oupçonner, et qui pour se dédommager de son loisir, n’ait voulu faire
connaître
au Public qu’il était homme de discussion, et de
as qu’il pense toujours juste ; Ainsi il trouvera bon que je le fasse
connaître
au Public par ma Réponse. Je me flatte même que m
s tablettes pour me le reprocher. D’un autre côté cet Avocat, qui ne
connaît
que le langage gothique de sa famille et de ses p
is il est, ce me semble, bien méconnaissant. Nous souhaitons toujours
connaître
ceux qui contribuent à notre satisfaction ; cette
n ; et ainsi de tous les autres faits que j’ai rapportés, et qui font
connaître
Molière dans son véritable caractère. Si mon Cens
il avance ? À qui dois-je m’en rapporter qu’aux personnes qui ont vu,
connu
, et fréquenté Molière ? Et quelle certitude puis-
des mémoires. Mais à qui aurais-je pu mieux m’adresser qu’à lui, pour
connaître
Molière ? Il a toujours été avec lui. Mon Critiqu
il me reprend avec dessein, puisqu’il me conteste les faits les plus
connus
, lorsqu’il dit que Monsieur le Prince de Conti ne
ttention de la contradiction dans cet endroit. « Molière selon lui ne
connaissait
pas assez la Cour pour refuser avec de si bonnes
voyage de Narbonne à la suite de Louis XIII. En voilà bien assez pour
connaître
la Cour ; et je doute que mon Censeur la sache au
résentation des Précieuses, voilà la bonne Comédie. Ce qui fait bien
connaître
que le Théâtre Comique était alors négligé ; et q
erais mon Lecteur : mais je puis reprocher à mon Censeur qu’il ne les
connaît
pas, puisqu’il n’a point remarqué que la plupart
es points pour toutes les passions, pour toutes les figures ? Nous ne
connaissons
que les points fermés, les points d’admiration, e
s pour ce genre d’action ; mais comme homme d’esprit et d’étude il en
connaissait
les règles. La Comédie est une représentation naï
ecteur de pousser plus loin cette matière ; en voilà assez pour faire
connaître
que mon Censeur a eu tort de se récrier si fortem
Molière le lui eût demandé. Mais quand on fera réflexion que celui-ci
connaissait
déjà les dispositions extraordinaires que Mr Raci
à cette occasion, est inutile pour moi ; car je lui déclare que je ne
connais
point son Provençal, et que les rares qualités qu
Chapelle et de Molière ne s’accordaient pas à la vérité ; mais ils se
connaissaient
intérieurement pour des personnes essentielles et
ellement. Il n’y a donc point là de quoi s’étonner, pour peu que l’on
connaisse
le monde. C’est même l’amitié bien souvent qui ca
ue pour accuser indirectement la mienne de fausseté. Mais ce fait est
connu
de trop de personnes pour être ignoré ; et je dou
e, jusqu’à de la vertu, puisque mon Censeur le veut. Mais Molière les
connaissait
mieux que moi. Cependant il y en a dans la Troupe
onc ce qu’il dit est véritable. J’honore parfaitement Mr Baile, et je
connais
peut-être mieux la vaste étendue et la solidité d
x la vaste étendue et la solidité de son génie, que mon Censeur ne la
connaît
; mais je ne veux point être l’esclave de ses sen
l finissait. Les Sœurs Religieuses, qui l’assistèrent à la mort, font
connaître
qu’il faisait des charités. J’ai laissé tout cela
e réputation dans le monde. C’étaient Chapelle et Bernier : celui-ci,
connu
par ses voyages aux Indes, et l’autre, célèbre pa
dans la farce ; d’où vient le mot de turlupinage. Hugues Guéret était
connu
, dans les pièces sérieuses sous le nom de Fléchel
ppelait Gautier-Garguille. De même, Arlequin et Scaramouche n’étaient
connus
que sous ce nom de théâtre. Il y avait déjà eu un
, et presque autant d’ennemis. Il accoutuma le public, en lui faisant
connaître
la bonne comédie, à le juger lui-même très-sévère
n, qui sont bien plus grandes qu’on ne pense. Le maréchal de Vivonne,
connu
par son esprit et par son amitié pour Despréaux,
par les dons singuliers qu’il avait reçus de la nature, mérite d’être
connu
de la postérité. C’est le comédien Baron, qui a é
personnes prirent celui de la réfuter. On prouva que Molière n’avait
connu
la mère qu’après la naissance de cette fille. La
a comédie, déterminèrent Harlay de Chanvalon, archevêque de Paris, si
connu
par ses intrigues galantes, à refuser la sépultur
ustache, sa paroisse, ne voulut pas s’en charger. La populace, qui ne
connaissait
dans Molière que le comédien, et qui ignorait qu’
ieu de jouer celui de leurs maîtres. La bonne comédie ne pouvait être
connue
en France, puisque la société et la galanterie, s
ent. Aussi ce ne fut qu’après avoir bien vu la cour et Paris, et bien
connu
les hommes, que Molière les représenta avec des c
es Femmes savantes n’en eurent depuis. C’est qu’avant l’Étourdi on ne
connaissait
pas mieux, et que la réputation de Molière ne fai
mps de Desmarets. Les auteurs étaient outrés en tout, parce qu’ils ne
connaissaient
point la nature. Ils peignaient au hasard des car
qui fit sentir le vrai, et par conséquent le beau. Cette pièce le fit
connaître
plus particulièrement de la cour et du maître ; e
furent alors accréditées par le retour d’un fameux pantomime italien,
connu
sous le nom de Scaramouche. Les mêmes spectateurs
-Royal, le 1er Juin 1663. C’est le premier ouvrage de ce genre qu’on
connaisse
au théâtre. C’est proprement un dialogue, et non
rs, à la politesse, et à la gloire de la nation. Ce fut à cette fête,
connue
sous le nom de l’Île enchantée, que Molière fit j
en rabat, et consultaient en latin. Si les médecins de notre temps ne
connaissent
pas mieux la nature, ils connaissent mieux le mon
i les médecins de notre temps ne connaissent pas mieux la nature, ils
connaissent
mieux le monde, et savent que le grand art d’un m
nt une force, une vérité et une finesse que jamais auteur comique n’a
connues
comme lui. Molière est le premier qui ait su tou
isés à faire, qu’ils semblent plus faciles. Il y a un rythme très peu
connu
qu’il y faut observer, sans quoi cette poésie reb
nu qu’il y faut observer, sans quoi cette poésie rebute. Corneille ne
connut
pas ce rythme dans son Agésilas. L’Avare, C
, il demande à voir la troisième, stende tertiam. Mais si l’on veut
connaître
la différence du style de Plaute et du style de M
es le 15 de juillet 1668, et à Paris le 9 de novembre suivant. On ne
connaît
, et on ne joue cette pièce que sous le nom de Geo
Le Cocu imaginaire, qu’on avait intitulé et affiché Sganarelle, n’est
connu
que sous le nom de Cocu imaginaire, peut-être par
le nom de Tartuffe, sous lequel ses impostures étaient supposées être
connues
du roi. À cela près, la pièce était comme elle es
blic sur le théâtre du Palais-Royal en 1671. Le spectacle de l’opéra,
connu
en France sous le ministère du cardinal de Mazari
u’on la pouvait même rendre intéressante : perfection que l’Italie ne
connaissait
pas. Depuis la mort du cardinal Mazarin, on n’ava
sous le nom de Vadius, et que Trissotin est le fameux abbé Cottin, si
connu
par les satires de Despréaux. Ces deux hommes éta
sabusé de l’astrologie judiciaire ; on y croyait d’autant plus, qu’on
connaissait
moins la véritable astronomie. Il est rapporté da
hommes n’ont quitté ce reste de barbarie, qu’à mesure qu’ils ont plus
connu
les plaisirs de la société et ceux que donnent le
été condamnées par les mêmes raisons que vous venez de dire, ceux qui
connaissaient
la bonté de ces pièces n’osant les protéger, de c
t point, il y en a d’autres qui approuvent tout ce qu’ils voient : je
connais
un des plus galants Abbés du siècle, et à qui je
n particulier ; aussi dit-on de lui dans le monde que l’on ne saurait
connaître
s’il dit la vérité et qu’il ne fait point de Jalo
oire. Cependant il est constant qu’il a le goût fin et délicat, qu’il
connaît
bien les défauts de tout ce qu’il voit, et qu’il
utres obscurcissent tellement la vérité qu’il est impossible d’y rien
connaître
, lorsqu’ils se sont une fois mêlés de dire leur s
irablement bien à la française et la réussite qu’elles eurent lui fit
connaître
que l’on aimait la satire et la bagatelle. Il con
urent lui fit connaître que l’on aimait la satire et la bagatelle. Il
connut
par là les goûts du Siècle, il vit bien qu’il éta
que l’on crût qu’ils ne les eussent pas. Notre Auteur, ayant derechef
connu
ce qu’ils aimaient, vit bien qu’il fallait qu’il
seulement bien aises d’être raillés, mais qu’ils souhaitent que l’on
connaisse
que c’est d’eux que l’on parle, c’est qu’il s’en
une Pièce sérieuse et qu’il en avait le premier rôle pour vous faire
connaître
que l’on ne s’y devait pas beaucoup divertir. La
donner d’amples preuves de son esprit. Je pourrais encore dire qu’il
connaît
les Ennemis qu’il a à combattre, qu’il sait l’ord
son avantage, il sera bien délicat s’il ne vous en est obligé, et je
connais
beaucoup de personnes qui se tiendraient glorieus
qu’il y a d’essentiel dans l’un et l’autre sens, et que le public les
connaît
assez maintenant pour se croire dispensé d’y prêt
re sont éclectiques et savent concilier toutes les admirations. Je ne
connais
pas d’ailleurs d’étalon qui permette de mesurer l
nt Covielle abonder dans son sens, croit-on qu’il soit indifférent de
connaître
la brouille qui existait alors entre Molière et s
i qui l’a écrit. Mais n’a-t-il pas un prix particulier pour quiconque
connaît
les querelles qu’il faisait alors à sa femme au s
deleine Béjart, l’autre sur la femme de Molière5. L’auteur était déjà
connu
par une thèse agréable sur Marivaux, sa vie et se
d’une comédienne, car elle constituait un ressort dramatique des plus
connus
; on en trouverait des exemples même de nos jours
œuvres pies, conformément aux intentions que la testatrice lui a fait
connaître
. Celle clause dut paraître dure à la femme de Mol
e fut entourée à son lit de mort. Il se joua l’a un de ces drames que
connaissent
bien les notaires, les médecins et les confesseur
juste que cette affaire Guichard dont tant de gens ont parlé sans la
connaître
? On sait vaguement qu’il s’agit d’un projet d’at
découvrir dans cette histoire de la famille de Molière qu’on croit si
connue
. La question, comme on va le voir, ne touche pas
d’épigrammes, de propos malveillants, d’insinuations perfides. Ils se
connaissaient
de longue main, car Guichard était fils d’un des
M. de Grandmaison, lieutenant criminel de robe courte. » Guichard le
connaissait
pour avoir été quelque temps l’amant de sa sœur,
peine d’encourir les foudres de l’Église, révéler les détails par eux
connus
. Celui que Lulli avait obtenu fut lu au mois de j
ncore relevée. Trots ou quatre ans après la mort de Molière, Guichard
connaissait
et livrait à la publicité un fait que Beffara pas
n veux retenir, c’est que Guichard, vivant dans l’intimité d’Armande,
connaissait
ces actes authentiques auxquels on accorde tant d
e tels coups ne frappent que ceux qui s’y exposent. Le livre est trop
connu
pour que je m’attache à l’examiner. On a dit et r
a plus ancienne : ce serait une interpolation. On sent que l’auteur a
connu
le grand poète, qu’il a pénétré dans son intimité
un envieux atrabilaire ; mais voici un troisième témoin auquel on ne
connaît
aucun mauvais sentiment qui puisse justifier l’op
çois de Lescot, président au Parlement de Grenoble, était un débauché
connu
par ses aventures galantes. Riche et peu habitué
ur les réparations. Ce fut Molière, comme on sait, qui, sans se faire
connaître
, et sous le nom de son ami le savant Jacques Roha
baptême, des suicidés et des excommuniés. C’est à M. Louis Moland, si
connu
par sa belle édition de Molière dont la réimpress
. Deux témoins oculaires présents à l’inhumation de Molière nous font
connaître
l’endroit précis où eut lieu cette inhumation. Le
l’écrivain même sur lequel il s’appuyaient, car ces investigateurs ne
connaissaient
ni le registre de La Grange ni la lettre à Louis
x chapelain, dont l’auteur du Parnasse français ne nous fait pas même
connaître
le nom, et je l’ai jadis assez irrévérencieusemen
à croire qu’il avait des raisons sérieuses d’agir comme il le fit. Il
connaissait
, et son procès-verbal en fait foi, certaine page
es. Dans un de ces petits romans à scandale, écrits à l’aide de faits
connus
de tous et de récits imaginaires, et qui pullulèr
rains ont vanté les sentiments d’honneur ; comédien comme elle, il la
connaissait
bien et ne lui aurait pas donné un nom respecté s
les concubinaires et les usuriers, c’est-à-dire que leur péché était
connu
du prêtre par la notoriété publique et non par la
à y voir. Molière meurt dans les circonstances saisissantes que l’on
connaît
: il ne s’est pas confessé ; peut-on l’enterrer a
l’enterrer avec les honneurs religieux, lui pécheur dont la faute est
connue
par la notoriété publique ? Évidemment non. Mais
ui conduisit Armande aux pieds de Louis XIV, le curé de Saint-Germain
connaissait
le bon cœur et la charité de ce comédien, à qui u
Aurions-nous enfin un autographe de Molière ? Jusqu’à présent on ne
connaissait
pas une ligne, une seule, qui pût avec certitude
C’est à M. de la Pijardière, archiviste du département de l’Hérault,
connu
dans le monde des lettres sous le pseudonyme de L
ticité serait unanimement reconnue. Or, il n’y en a point de tels. On
connaît
aujourd’hui nombre de signatures de Molière appos
ner et s’écrier : Un autographe de Molière ! Mais il en existe ; j’en
connais
. Et moi aussi j’en connais : Il en est jusqu’à t
aphe de Molière ! Mais il en existe ; j’en connais. Et moi aussi j’en
connais
: Il en est jusqu’à trois que je pourrais citer.
ent si positif, puisque, à l’époque où ce jugement fut formulé, on ne
connaissait
de Molière que des signatures. Peut-être croyait-
pièces qui engageaient leur responsabilité ? Aucune autre pièce à moi
connue
n’est signée de la sorte. Le fondateur de l’Illus
rmale des deux pièces de 1650 et 1656 est d’autant plus étrange qu’on
connaît
un acte qui se place justement entre ces deux dat
e catalogue Bovet, M. Etienne Charavay, l’archiviste paléographe bien
connu
, à la page 244 (5e et 6e séries), où il décrit la
nné par Molière au fameux procureur Rollet, ajoute ces mots : « On ne
connaît
de lui que de simples signatures. » Voila un arr
es archives de l’Hérault et que M. Étienne Charavay n’a pu manquer de
connaître
. Reste à savoir sur quoi cet arrêt se fonde et si
la collection d’autographes de M. Alfred Bovet, j’ai déclaré qu’on ne
connaissait
de Molière que de simples signatures. Il en dédui
rifier l’écriture, tout moyen de contrôle me manquait. Les signatures
connues
de Molière différent de celle de la quittance, et
u Théâtre-Français. M. Étienne Charavay, l’expert en autographes bien
connu
, a déclaré, dans une lettre qu’il nous adressait
ste, selon lui, n’est point la copie d’un original que Molière aurait
connu
; ce n’est point un portrait, pas plus celui du d
sa, le Père Bouhours lit son épitaphe ; mais je ne vois pas qu’il ait
connu
de près aucun ami de Port-Royal, — hors le prince
casions de caresser ses penchants et sa vanité. Or rien n’était mieux
connu
à la cour que la haine de Louis XIV pour le parti
ant et peut-être le seul authentique des autographes de Molière qu’on
connaisse
, a publié, en 1877, un petit livré intitulé : le
r une vile palinodie, contre laquelle proteste le caractère qu’on lui
connaît
, Molière se serait fait le complaisant et le détr
n ! voulez-vous savoir ce que pensait de ce caractère un homme qui se
connaissait
en versatilité politique, car il avait vu des cam
ligé de rompre en visière aux gens pour des vers bons ou mauvais ; il
connaît
assez les maladies incurables des hommes pour sav
es créations littéraires. M. du Boulan en trouve dans Molière, qui ne
connaissait
même pas ce mot de symbolisme ; M. de la Pommeray
édition de Molière qui s’adresse au grand public, lequel tient plus à
connaître
les résultats acquis qu’à discuter des problèmes
l dans le Moliériste d’avril 1885, article que j’ai le regret d’avoir
connu
trop tard pour l’opposer à M. Livet au cours de m
onsacré que cent pages à l’examen du théâtre le plus parfait que nous
connaissions
. Le nouveau Commentaire que je me propose de fair
poser aux yeux des spectateurs les infirmités de quelques personnages
connus
, et, par une imitation bouffonne, exciter le rire
t les passions, il sut émouvoir. Un esprit observateur ne tarda pas à
connaître
la différence de ces deux genres, il en traça la
a toujours d’être l’objet du rire universel. Maintenant que j’ai fait
connaître
l’origine, le but et les avantages de la comédie,
ère, et ont instruit et amusé en même temps leurs spectateurs. Qui ne
connaît
les Femmes Savantes, l’École des Maris, l’École d
urs opposé avec la plus grande habileté au caractère qu’il veut faire
connaître
, un autre caractère absolument différent. Par ce
toutes les bonnes pièces, il faut que l’exposition soit claire, fasse
connaître
au spectateur les traits les plus prononcés du ca
oût, ont produit de si grandes beautés, qu’elles sont universellement
connues
. Unité d’action. Une pièce de théâtre est la
re heures. L’auteur a alors plus de facilité pour développer et faire
connaître
son sujet. On a aussi étendu l’unité de lieu à to
, comme nous en avons plusieurs exemples dans Molière, tendre à faire
connaître
le caractère principal, par les nouveaux contrast
olière fît répéter ses pièces en présence de gens sans éducation : il
connaissait
trop leur incapacité. Les gens du peuple ne sont
ance approfondie de l’homme, ses longues méditations lui avaient fait
connaître
. Ce n’était pas assez pour Molière d’attaquer nos
vant encore sa pureté. Concevant avec cette profondeur que lui seul a
connue
, d’un côté il lui a découvert tout le cœur humain
plutôt de la façon de l’Auteur, que de celle de Molière, qui alors ne
connaissait
point assez la Cour pour parler aussi sensément q
Baron ; et j’en appelle au succès de ses deux dernières Pièces. C’est
connaître
bien légèrement le Théâtre d’aujourd’hui, que de
omme ait souffert que son ami (car je n’en veux rien rabattre, ils se
connaissent
de longue main) l’ait fait passer à la postérité
à l’envers ; et tout Paris sait qu’il se nommait Provençal ; et on le
connaît
sous un autre nom. Cette personne dont Molière fa
qu’il est. L’Auteur aurait dû lui rendre cette justice. Et en faisant
connaître
le malheur de son premier âge, relever le mérite
eu d’Auteur qui ait plus travaillé que lui, ni dont le nom soit plus
connu
. Il était inutile que notre Auteur mystérieux vou
t les mêmes dans ces deux professions si opposées. L’Auteur fait bien
connaître
par cette proposition, qu’il n’entend ni l’action
portées, avaient assez de quoi satisfaire ceux qui s’intéressent à le
connaître
, sans les faire servir de divertissement au Publi
er tous les jours les Pièces de Molière, et nous aurions été ravis de
connaître
les modèles de ses caractères, les motifs qui l’o
t le personnage d’un présomptueux ; Baron, celui d’un homme qui ne se
connaît
pas ; le Courtisan, celui d’un malavisé, de se co
Nous voici à la fin du Livre, où l’Auteur nous dit qu’il a assez fait
connaître
, que Molière ne vivait pas en bonne intelligence
croyez-vous au fond meilleurs que vos aïeux ? Croyez-vous avoir seuls
connu
la bienséance ? Mon siècle n’était point celui de
, Monsieur, bien singulière ? Molière. Oui, je ne flatte point, vous
connaissez
Molière ; Mais votre air triste et sombre, autref
quer des vivants, Et d’un bien superflu m’abandonner l’usage. Vous ne
connaissez
pas vos richesses, je gage ? La Vieille Thalie.
connaissez pas vos richesses, je gage ? La Vieille Thalie. Je ne les
connais
pas ! Eh bien ! Vous n’aurez rien, J’aime mieux l
Molière ne pourrait refuser ses suffrages. Molière. Je voudrais les
connaître
. La Jeune Thalie. Eh bien ! Passez les ponts. Je
eintre de mœurs (et c’est là le grand mérite de M. Picard), je ne lui
connais
de rival dans le dernier siècle que Lesage, dont
cédé qu’au sentiment d’une juste admiration. Je n’ai pas l’honneur de
connaître
M. Picard ; mais ayant à retracer dans un ouvrage
aut bien en convenir d’abord, nous marchons à tâtons avec Molière. On
connaît
peu de chose de sa vie, ou plutôt sa vie ne renfe
politique. Un homme politique, par exemple, a des principes qu’on lui
connaît
; il a des opinions ; il a des idées… quelquefois
e, au xviie siècle, était profondément monarchique, que la nation ne
connaît
encore que ses rois, ne connaît que le Roi, et le
ndément monarchique, que la nation ne connaît encore que ses rois, ne
connaît
que le Roi, et les écrivains ne pensent pas autre
rd’hui ; qu’ils étaient sérieux et retraités de meilleure heure. Vous
connaissez
, peut-être ce mot si surprenant de Montesquieu, q
e viens de vous le dire : un jeune homme. Et tenez, si vous voulez le
connaître
, le voilà qui vient d’entrer en scène. Il est les
oi cette expression un peu trop récente, est un grand artiste ; il ne
connaît
ni les petits moyens ni les procédés vulgaires ;
e vais pas, vous le comprenez, vous raconter L’École des femmes. Vous
connaissez
la pièce aussi bien que moi. Vous savez qu’Horace
n double nom ; autrement Horace se serait aperçu que l’Arnolphe qu’il
connaît
est en même temps celui d’Agnès et il ne l’eût pa
et si douloureuse, un plaisir qu’il n’est que trop souvent à même de
connaître
: c’est lorsqu’un de ses ouvrages est attaqué, di
lui. Eh bien, ces modèles que Racine avait sous les yeux, Molière les
connaissait
aussi. Dirai-je plus ? Ce sont les mêmes qui leur
e n’ai plus que quelques mots à vous dire. Un critique parisien, bien
connu
pour ses développements oratoires et sa bienveill
cene V. LA FLECHE, FROSINE. La Fleche. Je suis votre valet. Et tu ne
connois
pas encore le Seigneur Harpagon ? Le Seigneur Har
ainsi. Albert. Je te dis que j’aurai raison de tout ceci. Mascarille.
Connoissez
-vous Ormin, ce gros Notaire habile ? Albert. Conn
. Mascarille. Connoissez-vous Ormin, ce gros Notaire habile ? Albert.
Connois
-tu bien Grimpant, le bourreau de la ville ? Masca
u travers de son masque, on voit à plein le traître ; Par-tout il est
connu
pour tout ce qu’il peut être ; Et ses roulements
isés à faire, qu’ils semblent plus faciles. Il y a un rithme très peu
connu
qu’il faut observer, sans quoi cette poésie rebut
rebute. M. de Voltaire, qui est de cet avis, ajoute que Corneille ne
connut
pas ce rithme dans son Agesilas. Les Anglois font
rement, N’a pour tout divertissement Qu’à faire du saccagement. Je le
connois
parfaitement ; C’est un assommeur de jument, Qui
r celle de Molière : on y trouvera même de certains faits qui ne sont
connus
que de peu de personnes. Les autres pièces qui co
nt une force, une vérité et une finesse que jamais auteur comique n’a
connu
avant lui. « Molière est le premier qui ait su to
genre de comédie auquel ils n’étaient point accoutumés, et qu’ils ne
connaissaient
même pas. Ainsi, lorsqu’ils ont mal jugé des pièc
qu’il aima mieux, comme il arrive tous les jours, blâmer ce qu’il ne
connaissait
pas, que d’entrer dans le moindre examen. Mais Mo
dmirable comédie commence par le Misanthrope, qui par son action fait
connaître
à tout le monde que c’est lui, avant même d’ouvri
son dessein est de rompre en visière à tout le genre humain, et l’on
connaît
, par ce peu de paroles, le caractère qu’il doit s
ce qu’il découvre dans la scène suivante ; et ce qu’il lui doit faire
connaître
l’adresse de l’auteur qui répond sitôt à ses dési
ire voir ce que peut l’amour sur le cœur de tous les hommes, et faire
connaître
en même temps, par une adresse que l’on ne peut a
dans le monde. Je ne crois pas que les beautés de cette scène soient
connues
de tous ceux qui l’ont vue représenter. Elle est
’elle était bien écrite, et que les personnes d’esprit en ont bien su
connaître
les finesses. Dans le reste de l’acte, le valet d
cours d’une comédie ; mais si, comme j’ai dit tantôt, celui-ci a fait
connaître
le sien avant que de parler, il fait voir en fini
s déchirer sous main leurs meilleurs amis. Les fausses prudes doivent
connaître
que leurs grimaces ne servent de rien ; et que qu
Aucune morale chrétienne, N’est plus louable que la sienne, Et l’on
connaît
évidemment, Que dans son noble emportement, Le vi
e jouer la comédie. Pocquelin entra dans une de ces sociétés, qui fut
connue
sous le nom de l’Illustre Théâtre a. Ce fut alors
c bonté, et fit donner des appointements à sa troupe. Ce prince avait
connu
Molière au collège, et s’était amusé à Paris des
i il eût une estime particulière : cela faisait dire à ceux qui ne le
connaissaient
pas qu’il était rêveur et mélancolique : mais s’i
qu’une fille, et sa veuve épousa dans la suite le comédien d’Étriché,
connu
sous le nom de Guérin. « La femmea d’un des meil
re empêchait de paraître, il se nomme Mondorge *, ajouta-t-il, je le
connais
, dit Molière, il a été mon camarade en Languedoc,
été témoin, et qu’il a raconté à des personnes dignes de foi, est peu
connu
et mérite d’être rapporté. Molière revenait d’Aut
it insensiblement éclairer sur le bon, et parviendrait peut-être à en
connaître
tout le prix… Alceste passa à la faveur de Sganar
sements et des entrées de ballet, n’a jamais été imprimée, et on n’en
connaît
que les paroles chantantes qui se trouvent dans L
aisés à faire qu’ils semblent plus faciles. Il y a un rythme très peu
connu
qu’il y faut observer, sans quoi cette poésie reb
u qu’il y faut observer, sans quoi cette poésie rebute : Corneille ne
connut
pas ce rythme dans son Agésilas. » « [*]Si ce f
ette pièce eût-elle des censeurs, et peu de critiques. » « [*]On ne
connaît
, et on ne joue cette pièce que sous le nom de Geo
Le Cocu imaginaire qu’on avait intitulé et affiché Sganarelle, n’est
connu
que sous le nom de Cocu imaginaire, peut-être par
, il demande à voir la troisième. Ostende tertiam ? Mais si l’on veut
connaître
la différence du style de Plaute et du style de M
ssance de cet auteur pour le genre théâtral. « [*]Avant que de faire
connaître
les beautés de cette comédie, j’entreprendrai d’e
ser cette pièce comme un modèle parfait de la belle comédie. Ceux qui
connaissent
le théâtre trouveront dans la peinture des caract
onner une légère idée, et de mettre par là le lecteur plus en état de
connaître
et de sentir avec quel art Molière en a fait usag
laminia, fille de Pantalon, riche banquier de Venise ; comme il n’est
connu
de personne dans cette ville, il prend le parti d
lle reparut à Paris le 5 février de cette annéea. Dès qu’elle eut été
connue
, les vrais dévots furent désabusés, les hypocrite
scélérat. Il ne tient pas un seul moment l’auditeur en balance, on le
connaît
d’abord aux marques que je donne ; et d’un bout à
r rapporter sur la comédie du Tartuffe. Nous supposons que le lecteur
connaît
les Œuvres de Molière, et par conséquent les troi
tèrent les intermèdes de Pourceaugnac ; nous supposons que le lecteur
connaît
les Œuvres de Molière, édition in-12 de 1739, où
its délicats et élevés, il y en a cent qui les rebutent, faute de les
connaître
. Il ne fut pas plus tôt rentré dans son cabinet q
d on fait réflexion aux circonstances où Molière la joua. Le monde ne
connaissait
guère alors le genre de comique noble qui commet
up de réputation dans le monde, c’était Chapelle et Bernier, celui-ci
connu
par ses voyages aux Indes : et l’autre, célèbre p
elle les grands biens qu’il possédait ; si par la suite il ne l’avait
connu
incapable de les gouverner : il se contenta de lu
), après que les principales personnes qui la composaient eurent fait
connaître
leur mérite quelques années auparavant à Paris su
es provinces à la tête d’une troupe, et La Grange, dont le mérite est
connu
, se joignirent alors à celle que Molière conduisa
l’avaient fait de les faire mettre sous les armes le lendemain, pour
connaître
et faire punir les plus coupables, et pour leur r
di comme il l’a été ? Par la seule comparaison des prologues, on peut
connaître
que l’avantage est du côté de l’auteur moderne. L
nd homme, c’est-à-dire comme il les sentoit ; nous y aurions appris à
connoître
les détours d’un labyrinthe si compliqué, où les
garés : il nous auroit indiqué les fautes qu’il avoit faites avant de
connoître
la profondeur de son art, & celles qui n’étoi
uterent-ils, que pour bien louer Moliere il faut indiquer & faire
connoître
les découvertes heureuses que ce grand homme, gui
trop bien tout l’esprit qui y régnoit, & le mérite de son Auteur,
connu
par deux pieces charmantes, la jeune Indienne &am
es peines que j’ai prises, & non à l’orgueil de faire voir que je
connois
les regles d’un art dans lequel je m’exerce. Y a-
goûte plus ou moins, selon qu’on est plus ou moins instruit. Il faut
connoître
la théorie d’un art, n’en pas ignorer les regles,
agréable pour la propre satisfaction d’un homme, quel qu’il soit, de
connoître
toutes les finesses d’un art que nous faisons con
le genre à caractere, & celui qui tient de l’un & de l’autre,
connu
sous le nom de genre mixte ; mais nous verrons qu
tres Auteurs, afin de le montrer dans tous les sens & de le faire
connoître
en entier, s’il m’est possible. Cette connoissanc
nt, et l’on nous pardonnera d’avoir cité ce long morceau, qui est peu
connu
, et qui prouve à quel point Molière était appréci
galant : Ces Armes parlantes, dit l’Oraison funèbre de Molière, font
connaître
ce que notre Illustre Auteur savait faire. Ces Mi
pas seulement alors la brassée de menu bois ou de branchages que nous
connaissons
. Il avait un autre sens au théâtre, un sens qui s
Thébaïde de Molière, puis est venu à Toulouse, où le jeune Poquelin a
connu
le vieux poète Goudouly ? Pour nous, la question
le même temps, Molière, « faisant ses premières armes » à Toulouse, y
connut
Pierre Goudouly ; à quoi la critique a objecté qu
ste dans son roman du Grand Cyrus (tome VII, p. 307). Ce portrait est
connu
— Le Moliériste le reproduira prochainement ; mai
épousa Esprit-Raimond de Modène, et dont le père et l’oncle sont bien
connus
des Moliéristes. [1879-05] L. de la PIJARDIÈRE.
èce : (Comment se fait-il que Cléante, au premier acte, ne semble pas
connaître
Tartuffe même de réputation ? et à quoi Orgon per
devint seigneur de Franconville qu’après 1670, puisque l’ouvrage, peu
connu
, que nous allons citer, le désigne comme tel et l
rier Dieu de tout leur cœur pour vous ; vous savez que je ne puis pas
connaître
ce qui se passe dans l’intérieur. Quand j’en aura
iquer l’original autographe, plus grand et plus précis que la gravure
connue
, et que nous reproduisons ici : 1º Que l’arbre
sez jusqu’où vont mes malheurs ; Mais aussi je vous suis encor si peu
connue
, Que vous pourriez douter si je suis ingénue, Et
olière. Je vous apporte les miens en ce qui concerne les maisons déjà
connues
, en attendant que je publie des faits nouveaux et
e n’est, en somme, que la récapitulation d’un certain nombre de faits
connus
. Je les ai vérifiés, c00rdonnés et complétés par
ère édition du Dépit amoureux fut imprimée en province. Bien qu’on ne
connaisse
aucun exemplaire de cette édition, il est probabl
re du Cocu imaginaire édité par le Sieur de Neuf Villenaine est assez
connue
pour qu’il suffise de la rappeler à nos lecteurs
né est guillemettée depuis ce vers : « Un certain animal difficile à
connaître
jusqu’à celui-ci : « C’est pourquoi le cousin A
bord, dira-t-on, ils ont eu quelques sources communes : Shakespeare a
connu
Boccace, Rabelais, Montaigne, dont Molière s’est
saisissants, on n’arrive pas, un jour ou l’autre, à s’imiter sans se
connaître
? Si Shakespeare a fait Shylock, Molière a fait H
speare est cousine germaine du valet de Molière. Notre grand écrivain
connaissait
-il Shakespeare ? S’il le connaissait, a-t-il song
de Molière. Notre grand écrivain connaissait-il Shakespeare ? S’il le
connaissait
, a-t-il songé à imiter la scène de la nourrice de
lace généralement vers la fin de l’année de 1645, le dernier document
connu
jusqu’ici révélant encore la présence des comédie
e, tome I, nº 8, 1er novembre 1879, p. 227-242. Tous les Moliéristes
connaissent
le tableau qui, placé dans le foyer des artistes
admiration la plus vive. Rappelons ici quelques faits essentiels très
connus
, peu connus ou inédits. Les relations de Molière
a plus vive. Rappelons ici quelques faits essentiels très connus, peu
connus
ou inédits. Les relations de Molière et des itali
e 1694, avait épousé en premières noces Lorenza Elizabetta del Campo,
connue
au théâtre sous le nom de Marinette : il se remar
teur joué jusqu’alors par Lolli (Giovanni Bautista Angelo Agostino),
connu
par abréviation sous le nom de M. Ange ou M. Lang
ord simple gagiste, fut promu en 1673 à l’emploi des Pierrots ; On ne
connaît
leur camarade Florinde que par la mention d’une g
louse en 1650, avait eu dans sa première jeunesse la bonne fortune de
connaître
Molière. Ce souvenir lui a dicté quelques pages d
cet intérêt supérieur à tout autre, de l’homme qui peut dire : « J’ai
connu
Molière, je l’ai vu, j’ai entendu sa parole et je
outer de son origine. Maintenant, qu’était ce Vario ou Berrio ? On ne
connaît
aucun peintre de ce nom ; mais il est facile cepe
t nous le traduisons textuellement : « Antonio Verrio fut curieux de
connaître
d’autres pays que l’Italie et d’étudier les métho
lle nous fournit également une date, car le Canal de Languedoc ne fut
connu
qu’à partir de l’édit de 1666 qui autorisa l’ouve
ses œuvres. Ce livre porte au frontispice le mot de Sainte-Beuve : «
Connaître
et bien connaître un homme de plus, surtout si ce
vre porte au frontispice le mot de Sainte-Beuve : « Connaître et bien
connaître
un homme de plus, surtout si cet homme est un ind
nos universités choisissent Molière pour but de leurs recherches. Je
connais
maintes annales d’école qui contiennent des Essai
ières avec les personnages les plus remarquables de son siècle. Je ne
connais
que quelques fragments du poète Ménandre, mais il
tuellement directeur du théâtre de la cour à Vienne ; vos lecteurs le
connaissent
, ayant lu dans Le Moliériste d’août un poème de M
omédie d’Élomire hypocondre, publiée en 1670 chez Ch. de Sercy, n’est
connu
que par cette comédie, dans laquelle on découvre
le. 1. Dufresny avait vingt ans à la mort de Molière, qu’il dût
connaître
et rencontrer, étant fils d’un Valet-de-chambre d
e de Modène Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène1, est
connu
dans la république des lettres par une Histoire d
in, et auxquels il a pris part. Il est donc naturel que l’on veuille
connaître
les principaux traits de sa vie, et surtout celui
vacante par la démission de Joachim de Bellengreville4. Il était très
connu
à la cour, où on l’appelait le gros Modène. Son f
a à la fille d’un simple bourgeois de Paris, appelée Madelène Bejard,
connue
depuis par son goût pour le plaisir. Il eut de ce
Paris avec lui, trouva Madelène Bejard, livrée à une société qu’il ne
connaissait
point. Le principal objet des attachements de cet
les parties ont eu intérêt à falsifier, comme tant d’autres que nous
connaissons
. Le 27 janvier 1821, M. Beffara, toujours infatig
les moindres difficultés, et je lui ai l’obligation de les avoir bien
connues
. M. de la Porte, qui a composé l’article Modène,
POQUELINa (JEAN BAPTISTE) Comédien fameux,
connu
sous le nom de MOLIERE, étoit fils d’un Valet de
sse peut-être bien fait de n’en rien tirer ; car ce Livre-là est plus
connu
, & plus manié, que ne le sera jamais mon Dict
médiens dont il avoit été le Chef (I) : cela peut fort servir à faire
connoître
le mérite de cet Acteur. [Remarques] (A) E
r son rôle : il ne l’acheva qu’en souffrant beaucoup, & le public
connut
aisément qu’il n’étoit rien moins que ce qu’il av
demeurer d’accord que pour bien juger des Comiques Grecs, il faudroit
connoître
à fond les défauts des Atheniens. Il y a un ridic
ne vous rapporterai point une infinité d’exemples, qui vous feroient
connoître
la puissance de cette passion ; je vous ferai seu
ic, je demeurerai d’accord que je me suis étudié autant que j’ai pu à
connoître
leur foible ; mais si ma science m’a appris qu’on
dmirez vous pas que tout ce que j’ai de raison ne serve qu’à me faire
connoître
ma foiblesse sans en pouvoir triompher ? Je vous
goût de Monsr. Despreaux. Voici ses paroles : Etudiez la Cour, &
connoissez
la ville, L’une & l’autre est toujours en mod
it la plus nécessaire pour bien juger de cet Ouvrage. Ils n’ont point
connu
qu’il doit servir à toutes sortes de Lecteurs, &a
au. Cette troupe avant que d’être établie au Palais Roial, avoit fait
connoître
son mérite à Paris sur les fossez de Nesle, &
e jeune fille de Madame, appelée Fontanges. » Madame de Montespan ne
connaissait
pas la passion du roi pour madame de Fontanges, e
eur qu’elle écoutait trop ses ressentiments. Elle m’a répondu qu’elle
connaissait
mes artifices… Elle m’a reproché ses bienfaits, s
roi en a pour elle : et ce que j’ai dit bien des fois, elle lui fait
connaître
un pays tout nouveau, je veux dire le commerce de
our assurer sa fortune. Quoiqu’il n’entre pas dans mon sujet de faire
connaître
les causes qui opérèrent la révocation de l’édit
s causes qui opérèrent la révocation de l’édit de Nantes, ni de faire
connaître
la vie politique de madame de Maintenon, je veux
droit d’accuser ici celle qu’ils ont déclarée irréprochable ? Qui ne
connaît
la lettre qu’elle écrivît à son frère dont le zèl
u’il y en eut autant dans mon cœur, et que sans compter ce que je n’y
connais
pas, le n’y découvrisse pas encore des replis qui
incère amitié. Les uns disent que je me veux mettre à sa place, et ne
connaissent
ni mon éloignement pour ces sortes de commerces,
e roi en a pour elle. Et ce que j’ai dit bien des fois, elle lui fait
connaître
un pays tout nouveau, je veux dire le commerce de
e cœur où il n’était jamais descendu, l’apprenait à s’étudier et à se
connaître
, lui donnait une conscience pénétrée du besoin de
opéra un pareil dans cette innombrable multitude de personnes qui ne
connaissaient
d’autre règle de conduite, d’autre règle du langa
parlons ; mais qui doivent piquer aussi la curiosité de ceux qui les
connaissent
avec plus de détail, par les faits historiques qu
ons tirés de la Muse historique de Loret. Cet ouvrage est rare et peu
connu
; cependant il est plein d’anecdotes en tous genr
entation semblent avoir jusqu’ici assez heureusement déguisés. J’y en
connais
beaucoup que ma faiblesse m’a contraint d’y souff
que l’un est son fils, et l’autre celui de Maurice, sans qu’il puisse
connaître
lequel des deux est l’ennemi dont il a juré la pe
efs-d’œuvre de Molière. Il osa, dans cette pièce, abandonner la route
connue
des intrigues compliquées, pour nous conduire dan
ablement bien à la française : et la réussite qu’elles eurent lui fit
connaître
qu’on aimait la satire et la bagatelle. Il connut
s eurent lui fit connaître qu’on aimait la satire et la bagatelle. Il
connut
par là les goûts du siècle ; il vit qu’il était m
e l’on crût qu’ils ne les eussent pas. « Notre auteur, ayant derechef
connu
ce qu’ils aimaient, vit bien qu’il fallait qu’il
pour un laquais de feu M. Du Ryer. PICORIN. Ma foi, puisque vous me
connaissez
si bien, je vais vous dire la vérité de la chose
on nom de théâtre ; que je vous ai rendu trois ou quatre visites pour
connaître
votre humeur… Nous nous sommes enquis, mon camara
e ont été contraints de publier ses louanges, mais non pas sans faire
connaître
par leurs discours qu’ils ne le faisaient que de
emmes savantes, n’en eurent depuis. C’est qu’avant L’Étourdi on ne le
connaissait
pas mieux, et que la réputation de Molière ne fai
n un acte, in-12, Paris, Jean Ribou, 1660. c. Cet auteur ne nous est
connu
que par cette petite pièce ; il était parent de M
es, de Molière. Ce fut dans cette même année que Mlle Des Jardins, si
connue
dans le monde sous le nom de Mme de Villedieu, do
rages de Corneille, en aurait sûrement fait usage si elle lui eût été
connue
, puisqu’elle contient plusieurs morceaux qui ne s
ygens), secrétaire des commandements du prince d’Orange, qui, sans le
connaître
, s’était donné la peine de composer deux épigramm
Charles II. Cet homme qui passait sa vie dans le plus grand monde, en
connaissait
parfaitement les vices et le ridicule ; et les pe
n pour donner à son amant sa main à baiser, et lui engager sa foi. On
connaîtra
par là avec quel esprit et avec quel art Molière
ega ne pouvaient lui fournir, et que lui seul a pu imaginer. Comme il
connaissait
parfaitement tous les ressorts du cœur, tous les
médie. Dorimon, dans celle de La Femme industrieuse, et qui n’est pas
connue
de M. Riccoboni, a employé en partie la nouvelle
x, aujourd’hui appelée Villars. Comme le détail de cette fête est peu
connu
, nous croyons faire plaisir au lecteur de placer
ont lire liront. Devant Nous querelle s’est mue, Pour une pièce assez
connue
, Et qui vient d’auteur assez bon, Molière, notre
ritique de l’École des femmes et le premier ouvrage de ce genre qu’on
connaisse
au théâtre, c’est proprement un dialogue, et non
e pas un seul mot, et la pièce finit. C’est là, si je ne suis trompé,
connaître
parfaitement l’art du théâtre, et le cœur humain
ocrites ; mais quoiqu’elle eût été trouvée fort divertissante, le roi
connut
tant de conformité entre ceux qu’une véritable dé
ais de la juste mesure d’une action ou d’une situation ; Molière, qui
connaissait
ce faible, trouva qu’il y avait, dans la scène do
prince avait véritablement aimé une autre personne. Notre auteur, qui
connaissait
parfaitement les mouvements du cœur, arrange si b
bienséance, se livrer de la sorte à la discrétion d’un valet qu’elle
connaît
seulement depuis un jour. Il changea donc entière
traitée avec esprit, semble devoir intéresser infiniment, Molière en
connut
néanmoins le défaut et n’en fit aucun usagea. Il
les règles du théâtre, le spectateur doit voir, et non pas simplement
connaître
par un confident, ou par une confidente, comme da
u dans une pareille conduite. Pour ceux qui entendent l’espagnol, ils
connaîtront
aisément avec quel art il a rendu sublimes dans c
’on ne peut voir qu’avec joie. « [*]Quoique le secret de Raisin fût
connu
(à la Cour) il ne laissa pas de former le dessein
le de la justice contre la comédie de Molière. « [*]Il est facile de
connaître
que le sieur de Rochemont, en donnant ses observa
en rabat, et consultaient en latin. Si les médecins de notre temps ne
connaissent
pas mieux la nature, ils connaissent mieux le mon
i les médecins de notre temps ne connaissent pas mieux la nature, ils
connaissent
mieux le monde, et savent que le grand art d’un m
ne pièce sérieuse, et qu’il en avait le premier rôle, pour vous faire
connaître
que l’on ne s’y devait pas beaucoup divertir. »
de un nom de seigneurie ? ARNOLPHE. Outre que la maison par ce nom se
connaît
, La Souche, plus qu’Arnolphe à mes oreilles plaît
comédie, qui tout faux qu’il est, mérite d’être placé ici, pour faire
connaître
l’envie et la jalousie de cet auteur contre Moliè
ierre. Les Italiens, qui l’avaient empruntée des Espagnols, la firent
connaître
en France sur leur théâtre, sous le titre de (Le
manqués ; ou si peu recherchés, qu’ils ne suffisent pas pour le faire
connaître
tel qu’il était. Le Public est rempli d’une infin
sa troupe, lia une forte amitié avec la Béjart, qui avant qu’elle le
connût
, avait eu une petite Fille de Monsieur de Modène,
ce, et il était si rempli du désir de faire valoir le talent qu’il se
connaissait
, qu’il pria Monsieur le Prince de Conti de le lai
s ne l’avait excité à profiter des heureuses dispositions qu’elle lui
connaissait
pour le Théâtre comique, peut-être ne se serait-i
courage, courage, Molière, voilà la bonne Comédie . Ce qui fait bien
connaître
que le Théâtre comique était alors bien négligé ;
itiques ; on disait que c’était une charge un peu forte. Mais Molière
connaissait
déjà le point de vue du Théâtre, qui demande de g
que tous les Auteurs comiques, il serait bientôt épuisé. Mais il n’en
connut
que mieux le goût du temps : il s’y accommoda ent
is, parce qu’ils faisaient pompeusement ronfler un vers. Molière, qui
connaissait
l’action par principes, était indigné d’un jeu si
ntitulée, la Nymphe dodue, qui courait parmi le Peuple, faisait assez
connaître
la mauvaise disposition qu’il avait pour la Poési
le souper, et il le fit coucher chez lui, pour avoir plus de temps de
connaître
ses sentiments par la conversation, afin de place
ous ayez eu l’imprudence de frapper un enfant aussi sensible que vous
connaissez
celui-là ; et encore dans un temps où il est char
s en voilà vingt autres que je lui donnerai pour vous : je veux qu’il
connaisse
que c’est à vous qu’il a l’obligation du service
l’avaient fait, de les faire mettre sous les armes le lendemain, pour
connaître
et faire punir les plus coupables, et pour leur r
r tête ; et il n’y avait personne qui ne se fît plaisir de le suivre.
Connaître
Molière était un mérite que l’on cherchait à se d
iller Molière, qui fut effrayé de cet extravagant projet, parce qu’il
connaissait
le vin de ses amis. Pendant qu’il se levait, la T
aits délicats et élevés, il y en a cent qui les rebutent faute de les
connaître
. Il ne fut pas plus tôt rentré dans son cabinet q
de Molière, qui se vit justifié de ce qu’il avait avancé. Si on avait
connu
sa droiture et sa soumission on aurait été persua
n la critiquer, ont toujours succombé sous les raisons de ceux qui en
connaissent
le mérite. Un jour qu’on représentait cette pièce
l avait, et qui rendait d’abord son jeu désagréable, à ceux qui ne le
connaissaient
pas. Mais pour peu que l’on fit attention à la dé
nt que de revenir. ― Taisez-vous, jeune homme, dit Molière, vous ne
connaissez
pas Mr Bernier, et vous ne savez pas que c’est mo
our le faire sentir davantage. ― Ah ! je suis bien aise que vous me
connaissiez
un peu, lui dit le Comte ; et j’étais étonné que
r ; qu’il venait le prier de lui en procurer les moyens, et lui faire
connaître
que ce qu’il avançait était véritable. Il déclama
epas qui percent jusques à l’extrémité de la nuit. Il suffisait de le
connaître
légèrement. Molière était désolé d’avoir un ami s
re de son chapeau. Cette attention de Molière dans une bagatelle fait
connaître
celle qu’il avait à rendre ses représentations he
, qui avait consommé cinquante mille écus avec une femme, que Molière
connaissait
, et à qui ce Gandouin donna une belle maison qu’i
ce Bourgeois ait servi d’original à Molière pour sa pièce ; il ne l’a
connu
ni devant, ni après l’avoir faite ; et il est ind
iens une bonne partie des choses que j’ai rapportées. J’ai assez fait
connaître
que Molière n’avait pas toujours vécu en intellig
t du Peuple. Il n’a laissé qu’une fille : Mademoiselle Pocquelin fait
connaître
par l’arrangement de sa conduite, et par la solid
efforts pour décrier l’Auteur ; mais il triomphait toujours. Molière
connaissait
les trois sortes de personnes qu’il avait à diver
rd en jeune homme, un jeune homme en vieillard. Étudiez la Cour et
connaissez
la Ville : L’une et l’autre est toujours en modèl
ccasion aux principales actions de sa vie ; et qui m’ont aidé à faire
connaître
son caractère, et les différentes situations où i
rectifiée quant aux faits et aux dates, dans la limite de ce que nous
connaissons
enfin, grâce à Beffara, à Eudore Soulié et à Jal.
e, la légèreté ou l’intrépidité mensongère des anciens biographes. Je
connais
l’objection, car il y a des objections même contr
pu dire bien des vérités. Personne, en effet, nous allons le voir, ne
connaissait
mieux qu’elle les commencements de Poquelin. Dans
s son patronage. Afin de montrer que l’on en est digne, et comme l’on
connaît
son goût pour les ballets, on enlève à la troupe
unesse », ainsi que l’a dit l’auteur de la Fameuse Comédienne, qui ne
connut
pas très bien sa vie, mais qui connut à fond son
e la Fameuse Comédienne, qui ne connut pas très bien sa vie, mais qui
connut
à fond son cœur. Son amour pour Mlle Menou l’avai
’ai fait voir, qu’Armande ne pouvait être sa fille, puisqu’il n’avait
connu
.Madeleine qu’après sa naissance ; mais, néanmoins
a, avait seul pu faire taire. Il faut en croire ceux qui ont le mieux
connu
Molière, Boileau, par exemple, qui, parlant un jo
breux, et déjà aussi séparés en plusieurs branches, qui bientôt ne se
connurent
plus, mais qu’on a cependant confondues toujours,
attendre : la fille du violon Mazuel fut l’aïeule de Molière, qui la
connut
, qui ne la perdit même qu’assez tard, et se souvi
de chambre du roi. C’est par le choix dans les parrainages qu’on peut
connaître
ainsi les relations des familles. Celui de notre
fréquentés de Paris, à la Croix du Trahoir, c’est tout dire pour qui
connaît
sa vieille ville ; à l’endroit où se multipliaien
ourg. Pour montrer qu’on est digne de l’illustre protecteur, dont on
connaît
le goût pour les ballets, on se paye le luxe d’un
leur la mieux épanouie, la partie amoureuse de l’œuvre de Molière. La
connaissait
-il ? Je le crois, car, parmi les choses de l’anti
Entretiens galants 5, livre de cette époque dont l’auteur paraît bien
connaître
les personnes qu’il cite, si la Molière retouche
années qu’il avait de plus qu’Armande ; il avait, l’un après l’autre,
connu
tous ces secrets du savoir féminin, qui dormaient
dmirez-vous pas que tout ce que j’ai de raison ne serve qu’à me faire
connaître
ma faiblesse, sans en pouvoir triompher ? » Ne v
-ci à l’auteur de la Fameuse Comédienne, qui, suivant un procédé déjà
connu
alors, aura cru bon d’en faire une scène, pour la
es de dépit, de brouille et de réconciliation, qu’amant il avait trop
connues
, que mari il connaissait plus encore. Sur la fin
lle et de réconciliation, qu’amant il avait trop connues, que mari il
connaissait
plus encore. Sur la fin de sa vie, pendant le tem
, en cherchant bien, le retrouver dans ses œuvres. Par ses œuvres, on
connaît
son cœur ; par son cœur, on connaît sa vie. Ce pr
ns ses œuvres. Par ses œuvres, on connaît son cœur ; par son cœur, on
connaît
sa vie. Ce premier fils devait avoir huit ans à p
lle qu’il créa n’en eut point. La fatalité du premier amour qu’on lui
connaisse
l’avait jeté tout à la fois dans la carrière où i
aient réelles et sérieuses. Parmi les nombreux amants qu’on lui avait
connus
et qui formèrent, autour d’elle, comme une confus
pourquoi tout ce mystère, dont les complications, pour peu qu’il les
connût
, ne préparèrent que trop bien Molière à ces intri
est à Bordeaux, où le gouverneur de Guyenne, M. le duc d’Epernon, qui
connaît
le roman de son infortune, lui accorde un bienvei
dène, après une foule de vicissitudes, dont les plus singulières sont
connues
de ceux qui savent l’histoire de la révolution de
qu’à la fureur. A un moment de la comédie, le père revient et se fait
connaître
; à un moment de l’histoire, le père revient de m
belle musique. Ce couplet n’est pas un chef-d’œuvre, car Molière, qui
connaissait
son collaborateur, voulait rester à son niveau. N
se fit-il pas faute de cette consolation. A Paris, en 1650, nous lui
connaissons
quatre amours à la fois : la Béjard d’abord, avec
ation de tendresses, et, par conséquent, de jalousies. Sans lui, nous
connaîtrions
même à peine l’existence de mademoiselle Menou ;
œuvres, pour y faire étinceler quelques scènes, et, de même que l’on
connaît
encore les noms des poètes célèbres, qui, comme R
e cette notule, que la publication récente de M. Laverdet nous a fait
connaître
!42 : « J’avois faict ma Satire, longtemps avant
avait montrés au doigt ; aussi, La Grange et Vinot, qui certainement
connaissaient
sa brochure, et qui savaient de quelle critique p
t resté inintelligible dans sa brochure, même pour ceux qui pouvaient
connaître
les très rares exemplaires non cartonnés de l’édi
iter vingt exemples. D’où viendrait alors que Molière ne l’aurait pas
connu
et n’aurait pas pu l’employer ? La phrase est aut
dit l’y avoir lue, ce qu’il faut croire. Comment, en effet, l’eût-il
connue
autrement, puisque la plaquette d’Amsterdam ne se
ériser les hommes, que quand il savoit un trait de quelqu’un, sans le
connoître
, il était assuré de composer un caractère tout su
r jouées fréquemment avec ses créanciers. Je ne vous dirai pas que je
connais
positivement l’épisode de cette existence de magn
et insolent débiteur, qui put servir de modèle à Molière ; mais j’en
connais
un, qui donne une parfaite idée de ce que M. de l
ême sous le masque, d’un personnage à l’imperturbable niaiserie. « Il
connaissait
, d’ailleurs, comme l’a fort bien remarqué Léris d
Foire Saint-Laurent. Le costume de Pierrot était déjà ce que nous le
connaissons
. Molière, dans son Don Juan, lui avait donné la b
, qui sont si vrais, qui revivent si bien sous ta plume, où les as-tu
connus
? » Alors Molière eût souri encore, non plus avec
uvre madame de Villedieu, qu’il avait retrouvée à Paris après l’avoir
connue
à Narbonne, lui avait rappelé au vif la pédantesq
re moins redoutable, il fallait surtout le montrer du doigt, le faire
connaître
. C’était un ennemi nocturne, comme ces oiseaux qu
sé avec réflexion tout ce qu’il y avait là de sérieux et d’humain. Il
connaissait
, d’ailleurs, ceux à qui il allait avoir affaire.
rvînt armée de toutes ses colères. C’est Louis XIV, à qui Molière fit
connaître
son œuvre dans tout l’éclat de cette redoutable v
l’utopie d’un savoir encyclopédique. Ne se pourrait-il pas qu’il eût
connu
ce Boissinière, et, qu’avide d’apprendre, il se f
e priant de lui tout apprendre, hormis ce que son père désirait qu’il
connût
, la théologie ; puis, un beau jour, faussant comp
age principal, celui de Mahomet. Cela ne vous donne-t-il pas envie de
connaître
cette pièce si bien accueillie et caressée par Mo
ne faut pas lui savoir moins de gré : dans le même voyage, il lui fit
connaître
l’original de Tartuffe. IV. Depuis cinq ou
encore, « à petite mine douce et dévote », comme dit Lenet72, qui le
connut
bien, était entré fort avant dans la confiance du
ité. C’était « un homme de fort peu », selon Saint-Simon73; on ne lui
connaissait
qu’une parente, la mère Marguerite, sa tante74, q
, tout à l’heure, qu’il était aux Condé. Maintenant, pour que vous le
connaissiez
sous son autre face, Saint-Simon va vous dire, da
vit pour que le roi, à qui il n’osait pas s’adresser directement, pût
connaître
ses intentions et leur motif, est fort belle ; on
ère, étant au château de la Grange, puis à Pézenas, avait commencé de
connaître
l’abbé Roquette. Tous deux étaient en jalousie l’
qui fut, après Sarrasin, secrétaire du prince de Conti, et qu’il put
connaître
assez familièrement dans la société de Boileau. O
brouille. Il y eut grande colère dans le camp des dévots, quand on y
connut
la pièce, soit par la lecture, soit même par la r
moins, que Molière s’ouvrit à lui de son idée, et que même il lui fit
connaître
les premiers actes de sa comédie. On sait, en eff
elque temps, Molière travaillait à sa comédie. Il fut impatient de la
connaître
, au point de ne vouloir pas attendre qu’elle fût
oète, qui ne s’était jamais vu en face de pareilles colères, mais qui
connaissait
assez les gens qu’elles animaient, pour croire qu
ui, par les souvenirs du monde qu’il fréquentait, avait été à même de
connaître
les diverses vicissitudes de cette comédie et ses
e Molière ne leur paraissait rien moins qu’avérée ; d’après ce qu’ils
connaissaient
de son ouvrage, il leur semblait que Port-Royal,
homme de famille, Dont on ne dit pas le nom, De bonne condition, Bien
connu
dans Paris-l’Ile, S’avisa, pour les jours gras, D
au moins, à la préparer pour un temps plus ou moins rapproché. On ne
connaît
pas la date de ce premier placet, mais il est cer
épousé la fille et d’avoir aussi vécu avec la mère119. » Si Louis XIV
connut
cette requête, il en tint compte, comme des pamph
ux, avait-il dit, que l’on sait même agir de bonne foi, et que chacun
connaît
pour être véritablement touchés, ceux-là sont tou
se sur lui et ses pareils : « On a beau savoir leurs intrigues et les
connaître
pour ce qu’ils sont, ils ne laissent pas, pour ce
Au travers de son masque, on voit à plein le traître ; Partout il est
connu
pour tout ce qu’il peut être, Et ses roulements d
tait sorti, et vous n’avez qu’à lire les chansons du temps, pour bien
connaître
tout ce dont sa complaisance était capable129. Mo
était fort avancé dans l’amitié de mademoiselle de Guise. Comme on le
connaissait
fort enclin à galantiser en haut lieu, chaque foi
Son Eminence contre ces bouffons, fut cause que Richelieu désira les
connaître
. Quels étaient les plaignants ? Des rivaux jaloux
let, qui la soutenait un peu sur la scène du Marais, on ne l’eût plus
connue
à Paris, que de nom. En province, elle vivait enc
ecin volant. Peut-être lui venait-elle de Baron, qu’il avait beaucoup
connu
, et qui avait été assez longtemps l’ami de Molièr
ntre autres, dont la compétence en ce genre était si éclairée, ne les
connaissaient
pas. Ayant à parler du Médecin volant, dans leur
ne langue étrangère ; qui, avant d’être l’admirable Français que vous
connaissez
, que vous aimez, est forcé d’être Italien. Pourq
que Flurant sur les actes ; mais ceux qui les rédigeaient, et qui le
connaissaient
bien, s’obstinaient dans la première et terrible
consacrée par.Molière. Partout, ils écrivaient Fleurant. On n’a bien
connu
l’identité du personnage et sa très proche parent
u refus de l’entrée du bal ; de sorte qu’ils sortirent, sans se faire
connaître
, après avoir dansé tant qu’ils voulurent. Le lend
la comédie fourmille : « du danseur de courante », que chacun devait
connaître
alors ; du joueur de piquet, avec sa fameuse part
néral. Tous les yeux durent se porter sur M. de La Feuillade, dont on
connaissait
l’histoire avec cet illustre de l’écurie145. Qui
t dominantes. L’épreuve était hardie, en ce temps où les deux genres
connus
, la tragédie et la farce, n’étaient acceptés qu’e
ulait pas voir, et il écrivit, dans une lettre aussi curieuse que peu
connue
: « Il fut autrefois mon ami, et je crois qu’il l
mèrent de tous ses venins. Un d’eux, le plus obscur de tous, qu’on ne
connaîtrait
pas sans ses attaques contre Molière, de même que
n soir ; et d’abord, une personne de qualité, dont l’esprit est assez
connu
dans le monde, et qui me fait l’honneur de m’aime
celle de Mlle Honorée de Bussy, cousine de l’abbé Levayer. Molière la
connaissait
depuis longtemps ; peut-être même l’avait-il conn
. Molière la connaissait depuis longtemps ; peut-être même l’avait-il
connue
en Poitou, — d’où elle était venue assez tard, —
it l’auteur de son portrait à la plume, je ne pense pas que vous vous
connaissiez
aussi aimable que vous êtes, ou, du moins, suis-j
ir, se moque de ce qu’il n’a pas vu, et tire au juger sur ce qu’il ne
connaît
pas ; Climène la sotte, qui s’indigne jusqu’à cri
lui de Montfleury, chef de la Troupe de l’Hôtel de Bourgogne, dont il
connaissait
assez la jalousie de poète et de comédien, pour ê
Boursault. Molière, qui de loin perçait à jour toutes ces manœuvres,
connut
ce que de Villiers avait fait ainsi, par un doubl
qu’elle recommandait, n’en marcha que mieux. Ce fut à qui voudrait la
connaître
, et, parmi les plus grands seigneurs, à qui la fe
e Misanthrope, commence par le Misanthrope, qui, par son action, fait
connaître
à tout le inonde que c’est lui, avant même d’ouvr
ns l’attirait sans qu’il pût l’atteindre, et le remuait sans qu’il la
connût
. Il la tenait enfin et ne la voulait plus lâcher.
’il a fait lui-même imprimer, et qu’il a du revoir avec son soin bien
connu
, n’introduit Dorine dans la situation, qu’au mome
de Rotrou. Il avait été de ses grands amis. Les seuls vers que l’on
connaisse
d’elle lui sont adressés. C’est un quatrain en al
elui qui fit le Télémaque dans ce style à la fluidité sonore que vous
connaissez
, ne pouvait se plaire aux vers substantiels et sa
riser les hommes, que lorsqu’il savait un trait de quelqu’un, sans le
connaître
, il était assuré de composer un caractère tout su
n • Molière même. Écoutez, en effet, ce qu’il dit de Trissotin, qu’il
connaît
delà tète aux pieds, rien que pour avoir lu ses v
u ses vers : C’est par eux qu’à mes yeux il a d’abord paru, Et je le
connaissais
, avant de l’avoir vu… Je vis, par les écrits qu’
aites à l’Avare de Molière, dont on se serait dispensé, si l’on avait
connu
, comme lui, le lieutenant et la lieutenante Tardi
Tardieu. Ce luxe obligé et misérable d’Harpagon, qui, étant riche et
connu
pour tel, ne peut se dispenser d’un train de mais
de suave passion et de délicate tendresse, qu’on ne lui avait jamais
connu
, et qui manquait à son auréole. Or, combien de te
une scène de transition, que j’ai vainement cherchée dans les pièces
connues
de Molière, mais qui doit être certainement de lu
ici, c’est un Scapin, qui, vrai devancier du Gusman de la chanson, ne
connaît
pas d’obstacles : GUSMAN (sic), LE JUGE. LE JUGE
profita aussitôt pour les Nouvelles Observations, malheureusement peu
connues
, dont il perfectionna la seconde édition de son C
en que par quelques circonstances de la vie de Molière. Tout le monde
connaît
, au moins de titre, le fameux roman latin, où le
? Ce qui ne permet guère de le croire, c’est que Molière a pu et a dû
connaître
l’Aloysia. Nous ne citerons pas La Monnoye, le pr
siècles, que tout le monde sait par cœur et que personne peut-être ne
connaît
bien ! Le temps leur a donné une circulation univ
sur un ou deux vers du rôle d’Orgon. Ces deux vers, qui sont des plus
connus
, et à propos desquels, si l’on n’était un peu du
ces points d’exclamation, dont nous sommes si prodigues, et que l’on
connaissait
à peine du temps de Molière. Quelqu’un qui se tro
t pour me lancer sur le document, d’ailleurs aussi précieux qu’il est
connu
. J’y courus, et vers le dixième feuillet,j’y trou
un Tartuffe inattendu. Elle laissait mûrir son fruit nouveau. Nous le
connaissons
aujourd’hui. Ce Tartuffe, sur lequel certes on ne
e a fait, en cela, ce que nous espérions de lui, et de son culte bien
connu
pour le maître de la scène qu’il dirige. Ses acte
sous le titre de Lettre de Clément Marot à M. de S…, qui nous a fait
connaître
, dans tous ses détails, cet épisode inaperçu jusq
sans prendre la peine de lui dire son nom, que le monde entier devait
connaître
; le charmer, par sa conversation, et enfin lui o
mande. C’est bien la fille et l’élève de la Philaminte que nous avons
connue
; c’est bien la pensionnaire grandie, à qui chaqu
un Tartuffe inattendu. Elle laissait mûrir son fruit nouveau. Nous le
connaissons
aujourd’hui. Ce Tartuffe, sur lequel certes on ne
omprenait le personnage d’Alceste. Pour ce public tout peuple, qui se
connaît
en franchise et en brusquerie, le Misanthrope est
là ou il fallait le mieux s’en souvenir. Le Théâtre-Français, qui se
connaissait
en apothéose, car il avait joué plus d’un « Hercu
us d’intérêt. Marck, fort bien secondé par Monval, jeune comédien peu
connu
encore, mais qu’on ne tardera pas à connaître, ca
Monval, jeune comédien peu connu encore, mais qu’on ne tardera pas à
connaître
, car il a du soin, du zèle et du savoir, Marck, c
XIV arriva de Vincennes faire au Parlement la belle algarade que l’on
connaît
, il vint, le fouet à la main, etc. — Saint-Simon
e authenticité admise, qu’il représente Molière jeune homme. Je ne le
connaissais
, à cet âge, que par la gravure rarissime, mise en
que parcourir ce Musée, parce qu’on nous assure qu’un écrivain d’art,
connu
et autorisé, a bien voulu se charger d’en décrire
tii… Vita. Grenoble, 1690, in-12, p. 133, 234. 69. Nous devons de la
connaître
, à notre ami Ch. Livet. 70. Mémoires, t. I, p.
nal de Daugeau, 4 mars 1707. 93. Lettre du 19 janvier 1674. 94. On
connaît
, à ce sujet, la fameuse épigramme faussement attr
Molière. 102. M. Taschereau en a publié, d’après le seul exemplaire
connu
, la partie la plus intéressante, dans l’Athenaeum
e du mot Tartuffe. Celle qu’a donnée l’abbé de Louguerue est la moins
connue
et peut-être la meilleure. « Tartuffe, dit-il, es
p. 58) : « Cette lettre est de Molière, qui l’avait donnée pour faire
connaître
sa comédie, lorsqu’il y avait des obstacles à sa
oire littéraire. Et cette histoire, pour le dire en passant, sera mal
connue
tant qu’une plume savante et sincère ne l’aura pa
iers, ce héros indulgent pour les autres, sévère envers lui-même, qui
connaît
ses passions et qui les combat, qui se rend maîtr
lle est à peu près inséparable du génie comique. Sganarelle, dont on
connaît
le second titre, suivit les Précieuses et n’eut p
aturellement servile. Le monde, après avoir vu tant de puissances, en
connaît
-il une que les Parnassiens n’aient point adulée ?
e des actrices de son théâtre, et choisie dans une famille à lui fort
connue
. Elle se nommait Armande-Grésinde Béjart. « Il ne
ts de Cléante, l’homme bon, juste, tolérant, le « dévot de cœur » qui
connaîtra
vraie religion, qui pratique la vraie morale. Et
maris malheureux était et se savait aussi mal marié que possible. On
connaît
les conseils de sagesse qu’il a donnés pour la di
grande puissance pour la correction des mœurs. Les moralistes qui ont
connu
et pratiqué la vraie morale pensent tout autremen
e et regarder la comédie en soi pour voir si elle est condamnable. On
connaîtra
sans doute que, n’étant autre qu’un poème ingénie
Abrégeons cette belle page de philosophie chrétienne : « Qui saurait
connaître
ce que c’est en l’homme qu’un certain fond de joi
n secrète au plaisir des sens, qui ne tend à rien et qui tend à tout,
connaîtrait
la source secrète des plus grands péchés. C’est c
grand affaiblissement est déjà un commencement de chute. « Si l’on ne
connaît
de maux aux hommes que ceux qu’ils sentent et qu’
cruelle ! Je sens deux hommes en moi ! il s’écriait : « Ah ! que je
connais
bien ces deux hommes-là ! » L’homme de péché, ent
Compagnie de Jésus. Sa vocation était déjà formée, déjà mûrie. Il en
connaissait
les obligations ; il avait une si ferme volonté d
ière et Arnaud le Janséniste, la principale admiration de Boileau. On
connaît
les vers du satirique : Enfin, après Arnaud ce f
celui de Molière. Il parut tout de suite entier et complet. On ne lui
connut
ni commencement ni décadence, non plus qu’à sa gl
à ce sommet où elle resta sans décroître. Le public apprit vite à le
connaître
personnellement, et accorda autant d’estime à son
lui-ci, et c’est pour cela qu’il entreprend lui-même de nous le faire
connaître
. C’est donc de cet esprit impur que je dois aujou
her de croire que cet exorde, tombant de la bouche d’un homme dont on
connaissait
la foi, c’est-à-dire l’intrépidité, dut faire cou
vaincre ; et le spectateur, jeté de fantaisie dans un monde qu’il ne
connaît
plus, ne prend à ce qu’il voit qu’un plaisir stér
ront : « La vérité n’y est pas observée, la morale y est trahie. Vous
connaissez
bien le parterre, mais vous connaissez mal le cœu
, la morale y est trahie. Vous connaissez bien le parterre, mais vous
connaissez
mal le cœur humain, ou vous ne le connaissez que
n le parterre, mais vous connaissez mal le cœur humain, ou vous ne le
connaissez
que pour en flatter honteusement les plus condamn
l conçue ? Nous l’avons dit, Molière était plus maître de son art, il
connaissait
mieux le parterre. Il a su ce qu’il faisait. Pers
parterre. Il a su ce qu’il faisait. Personne autant que lui-même n’a
connu
le faible et le fort de son œuvre et n’en a aussi
mensonge au moyen de textes falsifies. Aujourd’hui que la vérité est
connue
par tant de démonstrations et par tant d’aveux pl
célérat. Il ne tient pas un seul moment l’auditeur en balance ; on le
connaît
d’abord aux marques que je lui donne, et d’un bou
rrection des hypocrites. Bourdaloue ne niait pas l’hypocrisie ; il la
connaissait
et il en connaissait aussi les ravages. Toute sa
es. Bourdaloue ne niait pas l’hypocrisie ; il la connaissait et il en
connaissait
aussi les ravages. Toute sa vie il l’a signalée e
issements qu’elle obtient. L’impie est déterminé à être impie ; il se
connaît
pécheur, il se fait gloire de l’être, il ne veut
e : « On serait tenté, poursuit-il, de croire que le P. Bourdaloue ne
connaissait
pas l’ouvrage contre lequel il s’élevait dans la
de tant de chrétiens lâches. Ils ont du penchant pour la piété ; ils
connaissent
là-dessus leurs obligations, et ils seraient très
arer pour le monde, et d’en suivre les voies corrompues, lorsqu’on en
connaît
la corruption, qu’on en a même une secrète horreu
tenant quelle est l’œuvre, on sait quel fruit l’impiété en retire, on
connaît
par conséquent la principale cause de sa longue e
jeune fille vertueuse sont au nombre des choses que Molière n’a point
connues
; Dorine est une commère aussi invraisemblable qu
ère et Bourdaloue disent également : Les dévots de cœur sont aisés à
connaître
; mais l’orateur sacré les montre, tandis que le
étend suivre ; quant à vous qui profitez de cette hypocrisie que vous
connaissez
bien, pour diffamer la vraie piété et vous engage
s engager plus avant dans les pratiques du vice, cette vertu que vous
connaissez
aussi s’élèvera contre vous, et vous jugera. Les
vous d’en être une preuve, d’en convaincre le libertinage, vous, qui
connaissez
Dieu, et qui par l’expérience des dons de sa grâc
eu près tout ce que l’on peut donner d’accrocs à tout ce que le monde
connaît
de devoirs ; j’oublie encore ses rapports de poèt
ilà l’exemple enfin qu’il se faut proposer. Le bon apôtre ! Nous les
connaissons
ses gens. Ce sont les chrétiens que tous les enne
ppuieront contre le zèle indiscret qui lui cherche querelle. Nous les
connaissons
très bien ; notre siècle en expose à nos yeux une
attendus : Voilà mes gens, voilà comme il faut en user. Il les a bien
connus
. Bourdaloue aussi les connaît. Il ne se trompe po
ilà comme il faut en user. Il les a bien connus. Bourdaloue aussi les
connaît
. Il ne se trompe point à leurs misérables sentime
n de ces « zélés indiscrets » qui se permettaient de le juger sans le
connaître
, qui osaient suspecter la pureté de ses intention
du poète lui-même. Nous en possédons la preuve très certaine et très
connue
. Le Misanthrope, comédie froide, n’eut d’abord qu
iquent de découvrir dans le Misanthrope. A moins qu’ils ne prétendent
connaître
les intentions de Molière mieux que ses familiers
en est à son art plus qu’à son génie. Cet art dont il se flattait de
connaître
les mystères, n’a point de secret qui puisse cont
ce mal n’est pas de son ressort. Alceste, dit Donneau de Vizé, « fait
connaître
qu’il conservera son caractère toute sa vie ».Ain
rire dans l’âme », et ce but, il l’a manqué. Il devait le manquer et
connaître
l’impuissance de l’art par lequel il prétendait d
un théologien fort instruit et d’un jugement très droit, mais qui ne
connaissait
encore que de nom Molière et ses œuvres. On va je
rire dans l’âme. Le rire de l’âme, c’est la joie ; mais la joie n’est
connue
que des âmes pures, et la satisfaction qui grince
’amour la plus lâche et la plus invincible des faiblesses. Il n’a pas
connu
, du moins il n’a pas peint d’autre amour que celu
ourtant la force, sans la désirer autant qu’il faudrait ; celui qui a
connu
la tentation et la défaillance se gardera du mépr
entation d’essai du Tartuffeencore inachevé, le 12 mai 1661, « le Roi
connut
tant de conformité entre ceux qu’une véritable dé
ns ses Recherches avec des éloges exagérés, qui font voir que l’on ne
connaissait
encore rien de mieux. Mais le témoignage des aute
moment où le rusé fripon aborde M. Guillaume, dont il n’est pas même
connu
, à celui où il emporte le drap, et pourtant il fa
bjet de mille cajoleries concertées qui désespèrent Dorante dont elle
connaît
le faible, et lui arrachent enfin son consentemen
encore plus étrange que le succès, puisqu’un homme de l’art doit s’y
connaître
mieux que les autres, ne servit qu’à offenser Rac
apport seul) quelle rappelle la versification de Molière. Elle est si
connue
, que je n’en citerai qu’un seul exemple, uniqueme
omme une chose toute nouvelle, un trait si frappant d’une pièce aussi
connue
que l’Ésope à la cour, de Boursault. Je ne dois p
ns de Regnard qui avaient été sur les bords du Gange; pour lui, il ne
connaissait
l’Afrique et la Grèce que par le malheur d’y avoi
e d’un voyageur. Peut-être la nature même du pays, qui était fort peu
connu
, et les mœurs extraordinaires de ses habitants su
ne fut jamais Le défenseur du Clos vanté par Rabelais. Trois convives
connus
, sans amour, sans affaires, Discrets, qui n’iront
au, S’élève une maison modeste et retirée, Dont le chagrin surtout ne
connaît
point l’entrée. L’œil voit d’abord ce mont dont l
débute par lui proposer des leçons d’escroquerie. Ces sortes de gens
connaissent
mieux leur monde ; mais la scène est amusante, et
les ridicules, les choses et les hommes. Aussi ne peut-on espérer de
connaître
Molière, si l’on n’étudie le temps où il a vécu,
répétitions, les discussions, l’érudition, ou, pour mieux dire, tout
connaître
, et n’écrire que ce qui est utile ; tout discuter
it disparaître, je me hâte d’en citer quelques exemples. Désirez-vous
connaître
l’origine du nom de Gorgibus, employé par Molière
de personne. Pour entendre Molière, je me plais à le répéter, il faut
connaître
sa vie, ses habitudes, ses sociétés, et son siècl
aturel dans les médecins… Enfin c’est un homme qui a eu le bonheur de
connaître
son siècle aussi parfaitement que sa troupe. Il a
de ces critiques avaient été les amis de Molière ; ils devaient tous
connaître
ce que Grimarest est accusé d’avoir ignoré. Que n
cuser Grimarest d’avoir beaucoup consulté l’homme qui devait le mieux
connaître
toutes les circonstances de la vie de Molière : c
e j’ai fait dans près de cent notes tirées de sources quelquefois peu
connues
, et qui offrent un recueil précieux de tout ce qu
manqués, ou si peu recherchés, qu’ils ne suffisent pas pour le faire
connaître
tel qu’il était. Le public est rempli d’une infin
sa troupe, lia une forte amitié avec la Béjart, qui, avant qu’elle le
connût
, avait eu une petite fille de M. de Modène, genti
ce, et il était si rempli du désir de faire valoir le talent qu’il se
connaissait
, qu’il pria M. le prince de Conti de le laisser c
, ne l’avait excité à profiter des heureuses dispositions qu’elle lui
connaissait
pour le théâtre comique, peut-être ne se serait-i
ourage, courage, Molière ! voilà la bonne comédie ; ce qui fait bien
connaître
que le théâtre comique était alors bien négligé,
tiques ; on disait que c’était une charge un peu forte ; mais Molière
connaissait
déjà le point de vue du théâtre, qui demande de g
ue tous les auteurs comiques, il serait bientôt épuisé : mais il n’en
connut
que mieux le goût du temps ; il s’y accommoda ent
is, parce qu’ils faisaient pompeusement ronfler un vers. Molière, qui
connaissait
l’action par principes, était indigné d’un jeu si
put ; mais comme il était alors dans une de ces plénitudes de cœur si
connues
par les gens qui ont aimé, il céda à l’envie de s
e ne vous rapporterai point une infinité d’exemples qui vous feraient
connaître
la puissance de cette passion ; je vous ferai seu
rs, je demeurerai d’accord que je me suis étudié autant que j’ai pu à
connaître
leur faible ; mais si ma science m’a appris qu’on
admirez-vous pas que tout ce que j’ai de raison ne sert qu’à me faire
connaître
ma faiblesse sans en pouvoir triompher ? — Je vou
intitulée la Nymphe dodue, qui courait parmi le peuple, faisait assez
connaître
la mauvaise disposition qu’il avait pour la poési
le souper, et il le fit coucher chez lui, pour avoir plus le temps de
connaître
ses sentiments par la conversation, afin de place
e vous ayez l’imprudence de frapper un enfant aussi sensible que vous
connaissez
celui-là, et encore dans un temps où il est charg
s en voilà vingt autres que je lui donnerai pour vous : je veux qu’il
connaisse
que c’est à vous qu’il a l’obligation du service
l’avaient fait, de les faire mettre sous les armes le lendemain, pour
connaître
et faire punir les plus coupables, et pour leur r
tête, et il n’y avait personne qui ne se fît un plaisir de le suivre.
Connaître
Molière était un mérite que l’on cherchait à se d
iller Molière, qui fut effrayé de cet extravagant projet, parce qu’il
connaissait
le vin de ses amis. Pendant qu’il se levait, les
aits délicats et élevés, il y en a cent qui les rebutent faute de les
connaître
. Il ne fut pas plus tôt rentré dans son cabinet q
de Molière, qui se vit justifié de ce qu’il avait avancé. Si on avait
connu
sa droiture et sa soumission, on aurait été persu
n la critiquer, ont toujours succombé sous les raisons de ceux qui en
connaissent
le mérite. Un jour qu’on représentait cette pièce
il avait, et qui rendait d’abord son jeu désagréable à ceux qui ne le
connaissaient
pas : mais pour peu que l’on fit attention à la d
ant que de revenir. — Taisez-vous, jeune homme, dit Molière ; vous ne
connaissez
pas M. Bernier, et vous ne savez pas que c’est mo
pour le faire sentir davantage. — Ah ! je suis bien aise que vous me
connaissiez
un peu, lui dit le comte, et j’étais étonné que v
r ; qu’il venait le prier de lui en procurer les moyens, et lui faire
connaître
que ce qu’il avançait était véritable. Il déclama
qui se prolongent jusqu’à l’extrémité de la nuit : il suffisait de le
connaître
légèrement. Molière était désolé d’avoir un ami s
re de son chapeau. Cette attention de Molière dans une bagatelle fait
connaître
celle qu’il avait à rendre ses représentations he
r, qui avait consommé cinquante mille écus avec une femme que Molière
connaissait
, et à qui ce Gandouin donna une belle maison qu’i
ce bourgeois ait servi d’original à Molière pour sa pièce, il ne l’a
connu
ni devant ni après l’avoir faite ; et il est indi
une bonne partie des choses que j’ai rapportées119. J’ai assez fait
connaître
que Molière n’avait pas toujours vécu en intellig
et du peuple. Il n’a laissé qu’une fille. Mademoiselle Pocquelin fait
connaître
, par l’arrangement de sa conduite125, et par la s
efforts pour décrier l’auteur ; mais il triomphait toujours. Molière
connaissait
les trois sortes de personnes qu’il avait à diver
lard en jeune homme, un jeune homme en vieillard. Étudiez la cour, et
connaissez
la ville ; L’une et l’autre est toujours en modèl
occasion aux principales actions de sa vie, et qui m’ont aidé à faire
connaître
son caractère, et les différentes situations où i
par les dons singuliers qu’il avait reçus de la nature, mérite d’être
connu
de la postérité : c’était le comédien Baron, qui
e d’étendre davantage cette notice. Ceux qui auraient la curiosité de
connaître
en détail la vie de ce grand acteur peuvent consu
. Mademoiselle DU PARC. Mademoiselle du Parc, femme de du Parc,
connu
au théâtre sous le nom de Gros-René, s’engagea av
a lettre à Brossette, du 12 septembre 1731. 4. Cette édition est peu
connue
; elle fut publiée à Naples en 1690, chez Charles
idée de traduire Lucrèce. La traduction de Molière est perdue : on ne
connaît
de celle d’Hesnault que l’invocation à Vénus. 31
l’abbé Tallemant ne mérite donc aucune confiance. 36. Cette troupe,
connue
sous le nom d’illustre théâtre, était dirigée par
ue part à ce choix. (Ce passage est extrait d’une Vie de Molière, peu
connue
, écrite en 1724. Nous aurons plusieurs fois occas
nde. Là-dessus il nous cita Léontium (Ninon), comme la personne qu’il
connaissait
sur qui le ridicule faisait une plus prompte impr
utre chose. Il mettait alors la derrière main au Tartuffe, dont on ne
connaissait
encore que les trois premiers actes. Ce trait pro
Tartuffe de Chapelle sont d’une absurdité inconcevable. L’anecdote si
connue
de la scène des Fâcheux, confiée à la plume de Ch
ma Molière. Je ne le croyais pas, poursuivit le roi, mais vous vous y
connaissez
mieux que moi. Ce mot, qui passa aussitôt de bouc
ns postérité. (Cizeron-Rival, page 14.) 126. Voici une anecdote peu
connue
, trouvée manuscrite dans les papiers de Brossette
te et d’économie théâtrale, ce poète l’a emporté sur tout ce que nous
connaissons
de comiques anciens et modernes, et je n’aurais e
ue ceux qu’on approuve le plus. J’aurais surtout entrepris de faire
connaître
le judicieux discernement de l’auteur dans le cho
C’est l’erreur que je fuis, c’est la vertu que j’aime. Je songe à me
connaître
, et me cherche en moi-même. C’est là l’unique étu
mant suranné qui a recours à des ruses avilissantes et inutiles, pour
connaître
le fond du cœur de la femme qu’il aime. Louis XIV
mi à l’en venger. Nous remarquerons sur la seconde assertion qu’on ne
connaît
d’écrits, où Boileau ait pris à défense de Racine
contre Benserade qu’il affectionnait, et contre La Fontaine qu’il ne
connaissait
pas, mais pour qui il connaissait l’estime de sa
ait, et contre La Fontaine qu’il ne connaissait pas, mais pour qui il
connaissait
l’estime de sa cousine. « On ne fait point entrer
ujours pour un homme qui condamne le beau feu de Benserade, et qui ne
connaît
pas les charmes des fables de La Fontaine. Il n’y
vait eu l’intention de faire, et de ses motifs ? Il faudrait bien peu
connaître
et les gens du monde et les auteurs pour douter d
de la période que nous parcourons ; il était nécessaire, pour en bien
connaître
le résultat, de savoir comment et par quelles per
D’un autre côté la maîtresse fait déguiser sa soubrette en dame, pour
connoître
à fond le cœur de son amant. LES JEUX DE L’AMOUR
odele que je puisse offrir, est une piece italienne. Je vais la faire
connoître
. ARLECHINO CAVALIERE PER ACCIDENTE,OUARLEQUIN GEN
dre son âne & d’aller à la ville ; de cette façon, il ne sera pas
connu
, il pourra apprendre des nouvelles de Rosaura, &a
seroit bon de voir el Alcade de si mismo, ou une comédie de Scarron,
connue
sous le titre de Gardien de soi-même, ce qui est
e, plusieurs des anciens Gelosi, entre autres : Giovanni-Paolo Fabri,
connu
sous le nom de Flaminio, et Nicolo Barbieri, orig
Barbieri, originaire de Vercelli, qui avait déjà commencé à se faire
connaître
sous celui de Beltrame da Milano. Domenico Bruni
au commencement du siècle, si Riccoboni, né vers 1674, put encore la
connaître
. Cependant on lit en tête d’Il Postumio, comédie
n France avec les Gelosi. Cette dédicace donna à la reine le désir de
connaître
la troupe dirigée par le fils de ses anciens prot
ie, fatal attribut de tous ceux à qui il a été donné de scruter et de
connaître
la nature humaine. Nul, en effet, Messieurs, n’a
t de connaître la nature humaine. Nul, en effet, Messieurs, n’a mieux
connu
que Molière nos préjugés, nos défauts, nos passio
, pour l’histoire de notre vieux théâtre, une date importante et fort
connue
: c’est celle de 1402, année où furent données pa
on les déclarations de M. Magnin, ne présentant de monuments réels et
connus
qu’à partir du XIVe siècle? Est-ce sur de pareill
Eulalie, qui, après le serment de Strasbourg, est le premier monument
connu
de la langue française. Cette œuvre, cet unique e
ité, on se trouverait d’accord ainsi avec un ancien critique, qui n’a
connu
ni « le théâtre » de Hroswitha, ni les Vierges sa
De vivre, sans que y mettons peine : En teinture de soie et laine. Me
connais
— C’est bien dit, ma mie, Aussi de ma charpenteri
étaient de bons bourgeois, exerçant d’honorables professions et bien
connus
dans leur paroisse. À Metz, ce fut le curé de Sai
résentations des mystères. Ainsi, pour n’en citer qu’un exemple, Vous
connaissez
certainement, au moins de réputation, ce fameux S
ouvrage n’en a pas moins un nom célèbre, un nom immortel est que vous
connaissez
tous, Messieurs : c’est Patelin. Quelle verve! Qu
habile gradation des scènes ! Quel plaisant tableau de mœurs! Vous en
connaissez
le sujet, que, pour clore notre séance, je vous r
, en le mettant à la merci de tous les dangers, faute de lui en faire
connaître
aucun. J’ai contesté la parfaite justesse du titr
un soir ; et d’abord une personne de qualité, dont l’esprit est assez
connu
dans le monde, et qui me fait l’honneur de m’aime
ant d’accepter ou de refuser. Quelle était cette personne de qualité,
connue
par son esprit et amie de Molière, qui voulut ain
as de l’abbé Dubuisson que Molière a voulu parler, il faut renoncer à
connaître
le personnage. Quoi qu’il en soit, Molière fut pe
is, ces sots du grand monde, qui condamnent d’un mot l’ouvrage qu’ils
connaissent
à peine et qu’ils seraient hors d’état de juger ;
res de M. de Molière, tel est le titre d’un autre ouvrage, dont on ne
connaît
pas l’auteur, et dont il est difficile de deviner
ingénieux défenseur de la cour contre un pédant qui l’outrage sans la
connaître
, reparaît à nos yeux sous le nom de Clitandre. La
t jamais vu donner un si vigoureux coup d’épée. À cette époque, on ne
connaissait
pas la méthode de combattre la bête fauve à coups
te entreprise dangereuse, et promit d’en rendre bon compte ; il était
connu
pour un homme de main, et l’on s’en fia à lui. Le
s laquelle il jouait sous son nom de théâtre, et qu’il faut lire pour
connaître
le caractère du genre adopté par du Parc ; caract
rmenta Molière avant son mariage ; sa fille le tourmenta après. On ne
connaît
avec certitude, parmi les rôles établis par madem
Troupe de l’hôtel de Bourgogne. [Montfleury] Zacharie Jacob,
connu
au théâtre sous le nom de Montfleury, était un ge
aroles ; Et, lorsque l’on lui dit : Et commandez ici. (Il répond :)
Connaissez
-vous César de lui parler ainsi ? etc. Ce portrai
a comédie, qui diffère du ballet en quelques points, et ils nous font
connaître
ces différences. Inutiles, je viens de prouver qu
le. Né et élevé dans une classe inférieure, Molière eut l’avantage de
connaître
la vie bourgeoise par sa propre expérience, et il
Aulularia de Plaute sont tronques à la fin, mais, dans ce que nous en
connaissons
, il reste encore assez à admirer. Molière n’en a
mais les hommes ne parlent guère de leur caractère, et ils ne le font
connaître
que par les relations qu’ils entretiennent avec l
st vantée avec raison, et passe pour la meilleure de toutes. L’auteur
connaissait
par expérience la passion du jeu et la vie qu’ell
ait lui-même mis en drame la fable d’un pays de Cocagne). Le Grand ne
connaissait
certes pas le théâtre comique des Grecs ; il a do
rs la tête pour regarder si on ne les découvrira pas ; enfin, il faut
connaître
Marivaux, pour comprendre ce que c’est que de la
rsqu’on a lu une de ses pièces avec attention, on peut dire qu’on les
connaît
toutes. Malgré tout cela, il est, dans mon opinio
en Lulli, l’un des divertissements, l’autre des drames sérieux. Je ne
connais
pas assez les anciens opéras italiens pour pronon
e du compositeur de musique, et qu’il se contente de choisir des airs
connus
et déjà devenus populaires. Sous le rapport de l’
esprits vifs et enjoués qui se vouent maintenant à ce genre sont peu
connus
hors de Paris, et ne s’en mettent guère en peine.
n s’aperçoit bientôt que l’on n’a devant les yeux que des choses déjà
connues
, à peine déguisées par de légers changements. Nou
il confond tellement ce qui est vrai et ce qui est erroné, ce qui est
connu
et ce qui est nouveau, ce qui est essentiel et ce
ction morale, et précisément telle que la voulait Diderot, était déjà
connue
en Angleterre. On a même traduit en français une
sont quelquefois étrangers à l’art dramatique. Que Ducis, pour faire
connaître
Shakespeare à ses compatriotes, ait soumis aux rè
attribués à la marquise de Rambouillet, j’ai fait des recherches pour
connaître
l’objet le plus ordinaire de ses conversations in
ations ou entretiens qui ont eu lieu entre elle et lui, la font mieux
connaître
que tout ce qui aurait pu être écrit sur son comp
osité ; elle me demande quelque chose de plus particulier et de moins
connu
; après voir vu les Romains en cérémonie, vous le
cette connaissance, et que les seuls Romains, même en Italie, en ont
connu
le vrai et le légitime usage. Les citoyens romain
ut des grâces négligées et des ornements sans art que les docteurs ne
connaissent
point, qui sont au-dessus de l’art et des précept
te vérole. Eraste. Quel dommage ç’auroit été ! M. de Pourceaugnac. Le
connoissez
-vous aussi ? Eraste. Vraiment, si je le connois !
e Pourceaugnac. Le connoissez-vous aussi ? Eraste. Vraiment, si je le
connois
! Un grand garçon bien fait ? M. de Pourceaugnac.
u. S’il ne tient qu’à cela, répondit le perfide Ordogno, vous m’allez
connoître
à la premiere chose que je dirai. De quel pays êt
fut touché par son endroit sensible, ne douta point que l’autre ne le
connût
le mieux du monde. Sa mémoire avoit de la peine à
nt. Anne d’Autriche qui, depuis longtemps sans doute, non seulement «
connaissait
» les plus considérables des confrères, mais enco
t bien soin de communiquer son factum « à ceux à qui il appartient de
connaître
et de corriger les excès que l’on y représente, »
de s’assembler. D’Argenson ajoute que, de cette destruction, « on ne
connaîtra
le secret que dans l’éternité. »Il semble cependa
e Lyonne16 sont tous trois fort peu dévots (le jésuite Rapin, qui les
connaît
, le déplore dans ses Mémoires à chaque pas,) et l
efois, ni les correspondances, ni les mémoires du temps, présentement
connus
, ne nous révèlent de protestations expresses. Seu
er de ce Charpy de Sainte-Croix, que les célèbres Anecdotes nous font
connaître
: aventurier breton qui, après un certain nombre
et même peut-être quelques-uns de ceux qui, en ayant fait partie, la
connaissaient
trop bien pour s’en accommoder, pour peu qu’ils t
oire de la mystérieuse Compagnie nous apportent, sur ce côté fort peu
connu
des grandes luttes religieuses du xviie siècle,
a succursale romaine, il recommande pourtant que ce soit « sans faire
connaître
le dessein. »Dans le groupe parisien du Saint-Sac
retirèrent peu à peu et ne parurent plus aux assemblées : » pour qui
connaît
la combativité janséniste, il est malaisé de croi
mnation de la doctrine janséniste, » parce que, ajoute-t-il, « ils en
connaissaient
à fond les dangereuses suites. » C’est bien cela
té de s’en écarter ; » c’est encore M. Singlin qui l’atteste : « Vous
connaissez
aussi bien que moi M. d’Andilly, écrit-il, — sa c
Argenson, éd. de dom Beauchet-Filleau, p- 168. 189, 203, 211. 26. On
connaît
le passage de Bossuet dans les Maximes et Réflexi
uisinier ? Maître Jacques. Je le sais bien. Valere. Et que vous ne me
connoissez
pas encore ? Maître Jacques. Pardonnez-moi. Valer
is, montre de la vigueur : (Haut.) Il craint. Je suis pourtant fort
connu
dans la ville ; Et, si vous l’ignorez, sachez que
sonnier & l’ame du festin. Je suis parfait en tout. Ma valeur est
connue
; Je ne me bats jamais qu’aussi-tôt je ne tue : D
: J’ai la botte trompeuse, & le jeu très brouillé. Mes aïeux sont
connus
, ma race est ancienne ; Mon trisaïeul étoit Vice-
laisser Monsieur Dimanche dans une anti-chambre, & je vous ferai
connoître
les gens ! M. Dimanche. Monsieur, cela n’est rien
Le croquis informe de Regnard ne seroit passable qu’autant qu’on ne
connoîtroit
pas le morceau sublime qu’il a copié. Il faut êtr
ue j’ai souvent affecté de comparer Regnard à Moliere, & de faire
connoître
combien il lui est inférieur en tout. On ne m’acc
rmer un empire s’ils le peuvent. Le reste de cet ouvrage ayant fait
connoître
insensiblement presque tous les endroits où Molie
ruelles et des alcôves établies par les coteries, nous chercherons à
connaître
les cercles de la bonne compagnie qui existèrent
spondance si charmante qui est entre les mains de tout le monde. Nous
connaissons
très bien ce comte de Grignan par les lettres de
qu’une multitude d’autres sont perdues. On pourrait assurer, sans les
connaître
, que ce sont les plus curieuses, les plus piquant
int de femme de votre âge plus vertueuse et plus aimable que vous. Je
connais
des princes du sang38, des princes étrangers39, d
le, eut le secret de s’attacher madame Scarron, que le maréchal avait
connue
chez son mari. » La maréchale d’Albret était une
e. Molière ne se dissimula point les dangers qu’il allait courir ; il
connaissait
ses ennemis, puisqu’il les avait peints ; il sava
dre à ses ennemis ; car il est à remarquer que sa comédie n’était pas
connue
de la plupart des gens qui la condamnaient au feu
, mais monsieur le premier président ne veut pas qu’on le joue. » Il
connaissait
trop les convenances sociales, il entendait trop
poème finisse ? Qu’une telle action est bien digne de toi, Et que tu
connais
mal le cœur d’un si grand roi ! Ce n’est pas ici
out cela, quand on l’a vu paraître, On l’a tant applaudi, faute de le
connaître
: Un si fameux succès ne lui fut jamais dû ; Et s
a dévotion avec laquelle il a si peu de commerce, et qu’il n’a jamais
connue
ni par pratique ni par théorie ! « Son avarice ne
e violence à propos de la représentation du Festin de Pierre. Veut-on
connaître
le secret de tant de haines, il va lui-même nous
x tartufes ne me sauront pas eux-mêmes mauvais gré de leur avoir fait
connaître
ce petit chef-d’œuvre. N’est-il pas extrêmement v
ralistes une précieuse découverte ; et j’ai cru ne pouvoir trop faire
connaître
une pièce extrêmement importante qui jusqu’à ce j
oire du grand siècle littéraire, tous les hommes supérieurs surent se
connaître
et s’apprécier : Corneille, Racine, Molière, Boil
i alarmât leur pudeur. C’est ici le lieu de rappeler cette réponse si
connue
du prince de Condé à Louis XIV, que Molière nous
a distingue, ont dû faire penser que Molière seul avait pu si bien se
connaître
, se défendre et se juger. Cependant les hommes qu
ployée après lui ; elle est devenue française de par le génie. Qui ne
connaît
ce début d’une fable de La Fontaine : Le Chat et
t pour s’assurer de plus en plus la protection du prince dont Molière
connaissait
le faible pour la louange, soit pour préparer le
gentilhomme, qui a été jadis l’amant d’une des deux pèlerines, et qui
connaît
Montufar pour un vrai chevalier d’industrie, arri
emploie deux actes entiers à le peindre ; quand il entre, il est déjà
connu
; quand il parle, on sait que c’est un misérable.
t la patrie, Et vous traiter vous-même en criminel d’état, S’est fait
connaître
à fond pour un franc scélérat : Le monstre veut v
s les foiblesses. Nous avons assez parlé des caracteres composés pour
connoître
que celui-ci est du nombre. Ils sont plus ou moin
ieurement pêtri de fatuité & auroit l’extérieur d’un homme qui ne
connoîtroit
pas son mérite. Un tel caractere n’a malheureusem
ois le répertoire borné que se sont fait les comédiens, elles pensent
connoître
tous les théâtres possibles. Il n’est pas douteux
qu’il dit. Le Banquier, en colere. Monsieur votre oncle, dont je suis
connu
, sait si je dis la vérité : & puisque l’on me
actes, & en vers libres. ACTE I. Scene III. Desronais. Oui, je
connois
sa défiance... Clénard. Mais bien ? la connoiss
Desronais. Oui, je connois sa défiance... Clénard. Mais bien ? la
connoissez
-vous bien ? Jamais les jeunes gens n’approfondiss
t son ami même Qu’à soupçonner son cœur est toujours prêt... Je lui
connois
une ame si sensible, Si délicate, à tel point su
u’après ma mort ». Il a tenu parole. 67. Si j’exhorte les Auteurs à
connoître
toutes les pieces de nos différents comiques avan
tre serviteur. Patelin. Mon nom, Monsieur, ne vous est sans doute pas
connu
: je suis Patelin l’Avocat. M. Guillaume. Je ne v
doute pas connu : je suis Patelin l’Avocat. M. Guillaume. Je ne vous
connois
point, Monsieur. Le dernier Guillaume, aussi ina
& il invente une ruse sublime. Patelin, à part. Il faut se faire
connoître
... (Haut.) J’ai trouvé, Monsieur, dans les mémoir
z, Monsieur, s’il vous plaît : je me remets un peu votre nom. Oui, je
connois
depuis long-temps votre famille. Vous demeuriez a
votre famille. Vous demeuriez au village ici près : nous nous sommes
connus
autrefois. Je vous demande excuse : je suis votre
a pas grand mal à cela. J’ai détaillé la farce de Patelin, pour faire
connoître
que si elle a survécu à mille autres pieces faite
mutus ; ma veritablamente non potest parlare. Le Baron. Il a d’abord
connu
son mal. Frontin. Bota crispo, bovi pecaire, à ba
nori, est-il son padre ? Le Baron, à part. Oh ! le grand homme ! Il a
connu
que je suis son pere. (Haut.) Hé bien, oui, Monsi
e de circonstance, l’idée lui vint d’écrire l’Ecole des Femmes. Je ne
connais
pas au monde de titre plus attrayant et je vois d
e comparaison. La plus vieille de nos formes dramatiques modernes est
connue
sous le nom de Mystère. Et, en effet, tous les my
e idée philosophique, je m’abstiens de juger; peut-être que je ne m’y
connais
pas; comme comédie, c’est douloureux et c’est ame
r, mais qui ne peuvent pas s’oublier, je trouve, eu égard à ce que je
connais
des théâtres dits populaires, qu’il est énorme po
berquinade ! » Et de profundis! L’objet est enterré! Au contraire je
connais
de petites coquines de choses très rusées et très
ayez l’espoir d’y trouver des horreurs. Voilà des petites choses qui
connaissent
leur monde ! A bas le sucre ! Vive la rémoulade!
Il faudra bien pourtant que nous en arrivions à ces terribles mots...
Connaissez
-vous la grosse cousine de campagne qui crie quand
il nous en tombe sans cesse de la province et de l’étranger. Moi, je
connais
Sancho, Sancho qui croit que la Thèse est arrivée
l ne peint qu’un François, un Italien, un Espagnol, il sera seulement
connu
en France, en Italie, en Espagne, & le nom de
e en sait toujours assez, Quand la capacité de son esprit se hausse A
connoître
un pourpoint d’avec un haut-de-chausse. Les leurs
fatuité, quoique plus rare chez certains peuples que parmi nous, est
connue
de toutes les nations policées. Je rangerois le T
lle saine, affectueuse, cette existence calme et paisible, que lui ne
connut
jamais. Ce comédien intrépide, dont la vie fit un
goutte ». N’est-il pas vrai que les médecins, au temps de Molière, ne
connaissaient
guère l’organisme humain ? « Ils savent, la plupa
ue blancs d’œufs, lait virginal et mille autres brimborions que je ne
connais
point. Elles ont usé, depuis que nous sommes ici,
me en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse À
connaître
un pourpoint d’avec un haut-de-chausse, il nous
le développement et la puissance intégrale de toutes ses facultés. On
connaît
la fameuse tirade de Clitandre, qu’on ne saurait
Molière semblerait au premier abord un réaliste intransigeant. Je ne
connais
point, pour ma part, « d’exécution » plus cruelle
ent leur vie entière à prier pour le salut des âmes en péril. Molière
connaît
mieux les raisons qui jettent la plupart des femm
eauté se faner sans profit, son âme se dessécher ou s’abêtir. Elle ne
connaît
plus la joie de vivre. Elle est inutile, incapabl
ou ridicule que Molière les charge de conseiller ou de juger ; ils le
connaissent
à merveille, depuis longtemps. Ils ne nous sont n
urs morceaux. Dorine a beaucoup d’affection pour son maître, elle l’a
connu
généreux, capable de servir son prince… Mais il
de jouer la Comédie. Poquelin entra dans une de ces sociétés, qui fut
connue
sous le nom de l’Illustre Théâtre. Ce fut alors q
onti*, qui tenait à Béziers les États de la Province. Ce Prince avait
connu
Molière au Collège, et s’était amusé à Paris des
vices dans la société qu’il n’ait repris ; personne enfin n’a si bien
connu
l’art de trouver le ridicule des choses les plus
il était en Prose, nuisit au succès de l’Avare. Molière, en homme qui
connaissait
le monde, donna le temps au Public de revenir, et
ge qui avait un air d’intelligence, étonna fort Mlle Molière*, qui ne
connaissait
pas le Président. Elle répondit sur un ton d’aigr
tique de l’École des femmes] est le premier ouvrage de ce genre qu’on
connaisse
au Théâtre ; c’est un Dialogue plutôt qu’une véri
-être curieux de voir ici l’extrait de deux de ces Farces que Molière
connaissait
sûrement. Piphagne, Farce à cinq personnages, en
s quatre Corps, de les faire mettre sous les armes le lendemain, pour
connaître
, faire punir les plus coupables, et leur réitérer
y99, chargé des vers consacrés aux Éloges des Reines ; Benserade*, si
connu
par son talent de lier la louange du personnage d
Les vrais dévots étaient même alarmés, quoique l’ouvrage ne fût guère
connu
ni des uns ni des autres. Un Curé, dans un livre
our bien sentir toutes les finesses de cette Pièce, que Votre Majesté
connût
Paris comme nous. Oui, dit le Prince ! Ah ! je co
ui, mes amis. A-t-on si grand tort de dire que nombre de Comédiens ne
connaissent
que leur rôle, même dans les Pièces qu’ils représ
de jouer la Comédie. Poquelin entra dans une de ces sociétés, qui fut
connue
sous le nom de l’Illustre Théâtre. Ce fut alors q
onti*, qui tenait à Béziers les États de la Province. Ce Prince avait
connu
Molière au Collège, et s’était amusé à Paris des
vices dans la société qu’il n’ait repris ; personne enfin n’a si bien
connu
l’art de trouver le ridicule des choses les plus
qui il eût un estime particulière. Cela faisait dire à ceux qui ne le
connaissaient
pas, qu’il était rêveur et mélancolique ; mais s’
êchait de paraître. « Il se nomme Mondorge156 », ajouta-t-il. « Je le
connais
, dit Molière ; il a été mon camarade en Languedoc
eurs, quels Auteurs avaient le mieux réussi pour la Comédie ? Je n’en
connais
qu’un, reprit le Satyrique ; et c’est Molière ; t
nore l’existence de l’auteur latin homonyme (v.40-103 av. J.-C.) fort
connu
pour ses épigrammes licencieuses dont l’abbé de M
s) où il déplorait les malheurs de sa patrie. En -39, Virgile*, qu’il
connut
sans doute dans les cercles épicuriens, le présen
nt de scène juste après avoir joué le Malade imaginaire, et les siens
connurent
les mêmes difficultés pour son enterrement. (DLF
On considère que l’air sur lequel elle était chantée est celui qu’on
connaît
par sa variante La Bonne Aventure, au gué. » (p.
déloyales de son adversaire Jean-Baptiste Rousseau ; mais il n’avait
connu
la véritable notoriété que par une mauvaise tradu
Tolède 1669) : poète et auteur dramatique précoce et abondant, Moreto
connaît
dans ses dernières années un grand succès à la co
r de 1659. Spécialisé dans les rôles de jeune premier, il est surtout
connu
comme auteur du célèbre « registre », [...]. La G
sans parler à celui qu’elle aime, & en feignant même de ne pas le
connoître
. Eraste obtient un second rendez-vous beaucoup pl
emandai si je pouvois lui être utile à quelque chose. — Vous devez me
connoître
, me dit-il, j’ai fait des livres. — Soit, je vous
ile de vous fatiguer. Je vais faire une visite à un homme que vous ne
connoissez
pas : il demeure fort loin d’ici, au-delà du Tibr
mme un âne qui se sent trop chargé. Il recommence à jaser. — Si je me
connois
un peu, un ami tel que moi vous serviroit au moin
VIII. Charles, de mes péchés j’ai bien fait pénitence. O toi, qui te
connois
aux cas de conscience, Juge si j’ai raison de pen
embrasse. Au visage sur l’heure un rouge m’est monté, Que l’on me vît
connu
d’un pareil éventé. Je l’étois peu pourtant. . .
Mais, si j’essayais de les satisfaire en traitant quelque point moins
connu
de l’histoire des lettres, j’oublierais, Mesdames
’effet que l’intention. Quoi qu’en ait dit la célèbre inscription : «
Connais
-toi toi-même », gravée au fronton du temple de De
u fronton du temple de Delphes, ce qu’il importe le plus à l’homme de
connaître
, ce n’est pas lui-même, c’est sa femme, s’il en a
e fille ? Préférez-vous Philaminte, la savante ? Vous apprendrez à la
connaître
plus loin ; ou enfin Mme Jourdain, cette excellen
ile et suivi entre les deux sexes. Aussi les anciens ne l’ont-ils pas
connue
. Quelle mine aurait fait une coquette dans ces ré
avec les ridicules la propre matière de la comédie. Mais en homme qui
connaît
le monde et les femmes, il les a mises aussi quel
olière est bien éloignée d’une pensée si désolante et si fausse. Il a
connu
les hommes et il les a peints ; mais jamais il ne
bien. Si elle jouait un rôle plus important dans la pièce, ou si nous
connaissions
la suite de son histoire, peut-être aurions-nous
gères dans leur famille, ignorantes des affaires du mari, qu’elles ne
connaissent
souvent que par leur ruine, une sorte d’objet de
et elle travaille à satisfaire leurs vœux par un double mariage. Elle
connaît
la malheureuse faiblesse de son mari, elle en sou
Cette soumission, qui plaisait alors, ne nous contenterait plus. Vous
connaissez
L’Honneur et l’Argent de M. Ponsard, pièce honnêt
me, se laisse marier malgré elle à M. Richard, un banquier qu’elle ne
connaît
pas. Lucile l’excite à la résistance d’un ton rés
n que je ne puis pas le souffrir. Tricot Peut-être Monsieur ne le
connaît
-il pas ? L’Anglais, riant. Oh ! je le connai
tre Monsieur ne le connaît-il pas ? L’Anglais, riant. Oh ! je le
connais
parfaitement bien, je vous jure ; je l’ai joué tr
rait alors que le lieu de sa naissance Tricot Monsieur, on ne le
connaît
pas. L’Anglais Ah !… et le jour précis ? T
une Moliere apprit un peu à lire & à écrire, & du reste il ne
connut
jusqu’à quatorze ans que la boutique de son pere,
& sur d’autres matieres. Cette liaison lui donna lieu dès-lors de
connoître
le célébre philosophe Gassendi qui lui apprit la
couvert ces traits de la nature, qui la distinguent & qui la font
connoître
. Les beautés des portraits qu’il a faits sont si
exposé sur le Parnasse, surtout lorsqu’on travaille d’après un fonds
connu
. L’Auteur minutieux en est indigné ; l’homme de g
; les délices de la grandeur. Margiste, cette Margiste que vous allez
connoître
, avoit élevé mon enfance ; j’étois soumise à ses
la dérober à tous les yeux & faire courir le bruit de sa mort. Je
connus
la douleur, & mes larmes coulerent pour l’ami
an, sans date, mais probablement du mois d’avril ou de mai 1671, fait
connaître
un incident survenu dans les amours du roi et de
it à ce sujet madame Scarron à madame de Saint-Géran, indique qu’elle
connaissait
le point par où le crédit de son ennemie était at
Montespan de solliciter pour l’amie commune chez qui elles s’étaient
connues
et liées l’une à l’autre. Madame de Sévigné écriv
prendre une autre route qu’eux. Il s’est appliqué particulièrement à
connaître
le génie des grands, et de ce qu’on appelle le be
t découvert ces traits de la Nature qui la distinguent et qui la font
connaître
. Il ajoute que les beautés des portraits qu’il fa
santhrope de Molière comme de son chef-d’œuvre. Le P. Rapin nous fait
connaître
qu’il est aussi dans le même sentiment, et il est
ondu les choses, qu’il était franc novice dans la dévotion dont il ne
connaissait
peut-être que le nom, et qu’il avait entrepris au
valable » à ses yeux ? Je le soupçonne fort, révérence parler, de ne
connaître
pas d’autre « langue provençale, ancienne ou mode
enne ou moderne, » que celle de Mirèio, et encore ! Si M. H. Fritsche
connaissait
le provençal, « ancien ou moderne », autrement qu
ional », et cela à propos de notre langue6, que j’ai la prétention de
connaître
et de parler un peu, par vieille, très vieille tr
dans l’intimité de Molière, et le défunt n’avait-il jamais approché,
connu
, aimé, applaudi, fêté, comme eux et peut-être ave
stratagème analogue à celui du Parasite ; cependant les deux exemples
connus
de saint Vincent de Paul et de Regnard suffiront
ois qu’elle verrait paraître Son fils devant ses yeux sans le pouvoir
connaître
. (Le Parasite, I, 4, p. 13.) Lisandre, au lieu
Le Parasite, I, 3, p. 5.) * * * Est-il vraisemblable que Molière ait
connu
le Parasite ? oui certes. En 1644, le célèbre aut
site et l’Étourdi paraissait suffisamment justifiée, non seulement on
connaîtrait
une source nouvelle de Molière, mais la date de s
’il est. Clotalde, je suis homme ; en cette qualité Je mérite de te
connoître
. Clotalde. Ah ! vous ne l’êtes plus par votre cru
ujet appartient aussi aux Espagnols ; ils l’ont traité dans une piece
connue
sous ce titre, el Palatio confuso. Jettons un cou
qui avoit de grandes guerres contre les Maures ; & de peur d’être
connu
pour ce qu’il pensoit être, il quitta le nom de S
: Je ne veux rien devoir à ceux qui m’ont fait naître, Et suis assez
connu
sans les faire connoître. Mais pour, en quelque s
voir à ceux qui m’ont fait naître, Et suis assez connu sans les faire
connoître
. Mais pour, en quelque sorte, obéir à vos loix, S
t vos mérites, Et jugera de vous avec plus de raison Que moi qui n’en
connois
que la race & le nom. Marquis, prenez ma bagu
arton. Je le sais.Lui, Madame, il se croit adorable. Mad. Lisban. Je
connois
là-dessus sa sotte vanité. Marton. De son petit m
e cela crie vengeance ? — Moi, Monsieur, je ne désole personne. Ne me
connoissez
-vous pas ? Je suis la meilleure femme du monde. —
ompte si bien, que je te défie de la vaincre. Tiens, mon enfant, j’ai
connu
des femmes sans nombre ; jamais aucune, quoi que
é sé loue pas ordinairement, jé lé sais ; mais quand on veut sé faire
connoître
tout d’un coup, il faut bien faire les honneurs d
quel climat pourroit être Un original d’un tel prix ? Criquet. Je le
connois
; c’est une véritable encyclopédie, id est, l’abr
de toutes les sciences. Comus. Ah ! de grace, Monsieur, faites-le-moi
connoître
. Criquet. J’ai trop de modestie pour vous le nomm
e nom de mon pere : mais ce n’est pas ma faute ; que ne s’est-il fait
connoître
? Voilà mes campagnes sur mer ; de Toulon à Marse
tation de ses Valets-Maîtres, & je lui dis en plaisantant : Je te
connois
, beau masque. Vous allez donc quelquefois aux Ita
Fronde, il montra du courage pour servir son prince ? Aussi le Roi le
connaît
; s’il lui fait rendre ses papiers et la cassette
e époque, ne nous ait pas laissé de détails sur ce sujet qu’il devait
connaître
mieux que personne, ayant eu sa garde-robe brûlée
Pour Mémoire, parce qu’il n’a pas de prix. Pourquoi, puisqu’on en
connaissait
la valeur, ne l’avoir pas, dès cette époque, sous
s Plaideurs de Racine. Les relations de Racine avec Molière, nous les
connaissons
: une suite de regrettables procédés, en retour d
II, nº 14, 1er mai 1880, p. 48-49. Il n’y a pas un moliériste qui ne
connaisse
l’étrange particularité attachée à la maison nata
ne concession faite à la vertu hollandaise. De nos jours, Molière est
connu
et bien connu de tous ceux qui, en Hollande, s’oc
faite à la vertu hollandaise. De nos jours, Molière est connu et bien
connu
de tous ceux qui, en Hollande, s’occupent de litt
iotes aux beautés et aux finesses des pièces de Molière, à leur faire
connaître
à fond la sympathique personne de l’auteur et à e
entation. Quant à la comédie hollandaise du xviie siècle, elle n’est
connue
que des littérateurs. On l’étudie avec intérêt au
a place dans Le Moliériste que si l’on pouvait supposer le hollandais
connu
de tous ses lecteurs. Nous dirons seulement qu’en
formé les feuilles d’un paravent. Cette dernière destination est bien
connue
des collectionneurs : il existait à la fin du xvi
ême origine : texte imprimé d’un côté, papier peint de l’autre. On ne
connaissait
jusqu’ici d’affiches du xviie siècle que celle q
te de tout ce qui se rattache aux vieux souvenirs de son Paris. Il en
connaît
sur le bout du doigt toutes les ruines. Il se pla
ue celle qui me donnait la Comédie, m’adressait de temps en temps, je
connus
bien que l’on m’avait jouée sur le Théâtre, et qu
u’il a la présomption de lui dédier cette traduction, parce qu’il l’a
connue
depuis son enfance, et parce qu’il a reçu beaucou
s aux romans de Mlle de Scudéry : elles se trouvent dans des passages
connus
de tous et absolument populaires ; car il y a, da
t populaires ; car il y a, dans ce Molière, que tout Français devrait
connaître
par cœur, des parties plus populaires les unes qu
DEVOIRS DE LA FEMME MARIEE avec son exercice journalier. Molière ne
connaissait
-il pas l’auteur, ou n’a-t-il pas voulu le nommer
essieurs, vous vous mettez en tête ; Qu’elle a du sens commun pour se
connaître
à tout ; Que chez elle on se peut former quelque
emanderait pas mieux ; et il m’attaque de gaîté de cœur pour se faire
connaître
de quelque façon que ce soit. Je vous renvoie au
que façon que ce soit. Je vous renvoie au reste du passage, que vous
connaissez
bien et qui est l’un des plus fins morceaux du Ma
as faire ronfler les vers et s’arrêter au bel endroit. Et le moyen de
connaître
où est le beau vers, si le comédien ne s’y arrête
boire qu’avec une pointe ». Il n’en fut rien, malheureusement. « Vous
connaissez
l’homme,dit Élise, et sa naturelle paresse à sout
on où le détail contemporain fourmille, Dorante le chasseur nous fait
connaître
le nom de Gaveau, un marchand de chevaux fort en
passage, emprunté encore à La Comtesse d’Escarbagnas. Ce morceau peu
connu
(et qui donc lit La Comtesse d’Escarbagnas ?) sem
e nom de langue Sabir. C’est une langue, en effet, qu’il faut souvent
connaître
, et qui a ses dictionnaires et ses grammaires. L’
Ingrat, l’auteur de La Thébaïde devait l’être. Boileau, qui l’a bien
connu
, et qui faisait à peu près seul les frais de leur
Sa lettre, toujours la même lettre, est pleine de Molière : Racine ne
connaît
pas encore L’Impromptu de Versailles ; il n’a pas
e surprend ni ne l’indigne. Peut-être a-t-il été un des premiers à la
connaître
. En tout cas, il ne se récrie pas autrement contr
s, dans ses Recherches sur les théâtres de France. Beauchamps n’a pas
connu
davantage une mascarade intitulée également Les V
tant soit peu à Ariste et à Sganarelle, mais prétend que « quiconque
connaît
les deux langues, donnera facilement, et avec jus
bre, en route pour Narbonne, où sa présence vingt jours plus tard est
connue
. Notre hypothèse repose sur l’acte suivant, extra
près la levée de cette session et en attendant la suivante, n’est pas
connu
. M. Brouchoud fait rentrer Molière à Lyon, où il
nombreuses que présente le texte de ces actes et de la difficulté de
connaître
le nom véritable de quelques-uns des signataires,
mais il crut avoir mieux trouvé le jour où il épousa Armande Béjart,
connue
dès lors sous le nom de Mlle Molière. Armande Béj
c son ami l’épicurien Chapelle; c’est un morceau un peu long et assez
connu
, mais trop précieux pour qu’on nous fasse un repr
put; mais, comme il était alors dans une de ces plénitudes de cœur si
connues
par les gens qui ont aimé, il céda à l’envie de s
e ne vous rapporterai point une infinité d’exemples qui vous feraient
connaître
la puissance de cette passion ; je vous ferai seu
ic, je demeurerai d’accord que je me suis étudié autant que j’ai pu à
connaître
leur faible; mais, si ma science m’a appris qu’on
dmirez-vous pas que tout ce que j’ai de raison ne serve qu’à me faire
connaître
ma faiblesse, sans en pouvoir triompher ?» Évide
Rien de plus attachant, rien de plus instructif pour celui qui désire
connaître
le cœur humain, que cette alliance du génie comiq
essai de jeunesse. Molière était déjà chef de troupe lorsqu’il se fit
connaître
comme auteur. La plupart des rhéteurs français di
es de nos montagnes, les bergers, qui chantent leurs ranz des vaches,
connaissent
une poésie pastorale meilleure que celle de Flori
» C’est au Médecin malgré lui que nous devons cet autre mot non moins
connu
: « Et voilà justement ce qui fait que votre fill
générale resta la même, mais les fausses teintes disparurent. Chacun
connaît
la déclaration d’amour qu’Alexandre, dans la trag
r, ne prétendez plus au cœur de Delmire; oubliez même que vous l’avez
connue
, et perdez pour jamais le souvenir de cette malhe
int paraître plus longtemps coupable, pas même à vos veux, quoique je
connaisse
la passion qui vous aveugle. Voici l’instant fata
téraire, en traça d’avance le programme, dans un catéchisme poétique,
connu
sous le nom de Défense et illustration de la lang
et ceux que l’on sait même agir de bonne foi là-dessus, et que chacun
connaît
pour être véritablement touchés, ceux-là, dis-je,
nt aveuglément les singes de leurs actions. Combien crois-tu que j’en
connaisse
, qui, par ce stratagème, ont rhabillé adroitement
s méchants hommes du monde ? On a beau savoir leurs intrigues, et les
connaître
pour ce qu’ils sont, ils ne laissent pas pour cel
t vivant et habilement touché. La ressemblance est frappante : chacun
connaît
quelque Onuphre. Onuphre et Tartuffe sont deux pe
fait sur la scène l’entrée la plus merveilleusement comique que l’on
connaisse
au théâtre. Molière a tiré de la sottise de la du
tère, et qu’ils personnifient seulement un penchant ou une mode. Vous
connaissez
son fleuriste, qui a pris racine au milieu de ses
ces prudes sur le retour, comme il y en eut tant dans ce siècle, qui
connut
plus d’un genre d’hypocrisie. Arsinoé est dans ce
de s’unir à lui pour tirer vengeance de la perfide. Maintenant il se
connaît
mieux et ne songe plus qu’à une chose : Il veut
tion, parlant avec une recherche de pruderie prétentieuse, et nous la
connaissons
à fond. Ce que le poète nous a fait voir n’est pa
e dans toute sa richesse et sa variété. Il est des hommes que l’on ne
connaît
jamais complètement, non parce qu’ils dissimulent
de plus que dans la solitude; il est d’ailleurs de race latine; il ne
connaît
pas les pâles muses du Nord. Mais, comme Hamlet,
iesse du novateur, la satire ouvertement dirigée contre des ridicules
connus
et fort à la mode. Molière avait petit à petit ha
oir à Ménage un sonnet que Cotin venait de lui lire. Ménage, qui n’en
connaissait
pas l’auteur, le déclara du plus mauvais goût, su
la surprend, elle n’a pas de livre dans les mains; mais ceux qui s’y
connaissent
devinent bientôt que son intelligence n’a pas lan
lement le plus comique. Le comique humain est le seul que Molière ait
connu
. Enfant du XVIIe siècle, né au milieu d’une socié
ommes. Ce genre de comique abonde dans Aristophane. Molière aussi l’a
connu
. Preuves en soient les leçons de M. Jourdain, les
te pas un seul chef-d’œuvre qui ne soit une satire en action. Molière
connaît
aussi le comique de la satire vengeresse et mépri
Rien qui ressemble à un sacrifice pour l’amour des règles. Molière ne
connaît
pas ces peintures de profil si chères à Racine :
litandre, heureusement, ne condamne pas le beau sexe à ne savoir Que
connaître
un pourpoint d’avec un haut-de-chausse. Il lui a
este. Ils veulent prononcer sur l’ensemble des choses sitôt qu’ils en
connaissent
quelque petite partie. Pour la femme, le danger n
gé, s’ajouta l’abaissement moral, fruit de la corruption. La Gaule ne
connut
que la décadence de la civilisation latine; aussi
des préjugés dont elle est la victime. La vie de la femme qui n’a pas
connu
les joies de la famille, n’est pas complète, dit-
farce anonyme de maître Pierre Patelin. Le dénouement de cette farce
connue
de chacun, au moins sous la forme nouvelle que lu
nos jours la presse dans les pays on la licence démagogique n’a plus
connu
ni bornes ni frein. Combien de fois a-t-il reproc
de caractère ; elle brille par instants d’une rare beauté morale. Il
connaît
le prix de la justice. Partisan décidé des mœurs
pas place à côté de Tartuffe pour un héros de sa taille. Cléante fait
connaître
par ses discours le caractère de la vraie piété,
et de l’éternité, de même Alceste condamne tous les ménagements et ne
connaît
d’autre loi que la loi de la sincérité, en tout e
protestations, d’offres, de serments et d’embrassades un homme qu’il
connaissait
à peine ; il l’a irrité en le houspillant pendant
et en le mettant au défi d’être sincère. Oronte arrive qu’Alceste ne
connaît
que vaguement. Oronte lui demande son amitié, et
faibles amis l’abandonnent, il doit le souffrir sans en murmurer, il
connaît
les hommes… Voilà paroù le désir de faire rire au
Une injustice cesse-t-elle de l’être parce qu’elle me frappe ? Je la
connais
mieux, et voilà tout. Mais sur elle je puis porte
il est victime « il doit en souffrir sans murmurer, dit Rousseau, il
connaît
les hommes ». Il y a là une petite erreur sur l’â
s n’en être plus étonné et ne plus murmurer quand ils le lèsent. « Il
connaît
les hommes. » Mais, s’il vous plaît, pour ne plus
lus être irrité par l’injustice qui vous atteint, il ne suffit pas de
connaître
les hommes, il faut les connaître depuis très lon
i vous atteint, il ne suffit pas de connaître les hommes, il faut les
connaître
depuis très longtemps. Or quel âge a le Misanthro
est naturel et convenable qu’Alceste en ait vingt-cinq. A cet âge, on
connaît
les hommes ; mais on ne fait que commencer de les
cet âge, on connaît les hommes ; mais on ne fait que commencer de les
connaître
. On peut être capable d’en arriver plus tard au m
idicule comme grondeur et loup garou ; dans d’autres, il n’est encore
connu
que comme homme du monde un peu sombre. Il commen
ait tenir compte de cela et ne pas demander qu’Alceste, non seulement
connaisse
les hommes, mais y soit tellement habitué qu’aucu
e de conseiller des actes de malhonnêteté : « L’ami d’Alceste doit le
connaître
. Comment ose-t-il supposer qu’un homme, capable d
isque toute acception de personnes est un crime dans un juge qui doit
connaître
l’affaire et non les parties et ne voir que l’ord
onnage à un des types consacrés, courants, communs et grossiers qu’il
connaît
; ils sont forcés d’écarter le lecteur de l’idée
i voulez m’obliger Par la protection d’un parent que j’honore, Que je
connais
beaucoup, j’ajoute même encore, Digne du noble po
uites, un billet de deux cents millions souscrit par un seigneur très
connu
. Ce billet, l’avocat en a la conviction, est faux
t très intelligent et très spirituel, — il lui dit : Ah ! Je vous ai
connu
bien meilleur que vous n’êtes, puis, revenant à
d Alceste ; j’ai pu l’être ; mais c’est où je ne reviendrai point. Je
connais
votre âme qui s’est enfin déclarée tout entière,
e à personne, et c’est Philinte qui en rend. Dans Rousseau, Alceste «
connaît
les hommes », « aime la vertu », a « une violente
e sois sensible à autre chose qu’aux misères de l’humanité ! On ne me
connaît
pas ! Et, s’identifiant à Alceste, il déclare sup
de faibles amis l’abandonnent, il doit le souffrir sans murmurer. Il
connaît
les hommes. » Et Molière s’est trompé. Et voilà p
le trompé est ridicule, plus le trompeur est méprisé. Il ne faut pas
connaître
le public, ni le cœur humain, pour croire que si
pres traits vois Jupiter paraître : A ces marques tu peux aisément le
connaître
; Et c’est assez, je crois, pour remettre ton cœu
t le vaste univers. L’éclat d’une fortune en mille biens féconde Fera
connaître
à tous que je suis ton support, Et je
éreux, charitable et se jette au danger pour sauver des gens qu’il ne
connaît
pas ; pourquoi ces éléments de sympathie ajoutés
c’est Molière lui-même, si fin connaisseur en mœurs des hommes et qui
connaît
si bien l’âme du public, c’est Molière lui-même q
nne ? C’est un argument, comme vous savez, que Molière a parfaitement
connu
. Il ne l’a pas poussé très loin ni très fort ; ma
ment connu. Il ne l’a pas poussé très loin ni très fort ; mais il l’a
connu
. Tartuffe étant interdit par M. le Premier Présid
leçons, les pires excitations et les plus funestes encouragements. On
connaît
l’avare qui, à un sermon pathétique sur la charit
nt haïs sur la scène. — Sont-ils aimés dans la société quand on les y
connaît
pour tels ? Est-il bien sûr que cette haine soit
rtains philosophes réduisent la morale à la science des mœurs, à bien
connaître
ce que sont les mœurs du temps et à s’y conformer
pour suppléer aux situations prises dans les intérêts d’état qu’on ne
connaît
plus et aux sentiments naturels et simples qui ne
es affaires des autres. » Sganarelle fait cette réflexion : « Vous ne
connaissez
pas Monsieur, bonhomme, il ne croit qu’en deux et
t fallu que par un seul mot de la part de chacun ils nous eussent été
connus
comme l’ayant, tous ou la plupart, Elmire, Damis,
de la morale-science-des-mœurs comme elle est comprise vulgairement.
Connaissez
les mœurs des hommes et conformez-vous à la moyen
me en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A
connaître
un pourpoint d’avec un haut-de-chausse. Les leurs
s désordres qui ne m’accommoderaient pas. Frosine : Ah ! que vous la
connaissez
mal ! C’est encore une particularité que j’avais
et que Molière se moque de Léonor avec l’impitoyable verve qu’on lui
connaît
et qui jamais ne fut plus vive ? C’est plutôt de
d’en conclure qu’il ne peut jamais faire de sottises, ce qui est mal
connaître
les hommes. » Adversaires et défenseurs de l’Écol
uste, chantera avec goût, à la rigueur saura s’accompagner, mais sans
connaître
une seule note », elle n’aura eu « d’autre maître
èges que cette civilisation lui tendra, il faut que la jeune fille la
connaisse
; « Je ne blâmerai pas sans distinction qu’une fe
est indispensable aux maris qu’elles le possèdent, puisque, manque de
connaître
les hommes, elles pourraient être séduites par eu
les pourraient être séduites par eux. Le sens du monde, la faculté de
connaître
, de deviner les hommes, leur est donc absolument
is elle lira mieux qu’eux dans le cœur des hommes. C’est aux femmes à
connaître
, pour ainsi dire, la morale expérimentale, à nous
moment-ci, que la jeune fille doit être menée dans le monde : 1° pour
connaître
l’humanité, puisqu’il faut qu’elle la connaisse ;
ns le monde : 1° pour connaître l’humanité, puisqu’il faut qu’elle la
connaisse
; 2° pour se dégoûter du monde : « Le monde est l
pièges qu’il peut vous tendre, ou seulement pour les voir, il faut le
connaître
et aussi qu’il n’est pas inutile de le connaître
les voir, il faut le connaître et aussi qu’il n’est pas inutile de le
connaître
pour ne l’aimer point ; qu’à la vérité on peut le
naître pour ne l’aimer point ; qu’à la vérité on peut le parfaitement
connaître
et l’aimer très fort (s’en doute-t-il ?), mais qu
rès vrai) il y a plus de chance qu’on l’adore dans le cas où on ne le
connaît
point. Donc, il faut exercer la psychologie monda
ie ou la femme). Elle doit être radicalement ignorante ; elle ne doit
connaître
que la cuisine, l’office, la couture, la broderie
que la femme ne songe pas à briller devant un cercle de gens qui s’y
connaîtraient
. » Là certainement s’arrête le rêve de Sganarelle
uent, je suis plutôt autorisé à dire que son mouvement naturel, celui
connu
de tous les auteurs, était d’imaginer librement,
t-être que Molière ne serait pas devenu ce qu’il a été. Je sais qu’il
connaissait
parfaitement les anciens comiques ; mais enfin il
rait les lire comme des instructions aux jeunes gens, pour leur faire
connaître
le monde tel qu’il est… » Il ne faut accueillir
déterminer dans quelle mesure, le canevas primitif ne nous étant pas
connu
, et les Italiens ayant, à coup sûr, profité de ce
ulter sur la maladie noire dont il était attaqué, celui-ci, qui ne le
connaissait
pas, lui dit qu’il n’y avait d’autre remède pour
ndre raisonner sur les horribles agitations d’un certain pays qu’elle
connaît
bien… (la cour)… c’est une plaisante chose que de
dicule d’étaler de la science ne pouvait être assez général pour être
connu
du public, pour le blesser et lui causer du plais
approcher familièrement par des hommes tarés. Madame de Sévigné, qui
connaissait
Cottin et ne le méprisait pas, ne se serait pas r
onnes de la cour et de la ville à qui je n’ai jamais parlé, que je ne
connais
point, peuvent-elles partir de moi ? Aurais-je do
L’impulsion est donnée, les monuments se multiplient, le pays veut se
connaître
, et grâce à cet élan généreux, toutes les gloires
être, ne sera plus le seul monument du hameau, lorsque ce hameau aura
connu
un bienfaiteur, ou qu’il aura vu naître un grand
cats du cœur, qui lui fit comprendre, craindre et éviter le ridicule,
connaître
, aimer et rechercher les convenances ; celui qui
artie de Molière. Pour le comprendre tout entier, il ne suffit pas de
connaître
ses ouvrages, il faut connaître sa vie. Sans cett
ndre tout entier, il ne suffit pas de connaître ses ouvrages, il faut
connaître
sa vie. Sans cette étude préliminaire, on ne saur
ésir inconnu le pénètre : Tout ce que l’homme apprend, il voudrait le
connaître
, Il doute de lui-même et brûle de savoir Comment
oir à son exécution au moyen de traités passés avec des entrepreneurs
connus
. Vu les plans et modèle ; Vu les devis, détail es
qu’il y soit pourvu au moyen de traités passés avec des entrepreneurs
connus
; DELIBERE : 1° Le projet de fontaine monumentale
as soumis à l’adjudication ; il en sera traité avec des entrepreneurs
connus
. 1. Etudes de la Nature, I. 3, 215. 2. Dépa
it premiérement très naturel, très vraisemblable ; qu’il soit ensuite
connu
par un très petit nombre d’acteurs ; & qu’un
d du sujet que celles qui se passent sur la scene. Le spectateur doit
connoître
les unes aussi bien que les autres. Les premieres
. La cruelle langueur dont j’ai pensé mourir, Qu’aucun art ne pouvoit
connoître
ni guérir, L’amour en étoit seul l’origine secret
avons qu’un petit nombre sur notre scene, même sur tous les théâtres
connus
. Outre la clarté & la briéveté qui sont ses p
& de telle façon, que je me veux venger de cette impertinence. Je
connois
ce qui nous a fait mépriser. L’air précieux n’a p
piece qui leur fera voir leur sottise, & pourra leur apprendre à
connoître
un peu mieux leur monde. Du Croisy. Et comment en
Précieuses ridicules, parceque son maître a fait naître l’envie de le
connoître
. Quand au contraire Criton paroît dans l’Andrienn
’a pas le don D’aimer avec constance. Avant qu’aimer, dit-on, Il faut
connoître
à fond ; car l’amour est bien traître. Pour Isabe
; car l’amour est bien traître. Pour Isabelle, elle aime avant que de
connoître
; Mais son penchant ne peut l’aveugler tellement,
Nérine si bien annoncée pour une illustre, & qui par ses exploits
connus
ne le cede pas à Sbrigani ; qui ne croiroit, dis-
t, et l’infamie associée à la gloire : mélange inexplicable, à qui ne
connaîtrait
point nos contradictions, à qui ne saurait point
Satire Ménippée, et surtout dans les Lettres provinciales. Parvenu à
connaître
toutes les ressources de son art, Molière conçut
de Molière, qui renforcent ainsi les mœurs au lieu de les corriger ;
connaître
les maladies de son siècle ; prévoir les effets d
uni la force et la fidélité, que, s’il existait un être isolé, qui ne
connût
ni l’homme de la nature, ni l’homme de la société
t par elle qu’il avait deviné Racine, Baron, apprécié La Fontaine, et
connu
sa propre place. Il paraît qu’il méprisait, ainsi
ateur trop attentif du cœur humain, en soit puni par le malheur de le
connaître
. Que ceux qui savent lire dans l’âme des grands H
vantages et des moyens presque toujours séparés. Homme de Lettres, il
connut
le monde et la Cour ; ornement de son siècle, il
ce française au moins par la gaieté. Nous devons essayer ici de faire
connaître
L’Interesse, non seulement parce que c’est une de
e joue très bien son rôle : le jour elle fait semblant de ne point le
connaître
; la nuit elle use de toute sorte de précautions
. Scène de concetti, où Lelio peint son amour à Fabio en feignant de
connaître
une dame qui l’aime tendrement. scène iii. Teba
noces. Il ne les invite point au repas, à cause de la parcimonie trop
connue
des Florentins ( questi diavoli di Firentini sono
io se couvre le visage de son mouchoir et de ses mains. Pandolfo, qui
connaît
les habits de sa fille, est convaincu que c’est V
le masque, suivant l’étymologie du nom (maschera, mascarilla). On ne
connaît
pas d’autre témoignage de cette particularité rem
rages, suivi un original espagnol. Don Garcia de Navarra, que nous ne
connaissons
pas, et auquel Molière, du reste, n’aurait recour
e ans. Les comédiens invoquent au besoin leurs études spéciales : ils
connaissent
Molière mieux que personne, ils vivent avec lui d
n’ai pas à rappeler les mésaventures conjugales du poète : elles sont
connues
de tous ceux qui s’intéressent à l’histoire des l
es douleurs éprouvées par l’auteur lui-même, et certes, pour ceux qui
connaissent
la biographie de Molière, ce rapprochement est to
regard, par son attitude : Je ne suis pas niaise, croyez-le bien ; je
connais
de longue main toutes les ruses pratiquées par le
exion. Pour une tâche aussi délicate, ce n’est pas trop demander J’ai
connu
de vieux comédiens, intelligents d’ailleurs, souv
pas à redouter le danger de l’imitation, car il n’y a pas de procédés
connus
pour jeter une idée nouvelle dans le moule du Mis
sophie, la société, et l’intelligence enrichie par cette triple étude
connaît
trop bien ses forces pour abdiquer sa liberté. Ai
expression de notre époque. Vous l’accusez d’inconstance, vous ne le
connaissez
pas. Il n’aime ni celte femme-ci, ni celle-là ; i
elle de splendeurs cachées. Il faut avoir vécu avec cet homme pour le
connaître
. Entre les courtisans de Célimène, aucun ne veut
tous qu’un désir trop vague de vengeance. Tartuffe a toujours un but
connu
, un intérêt appréciable. Iago touche au démon, Ta
soufflé sur lui, l’origine de l’homme ne l’a pas inquiété, il n’a pas
connu
nos titres de noblesse. Il étale nos plaies, et,
ntir. Le repentir est la marque des grandes âmes. L’innocence même le
connaît
par je ne sais quel reflet sympathique ; une soli
yée dans les intermèdes et parfois dans les pièces, tout cela faisait
connaître
à la France un art savant et raffiné qu’elle deva
à l’Alcidas du Mariage forcé 6. 8. — Le capitaine Cerimonta. On
connaît
assez bien, grâce à nos matamores français, le ge
x. Arlecchino, de même, ressemble beaucoup au type populaire que l’on
connaît
, au moins pour la balourdise éveillée et malicieu
olina (Maria Antonazzoni) et par Olivetta, dont le nom réel n’est pas
connu
. Une actrice, nommée Antonella Bajardi, jouait de
é en face d’un autre mime plus célèbre encore, Pietro Maria Cecchini,
connu
sous le nom de Gian-Fritello ou Fritellino, qui e
et jusqu’à la biographie écrite par le biographe le plus exact que je
connaisse
, M. Monmerqué : ai, dis-je, écarté tout cela pour
en caractères ineffaçables75. D’Aubigné était d’ancienne noblesse et
connu
pour tel76. La sœur de Constant d’Aubigné, madame
venu amoureux d’elle n’étant encore que comte de Miossens ; il la fit
connaître
à la maréchale, dont elle gagna la confiance et l
uels elle refusa toute attention. Ce fut dans cette situation qu’elle
connut
par expérience ce que vaut la considération. Ce f
cour. Elle alla faire ses adieux à madame de Montespan, qu’elle avait
connue
chez la maréchale d’Albret, parente de la marquis
t du public et l’opinion des lettrés, c’est ce que nous voulons faire
connaître
par un aperçu rapide. Molière a été de son vivant
sait la patrie, Et vous traiter vous-même criminel d’État, S’est fait
connaître
à fond pour un franc scélérat : Le monstre veut v
ciées, jugées avec plus de compétence par un public qui paraissait le
connaître
aussi bien qu’un public français. M. Fr. Sarcey,
ais était donc familier avec la pièce qu’il voyait représenter. Il en
connaissait
l’idée mère, le plan général, et bon nombre des a
r encore de contestation. Plus de soixante signatures de Molière sont
connues
. Un recueil périodique spécial, Le Moliériste, fo
remarques rendent ce voyage probable. C’est à ce moment qu’il aurait
connu
un riche bourgeois de Sigean, Martin Melchior Duf
a fait mourir, l’autre l’a fait revivre. Germain Clerin est fort peu
connu
; il est nommé ailleurs sieur de Villars, probabl
Bolœana, mais qui ne se trouve dans aucun des deux ouvrages que l’on
connaît
sous ce titre : « - Oui, mon cher Despréaux, dis
e le nom de Molière apparaît. La signature est « de Molière » ; on ne
connaît
point d’autre pièce signée ainsi, sans les initia
ers pas rudement averti de l’âpreté de la route où il s’engageait. Il
connut
immédiatement ces premières blessures qu’infligen
aux mœurs de la comédie. « Je suis un gentilhomme d’une maison assez
connue
dans la province, dit dans le Roman comique Léand
e si pressantes recommandations ? Un autre document va nous les faire
connaître
: c’est un extrait du Compte des frais de l’entré
que Scarron cite au commencement de son Roman. Cet ensemble de faits
connus
: la protection accordée à une actrice qui peut b
ers le mois de juillet. C’est probablement alors que Molière y aurait
connu
le vieux poète Goudouly, et non, comme on le prét
déploie ses talents au mois de février 1650. M. Adolphe Magen a fait
connaître
la mention suivante, relevée par lui sur un vieux
la biographie de Molière. Elles offrent d’abord le premier autographe
connu
de Molière ayant un caractère absolument authenti
de L’Étourdi à Lyon. Molière écrivain, à en juger par ce qui nous est
connu
, débute donc à trente ans. Il y avait neuf années
de donner aux peuples quelques avertissements qui pussent leur faire
connaître
le danger où s’exposent ceux qui fréquentent les
les triomphes de Molière, alors qu’il y avait de l’honneur à l’avoir
connu
, fréquenté et encouragé. « Jean-Baptiste Molière
. Il leur jouait de ces scènes de lazzi à l’italienne qu’il a si bien
connues
et qui ont tant fourni à son théâtre. Telles sont
r la verve et le mouvement, surpassait tout ce que la scène française
connaissait
alors. Il s’est créé de plus la spécialité de pet
ques jours après, le 16 juin, la troupe est à Dijon ; elle est encore
connue
, malgré la défense du prince, sous le nom de comé
ère, Jupiter a été substitué à Junon. Voilà bien des noms que nous ne
connaissions
pas encore. Edme Villequin, sieur Debrie, d’abord
tation aurait été donnée, car la composition de la troupe, alors bien
connue
, était fort différente de celle que constaterait
u Mercure galant : « La réussite qu’elles eurent (Les Précieuses) fit
connaître
à l’auteur qu’on aimait la satire et la bagatelle
) fit connaître à l’auteur qu’on aimait la satire et la bagatelle. Il
connut
par là les goûts du siècle, il vit bien qu’il éta
die de Gilbert intitulée La Vraie et la fausse Précieuse, que nous ne
connaissons
pas, mais qui eut sans doute pour objet de faire
ve bientôt prendre son essor fort au delà de ces rôles à physionomies
connues
, revenant toujours les mêmes dans des actions dif
seulement bien aises d’être raillés, mais qu’ils souhaitent que l’on
connaisse
que c’est d’eux que l’on parle, c’est qu’il s’en
rapporte de lui des traits d’une magnificence presque royale. Le plus
connu
est relatif à ce pauvre comédien nommé Mondorge,
n possible à faire passer votre chagrin, et je vous ferais assurément
connaître
que vous avez en moi une personne qui tâchera tou
simplicité d’esprit, s’imaginer qu’il n’est rien de tel que de ne pas
connaître
le danger pour être capable de s’y soustraire, de
pale à quoi tendait son exercice et tout son étude était de savoir et
connaître
les façons et manières et quoi et comment femmes
sses Les hommes soient sujets à de telles faiblesses ! Tout le monde
connaît
leur imperfection ; Ce n’est qu’extravagance et q
s demandèrent une pièce à un jeune auteur de vingt-cinq ans, fort peu
connu
, qui saisit avec empressement cette occasion de f
ANTE. Un garçon que je sais, qu’on appelle Boursault. LE COMTE. Je le
connais
pécore. DAMIS. Il est bien chez la muse. LE COMTE
ux la plupart de ses compagnons, et en quelques traits nous les faits
connaître
aussi parfaitement que peuvent le faire des biogr
manderait pas mieux ; et il m’attaque de gaieté de cœur pour se faire
connaître
, de quelque façon que ce soit. C’est un homme qui
oles; Et lorsque l’on lui dit : « Et commandez ici, » Il répond : «
Connaissez
-vous César, de lui parler ainsi ? Que m’offrirait
ite contre les hypocrites, eût été trouvée fort divertissante, le roi
connut
tant de conformité entre ceux qu’une véritable dé
de l’effet produit par les changements demandés, s’ils n’étaient pas
connus
d’avance. Enfin, l’on conçoit à merveille qu’il n
atre autres théâtres, leur statue du Commandeur. Il est vrai qu’on ne
connaissait
qu’imparfaitement cette comédie, qui fut pour la
vie partout et ne lui a laissé aucun lieu de retraite, vient enfin de
connaître
que Molière est vraiment diabolique, que diaboliq
u’il leur a commandé de prendre ; et c’est par là qu’il a voulu faire
connaître
qu’il ne se laisse pas surprendre aux Tartuffes,
e connaître qu’il ne se laisse pas surprendre aux Tartuffes, et qu’il
connaît
le mérite de ceux que l’on veut opprimer dans son
ît le mérite de ceux que l’on veut opprimer dans son esprit, comme il
connaît
souvent les vices de ceux qu’on lui veut faire es
C’est offenser les lois, c’est s’attaquer aux cieux… Leur cœur qui se
connaît
et qui fuit la lumière, S’il se moque de Dieu, cr
evillistes firent grand usage à une époque encore récente, Molière le
connaissait
, le pratiquait déjà. Il ne resta rien à innover a
put ; mais comme il était alors dans une de ces plénitudes de cœur si
connues
par les gens qui ont aimé, il céda à l’envie de s
e ne vous rapporterai point une infinité d’exemples qui vous feraient
connaître
la puissance de cette passion ; je vous ferai seu
ic, je demeurerai d’accord que je me suis étudié autant que j’ai pu à
connaître
leur faible ; mais si ma science m’a appris qu’on
dmirez-vous pas que tout ce que j’ai de raison ne serve qu’à me faire
connaître
ma faiblesse sans en pouvoir triompher ? — Je vou
confidences ayant un caractère authentique ; mais, la situation étant
connue
, on chercherait en vain à décrire avec plus de vr
vraisemblance ce qui devait se passer dans le cœur du poète. Nous ne
connaissons
qu’un portrait écrit de Molière, écrit de visu ;
saurait persuader ce qu’il sait si bien faire. » Le vaillant comique
connaissait
donc aussi cette volupté des larmes dont parle Ov
ituelle dans ce passage de la Critique de L’École des Femmes : « Vous
connaissez
l’homme et sa naturelle paresse à soutenir la con
lles. » Cette disposition de Molière était donc bien marquée et bien
connue
. On dit qu’elle l’avait fait surnommer par Boilea
Molière. — Je ne croyais pas, reprit le monarque ; mais vous vous y
connaissez
mieux que moi. » Nous avons déjà parlé de la sym
leurs et à pousser des soupirs. Amants heureux, il n’y a que vous qui
connaissiez
le plaisir ! » À cette exclamation, Polyphyle, to
mal et qu’il a bonne grâce à tousser. Oui, c’est lui, je le viens de
connaître
à sa toux, dit Le Boulanger de Chalussay. La tou
e vous ayez l’imprudence de frapper un enfant aussi sensible que vous
connaissez
celui-là ; et encore dans un temps où il est char
s publierez en vos prônes aussitôt que vous l’aurez reçue, en taisant
connaître
à tous vos paroissiens combien il importe à leur
ois qui ont loué partie du logis et du jardin. Un autre, le vigneron,
connaît
le nom du « sieur Molier », mais ignore celui du
impertinents dont elle forme sa cour. Il avait appris à ses dépens à
connaître
ces importants de petite ville, ces hobereaux har
petite Du Croisi D’esprit et de grâce pourvue, Et de vous assez bien
connue
, Qui, dans deux jours, avait appris Ce beau rôle,
t découvert ces traits de la nature qui la distinguent et qui la font
connaître
: les beautés des portraits qu’il fait sont si na
était de faire plaisir au public ; il lui témoigna qu’il souhaiterait
connaître
la Molière, et que la dépense ne lui coûterait ri
re ce personnage ; c’est pourquoi elle dit au président qu’elle ne la
connaissait
point, mais qu’elle savait une personne qui la go
vec un habit fort négligé, comme une personne qui appréhendait d’être
connue
; elle affecta la toux éternelle de la Molière, s
mme qui la trouvait à son gré, et qui était bien aise de le lui faire
connaître
. Pour le président, il était hors de mesure de vo
es des comédiennes, mais il faut du moins que ce soient gens qu’elles
connaissent
; c’est pourquoi la Molière, qui n’avait jamais v
j’avais fait quelque action qui dût vous déplaire depuis que je vous
connais
; mais je n’ai rien à me reprocher, et quand vous
nt avec un grand sérieux ce qui pouvait l’obliger à lui dire qu’il la
connaissait
; qu’elle avait pu croire au commencement que c’é
z la dernière de toutes les créatures pour m’oser demander si je vous
connais
. » On peut juger que la Molière, de l’humeur dont
Molière de cette façon, leur protestant avec mille serments qu il la
connaissait
pour l’avoir vue plusieurs fois dans un lieu de d
olie, mais elle réparait ce défaut par beaucoup d’esprit. « Elle fait
connaître
, ajoute Grimarest, par l’arrangement de sa condui
les plus patientes et les plus actives recherches, on en est arrivé à
connaître
aujourd’hui (mai 1892) huit à dix lignes de l’écr
moire ces vers trop célèbres de L’Art poétique : Étudiez la cour, et
connaissez
la ville : L’une et l’autre est toujours en modèl
cées toutes. M. Castil-Blaze a fait un livre pour prouver que Molière
connaissait
à fond la musique, et qu’il a parlé la langue mus
pour cela émerveillait Boileau, et à bon droit lui faisait envie. On
connaît
les vers que le critique adresse au poète au débu
ge. Mais pour une première pièce et à un auteur dont le nom n’est pas
connu
, ils ne donnent point d’argent ou n’en donnent qu
tres amis de la défunte. Signé : Aubry. » Geneviève Béjart est peu
connue
comme actrice : on ne peut dire quels rôles lui é
venu certainement à la suite d’un accident dont les détails nous sont
connus
. Borgne, on peut douter qu’il le fût, car il n’y
s ce passage une raillerie légère : c’est précisément parce qu’on lui
connaissait
ce défaut que Mlle Duparc proteste ici qu’il n’y
aris, le 10 septembre 1669. Ce sont les seules circonstances que nous
connaissions
où elle ait pris ce nom du Rosé ou du Roset, qui
rtisans, Et veux que mon rouleau le cède à ta varlope. Je commence à
connaître
, après plus de dix ans, Que dessous moi Pégase es
te entreprise dangereuse, et promit d’en rendre bon compte ; il était
connu
pour un homme de main, et l’on s’en fia à lui. Le
talents et par les dons qu’il avait reçus de la nature, mérite d’être
connu
de la postérité : c’était le comédien Baron, qui
upe en 1665, et prit dès lors le plus grand soin de son éducation. On
connaît
l’anecdote de Mignot ou Mondorge, présenté à Moli
s en voilà vingt autres que je lui donnerai pour vous : je veux qu’il
connaisse
que c’est à vous qu’il a l’obligation du service
de documents qui semblerait tout à fait concluant s’il s’agissait de
connaître
le lieu de naissance de tout autre de nos hommes
r des Halles et qu’il est mort rue Richelieu, quel intérêt y a-t-il à
connaître
l’endroit exact ? » Sans doute il n’y a point là
es & voluptueux aux situations les plus indécentes. Je vais faire
connoître
le genre pastoral, son enfance & ses progrès.
re dans le bois pour lâcher son trait. M. Sedaine, si avantageusement
connu
par le Philosophe sans le savoir, & par plusi
e le genre gracieux dans ses différents âges, parcequ’il est le moins
connu
. Je pourrois aisément traiter tous les autres ave
ulier par des anecdotes qui, en amusant le lecteur, feront bien mieux
connoître
le cœur, l’esprit, les sentiments du héros. Quelq
Alceste et Célimène Racine, Boileau, Labruyère, nous font
connaître
le siècle de Louis XIV, parce qu’ils écrivirent c
nt pas de longue durée, la représentation de la Princesse d’Elide fit
connaître
la jolie actrice : Guiche et Lauzun daignèrent la
put; mais, comme il était alors dans une de ces plénitudes de cœur si
connues
par les gens qui ont aimé, il céda à l’envie de s
dmirez-vous pas que tout ce que j’ai de raison ne serve qu’à me faire
connaître
ma faiblesse, sans en pouvoir triompher ? — Je vo
er dans son cabinet, & va l’y attendre. L’inconnu arrive, se fait
connoître
à Elise pour Dona Ignès. Elle a fait courir le br
ir une partie de cette scene rare dans son espece, & qui lui fera
connoître
le génie des nations qui l’ont imaginée ou adopté
nce, lâche quelques tête-bleu, veut prendre la lettre. Bélise se fait
connoître
, prie Florente de dire à Don Pedre qu’un inconnu
plusieurs reprises, ce que l’on veut. Le Prince est surpris de ne pas
connoître
la voix de la personne qui lui parle. Thérese sor
avoue que je n’ai point été surprise, que c’est parceque je l’ai bien
connu
que je l’ai reçu dans mon appartement : ce n’est
, ne prétendez plus au cœur de Delmire ; oubliez même que vous l’avez
connue
, & perdez pour jamais le souvenir de cette ma
n, mais de renoncer pour toujours à mon cœur, d’oublier que tu m’aies
connue
, de ne plus me regarder, & de ne pas prétendr
x figurer ailleurs. 12. Il Principe geloso est si rare, qu’il n’est
connu
d’aucun de nos acteurs italiens. Il seroit aisé d
est à ce prix. Pour saisir, pour exprimer le ridicule, il faut avoir
connu
par soi-même le mensonge des promesses, et Molièr
nnée une fois admise, et le spectateur l’accepte volontiers dès qu’il
connaît
les noms des personnages, l’action n’étonne pas,
singulier mélange de poésie charmante et de détails familiers. Je ne
connais
guère que La Fontaine dont la manière rappelle pa
entier ; n’en donnons donc que l’extrait, de façon cependant à faire
connoître
tout leur piquant. ACTE I. Scene III. Eraste &am
nature elle-même7 ! Le précis seul de ces scenes suffit pour en faire
connoître
la beauté, la force, la variété du comique. Ajout
si Mascarille a révélé ses secrets à son pere, lui dit qu’il voudroit
connoître
l’honnête homme qui lui a rendu ce service, pour
ns, les... toutes les personnes enfin qui, par état, sont à portée de
connoître
l’intérieur des maisons, & les secrets soigne
persifle impitoyablement la Comtesse, qui est furieuse, & se fait
connoître
. D’un autre côté Géronte qui n’aime pas le Marqui
j’entre. Vous verrez premiérement ma belle-mere Madame Abraham : vous
connoissez
tous, pour votre malheur, cette vieille folle37.
us ces animaux-là ? Pot-de-vin. Ce sont ceux... Le Marquis. Je ne les
connois
point, & je n’ai que faire de tous ces gens-l
, voulant prouver à son ami la fausseté de Stukéli, lui dit : « J’ai
connu
ce Stukéli au College. Il étoit malin, sournois,
le développer à vos yeux. Jusques-à tenez-vous sur vos gardes : je le
connois
, ainsi je vous conseille de le fuir ». Béverley
le roi, informé de ce départ inattendu, fait appeler celle-ci pour en
connaître
les moindres circonstances et en approfondir les
le différence, c’est qu’on joue dans ces grands appartements que vous
connaissez
. »(Cette différence était fort grande pour les re
ose de précis. Ma conscience est au même état où vous l’avez toujours
connue
, etc. » Madame de Sévigné écrit à sa fille, le
T. II, p. 53. Il cite un manuscrit de Ledieu, qui n’est je crois, pas
connu
de beaucoup de personnes. 106. T. II, p. 68-94.
Armide. Le bâtiment s’élève à vue d’œil. Les jardins sont faits. Vous
connaissez
la manière de Le Nôtre. Il a laissé un petit bois
de ont amassé des matériaux utiles, indiqué des sources jusque-là peu
connues
, et fait des remarques judicieuses sur l’économie
it-il des fautes qu’on lui fait apercevoir, si on ne lui faisait bien
connaître
en quoi elles consistent ? Ce n’était pas assez t
n tout, l’homme, avant de s’élever aux espèces et aux genres, a dû ne
connaître
que des individus. La première peinture fut sans
n génie au niveau des premiers citoyens de Rome : c’est un fait assez
connu
que l’amitié dont Furius, Lælius et Scipion l’hon
ntermédiaire entre le peuple et la bourgeoisie, il fut à même de bien
connaître
l’un et l’autre. Ses premières années ayant été p
? Quelque odieuse bassesse, apparemment ? Non ; mais, un homme qu’il
connaissait
peu l’ayant comblé de politesses, il l’a payé, co
ine plus encore que l’honneur ne le dirige. Alceste tout entier m’est
connu
par cette seule boutade. Ailleurs une vieille fem
culement infatué. Voilà, dans cette seule scène, tous les personnages
connus
et le sujet de l’action même indiqué. Les intrigu
moins souvent toutefois qu’on ne le croit communément, faute de bien
connaître
l’état de la langue à l’époque où il écrivait. No
er, et quelques comédies qu’elle devrait peut-être souhaiter qu’on ne
connût
pas. La France attend qu’elle produise les origin
les vanités, celles de la compilation sont les plus ridicules que je
connaisse
. Vie de Molière Plusieurs des circonstance
aux leçons particulières qu’il donnait à ses deux élèves. Hesnault25,
connu
de la postérité par quelques vers heureux, fut ap
rompent encore en ce point ; car les véritables hommes de lettres les
connaissent
, quoiqu’ils ne s’en vantent pas ; et c’est parce
nnaissent, quoiqu’ils ne s’en vantent pas ; et c’est parce qu’ils les
connaissent
qu’ils les méprisent. Après avoir fait quelque sé
nie, prirent le soin de la réfuter, et prouvèrent que Molière n’avait
connu
la mère qu’après la naissance de la fille. Voltai
ne, nommée Françoise au baptême, naquit le 3 juillet 1638. Molière ne
connut
la mère qu’en 1645 environ. Françoise était donc
a haine. Mais il n’en devait pas être tout-à-fait ainsi. Un écrivain,
connu
pour se livrer avec ardeur à la recherche et à la
des collatéraux, dont les derniers, les derniers du moins qui fussent
connus
, vinrent prendre une place honorable à la séance
ter derrière. Godemer (c’est le nom du vieux serviteur), Godemer, qui
connaît
son maître, ne fait d’abord aucune attention à ce
ans hésiter. Je ne le croyais pas, répliqua le roi ; mais vous vous y
connaissez
mieux que moi. Admirable dialogue, où Boileau, s’
à tout le monde. Là-dessus il nous cita Ninon comme la personne qu’il
connaissait
sur qui le ridicule faisait une plus prompte impr
nd n’avoir plus besoin. Rien ne pourrait être plus intéressant que de
connaître
avec vérité, avec précision, avec détail, la mani
me du grand comédien Poisson, bonne comédienne elle-même, qui l’avait
connu
dans sa jeunesse, et avait joué d’original dans u
our, le titre des ouvrages joués et le montant des recettes, m’a fait
connaître
au juste quel jour les pièces de Molière ont été
de certaines gens, à qui, pour parler de Molière, il ne manque que de
connaître
le théâtre, de comprendre la comédie, et de senti
t certes pas croire qu’un homme sensé dut agir et parler de la sorte,
connaissait
donc son propre travers, et s’amusait à le jouer
ux hommes vivants qui en sont le plus dignes. 67. Molière, que bien
connaissez
, Et qui vous a si bien farcés, Messieurs les coqu
re cher Baron peut être fort bon à certains égards ; mais vous l’avez
connu
; vous savez que le talent qu’il avait de peindre
auteur, depuis huit jours ; j’irai tantôt (décembre 1663). » 80. On
connaît
le mot du grand Condé au sujet de la tragédie de
mes qui font métier de s’entremettre dans ces sortes d’affaires. Elle
connaissait
une fille, nommée La Tourelle, qui ressemblait be
rant la philosophie non comme ne vue anticipée des choses que nous ne
connaissons
pas, mais comme une vue d’ensemble sur toutes cel
aissons pas, mais comme une vue d’ensemble sur toutes celles que nous
connaissons
. Les études historiques reçurent dès la fin du di
ous voulons savoir ce que vaut ce goût qu’il vante sans nous le faire
connaître
, nous n’avons qu’à le voir à l’œuvre dans les liv
e enfin. Il n’était pas à cette époque ce jeune enthousiaste que nous
connaissons
, aux passions vives ou au moins à l’imagination f
dans un style d’Allobroge ? D’abord, le vulgaire en aucun pays ne se
connaît
en beaux vers, et partout il aime passionnément l
Chevalier n’affermira pas, que je ne me soucie pas de discuter ni de
connaître
. Je crois donc qu’il faut avoir le tact de leur é
héramène n’est point déplacée, ne crierions-nous pas au paradoxe ? Je
connais
pourtant quelqu’un qui raisonne ainsi, et je suis
70 ? donnant en particulier ce conseil remarquable : « Si vous voulez
connaître
la comédie anglaise, il n’y a d’autre moyen pour
est la peinture parlante des ridicules d’une nation ; et, si vous ne
connaissez
pas la nation à fond, vous ne pouvez guère juger
illiam Schlegel s’indigne que Molière ait été Molière : le philosophe
connaît
la France, le dix-septième siècle, et sourit. La
niverselles de la nature. Il se jette au cœur des réalités qu’il veut
connaître
, sort de lui-même pour mieux éprouver la puissanc
es tragédies n’a montré un laisser-aller plus humain, que parce qu’il
connaissait
les Athéniens mieux que toi, et parce que ce ton
épondre ; mais par nature il n’aime point la discussion. Il cherche à
connaître
l’opinion des autres, fait semblant de les contre
province de Phénicie447, et dont le rare mérite est bien digne d’être
connu
de l’illustre Cyrus qui m’écoute… Quoique d’un na
t pas, aimant beaucoup mieux passer pour sévère auprès de ceux qui ne
connaissent
point la véritable vertu, que de s’exposer à pass
espère. Ces remèdes peu sûrs, dont le simple vulgaire Croit que vous
connaissez
l’admirable vertu, Pour les maux que je sens n’on
irconspecte. » Taine, Essais de critique et d’histoire. 392. « Pour
connaître
l’homme, ce ne sont pas des remarques qu’il faut
tes. Malheur à l’Auteur qui n’en a jamais vu qu’un à la fois. Il faut
connoître
si bien son plan, qu’on puisse le parcourir en en
est aisée. J’ai encore entendu faire cette question : Comment peut-on
connoître
qu’un acte est fini ? & j’ai encore entendu r
Que faire pour sortir de cette peine extrême, Et savoir si la belle a
connu
que je l’aime ? Dis-m’en quelque moyen. Ergaste.
man de Macarise, ou la Reine des Isles Fortunées. Son ouvrage le plus
connu
est la Pratique du Théâtre. Pour confirmer les re
; c’est le châtiment des sots. Le Lecteur sera surement bien aise de
connoître
la piece Danoise55. LE POTIER D’ÉTAIN POLITIQUE,O
tenir chez lui, & qui est composé de douze personnes. Madelaine.
Connois
-tu quelqu’un d’entre eux ? Crispin. Oh que oui :
aine. Connois-tu quelqu’un d’entre eux ? Crispin. Oh que oui : je les
connois
tous. Attendez : mon maître & le cabaretier s
Herman. Voici où est l’Allemagne. Léandre. Cela est juste. Je le puis
connoître
par le Danube qui court là. (En appuyant sur la t
ils ont quelque rapport. Extrait de l’Ecole des Femmes. Arnolphe,
connu
depuis peu sous le nom de M. de la Souche, s’amus
’une vieille intrigante. La Souche rencontre ce galant, dont il n’est
connu
que sous le nom d’Arnolphe ; il le trouve de tail
r. J’ai pitié des gens neufs comme vous : notre ville Ne vous est pas
connue
, autant que je puis voir : Vous croyez donc qu’
s des plus sensés, non ; Et l’on m’en a parlé comme d’un ridicule. Le
connoissez
-vous point ? Arnolphe, à part. Le connoissez-vou
comme d’un ridicule. Le connoissez-vous point ? Arnolphe, à part. Le
connoissez
-vous point ?La fâcheuse pilule ! Horace. Hé ! vou
ous ne dites mot ! Arnolphe. Hé ! vous ne dites mot !Hé ! oui, je le
connois
. Horace. C’est un fou, n’est-ce pas ? Arnolphe.
ailleurs, nous ne le répéterons point ici : il est assez généralement
connu
. Scarron va continuer. « Savez-vous, poursuivit
ront lire liront. Devant nous querelle s’est mue Pour une piece assez
connue
, Et qui vient d’Auteur assez bon, Moliere, notre
ortrait où tout contraste ; dans l’histoire d’un homme de lettres qui
connut
le monde et la cour, d’un ornement de son siècle
gé, ou par ceux qui s’y livraient spécialement ; mais un négociant ne
connaissait
d’autre lecture que celle de ses registres, d’aut
une immortalité facile ; enfin Hesnaut, fils d’un boulanger de Paris,
connu
par des poésies anacréontiques, le sonnet de L’Av
on de la postérité. Grimarest a prétendu qu’il ne voulut jamais faire
connaître
les motifs qui le déterminèrent à se donner un no
tes entièrement ignorées, sont aujourd’hui encore bien incomplètement
connues
. On sait seulement qu’il consacra à exploiter la
doit également fixer aux premières années de cette période assez peu
connue
de sa carrière les représentations que la Vie de
idolâtré par le public, non moins aimé de la cour, « particulièrement
connu
du Roi, qui le voyait de bon œil, et qui daignait
le recommanda à Monsieur, frère unique du Roi. Celui-ci le présenta,
connue
chef d’une troupe qu’il adoptait, au Roi et à la
e ni les vers des gazettes ne disaient jamais rien, parvenait à faire
connaître
son existence, sa présence à Paris au public de l
cherche. Pour être admis à ces cercles, il fallait avoir prouvé qu’on
connaissait
, comme le dit Madelon, « le fin des choses », « l
fût brûlé. Le chevalier de Gramont est celui qu’Hamilton nous a fait
connaître
, et La Grange, en inscrivant le lendemain cette v
déplacement. Son récit, simple et senti, est plus propre à bien faire
connaître
Molière et ses relations avec ses camarades que d
mademoiselle de La Vallière. Fouquet, étonné de ce refus, brûla d’en
connaître
la cause ; il découvrit bientôt, par des agents s
cette femme, qui fit goûter à ce prince le bonheur si doux et si peu
connu
des rois d’être aimé pour soi-même. Rencontrant u
ame mademoiselle de La Vallière, il voulut lui faire comprendre qu’il
connaissait
celui qui possédait son cœur. Celle-ci, irritée d
ation qu’on lui donne et les choses que le public a vues de lui. Vous
connaissez
l’homme et sa naturelle paresse à soutenir la con
une politesse que les gens de cour prodiguaient aux personnes qu’ils
connaissaient
le moins. Molière, se fiant maladroitement à l’ex
de Versailles », ajoute La Grange, dont le Registre ne nous fait pas
connaître
plus que celui de La Thorillière le jour précis d
ve son acte de décès ; enfin Molière, comme nous l’avons démontré, ne
connut
mademoiselle Béjart l’aînée qu’à la fin de 1645,
génie qu’un histrion, ils voulaient lui faire essuyer leur mépris. On
connaît
le mot plein d’adresse et de bon sens de Belloc,
Paris courut voir cette merveille, et Louis XIV lui-même, curieux de
connaître
ce prodige dont il avait tant de fois entendu par
son élève le prévint qu’un comédien nommé Mondorge, que Molière avait
connu
en province, se trouvant sans ressources, hors d’
du moins un emploi ni un titre. Ces divertissements vraiment royaux,
connus
sous le nom des Plaisirs de l’Île enchantée, dont
tait loin d’interdire aussi définitivement toute espérance : « Le Roi
connut
tant de conformité entre ceux qu’une véritable dé
rt justes et fort agréables. Je m’assure que de ses bons amis, que je
connais
et que j’estime extrêmement, ne manqueront pas de
s funestes travers étaient ceux de tous les médecins du temps. Chacun
connaît
le résultat de la fameuse consultation faite à Vi
rsation que nous empruntons à La Fameuse Comédienne fait parfaitement
connaître
quelle était alors l’agitation de ce cœur désespé
ut ; mais, comme il était alors dans une de ces plénitudes de cœur si
connues
par les gens qui ont aimé, il céda à l’envie de s
e ne vous rapporterai point une infinité d’exemples qui vous feraient
connaître
la puissance de cette passion ; je vous ferai seu
ic, je demeurerai d’accord que je me suis étudié autant que j’ai pu à
connaître
leur faible ; mais, si ma science m’a appris qu’o
dmirez-vous pas que tout ce que j’ai de raison ne serve qu’à me faire
connaître
ma faiblesse, sans en pouvoir triompher ? — Je vo
it pour une femme qui, disait-il, avait beaucoup de défauts. « Je les
connais
, répondit Molière, j’y suis accoutumé, et il faud
ne redoutait de même les amours superbes, et regardait « une grisette
connue
un trésor » : On en vient aisément à bout : On l
avoir nommé quelques-uns des convives, il ajoute : Molière, que bien
connaissez
, Et qui vous a si bien farcés, Messieurs les coqu
une sorte d’anathème social contre l’auteur. Le maréchal de Vivonne,
connu
par son attachement pour Boileau et par les grâce
cette mystification d’invraisemblance, « parce qu’Alceste, pour faire
connaître
ce qu’il pense du sonnet, n’attend pas que la lec
l avait répondu avec affabilité à l’accueil empressé d’un homme qu’il
connaissait
peu. Ce n’est donc qu’après que le sonnet est ent
passaient pour être les copies, sont aujourd’hui ignorés ; si l’on ne
connaît
pas davantage l’homme entêté de sa qualité, le gr
que celui-ci avait pour ainsi dire tracé. Son entreprise, si elle fut
connue
d’avance, dut sembler bizarre et téméraire ; et c
a religion, avec laquelle il a si peu de commerce et qu’il n’a jamais
connue
, ni par pratique ni par théorie… « Son avarice ne
s publierez en vos prônes aussitôt que vous l’aurez reçue, en faisant
connaître
à tous vos paroissiens combien il importe à leur
lle exclamation, qu’une telle pensée, au caractère de Molière, qui ne
connut
de faiblesses qu’en amour. Rien dans ses ouvrages
e, Je soutiens qu’ils sont à lui. Madame de Sévigné, sans nous faire
connaître
davantage l’aventure en question, confirme pleine
ué où Molière avait pris son modèle, il nous reste maintenant à faire
connaître
l’origine du titre de sa pièce. Cette généalogie
rs qui eussent le droit d’y prendre un rôle. L’anecdote suivante fait
connaître
les qualités, bien rares de nos jours, que Molièr
comme un damné. » Le trait que nous allons rapporter fera également
connaître
avec quel tact Molière savait apprécier l’aptitud
ace de son véritable auteur, Subligny, qui ne se fit pas tout d’abord
connaître
, nous apprend qu’on l’attribua à Molière. Racine,
ui faisait, et convoquer pour l’heure dite toutes les personnes qu’il
connaissait
. Le lendemain Molière arrive, et n’est pas peu su
le avait d’abord, et sous lequel elle est depuis longtemps uniquement
connue
. La tradition prétend aussi qu’à la première repr
poème finisse ? Qu’une telle action est bien digne de toi, Et que tu
connais
mal le cœur d’un si grand Roi ! C’est ainsi que
e représentation à Château neuf, gagiste de la troupe. » Nous ferons
connaître
plus tard les détails financiers de la société ;
e. Il n’y eut que Mademoiselle qui dut souffrir. » Le caractère bien
connu
de Molière serait une réfutation suffisante de l’
s le 7 septembre 1670, c’est-à-dire plus de trois mois avant que l’on
connût
ses chagrins et même sa passion, et non un an apr
Muses : Le célèbre Molière est dans un grand éclat ; Son mérite est
connu
de Paris jusqu’à Rome. Il est avantageux partout
a laissé de son caractère un portrait peu flatteur ; mais, pour faire
connaître
sa vie et les mœurs de son siècle, nous n’avons b
re le col, et ne les sacrifieriez pas à l’ignorance de ceux qui ne me
connaissent
pas, ou à l’envie de ceux qui me connaissent : et
orance de ceux qui ne me connaissent pas, ou à l’envie de ceux qui me
connaissent
: et comme dans cette affaire il y va sans doute
tournent le dos à un favori disgracié, ils firent semblant de ne pas
connaître
cet ancien ministre d’Apollon et des neuf Sœurs,
it l’auteur de La Fameuse Comédienne, qui n’a rien négligé pour faire
connaître
à fond la moralité de son héroïne. Un président d
fficultés et à rapprocher les personnes. Ce diplomate femelle, qui ne
connaissait
nullement mademoiselle Molière, mais qui se serai
surtout pour Boileau, qu’ils n’y fussent pas : Étudiez la cour, et
connaissez
la ville, L’une et l’autre est toujours en modèle
t Molière. — Je ne le croyais pas, répondit le roi ; mais vous vous y
connaissez
mieux que moi. » La réponse de Boileau l’honore ;
nce, intitulée Le Songe du rêveur, Paris, G. De Luyne, 1660, qui fait
connaître
que La Pompe funèbre était de Somaize, et fournit
ous n’êtes pas encore au bout, Nous n’avons que trop de matière. Vous
connaissez
le sieur Molière : Cet autre dont on a parlé, Qui
ançaise. 23. Aujourd’hui la rue du Louvre. 24. Chappuzeau nous fait
connaître
les avantages des jours ordinaires : « Il est bon
une plaisanterie de comédien. » C’est une plaisanterie qui nous fait
connaître
le ton fort osé des affiches du Petit-Bourbon com
e part dans la curiosité que son nom excite. Ce que l’on veut surtout
connaître
, c’est la conduite privée de la femme, la place q
» n’était pas juste le contraire de celle d’Armande, telle qu’on la
connaît
ou qu’on la devine par l’École des maris ! Tout c
rement imaginaires. Il y a bien encore le factum du Guichard que nous
connaissons
, mais il se retrouvera bientôt. J’arrive enfin à
ière et Armande, elle a probablement fait partie de leur troupe, elle
connaît
par le menu l’histoire de leur théâtre. Le caract
énumérés sur des actes qui, par leur nature même, ne sont exactement
connus
que des seuls participans. Aussi, dès les premièr
à la cour par leurs aventures galantes, elle a choisi trois des plus
connus
, se disant que, dans la foule de leurs maîtresses
lle, et, « comme il étoit alors dans une de ces plénitudes de cœur si
connues
par les gens qui ont aimé, » il s’épancha dans un
admirez-vous pas que tout ce que j’ai de raison ne sert qu’à me faire
connaître
ma faiblesse sans on pouvoir triompher ? Le passa
une de miel suivit cette réconciliation, et que le pauvre grand homme
connut
, du moins, avant de mourir, quatre mois de bonheu
e de le présenter à nouveau. Mais les imputations infamantes que nous
connaissons
déjà n’étaient qu’une faible partie des injures d
as désirer un protecteur et un appui ? Peut-on, sa situation une fois
connue
, ne pas reconnaître que la nécessité d’un second
s sa nouvelle famille, et aussi la nonchalance naturelle que nous lui
connaissons
par Molière, l’avaient détachée peu à peu de son
tout autre, digne d’apprécier le génie. Un autre littérateur, qui ne
connaît
point de rival dans les succès de l’esprit, et qu
fidèle dans plusieurs occasions importantes. Il serait intéressant de
connaître
quelles furent les impressions habituelles que Po
était légitimée par un beau talent. Molière avait eu l’occasion de la
connaître
dans son voyage en Languedoc : plusieurs rapports
hautes sociétés, s’étaient répandus jusque dans la classe moyenne. On
connaît
l’exclamation qu’un vieillard laissa échapper à l
ommes les plus célèbres de l’époque se plaisaient à la fréquenter. On
connaît
les soupers d’Auteuil, tantôt dans l’ermitage de
ombrageux ; mais telle est la faiblesse humaine ; il ne suffit pas de
connaître
un écueil pour l’éviter. Molière, âgé de plus de
intitulée La Nymphe dodue, qui courait parmi le peuple, faisait assez
connaître
la mauvaise disposition qu’il avait pour la poési
le souper, et il le fit coucher chez lui, pour avoir plus de temps de
connaître
ses sentiments par la conversation, afin de place
sa mort8. Baron ne fut pas seulement un grand comédien ; il est aussi
connu
comme auteur ; malheureusement on lui contesta la
y resta jusqu’en 1663. On ne sait pas quel était son emploi, et on ne
connaît
aucunes particularités sur sa vie. Il paraît qu’i
la Flandre, revint en France, et se rendit à Lyon, où Monsinge, plus
connu
sous le nom de Paphetin, était depuis quelque tem
de mai 1673. Mlle Duparc. Cette actrice était femme de Duparc,
connu
au théâtre sous le nom de Gros-René. Elle s’engag
e lui. Boileau compose ses premières Satires. La Fontaine, encore peu
connu
, fait pleurer les nymphes de Vaux. Racine est un
seigneurs du bel air donnent un demi-louis pour être sur le théâtre.
Connaissez
-vous la salle ? Voilà qui est plus beau que le je
suis ravi, car c’est mon homme. — Molière ! dit le Périgourdin. Je le
connais
; il a passé chez nous ; il menait l’Illustre Thé
as conduit avec elle en Sganarelle, mais en Ariste… Je pense que vous
connaissez
l’École des Maris ? — On me l’a fait lire. — On a
d’un air de supériorité tout à fait réjouissant, n’ayez crainte ; je
connais
les femmes ; je suis sûr de mon affaire ; bien hu
s, ses rubans et ses plumes. Le voilà qui embrasse Arnolphe. Il ne le
connaît
que sous ce nom. Arnolphe est un ami de son père,
que de s’arrêter au nom, un homme riche, mais un fou, un ridicule… Le
connaissez
-vous point ? — Hé oui ! je le connoi, dit Arnolph
s, comme effilée de ce qu’elle va dire, la chasteté des précieuses ne
connaît
plus de bornes, elles tournent le dos à la scène
Dorimon ! renchérit un troisième. — Qu’est cela, Dorimon ? — Vous ne
connaissez
pas Dorimon, l’auteur de cette pièce de, l’an pas
éussi. Et elle, alors, achevant d’un coup ce roué, qui se flattait de
connaître
toutes les rubriques : Vraiment ! il en sait don
seraient trompés. Lekain, — le farouche Orosmane, — « Le voilà donc
connu
, ce secret plein d’horreur. » Lekain, le tragiqu
tant plus sévère, qu’ignorante comme il l’a laissée, elle ne peut lui
connaître
de circonstance atténuante. Elle ne sait pas comb
our vous les dire, et je me défie de mes paroles. Comme je commence à
connaître
qu’on m’a toujours tenue dans l’ignorance, j’ai p
la rigueur de rapprocher certains passages de ses œuvres pour le bien
connaître
au point de vue qui nous occupe. Je voudrais donc
e question semble facile. Il y a un type de Molière que tout le monde
connaît
, car il a été répandu à profusion par tous les pr
opriétaire, et très supérieur comme ressemblance à tous les portraits
connus
. Celle d’un ancien commandant du génie, H.-A. Sol
ée Simonin, dont la Bibliothèque nationale possède le seul exemplaire
connu
; le Molière compris dans un tableau anonyme, ass
seignements fournis par l’art, la littérature en ajoute qui nous font
connaître
non plus seulement l’extérieur immobile de Molièr
e plus en lui, c’était son attitude d’observateur. Une tradition bien
connue
rapporte qu’à Pézenas il s’en allait, les jours d
odestie obligées, il observe encore. Cela ne lui suffit pas ; il veut
connaître
ses modèles de façon plus intime. Il accepte donc
orence » le paya de retour. Pendant ses courses en province, il avait
connu
Mignard, et cette rencontre fut le point de dépar
Chappuzeau, « parfaitement honnête homme, » ajoute La Grange, qui s’y
connaissait
, « d’une droiture de cœur inviolable, » répète Gr
s en voilà vingt autres que je lui donnerai pour vous ; je veux qu’il
connaisse
que c’est à vous qu’il a l’obligation du service
ait parler une petite fille avec un naturel si rare, prouve qu’il les
connaissait
bien, et l’on devine l’affection qu’il portait au
de déclamation tragique, et ce système est assez contestable. Nous le
connaissons
par l’exposition complaisante qu’il en a faite da
des scènes bruyantes, et que le directeur de ces comédiens illustres
connut
les ennuis de tous les directeurs. Mais qu’import
rs la province ont fait l’objet de tant de travaux qu’il faut bien en
connaître
au moins les plus considérables, et les résultats
e, s’il appelle à lui la troupe de Molière, on peut admettre qu’il la
connaît
. Le déplacement est coûteux, la guerre civile est
roupe à l’honneur de jouer devant le prince… Cette anecdote, que nous
connaissons
par les Mémoires de Cosnac, montre du moins la fa
Conti n’était plus là… À la fin de 1657, Molière est à Avignon, où il
connaît
Mignard, qui revient d’Italie, puis la troupe pas
s noms de Charles Dufresne, René Berthelot, et Pierre Réveillon. Nous
connaissons
ces noms : ils ont effectivement tous les trois
à cette dernière date le duc d’Epernon, gouverneur de Guyenne, paraît
connaître
depuis quelque temps la troupe de Molière. Or les
ans la même année, l’accueil que leur fit le public, sont choses bien
connues
. Ce qui l’est malheureusement presque aussi bien,
d’applaudir dès qu’Arlequin ou Pantalon entre en scène ; il s’agit de
connaître
un Arnolphe et un Harpagon, dont les laits et ges
il a plaisir à écrire, est celle de Louis XIV, où préside un roi qui
connaît
la plaisanterie, mais qui ne la veut pas sans que
isme. Si l’on ne saurait prouver qu’il ait jamais entendu ni beaucoup
connu
Gassendi, il peut suffire qu’en sortant du collèg
iliations, ni les chagrins aussi de toute sorte ne lui ont manqué. On
connaît
les tristesses de son ménage ; la maladie s’y vin
crivains classiques, les procédés du style sont catalogués. Bayle les
connaît
, La Bruyère les applique, et Fénelon, qui est né
m’en parle, et qu’il est revenu, Comme s’il devait m’être entièrement
connu
. Que gagnerions-nous à ce que Molière eut écrit
ui se rapporte à Arnolphe lui-même, — qu’Horace, ainsi qu’on sait, ne
connaît
pas encore, à ce moment de l’action, pour le tute
qu’il y tient trop pour le laisser à part ; De ces détachements je ne
connais
point l’art. J’aime avec tout moi-même et l’amour
rme, Et ta vertu fait un vacarme Qui ne cesse de m’assommer. Molière
connaissait
trop bien le monde pour n’avoir pas observé quel
ré ; cela était vrai surtout du temps de Molière. Le poète philosophe
connaissait
trop bien le cœur humain pour ne pas savoir que l
és ce grand peintre, qui se nomme Molière, prouvent que nul n’a mieux
connu
ni plus aimé ce sexe, qui, suivant l’expression d
ternellement vrai, sous sa forme d’un brutal comique : Tout le monde
connaît
leur imperfection, s’écrie-t-il, Ce n’est qu’ex
hoisi que ces jeunes orateurs presque tous professeurs, ces écrivains
connus
déjà du public, à la veille de devenir célèbres,
’accord avec elle, celui qu’eux-mêmes, pour leur compte, ont appris à
connaître
et à aimer, ou du moins qu’il en diffère notablem
et bienveillant. Cette fois, en effet, au lieu de l’écrivain que l’on
connaît
, de l’irréprochable, de l’impeccable écrivain, do
rrière ces autorités pour faire d’autres critiques qu’elles n’ont pas
connues
. Savez-vous quand a commencé l’admiration absolu
des Précieuses ridicules, Molière ne lui était pas encore exactement
connu
par son nom. Un an après, il est vrai, il peut dé
les voir qu’en masse ; mais si on veut les étudier de plus près, les
connaître
distinctement, il faut détruire, et il faut essay
la Gazette des tribunaux ces histoires incroyables, où des gens qu’on
connaît
, qu’on a toujours jugés des plus honnêtes et des
uche. Goethe a créé un mot, une expression de génie que tout le monde
connaît
: l’éternel féminin. Ce terme si simple est, quan
y a une femme polie, sortie toute polie de la main de Molière ; je ne
connais
qu’une femme qui le soit à ce degré dans son théâ
esses Les hommes soient sujets à de telles faiblesses ! Tout le monde
connaît
leur imperfection ; Ce n’est qu’extravagance et q
nt de morale et de religion. Il faut lire toute cette tirade, vous la
connaissez
. Je vous rappelle la situation : Arnolphe, qui ve
et ceux que l’on sait même agir de bonne foi là-dessus, et que chacun
connaît
pour être véritablement touchés, ceux-là, dis-je,
nt aveuglément les singes de leurs actions. Combien crois-tu que j’en
connaisse
, qui, par ce stratagème, ont rhabillé adroitement
us méchants hommes du monde ? On a beau savoir leurs intrigues et les
connaître
pour ce qu’ils sont, ils ne laissent pas pour cel
; tu t’appelles cabale ! » Et le pauvre Sganarelle, qui croyait déjà
connaître
en Dom Juan le plus abominable des hommes, ne peu
s sont aggravées par les vices éclos dans les rangs élevés, et qui ne
connaissent
plus aucun frein, si la plus audacieuse des émanc
l y a des athées à Paris ; il est facile de les compter dans le monde
connu
d’alors ; ils vivent à part, et ce sont moins des
examinant telle ou telle passion après plusieurs siècles, qu’on ne la
connaissait
pas tout entière, et qu’il est sorti d’elle quelq
et amour dans les êtres créés, puisque les êtres les plus violents en
connaissent
toutes les tendresses, et que les êtres les plus
sent toutes les tendresses, et que les êtres les plus doux peuvent en
connaître
toutes les violences, toutes les colères : voilà
rapports entre la femme et le mari : c’est l’amour fraternel. Vous le
connaissez
tous, vous avez assisté à son éclosion et à ses m
ère ; quand ils ne sont pas alliés contre le père, frères et sœurs se
connaissent
à peine. Vous pouvez ouvrir L’Avare, par exemple
que les autres la trouvent laide. Je pense même que si Arnolphe avait
connu
la Lettre sur les Spectacles, il l’eût préférée i
u moins par correspondance, pour des personnes très humbles, qu’il ne
connaissait
pas, et qui s’adressaient à lui ; il leur réponda
ue âge ! Par exemple à trente-cinq ans, à la fin de la jeunesse, vous
connaissez
les passions malheureuses dans lesquelles on peut
rai plus. Je le crois bien ; mais est-ce que vous prétendez savoir et
connaître
toutes les passions dans lesquelles vous pouvez t
s auteurs, comme Sedaine et Diderot, qui se sont frayé des routes mal
connues
de Molière même ; et, n’eût-on découvert, après l
ique et le roman bourgeois, nouveau-venus parmi nous, qui n’ont voulu
connaître
aucune règle, et qui tombent, frappés de langueur
sociabilité les plus délicats comme des plus puissants qu’ait jamais
connus
aucun peuple. Le chant d’Orphée ne charmait que l
si je puis dire, l’immolation journalière de notre vanité, dont nous
connaissons
mal la force et les ruses, quand ce n’est pas l’e
ongeant que je ne l’égalerais jamais ; tu as failli une fois me faire
connaître
l’envie ; — et quant à toi, Bonaparte, pour une s
et l’émiette. ——— Ou bien encore elle ressemble à ces Indiens qui ne
connaissent
pas le prix de l’or brut et qui l’échangent contr
andaient ce qu’il y avait de noble dans un « robin » dont ils avaient
connu
l’aïeul Mascarille ou Gros-Jean. Tous ensemble mé
on voit au contraire qu’ils ne se sont étudiez la plûpart qu’à faire
connoître
l’Auteur, persuadez que des ouvrages si constamme
sa Troupe, lia une forte amitié avec la Béjart, qui avant qu’elle le
connût
, avoit eu une petite-fille de Monsieur de Modéne,
: courage, courage, Moliere, voilà la bonne Comedie. Ce qui fait bien
connoître
que le Theâtre Comique étoit alors bien négligé ;
ue tous les Auteurs comiques, il seroit bien-tôt épuisé. Mais il n’en
connut
que mieux le goût du temps : il s’y accommoda ent
isfaction de voir que les rieurs étoient pour lui* Mr. Despreaux déja
connu
par ses premieres Poésies lui envoia le premier j
intitulée la Nymphe doduë, qui couroit parmi le Peuple, faisoit assez
connoître
la mauvaise disposition qu’il avoit pour la Poësi
souper, & il le fit coucher chez lui, pour avoir plus le temps de
connoître
ses sentimens par la conversation : afin de place
e vous ayez l’imprudence de frapper un enfant aussi sensible que vous
connoissez
celui-là ; & encore dans un temps où il est c
l’avoient fait, de les faire mettre sous les armes le lendemain, pour
connoître
& faire punir les plus coupables, & pour
put ; mais comme il étoit alors dans une de ces plenitudes de cœur si
connues
par les gens qui ont aimé, il ceda à l’envie de s
Je ne vous raporterai point une infinité d’exemples qui vous feroient
connoître
la puissance de cette passion, je vous ferai seul
dmirez-vous pas que tout ce que j’ai de raison ne serve qu’à me faire
connoître
ma foiblesse, sans en pouvoir triompher ? Je vous
tête. Et il n’y avoit personne qui ne se fît un plaisir de le suivre.
Connoître
Moliere étoit un merite que l’on cherchoit à se d
s délicats & élevez, il y en a cent qui les rebutent faute de les
connoître
. Il ne fut pas plûtôt rentré dans son cabinet qu’
& celui qui laissoit croître l’ongle du petit doit, étoient assez
connus
& ne contribuerent pas peu à revolter contre
de Moliere, qui se vit justifié de ce qu’il avoit avancé. Si on avoit
connu
sa droiture & sa soumission, on auroit été pe
avant que de revenir. Taisez-vous, jeune homme, dit Moliere, vous ne
connoissez
pas M. Bernier, & vous ne savez pas que c’est
qu’il venoit le prier de lui en procurer les moyens, & lui faire
connoître
que ce qu’il avançoit étoit veritable. Il declama
pas, qui percent jusques à l’extremité de la nuit. Il suffisoit de le
connoître
legerement. Moliere étoit desolé d’avoir un ami s
re de son chapeau. Cette attention de Moliere dans une bagatelle fait
connoître
celle qu’il avoit à rendre ses representations he
ce Bourgeois ait servi d’original à Moliere pour sa piece, il ne l’a
connu
, ni devant, ni après l’avoir faite ; & il est
uer son Rôle. Il ne l’acheva qu’en souffrant beaucoup & le public
connut
aisément qu’il n’étoit rien moins que ce qu’il av
; du Peuple. Il n’a laissé qu’une fille : Mademoiselle Pocquelin fait
connoître
par l’arrangement de sa conduite, & par la so
en jeune homme, un jeune homme en vieillard. Etudiez la Cour &
connoissez
la Ville ; L’une & l’autre est toûjours en
ur profession. Il apprit un peu à lire et à écrire, et du reste il ne
connut
jusqu’à quatorze ans que la boutique de son pere,
s, et sur d’autres matieres. Cette liaison lui donna lieu dès lors de
connaître
le célébre philosophe Gassendi qui lui apprit la
eur s’appelait Moratin, un nom à peu près ignoré en France, mais fort
connu
de l’autre côté des Pyrénées. Il était venu dès s
raduisit en flamand. En Danemark, il inspira un homme que nous a fait
connaître
M. Legrelle, Holberg, qui est très populaire dans
page de M. Louis Veuillot que je viens de citer tout à l’heure. Pour
connaître
le monde et le peindre, il faut l’avoir vu, et po
même, ou d’en avoir surpris les effets chez les autres. Tout le monde
connaît
la vieille plaisanterie du paveur en chambre. Eh
des découvertes dans une pièce qui date de deux cents ans, et qui est
connue
de tous les lettrés. C’est que Molière, on ne le
dition ne poussait pas plus loin. Il est probable que, si nous avions
connu
le théâtre de l’Inde, nous aurions trouvé quelque
beaucoup de ses collègues ne commentent le théâtre classique sans le
connaître
que par la lecture, il suit assidûment les représ
ouer, par la bonne raison qu’on ne les joue plus. Je ne crois pas les
connaître
, je suis même assuré de ne pas les connaître, et
lus. Je ne crois pas les connaître, je suis même assuré de ne pas les
connaître
, et je me garderais d’en parler de peur de dire d
rée d’un acte. Celle de Molière est peut-être la plus longue que l’on
connaisse
: aussi ne laisse-t-elle pas, malgré la variété d
ue jeune fille. Il s’y est attaché davantage à mesure qu’il l’a mieux
connue
, mais comme on s’attache à une personne que l’on
ées des personnages et ce qu’on leur voit faire, entre leur caractère
connu
et la situation où ils se trouvent. Arnolphe est
sses, Les hommes soient sujets à de telles faiblesses ! Tout le monde
connaît
leur imperfection, Ce n’est qu’extravagance et qu
ux font froid. Faut-il ajouter qu’après avoir quitté don Juan, on le
connaît
à fond ? Molière, avec cette variété merveilleuse
e et la plus grande personnification de la blague parisienne. Nous le
connaissons
tout entier, après que la toile est tombée sur so
i par hasard vous sentez pour notre ami cette sorte d’amour que je ne
connais
point, je suis assez indulgent, assez homme du mo
ncées. Molière, leur intimité en est un sûr garant, n’a pas pu ne pas
connaître
à mesure l’œuvre de son ami. Il a vu le parti que
cette étude et de cette préparation. C’est à cela qu’il doit d’avoir
connu
du premier coup, atteint du premier coup la perfe
is creuse et vide, où Molière s’est plu à ramasser tous les symptômes
connus
de l’avarice. La comédie est faite de morceaux, d
ion, tout le monde en conviendrait. Je puis assurer à Weiss que je ne
connais
personne qui en convînt ; et ce n’est point du to
nlieue ; je l’ai vu jouer devant des spectateurs qui évidemment ne le
connaissaient
pas, qui peut-être ignoraient jusqu’au nom de Mol
son principal personnage qu’au troisième acte, alors qu’il était déjà
connu
, accepté, excusé par le public. Mais il ne me sem
vous écrierez comme Orgon : Ah ! monsieur, vous seriez charmé de le
connaître
. C’est un homme qui… un homme… ah ! Et vous ne
point de ces révoltes. Il suit docilement l’auteur qui le mène. Il ne
connaît
aucun de ces scrupules que les délicats, comme La
comme tous ceux qui sont dans son cas : — Ah ! mon frère, vous ne le
connaissez
pas ! Ah ! si vous le connaissiez ! je suis tout
n cas : — Ah ! mon frère, vous ne le connaissez pas ! Ah ! si vous le
connaissiez
! je suis tout autre depuis qu’il est chez moi !
justifie : Oui mon frère, je suis un méchant, un coupable…etc. Vous
connaissez
la scène. La tirade ne répond à aucun des faits a
là le mot de la coquette ? Elle a déjà jouté avec Tartuffe ; elle le
connaît
à fond, elle est certaine qu’il sera incapable de
n parle de Tartuffe à son frère : Mon frère vous seriez charmé de le
connaître
, Et vos ravissements ne prendraient point de fin.
tuffe. Elle a eu souvent raison des résistances de son maître qu’elle
connaît
bien, et qu’elle ne craint guère. Elle en aura ra
rceaugnac et lui demandant des nouvelles de toute la parenté qu’il ne
connaît
pas ? Et cet apothicaire que joue Féraudy ! cet a
sans trop savoir ce qu’elle disait. Non, c’était une jeune femme qui
connaissait
les joies et les peines de l’amour, et qui avait
a toujours subsisté sous diverses formes : la dernière que nous ayons
connue
est celle de l’opérette, de l’opérette de Meilhac
ier tout au moins, un personnage considérable. M. Charles Livet, bien
connu
des lecteurs du Temps, a, dans l’excellente éditi
me faisait Lesueur, par exemple, l’artiste le plus étonnant que j’aie
connu
pour sa facilité à se verser dans une autre peau
impérieuse et superbe caricature. Elle dit à ses deux frères qu’elle
connaît
la personne que Clitandre aime en secret, et, com
ra peut-être le gros de mes lecteurs, quand il s’agit d’un rôle aussi
connu
, et d’un acteur aussi célèbre. Ils ne se doutent
ines du monde à lui apprendre à lire, et qu’à l’âge de neuf ans il ne
connaissait
pas encore ses lettres, vous verrez éclater, sur
aient donc pour nous tous un ouvrage absolument nouveau ; nous ne les
connaissions
que par la lecture, et les pièces, c’est, comme d
eux comme il en échappe sans cesse à la muse facile de Regnard : Qui
connaît
mieux que toi le cœur et ses travers ! Le bon sen
vu deux jeunes débutantes : Mlle Lynnès, une jeune fille que nous ne
connaissions
pas et qui, je pense, paraît pour la première foi
ite sa ressemblance avec ce frère que nous n’avons pas vu et qu’il ne
connaît
pas lui-même. Pour peu que nous réfléchissions, n
essaire. Le nécessaire, vous nous l’accorderez (avec Molière, qui s’y
connaissait
), c’est de faire rire les « honnêtes gens ». Est-
Théophile Gautier, il nous semblait impossible que Marivaux n’eût pas
connu
Shakespeare. Marivaux, nous le savons, passe pour
oyer un de mes jeunes camarades de l’Université, M. Larroumet, que je
connaissais
pour avoir donné quelques éditions classiques exc
entraîner à parler de lui avec celui de nos critiques dramatiques qui
connaît
le mieux ce charmant auteur. J’ai vu, dans la rep
u. Il y a vraiment plaisir à causer de Marivaux avec un homme qui le
connaît
si bien. Je ferai tout d’abord remarquer à M. Lar
ment formuler. Le résultat, ce sera, si vous le voulez bien, de mieux
connaître
et de mieux goûter Marivaux, de l’écouter avec pl
i destine, si elle fera bien de l’épouser. La pauvre enfant ! elle ne
connaît
rien du monde ; mais elle a tout de même ses peti
n. Ergaste s’est marié ; sa femme, ses enfants, son domestique ne lui
connaissent
encore que ce visage là, tandis qu’il promène par
Ah ! une idée, s’écrie-t-elle, si je pouvais l’examiner sans qu’il me
connût
. Et elle est ravie de son invention, et elle bat
quand j’en aperçois. Elle ne me laisse voir personne, et avant que je
connusse
Éraste, le cœur me battait quand j’étais regardée
ller par ses lumières, par son caractère et d’après sa position qu’il
connaît
mieux que personne, on ne manque pas de dire qu’i
cette œuvre sifflée, jaillit la pièce charmante et applaudie que nous
connaissons
. Quand il la donna à l’impression, il la fit préc
qu’y déployait Bressant, le plus gai, le plus pétillant Almaviva que
connaîtra
jamais le théâtre. Il est plus grand seigneur et
pas tout d’abord. Et, pour ne pas se montrer, que fait-il, lui qui ne
connaît
pas l’appartement, lui qui n’y est jamais venu ?
Ah ça ! où diable s’est-il caché ? Il furette dans la maison ! il en
connaît
donc les êtres ? Il est clair que le comte devrai
de n’est pas en situation, elle est fausse en soi, puisqu’il est bien
connu
maintenant que les Anglais ne se servent jamais d
i sujette à caution, pour s’en aller prendre une femme de chambre qui
connaît
des prudes de cette espèce. Remarquez de plus que
de son âme dans ce Damis si honnête homme et si fou de poésie. On ne
connaît
guère dans le public que le Piron de la légende,
e la main n’était pas un déshonneur pour un écrivain de talent. Il ne
connut
jamais ni les bassesses de l’intrigue des cours,
cœur : — Oh ! monsieur le duc, dit-il, un poète ! — Les qualités sont
connues
, dit fièrement Piron ; je passe. C’est cette pass
de l’esprit provincial. Gresset n’a fait que traverser Paris. Il en a
connu
assez pour en sentir l’agrément ; mais il s’en es
risienne. 11 mai 1874. Favart. « Les Trois Sultanes » Nous ne
connaissions
Les Trois Sultanes que pour les avoir lues. La pi
: c’est celui de l’eunuque Osmin, joué par le jeune Berr. Je croyais
connaître
ce rôle, ayant lu bien souvent la pièce. Berr me
novembre 1765), nous avait mis au courant de ces querelles : « Je ne
connais
pas M. Sedaine, dit-il avec son esprit ordinaire
ie pièce, lorsqu’il faudrait songer au plan de mon appartement. Je ne
connais
pas sa comédie du Philosophe sans le savoir ; mai
c’était chose grave que de les enfreindre. Mais ce texte, nous ne le
connaissions
pas. Toutes les éditions qui m’ont passé entre le
e véritables signalements et traduit les noms de théâtre par des noms
connus
de tout le monde1 ? » Mais, rien n’empêche de l’
ssion d’une réputation de stoïcisme plus ou moins méritée... Pour qui
connaît
le dessous des cartes, le stoïcien en lui était s
l’unité variée de la nature, « si féconde en bizarres portraits 22; »
connaître
l’homme, comprendre ce qu’il y a d’un et d’immuab
nnages qu’ils inventent, des types qui ne meurent jamais, et qui sont
connus
de tous les peuples, qu’ils s’appellent Falstaff,
opposant pas. Sans aucun doute, les contemporains ont placé des noms
connus
au bas de chacun de ces portraits, et plus d’un d
ur ses .défauts, et tout ce que j’ai de raison ne sert .qu’à me faire
connaître
ma faiblesse sans en pouvoir triompher 38 » N’es
e comédie dont ils avaient eu l’imprudence de dire leur avis avant de
connaître
assez bien celui du maître. Encore une fois, je n
paie leurs leçons sans en profiter, et salarie leurs talents sans s’y
connaître
. Ces deux personnages accessoires ne font pas seu
fait dire, à toutes les folies que bientôt il lui fera faire. Nous le
connaissons
: qu’il agisse enfin ; et, quoi qu’il fasse, si n
ième siècle : elles font partie de son roman de La Métamorphose, plus
connu
sous le titre de L’Âne d’or. La latinité d’Apulée
fait la musique. L’auteur était Fontenelle, qui ne s’était point fait
connaître
. Peut-être se faisait-il un scrupule respectueux
cessaires. Boileau a dit, dans son Art poétique : Étudiez la cour et
connaissez
la ville ; L’une et l’autre est toujours en modèl
Hauniæ, 1806. 4. MM. David, Gérard et Picot. 5. Qui pourrait ne pas
connaître
le charmant ballet de Psyché, par M. Gardel ?
s, & sauve la vie à Don Carlos, frere d’Elvire, dont il n’est pas
connu
. Un instant après, Don Alonse, second frere d’Elv
me & la femme qui profanent son palais. Il sort. Don Juan se fait
connoître
à Don Pedre pour son neveu, lui avoue la tromperi
commence. Acte I. Isabelle presse l’homme qu’elle tient de se faire
connoître
, il n’en veut rien faire. Isabelle, désespérée, c
an lui avoue la faute que l’amour lui a fait commettre, & se fait
connoître
à lui pour son neveu. Don Pedre excuse les torts
che ses pleurs : D’autres ont eu par lui de semblables malheurs. J’en
connois
plus de cent ; Amarillis, Céphise, Violante, Marc
à trouver cette piece dans le Théâtre Espagnol, parcequ’elle n’y est
connue
dans plusieurs éditions que sous le premier titre
as que je me sois exposé à y mettre la main ; mais apprends que je me
connois
trop pour m’être flatté d’en faire quelque chose
n commune est que Destouches inventa les rôles de Financier : il faut
connoître
bien peu le théâtre pour avoir une pareille idée.
ne raillerie, je ne t’aurois pas interrompu au premier mot ? Tu ne me
connois
plus, Anselme, & tu ne te connois pas toi-mêm
rompu au premier mot ? Tu ne me connois plus, Anselme, & tu ne te
connois
pas toi-même ; si tu avois fait un peu plus de ré
entiments de tout le monde & des tiens propres ; & puisque tu
connois
pour le moins autant qu’un autre la foiblesse des
aimable personne du monde, il franchit entiérement le pas, & fit
connoître
à Camille la violence de sa passion. Camille, qui
le, elle ne doit déja paroître que trop longue ; achevons de la faire
connoître
par un précis plus rapide ; d’ailleurs le commenc
ent se moquer encore de Timon. « Superbe imbécille, lui dit-il, tu ne
connus
jamais que les extrêmes ». Evandra se livre à la
r son rôle : il ne l’acheva qu’en souffrant beaucoup, & le public
connut
aisément qu’il n’étoit rien moins que ce qu’il av
ne vous rapporterai point une infinité d’exemples, qui vous feroient
connoître
la puissance de cette passion ; je vous ferai seu
ic, je demeurerai d’accord que je me suis étudié autant que j’ai pu à
connoître
leur foible ; mais si ma science m’a appris qu’on
mirez vous pas que tout ce que j’ai de raison, ne serve qu’à me faire
connoître
ma foiblesse sans en pouvoir triompher ? Je vous
adame Desmartins sait bien ce qui en est. Tenez, Madame, avant que je
connusse
ce libertin-là, ma réputation flairoit comme baum
ge. Oui, ma chere Madame Dubuisson, c’est moi-même. M. Thomasseau. Tu
connois
cette personne-là, ma voisine ? Mad. Dubuisson. V
te fille, qui postule pour chanter gratis à l’Opéra, afin de se faire
connoître
. Hé ! qui vous amene en ce pays-ci, Mademoiselle
i, mon gendre ? Vivien. Le diable m’emporte si j’en sais rien : je ne
connois
point cette créature-là. L’Orange. Tu ne me conno
sais rien : je ne connois point cette créature-là. L’Orange. Tu ne me
connois
point, traître ! Je te dévisagerai, si on me lais
Dubuisson. Hé ! ne vous emportez pas de la sorte. L’Orange. Tu ne me
connois
pas ! N’est-ce pas toi qui m’as mise dans mes meu
s ? Vivien. Moi ? M. Thomasseau. Mon gendre... L’Orange. Avant que je
connusse
ce libertin-là, ma réputation flairoit comme baum
ire nous rappelle aisément la scene dans laquelle Eraste, feignant de
connoître
la famille de Pourceaugnac, l’engage à nommer tou
d’Ancourt l’a prise dans Moliere, parceque celle de l’Avare est plus
connue
que toutes les autres. Voilà précisément ce qui r
Le titre influe sur toute la piece ; & un Auteur doit l’analyser,
connoître
à fond sa juste signification, & le bien sais
iter un plus grand nombre de mauvais titres : le lecteur en doit tant
connoître
! Titres qui marquent en même temps la saison
D’avoir fait cet enfant sans moi. Toutefois ne me crois pas buse, Je
connois
le sacré vallon ; Et si tu vas trop voir ta Muse,
ière qui lui fournit l’ébauche remarquable du second. Nous avons fait
connaître
, dans le précédent chapitre, le scénario fantasqu
ocrito que je voudrais lui dire quatre paroles. GUARDABASSO. Je ne le
connais
pas. LISEO. Celui qui parle si lentement et si gr
édecin, des expériences sur toute sorte de complexions. Je m’exerce à
connaître
le cœur féminin ; et, puisque je réussis si aisém
rger de son éducation. Ce sera encore madame de Sévigné qui nous fera
connaître
, par sa lettre du 26 décembre 1672 à madame de Gr
ur Dieu. Ceux qui attribuent ma retraite à un dépit, sans doute ne me
connaissent
pas : ai-je jamais donné lieu à de pareils soupço
i. Quand elle dit : ceux qui attribuent ma retraite à un dépit ne me
connaissent
pas ; ai-je jamais donné lieu à de pareils soupço
e confesse, aucun document nouveau. Je me borne à chercher, dans ceux
connus
déjà, la justification des idées que m’a pu suggé
n écriture : sans l’invention de Gutenberg, Molière nous serait moins
connu
qu’Aristophane. Si jamais donc érudits font œuvre
oit non plus rien à dire : l’approbation reste inutile. Madame désire
connaître
la pièce ; Molière la lui donne — toujours les tr
formations la pièce a dû passer. Nous avons la dernière version. Nous
connaissons
la seconde, Panulphe, par l’analyse qu’en donne l
n ne hasarde ces suppositions, j’en conviens, qu’en désespoir de rien
connaître
. Mais il m’a paru intéressant aussi de constater
Quoi qu’il en soit, son travail de révision achevé, Molière le fit-il
connaître
au roi ? Je considère comme probable qu’il lui en
s’éloigner, son Laurent clochant dans son ombre. Orgon, touché, veut
connaître
ce dévot personnage ; il s’adresse au valet qui a
mis en éveil par ces mots d’Elmire : Que le cœur d’une femme est mal
connu
de vous ! Lui qui doit si bien savoir que quand
! Lui qui doit si bien savoir que quand une femme vous dit : Vous ne
connaissez
pas les femmes ! c’est qu’elle se met en devoir d
sez pas les femmes ! c’est qu’elle se met en devoir de vous les faire
connaître
— en vous trompant. — Et le voilà qui boit les ex
iller Molière, qui fut effrayé de cet extravagant projet, parce qu’il
connaissait
le vin de ses amis. Pendant qu’il se levait, la t
on de 1855, à la septième place. 185. Cette anecdote est extrêmement
connue
. Elle apparaît pour la première fois chez Grimare
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