tous les repas qu’il reçoit, son esprit le faisant aller de pair avec
beaucoup de
gens qui sont beaucoup au-dessus de lui. L’on ne
ent représentés, si bien tou chés et si bien finis, qu’il en a mérité
beaucoup de
gloire. Et ce qui fait voir que les gens de quali
à fait une sous ce titre, il n’a pu lui donner le même nom. Elles ont
beaucoup de
rapport ensemble et, dans la première, il garde u
s. Après le succès de cette Pièce, on peut dire que son Auteur mérite
beaucoup de
louanges pour avoir choisi, entre tous les sujets
ntage, il sera bien délicat s’il ne vous en est obligé, et je connais
beaucoup de
personnes qui se tiendraient glorieuses que l’on
t épargné les soins pour n’avancer rien de douteux. J’ai écarté aussi
beaucoup de
faits domestiques, qui sont communs à toutes sort
a bonté de donner des appointements à ces Comédiens. Molière s’acquit
beaucoup de
réputation dans cette Province, par les trois pre
1660, Molière donna pour la première fois le Cocu imaginaire, qui eut
beaucoup de
succès. Cependant les petits Auteurs comiques de
versifiée, en fit la plus belle Scène de ses Fâcheux, et le Roi prit
beaucoup de
plaisir à la voir représenter. L’École des femme
illeurs n’avait rien à se reprocher. Ainsi Molière après avoir essuyé
beaucoup de
froideurs et de dissensions domestiques, fit son
èce que nous devons représenter incessamment devant le Roi ? On donna
beaucoup de
mauvaises raisons, piquantes même, auxquelles Mol
bligea de se dépêcher de fabriquer son fagotier. En quoi il n’eut pas
beaucoup de
peine, puisque c’était une de ces petites pièces,
s n’empêchèrent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec
beaucoup de
plaisir, comme un spectacle bien rendu en notre l
rtant pas sans un peu de rumeur, de la part des Spectateurs ; et sans
beaucoup de
chagrin du côté des Comédiens. La permission que
lus d’une fois de l’avoir fait. Quoique Molière donnât à ses pièces
beaucoup de
mérite du côté de la composition, cependant elles
affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui faisait pas
beaucoup de
plaisir. On parla de santé. Molière rendit compte
l’habile homme, et qui passez à cause de votre bel esprit, pour avoir
beaucoup de
part à mes pièces, je voudrais bien vous voir à l
eut ordre d’y travailler : Il fit les Amants magnifiques, qui firent
beaucoup de
plaisir au Courtisan, qui est toujours touché par
r sa pièce ; mais qu’elle était très bonne, et qu’elle lui avait fait
beaucoup de
plaisir. Molière n’en demandait pas davantage, as
taient fréquentes, tout cela l’occupait suffisamment pour n’avoir pas
beaucoup de
temps à donner à son cabinet. D’ailleurs sa santé
la toile levée, précisément à quatre heures. Molière représenta avec
beaucoup de
difficultés ; et la moitié des Spectateurs s’aper
du merveilleux qu’entichés de leur noblesse, ont mis sur leur théâtre
beaucoup de
choses surnaturelles ; ce qui leur a été fort fac
e j’avance, s’il étoit nécessaire. Cela n’empêche point qu’il n’y ait
beaucoup de
mérite à faire un choix des meilleures scenes &am
’allusions ingenieuses : c’est apparemment ce qui fit que l’on ajoûta
beaucoup de
foi à ce conte. Il y eut même des gens qui le tou
étoit fort avancée, il crut pouvoir aller jusqu’au bout sans se faire
beaucoup de
tort ; mais le zêle qu’il avoit pour le public, e
Le sens de l’Auteur est que sa Muse ressembleroit à ses sœurs qui ont
beaucoup de
babil ; mais selon la Grammaire cela signifie cla
eux qualités essentielles. Premiérement, elle doit être préparée avec
beaucoup de
vraisemblance. Secondement, elle doit être filée
’un habit d’homme. Lorsque je dis qu’une méprise doit être filée avec
beaucoup de
naturel, j’entends que les interlocuteurs ne doiv
it qu’il étoit trop libre de vous écrire ; mais je lui ai prouvé, par
beaucoup de
raisons, que cela étoit à sa place. Mondor. Ah !
ment quel emploi jouait du Croisy, mais on ne peut douter qu’il n’eût
beaucoup de
talent, pour la comédie du moins, puisque Molière
olière dans la province. Arrivé avec lui à Paris, en 1658, il s’y fit
beaucoup de
réputation ; et, quoique devenu boiteux par un ac
n compensation des infirmités physiques. Béjart était brave, et avait
beaucoup de
présence d’esprit. Il quitta le théâtre à la clôt
t pour la province, et revint avec lui, en 1658, à Paris, où elle eut
beaucoup de
succès. Racine, frappé du talent qu’elle avait mo
du Parc mourut le 11 décembre 1668. Cette actrice était belle, avait
beaucoup de
grâces, et possédait le talent de la danse, bien
tout entier en italien. Sa voix était charmante ; elle chantait avec
beaucoup de
goût, et n’en mettait pas moins dans sa parure, o
ne maigreur étonnante, et cependant d’une forte santé. Il jouait avec
beaucoup de
succès les grands confidents tragiques et d’autre
re, avant que de mourir, avoit projetté de l’unir à Damis. Cidalise a
beaucoup de
mépris pour les dernieres volontés d’un homme qui
rt bien Qu’à ne le point flatter, son sonnet ne vaut rien. Trissotin.
Beaucoup de
gens pourtant le trouvent admirable. Vadius. Cela
mode ; elle sent son vieux temps. Vadius. La ballade pourtant charme
beaucoup de
gens. Trissotin. Cela n’empêche pas qu’elle ne me
toute l’étendue. Cette liste ne laisse pas d’être imposante : voilà
beaucoup de
noms illustres, et cependant les travaux sont loi
ue si ces Mémoires renferment quelques erreurs, ils doivent renfermer
beaucoup de
vérités. Il faudrait une fatalité bien inconcevab
t épargné les soins pour n’avancer rien de douteux. J’ai écarté aussi
beaucoup de
faits domestiques, qui sont communs à toutes sort
onté de donner des appointements à ces comédiens47. Molière s’acquit
beaucoup de
réputation dans cette province, par les deux prem
1660, Molière donna pour la première fois le Cocu imaginaire, qui eut
beaucoup de
succès. Cependant les petits auteurs comiques de
versifiée, en fit la plus belle scène de ses Fâcheux, et le roi prit
beaucoup de
plaisir à la voir représenter57. L’Ecole des Fem
leurs n’avait rien à se reprocher. Ainsi, Molière, après avoir essuyé
beaucoup de
froideurs et de dissensions domestiques, fit son
e que nous devons représenter incessamment devant le roi79 ? On donna
beaucoup de
mauvaises raisons, piquantes même, auxquelles Mol
ea de se dépêcher de fabriquer son Fagotier 94 ; en quoi il n’eut pas
beaucoup de
peine, puisque c’était une de ces petites pièces,
s n’empêchèrent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec
beaucoup de
plaisir, comme un spectacle bien rendu en notre l
ourtant pas sans un peu de rumeur de la part des spectateurs, et sans
beaucoup de
chagrin du côté des comédiens. La permission que
us d’une fois de l’avoir fait. » Quoique Molière donnât à ses pièces
beaucoup de
mérite du côté de la composition, cependant elles
affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui faisait pas
beaucoup de
plaisir. On parla de santé : Molière rendit compt
’habile homme, et qui passez, à cause de votre bel esprit, pour avoir
beaucoup de
part à mes pièces, je voudrais bien vous voir à l
eut ordre d’y travailler : il fit les Amants magnifiques, qui firent
beaucoup de
plaisir au courtisan, qui est toujours touché par
r sa pièce ; mais qu’elle était très bonne, et qu’elle lui avait fait
beaucoup de
plaisir. Molière n’en demandait pas davantage, as
taient fréquentes, tout cela l’occupait suffisamment pour n’avoir pas
beaucoup de
temps à donner à son cabinet ; d’ailleurs sa sant
t la toile levée précisément à quatre heures. Molière représenta avec
beaucoup de
difficulté, et la moitié des spectateurs s’aperçu
me plais point à voir ce chien de boiteux-là. » Comme Béjart faisait
beaucoup de
plaisir, on boita aussitôt sur tous les théâtres
ient à plus de 20,000 livres au-delà de sa succession. Brécourt avait
beaucoup de
valeur, et on rapporte un trait qui mérite d’être
ique, et il n’y a point de rôle qu’il n’exécute très bien. Comme il a
beaucoup de
feu, et de cette honnête hardiesse nécessaire à l
e humeur. Le rôle d’Axiane, que mademoiselle du Parc représenta avec
beaucoup de
succès dans la tragédie d’Alexandre, de M. Racine
724). 59. Floridor entra dans la troupe du Marais en 1640. Il avait
beaucoup de
noblesse dans l’air et dans les manières ; il éta
Molière en a fait lui-même à une époque où elle lui avait déjà causé
beaucoup de
chagrins. « Elle a les yeux petits, mais elle les
La Grange, « Remarquez, dit-il, que la Molière et La Grange font voir
beaucoup de
jugement dans leur récit, et que leur jeu continu
’allusions ingenieuses : c’est apparemment ce qui fit que l’on ajoûta
beaucoup de
foi à ce Conte. Il y eut même des gens qui le tou
étoit fort avancée, il crut pouvoir aller jusqu’au bout sans se faire
beaucoup de
tort ; mais le zêle qu’il avoit pour le public eu
Le sens de l’Auteur est que sa Muse ressembleroit à ses sœurs qui ont
beaucoup de
babil ; mais selon la Grammaire cela signifie cla
onnée au goût du public, c’est-à-dire, qu’elle soit capable d’attirer
beaucoup de
monde ; car sans cela, ne fût-elle qu’un elixir d
ercher bien loin les sujets de rire dans des événements imaginés avec
beaucoup de
peine, et on ne s’avisait point de les aller pren
ont pas inférieurs à ceux que nous avons cités plus haut. Nous devons
beaucoup de
ces pièces dont nous avons fait usage à la polite
1660, Molière donna pour la première fois Le Cocu imaginaire, qui eut
beaucoup de
succès ; cependant les petits auteurs comiques de
le style de cette pièce est faible et négligé, et que surtout, il y a
beaucoup de
fautes contre la langue. Non seulement il se trou
x volumes in-8°, intitulé : Le Dictionnaire des précieuses, où il y a
beaucoup de
satires sur les personnes de son temps. Somaize a
fois qu’on l’a jouée. Faites-y attention, Monsieur, vous en trouverez
beaucoup de
cette force-là. Il me paraît que ce Livre n’a poi
de Mignot. Cette action de Molière est belle, et je doute qu’il y ait
beaucoup de
personnes capables d’en ménager si bien une parei
e de Molière, et non pas sa vie. Eh bien soit, celle-là m’aurait fait
beaucoup de
plaisir ; celle-ci ne m’intéresse point. On donne
de la Comtesse. Le Marquis, trompé par le déguisement, dit à Cidalise
beaucoup de
mal d’elle-même : elle se démasque, le Marquis fe
tendant une scene où il est question de signer un écrit où l’on parle
beaucoup de
créanciers, & où la négligence des Grands pou
ffreux. Ainsi finit cette piece remplie de beautés, mais noyées dans
beaucoup de
verbiage. Madame Béverley a mal fait d’annoncer a
se de les mettre dans une situation où ils fussent contraints à faire
beaucoup de
dépense pour ne pas démentir leur masque ». J’av
-il déja séduit quelqu’un de mes lecteurs : mais il ne lui faudra pas
beaucoup de
réflexion pour sentir que lorsqu’un peintre se bo
de Racine, plusieurs articles sur les acteurs célèbres de ce temps et
beaucoup de
faits singuliers sur les poèmes dramatiques qui p
n aient bien ou mal jugé, et que peut-être je l’aurais justifié, sans
beaucoup de
peine, si la même raison qui les a fait parler ne
que le lecteur, ainsi que nous, n’aura pas lieu d’accuser l’auteur de
beaucoup de
vanité, pour en avoir fait parade. In præstantiss
énie de Molière, détaille avec une grande connaissance du théâtre, et
beaucoup de
goût, les beautés de la comédie de L’École des ma
rien de si plaisant. Celle-ci, sans doute, est si belle, Que l’on dit
beaucoup de
bien d’elle ; Et selon les beaux jugements. Elle
, eut tout le succès qu’elle méritait, mais en même temps elle essuya
beaucoup de
critiques. « [*]Soit malignité, soit cabale, on
éjà une sous ce titre, il n’a pu lui donner le même nom. « Elles ont
beaucoup de
rapport ensemble ; et dans la première, il garde
e Grimarest, auteur d’une Vie de Molière qui parut en 1705, mais avec
beaucoup de
précaution ; car cet auteur est peu exact sur les
ra beaucoup d’aigreur, et même de licence ; mais dans la suite il mit
beaucoup de
modération et moins de fiel : la première manière
le 4 février. b. « [*] La réputation naissante de Molière souffrit
beaucoup de
cette disgrâce, et ses ennemis triomphèrent. » M
la pauvreté, blâmant nos loix, se moquant de nos femmes indolentes, a
beaucoup de
ressemblance avec Arlequin Sauvage, voulant mange
Turc qui examinoit sa figure, se contenta de lui lever le menton avec
beaucoup de
douceur. Un seul coup d’œil lui fit connoître dan
ers ils sont propres ; mais il me paroît qu’ils n’ont pas encore fait
beaucoup de
besogne. La Major. En effet, & je m’apperçois
1660. Moliere donna pour la premiere fois le Cocu imaginaire, qui eut
beaucoup de
succès. Cependant les petits Auteurs Comiques de
sifiée, en fit la plus belle Scene de ses Fâcheux ; & le Roi prit
beaucoup de
plaisir à la voir representer. *Il dedia cette C
lleurs n’avoit rien à se reprocher. Ainsi Moliere, après avoir essuyé
beaucoup de
froideurs & de dissentions domestiques, fit s
ece que nous devons representer incessamment devant le Roi ? On donna
beaucoup de
mauvaises raisons, piquantes même, ausquelles Mol
bligea de se dépêcher de fabriquer son Fagotier, en quoi il n’eut pas
beaucoup de
peine, puisque c’étoit une de ces petites pieces,
s n’empêcherent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec
beaucoup de
plaisir, comme un spectacle bien rendu en nôtre l
ant pas sans un peu de rumeur, de la part des Spectateurs, & sans
beaucoup de
chagrin du côté des Comediens. La permission que
plus d’une fois de l’avoir fait. Quoique Moliere donnât à ses Pieces
beaucoup de
merite du côté de la composition, cependant elles
affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui faisoit pas
beaucoup de
plaisir. On parla de santé. Moliere rendit compte
bile homme, & qui passez, à cause de vôtre bel esprit, pour avoir
beaucoup de
part à mes Pieces, je voudrois bien vous voir à l
e eut ordre d’y travailler : Il fit les Amans Magnifiques, qui firent
beaucoup de
plaisir au Courtisan, qui est toujours touché par
a piece ; mais qu’elle étoit très-bonne, & qu’elle lui avoit fait
beaucoup de
plaisir. Moliere n’en demandoit pas davantage, as
oient frequentes, tout cela l’occupoit suffisamment, pour n’avoir pas
beaucoup de
temps à donner à son cabinet. D’ailleurs sa santé
la toile levée, précisement à quatre heures. Moliere representa avec
beaucoup de
difficulté ; & la moitié des Spectateurs s’ap
partout où il pouvait les trouver. Comme cet ancien Gille ressemble à
beaucoup de
Gilles modernes, nous allons citer le portrait qu
it des Conversations, ouvrage de Gayot de Pitaval, une histoire qui a
beaucoup de
rapport avec cette comédie : je vais transcrire l
ent voir de loin Grégoire entouré de sacs remplis de foin, qui compte
beaucoup de
louis sur une table. Alors les trois ingrats, aut
abile, Pèse sans passion Chapelain et Virgile, Remarque en ce dernier
beaucoup de
pauvretés ; Mais pourtant confessant qu’il a quel
été données par eux au roi en personne à l’armée, et elle finit avec
beaucoup de
raison par ces mots : Combien de pauvretés ! Rac
illustres, elle les aimait, elle avait quelque chose de leur talent,
beaucoup de
la sagesse de leur esprit, un goût aussi pur en l
Maison du Roi. On l’avait élevé avec assez de soin, et il avait fait
beaucoup de
progrès dans les Belles Lettres et dans le Droit.
amis, jeune homme qui a tout le brillant du grand monde, c’est-à-dire
beaucoup de
fatuité & de présomption. Le cœur de l’héroïn
os amis : car vous êtes si réservé, si retenu ! Le Marquis. Oui, j’ai
beaucoup de
timidité. La Comtesse. Beaucoup, il est vrai. Le
é de voir, dans nombre de nos pieces, que leurs Auteurs se sont donné
beaucoup de
peine pour choisir les noms de leurs personnages,
rieux, puisqu’il est amoureux de Finette, & la cede ensuite, sans
beaucoup de
regret, à son fils ; puisqu’il se laisse traiter
en 6 volumes in-S, annoté par Petitot. C’est ce Molière, qui contient
beaucoup de
notes manuscrites de Stendhal, que je donne aujou
s siècles, il faut qu’il y ait beaucoup d’incidens qui le prouvent et
beaucoup de
naturel dans la manière d’exposer ces incidens.
siècles, il faut qu’il y ait beaucoup d’incidens qui le prouvent, et
beaucoup de
naturel dans la manière d’exposer ces incidens (4
otes qui accompagnent ces pièces. Les annotations de M. Bucci offrent
beaucoup de
variantes avec celles que je donne aujourd’hui ;
second volume de son ouvrage, Rome, Naples et Florence en 1S17 ; avec
beaucoup de
notes autographes de l’auteur, pour servir à une
nce les a fatigués d’être bons. » II, page 21 : V : « On ne fait pas
beaucoup de
grandes choses par conseil. » B : « L’enthousias
tiré, pour entendre la conversation.) La présence de Damis caché met
beaucoup de
piquant. Elmire Que fait là votre main ? T
Paris, comme l’ancien évêque d’Alais, Mr de Bausset72 où il jouit de
beaucoup de
considération dans la clique dévote. C’est en sa
. Molière ayant choisi de nous la montrer tout à fait vaincue a évité
beaucoup de
positions comiques. Les trois désavantages énoncé
que dix sous ! Trait de vérité qui fait un grand plaisir en donnant
beaucoup de
vraisemblance à la chose. Eloge indirect de la ri
à ses concitoyens, aucun d’eux ne pense à lui. La prude évitant avec
beaucoup de
soin un tête-à-tête avec un homme qui, enfin, la
la première habitude de cette classe d’hommes est de distinguer avec
beaucoup de
finesse, dès le premier jour qu’ils vont dans une
ort bien Qu’à ne le point flatter, son sonnet ne vaut rien. Trissotin
Beaucoup de
gens pourtant le trouvent admirable. On rit de l
promis, ce qui satisfait fort Doublette. Son mari revient, la gronde
beaucoup de
se servir de cet homme qu’il n’aime pas ; & m
le vôtre. Madame Flandres rend visite à Madame Hollande ; elle prend
beaucoup de
part à son mal : elle en a été attaquée, elle en
Parme. Comme de coutume, la principale actrice de la troupe recevait
beaucoup de
visites. Un cavalier de la ville l’ayant été voir
à l’il- lustre comédienne. Le 10 juin, ses obsèques eurent lieu avec
beaucoup de
solennité ; les échevins y envoyèrent les bannièr
te nommé Rhintone. Les comédies appellées statariae, celles où il y a
beaucoup de
dialogue & peu d’action, telles que l’Hecyre
eux, vomit des ordures ; mais tout cela se fait en traits, & avec
beaucoup de
vivacité & d’esprit : de sorte que le fond pa
esclave de Terentius Lucanus sénateur romain, qui le fit élever avec
beaucoup de
soin, & l’affranchit fort jeune. Ce sénateur
omme trop bon pour avoir cette partie ; car elle renferme en soi avec
beaucoup de
finesse, un peu de malignité. Savoir rendre ridic
de grandeur n’éleve pas seulement Aristote ou Platon dans l’esprit de
beaucoup de
gens, elle imprime aussi du respect pour tous ceu
e à n’en revenir jamais. Ce sont par exemple des personnes qui ont lu
beaucoup de
livres anciens & nouveaux, où ils n’ont point
t homme d’esprit, dont on a une Histoire de Louis XIII, composée avec
beaucoup de
patience, écrite avec trop de recherche ; en somm
quatre chefs-d’œuvre, mais il aurait fait ce que font tous les jours
beaucoup de
pères de famille qu’on loue de veiller sur l’honn
othurne ; un auteur peu fécond, un satirique très-prudent. On le loue
beaucoup de
sa hardiesse. Bientôt nous le verrons, en effet,
e, qui est charmante, c’est lui-même. Il avait apporté de la province
beaucoup de
phébus et beaucoup de grossièreté ; en moins d’un
c’est lui-même. Il avait apporté de la province beaucoup de phébus et
beaucoup de
grossièreté ; en moins d’un an, il s’était presqu
ce jour-là. Il ne les écouta point, et représenta son personnage avec
beaucoup de
difficulté. Dans la cérémonie qui termine la pièc
é. Dans la cérémonie qui termine la pièce, il eut une convulsion dont
beaucoup de
spectateurs s’aperçurent et qu’il essaya de dissi
té morale du théâtre : quelques gens d’esprit qui ne croient à rien ;
beaucoup de
gens crédules qui ne comprennent rien, mais qu’un
raît souvent ; elle a cependant été mise en circulation par Voltaire.
Beaucoup de
sottises courantes viennent de là ! « On peut har
deux cents ans. Il l’appelle « une femme d’esprit qui avait conservé
beaucoup de
monde, malgré ses longs séjours en province, et d
tes leurs charges, et les chassa de la cour, ne leur laissant qu’avec
beaucoup de
peine, et pour obéir à sa mère, le gouvernement d
de la Société des Gens de lettres : « Voici une comédie dont on fait
beaucoup de
bruit, qui a été longtemps persécutée ; et les ge
laisantes et pour réformer les abus de la dévotion ! S’éloignerait-il
beaucoup de
la vérité, l’auteur qui, peignant les faux morali
risie et de la fausse dévotion. Car comme la fausse dévotion tient en
beaucoup de
choses de la vraie ; comme la fausse et la vraie
ment la chose est plaisante. Cependant, sans qu’il y ait là matière à
beaucoup de
larmes et sans vouloir en faire une confession pu
s apparences. Envers Alceste, qui semble ne l’aimer guère, il déploie
beaucoup de
patience et même de charité, marques d’une âme pl
e goût de Philinte, c’est-à-dire tel qu’il est, je crois qu’on y voit
beaucoup de
femmes dignes de respect et d’affection qui sont
féré depuis de montrer « Tartuffe sous une décorationqui le rapproche
beaucoup de
l’application que voulait éloigner Louis le Grand
la naïveté qu’il y met. Le dénouement de l’Ecole des Maris, vanté par
beaucoup de
critiques, n’est pas exempt de ce sans-façon ; ce
jalousie de Molière, jalousie qui n’était que trop fondée, ainsi que
beaucoup de
gens pouvaient l’attester. Montfleury fils ajoute
e est. Cette pièce est écrite et composée avec esprit; on y rencontre
beaucoup de
vers naturels. C’est le style des Plaideurs, moin
es. Un des bons esprits de ce temps, M. Auger, a traité ce sujet avec
beaucoup de
sagacité dans ses excellentes notices sur les piè
ant appartiennent encore au poète latin. Molière s’est servi aussi de
beaucoup de
choses de détail ; l’avare qui demande à voir la
evenant son collaborateur. Cette conduite sensée de Louis XIV rachète
beaucoup de
fautes que l’orgueil lui fit commettre. Les Amant
e Molière destinait cette pièce aux gens de goût, c’est qu’il a imité
beaucoup de
passages du Phormion de Térence. Il ne se serait
s émotion pendant cette lecture. Mais les habitués du théâtre savent
beaucoup de
gré aux actrices qui font ressortir toutes ces nu
me ? Le jeu faisait l’occupation favorite de cette société dissipée !
beaucoup de
maisons ouvraient en quelque sorte des académies,
la niaiserie publique. Dans la Loterie, il a saisi ce caractère avec
beaucoup de
vigueur. Sbrigani est le type de ces aventuriers
rqué dans les Fêtes du Cours une intrigue de bal masqué conduite avec
beaucoup de
charme et de naturel. Quoiqu’on ait prodigué, dep
t Les Femmes savantes, pièces qui, à tous égards, sont composées avec
beaucoup de
soin. Nous commencerons par établir, une fois pou
donnent encore quelquefois comme farces de carnaval, et toujours avec
beaucoup de
succès. L’intrigue de Jodelet, qui appartient à F
é, tranquille, parfaitement honnête dans ses vues, qui composait avec
beaucoup de
tension d’esprit des comédies régulières, où il n
stence du drame larmoyant ; mais la tragédie bourgeoise n’a jamais eu
beaucoup de
succès en France, parce qu’on y aime trop ce qui
pre carrière d’écrivain. Le plan du Barbier de Séville est conçu sans
beaucoup de
soin, il y a bien plus d’art et d’invention dans
ère. Il y avait alors dans ce collège deux enfants, qui eurent depuis
beaucoup de
réputation dans le monde. C’étaient Chapelle et B
le style de cette pièce est faible et négligé, et que surtout il y a
beaucoup de
fautes contre la langue. Non seulement il se trou
était alors honorable ; et Molière même dit dans sa préface, qu’il a
beaucoup de
respect pour les véritables Précieuses, et qu’il
rejouée depuis sa chute. La réputation naissante de Molière souffrit
beaucoup de
cette disgrâce, et ses ennemis triomphèrent quelq
rier 1673. C’est une de ces farces de Molière dans laquelle on trouve
beaucoup de
scènes dignes de la haute comédie. La naïveté, pe
rbleu, gardez d’échauffer trop ma bile ; Vous pourriez éprouver, sans
beaucoup de
longueur, Si mon bras sait encore montrer quelque
. J’ai un certain valet, nommé Mascarille, qui passe, au sentiment de
beaucoup de
gens, pour une maniere de bel esprit ; car il n’y
nt l’argent qu’il a reçu de Dave ; & il s’ensuit de là qu’il veut
beaucoup de
mal à l’Auteur de l’avoir annoncé, ou à Géta de n
latté d’écarter bientôt tous ses rivaux. Il fit inutilement avec elle
beaucoup de
dépense ; elle recevoit ses présents : mais comme
p; même des scenes toutes faites au Dramatique. Ce dernier n’a pas eu
beaucoup de
peine en transportant l’un & l’autre sur la s
pour Molière, qui a dû pour se moquer des précieuses, leur emprunter
beaucoup de
façons de parler. Il a accrédité les unes, qui on
ait pas une note, elle en fait plusieurs, » ce qui paraissait étonner
beaucoup de
gens. M. Camille Saint-Saëns cherche la raison de
uger du théâtre en homme de théâtre plus qu’en professeur. Tandis que
beaucoup de
ses collègues ne commentent le théâtre classique
e dans tout l’ancien répertoire, incomparable. M. Boucher a joué avec
beaucoup de
convenance ; j’aurais souhaité qu’il y mît un peu
et d’être puni par où il a péché. C’est l’histoire d’Arnolphe. A-t-il
beaucoup de
fredaines sur la conscience ? Je ne sais. Molière
un homme en proie à l’idée fixe, un fou, mais un fou comme il y en a
beaucoup de
tels dans le monde, un fou lucide et raisonnant,
tact et le préservera du mot qu’il redoute. Il y a eu, dans son fait,
beaucoup de
calcul ; on n’y découvre pas ombre de passion :
rès vivante. Don Juan est une figure qui ne périra jamais : peut-être
beaucoup de
mes lecteurs ne savent-ils plus ce que je veux di
après l’autre, les tromperies dont il les abusera s’entremêleront de
beaucoup de
circonstances qui prépareront les deux victimes à
e que la logique d’Alceste appliquée aux affaires de l’État. On parle
beaucoup de
Figaro ; mais tous les instincts démolisseurs du
z que le langage est cadencé. M. Anatole de Montaiglon remarque, avec
beaucoup de
sens, que Le Sicilien ou l’Amour peintre serait u
rendue ; toutes leurs objections ont été résumées et expliquées avec
beaucoup de
sens, de verve et d’esprit, dans la Revue bleue,
me ferais scrupule d’y changer un mot : Mon cher Sarcey, Tous dites
beaucoup de
bonnes choses sur Dorine. Mais pourquoi la vieill
rouve d’autres, de moindre envergure où éclatent néanmoins, à travers
beaucoup de
défectuosités, quelques traits de génie. La posté
int d’objections. Thiron n’est pas du tout l’homme du rôle, qui exige
beaucoup de
naïveté et d’infatuation. Il est trop spirituel p
mise, il faut avouer que l’actrice qui en était chargée l’a joué avec
beaucoup de
naturel : Molière ne se serait pas reconnu, mais
le côté et laisse voir, par intervalles, des jambes de déesse. Il y a
beaucoup de
Vénus dans l’antiquité ; celle que Molière a mise
t passionnée. Mlle Favart y a été longuement applaudie. Mlle Favart a
beaucoup de
détracteurs, qui ne goûtent point son talent. Il
’est chez lui que j’ai trouvé ce détail, qui est sans doute ignoré de
beaucoup de
mes lecteurs, comme il l’était de moi, que la por
te. Quand le père Provost disait : Il n’est pas bien honnête et pour
beaucoup de
causes, Qu’une femme étudie et sache tant de chos
t. Au moment où elle débute, Clitandre, qui vient de dire inutilement
beaucoup de
mal de Trissotin, son rival, est enragé contre lu
plaisir à lire ce morceau de critique. Vous y trouverez sur Marivaux
beaucoup de
choses qui n’avaient pas encore été dites, ou du
dition exige que Le Jeu et Les Fausses Confidences soient rendus avec
beaucoup de
finesse, beaucoup de nuances et de sous-entendus,
eu et Les Fausses Confidences soient rendus avec beaucoup de finesse,
beaucoup de
nuances et de sous-entendus, avec un art très raf
s vue. — Cependant, Mme Plessy.… interrompais-je. — Ah ! Mme Plessy !
Beaucoup de
talent, Mme Plessy ! merveilleuse, Mme Plessy ! m
x lettres qu’avaient écrites Voltaire, Montesquieu et Diderot. Il y a
beaucoup de
vrai là-dedans. Prenez tous ces mots qui ont fait
ble ! dit le comte à Figaro. — Et si je vaux mieux qu’elle ! Y a-t-il
beaucoup de
seigneurs qui puissent en dire autant ? Et plus
e plus ridicule. Cette pièce est détestable. Vos parents regrettaient
beaucoup de
ne pas l’entendre, ils peuvent se consoler. Le go
déplorable dans Le Barbier de Séville. » Voilà pourtant comme, avec
beaucoup de
goût et d’esprit, on se trompe sur les œuvres d’a
on caractère propre. Figaro, c’est le révolutionnaire quand même. Pas
beaucoup de
sens, une tête de linotte, mais des instincts éga
t-il, travaille en marqueterie ; moi je jette en bronze. » On s’amusa
beaucoup de
cette saillie qu’on prit pour la rodomontade d’un
x le feuilleton que notre ancêtre Geoffroy écrivit à ce sujet. Il y a
beaucoup de
réflexions qui ne nous paraîtraient être aujourd’
ce en prend plus d’intérêt et de piquant. Vous avez eu beaucoup, mais
beaucoup de
succès, et un succès très mérité ; c’est parce qu
’est personne. Il faut, qui que ce soit qui ait fait le coup, qu’avec
beaucoup de
soin on ait épié l’heure ; & l’on a choisi ju
on âge ? Euclion. Je sais que vous avez déja un nombre d’années &
beaucoup de
bien. Mégadore. De mon côté, je vous déclare sinc
u’il faut pour le festin, encore est-il fâché qu’il ait fait apporter
beaucoup de
vin : il soupçonne qu’on a dessein de l’enivrer p
it à soupçonner qu’il a de l’or chez lui : d’un autre côté, il craint
beaucoup de
quitter son cher foyer, parcequ’il y a caché son
plus jaloux de tous les hommes. La belle s’en apperçut, & en eut
beaucoup de
déplaisir. Elle lui demanda souvent quel étoit le
ui en est. Je ne sais ce que vous voulez dire, répondit la belle avec
beaucoup de
sang froid, & j’ai de la peine à croire que m
se copie du Tartufe dans son Faux Sincere, puisque le héros n’affecte
beaucoup de
franchise que pour enlever un dépôt, & que l’
toutes les anecdotes de sa vie. Il paroît, dit qu’il est Damis, fait
beaucoup de
train sur le mariage précipité de sa prétendue fe
ut souffrir : elle lui fait ensuite des reproches, & lui témoigne
beaucoup de
jalousie. Ces sentiments sont excités par un port
est accordée par son pere. Cette piece intéressante fut jouée avec
beaucoup de
succès, & on en fit imprimer l’argument dont
. Parfaict dans leur Histoire du Théatre François, qu’en lisant ceci,
beaucoup de
ses amis ne se rappellent de le lui avoir ouï dir
ne me plais point à voir ce chien de boiteux là. Comme Béjart faisoit
beaucoup de
plaisir, on boita aussi-tôt sur tous les théatres
aginaire : « Mais, mon oncle, il me semble que vous vous jouez un peu
beaucoup de
mon père » (act. III, sc. XXIII). 352. Voir plus
mire à sa femme. Comme elle prévoyait bien que celte pièce attirerait
beaucoup de
monde, Mlle Molière avait à cœur de s’y faire rem
eux ; c’étoit un homme qui parloit peu, mais très-à-propos & avec
beaucoup de
justesse ; c’étoit un vrai Philosophe, plein de p
fille d’un Comédien & d’une Comédienne de ce nom : il l’aima avec
beaucoup de
tendresse ; mais comme c’étoit une coquette des p
Racine, à peu près autant que Boileau, avec qui, femmes à part, il a
beaucoup de
rapports et qui ne s’est pas trompé en faisant gr
nt les supporte avec bonne humeur et leur est serviable. Il n’y a pas
beaucoup de
misanthropie là-dedans. Le vrai titre serait l’In
La pièce est de Plaute ; mais Molière l’a remaniée librement, y a mis
beaucoup de
lui et lui a donné une finesse et aussi une poési
as d’être un peu abstraite, une grande comédie d’autre part où il y a
beaucoup de
couplets et aussi beaucoup de maximes et d’apopht
e grande comédie d’autre part où il y a beaucoup de couplets et aussi
beaucoup de
maximes et d’apophtegmes serait excellente en ver
nature qu’il soit. « Tartufferie » est un mot continuellement usité.
Beaucoup de
mots sont devenus proverbes : « Serrer ma haire a
c’est ainsi que se contredire c’est se compléter. À ce compte il y a
beaucoup de
gens qui passent leur vie à se compléter. Mais ce
rop de talents. et Chrysale dit : Il n’est pas bien honnête et pour
beaucoup de
causes, Qu’une femme étudie et sache tant de chos
en définitive Alceste : mais il n’a pas laissé de mettre dans Alceste
beaucoup de
lui et de ce qu’il avait de meilleur. « Ne voyez-
se est une chose « noble », mais qu’il ne faut pas être sincère ; que
beaucoup de
médecins sont charlatans ; que beaucoup de gens d
aut pas être sincère ; que beaucoup de médecins sont charlatans ; que
beaucoup de
gens d’église sont des écornifleurs ; que l’avari
Molière se bornent à parler tandis que les méchants agissent P Il y a
beaucoup de
légèreté dans cette incrimination de Rousseau. Da
à l’humanité ? Le mot est dans Don Juan, mais, que je crois, n’a pas
beaucoup de
portée. L’amour de Dieu ? Il y a doute. La seule
ans et il se sent justiciable d’eux en tant que bien placés pour voir
beaucoup de
choses, cela avec le bon sens naturel qu’ils ont
vous montre l’avez-vous vu, vous qui avez du bon sens et qui avez vu
beaucoup de
choses ? Donc je suis amusant et vrai, c’est tout
les plus riches, et il ne se persuade point que celui ou celle qui a
beaucoup de
bien puisse avoir tort. » Ceci n’est pas très ju
le. La coquette par méchanceté, ou, si l’on tient aux précisions, par
beaucoup de
vanité et par beaucoup plus de méchanceté, est ex
On a pris Elmire (du Tartuffe) pour une coquette. C’est la fureur de
beaucoup de
nos critiques de prendre pour des coquettes des f
parole pour elle ; quand elle croit son père mort elle le pleure avec
beaucoup de
sensibilité et — pour un moment au moins — ne veu
admis. Boileau (Satire sur les femmes), La Fontaine (quelques fables,
beaucoup de
contes), Racine lui-même (les Plaideurs) l’ont ac
s à considérer l’homme ainsi. On peut dire (mais il y faudrait mettre
beaucoup de
réserves) que La Bruyère procède ainsi. C’est ain
e soi-même et l’exagérer et y ramener toujours le personnage. Il a vu
beaucoup de
médecins, il s’est aperçu que le caractère sailla
e année que les six premiers livres de La Fontaine, encore est-il que
beaucoup de
fables de La Fontaine circulaient avant la public
qui sont très curieux. Non seulement il laissait aller dans sa prose
beaucoup de
vers alexandrins, ce que tout le monde a remarqué
açon d’aimer, Je vous prie de me haïr. […] Je reçois cet honneur avec
beaucoup de
joie. L’aventure me surprend fort, Et pour dire l
chez qui elle logeait, les maris prirent parti dans la querelle avec
beaucoup de
chaleur ; il ajoute que Molière, pour venger sa f
t de condamner, d’une manière trop absolue, un art dont l’utilité, en
beaucoup de
cas, ne saurait être niée raisonnablement ; de lu
robable que le plan conçu primitivement par Molière ne s’écartait pas
beaucoup de
celui qu’a suivi son continuateur. Dans l’un, com
s écrivains fameux sont devenues interminables, — non qu’on y ajoutât
beaucoup de
faits nouveaux ; mais des rapprochemens forcés, d
s’enrichir : l’art d’écrire est trop souvent devenu une industrie où
beaucoup de
talent se perd, se gaspille chaque jour. Chez ceu
l’appel de l’écrivain acharné à sa besogne lucrative. Trouve-t-on que
beaucoup de
ces chefs-d’œuvre de commande vaillent ce qu’on l
e & la compagnie des Précieuses reçoivent le nouveau Marquis avec
beaucoup de
politesse. On vient ensuite annoncer le Baron de
omme qu’il soupçonne de l’avoir volé. Un autre défaut de Molière, que
beaucoup de
gens d’esprit lui pardonnent, et que je n’ai gard
aller tout sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête, & pour
beaucoup de
causes, Qu’une femme étudie & sache tant de c
ie, son perpétuel entêtement de qualité . En cela, elle se rapproche
beaucoup de
monsieur et de madame de Sotenville ; mais elle n
is Molière y a su mettre plus de génie comique qu’on n’en trouve dans
beaucoup de
grandes pièces fortement intriguées. Quand on voi
t qui soit entièrement propre et particulier à la personne du second.
Beaucoup de
savants, comme Trissotin le reproche à Vadius, et
t que onze ans de date, et qui pouvait être restée dans la mémoire de
beaucoup de
personnes, telle que l’avait laissée Molière. Mai
et quelques autres conditions particulières à ce sexe, sont cause que
beaucoup de
femmes vivent dans un état mitoyen entre la santé
croire, selon l’observation du même auteur, qu’elles leur ayent fait
beaucoup de
mal ; au contraire, il n’y a rien de plus propre
’il étoit assez sérieusement sçavant. MmeDacier19 trouve qu’il avoit
beaucoup de
génie et des manières de Plaute et d’Aristophane.
xante-dix ans. L’École des femmes, comédie en vers et en cinq actes.
Beaucoup de
personnes croyent que Moliere a pris l’idée de ce
les pour le théâtre dont il a été la gloire dans son temps ; il avoit
beaucoup de
noblesse dans l’air et dans les manières ; il éto
miques, et les jouoit très-bien ; il avoit la voix claire, légère, et
beaucoup de
finesse dans son jeu. Ses pièces de théâtre sont
pièce n’est presque plus rien ici : les lazzi sont tout. Nous voyons
beaucoup de
scènes comme celle que nous allons, par exemple,
uit ses archers de ce qu’ils doivent faire : « Il faut, dit-il, avoir
beaucoup de
prudence. Si, pendant la nuit, nous rencontrons u
parle pas de tout ce qui s’est passé ici depuis un mois. Il y aurait
beaucoup de
choses à dire, je n’en trouve pas une écrire. »
53. Il cite un manuscrit de Ledieu, qui n’est je crois, pas connu de
beaucoup de
personnes. 106. T. II, p. 68-94. 107. Beausset,
sais le Dandin… La pièce elle était fort à la mode, et ils avaient ri
beaucoup de
moi. Tricot Puisque vous devez un pareil succ
ui par la sévérité de son étiquette, mettait son plaisir au-dessus de
beaucoup de
choses, accordait de grands privilèges à ceux qui
monopole a ses faussaires, ses fraudeurs et ses larrons particuliers.
Beaucoup de
gens étant désireux de la noblesse pour ses avant
chose qui la désole dans ce nouveau train de vie, c’est qu’elle prend
beaucoup de
peine pour tenir son ménage propre , sans pouvoi
uve rien qui puisse lui donner des lumieres ; &, après avoir fait
beaucoup de
lazzis devant le miroir, il trouve la manchette d
s, cédant à la curiosité, il le rappelle. Arlequin lui apprend, après
beaucoup de
lazzis, qu’il a trouvé une manchette d’homme chez
une manchette d’homme chez Delmire, & une lettre. Le Prince fait
beaucoup de
réflexions sur la personne qui peut être entrée d
it & de grands éclairs ; la terre s’ouvre & l’abîme : il sort
beaucoup de
feu de l’endroit où il est tombé. Sganarelle dése
ues. Il résulte de tout cela que le poëme est mauvais, mais qu’il y a
beaucoup de
spectacle ; & c’est, comme nous l’avons dit,
a fille, de sa femme, de son fils & du petit chien. 25. J’ai eu
beaucoup de
peine à trouver cette piece dans le Théâtre Espag
ermes, et quelques expressions ; surtout dans une matière, où j’avais
beaucoup de
choses à ménager, pour n’en pas rendre la lecture
ment donner de l’inquiétude à Molière. D’ailleurs nous avons toujours
beaucoup de
suffisance pour tout entreprendre ; mais au momen
es inflexions qui conviennent ; une bonne poitrine, pour la ménager ;
beaucoup de
jugement, pour découvrir le sens de l’Auteur ; et
fants sans souci. À ce bel âge, avec un peu d’argent dans sa poche et
beaucoup de
feu dans les yeux, un enfant de Paris ne doute de
i l’avait construite et machinée à ses frais. Les réparations prirent
beaucoup de
temps, et pour vivre dans l’intervalle, les coméd
i était entouré. Rien de plus beau que monseigneur le duc d’Orléans :
beaucoup de
grâce et de douceur dans l’esprit, de civilité et
a puisé ce qu’il y a de meilleur dans cette Comédie4, où l’on trouve
beaucoup de
choses qui ressemblent aux Précieuses Ridicules,
1, dont le mari était Amant aimé de Ninon de l’Enclos*, avait un jour
beaucoup de
monde chez elle. on demanda à voir son fils. Il p
rejouée depuis sa chute. La réputation naissante de Molière souffrit
beaucoup de
cette disgrâce, et ses ennemis triomphèrent quelq
nterie. M. Despréaux disait de ce Chapelle*, qu’il avait certainement
beaucoup de
feu, et bien du goût, tant pour écrire que pour j
it à Molière que sa Pièce était très-bonne, et qu’elle lui avait fait
beaucoup de
plaisir. Tome I, p. 354 1724, Carpentariana
ie les sacs, et est fort surpris d’en voir sortir deux hommes. On rit
beaucoup de
son étonnement : et tous les Acteurs finissent pa
out le dénouement. Tome II, p. 202 Voici une Comédie qui a fait
beaucoup de
bruit, et a été longtemps persécutée. Les gens qu
1, Moliérana, 20, p. 49-50 Tome II, p. 208 Molière se donnait
beaucoup de
peines pour la représentation de ses Pièces, et p
ssi surprenante qu’elle le parut h bien des gens. Elle se rapprochait
beaucoup de
celle de Fénelon, lequel a dit de Molière, qu’en
toutes les accusations d’empoisonnement, et cette disposition donnait
beaucoup de
gravité à celle que Lulli formulait, sur les indi
age en faisant suspecter la moralité du témoin, tous ces motifs ôtent
beaucoup de
valeur aux injurieuses appréciations qu’il fait d
Tourelle, qui ressemblait tellement à Mme Molière que, même de près,
beaucoup de
gens s’y trompaient. Abusé par cette extraordinai
es anciens rituels, se conformant en cela à l’opinion des Pères et de
beaucoup de
conciles, ont condamné la comédie et les spectacl
es anciens rituels, se conformant en cela à l’opinion des Pères et de
beaucoup de
conciles, ont condamné la comédie et les spectacl
désormais très éveillée, des connaisseurs ; mais cette suspicion perd
beaucoup de
force, à mon avis, depuis que sa congénère, écrit
pour savoir que la franchise, placée mal à propos, peut souvent faire
beaucoup de
mal en irritant gratuitement les passions ; en un
ans la Place Royale… PERSILLET. C’est ma femme qui a la manie d’avoir
beaucoup de
plain-pied ; car pour moi je me trouve assez bien
ens d’autrui ; et la plus grande vertu dans mon empire, c’est d’avoir
beaucoup de
bien. LE DOCTEUR. C’est tout comme ici. ARLEQUIN.
ie les sacs, il est fort surpris d’en voir sortir deux hommes. On rit
beaucoup de
son étonnement ; & tous les acteurs finissent
ire ; qu’au reste, ils doivent excuser la jeunesse, qui est sujette à
beaucoup de
fautes ; & que s’il lui arrive une autre fois
les pieces, les taches & les filets y composent bizarrement, ont
beaucoup de
rapport avec les figures hiéroglyphiques des Egyp
antage, je vous prie, s’il marioit sa propre fille ? Il n’a pas gagné
beaucoup de
n’en point avoir, puisqu’en voilà une toute trouv
a partout mille traits d’esprit, beaucoup d’expressions heureuses, et
beaucoup de
manières de parler nouvelles et hardies, dont l’i
. » a. M. Moussinot, amateur de pièces de théâtre, nous a prêté
beaucoup de
ces critiques, dont il a une très ample collectio
er la pièce, mais qu’elle était très bonne, et qu’elle lui avait fait
beaucoup de
plaisir. Molière n’en demandait pas davantage, as
aginaire… c’est une de ces farces de Molière, dans laquelle on trouve
beaucoup de
scènes dignes de la haute comédie. La naïveté, pe
ette scene, est généralement d’un ton qu’une femme honnête doit avoir
beaucoup de
peine à prendre. Tartufe lui demande des preuves
tait tout à fait à l’aise ; il la consultait fréquemment et profitait
beaucoup de
ses avis, la tenant pour « la personne du monde s
âmes avec le jugement le plus net, — l’ensemble de sa carrière révèle
beaucoup de
bon sens uni à beaucoup d’habileté. Dans sa condu
on essaie de dégager leur commune physionomie morale, on leur trouve
beaucoup de
tolérance et d’indulgence pour les faiblesses de
l’inspiration de ces deux pièces, mais il faudrait quelque naïveté ou
beaucoup de
parti-pris pour s’étonner des protestations d’un
là pour finir par celui-ci ; mais, sceptique ou confiant, il s’occupe
beaucoup de
médecine, fit avec passion des ouvrages médicaux,
risie et de la fausse dévotion. Car comme la fausse dévotion tient en
beaucoup de
choses de la vraie ; comme la fausse et la vraie
à ce qui, dans les arts, constitue le génie créateur. On a fait aussi
beaucoup de
recherches et de conjectures sur l’origine du nom
du comique français sur le comique latin. « Molière, dit- il, a pris
beaucoup de
choses de Plaute ; mais il leur donne un autre to
t plus de travers que de perversité, sage sur le tard, et n’ayant pas
beaucoup de
cœur peut-être ; mais le peu qu’elle en avait, ne
pour Oronte, et je veux qu’on le croie. Je reçois tous ses soins avec
beaucoup de
joie, J’admire ce qu’il dit, j’admire ses vers,
x qui ont eu plus ou moins à se plaindre de Célimène, c’est-à-dire à…
beaucoup de
gens. On rit donc : mais on n’avoue pas. Moi, j’a
h ! vous me dites en finissant que, sans le vouloir d’ailleurs (c’est
beaucoup de
grâce que vous me faites),j’ai rapetissé Molière
arivey. La comédie des Esprits offre un caractère d’avare, tracé avec
beaucoup de
conduite, et dont Molière n’aurait pas dédaigné c
qui nous parle d’un certain Henrique Qui retourne en ces lieux avec
beaucoup de
biens Qu’il s’est en quatorze ans acquis dans l’A
des plus belles ambitions du temps, le perfectionnement de la langue.
Beaucoup de
femmes y avaient gâté leur naturel. Au lieu de pe
rouvent qu’il en a manqué où il en fallait ; ni ceux auxquels il faut
beaucoup de
matière pour contenter leur imagination ne le tro
e Dandin, Le Médecin malgré lui et Le Mariage forcé furent joués avec
beaucoup de
succès. Les rôles de femmes étaient remplis par d
lus. Les représentations, inaugurées à Nantes le 17 mai, n’eurent pas
beaucoup de
succès. Les historiens de Nantes racontent que la
it fait faire pour venir, je ne pus jamais l’obtenir, quoiqu’il y eût
beaucoup de
justice, mais M. le prince de Conti avait trouvé
rince le lieu commun de leurs études. S’il l’osa, il y mit sans doute
beaucoup de
tact et de finesse, car le jeune frère du grand C
s auraient trouvée dans le lit, laquelle aurait reçu leur visite avec
beaucoup de
civilité »35. Ces comédiens qui étaient cause qu
s le trente ou quarantième jusqu’à l’infini ; joint qu’ils occupaient
beaucoup de
place, et que, servant en même temps de siège et
qui deviennent le principal intérêt de la comédie, où l’intrigue perd
beaucoup de
l’importance qu’elle avait eue jusque-là. C’est l
tous les repas qu’il reçoit, son esprit le faisant aller de pair avec
beaucoup de
gens qui sont au-dessus de lui. L’on ne doit poin
ment représentés, si bien touchés et si bien finis, qu’il en a mérité
beaucoup de
gloire. » Les écrivains dramatiques savent ce qu
cuniaires, il était généreux, libéral, dépensait grandement, recevait
beaucoup de
monde, prêtait à ses amis, et répandait de nombre
ux en écriture publique, et un faux que ses ennemis n’auraient pas eu
beaucoup de
peine alors à faire constater ? Le droit jugement
it qu’il a tracé d’Armande, à une époque où elle lui avait déjà causé
beaucoup de
chagrins ; le dialogue s’engage entre Cléonte et
devint sous la direction de Molière une excellente actrice. Elle prit
beaucoup de
fierté dans sa nouvelle position, mais elle ne s’
entés aujourd’hui de suivre les conseils et l’exemple de Sganarelle ;
beaucoup de
maris font plus ou moins le rêve d’Arnolphe ; on
u langage le moins éclairé du catéchisme ou du confessionnal pour que
beaucoup de
gens n’y vissent point un attentat contre les cho
’on entend leurs discours, l’on voit leurs habits, et l’on peut, sans
beaucoup de
peine, venir à bout de leur portrait. Si, pour re
le prologue des Fâcheux, il ajoute : « On croyait nous faire trouver
beaucoup de
jeunesse dans un vieux poisson." Mais son idée fi
draient plus acceptable. Il réclame le secret avec instance ; et pour
beaucoup de
raisons, cela est fort compréhensible. Le prince
dans les choses de la vie pratique un grand sens, beaucoup d’ordre et
beaucoup de
droiture. Ses relations avec ses amis font toutes
nt les princes de la science, des hommes ayant une grande renommée et
beaucoup de
crédit, et qu’il n’était pas bon d’avoir contre s
nsurmontable tendresse. Il mit dans la nouvelle et immortelle comédie
beaucoup de
son cœur : Alceste, adorant malgré lui la coquett
la toile levée, précisément à quatre heures. Molière représenta avec
beaucoup de
difficulté, et la moitié des spectateurs s’aperçu
u’il fallait pour faire valoir ses peines, elle dit au président avec
beaucoup de
joie qu’elle avait surmonté les obstacles qui s’é
chée à la première nouvelle qu’elle avait eue de l’affaire, et on eut
beaucoup de
peine à la trouver. Enfin elle fut prise, elle av
dix-huit ou dix-neuf ans elle mena le train de la comédie nomade, eut
beaucoup de
succès en Languedoc à cause de sa beauté et de so
Bérélie ; j’ai remarqué souvent que la Molière et La Grange font voir
beaucoup de
jugement dans leur récit, et que leur jeu continu
ique, et il n’y a point de rôle qu’il n’exécute très bien. Comme il a
beaucoup de
feu, et de cette honnête hardiesse nécessaire à l
bon acteur, dans le comique et dans le tragique. Il obtint également
beaucoup de
succès dans le rôle d’Alain, de L’École des Femme
zou fut une beauté célèbre en son temps. Elle avait un grand air avec
beaucoup de
charme à la fois ; la reine Anne d’Autriche l’ava
e troupe juvénile prit le titre de Comédiens de M. le Dauphin, et eut
beaucoup de
succès. Baron était pendant ce temps en pension à
ier 1672. Et puis, sociétaire dès 1673, elle avait du entendre parler
beaucoup de
lui par ses anciens camarades. 48. Promenade de
a sottise seule peut faire. On trouve dans Gilblas une histoire qui a
beaucoup de
rapport avec le sujet de cette comédie : mais tel
suffi pour faire vivre l’ouvrage; et ces deux scènes valent mieux que
beaucoup de
comédies. Dès son troisième ouvrage, il sortit en
ie, qu’il composa pour répondre à ses censeurs, et qui fut jouée avec
beaucoup de
succès. On peut s’imaginer combien ils se récrièr
nges n’étaient pas toujours flatteuses, par exemple, lorsqu’en disant
beaucoup de
bien de l’École des Maris, il la place après les
narelle comme la meilleure des pièces de Molière. En revanche, il dit
beaucoup de
mal des Précieuses ridicules, dont la réussite f
: c’est un défaut qui n’est pas dans Plaute ; mais ce défaut tient à
beaucoup de
différents mérites que Plaute n’a pas non plus. E
icultés du sujet. Que l’on propose à un poète comique, à un auteur de
beaucoup de
talent, un plan tel que celui-ci : Un homme dans
e vie de M. de Visé (premier auteur du Mercure galant), qui a composé
beaucoup de
pièces pour le théâtre français. Ce que l’on a di
comédie d’Amphitryon de Molière ; mais cette décision ne trouvera pas
beaucoup de
partisans. Quoi qu’il en soit, voici le passage :
sens étaient enchantés, Molière avait fait les paroles, Qui valaient
beaucoup de
pistoles, Car en un mot, jusqu’en ce jour, Soit
pièce lorsqu’il la fit imprimer. « Voici une comédie dont on a fait
beaucoup de
bruit, qui a été longtemps persécutée ; et les ge
bligea de se dépêcher de fabriquer son Fagotier. En quoi il n’eut pas
beaucoup de
peine, puisque c’était une de ces petites pièces,
e. « Il y avait alors dans ce collège deux enfants, qui eurent depuis
beaucoup de
réputation dans le monde, c’était Chapelle et Ber
de l’Académie française ; et nous ne doutons point qu’en lisant ceci,
beaucoup de
ses amis ne se rappellent de le lui avoir ouï dir
comédie du même titre. C’est une de ses meilleures pièces. Il a pris
beaucoup de
choses de Plaute ; mais il leur donne un autre to
riez-vous ? Je vous connois tous ; je sais bien qu’il y a parmi vous
beaucoup de
voleurs59. Moliere qui a fait l’Avare d’après c
mée de madame Scarron, était instruite, comme madame de Coulanges, de
beaucoup de
particularités secrètes des relations de la gouve
ces marquis oisifs, persuadés qu’il suffit d’un peu de fortune et de
beaucoup de
vanité pour être d’honnêtes gens et faire leur ch
en acquitter. Ce n’est pas l’usage des drames ni des romans de donner
beaucoup de
place au devoir : sous ce rapport, Molière a le m
d’une sévérité plus absolue. Mais, d’autre part, Molière dit, avec
beaucoup de
raison834, que la masse des hommes n’est point ap
des sentiments immoraux, au point que son théâtre ne soit plus, pour
beaucoup de
gens, une distraction, mais une corruption. — Il
de Pourceaugnac. Toujours gai & gaillard. Eraste. Ma foi, j’en ai
beaucoup de
joie. Et Monsieur votre oncle... le... M. de Pour
, en effet, ne marche que pour ceux et pour celles qui ont à dépenser
beaucoup de
talent, beaucoup d’esprit, beaucoup de cœur ; qua
pour celles qui ont à dépenser beaucoup de talent, beaucoup d’esprit,
beaucoup de
cœur ; quant aux autres, aux immobiles, aux oisif
les comédiennes à venir, un encouragement, un conseil, un exemple en
beaucoup de
choses. Elle était habile et droite ; elle jugeai
ins de respect pour de royales infortunes, et pour peu que l’on y mît
beaucoup de
délicatesse et de réserve, quel parallèle on pour
e me plais point à voir ce chien de boiteux-là. »Comme Béjart faisait
beaucoup de
plaisir, on boita aussitôt sur tous, les théâtres
à plus de vingt mille livres au-delà de sa succession. Brécourt avait
beaucoup de
valeur ; et on en rapporte un trait qui mérite d’
ique, et il n’y a point de rôle qu’il n’exécute très bien. Comme il a
beaucoup de
feu, et de cette honnête hardiesse nécessaire à l
excellente comédienne ; elle avait une voix charmante, chantait avec
beaucoup de
goût le français et l’italien. Elle joua d’origin
cet acte… pour ainsi dire religieux… ne demande-t-il pas, d’un côté,
beaucoup de
respect, de l’autre, la plus grande modestie ? Ic
moururent presque en naissant, malgré quelques jolis vers noyés dans
beaucoup de
fadeurs et de flatteries exagérées. Occupons-nous
s te maintiennent toujours pleine. Le Médecin malgré lui doit aussi
beaucoup de
choses au Medico Volante, dont nous avons déjà pa
lus vivre ! Il me tarde de voir ce que votre feuille dira d’Elmire :
beaucoup de
bien ; ne l’a-t-elle pas mérité ? — Oh ! oui ; el
t ce qu’il faut pour le festin ; encore est-il fâché de voir apporter
beaucoup de
vin. Il soupçonne qu’on a conçu le dessein de l’e
qui, malgré les détracteurs, ne fût de ce petit nombre. La pièce eut
beaucoup de
succès, d’abord à la cour dont elle fit les délic
l, et quelques mois après sur le théâtre du Palais-Royal, où elle eut
beaucoup de
reprises. Baron et mademoiselle Desmarets, tous d
ues peuvent leur procurer, à la futile gloire d’avoir recueilli, avec
beaucoup de
peine, des mots scientifiques et quelques notions
rceaux, jalouse des soins que son mari rendait à Ninon, avait un jour
beaucoup de
monde chez elle ; on désira de voir son fils ; il
e dit : « C’est une de ces farces de Molière, dans laquelle on trouve
beaucoup de
scènes dignes de la haute comédie. » N’aurait-il
ion burlesque qui termine Le Malade imaginaire ; elle fut donnée avec
beaucoup de
succès sur le théâtre italien : on y reçoit, non
demande à mes camarades, c’est d’être prêts à quatre heures. » Il eut
beaucoup de
peine à finir le rôle d’Argan, et en prononçant j
n mauvais œil, peut-être, est de ce côté-ci, ne paraît que plaisant à
beaucoup de
personnes ; et ce mauvais œil, annoncé sans préte
e et celui de Macette, dans la treizième satire de Regnier, ont aussi
beaucoup de
ressemblance ; celle-ci voulant corrompre la maît
en fut l’occasion, fit-elle parmi les auditeurs de l’Athénée de 1866
beaucoup de
prosélytes ? Nous n’en savons rien, et, à vrai di
jeu du dialogue, autour d’une de ces figures qu’il crée toutes vives,
beaucoup de
traits accessoires, de circonstances, dont l’effe
scène. M. de Pourceaugnac est un des personnages qui ont fait dire à
beaucoup de
critiques, et de grands critiques, à Fénelon, par
à Dom Juan : « Sganarelle, le ciel ! » C’est ainsi que l’ont entendu
beaucoup de
commentateurs, c’est ainsi que l’a entendu une pe
omme nous l’avons vu, une idée assez triviale, bien qu’il traite avec
beaucoup de
légèreté, quelquefois, les rapports du mariage, i
glaise, — une mère moderne, qu’est-ce qu’elles auront de commun ? Pas
beaucoup de
choses. Qu’y a-t-il de plus éternel que l’amour
ociété par sa guerre contre tous les genres de pédantisme. Il a fallu
beaucoup de
temps et de verve, je ne dis pas pour extirper to
t. Nous avons sans doute une vanité, qui sert également à nous donner
beaucoup de
travers et à nous rendre infatigables dans l’obse
re méchant. Il a le don de plaire : cela n’est que trop sûr au gré de
beaucoup de
gens. Plaît-il toutefois avec raison ? Faut-il pe
…………………………… Les cent années que nous allons parcourir ensemble ont vu
beaucoup de
ces vicissitudes dans la manière de sentir ; nos
deux fruits amers : la violence et la fraude ; et, s’il est bon, pour
beaucoup de
causes, qu’il y ait dans l’État une hiérarchie sa
bonjour. ALBERT. Ah ! vraiment, tu prends
beaucoup de
peine De tout mon cœur, bonjour. (Il s’en va.) MA
entilshommes, étaient fort ridicules et fort pauvres ; qu’elle aurait
beaucoup de
peine à se marier ; qu’un bon parti se présentait
eront donc pour rien ? La pièce a été jouée au grand jour ; elle a eu
beaucoup de
succès ; elle a fait un bruit énorme ; on en a pa
raits, qui aujourd’hui sont de vraies pages de l’histoire dramatique.
Beaucoup de
mes amis les connaissent ; j’en ai d’ailleurs don
nonpareilles, Ce tableau raccourci de toutes les merveilles, Je vois
beaucoup de
manque et d’inégalités Et d’aussi grands défauts
en ne vous contente, Et votre esprit, flottant entre cent passions, A
beaucoup de
desseins et peu d’affections. Plus léger que le v
ue est affaiblie ». On fit l’inventaire les 12 et 17 mars. On indiqua
beaucoup de
costumes de théâtre où l’or et l’argent font du t
par le rôle d’Axiane dans la tragédie d’Alexandre, qu’elle joua avec
beaucoup de
sentiment. Aussi quand Racine fit Andromaque, il
s ridicules — des autres ; vieux mari d’une jeune femme qui lui donne
beaucoup de
fil à retordre. Pour les spectateurs ce M. de Mol
ère dans les années vagabondes de sa jeunesse aventureuse, avait fait
beaucoup de
vers. Ces vers, que sont-ils devenus ? Où sont-il
ttant sa passion & en la sacrifiant au devoir ? Ici Don Juan fait
beaucoup de
train, comme dans le Sage ; mais à quel titre, pu
arcie. Léonor épouse ce dernier ; & Don Juan se trouve avoir fait
beaucoup de
bruit pour rien. Cette Clarice, chez qui nous nou
roduit chez Madame Argante, & s’empare de son esprit en affectant
beaucoup de
vertu. Dorante, fils de Madame Argante, vif, empo
qui ne savaient ni faire rire ni faire pleurer. Du temps de Molière,
beaucoup de
philosophes faisaient des contes. Molière seul me
fallait compter, pour qui le roi n’eut toujours des égards infinis et
beaucoup de
confiance, et monseigneur une déférence totale ta
sa mère, une bonne paysanne, qui, dit-il, A s’ôter cette charge eut
beaucoup de
plaisir. Et il l’a fait élever selon sa politiqu
! Et il fit en effet ce qu’il put pour rire ; mais il n’y avait pas
beaucoup de
quoi. Les plus fortes plaisanteries de la pièce r
de notre amie : la droiture du cœur, la tranquillité d’âme, jointe à
beaucoup de
finesse native et à cette vivacité de réplique, d
ion d’Ariste. Et je ne crois pas qu’aujourd’hui Molière s’effraierait
beaucoup de
cette liberté qu’on laisse aux jeunes filles chez
croire, selon l’observation du même auteur, qu’elles leur aient fait
beaucoup de
mal. Au contraire il n’y a rien de plus propre po
tout le monde avait la liberté d’en frapper : d’abord on en mettrait
beaucoup de
mauvaise en circulation, avec une certaine quanti
il avait obtenu un trop brillant succès, pour ne pas être en butte à
beaucoup de
critiques injurieuses. On l’accusa d’avoir copié
fil. Cette espèce d’invention, née du hasard et de la nécessité, eut
beaucoup de
succès, et Molière, par la suite, en fit usage to
bsence peut quelquefois donner lieu. Depuis nos éditions précédentes,
beaucoup de
travaux ont été continués ou entrepris sur la vie
it fait faire pour venir, je ne pus jamais l’obtenir, quoiqu’il y eût
beaucoup de
justice ; mais M. le prince de Conti avait trouvé
e Cosnac. « Je trouvai autour de lui, dit celui-ci dans ses Mémoires,
beaucoup de
gens devant lesquels il faisait fort le triste ;
e souffrit. » Quoi qu’il en soit de cette interprétation, sans perdre
beaucoup de
temps, dix jours seulement après le 24 octobre, «
à lui de faire la harangue et de composer l’affiche, et comme il y a
beaucoup de
rapports de l’une à l’autre, il suit presque la m
lus tard de confier le rôle de Tartuffe à Du Croisy, qui le créa avec
beaucoup de
talent. Quant à La Grange, doué d’une intelligenc
elle avec les philosophes Pancrace et Marphurius, qui ne paraissent à
beaucoup de
lecteurs que deux pitoyables parades. Mais quicon
is il est vrai que M. D’Avisson, médecin écossais, qui s’était acquis
beaucoup de
connaissances dans les lettres aussi bien que dan
is le succès, qui fut immense au contraire ; non pas qu’il se trouvât
beaucoup de
spectateurs de l’avis de la dévote qui disait à M
ent de l’attachement qu’il avait pour une femme qui, disait-il, avait
beaucoup de
défauts. « Je les connais, répondit Molière, j’y
enter simultanément son Alexandre, que Molière avait fait monter avec
beaucoup de
soin et qui venait de réussir sur son théâtre. La
séquent sûr d’être accueilli sans autre examen, a cela de commun avec
beaucoup de
traits de l’histoire proprement dite, qu’il est o
ettre à l’Académie française, dit : « Un autre défaut de Molière, que
beaucoup de
gens d’esprit lui pardonnent, et que je n’ai gard
mire à sa femme. Comme elle prévoyait bien que cette pièce attirerait
beaucoup de
monde, mademoiselle Molière avait à cœur de s’y f
ie de l’Imposteur, qui dut nécessairement être très recherchée alors.
Beaucoup de
personnes n’avaient ni entendu de lectures partic
’abandonner le traducteur, dont les expressions pourraient paraître à
beaucoup de
lecteurs un peu trop naturelles. Il serait maladr
a Thorillière, de Beauval et de sa femme, en possession de rôles dans
beaucoup de
pièces, et que l’hôtel de Bourgogne venait d’enga
la célébrité galante de mademoiselle Molière, commençait à convaincre
beaucoup de
personnes de la véracité de l’assertion de Lescot
ion du pamphlet du curé de Saint-Barthélemy contre Le Tartuffe, et de
beaucoup de
pièces relatives à la famille Poquelin. 100. Vo
Les romantiques faisaient alors grand bruit ; on les recherchait, et
beaucoup de
nos généraux de l’empire mis à la retraite, retro
ce ou de déclamer contre les vicieux, en vérité on l’obtiendrait sans
beaucoup de
peine. Par malheur, la vertu est une conquête plu
squ’il avait à peindre quelque caractère, ne se contentait pas, comme
beaucoup de
ses confrères, d’en esquisser une maigre silhouet
hropie exerce peut-être sur les mœurs une influence plus lâcheuse que
beaucoup de
nos vices dont la laideur même est un puissant pr
défaut de Molière (dit-il dans sa lettre à l’Académie française), que
beaucoup de
gens d’esprit lui pardonnent et que je n’ai garde
si, pour en donner une juste idée, il ne faudrait pas, à l’exemple de
beaucoup de
comédiens, débiter certains passages du rôle avec
de Tartuffe si, dans une circonstance moins critique, et en présence
beaucoup de
personnes, il avait intérêt à produire sur elles
çon de traiter en détail nos foiblesses ne pourroit manquer d’attirer
beaucoup de
monde au spectacle, parcequ’il suffiroit d’avoir
tre Théâtre ; mais ce dessein ayant manqué de succès (ce qui arrive à
beaucoup de
nouveautés) il fut obligé de courir par les Provi
mmencé qu’au quinzième siècle. Elle compte, à partir de cette époque,
beaucoup de
noms illustres et d’œuvres remarquables. Citons l
tel qu’il est… » Il ne faut accueillir toutes ces assertions qu’avec
beaucoup de
réserve. Arlequin valet étourdi n’a pas produit L
du goût est facile à comprendre ; à mesure que nos préjugés tombent,
beaucoup de
nos répugnances doivent céder et disparaître. Mai
âteau. Enfin, j’ai mis à contribution le zèle et les connaissances de
beaucoup de
personnes qu’il serait trop long de désigner10 ne
estait toutes les mers et désolait toutes les côtes, il résultait que
beaucoup de
pères étaient enlevés à leurs enfants, et beaucou
se sentait privé. Il sollicita, et il obtint de ses parents, non sans
beaucoup de
peine, qu’ils le fissent étudier. Placé dans une
yon. Sa première comédie régulière, l’Étourdi, y fut représentée avec
beaucoup de
succès. À son arrivée dans cette ville, il y avai
qu’on assure être une femme et une comédienne (madame Boudin), mêlant
beaucoup de
faussetés calomnieuses à quelques faits d’une vér
cette même pièce duMisanthrope ainsi que dans le Tartuffe, il n’y ait
beaucoup de
passages où l’aisance et la pureté du style se jo
y avoir donné lien. Sa comédie du Pédant jouéreprésentée en 1654 eut
beaucoup de
succès. Ses autres ouvrages sont un Voyage de la
chelieu, qui avait besoin qu’on le fît rire, voulut les voir, s’amusa
beaucoup de
leurs bouffonneries, et ordonna aux comédiens de
ainsi qu’une princesse » ; nous avons vu qu’elle faisait et recevait
beaucoup de
visites : elle devait donc être toujours fort pro
lque peu lettré, qui vient passer quelques semaines à Paris, il y ait
beaucoup de
plaisirs plus grands que celui de voir jouer du M
Mme Aphra Behn, veuve d’un négociant hollandais, une dame qui a écrit
beaucoup de
poèmes, de romans et de comédies d’un style léger
ion, parce qu’il l’a connue depuis son enfance, et parce qu’il a reçu
beaucoup de
politesses de sa famille. Le 11 avril 1733, on a
tre sa collection de cartes et plans, M. de Tralage avait formé, sans
beaucoup de
goût ni de critique, des recueils de pièces plus
ns nom de lieu et sans date, mais que M. Victor Fournel reporte, avec
beaucoup de
raison, à l’année 1651. Or, Beauchamps (édit. in-
une farce en deux actes qui, sous le nom de The Romp (La Gamine), eut
beaucoup de
succès en 1781. Mais Arthur Murphy, comme nous l’
embre 1880, p. 240-242. Depuis quelque temps, Le Moliériste s’occupe
beaucoup de
Lustucru, ce héros de parade, qui attirait la fou
r.) Picard. Ahi ! (Il s’appuie au dos de la chaise, & il marque
beaucoup de
douleur.) M. Géronte, embarrassé. Qu’est-ce que
ère. Il y avait alors dans ce collège, deux enfants qui eurent depuis
beaucoup de
réputation dans le monde. C’était Chapelle* et Be
ibuer à cette grande vogue; mais on ne peut disconvenir qu’il n’y ait
beaucoup de
scènes d’une exécution parfaite, plaisamment inve
il fut d’abord médiocrement goûté; mais à toutes les reprises il eut
beaucoup de
succès, et il est resté au théâtre. Cependant la
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