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1 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
tune que je lui souhaitais : il y a maintenant une commission où l’on compte des érudits et des paléographes distingués, et qu
e discussion et qui refusent à la critique le droit de penser sur son compte comme elle le veut et de le dire comme elle le pe
osait à ses candidats2. Quelque chose d’analogue s’est passé pour les comptes de M. Fleurant que vérifie le bonhomme Argan : il
érifie le bonhomme Argan : ils ont leur explication dans un véritable compte d’apothicaire contemporain, compte que le Moliéri
leur explication dans un véritable compte d’apothicaire contemporain, compte que le Moliériste a publié : les Parties de M. Pa
ueuse hypothèse qu’on vient de lire. Joignez la commune renommée, qui compte bien aussi pour quelque chose. On peut faire bon
te ? C’est qu’en effet, de tous ces actes, il n’y en a qu’un seul qui compte , le premier. Celui-là commandait tous les autres,
ns avaient tant à se plaindre, et les propos qui furent tenus sur son compte n’étaient pas empreints d’une parfaite bienveilla
registre de La Grange, que « veuve et libre, aussitôt qu’elle ne dut compte qu’à elle-même, elle s’interdit d’être coquette »
s depuis le 6 janvier précédent, époque où il s’était fait rendre son compte de tutelle, était domicilié rue de Thorigny, au M
dissimulant derrière Rohault pour secourir son père. C’est en rendant compte de ce spectacle dans le Figaro que M. Vitu eut oc
t réduit, ne pouvant pardonner à son fils aîné, que dans ses derniers comptes il appelle amèrement Monsieur Molière, d’avoir qu
veuve de Molière, non plus que de l’opinion de M. de Trallage sur son compte . Passant tout de suite à la question des sentimen
t fléchir la rigueur des principes, et dont il importe de tenir grand compte , car elles placent cette question. sous son vrai
somme de six mille liures a nous accordez par messieurs du Bureau des comptes , de laquelle somme ie le quitte faict à Pézenas c
s provenant des États du Languedoc, et dont l’une forme l’annexe d’un compte régulier qui s’y réfère et a été trouvé en même t
que celui qui fut appelé à Pézenas en 1656 était le vrai, le seul qui compte , l’auteur-acteur dont plusieurs farces et la gran
ly, Charles Read, Ed. Thierry. La présidence de cette commission, qui compte plusieurs paléographes distingués, doit être offe
2 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
n bas, et c’est moi qui me charge de l’étriller. Quant à toi, maître, compte les coups un à un, à haute voix, qu’on t’entende 
qu’on t’entende ; et garde-toi bien de commettre, une erreur dans le compte , car il faudrait recommencer. MARCA. Nous sommes
x habits qui ne sont pas coupables. SANGUINO. Au nom de saint Fouet ! Compte , toff ! MAMFURIO. Toff ! un. Toff ! oh ! trois.
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
’espece nouvelle... D’ordinaire nos intendants nous ruinent, & je compte bien que ce sera moi qui ruinerai celui-ci. On le
vous faire une trentaine de blancs signés, que vous remplirez de vos comptes , afin de n’avoir plus la tête rompue de ces baliv
e pas paroître ainsi défait aux regards de sa femme, elle lui demande compte de son bien : Béverley la remet au lendemain. Mad
tre lequel Stukéli l’a aigri, en lui disant qu’il devoit lui demander compte des biens de Henriette. Il veut lui faire mettre
4 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
alienne. Le roi leur fit une pension annuelle de 15 000 liv. Dans les comptes de la cour, on trouve, à la date de 1664, la ment
resta fixée au même chiffre, que l’on trouve inscrit encore dans les comptes de l’année 1674 et de l’année 1688. En outre, Sca
, un supplément de pension personnelle, ainsi qu’il résulte des mêmes comptes  : « À Tiberio Fiurelli dit Scaramouche, comédien
angage technique on nommerait des feux. On lit, par exemple, dans les comptes de 1688 : « À Cinthio, comédien italien, tant po
5 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
vous êtes fort bien avec eux. Je crois aussi qu’ils mettent sur votre compte la douceur qu’ils me trouvent présentement. Dieu
lettre, du soin qu’il prend de ses affaires et de l’exactitude de ses comptes . « Je vous remercie de tous vos soins pour nos af
emercie de tous vos soins pour nos affaires et de l’exactitude de vos comptes . Il y en a encore un sur Toscan dont j’ai besoin,
6 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
, le voilà, il n’est plus ; ce n’est que le songe d’une ombre. » À ce compte , la comédie est l’ombre d’une ombre. « Je vois, d
aractères. » Ajoutez : et de Comédies. « Un volume chaque année, à ce compte , ô Muses, disait Pindare, comment s’y prendre pou
se sont passionnés, ils se sont irrités, ils se sont dévorés, pour le compte et pour l’illustration de ce grand homme ; ils on
r le sol de la France, il est devenu tout à fait un homme, et sa voix compte , et sa voix donne l’empire ! Que si le chapitre d
fois, le fleuriste s’attachait aux tulipes, aujourd’hui le camélia ne compte plus ses martyrs ; — Avant-hier les dahlias avaie
, chaque fois qu’elles ont une année de plus, elles font si bien leur compte que vous ne savez plus le leur, ni le vôtre. Elle
où il s’arrête. Une fois que cette limite fatale est dépassée, on ne compte plus les années, c’est un crime et une insulte de
pour ces ingénues de l’éternité, le temps s’arrête ; le temps, à leur compte , n’a marché que pour mademoiselle Mars ! Le temps
7 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
ta fede chi parla, e non chi tace. VI. — Page 268. EXTRAIT DES COMPTES DE LA COUR, POUR L’ANNÉE 1670. État de la dépen
fourniture des pierreries à toutes les troupes jouant à la cour. 66. Comptes de la cour, pour l’année 1680. 67. Comptes de la
es jouant à la cour. 66. Comptes de la cour, pour l’année 1680. 67. Comptes de la cour, pour l’année 1682.
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
y devient plus intéressant ; il ne vole pas son vieux maître pour son compte  ; son rôle est sur-tout bien plus essentiel, puis
 GUILLAUME. Patelin. Bon ! le voilà seul : approchons. M. Guillaume. Compte du troupeau, &c. six cents bêtes, &c. Pat
succession qui regarde ma fille Henriette, & j’en dois rendre un compte en forme. M. Guillaume. Cela est juste. Hé bien,
our. On croit pouvoir tout dire en sa présence impunément. Il rend un compte fidele à son maître, & lui conserve par-là no
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
ppons d’Athenes & de Rome agissoient quelquefois pour leur propre compte  ; & le public ne partage bien leurs succès ou
our le prix de six cents nummes : le vieillard donne dans le panneau, compte l’argent, recommande à son esclave de revenir dan
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
gandine. Vous avez pris l’alarme avec trop de chaleur. M. Josse. A ce compte , mon mal n’étoit donc qu’une peur ; Et mon front
Lui ?Lui. N’est-ce pas une honte De voir de la pudeur faire si peu de compte  ? Donnez, puisqu’il vous plaît d’avoir ces orneme
11 (1910) Rousseau contre Molière
e. » Ceci est fort spirituel, mais bien faux, même en ne tenant point compte de cet orgueil d’Alceste dont j’ai parlé et qui p
ment lésé par un fripon ! Seriez- vous égoïste ? » Refusez : je vous compte avec ces inhumains, Qui d’un bienfait jamais n’on
nné, il faut encore que l’égoïsme se mêle un peu et trouve un peu son compte . Ils songent toujours un peu à quelque gloire qui
e Molière a pris quelques précautions, dont je me passerais, pour mon compte , très aisément, mais dont, puisqu’il les a prises
t, mais dont, puisqu’il les a prises, Rousseau aurait dû tenir un peu compte . Sans doute pour que le public ne pût pas dire, m
lui faire dire : « Dandin : Je suis votre valet, ce n’est pas là mon compte et les Dandin ne sont point accoutumés à cette mo
t tant ce désir est vif chez lui. Je ne saurais disconvenir que, tout compte fait, il y a bien un peu de cela. Ce qui contribu
érées encore comme pouvant cohabiter ensemble ; et en effet en tenant compte de la complexité des caractères, et de ceci « qu’
esservir l’ambitieux, il ne serait pas difficile de montrer que, tout compte fait, le caractère de Tartuffe n’est point incohé
à sa fille qu’il n’est avare que pour l’amour d’eux — il s’agit, tout compte fait, d’une passion mauvaise, d’une passion à bas
elle lui a paru querelle de dévots qu’il ne voulait pas prendre à son compte  ; et dans cette hypothèse la considération dont i
èce où encore se trouve un si honnête homme et si sage. Je vois, tout compte fait, plus de raisons pour que Rousseau ménage Ta
spectateur à Tartuffe peut penser : « Cherchons une bonne dupe. Tout compte fait, le métier de Tartuffe est bon. » Mais est-c
e grammatical, la coquetterie feminine et la brusquerie d’humeur ; le compte y est, et c’est bien tout. Quels sont les vices q
mairement et de telle sorte qu’on ne doit pas en tenir solennellement compte  ; mais enfin, à la volée, il l’a indiqué et toujo
é à la farce. Il faut cependant savoir ces choses et en tenir quelque compte . Ensuite ce qu’on a reproché le plus à Molière, à
’on arrête si on peut, mais dont il n’y a guère rien à dire, et, tout compte fait, il n’est pas si éloigné d’avoir raison. Le
ais il a fallu supposer un public corrompu et très corrompu, et, à ce compte , les pièces du monde les plus édifiantes seront p
l’améliorer, qui veut la ramener à la perfection, qui ne tient aucun compte du ridicule qu’il y a à cela ; mais qui n’est pas
ière scène, ait été accueilli favorablement par le parterre. Pour mon compte , je gagerais que sa tirade maîtresse (épouser une
n’ont plus de maris à chercher ; mais elles ne trouveraient pas leur compte à cette réforme, et malheureusement elles donnent
eau, lui, élève la jeune fille exclusivement pour son mari, ne tenant compte ni d’elle-même ni des enfants qu’elle aura, et si
ale, à sa Sophie primitive, rurale, ménagère et forestière, qui, tout compte fait, n’est qu’une Agnès sachant un peu de musiqu
terie, en tient lieu suffisamment pour en remplir tout l’office. Tout compte fait, elle ressemble assez à « la femme » tracée
s haute, beaucoup plus riche aussi et consistante que Sophie ! — Tout compte fait, il est très vrai ; et il faut reconnaître q
ons dit qui est dans toute passion quelle qu’elle soit. Or, en tenant compte de cette part d’erreur et en l’appelant préjugé,
lieu et place de la convention, est, partiellement encore, mais, tout compte fait, assez largement, justifiée. 2° Dans Molière
cette idée, pourquoi ne pas l’accepter, si elle est vraie ? Pour mon compte , je l’accepte et la proclame avec toute la hardie
12 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [49, p. 81-82] »
e l’on fît courir dans Paris un livre abominable, que l’on mit sur le compte de Molière pour le perdre. « Tant de fiel entre-
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
es partisans ou les ennemis de leur genre disent tour à tour sur leur compte . C’est lorsque l’Auteur repose sous la tombe, qu’
ls peuvent voir de loin Grégoire entouré de sacs remplis de foin, qui compte beaucoup de louis sur une table. Alors les trois
14 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
ls pas de le mettre sous presse, et comme ce retard ne faisait pas le compte de la librairie étrangère, habituée dès-lors à vi
lière auraient bien fait, et feront bien dorénavant, de tenir plus de compte de son travail. Charles Magnin. 1. Cette info
15 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [94, p. 138-139] »
e288 du Misanthrope, la saillie de ce même personnage, qui rendant un compte sérieux des raisons qui l’empêchent de s’établir
16 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
es Folies amoureuses : cette vogue durera-t-elle ? Beaumarchais, à ce compte , pourra envier Regnard : on a joué Le Mariage de
, on l’a remarqué avec justesse, qui ne doive rien à Molière, — il ne compte , à la Comédie-Française, que par Le Jeu de l’amou
une doña Sol,— sortît des rangs et s’écriât : « Je prétends qu’on me compte  ! » Il n’y a plus de tragédiens ni de tragédienn
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
malade. Il tombe dans son sang. Cliton. Il tombe dans son sang.A ce compte , il est mort ? Dorante. Je le laissai pour tel. C
n, s’il m’est permis de risquer mon sentiment après Riccoboni, qui ne compte que deux especes de surprise, surprise de pensée
18 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
esprits doux, et amateurs des belles lettres, ne trouvent jamais leur compte à la campagne26. » Aucune biographie, même la plu
la font mieux connaître que tout ce qui aurait pu être écrit sur son compte . Ces trois lettres, fort étendues et que l’auteur
19 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [8, p. 39-40] »
ui-ci, au même titre, au cabinet du roi et président à la Chambre des comptes . Le roi le prit en si flatteuse sympathie que c’e
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288
pour telle & telle chose ; & qu’à son retour il nous rende un compte bien exact de ce qu’il a fait entre les deux acte
nds, Madame : demandez à Lisette de quelle maniere je régale pour mon compte  ; jugez par-là ce que je sais faire lorsque je ré
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
r notre théâtre, comme sur celui d’Italie, tous les caracteres sur le compte d’un personnage bas, & nous amuser ou croire
laine. Je le ferai donc moi-même. Elle les donne en effet : son mari compte gravement jusqu’à vingt. On met Madelaine à la po
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
lusion. Mais quand les Italiens ne mettent pas la ressemblance sur le compte de leurs personnages masqués, leurs pieces ont le
mande pour lui-même. Ses extravagances sont mises par Arlequin sur le compte du manque de mémoire, ce qui amene des situations
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trois comédiens seulement ! Trois comédiens ! dit Hauteroche : À ce compte on ferait trois troupes de la nôtre ! LE POETE. C
7 » Le second document, qui complète le précédent, est un extrait du Compte des frais de l’entrée de monseigneur le comte d’A
ent en partie à ces questions. Voici, en effet, ce qu’on lit dans les comptes des recettes et dépenses de l’administration cons
nt où un fourbe ordinaire s’arrêterait, lorsque Oronte, édifié sur le compte de M. de Pourceaugnac, n’a plus l’intention de lu
ncendies de 187123. Ces titres sont extrêmement nombreux, et l’on n’y compte pas moins de vingt chartes sur parchemin en ancie
i par son répertoire dramatique vraiment international. M. de Perfall compte parmi les dramaturges les plus expérimentés, et i
ris 5 feuillets préliminaires, et 67 pages. Le frontispice gravé, qui compte dans les 5 feuillets préliminaires de la première
ns espagnols et italiens à Fontainebleau. IIII c LXII l. t. X sols. » Comptes des menus plaisirs pour 1664. Archives nationales
du Trésor royal pour 1662, mss. Colbert ; registre de 1664, passim. —  Comptes de 1669, Archives nationales, O 1 2815. 39. « À
e luy que de sa femme pendant une année finie le dernier juin 1664. » Comptes de 1664. 40. Th. italien de Gherardi. Avertissem
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
ons pas mettre sur la scene ce Conseiller garde-note, prenant sur son compte l’argent qu’il feint de placer, le prêtant au plu
orps défendant le fils du Docteur, est prêt à perdre la vie. Pantalon compte sur la probité du Docteur, lui remet sa cause : l
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
supplanter ce dernier. Il a jadis été copiste d’un Philosophe, & compte en imposer à Cidalise comme un autre. Marton ann
sur la table de Carondas un billet qui doit dissuader Cidalise sur le compte des Philosophes. Crispin se charge de le porter d
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
ignant que la médiocrité de sa fortune n’ait refroidi Rosalie sur son compte , tremble de la trouver plus indifférente à présen
e lettre & lui dit : A Paris chez mon Banquier. Acte IV. Rosalie compte pour rien la fortune si la santé de son pere n’es
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
ent, & de désespérer pour lui tous ses amants : il est vrai qu’il compte moins sur la vertu de sa femme que sur son étoile
vous prévalez de ma vertu. — De ta vertu ? Oh ! point du tout : je ne compte que sur mon étoile, qui ne veut pas que je sois u
sois un sot. — Et vous croyez à votre étoile ? — J’y crois fort ; j’y compte si bien, que je te défie de la vaincre. Tiens, mo
28 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
que l’amateur de musique : moliéristes et mozartistes y trouvent leur compte , et si vous avez les deux dilettantismes, après l
29 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
olé à la risée du parterre. De Visé, dans son Mercure galant, rendant compte de la première représentation, dit que, deux jour
sa servante ; il ferait venir jusqu’aux gens du voisinage : Clitandre compte peu sur tous ces auxiliaires, et il met, avec rai
âtèrent point de la livrer à l’impression. Ce délai ne faisait pas le compte des libraires étrangers, toujours prêts à multipl
n comptez douze pour tout le mois de janvier que nous achevons ; à ce compte , je suis plus malade ce mois-ci que l’autre. Plus
ue et théâtrale ; et l’on est forcé d’en mêler le récit douloureux au compte qu’il faut rendre d’un chef-d’œuvre de gaieté com
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
à Dorante. Et l’argent ?Par vos mains cet argent a passé ; Rendez-en compte , allons. Dorante. Rendez-en compte, allons.Mon o
ns cet argent a passé ; Rendez-en compte, allons. Dorante. Rendez-en compte , allons.Mon oncle... Merlin. Rendez-en compte, a
s. Dorante. Rendez-en compte, allons.Mon oncle... Merlin. Rendez-en compte , allons. Mon oncle...Il est placé. Oh ! nous en a
soit témoin que pour toi j’en ai honte ; Et de venir ne tenois quasi compte , Ne te croyant le cœur si perverti Que de vouloir
31 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8
ue, dans la Comédie de l’art, la parole est absolument subordonnée et compte à peine. Aussi quelle source abondante de jeux de
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
aison, ce qui donne lieu à tout le monde de croire que c’est pour son compte , sur-tout à Déméa, qui rencontre Micio, l’accable
, se marie en secret, &, non content de faire des folies pour son compte , partage encore celles de son frere. C’est lui qu
33 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
e bout du bâton le touchât, comme Scapin prétendait être touché. Tout compte fait, comme homme, il est extrêmement sympathique
la langue tout ce qui s’éloigne de la langue du xviiie siècle. À ce compte — et c’est ce qu’il dit — Corneille, La Fontaine
nres. Il est probable que Voltaire n’a pas lu Mélicerte, ce qui, tout compte fait, est pardonnable. La Pastorale Comique
on personnage du trompeur, Molière a été gêné, servi aussi, mais tout compte lait plus gêné que servi, par la nécessité qu’il
la raison. Et c’est ainsi que se contredire c’est se compléter. À ce compte il y a beaucoup de gens qui passent leur vie à se
ets. Ce procédé n’était peut-être pas usité du temps de Boileau. Tout  compte fait, cette pièce si inégale semble être due à la
le anonyme ; mais qu’il crée des proverbes ; qu’il ne prend pas à son compte les maximes de la sagesse des nations ; mais qu’i
té même et le cynisme ? On me répondra : « Il suit la nature pour son compte  ; mais il la contrarie dans Agnès ! » — Mais c’e
’est que d’avoir cru que c’est en cela que consiste le génie et, à ce compte , Descartes, Pascal et Rousseau ne seraient point
leurs préjugés en les revêtant d’une forme éclatante et puisque, à ce compte , plus Molière a de génie plus il se montre indign
ût un roman : « un miroir qui se promène sur une grande route ». A ce compte aucun progrès, aucun bon changement, même tout pe
Harpagon dont Molière se moque. C’est parfaitement mal raisonné. À ce compte les personnages sympathiques du Malade imaginaire
a crapule, la flatterie, le parasitisme ; j’en oublie autant que j’en compte . On se demande si Molière ne voyait pas ou voulai
il se proposait de faire et sans doute il ne faut pas tenir gravement compte de ce programme improvisé ; mais encore il est cu
du mieux que nous pourrons faire, son génie dramatique, rendons-nous compte des idées littéraires générales qui présidaient e
araison qu’il fait de ces personnes avec lui-même et où il trouve son compte . » Trait faux ou douteux ; Onuphre aurait donc un
s yeux d’auditeurs est bien plus caressant que d’en recevoir, par les comptes de l’éditeur, un lointain et très vague écho. L’a
pas s’avouer qu’il joue à la carte forcée et que cette admiration ne compte pas puisqu’on ne peut pas la refuser. Au contrair
beau-fils qui a tout entendu. — Mais non ! Pourquoi ? Est-ce que cela compte  ? Est-ce qu’on ennuie son mari dé pareilles niais
du temps et dans l’œuvre même de Molière, tout à fait original. Tout compte fait, toutes ces jeunes filles ou, si voulez, la
e moque de lui en la lui exposant et donc, s’il ne la prend pas à son compte , la trouve raisonnable : Harpagon : […] Car en
ant constamment prosaïque, il est réaliste et naturaliste ». Pour mon compte , tous les reproches de Schérer me paraissent just
34 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
e malin vouloir contre ses ennemis. Cette si parfaite exactitude d’un compte rendu d’après une seule représentation a été, pou
is il l’aime avec ardeur, mais il est tête-à-tête avec elle ; mais il compte , en tous cas, sur sa discrétion ou sur l’aveugle
es caresses qu’un autre a reçues d’elle en son absence, mais pour son compte . Que le valet, double comme le maître, soit comme
35 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
t nécessaire de notre étude. Une scène que vous avez tous lue, et qui compte parmi les plus ingénieuses compositions d’un des
nt se fait envoyer hors de cour avec dépens. La comédie française ne compte pas, je crois, une seconde scène comme celle-là.
ce chef-d’œuvre qui en présente tant d’autres. La comédie de Patelin compte 1599 vers de huit syllabes et peut se partager en
36 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
où Molière est né au plus tard, puisqu’il fut baptisé ce jour-là, on compte huit mois et dix-huit jours. « Ce n’est pas le se
urintendant Fouquet et poète ; Chapelle, fils adultérin du maître des comptes Luillier, qui devint l’un des hommes d’esprit en
oué dans cette ville. L’éditeur Bret, en 1773, met cette tradition au  compte de Montesquieu. L’éditeur de Racine, Germain Garn
? Un autre document va nous les faire connaître : c’est un extrait du Compte des frais de l’entrée de monseigneur le comte d’A
qu’un autre greffier avait appelé Pierre Rebelhon dans l’extrait des  comptes de la ville d’Albi, l’année précédente. Les témoi
llac, et de Levy, comte de Bieule. Cela est prouvé par un extrait des comptes  du trésorier de la bourse de Languedoc Pierre de
lle six cent cinquante. Molière. Pour 4000 livres. » Les dépenses du compte ou comptereau dont cette allocation fait partie é
oins son chef, inspire évidemment confiance à Messieurs du bureau des comptes , puisqu’il est payé bien avant l’expiration de la
tenue également à Pézenas. Il a été établi encore, par l’extrait des comptes du trésorier de la bourse de Languedoc, pour la s
er 1656, six mille livres fut accordées à la troupe par le bureau des comptes . Le reçu de Molière a été retrouvé, en avril 1873
somme de six mille lires à nous accorder par Messieurs du Bureau des  comptes , de laquelle somme je le quitte. Fait à Pézenas c
toute la province, les états l’ont renvoyé à messieurs du bureau des comptes pour avoir tel égard à son travail qu’ils le juge
aucune considération, et défendu par exprès à Messieurs du bureau des comptes de directement ni indirectement leur accorder auc
ommage aux états. Ceux-ci furent moins gracieux que MM. du bureau des comptes ne l’avaient été l’année précédente. C’est le 16
ieur Gilbert, Alcibiade, Amalazonte 60, Dont la cour a fait tant de compte , Ni le Fédéric de Boyer, Digne d’un immortel loye
blie pas la comédie des Fâcheux, et voici comment il s’exprime sur le compte de son auteur : C’est un ouvrage de Molière : Ce
l, Les Quinze joies de mariage et autres plusieurs dont je ne sais le compte , font mention de diverses tromperies, cautèles, a
e une situation si décisive, si complètement indécente, que, pour mon  compte , je n’hésite pas à dire que, si la pièce eût été 
aurait fait courir dans Paris un livre infâme que l’on mettait sur le compte de Molière pour le perdre ; et c’est à cette perf
phe pour Chapelle lorsque, dans son Épître à M. de Jonsac, en rendant compte d’un souper au cabaret de la Croix de Lorraine, i
a philosophie le jugeait superficiellement. Il ne se rendait pas bien compte de cette possession entière de l’auteur comique p
d’hui) ; un mobilier somptueux, dans lequel le lit des époux entre en compte  pour deux mille livres ; deux cent quarante marcs
on père que de ses bonnes qualités. » Elle exigea, à sa majorité, des  comptes de tutelle qui lui furent rendus le 9 mars 1691, 
irmations résolues, rigoureuses et exclusives n’y trouvent point leur compte , et les écoles extrêmes, dans leurs représentants
le, mais toujours dangereuse. Veuve et libre, aussitôt qu’elle ne dut compte  qu’à elle-même, elle s’interdit d’être coquette.
irait du reste à merveille. Voici comment Chapuzeau s’exprime sur son  compte  : Quoique sa taille ne passe guère la médiocre,
s’offrit pour cette entreprise dangereuse, et promit d’en rendre bon compte  ; il était connu pour un homme de main, et l’on s
aintenon, qui s’en préoccupait aussi, et qui n’aurait voulu, pour son compte , que des pièces saintes, des comédies de couvent,
t, et que par conséquent Molière y était né. Voltaire reprit pour son compte l’assertion de Grimarest : « Jean-Baptiste Poquel
u 6 janvier 1665. Ils constituent, pendant cette période, le livre de comptes de la troupe. Le premier registre (1663-1664) a é
re, les autres une demi-part ou un quart seulement. Tous les mois les comptes sont réglés ; et, après avoir prélevé les frais d
37 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127
a pensée, l’observation, la gaieté auraient parfois trouvé mieux leur compte dans ces grossières parades que dans les intrigue
38 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
artuffe. On est donc forcé de mettre les expressions parasites sur le compte de la nécessité. Sans doute le temps lui a manqué
39 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
(madame Scarron) dans sa grande maison ; on ne voit rien de plus. Je compte y aller un de ces jours et je vous en manderai de
40 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
r menu dans leurs Annales, entre Deux notes à propos de Tartufe et un Compte d’apothicaire au temps de Molière. Toute supersti
olemment retournés, avec « défense expresse à Messieurs du bureau des comptes de, directement ou indirectement, accorder aucune
de Don Japhet d’Arménie : et c’est même sur la singularité du cas que compte Thomas Corneille pour attacher le spectateur. Au
t en raison de leur préjugé à eux, celui qui consiste à ne tenir plus compte ni d’aucun témoignage ni d’aucune autorité dès qu
, comme font Racine et Molière, et, quand on parle soi-même, pour son compte et en son nom, comme Bossuet et Pascal, la généra
41 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
t une période où Racine n’apparaît qu’une fois sur l’affiche, Molière compte vingt et une représentations. Ses marionnettes el
s ! c’est une métaphore, Trissotin s’en empare et, la reprenant à son compte pour la prolonger, il réplique : Pour cette gran
public des mardis du vingtième siècle se lèvera effarouché, demandant compte au Perrin de l’époque de l’insulte faite à sa pud
urdi n’a fait recette. On a, depuis Molière, tenu à jour le livre des comptes de la Comédie-Française. Toute reprise de L’Étour
ables quadragénaires. Cette loi de nature, Arnolphe n’en a tenu aucun compte . La question d’amour n’est pas entrée dans ses ca
mêmes effusions de sentiments. Il allait même jusqu’à reprendre à son compte les derniers vers : Ainsi que tu voudras tu pour
pas à trouver un si grand discoureur. » Ah ! que nous sommes loin de compte  ! Ces subtilités nous charment ; elles sont si vr
celui dont il prend la place et qu’il sent seul aimé. C’est pour son compte qu’il aurait voulu voir éclater ces transports de
s trente ans a son franc parler, ne se gêne point pour dauber sur son compte , avec la langue bien affilée des soubrettes. La f
e entrevue à Tartuffe, c’est qu’elle le sait amoureux d’elle, qu’elle compte l’engager dans une démarche compromettante, à la
t point assez perfide pour tabler là-dessus, ou tout au moins elle ne compte sur cette tendresse du pèlerin que pour rendre pl
. Elle en sauve les quelques scènes qui sont admirables ; le reste ne compte pas. Le reste, c’est affaire d’archéologues ; le
digne d’être revu par le public. En art, il n’y a que l’excellent qui compte . Molière en voudrait, j’en suis sûr, à ceux qui,
interprétation soit jugée mauvaise, et je l’accepte aisément pour mon compte parce qu’il s’agit là d’une bouffonnerie pure, il
il s’agit là d’une bouffonnerie pure, il ne faudrait pas la porter au compte de Coquelin cadet, qui l’a reçue de la tradition.
re de peu d’importance et dont il est entendu qu’on ne doit tenir nul compte . Mais Got, avec ses cheveux plats et luisants, av
pas, mais c’est une invraisemblance de fait et au théâtre le fait ne compte pas. En art, la vérité matérielle ne doit point p
oin de vous, mon garçon. Pasquin, qui vient, lui, d’accepter pour son compte de se rafraîchir, s’écrie en clignant de l’œil :
je ne vois pas ce que la pièce gagne à ces retranchements. Mais à ce compte , si l’on enlevait ainsi tout ce qui n’est pas ind
expose ses idées, fait ses remarques ; il est possible qu’au bout du compte nous n’arrivions pas à un résultat qui se puisse
it-il emporter avec lui les pièces du répertoire où il a brillé. À ce compte , on finirait par ne plus avoir de répertoire du t
é la peine de naître, tandis que moi, morbleu ! Pour vous rendre bien compte de ce que je veux vous faire entendre, essayez de
ouvertes qu’ils faisaient dans ce texte ils se rendaient parfaitement compte que ce texte resterait lettres closes pour les tr
représentation d’hier soir a été froide. Bien des gens ont mis sur le compte de la chaleur, qui était intolérable, cet affaiss
42 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
s XIV (et l’amour-propre national y trouvait, en quelque manière, son compte ) qu’il était le plus grand des monarques : Molièr
ent croire occupé du soin de corriger les passions. Je suis, pour mon compte , convaincu que Molière ne prenait point ce souci,
à corriger ces fous, ni à guérir ces méchants, ni à devenir pour mon compte plus sage et meilleur ! Sagesse et folie, vice et
longtemps l’autorité. Le génie révolutionnaire ne s’y trompe pas, il compte les flatteurs des rois parmi ses adeptes, et leur
quatre fils, Chamillart-Villatte, président de chambre à la Cour des Comptes , et trois autres qui se firent jésuites et qui fu
il raille et siffle impitoyablement ses vaincus, et leur dit pour son compte avec délices : La maison est à moi, c’est à vous
it le fruit de la fraude ? Qui ne trouve, au fond du cœur, un peu son compte à se persuader que ce croyant ne croit pas, et qu
age public de leur amour et de leur servitude Bourdaloue leur demande compte de l’indifférence criminelle où ils sont à cet ég
Chacun croit bien deviner ce que l’auteur a voulu faire ; au bout, du compte , nul n’en est certain. Qu’est-ce qu’un misanthrop
ne livrer sa pièce aux lecteurs que munie, en guise de préface, d’un compte rendu destiné à en faire goûter le mérite. Cette
n’être qu’un verbiage sans portée et quasi involontaire, à mettre au compte des tyrannies de la rime ; mais Molière est maîtr
ice commun." (Avertissement sur le Tartuffe.) 29. II faut mettre au compte de Tartuffe tout ce que dit MmePernelle dans la p
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
rd, crois-moi : au lieu de t’attendre aux promesses des Seigneurs, ne compte que sur le travail de tes propres mains : n’esper
si elle acceptoit des bienfaits qui laisseroient des soupçons sur son compte . Alors le bon Henri se charge de la dette de Conc
44 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
t. Oser dire le contraire, c’est méconnaître l’évidence. Eh bien ! je compte parmi les récalcitrants, parmi les sceptiques. Je
omme s’il voulait dire aux spectateurs : Ne vous méprenez pas sur mon compte  ; je ne suis pas si sot qu’on pourrait le croire.
45 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
mière si vive ? Quoi ? Nous défendrions à une femme d’écrire même ses comptes de ménage ? C’est la pensée d’Arnolphe ; il ne la
y sent l’économie ni la gêne ; personne ne vous ménage la place ni ne compte vos morceaux. Mais quant à ce luxe étroit et mesq
quelque dédain de ses visiteurs qui s’étonnaient qu’elle préférât les comptes d’un fermier aux contes de la Fontaine. Fénelon,
46 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
doute qu’elle ne se moque de Gobelin, à qui elle rend directement un compte plaisant du succès de son entreprise avec madame
47 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
et recommande cette femme, elle-même, à cet ami fidèle, sur lequel il compte si fort. Cependant le véritable honnête homme, do
n, ni l’amour de l’autre. Il va droit chez la perle des femmes, qu’il compte retrouver avec sa cassette et sa fidélité : il la
, le vice soit puni ou la vertu récompensée, il se trouve à la fin du compte que le capitaine se met à la place du page, couch
r le théâtre du Palais-Royal le 4 novembre 1661 et Loret en rendit le compte suivant : Muse historique du 19 novembre 1661.  
érieux, S’il est vrai ce qu’on en conte, Sans doute y trouveront leur compte . Et touchant le style enjoué, Plusieurs déjà m’on
48 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
res le protégeaient parce que leurs jeunes passions y trouvaient leur compte , parce que le jeune Versailles, donnait ainsi un
lus malheureux et de plus innocent théatin. Mais ce n’était pas là le compte de Bossuet ; il voulait répondre à Molière, il ch
quel âge il a ! Il faut donc que l’inflexible Géronimo lui fasse son compte  : — Vous aviez vingt ans avant d’aller à Rome ; v
à tous deux ! C’est tout à fait comme si elle disait : — Monsieur ne compte pas ! Resté seul, Sganarelle prend enfin la résol
mpliquée que Bartholo ne surveille Rosine. Don Pèdre, il est vrai, ne compte pas les feuilles de papier qui sont sur la table
votre voix est aussi rauque que votre main est rouge, si, au bout du compte , il n’y a pas quelque parti possible à tirer de c
étroite sphère de son ménage. Je ne crois pas que même, en lui tenant compte de l’Henriette des Femmes savantes, Molière ait c
amoureux de la forme et bon juge du style ; à cet homme dont la voix compte , et dont le jugement est un arrêt, il faut plaire
49 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
donneraient un éloquent commentaire aux deux mots de Mistral sur mon compte . Un des miens y parlait déjà provençal sous Phili
50 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
tès. Qu’est-ce donc que les commentateurs trouvent encore à mettre au compte de Molière ? A l’acte I, sc. 4, le prétexte plus
51 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
que fût son esprit, à travailler d’après une idée de Molière, pour le compte de Molière même. Il valait mieux, de toute manièr
s’offrit pour cette entreprise dangereuse, et promit d’en rendre bon compte  ; il était connu pour un homme de main, et l’on s
é du théâtre sous le rapport historique ou littéraire, ont mis sur le compte de de Visé la comédie de Zélinde. Elle est de de
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252
Laurette, en se chargeant de brouiller les amants, prend tout sur son compte , & ne laisse plus rien à faire à Ismene. Dès
53 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30
ue, comme on disait encore, n’a commencé qu’au quinzième siècle. Elle compte , à partir de cette époque, beaucoup de noms illus
54 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
et vos dernières lignes ont clairement eu pour but de rassurer sur le compte de votre orthodoxie nos esprits qui prenaient l’a
55 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
même l’intuition de l’idéal d’une seule de leurs comédies. La France compte par milliers des disciples de M. Lysidas, qui, po
ures, et rêvant courses et chevaux, pendant que Strepsiade, son père, compte en gémissant ses dépenses300, serait encore comiq
arerais plutôt à un orateur sacré, plein de grâce et de modestie, qui compte sa propre parole pour rien, et croit avoir fait p
56 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
uelque chose, qui font peu de cas de la forme, et qui ne tiennent nul compte de la recherche et des efforts du langage, vont d
alexandrins. Il faut dire aussi que l’intrigue amoureuse trouvait son compte à ce déplacement. Le mystère était assuré dans ce
ême ; — s’il joue en ce moment la comédie, il la joue pour son propre compte , et ne songeant qu’à ses amours, le voilà bien lo
une des plus tristes méchancetés qui se puisse voir. Ce duc de Parme compte parmi ses comédiens un certain Mégani, qui est de
n est si contenu dans son mépris, que Molière lui a emprunté, pour le compte de madame Jourdain, ses meilleures reparties ! Pe
s, et dont le rire même porte avec lui son enseignement sérieux. À ce compte , le courtisan, la comédienne, le fâcheux, le plai
e moins de feu que de fumée, et plus de vices que de vertus ; à votre compte si l’oiseau de Psaphon ne chante guère, au plus f
e des consultations et des ordonnances. » Tout ceci ne fait guère le compte d’Anna ; à vrai dire, cet homme de trente-huit an
re jusqu’au bout la rumeur publique, à propos du nouveau poète. On ne compte plus ses maîtresses, non plus que ses vices ; cel
presque pour rien. Si donc notre Regnard fut content pour son propre compte , il dut être fort mortifié dans ses amours ; car
es professions ; ils s’estimaient heureux de gagner leur vie à si bon compte  ; ils ne mettaient pas à ce métier-là plus d’impo
lus comiques si on nous les montrait enfin, amoureux pour leur propre compte , partagés entre leur amour et leur avarice, et tr
son équipage, l’autre lui fournit de quoi jouer, celle-ci arrête les comptes de son tailleur, celle-là paie ses meubles et son
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349
vivre. Tu dois à tes amis, tu dois à tes parents, A ton pays, à toi, compte de tes moments : Tu dois les employer pour leur b
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
ce ainsi qu’on me trompe ? On me dit qu’on a deux enfants, & l’on compte celui-là qui n’en vaut pas le quart d’un ! Voilà
59 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
u poète. Tartuffe ne pouvait pas avoir un plus digne auxiliaire. À ce compte , les deux années, l’an 1664, l’année de Tartuffe,
oute, de libertinage et de débauche. Sganarelle glane pour son propre compte dans le gaspillage de don Juan ! Mon maître, a pe
 ; M. Dimanche lui-même me fait peur et m’épouvante pour votre propre compte , Monseigneur ! Oui, ce même M. Dimanche, qui vous
raduisible, ou du moins il faudrait, par politesse, le laisser sur le compte de Carion. Proudhon et les villageois se mettent
rtissements dans lesquels se divertissent, en effet, pour leur propre compte , et sans souci du qu’en dira-t-on, ces jeunes gen
r danse, avec quelques maîtres de danse pour y donner le ton. » À ce compte , Molière et Lulli, son compère, étaient lisibleme
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
e l’acteur est censé dire à un autre, & nous rend plus chaudement compte de ce qui se passe derriere la toile. Il en est d
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
lles les valets parodient leurs maîtres, & font l’amour pour leur compte  ; enlevez-en encore toutes les aventures romanesq
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74
ine pour un homme nouvellement en faveur, sur la protection duquel il compte beaucoup. Il demande ensuite quelques éventails c
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90
, extirper, & jouer des couteaux. . . . . . . . . . La Hollande compte beaucoup sur les secours du Médecin Allemand : pa
64 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
de Boileau contre les deux premiers, et je suis fort rassuré sur leur compte par les éloges que Boileau lui-même a mêlés à ses
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366
CHAPITRE XX. Des Unités. On compte ordinairement trois especes d’unité ; unité de te
66 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
is de m’épouser, dit la pêcheuse en sortant du bois avec Don Juan, je compte que vous tiendrez votre parole. — Cela ne se peut
67 (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258
temps à contempler l’œuvre, la réflexion s’éveille et vient demander compte des formes employées ; rechercher ce que ces form
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
éclare que la Comtesse est sa bête. Damis veut appaiser Julie sur le compte de Moncade qui perd l’esprit : Marton entend la C
transportant sur la scene ses aventures, ne se fût pas abusé sur leur compte , & leur eût donné la vie & la force qu’ex
69 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
nsieur Gilbert, Alcibiade, Amalasonte *, Dont la Cour a fait tant de compte , Ni le Fédéric de Boyer, Digne d’un immortel loye
ièces jouées l’hiver précédent sur les théâtres de Paris, et voici le compte qu’il en rend. M. PICORIN. Parmi les dramatiques
70 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
s honte l’ambition de plaire; il se soumet au jugement de la foule et compte sur son bon sens. Il ne demande qu’à être corrigé
ire : on veut les dispenser de plaire. Mais elles n’y trouveront leur compte ni l’une ni l’autre. Esclaves, elles avaient des
nté sur un escarbot voler droit à Jupiter, pour lui demander ce qu’il compte faire de la Grèce, déchirée par la guerre civile.
istophane est si prodigue, doivent le plus souvent être mises sur son compte et non sur celui des personnages dont il se sert
ouais comme dramatique; il convient d’ajouter que la poésie française compte peu de styles plus franchement poétiques. Peut-êt
s dont il n’a pas toujours compris la portée; Molière, qui se rend un compte plus exact de ce qu’il dit et de ce qu’il veut di
épourvue de pensées élevées; elle s’inspire aussi de l’idéal; elle ne compte pas un seul chef-d’œuvre qui ne soit une satire e
son état, bonnet de nuit, robe de chambre, chaise longue, drogues et comptes d’apothicaire. Dans Racine, tous les héros ont le
la scène où Jupiter, qui a toujours la figure d’Amphytrion, et sur le compte duquel, par conséquent, elle met les durs reproch
71 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
p; qui n’avoient aucun interêt personel à composer des Romans sur son compte . Mon but est de rassembler tout ce que je trouve
jeune Moliere. C’est un fait constant que l’on n’a point mis sur son compte d’autres amours que le penchant qu’il eut pour la
ujet qui lui fît plus d’honneur. Le commun des gens ne lui tenoit pas compte de cette Piece, comme des Precieuses ridicules ;
des Femmes une Preface où il repondroit à ces Censeurs & rendroit compte de son Ouvrage. On s’attendoit qu’il ne perdroit
l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettoit sur le compte de Moliere pour le perdre. C’est à cette occasion
au Theâtre ; mais il n’en a pas eu le temps. Moliere trouva mieux son compte dans la Scéne suivante, que dans celle du Courtis
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
, étoient réduits à dire, ah ! si vous m’aviez eu autrefois ! L’amour compte le passé pour rien : il mit la puce à l’oreille d
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168
. . . Madame, quand Oronte De mon amour pour vous vous a fait le beau compte , Ne lui parliez-vous point de l’épouser ? La Tant
74 (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)
t l’ignorant, l’homme mûr et le jeune homme y trouvent également leur compte . Elle convient encore à la foule, parce qu’elle n
75 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
re, de regarder le tableau des « farceurs, » où sa stature, en tenant compte de la perspective, est sensiblement inférieure à
ment 30, 000. S’il prêtait facilement, il empruntait de même, faisant compte un peu partout : chez l’épicier, pour 115 livres 
apothicaires, les sieurs Frapin et Dupré, chez lesquels il faisait un compte de 187 livres. Outre ses apothicaires, nous avons
76 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
RE. Excellente comédie. La première scène du premier acte,où Argan compte ses mémoires ; la cinquième, où il propose à sa f
77 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82
CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. Mais, à ce compte , Molière est donc un moraliste ; il enseigne donc
78 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
ire, c’est que, dans de telles pièces, l’action est presque tout ; on compte peu sur les discours pour dessiner les caractères
79 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
ommencé par mettre en oubli tout ce que j’avais lu ou entendu sur son compte , les histoires de La Beaumelle, de Laus de Boissy
80 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
ds ? Et les choses qu’elle dit avoir apprises depuis trois ans sur le compte de madame de Montespan, avaient-elles réellement
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
HMES OU LES JUMEAUX. M. le Chevalier Ménechme, un agréable du siecle, compte pour rien l’ignominie de vivre aux dépens d’une f
e. Il fait débiter sur le théâtre deux de ses pieces favorites, & compte tous leurs défauts par autant d’exclamations de q
82 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
n, un peu avare, comme le remarque M. Soulié, d’après l’examen de ses comptes . Molière, qui ressemblait tant à sa mère, ne lui
ison de cette cession, « ledit fils Poquelin ne pourra demander aucun compte ni partage de biens de la succession de sa mère,
il lui était resté une fille, nommée Catherine. Autre tutelle, autres comptes en perspective, autres tourments. Il les esquiva
ment, lui a dédié sa tragédie de Perside, et que la société théâtrale compte depuis peu parmi les siens. Cela dit, on décampe
ui n’avaient pas voulu reconnaître Molière. Il l’avait, lui, pour son compte , reconnu plus volontiers, et même avec une sorte
t dans la musique, le métier de violon. Ce métier-là, qui a compté et compte encore tant de glorieux virtuoses allant de pair
hait à ses vingt et un ans, il demanda à son père six cents livres, à compte sur l’héritage de sa mère, sur sa légitime. Le pè
dédié la tragédie de Perside et que la société de l’illustre Théâtre compte , depuis peu, parmi les siens. On décampe donc du
de la comédie ; il était sellier de son état, et Monteil possédait un compte manuscrit, où ses deux noms figuraient en toutes
: Cueillons-le ! » Quand Boileau disait au grand homme, dont l’amitié compte tant dans sa gloire : Enseigne-moi, Molière, où
rang, dit-il, et d’une plus grande distinction, dont il ne doit aucun compte , et dont il se charge plus volontiers. » Il y a c
c leur camarade l’Espy. Souvent le spectateur en avait aussi pour son compte  ; voici comment : si quelque aventure désagréable
audement jeté dans cette affaire, et avait voulu y combattre pour son compte . A peine la Critique de l’École des Femmes avait-
es enfants, fils et filles, il n’aimait pas plus que lui à rendre des comptes de tutelle ; ce que Molière, qui était l’aîné, en
ts que paye un roturier. Tout cela n’était pas, on le pense bien, le compte du roi, pour les grosses dépenses de son luxe et
Où ? Je ne sais. A quel prix ? Je l’ignore ; mais ce doit être à bon compte . Il n’y a pas deux prix pour de pareils trésors :
int pour nous y aider et la renouveler. C’est de ce précieux livre de comptes , dont nous aurons si souvent à nous servir, et qu
venter cette histoire. » Je n’insisterai pas davantage. On voit quel compte il faut tenir de ce que nous disent les gens, mêm
83 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
r concourir à l’entretien des armées du Roi et 60 000 livres pour son compte personnel, il ne fit pas revêtir cette assignatio
aucune considération ; défendant par exprès à messieurs du bureau des comptes de, directement ou indirectement, leur accorder a
sieur Gilbert, Alcibiade, Amalazonte 35, Dont la cour a fait tant de compte , Ni le Fédéric de Boyer, Digne d’un immortel loye
qu’elles ne savaient pas toujours repousser. Loret ne tarit sur leur compte et nous vante la communauté Des filles de Sa Maj
s. » On trouve à la dépense extraordinaire du 12 juin sur le livre de comptes de La Thorillière : « Retiré par M. Du Croisy pou
le motif. Le rieur lui répondit qu’il pouvait se tranquilliser sur le compte de M. de Rodez, et lui fit un détail exact de son
nt de loin à loin dans les dépenses extraordinaires sur les livres de comptes pour journées et pour étrennes. L’art avec lequel
deux mille livres, prix fait », dit La Grange. Robinet en rend ainsi compte dans sa Lettre en vers à Madame, du 13 mars 1667 
out lieu de croire que celui qui le premier a mis cette charge sur le compte de Molière n’a pas même le mérite, assez triste,
défenseur de la pièce, le tact et le goût dont il fait preuve dans ce compte rendu, tout nous porte à croire que cette analyse
traint à la vengeance par de nouvelles attaques, il eût gardé sur son compte le silence du mépris. Mais irrité contre Despréau
iscours du récipiendaire, et le directeur de l’Académie garda sur son compte le plus profond silence. On peut donc regarder ce
x ordinaire : 5 livres 10 sous. C’est ce que fait voir le registre de compte tenu par Hubert pour l’année 1672. Quant aux deux
ge des Précieuses songèrent peu après à intenter une action pour leur compte contre Somaize, qui, non content d’exploiter le s
84 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
t l’Auteur se plaint que l’on ait fait de mauvaises histoires sur son compte  ; et il attaque effrontément sur cela l’Auteur du
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
e me l’avoir donné, que de l’avoir fait naître pendant votre vie : je compte que, par vos conseils, il deviendra digne de vous
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468
Harpagon, espere en être récompensée. La Fleche lui déclare qu’elle y compte en vain, & lui fait le portrait de l’Avare &a
87 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
utre eût eu honte ; Mais lui, ferme & constant, n’en a fait aucun compte , Et se seroit tenu comme il s’étoit posé, Si, pou
88 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
ent de ruiner la religion et la morale, ce n’est pas pour leur propre compte  : derrière leurs indignations, une main, et une m
Molière utilise-t-il ce que son dépit a pu lui faire découvrir sur le compte de ses adversaires cachés de la Compagnie du Sain
89 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
répond aux questions d’Orgon, qui, à son retour de la campagne, et au compte qu’elle lui rend de la santé de sa femme, ne trou
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
e se mettre en état de réparer ses pertes & de pouvoir rendre bon compte de son voyage à ses parents & à ses amis, il
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499
e de huées. N’est-il pas juste que chacun soit sifflé pour son propre compte  ? Enfin vous obtenez les honneurs de la représent
92 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
re., elle ne se tient pas pour inutile : elle veut alors se rendre un compte exact de ces chefs-d’œuvre ; après les avoir reco
93 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
ement, et où cependant toutes les grosses réparations se font sur son compte . » Mezzetin, reprend : « Comme ainsi soit que le
94 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
à fixer, et je crains que le poète lui-même ne s’en soit pas rendu un compte exact. C’est pourtant Philinte avec sa molle et f
florissait encore sous la direction de Gherardi, et faisait pour son compte des comédies régulières en vers. La première qu’i
95 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
situation si décisive, si complètement indécente que, pour mon propre compte , je n’hésite pas à dire que si la pièce eût été f
96 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
mis en goût ; en recherchèrent d’autres dont ils passent orner leurs comptes rendus ; et Prévost-Paradol mit la main par fortu
ment en face nos défauts ou nos ridicules ? Hé ! que deviendrait à ce compte la vie de relation, c’est-à-dire, en somme, la vi
97 (1884) Tartuffe pp. 2-78
n guide : c’est la lettre sur l’Imposteur, qui débute par un précieux compte rendu de l’unique représentation de 1667. En suiv
pte rendu de l’unique représentation de 1667. En suivant pas à pas ce compte rendu, on constate quelques différences avec notr
98 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
ses intentions, mais de son gouvernement des âmes, qu’on lui demande compte ici. Eh bien, comme après la chute d’une royauté
99 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
état de ruine passagère, prodigue non plus jeune, mais vieilli et qui compte et recompte tristement ce qui lui reste de sa for
ituation si décisive, si complètement indécente, que, pour mon propre compte , je n’hésite pas à dire que, si la pièce eût été
nées que l’on possède pour Molière ; mais il est évident qu’en tenant compte de l’état d’enfance, de balbutiement, où se trouv
a 6 500 francs (on en voulait 7 500 francs) à la vente Vidal, pour le compte de la Comédie-Française. C’est une admirable toil
somme de six mille liures à nous accordez par messieurs du Bureau des comptes de laquelle somme ie le quitte faict à Pezenas ce
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341
; ma sœur servira de pot-de-vin. Pourvu que je trouve aussi mon petit compte dans ce petit marché-là, moi ! Clitandre. Vous l’
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