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1 (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243
tous les repas qu’il reçoit, son esprit le faisant aller de pair avec beaucoup de gens qui sont beaucoup au-dessus de lui. L’on ne
ent représentés, si bien tou chés et si bien finis, qu’il en a mérité beaucoup de gloire. Et ce qui fait voir que les gens de quali
à fait une sous ce titre, il n’a pu lui donner le même nom. Elles ont beaucoup de rapport ensemble et, dans la première, il garde u
s. Après le succès de cette Pièce, on peut dire que son Auteur mérite beaucoup de louanges pour avoir choisi, entre tous les sujets
ntage, il sera bien délicat s’il ne vous en est obligé, et je connais beaucoup de personnes qui se tiendraient glorieuses que l’on
2 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
t épargné les soins pour n’avancer rien de douteux. J’ai écarté aussi beaucoup de faits domestiques, qui sont communs à toutes sort
a bonté de donner des appointements à ces Comédiens. Molière s’acquit beaucoup de réputation dans cette Province, par les trois pre
1660, Molière donna pour la première fois le Cocu imaginaire, qui eut beaucoup de succès. Cependant les petits Auteurs comiques de
versifiée, en fit la plus belle Scène de ses Fâcheux, et le Roi prit beaucoup de plaisir à la voir représenter. L’École des femme
illeurs n’avait rien à se reprocher. Ainsi Molière après avoir essuyé beaucoup de froideurs et de dissensions domestiques, fit son
èce que nous devons représenter incessamment devant le Roi ? On donna beaucoup de mauvaises raisons, piquantes même, auxquelles Mol
bligea de se dépêcher de fabriquer son fagotier. En quoi il n’eut pas beaucoup de peine, puisque c’était une de ces petites pièces,
s n’empêchèrent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec beaucoup de plaisir, comme un spectacle bien rendu en notre l
rtant pas sans un peu de rumeur, de la part des Spectateurs ; et sans beaucoup de chagrin du côté des Comédiens. La permission que
lus d’une fois de l’avoir fait. Quoique Molière donnât à ses pièces beaucoup de mérite du côté de la composition, cependant elles
affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui faisait pas beaucoup de plaisir. On parla de santé. Molière rendit compte
l’habile homme, et qui passez à cause de votre bel esprit, pour avoir beaucoup de part à mes pièces, je voudrais bien vous voir à l
eut ordre d’y travailler : Il fit les Amants magnifiques, qui firent beaucoup de plaisir au Courtisan, qui est toujours touché par
r sa pièce ; mais qu’elle était très bonne, et qu’elle lui avait fait beaucoup de plaisir. Molière n’en demandait pas davantage, as
taient fréquentes, tout cela l’occupait suffisamment pour n’avoir pas beaucoup de temps à donner à son cabinet. D’ailleurs sa santé
la toile levée, précisément à quatre heures. Molière représenta avec beaucoup de difficultés ; et la moitié des Spectateurs s’aper
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Des Pieces à spectacle. » pp. 30-36
du merveilleux qu’entichés de leur noblesse, ont mis sur leur théâtre beaucoup de choses surnaturelles ; ce qui leur a été fort fac
e j’avance, s’il étoit nécessaire. Cela n’empêche point qu’il n’y ait beaucoup de mérite à faire un choix des meilleures scenes &am
4 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
’allusions ingenieuses : c’est apparemment ce qui fit que l’on ajoûta beaucoup de foi à ce conte. Il y eut même des gens qui le tou
étoit fort avancée, il crut pouvoir aller jusqu’au bout sans se faire beaucoup de tort ; mais le zêle qu’il avoit pour le public, e
Le sens de l’Auteur est que sa Muse ressembleroit à ses sœurs qui ont beaucoup de babil ; mais selon la Grammaire cela signifie cla
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
eux qualités essentielles. Premiérement, elle doit être préparée avec beaucoup de vraisemblance. Secondement, elle doit être filée
’un habit d’homme. Lorsque je dis qu’une méprise doit être filée avec beaucoup de naturel, j’entends que les interlocuteurs ne doiv
it qu’il étoit trop libre de vous écrire ; mais je lui ai prouvé, par beaucoup de raisons, que cela étoit à sa place. Mondor. Ah !
6 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
ment quel emploi jouait du Croisy, mais on ne peut douter qu’il n’eût beaucoup de talent, pour la comédie du moins, puisque Molière
olière dans la province. Arrivé avec lui à Paris, en 1658, il s’y fit beaucoup de réputation ; et, quoique devenu boiteux par un ac
n compensation des infirmités physiques. Béjart était brave, et avait beaucoup de présence d’esprit. Il quitta le théâtre à la clôt
t pour la province, et revint avec lui, en 1658, à Paris, où elle eut beaucoup de succès. Racine, frappé du talent qu’elle avait mo
du Parc mourut le 11 décembre 1668. Cette actrice était belle, avait beaucoup de grâces, et possédait le talent de la danse, bien
tout entier en italien. Sa voix était charmante ; elle chantait avec beaucoup de goût, et n’en mettait pas moins dans sa parure, o
ne maigreur étonnante, et cependant d’une forte santé. Il jouait avec beaucoup de succès les grands confidents tragiques et d’autre
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
re, avant que de mourir, avoit projetté de l’unir à Damis. Cidalise a beaucoup de mépris pour les dernieres volontés d’un homme qui
rt bien Qu’à ne le point flatter, son sonnet ne vaut rien. Trissotin. Beaucoup de gens pourtant le trouvent admirable. Vadius. Cela
mode ; elle sent son vieux temps. Vadius. La ballade pourtant charme beaucoup de gens. Trissotin. Cela n’empêche pas qu’elle ne me
8 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
toute l’étendue. Cette liste ne laisse pas d’être imposante : voilà beaucoup de noms illustres, et cependant les travaux sont loi
ue si ces Mémoires renferment quelques erreurs, ils doivent renfermer beaucoup de vérités. Il faudrait une fatalité bien inconcevab
t épargné les soins pour n’avancer rien de douteux. J’ai écarté aussi beaucoup de faits domestiques, qui sont communs à toutes sort
onté de donner des appointements à ces comédiens47. Molière s’acquit beaucoup de réputation dans cette province, par les deux prem
1660, Molière donna pour la première fois le Cocu imaginaire, qui eut beaucoup de succès. Cependant les petits auteurs comiques de
versifiée, en fit la plus belle scène de ses Fâcheux, et le roi prit beaucoup de plaisir à la voir représenter57. L’Ecole des Fem
leurs n’avait rien à se reprocher. Ainsi, Molière, après avoir essuyé beaucoup de froideurs et de dissensions domestiques, fit son
e que nous devons représenter incessamment devant le roi79 ? On donna beaucoup de mauvaises raisons, piquantes même, auxquelles Mol
ea de se dépêcher de fabriquer son Fagotier 94 ; en quoi il n’eut pas beaucoup de peine, puisque c’était une de ces petites pièces,
s n’empêchèrent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec beaucoup de plaisir, comme un spectacle bien rendu en notre l
ourtant pas sans un peu de rumeur de la part des spectateurs, et sans beaucoup de chagrin du côté des comédiens. La permission que
us d’une fois de l’avoir fait. » Quoique Molière donnât à ses pièces beaucoup de mérite du côté de la composition, cependant elles
affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui faisait pas beaucoup de plaisir. On parla de santé : Molière rendit compt
’habile homme, et qui passez, à cause de votre bel esprit, pour avoir beaucoup de part à mes pièces, je voudrais bien vous voir à l
eut ordre d’y travailler : il fit les Amants magnifiques, qui firent beaucoup de plaisir au courtisan, qui est toujours touché par
r sa pièce ; mais qu’elle était très bonne, et qu’elle lui avait fait beaucoup de plaisir. Molière n’en demandait pas davantage, as
taient fréquentes, tout cela l’occupait suffisamment pour n’avoir pas beaucoup de temps à donner à son cabinet ; d’ailleurs sa sant
t la toile levée précisément à quatre heures. Molière représenta avec beaucoup de difficulté, et la moitié des spectateurs s’aperçu
me plais point à voir ce chien de boiteux-là. » Comme Béjart faisait beaucoup de plaisir, on boita aussitôt sur tous les théâtres
ient à plus de 20,000 livres au-delà de sa succession. Brécourt avait beaucoup de valeur, et on rapporte un trait qui mérite d’être
ique, et il n’y a point de rôle qu’il n’exécute très bien. Comme il a beaucoup de feu, et de cette honnête hardiesse nécessaire à l
e humeur. Le rôle d’Axiane, que mademoiselle du Parc représenta avec beaucoup de succès dans la tragédie d’Alexandre, de M. Racine
724). 59. Floridor entra dans la troupe du Marais en 1640. Il avait beaucoup de noblesse dans l’air et dans les manières ; il éta
Molière en a fait lui-même à une époque où elle lui avait déjà causé beaucoup de chagrins. « Elle a les yeux petits, mais elle les
La Grange, « Remarquez, dit-il, que la Molière et La Grange font voir beaucoup de jugement dans leur récit, et que leur jeu continu
9 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
’allusions ingenieuses : c’est apparemment ce qui fit que l’on ajoûta beaucoup de foi à ce Conte. Il y eut même des gens qui le tou
étoit fort avancée, il crut pouvoir aller jusqu’au bout sans se faire beaucoup de tort ; mais le zêle qu’il avoit pour le public eu
Le sens de l’Auteur est que sa Muse ressembleroit à ses sœurs qui ont beaucoup de babil ; mais selon la Grammaire cela signifie cla
onnée au goût du public, c’est-à-dire, qu’elle soit capable d’attirer beaucoup de monde ; car sans cela, ne fût-elle qu’un elixir d
10 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
ercher bien loin les sujets de rire dans des événements imaginés avec beaucoup de peine, et on ne s’avisait point de les aller pren
ont pas inférieurs à ceux que nous avons cités plus haut. Nous devons beaucoup de ces pièces dont nous avons fait usage à la polite
1660, Molière donna pour la première fois Le Cocu imaginaire, qui eut beaucoup de succès ; cependant les petits auteurs comiques de
le style de cette pièce est faible et négligé, et que surtout, il y a beaucoup de fautes contre la langue. Non seulement il se trou
x volumes in-8°, intitulé : Le Dictionnaire des précieuses, où il y a beaucoup de satires sur les personnes de son temps. Somaize a
11 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
fois qu’on l’a jouée. Faites-y attention, Monsieur, vous en trouverez beaucoup de cette force-là. Il me paraît que ce Livre n’a poi
de Mignot. Cette action de Molière est belle, et je doute qu’il y ait beaucoup de personnes capables d’en ménager si bien une parei
e de Molière, et non pas sa vie. Eh bien soit, celle-là m’aurait fait beaucoup de plaisir ; celle-ci ne m’intéresse point. On donne
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
de la Comtesse. Le Marquis, trompé par le déguisement, dit à Cidalise beaucoup de mal d’elle-même : elle se démasque, le Marquis fe
tendant une scene où il est question de signer un écrit où l’on parle beaucoup de créanciers, & où la négligence des Grands pou
ffreux. Ainsi finit cette piece remplie de beautés, mais noyées dans beaucoup de verbiage. Madame Béverley a mal fait d’annoncer a
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311
se de les mettre dans une situation où ils fussent contraints à faire beaucoup de dépense pour ne pas démentir leur masque ». J’av
-il déja séduit quelqu’un de mes lecteurs : mais il ne lui faudra pas beaucoup de réflexion pour sentir que lorsqu’un peintre se bo
14 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
de Racine, plusieurs articles sur les acteurs célèbres de ce temps et beaucoup de faits singuliers sur les poèmes dramatiques qui p
n aient bien ou mal jugé, et que peut-être je l’aurais justifié, sans beaucoup de peine, si la même raison qui les a fait parler ne
que le lecteur, ainsi que nous, n’aura pas lieu d’accuser l’auteur de beaucoup de vanité, pour en avoir fait parade. In præstantiss
énie de Molière, détaille avec une grande connaissance du théâtre, et beaucoup de goût, les beautés de la comédie de L’École des ma
rien de si plaisant. Celle-ci, sans doute, est si belle, Que l’on dit beaucoup de bien d’elle ; Et selon les beaux jugements. Elle
, eut tout le succès qu’elle méritait, mais en même temps elle essuya beaucoup de critiques. « [*]Soit malignité, soit cabale, on
éjà une sous ce titre, il n’a pu lui donner le même nom. « Elles ont beaucoup de rapport ensemble ; et dans la première, il garde
e Grimarest, auteur d’une Vie de Molière qui parut en 1705, mais avec beaucoup de précaution ; car cet auteur est peu exact sur les
ra beaucoup d’aigreur, et même de licence ; mais dans la suite il mit beaucoup de modération et moins de fiel : la première manière
le 4 février. b. « [*] La réputation naissante de Molière souffrit beaucoup de cette disgrâce, et ses ennemis triomphèrent. » M
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
la pauvreté, blâmant nos loix, se moquant de nos femmes indolentes, a beaucoup de ressemblance avec Arlequin Sauvage, voulant mange
Turc qui examinoit sa figure, se contenta de lui lever le menton avec beaucoup de douceur. Un seul coup d’œil lui fit connoître dan
ers ils sont propres ; mais il me paroît qu’ils n’ont pas encore fait beaucoup de besogne. La Major. En effet, & je m’apperçois
16 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
1660. Moliere donna pour la premiere fois le Cocu imaginaire, qui eut beaucoup de succès. Cependant les petits Auteurs Comiques de
sifiée, en fit la plus belle Scene de ses Fâcheux ; & le Roi prit beaucoup de plaisir à la voir representer. *Il dedia cette C
lleurs n’avoit rien à se reprocher. Ainsi Moliere, après avoir essuyé beaucoup de froideurs & de dissentions domestiques, fit s
ece que nous devons representer incessamment devant le Roi ? On donna beaucoup de mauvaises raisons, piquantes même, ausquelles Mol
bligea de se dépêcher de fabriquer son Fagotier, en quoi il n’eut pas beaucoup de peine, puisque c’étoit une de ces petites pieces,
s n’empêcherent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec beaucoup de plaisir, comme un spectacle bien rendu en nôtre l
ant pas sans un peu de rumeur, de la part des Spectateurs, & sans beaucoup de chagrin du côté des Comediens. La permission que
plus d’une fois de l’avoir fait. Quoique Moliere donnât à ses Pieces beaucoup de merite du côté de la composition, cependant elles
affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui faisoit pas beaucoup de plaisir. On parla de santé. Moliere rendit compte
bile homme, & qui passez, à cause de vôtre bel esprit, pour avoir beaucoup de part à mes Pieces, je voudrois bien vous voir à l
e eut ordre d’y travailler : Il fit les Amans Magnifiques, qui firent beaucoup de plaisir au Courtisan, qui est toujours touché par
a piece ; mais qu’elle étoit très-bonne, & qu’elle lui avoit fait beaucoup de plaisir. Moliere n’en demandoit pas davantage, as
oient frequentes, tout cela l’occupoit suffisamment, pour n’avoir pas beaucoup de temps à donner à son cabinet. D’ailleurs sa santé
la toile levée, précisement à quatre heures. Moliere representa avec beaucoup de difficulté ; & la moitié des Spectateurs s’ap
17 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [85, p. 129-130] »
partout où il pouvait les trouver. Comme cet ancien Gille ressemble à beaucoup de Gilles modernes, nous allons citer le portrait qu
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
it des Conversations, ouvrage de Gayot de Pitaval, une histoire qui a beaucoup de rapport avec cette comédie : je vais transcrire l
ent voir de loin Grégoire entouré de sacs remplis de foin, qui compte beaucoup de louis sur une table. Alors les trois ingrats, aut
19 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
abile, Pèse sans passion Chapelain et Virgile, Remarque en ce dernier beaucoup de pauvretés ; Mais pourtant confessant qu’il a quel
été données par eux au roi en personne à l’armée, et elle finit avec beaucoup de raison par ces mots : Combien de pauvretés ! Rac
illustres, elle les aimait, elle avait quelque chose de leur talent, beaucoup de la sagesse de leur esprit, un goût aussi pur en l
20 (1717) Molière (Grand Dictionnaire historique, éd. 1717) [graphies originales] « article » p. 530
Maison du Roi. On l’avait élevé avec assez de soin, et il avait fait beaucoup de progrès dans les Belles Lettres et dans le Droit.
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
amis, jeune homme qui a tout le brillant du grand monde, c’est-à-dire beaucoup de fatuité & de présomption. Le cœur de l’héroïn
os amis : car vous êtes si réservé, si retenu ! Le Marquis. Oui, j’ai beaucoup de timidité. La Comtesse. Beaucoup, il est vrai. Le
é de voir, dans nombre de nos pieces, que leurs Auteurs se sont donné beaucoup de peine pour choisir les noms de leurs personnages,
rieux, puisqu’il est amoureux de Finette, & la cede ensuite, sans beaucoup de regret, à son fils ; puisqu’il se laisse traiter
22 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
en 6 volumes in-S, annoté par Petitot. C’est ce Molière, qui contient beaucoup de notes manuscrites de Stendhal, que je donne aujou
s siècles, il faut qu’il y ait beaucoup d’incidens qui le prouvent et beaucoup de naturel dans la manière d’exposer ces incidens.
siècles, il faut qu’il y ait beaucoup d’incidens qui le prouvent, et beaucoup de naturel dans la manière d’exposer ces incidens (4
otes qui accompagnent ces pièces. Les annotations de M. Bucci offrent beaucoup de variantes avec celles que je donne aujourd’hui ;
second volume de son ouvrage, Rome, Naples et Florence en 1S17 ; avec beaucoup de notes autographes de l’auteur, pour servir à une
nce les a fatigués d’être bons. » II, page 21 : V : « On ne fait pas beaucoup de grandes choses par conseil. » B : « L’enthousias
tiré, pour entendre la conversation.) La présence de Damis caché met beaucoup de piquant. Elmire      Que fait là votre main ? T
Paris, comme l’ancien évêque d’Alais, Mr de Bausset72 où il jouit de beaucoup de considération dans la clique dévote. C’est en sa
. Molière ayant choisi de nous la montrer tout à fait vaincue a évité beaucoup de positions comiques. Les trois désavantages énoncé
que dix sous ! Trait de vérité qui fait un grand plaisir en donnant beaucoup de vraisemblance à la chose. Eloge indirect de la ri
à ses concitoyens, aucun d’eux ne pense à lui. La prude évitant avec beaucoup de soin un tête-à-tête avec un homme qui, enfin, la
la première habitude de cette classe d’hommes est de distinguer avec beaucoup de finesse, dès le premier jour qu’ils vont dans une
ort bien Qu’à ne le point flatter, son sonnet ne vaut rien. Trissotin Beaucoup de gens pourtant le trouvent admirable. On rit de l
23 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90
promis, ce qui satisfait fort Doublette. Son mari revient, la gronde beaucoup de se servir de cet homme qu’il n’aime pas ; & m
le vôtre. Madame Flandres rend visite à Madame Hollande ; elle prend beaucoup de part à son mal : elle en a été attaquée, elle en
24 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
Parme. Comme de coutume, la principale actrice de la troupe recevait beaucoup de visites. Un cavalier de la ville l’ayant été voir
à l’il- lustre comédienne. Le 10 juin, ses obsèques eurent lieu avec beaucoup de solennité ; les échevins y envoyèrent les bannièr
25 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
te nommé Rhintone. Les comédies appellées statariae, celles où il y a beaucoup de dialogue & peu d’action, telles que l’Hecyre
eux, vomit des ordures ; mais tout cela se fait en traits, & avec beaucoup de vivacité & d’esprit : de sorte que le fond pa
esclave de Terentius Lucanus sénateur romain, qui le fit élever avec beaucoup de soin, & l’affranchit fort jeune. Ce sénateur
omme trop bon pour avoir cette partie ; car elle renferme en soi avec beaucoup de finesse, un peu de malignité. Savoir rendre ridic
de grandeur n’éleve pas seulement Aristote ou Platon dans l’esprit de beaucoup de gens, elle imprime aussi du respect pour tous ceu
e à n’en revenir jamais. Ce sont par exemple des personnes qui ont lu beaucoup de livres anciens & nouveaux, où ils n’ont point
26 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
t homme d’esprit, dont on a une Histoire de Louis XIII, composée avec beaucoup de patience, écrite avec trop de recherche ; en somm
quatre chefs-d’œuvre, mais il aurait fait ce que font tous les jours beaucoup de pères de famille qu’on loue de veiller sur l’honn
othurne ; un auteur peu fécond, un satirique très-prudent. On le loue beaucoup de sa hardiesse. Bientôt nous le verrons, en effet,
e, qui est charmante, c’est lui-même. Il avait apporté de la province beaucoup de phébus et beaucoup de grossièreté ; en moins d’un
c’est lui-même. Il avait apporté de la province beaucoup de phébus et beaucoup de grossièreté ; en moins d’un an, il s’était presqu
ce jour-là. Il ne les écouta point, et représenta son personnage avec beaucoup de difficulté. Dans la cérémonie qui termine la pièc
é. Dans la cérémonie qui termine la pièce, il eut une convulsion dont beaucoup de spectateurs s’aperçurent et qu’il essaya de dissi
té morale du théâtre : quelques gens d’esprit qui ne croient à rien ; beaucoup de gens crédules qui ne comprennent rien, mais qu’un
raît souvent ; elle a cependant été mise en circulation par Voltaire. Beaucoup de sottises courantes viennent de là ! « On peut har
deux cents ans. Il l’appelle « une femme d’esprit qui avait conservé beaucoup de monde, malgré ses longs séjours en province, et d
tes leurs charges, et les chassa de la cour, ne leur laissant qu’avec beaucoup de peine, et pour obéir à sa mère, le gouvernement d
de la Société des Gens de lettres : « Voici une comédie dont on fait beaucoup de bruit, qui a été longtemps persécutée ; et les ge
laisantes et pour réformer les abus de la dévotion ! S’éloignerait-il beaucoup de la vérité, l’auteur qui, peignant les faux morali
risie et de la fausse dévotion. Car comme la fausse dévotion tient en beaucoup de choses de la vraie ; comme la fausse et la vraie
ment la chose est plaisante. Cependant, sans qu’il y ait là matière à beaucoup de larmes et sans vouloir en faire une confession pu
s apparences. Envers Alceste, qui semble ne l’aimer guère, il déploie beaucoup de patience et même de charité, marques d’une âme pl
e goût de Philinte, c’est-à-dire tel qu’il est, je crois qu’on y voit beaucoup de femmes dignes de respect et d’affection qui sont
féré depuis de montrer « Tartuffe sous une décorationqui le rapproche beaucoup de l’application que voulait éloigner Louis le Grand
27 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
la naïveté qu’il y met. Le dénouement de l’Ecole des Maris, vanté par beaucoup de critiques, n’est pas exempt de ce sans-façon ; ce
jalousie de Molière, jalousie qui n’était que trop fondée, ainsi que beaucoup de gens pouvaient l’attester. Montfleury fils ajoute
e est. Cette pièce est écrite et composée avec esprit; on y rencontre beaucoup de vers naturels. C’est le style des Plaideurs, moin
es. Un des bons esprits de ce temps, M. Auger, a traité ce sujet avec beaucoup de sagacité dans ses excellentes notices sur les piè
ant appartiennent encore au poète latin. Molière s’est servi aussi de beaucoup de choses de détail ; l’avare qui demande à voir la
evenant son collaborateur. Cette conduite sensée de Louis XIV rachète beaucoup de fautes que l’orgueil lui fit commettre. Les Amant
e Molière destinait cette pièce aux gens de goût, c’est qu’il a imité beaucoup de passages du Phormion de Térence. Il ne se serait
s émotion pendant cette lecture. Mais les habitués du théâtre savent beaucoup de gré aux actrices qui font ressortir toutes ces nu
me ? Le jeu faisait l’occupation favorite de cette société dissipée ! beaucoup de maisons ouvraient en quelque sorte des académies,
la niaiserie publique. Dans la Loterie, il a saisi ce caractère avec beaucoup de vigueur. Sbrigani est le type de ces aventuriers
rqué dans les Fêtes du Cours une intrigue de bal masqué conduite avec beaucoup de charme et de naturel. Quoiqu’on ait prodigué, dep
28 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
t Les Femmes savantes, pièces qui, à tous égards, sont composées avec beaucoup de soin. Nous commencerons par établir, une fois pou
donnent encore quelquefois comme farces de carnaval, et toujours avec beaucoup de succès. L’intrigue de Jodelet, qui appartient à F
é, tranquille, parfaitement honnête dans ses vues, qui composait avec beaucoup de tension d’esprit des comédies régulières, où il n
stence du drame larmoyant ; mais la tragédie bourgeoise n’a jamais eu beaucoup de succès en France, parce qu’on y aime trop ce qui
pre carrière d’écrivain. Le plan du Barbier de Séville est conçu sans beaucoup de soin, il y a bien plus d’art et d’invention dans
29 (1739) Vie de Molière
ère. Il y avait alors dans ce collège deux enfants, qui eurent depuis beaucoup de réputation dans le monde. C’étaient Chapelle et B
le style de cette pièce est faible et négligé, et que surtout il y a beaucoup de fautes contre la langue. Non seulement il se trou
était alors honorable ; et Molière même dit dans sa préface, qu’il a beaucoup de respect pour les véritables Précieuses, et qu’il
rejouée depuis sa chute. La réputation naissante de Molière souffrit beaucoup de cette disgrâce, et ses ennemis triomphèrent quelq
rier 1673. C’est une de ces farces de Molière dans laquelle on trouve beaucoup de scènes dignes de la haute comédie. La naïveté, pe
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
rbleu, gardez d’échauffer trop ma bile ; Vous pourriez éprouver, sans beaucoup de longueur, Si mon bras sait encore montrer quelque
. J’ai un certain valet, nommé Mascarille, qui passe, au sentiment de beaucoup de gens, pour une maniere de bel esprit ; car il n’y
nt l’argent qu’il a reçu de Dave ; & il s’ensuit de là qu’il veut beaucoup de mal à l’Auteur de l’avoir annoncé, ou à Géta de n
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
latté d’écarter bientôt tous ses rivaux. Il fit inutilement avec elle beaucoup de dépense ; elle recevoit ses présents : mais comme
p; même des scenes toutes faites au Dramatique. Ce dernier n’a pas eu beaucoup de peine en transportant l’un & l’autre sur la s
32 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
pour Molière, qui a dû pour se moquer des précieuses, leur emprunter beaucoup de façons de parler. Il a accrédité les unes, qui on
ait pas une note, elle en fait plusieurs, » ce qui paraissait étonner beaucoup de gens. M. Camille Saint-Saëns cherche la raison de
uger du théâtre en homme de théâtre plus qu’en professeur. Tandis que beaucoup de ses collègues ne commentent le théâtre classique
e dans tout l’ancien répertoire, incomparable. M. Boucher a joué avec beaucoup de convenance ; j’aurais souhaité qu’il y mît un peu
et d’être puni par où il a péché. C’est l’histoire d’Arnolphe. A-t-il beaucoup de fredaines sur la conscience ? Je ne sais. Molière
un homme en proie à l’idée fixe, un fou, mais un fou comme il y en a beaucoup de tels dans le monde, un fou lucide et raisonnant,
tact et le préservera du mot qu’il redoute. Il y a eu, dans son fait, beaucoup de calcul ; on n’y découvre pas ombre de passion :
rès vivante. Don Juan est une figure qui ne périra jamais : peut-être beaucoup de mes lecteurs ne savent-ils plus ce que je veux di
après l’autre, les tromperies dont il les abusera s’entremêleront de beaucoup de circonstances qui prépareront les deux victimes à
e que la logique d’Alceste appliquée aux affaires de l’État. On parle beaucoup de Figaro ; mais tous les instincts démolisseurs du
z que le langage est cadencé. M. Anatole de Montaiglon remarque, avec beaucoup de sens, que Le Sicilien ou l’Amour peintre serait u
rendue ; toutes leurs objections ont été résumées et expliquées avec beaucoup de sens, de verve et d’esprit, dans la Revue bleue,
me ferais scrupule d’y changer un mot : Mon cher Sarcey, Tous dites beaucoup de bonnes choses sur Dorine. Mais pourquoi la vieill
rouve d’autres, de moindre envergure où éclatent néanmoins, à travers beaucoup de défectuosités, quelques traits de génie. La posté
int d’objections. Thiron n’est pas du tout l’homme du rôle, qui exige beaucoup de naïveté et d’infatuation. Il est trop spirituel p
mise, il faut avouer que l’actrice qui en était chargée l’a joué avec beaucoup de naturel : Molière ne se serait pas reconnu, mais
le côté et laisse voir, par intervalles, des jambes de déesse. Il y a beaucoup de Vénus dans l’antiquité ; celle que Molière a mise
t passionnée. Mlle Favart y a été longuement applaudie. Mlle Favart a beaucoup de détracteurs, qui ne goûtent point son talent. Il
’est chez lui que j’ai trouvé ce détail, qui est sans doute ignoré de beaucoup de mes lecteurs, comme il l’était de moi, que la por
te. Quand le père Provost disait : Il n’est pas bien honnête et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et sache tant de chos
t. Au moment où elle débute, Clitandre, qui vient de dire inutilement beaucoup de mal de Trissotin, son rival, est enragé contre lu
plaisir à lire ce morceau de critique. Vous y trouverez sur Marivaux beaucoup de choses qui n’avaient pas encore été dites, ou du
dition exige que Le Jeu et Les Fausses Confidences soient rendus avec beaucoup de finesse, beaucoup de nuances et de sous-entendus,
eu et Les Fausses Confidences soient rendus avec beaucoup de finesse, beaucoup de nuances et de sous-entendus, avec un art très raf
s vue. — Cependant, Mme Plessy.… interrompais-je. — Ah ! Mme Plessy ! Beaucoup de talent, Mme Plessy ! merveilleuse, Mme Plessy ! m
x lettres qu’avaient écrites Voltaire, Montesquieu et Diderot. Il y a beaucoup de vrai là-dedans. Prenez tous ces mots qui ont fait
ble ! dit le comte à Figaro. — Et si je vaux mieux qu’elle ! Y a-t-il beaucoup de seigneurs qui puissent en dire autant ? Et plus
e plus ridicule. Cette pièce est détestable. Vos parents regrettaient beaucoup de ne pas l’entendre, ils peuvent se consoler. Le go
déplorable dans Le Barbier de Séville. » Voilà pourtant comme, avec beaucoup de goût et d’esprit, on se trompe sur les œuvres d’a
on caractère propre. Figaro, c’est le révolutionnaire quand même. Pas beaucoup de sens, une tête de linotte, mais des instincts éga
t-il, travaille en marqueterie ; moi je jette en bronze. » On s’amusa beaucoup de cette saillie qu’on prit pour la rodomontade d’un
x le feuilleton que notre ancêtre Geoffroy écrivit à ce sujet. Il y a beaucoup de réflexions qui ne nous paraîtraient être aujourd’
ce en prend plus d’intérêt et de piquant. Vous avez eu beaucoup, mais beaucoup de succès, et un succès très mérité ; c’est parce qu
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
’est personne. Il faut, qui que ce soit qui ait fait le coup, qu’avec beaucoup de soin on ait épié l’heure ; & l’on a choisi ju
on âge ? Euclion. Je sais que vous avez déja un nombre d’années & beaucoup de bien. Mégadore. De mon côté, je vous déclare sinc
u’il faut pour le festin, encore est-il fâché qu’il ait fait apporter beaucoup de vin : il soupçonne qu’on a dessein de l’enivrer p
it à soupçonner qu’il a de l’or chez lui : d’un autre côté, il craint beaucoup de quitter son cher foyer, parcequ’il y a caché son
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410
plus jaloux de tous les hommes. La belle s’en apperçut, & en eut beaucoup de déplaisir. Elle lui demanda souvent quel étoit le
ui en est. Je ne sais ce que vous voulez dire, répondit la belle avec beaucoup de sang froid, & j’ai de la peine à croire que m
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
se copie du Tartufe dans son Faux Sincere, puisque le héros n’affecte beaucoup de franchise que pour enlever un dépôt, & que l’
toutes les anecdotes de sa vie. Il paroît, dit qu’il est Damis, fait beaucoup de train sur le mariage précipité de sa prétendue fe
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
ut souffrir : elle lui fait ensuite des reproches, & lui témoigne beaucoup de jalousie. Ces sentiments sont excités par un port
est accordée par son pere.   Cette piece intéressante fut jouée avec beaucoup de succès, & on en fit imprimer l’argument dont
37 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
. Parfaict dans leur Histoire du Théatre François, qu’en lisant ceci, beaucoup de ses amis ne se rappellent de le lui avoir ouï dir
ne me plais point à voir ce chien de boiteux là. Comme Béjart faisoit beaucoup de plaisir, on boita aussi-tôt sur tous les théatres
38 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
aginaire : « Mais, mon oncle, il me semble que vous vous jouez un peu beaucoup de mon père » (act. III, sc. XXIII). 352. Voir plus
mire à sa femme. Comme elle prévoyait bien que celte pièce attirerait beaucoup de monde, Mlle Molière avait à cœur de s’y faire rem
39 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
eux ; c’étoit un homme qui parloit peu, mais très-à-propos & avec beaucoup de justesse ; c’étoit un vrai Philosophe, plein de p
fille d’un Comédien & d’une Comédienne de ce nom : il l’aima avec beaucoup de tendresse ; mais comme c’étoit une coquette des p
40 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
Racine, à peu près autant que Boileau, avec qui, femmes à part, il a beaucoup de rapports et qui ne s’est pas trompé en faisant gr
nt les supporte avec bonne humeur et leur est serviable. Il n’y a pas beaucoup de misanthropie là-dedans. Le vrai titre serait l’In
La pièce est de Plaute ; mais Molière l’a remaniée librement, y a mis beaucoup de lui et lui a donné une finesse et aussi une poési
as d’être un peu abstraite, une grande comédie d’autre part où il y a beaucoup de couplets et aussi beaucoup de maximes et d’apopht
e grande comédie d’autre part où il y a beaucoup de couplets et aussi beaucoup de maximes et d’apophtegmes serait excellente en ver
nature qu’il soit. « Tartufferie » est un mot continuellement usité. Beaucoup de mots sont devenus proverbes : « Serrer ma haire a
c’est ainsi que se contredire c’est se compléter. À ce compte il y a beaucoup de gens qui passent leur vie à se compléter. Mais ce
rop de talents. et Chrysale dit : Il n’est pas bien honnête et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et sache tant de chos
en définitive Alceste : mais il n’a pas laissé de mettre dans Alceste beaucoup de lui et de ce qu’il avait de meilleur. « Ne voyez-
se est une chose « noble », mais qu’il ne faut pas être sincère ; que beaucoup de médecins sont charlatans ; que beaucoup de gens d
aut pas être sincère ; que beaucoup de médecins sont charlatans ; que beaucoup de gens d’église sont des écornifleurs ; que l’avari
Molière se bornent à parler tandis que les méchants agissent P Il y a beaucoup de légèreté dans cette incrimination de Rousseau. Da
à l’humanité ? Le mot est dans Don Juan, mais, que je crois, n’a pas beaucoup de portée. L’amour de Dieu ? Il y a doute. La seule
ans et il se sent justiciable d’eux en tant que bien placés pour voir beaucoup de choses, cela avec le bon sens naturel qu’ils ont
vous montre l’avez-vous vu, vous qui avez du bon sens et qui avez vu beaucoup de choses ? Donc je suis amusant et vrai, c’est tout
les plus riches, et il ne se persuade point que celui ou celle qui a beaucoup de bien puisse avoir tort. » Ceci n’est pas très ju
le. La coquette par méchanceté, ou, si l’on tient aux précisions, par beaucoup de vanité et par beaucoup plus de méchanceté, est ex
On a pris Elmire (du Tartuffe) pour une coquette. C’est la fureur de beaucoup de nos critiques de prendre pour des coquettes des f
parole pour elle ; quand elle croit son père mort elle le pleure avec beaucoup de sensibilité et — pour un moment au moins — ne veu
admis. Boileau (Satire sur les femmes), La Fontaine (quelques fables, beaucoup de contes), Racine lui-même (les Plaideurs) l’ont ac
s à considérer l’homme ainsi. On peut dire (mais il y faudrait mettre beaucoup de réserves) que La Bruyère procède ainsi. C’est ain
e soi-même et l’exagérer et y ramener toujours le personnage. Il a vu beaucoup de médecins, il s’est aperçu que le caractère sailla
e année que les six premiers livres de La Fontaine, encore est-il que beaucoup de fables de La Fontaine circulaient avant la public
qui sont très curieux. Non seulement il laissait aller dans sa prose beaucoup de vers alexandrins, ce que tout le monde a remarqué
açon d’aimer, Je vous prie de me haïr. […] Je reçois cet honneur avec beaucoup de joie. L’aventure me surprend fort, Et pour dire l
41 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
chez qui elle logeait, les maris prirent parti dans la querelle avec beaucoup de chaleur ; il ajoute que Molière, pour venger sa f
t de condamner, d’une manière trop absolue, un art dont l’utilité, en beaucoup de cas, ne saurait être niée raisonnablement ; de lu
robable que le plan conçu primitivement par Molière ne s’écartait pas beaucoup de celui qu’a suivi son continuateur. Dans l’un, com
42 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
s écrivains fameux sont devenues interminables, — non qu’on y ajoutât beaucoup de faits nouveaux ; mais des rapprochemens forcés, d
s’enrichir : l’art d’écrire est trop souvent devenu une industrie où beaucoup de talent se perd, se gaspille chaque jour. Chez ceu
l’appel de l’écrivain acharné à sa besogne lucrative. Trouve-t-on que beaucoup de ces chefs-d’œuvre de commande vaillent ce qu’on l
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. » pp. 53-56
e & la compagnie des Précieuses reçoivent le nouveau Marquis avec beaucoup de politesse. On vient ensuite annoncer le Baron de
44 (1716) Projet d’un traité sur la comédie pp. 110-119
omme qu’il soupçonne de l’avoir volé. Un autre défaut de Molière, que beaucoup de gens d’esprit lui pardonnent, et que je n’ai gard
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux. » pp. 263-267
aller tout sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête, & pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie & sache tant de c
46 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
ie, son perpétuel entêtement de qualité . En cela, elle se rapproche beaucoup de monsieur et de madame de Sotenville ; mais elle n
is Molière y a su mettre plus de génie comique qu’on n’en trouve dans beaucoup de grandes pièces fortement intriguées. Quand on voi
t qui soit entièrement propre et particulier à la personne du second. Beaucoup de savants, comme Trissotin le reproche à Vadius, et
t que onze ans de date, et qui pouvait être restée dans la mémoire de beaucoup de personnes, telle que l’avait laissée Molière. Mai
et quelques autres conditions particulières à ce sexe, sont cause que beaucoup de femmes vivent dans un état mitoyen entre la santé
47 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
croire, selon l’observation du même auteur, qu’elles leur ayent fait beaucoup de mal ; au contraire, il n’y a rien de plus propre
’il étoit assez sérieusement sçavant. MmeDacie‌r19 trouve qu’il avoit beaucoup de génie et des manières de Plaute et d’Aristophane.
xante-dix ans. L’École des femmes, comédie en vers et en cinq actes. Beaucoup de personnes croyent que Moliere a pris l’idée de ce
les pour le théâtre dont il a été la gloire dans son temps ; il avoit beaucoup de noblesse dans l’air et dans les manières ; il éto
miques, et les jouoit très-bien ; il avoit la voix claire, légère, et beaucoup de finesse dans son jeu. Ses pièces de théâtre sont 
48 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
pièce n’est presque plus rien ici : les lazzi sont tout. Nous voyons beaucoup de scènes comme celle que nous allons, par exemple,
uit ses archers de ce qu’ils doivent faire : « Il faut, dit-il, avoir beaucoup de prudence. Si, pendant la nuit, nous rencontrons u
49 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
parle pas de tout ce qui s’est passé ici depuis un mois. Il y aurait beaucoup de choses à dire, je n’en trouve pas une écrire. »
 53. Il cite un manuscrit de Ledieu, qui n’est je crois, pas connu de beaucoup de personnes. 106. T. II, p. 68-94. 107. Beausset,
50 (1821) Scène ajoutée au Boulevard Bonne-Nouvelle, pour l’anniversaire de la naissance de Molière pp. -
sais le Dandin… La pièce elle était fort à la mode, et ils avaient ri beaucoup de moi. Tricot Puisque vous devez un pareil succ
51 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
ui par la sévérité de son étiquette, mettait son plaisir au-dessus de beaucoup de choses, accordait de grands privilèges à ceux qui
monopole a ses faussaires, ses fraudeurs et ses larrons particuliers. Beaucoup de gens étant désireux de la noblesse pour ses avant
chose qui la désole dans ce nouveau train de vie, c’est qu’elle prend beaucoup de peine pour tenir son ménage propre , sans pouvoi
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
uve rien qui puisse lui donner des lumieres ; &, après avoir fait beaucoup de lazzis devant le miroir, il trouve la manchette d
s, cédant à la curiosité, il le rappelle. Arlequin lui apprend, après beaucoup de lazzis, qu’il a trouvé une manchette d’homme chez
une manchette d’homme chez Delmire, & une lettre. Le Prince fait beaucoup de réflexions sur la personne qui peut être entrée d
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
it & de grands éclairs ; la terre s’ouvre & l’abîme : il sort beaucoup de feu de l’endroit où il est tombé. Sganarelle dése
ues. Il résulte de tout cela que le poëme est mauvais, mais qu’il y a beaucoup de spectacle ; & c’est, comme nous l’avons dit,
a fille, de sa femme, de son fils & du petit chien. 25. J’ai eu beaucoup de peine à trouver cette piece dans le Théâtre Espag
54 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
ermes, et quelques expressions ; surtout dans une matière, où j’avais beaucoup de choses à ménager, pour n’en pas rendre la lecture
ment donner de l’inquiétude à Molière. D’ailleurs nous avons toujours beaucoup de suffisance pour tout entreprendre ; mais au momen
es inflexions qui conviennent ; une bonne poitrine, pour la ménager ; beaucoup de jugement, pour découvrir le sens de l’Auteur ; et
55 (1871) Molière
fants sans souci. À ce bel âge, avec un peu d’argent dans sa poche et beaucoup de feu dans les yeux, un enfant de Paris ne doute de
i l’avait construite et machinée à ses frais. Les réparations prirent beaucoup de temps, et pour vivre dans l’intervalle, les coméd
i était entouré. Rien de plus beau que monseigneur le duc d’Orléans : beaucoup de grâce et de douceur dans l’esprit, de civilité et
56 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
a puisé ce qu’il y a de meilleur dans cette Comédie4, où l’on trouve beaucoup de choses qui ressemblent aux Précieuses Ridicules,
1, dont le mari était Amant aimé de Ninon de l’Enclos*, avait un jour beaucoup de monde chez elle. on demanda à voir son fils. Il p
rejouée depuis sa chute. La réputation naissante de Molière souffrit beaucoup de cette disgrâce, et ses ennemis triomphèrent quelq
nterie. M. Despréaux disait de ce Chapelle*, qu’il avait certainement beaucoup de feu, et bien du goût, tant pour écrire que pour j
it à Molière que sa Pièce était très-bonne, et qu’elle lui avait fait beaucoup de plaisir. Tome I, p. 354 1724, Carpentariana
ie les sacs, et est fort surpris d’en voir sortir deux hommes. On rit beaucoup de son étonnement : et tous les Acteurs finissent pa
out le dénouement. Tome II, p. 202 Voici une Comédie qui a fait beaucoup de bruit, et a été longtemps persécutée. Les gens qu
1, Moliérana, 20, p. 49-50 Tome II, p. 208 Molière se donnait beaucoup de peines pour la représentation de ses Pièces, et p
57 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
ssi surprenante qu’elle le parut h bien des gens. Elle se rapprochait beaucoup de celle de Fénelon, lequel a dit de Molière, qu’en
toutes les accusations d’empoisonnement, et cette disposition donnait beaucoup de gravité à celle que Lulli formulait, sur les indi
age en faisant suspecter la moralité du témoin, tous ces motifs ôtent beaucoup de valeur aux injurieuses appréciations qu’il fait d
Tourelle, qui ressemblait tellement à Mme Molière que, même de près, beaucoup de gens s’y trompaient. Abusé par cette extraordinai
es anciens rituels, se conformant en cela à l’opinion des Pères et de beaucoup de conciles, ont condamné la comédie et les spectacl
es anciens rituels, se conformant en cela à l’opinion des Pères et de beaucoup de conciles, ont condamné la comédie et les spectacl
désormais très éveillée, des connaisseurs ; mais cette suspicion perd beaucoup de force, à mon avis, depuis que sa congénère, écrit
pour savoir que la franchise, placée mal à propos, peut souvent faire beaucoup de mal en irritant gratuitement les passions ; en un
58 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
ans la Place Royale… PERSILLET. C’est ma femme qui a la manie d’avoir beaucoup de plain-pied ; car pour moi je me trouve assez bien
ens d’autrui ; et la plus grande vertu dans mon empire, c’est d’avoir beaucoup de bien. LE DOCTEUR. C’est tout comme ici. ARLEQUIN.
59 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
ie les sacs, il est fort surpris d’en voir sortir deux hommes. On rit beaucoup de son étonnement ; & tous les acteurs finissent
ire ; qu’au reste, ils doivent excuser la jeunesse, qui est sujette à beaucoup de fautes ; & que s’il lui arrive une autre fois
les pieces, les taches & les filets y composent bizarrement, ont beaucoup de rapport avec les figures hiéroglyphiques des Egyp
antage, je vous prie, s’il marioit sa propre fille ? Il n’a pas gagné beaucoup de n’en point avoir, puisqu’en voilà une toute trouv
60 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
a partout mille traits d’esprit, beaucoup d’expressions heureuses, et beaucoup de manières de parler nouvelles et hardies, dont l’i
. » a. M. Moussinot, amateur de pièces de théâtre, nous a prêté beaucoup de ces critiques, dont il a une très ample collectio
er la pièce, mais qu’elle était très bonne, et qu’elle lui avait fait beaucoup de plaisir. Molière n’en demandait pas davantage, as
aginaire… c’est une de ces farces de Molière, dans laquelle on trouve beaucoup de scènes dignes de la haute comédie. La naïveté, pe
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. De l’Art de prévenir les Critiques. » pp. 309-313
ette scene, est généralement d’un ton qu’une femme honnête doit avoir beaucoup de peine à prendre. Tartufe lui demande des preuves
62 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
tait tout à fait à l’aise ; il la consultait fréquemment et profitait beaucoup de ses avis, la tenant pour « la personne du monde s
âmes avec le jugement le plus net, — l’ensemble de sa carrière révèle beaucoup de bon sens uni à beaucoup d’habileté. Dans sa condu
on essaie de dégager leur commune physionomie morale, on leur trouve beaucoup de tolérance et d’indulgence pour les faiblesses de
l’inspiration de ces deux pièces, mais il faudrait quelque naïveté ou beaucoup de parti-pris pour s’étonner des protestations d’un
là pour finir par celui-ci ; mais, sceptique ou confiant, il s’occupe beaucoup de médecine, fit avec passion des ouvrages médicaux,
63 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
risie et de la fausse dévotion. Car comme la fausse dévotion tient en beaucoup de choses de la vraie ; comme la fausse et la vraie
à ce qui, dans les arts, constitue le génie créateur. On a fait aussi beaucoup de recherches et de conjectures sur l’origine du nom
du comique français sur le comique latin. « Molière, dit- il, a pris beaucoup de choses de Plaute ; mais il leur donne un autre to
64 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
t plus de travers que de perversité, sage sur le tard, et n’ayant pas beaucoup de cœur peut-être ; mais le peu qu’elle en avait, ne
pour Oronte, et je veux qu’on le croie. Je reçois tous ses soins avec beaucoup de joie, J’admire ce qu’il dit, j’admire ses vers,
x qui ont eu plus ou moins à se plaindre de Célimène, c’est-à-dire à… beaucoup de gens. On rit donc : mais on n’avoue pas. Moi, j’a
h ! vous me dites en finissant que, sans le vouloir d’ailleurs (c’est beaucoup de grâce que vous me faites),j’ai rapetissé Molière 
65 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
arivey. La comédie des Esprits offre un caractère d’avare, tracé avec beaucoup de conduite, et dont Molière n’aurait pas dédaigné c
qui nous parle d’un certain Henrique Qui retourne en ces lieux avec beaucoup de biens Qu’il s’est en quatorze ans acquis dans l’A
des plus belles ambitions du temps, le perfectionnement de la langue. Beaucoup de femmes y avaient gâté leur naturel. Au lieu de pe
rouvent qu’il en a manqué où il en fallait ; ni ceux auxquels il faut beaucoup de matière pour contenter leur imagination ne le tro
66 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
e Dandin, Le Médecin malgré lui et Le Mariage forcé furent joués avec beaucoup de succès. Les rôles de femmes étaient remplis par d
lus. Les représentations, inaugurées à Nantes le 17 mai, n’eurent pas beaucoup de succès. Les historiens de Nantes racontent que la
it fait faire pour venir, je ne pus jamais l’obtenir, quoiqu’il y eût beaucoup de justice, mais M. le prince de Conti avait trouvé
rince le lieu commun de leurs études. S’il l’osa, il y mit sans doute beaucoup de tact et de finesse, car le jeune frère du grand C
s auraient trouvée dans le lit, laquelle aurait reçu leur visite avec beaucoup de civilité »35. Ces comédiens qui étaient cause qu
s le trente ou quarantième jusqu’à l’infini ; joint qu’ils occupaient beaucoup de place, et que, servant en même temps de siège et
qui deviennent le principal intérêt de la comédie, où l’intrigue perd beaucoup de l’importance qu’elle avait eue jusque-là. C’est l
tous les repas qu’il reçoit, son esprit le faisant aller de pair avec beaucoup de  gens qui sont au-dessus de lui. L’on ne doit poin
ment représentés, si bien touchés et si bien finis, qu’il en a mérité  beaucoup de gloire. » Les écrivains dramatiques savent ce qu
cuniaires, il était généreux, libéral, dépensait grandement, recevait beaucoup de monde, prêtait à ses amis, et répandait de nombre
ux en écriture publique, et un faux que ses ennemis n’auraient pas eu beaucoup de peine alors à faire constater ? Le droit jugement
it qu’il a tracé d’Armande, à une époque où elle lui avait déjà causé beaucoup de chagrins ; le dialogue s’engage entre Cléonte et
devint sous la direction de Molière une excellente actrice. Elle prit beaucoup de fierté dans sa nouvelle position, mais elle ne s’
entés aujourd’hui de suivre les conseils et l’exemple de Sganarelle ; beaucoup de maris font plus ou moins le rêve d’Arnolphe ; on
u langage le moins éclairé du catéchisme ou du confessionnal pour que beaucoup de gens n’y vissent point un attentat contre les cho
’on entend leurs discours, l’on voit leurs habits, et l’on peut, sans beaucoup de peine, venir à bout de leur portrait. Si, pour re
le prologue des Fâcheux, il ajoute : « On croyait nous faire trouver beaucoup de jeunesse dans un vieux poisson." Mais son idée fi
draient plus acceptable. Il réclame le secret avec instance ; et pour beaucoup de raisons, cela est fort compréhensible. Le prince
dans les choses de la vie pratique un grand sens, beaucoup d’ordre et beaucoup de droiture. Ses relations avec ses amis font toutes
nt les princes de la science, des hommes ayant une grande renommée et beaucoup de crédit, et qu’il n’était pas bon d’avoir contre s
nsurmontable tendresse. Il mit dans la nouvelle et immortelle comédie beaucoup de son cœur : Alceste, adorant malgré lui la coquett
la toile levée, précisément à quatre heures. Molière représenta avec  beaucoup de difficulté, et la moitié des spectateurs s’aperçu
u’il fallait pour faire valoir ses peines, elle dit au président avec  beaucoup de joie qu’elle avait surmonté les obstacles qui s’é
chée à la première nouvelle qu’elle avait eue de l’affaire, et on eut  beaucoup de peine à la trouver. Enfin elle fut prise, elle av
dix-huit ou dix-neuf ans elle mena le train de la comédie nomade, eut beaucoup de succès en Languedoc à cause de sa beauté et de so
Bérélie ; j’ai remarqué souvent que la Molière et La Grange font voir beaucoup de jugement dans leur récit, et que leur jeu continu
ique, et il n’y a point de rôle qu’il n’exécute très bien. Comme il a beaucoup de feu, et de cette honnête hardiesse nécessaire à l
bon acteur, dans le comique et dans le tragique. Il obtint également beaucoup de succès dans le rôle d’Alain, de L’École des Femme
zou fut une beauté célèbre en son temps. Elle avait un grand air avec beaucoup de  charme à la fois ; la reine Anne d’Autriche l’ava
e troupe juvénile prit le titre de Comédiens de M. le Dauphin, et eut beaucoup de succès. Baron était pendant ce temps en pension à
ier 1672. Et puis, sociétaire dès 1673, elle avait du entendre parler beaucoup de lui par ses anciens camarades. 48. Promenade de
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
a sottise seule peut faire. On trouve dans Gilblas une histoire qui a beaucoup de rapport avec le sujet de cette comédie : mais tel
68 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
suffi pour faire vivre l’ouvrage; et ces deux scènes valent mieux que beaucoup de comédies. Dès son troisième ouvrage, il sortit en
ie, qu’il composa pour répondre à ses censeurs, et qui fut jouée avec beaucoup de succès. On peut s’imaginer combien ils se récrièr
nges n’étaient pas toujours flatteuses, par exemple, lorsqu’en disant beaucoup de bien de l’École des Maris, il la place après les
narelle comme la meilleure des pièces de Molière. En revanche, il dit beaucoup de mal des Précieuses ridicules, dont la réussite f
 : c’est un défaut qui n’est pas dans Plaute ; mais ce défaut tient à beaucoup de différents mérites que Plaute n’a pas non plus. E
icultés du sujet. Que l’on propose à un poète comique, à un auteur de beaucoup de talent, un plan tel que celui-ci : Un homme dans
69 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
e vie de M. de Visé (premier auteur du Mercure galant), qui a composé beaucoup de pièces pour le théâtre français. Ce que l’on a di
comédie d’Amphitryon de Molière ; mais cette décision ne trouvera pas beaucoup de partisans. Quoi qu’il en soit, voici le passage :
sens étaient enchantés, Molière avait fait les paroles, Qui valaient beaucoup de pistoles, Car en un mot, jusqu’en ce jour, Soit
pièce lorsqu’il la fit imprimer. « Voici une comédie dont on a fait beaucoup de bruit, qui a été longtemps persécutée ; et les ge
bligea de se dépêcher de fabriquer son Fagotier. En quoi il n’eut pas beaucoup de peine, puisque c’était une de ces petites pièces,
e. « Il y avait alors dans ce collège deux enfants, qui eurent depuis beaucoup de réputation dans le monde, c’était Chapelle et Ber
de l’Académie française ; et nous ne doutons point qu’en lisant ceci, beaucoup de ses amis ne se rappellent de le lui avoir ouï dir
comédie du même titre. C’est une de ses meilleures pièces. Il a pris beaucoup de choses de Plaute ; mais il leur donne un autre to
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. De l’Illusion Théâtrale. » pp. 426-433
riez-vous ? Je vous connois tous ; je sais bien qu’il y a parmi vous beaucoup de voleurs59. Moliere qui a fait l’Avare d’après c
71 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
mée de madame Scarron, était instruite, comme madame de Coulanges, de beaucoup de particularités secrètes des relations de la gouve
72 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
ces marquis oisifs, persuadés qu’il suffit d’un peu de fortune et de beaucoup de vanité pour être d’honnêtes gens et faire leur ch
en acquitter. Ce n’est pas l’usage des drames ni des romans de donner beaucoup de place au devoir : sous ce rapport, Molière a le m
73 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
d’une sévérité plus absolue.   Mais, d’autre part, Molière dit, avec beaucoup de raison834, que la masse des hommes n’est point ap
des sentiments immoraux, au point que son théâtre ne soit plus, pour beaucoup de gens, une distraction, mais une corruption. — Il
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
de Pourceaugnac. Toujours gai & gaillard. Eraste. Ma foi, j’en ai beaucoup de joie. Et Monsieur votre oncle... le... M. de Pour
75 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
, en effet, ne marche que pour ceux et pour celles qui ont à dépenser beaucoup de talent, beaucoup d’esprit, beaucoup de cœur ; qua
pour celles qui ont à dépenser beaucoup de talent, beaucoup d’esprit, beaucoup de cœur ; quant aux autres, aux immobiles, aux oisif
les comédiennes à venir, un encouragement, un conseil, un exemple en beaucoup de choses. Elle était habile et droite ; elle jugeai
ins de respect pour de royales infortunes, et pour peu que l’on y mît beaucoup de délicatesse et de réserve, quel parallèle on pour
76 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
e me plais point à voir ce chien de boiteux-là. »Comme Béjart faisait beaucoup de plaisir, on boita aussitôt sur tous, les théâtres
à plus de vingt mille livres au-delà de sa succession. Brécourt avait beaucoup de valeur ; et on en rapporte un trait qui mérite d’
ique, et il n’y a point de rôle qu’il n’exécute très bien. Comme il a beaucoup de feu, et de cette honnête hardiesse nécessaire à l
excellente comédienne ; elle avait une voix charmante, chantait avec beaucoup de goût le français et l’italien. Elle joua d’origin
77 (1802) Études sur Molière pp. -355
cet acte… pour ainsi dire religieux… ne demande-t-il pas, d’un côté, beaucoup de respect, de l’autre, la plus grande modestie ? Ic
moururent presque en naissant, malgré quelques jolis vers noyés dans beaucoup de fadeurs et de flatteries exagérées. Occupons-nous
s te maintiennent toujours pleine. Le Médecin malgré lui doit aussi beaucoup de choses au Medico Volante, dont nous avons déjà pa
lus vivre ! Il me tarde de voir ce que votre feuille dira d’Elmire : beaucoup de bien ; ne l’a-t-elle pas mérité ? — Oh ! oui ; el
t ce qu’il faut pour le festin ; encore est-il fâché de voir apporter beaucoup de vin. Il soupçonne qu’on a conçu le dessein de l’e
qui, malgré les détracteurs, ne fût de ce petit nombre. La pièce eut beaucoup de succès, d’abord à la cour dont elle fit les délic
l, et quelques mois après sur le théâtre du Palais-Royal, où elle eut beaucoup de reprises. Baron et mademoiselle Desmarets, tous d
ues peuvent leur procurer, à la futile gloire d’avoir recueilli, avec beaucoup de peine, des mots scientifiques et quelques notions
rceaux, jalouse des soins que son mari rendait à Ninon, avait un jour beaucoup de monde chez elle ; on désira de voir son fils ; il
e dit : « C’est une de ces farces de Molière, dans laquelle on trouve beaucoup de scènes dignes de la haute comédie. » N’aurait-il
ion burlesque qui termine Le Malade imaginaire ; elle fut donnée avec beaucoup de succès sur le théâtre italien : on y reçoit, non
demande à mes camarades, c’est d’être prêts à quatre heures. » Il eut beaucoup de peine à finir le rôle d’Argan, et en prononçant j
n mauvais œil, peut-être, est de ce côté-ci, ne paraît que plaisant à beaucoup de personnes ; et ce mauvais œil, annoncé sans préte
e et celui de Macette, dans la treizième satire de Regnier, ont aussi beaucoup de ressemblance ; celle-ci voulant corrompre la maît
78 (1900) Molière pp. -283
en fut l’occasion, fit-elle parmi les auditeurs de l’Athénée de 1866 beaucoup de prosélytes ? Nous n’en savons rien, et, à vrai di
jeu du dialogue, autour d’une de ces figures qu’il crée toutes vives, beaucoup de traits accessoires, de circonstances, dont l’effe
scène. M. de Pourceaugnac est un des personnages qui ont fait dire à beaucoup de critiques, et de grands critiques, à Fénelon, par
à Dom Juan : « Sganarelle, le ciel ! » C’est ainsi que l’ont entendu beaucoup de commentateurs, c’est ainsi que l’a entendu une pe
omme nous l’avons vu, une idée assez triviale, bien qu’il traite avec beaucoup de légèreté, quelquefois, les rapports du mariage, i
glaise, — une mère moderne, qu’est-ce qu’elles auront de commun ? Pas beaucoup de choses. Qu’y a-t-il de plus éternel que l’amour 
ociété par sa guerre contre tous les genres de pédantisme. Il a fallu beaucoup de temps et de verve, je ne dis pas pour extirper to
t. Nous avons sans doute une vanité, qui sert également à nous donner beaucoup de travers et à nous rendre infatigables dans l’obse
re méchant. Il a le don de plaire : cela n’est que trop sûr au gré de beaucoup de gens. Plaît-il toutefois avec raison ? Faut-il pe
…………………………… Les cent années que nous allons parcourir ensemble ont vu beaucoup de ces vicissitudes dans la manière de sentir ; nos
deux fruits amers : la violence et la fraude ; et, s’il est bon, pour beaucoup de causes, qu’il y ait dans l’État une hiérarchie sa
79 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
bonjour. ALBERT.                            Ah ! vraiment, tu prends beaucoup de peine De tout mon cœur, bonjour. (Il s’en va.) MA
80 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
entilshommes, étaient fort ridicules et fort pauvres ; qu’elle aurait beaucoup de peine à se marier ; qu’un bon parti se présentait
eront donc pour rien ? La pièce a été jouée au grand jour ; elle a eu beaucoup de succès ; elle a fait un bruit énorme ; on en a pa
81 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
raits, qui aujourd’hui sont de vraies pages de l’histoire dramatique. Beaucoup de mes amis les connaissent ; j’en ai d’ailleurs don
nonpareilles, Ce tableau raccourci de toutes les merveilles, Je vois beaucoup de manque et d’inégalités Et d’aussi grands défauts
en ne vous contente, Et votre esprit, flottant entre cent passions, A beaucoup de desseins et peu d’affections. Plus léger que le v
ue est affaiblie ». On fit l’inventaire les 12 et 17 mars. On indiqua beaucoup de costumes de théâtre où l’or et l’argent font du t
par le rôle d’Axiane dans la tragédie d’Alexandre, qu’elle joua avec beaucoup de sentiment. Aussi quand Racine fit Andromaque, il
s ridicules — des autres ; vieux mari d’une jeune femme qui lui donne beaucoup de fil à retordre. Pour les spectateurs ce M. de Mol
ère dans les années vagabondes de sa jeunesse aventureuse, avait fait beaucoup de vers. Ces vers, que sont-ils devenus ? Où sont-il
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
ttant sa passion & en la sacrifiant au devoir ? Ici Don Juan fait beaucoup de train, comme dans le Sage ; mais à quel titre, pu
arcie. Léonor épouse ce dernier ; & Don Juan se trouve avoir fait beaucoup de bruit pour rien. Cette Clarice, chez qui nous nou
roduit chez Madame Argante, & s’empare de son esprit en affectant beaucoup de vertu. Dorante, fils de Madame Argante, vif, empo
83 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
qui ne savaient ni faire rire ni faire pleurer. Du temps de Molière, beaucoup de philosophes faisaient des contes. Molière seul me
84 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
fallait compter, pour qui le roi n’eut toujours des égards infinis et beaucoup de confiance, et monseigneur une déférence totale ta
85 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
sa mère, une bonne paysanne, qui, dit-il, A s’ôter cette charge eut beaucoup de plaisir. Et il l’a fait élever selon sa politiqu
 ! Et il fit en effet ce qu’il put pour rire ; mais il n’y avait pas beaucoup de quoi. Les plus fortes plaisanteries de la pièce r
de notre amie : la droiture du cœur, la tranquillité d’âme, jointe à beaucoup de finesse native et à cette vivacité de réplique, d
ion d’Ariste. Et je ne crois pas qu’aujourd’hui Molière s’effraierait beaucoup de cette liberté qu’on laisse aux jeunes filles chez
86 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
croire, selon l’observation du même auteur, qu’elles leur aient fait beaucoup de mal. Au contraire il n’y a rien de plus propre po
87 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
tout le monde avait la liberté d’en frapper : d’abord on en mettrait beaucoup de mauvaise en circulation, avec une certaine quanti
88 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
il avait obtenu un trop brillant succès, pour ne pas être en butte à beaucoup de critiques injurieuses. On l’accusa d’avoir copié
fil. Cette espèce d’invention, née du hasard et de la nécessité, eut beaucoup de succès, et Molière, par la suite, en fit usage to
89 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
bsence peut quelquefois donner lieu. Depuis nos éditions précédentes, beaucoup de travaux ont été continués ou entrepris sur la vie
it fait faire pour venir, je ne pus jamais l’obtenir, quoiqu’il y eût beaucoup de justice ; mais M. le prince de Conti avait trouvé
e Cosnac. « Je trouvai autour de lui, dit celui-ci dans ses Mémoires, beaucoup de gens devant lesquels il faisait fort le triste ;
e souffrit. » Quoi qu’il en soit de cette interprétation, sans perdre beaucoup de temps, dix jours seulement après le 24 octobre, «
à lui de faire la harangue et de composer l’affiche, et comme il y a beaucoup de rapports de l’une à l’autre, il suit presque la m
lus tard de confier le rôle de Tartuffe à Du Croisy, qui le créa avec beaucoup de talent. Quant à La Grange, doué d’une intelligenc
elle avec les philosophes Pancrace et Marphurius, qui ne paraissent à beaucoup de lecteurs que deux pitoyables parades. Mais quicon
is il est vrai que M. D’Avisson, médecin écossais, qui s’était acquis beaucoup de connaissances dans les lettres aussi bien que dan
is le succès, qui fut immense au contraire ; non pas qu’il se trouvât beaucoup de spectateurs de l’avis de la dévote qui disait à M
ent de l’attachement qu’il avait pour une femme qui, disait-il, avait beaucoup de défauts. « Je les connais, répondit Molière, j’y
enter simultanément son Alexandre, que Molière avait fait monter avec beaucoup de soin et qui venait de réussir sur son théâtre. La
séquent sûr d’être accueilli sans autre examen, a cela de commun avec beaucoup de traits de l’histoire proprement dite, qu’il est o
ettre à l’Académie française, dit : « Un autre défaut de Molière, que beaucoup de gens d’esprit lui pardonnent, et que je n’ai gard
mire à sa femme. Comme elle prévoyait bien que cette pièce attirerait beaucoup de monde, mademoiselle Molière avait à cœur de s’y f
ie de l’Imposteur, qui dut nécessairement être très recherchée alors. Beaucoup de personnes n’avaient ni entendu de lectures partic
’abandonner le traducteur, dont les expressions pourraient paraître à beaucoup de lecteurs un peu trop naturelles. Il serait maladr
a Thorillière, de Beauval et de sa femme, en possession de rôles dans beaucoup de pièces, et que l’hôtel de Bourgogne venait d’enga
la célébrité galante de mademoiselle Molière, commençait à convaincre beaucoup de personnes de la véracité de l’assertion de Lescot
ion du pamphlet du curé de Saint-Barthélemy contre Le Tartuffe, et de beaucoup de pièces relatives à la famille Poquelin. 100. Vo
90 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
Les romantiques faisaient alors grand bruit ; on les recherchait, et beaucoup de nos généraux de l’empire mis à la retraite, retro
ce ou de déclamer contre les vicieux, en vérité on l’obtiendrait sans beaucoup de peine. Par malheur, la vertu est une conquête plu
squ’il avait à peindre quelque caractère, ne se contentait pas, comme beaucoup de ses confrères, d’en esquisser une maigre silhouet
hropie exerce peut-être sur les mœurs une influence plus lâcheuse que beaucoup de nos vices dont la laideur même est un puissant pr
défaut de Molière (dit-il dans sa lettre à l’Académie française), que beaucoup de gens d’esprit lui pardonnent et que je n’ai garde
si, pour en donner une juste idée, il ne faudrait pas, à l’exemple de beaucoup de comédiens, débiter certains passages du rôle avec
de Tartuffe si, dans une circonstance moins critique, et en présence beaucoup de personnes, il avait intérêt à produire sur elles
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLII. De l’art d’épuiser un Sujet, un Caractere. » pp. 493-503
çon de traiter en détail nos foiblesses ne pourroit manquer d’attirer beaucoup de monde au spectacle, parcequ’il suffiroit d’avoir
92 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
tre Théâtre ; mais ce dessein ayant manqué de succès (ce qui arrive à beaucoup de nouveautés) il fut obligé de courir par les Provi
93 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30
mmencé qu’au quinzième siècle. Elle compte, à partir de cette époque, beaucoup de noms illustres et d’œuvres remarquables. Citons l
94 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
tel qu’il est… » Il ne faut accueillir toutes ces assertions qu’avec beaucoup de réserve. Arlequin valet étourdi n’a pas produit L
95 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
du goût est facile à comprendre ; à mesure que nos préjugés tombent, beaucoup de nos répugnances doivent céder et disparaître. Mai
96 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
âteau. Enfin, j’ai mis à contribution le zèle et les connaissances de beaucoup de personnes qu’il serait trop long de désigner10 ne
estait toutes les mers et désolait toutes les côtes, il résultait que beaucoup de pères étaient enlevés à leurs enfants, et beaucou
se sentait privé. Il sollicita, et il obtint de ses parents, non sans beaucoup de peine, qu’ils le fissent étudier. Placé dans une
yon. Sa première comédie régulière, l’Étourdi, y fut représentée avec beaucoup de succès. À son arrivée dans cette ville, il y avai
qu’on assure être une femme et une comédienne (madame Boudin), mêlant beaucoup de faussetés calomnieuses à quelques faits d’une vér
cette même pièce duMisanthrope ainsi que dans le Tartuffe, il n’y ait beaucoup de passages où l’aisance et la pureté du style se jo
y avoir donné lien. Sa comédie du Pédant jouéreprésentée en 1654 eut beaucoup de succès. Ses autres ouvrages sont un Voyage de la
chelieu, qui avait besoin qu’on le fît rire, voulut les voir, s’amusa beaucoup de leurs bouffonneries, et ordonna aux comédiens de
97
ainsi qu’une princesse » ; nous avons vu qu’elle faisait et recevait beaucoup de visites : elle devait donc être toujours fort pro
lque peu lettré, qui vient passer quelques semaines à Paris, il y ait beaucoup de plaisirs plus grands que celui de voir jouer du M
Mme Aphra Behn, veuve d’un négociant hollandais, une dame qui a écrit beaucoup de poèmes, de romans et de comédies d’un style léger
ion, parce qu’il l’a connue depuis son enfance, et parce qu’il a reçu beaucoup de politesses de sa famille. Le 11 avril 1733, on a
tre sa collection de cartes et plans, M. de Tralage avait formé, sans beaucoup de goût ni de critique, des recueils de pièces plus
ns nom de lieu et sans date, mais que M. Victor Fournel reporte, avec beaucoup de raison, à l’année 1651. Or, Beauchamps (édit. in-
une farce en deux actes qui, sous le nom de The Romp (La Gamine), eut beaucoup de succès en 1781. Mais Arthur Murphy, comme nous l’
embre 1880, p. 240-242. Depuis quelque temps, Le Moliériste s’occupe beaucoup de Lustucru, ce héros de parade, qui attirait la fou
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
r.) Picard. Ahi ! (Il s’appuie au dos de la chaise, & il marque beaucoup de douleur.) M. Géronte, embarrassé. Qu’est-ce que
99 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
ère. Il y avait alors dans ce collège, deux enfants qui eurent depuis beaucoup de réputation dans le monde. C’était Chapelle* et Be
100 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
ibuer à cette grande vogue; mais on ne peut disconvenir qu’il n’y ait beaucoup de scènes d’une exécution parfaite, plaisamment inve
il fut d’abord médiocrement goûté; mais à toutes les reprises il eut beaucoup de succès, et il est resté au théâtre. Cependant la
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