sque, la veille, il avait dit à Flaminio que Virginia était sa femme,
celui-ci
voulait l’appeler en duel. Il lui avait offert, a
, quanto io son vergine ). Elle sollicite la générosité de Flaminio ;
celui-ci
lui remet une chaîne qu’il lui rachètera prochain
t que Ricciardo lui a fait dire qu’il veut lui parler. Il tremble que
celui-ci
n’ait découvert la supercherie dont il a été vict
Fabio, Zucca. Fabio reproche à son valet la facilité avec laquelle
celui-ci
a fait des révélations. Le valet s’excuse par la
disait. Alors Tebaldo l’a prié de pardonner au seigneur Pandolfo, si
celui-ci
lui a fait jadis quelque tort. Après avoir reçu s
t si terrible. Ricciardo répond qu’il attend Tebaldo, et que, dès que
celui-ci
sera venu, Fabio aura le mot de l’énigme. scène
rochaine. Fabio fait confidence de ce billet à son père Ricciardo, et
celui-ci
à Pandolfo. Les deux vieillards se cachent dans u
u prince Rodrigue) est du poète florentin Giacinto-Andrea Cicognini ;
celui-ci
aurait lui-même, pour cette pièce comme pour la p
de l’appartement de Julie, il est jaloux du Marquis, il bat Pasquin ;
celui-ci
veut parler, son maître met l’épée à la main pour
e, les héros se peindre par des actions aux yeux du spectateur : dans
celui-ci
, Moncade nous apprend qu’il est jaloux ; mais tou
cade, elle a son portrait qu’elle admire aux yeux du Marquis, quoique
celui-ci
soit amoureux d’elle : non contente de lui faire
mariage de son maître avec la fille de Chrémès : il apperçoit Simon.
Celui-ci
l’appelle ; Dave feint de ne le voir pas & de
on de son fils, & le résultat du conseil qu’il a tenu avec Dave :
celui-ci
exhorte tout bas son maître à surprendre son pere
ient. J’aime que Dave impatiente quelque temps le vieillard, lorsque
celui-ci
a la plus grande envie de le faire parler : j’aim
rdonné. Simon prend tout cela pour des faussetés imaginées par Dave :
celui-ci
tâche de gagner sa confiance, en lui disant que l
us se plaint à Pamphile du tort qu’il lui fait en épousant Philumene.
Celui-ci
jure que c’est malgré lui. Mysis annonce à Pamphi
, qui prie son pere de faire délier Dave. Charinus cherche Pamphile ;
celui-ci
croit à l’immortalité des Dieux, parcequ’ils font
à Baron imitateur dans un genre à-peu-près égal à Destouches, lorsque
celui-ci
fait entrer dans le Philosophe marié, son portrai
auvais parti. Il veut obliger Sganarelle à se revêtir de ses habits ;
celui-ci
n’en veut rien faire, & lui conseille de cher
qui représente le mort, & dit à Sganarelle de l’inviter à dîner.
Celui-ci
rit de la bizarrerie de cet ordre, & l’exécut
demain. Don Juan promet de se rendre à l’invitation avec Sganarelle ;
celui-ci
, qui meurt de peur, jure de n’en rien faire. Act
uis approche. Don Juan dit à son valet qu’une bonne fortune l’attend.
Celui-ci
veut lui faire des réprimandes, mais il est bient
ercie le Prince. Don Juan est aussi arrivé en Castille avec Arlequin.
Celui-ci
reconnoît le Docteur Gouverneur du Duc, & lui
u : il est tenté de gagner les dix mille écus en accusant son maître.
Celui-ci
l’écoute, le saisit au collet, & veut le tuer
Amarille. Ils prennent des mesures pour que Don Juan n’échappe point.
Celui-ci
, craignant d’être reconnu, troque d’habit avec Ph
a pour celui qu’on lui destine. Elle l’avoue à l’auteur de ses jours.
Celui-ci
veut lui persuader qu’une fille bien née aime l’é
bien souvent au lieu de les raccommoder. J’en ai vu qui different de
celui-ci
par quelque transposition de scene, mais tous se
on imbécillité le décelent encore ; il fait voir la clef à Arlequin :
celui-ci
, alarmé, feint qu’on s’est moqué de lui, qu’on lu
octeur, instruit de l’artifice de Scapin, lui en fait des reproches :
celui-ci
lui persuade que tout ce qu’il a fait n’étoit que
te IV. Philipin ménage un tête-à-tête entre Lucrece & son maître.
Celui-ci
dans l’obscurité rencontre la mere, croit parler
efois l’intrigant Italien est plus adroit que Mascarille, en revanche
celui-ci
est continuellement supérieur à Philipin. Mascar
leve nud en chemise, & passe à travers la chambre de son frere :
celui-ci
, au moyen d’un clair de lune, le reconnut ; &
. Voici donc de vous à moi ce que je trouve de bon et de mauvais dans
celui-ci
. Apparemment que l’Auteur n’a eu intention de fai
? Nous aurions un ouvrage intéressant. Mais entrons dans le détail de
celui-ci
. L’Auteur nous promet la vérité des faits, et il
aison de demander à M. Racine un Acte d’une Tragédie par semaine ; ou
celui-ci
était un terrible Poète alors de se charger de fo
ère exigeait de lui. Il a fait voir par l’Ouvrage qu’il a donné après
celui-ci
, qu’il est capable de faire mieux ; et qu’il est
oute que la conversation de Chapelle avec Molière sur les Ouvrages de
celui-ci
soit véritable. Est-il naturel que celui-là rompe
antalon, qui le voit et donne des coups de poing à l’impudent valet ;
celui-ci
les rend avec usure. « Ottavio doit épouser bien
s menaces, et veut changer d’habit avec Arlequin pour plus de sûreté.
Celui-ci
résiste, refuse et s’en va. Son maître le poursui
te ; un valet y court, revient saisi d’épouvante et culbute Arlequin.
Celui-ci
prend un poulet rôti d’une main, un chandelier de
« Le dernier acte se passe en partie dans le tombeau du commandeur où
celui-ci
a invité à son tour Don Juan à venir souper. Arle
vent de l’entreprise de Cintio ; il a prévenu Mezzetin, de sorte que
celui-ci
se moque du faux serrurier. Cintio se présente so
domia. Dès lors il consent à céder Celia à Fulvio. Scapin court après
celui-ci
et le ramène, non sans difficulté, tant il a peur
aîtres. Le génie français dépassait de beaucoup le génie italien ; et
celui-ci
, réduit à un rôle inférieur, ne fournissait plus,
remarques sur l’Art du comédien ; décomposez celui-là pour prouver à
celui-ci
qu’il ne peut le bien rendre s’il ne le connaît p
quelin ; bientôt il est enchanté de la docilité, de la pénétration de
celui-ci
, et lui enseigne, non seulement la philosophie d’
Molière, alors peu difficile sur le choix de ses sujets, doit encore
celui-ci
à un canevas italien, intitulé La Creduta Maschio
discrétion ; il fait confidence de son mariage à son frère Silvio, et
celui-ci
ne sait comment arranger ce prétendu hyménée avec
e d’un ouvrage par le nombre de ses représentations, nous trouverions
celui-ci
excellent ; il en eut quarante de suite, en été,
e Celio, qui, voyant son portrait, demande à Arlequin où il l’a pris,
celui-ci
dit que c’est dans les mains de sa femme ; colère
brassade de Sganarelle, devait le jeter dans les bras d’Ergaste ; que
celui-ci
devait, à son tour, embrasser Sganarelle, et le r
révérences, à propos ou non, et regardait son mari entre deux yeux ;
celui-ci
, satisfait de la trouver encore plus simple qu’il
l’aventure très loin, et va faire confidence de son bonheur au mari ;
celui-ci
veut surprendre les amants avant de se fâcher, ma
a puisé dans le conte de Boccace l’humeur goguenarde d’Arnolphe, mais
celui-ci
prête à son rival l’argent qui doit lui servir à
able auteur de cette critique, qu’il l’avait portée à Molière, et que
celui-ci
, après avoir feint de la dédaigner, la donna sous
sa pièce, que Molière fait circuler une clef de l’École des femmes :
celui-ci
, outré qu’on osât lui prêter une pareille infamie
ur toujours l’auteur des Frères ennemis à Molière ; et l’acteur, dont
celui-ci
va former les mœurs et les talents, n’aurait pu q
nuit, avec dona Anna ; il fait confidence de son bonheur à dom Juan,
celui-ci
court chez dona Anna, qui, traitée comme Isabelle
eu dans son ballet la Mélicerte et La Pastorale comique de Molière ;
celui-ci
, piqué, fit des vers à la louange du roi, représe
les criailleries des dévots le contraignirent à remplacer ce vers par
celui-ci
: Ô ciel ! pardonne lui la douleur qu’il me donn
ou L’Imposteur ; mais le premier, devenu synonyme du second, a rendu
celui-ci
inutile. Molière a-t-il imaginé le mot Tartuffe ?
lus beau des soufflets ! » Il n’a pas eu la mise d’un cuistre, comme
celui-ci
… ; il ne s’est donné ni le ton ni la perruque noi
ns l’acte I, scène vi, Orgon et Cléante sont seuls ; le premier dit à
celui-ci
, Mon frère, ce discours sent le libertinage ; à
on arrive avec Sosie, qu’il gronde de n’avoir pas exécuté ses ordres,
celui-ci
donne pour excuse les coups qu’il a reçus de l’au
ave courir après l’esprit, la gentillesse, pour éclipser le dieu ; et
celui-ci
oublier son illustre origine, pour ne nous faire
pôt, l’enlève et le porte à son maître, précisément dans l’instant où
celui-ci
, pressé par ses remords, vient avouer son crime a
avare. Magnifico a dessein de marier sa fille ; il consulte Célio ;
celui-ci
croit d’abord que Magnifico veut le rendre heureu
ns les replis du cœur humain, que l’auteur du dénouement latin ; chez
celui-ci
, l’Avare se corrige, et Molière a senti que l’ava
ceaux ; les neuf Muses doivent surtout applaudir à la noble fierté de
celui-ci
: Les grands hommes, Colbert, sont mauvais court
end la bague et la met entre les mains d’un filou déguisé en médecin,
celui-ci
prétend avoir été payé pour le guérir, et des apo
c’est lui qui régale, et que M. Jourdain prête seulement sa maison ;
celui-ci
confirme ce que vient de dire le comte : rien de
même Antiphon marié. L’un et l’autre sont furieux contre Geta, quand
celui-ci
les apaise en leur apprenant que le parasite se c
lard, et lui apprend que son mari a une seconde épouse ; elle accable
celui-ci
de reproches, et pour récompenser le dénonciateur
, est presque tout entière dans Le Pédant joué de Cyrano ; mais chez
celui-ci
l’action se passe à Paris où Corbinelli raconte à
ulu jouer Ménage, dans le rôle de Vadius ? Je l’ignore ; en tout cas,
celui-ci
s’en vengea bien noblement75. Eh ! quoi, monsieu
ez madame de Rambouillet, devant Boileau, qui la rendit à Molière, et
celui-ci
se dépêcha de la mettre dans sa pièce. Ce n’est p
is Molière, ne sont pas calqués sur monsieur Harpin, et si le rôle de
celui-ci
, bien qu’il n’ait qu’une scène, n’est pas aussi h
ressortir ? Sentiment sur la pièce. Le genre. — De caractère ;
celui-ci
a le mérite d’être de tous les pays, de tous les
e. Qu’importe le titre ? Le professeur. Plus qu’on ne croit, puisque
celui-ci
peut vous faire sentir à quoi il vous oblige : pa
e son incrédulité au savoir du petit doigt de son papa, en assurant à
celui-ci
que son petit doigt est un menteur : mais si ce
e cette pièce dans le Misanthrope. 23. Pas un vers qui soit inutile,
celui-ci
par exemple : Son mauvais œil, peut-être, est de
aisantait un jour M. de Montausier, sur le personnage du Misanthrope,
celui-ci
lui répondit : « mon cher duc, le ridicule du poè
x aux défauts qu’on lui treuve. Grandval a substitué au second vers
celui-ci
: De ses défauts en moi n’affaiblit pas la preuv
cherché le billet, remet successivement quatre papiers à son maître ;
celui-ci
les parcourt des yeux, l’un après l’autre, puis l
perfide, un calomniateur Ravissait à la fois et la vie et l’honneur ;
Celui-ci
ne pouvant, au gré de son envie, Prouver que votr
e Pantalon envoyait à Venise, et dans laquelle il a vu le vrai nom de
celui-ci
et de sa fille. Le capitan a excité la jalousie d
s tenailles il arrache d’un seul coup quatre bonnes dents à Pantalon.
Celui-ci
, dans l’excès de la douleur, s’accroche à la barb
ntalon, au milieu d’un bal champêtre, fait une confidence à son mari.
Celui-ci
s’empresse d’aller trouver la maîtresse du logis,
ux marchand vient remercier tout haut le faux mendiant du service que
celui-ci
lui a rendu en lui donnant le secret d’avoir un h
essein de marier sa fille Eléonora ; il parle de ce mariage à Célio :
celui-ci
se persuade que Magnifico veut devenir son beau-p
; il fait part de son embarras au Docteur dévot & grand usurier.
Celui-ci
lui dit qu’il n’a pas la somme nécessaire ; il lu
Célio. Arlequin, camarade de Scapin, est indigné & menace Célio.
Celui-ci
feint d’avoir peur, recule quelques pas, puis il
Moliere. Acte iv. Scene vi. La Fleche vole la cassette d’Harpagon :
celui-ci
s’apperçoit qu’on lui a dérobé son trésor ; il ac
il en accuse Célio. Magnifico accable de reproches Célio son commis :
celui-ci
, qui a une intrigue secrete avec la fille de la m
t d’un de vos voisins, pour avoir mangé un reste de gigot de mouton ;
celui-ci
, que l’on vous surprit une nuit en venant dérober
mp; les apprêts de ses deux repas, est plus comique qu’Euclion ; mais
celui-ci
n’achetant ni viande ni poisson, parceque l’un &a
oublié. Il n’est pas possible qu’il ne l’ait pas senti, non plus que
celui-ci
: Le Maître du quartier a fait avertir qu’il di
urait voulu trouver dans Térence ? Vis comica. Ménandre avait donné à
celui-ci
un goût pur et exquis. Scipion et Lælius, amis de
s. Térence dit en quatre mots avec la plus élégante simplicité ce que
celui-ci
ne dit qu’avec une multitude de métaphores, qui a
connoître. D’un autre côté Géronte qui n’aime pas le Marquis, quoique
celui-ci
le flatte sur son opulence, qui déteste ses airs
dants nous ruinent, & je compte bien que ce sera moi qui ruinerai
celui-ci
. On le prie de se pourvoir d’un autre intendant.
e protéger, & se propose de relancer comme il faut M. le Marquis.
Celui-ci
paroît, fait tant de politesses à son cher oncle,
iner, lui a dévoilé les complots & les fripponneries de Stukéli :
celui-ci
est confondu, arrêté ; la joie renaît dans le cœu
, il veut lui envoyer son portrait ; il charge son valet de ce soin :
celui-ci
emballe le sien au lieu de celui de son patron, &
e sait pas lire, & prie Scapin de lui faire lecture de l’épître ;
celui-ci
reconnoît l’écriture d’Argentine, & substitue
lesquelles il cherche à convaincre Arnolphe qu’il fait fausse route,
celui-ci
, imitant un passage de Rabelais, répond à Chrysal
é que Sganarelle, sait se faire aimer de sa jeune pupille, tandis que
celui-ci
et Arnolphe ne savent que se faire détester des j
qu’il consent avec plaisir à venir l’exposer au public, persuadé que
celui-ci
lui donnera raison. LE MARIAGE FORCÉ L’homm
uisse du caractère de Don Juan est exposée par Sganarelle, son valet.
Celui-ci
s’applique surtout à mettre en évidence, l’absenc
fantaisie. Dona Elvire, abandonnée par Don Juan, son époux, poursuit
celui-ci
pour tâcher de l’amener à une vie régulière. La d
que Pierrot soit bien aise de la voir devenir grande dame ; et comme
celui-ci
est outré de cette conduite, elle cherche à l’apa
elle est la cause qui pousse Don Juan à secourir Don Carlos alors que
celui-ci
est attaqué par des brigands. Toujours dominé par
t Molière expose l’envahissement de Orgon par la passion ridicule que
celui-ci
éprouve pour Tartuffe, passion qui a tous les car
e que dit son interlocuteur ; ou encore, de n’entendre des paroles de
celui-ci
que celles qui peuvent avoir du rapport avec l’ob
tte affirmation, Jacques raconte à son maître toutes les ladreries de
celui-ci
, sur lesquelles les voisins glosent à qui mieux m
or. Les erreurs commises par Jacques ne lui font point comprendre que
celui-ci
l’a trompé. Molière a reproduit ce même effet des
ausses, que lui dit ce jeune homme, et même à l’impudent mensonge que
celui-ci
lui débite, en lui affirmant qu’il l’a connu lui
sses bévues sur les diverses personnes de la famille de Pourceaugnac,
celui-ci
s’écrie avec enthousiasme : « Il dit toute la pa
Dans une discussion avec maître Jacques, Valère parle très poliment à
celui-ci
, espérant le calmer par ce moyen et lui faire ent
vagances de M. Jourdain et les friponneries de ceux qui l’exploitent.
Celui-ci
, considérant comme conformes à la raison les conc
dont la nature morale est tout autre que celle d’Octave, suppose que
celui-ci
pourra répondre avec audace et effronterie à son
t son père qui lui adresse ces reproches. La crainte respectueuse que
celui-ci
lui inspire fait que lorsque Sylvestre dit : « V
ourraient éclairer l’homme à l’égard de ses inspirations passionnées.
Celui-ci
se trouve alors momentanément dans les mêmes cond
as, qu’il les cede bien vîte ; mais il enferme Samson à triple tour :
celui-ci
force les portes, & les met sur ses épaules a
rnelle, & reste seul avec Arlequin, à qui il demande qui il est :
celui-ci
lui répond qu’il est un gentilhomme bouffon, ou b
femme d’un pêcheur nouvellement accouchée d’un enfant mort, lui donna
celui-ci
à nourrir, sans lui dire qui il étoit ; mais seul
Mon dessein est de le prouver dans les deux Chapitres qui vont suivre
celui-ci
.
lle descend, ne le voit plus, en demande des nouvelles à Sganarelle :
celui-ci
répond qu’il est mieux connu de sa femme que de l
e descend bien vîte, demande à Arlequin ce que le pélerin est devenu.
Celui-ci
lui répond qu’il l’ignore, mais qu’il sait seulem
a fenêtre Célio : elle vient demander ce qu’il est devenu à Arlequin.
Celui-ci
répond qu’il l’ignore ; mais qu’il sait, à n’en p
ran, au désespoir, veut mettre l’épée à la main pour punir Arlequin ;
celui-ci
l’enchante. Le Docteur vient pour parler au Princ
quoique ces deux pieces soient héroïques : nous n’en dirons rien dans
celui-ci
, quoique toutes les deux soient des pieces à spec
les faits importants démontrés par M. Paul Mesnard, nous signalerons
celui-ci
: c’est l’antériorité du Tartuffe sur Don Juan ma
tenant compte que des représentations publiquement permises, placent
celui-ci
avant celui-là. De là une erreur grave, généralem
à l’armée, Molière pria Boileau, ami du président, de le présenter à
celui-ci
pour essayer de le désarmer. Boileau, dans une le
, Bourdaloue ne s’aperçoit pas qu’il parle exactement comme Molière :
celui-ci
, en effet, n’avait-il pas dit : Mais les dévots
actère général de don Juan. Enfin la vocation même d’Elvire fournit à
celui-ci
un prétexte hypocrite et une excuse railleuse pou
rni lui-même à Molière le modèle dans une scène semblable, à laquelle
celui-ci
avait assisté15. C’est encore que Montausier, que
côté risible du personnage d’Alceste ; il ne vit pas que le rire dont
celui-ci
est quelquefois l’objet est un rire de sympathie
ndre Alceste, mais elle ne manque pas non plus de fierté ; et lorsque
celui-ci
, avec une gaucherie peu aimable, s’excuse de ne p
me l’autre, reste seul blessé au cœur, et avec bien plus de droit que
celui-ci
de devenir misanthrope. Ainsi la pièce moderne ex
tte naissance illégitime aurait indisposé les parents de Molière ; et
celui-ci
aurait préféré à la honte d’épouser aux yeux de s
s Fâcheux 6 qui, dans le fait, fut créé par La Grange. Le Registre de
celui-ci
nous l’apprend. Mais que pouvait-on apprendre à M
t dû au Roi. Boursault compose Le Portrait du peintre contre Molière.
Celui-ci
y répond par L’Impromptu de Versailles, et a le t
et son intelligence le firent profiter en peu de temps des leçons de
celui-ci
et de la fréquentation de ceux-là. Comme nous aur
n. « J’ai toujours eu inclination de paraître en public, lui répondit
celui-ci
; les régents sous qui j’ai étudié ont cultivé le
ta dans ses conseils avec une nouvelle force, et parvint à déterminer
celui-ci
à renoncer à l’art dramatique. L’historien auquel
sophie, à en croire l’abbé de Cosnac. « Je trouvai autour de lui, dit
celui-ci
dans ses Mémoires, beaucoup de gens devant lesque
e prince de Conti. » Est-ce pendant le spectacle que serait venue à
celui-ci
l’idée qu’on lui a attribuée, mais dont Daniel de
gues. Si Molière ne fut pas alors attaché au prince comme secrétaire,
celui-ci
, La Grange nous l’apprend dans sa préface de l’éd
encement de septembre, le recommanda à Monsieur, frère unique du Roi.
Celui-ci
le présenta, connue chef d’une troupe qu’il adopt
vieux ne manquèrent pas d’attribuer à son ami le succès de la pièce ;
celui-ci
ne s’en défendit que faiblement, « comme ces jeun
ère se verrait forcé de montrer, à qui la voudrait voir, la scène que
celui-ci
lui avait apportée, et qu’il avait été obligé de
enfantines et son esprit naturel avaient d’abord excité l’intérêt de
celui-ci
; mais à mesure que les attraits d’Armande se dév
acte, et mourut suffoqué bientôt après. Ce fut précisément au fils de
celui-ci
que l’hôtel de Bourgogne, qui n’avait cependant r
grâce à des recherches nouvelles, nous possédons l’acte de mariage de
celui-ci
, d’où il résulte clairement que sa femme est sœur
e se montre pas avare. Il prétend qu’un domestique de Molière, auquel
celui-ci
avait ordonné d’accommoder sa perruque, prit un c
l’écueil des veuves, et ayant recouru aux expédients de Desfougerais,
celui-ci
n’aurait pas reculé devant une ressource criminel
l’avons déjà dit, l’avait surnommé « le Contemplateur ». Le frère de
celui-ci
, Boileau-Puimorin, s’était avisé de critiquer La
vec Boileau, Chapelle et le célèbre avocat Fourcroy, leur ami commun,
celui-ci
, dont les poumons étaient des plus vigoureux, att
chambre, remit à Chapelle le soin de faire les honneurs de la maison.
Celui-ci
s’en acquitta si bien et doubla, pendant le soupe
t tout porte à croire qu’il lui rendit toujours une complète justice.
Celui-ci
désignait par une image originale et vraie l’engo
ce moment, il cessa de voir Racine. Honteux du rôle qu’il avait joué,
celui-ci
essaya de redevenir juste envers l’auteur, s’il s
Molière. Il ne tint pas à lui qu’il ne rompît également avec Boileau.
Celui-ci
ayant un jour, à l’Académie des Inscriptions, ava
d’Églantine, plein de l’idée de Rousseau, travailler sur le plan que
celui-ci
avait pour ainsi dire tracé. Son entreprise, si e
ère, titre faux, injurieux envers Molière, puisqu’il est constant que
celui-ci
avait donné à son Philinte plus d’un trait de son
premier ménage, les rapporta à son ami, qui en sut faire son profit.
Celui-ci
ne parlait de son Fagotier, c’est ainsi qu’il app
sa femme et Baron ! Mademoiselle Molière frappant ce jeune acteur, et
celui-ci
la fuyant ! Les sentiments et les rôles de ces di
sence de l’Église et des assistants, Beauval pour son légitime époux.
Celui-ci
sortit aussitôt de sa cachette et fit la même déc
Térence dit en quatre mots, avec la plus élégante simplicité, ce que
celui-ci
ne dit qu’avec une multitude de métaphores qui ap
Pierre pour sentir que le changement que Thomas Corneille fit subir à
celui-ci
est impraticable pour ceux-là. La prose de Molièr
que le médecin allait visiter de temps à autre, et que les coups que
celui-ci
avait reçus des robustes mandataires du jaloux av
n du Ballet des Muses, s’était vu forcé d’appeler Molière à son aide.
Celui-ci
avait, comme on l’a vu, composé pour cette fête M
d’être honnête homme, Mais il est dangereux avec lui d’être un fat.
Celui-ci
venait de se venger d’un rimeur qui se croyait po
ndécentes de M. Bobinet, le précepteur de M. le Comte son fils, quand
celui-ci
répète son Despautère, Omne viro soli quod conve
e grands personnages, et qu’il ne tient qu’à une paire d’échasses que
celui-ci
ne soit le plus grand homme de notre siècle, vous
e sa colère, ou plutôt de sa gaieté, ne pouvait garder le silence sur
celui-ci
, non moins menaçant, non moins redoutable. Il ava
sa fille avec M. de La Rivière parce que les trente-deux quartiers de
celui-ci
n’étaient pas incontestables ; madame de Sévigné,
un apothicaire, ou, si tant est qu’il ait engagé la conversation avec
celui-ci
, se sera borné à lui dire : « Monsieur Fleurant,
t parfaitement à l’idole du président Lescot. Elle fit donc espérer à
celui-ci
que, par ses soins et ses démarches, elle parvien
de lui avoir fait vaincre l’horreur qu’elle avait pour de tels lieux.
Celui-ci
, enivré de bonheur et d’amour, l’invita à détermi
eaux sur Molière et ses camarades, celui que nous avons cité page 14,
celui-ci
et deux autres que nous mentionnerons tout à l’he
, et à réclamer le remboursement des 5 000 francs de la succession de
celui-ci
. 18. Histoire des pérégrinations de Molière dan
Brie succéda à Du Parc dans les rôles de Gros-René. Après la mort de
celui-ci
peut-être ; mais après son départ de Pâques 1659,
gerie, satire contre Ménage, donnerait à croire que l’enthousiasme de
celui-ci
pouvait bien n’être qu’une feinte et un calcul in
ène du Dépit amoureux, lorsque Mascarille vient trouver Albert et que
celui-ci
, à chaque parole, lui tourne le dos avec brusquer
ait remarquer à Flaminia, qui était aimée de Pantalon, le diamant que
celui-ci
avait au doigt. Flaminia l’admirait ; Scapin le p
ée. Il le fait assigner. Agnelet prend Patelin pour son Avocat, &
celui-ci
lui conseille de faire bée à toutes les questions
Timante ordonne à son valet Frontin de chercher un domestique muet ;
celui-ci
n’en trouvant point, engage un fourbe, nommé Simo
e détermine à fuir la maison de la Comtesse pour éviter le Chevalier.
Celui-ci
la suit, la prie de rester. Marine les surprend,
age du pere. Le Baron prie le Capitaine d’accorder Zaïde à son fils :
celui-ci
ne veut pas la donner à un muet. On vient dire au
& commere ne sont pas heureux. Desronais la demande à son pere :
celui-ci
répond qu’il est vieux, infirme, fort peu riche ;
gé de sortir pour une affaire, il recommande que Desronais l’attende.
Celui-ci
voudroit parler à Mariane, fille de M. Dupuis : e
nser. Desronais vient en effet demander un éclaircissement à Dupuis.
Celui-ci
, après plusieurs faux-fuyants, déclare qu’il se d
uverois maintenant à la Cour Plus d’un Gulphar si j’en avois affaire.
Celui-ci
donc chez sire Gasparin Tant fréquenta, qu’il dev
e, logement, etc. Ainsi, à la suite de l’article précédent, on trouve
celui-ci
: « Item, pour voiturer lesdits comédiens… 200 l
ait aux mimes, et qu’il était plus savant que le magistrat ; mais que
celui-ci
était aussi bien meilleur comédien que Dominique.
» Dans une pièce où il fait le gueux, il demande l’aumône à Octave.
Celui-ci
, pour le plaisanter, l’interroge sur plusieurs ch
e s’en sert, comme vous pouvez voir. LA BRUYERE. Le maître arrive ;
celui-ci
se leve pour le recevoir. Il le traite fort civil
ntainebleau : il tient à d’autres d’autres discours ; puis revenant à
celui-ci
: Vous avez eu, lui dit-il, des beaux jours à Fon
ier ? Ces gens-là sont la plus méchante nation du monde ; au lieu que
celui-ci
est honnête & modéré. Theuropide. Il m’import
ils, son petit-fils, & fait prendre le nom de Menechme à Sosicle.
Celui-ci
devient grand ; il forme le dessein de voyager, d
en de ne la pas rendre, quand il rencontre le parasite de son frere :
celui-ci
, très piqué qu’on ait dîné chez la courtisanne sa
ier doit cent louis, vient les demander à Menechme l’épée à la main ;
celui-ci
les donne bonnement. Est-il naturel que, croyant
ielle ; & comme c’est ce qui vous intéresse le plus.... Lisette.
Celui-ci
n’est pas clair ? Plaît-il ? que vous en semble ?
alere se trouvent ensemble. La veuve se plaint du silence de Valere :
celui-ci
lui dit qu’au défaut de la voix, un regard, un so
dent et de bonne volonté, répondit à l’empressement de Molière ; mais
celui-ci
remarqua qu’il avait pris presque tout son travai
furent pas longtemps en bonne intelligence, s’il est vrai que ce soit
celui-ci
qui ait fait la Critique de l’Andromaque, comme M
15 de Février 1665. On en jugea dans ce temps-là, comme on en juge en
celui-ci
. Et Molière eut la prudence de ne point faire imp
la fortune de Baron ; qui ne fut pas plutôt arrivé chez Molière, que
celui-ci
commença par envoyer chercher son Tailleur, pour
t à son Maître ne se mit pas beaucoup en peine d’exécuter ses ordres.
Celui-ci
se mit en colère : l’autre se moque de lui. Ils s
mes études avec lui ; et un jour qu’il apporta des vers à son Régent,
celui-ci
reconnut qu’il les avait pillés ; l’autre assura
lui ne se passaient rien sur cet article-là. Celui-là pour Gassendi ;
celui-ci
pour Descartes. En revenant d’Hauteuil un jour da
pelle accepta le défi : Mais lorsqu’il apporta son ouvrage à Molière,
celui-ci
après la première lecture le rendit à Chapelle ;
ère essuya avec un de ces Courtisans qui marquent par la singularité.
Celui-ci
sur le rapport de quelqu’un, qui voulait apparemm
je n’ai pu savoir à quelle occasion. Celui-là résolut de se venger de
celui-ci
, quoiqu’il fût le bel esprit d’un grand Seigneur,
ne ; ce qui indigna Molière et Baron contre lui. Mr de P… ayant dit à
celui-ci
à Fontainebleau qu’il était fâché que sa Troupe n
ce travail, le conserva avec grand soin jusqu’à sa mort. La femme de
celui-ci
ne fut pas plus soigneuse de ces ouvrages que la
e. Il fait confidence de ses amours & de ses malheurs à son pere.
Celui-ci
ne peut procurer à son fils vingt mines, parcequ’
vilisés, plus élégants, plus familiarisés avec leurs maîtres que dans
celui-ci
? Les Merlins du siecle ne sont-ils pas de toutes
Eraste, amant aimé de Lucile. Eraste interroge le valet de son rival.
Celui-ci
lui dit que son maître va passer toutes les nuits
Polidore, troublé, fait demander un entretien secret à son vieux ami.
Celui-ci
craint que l’autre n’ait découvert le stratagême
st désespéré. Il prend la résolution de demander Béatrix à Magnifico.
Celui-ci
arrive ; il voit le Docteur troublé, agité, croit
e montre des lettres qui justifient ce qu’il est. On menace Arlequin.
Celui-ci
avoue qu’il agit par l’ordre de Pantalon. Ils aba
arent de l’Auteur présenta très humblement la piece à M. de la Roque.
Celui-ci
la refusa, alléguant pour toute raison qu’il ne v
u’il n’imprimeroit jamais rien de la façon de M. des Forges-Maillard.
Celui-ci
en fut inconsolable. Il étoit occupé de ce désast
. Il faut de la jeunesse pour donner le fini à un ouvrage du genre de
celui-ci
. L’histoire de la société polie veut, pour être t
, 1701) : d’abord secrétaire particulier de Mazarin, puis attaché par
celui-ci
, au même titre, au cabinet du roi et président à
t & de bonne volonté, répondit à l’empressement de Moliere ; mais
celui-ci
remarqua qu’il avoit pris presque tout son travai
urent pas long-temps en bonne intelligence, s’il est vrai que ce soit
celui-ci
qui ait fait la Critique de l’Andromaque, comme M
5. de Février 1665. On en jugea dans ce temps-là, comme on en juge en
celui-ci
. Et Moliere eut la prudence de ne point faire imp
la fortune de Baron ; qui ne fut pas plûtôt arrivé chez Moliere, que
celui-ci
commença par envoyer chercher son Tailleur, pour
à son Maître, ne se mit pas beaucoup en peine d’executer ses ordres.
Celui-ci
se mit en colere ; l’autre se mocque de lui. Ils
études avec lui ; & un jour qu’il apporta des vers à son Regent,
celui ci
reconnut qu’il les avoit pillez ; l’autre assura
lui ne se passoient rien sur cet article-là. Celui-là pour Gassendi ;
celui-ci
pour Des-Cartes. En revenant d’Hauteüil un jour d
pelle accepta le défi : Mais lorsqu’il apporta son Ouvrage à Moliere,
celui-ci
après la premiere lecture le rendit à Chapelle ;
ere essuya avec un de ces Courtisans qui marquent par la singularité.
Celui-ci
sur le rapport de quelqu’un, qui vouloit apparemm
je n’ai pû savoir à quelle occasion. Celui-là resolut de se venger de
celui-ci
, quoiqu’il fût le bel Esprit d’un grand Seigneur,
ere qui entendoit assez l’art de se vanger de ceux qui l’offensoient.
Celui-ci
avoit composé une piece dans laquelle on chantoit
ce qui indigna Moliere & Baron contre lui. M. de P... ayant dit à
celui-ci
à Fontainebleau, qu’il étoit fâché que sa Troupe
ce travail, le conserva avec grand soin jusqu’à sa mort. La femme de
celui-ci
ne fut pas plus soigneuse de ses Ouvrages que la
t cherché à le desservir auprès du duc de Montausier*, en insinuant à
celui-ci
que c’était lui que Molière avait voulu jouer dan
érin, femme de… Bejard comédienne de Molière, une fille naturelle que
celui-ci
épousa. » On voit que la véritable naissance d’A
e Bejard, comédienne de la troupe de Molière, une fille naturelle que
celui-ci
épousa (Guérin, femme de). » Le texte ainsi réta
les sont du siecle passé, doivent-elles moins blesser les oreilles de
celui-ci
? Non, sans doute. Mais la mort a mis l’Auteur à
acte. Scene XIX. Le Capitaine reproche à Maugrebleu qu’il est ivre :
celui-ci
lui répond : Maugrebleu. Comme de coutume je ne
c laquelle Moncade parle à Eraste, & de la patience avec laquelle
celui-ci
l’écoute ; ce qui devient une seconde indécence,
te semblable à celle que Piron offrit à l’abbé Desfontaines, lorsque,
celui-ci
se plaignant d’être appelé bouc dans une de ses é
e ne pas convenir qu’ils fussent ceux de Ménage lui-même ; et surtout
celui-ci
avait parfaitement raison de ne pas le croire, on
ceptant Henriette, et sans excepter Chrysale. Elle ne hait pas, comme
celui-ci
, la science qu’elle ne connaît point, et avec qui
re de Cologne, fit paraître un nouveau Malade imaginaire. Le texte de
celui-ci
est le même, en très grande partie, que celui de
que leur vie est menacée par quelque mal : affranchies de la peur de
celui-ci
, elles tombent dans la crainte de celui-là. Se cr
fanatisme de la bigoterie ; l’autre a la superstition de la médecine.
Celui-ci
, tout occupé du salut de son âme, croit attirer s
des camarades de Molière, on prétend même y reconnaître l’écriture de
celui-ci
. Parmi ces noms se trouve celui d’une Mlle Menou
assisté de son père, Jean Poquelin, et de André Boudet, beau-frère de
celui-ci
. Marie Hervé, « veuve de feu Joseph Béjart, écuye
été payée, elle dut venir de Madeleine Béjart ou de Molière lui-même.
Celui-ci
, de son côté, constituait à sa future 4, 000 livr
avec la précieuse Climène ; puis avec le marquis et le poète Lysidas,
celui-ci
pédant et pesant, celui-là fat, évaporé, turlupin
viendrait mieux que le rôle passif de Mariane ; cependant, c’est bien
celui-ci
que lui attribue une distribution datée de 1685.
tait et il leur donna place dans le Misanthrope. En quoi la portée de
celui-ci
en est-elle diminuée ? Une tirade heureuse, une s
à son maître, ne se mit pas beaucoup en peine d’exécuter ses ordres.
Celui-ci
se met en colère, l’autre se moque de lui ; ils s
es. Nous avons assez parlé des caracteres composés pour connoître que
celui-ci
est du nombre. Ils sont plus ou moins bons, selon
e rue sur moi : une charge à l’un, un emploi à l’autre, une pension à
celui-ci
, un gouvernement à celui-là.... A la fin je quitt
umeur : il sera gai avec l’un, triste avec l’autre ; il pleurera avec
celui-ci
, il rira avec celui-là, & j’aurai un fonds au
abio. Scene XI. Fabio est surpris de voir Dom Félix dans sa maison.
Celui-ci
lui dit qu’il venoit chercher sa sœur : le vieill
ousie : elle est furieuse de la voir dans l’appartement de Dom Félix.
Celui-ci
veut s’excuser ; Laura ne croit rien de ce qu’il
rminé que le Chevalier, mais plus adroit, ne paroît que pour gagner à
celui-ci
son argent, ses bijoux, le portrait de sa maîtres
e climat. Le traitement qui m’attendoit cette nuit me fait renoncer à
celui-ci
. Beverley. Dès-lors ces billets vous seront néces
eins de rage, s’avançoit contre le Marquis, prêt à le percer, lorsque
celui-ci
, voyant l’extrémité à laquelle il étoit réduit, m
hez son amie. Un jour elle l’apperçoit, révele son secret à Théodon :
celui-ci
parle au Marquis, qui, trop épris de Rosalie, avo
mettrai l’original auprès de la copie ; il jugera lui-même : il dira,
celui-ci
sait imiter ; il appliquera ces quatre vers aux a
t fils de M. Luillier, sans pouvoir être son héritier de droit ; mais
celui-ci
aurait pu lui laisser les grands biens qu’il poss
dent et de bonne volonté, répondit à l’empressement de Molière ; mais
celui-ci
remarqua qu’il avait pris presque tout son travai
furent pas longtemps en bonne intelligence, s’il est vrai que ce soit
celui-ci
qui ait fait la critique de l’Andromaque, comme M
e 15 février 1665. On en jugea, dans ce temps-là, comme on en juge en
celui-ci
; et Molière eut la prudence de ne point faire im
e la fortune de Baron, qui ne fut pas plutôt arrivé chez Molière, que
celui-ci
commença par envoyer chercher son tailleur pour l
à son maître, ne se mit pas beaucoup en peine d’exécuter ses ordres.
Celui-ci
se met en colère ; l’autre se moque de lui. Ils s
mes études avec lui, et un jour qu’il apporta des vers à son régent,
celui-ci
reconnut qu’il les avait pillés ; l’autre assura
lui ne se passaient rien sur cet article-là : celui-là pour Gassendi,
celui-ci
pour Descartes. En revenant d’Auteuil un jour, da
pelle accepta le défi ; mais lorsqu’il apporta son ouvrage à Molière,
celui-ci
, après la première lecture, le rendit à Chapelle.
ntre Molière et un de ces courtisans qui marquent par la singularité.
Celui-ci
, sur le rapport de quelqu’un qui voulait apparemm
je n’ai pu savoir à quelle occasion. Celui-là résolut de se venger de
celui-ci
, quoiqu’il fût le bel esprit d’un grand seigneur,
e qui indigna Molière et Baron contre lui. M. de P…. 118 ayant dit à
celui-ci
, à Fontainebleau, qu’il était fâché que sa troupe
ce travail, le conserva avec grand soin jusqu’à sa mort. La femme de
celui-ci
ne fut pas plus soigneuse de ces ouvrages que la
aise de se décharger de cet emploi, et pria La Grange de le remplir.
Celui-ci
s’en acquitta très dignement jusqu’à la rupture e
’accord qu’on ne peut pas mieux faire que vous avez fait. Croyez-moi,
celui-ci
sera de même, et vous le jouerez mieux que vous n
rofesseurs. 33. Non pas à cause du grand âge de son père , puisque
celui-ci
n’avait que quarante-six ans ; Molière en avait d
’ayant osé critiquer le poème de la Pucelle en présence de Chapelain,
celui-ci
lui avait répondu : « C’est bien à vous d’en jug
nom... tout a troublé son ame : il prie son ami de le laisser seul :
celui-ci
lui recommande ses intérêts. D’Orval projette de
enfin, & Mario la présente à Lélio. Quelle surprise cruelle pour
celui-ci
! Cette maîtresse chérie de son ami est Flaminia
. Il va consulter le Docteur sur les moyens de la mettre à la raison.
Celui-ci
parlant toujours, ne lui donne pas le temps de s’
u’il supprima à la seconde représentation de cette Piece. Entr’autres
celui-ci
. Don Juan dans une Scene avec un pauvre qui lui d
s Sganarelle bat sa femme, le voisin Robert voulant l’en empêcher, et
celui-ci
étant battu par la femme et par le mari ; la scèn
cène première, où Henriette témoigne à Trissotin sa répugnance, et où
celui-ci
persiste ; la scène troisième, où le notaire ne s
dans la maison, & charge son valet Brighella de faire sentinelle.
Celui-ci
s’endort. Pantalon surprend Silvio chez lui, crie
elui qu’elle croit perfide. Célio se présente ensuite chez Pantalon :
celui-ci
lui dit que son indigne fille s’est évadée en sec
suite lui-même vers Scapin, qui le traite comme il a traité Arlequin.
Celui-ci
répete à Célio les lazzis du tabac. Célio dit à A
erbement Germain son pensionnaire & dont il ne sauroit être payé.
Celui-ci
est mieux reçu. Alors des archers viennent prendr
ntre les mains de son rival. Il porte plainte chez un Sénateur ; mais
celui-ci
, trop occupé d’une fête qu’il veut donner, n’a pa
Béatrix porte un billet doux de la part de sa maîtresse à Don André ;
celui-ci
, accoutumé à de pareils messages, accepte le rend
la suivante de Léonor : il l’appelle & la laisse avec son gendre.
Celui-ci
présente une bourse & un poignard à la soubre
in, propiétaire d’une maison de campagne louée à Dorante, apprend que
celui-ci
a fait couper le bois qui faisoit son principal o
ront de tous ses biens : elle est d’accord pour cela avec un Notaire.
Celui-ci
vient lui présenter un contrat : cette femme si f
Celui-là anime son action, comme un Artisan commun fait son métier ;
celui-ci
maître de sa matière donne à son jeu tout le vrai
, et que Molière le lui eût demandé. Mais quand on fera réflexion que
celui-ci
connaissait déjà les dispositions extraordinaires
e moins ménagé. L’amitié de Molière pour Chapelle l’étonne. « Puisque
celui-ci
, dit-il, convenait si peu à l’autre, pourquoi ne
l entend la voix d’un homme qu’il prend toujours pour Don Juan ; mais
celui-ci
profite de ce temps-là pour enlever sa maîtresse.
n interprete la cause d’un si subit changement. C’est, lui répondroit
celui-ci
, qu’un pere & un fils viennent de se reconnoî
it-il pas nécessaire de leur consacrer un petit article à la suite de
celui-ci
. 56. Il n’est point vraisemblable, me dira-t-o
i doit, en effet, un certain nombre de développemens dans le genre de
celui-ci
: « Presque toutes les têtes de l’histoire ancien
té, un lieu-commun déjà vieux le comble de toutes les vertus morales.
Celui-ci
a plus de raisons d’être et s’appuie sur des auto
n’est pas tout l’un ou tout l’autre, il n’avait pas le sang-froid de
celui-ci
, le parfait équilibre de celui-là, mais dans tous
n attitré, et Maurice Raynaud nous apprend quelle sorte d’homme était
celui-ci
. Il s’appelait Mauvilain ; frappé par la faculté
cisme absolu ; assez souvent, il commence par celle-là pour finir par
celui-ci
; mais, sceptique ou confiant, il s’occupe beauco
de Béarn. Il prie son valet Polilla de l’aider dans son entreprise ;
celui-ci
lui répond du succès. Il compare Diana à une figu
amp;, après avoir prié Scapin de détourner Lélio de ce mariage, &
celui-ci
ayant refusé de se charger de cette commission, c
it épouser la fille du Grand Mogol. Il l’annonce au Docteur Merlino :
celui-ci
lui répond qu’il s’en embarrasse peu. L’Apothicai
beaucoup. Pantalon parle à l’Apothicaire de la maladie de sa fille :
celui-ci
lui conseille de quitter le Docteur Onesti, qui n
ur que ce Corneille, si l’on regarde à côté de lui Racine ! Oh ! pour
celui-ci
, son affaire est nette. Combien de représentation
n’est pas si mal. D’ailleurs nous sommes dans la maison de Molière :
celui-ci
doit avoir la part du lion. Il l’a, en effet, et
rence décidée pour Corneille sur Racine ; mais celait à une époque où
celui-ci
n’avait pas encore fait ni son Iphigénie, que Vol
ne s’évitaient pas, puisqu’ils se trouvaient ensemble aux lectures de
celui-ci
. On voit dans une lettre de madame de Sévigné du
joue la farce du Gentilhomme gascon. L’acteur contrefait Roquelaure ;
celui-ci
fait semblant de se lever pour aller le battre, e
de de vers répandus dans les odes d’Horace et dans les satires, comme
celui-ci
: Nam fuit ante Helenam cunnus teterrima belli C
esser nos lecteurs, nous ne craignons pas d’assurer que la lecture de
celui-ci
leur donnera une satisfaction encore plus complèt
seur, et que pensant remplir uniquement les devoirs de son ministère,
celui-ci
porte au jeune homme des présents, et des billets
ur, veut lui donner pour la troisième fois des coups de bâton, et que
celui-ci
a répondu, j’épouserai, j’épouserai, le père arri
c son père, et ne sachant pas de quoi il s’agit entre eux, découvre à
celui-ci
, dans l’embarras où elle est, et devant tout le m
9, débuta. Nous en parlerons à son article, pour ne point interrompre
celui-ci
, disons que Raisin étant mort, sa femme continua
, sur aucun théâtre de l’Europe, un dénouement aussi bien imaginé que
celui-ci
. C’est par cette raison que tant de poètes comiqu
s représentations de mademoiselle du Parc et de mademoiselle Molière,
celui-ci
avait promis d’écrire une comédie sur le patron d
la musique de Rossini, où l’un chante pendant que l’autre pleure, où
celui-ci
accompagne l’orchestre avec sa voix, pendant que
égoïste. Cependant ils s’en vont l’un et l’autre, au hasard, courant,
celui-ci
après son unique amour qui l’appelle, celui-là ap
Juan et Sganarelle détournent la tête ! Le pauvre dérange celui-là et
celui-ci
, dans leur existence de bonnes fortunes, de bomba
u bien Louis XIV. D’abord on se déguise en mille habits plus étranges
celui-ci
que celle-là ; plus l’habit prête à une obscénité
ces amours, le jeune poète Quinault, le poète de Renaud et d’Armide.
Celui-ci
, à l’heure où son musicien tournait la broche, av
nd roi, M. Bulwer aurait bien dû interroger le premier écolier venu ;
celui-ci
lui eût rappelé la conduite du roi, quand M. de C
M. Dimanche est le proche parent de M. Jourdain, l’un vaut l’autre ;
celui-ci
berné par un fripon et par une drôlesse, celui-là
u-forte figure avec précision la maison peinte par Vincent, telle que
celui-ci
l’a vue ; au lecteur de suppléer ce que celui-ci
r Vincent, telle que celui-ci l’a vue ; au lecteur de suppléer ce que
celui-ci
n’a pas dit : nous n’avons osé le tenter que pour
de Pourceaugnac, n’a plus l’intention de lui donner sa fille, et que
celui-ci
, craignant pour son… honneur, n’a plus envie de c
e même scène est esquissée légèrement dans Le Nouveau Pathelin, quand
celui-ci
veut persuader au pelletier que leurs pères ; Qu
depuis ce vers : « Un certain animal difficile à connaître jusqu’à
celui-ci
: « C’est pourquoi le cousin Aristote, souvent
iens en mourant à l’Hôtel-Dieu de Paris dont il était administrateur.
Celui-ci
, qui écrit — comme on sait — avant la Révolution
squ’Alcibiade dit à Timon : « Je ne t’ai jamais fait de mal », et que
celui-ci
lui répond : « Si fait, tu as dit du bien de moi
alais-Cardinal et qui vendirent à René Baudelet le terrain sur lequel
celui-ci
fit bâtir la maison de la rue Richelieu dans laqu
à Paris, Il avait été connu et aimé, en province, du prince de Conti.
Celui-ci
le présenta à Monsieur, frère du Roi, et Monsieur
ya tous deux à M. de Chauvelin pour l’édition complète de Molière que
celui-ci
préparait. Depuis, ces deux pièces ont toujours p
t plus tard âprement condamné et flétri avec indignation par Bossuet.
Celui-ci
n’a pas compris ou peut-être n’a pas voulu compre
é joués en 1664. à Versailles, devant le Roi, avec applaudissement de
celui-ci
, fut jouée cette même année tout entière devant l
ceci qu’elle contient un rôle de fou de cour qui est très spirituel.
Celui-ci
, à la vérité, n’est pas un fol proprement dit ; M
r que Molière parle par sa jolie bouche ; elle plaide son cas qui est
celui-ci
: on l’a épousée sans qu’elle y consentît, et ava
on ait du génie, le génie de son métier par exemple, et Molière avait
celui-ci
à miracle ; cela n’empêche même point que l’on so
ale de Kant. Or quel est le critérium de la morale de Molière ? C’est
celui-ci
: Ne soyez pas ridicule ; est à éviter tout acte
e les criminels soient intéressants ? Le raisonnement de Rousseau est
celui-ci
: le personnage sympathique, le personnage « qui
seil en est bon, mais il est insuffisant » Molière, en ne donnant que
celui-ci
, ou en ne donnant guère que celui-ci, n’est pas i
ant » Molière, en ne donnant que celui-ci, ou en ne donnant guère que
celui-ci
, n’est pas immoral, mais il n’est pas moral le mo
s où en appelle toujours Molière. Tout son contrat avec le public est
celui-ci
: « Suis-je amusant ? Ce que je vous montre l’ave
rche éternellement son idéal de beauté et qui ne le trouve jamais, et
celui-ci
n’est pas même indiqué par Molière ; il y a surto
e, il pousse des élans et des soupirs ; si l’homme de bien se retire,
celui-ci
, qui le voit partir, s’apaise et ne souffle pas…
me de tout vieillard qui meurt riche et sans enfants ; et il faut que
celui-ci
le déshérite, s’il veut que ses parents recueille
e de la profession où le hasard les a mis et n’ont toute leur vie que
celui-ci
; que tel homme né aussi bien pour la magistratur
ur un tel sujet, qu’une telle a fait des paroles sur un tel air ; que
celui-ci
a fait un madrigal sur une jouissance et que celu
r. Ils la dégoûtent du reste et son dernier mot sur cette affaire est
celui-ci
, qu’elle dit à Tartuffe : C’est contre mon hume
s connu des hommes qui présentaient cette particularité intéressante.
Celui-ci
, à l’extérieur, dans son bureau, au milieu de ses
mun troupeau et c’est son dernier mot, transformé, si vous voulez, en
celui-ci
: « Je veux qu’on me préfère », quand il refuse C
n lieu désigné, pour s’y entendre admonester par Monsieur de Molière.
Celui-ci
vint, en effet, leur faire la harangue. Il leur d
ges au caractère même de ses comédiens, ne savait jamais que faire de
celui-ci
. Mais à la journée des mousquetaires, sa poltronn
n, tout ému, lui fait servir à manger, puis il monte trouver Molière.
Celui-ci
fut charmé de son bon cœur: « Il ne vous a pas tr
’étaient plus quittés. Malgré sa vie légère, Molière aimait Chapelle.
Celui-ci
amena un jour, à Auteuil, grande compagnie: c’éta
trouvait encore chaque jour quelques heures pour s’occuper de Baron.
Celui-ci
, qui en était à sa quinzième année, grandissait à
çut un ressentiment si vif, qu’il ne voulut plus rester chez Molière.
Celui-ci
tâcha de l’apaiser, mais rien n’en fut capable. S
modé : l’excès du travail et le départ de Baron en avaient été cause.
Celui-ci
, qui s’était remis chez la Raisin, ne put point r
es émeutes, les tempêtes, l’impopularité violente, et les murmures de
celui-ci
, et les haines de celui-là ! Ils ont dépensé leur
filles à peine vêtues se refusent un tour de lit et du linge blanc. —
Celui-ci
est toujours le premier homme du monde pour les p
Molière et Marivaux, ses deux amis fidèles, fidèles jusqu’à la fin ;
celui-ci
austère, sérieux, solennel, même dans sa vie ; ce
autre qu’elle-même elle soutenait, en lui prêtant sa blanche épaule ;
celui-ci
qui survivra à toutes choses, même à une perte ir
ppelez des fautes commises, imaginez-en si vous voulez de nouvelles ;
celui-ci
se charge de plus d’affaires qu’il n’en peut étud
entureux, il suffirait de s’arrêter à un point entre dix, par exemple
celui-ci
. Claire-Armande-Grésinde-EIisabeth Béjart, qui d
rtufe eût été prêtre ou moine, s’il eut suivi les idées de son père !
Celui-ci
, à partir de son second mariage, s’était un peu t
elin pouvait croire son fils tout aux études qui menaient à l’Église,
celui-ci
était tout aux distractions qui l’entraînaient ve
e perdre son fils, qui avait été l’un des meilleurs amis de Molière ;
celui-ci
s’empressa de lui adresser, avec un sonnet qu’on
par Molière, du temps de ses chagrins, à Chapelle, et communiquée par
celui-ci
à l’auteur de la Fameuse Comédienne, qui, suivant
ieux à tenter des entreprises du genre de celle que méditait Molière.
Celui-ci
, malheureusement, n’était pas homme à s’imposer,
u’avec des essences de perversité. Les modèles ne lui manquèrent pas.
Celui-ci
— et qui sait ? c’est Bussy peut-être ! — posa po
tenir, solliciteur empressé près de Rousseau. Après quelques lettres,
celui-ci
s’exécuta, en s’étonnant qu’on y mit tant d’insis
t donc à Barbieri ce que Barbieri avait pris à Luigi Groto, et ce que
celui-ci
avait pris à Plaute. Je pariais tout à l’heure de
à l’heure par Jupiter ! La familiarité du maître et du valet ‘donne a
celui-ci
, en tant d’endroits de la pièce, une supériorité,
aire, et fut le trop réel Argan, après avoir été le leste Mascarille.
Celui-ci
fut, d’origine, son type de choix, son personnage
l’acteur a voulu, comme toujours, enchérir sur celui de l’auteur, et
celui-ci
n’étant plus là pour faire respecter son œuvre, o
e du Marais », et non pas, comme on l’a cru, à l’IIôtel de Bourgogne,
celui-ci
, avec les Sosies, soutenait, sans trop d’inégalit
randes pièces en prose : l’Avare, le Bourgeois gentilhomme, Don Juan.
Celui-ci
même dut, pour survivre, en passer par l’arrangem
vince, où il était parti comédien, comme vous savez, malgré son père,
celui-ci
trouva moyen, le voyant plus à l’aise, de lui fai
bizarre, sur lequel on répétait toutes sortes de contes, entre autres
celui-ci
: comme le caprice et la diversité étaient sa règ
ton affaire bonne. » Ce fat l’oublia. Il dit à l’autre la même chose.
Celui-ci
les lui envoya, et un dindonneau. Le premier envo
ler empereur, comme il l’avait permis au Turc de 1669. L’ambassade de
celui-ci
, qui, je l’ai dit, était la première que nous eus
e, « Mme étant allée avec beaucoup d’autres, voir l’ambassadeur turc,
celui-ci
la trouva la plus belle et lui jeta le mouchoir.
à, et, de plus, elle instruit ceux qui veulent, au théâtre, surtout à
celui-ci
, mieux que de l’amusement. C’est tout un tableau
uelque chose de plus touchant, Polyphile, de plus fleuri. » Un jour,
celui-ci
, qui était, de son aveu, le plus sujet à cette ma
este ; le sage qui le calme et le redresse, c’est Philinte. Il parle,
celui-ci
, et c’est ce qui dénonce l’origine de toute cette
et lçs latins anciens et modernes. Le passage dont je veux parler est
celui-ci
de la première scène d’Orgon : ■ Jusque-là qu
bigoterie ; ce qui paraît en ce que l’homme même, qui est infatué de
celui-ci
, ne sait que dire pour le louer, etc., etc. » M.
vice des siennes, et qu’on affublait avec n’importe quelle défroque :
celui-ci
, le valet, avec la mandille du temps de Louis XII
este ; le sage qui le calme et le redresse, c’est Philinte. Il parle,
celui-ci
, et c’est ce qui dénonce l’origine de toute cette
e jeune, le portrait du Musée-Ingres, à Montauban. Qu’il suit ou non,
celui-ci
, de Sébastien Bourdon, qui, en ce cas, n’aurait j
ifférent en ces matières, qui aurait touché des points délicats comme
celui-ci
, qu’indique F. Génin : Il n’était pas janséniste,
ation du duel consiste en l’intention expresse de se battre, laquelle
celui-ci
n’a pas781 ». De même, dans le Tartuffe. Lorsq
perfide, un calomniateur Ravissait à la fois et la vie et l’honneur.
Celui-ci
ne pouvant, au gré de son envie, Prouver que votr
u fond Molière s’accommodait malaisément aux théories du romantisme ;
celui-ci
, on s’en souvient, ne voulait plus ni tragédie ni
’est à son aïeul paternel que l’on a longtemps attribué ce rôle, mais
celui-ci
étant mort en 1626, ainsi que l’a prouvé l’acte m
te comique qu’il s’agit, mais du musicien. À l’époque où nous sommes,
celui-ci
ne se doutait guère sans doute qu’un jeune étudia
dre pleige caution pour Jean-Baptiste Poquelin de Molière. Le 13 août
celui-ci
est en liberté et s’oblige, avec ses compagnons,
oucy, mais sans ses pages. La lettre de Dassoucy à Molière prouve que
celui-ci
était alors à Carcassonne, et, comme les états y
ur de Molière auprès du prince était telle, dit-on, que non seulement
celui-ci
obligeait les communes à transporter les bagages
en la maison de Jean Poquelin témoigne bien que les ressentiments de
celui-ci
étaient totalement dissipés. Marquise Thérèse de
admise à faire son essai devant la cour. C’était la faveur à laquelle
celui-ci
aspirait depuis si longtemps, le but qu’il poursu
ces, où l’acteur a plus de part que l’auteur, ont donc été inutiles à
celui-ci
, et sont en réalité perdues pour nous. Molière se
différentes, il est certain que sa pensée était alors de s’approprier
celui-ci
et de le faire reparaître souvent ; nous ne tarde
efois, il ne changea rien à la publication de Neufvillenaine, quoique
celui-ci
reconnût d’ailleurs qu’il pouvait s’être glissé q
l s’établit entre eux une sorte d’association tacite qui permettait à
celui-ci
de tout oser, qui lui promettait assurance et gar
e l’auteur comédien ; qu’il semble par conséquent, que la position de
celui-ci
fût déjà affermie à la cour, et qu’entre le monar
dant cette guerre, dont il ne faut pas atténuer les périls, obligeait
celui-ci
à se montrer plus dévoué que jamais aux plaisirs
i l’appelait, il le vit qui courait après la voiture. Il s’arrêta, et
celui-ci
, lui montrant une pièce d’or, lui dit : « Monsieu
nt voulu peindre le surintendant Fouquet, et l’audacieuse rivalité de
celui-ci
avec son souverain était un des ressorts de l’act
possédait un moyen excellent pour l’obliger à démentir les bruits que
celui-ci
aurait peut-être laissés trop complaisamment cour
apable d’engendrer la mélancolie, répondant plus tard à Racine, quand
celui-ci
lui demanda son avis sur la touchante Bérénice :
que Baron jouerait son personnage de Myrtil. Après la représentation,
celui-ci
eut la hardiesse de demander au roi, à Saint-Germ
umée, et que Chapelle le lui permettra : « Parbleu ! Molière, s’écria
celui-ci
, tu n’as jamais eu tant d’esprit. Ce jugement-là
t dont la musique fût d’un autre musicien que Lulli, car la faveur de
celui-ci
auprès de Louis XIV était alors presque illimitée
’accord qu’on ne peut pas mieux faire que vous avez fait. Croyez-moi,
celui-ci
sera de même, et vous le jouerez mieux que vous n
ancien camarade et pria le jeune Baron de lui servir d’intermédiaire.
Celui-ci
se prêta volontiers à la démarche. Il alla trouve
lissait les modestes fonctions de moucheur de chandelles, elle épousa
celui-ci
de haute lutte. Ils étaient à Lyon, en 1669, quan
la conquête d’un jeune capitaine d’infanterie, Boisset de Villedieu.
Celui-ci
lit les démarches nécessaires pour contracter mar
apperçoit les sabots, donne le Docteur au diable & bat Arlequin.
Celui-ci
se doute bien que Scapin a fait le coup ; il le g
ssistent le flambeau, Que le nombre d’amants que j’ai mis au tombeau.
Celui-ci
va mourir ; lui rendrai-je la vie ? Je le puis d’
ui ne change point. C’est une suite de traits dont aucun n’est perdu;
celui-ci
est pour moi, celui-là est pour mon voisin ; et c
qui avait une grande confiance en Montausier, ayant été tué en 1643,
celui-ci
fut fait prisonnier, peu de temps après, à la dér
ière et l’un de ses plus heureux successeurs, Regnard. Le dialogue de
celui-ci
est un assaut continuel d’esprit et de gaieté. On
ur quartier ; et, en cela, leur vœu conspire avec le besoin du poète.
Celui-ci
, en effet, sent que, pour plaire et triompher, il
Térence dit en quatre mots, avec la plus élégante simplicité, ce que
celui-ci
ne dit qu’avec une multitude de métaphores qui ap
ophie inclusivement. Dès qu’il fut rentré dans la maison de son père,
celui-ci
, qui ne pouvait plus, à cause de ses infirmités,
c’est l’histoire de Claude Perrault et du cavalier Bernin. Avant que
celui-ci
fût appelé de Rome pour donner les dessins de la
mère l’ancienne maîtresse de l’autre, et allait même jusqu’à donner à
celui-ci
sa propre fille pour épouse, on n’en doit pas con
on, devant la duchesse de Savoie, par Pierrotin, Son page de musique,
celui-ci
, qui avait perdu la voix à force de boire, s’acqu
tainement pas attribué à Molière un couplet d’une de ses chansons, si
celui-ci
n’en eut pas été véritablement l’auteur. Ce coupl
clamation de Montfleury, comédien de l’Hôtel de Bourgogne, le fils de
celui-ci
, pour venger son père, composa l’Impromptu de l’H
stupide admiration. Montufar se permettant d’insulter le gentilhomme,
celui-ci
le frappe dans un mouvement de colère ; et aussit
relle aux mots, et n’ont pas même épargné les points et les virgules.
Celui-ci
relève une expression qui lui paraît impropre, ce
lui qu’il enflamme de plus en plus le courroux de son père ; et quand
celui-ci
le chasse, l’accable de sa malédiction, Tartuffe
perfide, un calomniateur Ravissait à la fois et la vie et l’honneur ;
Celui-ci
, ne pouvant, au gré de son envie, Prouver que vot
urs ouvrages. Un bel esprit se trouvant à un Sermon auprès d’un Abbé,
celui-ci
faisait des contorsions épouvantables, et des gri
es de Mde. Pernelle27, de Mde. Jourdain28, de Mde. de Sotenville29 et
celui-ci
, furent faits exprès pour lui, par Molière, à ce
ière dans cette dispute, et ne l’épargna pas, non plus que Despréaux.
Celui-ci
, ne se vengea que par de nouvelles railleries ; m
hasardé quelques traits un peu forts qu’il a retranchés, entre autres
celui-ci
: Don Juan, dans une Scène avec un pauvre qui lui
. Il va consulter le Docteur sur les moyens de la mettre à la raison.
Celui-ci
parlant toujours, ne lui donne pas le temps de s’
d’une seringue, à qui il demanda quel but il voulait coucher en joue.
Celui-ci
lui apprit qu’il allait seringuer de la beauté à
u premier ; nous jouissons de la rage muette et concentrée du second.
Celui-ci
, habile, expérimenté, fertile en ressources, voit
instituteur, puisqu’ils le rendent odieux à son élève, et précipitent
celui-ci
dans les écarts mêmes qu’on veut lui faire éviter
pour la défense de L’École des femmes, et l’ayant portée à l’auteur,
celui-ci
trouva des raisons pour ne la point jouer, encore
connu le pere de la jeune fille, a fait appeller Antiphon en justice.
Celui-ci
ne s’est pas défendu, & a été condamné. Le pe
onne pas bien vîte de l’argent. Phédria prie Géta de lui en procurer.
Celui-ci
ne sait où en prendre, lorsqu’il apperçoit les de
a acheté sa chere esclave. Chrémès menace le Parasite de la justice ;
celui-ci
, pour l’en punir, appelle la femme du vieillard à
médecin pour le consulter sur la maladie noire dont il était attaqué,
celui-ci
, qui ne le connaissait pas, lui dit qu’il n’y ava
ut à la fois sur la cour et sur le poète, et n’embarrassait pas moins
celui-ci
qu’elle n’importunait l’autre. Il est évident par
e son sublime rival ; Molière nous est plus immédiat que Shakespeare.
Celui-ci
ne montre l’homme que dans des situations violent
écrit de pareils, point signés non plus, vous avez confronté ; renier
celui-ci
, ce serait renier les autres, point du tout : Po
ur de l’un, c’est l’hypocondrie de l’autre, c’est l’habit arménien de
celui-ci
, ce sont les rubans verts de celui-là, c’est en u
art dans un volume intitulé Rousseau penseur et qui sera publié après
celui-ci
. Ici, je ne m’occupe exclusivement que de Roussea
s d’Alceste avec son ami, où les froides maximes et les railleries de
celui-ci
, démontant l’autre à chaque instant, lui font dir
i donne sur Philinte une supériorité qui n’est pas du tout du goût de
celui-ci
. Survient Alceste. Dans la solitude où il s’est r
ération ! Un des inconvénients de la comédie, comme de la satire, est
celui-ci
: En rendant sévère pour les défauts, elle rend i
Or il ne dépend pas d’un homme qui dépend du public de faire faire à
celui-ci
plusieurs progrès ou plusieurs grands pas en trei
tention. » On ne peut pas le tenir pour responsable. L’autre fait est
celui-ci
. Du temps du Théâtre libre, à Paris, de 1890 à 19
trempe dans un complot contre son père, qui peut entraîner la mort de
celui-ci
. A l’inceste, le public hésite ; au parricide, il
t ses imitateurs et n’est point du tout en même temps contre Molière,
celui-ci
n’ayant point abusé de l’amour dans ses pièces et
prendre, la religion de ce très parfait honnête homme, la religion de
celui-ci
même. Cette religion dont, du reste, je ne songe
et elle n’aura lu aucun livre, sauf Barrème et Télémaque ; et encore
celui-ci
par surprise et à son dam ; car il l’a troublée j
rgeois des bourgeois, que d’ordinaire il aimé si peu qu’il suffit que
celui-ci
soit d’un avis pour qu’il soit d’un autre ? Parce
, pour en faire des chefs-d’œuvre en y mettant sa marque d’artiste. A
celui-ci
surtout, il est odieux, et celui-ci surtout lui e
y mettant sa marque d’artiste. A celui-ci surtout, il est odieux, et
celui-ci
surtout lui est odieux éminemment, parce que, hom
iage secret qu’a fait son fils. Le vieillard s’emporte contre Valere.
Celui-ci
ne sait pas qui peut le trahir : il se doute que
t avec ces Nymphes, & lui demandent la raison de cette alégresse.
Celui-ci
leur apprend que Charles de Lorraine s’est sauvé
elle ne peut partir sans faire perdre cinq cents guinées à Freeport ;
celui-ci
répond : Oh ! qu’à cela ne tienne : quoiqu’elle
était élevée auprès de sa soeur, actrice de la troupe de Molière, et
celui-ci
la protégea souvent contre les mauvais traitemens
Ici, se présentent un maître de danse et un compositeur de musique :
celui-ci
, qu’un art plus noble devrait rendre plus sensibl
philosophe de Madaure et à l’Athénien Aristophante : les ouvrages de
celui-ci
ne nous sont point parvenus, et nous ignorons s’i
chez lui, une foiblesse impardonnable. Qu’on donne dix ans de moins à
celui-ci
, il cesse d’être ridicule, par conséquent d’être
m’aider à me tirer d’affaire avec Hortense. La Comtesse. Quel homme !
Celui-ci
ne m’ennuiera pas du récit de mes rigueurs. J’aim
sa femme : elle en est piquée, fait attention au mérite de Lothaire.
Celui-ci
avoue qu’il ne s’est d’abord déclaré que pour céd
’après son mariage. Oronte ordonne à son fils d’épouser la Comtesse :
celui-ci
déclare son mariage avec Julie : le pere se laiss
avec art, & sait jetter de la variété même dans un seul ; témoin
celui-ci
qui est dans l’Andrienne. ACTE I. Scene IV. Mysi
il propose sa fille à Eraste, en augmentant sa dot de dix mille écus.
Celui-ci
accepte le parti, par rapport à M. Oronte, dont i
on a reconnu les coquineries de son imposteur, & qu’il le chasse,
celui-ci
va dénoncer son bienfaiteur, remet au Roi les pap
al. Richelet fit un éloge assez mince du roman de l’orgueilleux Abbé.
Celui-ci
s’en plaignit : Richelet s’en moqua, & lui fi
p; sur le génie de Moliere, ouvrage dont il est souvent question dans
celui-ci
; des réflexions historiques & critiques sur
eur arrivée à Paris, Julie prie Damis de lui indiquer un hôtel garni.
Celui-ci
la conduit dans une maison qui appartient à M. Ar
hat, donnoit un coup de pied dans le derriere à son premier Ministre,
celui-ci
le rendoit à un second, le second à un troisieme,
Résident d’une Puissance étrangere demande à parler au Bourg-mestre ;
celui-ci
qui a la tête cassée, qui ne sait plus où il en e
re. Il demande encore conseil à Pancrace, Philosophe Aristotélicien ;
celui-ci
, tout échauffé d’une dispute qu’il vient d’avoir
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