es élèves couronnés du Conservatoire les jouent non pas comme ils les
comprennent
, mais comme elles sont comprises par leurs maître
e les jouent non pas comme ils les comprennent, mais comme elles sont
comprises
par leurs maîtres. J’aurais mauvaise grâce à blâm
attendues, ils prêtent à l’auteur des intentions qu’il aurait peine à
comprendre
, qu’il désavouerait avec dépit. Les comédiens ne
t peine à comprendre, qu’il désavouerait avec dépit. Les comédiens ne
comprennent
pas l’École des femmes. Rien n’est plus facile à
savoir. Or les comédiens qui représentent Arnolphe ne paraissent pas
comprendre
l’importance de cette condition ; débutants et ch
méprises qui se puissent imaginer. On a dit avec raison que Mlle Mars
comprenait
mieux Marivaux que Molière. Cependant chacun se r
tôt comme une femme qui se pâme. Il est impossible, en l’écoutant, de
comprendre
qu’elle ait réuni autour d’elle une cour si nombr
défend par lui-même ; autrement sa cause serait perdue. Mme Plessy ne
comprend
pas le rôle de Célimène et le joue d’une manière
pendant il faut reconnaître que depuis Firmin et Menjaud personne n’a
compris
ce rôle aussi bien que lui. Peut-être ne lui est-
ire et Orgon. Le personnage de Tartuffe est un de ceux que M. Geffroy
comprend
le mieux, et s’il pouvait corriger l’âpreté de sa
r sa voix. Quant aux personnages d’Elmire et d’Orgon, ils ne sont pas
compris
, et pour le prouver, il n’est pas besoin de prodi
us les honnêtes gens. Je suis obligé de croire que Mme Plessy n’a pas
compris
le personnage d’Elmire, car si elle le comprenait
que Mme Plessy n’a pas compris le personnage d’Elmire, car si elle le
comprenait
, elle lui laisserait sa simplicité, sa franchise,
urcit de jour en jour parmi les gens du monde, le rôle d’Orgon, ainsi
compris
, c’est-à-dire ainsi dénaturé, n’excite dans la sa
pas se soumettre à l’engouement de la foule. M. Provost et M. Anselme
comprennent
ce rôle de la même façon : c’est la doctrine du C
: c’est la doctrine du Conservatoire, la doctrine consacrée. Ceux qui
comprennent
autrement le mari de Philaminte sont bafoués comm
e devient un non-sens. Depuis la mort de Duparai, je n’ai vu personne
comprendre
simplement le mari de Philaminte et le rendre tel
ans doute bien informés ; mais en lisant Molière, je ne réussis pas à
comprendre
le personnage de Bélise comme le comprend Mme Thé
ière, je ne réussis pas à comprendre le personnage de Bélise comme le
comprend
Mme Thénard. Est-ce de ma part défaut de clairvoy
r, ils, sentiraient qu’ils font fausse route. Que Trissotin et Vadius
comprennent
la futilité de leur savoir et du fatras entassé d
des femmes, le Misanthrope Tartuffe et les Femmes savantes ne sont ni
compris
ni rendus au Théâtre-Français d’une manière confo
rets, il arrivera comme moi à cette conclusion, que Molière n’est pas
compris
au Théâtre-Français, qui s’appelle pourtant la ma
réfléchir, avant de décider si telle ou telle comédie est bien ou mal
comprise
, bien ou mal rendue ? Je n’essaierai pas de conve
avaient à démontrer la valeur de la tradition qu’ils invoquent. Pour
comprendre
Molière et l’interpréter fidèlement, il ne suffit
les spectateurs assemblés pour écouter Tartuffe ou l’École des femmes
comprennent
la pensée de Molière sans avoir besoin de comment
eille et de Racine sont achevées depuis longtemps et depuis longtemps
comprises
, qu’elles n’offrent pas un passage d’une signific
acceptent la donnée. Quand je dis accepter, c’est comme si je disais
comprendre
; mais comme il s’agit de ramener les comédiens à
pour des écoliers ; ils ne sont plus d’âge à recevoir des leçons, et
comprennent
mieux que personne l’ancien répertoire. Que le di
prévaloir contre l’évidence. Puisqu’il est démontré que les comédiens
comprennent
mal et rendent mal les comédies de Molière, pourq
ite ne se feraient pas longtemps attendre. L’ancien répertoire, mieux
compris
et mieux rendu, relèverait le goût des spectateur
viser ce siècle en périodes historiques d’environ dix années. La ire
comprendra
de 1600, époque du mariage de Henri IV avec Marie
rt de Henri IV et de la formation de la société de Rambouillet. La 2e
comprendra
l’espace de 1610, temps où commencent le règne de
t, jusqu’en 1621, époque du ministère du cardinal de Richelieu. La 3e
comprendra
de 1621, depuis le ministère du cardinal de Riche
t du gouvernement de Louis XIV en personne. La 7e de 1661 à 1670, qui
comprend
depuis la nomination de madame de Montausier à la
e des enfants naturels du roi. La 8e et dernière, de 1671 à 1683, qui
comprend
le commencement et les progrès de madame de Maint
ût, par l’étroitesse native de ses vues et par son impuissance à rien
comprendre
sans une lente, lente éducation est condamné à se
la littérature anglaise361, ni à la littérature espagnole ; elles ne
comprenaient
qu’une partie de la littérature latine et même de
payait ; elles lui étaient nécessaires pour soutenir sa troupe. On ne
comprenait
rien au Festin de Pierre ; il ne plaisait point «
soit incorrect, immoral et fou. Jadis, le goût était classique et ne
comprenait
ni les brusques fiertés, ni la vérité nue de la n
té nue de la nature libre ; aujourd’hui, le goût est romantique et ne
comprend
ni la proportion, ni la simplicité, ni la décence
Il y a dans l’Étude du Chevalier une chose que je n’ai pas très bien
comprise
. Uranie se défie sagement des premiers mouvements
lui-même, est-il bien nécessaire de le conserver ? Lorsque Uranie ne
comprend
pas d’abord la beauté d’une œuvre d’art vantée pa
silencieusement médité sur la beauté de la Vénus hottentote, pour la
comprendre
et la sentir ? Ici il ne faut point rire ou se ré
à part. Ce grand esprit félicitant le dix-neuvième siècle d’avoir su
comprendre
toute la richesse de l’art et de l’esprit humain
rme contresens littéraire de Plaute ; mais à quoi bon, quand, pour le
comprendre
, on n’a qu’à jeter les yeux sur les légions toujo
gendre du roi ? Cette raison semble bonne. Assurément des Français la
comprendront
, et des Allemands aussi. Mais qu’on ne se hâte pa
iser. Le cas particulier traité par M. de Schlegel y serait peut-être
compris
, apprécié. Dans une pièce de Caldéron385, le héro
ttérature anglaise ; en France, en Allemagne, en Italie ; et si, pour
comprendre
parfaitement la littérature espagnole, il lui est
ais il suffira de célébrer sa puissance et sa sagesse une fois. 3°
Comprendre
Comprenons, cela suffit. Mais, dans ce mot que
de célébrer sa puissance et sa sagesse une fois. 3° Comprendre
Comprenons
, cela suffit. Mais, dans ce mot que de choses ! «
Au lieu d’interroger les faits, de les respecter en attendant de les
comprendre
, de les étudier jusqu’à ce qu’ils les aient compr
tendant de les comprendre, de les étudier jusqu’à ce qu’ils les aient
compris
, pour les respecter plus encore, ils les transfor
en Sax e396 ». Nous l’entendrons blâmer, mais blâmer en homme qui les
comprend
, les inévitables excès de la réaction romantique,
ire un pas, Sans s’inonder de vers, de pleurs et d’agendas397. Nous
comprendrons
alors comment l’Iphigénie a pu naître ; mais Goet
nt l’Iphigénie a pu naître ; mais Goethe avait beau être Goethe, nous
comprendrons
aussi qu’il était allemand, qu’il était moderne,
. Moi, qui fais profession de ne rien blâmer et qui m’efforce de tout
comprendre
, pourquoi ai-je manque de charité envers William
g de Molière400 » ; la « petite personne » n’était « point capable de
comprendre
les grands hommes ». La nature, méchante mère, t’
sanscrits que, sauf toi (tu le savais très bien), personne ne pouvait
comprendre
. Ta toilette était de la dernière élégance, et qu
ivit alors à sa femme et à ses enfants, vous n’aurez pas besoin, pour
comprendre
la théorie hegelienne de la comédie, de remonter
n approche de la demeure du dieu ; et je me disais : La critique doit
comprendre
cette énigme, cela suffit. Le grammairien J
ieds. Ce qui est vrai, c’est que tout fait à sa cause. Si examiner et
comprendre
ne suffit pas à la critique grammaticale, examine
r et comprendre ne suffit pas à la critique grammaticale, examiner et
comprendre
suffit à la critique philosophique. Reprenons nos
e soient ses comédies, elles sont françaises, et les étrangers ne les
comprendront
pas comme il faut, s’ils n’entrent pas bien dans
es, les écarts se multiplient ; l’intelligence n’a pas eu le temps de
comprendre
toute une idée, qu’une nouvelle idée se précipite
Un jour, il s’avisa de m’en parler. Je lui lavai la tête. Je lui fis
comprends
qu’il manquait de conduite par ses harangues dans
et à l’histoire, il faut ajouter la biographie ; alors seulement nous
comprendrons
tout Molière. Il y a dans son caractère deux trai
ortée historique et philosophique des Fourberies de Scapin. C’est mal
comprendre
Molière que d’admirer sans distinction tout ce qu
lité, de prosaïsme, n’ont qu’à relire cette joyeuse bouffonnerie pour
comprendre
l’injustice de leurs reproches. Cependant, quand
dain absolu. S’ils prennent la peine d’aller entendre Amphitryon, ils
comprendront
qu’il n’est pas impossible de concilier l’imagina
lière, ce qui plaît aux spectateurs d’aujourd’hui. La fantaisie ainsi
comprise
n’effarouche personne. Pour écouter Mercure et So
ranger lui a fait partout bon accueil. L’Allemagne, si peu faite pour
comprendre
notre littérature, lui a voué une sorte de culte.
Il est peut-être même, avec La Fontaine, le seul de nos écrivains que
comprennent
et goûtent les lecteurs de tous milieux et de tou
il élimine, choisit, retient les seuls éléments que le public puisse
comprendre
sans effort, les seuls qui puissent aussitôt l’in
son et du bon sens, est celle qui convient à tout le monde. Chacun la
comprend
et l’approuve, car elle éveille en nous le vieux
cœur humain, quelle expérience des passions ne faut-il pas avoir pour
comprendre
et goûter vraiment le caractère d’une Bérénice, d
une satisfaction inconsciente à n’avoir aucun effort à faire pour les
comprendre
. Certes, le père Grandet est plus riche en sentim
ire, et il lui fit la route aussi facile qu’elle était glorieuse ; il
comprit
aussi que la louange sans retenue était un péril
s, avant d’aller aux disciples ; il faut prouver que l’on sait aimer,
comprendre
et admirer certaines beautés des chefs-d’œuvre, s
acieux au vice, avec une austérité ridicule et odieuse à la vertu. Je
comprends
que ses défenseurs ne manqueront pas de dire qu’i
ssait la comédie, il exécrait les comédiens et les comédiennes, il ne
comprenait
pas cette poésie avide de licences, amie et compa
reille comédie, les calculs du poète étaient sûrs. Molière avait bien
compris
que le moment ne pouvait pas être mieux choisi po
onde. Il y a des gens qui savent tout prévoir. Quant au public, il ne
comprit
nullement le danger. Il était impatient de savoir
Nulle part et par personne la comédie n’a été mieux définie et mieux
comprise
que par Bossuet ; Bossuet a raison, l’amour toujo
it comme saint Thomas ; et en lui-même, mais sans en rien dire, il ne
comprend
pas comment Molière est si bien instruit des disc
tant de gens ont couru, depuis Molière, sans pouvoir l’atteindre. il
comprit
, d’un coup d’œil, toute sa vocation. Il savait fa
a son temple et son dieu, la tragédie a son temple et ses dieux. Vous
comprenez
combien ce fut alors une belle et glorieuse exist
ve ! Elle fut légère… à qui la faute ? et d’ailleurs que pouvait-elle
comprendre
, cette jeune femme, à ce sublime rêveur, à cet en
es belles choses de la poésie et des beaux-arts, attachez-vous à bien
comprendre
, à bien savoir les chefs-d’œuvre qui ont été le p
e critique ; pour chaque époque il existe une langue que cette époque
comprend
à merveille ; plus le chef-d’œuvre dont vous parl
serait vraiment une grande folie et un grand meurtre. Au contraire, à
comprendre
, à deviner les maîtres, vous aurez cette récompen
èles, la sympathie et l’obéissance populaires ! En ce moment déjà, il
comprenait
qu’il serait le maître absolu des esprits et des
de la comédie. Écoutez avec soin cette comédie de L’Étourdi, et vous
comprendrez
quel sage esprit se cache sous ce vers abondant,
usement Mascarille pardonne ; il pardonne par orgueil, et parce qu’il
comprend
très bien que la défaite de Lélie serait attribué
applaudit et vous regarde, bouche béante ; — vous, cependant, vous ne
comprenez
rien à tant de succès ; vous regardez d’où cela p
us fin, le geste plus animé que pas un de mes camarades ; je vois, je
comprends
, je sais, je sens, aussi bien qu’homme du monde,
stacle ? Pourquoi moi et pas celui-là, celui-là qui arrive, sans rien
comprendre
, et sans rien deviner ? Pourquoi celle-là, sans n
nsi que s’est passé le mariage du chevalier de Grammont. Seulement on
comprend
fort bien que Sganarelle, ce brave homme qui ne s
grands moyens, aux grandes phrases, aux hardis conseils ; ce bon Ali
comprend
confusément qu’un des privilèges, un des grands b
teur, colère, furibond, emporté, impitoyable, le Misanthrope comme le
comprenait
Rousseau quand il descendait en lui-même ; en mêm
qu’au crime, indulgent jusqu’à la perversité, comme ne l’avait jamais
compris
Molière. Et pourtant Fabre appelait ce Philinte :
idéré. La parole est plus qu’une fortune, c’est une royauté. Déjà, il
comprend
confusément qu’une destinée s’ouvre devant lui, u
l’ancienne Cour, l’autre gentilhomme du Tiers-État, s’entendent et se
comprennent
. Déjà, il ne s’agit plus entre l’avocat et son cl
usqu’à lui. Aussitôt, il s’émeut, il court, il s’agite, il commence à
comprendre
qu’il faut quelquefois prendre intérêt à la maiso
bondant, il est rempli des défauts et des qualités de son époque ; on
comprend
que l’homme qui écrivait ainsi avait, à un haut d
cette fille si coquette et si futile, et si charmante, qui n’a jamais
compris
quel noble cœur elle avait blessé à mort ; Arsino
mer. Ainsi était Chapelle : il avait tout l’esprit qu’il fallait pour
comprendre
l’esprit de Molière ; il opposait sa gaieté à la
d secret de ce chef-d’œuvre. Mademoiselle Mars avait merveilleusement
compris
et rendait à merveille les moindres nuances de ce
écence du grand siècle, dans le rôle de Célimène, mademoiselle Mars a
compris
le rôle et elle l’a joué, comme il est impossible
le l’a joué, comme il est impossible de le mieux jouer et de le mieux
comprendre
. Autant elle jouait le rôle d’Elmire dans Tartuff
est pas si facile qu’on le pense. Mademoiselle Mars l’avait très bien
compris
, ce périlleux passage du génie à l’esprit, des mœ
énieux, ni le fini, ni le noble d’aucun auteur ancien ou moderne ; il
comprenait
que chaque époque a sa finesse, son génie et sa n
se retrouvaient, très à l’aise, avec l’esprit de Marivaux ; elles le
comprenaient
à merveille ; elles le disaient avec beaucoup de
lle est encore si jolie ! Elle n’a plus d’amour dans le cœur, mais on
comprend
si bien que l’amour a passé par là ! Donc aimez-l
vouloir ; il n’a ni foi ni force, il manque le bonheur. Quand l’homme
comprendra-t
-il que le bonheur n’est pas son droit seulement,
dominent et expliquent la vie, il est faux et dangereux : il n’a pas
compris
l’immoralité du désespoir, il n’a pas non plus le
voir raison contre son mari. Fidèle à son habitude, La Harpe n’a rien
compris
; et cependant, comme son observation le prouve,
commencement, elle régnera à la fin. Eschyle et Homère n’auraient pas
compris
nos fractionnements, nos descendants les comprend
omère n’auraient pas compris nos fractionnements, nos descendants les
comprendront
moins encore. Aujourd’hui déjà l’homme a conscien
; il savait lire au fond des cœurs les mystères les plus cachés ; il
comprenait
les passions les plus innocentes. Il lisait, dans
vé le grand secret, cherché par tant de poètes ses contemporains1, il
comprit
toute sa vocation. Il tenait maintenant la comédi
Il eût cherché vainement autour de lui un amuseur mieux fait pour le
comprendre
. En ce moment, le Mazarin venait de mourir, « rai
on dirait aujourd’hui « une entente cordiale », et sitôt que le poète
comprit
qu’il était nécessaire à la joie et peut-être au
ée ; il se fait son espion et son geôlier. Égoïste et vaniteux, il ne
comprend
pas les beaux rires de la jeunesse. Ah ! comme il
criaient au plagiat ! ils.comprenaient l’originalité de l’œuvre ; ils
comprenaient
que pas un, par exemple, depuis qu’il y avait des
sera bientôt très habile à se défendre, elle bonhomme Arnolphe a bien
compris
que cette innocente était née pour sa honte. Ah !
e, et disaient qu’il représentait le malade à merveille. Certes, nous
comprenons
toutes vos gaietés, Sire, dans les enchantements
e a donc un sens inintelligible et absurde, et deux sens plus aisés à
comprendre
, que je vais tâcher d’expliquer. Voici le meilleu
fet, un certain nombre d’œuvres à la fois semblables et diverses sont
comprises
sous la dénomination commune de comédies. Il faut
lques pédants, mais de l’humanité, et parce que sa pauvre servante le
comprenait
mieux qu’eux ? Par quelle raison démonstrative et
it-elle apprécié Le Misanthrope ? Grâce à Dieu, elle n’y pouvait rien
comprendre
. Elle n’avait encore ni observé ni éprouvé les se
l s’agit312 ; puis elle étudie, elle compare, et attend d’avoir mieux
compris
. Elle ne croit pas avoir raison contre tout le mo
les choses les plus disparates, les plus contraires même peuvent être
comprises
dans le vaste sein de la beauté, comme de la véri
evait l’humble visite d’un pauvre maître d’école de village, avide de
comprendre
et de goûter le beau, elle ne serait pas embarras
Il n’y a point d’idée de la poésie. Mais il y a des intelligences qui
comprennent
diversement la poésie, le comique, le beau : la d
ce un grand avantage : vous goûtez les comédies de Shakespeare ; vous
comprenez
qu’on peut être comique autrement que Molière, pa
un mauvais sujet raillant les misères de l’humanité. Mais pourquoi ne
comprenez
-vous pas le comique du Shakespeare et de l’Aristo
nce et que l’Europe ; pourquoi ? mais non ; cela est impossible. Vous
comprenez
, vous goûtez, vous aimez Molière autant que perso
hement aimable ; ainsi, toute seule, elle se défend à outrance ; elle
comprend
qu’elle va succomber, mais elle succombera, comme
nous nous contentions de Menjaud, de Firmin. Firmin, à tout prendre,
comprenait
le rôle d’Alceste. Il y avait mis tous ses soins,
ient plus revoir. Ô la jeunesse ! la jeunesse ! il n’y a qu’elle pour
comprendre
les grands artistes, pour les aimer, pour les app
public, qui ne voit pas ces insultes cachées ! Ingrat public, qui ne
comprend
pas tout ce qu’il va perdre ! Ingrate génération,
ierre sont en partie réalisés. Ce qu’ils avaient de patriotique a été
compris
; la nationalité universelle des belles âmes le s
ce aux monuments qu’elle consacre à ses propres enfants. Celle France
comprend
enfin qu’elle n’est montée au rang des premiers p
ns de l’esprit, les sentiments les plus délicats du cœur, qui lui fit
comprendre
, craindre et éviter le ridicule, connaître, aimer
vertu. Mais ce n’est là qu’une très petite partie de Molière. Pour le
comprendre
tout entier, il ne suffit pas de connaître ses ou
pas seulement dans l’étude des notions abstraites de la pensée, elle
comprend
encore la connaissance morale que l’homme a de lu
près de cent années. Le peuple alors n’était pas assez instruit pour
comprendre
ses grands hommes. Il riait aux pièces de Molière
ent de sa vie, et le charme de ses beaux ouvrages ; en un mot, elle a
compris
le poète, elle a peint sou âme, elle nous a donné
ses aux chefs d’œuvre de notre scène ; le vœu que j’exprime doit être
compris
par vous, et j’espère que vous l’estimerez digne
qu’en prose que l’on a partagées en sept volumes, dont le premier en
comprend
4. savoir, Les Précieuses ridicules, Le C[ocu] im
lle, L’Étourdi ou Les Contretemps, et Le Dépit amoureux. Le second en
comprend
4. savoir Les Fâcheux ; L’École des maris ; La Cr
lus hardie, pourront jeter les yeux sur le Tartuffe, où il a prétendu
comprendre
dans la juridiction de son théâtre le droit qu’on
la plus mauvaise des objections de Jean-Jacques Rousseau. Comment ne
comprend
-il pas qu’Alceste est un candide, né candide et e
couvert d’une figure de rhétorique si limpide, si diaphane, qu’Oronte
comprend
du premier coup. Quelle plus grande clarté et sin
à Alceste. Toujours est-il qu’il est taquin, à quoi Rousseau n’a rien
compris
. Il prend pour des « maximes » et « maximes de fr
squ’à lui. Aussitôt il s’élance, il court, il s’agite ; il commence à
comprendre
qu’il faut quelquefois prendre intérêt à la maiso
intention de l’auteur était qu’on rît aux dépens du misanthrope. »
Comprenons
bien. Il ne s’agit plus du Philinte de Molière, m
hilinte imparfait, par le Philinte manqué de Molière, nous fait mieux
comprendre
comment Rousseau a entendu le Philinte de Molière
du reste pour agir comme il fait. Eh ! oui ! c’était trop ; mais nous
comprenons
maintenant pourquoi Molière « en a trop mis ». Co
les hautes qualités morales et unit en lui Socrate et Marc-Aurèle. On
comprend
combien Fabre, et assez naïvement, est arrivé loi
écarté de mon sujet, qui est la querelle de Rousseau et de Molière, y
compris
ce qui a pu s’ensuivre ; et il est temps que j’y
isait : « Guillaume Schlegel n’aime pas Molière. Ce n’est pas sot. Il
comprend
que si Molière vivait de son temps, il se moquera
t qui l’a faite en est-elle moins une école de mauvaises mœurs ? » Je
comprends
bien l’indignation de Rousseau contre l’Avare. Il
s, ne les approuve pas, peut-être même ne les excuse pas, mais il les
comprend
, il les comprend un peu trop ; et le spectateur m
e pas, peut-être même ne les excuse pas, mais il les comprend, il les
comprend
un peu trop ; et le spectateur moins honnête, de
llir des flambées de ridicule et il est content de son œuvre. On doit
comprendre
qu’un moraliste s’inquiète et s’alarme, et Rousse
le et même au nôtre, qui instinctivement ne transpose ainsi et qui ne
comprenne
comme je vais comprendre et vous aussi, — transpo
instinctivement ne transpose ainsi et qui ne comprenne comme je vais
comprendre
et vous aussi, — transposez donc la declaration d
mes. » Voilà, sans aucun doute, comment le spectateur du XVIIe siècle
comprend
la déclaration de Jupiter à Amphitryon, et toute
ices de l’humanité. » — Mais il y a le rôle de Cléante ! — Si vous ne
comprenez
pas que le rôle de Cléante est un eprécaution, es
une piété où il n’entre pas un atome de religion ni de piété. — Mais,
comprenez
donc ; car nous voilà au point. Le rôle de Tartuf
uffe lui-même est une précaution, un expédient, très habile du reste.
Comprenez
bien : Molière veut attaquer la religion, et l’on
s et la pousser dans un couvent. Or le public, et avec pleine raison,
comprend
ainsi. Comprenant en gros et justement, puisque c
eine raison, comprend ainsi. Comprenant en gros et justement, puisque
comprendre
en gros c’est simplement faire abstraction des pr
une moquerie confuse et presque impartiale ; et il devient facile de
comprendre
pourquoi, si Don Juan a été froidement reçu, Tart
certain scrupule : « Seulement, il y a une chose que je n’ai pas bien
comprise
. A certains moments, on dirait, en vérité, que l’
es et les petits devoirs. C’est là le domaine propre de Molière. Il a
compris
surtout une chose, c’est que la société humaine,
dain aimable. Voilà ce que Rousseau reproche à Molière de n’avoir pas
compris
ou de n’avoir pas fait comprendre. Voltaire dit q
seau reproche à Molière de n’avoir pas compris ou de n’avoir pas fait
comprendre
. Voltaire dit que Molière a été le législateur de
aussi à l’humanité. Mais encore est-il que Corneille a une manière de
comprendre
l’honneur qui est éminemment française et qui cor
re. Il est le père même de la morale-science-des-mœurs comme elle est
comprise
vulgairement. Connaissez les mœurs des hommes et
ien savoir quel ragoût il y a à eux ? Harpagon : Pour moi, je n’y en
comprends
point ; et je ne sais pas comment il y a des femm
s devoirs et des qualités d’une maîtresse de maison ; il faut qu’elle
comprenne
et devine les plus secrets désirs et les plus sec
rt. Elle était fidèle ; mais Rousseau eût désiré que, plus capable de
comprendre
les sentiments et les menées des hommes, elle fût
es. Julie n’est pas ignorante, mais elle est très peu instruite. Elle
comprend
l’italien, mais, chez une suissesse, cela n’indiq
dants ; cela suffit à Molière pour qu’il se moque d’eux et à moi pour
comprendre
pourquoi Molière les met en pièces. 3° Tous les p
ique et de son habileté comique, a eu à un très haut degré. Pour bien
comprendre
ces deux différents génies d’intelligence, songez
de l’avenir dans l’esprit et qui en l’an mille ont eu les idées, peu
comprises
en l’an mille, qui devaient former le sens commun
devaient former le sens commun de douze cent, sans du reste être plus
comprises
, mais ayant pénétré et imbibé. Or, si Molière n’a
peut vous paraître idiot ; mais ce qui veut dire seulement que, sans
comprendre
un mot du fond des tragédies de Racine, le public
e une intelligence impersonnelle ; c’est-à-dire une façon générale de
comprendre
les choses qui est celle de tout le monde, parce
qui est celle de tout le monde, parce que vous sentez sourdement qu’à
comprendre
les choses d’une façon particulière, qu’à avoir u
eaucoup le misanthrope, c’est qu’Alceste est, comme Rousseau l’a bien
compris
, un isolé, un individualiste, destiné par son tem
le sens commun en chefs- d’œuvre ; mais c’est ce qui ne peut pas être
compris
ni admis par le penseur original. Il y a donc ent
tain qu’en riant je l’estime, je le plains, je l’admire, et que je ne
comprends
pas ceux qui ont accusé Molière d’avoir là bafoué
t que j’aime pourtant, pour sa vertu et pour lui. Ces réflexions font
comprendre
la prédilection de Molière pour cette œuvre mal e
rgon inintelligible, et les savantes engouées de sciences qu’elles ne
comprennent
pas ; les pédants si orgueilleux de leur éruditio
que pour n’avoir pas à les combattre175 : la liste en est longue, et
comprend
plus des trois quarts des personnages de Molière.
jugé plus sainement que lui des ouvrages de l’esprit ; nul n’a mieux
compris
combien ils élèvent et ennoblissent l’homme. Auss
sentant des idées claires, sont la mort de toute discussion : si l’on
comprenait
bien les termes dont on se sert, peut-être parvie
ler qu’il vécut si bien en dehors de son siècle, que son siècle ne le
comprit
point, que son ami Boileau l’oublia absolument, l
merveilleuse Athalie, si différente de ses précédens ouvrages, si peu
comprise
par les contemporains, il faut aussi trop de comp
te Rousseau, commence la platitude absolue : vous avez Campistron. On
comprend
que Boileau, vieux et chagrin, voyant cette décad
, quelques années après la mort de Molière, sa langue n’est déjà plus
comprise
, même par La Bruyère et par Fénelon ! Voilà où es
and siècle. Je demande pardon de ces détails, car j’avoue ne pas trop
comprendre
quelle relation mystérieuse existe entre un sac d
rlant de son fils, « aux opinions de nos anciens. Jamais il n’a voulu
comprendre
ni écouter les raisons et les expériences des pré
ur me viendra développer une naissance plus illustre. » Comme nous la
comprenons
alors, cette fureur de Gorgibus, s’indignant cont
demoiselle et l’a-t-il épousée sachant qu’elle ne l’aimait pas ? Nous
comprenons
maintenant pourquoi la pupille de Sganarelle, la
t, à se vaincre parfois eux-mêmes et à se corriger de leurs vices. Il
comprendra
la nécessité d’un nouveau « principe réprimant »,
ir dépouillée, désunie par le faux dévot. Par elle, Molière nous fait
comprendre
à merveille combien l’unité de la famille, l’ente
ésert, seul, désespéré. Pourquoi ? C’est que cet Alceste dont Molière
comprend
, admire, partage l’Idéal, a méconnu les nécessité
Mais il s’est brisé dans l’épreuve, n’ayant pu sortir de lui-même et
comprendre
la nécessité sociale de pardonner aux hommes leur
e aveuglément aux opinions de nos anciens, et que jamais il n’a voulu
comprendre
, ni écouter les raisons et les expériences des pr
a raison d’un homme qui refuse, je ne dis pas de se marier, ce qui se
comprend
, après tout, mais de se laisser galamment couper
raison, car, selon Gros-René, la comparaison Nous fait distinctement
comprendre
une raison, Et nous aimons bien mieux, nous antre
Il était si bien fait pour attirer et charmer un homme capable de le
comprendre
, cet honnête abbé de Digne, avec son esprit délic
sa voie, sérieux et pensif. Avide de tout connaître, capable de tout
comprendre
, il venait au philosophe : il était vaincu d’avan
it davantage et me parait presque plus digne de mon admiration. Je le
comprends
en effet chez ceux dont la foi, rencontrant Dieu
il les a intentionnellement développés. Le premier peut nous aider à
comprendre
l’œuvre du grand comique, tandis que le second no
, la société s’accrut de dix-neuf membres, et s’éleva à vingt-huit, y
compris
Boisrobert. Alors la proposition du cardinal obti
ri Louis Hubert de Montmor, autre auteur de la guirlande, y fut aussi
compris
. À peine l’Académie était-elle formée quand Corne
t plus que n’ont duré les traités les plus vivaces, celui d’Utrecht y
compris
. Il faut (on nous pardonnera cette remarque) que
avec quelle sûreté de coup d’œil et quelle souplesse de génie Molière
comprit
et pratiqua tout d’abord les conditions d’un genr
oup en une figure du Temps, avec sa faux à la main. J’avoue que je ne
comprends
ni le but ni la convenance de cette apparition my
r du titre de Festin de Pierre, conservé par Molière, qu’il avait mal
compris
le titre espagnol El Burlador de Sevilla y combid
al de sa pièce aussi ridicule que possible. Eh bien, cette manière de
comprendre
Le Misanthrope, qui a été bien certainement la pr
plus capable de l’émouvoir et de la ramener. Je ne vais pas, vous le
comprenez
, vous raconter L’École des femmes. Vous connaisse
de vous indiquer, mesdames et messieurs, une manière d’analyser et de
comprendre
L’École des femmes. C’est, à mon avis, la bonne,
s et sa bienveillance universelle, auquel on reprochait sa manière de
comprendre
Molière, répondait par ces mots : « tant pis pour
’École des femmes tout ce qu’il nous plaît d’y trouver aujourd’hui, y
compris
la lune ! « J’y vois ceci ! » disait l’un, « J’y
iment jusqu’à ces fêtes splendides que le Roi leur donne, parce qu’il
comprend
qu’à les divertir et à les attacher à sa personne
ent condamné et flétri avec indignation par Bossuet. Celui-ci n’a pas
compris
ou peut-être n’a pas voulu comprendre que la tira
tion par Bossuet. Celui-ci n’a pas compris ou peut-être n’a pas voulu
comprendre
que la tirade de Chrysalde à laquelle il fait all
einture de la société polie en 1666. C’est une pure merveille et l’on
comprend
assez qu’une pareille pièce n’ait eu aucun succès
ayon de miel. Entra l’on ne voit rien de si beau sous le ciel. Je ne
comprends
rien à l’appréciation que fait Voltaire de Mélice
t qu’il s’y sentît forcé, de quoi l’on ne peut que le plaindre. Je ne
comprends
pas Voltaire disant à propos de Monsieur de Pourc
onsieur de Pourceaugnac — à propos de toute autre pièce de Molière je
comprendrais
fort bien qu’il le dît — « Il y a dans toutes les
curieuses, et il y en a de si matériels, qu’ils ne peuvent aucunement
comprendre
ce que d’autres conçoivent le plus facilement du
charmant, sans doute ; et il y a des gens qui n’ont aucune peine à en
comprendre
la possibilité, cela leur est le plus aisé du mon
pour moi, je vous avoue que mon esprit grossier a quelque peine à le
comprendre
et à le croire, et j’ai trouvé cela trop beau pou
luence inexplicable de Tartuffe sur Orgon, c’est évidemment ne pas la
comprendre
. Faut-il, encore, conclure de cela que Molière es
continuellement sa verve comique et qui domine tout son théâtre. Pour
comprendre
plus précisément, prenez justement les idées cont
ne pas savoir que Le Misanthrope ne fera pas d’argent et ne sera pas
compris
. Il y a un Molière qui fait sa matière des idées
e l’on assure que Molière approuve, exalte et intronise. Or, ou je ne
comprends
pas du tout les textes ou c’est ce qu’elles ne re
bon sens », du « sens commun », et c’est-à-dire une façon générale de
comprendre
les choses qui est celle de tout le monde, pourqu
vous sentez sourdement qu’à avoir une intelligence personnelle, qu’à
comprendre
les choses d’une façon particulière, vous vous is
nt le misanthrope, c’est qu’Alceste est, comme Rousseau l’a très bien
compris
, un isolé, un individualiste, un sécessionniste,
ses plus fermes assiettes. Sens commun et sens social comme, il était
compris
de son temps, ce qui n’est pas à dire qu’il soit
me, il était compris de son temps, ce qui n’est pas à dire qu’il soit
compris
très différemment aujourd’hui, c’est toute « la p
ler, sa circonscription. Or Molière remplit admirablement cet office.
Comprenez
, bien que Molière n’a au fond que de l’affection
et rigoureuse une profonde dévotion ; car la religion telle qu’il la
comprend
est un frein et une entrave ; met aux mains du ma
je n’en parle pas si ce n’est pour faire remarquer comment Voltaire a
compris
cette scène ce qui est instructif même pour enten
pas beaux et où l’on s’en indigne ; l’autre en est à l’âge où l’on a
compris
que « c’est comme cela » et que ce ne peut pas êt
de tout cela. Il en est stupéfait, indigné, surexcité. Il ne peut pas
comprendre
que les hommes ne soient pas scrupuleusement honn
te sa vie, il est plus beau encore, dans un silence absolu qu’il faut
comprendre
, je crois, comme signe d’impassibilité et non d’e
our la gloire, « leurs ménagements de pensées » ce que j’avoue ne pas
comprendre
, mais ce qui peut vouloir dire le soin qu’ils pre
x, courent de grands risques auprès d’elle. La coquette par vanité ne
comprend
rien à la coquette par méchanceté et la contemple
elle s’entend appeler du même nom qu’elle. La coquette par méchanceté
comprend
mieux la coquette par vanité ; mais elle se deman
sur la fadeur générale, le concerté, l’atténué et le gris. Alceste ne
comprend
pas et du reste n’a pas à comprendre que c’est da
, l’atténué et le gris. Alceste ne comprend pas et du reste n’a pas à
comprendre
que c’est dans ce salon qu’il veut qu’elle quitte
onnelle et nonchalante ; c’est l’honnête femme élégante, telle que la
comprenait
Molière. Elle devait être de bonne famille bourge
ar s’en tirer assez mal et Tartuffe flaire le panneau : Ce langage à
comprendre
est assez difficile, Madame, et vous parliez tant
ssion et qui, par conséquent, sera bourgeoisement très heureuse et ne
comprendra
jamais comment il peut y avoir des personnes qui
généreux ». Est-ce qu’une femme intelligente ne serait pas capable de
comprendre
ce qu’il y a de beauté dans un généreux ? Éliante
dans un généreux ? Éliante n’aime passionnément personne ; mais elle
comprend
tout le monde et elle comprend très bien Acaste,
ime passionnément personne ; mais elle comprend tout le monde et elle
comprend
très bien Acaste, Clitandre et Oronte comme des s
é et de bravoure à l’égard d’inconnus qui sont attaqués devant lui se
comprendrait
, mais sa tartufferie ne se comprendrait pas ; car
i sont attaqués devant lui se comprendrait, mais sa tartufferie ne se
comprendrait
pas ; car le mensonge est contraire à l’honneur.
it dans le train ordinaire de la vie, et est, je crois, immédiatement
comprise
par le spectateur qui l’a observée chez beaucoup
océdés en sens inverse, l’un d’élimination, l’autre d’exagération. On
comprend
assez que le premier est le plus commode et le se
’exploiter l’admiration qu’ont les hommes pour les langages qu’ils ne
comprennent
pas ; de là leur latin, leurs termes techniques,
e direction, d’où l’on peut conclure que son caractère tout entier, y
compris
l’esprit de dévotion qui en est le fond, lui revi
et qui n’est pas celui de Boursault ou de Montfleury. Et enfin je ne
comprends
plus du tout, quand Brunetière assure que le styl
mencement d’inquiétude. Mais aussitôt qu’Alcmène a répondu qu’elle ne
comprend
rien à ce scrupule et que c’est surtout comme épo
e elliptique, où il était facile d’introduire les eaux de la rivière.
Comprise
dans le périmètre fortifié, cette naumachie est d
peintres, à leur tour, en faisaient le sujet de leurs tableaux. On ne
comprendrait
pas bien l’état ancien et les origines du théâtre
général des esprits et du progrès de la nation elle-même. Alors nous
comprenons
ce drame tout hiératique, dont l’empire se prolon
du Vieux-Testament, qui fut joué pendant tout le cours du XVe siècle,
comprenait
la sortie d’Égypte, le passage de la mer rouge, l
composée par Simon Bourgouin, valet de chambre du roi Louis XII. Elle
comprend
trente mille vers et forme un gros volume in-quar
l supplie, il parle picard, normand, gascon, latin, charabias; on n’y
comprend
plus rien. Il écume, il râle, il va trépasser. Ma
e représentait la perfection de la haute comédie, et tous ceux qui le
comprenaient
s’efforçaient tantôt de le reproduire, et tantôt
cesserons de le répéter, puisque M. Louis Veuillot feint de ne pas le
comprendre
: ce n’était pas le but ni le métier de Molière d
cate ; et je crois que c’est de cette façon que Molière l’a écrite et
comprise
. Je parle plus volontiers de Delaunay que de Coqu
ongues narrations qui sont trop fréquentes dans Molière : difficile à
comprendre
, enchevêtrée d’incises qui encombrent et prolonge
de Ronsard et Du Bellay. Imaginez-le débité au théâtre, le public n’y
comprendra
goutte et ne sourcillera pas. En 1865, un rédacte
jours en éveil. Et c’est pour cela qu’elle aime son tuteur, dont elle
comprend
, dont elle apprécie, plus encore qu’elle ne la se
à toute analyse. C’est le génie d’où elle émane, c’est le goût qui la
comprend
et qui la sent. Je ne puis que plaindre ceux qui
qu’une grande œuvre élève et fortifie le cœur de ceux qui la veulent
comprendre
. On y vient, dans les heures de tristesse, cherch
ière déclaration d’indifférence, qui se termine par un mariage. On ne
comprend
guère que cet homme aux puissantes épaules, à la
it alors du ridicule de cette ambition chez George Dandin. Nous ne le
comprenons
que par un effort d’érudition archéologique. Il f
et avare ? Est-ce qu’il a pour vous une personnalité très distincte ?
Comprenez
-vous que cet homme ait un si grand train de maiso
acun étant libre de ses préférences ; et je sais assez mon Weiss pour
comprendre
ce qui le chagrine dans Tartuffe, et pour faire m
s de l’empire à ce moment. Non, c’est que tous les directeurs avaient
compris
d’instinct que de toutes les grandes œuvres de Mo
uter ou de la révoquer en doute. Il fallait que le public tout entier
comprît
et acceptât cet entêtement bizarre d’Orgon, pour
fille qui le déteste ; on s’apitoie sur cette jeune enfant ; mais on
comprend
la sottise affreusement tyrannique d’Orgon : on n
te fausseté Vouloir de sa vertu ternir la pureté ! Toute la salle a
compris
! elle éclate de rire ! Orgon n’a pas besoin de d
e donne pas les gants d’avoir rien inventé. Elmire (en cette façon de
comprendre
la scène) n’est préoccupée que d’un souci : c’est
mais elle n’avait entendu dire ces vers autrement et qu’elle-même les
comprenait
ainsi. J’avais fini par me rendre, vaincu, non co
hant qu’Orgon destine sa fille à Tartuffe, voit dans cette manière de
comprendre
le mot : un homme, un arrière-sens équivoque qui
olière m’occupe infiniment plus que les affaires du Mexique, où je ne
comprends
rien, non plus que la Chambre. 30 juin 1862.
let de la Languedocienne. Quels rires dans la salle, bien que l’on ne
comprît
pas grand-chose à ce qu’elle disait ! L’artifice,
ui expliquent le reste. Le public, au théâtre, n’a pas tant besoin de
comprendre
que l’on croit bien ; il se laisse aisément empor
s à peine, le regard vague et ravi de l’innocence ; une enfant qui ne
comprend
! rien aux transports qu’elle excite ; douce et t
vous pas combien cette pitié est insultante ! La Psyché de Molière ne
comprend
pas le mal qu’elle fait à ses aînées ; leur rage
épaules, c’était une peur magistrale et superbe. Un détail vous fera
comprendre
la différence. Vous avez tous présente à la mémoi
s se choquant coup pour coup, ce sont des raisons déduites. Mais vous
comprenez
l’état d’esprit où est Clitandre. Très agacé, trè
olière a obtenu son effet définitif. Il passe à autre chose. Delaunay
comprend
-il son contresens ? Ce n’est pas sur un vers ni s
peut-être causé avec Molière, mais je crains qu’il ne l’ait pas bien
compris
. Vous racontez, dans votre feuilleton, qu’un viei
ion du vieux papa Provost, qui était un assez bon comédien quoi qu’il
comprît
Molière autrement que Cadet. Tous ne serez peut-ê
car chaque détail se sent de la façon dont le rôle tout entier a été
compris
. Argan se plaint à sa femme de l’insolence de Toi
ire vivant. Elle l’écoute ; elle force les autres à l’écouter et à le
comprendre
. Quand M. Diafoirus dit avec admiration de son fi
era pas à être épuisé. Où est le comique dans la pièce, telle que l’a
comprise
Regnard ? Le comique de la situation, c’est que l
parler sont sottes et triviales. C’est ainsi que Régnier et Coquelin
comprennent
ce rôle. Et je ne puis me tromper à cela, car la
», dit M. Larroumet, d’après un contemporain. C’est ainsi que j’avais
compris
le personnage, et d’ailleurs, il traîne encore da
ne entre le sens primitif de l’œuvre, les diverses façons dont on l’a
comprise
depuis, son interprétation personnelle, le goût e
orité de son talent, je fis des réserves sur la façon dont elle avait
compris
et rendu le personnage : je m’engageai alors à ex
t contre Lisette, et contre elle-même ; c’est un moineau mutin qui ne
comprend
rien à ce qui lui arrive et qui donne des coups d
tout le temps enragée et heureuse de ce qui lui arrive et où elle ne
comprend
rien. Elle n’y comprend rien, jusqu’au moment exq
t heureuse de ce qui lui arrive et où elle ne comprend rien. Elle n’y
comprend
rien, jusqu’au moment exquis où, Bourguignon lui
sûrs que Marivaux (eût été fort surpris de la manière dont Mlle Mars
comprenait
et rendait sa Sylvia et son Araminte. Il aurait v
nt dans le vide”, suivant l’expression de Rabelais. » Cette façon de
comprendre
les héroïnes de Marivaux est-elle vraie ? Ce n’es
ire peuvent sans cesse être renouvelés par de nouvelles façons de les
comprendre
, de les sentir et de les rendre. 14 mars 1881.
en ; médiocre et rampant, et l’on arrive à tout. Voilà le trait. Mais
comprenez
-le bien : pour que ce trait porte, pour qu’il ébl
’elle ait passé en quelque sorte dans le sang de la génération qui la
comprend
et l’applaudit. Je suppose un instant que cet axi
t loin de pouvoir sentir et apprécier. » C’est beaucoup déjà d’avoir
compris
, à cette époque, ce qui nous semble si clair aujo
l’ai lu plus souvent encore ; il y a une quantité de scènes que je ne
comprends
pas, où chacun des personnages parle au rebours d
de ces deux mots. Il faut se reporter au temps où parut Turcaret pour
comprendre
avec quelle joie de vengeance satisfaite dut être
future, cette nation-là serait dans un bien triste état ; et l’on ne
comprendrait
pas qu’un quart de siècle plus tard elle déployât
i flambaient. Il faut une minute de réflexion pour les deviner et les
comprendre
; on ne rit qu’après, à la réflexion. Ajouterai-j
pareil. La salle ne s’est pas dégelée un instant. Elle a paru ne rien
comprendre
à la pièce. Il est vrai que, si vous n’en prenez
emise en ton pouvoir Parmi nos sénateurs s’offre à te faire asseoir.
Comprenez
si vous pouvez ! une moitié de bien qui s’offre à
n moi, Tous ces noms ne sont rien, et chacun est pour soi. Pour bien
comprendre
le sel de la scène transportez-la, par la pensée,
ns, drus comme grêle, ils arrivaient à des effets qui ne peuvent être
compris
que par des peuples délivrés de la liberté de la
… Entendez-vous ces éclats de rire ? Assistez-vous à cette gaîté ? et
comprenez
-vous que ce silence ait réussi tout autant que ce
Arrête ! profane, tu es assis à la place de l’amateur qui va venir !
Comprend
-on, je vous prie, que la vie d’un homme sage se p
ent, vingt ans de suite, la même prose et les mêmes vers ? Certes, je
comprends
, à tout prendre, que l’on fasse une collection de
’on fasse une collection de beaux papillons ou de beaux insectes ; je
comprends
que l’on se forme un herbier. Le bel insecte qui
ve et le maître du monde ! le loustic et le maître de la république !
Comprenne
, qui pourra, tous ces contrastes. Au contraire La
tte passion faisait peine à voir. Pour les esprits qui savent voir et
comprendre
, la comédie de Molière a toujours deux aspects, l
flatteurs et les traîtres, les bandits vautrés dans la fange ! Il ne
comprenait
pas certaines attitudes de la servitude volontair
; le second peut tout demander à l’avenir ; il peut deviner, il peut
comprendre
ce qu’il ignore ; il peut trouver en lui-même la
d’apothéoses inventées à sa gloire ! Incroyable privilège et facile à
comprendre
pourtant, que la comédienne et le comédien, la da
re, au beau milieu d’une comédie qui avait besoin, pour être jouée et
comprise
par l’acteur, de gentillesse, de goût, d’intellig
ofonds, si comiques, si admirablement savants, Odry, voyant qu’il n’y
comprenait
rien, s’est mis à rire de son rire bête. — On eût
rivale elle-même, à cette dernière descendante des Capulets, qui doit
comprendre
mieux que personne, pour peu qu’elle sache l’hist
rible, le malheureux artiste se sent défaillir. Quand le parterre put
comprendre
enfin à quel drame il venait d’assister, le parte
ienveillance paternelle pour l’artiste découragé, pour l’écrivain mal
compris
, pour le révolutionnaire convaincu, pour l’âme gr
acile, la jambe alerte comme son esprit ! Personne, mieux que lui, ne
comprenait
les grâces du style, les finesses du dialogue ; p
dans toutes sortes de réticences, cet homme qui les dit si bien, les
comprend
-il ? Et si aucune de ces finesses ne lui échappe,
ver le sens ? C’est à s’y perdre — en même temps c’est à ne plus rien
comprendre
à l’art du comédien. En effet, voilà un art que v
dant, elle hésite, l’ingénue ! — Elle n’ose pas oser, on voit qu’elle
comprend
, ou tout au moins qu’elle devine. Cette petite vo
ire du Misanthrope ! Ah ! c’est là une de ces nécessités difficiles à
comprendre
pour une petite fille qui nous faisait pleurer na
t pas les diamants et les perles. Molière et Beaumarchais lui-même ne
comprenaient
pas que l’ingénuité pût cueillir ses ornements au
illés ainsi que des volants ? J’avoue que pour ma part je n’ai guère
compris
ces dissertations sur la forme ou sur la figure d
distance de vingt-trois ans ! D’ailleurs, quand les Athéniens eurent
compris
quel grand crime ils venaient de commettre en met
e ? Comment le sait-elle ? Elle ne le sait pas, elle le sent, elle le
comprend
, elle le devine, c’est l’art du sixième sens ; or
ifficiles, et autres tours de force auxquels nous ne savons plus rien
comprendre
, tant les siècles emportent dans leur vol les cho
onc notre médecin et notre jeune fille qui sont en présence et qui se
comprennent
à merveille. La jeune fille est déjà un habile pr
garder de plus près et pour le réchauffer. À cette heure, ils se sont
compris
, ils savent ce qu’ils ont à faire : il faut atten
e de madame Franval, la femme d’un sien ami, mais sa conquête morale.
Comprenne
qui pourra. C’était peut-être le cas de vous parl
e Sage ? Trois immenses fardeaux à porter. À vrai dire, en ceci, nous
comprenons
mieux La Bruyère et Le Sage que nous ne comprenon
ire, en ceci, nous comprenons mieux La Bruyère et Le Sage que nous ne
comprenons
Molière. Molière a aimé Baron comme un intelligen
cinde. Ces dames-là n’ont pas un regret pour un amant ainsi perdu. On
comprend
à leur sang-froid, qu’elles ont dans leur coffre-
une vive et curieuse comédie. Rien qu’à voir d’Ancourt, vous eussiez
compris
qu’il était fait, tout exprès, pour reproduire ce
si blanches ! un pied qui brûlait le pavé sans le toucher ! d’Ancourt
comprit
que c’était sa muse qui passait ; il la suivit, t
lle et la bonne société n’existe guère pour d’Ancourt ; il n’a jamais
compris
le Misanthrope, il n’a guère hanté les salons de
et homme était la fin de toute galanterie et de toute passion ; elles
comprenaient
confusément que Don Juan et Don Quichotte, deux h
étonnement profond que Molière ait été, au point de vue moral, si peu
compris
ou si incomplètement apprécié par des juges illus
ive sur la morale de Molière. À ce point de vue, il n’a été vraiment
compris
de son temps que par deux hommes. Le premier est
, envers ses semblables et sa patrie821, même envers Dieu822, Molière
comprend
et croit qu’il y a une règle formelle et invariab
nspire la congrégation de l’Index dans ses interdictions, souvent mal
comprises
par ceux qui ne se placent pas à son point de vue
nête homme, mais plutôt pour les excuser ou s’en divertir. Gresset le
comprit
, et le héros de sa pièce s’acquitte on ne peut mi
n y exaltait; ou du moins, dans certains ouvrages, ces sentiments mal
compris
et mal interprétés, loin d’exercer sur l’esprit d
tut, fut jugée alors, par les vieux amateurs de théâtre, digne d’être
comprise
parmi les plus belles du répertoire ; et nous pen
e, Et tout leur bel esprit ne fait que m’étourdir, Moi, qui cherche à
comprendre
avant que d’applaudir. De traiter ces messieurs j
ges, avait reproduit fidèlement les mœurs de la Restauration. On doit
comprendre
dans ce qu’on appelle les mœurs ces ridicules, ce
u’il ne dit pas qu’il faut chercher ou deviner ce qui existait. » On
comprend
aisément l’intérêt que pouvait avoir M. Scribe à
Il n’est pas toujours aussi facile qu’on pourrait le croire de bien
comprendre
un rôle et de se faire une idée exacte de son car
d’exprimer librement sa pensée, comme il le fait. Molière aurait mal
compris
son personnage, et n’aurait pas atteint son but,
e doit donc pas à un tel homme. C’est ce que Philinte a tout de suite
compris
, et sans prendre au sérieux la poésie d’Oronte, s
mer sa véritable pensée que pour donner le ton à son ami et lui faire
comprendre
que la sincérité serait déplacée en pareil cas. A
ans ma prochaine lettre, j’essaierai d’indiquer comment, devrait être
compris
et exécuté cet admirable rôle du Misanthrope, l’u
ais l’art du comédien est hérissé d’écueils; il ne suffit pas de bien
comprendre
et de bien sentir, il faut pouvoir exécuter; c’es
uis ensuite de nous mettre sur la voie de ce qu’il faut faire. Fleury
comprenait
parfaitement toute la passion qu’exige le rôle d’
rop prompt peut-être à souffrir votre ardeur. TARTUFFE. Ce discours à
comprendre
est assez difficile, Madame, et vous parliez tant
st en cela la pensée de l’acteur ? Ce ne peut être que de mieux faire
comprendre
au public le dessein criminel de Tartuffe. Mais,
es traits distinctifs de sa physionomie les frapperont tous; tous ils
comprendront
parfaitement que cette figure sinistre qui traver
te, sans pour cela tomber dans le tyran de mélodrame, voilà ce qu’ils
comprendront
moins facilement. En un mot, ce sont les nuances
étrange conseiller, bouche béante. — « Eh quoi ! reprit-il, tu ne me
comprends
donc pas, malheureux critique ? te voilà assis bê
elque Ariane de province ou d’un mélodrame de la Gaîté ! — Mais tu ne
comprends
donc rien ! mais tu ne sens donc rien ! mais cett
ssi vous nous rebattez singulièrement les oreilles, et je n’ai jamais
compris
, je vous l’avoue, comment vous pouvez admirer, si
e lui avez épargné aucune équivoque, quand elle s’est bien fatiguée à
comprendre
ou plutôt à deviner vos poètes comiques, vous la
harmante scène entre Molière et sa femme… une scène qui sera toujours
comprise
et applaudie. Mais quand vous arrivez à Molière c
eux de leur succès608, c’est une œuvre immorale et sans excuse609. Ou
comprend
sur ce point la sévérité d’un évêque comme Bossue
moralité des peuples et des rois, au désastre de leur immoralité, on
comprend
que Platon eût chassé Molière de sa république656
é, on comprend que Platon eût chassé Molière de sa république656 ; on
comprend
que Bossuet l’ait anathématisé. 585. Daniel, ca
amais fait sur lui, en l’écrivant, de mauvaises impressions, et il ne
comprenait
pas qu’il pût être si fort nuisible aux personnes
le ridicule de la profession elle-même, cela était impossible; il le
comprit
et n’en parla point. C’est qu’en effet la profess
de belles choses qu’il n’a point faites 7 . » Et, de vrai, cela se
comprend
dans une carrière où l’imagination est continuell
nt, elle ne rit plus du tout. C’est pitié de la voir se rembrunir. On
comprend
bien qu’une heure solennelle approche, l’heure du
, la saillie qui éclate et flambe, il y a le fond : une action forte,
comprise
largement, étudiée puissamment, conduite selon l’
, chose, et inoculer l’enthousiasme des prosélytes aux badauds qui ne
comprennent
pas; mais, malgré des efforts généreux, très élev
ce, c’est une chose singulière, pour se donner cette joie difficile à
comprendre
, cette volupté baroque de se calomnier elle-même
le, voulut se l’attacher en qualité de secrétaire. Molière refusa; il
comprenait
dès alors la valeur de son génie; il était fait p
dont il adopte les ouvrages. » Ce morceau n’est-il pas grotesque, y
compris
le style ? et Molière assurément sera dans son dr
ules s’est transfiguré en celui du Misanthrope, si tant est qu’il ait
compris
le Misanthrope plus que les Précieuses. Nous avon
foudres de son éloquence genevoise ; mais, si l’on veut réfléchir, on
comprendra
que le but de Molière n’était pas seulement d’exc
? et, lorsque le fâcheux tire des cartes de sa poche pour mieux faire
comprendre
son explication, peut-on s’empêcher de rire aux é
isante qui les fait naître, n’ont rien de comique ; il ne tarda pas à
comprendre
le côté ridicule de celte aveugle frénésie ; jalo
s des ridicules de leurs vieux confrères. Ils entendent mieux la vie;
comprennent
-ils mieux la mort ? Nous reviendrons, à propos du
res, les lâches, les fripons qu’il rencontrera sur sa route. Ou je ne
comprends
rien à Alceste, ou son honnêteté, qui n’est que d
s qui ont parlé du Misanthrope, Marmontel est peut être celui qui l’a
compris
le mieux. La Harpe s’est montré, en cette matière
style de cette comédie. Molière avait en grande estime le vers, il en
comprenait
si bien la supériorité sur la prose ! Les premièr
ncore Rousseau, toujours retranché dans la misanthropie, se refuser à
comprendre
cette morale. Rousseau s’offense, parce que Valèr
souvent du mot de caution bourgeoise, pour caution solvable, et l’on
comprend
que c’était voir dans la bourgeoisie la probité d
tables ; il fut choqué de cette entrée subreptice dans sa chambre, et
comprit
que, impatiente de l’héritage, elle venait pour t
it bien toute la distance qui existait entre lui et Molière. Il avait
compris
la difficulté de l’égaler ; il ne s’est pas servi
rais d’établissement de la salle du Palais-Royal. La troupe italienne
comprenait
la plupart des artistes qui avaient quitté Paris
demande Dominique. — Et les perdrix aussi », reprit le roi qui avait
compris
le trait. Le plat était d’or. Louis XIV avait ass
. Le mime et le gymnaste semblent l’emporter sur l’acteur, et cela se
comprend
aisément, si l’on réfléchit que, devant un audito
i, cette année même, a pris la peine d’expliquer doctement comment il
comprenait
le personnage, n’y trouvera pas de quoi déconcert
articularité de l’inventaire, dont M. Soulié ne nous semble pas avoir
compris
la signification, est, à nos yeux, un trait de lu
de la belle-mère ne se fit plus sentir, est certaine. Il parut avoir
compris
sans doute, je le répète, sous l’inspiration du g
eut désormais, sans conteste ni partage, toute la charge, survivance
comprise
. C’est pour qu’il n’y eût plus doute à cet égard,
enoncerait à la survivance de sa charge de tapissier du roi. Il avait
compris
que c’était désormais un enfant perdu pour ses pr
st ainsi qu’en usait Molière avec ses douleurs les plus profondes, on
comprend
avec quelle facilité il devait se faire un jeu de
n France, et l’avenir de l’enfant né de leurs amours ? » La Béjard le
comprit
, et ne s’obstinant plus dans l’espérance qu’elle
encore, et c’est plus tard, seulement, que, m’en étant souvenu, j’en
compris
toute la haute moralité. Et dès lors je la mis à
x cents lieues de la Bastille, imprima tout. Son texte servit à faire
comprendre
ce qu’avait écrit Rochemont, c’est-à-dire, ce qui
lui fait mettre en action. S’il ne venait pas de parler ainsi, on ne
comprendrait
pas, de sa part, un pareil élan de générosité. Ce
t souri encore, non plus avec dédain, mais d’une façon amère ; il eût
compris
qu’il pouvait répondre, et sa réponse eût été le
eminement naturel ; le tapissier Poquelin l’avait, à ce qu’il parait,
compris
ainsi, et son fils dut passer, du Collège de Cler
importer, n’étant pas du domaine de la comédie telle que son génie la
comprenait
, et qui, faisant bon marché, dans un caractère, d
ientôt il se renseigne, ou bien il devine, et il ne s’étonne plus. Il
comprend
pourquoi « ces dix mille âmes, dont il répond à D
u’une seule fois l’abbé auprès d’elle, et c’est à ce moment. Il avait
compris
que le moment était des plus favorables, et il ét
t montrer au vif l’odieux de ces pratiques détestables. Molière avait
compris
, avant lui, qu’il fallait en faire justice. Aussi
i, toute grossière qu’elle était, pouvait bien être acceptée, Molière
comprit
qu’il y aurait danger à la laisser passer sans ré
Molière qui parle à Louis XIV, qui l’écoute, mais qui peut-être ne le
comprend
pas : « Sotte condition que celle d’un esclave, d
du Roquette138, l’un n’étant plus que le synonyme de l’autre. Molière
comprit
cette seconde exigence, et il fut convenu que le
ait examiner la pièce de Tartuffe et que nous la jouerions. » Molière
comprit
quelle vaste carrière cette parole vague ouvrait
Bazin, le 5 février 1669, qu’il reprit sa liberté, « comme tacitement
compris
dans la paix de Clément IX. » Il fut joué, il fut
autre comédie d’une portée trop essentiellement littéraire pour être
comprise
du public tout entier, il joua le Malade imaginai
de Navarre. Par bonheur, ce fut une chute, qui suffit pour lui faire
comprendre
que son chemin n’était pas de ce côté-là. Aussitô
faisait que suivre ainsi la tradition de la farce, telle que l’avait
comprise
les bazochiens et plus tard les bouffons de l’Hôt
tout au profit de l’ancienne farce. Le nouveau roi était fait pour en
comprendre
la vive gaieté et la franchise. Sa verve toute ra
acquit desquelles on a déjà saisi tous les meubles de la chaumière, y
compris
le grabat qui servait de lit. Le collecteur arriv
qu’il se persuade D’entrer, chez Trufaldin, par une mascarade. Pour
comprendre
ce que cela veut dire, et c’est fort important, c
ublier les origines de certains personnages de Molière, pour les bien
comprendre
, et surtout pour les bien jouer, avec leur vérita
e n’est le sujet même, qui, comme je l’ai dit, semblait indirectement
comprendre
parmi les Fâcheux celui qui avait demandé la pièc
rtume, mais que personne, si ce n’est peut-être Louis XIV, ne pouvait
comprendre
, le premier jour ; ce sont ceux-ci : Et notre ro
le ait été nécessaire. N’allait-il pas de soi, et ne devions-nous pas
comprendre
, sans commentaire, que l’orthographe du mot devai
les affaires toujours Le meilleur est de ne rien dire.
Comprit
-on bien à la Cour ? Je l’espère. Molière, toutefo
même, à cause de cela, aux comédies que Molière a écrites en vers. On
comprend
que celui qui fit le Télémaque dans ce style à la
ère, dans la scène qu’on lui reproche, a suivi cette doctrine. Il y a
compris
, le premier, cette grande solidarité de la famill
it « apporter quelques bassins d’oranges de la Chine. » Or, pour bien
comprendre
, à ces mots, la colère de l’avare, qui fait, malg
amenées à leur époque et remises à son vrai point, pour se faire bien
comprendre
, avec le sens et l’esprit même que Molière leur v
lière leur voulut donner. Son Georges Dandin surtout exige, pour être
compris
et jugé comme il faut, ce retour au temps où il f
isant au même but, furent écrites (qu’on le sache bien, pour les bien
comprendre
), sous cette inspiration. L’une et l’autre furent
deux vers du Tartuffe Il y a tant à voir, tant à étudier, tant à
comprendre
dans les rôles des Comédies de Molière, joués cha
revoyez certainement déjà, il sera bon de vous expliquer comment nous
comprenons
le personnage, d’après les indications mêmes de M
lumes d’un volant renversé. A propos de ce dernier trait, si facile à
comprendre
, croiriez-vous qu’il s’est trouvé un commentateur
revoyez certainement déjà, il sera bon de vous expliquer comment nous
comprenons
le personnage, d’après les indications mêmes de M
t, sans tradition, du terrible personnage où j’ai vu la tradition mal
comprise
aveugler et fourvoyer tant de gens. L’épreuve n’a
e parole du sot qui s’admire en ce qu’il dit, sans toujours savoir se
comprendre
. Elle n’a que naïvetés exquises- ; il n’a, lui, q
? Ne l’aimera-t-il pas un peu moins, parce qu’il ne rira pas autant ?
Comprendra-t
-il toute la haute franchise et l’indomptable dign
ns par son rire si franc et si juste d’explosion, il m’a semblé qu’il
comprenait
le personnage d’Alceste. Pour ce public tout peup
donc été excellente. Le peuple-roi s’est amusé du Misanthrope et l’a
compris
tout aussi Lien que Louis XIV, l’autre grand roi,
à dire à propos de ce type inépuisable : sur certains mots, qu’on n’y
comprend
point, parce qu’on veut les faire trop comprendre
tains mots, qu’on n’y comprend point, parce qu’on veut les faire trop
comprendre
ou parce qu’au contraire on ne les accentue pas a
’est qu’une aurore d’immortalité. Les anciens l’avaient admirablement
compris
, avec leurs apothéoses, qu’ils faisaient rayonner
us ou moins rayonnantes et acclamées. C’est encore ce que l’on avait
compris
, aux temps anciens. Rome, qui se croyait la ville
la Muse Dauphine, à propos du Misanthrope, p. 35, qu’on l’avait ainsi
compris
dès l’origine, et que c’était l’étymologie admise
trouver des récompenses, tu as rencontré la persécution! A-t-on bien
compris
même de nos jours ce qu’il t’a fallu de courage e
’ai vu depuis précisément la même scène et plus forte encore, et j’ai
compris
qu’on ne pouvait guère charger ni les ridicules n
n. Le recueil factice, qui porte le titre : Elementari sulla Poesia,
comprend
six pièces dont les deux premières en italien et
upon the frelful porcupine : Appelle (écrit au crayon) : Pour être
compris
des armateurs (amateurs ?) grossiers de 1580 Du r
rt du parterre et obscur pour deux des autres quarts, tandis que tous
comprennent
dans Andromaque. L’amour d’Oreste, L’enlèvement
n même temps enchanté de sa belle phrase. Ridicule actuel. Nos sots y
compris
les petits littérateurs, bannissent le stile fami
que vous m’osez dire. Les applaudissements de vanité qui disent : Je
comprends
parfaitement toute la finesse de ce Discours, ces
démesurément de ce vers à cause du mot son corps. Je crois qu’ils ne
comprennent
pas trop la phrase. Madame Pernelle … L’on est c
! ah ! ah ! ah ! ah ! monsieur ! Ah ! ah ! monsieur ! tout beau ! Je
comprends
seulement aujourd’hui qu’il feint de recevoir d’a
e dans le sac. Mon maître. Excellente figure de Géronte qui peu à peu
comprend
la mystification. [Acte III, scène III] Sc
r. Prononciation rapide et concluante. Zerbinette Le valet lui fait
comprendre
à tous coups l’impertinence de ses propositions…
et il feroit le diable à quatre, si cela venoit à ses oreilles. Vous
comprenez
bien ? Supériorité d’esprit de Lubin, qui en lui
George Dandin J’enrage ! Comment ! ma femme n’est pas femme ? Je ne
comprends
pas le grand comique que l’on trouve à ce trait.
taient pas des George Dandin auraient peut-être eu bien de la peine à
comprendre
. [Acte premier, scène VI] Scène VI Monsieu
drait rendre ridicule aux yeux de tous, et d’une manière très aisée à
comprendre
, un mal moral (selon lui) qui consiste à ce qu’un
bien du sujet. Bélise s’attache aux mots en vraie pédante au lieu de
comprendre
la chose. Cela pourait être bien autrement dévelo
s ; mort le 24 janvier 1788 ; sa traduction du Théâtre de Shakespeare
comprend
20 vol. in-8 (1776-1782). — Nouvelle édition préc
era plaisir ; au lieu qu’il me désoblige mortellement ». Le Religieux
comprit
d’abord, par le portrait du personnage, que c’éto
vez compter là-dessus ». Il en profita en effet ; car ayant fort bien
compris
que c’étoit un avis que la Belle lui faisoit donn
out le comique que l’idée de l’Auteur Espagnol pouvoit lui fournir, a
compris
en même temps combien un fils qui se joueroit de
, l’admiration, l’enthousiasme : il est inutile d’insister pour faire
comprendre
la puissance morale de Molière. Alors, on compr
ter pour faire comprendre la puissance morale de Molière. Alors, on
comprend
aussi combien il est intéressant de connaître les
Boileau, peintre élégant de portraits, ne
comprenait
pas que des grimaces pussent être artistiques, su
u’on lui a faits en lui enlevant la lettre. Diane & Colombine n’y
comprennent
rien : elles battent Arlequin, & se retirent.
corps, l’ame a l’intellective, Et donne l’existence aux deux qu’elle
comprend
, Ainsi qu’un petit nombre est compris au plus gra
e l’existence aux deux qu’elle comprend, Ainsi qu’un petit nombre est
compris
au plus grand. Des trois la corruptible est joint
t rien apprendre ! Jodelet. Au diable les savants, & qui les peut
comprendre
! Pancrace. Va, si tu m’y retiens, on y verra bea
re, elle ne lui est pas tout à fait insupportable, et l’on commence à
comprendre
, pour peu que les événements le permettent, que l
du Père Malebranche, et pourtant le Père Malebranche était facilement
compris
par ses plus naïfs auditeurs. — Une des peines de
, elle a été bonne, fidèle et dévouée à cet illustre génie, dont elle
comprenait
toute la portée. Aussi le nom de mademoiselle de
Molière s’est trompé en donnant cette vaste étendue à son drame ; on
comprendra
, grâce à Thomas Corneille, qu’il n’y avait pas le
ce siècle, qu’un drame pareil accompli à l’aide d’un pareil héros. On
comprend
donc très facilement que Thomas Corneille ait été
s son ampleur et dans sa majesté, voilà, certes, ce qui ne saurait se
comprendre
. — En présence de cette profanation, de cette imp
oles ; les chansons, les intrigues, les fillettes sont supprimées, on
comprend
que le dénouement approche, un dénouement terribl
prose, qui ne soit tout à fait à l’avantage de Molière. Ici même vous
comprendrez
, par un très petit exemple, ce que c’est que le g
c’est très bien fait ; mais à travers toutes ces gaietés funèbres, je
comprends
le vide et la tristesse de votre cœur, où la plai
chandelles ! Nous n’insistons pas ! Au reste, le public n’avait rien
compris
aux meilleures plaisanteries de ce nouvel intermè
t de madame de Maintenon, à madame Dubarry. C’est alors que la France
comprit
combien elle devait de reconnaissance aux deux ma
la main de M. Bulwer. Cet homme est naturellement boursouflé ; il ne
comprendra
jamais ce qui est simple et naïf. Cet homme est u
qu’elle n’entend pas, vous lui faites des menaces qu’elle ne saurait
comprendre
! Dans tous les arts, mais surtout dans l’art dra
te des amateurs du théâtre, Pont-de-Vesle, Befara et M. de Soleinne y
compris
. Il repose depuis une époque indéterminée sur les
transforme en Turbon (car son oreille néerlandaise n’avait retenu ni
compris
les noms propres), ce pauvre hère fabriqua la plu
t Peripateticorum princeps. ASCANIO. Maître, parlez de manière à être
compris
… BARRA. Il a peut-être ses raisons pour vouloir q
ourir à un notaire qui lui rédige un acte interminable auquel elle ne
comprend
rien, et, quand elle lui en demande l’explication
la réalité comique plus fidèlement. Mais, faute d’y penser, faute de
comprendre
assez l’importance de cette remarque, notre criti
et qu’en même temps il s’épure. L’élargissement du goût est facile à
comprendre
; à mesure que nos préjugés tombent, beaucoup de
, lui répondit ce pauvre garçon qui fut plus de vingt-quatre heures à
comprendre
comment ce malheureux bas se trouvait toujours à
Chapitre V Conclusion des quatre chapitres précédents qui
comprennent
les deux périodes de 1600 à 1610, et de 1610 à 16
droit de le faire qu’un autre, parce qu’il est mon parent. Je lui fis
comprendre
qu’il manquait de conduite par ses harangues dans
la cour et du monde. Son honorable cause n’était pas de nature à être
comprise
parle vulgaire ; elle n’était pas non plus de cel
tres se trompent encore. L’amour d’Alceste pour Célimène est facile à
comprendre
; il est homme de goût, elle est femme de goût; i
u’il ridiculise Alceste : combattre ainsi Molière, c’était presque le
comprendre
. Il appartient aux hommes de notre époque de cons
raux ; et la folie, qui est la déraison inconsciente, non sentie, non
comprise
par l’individu, prenant sa source dans les passio
toujours maîtriser ses passions, il a tellement l’intention de faire
comprendre
que cette sentence ost loin de représenter toujou
ouvant plus entendre la voix de la raison, donne une réponse qui fait
comprendre
combien est complet l’esclavage moral dans lequel
. » Par ces paroles, Don Juan ne cherche pas à tromper Elvire ; elle
comprend
parfaitement qu’il se moque d’elle et qu’il tourn
as à ces raisons. Cette remarquable peinture du jeu des passions fait
comprendre
la facilité avec laquelle elles s’emparent de l’e
e la chasser. Mais, voulant servir Angélique auprès de son père, elle
comprend
la nécessité de changer de tactique : « Laissez
épondrais pas, et je me jetterais cent choses sur les bras.» Alceste
comprend
très bien que si sa violence, qu’il peut contenir
ient notre intelligence et notre instruction. Molière avait tellement
compris
cette vérité, qu’il l’a fait nettement exprimer p
correspondra. La Buyère, dans sa description de l’hypocrite, n’a pas
compris
que la passion pouvait faire commettre des fautes
hôte, il n’hésitera pas à chercher à la séduire. Il faut savoir, pour
comprendre
combien Molière est resté vrai dans cette circons
rouver son trésor. Les erreurs commises par Jacques ne lui font point
comprendre
que celui-ci l’a trompé. Molière a reproduit ce m
TES Molière, avec son grand sens psychologique, avait parfaitement
compris
que les facultés instinctives jouent un grand rôl
outé don Juan avec patience sans l’interrompre ! » Molière en effet a
compris
qu’un plaidoyer en faveur de Dieu, exposé en form
mon petit sens je vois les choses mieux que tous les livres, et je ne
comprends
fort bien que ce monde que nous voyons n’est pas
lu, au contraire, flétrir la sécheresse d’un cœur glacé, incapable de
comprendre
le prix d’un cœur comme le sien ? Si l’on prend à
ent supporter, se mêlant au monde pour prêcher le mépris du monde, on
comprendrait
encore que le monde regimbât, ou du moins qu’il r
vie ; un peu effacée, n’ayant rien d’une reine de salon. Elle saurait
comprendre
Alceste, mais elle ne manque pas non plus de fier
e chasse pour un temps au désert, son âme haute et généreuse lui fera
comprendre
que c’est encore une sorte d’égoïsme que de ne vo
encontrera quelque Éliante d’une âme forte et sérieuse, capable de le
comprendre
et de l’aimer. Il apprendra à dire la vérité sans
t cet état explique sa coquetterie. Tant de manèges et de ruses ne se
comprendraient
pas dans une fille ; ils scandaliseraient dans un
ette âpreté même est la marque d’un sentiment profond que Célimène ne
comprend
pas. Elle a écrit à Oronte ; la lettre surprise e
ne, c’est le manque de cœur. Une femme honnête cherche une âme qui la
comprenne
, un mari qu’elle aime et auquel elle s’attache to
à point. Il lui faut cela, sans doute ; mais de plus une femme qui le
comprenne
, qui réponde à ses sentiments, qui console ses ch
ncère Éliante a du penchant pour vous36. Esprit droit et sensé qui a
compris
le cœur du Misanthrope et pour cette raison fait
e sont pas simplement poussés par la jalousie littéraire : Molière le
comprend
bien28. Quand ils l’accusent de ruiner la religio
d’Argenson. L’inimitié des « supérieurs » officiels est trop facile à
comprendre
: je la rappelle ici sans y insister. Renseignés
ste, et nous n’y pensons nullement, de prétendre que le Jansénisme ne
comprit
pas, lui aussi, l’obligation de ces besognes de m
ont devenus prudens ? N’est-ce pas cela que le public de Molière peut
comprendre
, doit sans doute comprendre et est presque forcé
ce pas cela que le public de Molière peut comprendre, doit sans doute
comprendre
et est presque forcé de conclure, » si ce n’est p
mon salut ; mais je crois que je le ferais mieux ailleurs. Je ne puis
comprendre
que la volonté de Dieu soit que je souffre de mad
qui nous trouble à tout moment. Je me suis mal expliquée si vous avez
compris
que je songeais à être religieuse. Je suis trop v
même, il se désintéressa de ce qu’il voyait si nettement, de ce qu’il
comprenait
si bien ; son âme sincère et compréhensive reçut
teur, et aussi, il faut bien l’avouer, par ses faiblesses d’homme, il
comprit
enfin que la tâche unique d’amuser ses contempora
on a lu Le Misanthrope, Tartuffe et Les Femmes savantes, on a peine à
comprendre
les critiques que Fénelon et La Bruyère ont faite
rd un mouvement naturel ; mais, par le mot de nature, gardons-nous de
comprendre
les excitations instinctives du corps ou de l’ima
aime point, parce qu’elle est coquette : ce vice la rend incapable de
comprendre
la.seule passion vraie qu’elle ait inspirée dans
s ; elles parlaient un style incroyable : Le contemplatif sent et
comprend
ce qu’il dit ; Mais la chair n’entend pas la l
ue pour y marquer les endroits où je m’écarte de l’original : mais je
comprends
que cela me meneroit trop loin. Cet excellent Poë
e ne pas détourner Pamphile du mariage projetté. Dave feint de ne pas
comprendre
ce qu’il veut dire. Hé bien, répond Simon, je veu
rment que si je t’en retire, j’irai moudre à ta place. Hé bien, as-tu
compris
ce que je t’ai dit ? cela a-t-il encore besoin d’
ers pour trente-cinq. L’ANDRIENNE LATINE, Scene III. Pamphile ne peut
comprendre
à quel propos son pere le presseroit d’épouser Ph
il y a dans son âme de bien autres comédies, pensait Molière. « Je ne
comprends
pas, disait-il un jour à ses camarades, en Langue
un peu ces tendances ; mais il avait cru que, devenue sa femme, elle
comprendrait
la nécessité d’une vie sérieuse; que, par amitié,
e vous ouvrirez la bouche Pour lui parler de grâce et de bienfait, Il
comprendra
d’abord ce que vous voulez dire, Et se mettant do
n petit jugement, je vois les choses mieux que tous les livres, et je
comprends
fort bien que ce monde que nous voyons n’est pas
ionné dans son théâtre par les mousquetaires servit à lui faire mieux
comprendre
un de ses comédiens; ce fut ce brave Hubert, dont
ltronnerie le frappa, et il vit où était le comique en cet homme ; il
comprit
dès lors tout le parti qu’il pouvait en tirer. Au
us, Allez... Lui qui eût été si heureux de se sentir aimé, entouré,
compris
chez lui; lui qui avait tant fait pour cela, qui
plais à m’attacher sur eux ! Par quel charme nouveau, que je ne puis
comprendre
, Vous dis-je plus que je ne dois ; Moi de qui la
son temps, ne s’est intéressé à elles autant que lui, ne les a mieux
comprises
, mieux appréciées. Voyez dans ses comédies, combi
t un peu mieux, reprenait ses allures et le délaissait de nouveau. Il
comprit
alors que ce qu’elle avait témoigné pour lui de t
de l’école de la philosophie aux tréteaux de la farce, et, rapide, il
comprend
que l’immense humanité est à lui pour en faire la
scène est beaucoup moins délicate, beaucoup plus brutale ; ce qui se
comprend
, du reste, Lisette étant désignée non comme une s
d’avoir éveillé les soupçons du valet, Tebaldo lui dit qu’il faisait
comprendre
à Lelio en quelle triste position se trouvait sa
rise des autres ne fait qu’augmenter, tandis que Pandolfo, consterné,
comprend
enfin tout ce qui s’est passé. Tebaldo vient à so
e de la poésie dramatique en général, et de la manière dont Molière a
compris
son art. IV L’art du poète n’est pas de voi
la nature, « si féconde en bizarres portraits 22; »connaître l’homme,
comprendre
ce qu’il y a d’un et d’immuable dans ce « sujet d
Armande Béjart, cette femme si frivole et si coquette, qui n’a jamais
compris
quel noble cœur elle avait blessé à mort ? Cette
vous ferai seulement un récit fidèle de mon embarras, pour vous faire
comprendre
combien on est peu maître de soi quand elle a une
èrent donc le signal de la guerre au faux goût du temps; mais on n’en
comprit
pas immédiatement toute la portée. Ménage nous en
es premières œuvres de Racine ! Il n’est pas même sûr que Molière ait
compris
d’abord tout ce que signifiait la satire qu’il ve
l’âme, a peine à s’y reconnaître. Un second exemple achèvera de faire
comprendre
la portée de la révolution du goût qui s’opéra au
épéter aux Allemands qui le prennent encore pour guide, il n’en a pas
compris
le premier mot. Ce n’est pas à un poisson qu’il f
ire connaissance avec l’esprit français: espérons qu’on finira par le
comprendre
, et que ce sera bientôt un lieu-commun des deux c
u particulièrement à la mode après les troubles de la Fronde, et l’on
comprend
sans peine que la physionomie de la société franç
cadre ordinaire de la comédie classique. En les écrivant, Molière dut
comprendre
qu’il suivait une route moins aventureuse et se s
qui annoncent à Chrysale la perte de sa fortune. Cette nouvelle fait
comprendre
à M. Trissotin qu’il n’est en effet pas beau de v
les fables duquel se glissaient des satires dont il n’a pas toujours
compris
la portée; Molière, qui se rend un compte plus ex
al. Il se manifeste d’ailleurs sous mille formes; certains peuples le
comprennent
à merveille lorsqu’il s’offre à eux sous l’une de
merveille lorsqu’il s’offre à eux sous l’une de ces formes, et ne le
comprennent
plus du tout lorsqu’il se présente sous une autre
s observations très simples, qui nous serviront, je le crois, à mieux
comprendre
la poésie de Molière. Le comique existe dans la n
ère ait connu. Enfant du XVIIe siècle, né au milieu d’une société qui
comprenait
peu la nature, qui n’en avait ni le goût ni l’hab
il faut l’examiner sous deux points de vue : il faut chercher à bien
comprendre
l’enseignement qui résulte des exemples qu’elle m
juger l’une par l’autre. Les contemporains du poète ont pu ne pas le
comprendre
; mais, aux yeux de la postérité, c’est Le Misanth
imène et Philinte de son farouche Alceste ? Est-il sûr qu’il ait bien
compris
le mot de don Juan ? On l’eût fort embarrassé si
e aveuglément aux opinions de nos anciens, et que jamais il n’a voulu
comprendre
ni écouter les raisons et les expériences des pré
c celle ’ du devoir. Ainsi, Molière lui-même ne peut être entièrement
compris
par qui est ignorant de la philosophie du XVIIe s
ouvent risquées, choquantes à un point qu’on a peine à se figurer. On
comprend
ce que l’acteur français Des Lauriers, surnommé B
explique une amélioration que nous aurions, sans lui, quelque peine à
comprendre
. Parlant des comédiens antérieurs aux Gelosi, « i
s revêtir de couleurs propres à son sujet & à son pays, que je ne
comprends
pas pourquoi quelques Auteurs modernes, loin d’av
Bibliothèque nationale possède le seul exemplaire connu ; le Molière
compris
dans un tableau anonyme, assez ordinaire, peint e
accusé, le teint brun, la moustache et les cheveux presque noirs. On
comprend
qu’un homme ainsi bâti n’ait jamais pu s’imposer
e demeure vraiment somptueuse. Son logement de la rue de Richelieu ne
comprend
pas moins de deux étages, le premier et le second
parti de certaines imperfections. C’est là ce que n’ont jamais voulu
comprendre
un certain nombre de comédiens que la nature dest
t. Ainsi, ce Misanthrope, qu’on n’admirera jamais trop, mais qu’on ne
comprendra
jamais assez. Alceste doit-il faire rire, doit-il
. Molière refusa en objectant le point d’honneur ; et Boileau, qui ne
comprenait
pas, de se récrier. Molière avait raison : le poi
ge260. C’est un citoyen qui agit, un pamphlétaire qui combat261. Pour
comprendre
ses écrits, tantôt il faut relire les historiens,
ui doit nous conduire dans la pratique de la vie ; personne n’a mieux
compris
ni montré quel ensemble de vertus supérieures doi
littéraire de la France les turlupinades et les gaillardises. On doit
comprendre
qu’il ait été offusqué par les audacieuses plaisa
nsemble autant quand ils prêchaient. » Cet empressement du public se
comprend
aisément. Les acteurs français ne pouvaient lutte
longtemps applaudi sur tous les théâtres de l’Europe, et dont nous ne
comprendrions
bien le succès que si le règne des traîneurs de s
estime du roi et sa confiance. Il n’est guère de cœur de femme qui ne
comprenne
cette passion une et multiple, une, par l’objet a
naires, mettre en pratique cet art de plaire, cet art de la cour, qui
comprend
l’art de nuire à tout ce qui n’est pas soi ; à in
es, acteurs, costumes, décors, mise en scène, musiciens et musique, y
compris
celle de Lulli et, comme complément de la représe
acieux au vice, avec une austérité ridicule et odieuse à la vertu. Je
comprends
que ses défenseurs ne manqueront pas de dire qu’i
derne cette langue éloquente et forte, qui suffit à tout dire, à tout
comprendre
, à tout garder : élégance, politesse, atticisme,
emphase et sans éclat, tout simplement, si bien qu’il était facile de
comprendre
que sa volonté était irrévocable. « C’en est fait
die, d’autres qui la chantent, pas une qui la joue, et pas une qui la
comprenne
! N’importe, haro disent-ils, sur mademoiselle Ma
eux, philosophiques, politiques et littéraires, et ils commençaient à
comprendre
le danger, lorsque la révolution française est ve
ur aimer, pour copier Marivaux, que des femmes choisies, et dignes de
comprendre
un si parfait modèle. Mais les femmes elles-mêmes
En 1660, il fut avait donné la salle du Palais-Royal ; en 1663, il le
comprend
pour une gratification annuelle de mille francs e
spectateurs qui sont plus ou moins dans leur commerce habituel et qui
comprennent
la langue de la maison. Fagot ne signifiait pas s
êcher d’aller trop loin ! Le metteur en scène de l’Odéon n’a donc pas
compris
le silence d’Elmire durant la première scène du T
une bûche au feu. Sauf la méprise dont j’ai parlé tout à l’heure, je
comprends
bien que l’Odéon ait voulu motiver l’entrée de Do
lié peu de temps après une apparition de Molière à Paris, en 1650, on
comprendra
combien il est vraisemblable que les jeunes coméd
le, suppliant, mais déjà menaçant, et, à l’air dont il se ramasse, on
comprend
qu’il va s’élancer. Il ne détonne pas, comme on f
a une importance qu’il convient de relever en passant. Il nous aide à
comprendre
, par exemple, comment quelques années auparavant
nant l’édition de 1682 publiée par Vinot et La Grange, et nous allons
comprendre
l’inattention dont le vers qui nous occupe et la
e, nul pays plus que l’Allemagne ne s’efforce de fêter Molière, de le
comprendre
et de le répandre. Ses amis sont les nôtres, ses
laude Barbin, au signe de la Croix, 1669, petit in-12 de 172 pages, y
compris
5 feuillets préliminaires, et 67 pages. Le fronti
s ses affections vers la moins belle, mais plus aimable Henriette. On
comprend
dès lors ce langage de Clitandre : … Les femmes
eureuse impression, quand il est rempli par une actrice faite pour le
comprendre
et le représenter dignement. Je l’ai vu jouer il
19 et dans la Comtesse d’Escarbagnas 320, et comme en même temps il a
compris
et apprécié le naturel féminin, qui aime à se par
oit que par un édit on peut mettre un frein au luxe des femmes323. Il
comprend
que la simplicité de la parure, comme celle de l’
tité ? Assurément non, et si c’était là sa pensée, je la laisserais à
comprendre
aux critiques français, qui s’extasient mal à pro
nique sur la scène française, l’injustice de la France qui ne l’a pas
comprise
, el de la postérité qui s’en rapporte trop légère
énorme pour nous mesurer convenablement le rire et la gaieté, et nous
comprenons
, envoyant la peine qu’il se donne, ce que dit Des
ueil où va se perdre la foule des comédies, pendant que le poète, qui
comprend
l’essence de son art, lutte contre le courant qui
de caractère. Les Français, en somme, admirent trop Molière et ne le
comprennent
pas assez. Bien qu’ils aient beaucoup d’esprit, i
œuvres classiques qu’il serait possible de suivre sur le théâtre sans
comprendre
la langue française… Je ne comptais pas que L’É
s une langue fertile en archasmes. Certains vers sont déjà malaisés à
comprendre
par nous, combien plus devaient-ils l’être pour n
t partie des officiers domestiques et commensaux de la maison du roi,
compris
aux états enregistrés par la Cour des aides. Leur
ce présent mois de juin, à raison de sept livres tournois par jour, y
compris
les dimanches et fêtes étant en icelui temps, qui
otre gouverneur17. » Le registre où M. Magen a fait cette découverte
comprend
quatre années, de 1649 à 1652. La mention de la v
ses du compte ou comptereau dont cette allocation fait partie étaient
comprises
dans « l’état général des dépenses de l’étape » e
a Pijardière, que ces allocations aux comédiens étaient ordinairement
comprises
dans l’état général des dépenses de l’étape. Mais
veine libre et hardie, il venait dresser drapeau contre drapeau ; il
comprit
qu’il avait là ses ennemis naturels, et il n’hési
un bouffon émérite et un moraliste bien timide, se furent regardés et
compris
, il s’établit entre eux une sorte d’association t
ux créations du même temps et du même genre, Colbert et Molière. « Je
comprendrais
à merveille, disait Charles Nodier, qu’une éditio
au morceau de l’ouvrage ». C’était une fine et heureuse flatterie. On
comprend
combien ce bruit, répandu rapidement, dut grandir
Ces deux génies, les plus originaux de leur époque, se sont devinés,
compris
, reconnus avant leurs plus illustres contemporain
alors aussi commodément qu’aujourd’hui les actes de l’état civil. On
comprend
donc bien que des contemporains mêmes se soient t
d’un travers qui sont moins passés de mode. Enfermer les femmes ne se
comprend
plus guère et n’est plus du tout dans nos mœurs.
’iceux livres fit un petit extrait pour lui, auquel étaient décrites,
comprises
et notées plusieurs manières de tromperies, aux p
apide à ses accusateurs dans La Critique et rien dans L’Impromptu. Il
comprit
qu’il ne s’agissait point d’opposer à ceux-ci que
ulait faire quelque difficulté, parlés lui d’une manière qui lui face
comprendre
que Monsieur mon Père et moi en avons bien envie
plus audacieux du XVIIe siècle, celui qu’on a été le plus longtemps à
comprendre
et dont la complète révélation, pour ainsi dire,
trouvant la résistance où il devrait le moins l’attendre, s’arrête et
comprend
qu’il y a là quelque chose à quoi il est forcé de
stre ridicule de la vengeance divine ! » Le Festin de Pierre, ainsi
compris
, aggrava ce qu’il semblait vouloir réparer. Après
vous ferai seulement un fidèle récit de mon embarras, pour vous faire
comprendre
combien on est peu maître de soi-même quand elle
nt honnête homme, dans l’acception étendue qu’avait alors ce mot, qui
comprenait
l’ensemble des qualités de l’homme du monde. Il e
ore de jouer Sganarelle, mais Lycas ! voilà ce que Boileau ne pouvait
comprendre
. Ce n’était pas tout, que ces travestissements fa
nfin en liberté Le Tartuffe de Molière, comme s’il eût été tacitement
compris
« dans la paix de Clément IX ». L’explication est
e Mlle Duparc, c’est-à-dire depuis 1667, comptait onze sociétaires, y
compris
Louis Béjart. C’était la première pension que la
ur avoir fait le ballet et conduit la musique, onze cents livres, non
compris
les onze livres par jour que la troupe lui a donn
es jours ! Cela montre bien le peu que sont les hommes. » Boileau ne
comprenait
que fort imparfaitement le caractère de son ami,
ant, qui croyait être assez d’intelligence avec elle pour qu’elle dût
comprendre
cette façon de s’exprimer, toute muette qu’elle é
ue croire de ce qu’elle voyait. Le président, de son côté, ne pouvait
comprendre
d’où venait le silence de la Molière. « Enfin, lu
our en pitié ou en mépris, en amour ou en haine, c’est pour les mieux
comprendre
et les mieux peindre. On s’abuse lorsqu’on lui pr
ar excellence le style de la comédie. Aussi n’a-t-il pas toujours été
compris
ni bien apprécié par les littérateurs purs et les
signe encore et finalement Marquise-Thérèse de Gorle. Il est facile à
comprendre
, d’autre part, que ce prénom de Marquise ait été
e ? Pourquoi ? Triste faiblesse de l’auteur jaloux ! On va bientôt le
comprendre
: La date de la première représentation des Plaid
rtie consacrée à la « Bibliothèque théâtrale de la nation Française »
comprend
un certain nombre de volumes, dont chacun contien
riques) dans le catalogue de son cabinet, dont l’imposant ensemble ne
comprend
pas moins de trois volumes in-8, de près de 300 p
ns l’espace d’un an et demi, nous en avons compté quatre-vingt-six, y
compris
celles des Précieuses et de Sganarelle, qui égale
yer pro domo mea, Molière défendra la Cour, qui a su l’acclamer et le
comprendre
, contre les pédants bourrés de grec et de latin,
si bien fait pour s’entendre avec Molière, et qui l’a pourtant si mal
compris
! Cet Impromptu est, au reste, une mine de rensei
et le galimatias double : le simple, où le lecteur est seul à ne pas
comprendre
l’écrivain ; le double, où l’écrivain lui-même ne
e pas comprendre l’écrivain ; le double, où l’écrivain lui-même ne se
comprend
pas par surcroît ; et, lorsque Boileau donnait un
ent donc joués quinze fois devant le public, dix-huit fois en tout, y
compris
le voyage à la Cour, une visite chez M. de Moran,
on ours. Pour les intermèdes, même simplicité d’exécution. Sur six, y
compris
le prologue, Molière faisait le jeu des quatre pr
inés en matière de goût, Loiseleur, Moland, Claretie, etc., n’ont pas
compris
que le premier vers, qui leur a semblé contradict
x questions d’Amphitryon, lui enfonce un poignard dans le cœur, et ne
comprend
rien à ce désespoir d’un homme qu’elle a si bien
e, malgré la bassesse de sa condition et la grossièreté de ses mœurs,
comprend
cette délicatesse de son maître ; car, lorsqu’un
mble attendre en repos qu’on le fasse cocu : Il se détrompe enfin, et
comprend
sa disgrâce, Déteste le Tartuffe, et pour jamais
; le roi arrive. Le tailleur dit : Madame, il est fait pour vous. On
comprend
que c’est une galanterie. Mais qui peut l’avoir f
re que l’ensemble manquait trop d’action et d’intérêt. C’était ne pas
comprendre
qu’un tel sujet ne comportait point un développem
joutez-y autant de clairvoyance que de candeur presque naïve, et vous
comprendrez
comment, trop avisé pour être dupe des apparences
ons point avec Philinte : Dans vos brusques chagrins je ne puis vous
comprendre
; car il nous semble manifeste que sa « bizarrer
faut vraiment qu’Alceste ait un bandeau sur les yeux pour n’avoir pas
compris
dès le premier jour qu’il se fourvoyait dans ce s
ous ne me donnez pas Marianne, je ne rendrai pas la cassette », il ne
comprend
nullement l’impudence d’un tel langage, et accept
ou de maris, mais par les passions qui dégradent ce caractère155. On
comprend
donc, dans une certaine mesure, qu’ici Cléante ou
mot veut dire) ; mais, révoltée contre le ridicule ou l’absurde, elle
comprend
qu’un mari ne doit pas se laisser mener à la bagu
qui, sans quitter son ouvrage d’aiguille, peut s’arrêter un instant,
comprendre
toutes les pensées, et donner un avis naturel, qu
s recouvrent une apologie personnelle. Il eut aussi le tort de ne pas
comprendre
l’importance de Célimène et de son rôle. Dans ses
omains n’y pensaient pas. Cette conception abstraite n’aurait pas été
comprise
de ses contemporains. » 147. The Miser est le
parties, dont la seconde était consacrée aux ouvrages posthumes, ils
comprirent
dans celle-ci Le Festin de Pierre, tel qu’il avai
à en juger par le nombre des événements et des déplacements, elle ne
comprend
pas moins de plusieurs mois. Quant à l’action ell
les, pour connaître le fond du cœur de la femme qu’il aime. Louis XIV
comprit
l’auteur de Britannicus. Après avoir entendu que
ue le goût qui juge ne prouve pas celui créé, que le goût qui crée ne
comprend
pas celui qui juge, car le goût qui juge bien de
on dirait qu’il évite de se parler de peur de se tromper soi-même. On
comprend
donc mes perplexités. Cependant, tenu par métier
monde, et le déguisement du personnage ne lui en impose pas. Molière
comprit
d’ailleurs que ce travestissement ne suffirait pa
e Du Lorens : Gardez-vous bien de lui, les jours qu’il communie. On
comprend
ce que le personnage, vu ainsi, — et je crois qu
et cependant toute sa résistance se borne à deux vers : Ce langage à
comprendre
est assez difficile, Madame, et vous parliez tant
& d’embellir les choses présentes avec les choses passées. Je ne
comprends
pas bien clairement ce que M. l’Abbé veut dire pa
une seconde partie des Œuvres de P. Corneille, imprimée en 1655*, qui
comprend
: Le Cid, Horace, Cinna, Polyeucte, La Mort de Po
d’aloyaux, Mais d’infinités de viandes, Si délicates, si friandes, Y
compris
mille fruits divers, Les uns sucrés, les autres v
e ballets fort agréables, de faire un dessein où elles fussent toutes
comprises
, avec liaison et avec ordre, de sorte qu’elles ne
ondement, De ce grand divertissement. « [*]Mais, quoique les fêtes
comprises
dans le sujet des Plaisirs de l’Île enchantée fus
ale] Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]Il fut
compris
dans l’état des gens de lettres qui eurent part a
pas aussi dans l’épinette, et dans une posture aussi gênante ? On ne
comprend
point ce manque d’attention. *. [Note marginale]
acle, tous les esprits, même de très-fins esprits, ne le savent point
comprendre
; et, enfin, c’est ce que l’art de Molière n’a po
fon émérite 6 et moraliste encore bien timide, se furent regardés et
compris
, il s’établit entre eux une sorte d’association t
ens d’esprit qui ne croient à rien ; beaucoup de gens crédules qui ne
comprennent
rien, mais qu’un instinct victorieux attache à to
de ces grands rois qui, pour employer encore une parole de Bossuet, «
comprennent
le sérieux de la religion. » Entouré de flatterie
sion de ces mots aucune, aucune, prononcés avec le sentiment que nous
comprenons
tous, au milieu de cette cour où les yeux fixes e
eur de la femme d’Urie : Tu es ille vir, c’est toi ! Il voulait être
compris
, il s’arrêta sur ces charbons ardents : « Si le r
violent. Il n’était, hélas, que prophétique. Aujourd’hui nous pouvons
comprendre
pourquoi la race de Louis XIV, au bout d’un siècl
plus haut, le discours de MmePernelle, et toute la première scène, y
compris
le couplet de Dorine contre Laurent. Le traître,
de sa longue et inébranlable puissance. En même temps, il est aisé de
comprendre
pourquoi le moraliste comique a su dès l’origine
angue disait alors avec une logique profonde, le libertin ne veut pas
comprendre
pour n’être pas contraint de se rendre ; noluit i
l vous amuse et que vous prenez peu de souci du reste : alors on vous
comprendra
, et ce cynisme nous paraîtrait encore préférable
que vouloir plaire : la nature n’est pas innocente ! mais enfin je la
comprends
, je la plains, et autant qu’il est permis, je l’e
plus haut, le discours de MmePernelle, et toute la première scène, y
compris
le couplet de Dorine contre Laurent. Le traître,
ans relâche, & livre des combats A l’auguste Bon-sens, qu’elle ne
comprend
pas ? Nous l’avons vu cent fois, cet Esprit indoc
a bonta chiamati al titolo di beatitudine e di santita . Cet opuscule
comprend
vingt-et-un sonnets : le premier en l’honneur de
é, le sont en tout, toujours, à tout prix. Le vulgaire des courtisans
comprend
les hommes dénués de mérite et pétris de vanité,
ce, il voulait seulement peser un peu de son côté. Pour se faire bien
comprendre
, il dut donner quelque développement à son sujet,
s tragédies de Corneille ? Ce fut un tort ; mais ce qui peut le faire
comprendre
, c’est que l’hôtel de Rambouillet et l’hôtel de B
sœur Armande, qui a des idées métaphysiques sur le mariage, et qui ne
comprend
pas que sa sœur veuille se marier : Ne troublons
er la profonde vérité, mais que vraiment personne au monde ne pouvait
comprendre
dans toute leur portée au moment où il les a form
’il n’avait pas su vaincre l’idée qui avait envahi son âme. Pour bien
comprendre
toute la force de cette conception, au lieu d’app
deux sens. Pour bien élucider ma pensée, je veux définir ce mot : j’y
comprends
non seulement les faux dévots et les hypocrites,
mes motifs, c’est Orgon qui règne avec Tartuffe. Vous pouvez dès lors
comprendre
toute la portée de cette scène entre Cléante et O
en 1664, ne fit et ne devait faire qu’un effet médiocre. Vous pouvez
comprendre
tout ce qu’a voulu dire et ce qu’a dit Molière, q
s, de joies pures. Pour lui, ce sera une énigme impossible, et il n’y
comprendra
rien du tout, avec ses idées de l’an 500 avant Jé
e refuse, et lui répond qu’elle veut un mari avant un couvent, il n’y
comprend
rien ; il crie qu’on le vole, qu’on l’assassine,
heureuses, « d’avoir des clartés de tout ». Si l’on veut, messieurs,
comprendre
tout le prix des idées et des maximes de Molière
et qu’ils méritent encore de nous intéresser, quand bien même nous ne
comprenons
plus les mœurs qu’ils nous peignent. Ils nous off
emps il échappait quelque heureuse plaisanterie. Ceux-là, fiers de le
comprendre
mieux et de le goûter davantage, croyant peut-êtr
ait la comédie ramenée à son principe et à sa destination. Molière le
comprit
aussitôt ; et, de ce moment, toutes ses études eu
nintelligible, et les savantes engouées pour des sciences qu’elles ne
comprennent
pas ; les pédants si orgueilleux de leur éruditio
eils juges condamneraient une statue plus grande que nature, faute de
comprendre
que, vue au point élevé qu’elle doit occuper, ell
Avertissement Cette Vie de Molière, dans sa médiocre étendue,
comprend
tous les faits qui offrent quelque intérêt et que
e104. Il voulait que ses domestiques sussent interpréter son geste et
comprendre
son silence même. Il exigeait qu’autour de lui to
s à toutes les bastonnades de la comédie ! »Boileau, en ce moment, ne
comprit
pas Molière. Ce point d’honneur dont il voulait p
pour parler de Molière, il ne manque que de connaître le théâtre, de
comprendre
la comédie, et de sentir Molière lui-même. 49.
donner. »(Bolœana de Monchesnay, p. 108.) 57. En 1663, Louis XIV fit
comprendre
Molière, pour la somme de mille francs, dans les
nçais, Molière reçut la sienne depuis 1664 inclusivement jusques et y
compris
1671. Comme on ne faisait probablement l’état des
arbagnas. Mais, pour combien d’actes, cette dernière pièce était-elle
comprise
dans les sept actes qui formaient l’ensemble du s
de Paris, parlent et agissent tout comme auparavant, ne peuvent plus
comprendre
leur maîtresse, et ne savent plus comment la serv
pas même lire, et sur la théorie des tourbillons, à laquelle elles ne
comprenaient
rien. Descartes avait mis à la mode la physique t
e ne devrait avoir rien à démêler. Chassée pour un solécisme, elle ne
comprend
pas un mot dieu merci, à la querelle qu’on lui fa
I Le comique est le contraire du tragique. — M. de Schlegel avait
compris
cette vérité. Mais, dépourvu d’esprit philosophiq
me, voyant dans ce père insulté la destruction du caractère paternel,
comprennent
que rien n’est sérieux dans l’action qui se passe
eurs de la comédie, nous sommes beaucoup plus sages que vous, et nous
comprenons
parfaitement que vous êtes des sots. Telle est la
se satisfaite, un signe qui annonce que nous sommes si sages que nous
comprenons
le contraste et nous en rendons compte. De même,
n petit jugement, je vois les choses mieux que tous les livres, et je
comprends
fort bien que ce monde que nous voyons n’est pas
mélange fâcheux déshonore la religion, railleries qui ne furent point
comprises
d’abord et le firent accuser d’irréligion, si bie
lait Armande ; et il était trop philosophe et trop humain pour ne pas
comprendre
la loi fatale de l’amour. On ne triomphe d’une fe
que son mari dans leur jeunesse altière et victorieuse. — Et Molière
comprenait
cela, aussi se frappait-il douloureusement le cœu
t, chantait, soupirait ; il ouvrait les bras sur toutes les femmes, y
compris
les Muses. Quelle jolie chanson il chanta à la Du
des coutumes ordinaires. Une telle différence de mœurs le rend, on le
comprend
, odieux à tout le monde. Car, retenez-le bien, to
andelles. « L’actrice à la mode consentait à devenir sa femme, il n’y
comprenait
rien ; il s’inclina, remercia, et se redressa mar
st assez, dit-elle, mais je vois bien que cet ordre est pour me faire
comprendre
que je ne suis plus digne de mon emploi, je me re
esse d’Escarbagnas. Elle créa le rôle à l’emporte-pièce, en femme qui
comprend
bien la comédie des ridicules. On pouvait lui dir
s épargnera la peine de nous étendre sur celle des moyens, & nous
comprendrons
aisément pourquoi Moliere, voulant renvoyer son P
le sous la bannière du goût. Pour que cette double réaction soit bien
comprise
, il est nécessaire de bien entendre la fronde. En
87. Madame Dufresnoy était maîtresse de Louvois. 88. J’ai oublié de
comprendre
cette maison entre celles qui étaient ouvertes à
squ’à sa vie et à celle de sa femme, c’est là une façon si étrange de
comprendre
l’histoire littéraire qu’on a bien le droit d’en
du poète est intimement liée à celle de ses ouvrages et que pour bien
comprendre
ces derniers, il n’est pas mal d’en éclairer l’ét
vous alliez vêtue ainsi qu’une princesse. Certes, tout ce couplet se
comprend
de lui-même, et, pour en saisir l’esprit, pas n’e
té à celle que Lulli formulait, sur les indications d’Aubry. Guichard
comprit
le péril et de lui-même se constitua prisonnier :
dû s’indigner et révéler le mystère à la postérité ? De plus, comment
comprendre
qu’elle eût élevé le monument sur une sépulture q
dont tout spécimen autre que des signatures est inconnu. Ceci dit, on
comprendra
le sens véritable de ma note du catalogue Bovet.
immodestie de rapporter deux souvenirs de famille qui vous aideront à
comprendre
et ma légitime susceptibilité quand vous voulez q
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