la couleur d’une
dame
, est obligé de lui dire des douceurs, et la dame
i a la couleur d’une dame, est obligé de lui dire des douceurs, et la
dame
ne peut se dispenser d’y répondre ; l’on se doute
de Molière, plus vaine que fière de ce titre, elle se crut une grande
dame
, en prit le ton, les manières, la parure, et ne f
n parlant des mauvais procédés de ces messieurs : Et l’aigreur de la
dame
, à ces sortes d’outrages, Dont la plaint doucemen
a la pièce le lendemain ; l’assemblée était des plus nombreuses ; des
dames
de la première distinction se trouvaient très heu
tisfaisant, Dorante n’est point démasqué aux yeux de Dorimène ; cette
dame
paie au contraire de sa main les escroqueries du
et trouve mauvais qu’il l’envoie dîner chez sa sœur pour festiner les
dames
en son absence ; Dorante répond que c’est lui qui
epuis les Joas jusqu’aux Lusignan, depuis la petite Louison jusqu’aux
dames
Pimbêches ? pourquoi, dis-je, avec ces avantages,
ui sur le sien ; je demande à tous les messieurs un tel, à toutes les
dames
une telle, qui, déjà loin de leur printemps, Pré
de Conti, pour l’amuser à Bagnas, village situé près Pesenas ; que la
dame
du lieu, fière d’être de la maison d’Ecar, traita
gnas, mais qu’il composa encore le titre de la pièce, et du nom de la
dame
et du nom de la terre. C’est dommage que ce derni
Decar, dame du Bagnas. Je vous donne pour certain que le nom de cette
dame
ne se trouve point dans les actes par lesquels la
auche. Le rôle de Béline. Le professeur. Vous paraissez, belle
dame
, vouloir vous mettre sur les rangs. une élève. O
ntiment d’un bon chrétien, ainsi qu’il a témoigné en présence de deux
dames
religieuses demeurant en la même maison, d’un gen
a seule le plus grand sérieux, et murmurait tout bas, quand une jeune
dame
lui dit : il est là, prenez garde à lui. — À qui
par être une qualité au temps de la Fronde. À cette époque, quelques
dames
, illustres autant par l’esprit que par la naissan
c. II, III, Chrysale. 309. « Ces comédies firent tant de honte aux
dames
qui se piquoient trop de bel esprit, que toute la
le voile heureux de la nuit favorable, Vous devenez l’époux de cette
Dame
aimable. Hem ! n’est-ce pas ainsi que le tout s’a
yé M. Le Nôtre, et j’y trouve tous les jours des présents de la belle
dame
. Vous mourez d’envie de venir dans le grand monde
eine chaire d’humanités à l’usage des petits messieurs et des petites
dames
du Lycée, dissertait, tout un jour, pour savoir s
Châteauneuf, qui avait dix-sept ans, l’eût retrouvé et rapporté à la
dame
, qui en avait alors quatre-vingt bien sonnés. Tou
tous ceux à qui j’en parle. Paraît alors Dorimène, belle et galante.
Dame
! c’est une fille que Molière ne ménage pas. Nous
te même pas de regarder le mari qu’on lui donne ; pourvu qu’elle soit
dame
et maîtresse en la maison de ce manant, Dorimène
hilosophes, l’homme sans pain, l’amoureux tremblant de tant de belles
dames
qui n’avaient pour ses amours ni un regard, ni un
ou à la ville ; il est moitié l’un, moitié l’autre. En ceci la grande
dame
ne se montre pas plus que la bourgeoise ; Célimèn
belle et pleine d’esprit que le ciel avait faite pour être une grande
dame
de la cour de Versailles, et que son humble naiss
; elles le disaient avec beaucoup de grâce, et si parfois ces belles
dames
de la poésie exotique avaient rapporté de leur vo
; l’éloquence, au milieu de nos grands papiers, ressemblerait à cette
dame
patricienne obligée, un jour de fête, de danser a
à l’heure avec son amant. Dans ces airs étudiés avec tant de soin, la
dame
en adoptait quelques-uns, en rejetait quelques au
financier. D’un autre côté la maîtresse fait déguiser sa soubrette en
dame
, pour connoître à fond le cœur de son amant. LES
assistèrent le roi, la reine et la plupart des princes, seigneurs et
dames
de la cour. C’étaient un mari et une femme qui se
chiens avaient pris possession de la chambre et presque du lit de la
dame
; il fallut partager avec eux. Cette société ne l
ains, les femmes ne vivaient pas en société avec les hommes ; que les
dames
romaines vivaient retirées ; que recevoir des hom
amusé : à merveille, dit-il ; j’ai vu des beaux Messieurs, des belles
Dames
, tous bien parés, bien enjolivés. On lui demanda
mais qu’on n’en sache rien : Et par elle apprenez que les plus fines
dames
, De pareilles douceurs entretiennent leurs ames D
eresses ; pour donner lieu à des ballets exécutés par les plus belles
Dames
de la Cour & les Seigneurs les mieux faits. L
point attaquée dans ce pays-là que vous ne soyez bien défendue. Cette
dame
(madame Scarron) a parlé de vous avec une tendres
lques idées à Moliere. La Rocque a besoin d’argent pour régaler des
Dames
: il dit à Guillot de lui procurer cinquante pist
de sa cour, Savoir sa mère et son espouse. Pour divertir seigneurs et
dames
, On joua L’École des femmes, Qui fit rire leurs m
us avez, la Belle, une chaise roulante, Où, par deux bons chevaux, en
dame
nonchalante, Vous vous faites traîner par-tout où
, trouvoit fort à son goût : Je crois, comme toujours il fut aimé des
dames
, Que nous pourrions bien être alliés par les femm
l’homme que vous fîtes crever ces jours passés. - Souvenez-vous de la
dame
que vous avez envoyée en l’autre monde il y a tro
quer de goût pour les endroits relevez des Poëtes Latins. Montrez aux
Dames
d’esprit certaines pensées d’Horace, d’Ovide, de
e qu’il vous plaira, pourvu qu’elle soit fidelle, vous verrez que ces
Dames
conviendront que ces pensées sont belles, délicat
me savant ! Je requiers Dieu qu’il en ait l’ame De votre pere, doulce
Dame
! Il m’est advis tout clairement Que c’est il de
vous jure Que je cuidoye par ceste ame Qu’il eût eu mon drap. Adieu,
Dame
: Pour Dieu, qu’il me soit pardonné. Guillemette.
ncetti, où Lelio peint son amour à Fabio en feignant de connaître une
dame
qui l’aime tendrement. scène iii. Tebaldo, Leli
qu’il a reçu la visite des plus riches personnages et des plus belles
dames
de la ville ; une d’elles s’est éprise d’un viole
e la cour. Dans ce même temps, madame de Maintenon fut nommée seconde
dame
d’atours de madame la dauphine ; ce qui la tira d
cours. Mon amie (madame de Coulanges) me mande qu’on n’aborde plus la
dame
sans crainte et sans respect, et que les ministre
flatterie... et je suis persuadé que s’il eût été amoureux de quelque
dame
, qui eût eu quelques légers défauts ou en sa beau
relle avec Mme de Monbazon, suscita entre son amant et celui de cette
dame
un duel fameux, qui eut lieu sur la place Royale
ménagère, maîtresse de maison, secrétaire, femme de chambre, écuyère,
dame
de compagnie, favorite. GUARDABASSO. Sans aucun d
x de la science et sans lequel elle n’offre rien que de rebutant. Les
dames
y apprenaient que leur sexe ne doit pas les éloig
me de Ludres et lui dit quelque chose en passant. Le même jour, cette
dame
étant allée chez madame de Montespan, celle-ci la
& jettant mille flammes, Paroissent voltiger dans les cheveux des
Dames
. Nannette. L’homme le plus grossier & l’espri
Jeune Thalie, La Vieille Thalie. La Jeune Thalie. Haute et puissante
dame
, illustre douairière De vos anciens amants et sur
ois, je vis de bonne soupe, & non pas de bons mots 53 ; à quelque
Dame
de château, apportez des bougies dans mes flambea
médies de tout le Théâtre Espagnol ; entre autres, la Dama Duende, la
Dame
esprit follet ; & la Casa con dos puertas es
toire. Ce nouveau système fut inauguré le 2 mai 1668 par Le Régal des
Dames
(Il Regallo delle Damme, ne voilà-t-il pas un sin
a représentation avec le plus grand enthousiasme, mais que les belles
dames
et les gens du bel air n’y firent pas la moindre
stissements ! Magistrats portant l’épée, évêques en uniforme, grandes
dames
suivant tour à tour le quartier général et la pro
lui a attiré la visite des plus riches personnages et des plus belles
dames
de la ville ; une d’elles s’est éprise d’un viole
èrent, Son feu s’évanouit, ses déplaisirs cessèrent. Il vécut sans la
dame
, et vécut sans ennui, Comme la dame ailleurs se d
isirs cessèrent. Il vécut sans la dame, et vécut sans ennui, Comme la
dame
ailleurs se divertit sans lui : Heureux en son am
uèrent. Ce prince y fut accompagné De maint courtisan bien peigné, De
dames
charmantes et sages, Et de plusieurs mignons visa
ble ; bien au contraire, ce fut longtemps un titre d’honneur. Grandes
dames
, nobles seigneurs, poètes, romanciers, écrivains,
es s’étaient déjà fait entendre. Scarron s’était plaint de ces nobles
dames
qui allaient colportant des factums, formant des
ctionnaire des précieuses, de Somaize, qu’un haut personnage, ami des
dames
qui pouvaient se croire blessées par la comédie n
définitivement attaché à ce mot. Si de grands seigneurs et de grandes
dames
, le duc de La Rochefoucauld, la marquise de Sévig
yait derrière. Autour de la chambre étaient rangées les reines et les
dames
de la cour dans le brillant appareil que les Mémo
: tout le monde l’a trouvée méchante, et tout le monde y a couru. Les
dames
l’ont blâmée, et l’ont été voir ; elle a réussi s
re servait d’auxiliaire à ces nobles acteurs. La reine et trois cents
dames
étaient à demi engagées dans l’action, à demi spe
le second jour (8 mai), le paladin Roger voulut donner la comédie aux
dames
, un théâtre se dressa aussitôt en plein air, écla
olière devant ce public de princes, de grands seigneurs et de grandes
dames
qui venaient d’admirer le ballet des douze signes
ais de rire, dit-il. On peut se lasser du jeu, de la bonne chère, des
dames
; mais de rire, point. Avez-vous entendu dire à q
Le roi partit le 16 mai, et à sa suite toute la cour ; la reine, les
dames
même, Montespan, La Vallière, dans de vastes carr
la surprenait pas, et qu’il devait être aussi bon comédien auprès des
dames
qu’il l’était sur le théâtre. Baron, à qui cette
ntiment d’un bon chrétien, ainsi qu’il a témoigné en présence de deux
dames
religieuses, demeurant en la même maison, d’un ge
i, il vit venir « un vieux monsieur qui levait haut la tête, avec une
dame
encore jeune qui paraissait plus grande que lui.
raître à la toilette de la reine mère, Sa Majesté disait à toutes ses
dames
: « Mesdames, voilà la Baron », et elles prenaien
faire ! » s’écrie Georges Dandin. La femme d’un bourgeois s’appelait
Dame
telle. « Mais, ajoute Loyseau, pour être distingu
eau, pour être distinguée de l’artisane, qui est pareillement appelée
Dame
telle, la bourgeoise a voulu être appelée Madame.
es de petits ridicules frais éclos, dont ces messieurs et surtout ces
dames
faisaient leur profit immédiat. À leur ruelle se
rreur religieuse, qui ne tournât au profit de ces messieurs et de ces
dames
. Grâce à cette excommunication permanente, on leu
main dans les finances de l’État, qu’il prodiguait, sans compter, aux
dames
, aux seigneurs, aux beaux esprits. Peu de gens ét
nseils. En revanche, on n’avait de regard et d’attention que pour les
dames
, qui étaient l’ornement des premiers jours du règ
che à résoudre. Éraste ayant à décider, après un vif débat entre deux
dames
, quel est l’amour préférable, de celui qui est ja
, elle veut même que Pierrot soit bien aise de la voir devenir grande
dame
; et comme celui-ci est outré de cette conduite,
bien, il considère comme une faiblesse l’amour que lui inspire cette
dame
. Il n’est point aveuglé sur ses défauts ; il les
membres de la famille de dame Pernelle donnent successivement à cette
dame
d’excellentes raisons pour la désabuser sur le co
à fait dans la nature des passionnés, en déclarant son amour à cette
dame
sans avoir au préalable tâté le terrain afin de s
t les plus instruits qu’elle est manifestée : c’est par Mme Jourdain,
dame
fort simple, et par la servante Nicole, femmes do
s un embarras bien plus grand. Scene V. L’Exempt reconnoît la feinte
dame
pour ce M. de Pourceaugnac qu’il cherche, & i
pour faire son testament. Toute ces Médecins ly sont bourreaux, mon
Dame
; Il vont fair mourir vous. Dieu prenne vous votr
nferme, en grande partie, des lettres qui lui ont été écrites par des
dames
. « Il les publie, dît-il dans sa préface, pour fa
partagée en cases sur laquelle le poète peut jouer le vulgaire jeu de
dames
ou le royal jeu d’échecs, selon qu’il ne possède
s. On en sait, disent-ils, prendre ses avantages ; Et l’aigreur de la
Dame
à ces sortes d’outrages, Dont la plaint doucement
y. Un Comte Normand déteste très cordialement la Marquise sa sœur. La
Dame
, en qualité de femme, pousse contre lui la haine
rima le canevas, & l’on en fit des extraits pour la commodité des
Dames
, qui voulurent toutes apprendre l’italien. La rec
e Madelène de Lettes des Prés de Montpezat, sa première femme5. Cette
dame
, qui s’était mariée pour la première fois en 1614
au Pavillon des cinges, des Messieurs de la cour, beaucoup de belles
dames
que déjà le petit garçon contemplait en silence.
de la foule. Mais entre le roi et la foule, que de Messieurs, que de
dames
, que de graves auteurs, que d’importants seigneur
e comédienne ne pouvait pas se montrer plus fière que tant de grandes
dames
... Molière, qui l’avait élevée dans la liberté, a
e moins coquette, moins étourdie, moins dépensière, de vivre moins en
dame
de la cour, de se renfermer un peu plus dans son
tion: il y eut des querelles, des gageures; on se battit presque. Les
dames
se scandalisèrent, les délicats se récrièrent. Le
s, que la mode d’être philosophe ne serait pas plus durable parmi les
dames
françaises que toutes les autres modes3. Les femm
nte. Il les entend nommer Mademoiselle & Madame Cléonte. Comme la
Dame
est beaucoup plus jeune que la Demoiselle, il fai
sette pour se faire des amis : par politesse il oublie les cartes des
dames
, & il paie les hommes deux fois pour éviter l
le plus familiérement, étoit Madame la Marquise de Lon... c’étoit une
dame
âgée au plus de quarante ans, extrêmement aimable
, tout le monde l’a trouvée méchante et tout le monde y a couru . Les
Dames
l’ont blâmée et l’ont été voir. Elle a réussi san
tout cela avec une simplicité tout italienne, et nous rappellent ces
dames
romaines dont parle Stendhal, qui, fermant leur p
rd été intitulée l’Avare dupé, ou l’Homme de paille, & ensuite la
Dame
d’intrigue, ou le Riche vilain. Moliere a bien pu
e ; mais il l’a fait avec plus d’adresse & de décence, puisque la
Dame
d’intrigue de Chappuzeau se sauve chez Crispin, r
donné huit portraits quelle suppose venir de la fille de Molière : la
dame
en question habite un petit château non loin de S
rent, Son feu s’évanouit, ses déplaisirs cessèrent ; Il vécut sans la
dame
et vécut sans ennui. Comme la dame ailleurs se di
isirs cessèrent ; Il vécut sans la dame et vécut sans ennui. Comme la
dame
ailleurs se divertit sans lui8… Mais si la dame
sans ennui. Comme la dame ailleurs se divertit sans lui8… Mais si la
dame
ailleurs se divertit sans lui, Pierre Corneille n
t de plus en plus pompeux, mais je doute qu’en voyant aujourd’hui les
dames
de comptoir dans les théâtres, où d’ailleurs les
galamment couverte d’un tendre feuillage ; mais jusqu’ici nos belles
dames
n’ont pas mis cette galanterie à la mode, & u
iere de sa maîtresse il fait un commis de ce laquais naïf qui prie la
dame
de se servir toujours du même rouge, afin de plai
& qu’il épousera sa maîtresse. Acte II. Licipe conduit les deux
Dames
dans une autre auberge. Philipin, valet de Cléand
aire un méchant parti. La mere, toujours prête, selon l’ordinaire des
Dames
, à faire grace aux foiblesses de la nature humain
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