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1 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
ons : « Et je défie M. Baluffe (c’est moi ! excusez du peu !) de m’en citer un, par exemple dans Mirèio, qui, sans doute, est
mot qui arrangerait mes affaires. On lit, même page de Las Obros déjà citées  : « Scouzentou. cherchez Escoyre », cuire. Je che
nous débattrons entre Français. Revenons. M. H. Fritsche veut que je cite un exemple tiré de Mirèio. Qu’il en prenne son pa
cite un exemple tiré de Mirèio. Qu’il en prenne son parti. Je ne lui citerai rien de Mirèio. À quoi bon ? Toutefois, comme un
une fort belle lettre — que je ne suis pourtant pas assez Gascon pour citer tout entière, à cause des éloges — F. Mistral a b
2 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
: parler beaucoup et ne rien dire. — C’est grâce à elle que Gros-René cite le cousin Aristote, et, au bout de je ne sais com
anciens que fut Gui Patin, il eut un mal… Molière. On a pu, en effet, citer davantage ces œuvres oubliées de nos jours ; mois
res oubliées de nos jours ; mois, je le demande, quelqu’un les a-t-il citées plus à propos ? Si M. Robert, par exemple, tient
le que l’onde (27). Enfin, dans son enthousiasme, Molière va jusqu’à citer presque textuellement le plus célèbre, à coup sûr
vre, et non pas seulement dans les quelques fragments que je viens de citer . C’est elle qui vivifie, anime son théâtre tout e
Que du sage parti se voir seul contre tous (54). Au reste, pourquoi citer des vers que l’on pourra toujours accuser d’exagé
s’agit d’opinions sur le bien et sur le mal, continue Damiron qui le cite (56). — Gassendi enfin désigne nettement pour but
a retranché, il reste encore quelque chose. Je sais bien que Ton peut citer des propositions fort spiritualistes. Mais je rem
ortrait. 7. Les Médecins au temps de Molière, H. Raynaud, p.31. 8. Citées par Gui Patin, Lettres, t. III. 9. Le Mariage f
hie d’Hippocrate, discute en passant le sens d’un passage de Pindare, cite l’Odyssée, saint Jérôme, saint Paul… et voilà pou
le de Molière, p. 219. 58. Voir plus haut le mot de Molière que nous citons . 59. Le Festin de Pierre, acte III. sc. II. 60
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
la piece, & que rien n’annonce ; mais il est très défectueux. Je citerai celui du Tartufe. Quand Orgon a reconnu les coqui
piece. Je puis trouver des exemples dans tant de pieces, que je n’en citerai aucune. Le lecteur n’a qu’à se rappeller celles o
el d’entre eux en a tiré un dénouement pareil à celui que je viens de citer  ? On reconnoît le mérite d’un dénouement, dans qu
ses lecteurs est varié. Sganarelle, dans la piece que nous venons de citer , lâche la tirade suivante contre sa perfide &
llitatem non exspectatam. Scal. lib. 1. c. 9. 67. Je pourrois encore citer Aristote, duquel j’ai pris ce que je viens de dir
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
ette comédie aux Italiens ; &, pour appuyer leur sentiment, elles citent une lettre manuscrite de M. de Tralage, qui se tr
personnes qui, trouvant ce passage dans le volume que nous venons de citer , pourroient l’altérer dans leur récit, & donn
ans le Misanthrope quelques vers de détail pris dans Lucrece ; je les citerai . ACTE II. Scene V. L’amour, pour l’ordinaire, es
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
s je vous fâcherois, & veux être discret, &c. On peut encore citer la scene suivante comme un exemple singulier : en
hants à ceux du Misanthrope, des Femmes Savantes & du Tartufe. Je cite les premiers qui me tombent sous la main. LE MISA
trez dans cette salle, Et vous reposez là En attendant qu’il vienne. Citons un exemple plus considérable. LE SICILIEN, ou L’A
laisir de les vaincre, en faisant des vers à rime couronnée : je n’en citerai qu’un exemple pris dans la tragédie du Mauvais Ri
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
s, & ils ne sont pas étonnés de voir paroître Alcippe. Il faut en citer une qui surprenne en même temps le public, la plu
-même ne change rien à la situation. Ses défauts m’ont déterminé à la citer , pour qu’on puisse la comparer à celle de l’Ecole
ue Mascarille, puisque le public savoit presque le dessein de Valere. Citons -en une qui surprenne en même temps la plupart des
s le Chapitre suivant. 65. Riccoboni s’est trompé. La scene qu’il cite n’est pas la dixieme du second acte, mais la quat
7 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
ant la période de 1660 à 1670, plusieurs des personnes que nous avons citées , d’autres encore, ouvrirent elles-mêmes leur mais
é cette infirmité de distractions continuelles dont madame de Sévigné cite des exemples fort divertissants, et dont La Bruyè
tte dame avait de la fortune, une bonne maison, une excellente table, citée alors pour son élégante propreté ; qu’elle donnai
première jeunesse se ressentit les distractions de son mari, et l’on cite sa réponse à son oncle qui lui disait : Quoi ! to
8 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
re mots : « On sait assez ses autres mérites814. » Il est inutile de citer autrement que pour mémoire, sauf quelques points
ut reconnaître que notre siècle a mieux apprécié Molière ; et on doit citer comme s’étant associés à sa gloire par leurs juge
sens ; son soutien, c’est la conscience. Je ne crois pas qu’on puisse citer un devoir grand ou petit, public ou privé, que Mo
re permise, ou doit être absolument défendue. 1694. 806.   Il faut citer , pour les gens qui n’auraient pas le courage de p
irateurs doivent estime et reconnaissance à tous les auteurs que nous citons ici :   De Cailhava, De l’Art de la Comédie, 177
62.   A. Legrelle, Holberg et Molière, 1864, etc. 818.   Il faut citer encore La Fontaine, qui dès 1661, dit de Molière 
9 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
emands, aux Espagnols, que les Français le soient ? Comme exemple, je citerai deux axiomes de la critique française, que bien c
réfuter toutes. En voulez-vous quelque exemple ? Si vous dites, pour citer une théorie qui jouit aujourd’hui d’une faveur in
sions dans le détail desquelles je n’ai pas le dessein d’entrer. Pour citer seulement ici deux noms bien originaux, M. Taine,
10 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
s qui ne serait pas venu à l’auteur pour une femme vulgaire. L’auteur cite plusieurs exemples de l’urbanité des plus illustr
ique avant de rendre l’âme… C’était le caractère de l’esprit de Rome, citait la langue naturelle de la majesté. » L’auteur fi
e, sans les relever. 26. Page pénultième des Mémoires de Dumaurier, citée dans le Ducatiana, ire  partie, p. 103. 27. Ces
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366
ent me semble aussi clair que celui de Riccoboni me le paroît peu. Il cite un exemple ; voyons de bonne foi s’il nous aidera
tes de fables, on doit les adopter comme des modeles, ou du moins les citer comme des exemples que l’on peut suivre ». Ricc
rini, ont fait des fables d’action double, on doive les imiter, & citer leurs ouvrages comme des modeles qu’on peut suivr
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
ention ou la mauvaise foi, dans lequel les beautés de l’original sont citées avec soin, & les défauts adroitement écartés.
plaisanteries que le Comique Romain a mises dans leur bouche. Je n’en citerai que quelques-unes. Mercure. Quelqu’un sent ici q
, si je le voulois, dans cette scene seulement, cent traits pareils à citer . Moliere étoit trop au-dessus de son modele pour
e oublier l’époux, en lui débitant des fleurettes que nous avons déja citées ailleurs, & qui, n’en déplaise aux amateurs d
me suis connu, Je me suis tout conté comme il est avenu, Jusques à me citer la coupe de Pterele ; J’ai mon nom, mon habit, ma
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
divertissements tirent leur grand prix ». Il n’est pas nécessaire de citer Psyché, tragédie-ballet du même Auteur, pour prou
oucher aux beautés solides de la piece. Pour le prouver, il suffit de citer le Mariage forcé, l’Amour Peintre, & la Comte
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
especes de méprises, d’équivoques, & toutes les autres que je ne cite point, quoique différenciées par quelques nuances
, une méprise qui ne dure pas long-temps à la vérité, mais qu’on peut citer comme un modele, par la vraisemblance avec laquel
oit tout le prix des méprises. En détruisant celle que nous venons de citer , il en fait tout de suite naître une autre. Conti
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
Amphitrion, & de Mercure avec Sosie ; on ne peut pourtant pas la citer pour exemple, parceque c’est de dessein prémédité
ser tranquillement celle qu’il aime. La troisieme piece que Riccoboni cite comme un exemple très digne d’être suivi, me paro
a, & pour lors plus de comédie. Après avoir prouvé que les pieces citées par Riccoboni ne sont nullement intriguées par le
16 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
e Henri IV, qui éveilla le talent de La Fontaine ; et qui n’a entendu citer ces vers sur la mort de mademoiselle du Périer,
t plus négligé et songe trop à le copier. Dans l’Art poétique, il les cite tous deux comme dignes d’éloges dans deux genres
lly, édition de Petitot, t. VIII, pag. 143. L’Écluse, t. V, pag. 282, cite en note une réponse du roi au reproche la tyranni
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341
re qu’il est, chacun se pousse à sa maniere. Il m’auroit été aisé de citer des traits plus forts, mais je serois devenu moi-
source. Pour prouver ce que j’avance, revenons à deux pieces que j’ai citées plus haut. George Dandin s’apperçoit que sa femm
lles. Le digne favori des neuf Muses & d’Apollon, M. de Voltaire, cite dans une de ses préfaces une piece Angloise de Wi
en de fort honnête. Pour faire la critique des sujets que je viens de citer , & de tous ceux qui lui ressemblent, il me su
18 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
ôter ni son talent ni son immoralité de poète anacréontique. Il faut citer , pour pouvoir l’admirer et le condamner en même t
urel qu’en sortant du spectacle on aille faire comme eux645 ? On peut citer encore le dialogue en musique, la chanson à boire
ous pouvons tous les deux, Si tu le veux, Être comme eux647. On peut citer encore le prologue de Psyché : Est-on sage Dans
magnifiques, troisième intermède, sc. III. — Il suffit, je pense, de citer , sans faire ressortir ce qu’il y a de monstrueux
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
cité les pieces dans lesquelles Moliere a satisfait à cette regle, je cite celles où il l’a négligée. Autant que je puis m’e
bien loin, finissons de lire la scene des Précieuses que je viens de citer plus haut. Scene I. Du Croisy. Il me semble que
en est fou ; c’est son tout, son héros ; Il l’admire à tous coups, le cite à tous propos : Ses moindres actions lui semblent
ne doit pas jouer un rôle essentiel dans la piece. Moliere, de qui je cite tous les défauts en faveur des jeunes Auteurs que
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
ttant, pour ainsi dire, la parole des trois poëtes que nous venons de citer , s’il se fût borné, dans sa Poétique, à traiter d
par conséquent une esquisse de leurs mœurs. J’observerai cependant de citer Moliere plus souvent que les autres Auteurs, afin
je l’ai faite à dessein, pour avoir occasion d’avertir les personnes citées dans le courant de cet ouvrage, que je suivrai là
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
ous l’habit de Médecin, tantôt sous le sien. Nous aurons besoin de la citer ailleurs ; faisons voir présentement que Boursaul
ervi. Il ne faut s’emparer que de bonnes choses. 33. Olearius, qui cite ce fait, le place sous le regne de Boris Godunow.
22 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
ue d’insulter à la religion, il n’est peut-être pas hors de propos de citer quelques passages de cette scène ; j’aurai soin d
appeler sur Molière la colère du pouvoir et la vengeance du ciel ; il cite avec complaisance d’anciens supplices et semble l
la traduction française a été imprimée à Paris en 1505, et se trouve citée dans le Dictionnaire étymologique de Ménage. Les
vieille les portraits de plusieurs personnes vraiment pieuses ; il en citait tour à tour six ou sept qu’il montrait comme réun
tuffe n’avait de modèle dans aucune langue et dans aucun théâtre : on citera quelques anecdotes, quelques traits épars dans le
ucoup servi à Molière ; mais il n’en rapporte aucune preuve, et il ne cite à l’appui de son assertion qu’un discours d’Arleq
us célèbre par la scène du Tartuffe que par tous ses ouvrages ; on ne cite plus guère ce burlesque poète que comme le premie
e n’en suis pas moins homme. (Le Tartuffe, acte III, scène 3.) 6. Je citerai avec plaisir M. Taschereau, qui a fait des notes
23 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
t nécessaire de les signaler en ce moment. Mais parmi celles que j’ai citées et dont tout le monde fait honneur à Molière, n’e
. 1. Un précurseur de Racine, Tristan l’Hermite…, p. 508. 2. Je cite , mais en en rajeunissant l’orthographe, l’édition
24 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
ngtemps exagéré la valeur documentaire de ces Lettres, complaisamment citées comme une source, alors qu’elles ne sont en réali
Molière qui ne se trouvent pas dans le Mercure1. Elles valent d’être citées ici, comme appendice au texte qu’on lira plus loi
ris lui-même dans les Mémoires de La Serre (1734). Or, La Serre, qui cite Mlle Poisson pour le portrait, l’aurait aussi bie
La Serre, qui cite Mlle Poisson pour le portrait, l’aurait aussi bien citée pour les autres passages de ses Mémoires, qui ont
assage, il y a loin — comme on voit. D’ailleurs, les frères Parfaict citent souvent ces deux lettres, sans les attribuer à Ml
. Zacharie Jacob, né vers 1611. 71. C’est une erreur : Chappuzeau la cite formellement comme l’œuvre du tragédien. 72. Il
26 juillet 1690. 241. Antérieur à cette date, puisque Chappuzeau le cite en 1674, et qu’il existe une édition de 1670. (Vo
25 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [85, p. 129-130] »
cet ancien Gille ressemble à beaucoup de Gilles modernes, nous allons citer le portrait qu’en fait l’auteur du Misanthrope :
26 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [48, p. 80-81] »
ne autre ; je n’en ai ni le temps, ni la patience. 223. La personne citée ici serait la comédienne De Brie. 224. On ne sai
27 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
partie ; je parie de madame de Maintenon. Entre les sociétés que j’ai citées comme formées de la composition de l’ancienne mai
la composition de l’ancienne maison Rambouillet, je n’ai eu garde de citer ni l’hôtel de Nevers, ni l’hôtel de Bouillon, ni
s cajoleries de Voltaire pour le grand Frédéric132. Madame de Sévigné cite fréquemment La Fontaine dans ses lettres à sa fil
28 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
rappelle la versification de Molière. Elle est si connue, que je n’en citerai qu’un seul exemple, uniquement pour soumettre mon
et le Roi, et l’usage qu’il en a fait est intéressant et théâtral. Je citerai encore une scène d’un ton très-noble et d’une int
rage le meilleur qu’on ait composé sur cette matière, et dont Regnard cite souvent des passages et atteste l’autorité. Un de
lus comique, sont la femme contrariante dans la pièce que je viens de citer , la veuve du Double veuvage, la coquette de villa
29 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
s Femmes savantes dans Molière. Ces pédantes, parce qu’elles savent «  citer les auteurs et dire de grands mots, » prétendent
s elles n’ont pas la moindre conscience de leur sottise. Parce que je cite Les Femmes savantes, à titre d’exemple, je ne vou
st parfois comique sans le savoir et sans le vouloir. Car je pourrais citer dans ses farces un certain nombre de facéties où,
ns ses discussions interminables avec l’ennuyeux Philinte84, et, pour citer encore une fois, une dernière fois, Les Femmes sa
ions, tous les exemples, sont du disciple de W. Schlegel. Lui-même ne cite jamais rien. 72. Le Malade imaginaire, acte III
individu. — Douzième leçon. 88. Nous avons déjà dit que Schlegel ne cite rien. Il faut trouver des exemples pour toutes se
ment par le public. — Douzième leçon. Cette anecdote est fausse. Nous citons M. Taschereau, « Ce petit trait d’histoire littér
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
; en faisant desirer d’autres scenes. Telle est celle que je viens de citer , & que j’ai promis de rapporter lorsque j’aur
qui commence à se lier, qui sera moins filée que celles que j’ai déja citées , parcequ’il le faut, par des raisons que je dirai
rand Seigneur. Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne cite jamais que Duc, Prince, ou Princesse. La qualité
31 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [90, p. 134] »
ourberies de Scapin. Nos lecteurs à qui le petit écrit qu’on vient de citer , peut-être inconnu, seront bien aises de trouver
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
amp; vous en trouverez tant d’exemples, que je puis me dispenser d’en citer . « Ils bannissent la monotonie d’une piece qu’un
 : il resta une minute en suspens ; mais il applaudit enfin. Je ne le cite que parceque je ne vois pas un exemple ailleurs.
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90
ux, le troisieme trop libre ; mais le quatrieme, que je n’ai fait que citer , est scandaleux : c’est pourtant celui que les Mo
es théâtres particuliers, ou dans le pays étranger ». Il faut donc en citer une qui l’ait été sur le théâtre de Paris ; quoiq
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
te seule du titre. Tous les théâtres fourmillent d’exemples ; je n’en citerai qu’un, parceque nous avons déja traité cette mati
it avec vivacité : Ah ! si dans ce pays j’avois un coin de terre ! Il cite avec vénération Locke. Pas un mot qui ait rapport
35 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
nt pas vieilli depuis deux siècles, dont la vertu a été aussi souvent citée que sa grâce et son esprit, n’est pas moins un ho
amusements. » Avant les hôtels d’Albret et de Richelieu, j’aurais dû citer en première ligne les cercles de mademoiselle de
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
lles applaudies : mais des coups de force pareils à celui que je vais citer , seroient ridicules si une soubrette les faisoit.
mal-adroit. Je m’empresse d’avouer que l’idée de la scene que je vais citer appartient à Plaute 33 : c’est pour cela que j’en
37 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
probité qui surprennent peu les honnêtes gens ; celui que je viens de citer n’est pas de ce nombre. Il pourra étonner les hom
la manie de quelques individus, c’est le préjugé à la mode, Qu’on me cite des pièces historiques, des mémoires particuliers
38 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
deux éditions publiées en 1688 et 1690, conséquemment avant sa mort, citées par Bayle30 et par Joly31, la reconnaît aussi pou
sa naissance jusqu’à sa réunion avec sa mère. 20. Vie de la Guérin, citée par Bayle et Joly. 21. Histoire de la noblesse
39 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
aurait -cité la jeune actrice à titre de curieuse exception, comme on cite Mlle Beauval, sa camarade de théâtre10. » Ces id
l’adolescence de Molière ne s’écoula point dans cette maison. M. Vitu cite en effet divers baux desquels il résulte : 1° Que
atement la mort de Pocquelin père, arrivée en 1669 : le premier qu’il cite parmi ceux qui sont postérieurs à ce décès porte
exprès, l’accusation d’adultère ; et, pour mieux prouver son dire, il cite la date des infortunes de Molière et le nom de qu
n Pologne. Une lettre de lui au chancelier Séguier, et que nous avons citée dans notre édition de la Fameuse Comédienne, en e
expliqué là-dessus il y a déjà longtemps, et l’on me permettra de me citer moi-même ; on va voir que, M. Livet et moi, nous
uis Moland dans sa récente biographie de Molière, mais on en pourrait citer bien d’autres19. X. Les autographes de Molièr
Et moi aussi j’en connais : Il en est jusqu’à trois que je pourrais citer . Le premier consiste en trois lignes écrites sur
i sujette a caution. Son titre est un peu long, mais il importe de le citer en entier : Devis que Jean Pastel et André Maziè
des questions. L’auteur m’a, en maints endroits, fait l’honneur de me citer , pour m’approuver ou me combattre, deux preuves d
40 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. De ce que nous entendons par caractere. » pp. 259-260
ché pendant long-temps ce que signifioit la tirade que nous venons de citer  ; à la fin je pense l’avoir deviné. L’Auteur a vo
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
nt trop longues pour être rapportées en entier ; mais nous pouvons en citer quelques traits. Dans la piece de Blanchet, Patel
ntredit, du mérite dans le Muet ; mais nous nous garderons bien de le citer comme un modele d’imitation ; les divers matériau
ement d’eunuque. Il y a une infinité de choses contre nature, je n’en citerai que deux. Est-il naturel que le Baron, bête comme
42 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
tausier pour l’original de son misanthrope. « En considérant, — nous citons M. Rœderer, — la position de Molière, et le plais
ie: de Molière, 2e éditions Paris, Techner, 1857, p. 143. Aimé-Martin cite avec complaisance tous les traits du caractère de
portée de ce document au profit du sujet qui nous occupe ; nous ne le citons ici que comme un curieux rapprochement. Voir Sain
43
gai rayon de soleil, En me créant — si j’ose, après un nom pareil Me citer — n’a jamais, quoi qu’on dise ou qu’on fasse, Mis
eux qui aiment le bon rire, le bon sens et la loyauté. Bornons-nous à citer le nom d’un des plus distingués d’entre eux, M. J
 » n’ait pas trouvé place dans le hollandais de madame Pernelle. Pour citer un dernier détail, la jolie anecdote de la puce a
rraient élucider la question. Cependant, à part les lignes de Somaize citées plus haut, on ne sait rien de cette pièce, si ce
ageller du fouet de la satire les méchants poètes, et qu’il se plut à citer ironiquement leurs mauvais vers. Si complète que
z-moi ce mot moderne, qui me semble le terme juste), le grand Comique cite aussi des ouvrages ridicules de son temps auxquel
e Molière n’ont pas seuls l’honneur d’être nommés dans ses œuvres. Il cite parfois, et par leur nom, les grands hommes conte
t pas prononcé dans les œuvres de Molière, mais une de ses fables est citée , dans Le Malade imaginaire, à côté d’un conte de
plus loin : parmi les grands hommes de son siècle, il en est un qu’il cite volontiers, et celui-là c’est… Molière. Philinte
e autre fois à te jouer à la Faculté. » Au reste, cette audace de se citer soi-même a trouvé au moins un imitateur illustre 
rtiennent au répertoire des ballets de Gaston d’Orléans. Il suffit de citer la douzième entrée du Ballet des Vrais Moyens de
bjet de fructueuses recherches. Galibert, dans ses Pérégrinations, ne cite qu’un petit nombre de localités où la troupe de l
ifier ce qu’il y a de plus incontestablement français. Or, qu’on nous cite un seul article où respire ce respect des aïeux l
du bric-à-brac archéologique ! » Voilà ce qu’on a pu lire, et je ne cite qu’un de nos lundistes. — C’est ainsi que le pres
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
démasquer le héros. Dans cette même piece du Joueur, que je viens de citer , nous voyons une Comtesse & un Marquis très s
er ce proverbe ! Rappellons nous seulement celles que nous avons déja citées , afin de prouver par-là même, qu’en manquant dans
45 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
de l’Auteur de l’Art Poétique ; & depuis long-temps les François citent le Misanthrope comme l’honneur de leur Scene Comi
s personnes, qui trouvant ce passage dans le volume que l’on vient de citer , pourroient l’altérer dans leur récit, & donn
46 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
Henriette devienne sans effort la digne Elmire ; car on ne peut guère citer comme modèle d’épouse, malgré la grâce et la chas
s qualités et des défauts contradictoires : toutes les entremetteuses citées plus haut410 ont trop peu de conscience, et trop
47 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
sants. Nous avons déjà rencontré celui de Cocodrillo ; nous pourrions citer encore les noms de Matamoros, Fracassa, Rodomonte
), nom emprunté sans doute à ses rôles de théâtre. Isabelle peut être citée comme un exemple de la considération et des honne
48 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
r profit, aucune de leurs partitions n’étant restée. M. Eugène Sauzay cite l’ouvrage de Justin Cadeaux, « représenté à l’Opé
49 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. » pp. 420-425
en est fou. C’est son tout, son héros : Il l’admire à tous coups, le cite à tous propos. Ses moindres actions lui semblent
50 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
rand seigneur. Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne cite jamais que duc, prince ou princesse. La qualité l
! Jamais on ne le voit sortir de sa splendeur. Jamais on ne l’entend citer que sa richesse. Ses fermes, ses chevaux, et sa
Foreign Quarterly Review et de l’Athenœum de la même époque, que nous citions tout à l’heure : il constate que les œuvres du po
tiste Poquelin, les cours du collège de la rue Saint-Jacques, il faut citer Armand de Bourbon, prince de Conti, frère du gran
ir un caractère marqué de libre esprit. Le groupe dont nous venons de citer les noms se distingua en effet par une indépendan
idi. Ce qui a donné lieu à cette conjoncture, c’est la phrase partout citée de Tallement des Réaux :« Un garçon nommé Molière
ec l’auteur de L’Hôpital des fous et de trois ou quatre autres pièces citées dans L’Histoire du Théâtre français des frères Pa
ne Mareschal, avocat en notre cour de Parlement ». Mais M. G. Monval8 cite un marché authentique passé avec Pierre Rocolet i
est appelé maître André Mareschal, avocat en la cour de Parlement. Il cite encore la « Chrysolite ou le secret des romans, p
était enrôlé dans la jeune troupe. Les historiens du Théâtre Français citent au moins onze pièces de ce poète antérieures à 16
tait donc bien fait pour lui, et les quatre pièces que nous venons de citer furent, selon toute apparence, représentées par M
ristan l’Hermite auteur de La Mort de Sénèque et de La Mort de Crispe citées ci-devant était attaché à la maison de ce prince.
refour Buci, dans un jeu de paume dit de la Croix-Blanche ? Grimarest cite le jeu de paume de la Croix-Blanche, mais sans pa
… Mais il ne parle pas non plus du jeu de paume des Mestayers, il ne cite que deux stations ; on pourrait croire qu’il en a
t représenté les ouvrages pendant leur établissement à Paris, il faut citer Jean Magnon, M. Magnon, un des favoris du Parnass
es provinciales qui passaient pour les plus complètes, et que Scarron cite au commencement de son Roman. Cet ensemble de fai
, stances. Tout le monde a dans la mémoire les belles stances souvent citées  : Marquise, si mon visage À quelques traits un p
traduit parla violence ; et le seul trait d’offense brutale que l’on cite fut sévèrement réprimé, quoiqu’il eut pour auteur
l’homme du monde qui se faisait le plus servir. »Quoique ce biographe cite à ce propos une anecdote qui a bien l’air d’une s
esser les autres. Chapelle en parlait bien à son aise. Nous venons de citer la dernière partie de cette lettre curieuse. Le c
e l’Église, et qui parut après sa mort (1667), L’École des femmes est  citée comme une œuvre licencieuse et offensant les bonn
au-Despréaux et Louis XIV. Boileau lui adressa les stances si souvent citées  : En vain raille jaloux esprits, Molière, osent
le 19 janvier audit an. Signé : Colombet. Nous n’avons pas fini de citer les pièces que fit naître L’École des femmes. Il
ts et ne craint pas de devenir sa victime. Combien ne pourrait-on pas citer de tels personnages qui sont, non pas du domaine
ualité d’offenseur, aurait conservé une plus longue rancune. Son fils cite de lui, il est vrai, une noble réponse à quelque
t si bien faire. Molière. Enfin, un ami de la maison qu’il nous faut citer encore est ce « fort honnête médecin dont Molière
er à Louis XIV, sous les murs de Lille, le placet dont nous venons de citer quelques lignes et qui se terminait par ces mots 
composée aussi la singulière rapsodie que nous avons eu l’occasion de citer  à plusieurs reprises ; Élomire hypocondre ou les
llusion dans les paroles rapportées par Grimarest, et que nous allons citer tout à l’heure. Peut-être aussi Louis XIV, qui av
Une épitaphe qui paraît être du même auteur, et que M. P. Lacroix a citée dans le Bulletin du Bibliophile (novembre-décembr
ait attiédi, prit sa revanche dans l’épître à Racine (1677), à qui il cite , pour le consoler des injustices qui ne lui étaie
apel, le roman de Francion. Scarron, et Plante surtout, qu’on ne nous cite pas ? Nous apprenons que Molière avait deux cent
ne du Malade imaginaire (la leçon de chant) que Célinde vient de nous citer , poursuivit Bérélie, n’a-t-elle pas toujours eu s
des Femmes, et dans le rôle d’Antiochus, de la Bérénice de Racine. On cite de lui un trait qui prouve son courage, En 1678,
Troupe du Roman comique dévoilée, par H. Chardon, p. 13. 83. Nous ne citons pas textuellement, nous résumons la pensée de l’a
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
ale ; sinon c’est un défaut essentiel. Dans l’exemple que je viens de citer des Femmes Savantes, ce que fait Clitandre tient
entr’acte est donc bon ; & par la même raison, celui que je vais citer est mauvais. L’AVARE. ACTE I. Scene X. Harpagon.
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
’amener la jalousie d’un rival qui ne veut plus épouser Aurora. Je ne citerai aucun exemple des pieces intriguées par une lettr
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
Poisson, se présente la premiere à mon imagination, & je vais la citer pour exemple. Ariste, jeune Procureur, se fait u
r le sens commun. Il est aisé de leur prouver le contraire ; & je cite le Joueur de Regnard. Je demande d’abord ce qu’on
u d’un amour mal assorti, & de ses ridicules. Nous pouvons encore citer la Pupille de Fagan. Une jeune personne sort du c
54
conville qu’après 1670, puisque l’ouvrage, peu connu, que nous allons citer , le désigne comme tel et le met en présence de Fr
1816, le laissa ainsi que nous l’apprend Beffara dans sa lettre déjà citée , « détruire et employer dans les bâtiments de la
e chausses et un manteau olive, doublé de vert. Nous pourrions encore citer les costumes des Fâcheux, des Femmes savantes, de
ci maintenant son pendant identique, que je tire des Fâcheux. Je puis citer cette scène : ce n’est pas un de ces fragments de
ntérêt. « Plusieurs écrivains » dit encore M. René Delorme, que nous citons toujours avec plaisir, « se sont élevés contre le
sola Cortesi ; sa signature placée au bas d’actes authentiques que je citerai tout à l’heure, est Orsola Coris. Le roi Louis XI
uve à Paris, chez Picard, 82, rue Bonaparte, au prix de 5 francs. 4. Citons encore – seulement en ce qui touche le théâtre –
nis, en face de la rue des Bons-Enfants. 48. M. Eugène Despois les a citées dans son Théâtre français sous Louis XIV, mais en
peut-être pour les deux Écoles. 53. Archives de la Comédie-Française citées par M. René Delorme, Musée de la Comédie-Français
55 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
t ans. Boileau trouvait ses élégies d’un agrément infini, Voltaire la cite dans Le Siècle de Louis XIV comme célèbre. C’est
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
te question : Ces reconnoissances si belles, si sublimes, que vous me citez , sont-elles dans une tragédie bourgeoise ou de qu
i difficile de rendre une reconnoissance bien comique, que je ne puis citer pour exemple le pere de la bonne comédie, Moliere
57 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
e. 7. Voir la Préface des Deux Sœurs de M. E. de Girardin. 8. On ne cite ici que ceux qui ont parlé de Molière à ce point
déclaration celle de la Critique de l’École des Femmes, sc. VII, déjà citée p. 4, note 1. On retrouve les mêmes idées dans le
58 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
nt pour elle : nous avons déjà cité Fatouville, Regnard et Dufresny ; citons encore Palaprat, Lenoble, Boisfranc, Mongin, Delo
oin. On ne sait pas ce que ces messieurs-là peuvent devenir un jour. Citons encore la scène du prêt, où le notaire La Ressour
59 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
tel siècle. Il y a peu de poètes comiques contemporains de Molière à citer à côté de lui. Corneille, avant d’avoir composé s
les mêmes. Celui des deux auteurs qui a copié l’autre devait du moins citer sa source. Ce fut assez longtemps après la mort d
ue chose de particulier. En fait de chefs-d’œuvre du haut comique, on cite encore deux ouvrages isolés de deux poètes qui, s
ement à la musique, il est dû à un véritable mérite poétique. Pour ne citer qu’un exemple entre plusieurs, je ne puis m’empêc
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. De l’Art de prévenir les Critiques. » pp. 309-313
rendre plus intelligible, j’aurai recours à ma méthode ordinaire ; je citerai des exemples. Dans le Tartufe, Elmire tente en va
61 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
dre les mœurs de notre société à ses divers âges. Je ne veux que vous citer , en terminant, quelques traits qui puissent vous
toile les saisissantes représentations des mystères. Ainsi, pour n’en citer qu’un exemple, Vous connaissez certainement, au m
cette fois avec son berger qui lui a dérobé ses moutons ; il le fait citer devant le juge. C’est alors qu’a lieu cette incom
62 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIV » pp. 251-258
sont renfermées dans ce qui précède. Toutes les femmes que nous avons citées étaient honnêtes, spirituelles, aimables, de bon
63 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
ont-ils pas. Athalie, Le Bourgeois gentilhomme, Le Légataire, pour ne citer à nouveau que ces trois-là, nous répondent heureu
jeune premier qui atteint déjà la seconde jeunesse.je ne vois guère à citer que M. Kéraval et peut-être M. Barral ; derrière
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Des différents Genres en général. » pp. 1-8
ne la pluralité des genres, ceux qui y sont intéressés, ne cessent de citer cette sentence. C’est fort bien fait à eux : les
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Pieces intriguées par plusieurs Personnages. » pp. 169-175
ire remarquer qu’il y a un grand défaut dans la piece que je viens de citer , & que ce défaut est très ordinaire aux piece
66 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
 : on y ajoute souvent des critiques injustes de leurs Ouvrages ». Il cite pour exemple de ce mauvais goût, l’Edition de Rac
67 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
n comique que je vais décrire à mon tour. Parmi les modernes, il faut citer M. Charles Magnin pour son Histoire des marionnet
68 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
voulut copier dans cette fête royale ; quelques-uns des noms que l’on cite , Colas, maître Philippes, n’ont point une physion
69 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
nu de tous ». « Il n’est pas d’apprenti, ni de domestique — ici nous citons textuellement l’écrivain autrichien — qui ne sach
qui sont de tous les pays et de tous les temps. « Nous nous bornons à citer , entre autres figures : Tartuffe, l’avare Harpago
la mode, qui rimait l’actualité comme on la chronique aujourd’hui, ne cite jamais le nom de l’auteur nouveau, et lorsqu’enfi
, ce n’est pas celui de Mlle Paul Poisson, fille de Du Croisy, que je citais dans une note du chapitre premier, c’est le portr
e telles perspectives, ne sont pas rares dans son œuvre, et pour n’en citer qu’un, le monde moderne, épris d’égalité, ne doit
, demoiselle), tragédienne, comédienne et danseuse. — M. Ch. Louandre cite le Mercure de France de 1740, qui dit qu’elle fai
outes ces personnes jouèrent quelque rôlet çà et là. Puis on pourrait citer les personnages de la cour et de la noblesse qui
déterrer encore du nouveau ! 1. Anecdote contée par M. Auger et citée par M. Paul Albert. Cette opinion humouristique d
ble, cruelle et charmante comédie, où Arnolphe égale Othello. 33. Je cite ce mot qui n’a rien d’authentique, qui est antéri
rd (p. 641) une note sous forme de lettre, qu’il est peut-être bon de citer ici : Molière copiste. — « À Monsieur Quérard.
70 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
le comique grossier avec le bas comique. Dans la scene que nous avons citée , voilà ton demi-cent d’épingles de Paris, est du
e sois véritablement content ». J’ai dit qu’il étoit généreux, je ne citerai qu’un trait pour le prouver. Un pauvre lui ayant
aux : il aura toujours quelque passage d’Aristote à la bouche : il le citera en toutes sortes d’occasions, & pour toutes s
amp; cela ne leur paroît pas vraissemblable. Je ne puis m’empêcher de citer ici un trait admirable de la comédie du Tartuffe,
71 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
voyageant dans la France ont été soigneusement conservés. Les érudits citent respectueusement Les Docteurs rivaux, Le Maître d
sévères nomment des farces ; et, à ce propos, on ne manque jamais de citer ces deux vers de Boileau : Dans le sac ridicule
rait rire des pierres. » Indépendamment des rôles que nous venons de citer , Brécourt jouait supérieurement ceux de l’Avare e
ragique, et le noble comique. Parmi les rôles de ce dernier genre, on cite celui d’Agnès de L’École des Femmes, qu’elle rend
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
er loin pour trouver des exemples. Mais il y a long-temps que nous ne citons que des comédies françoises, transportons le Lect
se cache, Et qu’elle ait du savoir, sans vouloir qu’on le sache, Sans citer les Auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer
lacer à propos, & de façon qu’elles tiennent, comme celles que je cite , au sujet, à la scene & aux caracteres des pe
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102
ue les vendanges réunissent, le titre est donc bon. Il est inutile de citer un plus grand nombre de mauvais titres : le lecte
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260
liées lorsqu’on pouvoit placer les chœurs dans l’intervalle, & ne citer en conséquence que des exemples tirés du Grec. Je
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
suit celle d’Eraste & de Lucinde, est dans ce cas ; je l’ai déja citée ailleurs. Baron a évité, dans son Homme à bonne
76 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
iolent, professée par ceux qui la contredisent en théorie et en fait. Citerai -je Voltaire, exhortant les Français à s’élever au
qu’il ne pût légitimement s’appliquer à lui-même. Je me permettrai de citer enfin le Chevalier écrivant dans son Étude : Les
frère de l’habile critique que le Chevalier et moi nous aimons tant à citer , M. Frédéric de Schlegel a fait un drame intitulé
phique ; article Art dramatique. 342. Lettre de Voltaire à La Harpe, citée dans le Journal des débats du 23 avril 1865. 343
nglais. 371. XIXe Lettre sur les Anglais. 372. M. Lysidas aurait pu citer encore en France La Bruyère disant dans son Disco
77 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
et qu’on retrouvera moins dans Molière à mesure qu’il avancera. Hugo citait avec ravissement, et j’estime qu’il avait raison,
lesse ! La langue de Rabelais n’est pas plus vivante ! » Il aurait pu citer d’autres passages. L’Étourdi, qui est resté au th
rre que Ton rencontre ce délicieux complet d’élégie que les critiques citent partout sans créer, ce semble, dire qu’il est de
Misanthrope : Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne cite jamais que duc, prince ou princesse : La qualité
pas. Victor Hugo estimait beaucoup L’Amour peintre et il aimait à en citer les premières lignes qui sont en effet d’un joli
est dans les intermèdes ; comme on ne les lit jamais, j’ai tenu à le citer comme page inconnue de Molière. En vérité, je ne
rand seigneur ; dans le brillant commerce il se mêle sans cesse et ne cite jamais que duc, prince ou princesse. » Et l’on vo
ue. Avec Voltaire je regrette que ce soit cette pièce que Boileau ait citée comme type du bas comique où il n’aurait pas voul
que les drogues sont dangereuses (ce qu’on omet toujours quand on le cite oubliant que c’est la base même de son raisonneme
l’a épousée sans qu’elle y consentît, et avant les paroles qu’on nous cite et qu’on nous cite comme la pensée centrale de la
’elle y consentît, et avant les paroles qu’on nous cite et qu’on nous cite comme la pensée centrale de la philosophie de Mol
aurait fait le succès de la pièce ; ensuite que de cette scène, qu’il cite sans doute de mémoire, il oublie tout l’essentiel
ssentiel ? Car s’il n’y avait dans cette scène que ce que Voltaire en cite , il n’y aurait qu’une raillerie irréligieuse de l
t la curiosité, la vanité et le désir éperdu d’être quelqu’un dont on cite le nom dans les cercles et les ruelles, avec l’am
plus souvent de l’engrener avec une pleine et parfaite solidité. J’en citerai pour exemple précisément cette phrase : « Et lors
qu’enfin elle est un des modèles de la phrase du xviie siècle. J’en, citerai , comme exemple encore, les périodes de Cléante au
et qui se termine par « ne fût point ce qui me les donne » et que je cite plus loin pour un autre objet. Je ne vois guère d
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
les sont celles de presque toutes les pieces anciennes que nous avons citées . Cinquièmement, les frippons d’Athenes, & tou
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
il s’agit ici des pieces intriguées par des noms, & vous ne nous citez que des bouts de scenes amenées par des noms ». J
80 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
e de la révolution, le théâtre a eu des comédies très remarquables. —  Citez -les, me dira-t-on. — Jouez-les d’abord, vous répo
81 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
n rêvant, mais je vous aime avec étude et de tout mon sens. Enfin, on citait comme locution précieuse, cette modeste phrase :
82 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
r répondre à ceux qui le consultent sur le leur, on se rappellera, on citera le mot : Vous êtes orfèvre, monsieur Josse  : c’
s axiomes, ou des plaisanteries dans la bouche de ceux qui savent les citer à propos. Bien que Molière, dans la farce du Fago
83 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
dans son Art poétique, et qu’enfin Mmede Sévigné elle-même, toujours citée parmi les rares esprits de son temps qui paraisse
ura le tabouret. Autour des trois grands écrivains que nous venons de citer s’en groupent d’autres, bien considérables encore
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
même piece de George Dandin, & dans la même scene que je viens de citer , le héros dit à M. de Sotenville : Oh bien ! vot
85 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30
de cette époque, beaucoup de noms illustres et d’œuvres remarquables. Citons l’Arioste, le cardinal Bibbiena, Machiavel, Ruzza
86 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
dans une position plus qu’équivoque. Voici la scène que nous voulons citer  : BARRA. Que ferons-nous de ce domino magister ?
87 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
’ici il raisonne juste, Rousseau déclame, comme toujours, et je ne le cite qu’à cause de son nom. Bossuet, appuyé sur saint
u galimatias « inconcevable » des Précieuses. Tous les exemples qu’il cite ne paraîtront pas également effrayants. — « Ce fu
st que trop malaisé de se refuser quelque chose. » Il faut se borner. Citons encore pourtant ces grandes paroles : « Terrible
suivant l’usage, par un compliment au roi. Il n’est pas inutile d’en citer quelque chose. J’ai entendu amèrement critiquer l
pût pas, le voulût-on, s’y méprendre. Presque tous les exemples qu’il cite et qu’il accumule s’appliquent au roi. Comme s’il
udition si vantée lui fournit d’autres traits non moins décisifs : il cite l’exemple des Espagnols, « qui ne célèbrent guère
et qui contient tous les autres, s’attaque au passage que je viens de citer . Il prend soin d’abord d’en élaguer, sans rien di
e premier en mérite des écrivains célèbres nés à Paris. Après lui, on cite Regnard, qui vint au monde sous les piliers des H
u près. Il existe entre eux un air de quartier, un air de famille. On cite encore, parmi les Parisiens, Rutebeuf et François
ns" qui avaient vu le Tartuffe et qui l’avaient trouvé profitable, en cite Ninon. Le commentateur Bret qui fut l’Aimé-Matin
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
crois mes lecteurs de mon sentiment sur les exemples que je viens de citer , je vais leur avouer mon secret, & leur dire
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397
caractere vicieux est principal, comme dans l’exemple que je viens de citer . « La premiere scene du Misanthrope est cependant
90 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
ion d’Amphitryon. Mademoiselle de Montpensier rapporte à la page déjà citée que peu après les propos dont elle réprimanda Mon
91 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
Lucien, de Longin et des autres célèbres auteurs. Leurs textes qu’il citerait , seraient les ornements de son livre. En ne prena
uge du plaisir qu’il y prend ? » Il ajoute (hélas ! il faudrait tout citer de cette rhétorique en action) : « J’ai remarqué
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
rti, par rapport à M. Oronte, dont il est, dit-il, amoureux. Qu’on me cite , chez les prétendus rivaux de Moliere, une piece
93 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre II. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste ou Mosaïque extraite de la Poétique de Jean-Paul » pp. 97-110
141. § 35. 142. § 35. Gargantua, l. Ier, c. xxii. 143. Fischart cite jusqu’à 586 jeux d’enfants et de société, que j’a
94 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
à réparer, ou les erreurs que j’ai fait disparaître, je me hâte d’en citer quelques exemples. Désirez-vous connaître l’origi
e fera trouver grâce pour les deux ou trois exemples qui me restent à citer . Voici le premier : Dans la scène v de l’acte IV
point aussi incomplets que pourrait le faire croire cette phrase déjà citée  : Grimarest ne savait pas même ce que tout le mo
rait rire des pierres. » Indépendamment des rôles que nous venons de citer , Brécourt jouait supérieurement ceux de l’Avare,
tragique et le noble comique. Parmi les rôles de ce dernier genre, on cite celui d’Agnès de l’Ecole des femmes, qu’elle rend
e, peu connue, écrite en 1724. Nous aurons plusieurs fois occasion de citer cet ouvrage, dont le rédacteur avait recueilli de
était gentilhomme, et il avait été page du duc de Guise. Chapuzeau le cite comme un excellent comédien. (Voyez Chapuzeau, li
evoir par soi-même n’est pas donné à tout le monde. Là-dessus il nous cita Léontium (Ninon), comme la personne qu’il connais
et Benserade, de chagrin, avait fait la plaisanterie que je viens de citer . Molière, pour s’en venger d’une manière nouvelle
e font plaindre ; ils renferment des pages excellentes, dignes d’être citées  ; et ses poésies légères, aujourd’hui oubliées, o
95 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
u’on en peut savoir ; aussi peut-on se fier à son exactitude quand il cite des dates ou des faits positifs. Mais quand il s’
des points douteux et sujets à contestation ; quand il faut non plus citer mais juger, on doit se défier de lui ; il vise av
vulgaire et que les biographes qui l’ont précédé1. » Nous pourrions citer à l’appui de ce jugement si fondé une foule d’ass
a les emprunter en 1837, pour cette même édition, dont nous venons de citer une note, et les donna comme une trouvaille de so
m, s’appelait réellement Dominique. Quant à Scaramouche, que Voltaire cite également comme ayant changé le sien par égard po
storique du même temps, les Mémoires du cardinal de Retz. Nous devons citer surtout, pour donner une juste idée de l’innocenc
de La Croix, dissertations dialoguées et non représentées, qu’il faut citer tout de suite pour clore cette longue liste de ré
c’est une affaire résolue63. » Dans ce même récit des fêtes que nous citions tout à l’heure, à l’occasion du Tartuffe dont les
e macaronique du Malade imaginaire. Tallemant, dans ses Historiettes, cite aussi une demoiselle Honorée de Bussy, belle et g
die Qui fait que, dans Paris, tout court au Médecin. Nous aurions pu citer , dans le nombre des personnes que Molière fréquen
érateurs comme l’essai heureux d’un genre frais et animé. Voltaire la cite comme un modèle de grâce ; Bret y voit le type de
e Platina intitulé De honesta voluptate, imprimée à Paris en 1505, et citée par Le Duchat dans son édition du Dictionnaire ét
hypocondre ou Les Médecins vengés, que nous avons déjà eu occasion de citer . Le nombre démesuré de personnages qui y figurent
nnaître sa vie et les mœurs de son siècle, nous n’avons besoin que de citer une seule phrase de La Bruyère : « Roscius, dit-i
uraient pu être passés en revue dans ce tableau. Il nous a fallu n’en citer qu’un petit nombre ; ne dire que quelques-uns des
ant de sa femme, «  mademoiselle La Fontaine ». Nous pourrions encore citer pour preuve les Satires sur les femmes bourgeoise
M. Harpin, bien arrondi, s’appelait Turcaret. 87. Ce que nous allons citer se trouve pages 118-125 d’un appendice commençant
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
r qui l’a fait travestir. Mais l’action des scenes que nous venons de citer est moins rapide que celle de l’Italien. Le valet
97 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
101. Lettres, édition de 1778, t. I, p. 100. 102. Les commentateurs citent le duc de Villars. 103. Elle le remercie plus ba
98 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
 » M. de Beausset se fonde sur les Mémoires de Saint-Simon, et il en cite l’extrait suivant : « Bossuet était un homme don
99 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
raissait aussi plus ingénieux dans la Scène et dans le jeu du Moi. Il citait même un vers de Rotrou, qu’il prétendait plus nat
ragique, et le noble Comique. Parmi les rôles de ce dernier genre, on cite celui d’Agnès44 de L’École des femmes, qu’elle re
olière devait au Théâtre Italien l’idée de sa Comédie du Tartuffe. On cite un canevas très-ancien, dont on dit que notre Poè
s’entendait pas plus lui-même, qu’il n’était entendu des lecteurs. Il citait par exemple de ce dernier genre de Galimatias, ce
70. Rotrou, 1647, La Sœur : comédien en 5 actes et en vers. La scène citée dans cette anecdote est la scène I de l’acte I.
100 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
est incomplète; plus d’une sorte de comique n’y rentre pas. Pour n’en citer qu’un exemple, la comédie peut exciter sans doute
là il avait atteint au lyrisme comique. Un critique que nous aimons à citer , parce que de tous les critiques français moderne
fournit la preuve, lorsqu’il dit, dans le passage que nous venons de citer , que dès la première représentation on revint du
a tragédie de Racine, fait à la princesse Cléophile; elle est souvent citée comme un exemple de ce bel esprit dans lequel Rac
otties n’ont pas davantage oublié le faux dévot. Il existe, pour n’en citer qu’un exemple, une pièce intitulée, La Farce des
exemples fameux ne me manqueraient pas. TRISSOTIN. Vous en pourriez citer qui ne concluraient guère. CLITANDRE. Je n’irais
re du dimanche. Rien de semblable dans les beaux vers que je viens de citer . Ici l’image c’est l’idée même, l’idée qui est de
de en pitié tout ce que chacun dit ; ces femmes savantes, qui savent citer les auteurs Et clouer de l’esprit à leurs moindre
ier à parler le langage de l’église et de l’Évangile. Les faux dévots citent avec componction les saintes Écritures. Ce trait
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