ritique, m’a donné des soupçons ; mais ce n’est pas un homme assez du
commun
pour relever les égarements d’un petit Auteur. La
l’homme de qualité, et avec estime dans celui qui est d’une naissance
commune
. Ce serait une étrange chose que Molière eût effa
igoureusement la pureté de la Grammaire, à s’en tenir aux expressions
communes
, à préférer toujours le propre au figuré, on rend
ritiques continuelles dès que quelque Auteur s’écarte un peu du style
commun
et populaire. Si cet Auteur n’a un nom, ou une pl
ne parle point, comme le Bourgeois ; l’homme d’esprit, comme l’homme
commun
; on ne rend point une aventure avec le style du
tions et ses sentiments ; que l’on eût hasardé s’écarter de la voie
commune
, pour signifier ne pas suivre les règles ordina
né le beau de Molière ; vous me l’avez représenté comme un homme fort
commun
; par de petites aventures qui ne sont bonnes qu’
d’autres endroits ? Et bien soit, je suis ami de Baron : J’ai cela de
commun
avec beaucoup d’honnêtes gens, et de personnes de
c caprice, avec ignorance. On voit avec empressement un Ouvrage assez
commun
; on applaudit faiblement à un meilleur, on le né
é d’appeler étourderie la chose du monde la plus innocente et la plus
commune
. Mais je le dis encore, il me reprend avec dessei
ce entre l’un et l’autre. Celui-là anime son action, comme un Artisan
commun
fait son métier ; celui-ci maître de sa matière d
mprendre que les principes de l’Orateur, qui prononce en public, sont
communs
à la Chaire et au Théâtre ; et qu’ainsi Mr de Cha
ion funeste qui s’est passée entre des personnes élevées au-dessus du
commun
. Pour réciter cette action il faut avoir la voix
entation naïve et enjouée d’une aventure agréable entre des personnes
communes
; à quoi tout auteur honnête homme doit ajouter l
e caractère, le sentiment qu’on exprime appartiennent à des personnes
communes
. Mais dans l’un et dans l’autre genre de déclamat
? Le détail qui regarde Baron ennuie mon Censeur, ce sont des choses
communes
: Molière est petit avec Baron. Je conviens qu’à
traits qui les terminent, pour faire voir que Molière entrait dans le
commun
du commerce d’estime ou d’amitié, comme dans le p
st dommage que l’Auteur en question se soit si fort écarté de la voie
commune
dans le choix de ses termes ; car il construit bi
ui sais pourtant pas mauvais gré d’avoir essayé de détruire l’opinion
commune
; et je croirais pieusement, et avec plaisir, tou
e pour accuser l’Auteur d’imprudence, d’être entré dans des choses si
communes
, qu’il nous avait pourtant promis d’écarter. Moli
ent, surtout pour un Auteur qui nous avait promis d’éviter les choses
communes
. L’aventure de ces quatre personnes qui se vont n
. Ç’aurait été là un Ouvrage excellent ; mais cette suite d’aventures
communes
n’est bonne que pour ces Lecteurs qui s’amusent d
ardie pour un Auteur qui n’est point en droit de s’écarter de la voie
commune
. J’ay vu de plus que les aventures qui offusquent
de Voltaire au grand Frédéric et à l’impératrice de Russie. Le trait
commun
à tous les courtisans, c’est le désir de plaire,
ours ceux de l’empereur. De même, ceux de Louis XIV n’avaient rien de
commun
ni avec ceux de Louis XI, ni avec ceux de Louis X
la manie de se faire noble, de se donner des titres, de se séparer du
commun
état. Il l’était enfin quand il dégageait la prof
ent à toutes les précieuses, comme une des habitudes qui leur étaient
communes
, les plus ridicules exercices. Selon lui, « la pr
animé ; et il n’est pas facile de dire comment elles sont devenues si
communes
. Les premiers beaux jours que la paix nous a donn
plique à certaines personnes du beau sexe qui ont su se tirer du prix
commun
, et ont acquis une espèce et un rang tout particu
prisée, l’opposé de méprisée, ou femme de grand prix, opposée à femme
commune
; pour les autres, le mot était synonyme de femme
nchérie, et n’est au fond qu’une hypocrite bel-esprit, Une seule idée
commune
aux précieuses de tout genre resta attachée à ce
euse, page 26, aux personnes du beau sexe qui ont su se tirer du prix
commun
des autres. Dans le grand Dictionnaire des Préc
e simplement, que quand il s’agissait de l’opposera femme vulgaire ou
commune
; on disait une illustre, quand il s’agissait de
qui a du prix, du mérite, de la valeur, et par opposition aux femmes
communes
, sans valeur et sans mérite, de toutes les condit
ses approbateurs, et atteint de leur corruption : c’était la destinée
commune
. Il avait pu se persuader que les mœurs de la cou
4, l’art comique a pour condition la science des traits éternellement
communs
de l’humanité245. Ses personnages, élevés du part
chose de la jalousie absolue ; leur nom propre devient un substantif
commun
; ils sont de tous les pays, et demeurent à jamai
uement surtout est devenu un expédient banal, une espèce de propriété
commune
. Avertissement du commentateur [Lettre écrite
les les beautés de composition et de détail qui pouvaient échapper au
commun
des spectateurs ; enfin, si l’auteur de cette apo
vec ses meilleurs amis ; affectant de contrarier sans cesse l’opinion
commune
, et quelquefois sa propre opinion ; faisant à tou
est du moins l’image fidèle et plaisante d’une espèce d’hommes assez
commune
dans les derniers rangs de la société, de ces hom
ait seule pour faire condamner le genre. La vie pastorale n’a rien de
commun
avec l’existence héroïque. Des bergers, ayant les
pour l’autre ; mais il n’est pas certain que cette combinaison, assez
commune
dans les grands romans du temps, ait été fournie
la fausse et la vraie ont je ne sais combien d’actions qui leur sont
communes
; comme les dehors de l’une et de l’autre sont pr
ociété chrétienne. L’hypocrisie en général, l’hypocrisie de mœurs est
commune
à tous les temps, à tous les lieux. Toujours et p
e qui la contrefait est devenu plus profitable et nécessairement plus
commun
. La lumière produit l’ombre, et celle-ci est d’au
et de conjectures sur l’origine du nom de Tartuffe. L’opinion la plus
commune
et la plus probable se fonde sur cette anecdote.
e oublier Rotrou. Il fallait qu’il l’emportât sur Plaute, leur modèle
commun
; il fallait qu’à force de génie dans l’imitation
ntièrement : celle des femmes se ressemble par la colère qui leur est
commune
, quoique ayant des causes différentes. Enfin, si
e de combat dans lequel le vrai mari passe pour être d’une valeur peu
commune
. Le dieu sort de cette épreuve avec un avantage s
t le bon goût à la délicatesse des mœurs. Cette société faisait cause
commune
avec la cour contre le mauvais langage et les mau
être la plus grande part à leur réprobation ; mais elle faisait cause
commune
avec les bonnes mœurs de sa préciosité contre la
ttaque en les associant à des qualités aimables, méprise devenue trop
commune
chez les successeurs de Molière, qui renforcent a
ndulgence n’est-elle pas réciproque ? C’est que les femmes font cause
commune
; c’est qu’elles sont liées par un esprit de corp
que le grand Corneille, cette modestie affectée, ce mensonge des âmes
communes
, manège ordinaire à la médiocrité, qui appelle de
t rire la France, de succomber à la mélancolie : destinée qui lui fut
commune
avec plusieurs Poètes comiques ; soit que la méla
ux. C’est le propre du génie de rendre digne des beaux-Arts la nature
commune
. Ce qu’il voit existait, mais n’existait que pour
orps municipal. Au reste, la fête, pour n’avoir été que la fête de la
commune
et des arts, n’en a pas moins eu un caractère de
es latérales un aspect monumental, tandis qu’elles n’ont qu’un aspect
commun
. A ces fenêtres ornées d’appuis, à ces petites mo
nde cause pour l’unique dans ce cas. Et cependant ce n’est que par un
commun
accord qu’on parviendra à donner aux œuvres d’art
bat même, dont la forme n’était pas celle d’aujourd’hui, leur étaient
communs
à tous ; et le même habillement qui convenait à u
istiches de Despréaux. Enfin, c’était un événement trop naturel, trop
commun
, que deux beaux esprits commençant un entretien p
s un monde presque idéal, il ne pouvait ignorer à ce point la société
commune
. Son erreur, si ce n’est qu’une erreur, doit avoi
urtout en lui le personnage que Molière a chargé d’exprimer l’opinion
commune
et la sienne propre sur la part qu’une femme doit
le en observations morales et dramatiques. Ils ont un intérêt, un but
commun
; c’est la main d’Henriette, que l’un brûle d’obt
iettes et les Clitandres sont rares ; mais en quel siècle ont-ils été
communs
? Les Philamintes et les Armandes ne nous manquen
la convoitise du personnage. Du reste, Elmire ne peut que faire cause
commune
avec toute la famille contre l’odieux étranger qu
s physionomies : indépendamment du travers de profession qui leur est
commun
à tous, chacun d’eux a son travers particulier, e
ns maladie n’est nullement comique. Le travers qu’il attaque est trop
commun
pour être bien frappant, et il est trop voisin d’
mporte quels spectateurs n’importe laquelle de ses comédies : gens du
commun
et gens du monde, ignorants et lettrés, collégien
une, un ensemble d’avantages exceptionnels qui l’élèvent au-dessus du
commun
, peuvent-ils permettre à l’homme qui en bénéficie
le repose sur ce fond éternel de raison et de sagesse qui est le bien
commun
de toute l’humanité. Comme sa morale, sa psycholo
re les diverses imitations d’un même modèle, parce que nous avons une
commune
mesure pour les comparer ; mais nous ne pouvons p
terme d’une comparaison, une idée aussi indéterminée dans l’esprit du
commun
des hommes, que celle de la beauté. Quant aux phi
à la fois semblables et diverses sont comprises sous la dénomination
commune
de comédies. Il faut donc que, sous la diversité
versité des formes particulières, toutes ces œuvres aient une essence
commune
, et, pour dégager ce caractère général qui doit c
e l’édifice que nous désespérons d’élever. Car, voici : cette essence
commune
, ce caractère général qui constitue le fond de to
es de la critique303 ; quant aux caractères généraux qui peuvent être
communs
à tous les théâtres et à tous les poètes, les pre
u’elle échappe davantage à la mesure et à la portée de l’intelligence
commune
; s’ils se bornaient à cela, certes il faudrait l
souvent aux mêmes fêtes, aux mêmes spectacles ; ils assistaient à de
communs
repas : « Molière, dit Palaprat, vivait dans une
uèrent sur notre scène classique. Tout cela forme sans doute un fonds
commun
assez considérable. Mais ce n’est pas, à notre av
diligence de son fils, lui ordonne de fondre avec lui sur leur ennemi
commun
: Don Pedre défend au contraire le Comte, favoris
s sera rendu. Mais, mon fils, sans rougir te puis-je rendre compte Du
commun
déplaisir qui nous couvre de honte ? Epargne-moi,
ls ! D. Félix. Il le nomme son fils !Il faut que son sang lave Notre
commune
offense ; il faut que notre honneur Revive dans l
masqué et laissant sa dupe couverte de confusion, forme le dénouement
commun
aux deux ouvrages. Mais qu’est-il besoin d’aller
ces. Sans examiner si les disgrâces des maris sont plus rares ou plus
communes
qu’elles ne l’étaient autrefois, on peut douter q
ux ressemblances fort légères entre deux ouvrages puisés à une source
commune
, n’autorisent point cette opinion, et d’ailleurs
en. Molière, justement impatienté, lui fit dire par Boileau, leur ami
commun
, qu’il eût à démentir un peu plus sérieusement ce
langue ; c’est-à-dire que le discours, élégant et noble chez les uns,
commun
et même populaire chez les autres, est pourtant a
essaient des injures aux passants. Ce chariot fut, dit-on, le berceau
commun
de l’art de Racine et de celui de Molière ; mais
ns marchaient de la barbarie à l’élégance avec cette rapidité qui est
commune
à la jeunesse de toutes les institutions. Térence
ie véritable, de la comédie de caractère et de mœurs, image de la vie
commune
et contemporaine. Sa tentative réussit, mais ne f
ne sont point sortis d’un même moule. Ils ont entre eux ces rapports
communs
que produit la conformité d’âge, de sexe ou de co
lité des uns jointe à la piquante originalité des autres. Un principe
commun
à tous les arts, c’est que les choses se font val
les qui, pour ainsi dire, engendrent leur contraire. C’est une vérité
commune
, dont un proverbe fait foi, qu’un père avare trou
e qui est du ressort de l’esprit seul restât renfermé dans les bornes
communes
? Non, sans doute. Si les objets et les sons doiv
l’étude, est devenu, pour ses nombreux successeurs, comme une source
commune
où ils ont puisé, où ils puisent, où ils puiseron
yrano de Bergerac26, avec la confiance présomptueuse et entreprenante
commune
à tous les hommes de son pays, vint s’y associer
de qu’ont au collège les enfants liés entre eux d’amitié de mettre en
commun
tout ce qu’ils possèdent ;et Molière appelait cel
tait la sœur et non la fille de Madeleine Béjart, leur prétendue mère
commune
, Marie Hervé, l’aurait donc mise au monde sept an
ême, commises par madame Molière, sont des erreurs, des inadvertances
communes
même aujourd’hui, que les officiers civils et jud
André-des-Arcs. Madame Guérin fit quelques poursuites ; mais des amis
communs
accommodèrent l’affaire. M. et madame de Montalan
ous le voyons recommander à tous le naturel, qualité qui devroit être
commune
, mais qui est la plus rare de toutes, parce que l
ant sa mort, il s’était rapproché d’elle ; et, pour que tout leur fût
commun
, même le service de la table, il avait discontinu
Fourcroy, dont les poumons étaient d’une capacité et d’une force peu
communes
. Exténué des efforts qu’il avait faits inutilemen
e cet opuscule contient la copie complète de la cérémonie, rédigée en
commun
dans le salon de Mmede la Sablière. Nous ne propo
cteur est, à quelques vers près, celle du quartus doctor des éditions
communes
. Un trait pourtant est à relever : Tombavit in m
vant cette époque ; mais L’Inavertito de Beltrame avait été la source
commune
et de la comédie française et du canevas italien.
le reconnaître et prétendit que ce visiteur solennel n’avait rien de
commun
avec Arlequin. Peu de jours après, Dominique y re
cteres qui ne se trouvent presque jamais rassemblés ? Quel est l’état
commun
des sociétés ? Est-ce celui où les caracteres son
roideur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siecle & les
communs
usages ; Elle veut aux mortels trop de perfection
on lever. « Elle craignait extrêmement la mort, et avait ce sentiment
commun
avec la princesse Parthénie son amie (madame la m
n mari était Antoine Rambouillet, fils d’un financier, qui n’avait de
commun
avec les d’Angennes, marquis de Rambouillet, qu’u
lité. Les autres n’ont joué dans la Comédie, que la Vie Bourgeoise et
commune
, et Molière a joué tout Paris et la Cour. Il est
-même d’une espèce d’injure que le Florentin avait eu l’art de rendre
commune
à tous deux. La comédie du Bourgeois gentilhomme
olière, en effet, n’avait peut-être pas encore peint un travers aussi
commun
en France, et, pour ainsi dire, aussi national. L
nt plus naturelles que ses expressions ; son style, infecté des vices
communs
à son siècle et propres à son pays, brille néanmo
le fourbe qui en tient les fils, et elles aboutissent à un dénouement
commun
, où chacun des deux pères, retrouvant une fille,
ance de synthèse et d’analyse, un tact exquis, une noblesse d’âme peu
commune
, une union rare du sens moral et du sens littérai
Pour Vinet, la littérature était moins une science à part que le lien
commun
, l’interprète mutuel de toutes les sciences. Il l
e qu’il exprimait des lèvres. Malheur à lui s’il trahissait la pensée
commune
! Interprète sublime, malheur à lui s’il faisait
versité de Zurich, à un homme de science et d’une portée d’esprit peu
commune
, mais qui, Germain par sang et digne héritier de
oulut pas sentir que, dans un-genre de drame destiné à peindre la vie
commune
, le langage mesuré ne pouvant être une condition
ux, presque idéal, que sa perversité complète place hors de la sphère
commune
. Dans L’Avare, au contraire, Molière a peint un v
n sublime. Un sot, formé des mains de Molière, ne pouvait être le sot
commun
qui court les rues et qu’on voit partout. À la bê
de choisir pour elle entre ses prétendants. De cette idée dramatique
commune
aux deux pièces, sort un dénouement commun, mais
De cette idée dramatique commune aux deux pièces, sort un dénouement
commun
, mais dont les moyens et les circonstances diffèr
nt si vous voulez lui parler, vous n’avez qu’à passer dans la chambre
commune
. Antoine. Il faut que tu saches, Crispin, que je
mme, tu ne dois pas parler si rudement à ton mari ; cela a l’air trop
commun
. Madelaine. Est-ce donc du grand air de mendier s
anthrope peut avoir eu un autre principe : ne serait-ce pas l’intérêt
commun
de la société des quatre amis. Le duc de Montausi
s tôt se fasse initier ? Qu’il sache, quand il perd, d’une ardeur non
commune
, À force de savoir rappeler la fortune ; Qu’il a
se et pédante Armande l’aimable Henriette, exempte de cette vanité si
commune
aux jeunes filles; qui, pour n’être recherchée de
personnage de Dalainville offre bien la peinture de ces ambitieux, si
communs
alors, pour qui Un tort caché n’est rien ; la ch
ur, M. Scribe attaque un autre travers de l’époque, une manie devenue
commune
à des milliers d’individus, celle de postuler des
araderie, il peint à merveille une de ces coteries de médiocrités, si
communes
à notre époque, se prônant l’une l’autre, habiles
e. Elle est plutôt, selon nous, dans le goût des faciles succès, trop
commun
par malheur à ceux qui travaillent pour le théâtr
écurseur du suicide ? La sombre humeur d’Alceste est donc un mal plus
commun
qu’on ne croit. Grand nombre d’individus en sont
dans cette scène, à la passion d’Alceste, que des élans ordinaires et
communs
à tous les hommes amoureux ou jaloux ? Mais Moliè
u matériel ? Alceste n’a pas, certes, pour sa maîtresse l’aveuglement
commun
à presque tous les amants et dont Eliante fait un
prend. CÉLIMÈNE. Et ne faut-il pas bien que monsieur contredise? À la
commune
voix veut-on qu’il se réduise, Et qu’il ne fasse
ujours en main l’opinion contraire, Et penserait paraître un homme du
commun
Si l’on voyait qu’il fût de l’avis de quelqu’un.
n jugement. En aucune façon; cela montre seulement sa vanité, travers
commun
à tous les hommes, et dont les hypocrites, pas pl
udroit connoître à fond les défauts des Atheniens. Il y a un ridicule
commun
à tous les tems & à tous les Peuples, & u
ou de quelques faits particuliers, ou de quelque goût passager &
commun
en ce tems-là, mais qui nous est inconnu lors mêm
des matieres de science, que quand on parle ou qu’on écrit des choses
communes
de la vie civile. Il parle ainsi dans une Préface
mmes sincèrement pieux. Ils accusèrent les jansénistes de faire cause
commune
avec les protestants, et ceux-ci d’être des répub
conjugale, s’étaient allumés ou éveillés pour elle. Laissons aux âmes
communes
(et madame de Montespan était du nombre, malgré l
té ; en se défendant par la religion, par un devoir et par un intérêt
commun
; en se défendant par un devoir qu’elle représent
s le monde pour frapper les yeux de la foule, composaient un type peu
commun
, qui n’a pu échapper au regard observateur de Mol
ualité, on aurait mauvaise grâce de le contester. Ainsi, un type bien
commun
dans la société polie du XVIIe siècle, était celu
e Jean-Jacques. Quant à Oronte, il nous représente le travers le plus
commun
de cette époque, où tout cercle avait son poëte :
audroit conoître à fond les défauts des Atheniens. Il y a un ridicule
commun
à tous les tems & à tous les peuples, & u
ou de quelques faits particuliers, ou de quelque goût passager &
commun
en ce tems-là, mais qui nous est inconnu lors mêm
u plutôt se fasse initier ? Qu’il sache, quand il perd, d’une ame non
commune
, A force de savoir, rappeller la fortune ? Qu’il
ainsi que sa famille. Je veux que mes intérêts & les siens soient
communs
. Il faut nous relever ensemble du précipice où no
mouvement des esprits et des imaginations. La conversation française,
commune
aux deux moitiés de la société, excitée, modérée,
eine : Vous savez pourquoi j’ai quitté la France, nous faisions cause
commune
. » (Ibid.) Le prince de Condé emmena sa femme à B
x d’après nature, c’est-à-dire, où on ne s’écarte jamais des idées du
commun
des hommes, que de s’abandonner à des caprices où
qui décide les deux époux, quelque temps séparés, à reprendre la vie
commune
. Aux « parties » de la Croix de Lorraine, Molière
» Et il ajoutait : « Où la vertu va-t-elle se nicher ! » Une qualité
commune
chez les comédiens, c’est leur promptitude à seco
il a mis quelque chose de lui-même. Si donc on essaie de dégager leur
commune
physionomie morale, on leur trouve beaucoup de to
i, il ne négligeoit aucune occasion de tirer avantage dans les choses
communes
comme dans le sérieux, et il n’épargnoit pas la d
vie tranquille ; et la mienne est agitée par une infinité de détails
communs
et turbulents, sur lesquels je n’avais pas compté
la défiance de celles d’autrui, cette amertume contre la destinée, si
commune
entre quarante et cinquante ans. On peut admettre
té. Les autres n’ont joué dans la comedie que la vie bourgeoise &
commune
; & Moliere a joué tout Paris & la cour.
de douteux. J’ai écarté aussi beaucoup de faits domestiques, qui sont
communs
à toutes sortes de personnes ; mais je n’ai point
Étrangers, il pouvait choisir un sujet qui lui fit plus d’honneur. Le
commun
des gens ne lui tenait pas compte de cette Pièce,
ait d’une droiture de cœur inviolable, et d’une justesse d’esprit peu
commune
. On ne pouvait souhaiter une situation plus heure
e, qui par leur jeu faisaient goûter au Bourgeois les choses les plus
communes
. Molière, qui avait accoutumé le Public à lui don
vie tranquille ; et la mienne est agitée par une infinité de détails
communs
et turbulents, sur lesquels je n’avais pas compté
-même, je ne sais s’il n’aurait pas eu raison de leur répondre que le
commun
du Public aime les charges, et que le jeu délicat
i, il ne négligeait aucune occasion de tirer avantage dans les choses
communes
, comme dans le sérieux ; et il n’épargnait pas la
ns frapper ceux qui jugent avec équité par les connaissances les plus
communes
. Et Molière avait bien raison d’être mortifié de
oigner. C’était un homme de probité ; et qui avait des sentiments peu
communs
parmi les personnes de sa naissance, on doit l’av
rd vous apprendra à les loger dans un hôtel garni, ou dans une maison
commune
, comme il a fait dans le Joueur & dans le Dis
bloit favoriser en leur présentant Sainval : ils lui raconterent leur
commune
histoire, sans oublier les plus petites circonsta
ances. Quand une fois une erreur semblable est entrée dans le domaine
commun
, ceux même qui ne la partagent point se servent p
es réclamations en faveur des pauvres paysans, sentimens qui lui sont
communs
avec Fénelon, d’autres témérités encore qui n’app
que le préjugé vulgaire ; mais, pour apprécier la valeur de l’opinion
commune
, il serait sage d’examiner comment elle s’est éta
table, qui plaît, et qui attendrit par le simple récit d’un fait très
commun
: Sic cogitabam, Hem, hic parvæ consuetudinisTer
et à étudier le théâtre écrit en cette langue. C’est du reste un tic
commun
à beaucoup d’écrivains, d’indiquer dans nos vieil
deles & vertueux, & de lâches flatteurs : de même dans la vie
commune
qui est l’objet de la tragédie, on rencontre par-
i à Paris comme à Madrid ; il en résulte des caracteres particuliers,
communs
toutefois à chaque nation. Enfin parce que dans u
inaires caractérisent la tragédie ; des intérêts & des caracteres
communs
constituent la comédie. L’une peint les hommes co
enemens ; de-là le comique de situation : ou elle présente les vertus
communes
avec des traits qui les font aimer, & dans de
on se servoit du pallium : on les appelloit aussi crepidae, chaussure
commune
des Grecs. Les comédies appellées planipediae, ce
sent et pense, voit et parle d’une manière qui lui est plus ou moins
commune
avec tous ceux qui montent sur les planches. Or,
ige une séparation. En vain, sa famille, celle de Molière, leurs amis
communs
essaient de l’apaiser : « Elle conçut dès lors un
entre les Fourberies de Scapin et la Comtesse d’Escarbagnas. Des amis
communs
, entre autres Chapelle et le marquis de Jonzac, s
froissemens continuels, une irritation croissante, et bientôt la vie
commune
insupportable, Peut-on dire, cependant, que Moliè
lus certaines et se livrant aux accès de colère futile et violente si
communs
en pareil cas. Sa femme est près de lui et s’effo
ens de le faire refleurir. J’aurai grand soin d’éviter un défaut bien
commun
chez nos Auteurs modernes : on pourroit appliquer
reste des humains ? les sciences que tu m’as enseignées vont devenir
communes
: tu sais cependant que j’aime encore mieux surpa
Je prie donc les savants de me pardonner ce que mon discours aura de
commun
ou de frivole ; tout ce qu’il aura d’ennuyeux, et
surtout dans la galanterie quintessenciée, nouveau trait qui lui est
commun
avec les premières précieuses. Comme elles aussi,
n esprit ; mais reconnaissant dans son vainqueur une âme au-dessus du
commun
, elle subira sa domination et se pliera pour se c
e se rajeunit-elle avec les années. Permettez-moi d’espérer que notre
commune
admiration pour ce rare et sublime esprit a établ
té. Les autres n’ont joué dans la comédie que la vie bourgeoise &
commune
; & Moliere a joué tout Paris & la cour.
s’est élevé de nos jours, on s’en souvient sans doute, au sujet de ce
commun
proverbe, comme dit La Fontaine. Le Journal des D
Et des acteurs utiles ; Car, comme les fagots sont
communs
dans les villes, S’il fait grand froid, s’il gèle
ont devant le notaire « disant lesdits Guérin et Morot qu’à eux et en
commun
leur compétait et appartenait une maison assise e
l de derrière » qu’un mur mitoyen avait été lors construit aux dépens
communs
, sauf des « cloisons déjà établies dans les chamb
il y a environ 74 poteaux servant esdites cloisons qui demeureront en
commun
pour faire lesdites séparations et aussi pour sép
quel mur se pourchassera tant d’un côté que d’autre, et ce aux dépens
communs
desdites parties, aucune enclave, titines d’égout
ve à la réfection du mur mitoyen « séparant leurs courelles » à frais
communs
. Investi en 1701, après la mort de Puylon, du leg
ses représentations à Londres, unissait ces deux grands noms dans une
commune
apothéose. Mais jusqu’à présent, dans ces rapproc
ossible, et cela est. D’abord, dira-t-on, ils ont eu quelques sources
communes
: Shakespeare a connu Boccace, Rabelais, Montaign
sent le double avantage de frapper toujours les connoisseurs & le
commun
des hommes : elles ont sans cesse les graces de l
e de Scarron qui pressa madame de Montespan de solliciter pour l’amie
commune
chez qui elles s’étaient connues et liées l’une à
int du tout étourdi de ce coup. Faites, faites paraître une âme moins
commune
, À braver comme moi les coups de la fortune. Il n
ant préférer ! Et ne faut-il pas bien que monsieur contredise ? À la
commune
voix veut-on qu’il se réduise ? Et qu’il ne fasse
de racheter du Médecin Ménarque, Philopoleme le fils de notre maître
commun
, & de le renvoyer au plutôt, afin que moi &am
En effet, que serait-ce qu’une intrigue tragique entre des hommes du
commun
? ce serait seulement avilir le cothurne ; ce ser
posa silence aux critiquesb. On reconnut dans M. Jourdain un ridicule
commun
à tous les hommes dans tous les états ; c’est la
ant de la comédie ; et voilà pourquoi ce n’est jamais que dans la vie
commune
qu’on prend les personnages comiques. Le Misanthr
lle-ci est toutefois la plus considérable, quoique la matière en soit
commune
et de peu de prix ; car ce n’est que du carton ;
s frapper ceux qui jugent avec équité, par les connaissances les plus
communes
. Et Molière avait bien raison d’être mortifié de
ffets. Les maladresses d’un paysan ou d’un petit bourgeois sont chose
commune
et de peu d’intérêt; mais les maladresses d’un co
e peuple ne s’exagère pas jusqu’à prévaloir sur le sentiment, qui est
commun
à tous. Le triomphe de l’art et du goût est que c
r ce qu’il va chanter des lèvres. Malheur à lui s’il trahit la pensée
commune
, s’il est infidèle aux traditions antiques ! Inte
un sol bien préparé. Mais l’hypocrisie ne devient nulle part un vice
commun
sans que la conscience proteste; et la protestati
er avec bonheur un sentiment ou une idée ; mais il est beaucoup moins
commun
d’en trouver qui soient de force à donner la vie
est pas très compliquée ; mais elle est suffisante. C’est un préjugé
commun
que de prendre pour l’action le démêlement de l’i
n monde où elle ne saurait se satisfaire, parce que rien n’y est plus
commun
que les apparences de l’amour et rien plus rare q
n sot savant est sot plus qu’un sot ignorant. TRISSOTIN. Le sentiment
commun
est contre vos maximes, Puisque ignorant et sot s
rtuffe est le modèle, Ces gens, dis-je, qu’on voit, d’une ardeur non
commune
, Par le chemin du ciel courir à leur fortune. Pa
peut, presque à coup sûr, prédire à toute Agnès le sort de notre mère
commune
. Est-ce un bien? Est-ce un mal? D’autres le diron
tous les compromis; on rencontre tous les déguisements; rien de plus
commun
que les situations difficiles. À côté des grandes
urprendre. Les ridicules qu’il attaque ont toujours été plus ou moins
communs
en France et ailleurs ; mais il les raille sans c
femme élevée pour elle-même, qui apporte aussi sa part dans le fonds
commun
que crée le mariage, capable d’être autre chose q
e, à la vérité, que la vraie et la fausse dévotion ont tant d’actions
communes
qu’on ne saurait attaquer l’une sans blesser l’au
Brueys, Auteur Comique, associa à son travail Palaprat. Ils firent en
commun
le Grondeur. Ils tâcherent de copier un original
t de Molière est donc un monument tout national11. Il s’élève à frais
communs
; c’est sa gloire et la nôtre. Nous y avons tous
héâtres de la capitale ; Paris, disons-nous, ne veut pas, en tant que
commune
, rester étranger à cette Œuvre ; Considérant que
it à cet appel. De vieux laboureurs, qui n’avaient jamais quitté leur
commune
, accoururent à la ville pour y apporter leur offr
du grand siècle venant aboutir à cette pensée, ou plutôt à cet effort
commun
: affranchir la science et l’esprit de toute auto
avouer que, dans cette attaque générale, personne ne porta à l’ennemi
commun
des coups plus directs que le rival de Descartes,
ion complète, tranchée entre les deux moitiés d’une môme pensée, trop
commune
à cette époque, Gassendi au reste ne fait aucune
tingue le langage des femmes du grand monde et de la cour, du langage
commun
, c’est moins l’usage de certains tours, de certai
nsensibilité, pour vaincre celle de la beauté qu’il aime, n’a rien de
commun
avec Louis XIV, faisant partager à mademoiselle d
n’ont aucune liaison entre eux, et n’aboutissent pas même à un terme
commun
: on dirait que l’auteur, en outrant sur ce point
s, & bientôt, liés par les mêmes sentimens, leurs intérêts furent
communs
. Ils formérent de concert une troupe, & parti
l’autre la vanité, engagent à s’épouser, cet abus n’en est pas moins
commun
dans la société : Moliere entreprit de le corrige
silence aux critiques. On reconnut dans monsieur Jourdain un ridicule
commun
à tous les hommes dans tous les états ; c’est la
ois a non seulement exposé sur la scéne les vices & les ridicules
communs
à tous les âges & à tous les pays, il les a p
génieux, Molière le prit à Corneille comme la moitié d’une trouvaille
commune
, et en revêtit cet excellent français de Paris, t
e fable dans le Misanthrope ; je n’y vois que des incidents de la vie
commune
. La perfection de la tragédie, selon Racine, c’es
ies et elle se moque des flatteurs. Une lettre, de tous les incidents
communs
le plus commun, apprend aux galants qu’ils sont j
oque des flatteurs. Une lettre, de tous les incidents communs le plus
commun
, apprend aux galants qu’ils sont joués, et à Alce
itier ? Parmi nous des fâcheux, des sots et des avares Les types sont
communs
, mais leurs peintres sont rares. Dans l’art de ju
t ailleurs ne figureroit pas si bien ; c’est celui d’éviter un défaut
commun
aux comiques de toutes les nations. Ils interromp
cteres dans une même piece. Alceste, n’ayant pas un de ces caracteres
communs
, dont le genre humain présente des modeles à chaq
é beaucoup moins piquante. Cette façon ingénieuse d’animer une action
commune
& froide par elle-même, avoit déja été mise e
pas fâché de les trouver ici, d’autant mieux que ce Recueil n’est pas
commun
. STANCES Sur l’Ecole des Femmes. Envain mille
une nécessité, il n’y a pas une scène qui ne s’accorde avec les idées
communes
. C’est ce qui a fait le succès d’Amphitryon dès l
les relations étaient toutes militaires, où tous les dangers étaient
communs
, où le chagrin des revers et l’ivresse des succès
end ? Célimene. Et ne faut-il pas bien que Monsieur contredise ? A la
commune
voix veut-on qu’il se réduise, Et qu’il ne fasse
ujours en main l’opinion contraire, Et penseroit paroître un homme du
commun
, Si l’on voyoit qu’il fût de l’avis de quelqu’un.
raire qu’on a bien le droit d’en sourire. La superstition n’a rien de
commun
avec la vraie religion : elle est même sa pire en
eaux esprits qui s’amusèrent chez Mme de la Sablière h la composer en
commun
. M. Frédéric Hillemacher vient de publier, chez L
la solidité de la vertueuse hypothèse qu’on vient de lire. Joignez la
commune
renommée, qui compte bien aussi pour quelque chos
est trop fort, et il faut en dire autant du mot entretenue. Armande,
commune
en biens avec son mari, jouissait d’une trop gran
drait à prouver que la mauvaise réputation d’Armande était un fait de
commune
renommée. On me demandera ma conclusion. La voici
603, un inventaire des documents et papiers des archives de la maison
commune
de cette ville, et l’écriture de ce document est
: « C’est autre chose. » Le tour d’esprit de Molière n’avait rien de
commun
avec celui de Port-Royal, de cette grande maison
d’elles que l’autre possède les qualités nécessaires pour le bonheur
commun
; et un irrésistible attrait les pousse à se cher
s du soleil. Chaque matin, l’ange de vie et de mort apporte à la mère
commune
une nouvelle parure ; mais toutes ces parures se
age de rejouer, car tous ses camarades le regardoient comme leur père
commun
et leur bienfaiteur. […] Il fut inhumé le 20 Févr
lité ; les autres n’ont joué dans la comédie que la vie bourgeoise et
commune
, et Moliere a joué tout Paris et la Cour. Ce même
st pas bien sûr qu’un excellent comédien soit une chose beaucoup plus
commune
qu’un excellent poète58. Blandimare 59 et Gandol
ançois a non seulement exposé sur la scène les vices et les ridicules
communs
à tous les âges et à tous les pays, il les a pein
Etrangers, il pouvoit choisir un sujet qui lui fît plus d’honneur. Le
commun
des gens ne lui tenoit pas compte de cette Piece,
d’une droiture de cœur inviolable, & d’une justesse d’esprit peu
commune
. On ne pouvoit souhaiter une situation plus heure
, qui par leur jeu faisoient goûter aux Bourgeois les choses les plus
communes
. Moliere, qui avoit accoûtumé le Public à lui don
e tranquille ; & la mienne est agitée par une infinité de détails
communs
& turbulens, sur lesquels je n’avois pas comp
i-même, je ne sai s’il n’auroit pas eu raison de leur répondre que le
commun
du Public aime les charges, & que le jeu déli
si il ne negligeoit aucune occasion de tirer avantage dans les choses
communes
, comme dans le serieux ; & il n’épargnoit pas
ns frapper ceux qui jugent avec équité par les connoissances les plus
communes
. Et Moliere avoit bien raison d’être mortifié de
igner. C’étoit un homme de probité, & qui avoit des sentimens peu
communs
parmi les personnes de sa naissance ; on doit l’a
rofession ? Qu’y a-t-il là qui vienne d’elle ? Sont-ce des caractères
communs
à tout le barreau ? Non, l’on n’en saurait trouve
pas qui lui soit comparable, mais qui ait seulement les grands traits
communs
avec lui. Enfin nous allons examiner une pièce de
de se marier. Il ne ressemble pas à Arnolphe bien qu’il ait un point
commun
avec lui : il est désintéressé. Leurs faiblesses
; s’occupent des égards qu’ils auront après leur union pour leur pere
commun
. Dupuis paroît au fond du théâtre avec un Notair
second Seigneur. Sans doute, & pourtant c’est quelque chose de si
commun
, qu’on auroit peine à croire que cela dût avoir r
rement n’avait pas le privilège. Ce fanatisme et cet orgueil -étaient
communs
, il ne pouvait point l‘ignorer, à tous les dévots
Saint-Sacrement, il y a gros à parier que bon nombre de noms seraient
communs
aux unes et aux autres. A Paris, de la congrégati
et des « jalousies »implacables. Ce fut le cas ici. Sur un programme
commun
, il y eut entre les Jansénistes et la Compagnie «
le germe) de ces scènes qui sont devenues des lieux communs. » Lieux
communs
, soit ; mais ceux-ci du moins ne s’useront pas co
mitié avec l’Abbé Brueys, & ils travaillerent presque toujours en
commun
. Palaprat mourut à Paris en 1741, âgé de quatre-v
dans la suite quelques traits dans son Médecin malgré lui. L’opinion
commune
est que Moliere doit entiérement la piece dont il
sensibles. Le personnage principal de la comédie de Lo Ipocrito a de
commun
avec Tartuffe non seulement l’hypocrisie, mais en
ues femmes de la cour ; et au milieu de ces aventures d’un genre fort
commun
, le progrès lent, très peu dramatique, très peu s
oint merveilleux acteur, si ce n’est dans le ridicule. — C’est l’avis
commun
, et l’on le drape à l’Hôtel de Bourgogne sur la f
e aux galeries ; la division se marque plus fort que jamais, entré le
commun
publie, ravi des amours d’Agnès et passionnément
e la richesse Et fait briller partout delà diversité… Mais un peintre
commun
trouve une peine extrême A sortir dans ses airs d
était ; et ce n’est pas moi qui dirai de lui ce qu’il dit du peintre
commun
. Non ; le signe de la divinité, c’est la création
traits les plus vigoureux et les scènes heureuses de son ouvrage. Le
commun
des hommes qui a toujours un peu d’envie, la médi
te à tous les amours-propres humiliés, et la haine des sots fit cause
commune
avec la fureur impuissante des tartuffes. Palisso
aie, comme la fausse et la vraie ont beaucoup d’actions qui leur sont
communes
, comme les dehors de l’une et de l’autre sont pre
sans répéter leur Credo. Ces brusques changements de décoration sont
communs
en France. À peine Louis XIV avait fermé les yeux
iam Schlegel Et ne faut-il pas bien que Monsieur contredise ? À la
commune
voix veut-on qu’il se réduise ? Le Misanthro
le. Nous dirons ensuite ce qu’elle est. La gaieté comique n’a rien de
commun
avec le rire amer et moqueur, ou l’ironie. Lorsqu
romain, français, anglais ou allemand, qui, n’appartenant pas au fond
commun
de la nature humaine, ne reste pour la postérité
esque tout entier du théâtre moderne est prosaïque. Ce genre, le plus
commun
de tous, doit-il être complètement méprisé ? Non.
lité : les autres n’ont joué dans la comédie que la vie bourgeoise et
commune
; et Molière a joué tout Paris et la Cour. Ce mêm
raire de notre histoire locale. — Dans les archives municipales de la
commune
de Montagnac, de laquelle dépendaient et le châte
il de chacun oui succéder le travail de tous pour se faire un langage
commun
. Il en fut de la langue comme il en serait de la
ire pour Rome, enfin les divers génies des peuples issus d’une souche
commune
à l’unité de la race, et ainsi, d’abstraction en
prétends cette grace. Crispin. Il seroit trop heureux si ce bien peu
commun
... Philipin. Je vous jure, ma foi, qu’ils ne sont
que cet air fait sur l’ame toujours sensible à la belle harmonie. Le
commun
des hommes jouit des sentiments que la musique fa
eut écrire à son amant des choses très essentielles pour leur bonheur
commun
; mais elle n’a personne à qui elle puisse confie
naissances finales, les breuvages soporifiques, etc., étaient le fond
commun
dont abusaient à l’envi les auteurs et les acteur
ture. D’abord, mesdames de La Fayette et de Sévigné n’avaient rien de
commun
avec madame Deshoulieres. Madame de Sévigné ne pa
it contre lui, c’est la règle, et depuis qu’il avait mis ses torts en
commun
avec ceux de Mlle Du Parc, son inimitié s’était a
paraître, fût-ce les jours des Italiens, sur une scène qui leur était
commune
avec les Comédiens-Français et qu’il s’était ferm
âtre ; mais on se coalise si aisément avec ses ennemis même contre un
commun
ennemi ! « d’où quelques auteurs plus modestes
deux pièces, ayant une pagination particulière sous un titre général
commun
, et traduites par divers auteurs. C’est ainsi que
r était plus sévère qu’agréable, et qui paraissait élevé au-dessus du
commun
des hommes par la recherche de ses discours et pa
Molière critique ; car l’auteur des Précieuses Ridicules eut cela de
commun
avec Cervantès et avec Shakespeare, — dont il éta
qui l’a bien connu, et qui faisait à peu près seul les frais de leur
commune
amitié, ne dissimulait pas que Racine était né «
, les registres des paroisses et les archives des établissements, des
communes
ou des familles qui accueillirent les comédiens.
ctérise les choses qui arrivent ordinairement dans le cours de la vie
commune
des hommes ; l’extraordinaire est celle qui doit
s occasionnées par l’apparition subite d’un personnage, sont les plus
communes
sur notre théâtre. Pour être bien bonnes, il faut
yal, le 29 novembre de la même année.133 Peinture fidèle du ridicule
commun
à tous les hommes, dans tous les états. De la gaî
s en cérémonie, vous les voudriez voir en conversation et dans la vie
commune
… Je croyais, en être quitte pour vous avoir chois
es préjugés, s’exerce contre tout ce qui n’est pas jeté dans le moule
commun
. Or, quoi de plus inusité que le langage de la fr
nis tous deux par la conformité d’humeur et de goût, et qui mirent en
commun
leur travail et leur talent, sans que cette assoc
e des anciens, et Baron pouvait être l’original de Moncade, fat assez
commun
, que quelques femmes ont gâté, et qu’un valet cop
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