nt à sa fin, l’union des qualités qui conviennent à son idée. Mais la
beauté
est essentiellement un charme secret, un je ne sa
ussi indéterminée dans l’esprit du commun des hommes, que celle de la
beauté
. Quant aux philosophes qui font définie, il faut,
éserve, son esprit aux impressions du comique, son âme à celles de la
beauté
… La toile tombe ; elle s’est parfaitement diverti
du privilège unique d’être infaillible en matière d’art, de sentir la
beauté
partout où elle serait, et de ne la sentir que là
généreux et désintéressé par excellence. Elle fonde donc sa foi à la
beauté
des œuvres, à l’art des ouvriers, sur un témoigna
énie de Molière, parce que ses comédies la touchent ; elle croit à la
beauté
de L’École des femmes, parce qu’elle la sent, et
ques et l’idée de la comédie, entre les belles œuvres et l’idée de la
beauté
, mais de l’effet immédiat de ces œuvres sur sa se
de la science et de la raison. À présent, lorsqu’elle ne sent pas la
beauté
d’un poème vanté de tout un peuple ou seulement d
lle a suffisamment cultivé son goût par l’étude et la comparaison des
beautés
de l’espèce dont il s’agit312 ; puis elle étudie,
s éternels qu’Uranie forme son goût. Si elle n’en sent pas d’abord la
beauté
, elle les médite en silence jusqu’à ce qu’elle l’
plus contraires même peuvent être comprises dans le vaste sein de la
beauté
, comme de la vérité, et c’est pourquoi les contra
mmentaire du texte que l’émotion de sa voix, elle en ferait sentir la
beauté
à cette âme simple. Mais aux philosophes, à ce qu
ar lui-même pour convaincre et persuader tous les hommes de sa propre
beauté
, le commentaire ne l’a point pour rendre cette be
es de sa propre beauté, le commentaire ne l’a point pour rendre cette
beauté
sensible aux esprits rebelles et aux cœurs indiff
de Schlegel, de Jean-Paul et de Hegel lui-même l’ordre particulier de
beauté
exprimé dans les comédies de Molière. Si leur int
ra. Alors, s’ils rouvrent Molière, peut-être seront-ils frappés de sa
beauté
; mais ils ne croiront pas devoir cette révélatio
se confondent à ses yeux dans les œuvres qu’elle loue, l’amour de la
beauté
s’est allié dans son âme au respect de ce qui est
t personnel, en fait, pour ainsi dire, un temple digne de recevoir la
beauté
. La beauté n’est point saisissable pour l’entende
, en fait, pour ainsi dire, un temple digne de recevoir la beauté. La
beauté
n’est point saisissable pour l’entendement, point
définissable ; mais l’âme peut aspirer à la posséder, et chercher la
beauté
, vivre avec les choses belles, c’est établir sa d
toi-même, a dit un philosophe318, et si tu n’y trouves pas encore la
beauté
, fais comme l’artiste qui retranche, enlève, poli
sans relâche, jusqu’à ce qu’il orne sa statue de tous les dons de la
beauté
. Alors, plein de confiance en toi et n’ayant plus
n’ayant plus besoin de guide, regarde en ton âme, tu y découvriras la
beauté
. Que chacun de nous devienne beau et divin, s’il
é. Que chacun de nous devienne beau et divin, s’il veut contempler la
beauté
et la divinité. Jamais l’œil n’eût aperçu le sole
rme ; de même, si l’âme ne fût devenue belle, jamais elle n’eût vu la
beauté
. » L’école dogmatique et Molière Soyez de
e. C’est bien assez d’avoir osé, après Kant, dogmatiser un peu sur la
beauté
. Non ! le rire n’est point le signe du comique. C
ent le long d’un étroit sentier à part, près de la route royale de la
beauté
. Rejetez ce joug, monsieur Lysidas, et soyez de b
ité objective interne ou la perfection se rapproche du prédicat de la
beauté
; mais entre le concept du beau et celui du parfa
Paris, sur le théâtre du Palais Royal. Moliere doit ses plus grandes
beautés
au célebre Augustin Moreto, Auteur Espagnol : ceu
ne sentira jamais, quand même le Ciel, pour le toucher, formeroit une
beauté
chez qui toutes les graces des autres seroient ré
nutile. Elle va enfin le joindre. Le Prince lui dit galamment que les
beautés
du jardin l’avoient empêché de remarquer ses char
t sortir en voyant Diana. Diana entend chanter derriere le théâtre la
beauté
des Dames de sa Cour. Elle est indignée de n’ente
toit à la suite de sa Dame. Diana frémit, lui demande le nom de cette
beauté
. Carlos la rassure un peu, en lui disant que sa D
e le nom du vainqueur. Carlors nomme malignement Cintia. Il exalte sa
beauté
. La Princesse piquée répond qu’elle est surprise
Lecteurs s’apperçoivent sans doute que cette scene doit être de toute
beauté
. Diana reste avec le prétendu Médecin, qui lui
men 20. L’extrait de cette piece suffit pour en marquer les grandes
beautés
& les défauts. Le caractere de l’héroïne est
rds dans leur humeur chagrine ; il n’est pas pas naturel qu’une jeune
beauté
préfere le monstre des forêts à celui qui est civ
a marqué un plus grand dédain, & qu’elle croit épris d’une autre
beauté
: n’avoit-elle pas à craindre le refus le plus ou
e pourrions-nous pas souhaiter qu’un Auteur adroit, en s’emparant des
beautés
de Moliere & de celles de Moreto, remaniât le
pareils ; Que ce tribut qu’on rend aux traits d’un beau visage, De la
beauté
d’une ame est un vrai témoignage ; Et qu’il est m
t jusqu’à la fin, et modèle des scènes de jalousie : voilà les seules
beautés
de la pièce. L’ÉCOLE DES MARIS. Chef-d’œuvr
acte de l’homme qui veut mettra la France en ports de mer : voilà les
beautés
de cet ouvrage. L’ÉCOLE DES FEMMES. Chef-d’
e entière et s’enfuir dans les bois ; le dénouement enfin : voilà les
beautés
principales d’un ouvrage dans lequel il n’y a pas
eurs personnes n’approuvent pas, ne peut choquer, après cinq actes de
beautés
continues. La première scène du premier acte, où
e, scène si singulière, si belle et si hardie : voilà les principales
beautés
d’un ouvrage que l’Europe admire avec raison.
cuse d’avoir enlevé Elise, et le quiproquo de la cassette : voilà les
beautés
à étudier dans cette pièce. GEORGE DANDIN.
ns et ne sait ce qu’ils lui veulent : voilà, ce me semble, les seules
beautés
de cette pièce. LES AMANTS MAGNIFIQUES. Piè
. Jourdain reçoit Dorimène, et fait de l’esprit avec elle : voilà les
beautés
de cet ouvrage, dont le cinquième acte ne vaut pa
it froid et analytique qui, à force de vouloir faire ressortir chaque
beauté
, finit par enlever à nos chefs-d’œuvre leur magni
génie qui a inspiré Molière, le premier acte de sa pièce offrira des
beautés
; mais, malgré tout son talent, il succombera dan
e Molière n’a-t-il pas déployé dans les Précieuses ridicules ! Que de
beautés
dans ce seul petit acte ! Et cependant il ne s’ag
autre caractère absolument différent. Par ce moyen, il a produit des
beautés
du premier ordre et multiplié les effets ; mais e
nature, reconnues par la raison et le goût, ont produit de si grandes
beautés
, qu’elles sont universellement connues. Unité d
çoit. Mais que nous importe, lorsqu’elles produisent les plus grandes
beautés
, et que l’auteur, par la magie de son talent, sai
ois qu’une invraisemblance est déguisée avec art, qu’elle produit des
beautés
du premier ordre, on doit la pardonner à l’auteur
s l’esprit humain ; à cette composition si sublime, si étincelante de
beautés
, où le génie de Molière s’est pénétré d’un feu di
s intéressantes que présente la scène, crée un chef-d’œuvre rempli de
beautés
du premier ordre, et qui, réunissant les qualités
e tirade. ACTE III. Scene III. Tartufe. L’amour qui nous attache aux
beautés
éternelles, N’étouffe pas en nous l’amour des tem
le en vous ses plus rares merveilles. Il a sur votre face épanché des
beautés
Dont les yeux sont surpris, & les cœurs trans
, Vous croyant un obstacle à faire mon salut. Mais enfin je connus, ô
beauté
toute aimable, Que cette passion peut n’être poin
railles : cela m’a fait une grande compassion : cette fille est d’une
beauté
charmante. Que te dirai-je davantage, Davus ? Nou
e-toi, Davus, qu’elle n’avoit pas la moindre chose qui pût relever sa
beauté
. Ses cheveux étoient en désordre, ses pieds nus ;
enfin elle étoit faite de maniere, que si elle n’avoit eu un fond de
beauté
à toute sorte d’épreuves, tant de choses n’auroie
m’en parloit, & je ne voulus point lui découvrir l’effet que ses
beautés
avoient fait sur mon ame. Silvestre, à Octave. S
Acte I. Scene VI. HESPÉRIE, FILIDAN. Filidan est amoureux d’une
beauté
imaginaire : il exagere tout seul & les charm
e. Cet amant s’est pâmé dès l’heure qu’il m’a vue. De quel traits, ma
beauté
, le Ciel t’a-t-il pourvue ! En sortant du logis j
imables qualités ! Hespérie. Il n’est pas mort encore ; il rêve à mes
beautés
. Le dois-je secourir ? J’en ai la fantaisie. Mais
s ardemment conjurer vos bontés De seconder l’amour que j’ai pour ses
beautés
. Bélise. Ah ! certes, le détour est d’esprit, je
j’ai dans l’ame. Les Cieux, par les liens d’une immuable ardeur, Aux
beautés
d’Henriette ont attaché mon cœur : Henriette me t
oublait de soins pour sa parure, qui y dit-elle, est extrême comme sa
beauté
et sa gaîté, ajoute-t-elle, est extrême comme sa
autre côté, le parti de l’amitié n’est point pris nettement ; tant de
beauté
encore et tant d’orgueil se réduisent difficileme
. Mais la faiblesse humaine est grande. On veut ménager des restes de
beauté
. Cette économie ruine plutôt qu’elle n’enrichit.
re les charmes de la jeunesse, toutes les ressources qui restent à la
beauté
par les ans confirmée. Elle avait trente-cinq ans
ur. — Dans cet affreux pays, les femmes précipitent le déclin de leur
beauté
par toutes sortes d’artifices mauvais ; elles cha
nardise et la même affectation, et le même caprice, tout proche de la
beauté
dont il est la juste contrefaçon ; oui, c’est bie
s livres qu’on recherche, on s’attache à d’autres formats, à d’autres
beautés
! Comme aussi je reconnais à certains signes inef
, et dans cette poussière éteinte, on devine facilement la rose et la
beauté
qui se souriaient l’une à l’autre, et peu s’en fa
-là. Nos Parisiennes surtout sont admirables pour ces hâbleries de la
beauté
; et comme pas une ne s’en fait faute, il en résu
ademoiselle Mars son héritage, s’il y avait en effet à son ombre, une
beauté
naissante, un sourire, une grâce, une promesse, q
iles, aux oisifs, aux inutiles, aux inconnus, aux esprits blasés, aux
beautés
hors d’âge, ils se figurent qu’ils restent jeunes
que ce que je vous dis ! » Non ! elle voulait que l’on eût foi, en sa
beauté
, non moins qu’en sa parole, en revanche, elle ava
à la jeunesse, à l’espace, au soleil, à la force, à l’espérance, à la
beauté
? On te salue, on te bénit, et l’on t’aime, ô jeu
ré de la douce rosée matinale ; on se prosterne à tes pieds adorés, ô
beauté
printanière, ô poésie, éloquence et cantique ! Vo
Mars. Elle a été patiente outre mesure ; elle a attendu longtemps sa
beauté
, son esprit, sa jeunesse, sa grâce, son charme en
s, les défauts, les impuissances, elle s’est attachée aux grâces, aux
beautés
, aux promesses que fait le présent à l’avenir ! E
à son aide tout ce qui lui restait de force, de grâce, de charme, de
beauté
! Jamais son esprit n’avait été plus ingénieux, p
peu poète. Sa mère jouait la comédie, et aussi sa jeune tante dont la
beauté
était célèbre dans un temps où il était difficile
mademoiselle Mars. Ces louanges, ces splendeurs, ces fortunes, cette
beauté
adorée à genoux, ces poètes qui s’empressent à pa
aud ! 40. Mademoiselle Mars n’a pas vu son héritière en jeunesse, en
beauté
, en charme, cette admirablement belle Madeleine B
moiselle Plessis. 41. On se rappelle cette phrase de Marivaux ; « Ma
beauté
! comment ! je suis en procès sur de si grands in
re quelles sont les qualités qui l’ont rendu amoureux. Oratio loue la
beauté
du corps et décrit l’une après l’autre ses perfec
corps et décrit l’une après l’autre ses perfections. Cinthio loue la
beauté
de l’âme et vante tous les dons exquis qui l’ont
’ont fait brûler pour elle. Isabelle dit à Cinthio qu’il jouira de la
beauté
de son esprit et lui souhaite le bonsoir ; elle d
t lui souhaite le bonsoir ; elle dit à Oratio qu’il jouira de l’autre
beauté
et sera son mari. Les jeunes gens et les jeunes
hio, lequel, resté sans père ni mère, n’avait qu’une sœur douée d’une
beauté
rare et d’une éducation distinguée. Il advint que
envoyé par ses ennemis de Venise afin de le tuer ; mais touché de la
beauté
d’Isabelle, il renonce à son projet et demande la
t pas toujours aussi distinguées. Habituellement elles portent sur la
beauté
d’un vers, d’un morceau, sur les proportions régu
ouvert de lambeaux perce la foule des héros, des grands hommes et des
beautés
qui composent cette cour ; il leur propose de qui
gles on doit le plus admirer, ceux qui ne voyaient pas l’incomparable
beauté
de tout ce que l’antiquité avait fait, ou ceux qu
es personnes bien élevées qui ont du goût. Nous nous épanchons sur la
beauté
d’un vers, sur la bonne contexture d’un drame, su
ne voit-il pas qu’on peut lui demander la raison pour laquelle cette
beauté
est beauté et cette laideur est laideur ? Quant à
pas qu’on peut lui demander la raison pour laquelle cette beauté est
beauté
et cette laideur est laideur ? Quant à moi, je ne
le sein du vieux dogmatisme qui lui tend les bras. Le sentiment de la
beauté
lui-même, est-il bien nécessaire de le conserver
écessaire de le conserver ? Lorsque Uranie ne comprend pas d’abord la
beauté
d’une œuvre d’art vantée par les suffrages de tou
it-il me dire combien de temps Uranie a silencieusement médité sur la
beauté
de la Vénus hottentote, pour la comprendre et la
ses bêtes ont leur raison d’être, leur droit d’être, et leur ordre de
beauté
dans l’ample sein de la nature. Il est vrai qu’el
hysionomies différentes, de la diversité de la nature389. Il n’y a ni
beautés
, ni défauts dans l’ordre littéraire ; car, sans l
autés, ni défauts dans l’ordre littéraire ; car, sans les défauts les
beautés
ne seraient pas ; défauts et beautés, c’est la mê
aire ; car, sans les défauts les beautés ne seraient pas ; défauts et
beautés
, c’est la même faculté qui produit tout390. On di
s pourquoi l’on est convenu de considérer comme parfaite une certaine
beauté
négative, où l’on a évité toutes sortes de fautes
eille, des Shakespeare et des Michel Ange. Le critique ne blâme ni la
beauté
harmonieuse, ni la beauté discordante et violente
des Michel Ange. Le critique ne blâme ni la beauté harmonieuse, ni la
beauté
discordante et violente, ni la noblesse oratoire,
roit d’exister, et content d’avoir atteint la source d’où coulent les
beautés
et les défauts, il montre simplement, comment, te
simplement, comment, telle source étant donnée, tels défauts, telles
beautés
devaient naturellement suivre.392 Il étudie Sopho
paraît une secrète et profonde douleur, l’inaltérable sérénité de la
beauté
plastique410. Mais dans les statues de la Renaiss
ne entière que l’on pourrait supprimer sans nuire, je ne dis pas à la
beauté
, à la richesse de l’œuvre, mais sans nuire à son
amoureux de quelque dame qui eût eu quelques légers défauts, ou en sa
beauté
, ou en son esprit, ou en son humeur, toute la vio
ionnaire philosophique ; articles Élégance et Fable. Connaissance des
beautés
et des défauts de la poésie et de l’éloquence dan
comme les personnages d’Eschyle ; ils ont encore moins approché de la
beauté
de ceux de Sophocle. Cet anachronisme est nécessa
ci. L’étudiant reprit : Je suis nouveau dans Rome ; Et puis, hors les
beautés
qui font plaisir aux gens Pour la somme, Je
étentions. Je vous avouerai donc, avec pleine franchise, Qu’ici d’une
beauté
mon ame s’est éprise. Mes petits soins d’abord on
un joli bijoux, pour ne vous point mentir ; Et ce seroit péché qu’une
beauté
si rare Fût laissée au pouvoir d’un homme si biza
la ville assisterent aux noces, & furent autant satisfaites de la
beauté
de Laure, qu’elles le furent peu de son esprit. L
trois tours de chambre ; ce qu’elle fit par hasard de si bon air, sa
beauté
naturelle & son air de Pallas y contribuant b
rer Le mari qui la possede. C’est lui que touche seul le soin de sa
beauté
, Et pour rien doit être compté Que les autres
tresse, sous prétexte de lui faire voir des hardes à vendre ; loua sa
beauté
, la plaignit d’être si-tôt séparée de son mari, &
orde Cloris. Scene IX. . . . . . . . . . . . . . . . . . . Léandre.
Beauté
, l’étonnement des hommes & des Dieux ! N’étoi
es modeles. Moliere a étendu son sujet : les fautes ont disparu ; les
beautés
ont été placées dans un jour favorable. L’un est
s à tous les Poëtes D’être fideles interpretes De l’Ecole & de sa
beauté
, D’en dire bien la vérité, Et d’en parler en cons
usage : de là vient que leurs premiers ouvrages, s’ils n’ont pas ces
beautés
délicates, cette vigueur mâle qui caractérisent l
la populace ; j’ai joui du plaisir de lui voir saisir les véritables
beautés
, de lui voir distinguer celles qui sont dans la n
& le plus grand usage du théâtre ne suffisent pas pour juger des
beautés
ou des défauts d’une comédie. On a beau dire que
te pour éviter l’ennui qui le poursuit. Un connoisseur y trouvera des
beautés
qui se renouvelleront & deviendront plus vive
aute, Térence, Moliere, dont je ferai également remarquer les grandes
beautés
& les choses qui pourroient être mieux vues.
ations. Quel seroit mon bonheur si, en faisant remarquer chez lui des
beautés
dans tous les genres, je pouvois indiquer le moye
ns le même enchantement lorsqu’on voit M. de l’Empyrée amoureux d’une
beauté
imaginaire qui l’a charmé par les vers ingénieux
absolument épouser. Les scenes de Baliveau sont aussi de la derniere
beauté
, parceque toutes celles qu’il a, soit avec Franca
énouées que par la Métromanie annoncée dans le titre. Les différentes
beautés
que nous venons d’indiquer ont beau être accumulé
’en écartent : vues séparément, les dernieres ont cependant autant de
beautés
, & peut-être davantage, preuve incontestable
lus avant. Tout est renfermé là-dedans ; & sans dot tient lieu de
beauté
, de jeunesse, de naissance, d’honneur, de sagesse
de trop compliquer une action ; ce seroit craindre de mettre trop de
beautés
dans un ouvrage. Souvenons-nous sur-tout que tout
sonne ne l’imita si bien qu’il a fait. Ceux qui conçoivent toutes les
beautés
de son Avare, et de son Amphitryon, soutiennent q
e grand nombre d’Ouvrages qu’il nous a laissés, et qui ont tous leurs
beautés
proportionnées aux sujets qu’il a choisis. Il tâc
n qui doit éterniser sa mémoire. Toutes ses Pièces n’ont pas d’égales
beautés
, mais on peut dire que dans ses moindres il y a d
nt satisfaits du dénouement de quelques-unes de ses Comédies, tant de
beautés
avaient prévenu pour lui l’esprit de ses auditeur
qu’il composa L’Astrée. Il était célèbre dans le monde galant par sa
beauté
, ses grâces, son esprit et son tendre cœur. Ayant
illeuse passion pour Diane de Châteaumorand, personne d’une admirable
beauté
, d’une grande fortune, toute occupée de ses charm
rincipalement de ceux qui se distinguaient par la politesse et par la
beauté
de l’esprit. » Rien ne nous apprend comment le I
nt rien que d’illustre et de noble. De Pure dit d’elles : Ce sont des
beautés
, ce sont des muses. Elles ne font point corps,
tie que la société où le pouvoir passe d’une main à l’autre, comme la
beauté
passe d’un visage vieilli à un plus jeune, et com
faisaient ; sur leurs mœurs et sur l’usage qu’elles faisaient de leur
beauté
. « La première partie d’une précieuse, dit Somai
e la morale des précieuses. De Pure nous a dit d’elles : Ce sont des
beautés
, ce sont des muses. Voyons la morale qu’elles obs
beautés, ce sont des muses. Voyons la morale qu’elles observent comme
beautés
. « On voit dans Somaise, au mot Mariage, que l
tous les dehors de l’amour vulgaire, et de rechercher J’estime par la
beauté
des ouvrages ou des discours ; de se donner aux p
seule pouvant blesser la morale. Celles qu’on appelle simplement des
beautés
, ont pour but principal de charmer les veux. Mais
fonder en droit les passions qu’elles peuvent faire naître Il y a les
beautés
fières et les beautés sévères : les premières sou
ssions qu’elles peuvent faire naître Il y a les beautés fières et les
beautés
sévères : les premières souffrent les désirs acco
nts de l’esprit et du corps ; de là vient qu’elles aspirent tant à la
beauté
et à toutes les grâces extérieures, et qu’elles s
suites fâcheuses pour elle. C’est encore Fénelon qui le dit21 : « La
beauté
ne peut être que nuisible à moins qu’elle ne serv
ales harmonieuses, n’ont pour elle aucun mot de reproche, admirent sa
beauté
et rejettent sur le destin la faute de leurs malh
ue chez ces courtisanes, célèbres par leur esprit autant que par leur
beauté
, et chez lesquelles Socrate se rencontrait avec P
endra sa vengeance des imprudences de Célimène. Ainsi la jeunesse, la
beauté
, la fortune, l’esprit, voilà des dons qui expliqu
sentiment qui la corrigerait, si elle pouvait l’éprouver. Ainsi de la
beauté
, de l’éclat, de l’esprit, de la ruse, tout ce qu’
ux quelques rayons affaiblis de la vraie perfection et de l’éternelle
beauté
. Nous-mêmes que le désir et l’amour de la perfect
esure, et l’une des consolations qu’on éprouve en le lisant, c’est la
beauté
de ces caractères, fermes entre les excès, et con
unes personnes qui peuvent contribuer à l’éclat de ses fêtes par leur
beauté
, leur grâce et leur esprit. La fumée des complime
nore et que chacun, voulant se rendre agréable, fait cet hommage à sa
beauté
. Moi, répond-elle avec le dépit du bon sens, … J
les diviser si bien dans chaque acte, qu’ils partagent également les
beautés
& les défauts, & que, loin de se nuire, i
référence, & dans lesquels il faut jetter un plus grand nombre de
beautés
. Il suffit, dit-on, que le premier, le troisieme
a l’un ou l’autre & ne sera jugé tel qu’à raison du nombre de ses
beautés
& de ses défauts. L’application est aisée. J’
it différent ; ce qui lui paroît un défaut me semble au contraire une
beauté
. Et voici comme je raisonne. Puisque l’acteur ou
ous n’ignorez pas que ce Maître des Dieux Aime à s’humaniser pour des
beautés
mortelles. . . . . . . . La Nuit. J’admire Jupi
pe, qu’il a transplantée dans le Joueur. Heureux, si, en touchant aux
beautés
délicates de son maître, il n’y eût point imprimé
les mêmes prétentions, les mêmes fatuités ; tous les deux vantent la
beauté
de leurs dents, de leur jambe, la finesse de leur
is ; Petits-Maîtres de robe à courte & longue queue. J’évente les
beautés
, & leur plais d’une lieue. Je m’érige aux rep
qu’il y a autant de défauts dans le dernier dénouement, qu’il y a de
beautés
dans le premier. Nous les avons déja cités dans l
tions, reconnues pour mauvaises, laissent cependant entrevoir quelque
beauté
qu’il est bon d’enlever à l’oubli. Mais Regnard p
lle relève les défauts de Lucile, Cléonte les transforme en traits de
beauté
, avec une impatience et une chaleur croissantes :
toutes sortes de restrictions. Elle n’avait, dit-il, « aucun trait de
beauté
; » mais il confesse que sa physionomie et ses ma
biller elle-même, en dehors et en dépit de la mode, et de donner à sa
beauté
ce ragoût d’étrangeté dont ceux-là mêmes qui le b
elle avait dans le sang la passion et l’instinct du théâtre. Outre sa
beauté
, elle y apportait « une voix extrêmement jolie, »
tous les autres, et des grâces nouvelles ont redoublé l’éclat de ses
beautés
. Jamais son visage ne s’est paré de plus vives co
colères de MmePernelle, étaient le cadre que Molière avait donné à la
beauté
de sa femme. Aussi Armande crut-elle pouvoir abor
Que l’on se rappelle son portrait dans le Bourgeois gentilhomme : sa
beauté
toute dans le regard, le sourire et les manières,
e : sa beauté toute dans le regard, le sourire et les manières, cette
beauté
, où la nature a la moindre part et la volonté de
art et la volonté de plaire la plus grande était, par excellence, une
beauté
coquette. N’est-ce pas le genre d’attraits que l’
ite de son épouse. Mais j’eus le chagrin de voir qu’une personne sans
beauté
, qui doit le peu d’esprit qu’on lui trouve à l’éd
t mal Mlle de Brie ; elle n’avait, disait-il, ni vertu, ni esprit, ni
beauté
. Molière en convenait, mais en ajoutant : « Je su
sa plainte fameuse : Moi qui me figurais que ma caducité Près de la
beauté
même étoit en sûreté ! Je m’attachois sans craint
afin qu’il mette ordre à cela. . . . . . . Je ne rappellerai ni les
beautés
, ni les défauts des deux scenes ; si l’on retranc
ent de Valere avec Marianne font oublier Tartufe. Il est vrai que les
beautés
de cette scene fixent l’attention du spectateur s
cene fixent l’attention du spectateur sur les amants ; mais ces mêmes
beautés
sont amenées par la crainte où est Valere de voir
le sais bien ; je sais aussi qu’elles en feroient davantage si leurs
beautés
tenoient au sujet & au personnage que le titr
e défectueux, le médiocre d’avec le détestable ; changer un défaut en
beauté
; rendre cette même beauté plus sensible en la pl
’avec le détestable ; changer un défaut en beauté ; rendre cette même
beauté
plus sensible en la plaçant dans son véritable po
le a fait par-là tout ce qui est de son ressort, & c’est alors la
beauté
de l’objet, la régularité, les proportions &
ien ressembler aux mauvaises imitations qui rapprochent également les
beautés
& les défauts : mais pour nous donner une idé
est un piédestal pour ces statues de chair. Les femmes qui ont de la
beauté
montent déjà dans l’Olympe idéal quand elles mont
emière, prit la vraie figure de la comédienne, parce qu’elle avait la
beauté
, la grâce, la hardiesse, l’intelligence qui font
gogne, elle se passionna pour cet art dramatique qui met en relief la
beauté
et l’esprit des femmes, ou faut-il dire que M. de
is voici où Molière se retrouve avec sa raillerie de poète comique :
Beauté
, pour qui je meurs d’amour, Songez à soulager mes
MmeBéjart : Bélise, je sais bien que le Ciel favorable A joint à vos
beautés
un esprit adorable, Qui ne pouvait loger au monde
soleil ne voit rien dessus ni dessous l’air Qui puisse aucunement vos
beautés
égaler, Et n’en verra jamais, quoiqu’il tourne le
up de manque et d’inégalités Et d’aussi grands défauts que de grandes
beautés
. La Nature amoureuse, en vous mettant au monde, S
; pouvait-il imposer une passion profonde à cette femme enivrée de sa
beauté
, à cette grande coquette qui avait une cour même
aujourd’hui malgré ses ans, À peine des attraits naissants Égalent sa
beauté
mourante. Mlle Mars et Mlle Anaïs nous ont repré
serait enchanté, Vous porteriez une couronne Si l’on couronnait à la
beauté
. Quoique d’amour je sois malade, Qu’une autre rè
yeux me disent qu’elle est belle, Mais mon cœur ne me le dit pas. La
beauté
de cette cruelle Est fameuse par cent trépas ; Me
cœur trop attendri le retint comme un point d’admiration devant cette
beauté
rebelle. Il se consola par un autre sonnet : Je
ec une candeur pénétrante, une ingénuité noble qui atteint à la vraie
beauté
, dans ces admirables vers de Martian : J’aimais
me pas le théâtre, Dont tout le monde est idolâtre, Nous a ravi cette
beauté
, Dont chacun était enchanté, Alors qu’avec un por
orimène, Aglante, Arsinoé, où elle enlevait tous les cœurs dès que sa
beauté
entrait en scène. Mais quoiqu’elle fût passée à R
ci d’autres vers inspirés à un de ses adorateurs : Vos vertus et vos
beautés
Mériteraient des couronnes. On voit en vous les q
appelez-vous Ninon de Lenclos avec son nain qui lui donne l’éternelle
beauté
et Mme de Maintenon avec son devin qui lui prédit
De part et d’autre, c’était le temps des belles folies et des folles
beautés
. » Dancourt était né à Fontainebleau le même jou
elligence et le même feu ; mais ce n’était pas non plus un miracle de
beauté
. Elle n’en eut pas moins trois maris. On allait b
e seule belle femme pour modele, qu’il mit pour ainsi dire toutes les
beautés
d’Agrigente à contribution, qu’il copia ce que ch
que Zeuxis, pour réussir, a sans doute fait tous ses larcins chez des
beautés
du même âge à-peu-près, & de la même conditio
utés du même âge à-peu-près, & de la même condition ; parceque la
beauté
d’une femme de vingt ans & celle d’une femme
al-propre sur soi, de peu d’attraits chargée, Est mise sous le nom de
beauté
négligée : La géante paroît une déesse aux yeux ;
sie ? c’est un tempérament délicat : exténuée par la toux ? c’est une
beauté
languissante : d’un embonpoint monstrueux ? c’est
dans une passion, et d’être mort dès sa jeunesse à toutes les autres
beautés
qui nous peuvent frapper les yeux507 ; » en vain
iage raisonnable sans argent : Quand on ne prend en dot que la seule
beauté
, Le remords est bien près de la solennité ; Et la
seule anime ce dessein553 : » « Quand on ne prend en dot que la seule
beauté
, Le remords est bien près de la solennité554. »
la honte de la nature raisonnable ; l’empire d’une fragile et fausse
beauté
, et cette tyrannie, qu’on y étale sous les plus b
s ne dit rien. Cet objet si vanté Surpasse-t-il Lucinde en esprit, en
beauté
? Sa personne en vertus est-elle plus brillante ?
tre curiosité. Ma niece, ma niece. Cette scene est de la plus grande
beauté
, & elle ne doit, ainsi que plusieurs autres,
roit pas été forcé de la réduire en trois actes pour en conserver les
beautés
.
. » À sa suite heureuse, il entraînait les grâces, les élégances, les
beautés
, les jeux et les fêtes, mêlés aux plus douces ode
t les autres : — « Molière ! et Molière ! » de vous voir chercher des
beautés
nouvelles dans ces chefs-d’œuvre, aussi connus qu
ais donc parlé comme il convient, et j’aurais fait remarquer, tant de
beautés
éparses, moins populaires que vous ne dites. Ceci
elle du Parc, mademoiselle de Brie, la Béjart, spirituel débris d’une
beauté
qui se défend encore, et surtout mademoiselle Mol
; ces comédiennes étaient belles et galantes, on les aimait pour leur
beauté
, pour leur esprit, pour leurs amours ; il y avait
manente, on leur pardonnait de bon cœur leur esprit, leur grâce, leur
beauté
, leur succès. Le moyen d’être jaloux de pauvres d
l’Enfant prodigue de M. de Voltaire, & vous verrez que malgré les
beautés
de ce dernier ouvrage, & l’ennui ou la bêtise
is, là, ces deux scélérats furent touchés de mon sort. Mes pleurs, ma
beauté
, mon âge, ce spectacle attendrissant d’une jeune
; elles se récrieront, sur-tout si elles sont parées des fleurs de la
beauté
& de la jeunesse ; il a raison : Madame une t
ême7 ! Le précis seul de ces scenes suffit pour en faire connoître la
beauté
, la force, la variété du comique. Ajoutons qu’il
de Moliere, puisqu’il en est peu où l’on trouve un si grand nombre de
beautés
; & il sera tout étonné quand on lui dira que
adeur et l’affectation. Ses ouvrages, où il se trouve quelques vraies
beautés
avec trop de faux brillants, étaient les seuls mo
gaires n’aperçoivent pas. Il est inutile d’examiner ici en détail les
beautés
de ce chef-d’œuvre de l’esprit, et de montrer ave
’une prude avec cette coquette outrée. Quiconque lit, doit sentir ces
beautés
, lesquelles même, toutes grandes qu’elles sont, n
pe, peut-être les trouverait-on dans l’intrigue de la pièce, dont les
beautés
ingénieuses et fines ne sont pas également vives
dies plus intéressantes ; et que le Tartuffe, par exemple, réunit les
beautés
du style du Misanthrope, avec un intérêt plus mar
etient aisément. Ces gentillesses frivoles servent à faire goûter les
beautés
sérieuses. Le Médecin malgré lui soutint Le Misa
t l’a fait jouer à Londres en 1733. Il y a ajouté réellement quelques
beautés
de dialogue particulières à sa nation, et sa pièc
ente pièce, et les derniers actes en sont très languissants ; mais la
beauté
du sujet, les ornements dont elle fut embellie, e
on mariage avec Arlequin : elle voit le portrait, le ramasse, loue la
beauté
de l’original. Arlequin revient, écoute, devient
e Italienne, Acte II, Scene V. Arlequin surprend sa femme admirant la
beauté
du jeune homme représenté dans le portrait, devie
e, Acte I, Scene VI. La femme de Sganarelle, non contente de louer la
beauté
de l’homme peint dans la miniature, sent la boîte
utile ; « Et je défere à votre avis. « Reste à lui faire avoir cette
beauté
qu’il aime. « Il n’aura que trop mon aveu. « Ce
ui veulent excuser M. Piron, comme si sa piece n’avoit point assez de
beautés
pour le consoler, disent : « Ce n’est point là le
gloire d’avoir imaginé un sujet heureux et d’en avoir tiré de grandes
beautés
: Molière a le mérite d’avoir presque toujours pe
e prince, obligé de feindre l’insensibilité, pour vaincre celle de la
beauté
qu’il aime, n’a rien de commun avec Louis XIV, fa
ppé de la foudre et englouti dans un abîme de feux. Ce sont là de ces
beautés
dont le peuple de tous les pays est idolâtre : il
auvais goût : un seul rachète l’extravagance obligée du sujet par des
beautés
du premier ordre, et ce fut celui de tous qui réu
de l’intrigue, le contraste des personnages qui y sont introduits, la
beauté
de la versification, ne frappèrent point le publi
gaires n’aperçoivent pas. Il est inutile d’examiner ici en détail les
beautés
de ce chef-d’œuvre de l’esprit, et de montrer ave
une prude, avec cette coquette outrée. Quiconque lit, doit sentir ces
beautés
, lesquelles même, toutes grandes qu’elles sont, n
, peut-être les retrouverait-on dans l’intrigue de la pièce, dont les
beautés
ingénieuses et fines ne sont pas également vives
dies plus intéressantes ; et que Le Tartuffe, par exemple, réunit les
beautés
du style du Misanthrope, avec un intérêt plus mar
pères, qui ne surent point reconnaître dans les écrits de Molière les
beautés
qui excitent si justement notre admiration. » M.
ce qui se passe tous les jours dans le monde. Je ne crois pas que les
beautés
de cette scène soient connues de tous ceux qui l’
Pour changer un peu de discours, Une chose de fort grand cours, Et de
beauté
très singulière, Est une pièce de Molière ; Toute
qui doit éterniser sa mémoire. « Toutes ses pièces n’ont pas d’égales
beautés
; mais on peut dire que dans les moindres, il y a
nt satisfaits du dénouement de quelques-unes de ses comédies, tant de
beautés
avaient prévenu pour lui l’esprit de ses auditeur
Jusqu’à la fin de ce déduit, L’aimable enjouement du comique, Et les
beautés
de l’héroïque, Les intrigues, les passions, Et br
itions qu’il avait cru devoir faire. Mme Dacier, qui étale toutes les
beautés
de la pièce latine, n’aurait pas réussi à faire p
trouve dans un séjour si délicieux, l’esprit fût encore touché de ces
beautés
surprenantes et extraordinaires dont ce grand pri
ant tout à fait trompés, l’on crut voir effectivement un jardin d’une
beauté
extraordinaire… « L’ouverture du théâtre se fait
auteur pour le genre théâtral. « [*]Avant que de faire connaître les
beautés
de cette comédie, j’entreprendrai d’en faire la c
de leurs concurrents que les femmes sur le mérite de leurs rivales en
beauté
, il en est venu avec un peu de temps à l’admirer.
a bouche, manque à l’une & à l’autre en prononçant leur nom ? une
Beauté
sensible, que les premiers soupirs du sentiment f
éloges s’ils en méritent ; peut-être même les Phriné, les Prudes, les
Beautés
sensibles vous récompenseront-elles plus particul
fit pas même imprimer dans sa nouveauté, quoiqu’elle ne soit pas sans
beauté
pour ceux qui savent se transporter aux lieux, au
ssi peut-on à volonté les admettre ou les retrancher sans toucher aux
beautés
solides de la piece. Pour le prouver, il suffit d
e XXII. Laura paroît : Lisardo voit clairement que ce n’est point la
beauté
à qui il a parlé ; il laisse les amants seuls. S
m Félix dans l’obscurité, & lui recommande de garder avec soin la
beauté
qu’il lui remet jusqu’à ce qu’il ait écarté le vi
ur, & tout le monde convient que si la piece n’avoit pas d’autres
beautés
, elle ne seroit pas à beaucoup près aussi estimée
oir trop mis à la réjouissance. Toutabas. Et c’est de là que vient la
beauté
de mon art. En suivant mes leçons on court peu de
t me touche peu : c’est un mariage d’inclination. Le Marquis. Pour la
beauté
ou pour l’argent, c’est toujours inclination. Le
es où il y a plusieurs grandes scenes, le spectateur, étourdi par des
beautés
qui se croisent mutuellement, les sent moins que
uin dévaliseur de maisons. Scapin fait croire à Pantalon que la jeune
beauté
dont il est épris le paie du plus tendre retour :
! &c. &c. En voilà assez pour prouver que cette scene a les
beautés
& les défauts de celle de Plaute. Il est sing
rt, puisque c’est à elle qu’on doit tous les défauts & toutes les
beautés
des imitations particulieres qu’elle fait naître.
fable sur son théâtre ? Quoique légers en apparence, les plus grandes
beautés
en naissent naturellement. Célio n’est que l’aman
amp; obtient pour lui l’agrément de l’Avare. On voit clairement les
beautés
que Moliere a puisées dans la source latine : il
nue, puisqu’il n’en a pas tiré une scene qui, selon moi, est de toute
beauté
, & qui auroit surement ajouté un nouveau méri
rge Dandin ou La Comtesse d’Escarbagnas pourraient aller corrompre la
beauté
dans les pièces où elle se trouve sans alliage et
oète. L’admiration des anciens fermait en partie les yeux sur tant de
beautés
neuves. Boileau, qui ne put jamais avouer ni sans
les rigueurs de la mort : Défendez-vous par la grandeur, Alléguez la
beauté
, la vertu, la jeunesse ; La mort ravit tout sans
pas pour lui l’universalité des suffrages ; mais si le sentiment des
beautés
dont il abonde a été refusé à quelques-uns, il n’
Elide 620 : Quand l’amour à vos yeux offre un choix agréable, Jeunes
beautés
, laissez-vous enflammer ; Moquez-vous d’affecter
pareils ; Que ce tribut qu’on rend aux traits d’un beau visage De la
beauté
d’une âme est un clair témoignage, Et qu’il est m
t des bergers héroïques qui vident ainsi la question : Usez mieux, ô
beautés
fières, Du pouvoir de tout charmer : Aimez, aimab
me, Pour contenter une âme N’ont point d’attraits assez puissants. La
beauté
passe : Le temps l’efface ; L’âge de glace Vient
lle avec une grande connaissance du théâtre, et beaucoup de goût, les
beautés
de la comédie de L’École des maris ; ensuite il j
Discreta enamorada. Je n’entrerai point dans un plus long détail des
beautés
dont Molière a enrichi sa pièce ; beautés que la
ans un plus long détail des beautés dont Molière a enrichi sa pièce ;
beautés
que la nouvelle de Boccace et la comédie de Vega
raits, et par l’élégance continue du style. C’est l’assemblage de ces
beautés
exquises ; c’est cette image, ou plutôt la réalit
aveurs qu’il obtient de sa maîtresse, ce qui fait tout le sujet et la
beauté
de L’École des femmes. « Cette pièce a produit de
ns à tous les poètes, D’être fidèles interprètes De l’École, et de sa
beauté
: D’en dire bien la vérité, Et d’en parler en con
ois qu’on doit ranger encore le dénouement du Mariage forcé parmi les
beautés
de Molière, qui sont inconnues à la plupart des s
ble place, Avec tant d’art et tant de grâce, Tant de pompe et tant de
beauté
, Que l’on croyait être enchanté. Mais entre tant
e : son dessein est d’y chanter, et de lui inspirer de l’amour par la
beauté
de sa voix, et par les grâces de son chant ; mais
t aisément avec quel art il a rendu sublimes dans ces deux scènes les
beautés
manquées dans l’original. Molière nous enseigne d
roi, et n’employa que cinq jours à la composer et à l’apprendre. Les
beautés
dont elle est remplie feraient soupçonner ce fait
upart pour le héros de la piece. Je vais encore citer Destouches. Les
beautés
ou les défauts d’un grand homme sont toujours des
& Damon y sont très bien en opposition. Mais plus leur scene a de
beautés
tout-à-fait étrangeres au principal personnage, p
. . . . . . . . Mais je crois que voici justement la personne Dont la
beauté
maudite a séduit mon neveu. Finette. Madame, il v
toujours par tomber de ce côté-là. Mais comment fut-elle initiée aux
beautés
de la commedia dell’arte ? C’est ce que nous allo
les rôles de femmes étaient tenus chez nous par des hommes. Enfin la
beauté
des costumes, la perfection des décors et des fei
abelle brillait sur le théâtre depuis 1578, se faisait admirer par sa
beauté
, par ses rares talents, et, ajoutent tous les tém
et un grand respect pour elle-même. Voilà ce qui donna du charme à sa
beauté
, de la grâce et de la vie à son esprit éminemment
a première fois que madame Scarron vit le roi, elle fut frappée de sa
beauté
, de son air de grandeur. C’était lorsqu’il fit so
de quatorze ans, on la citait sous le nom de la belle Indienne. À sa
beauté
elle joignait la grâce qui faisait passer dans se
uissante monarchie un grand avenir, incessamment mêlé de jeunesse, de
beauté
, de gloire et de liberté. En ces moments choisis,
uite un bon juge. « Il y a dans l’art un point de perfection comme de
beauté
et de maturité dans la nature. Celui qui le sent
oin de vêtir convenablement la vérité un peu nue ; aimez à dégager la
beauté
des voiles qui la gênent. — Un grand esprit a le
s. Je vous écris ceci étant bien triste, car j’ai peur que toutes les
beautés
de cet ouvrage ne disparaissent sous tant de a ma
le jeune roi, semblable à un roi d’Asie dans toute la splendeur de la
beauté
, de la puissance et de la jeunesse, s’est montré
icences au milieu de ce palais d’Armide où règnent en souveraines les
beautés
de la cour : mademoiselle de Bourbon, madame de L
d roi, le maître du pompeux Versailles, l’élégant amoureux de tant de
beautés
fameuses, dont le nom est arrivé jusqu’à nous, pr
e madame de Montespan, son adultère rivale, cette fière et insultante
beauté
que le dépit poussait au cloître, comme l’amour y
zun est un marquis de bas étage, un triste ricaneur sans esprit, sans
beauté
, sans jeunesse, qui ne parle que de ses créancier
emplissant l’univers d’amour et de sainteté, et revêtant de poésie la
beauté
humaine, etc. » Bragelone devrait bien dire à mad
tout jamais, ce monde où elle brillait de toutes les grandeurs de la
beauté
, de la jeunesse et de la passion. Dans ses lettre
âmes d’élite qui ont honoré ce siècle, afin que rien ne manquât à sa
beauté
, comme rien ne manque à son génie ; il eût respec
e la naissance de Molière. Hélas ! jamais la réunion des esprits, des
beautés
et des puissances de la grande cité parisienne n’
ent ni à la naissance, ni au nom, ni même à l’âge, fort peu même à la
beauté
; tout lui convient, pourvu que cela soit vite fa
’un & de l’autre genre ont les mêmes défauts à éviter ; les mêmes
beautés
peuvent éclore & se développer sous leurs doi
eur, de captiver plus agréablement son imagination, de concourir à la
beauté
de ses scenes, de sa piece, & jette dans les
uteurs les plus parfaits ont de très grands défauts mêlés à ces mêmes
beautés
qui leur assurent l’immortalité. Je sais encore q
Nature qui la distinguent et qui la font connaître. Il ajoute que les
beautés
des portraits qu’il fait sont si naturelles qu’el
s le comédien avait plus de part que le poète, et que leur principale
beauté
consistait dans l’action. J’entends ce monde que
fleurs et belles toutes les belles femmes, chacune dans son genre de
beauté
, mais au sentiment étroit d’un petit propriétaire
l’accent de l’enthousiasme et de la foi : « Voilà le fond d’une vraie
beauté
! » Est-il donc impossible de concevoir un genre
un peu celles des Anciens & des Modernes ; réfléchissons sur leur
beauté
, sur leurs défauts : & pour mettre quelque or
issance de l’Avare est aussi d’une tiédeur peu digne, assurément, des
beautés
dont cette piece fourmille. ACTE V. Scene V. Ans
fit voir la charmante Elise ; que cette vue me rendit esclave de ses
beautés
, & que la violence de mon amour, & la sév
lui sauve la vie. Samson ne peut à son tour être insensible à tant de
beautés
. Dalila lui oppose son devoir, sa religion, lui a
cette Princesse confirme par sa présence. Sigismond est frappé de sa
beauté
, il s’écrie : Elle a dans un instant changé mon
ieu, Je m’y rendrai sur l’heure, & vas l’attendre. Adieu. Que de
beautés
! que de traits sublimes dans ce que je viens de
ais elle est solidement pensée ; elle développe et rend sensibles les
beautés
de composition et de détail qui pouvaient échappe
ent le charme de tous les esprits. L’action simple et peu animée, les
beautés
fines, délicates, mais quelquefois un peu sérieus
ir depuis en disposition de l’admirer, et n’y ayant découvert que des
beautés
, j’ai cru que je n’aurais pas de gloire à paraîtr
un drame historique où son génie énergique et bizarre a prodigué les
beautés
et les défauts que sa nation admire en lui presqu
la disposition des scenes, les caracteres, le plan général, & les
beautés
dont l’ouvrage est rempli. Orgon, homme crédule,
que le Ciel lui inspire une bonne idée ; qu’il va trouver l’impudique
beauté
qui attire son Eleve, pour lui reprocher l’énormi
s’arrête, contemple avec admiration la blancheur des bras de la jeune
beauté
, l’élasticité de sa gorge, la position voluptueus
a bouche, la finesse de ses levres émaillées de rubis ; il décrit une
beauté
enchanteresse : il voudroit descendre, mais il ne
ractérisent le dialogue de Molière. Le prince de Conti fut frappé des
beautés
de l’ouvrage, et offrit à l’auteur la place de se
Scapin se succédèrent en peu de temps ; chacun de ces ouvrages a des
beautés
particulières. M. et madame de Sotenville sont de
ujourd’hui, malgré ses ans, À peine des attraits naissants Égalent sa
beauté
mourante. Mlle Beauval. Jeanne Olivier Bo
ademoiselle Duparc avait bien rendu, et que, dans tous les autres, sa
beauté
et ses grâces avaient fait tout son succès ; cepe
me pas le théâtre, Dont tout le monde est idolâtre, Nous a ravi cette
beauté
, Dont chacun était enchanté, Alors qu’avec un por
lle était avantageuse et bien prise ; sa figure avait ce caractère de
beauté
mâle qui convient à l’homme : elle prenait un air
au sens des vers qu’il récitait : on leur trouvait dans sa bouche des
beautés
qu’ils perdaient quelquefois à la lecture ; son s
remière de ces vérités, c’est qu’il n’y a point de canon unique de la
beauté
, de la perfection littéraire, et qu’il faut presq
onde vérité, c’est que les défauts essentiels sont les conditions des
beautés
essentielles, aphorisme qui peut s’exprimer ainsi
lination, voulut le dégoûter de cette comédienne. Est-ce la vertu, la
beauté
ou l’esprit, lui dit-il, qui vous font aimer cett
est de leur personnage ? Granger le jeune. Toutes les épées de votre
beauté
vinrent en gros assiéger ma raison ; mais il ne m
s mains. Sganarelle, signant. Hé bien ! tiens : es-tu contente ? Les
beautés
qui sont dans Moliere sont bien dans Cyrano ; mai
dant trois grands actes. On feroit une très bonne piece en mêlant les
beautés
de Goldoni avec celles de Moliere ; mais il faudr
ier beaucoup de pauvretés ; Mais pourtant confessant qu’il a quelques
beautés
, Ne trouve en Chapelain, quoi qu’ait dit la satir
u enfin ce qu’elle dit d’Esther, ni remarqué ce sentiment profond des
beautés
nouvelles que Racine avait puisées dans l’histoir
our aimer Corneille. Elle est transportée par les divines et sublimes
beautés
de Corneille ; pourtant elle aimait les romans. M
s hommes parvenus à un âge avancé, pensent se faire aimer d’une jeune
beauté
en la tenant dans une continuelle contrainte, en
ouvrages. Il réunit dans un sonnet la plus grande partie des fausses
beautés
qui caractérisent les ouvrages prétendus galants,
la premiere représentation du Misanthrope, le public se récria sur la
beauté
du sonnet. C’étoit là que Moliere l’attendoit pou
semé, qu’il a ouvert les yeux des comédiens sur les défauts & les
beautés
de leur art. En reprochant à Montfleuri, qu’il ap
ù rien n’est lié par ses rapports, rejetter des défauts, ramasser des
beautés
presque imperceptibles, & s’immortaliser enfi
lé des instants Qu’il vient de donner à vos charmes. Ce vol qu’à vos
beautés
mon cœur a consacré, Pourroit être blâmé dans la
(à Angélique.) Beau soleil, qui divinement Me subjuguez occultement,
Beauté
, de qui l’agrément M’a, comme imperceptiblement,
sous les yeux du lecteur, chemin faisant & sans affectation, les
beautés
& les défauts de chaque moderne. Nous n’avons
t rendu leur morale amusante ; qu’ils ont porté sur notre théâtre les
beautés
de l’étranger, & non ses absurdités ; lorsqu’
ie. « C’était une femme grande, de belle taille et de bonne mine. Sa
beauté
était journalière par ses indispositions. Elle av
à cette époque, madame de La Sablière n’avait que 23 ans, était d’une
beauté
remarquable, pleine d’esprit. Quant à la galanter
réputation. Mais j’eus le chagrin de voir qu’une personne sans grande
beauté
, qui doit le peu d’esprit qu’on lui trouve à l’éd
ce rôle doit-elle être imputée à défaut, ou bien considérée comme une
beauté
nouvelle ? Molière, pour nous faire juger des vic
traits de la nature qui la distinguent et qui la font connaître. Les
beautés
des portraits qu’il a fait, sont si naturelles, q
’espérer encore. Elle porte Don Silve à rendre son cœur à la premiere
beauté
qui l’avoit captivé ; elle ne peut répondre à son
s défauts de sa figure, ou pour en augmenter les attraits, puisque sa
beauté
ne serviroit qu’à la rendre malheureuse en redoub
la Duchesse de Tyrol. C’est ainsi que finit cette comédie pleine de
beautés
& de défauts. Son dénouement pourroit bien av
Il seroit aisé de leur en faire un canevas excellent, en mariant les
beautés
de Cicognini à celles de Moliere : on pourroit mê
s sur l’art de l’imitation : ses défauts nous serviront mieux que les
beautés
des autres : ils nous apprendront, lorsque nous v
pere de Dona Anna. Il annonce à cette belle que le Roi, charmé de sa
beauté
, veut l’unir au sang royal. Dona Anna se flatte e
le veut. Don Alphonse vient reprocher à Don Juan sa perfidie pour une
beauté
qui l’a suivi, déguisée en homme, & l’exhorte
l de Bourgogne, & M. de Moliere l’a fait voir depuis peu avec des
beautés
toutes particulieres. Après une touche si considé
hoit de lui parler, il ne laissoit pas de faire des réflexions sur sa
beauté
; & croyant ne tourner les yeux vers elle que
sir de voir Camille le retenoit ; & dans trois ou quatre jours la
beauté
, la douceur, & les rares qualités de cette fe
lois pour la plupart. Voyons si l’Auteur François recueille autant de
beautés
qu’il évite de défauts. Le Dissipateur est rep
moins seche, & qu’on feroit peut-être encore une bonne piece des
beautés
négligées ou dédaignées par l’Auteur François.
t s’accablent de reproches, comme Éraste et Lucile ; leur scène a des
beautés
; celle des amants français est sublime. Dans un
le portrait de Celio. Arlequin revient, surprend sa femme admirant la
beauté
du jeune homme représenté dans le portrait, et le
imant Molière avec passion, connaissant les sources où il a puisé les
beautés
dont fourmillent ses ouvrages, il ne peut que les
’École des femmes, dont ce monarque, ami des arts, sentait toutes les
beautés
, on se fût permis, contre l’auteur, des personnal
los, entreprend de venger l’amour, en feignant de ne pas remarquer la
beauté
de la princesse, qui, de son côté, piquée de l’in
nal espagnol qu’il a puisé son sujet. Ce monstre dramatique, plein de
beautés
et de défauts, est, comme nous l’avons dit, de Ti
nous préparant d’avance à la perfection du Tartuffe. Ces différentes
beautés
rendront toujours Le Festin de Pierre agréable au
, les incidents moins multipliés ; mais en revanche, combien d’autres
beautés
! Le dialogue. — Coupé lorsqu’il le faut, non in
doit avoir l’aménité pour compagne ; et cette moralité, ainsi que les
beautés
de la pièce, ne sont certainement pas à la portée
de cette pièce offrent, dans leur ensemble et leurs détails, tant de
beautés
à rendre, tant de nuances à saisir, qu’il est trè
gentillesse, la fadeur, à la loyale et franche galanterie qui fait la
beauté
de mon rôle, et si je prends un ton mielleux en d
mpensée, et le spectateur satisfait55. Nous ne détaillerons point les
beautés
du style, celles de l’économie théâtrale ; tout e
iellement à l’action ? ne figurerait-elle pas, sans rien perdre de sa
beauté
, dans toutes les pièces où il y a deux amants ? n
de maisons, pièce italienne, Scapin persuade à Pantalon que la jeune
beauté
dont il est épris fait un cas singulier de la vie
parler ni de la veuve ni de l’aventurière. Le dénouement. — De toute
beauté
, si nous le démêlons à travers le récit du roman
ignard que Molière a reçu l’immortalité. Nous ne détaillerons pas les
beautés
du poème ; elles ne sont pas du ressort de Thalie
à la pièce. Voilà quelques légères taches ; mais rachetées par mille
beautés
, et d’un genre à mériter que Voltaire ne rangeât
de Molière était une école de vices et de mauvaises mœurs. Enfin, des
beautés
sans nombre recueillies chez Térence, chez Cyrano
dre à ses gémissements ; il reproche aux dieux de donner la mort à la
beauté
, elle qui donne la vie aux autres. Admirons en mê
rôna le tyran de la république des lettres. Que ne vit-il encore !
Beautés
à distinguer. Le lecteur ne se bornera pas san
une moralité n’y paraissait nouvelle, et l’ouvrage, quoique rempli de
beautés
, n’a pas réussi. Les commentateurs remarquent enc
adresse les bonnes actrices ajoutent aux charmes de ce même rôle, des
beautés
qui ont échappé à l’auteur ; par exemple, dans le
te de jouer ce rôle ; mais ses successeurs n’y ont-ils pas ajouté des
beautés
? Le professeur. Et quelles ! s’il vous plaît ?
trait de Molière. Les générations futures y gagneraient sans doute en
beauté
physique et morale 1 . » Voilà le ton. Il s’agi
bien, je regrette de détruire une illusion chez ceux qui ne voient la
beauté
intellectuelle que complétée par la beauté physiq
chez ceux qui ne voient la beauté intellectuelle que complétée par la
beauté
physique, mais, comparaison faite de ces divers d
éclaire peuvent être irréguliers, la flamme intérieure leur donne une
beauté
d’ordre supérieur. Mais, le génie mis à part, tou
, aurait-il réussi complètement dans la comédie et dans la farce ? La
beauté
l’y eût plus gêné que servi. D’autre part, si l’o
e que sa personne physique est généralement regardée comme un type de
beauté
, un lieu-commun déjà vieux le comble de toutes le
éduire « les flammes » A cette pureté Où du parfait amour résidé la
beauté
, tout cela lui parait un ridicule défi à la natu
rcher l’intrigue générale, est mal faite. Elle a beau être remplie de
beautés
qui en imposent dans le moment, la réflexion d’un
erté de toucher à l’objet de leur idolâtrie. Je connois très bien les
beautés
inestimables de cette piece ; & s’il étoit qu
louir par un ouvrage qui cache continuellement, sous les plus grandes
beautés
, les défauts de la grande machine. Loin d’être en
mer. Justes appréciateurs du mérite, vous qui savez sentir les vraies
beautés
, élevez tous ensemble la voix pour chanter les lo
Un peu de réflexion prouvera qu’en évitant les fautes, en imitant les
beautés
que j’ai indiquées dans chacun d’eux, on fera ins
eule, sans autre défense que son esprit, sans autre protection que sa
beauté
. Autour de cette jeune femme se sont donné rendez
dez-vous tous les oisifs de la cour. On vient, tout exprès chez cette
beauté
à la Mode, pour la voir, tout exprès pour l’enten
ute généralité, à cette absence de caractère, qui est le sommet de la
beauté
plastique191. Pendant qu’ils se précipitent l’un
aut chercher le moment principal de cette prosaïque dissolution de la
beauté
, de ce dualisme intérieur de l’art, qu’on appelle
des idées de son temps, fut la mort de ce bel art classique, dont la
beauté
parfaite avait eu pour principe, en Grèce, l’inca
resser seule et debout dans son immense orgueil, sur les ruines de la
beauté
elle-même. L’Allemagne a l’honneur de posséder le
(Discours sur les arts du dessin). « Winckelmann, dit-il, compare la
beauté
à l’eau qui, puisée à sa source, est regardée com
plus salutaire qu’elle a moins de goût. Il est vrai que la plus haute
beauté
est sans caractère ; mais elle l’est dans le même
e Paris, il ne la fit pas même imprimer, quoiqu’elle ne soit pas sans
beautés
pour ceux qui savent se transporter aux lieux, au
uelle Cléonte ne devrait pas se prêter, a pu passer à la faveur de la
beauté
de la musique* et de la singularité du spectacle.
rterre jusqu’au plafond est de quarante-neuf pieds. Ce plafond a deux
beautés
aussi riches que surprenantes, par sa dorure et p
ette dernière partie est celle que l’on voit la première ; elle a des
beautés
qui amusent agréablement les regards, jusqu’au mo
ente pièce, et les derniers actes en sont très languissants ; mais la
beauté
du sujet, les ornements dont elle fut embellie, e
par-là à l’Auteur qui traiteroit le Misanthrope par air, les grandes
beautés
que le caractere présente d’abord, & que les
.. Mon maître songe à la croquer à cause de sa richesse ; car pour sa
beauté
, ce n’est pas ce qui le touche. Il ne seroit pas
Monsieur, je ne manque pas d’ambition. Ma fille a de l’esprit, de la
beauté
..... Elle portera à son époux plus de vingt mille
site du Capitaine, mene chez cette même Thaïs Pamphila, qui est d’une
beauté
ravissante. Cherea, frere de Phædria, l’a vue, en
tresse, & lui donner même de quoi contenter les caprices de cette
beauté
commode ? Ne voyons-nous pas nombre d’amants en s
e en plumet, en rabat, en bonnet monté ? Enfin ne voyons-nous pas nos
beautés
les plus faites pour inspirer & sentir un amo
sa troupe. Il avait le cœur tendre, tendre à l’excès. La grâce et la
beauté
, la grâce surtout, exerçaient sur lui un attrait
contre les emportements de sa sœur. Mais le rôle de protecteur de la
beauté
est un rôle dangereux. Molière en fit l’expérienc
réputation. Mais j’eus le chagrin de voir qu’une personne sans grande
beauté
, qui doit le peu d’esprit qu’on lui trouve à l’éd
malpropre sur soi, de peu d’attraits chargée, Est mise sous le nom de
beauté
négligée ; La géante paraît une déesse aux yeux ;
rangé dans le nombre des mobiles égoïstes. Quand Voiture célébrait la
beauté
de Julie d’Angennes de Rambouillet, il ne faisait
un exemple de ce bel esprit dans lequel Racine trempa au début : Les
beautés
de la Perse à mes yeux présentées, Aussi bien que
la tragédie, ni la comédie pure, et qui pourtant n’en a pas moins sa
beauté
propre. Puis, si l’on veut à toute force avoir de
ut voir le succès, et, dût-il lui en coûter bon, il voudrait Pour la
beauté
du fait avoir perdu sa cause. Sans Célimène, il
st encore plus modeste que jolie. Cela même ajoute à ses charmes : la
beauté
qui se montre éblouit; la beauté qui se cache att
Cela même ajoute à ses charmes : la beauté qui se montre éblouit; la
beauté
qui se cache attache, ce qui est plus sûr et ce q
de. Il ne faut pas dire trop de mal de cette critique à la loupe des
beautés
et des défauts d’un grand style. Si elle évite l’
ne pas écrire avec justesse, on méconnaît ce qui fait le charme et la
beauté
de son style. Il ne faut pas confondre la correct
prose oratoire; mais ce n’est pas en cela que consiste sa principale
beauté
poétique. Vous avez lu la satire d’Alfred de Muss
de la nature. Il aimait la nature : dans Les Oiseaux il en a dit les
beautés
avec une grâce inimitable, sans y rien mêler de l
abonde dans Aristophane autant que le comique de la gaîté. Là est la
beauté
propre et le singulier caractère de la poésie d’A
vation de génie et de caractère ; elle brille par instants d’une rare
beauté
morale. Il connaît le prix de la justice. Partisa
ont il a besoin. Singulière contradiction, qui fait la richesse et la
beauté
de l’œuvre de Molière : cette œuvre immense, vast
s ; ensuite il nous sera facile de faire remarquer que ce qui est une
beauté
sur le théâtre Italien, seroit un défaut sur le n
les lazzis & les tours de passe-passe sont comptés pour autant de
beautés
: mais sur un théâtre où les bons Auteurs ne cher
aveurs qu’il obtient de sa Maîtresse, ce qui fait tout le sujet et la
beauté
de L’École des femmes. Cette Pièce a produit des
jours de Comédie, chaque représentation y fait découvrir de nouvelles
beautés
, et si cet auteur continue comme il a commencé, i
rt de ces œuvres du théâtre ancien, nous sommes sûrs de rencontrer la
beauté
, le talent, le charme et le souvenir de mademoise
ié, il est mort ! À peine est-il un nom, une ombre, un écho. Et cette
beauté
, cette jeunesse, cette conquête, ce riant visage
’elle adorait avec rage ; elle siffle, elle hurle au passage de cette
beauté
que tout à l’heure encore elle inondait de fleurs
à montrer, dans leur plus beau jour, l’héroïsme de ces messieurs, la
beauté
de ces dames, douce et favorable lueur que la com
clair-obscur ami complaisant de ces fausses jeunesses, de ces fausses
beautés
, rendez-nous tout simplement, tout bêtement, les
e, et surtout que de fois la poupée a triomphé de la vraie et sincère
beauté
intelligente, honnête et formée à tous les grands
passions de la terre. — Mademoiselle Raucourt, jeune encore et d’une
beauté
antique, mais abandonnée à des licences sans nom,
nt, à tous les printemps, leur manteau d’or et de pourpre. Éternelles
beautés
. Majestés éternelles ! Mais des comédiens morts !
tôt ou tard, vieux, malade, infirme, délaissé, abandonné, privé de sa
beauté
qui était sa force, ne vienne encore se traîner s
in de nobles passions ; elle rajeunissait le vieux velours à force de
beauté
, elle rendait son éclat au vieux satin à force de
pas fait pour plaire à la Gaussin qui débutait alors, et qui était la
beauté
personnifiée, à la Dangeville qui avait tant d’at
elle a bien montré, chaque soir, sous son jour le plus favorable, sa
beauté
et ses vingt ans, rien que vingt ans ! quoi de pl
si vous voulez ! Une fois donc qu’elle est bien sûre de l’effet de sa
beauté
, que les plus beaux jeunes gens de la cour et mêm
ue cet ouvrage soit leur, dit Montaigne en parlant de L’Andrienne, sa
beauté
, son excellence le maintient assez ! » En effet,
me ; au cou des femmes qui n’ont d’autre revenu que le revenu de leur
beauté
, cherchez avec un peu d’attention, et vous trouve
e plus ressemblante, enfin, de l’affranchie, de la courtisane, de ces
beautés
que l’on voit de toutes parts, quotidianarum for
manque le murmure et le bruit du salon, la grâce des jeunes gens, la
beauté
des jeunes femmes, le tour, le ton, l’accent, la
t aux femmes sur ces côtes. Il avait été pris de compagnie avec cette
beauté
blonde qu’il accompagnait de si loin. On l’avait
en bonne personne au-dessus du souci, au-delà du : qu’en dira-t-on ?
Beauté
facile et complaisante, et qui ne regarde pas, qu
u théâtre, celui-là ses anecdotes et ses bons mots, et celles-là leur
beauté
, leur jeunesse, leurs sourires, leurs habitudes é
hropes qui vivent de leur esprit, et les Célimènes qui vivent de leur
beauté
. Et toute cette comédie est soutenue par beaucoup
son esprit avec les marchands, son courage avec les gentilshommes, sa
beauté
avec les dames. Le seul louis d’or dont il soit p
i se rattachent à la comédie de Tartuffe et qui, indépendamment de la
beauté
littéraire de l’œuvre, en font un document si int
nstances, plus que par l’intention expresse de Molière, doit toute sa
beauté
à sa liberté. Don Juan est en quelque sorte la c
méchanceté de l’âme sous les traits brillants de la grandeur et de la
beauté
. Et comment serait-il autrement un séducteur et l
nt bien que ce n’est pour elle qu’un échec momentané, mais qu’avec sa
beauté
, son esprit, sa grâce et sa fortune, elle n’aura
monde lui-même dans ce qu’il a de plus exquis et de plus perfide, la
beauté
sans la bonté, l’esprit sans le cœur, la richesse
miliée. Comme elle, elle se retire devant sa défaite ; l’une sauve sa
beauté
, sa jeunesse, sa royauté féminine ; l’autre sauve
its de la nature, qui la distinguent & qui la font connoître. Les
beautés
des portraits qu’il a faits sont si naturelles, q
; elle se contente d’éclairer de quelque lumière inespérée, certaines
beautés
très rares et très charmantes qui tout de suite a
il faut prouver que l’on sait aimer, comprendre et admirer certaines
beautés
des chefs-d’œuvre, si l’on veut, plus tard, conqu
ire avec M. Despréaux que Molière, qui peint avec tant de force et de
beauté
les mœurs de son pays, tombe trop bas quand il im
fit chez Ninon de Lenclos, cet honnête homme d’un goût exquis, d’une
beauté
fine, d’une philosophie pleine de grâce et de mal
a de grossier et d’illicite, en faisant tourner ce chaste amour de la
beauté
, au nœud conjugal ! » Il explique, aussi bien que
e aussi très bien : que l’amour ne vit pas sans cette impulsion de la
beauté
qui force à aimer et qui rend aimable et plaisant
mable et plaisante la révolte des sens. « C’est à cet ascendant de la
beauté
qu’on fait servir dans les comédies, les âmes qu’
indre (à quoi bon ?) des stérilités contemporaines, elle retourne aux
beautés
impérissables, aux choses toujours vivantes, à la
, et sans rien deviner ? Pourquoi celle-là, sans nom, sans voix, sans
beauté
, sans regard, sans éclat, sans émotion intérieure
e côté-là ; le corps tourne ainsi ; la tête un peu levée, afin que la
beauté
du cou paraisse ; ceci un peu plus découvert (il
té, pour revoir ce sourire adoré, cette grâce sans égale, toute cette
beauté
infidèle, qu’il avait composé ce chef-d’œuvre qui
meur douce, aux tendres manières, aimait une jeune demoiselle pour sa
beauté
, pour sa sagesse ; surtout ce qui charmait notre
antées des scenes amoureuses ? Les femmes, me répondra-t-on. Oui, ces
beautés
superficielles qui, n’allant au spectacle que pou
rompeurs, de Boissy, piece qui d’ailleurs est remplie de très grandes
beautés
. ACTE IV. Scene XIII. Le Marquis a vu Lucile au c
ns. Cléante. Voici le sujet de la scene. Un berger étoit attentif aux
beautés
d’un spectacle qui ne faisoit que commencer, lors
lence de sa passion le fait résoudre à demander en mariage l’adorable
beauté
sans laquelle il ne peut plus vivre ; & il en
u’agréable : sans cela il ouvrira de grands yeux sans voir, & les
beautés
les plus séduisantes passeront devant lui sans qu
au qui refait son ouvrage d’après cette copie, n’en apperçoit pas les
beautés
, & ne sait y voir d’autre mérite que celui d’
cher de croire avec M. Despréaux, que Molière, qui peint avec tant de
beauté
les mœurs de son pays, tombe trop bas, quand il i
nce à cette derniere. Elle m’a paru très propre à faire connoître les
beautés
d’une ode latine à ceux de mes Lecteurs qui n’ent
s modèle en France et resté sans, postérité comme le Cid, et dont les
beautés
irrégulières font clairement prévoir ce qu’aurait
égale le soin apporté à tout l’ouvrage ? Je regretterais pourtant la
beauté
des décorations de Ciceri, qui allongent un peu l
ue le ciel lui inspire une bonne pensée, qu’il va trouver l’impudique
beauté
qui attire son élève, lui reprocher l’énormité de
e précepteur s’arrête et décrit complaisamment tous les charmes d’une
beauté
enchanteresse. Il voudrait descendre, mais il ne
castigo, c’est-à-dire, la trahison cherche le châtiment. On verra ses
beautés
& ses défauts dans la piece de le Sage. Para
Léonor ? Ce n’est pas tout : d’Ancourt, si soigneux de défigurer les
beautés
, conserve les défauts avec le même soin. Il est r
hez laquelle Don Garcie doit se rendre par ordre de son amant, est la
beauté
qui donne un rendez-vous à Don André au commencem
piece qui doit faire tomber la plume des mains, si l’on réfléchit aux
beautés
réunies & inimitables qui la caractérisent ?
’exhorte cependant mes lecteurs à ne point se laisser éblouir par les
beautés
de la derniere piece, au point de ne pas y voir u
its de la nature, qui la distinguent & qui la font connoître. Les
beautés
des portraits qu’il a faits sont si naturelles, q
ca representatio), afin de leur rappeler les dangers qui assiègent la
beauté
, les devoirs que la femme mariée doit accomplir a
e et vivante, a retracé le triomphe, l’infortune et l’apothéose de la
beauté
qui enflamma Cupidon d’amour, et Vénus de jalousi
mique, soit dans les livres, soit dans le monde, avait été frappé des
beautés
vives et naturelles qu’offrent plusieurs scènes d
commencer. Les pièces qui nous restent de ce temps-là sont de la même
beauté
que le lieu où l’on en faisait la représentation.
un soin extrême, l’instruisait dans son art, admirait son talent, sa
beauté
, ses charmes, qui déjà fixaient d’autres regards
s inquiétude sur les allures de Dorimène. Tout soucieux il rêve... La
Beauté
lui apparaît en songe et lui chante; Si l’amour
le voir; et l’aimait, et l’on dit qu’il ne fut point insensible à la
beauté
d’Armande. Chapelle avait un appartement dans la
ndus ambassadeurs du roi de Siam, qui le venaient complimenter sur la
beauté
de ses ouvrages, et ne s’est-il pas laissé recevo
oute chose au monde. » Quelle était donc cette femme tant aimée ? Sa
beauté
semblait un mystère, un rêve, une illusion ; mais
joli, qu’il est joli, Est-il des yeux qu’il ne ravisse ? Il passe en
beauté
feu Narcisse, Etc. Molière paraît s’être plu da
eparaître Baron sur la scène. Dans tout l’éclat et la fraîcheur de sa
beauté
première, n’ayant que dix-neuf ans, il joua d’une
oileau et aux écrivains de leur temps, l’épuration de la langue et sa
beauté
. La vérité est que madame de Sévigné, dont pas un
e marquise de Rambouillet, trônant par la souveraineté du goût, de la
beauté
et de la conversation, au milieu d’une cour où se
la scène par des fictions sans caractère et sans autre intérêt que la
beauté
des comédiennes ou l’imprévu des situations, il q
de reconnaître. Il ne suffit donc pas d’apprécier littérairement les
beautés
d’un tel ouvrage ; il faut aussi en retracer hist
lontairement. Du reste, les intentions les plus fines du poète et les
beautés
les plus délicates de son ouvrage sont dévoilées
es du public, lorsqu’un des hommes les plus dignes d’en apprécier les
beautés
, entreprit d’y faire voir des défauts qu’on n’ava
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