ons : « Et je défie M. Baluffe (c’est moi ! excusez du peu !) de m’en
citer
un, par exemple dans Mirèio, qui, sans doute, est
mot qui arrangerait mes affaires. On lit, même page de Las Obros déjà
citées
: « Scouzentou. cherchez Escoyre », cuire. Je che
nous débattrons entre Français. Revenons. M. H. Fritsche veut que je
cite
un exemple tiré de Mirèio. Qu’il en prenne son pa
cite un exemple tiré de Mirèio. Qu’il en prenne son parti. Je ne lui
citerai
rien de Mirèio. À quoi bon ? Toutefois, comme un
une fort belle lettre — que je ne suis pourtant pas assez Gascon pour
citer
tout entière, à cause des éloges — F. Mistral a b
: parler beaucoup et ne rien dire. — C’est grâce à elle que Gros-René
cite
le cousin Aristote, et, au bout de je ne sais com
anciens que fut Gui Patin, il eut un mal… Molière. On a pu, en effet,
citer
davantage ces œuvres oubliées de nos jours ; mois
res oubliées de nos jours ; mois, je le demande, quelqu’un les a-t-il
citées
plus à propos ? Si M. Robert, par exemple, tient
le que l’onde (27). Enfin, dans son enthousiasme, Molière va jusqu’à
citer
presque textuellement le plus célèbre, à coup sûr
vre, et non pas seulement dans les quelques fragments que je viens de
citer
. C’est elle qui vivifie, anime son théâtre tout e
Que du sage parti se voir seul contre tous (54). Au reste, pourquoi
citer
des vers que l’on pourra toujours accuser d’exagé
s’agit d’opinions sur le bien et sur le mal, continue Damiron qui le
cite
(56). — Gassendi enfin désigne nettement pour but
a retranché, il reste encore quelque chose. Je sais bien que Ton peut
citer
des propositions fort spiritualistes. Mais je rem
ortrait. 7. Les Médecins au temps de Molière, H. Raynaud, p.31. 8.
Citées
par Gui Patin, Lettres, t. III. 9. Le Mariage f
hie d’Hippocrate, discute en passant le sens d’un passage de Pindare,
cite
l’Odyssée, saint Jérôme, saint Paul… et voilà pou
le de Molière, p. 219. 58. Voir plus haut le mot de Molière que nous
citons
. 59. Le Festin de Pierre, acte III. sc. II. 60
la piece, & que rien n’annonce ; mais il est très défectueux. Je
citerai
celui du Tartufe. Quand Orgon a reconnu les coqui
piece. Je puis trouver des exemples dans tant de pieces, que je n’en
citerai
aucune. Le lecteur n’a qu’à se rappeller celles o
el d’entre eux en a tiré un dénouement pareil à celui que je viens de
citer
? On reconnoît le mérite d’un dénouement, dans qu
ses lecteurs est varié. Sganarelle, dans la piece que nous venons de
citer
, lâche la tirade suivante contre sa perfide &
llitatem non exspectatam. Scal. lib. 1. c. 9. 67. Je pourrois encore
citer
Aristote, duquel j’ai pris ce que je viens de dir
ette comédie aux Italiens ; &, pour appuyer leur sentiment, elles
citent
une lettre manuscrite de M. de Tralage, qui se tr
personnes qui, trouvant ce passage dans le volume que nous venons de
citer
, pourroient l’altérer dans leur récit, & donn
ans le Misanthrope quelques vers de détail pris dans Lucrece ; je les
citerai
. ACTE II. Scene V. L’amour, pour l’ordinaire, es
s je vous fâcherois, & veux être discret, &c. On peut encore
citer
la scene suivante comme un exemple singulier : en
hants à ceux du Misanthrope, des Femmes Savantes & du Tartufe. Je
cite
les premiers qui me tombent sous la main. LE MISA
trez dans cette salle, Et vous reposez là En attendant qu’il vienne.
Citons
un exemple plus considérable. LE SICILIEN, ou L’A
laisir de les vaincre, en faisant des vers à rime couronnée : je n’en
citerai
qu’un exemple pris dans la tragédie du Mauvais Ri
s, & ils ne sont pas étonnés de voir paroître Alcippe. Il faut en
citer
une qui surprenne en même temps le public, la plu
-même ne change rien à la situation. Ses défauts m’ont déterminé à la
citer
, pour qu’on puisse la comparer à celle de l’Ecole
ue Mascarille, puisque le public savoit presque le dessein de Valere.
Citons
-en une qui surprenne en même temps la plupart des
s le Chapitre suivant. 65. Riccoboni s’est trompé. La scene qu’il
cite
n’est pas la dixieme du second acte, mais la quat
ant la période de 1660 à 1670, plusieurs des personnes que nous avons
citées
, d’autres encore, ouvrirent elles-mêmes leur mais
é cette infirmité de distractions continuelles dont madame de Sévigné
cite
des exemples fort divertissants, et dont La Bruyè
tte dame avait de la fortune, une bonne maison, une excellente table,
citée
alors pour son élégante propreté ; qu’elle donnai
première jeunesse se ressentit les distractions de son mari, et l’on
cite
sa réponse à son oncle qui lui disait : Quoi ! to
re mots : « On sait assez ses autres mérites814. » Il est inutile de
citer
autrement que pour mémoire, sauf quelques points
ut reconnaître que notre siècle a mieux apprécié Molière ; et on doit
citer
comme s’étant associés à sa gloire par leurs juge
sens ; son soutien, c’est la conscience. Je ne crois pas qu’on puisse
citer
un devoir grand ou petit, public ou privé, que Mo
re permise, ou doit être absolument défendue. 1694. 806. Il faut
citer
, pour les gens qui n’auraient pas le courage de p
irateurs doivent estime et reconnaissance à tous les auteurs que nous
citons
ici : De Cailhava, De l’Art de la Comédie, 177
62. A. Legrelle, Holberg et Molière, 1864, etc. 818. Il faut
citer
encore La Fontaine, qui dès 1661, dit de Molière
emands, aux Espagnols, que les Français le soient ? Comme exemple, je
citerai
deux axiomes de la critique française, que bien c
réfuter toutes. En voulez-vous quelque exemple ? Si vous dites, pour
citer
une théorie qui jouit aujourd’hui d’une faveur in
sions dans le détail desquelles je n’ai pas le dessein d’entrer. Pour
citer
seulement ici deux noms bien originaux, M. Taine,
s qui ne serait pas venu à l’auteur pour une femme vulgaire. L’auteur
cite
plusieurs exemples de l’urbanité des plus illustr
ique avant de rendre l’âme… C’était le caractère de l’esprit de Rome,
citait
la langue naturelle de la majesté. » L’auteur fi
e, sans les relever. 26. Page pénultième des Mémoires de Dumaurier,
citée
dans le Ducatiana, ire partie, p. 103. 27. Ces
ent me semble aussi clair que celui de Riccoboni me le paroît peu. Il
cite
un exemple ; voyons de bonne foi s’il nous aidera
tes de fables, on doit les adopter comme des modeles, ou du moins les
citer
comme des exemples que l’on peut suivre ». Ricc
rini, ont fait des fables d’action double, on doive les imiter, &
citer
leurs ouvrages comme des modeles qu’on peut suivr
ention ou la mauvaise foi, dans lequel les beautés de l’original sont
citées
avec soin, & les défauts adroitement écartés.
plaisanteries que le Comique Romain a mises dans leur bouche. Je n’en
citerai
que quelques-unes. Mercure. Quelqu’un sent ici q
, si je le voulois, dans cette scene seulement, cent traits pareils à
citer
. Moliere étoit trop au-dessus de son modele pour
e oublier l’époux, en lui débitant des fleurettes que nous avons déja
citées
ailleurs, & qui, n’en déplaise aux amateurs d
me suis connu, Je me suis tout conté comme il est avenu, Jusques à me
citer
la coupe de Pterele ; J’ai mon nom, mon habit, ma
divertissements tirent leur grand prix ». Il n’est pas nécessaire de
citer
Psyché, tragédie-ballet du même Auteur, pour prou
oucher aux beautés solides de la piece. Pour le prouver, il suffit de
citer
le Mariage forcé, l’Amour Peintre, & la Comte
especes de méprises, d’équivoques, & toutes les autres que je ne
cite
point, quoique différenciées par quelques nuances
, une méprise qui ne dure pas long-temps à la vérité, mais qu’on peut
citer
comme un modele, par la vraisemblance avec laquel
oit tout le prix des méprises. En détruisant celle que nous venons de
citer
, il en fait tout de suite naître une autre. Conti
Amphitrion, & de Mercure avec Sosie ; on ne peut pourtant pas la
citer
pour exemple, parceque c’est de dessein prémédité
ser tranquillement celle qu’il aime. La troisieme piece que Riccoboni
cite
comme un exemple très digne d’être suivi, me paro
a, & pour lors plus de comédie. Après avoir prouvé que les pieces
citées
par Riccoboni ne sont nullement intriguées par le
e Henri IV, qui éveilla le talent de La Fontaine ; et qui n’a entendu
citer
ces vers sur la mort de mademoiselle du Périer,
t plus négligé et songe trop à le copier. Dans l’Art poétique, il les
cite
tous deux comme dignes d’éloges dans deux genres
lly, édition de Petitot, t. VIII, pag. 143. L’Écluse, t. V, pag. 282,
cite
en note une réponse du roi au reproche la tyranni
re qu’il est, chacun se pousse à sa maniere. Il m’auroit été aisé de
citer
des traits plus forts, mais je serois devenu moi-
source. Pour prouver ce que j’avance, revenons à deux pieces que j’ai
citées
plus haut. George Dandin s’apperçoit que sa femm
lles. Le digne favori des neuf Muses & d’Apollon, M. de Voltaire,
cite
dans une de ses préfaces une piece Angloise de Wi
en de fort honnête. Pour faire la critique des sujets que je viens de
citer
, & de tous ceux qui lui ressemblent, il me su
ôter ni son talent ni son immoralité de poète anacréontique. Il faut
citer
, pour pouvoir l’admirer et le condamner en même t
urel qu’en sortant du spectacle on aille faire comme eux645 ? On peut
citer
encore le dialogue en musique, la chanson à boire
ous pouvons tous les deux, Si tu le veux, Être comme eux647. On peut
citer
encore le prologue de Psyché : Est-on sage Dans
magnifiques, troisième intermède, sc. III. — Il suffit, je pense, de
citer
, sans faire ressortir ce qu’il y a de monstrueux
cité les pieces dans lesquelles Moliere a satisfait à cette regle, je
cite
celles où il l’a négligée. Autant que je puis m’e
bien loin, finissons de lire la scene des Précieuses que je viens de
citer
plus haut. Scene I. Du Croisy. Il me semble que
en est fou ; c’est son tout, son héros ; Il l’admire à tous coups, le
cite
à tous propos : Ses moindres actions lui semblent
ne doit pas jouer un rôle essentiel dans la piece. Moliere, de qui je
cite
tous les défauts en faveur des jeunes Auteurs que
ttant, pour ainsi dire, la parole des trois poëtes que nous venons de
citer
, s’il se fût borné, dans sa Poétique, à traiter d
par conséquent une esquisse de leurs mœurs. J’observerai cependant de
citer
Moliere plus souvent que les autres Auteurs, afin
je l’ai faite à dessein, pour avoir occasion d’avertir les personnes
citées
dans le courant de cet ouvrage, que je suivrai là
ous l’habit de Médecin, tantôt sous le sien. Nous aurons besoin de la
citer
ailleurs ; faisons voir présentement que Boursaul
ervi. Il ne faut s’emparer que de bonnes choses. 33. Olearius, qui
cite
ce fait, le place sous le regne de Boris Godunow.
ue d’insulter à la religion, il n’est peut-être pas hors de propos de
citer
quelques passages de cette scène ; j’aurai soin d
appeler sur Molière la colère du pouvoir et la vengeance du ciel ; il
cite
avec complaisance d’anciens supplices et semble l
la traduction française a été imprimée à Paris en 1505, et se trouve
citée
dans le Dictionnaire étymologique de Ménage. Les
vieille les portraits de plusieurs personnes vraiment pieuses ; il en
citait
tour à tour six ou sept qu’il montrait comme réun
tuffe n’avait de modèle dans aucune langue et dans aucun théâtre : on
citera
quelques anecdotes, quelques traits épars dans le
ucoup servi à Molière ; mais il n’en rapporte aucune preuve, et il ne
cite
à l’appui de son assertion qu’un discours d’Arleq
us célèbre par la scène du Tartuffe que par tous ses ouvrages ; on ne
cite
plus guère ce burlesque poète que comme le premie
e n’en suis pas moins homme. (Le Tartuffe, acte III, scène 3.) 6. Je
citerai
avec plaisir M. Taschereau, qui a fait des notes
t nécessaire de les signaler en ce moment. Mais parmi celles que j’ai
citées
et dont tout le monde fait honneur à Molière, n’e
. 1. Un précurseur de Racine, Tristan l’Hermite…, p. 508. 2. Je
cite
, mais en en rajeunissant l’orthographe, l’édition
ngtemps exagéré la valeur documentaire de ces Lettres, complaisamment
citées
comme une source, alors qu’elles ne sont en réali
Molière qui ne se trouvent pas dans le Mercure1. Elles valent d’être
citées
ici, comme appendice au texte qu’on lira plus loi
ris lui-même dans les Mémoires de La Serre (1734). Or, La Serre, qui
cite
Mlle Poisson pour le portrait, l’aurait aussi bie
La Serre, qui cite Mlle Poisson pour le portrait, l’aurait aussi bien
citée
pour les autres passages de ses Mémoires, qui ont
assage, il y a loin — comme on voit. D’ailleurs, les frères Parfaict
citent
souvent ces deux lettres, sans les attribuer à Ml
. Zacharie Jacob, né vers 1611. 71. C’est une erreur : Chappuzeau la
cite
formellement comme l’œuvre du tragédien. 72. Il
26 juillet 1690. 241. Antérieur à cette date, puisque Chappuzeau le
cite
en 1674, et qu’il existe une édition de 1670. (Vo
cet ancien Gille ressemble à beaucoup de Gilles modernes, nous allons
citer
le portrait qu’en fait l’auteur du Misanthrope :
ne autre ; je n’en ai ni le temps, ni la patience. 223. La personne
citée
ici serait la comédienne De Brie. 224. On ne sai
partie ; je parie de madame de Maintenon. Entre les sociétés que j’ai
citées
comme formées de la composition de l’ancienne mai
la composition de l’ancienne maison Rambouillet, je n’ai eu garde de
citer
ni l’hôtel de Nevers, ni l’hôtel de Bouillon, ni
s cajoleries de Voltaire pour le grand Frédéric132. Madame de Sévigné
cite
fréquemment La Fontaine dans ses lettres à sa fil
rappelle la versification de Molière. Elle est si connue, que je n’en
citerai
qu’un seul exemple, uniquement pour soumettre mon
et le Roi, et l’usage qu’il en a fait est intéressant et théâtral. Je
citerai
encore une scène d’un ton très-noble et d’une int
rage le meilleur qu’on ait composé sur cette matière, et dont Regnard
cite
souvent des passages et atteste l’autorité. Un de
lus comique, sont la femme contrariante dans la pièce que je viens de
citer
, la veuve du Double veuvage, la coquette de villa
s Femmes savantes dans Molière. Ces pédantes, parce qu’elles savent «
citer
les auteurs et dire de grands mots, » prétendent
s elles n’ont pas la moindre conscience de leur sottise. Parce que je
cite
Les Femmes savantes, à titre d’exemple, je ne vou
st parfois comique sans le savoir et sans le vouloir. Car je pourrais
citer
dans ses farces un certain nombre de facéties où,
ns ses discussions interminables avec l’ennuyeux Philinte84, et, pour
citer
encore une fois, une dernière fois, Les Femmes sa
ions, tous les exemples, sont du disciple de W. Schlegel. Lui-même ne
cite
jamais rien. 72. Le Malade imaginaire, acte III
individu. — Douzième leçon. 88. Nous avons déjà dit que Schlegel ne
cite
rien. Il faut trouver des exemples pour toutes se
ment par le public. — Douzième leçon. Cette anecdote est fausse. Nous
citons
M. Taschereau, « Ce petit trait d’histoire littér
; en faisant desirer d’autres scenes. Telle est celle que je viens de
citer
, & que j’ai promis de rapporter lorsque j’aur
qui commence à se lier, qui sera moins filée que celles que j’ai déja
citées
, parcequ’il le faut, par des raisons que je dirai
rand Seigneur. Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne
cite
jamais que Duc, Prince, ou Princesse. La qualité
ourberies de Scapin. Nos lecteurs à qui le petit écrit qu’on vient de
citer
, peut-être inconnu, seront bien aises de trouver
amp; vous en trouverez tant d’exemples, que je puis me dispenser d’en
citer
. « Ils bannissent la monotonie d’une piece qu’un
: il resta une minute en suspens ; mais il applaudit enfin. Je ne le
cite
que parceque je ne vois pas un exemple ailleurs.
ux, le troisieme trop libre ; mais le quatrieme, que je n’ai fait que
citer
, est scandaleux : c’est pourtant celui que les Mo
es théâtres particuliers, ou dans le pays étranger ». Il faut donc en
citer
une qui l’ait été sur le théâtre de Paris ; quoiq
te seule du titre. Tous les théâtres fourmillent d’exemples ; je n’en
citerai
qu’un, parceque nous avons déja traité cette mati
it avec vivacité : Ah ! si dans ce pays j’avois un coin de terre ! Il
cite
avec vénération Locke. Pas un mot qui ait rapport
nt pas vieilli depuis deux siècles, dont la vertu a été aussi souvent
citée
que sa grâce et son esprit, n’est pas moins un ho
amusements. » Avant les hôtels d’Albret et de Richelieu, j’aurais dû
citer
en première ligne les cercles de mademoiselle de
lles applaudies : mais des coups de force pareils à celui que je vais
citer
, seroient ridicules si une soubrette les faisoit.
mal-adroit. Je m’empresse d’avouer que l’idée de la scene que je vais
citer
appartient à Plaute 33 : c’est pour cela que j’en
probité qui surprennent peu les honnêtes gens ; celui que je viens de
citer
n’est pas de ce nombre. Il pourra étonner les hom
la manie de quelques individus, c’est le préjugé à la mode, Qu’on me
cite
des pièces historiques, des mémoires particuliers
deux éditions publiées en 1688 et 1690, conséquemment avant sa mort,
citées
par Bayle30 et par Joly31, la reconnaît aussi pou
sa naissance jusqu’à sa réunion avec sa mère. 20. Vie de la Guérin,
citée
par Bayle et Joly. 21. Histoire de la noblesse
aurait -cité la jeune actrice à titre de curieuse exception, comme on
cite
Mlle Beauval, sa camarade de théâtre10. » Ces id
l’adolescence de Molière ne s’écoula point dans cette maison. M. Vitu
cite
en effet divers baux desquels il résulte : 1° Que
atement la mort de Pocquelin père, arrivée en 1669 : le premier qu’il
cite
parmi ceux qui sont postérieurs à ce décès porte
exprès, l’accusation d’adultère ; et, pour mieux prouver son dire, il
cite
la date des infortunes de Molière et le nom de qu
n Pologne. Une lettre de lui au chancelier Séguier, et que nous avons
citée
dans notre édition de la Fameuse Comédienne, en e
expliqué là-dessus il y a déjà longtemps, et l’on me permettra de me
citer
moi-même ; on va voir que, M. Livet et moi, nous
uis Moland dans sa récente biographie de Molière, mais on en pourrait
citer
bien d’autres19. X. Les autographes de Molièr
Et moi aussi j’en connais : Il en est jusqu’à trois que je pourrais
citer
. Le premier consiste en trois lignes écrites sur
i sujette a caution. Son titre est un peu long, mais il importe de le
citer
en entier : Devis que Jean Pastel et André Maziè
des questions. L’auteur m’a, en maints endroits, fait l’honneur de me
citer
, pour m’approuver ou me combattre, deux preuves d
ché pendant long-temps ce que signifioit la tirade que nous venons de
citer
; à la fin je pense l’avoir deviné. L’Auteur a vo
nt trop longues pour être rapportées en entier ; mais nous pouvons en
citer
quelques traits. Dans la piece de Blanchet, Patel
ntredit, du mérite dans le Muet ; mais nous nous garderons bien de le
citer
comme un modele d’imitation ; les divers matériau
ement d’eunuque. Il y a une infinité de choses contre nature, je n’en
citerai
que deux. Est-il naturel que le Baron, bête comme
tausier pour l’original de son misanthrope. « En considérant, — nous
citons
M. Rœderer, — la position de Molière, et le plais
ie: de Molière, 2e éditions Paris, Techner, 1857, p. 143. Aimé-Martin
cite
avec complaisance tous les traits du caractère de
portée de ce document au profit du sujet qui nous occupe ; nous ne le
citons
ici que comme un curieux rapprochement. Voir Sain
gai rayon de soleil, En me créant — si j’ose, après un nom pareil Me
citer
— n’a jamais, quoi qu’on dise ou qu’on fasse, Mis
eux qui aiment le bon rire, le bon sens et la loyauté. Bornons-nous à
citer
le nom d’un des plus distingués d’entre eux, M. J
» n’ait pas trouvé place dans le hollandais de madame Pernelle. Pour
citer
un dernier détail, la jolie anecdote de la puce a
rraient élucider la question. Cependant, à part les lignes de Somaize
citées
plus haut, on ne sait rien de cette pièce, si ce
ageller du fouet de la satire les méchants poètes, et qu’il se plut à
citer
ironiquement leurs mauvais vers. Si complète que
z-moi ce mot moderne, qui me semble le terme juste), le grand Comique
cite
aussi des ouvrages ridicules de son temps auxquel
e Molière n’ont pas seuls l’honneur d’être nommés dans ses œuvres. Il
cite
parfois, et par leur nom, les grands hommes conte
t pas prononcé dans les œuvres de Molière, mais une de ses fables est
citée
, dans Le Malade imaginaire, à côté d’un conte de
plus loin : parmi les grands hommes de son siècle, il en est un qu’il
cite
volontiers, et celui-là c’est… Molière. Philinte
e autre fois à te jouer à la Faculté. » Au reste, cette audace de se
citer
soi-même a trouvé au moins un imitateur illustre
rtiennent au répertoire des ballets de Gaston d’Orléans. Il suffit de
citer
la douzième entrée du Ballet des Vrais Moyens de
bjet de fructueuses recherches. Galibert, dans ses Pérégrinations, ne
cite
qu’un petit nombre de localités où la troupe de l
ifier ce qu’il y a de plus incontestablement français. Or, qu’on nous
cite
un seul article où respire ce respect des aïeux l
du bric-à-brac archéologique ! » Voilà ce qu’on a pu lire, et je ne
cite
qu’un de nos lundistes. — C’est ainsi que le pres
démasquer le héros. Dans cette même piece du Joueur, que je viens de
citer
, nous voyons une Comtesse & un Marquis très s
er ce proverbe ! Rappellons nous seulement celles que nous avons déja
citées
, afin de prouver par-là même, qu’en manquant dans
de l’Auteur de l’Art Poétique ; & depuis long-temps les François
citent
le Misanthrope comme l’honneur de leur Scene Comi
s personnes, qui trouvant ce passage dans le volume que l’on vient de
citer
, pourroient l’altérer dans leur récit, & donn
Henriette devienne sans effort la digne Elmire ; car on ne peut guère
citer
comme modèle d’épouse, malgré la grâce et la chas
s qualités et des défauts contradictoires : toutes les entremetteuses
citées
plus haut410 ont trop peu de conscience, et trop
sants. Nous avons déjà rencontré celui de Cocodrillo ; nous pourrions
citer
encore les noms de Matamoros, Fracassa, Rodomonte
), nom emprunté sans doute à ses rôles de théâtre. Isabelle peut être
citée
comme un exemple de la considération et des honne
r profit, aucune de leurs partitions n’étant restée. M. Eugène Sauzay
cite
l’ouvrage de Justin Cadeaux, « représenté à l’Opé
en est fou. C’est son tout, son héros : Il l’admire à tous coups, le
cite
à tous propos. Ses moindres actions lui semblent
rand seigneur. Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne
cite
jamais que duc, prince ou princesse. La qualité l
! Jamais on ne le voit sortir de sa splendeur. Jamais on ne l’entend
citer
que sa richesse. Ses fermes, ses chevaux, et sa
Foreign Quarterly Review et de l’Athenœum de la même époque, que nous
citions
tout à l’heure : il constate que les œuvres du po
tiste Poquelin, les cours du collège de la rue Saint-Jacques, il faut
citer
Armand de Bourbon, prince de Conti, frère du gran
ir un caractère marqué de libre esprit. Le groupe dont nous venons de
citer
les noms se distingua en effet par une indépendan
idi. Ce qui a donné lieu à cette conjoncture, c’est la phrase partout
citée
de Tallement des Réaux :« Un garçon nommé Molière
ec l’auteur de L’Hôpital des fous et de trois ou quatre autres pièces
citées
dans L’Histoire du Théâtre français des frères Pa
ne Mareschal, avocat en notre cour de Parlement ». Mais M. G. Monval8
cite
un marché authentique passé avec Pierre Rocolet i
est appelé maître André Mareschal, avocat en la cour de Parlement. Il
cite
encore la « Chrysolite ou le secret des romans, p
était enrôlé dans la jeune troupe. Les historiens du Théâtre Français
citent
au moins onze pièces de ce poète antérieures à 16
tait donc bien fait pour lui, et les quatre pièces que nous venons de
citer
furent, selon toute apparence, représentées par M
ristan l’Hermite auteur de La Mort de Sénèque et de La Mort de Crispe
citées
ci-devant était attaché à la maison de ce prince.
refour Buci, dans un jeu de paume dit de la Croix-Blanche ? Grimarest
cite
le jeu de paume de la Croix-Blanche, mais sans pa
… Mais il ne parle pas non plus du jeu de paume des Mestayers, il ne
cite
que deux stations ; on pourrait croire qu’il en a
t représenté les ouvrages pendant leur établissement à Paris, il faut
citer
Jean Magnon, M. Magnon, un des favoris du Parnass
es provinciales qui passaient pour les plus complètes, et que Scarron
cite
au commencement de son Roman. Cet ensemble de fai
, stances. Tout le monde a dans la mémoire les belles stances souvent
citées
: Marquise, si mon visage À quelques traits un p
traduit parla violence ; et le seul trait d’offense brutale que l’on
cite
fut sévèrement réprimé, quoiqu’il eut pour auteur
l’homme du monde qui se faisait le plus servir. »Quoique ce biographe
cite
à ce propos une anecdote qui a bien l’air d’une s
esser les autres. Chapelle en parlait bien à son aise. Nous venons de
citer
la dernière partie de cette lettre curieuse. Le c
e l’Église, et qui parut après sa mort (1667), L’École des femmes est
citée
comme une œuvre licencieuse et offensant les bonn
au-Despréaux et Louis XIV. Boileau lui adressa les stances si souvent
citées
: En vain raille jaloux esprits, Molière, osent
le 19 janvier audit an. Signé : Colombet. Nous n’avons pas fini de
citer
les pièces que fit naître L’École des femmes. Il
ts et ne craint pas de devenir sa victime. Combien ne pourrait-on pas
citer
de tels personnages qui sont, non pas du domaine
ualité d’offenseur, aurait conservé une plus longue rancune. Son fils
cite
de lui, il est vrai, une noble réponse à quelque
t si bien faire. Molière. Enfin, un ami de la maison qu’il nous faut
citer
encore est ce « fort honnête médecin dont Molière
er à Louis XIV, sous les murs de Lille, le placet dont nous venons de
citer
quelques lignes et qui se terminait par ces mots
composée aussi la singulière rapsodie que nous avons eu l’occasion de
citer
à plusieurs reprises ; Élomire hypocondre ou les
llusion dans les paroles rapportées par Grimarest, et que nous allons
citer
tout à l’heure. Peut-être aussi Louis XIV, qui av
Une épitaphe qui paraît être du même auteur, et que M. P. Lacroix a
citée
dans le Bulletin du Bibliophile (novembre-décembr
ait attiédi, prit sa revanche dans l’épître à Racine (1677), à qui il
cite
, pour le consoler des injustices qui ne lui étaie
apel, le roman de Francion. Scarron, et Plante surtout, qu’on ne nous
cite
pas ? Nous apprenons que Molière avait deux cent
ne du Malade imaginaire (la leçon de chant) que Célinde vient de nous
citer
, poursuivit Bérélie, n’a-t-elle pas toujours eu s
des Femmes, et dans le rôle d’Antiochus, de la Bérénice de Racine. On
cite
de lui un trait qui prouve son courage, En 1678,
Troupe du Roman comique dévoilée, par H. Chardon, p. 13. 83. Nous ne
citons
pas textuellement, nous résumons la pensée de l’a
ale ; sinon c’est un défaut essentiel. Dans l’exemple que je viens de
citer
des Femmes Savantes, ce que fait Clitandre tient
entr’acte est donc bon ; & par la même raison, celui que je vais
citer
est mauvais. L’AVARE. ACTE I. Scene X. Harpagon.
’amener la jalousie d’un rival qui ne veut plus épouser Aurora. Je ne
citerai
aucun exemple des pieces intriguées par une lettr
Poisson, se présente la premiere à mon imagination, & je vais la
citer
pour exemple. Ariste, jeune Procureur, se fait u
r le sens commun. Il est aisé de leur prouver le contraire ; & je
cite
le Joueur de Regnard. Je demande d’abord ce qu’on
u d’un amour mal assorti, & de ses ridicules. Nous pouvons encore
citer
la Pupille de Fagan. Une jeune personne sort du c
conville qu’après 1670, puisque l’ouvrage, peu connu, que nous allons
citer
, le désigne comme tel et le met en présence de Fr
1816, le laissa ainsi que nous l’apprend Beffara dans sa lettre déjà
citée
, « détruire et employer dans les bâtiments de la
e chausses et un manteau olive, doublé de vert. Nous pourrions encore
citer
les costumes des Fâcheux, des Femmes savantes, de
ci maintenant son pendant identique, que je tire des Fâcheux. Je puis
citer
cette scène : ce n’est pas un de ces fragments de
ntérêt. « Plusieurs écrivains » dit encore M. René Delorme, que nous
citons
toujours avec plaisir, « se sont élevés contre le
sola Cortesi ; sa signature placée au bas d’actes authentiques que je
citerai
tout à l’heure, est Orsola Coris. Le roi Louis XI
uve à Paris, chez Picard, 82, rue Bonaparte, au prix de 5 francs. 4.
Citons
encore – seulement en ce qui touche le théâtre –
nis, en face de la rue des Bons-Enfants. 48. M. Eugène Despois les a
citées
dans son Théâtre français sous Louis XIV, mais en
peut-être pour les deux Écoles. 53. Archives de la Comédie-Française
citées
par M. René Delorme, Musée de la Comédie-Français
t ans. Boileau trouvait ses élégies d’un agrément infini, Voltaire la
cite
dans Le Siècle de Louis XIV comme célèbre. C’est
te question : Ces reconnoissances si belles, si sublimes, que vous me
citez
, sont-elles dans une tragédie bourgeoise ou de qu
i difficile de rendre une reconnoissance bien comique, que je ne puis
citer
pour exemple le pere de la bonne comédie, Moliere
e. 7. Voir la Préface des Deux Sœurs de M. E. de Girardin. 8. On ne
cite
ici que ceux qui ont parlé de Molière à ce point
déclaration celle de la Critique de l’École des Femmes, sc. VII, déjà
citée
p. 4, note 1. On retrouve les mêmes idées dans le
nt pour elle : nous avons déjà cité Fatouville, Regnard et Dufresny ;
citons
encore Palaprat, Lenoble, Boisfranc, Mongin, Delo
oin. On ne sait pas ce que ces messieurs-là peuvent devenir un jour.
Citons
encore la scène du prêt, où le notaire La Ressour
tel siècle. Il y a peu de poètes comiques contemporains de Molière à
citer
à côté de lui. Corneille, avant d’avoir composé s
les mêmes. Celui des deux auteurs qui a copié l’autre devait du moins
citer
sa source. Ce fut assez longtemps après la mort d
ue chose de particulier. En fait de chefs-d’œuvre du haut comique, on
cite
encore deux ouvrages isolés de deux poètes qui, s
ement à la musique, il est dû à un véritable mérite poétique. Pour ne
citer
qu’un exemple entre plusieurs, je ne puis m’empêc
rendre plus intelligible, j’aurai recours à ma méthode ordinaire ; je
citerai
des exemples. Dans le Tartufe, Elmire tente en va
dre les mœurs de notre société à ses divers âges. Je ne veux que vous
citer
, en terminant, quelques traits qui puissent vous
toile les saisissantes représentations des mystères. Ainsi, pour n’en
citer
qu’un exemple, Vous connaissez certainement, au m
cette fois avec son berger qui lui a dérobé ses moutons ; il le fait
citer
devant le juge. C’est alors qu’a lieu cette incom
sont renfermées dans ce qui précède. Toutes les femmes que nous avons
citées
étaient honnêtes, spirituelles, aimables, de bon
ont-ils pas. Athalie, Le Bourgeois gentilhomme, Le Légataire, pour ne
citer
à nouveau que ces trois-là, nous répondent heureu
jeune premier qui atteint déjà la seconde jeunesse.je ne vois guère à
citer
que M. Kéraval et peut-être M. Barral ; derrière
ne la pluralité des genres, ceux qui y sont intéressés, ne cessent de
citer
cette sentence. C’est fort bien fait à eux : les
ire remarquer qu’il y a un grand défaut dans la piece que je viens de
citer
, & que ce défaut est très ordinaire aux piece
: on y ajoute souvent des critiques injustes de leurs Ouvrages ». Il
cite
pour exemple de ce mauvais goût, l’Edition de Rac
n comique que je vais décrire à mon tour. Parmi les modernes, il faut
citer
M. Charles Magnin pour son Histoire des marionnet
voulut copier dans cette fête royale ; quelques-uns des noms que l’on
cite
, Colas, maître Philippes, n’ont point une physion
nu de tous ». « Il n’est pas d’apprenti, ni de domestique — ici nous
citons
textuellement l’écrivain autrichien — qui ne sach
qui sont de tous les pays et de tous les temps. « Nous nous bornons à
citer
, entre autres figures : Tartuffe, l’avare Harpago
la mode, qui rimait l’actualité comme on la chronique aujourd’hui, ne
cite
jamais le nom de l’auteur nouveau, et lorsqu’enfi
, ce n’est pas celui de Mlle Paul Poisson, fille de Du Croisy, que je
citais
dans une note du chapitre premier, c’est le portr
e telles perspectives, ne sont pas rares dans son œuvre, et pour n’en
citer
qu’un, le monde moderne, épris d’égalité, ne doit
, demoiselle), tragédienne, comédienne et danseuse. — M. Ch. Louandre
cite
le Mercure de France de 1740, qui dit qu’elle fai
outes ces personnes jouèrent quelque rôlet çà et là. Puis on pourrait
citer
les personnages de la cour et de la noblesse qui
déterrer encore du nouveau ! 1. Anecdote contée par M. Auger et
citée
par M. Paul Albert. Cette opinion humouristique d
ble, cruelle et charmante comédie, où Arnolphe égale Othello. 33. Je
cite
ce mot qui n’a rien d’authentique, qui est antéri
rd (p. 641) une note sous forme de lettre, qu’il est peut-être bon de
citer
ici : Molière copiste. — « À Monsieur Quérard.
le comique grossier avec le bas comique. Dans la scene que nous avons
citée
, voilà ton demi-cent d’épingles de Paris, est du
e sois véritablement content ». J’ai dit qu’il étoit généreux, je ne
citerai
qu’un trait pour le prouver. Un pauvre lui ayant
aux : il aura toujours quelque passage d’Aristote à la bouche : il le
citera
en toutes sortes d’occasions, & pour toutes s
amp; cela ne leur paroît pas vraissemblable. Je ne puis m’empêcher de
citer
ici un trait admirable de la comédie du Tartuffe,
voyageant dans la France ont été soigneusement conservés. Les érudits
citent
respectueusement Les Docteurs rivaux, Le Maître d
sévères nomment des farces ; et, à ce propos, on ne manque jamais de
citer
ces deux vers de Boileau : Dans le sac ridicule
rait rire des pierres. » Indépendamment des rôles que nous venons de
citer
, Brécourt jouait supérieurement ceux de l’Avare e
ragique, et le noble comique. Parmi les rôles de ce dernier genre, on
cite
celui d’Agnès de L’École des Femmes, qu’elle rend
er loin pour trouver des exemples. Mais il y a long-temps que nous ne
citons
que des comédies françoises, transportons le Lect
se cache, Et qu’elle ait du savoir, sans vouloir qu’on le sache, Sans
citer
les Auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer
lacer à propos, & de façon qu’elles tiennent, comme celles que je
cite
, au sujet, à la scene & aux caracteres des pe
ue les vendanges réunissent, le titre est donc bon. Il est inutile de
citer
un plus grand nombre de mauvais titres : le lecte
liées lorsqu’on pouvoit placer les chœurs dans l’intervalle, & ne
citer
en conséquence que des exemples tirés du Grec. Je
suit celle d’Eraste & de Lucinde, est dans ce cas ; je l’ai déja
citée
ailleurs. Baron a évité, dans son Homme à bonne
iolent, professée par ceux qui la contredisent en théorie et en fait.
Citerai
-je Voltaire, exhortant les Français à s’élever au
qu’il ne pût légitimement s’appliquer à lui-même. Je me permettrai de
citer
enfin le Chevalier écrivant dans son Étude : Les
frère de l’habile critique que le Chevalier et moi nous aimons tant à
citer
, M. Frédéric de Schlegel a fait un drame intitulé
phique ; article Art dramatique. 342. Lettre de Voltaire à La Harpe,
citée
dans le Journal des débats du 23 avril 1865. 343
nglais. 371. XIXe Lettre sur les Anglais. 372. M. Lysidas aurait pu
citer
encore en France La Bruyère disant dans son Disco
et qu’on retrouvera moins dans Molière à mesure qu’il avancera. Hugo
citait
avec ravissement, et j’estime qu’il avait raison,
lesse ! La langue de Rabelais n’est pas plus vivante ! » Il aurait pu
citer
d’autres passages. L’Étourdi, qui est resté au th
rre que Ton rencontre ce délicieux complet d’élégie que les critiques
citent
partout sans créer, ce semble, dire qu’il est de
Misanthrope : Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne
cite
jamais que duc, prince ou princesse : La qualité
pas. Victor Hugo estimait beaucoup L’Amour peintre et il aimait à en
citer
les premières lignes qui sont en effet d’un joli
est dans les intermèdes ; comme on ne les lit jamais, j’ai tenu à le
citer
comme page inconnue de Molière. En vérité, je ne
rand seigneur ; dans le brillant commerce il se mêle sans cesse et ne
cite
jamais que duc, prince ou princesse. » Et l’on vo
ue. Avec Voltaire je regrette que ce soit cette pièce que Boileau ait
citée
comme type du bas comique où il n’aurait pas voul
que les drogues sont dangereuses (ce qu’on omet toujours quand on le
cite
oubliant que c’est la base même de son raisonneme
l’a épousée sans qu’elle y consentît, et avant les paroles qu’on nous
cite
et qu’on nous cite comme la pensée centrale de la
’elle y consentît, et avant les paroles qu’on nous cite et qu’on nous
cite
comme la pensée centrale de la philosophie de Mol
aurait fait le succès de la pièce ; ensuite que de cette scène, qu’il
cite
sans doute de mémoire, il oublie tout l’essentiel
ssentiel ? Car s’il n’y avait dans cette scène que ce que Voltaire en
cite
, il n’y aurait qu’une raillerie irréligieuse de l
t la curiosité, la vanité et le désir éperdu d’être quelqu’un dont on
cite
le nom dans les cercles et les ruelles, avec l’am
plus souvent de l’engrener avec une pleine et parfaite solidité. J’en
citerai
pour exemple précisément cette phrase : « Et lors
qu’enfin elle est un des modèles de la phrase du xviie siècle. J’en,
citerai
, comme exemple encore, les périodes de Cléante au
et qui se termine par « ne fût point ce qui me les donne » et que je
cite
plus loin pour un autre objet. Je ne vois guère d
les sont celles de presque toutes les pieces anciennes que nous avons
citées
. Cinquièmement, les frippons d’Athenes, & tou
il s’agit ici des pieces intriguées par des noms, & vous ne nous
citez
que des bouts de scenes amenées par des noms ». J
e de la révolution, le théâtre a eu des comédies très remarquables. —
Citez
-les, me dira-t-on. — Jouez-les d’abord, vous répo
n rêvant, mais je vous aime avec étude et de tout mon sens. Enfin, on
citait
comme locution précieuse, cette modeste phrase :
r répondre à ceux qui le consultent sur le leur, on se rappellera, on
citera
le mot : Vous êtes orfèvre, monsieur Josse : c’
s axiomes, ou des plaisanteries dans la bouche de ceux qui savent les
citer
à propos. Bien que Molière, dans la farce du Fago
dans son Art poétique, et qu’enfin Mmede Sévigné elle-même, toujours
citée
parmi les rares esprits de son temps qui paraisse
ura le tabouret. Autour des trois grands écrivains que nous venons de
citer
s’en groupent d’autres, bien considérables encore
même piece de George Dandin, & dans la même scene que je viens de
citer
, le héros dit à M. de Sotenville : Oh bien ! vot
de cette époque, beaucoup de noms illustres et d’œuvres remarquables.
Citons
l’Arioste, le cardinal Bibbiena, Machiavel, Ruzza
dans une position plus qu’équivoque. Voici la scène que nous voulons
citer
: BARRA. Que ferons-nous de ce domino magister ?
’ici il raisonne juste, Rousseau déclame, comme toujours, et je ne le
cite
qu’à cause de son nom. Bossuet, appuyé sur saint
u galimatias « inconcevable » des Précieuses. Tous les exemples qu’il
cite
ne paraîtront pas également effrayants. — « Ce fu
st que trop malaisé de se refuser quelque chose. » Il faut se borner.
Citons
encore pourtant ces grandes paroles : « Terrible
suivant l’usage, par un compliment au roi. Il n’est pas inutile d’en
citer
quelque chose. J’ai entendu amèrement critiquer l
pût pas, le voulût-on, s’y méprendre. Presque tous les exemples qu’il
cite
et qu’il accumule s’appliquent au roi. Comme s’il
udition si vantée lui fournit d’autres traits non moins décisifs : il
cite
l’exemple des Espagnols, « qui ne célèbrent guère
et qui contient tous les autres, s’attaque au passage que je viens de
citer
. Il prend soin d’abord d’en élaguer, sans rien di
e premier en mérite des écrivains célèbres nés à Paris. Après lui, on
cite
Regnard, qui vint au monde sous les piliers des H
u près. Il existe entre eux un air de quartier, un air de famille. On
cite
encore, parmi les Parisiens, Rutebeuf et François
ns" qui avaient vu le Tartuffe et qui l’avaient trouvé profitable, en
cite
Ninon. Le commentateur Bret qui fut l’Aimé-Matin
crois mes lecteurs de mon sentiment sur les exemples que je viens de
citer
, je vais leur avouer mon secret, & leur dire
caractere vicieux est principal, comme dans l’exemple que je viens de
citer
. « La premiere scene du Misanthrope est cependant
ion d’Amphitryon. Mademoiselle de Montpensier rapporte à la page déjà
citée
que peu après les propos dont elle réprimanda Mon
Lucien, de Longin et des autres célèbres auteurs. Leurs textes qu’il
citerait
, seraient les ornements de son livre. En ne prena
uge du plaisir qu’il y prend ? » Il ajoute (hélas ! il faudrait tout
citer
de cette rhétorique en action) : « J’ai remarqué
rti, par rapport à M. Oronte, dont il est, dit-il, amoureux. Qu’on me
cite
, chez les prétendus rivaux de Moliere, une piece
141. § 35. 142. § 35. Gargantua, l. Ier, c. xxii. 143. Fischart
cite
jusqu’à 586 jeux d’enfants et de société, que j’a
à réparer, ou les erreurs que j’ai fait disparaître, je me hâte d’en
citer
quelques exemples. Désirez-vous connaître l’origi
e fera trouver grâce pour les deux ou trois exemples qui me restent à
citer
. Voici le premier : Dans la scène v de l’acte IV
point aussi incomplets que pourrait le faire croire cette phrase déjà
citée
: Grimarest ne savait pas même ce que tout le mo
rait rire des pierres. » Indépendamment des rôles que nous venons de
citer
, Brécourt jouait supérieurement ceux de l’Avare,
tragique et le noble comique. Parmi les rôles de ce dernier genre, on
cite
celui d’Agnès de l’Ecole des femmes, qu’elle rend
e, peu connue, écrite en 1724. Nous aurons plusieurs fois occasion de
citer
cet ouvrage, dont le rédacteur avait recueilli de
était gentilhomme, et il avait été page du duc de Guise. Chapuzeau le
cite
comme un excellent comédien. (Voyez Chapuzeau, li
evoir par soi-même n’est pas donné à tout le monde. Là-dessus il nous
cita
Léontium (Ninon), comme la personne qu’il connais
et Benserade, de chagrin, avait fait la plaisanterie que je viens de
citer
. Molière, pour s’en venger d’une manière nouvelle
e font plaindre ; ils renferment des pages excellentes, dignes d’être
citées
; et ses poésies légères, aujourd’hui oubliées, o
u’on en peut savoir ; aussi peut-on se fier à son exactitude quand il
cite
des dates ou des faits positifs. Mais quand il s’
des points douteux et sujets à contestation ; quand il faut non plus
citer
mais juger, on doit se défier de lui ; il vise av
vulgaire et que les biographes qui l’ont précédé1. » Nous pourrions
citer
à l’appui de ce jugement si fondé une foule d’ass
a les emprunter en 1837, pour cette même édition, dont nous venons de
citer
une note, et les donna comme une trouvaille de so
m, s’appelait réellement Dominique. Quant à Scaramouche, que Voltaire
cite
également comme ayant changé le sien par égard po
storique du même temps, les Mémoires du cardinal de Retz. Nous devons
citer
surtout, pour donner une juste idée de l’innocenc
de La Croix, dissertations dialoguées et non représentées, qu’il faut
citer
tout de suite pour clore cette longue liste de ré
c’est une affaire résolue63. » Dans ce même récit des fêtes que nous
citions
tout à l’heure, à l’occasion du Tartuffe dont les
e macaronique du Malade imaginaire. Tallemant, dans ses Historiettes,
cite
aussi une demoiselle Honorée de Bussy, belle et g
die Qui fait que, dans Paris, tout court au Médecin. Nous aurions pu
citer
, dans le nombre des personnes que Molière fréquen
érateurs comme l’essai heureux d’un genre frais et animé. Voltaire la
cite
comme un modèle de grâce ; Bret y voit le type de
e Platina intitulé De honesta voluptate, imprimée à Paris en 1505, et
citée
par Le Duchat dans son édition du Dictionnaire ét
hypocondre ou Les Médecins vengés, que nous avons déjà eu occasion de
citer
. Le nombre démesuré de personnages qui y figurent
nnaître sa vie et les mœurs de son siècle, nous n’avons besoin que de
citer
une seule phrase de La Bruyère : « Roscius, dit-i
uraient pu être passés en revue dans ce tableau. Il nous a fallu n’en
citer
qu’un petit nombre ; ne dire que quelques-uns des
ant de sa femme, « mademoiselle La Fontaine ». Nous pourrions encore
citer
pour preuve les Satires sur les femmes bourgeoise
M. Harpin, bien arrondi, s’appelait Turcaret. 87. Ce que nous allons
citer
se trouve pages 118-125 d’un appendice commençant
r qui l’a fait travestir. Mais l’action des scenes que nous venons de
citer
est moins rapide que celle de l’Italien. Le valet
101. Lettres, édition de 1778, t. I, p. 100. 102. Les commentateurs
citent
le duc de Villars. 103. Elle le remercie plus ba
» M. de Beausset se fonde sur les Mémoires de Saint-Simon, et il en
cite
l’extrait suivant : « Bossuet était un homme don
raissait aussi plus ingénieux dans la Scène et dans le jeu du Moi. Il
citait
même un vers de Rotrou, qu’il prétendait plus nat
ragique, et le noble Comique. Parmi les rôles de ce dernier genre, on
cite
celui d’Agnès44 de L’École des femmes, qu’elle re
olière devait au Théâtre Italien l’idée de sa Comédie du Tartuffe. On
cite
un canevas très-ancien, dont on dit que notre Poè
s’entendait pas plus lui-même, qu’il n’était entendu des lecteurs. Il
citait
par exemple de ce dernier genre de Galimatias, ce
70. Rotrou, 1647, La Sœur : comédien en 5 actes et en vers. La scène
citée
dans cette anecdote est la scène I de l’acte I.
est incomplète; plus d’une sorte de comique n’y rentre pas. Pour n’en
citer
qu’un exemple, la comédie peut exciter sans doute
là il avait atteint au lyrisme comique. Un critique que nous aimons à
citer
, parce que de tous les critiques français moderne
fournit la preuve, lorsqu’il dit, dans le passage que nous venons de
citer
, que dès la première représentation on revint du
a tragédie de Racine, fait à la princesse Cléophile; elle est souvent
citée
comme un exemple de ce bel esprit dans lequel Rac
otties n’ont pas davantage oublié le faux dévot. Il existe, pour n’en
citer
qu’un exemple, une pièce intitulée, La Farce des
exemples fameux ne me manqueraient pas. TRISSOTIN. Vous en pourriez
citer
qui ne concluraient guère. CLITANDRE. Je n’irais
re du dimanche. Rien de semblable dans les beaux vers que je viens de
citer
. Ici l’image c’est l’idée même, l’idée qui est de
de en pitié tout ce que chacun dit ; ces femmes savantes, qui savent
citer
les auteurs Et clouer de l’esprit à leurs moindre
ier à parler le langage de l’église et de l’Évangile. Les faux dévots
citent
avec componction les saintes Écritures. Ce trait
▲