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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
ttention au mérite de Lothaire. Celui-ci avoue qu’il ne s’est d’abord déclaré que pour céder aux instances de son ami, mais que
se donne devant Nérine tous les airs ridicules d’un petit-maître ; il déclare son amour, & reçoit un soufflet. Acte III. L
parlé. Léandre voudroit bien savoir si Damon en a fait autant. Julie déclare à Léandre la perfidie apparente de Damon, Nérine
ils sont prêts ; l’Olive demande qu’on remette la cérémonie. L’Olive déclare à Géronte quelle est la folie de son maître, avec
l’univers n’est pas sans vertu : il montre son trésor à Evandra, lui déclare qu’il veut sans cesse le tenir caché pour préveni
secret une jeune personne qui, au bout de quelques mois, l’engagea à déclarer son mariage. Le bon-homme jugea à propos de faire
riée : Valere enchanté lui rend confidence pour confidence, & lui déclare qu’il a secrètement épousé Julie. Oronte arrive
n mariage. Oronte ordonne à son fils d’épouser la Comtesse : celui-ci déclare son mariage avec Julie : le pere se laisse fléchi
mascarade & se présente : alors Oronte saisit cette occasion pour déclarer son mariage secret : ses enfants demandent à voir
2 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
anet l’ami de la scolastique et des jésuites, que de Molière l’ennemi déclaré de Descartes. Dans le doute donc où nous conduit
titude, et nous permettre une conclusion nette et positive. Grimarest déclare que Molière avait pleinement adopté la physique c
raillant tour à tour les excès de Gassendi et de Descartes, partisan déclaré de Descartes en physique, — voilà Molière tel que
istence qu’un seul genre de preuves, les causes finales (48). Molière déclare dans une préface que : « La philosophie nous a ét
l pour nous consoler de notre mésaventure. M. Cousin, en effet, avait déclaré que la vie de Gassendi avait été consacrée à reno
atomes, bien qu’il leur refuse l’éternité (Damiron, p. 421); 3° Où il déclare que toute science est des sens ou vient des sens
matière (Cinquièmes objections, p. 325, p. 259) ; 5° Où sur l’âme il déclare qu’il « balbutiera » seulement, où il admet en l’
érielle comme l’autre (Damiron, p. 478, 479, 480) ; 6° Où sur Dieu il déclare que nous ne le concevons que sous la forme corpor
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. » pp. 290-293
amour de l’amant François, & le désespoir où il est de ne pouvoir déclarer sa tendresse : D’un cœur ardent, en tous lieux U
tre, se présente à sa place, parle à la belle Grecque en la peignant, déclare ses feux, apprend qu’il est payé de retour : il n
4 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
te pas à repousser toutes les critiques amassées sur son style, qu’il déclare admirable : « Chez lui, le vers embrasse l’idée,
ême de nos jours. M. Livet a raconté le fait d’une mère d’actrice qui déclara comme sien, à l’état civil, l’enfant de sa fille,
gal, se présente devant le lieutenant civil Antoine Ferrand. Elle lui déclare que son mari lui a laissé cinq enfants tous encor
êter aux oppositions. Dès lors, Lulli et Guichard furent en hostilité déclarée . Hommes d’esprit tous deux, leur guerre, avant d’
bre que la veuve Molière alla faire sa déposition à son curé et « lui déclara qu’au mois de novembre de l’année précédente, le
ant criminel ; puis, le 17 septembre, ce juge rendit une sentence qui déclarait Guichard convaincu d’avoir fait la proposition d’
et être blâmé. Quant à Aubry, contrairement à toute attente, il était déclaré convaincu d’avoir écouté la proposition et promis
à néant, et, faisant droit sur les réquisitions du procureur général, déclara l’appelant absous de l’accusation portée contre l
à l’autre le secours de leur témoignage. Acquitter Guichard, c’était déclarer celle qui avait déposé contre lui convaincue d’ac
Dictionnaire historique de Prosper Marchand, article que M. Walkenaër déclare très exact. VI. La vérité sur Mme Molière.
torité, beaucoup se sentirent ébranlés. Un excellent juge, M. Sarcey, déclara même que les arguments de son confrère Vitu lui s
édiens, après avoir compulsé tous les rituels du dix-septième siècle, déclare formellement que, dans la doctrine de l’Église, l
l’inventaire de la collection d’autographes de M. Alfred Bovet, j’ai déclaré qu’on ne connaissait de Molière que de simples si
nde place au doute. En l’état des choses, je ne pouvais considérer et déclarer comme un autographe indiscutable de Molière la qu
ure de Molière, — ce sont ses propres expressions, — je me bornerai à déclarer que je ne suis pas assez habile pour reconnaître
-Français. M. Étienne Charavay, l’expert en autographes bien connu, a déclaré , dans une lettre qu’il nous adressait le 12 janvi
e paraît pas du reste leur accorder plus de foi que de raison, car il déclare qu’il croit le reçu de 1656 authenthique, « sans
5 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
omme d’honneur On ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur ; quand il déclare que L’ami du genre humain n’est pas du tout son
ts des autres qu’on n’est pas chargé de corriger, il veut qu’on aille déclarer à chacun le mal qu’on pense de lui136. Il a raiso
203 l’infortuné sujet de leur expérience ou plutôt de leur ignorance, déclarent que, s’il ne guérit point, c’est signe que la mal
là les hommes ne voyaient goutte, » ce qui était vrai alors ; et il a déclaré formellement que « ce n’était point les médecins
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVIII » pp. 198-205
contredit juste et parfaitement écrit ; mais à la suite, quand Agnès déclare à son tuteur qu’un jeune homme, malgré tous les o
ociété. Dans ce conflit peu étonnant de diverses opinions, Boileau se déclare aussitôt le défenseur de la pièce, par des stance
7 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
flu, je m’embarrasse peu que l’on me reproche la singularité : Car je déclare à mon Censeur que je ne suis nullement scrupuleux
n, pour douter de ce qu’il peut m’avoir dit sur Molière ? Mais je lui déclare que Baron n’a pas plus de part à mon travail que
ourd’hui. Mais avant que j’entre dans le détail de ma proposition, je déclare que je n’en veux qu’à l’Acteur en général ; et qu
il n’en veut que les beaux traits, le reste le révolte ; tantôt il se déclare le Protecteur, le Panégyriste des Comédiens ; tan
on Censeur débite à cette occasion, est inutile pour moi ; car je lui déclare que je ne connais point son Provençal, et que les
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
’ils s’adorent, qu’ils brûlent, qu’ils meurent d’amour. Je me hâte de déclarer que, loin de les aimer, je les déteste ; que je n
Maris, & la belle scene du second acte. Isabelle & Valere s’y déclarent la violence, la pureté de leur amour, & prenn
caractere, Et je serois tombée aux genoux de mon pere : Ma bouche eût déclaré mes sentiments secrets, Plutôt que d’épouser un h
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
ime plus Clairville. D’Orval parle à Rosalie pour son ami ; elle lui déclare qu’elle en aime un autre, & lui laisse entrev
agine bien que celles de Flaminia ne sont pas pressantes. Alors Mario déclare à son ami qu’il n’ignore plus que l’amour est la
ion de Flaminia, qui, pressée par son pere & par les deux amants, déclare qu’elle ne peut aimer que Lélio. Il est enfin con
10 (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-
est-il comique ? Comique ! Quel est le sens de ce mot ? Alceste nous déclare qu’il ne se croit pas plaisant : il a parfaitemen
: Et pour nous rendre heureux perdons les misérables. Non, il ne se déclare que par ses actes ; c’est un vrai criminel qui n’
titres de noblesse. Il étale nos plaies, et, pour nous consoler, les déclare incurables. Résoudre dans une harmonie supérieure
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322
droits. Non content de donner cette preuve insigne d’ingratitude, il déclare au Roi qu’Orgon est dépositaire de la cassette d’
nt pour chercher Silvio son maître : ne le trouvant pas, il s’amuse à déclarer son amour à Colombine, qui, pour se moquer de lui
inutile ; &, pour vous le montrer, je vous dis adieu, & vous déclare que ce n’est point un adieu jusqu’au revoir, comm
ue je dois accepter Celui que pour époux on me veut présenter ; Et je déclare , moi, que je prétends le faire, Puisque vous m’en
12 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
e ou d’une comédie un répertoire d’anecdotes. Quand un auteur n’a pas déclaré lui-même son ouvrage allégorique, on n’est pas au
et que Ménage, à qui elle demandait vengeance, avait eu le courage de déclarer la pièce un ouvrage parfaitement beau, au-dessus
13 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
es, il faut savoir haïr vigoureusement leurs contraires. Quand Goethe déclare que « Klopstock n’avait aucun goût, aucune dispos
que madame de Staël, qui traduit avec enthousiasme cette même ode, et déclare fort heureux tout ce que Goethe trouve ridicule.
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
nifiques dans l’espoir de mériter la main de la Princesse ; mais elle déclare à son pere que l’hymen lui déplaît, que ce seroit
amp; Diana, qui ferment la marche, restent sur le théâtre. Don Carlos déclare son amour, & le fait si vivement, que la Prin
omédie en trois actes & en prose. Un Chevalier Gascon est l’amant déclaré d’une Marquise. Dorante est sur le point de s’uni
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397
les deux rôles sans les faire contraster, puisqu’Alceste est l’ennemi déclaré du genre humain, & que Philinte, loin d’être
ennemi déclaré du genre humain, & que Philinte, loin d’être l’ami déclaré des hommes, les plaint sans les aimer, souffre le
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
ve avec son valet, qui lui demande où il va si matin : son maître lui déclare sa passion pour Isabelle, & lui dit qu’il se
TE V. Scene VIII. D’abord après la belle scene dans laquelle Don Juan déclare qu’il a feint de se convertir pour se livrer plus
dans cette petite rue écartée qui mene au grand couvent. Mais je vous déclare , pour moi, que ce n’est point moi qui veux me bat
loit tomber entre les mains des voleurs. La reconnoissance l’oblige à déclarer à son libérateur qu’elle est à la suite de Don Ju
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
qui m’embarrasse, est un évaporé : L’autre diable disant ce que j’ai déclaré , Gare une irruption sur notre fripperie ! Au moin
n hyménée par l’auteur de ses jours. Il court après lui pour lui tout déclarer . Marton reste sur la scene & le suit des yeux
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
. Oronte & Pourceaugnac restent seuls sur la scene. Pourceaugnac déclare à Oronte qu’il n’est pas la dupe de ses grimaces,
s grimaces, & qu’il ne veut pas acheter chat en poche. Oronte lui déclare qu’il ne veut pas donner sa fille à un homme cont
19 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
nté votre âme lui présente477. Quand Alceste fuit dans son désert et déclare franchement à Eliante qu’il ne se sent pas digne
nte au lieu de saisir cette occasion d’une coquetterie innocente, lui déclare non moins franchement : Ma main de se donner n’e
olle Bélise, pour se ménager des appuis dans la maison : non, il leur déclarera en face quel est son choix, au risque de soulever
20 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
it eu plus d’une fois à se plaindre de lui, Ménage ne craignit pas de déclarer à M. de Lamoignon que Le Tartuffe était une pièce
s pieux et éclairés le furent comme lui dans la guerre ouverte qu’ils déclarèrent au Tartuffe et à son auteur. Je ne me sens pas le
ouvrage remplit, surpassa même l’attente du public, dont la faveur se déclara si hautement, que, pour cette fois, la médiocrité
une pieuse résignation que nous appellerions une lâche insensibilité, déclare qu’un partage avec Jupiter n’a rien dont il puiss
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
Comtesse veut parler à Julie, elle entre dans l’appartement. Marton déclare que la Comtesse est sa bête. Damis veut appaiser
Marquis à sa fille, qui n’ose refuser : Marton parle pour elle, & déclare que Mariane ne peut vivre sans Moncade. Damis so
nt à voir Moncade. Le Marquis avoue que la Comtesse l’a pressé de se déclarer rival de Moncade ; mais que, loin de suivre un te
conseille en lui offrant sa main, d’oublier une ingrate. Moncade lui déclare qu’il ne sauroit l’aimer ; il la prie cependant d
22 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
argent. » Mais c’est comme une gageure. Celle que le gantier Robinet déclare « extrêmement jolie et pucelle au pardessus, » l’
ut de forces ; quand il lui fallut signer son dernier codicille, elle déclara  : « ne pouvoir plus écrire, ni signer, sa faibles
ployés en œuvres pies et ainsi que ladite damoiselle testatrice lui a déclaré , sans être tenue d’en rendre aucun compte à qui q
e codicille est du 14 février ; ce jour-là « ladite damoiselle aurait déclaré ne pouvoir mieux signer ni parapher, attendu l’ex
? C’était la Voisin. Dans son interrogatoire du 17 février 1680, elle déclara , « qu’elle avait connu la demoiselle Du Parc, com
e curé prêchait. À peine eut-il cessé de parler, que Mlle Bourguignon déclara , en présence de Dieu et des hommes, qu’elle prena
ur son légitime époux. Beauval, jusque-là caché, monta sur un banc et déclara qu’il prenait la demoiselle Bourguignon pour sa l
Jeanne Bourguignon le remarqua, s’en éprit à cette déclaration et lui déclara qu’elle voulait l’épouser. » Le moucheur de chand
igieux silence qui régnait dans l’église : « Mes frères, dit-elle, je déclare devant Dieu, et de cette déclaration je vous pren
tant. Levez-vous, Jean ! » Et Jean se leva, et, sans trop de trouble, déclara aussi qu’il entendait prendre pour femme Jeanne B
es blâme tout bas De me forcer à taire un tourment que j’endure, Pour déclarer un mal que je ne ressens pas. Faut-il que vos bea
23 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
. « [*]… M. Wycherley, dit M. de Voltaire, qui fut longtemps l’amant déclaré de la maîtresse la plus illustre de Charles II. C
trouveras quelqu’un de ton parti, puisque si Lidamon et Lisandre s’y déclarent avec Bélise et Célante contre les ouvrages du sie
fin. Permettons à chacun d’en rire ; Défendons à tous d’en médire, Et déclarons que son auteur, Dans son style a de la douceur, D
es amants de sa fille, et instruit que la princesse vient enfin de se déclarer , laisse éclater des transports de joie. En ce mom
ux princes, qui s’étaient expliqués, ne forment aucun obstacle ; elle déclare qu’elle donne la préférence à celui qui a su vain
st, et devant tout le monde, qu’elle aime le prince sans cependant se déclarer tout à fait ; le moyen dont elle se sert est la p
(c’est le nom de ce valet) du dépit et de l’indignation de la voir se déclarer si ouvertement contre l’amour ; les présents qu’i
e dessein qu’il a de cacher son amour, profite des circonstances pour déclarer sa passion, et il le fait avec tant de vivacité,
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
is, fort surpris de rencontrer les Messieurs Dupont. La Demoiselle se déclare en faveur de Desronais : Desronais s’emporte ; Du
ronais l’exhorte, si cela n’est pas, à faire valoir ses droits : elle déclare qu’elle n’en a point : elle apprend à son amant q
un éclaircissement à Dupuis. Celui-ci, après plusieurs faux-fuyants, déclare qu’il se défie de tous les hommes, & que le m
25 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
attaquées et jetèrent les hauts cris. Pour les faire cesser, l’auteur déclara n’avoir voulu jouer que les fausses précieuses ;
tre les plaintes des personnes de cette société la préface où Molière déclare que sa pièce regarde uniquement les mauvais sing
songe, de quel droit ils lui donnent un démenti sur l’intention qu’il déclare avoir eue en composant sa comédie. La licence qu’
pour détourner de lui la colère de personnages puissants, crut devoir déclarer qu’il n’avait point en en vue les véritables préc
26 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
ractère que je trouve seulement dans son théâtre. Il devait dire : Je déclare que la comédie à tel ou tel caractère, parce que
enne comédie n’étaient le plus souvent ni fines, ni fidèles. Schlegel déclare que l’intrigue est plus essentielle que les carac
ens du peuple et le Marquis. Le reste étant trop beau pour elle, elle déclarait , avec la franche impertinence de son âge et l’éne
qu’à cette simple question : Laquelle préférez-vous ? elle hésite, et déclare que toutes les deux sont également belles, comiqu
que l’on ose combattre les règles de son Art poétique, après qu’il a déclaré que c’était une traduction de celui d’Horace. (II
27 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
cardinal d’Estrées, célèbre par ses galantes magnificences, lui avait déclaré de tendres sentiments, auxquels elle refusa toute
aillant de son caractère. Nous verrons en plusieurs occasions qu’elle déclare cette ambition ; qu’elle s’accuse d’être une glor
28 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
point aux pratiques et aux momeries de la dévotion. Elle s’avoua, se déclara attachée aux principes de la morale religieuse pl
opre honneur pour garant d’un inviolable secret ? Autant vaudrait lui déclarer l’indifférence la plus offensante, du mépris, mêm
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
e cette même sœur. Flaminio arrive sur la scene ; le faux Fédéric lui déclare , en mots couverts, sa tendresse. Il sort & la
e de venir voir Victoire, l’entraîne en appellant Victoire, qui vient déclarer sa passion au faux Fédéric. On se doute bien que
onné. On découvre Diane, qui regarde son pere en lui faisant signe de déclarer le mystere. Magnifico n’ose, & lui fait signe
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425
n’aimasse mieux mille fois endurer, Que de prendre sur moi de le lui déclarer . Mélite. Hé bien ! pour ne vous faire aucune viol
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. » pp. 53-56
dicules qu’elle, & de faux savants. L’un d’eux, appellé Hortense, déclare l’amour qu’il a pour Emilie. Il est très mal reçu
32 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre X » pp. 83-88
, et contre Scudéry, et contre l’Académie elle-même ; ce qui était se déclarer en même temps contre le cardinal, qui aurait voul
33 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
écieuses. Ce n’est plus un simple contraste, c’est une guerre vive et déclarée . La satire et la comédie se rangent du côté de la
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
que je redoute davantage, & qui me va le moins à tous égards, je déclare que cet ouvrage est une restitution que je fais a
un autre. Je crois ne pouvoir mieux reconnoître leur mérite, & me déclarer leur admirateur, qu’en les traitant comme Plaute,
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468
les Muses attristées parcequ’il a perdu ses tablettes ; lorsqu’il se déclare malgré lui pour l’Auteur de la piece nouvelle ; s
ions amoureuses d’Harpagon, espere en être récompensée. La Fleche lui déclare qu’elle y compte en vain, & lui fait le portr
36 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
etite rue écartée qui mène au grand couvent ; mais, pour moi, je vous déclare que ce n’est pas moi qui me veux battre : le ciel
r ces tristes aberrations de goût, et tâchons d’oublier que Fénelon a déclaré l’Avare « moins mal écrit que les pièces de l’au
37 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
es du comédien Dufresne, et changer son dénouement, ce comédien ayant déclaré ne vouloir point se charger du rôle principal si
, ne sachant plus souvent ni à qui adresser leurs vœux ni pour qui se déclarer , dans l’ignorance où ils sont du parti qui triomp
du ministre), mais sa présence pouvant compromettre sa maîtresse, il déclare être le conspirateur que l’on cherche, et se cons
he, et se constitue prisonnier. Jugé par un conseil de guerre, il est déclaré coupable et condamné à mort. Scène pathétique, où
e des hommes très haut placés dans la littérature ne craignent pas de déclarer impuissante et usée la poétique suivie par Molièr
plus loin. Il avait satisfait à ce qu’il croyait son devoir. Il avait déclaré sa pensée. N’est il pas clair que tout le dialogu
et d’Oronte ! Quelle délicatesse est la sienne quand il s’abstient de déclarer ses sentiments à Éliante qu’il aime, dans la pens
in, et que le malheureux Alceste, qui se croit trahi de toutes parts, déclare en s’éloignant qu’il va . . . Sortir d’un gouffr
caractère. Que l’on juge combien la scène où, jetant le masque, il se déclare maître de la maison et menace son bienfaiteur de
ousins et des cousines, du neveu et de la nièce, le flatteur et l’ami déclaré de tous les oncles qui ont fait fortune, etc. »
38 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
ier pour lui persuade qu’il n’était pas sans mérite. Voltaire, qui le déclare mauvais poète et prédicateur plat, dit néanmoins
39 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
deleine, alors maîtresse du sieur de Modène. Elle consentit donc à se déclarer mère et à faire feu son mari père de l’enfant né
erté, s’évanouir la gloire. Cependant, le prince craint encore de se déclarer . Le commode Arbate s’évertue à le faire triompher
taque de front la passion elle-même, elle veut la subjuguer et le lui déclare expressément. Seule éloquence qui fasse véritable
ressait à Louis XIV directement. Mme de Montespan était là, maîtresse déclarée , mère de nombreux enfants doublement adultérins,
ous laissons plus souvent prendre à la feinte franchise d’un mécréant déclaré , qu’au miel toujours suspect de la feinte dévotio
ur du nom chrétien. Voilà où le dessein de Molière se découvre, où se déclare le parti pris de diffamer la piété. Car si l’on v
considérables, résistaient à tant d’illustres exemples. Molière leur déclare qu’ils sont de franches dupes, dont « les hypocri
stes effets que produit en nous l’hypocrisie d’autrui. » Ayant ainsi déclaré son but, l’orateur expose le plan qu’il va rempli
bien, pour les rendre tous suspects, pour leur ôter la liberté de se déclarer en D’avoir pris une puce en faisant sa prière Et
on approuve, et d’approuver ce qu’intérieurement on condamne ; de se déclarer pour le monde, et d’en suivre les voies corrompue
, s’apercevant qu’il a été trompé, tombe dans une imbécile fureur, et déclare la guerre « à tous les gens de bien. » C’est le c
d, elle est perdue s’ils ne se hâtent. Quoi donc ? une hérésie qui se déclare  ? de nouveaux ennemis qui viennent attaquer les d
e, et en mille rencontres le zèle ne vous obligerait pas moins à vous déclarer . Quoique le mal s’aigrît et s’irritât, vous aurie
engager. Cependant l’aventure se noue, les caractères et les cœurs se déclarent . L’un est blessé, l’autre n’est qu’effleuré ; l’u
40 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
des caractères, voilà le principal secret de sa poétique, comme il le déclare par la bouche de Dorante23 : « Vous êtes de plais
ges53. Comme Montausier, l’amant de Julie, il eût encore été l’ennemi déclaré des vices ; mais nous ne le verrions plus fantasq
lière de produire enfin sa pièce au grand jour. C’est du moins ce que déclare le second Placet qui n’aurait point affirmé ce fa
pas trop invraisemblable qu’il fasse l’office de la Justice. C’était déclarer qu’on ne pouvait alors opposer une autre barrière
ront tôt ou tard une volonté rebelle à lui rendre les armes ; mais il déclare sans vergogne « qu’à tous événements le sage est
s choses en viennent à ce point qu’il se décide enfin à se montrer, à déclarer la guerre. Ah ! l’on verra bien qu’il est le maît
rel, quoi de plus simple et de plus désirable ? » Il convient donc de déclarer très haut, et surtout dans notre siècle, que null
l croirait choquer la justice. Comme il est fort juste, il est ennemi déclaré de la flatterie… Il ne peut abaisser son âme à di
nde. 93. Molière y rappelle à Louis XIV qu’il « avait eu la bonté de déclarer qu’il ne trouvait rien à dire à la pièce ». 94.
e, enfant, mère et femme, Que je m’en soucierais autant que de cela. Déclarer cet égoïsme invraisemblable, c’est oublier ce que
41 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
que, et auquel les héros doivent leurs plus grandes actions, mais lui déclare que, rassuré par la passion dont il vient de lui
au public, en lui donnant quelques traits de la scène du pauvre qu’il déclarait avoir lue écrite de la main de l’auteur, entre le
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
maison de Pantalon.) Béatrice & Onesti se rencontrent. Béatrice déclare au Médecin l’amour que Rosaura sent pour lui. Il
r annoncer qu’elle l’aime ; que c’est là sa seule maladie, & pour déclarer qu’il ne lui a jamais dit la moindre chose pour l
43 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
cine, Molière ; on le sait, et il suffit qu’on le sache. Napoléon l’a déclaré  : « Le Théâtre-Français est la gloire de la Franc
qui je l’avais d’abord présentée, m’a fait venir : Monsieur, m’a-t-il déclaré , vous n’avez pas le comique de l’Odéon ! »Cette p
44 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
ge n’avaient pas attendu la sévérité des habitudes religieuses qui se déclarèrent plus tard, pour s’établir dans la bonne compagnie
ne donnait pas lieu à quelques débats dans le public, et qu’il ne s’y déclarât pas deux partis, l’un pour Pradon, l’autre pour R
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du point où doit commencer l’action d’une fable comique. » pp. 172-177
faux pas, accompagné d’un cri ; le galant Dorante vole à son secours, déclare son amour : & voilà l’action en mouvement. El
46 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
ntribuer aux plaisirs de son Roi, de son Maître, sur-tout quand il se déclare le protecteur des talents, qu’il encourage les Ar
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
es blâme tout bas De me forcer à taire un tourment que j’endure, Pour déclarer un mal que je ne ressens pas. Faut-il que vos b
48 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
une guerre civile tombée en quenouille. Les premiers Frondeurs qui se déclarèrent en 1648, furent le duc d’Orléans, frère de Louis 
49 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
e. Tout cela s’explique par le résumé des faits passés. Le roi avait déclaré , en voyant la douleur que ressentait madame Scarr
50 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
l’étude qu’on vient de faire, on peut être étonné d’entendre Molière déclarer qu’il n’y a rien de plus « innocent » que ses com
s comédies ; on éprouve le même sentiment qu’en entendant La Fontaine déclarer qu’il n’y a rien de mauvais dans ses Contes 829.
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
es sur lui. La Princesse, incertaine, interdite, ne sait si elle doit déclarer la tendresse qu’elle a pour Xipharès : elle l’avo
, la scene où l’Intendant, accusé d’un crime qu’il n’a pas commis, en déclare un réel, est bien meilleure, & amene bien plu
ombre d’années & beaucoup de bien. Mégadore. De mon côté, je vous déclare sincérement, & sans flatterie, que je vous ai
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l s’y trouvait encore un mois après l’incendie de l’Odéon, car il est déclaré par le tapissier aux commissaires nommés pour fai
omme de l’Hôtel de Bourgogne, c’est-à-dire qu’il en était le partisan déclaré , premier point de dissentiment entre Molière et l
re où, selon lui, Despréaux était seul à rire. Avant que Louis XIV se déclarât pour Les Plaideurs, Molière avait dit tout de sui
de m’arrêter un peu sur ces Observations. Tout d’abord, le traducteur déclare qu’« il s’est constamment tenu à la lettre du tex
lique, dans une longue tirade qu’on chercherait en vain dans Molière, déclare à sa suivante que les infidélités qu’elle fait à
rand Comique par quelques-uns des pères Jésuites. « Je n’hésite pas à déclarer hautement avec le R. P. Rapin », dit M. Alberding
qui ne l’introduisit peut-être pas le premier à la Cour, mais qui s’y déclara hautement son protecteur, et le mit probablement
pétents, par ceux-là surtout que j’aurais appelés à la rescousse pour déclarer avec moi que Molière seul avait pu composer ce ba
cte et la partie de piquet, dont il a fait une partie de trictrac, et déclare que « celui qui vole habituellement l’esprit des
us compliquée que dans la pièce de Molière. Dans l’épilogue, l’auteur déclare qu’il a pris sa comédie de Molière, qu’il appelle
53 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
perçut en rien de cet incident de coulisses, car le chroniqueur Loret déclare qu’on ne saurait jouer avec plus de naturel qu’el
ndre. Dans la grande querelle qui précéda la séparation de 1666, elle déclara bien haut « qu’elle ne pouvoit plus souffrir un h
e, Armande employa un moyen infaillible de tourner à la bienveillance déclarée des dispositions douteuses : elle fit répandre pa
pour mort sur le pavé de Paris. Très épris d’Armande, mais n’osant se déclarer directement, il se servit d’une entremetteuse, la
54 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
E PREMIER Fulvio et Cintio, tous deux amoureux de l’esclave Celia, se déclarent la guerre. Fulvio invoque l’appui de son valet Sc
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
voir briller sa fille. Elle interroge Colette sa servante ; celle-ci déclare que Valere, fils de M. Guillaume marchand drapier
t dire au Baron qu’un homme le demande dans la cour ; c’est Simon qui déclare au bon-homme toutes les fourberies de Frontin, &a
56 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
vance en âge, lui fait craindre quelque inconvénient. Il pense donc à déclarer la chose, et voudrait que Ricciardo se contentât
le quiproquo, se demandent réciproquement pardon. Ricciardo finit par déclarer le fait, craignant que Pandolfo ne joue l’ignoran
57 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
ue la grâce agisse. » La rupture du roi avec madame de Montespan fut déclarée définitive et irrévocable par un de ces bienfaits
fanatisme religieux. Qui aura le droit d’accuser ici celle qu’ils ont déclarée irréprochable ? Qui ne connaît la lettre qu’elle
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le répertoire des injures. Santillane, le mari de L’École des jaloux, déclaré veuf par le Grand-Turc — un faux Grand-Turc — qui
teur pour la réimpression d’un ancien feuilleton, nous croyons devoir déclarer que l’article « Une mise en scène moderne du Tart
uisse être, Qu’il obtînt… mais, hélas ! Ma rougeur et mes pleurs Vous déclarent assez jusqu’où vont mes malheurs ; Mais aussi je
udit corps d’hostel du devant que corps d’hostel du derrière ci-après déclaré  ; et de l’autre côté de la dite cour y a pareille
 — et vous y apprendrez comment le plus grand poète de l’Allemagne se déclarait à Eckermann en 1827 : « Depuis mon adolescence, j
héâtre. F. G. Paul Lacroix : Le Boulanger de Chalussay reconnu et déclaré médecin Le Moliériste : revue mensuelle, tom
Jean Bernier, en citant deux vers de la comédie d’Élomire hypocondre, déclare positivement que Molière eût vécu plus longtemps
59 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
où elle est réduite, « son esprit se conserve néanmoins tout entier, » déclare avec orgueil d’Argenson, « l’on y travailla comme
e ces pièces, cette tragi-comédie de Don Juan que M. Jules Lemaitre a déclarée plus d’une fois « bizarre, hybride, obscure en di
s il ne pouvait rien refuser29. » Et Jean Loret, cette année-là même, déclare que s’il n’ose pas trop parler, « ni bas ni haut,
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
Lucile. Bon ! où tend ce début ?A rien, certainement. Lisette. Il ne déclare rien bien positivement. C’est une expression ordi
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
lui. Une femme voulant se venger de son mari qui l’avoit battue, fut déclarer à un ancien Czar33 que son époux avoit un remede
62 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
t peut-être même la seule du règne de Louis XIV où ce prince pût s’en déclarer le protecteur. Livré à toutes les séductions de l
tempêtes, appeler tous les orages ; c’était, dans une seule comédie, déclarer la guerre à toutes les passions et à tous les vic
ême année, on joua la pièce entière chez Monsieur le Prince, qui s’en déclara toujours le partisan le plus zélé. Mais la rage d
voque sans cesse le ciel pour satisfaire les plus honteuses passions. Déclarer la guerre aux esprits forts, montrer l’athée comm
63 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
rnier mot. Une école bien connue reprend et termine son œuvre qu’elle déclare inachevée. — Vous êtes, dit-elle à sa devancière,
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
ame Dacier, fort éprise du mérite de la piece latine, & l’ennemie déclarée de la françoise, mettoit Plaute infiniment au-des
e piece, Jupiter paroît dans une machine, au bruit du tonnerre, & déclare à l’époux qu’il est son imposteur. Ce dénouement
65 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
chose dont il faut lui être d’autant plus reconnaissant, que Napoléon déclare , même à Sainte-Hélène, où il était devenu si libé
France, cette pension fut réduite à 2,000. En vain le pauvre Mézeray déclara-t -il, dans deux lettres d’une rare platitude, qu’il
66 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
Dans le premier de ces placets, Molière remerciait Louis XIV d’avoir déclaré sa pièce innocente, et ajoutait : « Malgré tout c
vions transcrit et y incorporant la phrase de Conrart qui le suit, il déclara même avoir possédé ce volume, sur le frontispice
ils allouèrent une gratification de cinq cents livres à l’auteur, ils déclarèrent qu’à l’avenir ils n’accorderaient aucune gratific
cependant, pour détourner de lui la colère de personnages puissants, déclarer qu’il n’avait pas eu en vue les véritables préci
sont en tête du Tartuffe, remerciant le prince d’avoir eu la bonté de déclarer qu’« il ne trouvait rien à dire dans cette comédi
r Mazarin. Guénaut, Desfougerais, Brayer et Valot y assistaient. L’un déclara que le siège de la maladie du cardinal était le f
l’hypocrisie, regardent comme plus comique que fondée la guerre qu’il déclara aux docteurs de son temps. Mais nous ne craignons
revint et plut. » La juste guerre de représailles que Molière avait déclarée aux marquis ridicules ne l’avait point privé de l
Il est plus naturel de penser que Molière ne vit pas sans plaisir se déclarer pour sa pièce, en butte aux attaques acharnées de
le curé faisait le prône ; et, lorsqu’il l’eut fini, elle se leva et déclara à haute voix qu’elle prenait, en présence de l’Ég
rtelle de l’histoire de nos mœurs ; mais le vice auquel Molière avait déclaré la guerre dans la première de ces pièces était pa
esse d’Élide, et surtout par la guerre fine et délicate que Molière y déclare à l’une des erreurs les plus accréditées de son t
ers tout à fait dans le genre de ceux du poète bel esprit. Il ne s’en déclara pas l’auteur, et ne mit que le prince dans sa con
nt être sa confusion et son dépit quand Molière, levant le masque, se déclara le père de ce prétendu chef-d’œuvre ? Ce fut alor
monarque, les empêchèrent de se prononcer. Au souper, Louis XIV ne se déclara pas davantage, et l’on crut même remarquer qu’il
as eu plus à se plaindre que le lieutenant criminel Tardieu en voyant déclarer la guerre à l’avarice. Mais il n’en fut malheureu
s d’une allusion à ses ouvrages et à la guerre que Boileau leur avait déclarée , mais surtout en empruntant à son recueil deux de
président et sa maîtresse étaient allés acheter un collier. L’orfèvre déclara la reconnaître, tant sa ressemblance avec mademoi
istoire des théâtres de Bordeaux, Bordeaux, 1860, in-8. Cet historien déclare qu’après l’avoir précédemment acceptée et reprodu
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
s en convaincre, prenons le Tartufe. ACTE III. Scene III. L’imposteur déclare sa passion à Elmire : nous admirons la scene d’un
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
qu’il veut absolument épouser, lorsque M. Francaleu lui remet sa foi, déclare qu’il est sa belle amante, s’avoue pour l’auteur
69 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
en 1581, mais La Creduta maschio (la Fille crue garçon) que Riccoboni déclare lui-même avoir arrangée pour sa groupe alors qu’i
70 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
nant simplement à l’espèce, c’est-à-dire à ce rôle du Misanthrope, je déclare que j’ai vainement cherché dans Molière une raiso
ertes, il est dans le vrai, dans sa querelle avec Philinte, lorsqu’il déclare qu’il ne peut souffrir qu’on traite du môme air l
même temps Alceste, Chrysale, Sganarelle et M. Jourdain ? Ah ! je le déclare , je ne trouve rien de plus agaçant que la perpétu
71 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
remarques grammaticales. Il est vrai qu’il se borne le plus souvent à déclarer qu’une façon de parler est vicieuse, sans prendre
ence, et, pouvant en jouir sagement, ils aimèrent mieux en abuser. On déclara , au nom du roi, la guerre au roi lui-même. Les gr
e y est nommée, non pas Françoise, mais Armande-Grésinde ; elle y est déclarée fille de Joseph Béjart et de Marie Hervé, père et
me Molière, dans l’acte de son second mariage avec Guérin d’Estriché, déclare les mêmes père et mère et les mêmes noms ; et ces
e convenait beaucoup mieux : je l’ai rempli ; et, si maintenant je me déclare en faveur de l’une de ces deux opinions, ce n’est
rompés d’abord par le silence du maître, s’étaient trop pressés de se déclarer contre un chef-d’œuvre60. Il faisait plus ; il es
Louis Racine, tout en reconnaissant que l’aventure est peu croyable, déclare qu’elle n’en est pas moins très véritable ; et il
ouer des pièces en musique et à machines. Sur ces entrefaites, le roi déclara qu’il voulait qu’il n’y eût plus à Paris que deux
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
Matamore. O vieille garce d’Allemand ! Dis, parle à moi sincérement, Déclare -moi naïvement Ce qui t’oblige insolemment De trou
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
oint. Dans le Dépit Amoureux de Moliere, Mascarille, valet de Valere, déclare à Polidore, pere de son maître, le mariage secret
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349
. . . . . . . . . . . . . . . Éliante. Vous êtes bien hardi de me le déclarer . Léandre. Madame, sur ce point mon cœur n’est plu
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
ement ; mais l’humeur de la mere les effarouche ; ils n’osent pas lui déclarer leur tendresse. Elle les surprend dans le temps q
76 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
sette ; l’eussiez-vous cru ? C’est sous ce nom que l’infidélité s’est déclarée  ; c’est pour cette prostituée de bassette qu’il a
77 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
cène du second, et la première aussi du troisième. Mais, le Roi ayant déclaré qu’il voulait voir plusieurs représentations de l
ademoiselle Desmares, trouvèrent doux, à l’abri de leurs rôles, de se déclarer , de se témoigner, en face du public, l’amour dont
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
tendue conquête la déclaration la plus burlesque, quand la pupille se déclare , & annonce enfin à son tuteur un bonheur sur
oute l’intrigue du Legs naît de la timidité du Marquis, qui n’ose pas déclarer son amour à la Comtesse : la timidité n’est ordin
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
. Mais elle change d’avis sur ce dernier article, quand Don Silve lui déclare qu’il est Don Alphonse son frere, qu’il n’en est
emiere occasion qui se présente de me soupçonner, commences-tu par me déclarer coupable, & par me mettre au rang de ces femm
80 (1871) Molière
i lui fit l’honneur de le pleurer tout un jour : mais le lendemain il déclarait qu’il serait désormais son premier ministre à lui
’honneur de Madame, mademoiselle de La Vallière. Elle-même elle avait déclaré , un jour d’été, sous les ombrages de Saint-Cloud,
81 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
de l’homme avec qui il a eu démêlé pour le sonnet. Il la presse de se déclarer , et de faire un choix entre lui et ses rivaux : c
lle doit faire, qu’elle ne balance pas, mais qu’elle ne veut point se déclarer en présence de celui qu’elle ne doit pas choisir.
Le Malade imaginaire, des amants qui ne peuvent s’expliquer autrement déclarent tout haut leur passion à l’objet aimé, en présenc
a louange du roi, qui représentait Neptune dans une fêtea. Il ne s’en déclara point l’auteur, mais il eut la prudence de le dir
eur de ces vers. Mais quand Molière eut bien préparé sa vengeance, il déclara publiquement qu’il les avait faits : Benserade fu
ours à l’avouer pour excellente, et que le suffrage général n’ait été déclaré en sa faveur qu’après huit ou dix représentations
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90
dégrader la Majesté divine. Charité remporte la victoire, & Jesus déclare à l’Ame qu’il va s’unir avec elle. Seconde Parti
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
e ? Damis.  Mon amour n’a point éclaté : Mes regards seuls ont pu lui déclarer ma flamme. Je croirois cependant avoir touché son
84 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
aux esprits, qu’en tous lieux on vantât ses écrits. Voltaire aussi le déclare mauvais poète, mais homme fort savant, et, ce qu
85 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
j’ai été entraîné à consacrer plus de temps que je ne le voulais. Je déclare y avoir donné toute l’attention dont je suis capa
86 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
s représentations de mademoiselle Mars ? Le sort en est jeté ; elle a déclaré , il y a dix mois, que dans un an elle prendrait c
87 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
nt de réconcilier Isabelle avec Oratio. Isabelle s’adoucit, mais elle déclare qu’Oratio n’obtiendra rien d’elle tant qu’il ne s
88 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
, Pantalon fait sonner bien haut la récompense promise à celui qui le déclarerait . “Si j’étais sûr de la récompense, dit Arlequin,
89 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
dîner avec le roi. »La brouillerie avec le roi n’était donc pas bien déclarée  ; c’était de la froideur et de l’embarras de la p
90 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
enon. Lui ayant demandé quel était l’opéra qu’elle préférait, elle se déclara pour Atys. Atys est trop heureux , répondit le r
91 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
me servira d’excuse….. Du moins, n’en viendra-t-elle jamais jusqu’à déclarer plus tard à son amant, comme Angélique à Clitandr
sommes, nous autres, de la côte de saint Louis », et Nicole pour lui déclarer que la noblesse ne lui en impose guère, car le fi
92 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
pect; il faut même que sa langue, du moins celle du XIIe siècle, soit déclarée « bien supérieure à la langue du XVIIe. » Nous av
t Vérité plaidèrent contre Paix et Miséricorde, en suite de quoi Dieu déclara que, pour racheter le crime commis, il fallait qu
93 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168
çons, en lui persuadant qu’Oronte est épris d’elle, & que n’osant déclarer son amour, il prioit Angélique de parler pour lui
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
nouvelle est vraie : Marianne lui répond que son pere lui a nettement déclaré ses volontés sur ce mariage. Valere, troublé, lui
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
n’ai jamais épousé votre mere suivant les regles de l’Eglise, je vous déclare que vous n’êtes pas mon fils, & je vous défen
96 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
n mari à sa sœur. Celle-ci, apprenant ce que son frère projetait, lui déclara qu’elle ne voulait plus se marier. Tourmentée par
97 (1818) Épître à Molière pp. 6-18
et heureux potentat Qui de l’éclat des arts empruntait son éclat. Je déclare que je n’ai point prétendu refaire les deux vers
98 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
oles se rapportent à la cassation ordonnée par le roi, d’un arrêt qui déclarait enfant adultérin le prince de Condé. La marquise
99 (1910) Rousseau contre Molière
uvrage » [dans l’ordre inverse ce serait plus juste] ; que si Alceste déclare avoir conçu pour les hommes une haine effroyable,
u’il soit froid sur celui qui s’adresse directement à lui ; car ayant déclaré la guerre aux méchants, il s’attend bien qu’ils l
c’est où je ne reviendrai point. Je connais votre âme qui s’est enfin déclarée tout entière, et désormais Je vous rejette au lo
e l’humanité ! On ne me connaît pas ! Et, s’identifiant à Alceste, il déclare superbement : « Qu’une femme fausse le trahisse,
érieure à une classe supérieure ? Or c’est ce que Rousseau a toujours déclaré absurde et funeste. Ce qu’il s’est mille fois rep
h ! les Dandin s’y accoutumeront s’ils veulent ; car pour moi je vous déclare que mon dessein n’est pas de renoncer au monde et
et à Angélique elle-même, et à toute la terre ; tantôt il reconnaît, déclare et proclame qu’elle est naturelle, méritée et qu’
ans cette petite rue écartée qui mène au grand couvent ; mais je vous déclare , pour moi, que ce n’est point moi qui me veux bat
pouvoir, étant aussi dur à l’égard de Tartuffe qu’à l’égard d’Orgon, déclarer que ce n’est pas Orgon qu’il veut berner, mais Ta
ant dix ans, il s’est attaché à la réformer ; pendant seize ans, il a déclaré obstinément qu’il avait déposé la plume d’homme d
et la martyre de l’antipatriotisme. La grande âme de Corneille s’est déclarée par elle et s’est exprimée par elle tout entière.
100 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
car il l’a élevée lui-même… — Bonne précaution, encore que Scarron la déclare inutile  Mais que pensez-vous du fait ? — Qu’il e
vec toutes sortes d’airs de supériorité, d’ironies et de rires gras ; déclarer qu’il.est sûr de son affaire, qu’il a un secret i
pidité Voulu de cet esprit étouffer la clarté ? Pour moi, je vous le déclare , je suis ravi, que la pauvrette se défende,, qu’e
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