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1 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
i le mit dans une pension, et l’envoya aux Jésuites. Il y étudia cinq années , et suivit le cours des classes du premier prince
t le temps que durèrent les guerres civiles en France. Il employa ces années à cultiver son talent, et à préparer quelques piè
les comédiens Italiens qui en étaient en possession, depuis quelques années . La troupe de Molière prit le titre de la troupe
de son chef. Depuis l’an 1658, jusqu’en 1673, c’est-à-dire en quinze années de temps, Molière donna toutes ses pièces, qui so
nq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théâtre, la même année .124 Trop de complicité dans le nœud, et peu de v
et en vers, représentée sur le même théâtre le 4 novembre de la même année . Cette espèce de comédie est presque sans nœud, n
t en prose, représentée sur le même théâtre, le 4 novembre de la même année . Espèce de vengeance exercée par Molière contre B
e en prose,) représentée sur le même théâtre le 9 novembre de la même année .128 Cette pièce faite à la hâte, décèle la fines
prologue, représentée sur le même théâtre, le 22 septembre de la même année . Ridicule jeté à pleines mains sur les médecins.
prose, représentée à Paris sur le même théâtre, le 6 août de la même année . Petite pièce faite pour amuser, et qui a toujour
représentée à Saint-Germain en Laye, au moins de décembre de la même année , dans le ballet des Muses. La scène du second act
nt d’une pastorale comique, représentée dans la même ville et la même année , dans le ballet des Muses, à la suite de Mélicert
en prose, représentée sur le même théâtre, le 9 septembre de la même année . Autre imitation de Plaute. L’Avare est un peu ou
t en prose, représentée sur le même théâtre, le 9 novembre de la même année . Pièce d’un comique plus propre à divertir qu’à i
en prose, représentée sur le même théâtre, le 15 novembre de la même année . Ton peu noble, mais du comique.132   Les Aman
représentée sur le théâtre du Palais royal, le 29 novembre de la même année .133 Peinture fidèle du ridicule commun à tous le
et en vers, représentée sur le même théâtre, le 24 juillet de la même année . Malgré l’irrégularité de la conduite de cette pi
et en prose, représentée sur le même théâtre, le 8 juillet de la même année . Peinture simple des ridicules qui étaient alors
Pièces données au Théâtre par Molière. 122. Il y a une erreur sur l’ année de représentation. Cette pièce a été représentée
2 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
ille aussi de tapissiers,1 s’appelloit N... Boutet. Il passa quatorze années dans la maison2 paternelle, où l’on ne songea qu’
pour les rôles de bas comique. On le perd ici de vûë pendant quelques années  ; cet intervalle fut le tems des guerres civiles
i acquérir le degré de réputation auquel il aspiroit. Sur la fin de l’ année 1657, Moliere avec sa troupe partit pour Grenoble
e présenta au Roi & à la Reine mere. Dès le 24 octobre de la même année , sa troupe représenta la tragédie de Nicoméde dev
mp; à Paris, sur le théatre du palais royal, le 4 novembre de la même année . furent représentés à Vaux chez monsieur Fouquet,
e de Moliere, si l’on en croit l’auteur de sa vie,17 essuya pendant l’ année 1662, un de ces revers que le bon goût éprouve qu
au mois de juin 1662, n’y revint qu’au19 mois de novembre de la même année , & l’école des femmes L’école des femmes, co
& à Paris sur le théatre du palais royal le 4 novembre de la même année . Boursault n’y est pas épargné, il y est nommé av
& à Paris sur le théatre du palais royal le 9 novembre de la même année . qui en faisoit partie. Cette piéce réussit, &
du palais royal, avec quelques changemens, le 15 novembre de la même année . ainsi intitulé parce que le Roi y avoit dansé un
piéce se voit encore avec plaisir. Moliere fit paroître dans la même année Mélicerte, Melicerte, pastorale héroïque en vers,
, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 juin de la même année . suivit de près les représentations de ces deux p
comédie sur le théatre. Elle reparut à Paris le42 5 février de cette année . Dès qu’elle eut été connuë, les vrays dévots fur
intermédes, sur le théatre du palais royal, le 9 novembre de la même année . le caractére chargé d’un gentilhomme de campagne
p; à Paris, sur le théatre du palais royal, le 15 novembre de la même année . embellie aussi de chants & de danses, est d’
mp; à Paris sur le théatre du palais royal, le 29 novembre de la même année . Elle confondit cette piéce avec celles qui n’ont
s intermédes, sur le théatre du palais royal, le 8 juillet de la même année . n’est qu’une peinture simple des ridicules qui é
e des ouvrages57 que Moliere a composés dans l’espace d’environ vingt années , au milieu de tant d’occupations différentes qui
mp; à Paris, sur le théatre du palais royal, le 4 novembre de la même année . 14. Voyez épître dédicatoire des fâcheux. 15.
& à Paris sur le théatre du palais royal le 4 novembre de la même année . 22. Impromptu de Versailles, scéne I. MOLIE
& à Paris sur le théatre du palais royal le 9 novembre de la même année . Le Mariage forcé, comédie-ballet en un acte en
du palais royal, avec quelques changemens, le 15 novembre de la même année . Dom Juan, ou le festin de Pierre, comédie en ci
onnu sous le nom de Guérin, & mort le 28 janvier 1718, dans la 92 année de son âge. Fragment d’une pastorale comique, re
, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 juin de la même année . Tartuffe, ou l’imposteur, comédie en cinq actes
tiére fut jouée au Rainci chez m. le Prince le 29 novembre de la même année , & au même lieu, le 9 novembre 1665. 34. Pre
intermédes, sur le théatre du palais royal, le 9 novembre de la même année . Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet, en tr
p; à Paris, sur le théatre du palais royal, le 15 novembre de la même année . Les amans magnifiques, comédie-ballet, en cinq
mp; à Paris sur le théatre du palais royal, le 29 novembre de la même année . Les fourberies de Scapin, comédie en trois acte
s intermédes, sur le théatre du palais royal, le 8 juillet de la même année . Pastorale comique. Le malade imaginaire, coméd
es, & qui haranguoit le public dans l’occasion. Moliere, quelques années avant sa mort, avoit cédé cet emploi au comédien
is de septembre 1662. Voyez Muse historique de Loret, lettre 40, de l’ année 1655, & lettre 35, de l’année 1662. 72. On d
istorique de Loret, lettre 40, de l’année 1655, & lettre 35, de l’ année 1662. 72. On disoit que Moliere, qui avoit été a
3 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
à la Comédie-Française, on a trouvé Le Député de Bombignac, et, cette année , Denise ; de même, à l’Odéon, Severo Tovelli et L
reviennent trop souvent sur l’affiche : c’était la première fois de l’ année qu’ils s’y montraient. Combien de représentations
a-t-il obtenues ? Deux. Et Polyeucte ? Une seule. Il est vrai que, l’ année précédente, le Cid avait poussé jusqu’à dix, ains
Le Menteur, en 1884, avait été joué dix fois : c’est bon signe. Cette année déjà, comme l’année dernière, les Plaideurs ont é
avait été joué dix fois : c’est bon signe. Cette année déjà, comme l’ année dernière, les Plaideurs ont été tirés une fois de
t Amphitryon cinq ; pourquoi L’École des femmes, produite sept fois l’ année dernière, et les Précieuses, deux fois seulement,
, et les Précieuses, deux fois seulement, n’ont pas encore paru cette année . Nous demanderons surtout ce qu’on attend, depuis
sse Martin cinquante-deux ? Que Denise, dans le commencement de cette année , ne s’élance pas jusqu’à soixante-neuf ? Sur la r
auteurs : en ceci, du moins, nous serons satisfaits. Oui vraiment, l’ année dernière et cette année, voici Le Menteur et Les
oins, nous serons satisfaits. Oui vraiment, l’année dernière et cette année , voici Le Menteur et Les Plaideurs ; voici, répar
au Commandeur : ne le rendra-t-elle jamais ? Heureux Beaumarchais, l’ année dernière ! Non-seulement Le Barbier et Figaro, ma
is Eugénie elle-même a vu la rampe de l’Odéon. Heureux Regnard, cette année  ! Il est partout à la mode : après le Légataire e
tte liste, je me souviens de la rencontre que je fis, il y a quelques années , d’un jeune auteur. « Eh bien ! lui dis-je, vous
César Girodot se serait contenté assurément de dix représentations, l’ année dernière, ou L’Ami Fritz de douze, ou Les Pattes
succéder à ceux qui se retireront demain, qui a paru depuis quelques années  ? MM. Truffier, Le Bargy, Baillet, de Féraudy, Le
4 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
théâtre, mais il ne persista pas comme lui dans sa résolution. Dès l’ année suivante, il rassembla une nouvelle troupe qui s’
a dit que ce fut cette pièce qui inspira à Milton, voyageant quelques années plus tard en Italie, la première idée du Paradis
s demeurèrent en France jusqu’à la fin du carnaval de 1623. Pendant l’ année 1622, Giovanni-Battista Andreini fit représenter
, les Comici Fedeli revinrent en France et y représentèrent pendant l’ année  1624 et le commencement de l’année 1625. Giovanni
ance et y représentèrent pendant l’année 1624 et le commencement de l’ année  1625. Giovanni-Battista Andreini perdit son père
eini perdit son père vers cette époque. Il publia, dans le cours de l’ année  1624, un opuscule intitulé Il Teatro celeste, en
ra, comme on sait, dans les conseils du roi, au mois d’avril de cette année  1624. On voit quels sentiments édifiants animaien
5 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
Chapitre XXII Année 1667 (suite de la septième période). — Madame de
 Insulte à madame de Montausier. Au milieu des fêtes mémorables de l’ année 1666, c’était toujours madame de La Vallière que
ait comme l’heureuse maîtresse du maître. Ce fut néanmoins dans cette année qu’elle cessa d’être l’unique objet de ses désirs
proximativement l’époque du changement du roi. Voltaire l’indique à l’ année C’est plus de deux ans trop tard, « Dès l’an 1669
liaison du roi avec madame de Montespan n’avait commencé qu’en cette année , deux événements principaux de la période que nou
itif, que depuis le mois de mai 1667, jusqu’au mois d’août de la même année , Mademoiselle reconnut et suivit l’intrigue des d
espan ; mais, né seulement en 1673, il n’en a parlé que plus de vingt années après, et sur des traditions fort suspectes ; l’o
et insolente pour ce mari jaloux. Ce serait donc vers le milieu de l’ année  1667, que Montespan se serait laissé aller à la f
âge de 64 ans. La nouvelle de cette mort, arrivée à la suite de trois années de retraite et de maladie, se perdit dans le mouv
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
pprocher des personnes dont on avait pu le croire éloigné. Dans cette année , il publia son épître y à Guilleragues, secrétair
u peu après la mort de cette femme aimable, qui eut lieu dans la même année . En parlant d’une savante, l’auteur dit : D’où v
ne vengeance si peu méritée, pour la faire éclater précisément dans l’ année où mourut madame de La Sablière. Il est présumabl
e, qu’il soupçonnait d’avoir protégé Pradon contre Racine. Dans cette année 1677, il publia son épître à Racine ; là il marqu
aient longtemps empêché le roi d’approuver son élection. Dans la même année , il écrivait à madame de La Sablière :          
ssions des sages condamnées « Ont pris comme à l’envi la fleur de mes années . » Il finit par s’exhorter, il est vrai, sans gr
peu de distance qui sépare un roi voluptueux d’un tyran. Dans la même année , il montra dans Titus la vertu triomphant d’une p
e France avec Boileau. Il leur avait donné au commencement de la même année , à chacun 3 000 fr. de pension. Depuis cette anné
ncement de la même année, à chacun 3 000 fr. de pension. Depuis cette année jusqu’en 1677, Racine ne publia aucun ouvrage, no
n épitre à Racine, qui, comme je l’ai dit, parut en 1677 dans la même année que Phèdre ; et sa satire contre les femmes, dont
’elle est la belle à qui Boileau en voulait ; dans un espace de seize années , il se rencontre bien des contemporaines entre le
, à mesure que le temps de ces amours s’éloignait. Et cependant seize années après elle en avait encore des souvenirs déplaisa
7 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
-non moins surprenantes ; on lui révélerait par exemple que, bien des années avant Polyeucte, la mère Angélique de Port-Royal
lui-même, que la seconde moitié de ce siècle et les quinze premières années du siècle suivant peuvent bien lui appartenir, ma
ut quatre ans après cette date, à Rome, où il vivait depuis plusieurs années , loin de l’envie et des cabales qui l’avaient cha
issance ne fut plus amplement payée. Louis XIV, pendant les premières années , continue avec fermeté la politique inaugurée par
d roi. Tous ces hommes, qui ont entouré de tant d’éclat les premières années de son règne, il ne les a ni formés, ni choisis,
nt pendant sa jeunesse ? Je ne sais. Quant à l’œuvre de ses dernières années , cette merveilleuse Athalie, si différente de ses
rin, mais dont la fécondité glorieuse est contemporaine des premières années de ce long règne, ce sont Molière, Bossuet, La Fo
érilité aussi déplorable que celle que présentent les vingt dernières années du grand roi. En prose, Fontenelle ; en poésie, J
ttribuent à l’influence de Louis XIV l’éclat littéraire des premières années de son règne, se piquent au moins d’être conséque
e gaîté qu’en ce temps de désolation, jamais si licencieuse qu’en ces années de dévotion austère. Si l’on voulait juger de l’e
lles de Regnard et de Lesage, qui toutes se rapportent à ces lugubres années , on croirait vraiment qu’alors la France était dé
st plus le parler mâle et franc de Molière et de Pascal ; en quelques années , quelle chute ! quel épuisement ! Féminisée par R
rose sont moins mal écrites que ses comédies en vers. Ainsi, quelques années après la mort de Molière, sa langue n’est déjà pl
et par Fénelon ! Voilà où est descendue, pendant les vingt dernières années du règne, cette littérature si grande avant Louis
aurait perdu la sienne sans l’intervention de Boileau ; mais, dans l’ année où elles atteignirent le chiffre le plus élevé, l
8 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
été en danger d’être découverte; jamais plus qu’au commencement de l’ année 1658. Sans parler de ses œuvres qui se multipliai
arité publique. » Toutes ces précautions n’empêchèrent pas que, celte année même, la Compagnie ne reçût le premier des coups
’assembler sans permission du Roi ou de la Cour. » Ce fut à Blois, l’ année suivante, que la Compagnie du Saint-Sacrement tre
rien encore n’était perdu, lorsque parurent, dans le courant de cette année 1660, à Caen, deux libelles qui portaient brusque
et d’une habileté nouvelles s’appliquaient à sa conversion. Dans ces années -là même, à la plupart de ses plaisirs on attentai
val, où s’escIaffait depuis le moyen âge la gaité des robins. La même année il était question, dans l’Assemblée générale du C
nie du Saint-Sacrement, Mgr de La Barde, qui poussait cette pointe. L’ année suivante, la Compagnie de Marseille s’occupait « 
nt ainsi à des malheureux » même coupables7. En outre, au milieu de l’ année 1657, « la Compagnie résolut, dit Voyer d’Argenso
la religion ; » — L’Agrippine de Cyrano de Bergerac interdite la même année pour quelques vers hardis : — le prince de Conti
n, elle ne fut pas acculée à une dissolution immédiate. Elle eut cinq années de répit, et qu’elle mit merveilleusement à profi
la Compagnie » de Paris, et que c’est, proprement, à la fin de cette année quelle « finit, » bien que ce n’ait été qu’à la f
’ai parlé plus haut, du monde bourgeois et courtisan. Les quelque dix années qui suivent l’affaire de L’Ermitage de Caen sont,
mille » dont il était le chef s’installa en 1644. Or, dès la fin de l’ année , la jeune troupe résilie son bail et « déménage a
e il s’appuyait? Contre cette hostilité, Molière put croire, quelques années après, avoir trouvé un défenseur. II était devenu
, » — lorsque, dans ce duel ardent, le prince de Conti (affilié cette année -là au groupe parisien) se signalait, en faisant à
gens « auxquels il ne pouvait rien refuser29. » Et Jean Loret, cette année -là même, déclare que s’il n’ose pas trop parler,
Le Tellier le favorisaient sous main44, où commençaient pour lui les années , sinon tranquilles, du moins brillantes, d’une vi
ce, le P. Lefebvre, et que les Jésuites annexèrent, dès les premières années de la Compagnie, à leurs collèges. Elles aussi, e
arcel, visitait les hôpitaux, les prisons, les églises45. Et dans ces années du milieu du xviie siècle, où les jésuites Chaur
u’elles ne fussent pas encore condamnées. Si elles le furent quelques années après, ce fut, d’après le P. Rapin, — dont on n’a
n, conseiller ordinaire du Roy en son Conseil d’Etat, » écrivant en l’ année 1640, « pendant sa prison au château de Milan, »
9 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
roportionnées aux sujets qu’il a choisis. Il tâcha dans ses premières années de s’établir à Paris avec plusieurs enfants de fa
it parfaitement à la gloire de l’Auteur, et au profit de la Troupe. L’ année suivante il fit Le Cocu imaginaire, qui eut un su
un succès pareil à celui des Précieuses. Au mois d’Octobre de la même année , la Salle du Petit Bourbon fut démolie pour ce gr
l’incommodait beaucoup, et à laquelle il était sujet depuis quelques années . Il s’était joué lui-même sur cette incommodité d
Reynie Lieutenant Général de la Police, donnée le 25 Juin de la même année , ce Théâtre fut supprimé pour toujours. Les Coméd
es Comédiens de l’Hôtel de Bourgogne, qui depuis un si grand nombre d’ années portaient le titre de la seule Troupe Royale ont
c de Créquy Gouverneur de Paris, premier Gentilhomme de la Chambre en année , et confirmé par une Lettre de Cachet, en date du
10 (1739) Vie de Molière
u’on devait attendre de son empressement à y entrer. Il y étudia cinq années  ; il y suivit le cours des classes d’Armand de Bo
ontribue à la gloire d’un État, quand elle est perfectionnée. Avant l’ année 1625, il n’y avait point de comédiens fixes à Par
Corneille tira le théâtre de la barbarie et de l’avilissement, vers l’ année 1630. Ses premières comédies, qui étaient aussi b
le temps que durèrent les guerres civiles en France : il employa ces années à cultiver son talent, et à préparer quelques piè
ta au roi et à la reine mère. Sa troupe et lui représentèrent la même année devant leurs Majestés la tragédie de Nicomède, su
les comédiens Italiens, qui en étaient en possession depuis quelques années . La troupe de Molière jouait sur le théâtre les m
la déclamation. Depuis l’an 1658 jusqu’à 1673, c’est-à-dire en quinze années de temps, il donna toutes ses pièces, qui sont au
  et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 Novembre de la même année 1661. Nicolas Fouquet, dernier surintendant des
vait donné naissance à la bonne comédie, fut abandonné la moitié de l’ année 1661, et toute l’année 1662, pour certaines farce
la bonne comédie, fut abandonné la moitié de l’année 1661, et toute l’ année 1662, pour certaines farces moitié italiennes, mo
e à Versailles le 14 octobre 1663 et à Paris le 4 Novembre de la même année . Molière fit ce petit ouvrage en partie pour se
t des circonstances heureuses qui l’avaient soutenue. On joua la même année la comédie de la Mère coquette, du célèbre Quinau
janvier 1664, et au théâtre du Palais-Royal le 15 décembre de la même année . C’est une de ces petites farces de Molière, qu’i
Laye en 1667, et sur le théâtre du Palais-Royal le 10 juin de la même année . C’est la seule petite pièce en un acte, où il y
onséquent la cour le fut aussi. Il fut joué le 29 novembre de la même année à Rainsy, devant le grand Condé. Dès lors les riv
représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 15 novembre de la même année . Ce fut à la représentation de cette comédie, que
mois d’octobre 1670, et représentée à Paris le 23 novembre de la même année . Le Bourgeois gentilhomme est un des plus heureu
hines du palais des Tuileries, en janvier, et durant le carnaval de l’ année 1670, et donnée au public sur le théâtre du Palai
ue Athalie sans les chœurs et sans la musique. Ce ne fut que quelques années après, que Lulli et Quinault nous apprirent qu’on
2, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 8 juillet de la même année . C’est une farce, mais toute de caractères, qui e
11 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
Chapitre XXIII Années 1660 à 1670 (suite de la septième période). — Rev
ernier reste de la maison de Rambouillet, nous a fait anticiper d’une année sur la période de 1670 à 1680, il nous a fait ass
cessaire de revenir sur la société des femmes d’élite, durant les dix années que nous venons de parcourir, d’en reconnaître l’
entendre chez lui une comédie de Molière. Au mois de mars de la même année , c’est elle-même qui écrit à sa fille, qu’elle a
re, qui ne devint pas moins amoureux d’elle. Son amour dura plusieurs années avec une telle exaltation, que personne, dans sa
e Brancas quand Boileau y fit sa satire du Festin, en 1665. C’était l’ année de son mariage. Elle eut depuis, en 1674, un démê
lle une conversation qui eut lieu chez madame de Coulanges, plusieurs années avant son mariage, qui se fit en 1669. « On était
12 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
c un accent de reproche : « Il faut qu’un corps illustre attende cent années pour apprendre à l’Europe que nous ne sommes pas
mais il est représenté. Un imprésario arménien, il y a une dizaine d’ années , avait monté au centre de la ville un théâtre où
viste de la Comédie française, en 1879, et parvenu déjà à sa huitième année , centralise les découvertes et tient son public a
y a certitude que cette maison ait été habitée par Molière que pour l’ année 1637. Un extrait de l’État de la taxe des boues d
Un extrait de l’État de la taxe des boues de la Ville de Paris pour l’ année 1637 porte en effet cette mention « Maison où pen
commerce du tapissier avait donc grandement prospéré pendant les onze années de cette union. L’inventaire, après décès de Mari
où nous sommes parvenus, c’est-à-dire jusqu’à la seconde moitié de l’ année 1642, nous ne découvrons aucune manifestation sér
nal Richelieu était mort le 5 décembre 1642, précédant de moins d’une année le roi Louis XIII dans la tombe. Le cardinal-mini
halie. Les triomphes littéraires égalaient les triomphes guerriers. L’ année 1640 avait vu représenter coup sur coup Horace, C
1640 avait vu représenter coup sur coup Horace, Cinna, Polyeucte : l’ année 1642, La Mort de Pompée et Le Menteur ; l’année 1
Cinna, Polyeucte : l’année 1642, La Mort de Pompée et Le Menteur ; l’ année 1644, Rodogune. Le grand Corneille, âgé de trente
la plus forte et la plus originale. Jean-Baptiste Poquelin fit, en l’ année 1643, le pas décisif dans la voie où son génie le
re de ces jeunes gens, Joseph Béjart, décéda au commencement de cette année 1643. Le 10 mars, sa veuve Marie Hervé introduisa
trois ans. Puis, la salle ne pouvant être prête que vers la fin de l’ année , les nouveaux comédiens partirent pour Rouen. La
ors dans toute sa gloire, devait les attirer. Le Menteur avait paru l’ année précédente ; ce fait a mis aux champs l’imaginati
nauguration de l’Illustre Théâtre put avoir lieu le premier jour de l’ année 1644. Si l’on s’en rapporte à Charles Perrault, l
sa, tragi-comédie, et Saint Alexis ou l’illustre Olympie, tragédie. L’ année suivante, deux pièces également : Le Martyre de S
nnemie ; il demeura au Jeu de paume des Mestayers jusqu’à la fin de l’ année 1644. Est-ce à l’année 1644 ou à 1645 que se réfè
Jeu de paume des Mestayers jusqu’à la fin de l’année 1644. Est-ce à l’ année 1644 ou à 1645 que se réfèrent les stances adress
léans dans la campagne où le prince s’empara de Gravelines ? Est-ce l’ année suivante, avant la campagne de 1645 ? On peut hés
suivante, avant la campagne de 1645 ? On peut hésiter entre ces deux années . On s’explique aisément la part que Molière et se
héâtre, se désista du bail passé avec Noël Gallois. Leur séjour d’une année au faubourg Saint-Germain se réglait par une dett
iode de la vie théâtrale de Molière se limite donc certainement à une année et demie, et peut-être à deux années. Molière s’y
se limite donc certainement à une année et demie, et peut-être à deux années . Molière s’y jette à corps perdu. Il est en tête
t des expressions qui n’indiquent pas des faits éloignés de plusieurs années . Ce serait donc dans la première année des pérégr
s faits éloignés de plusieurs années. Ce serait donc dans la première année des pérégrinations de la troupe que le duc aurait
nséquent, et les autres Béjart, auraient été à Bordeaux pendant cette année . Autre renseignement de même nature. M. Henri Cha
de Bernard de Nogaret d’Épernon eut lieu dans les premiers mois de l’ année 1646, au plus tard. Elles rendent aussi moins vra
à eux ; que, de plus, Bordeaux pendant la plus grande partie de cette  année , de janvier à octobre, fut désolé par la peste. A
st vrai, d’autres séjours en cette ville, pendant les trois ou quatre années qui suivirent ; mais l’anecdote de Molière poète
ypothèse pure ; rien n’est venu la confirmer jusqu’ici. On voit que l’ année 1646 ne nous offre que des indications assez vagu
, objecte M. Brunetière, peut-être leur réunion n’eut-elle lieu que l’ année suivante. » Nous verrons tout à l’heure que l’ann
t-elle lieu que l’année suivante. » Nous verrons tout à l’heure que l’ année suivante Dufresne, Berthelot, Réveillon, Molière,
upe en passage à Albi, l’association indubitable de ces acteurs à une année de là, tout cela, sans produire la certitude, s’e
ls étaient au commencement d’octobre à Carcassonne. Au printemps de l’ année suivante, 1648, la troupe est en Bretagne et en V
pelé Pierre Rebelhon dans l’extrait des comptes de la ville d’Albi, l’ année précédente. Les témoins sont Dufresne, Du parc (R
sans autre intention. Un acte de baptême (26 ou 27 décembre de cette année 1649), où figurent comme parrain et marraine Char
ui sur un vieux registre de l’Hôtel de ville, intitulé Journal pour l’ année 1649 et finissant en 1652 : « Le treizième dudit
7. » Le registre où M. Magen a fait cette découverte comprend quatre années , de 1649 à 1652. La mention de la visite de Dufre
vec mes petits soins, Ayant pu si longtemps suffire à nos besoins. L’ année théâtrale finissait vers le mois de mars. Tous le
 prendre des leçons. Molière revint-il à Paris au printemps de cette année 1650 ? Rien ne le prouve. En 1651, c’est différen
s les voir presque tous les ans remplir le même emploi. A la fin de l’ année 1651 et au commencement de 1652, Molière et ses c
us s’était passé, selon toute vraisemblance, au commencement de cette année 1653 : Molière avait fait représenter sa première
par ce qui nous est connu, débute donc à trente ans. Il y avait neuf années qu’il s’était fait comédien, et six qu’il promena
s elle ne fera plus que grandir. Vers la fin de juillet de cette même année 1653, se passaient en Guyenne des événements qui
Il y demeura en effet pendant quelques mois ; puis, vers la fin de l’ année , il se rendit à Paris : il y vint épouser (le 24
lière réussit à gagner la faveur du prince, qui lui donna pendant les  années qui allaient suivre plus d’une marque de sa prote
es délibérations consulaires de Vienne, au mois de septembre de cette année 1654, la mention de certaines difficultés qui s’é
ue distance des événements. Nous tenons donc avec M. Brouchoud pour l’ année 1654. Si cette page de Chorier était contemporain
enus par S.A.R. Mgr le prince de Conti, en la ville de Montpellier, l’ année 1654 ». L’ouvrage, imprimé in-folio à Lyon par Ja
teur. Dans la dédicace de la deuxième partie de l’ouvrage qui parut l’ année suivante, Béjart put se vanter d’avoir obtenu les
égard à son travail qu’ils le jugeront à propos. » L’assemblée de l’ année suivante se montra, comme nous le verrons, assez
rent interdits à tous ses domestiques. » Lorsqu’il reviendra à Lyon l’ année suivante, ses sentiments à l’égard de ses comédie
va nous donner bientôt. Les états de Languedoc s’ouvrirent, en cette année 1656, à Béziers, le 17 novembre. Le comte de Bieu
cation et la direction des états. Entre ce 17 novembre et la fin de l’ année , Molière fit représenter sa deuxième comédie : Le
 Molière parut d’abord à Béziers dans les six dernières semaines de l’ année 1656 ; il n’y a point grand intérêt à préciser da
urent moins gracieux que MM. du bureau des comptes ne l’avaient été l’ année précédente. C’est le 16 avril que lui fut votée u
pas Montpellier qu’il veut dire, et ne s’agit-il pas de l’hiver de l’ année précédente, qu’il passa, en effet, avec Molière ?
me à verser aux pauvres était un peu plus élevée. » Vers la fin de l’ année , les comédiens redescendirent dans le Midi. En no
point qu’au sortir d’ici, cette troupe n’y aille passer le reste de l’ année . » M. Bouquet a rétabli45 avec toute vraisemblan
a date approximative de l’installation de la troupe à Rouen. En cette année 1658, deux représentations furent données au prof
je m’appris à rimer. On ne sait à quel moment de ces huit dernières années fixer la représentation de L’Andromède de P. Corn
lque autre cause, ou faut-il faire remonter la représentation avant l’ année 1653, où elle entra dans la troupe ? Mais, d’autr
Orléans (à la mort de son oncle Gaston, en 1660), Monsieur avait deux années de moins que le roi, c’est-à-dire dix-huit ans. O
temps d’épreuves plutôt que de plaisirs. Il ne faut pas regarder ces années à travers le contentement de Dassoucy, bien repu 
Battre l’estrade, courir la campagne, comme fit Molière pendant douze années , c’était fourrager parmi les originaux ; Molière
n s’accoutuma. » Molière acteur accomplit par conséquent, pendant ces années d apprentissage, un violent travail sur lui-même 
ser. On peut deviner maintenant ce que Molière avait fait pendant ces années préparatoires, et saisir la triple carrière que s
upe arrivait à Paris dans une situation assez prospère. Les dernières années de leurs courses en province avaient été fructueu
ntes affaires, c’est que Joseph Béjart, lorsqu’il mourut à Paris, une année seulement après le retour, laissa une somme consi
avec ces mots au-dessous : Qualis erit, tanto docente magistro ? L’ année théâtrale finissait à Pâques ; c’était à cette ép
les engagements, et que la troupe se reconstituait. À Pâques de cette  année 1659, la troupe subit d’importantes modifications
Béjart, Debrie, Hervé et du Croisy. Au mois de juillet de cette même année , les comédiens italiens, qui partageaient avec la
enteur, aboutirent à ce mariage, qui fut célébré au mois de juin de l’ année suivante. Ces événements tinrent longtemps la hau
c une prodigieuse rapidité. Jodelet mourut le vendredi saint de cette année 1660. Loret en parle ainsi dans sa gazette : Not
aussi bien que le ciel. Duparc (Gros-René) et Mlle Duparc, après une année passée au théâtre du Marais, rentrèrent, à Pâques
on, qui mourut à quelques mois de là, au mois d’octobre de cette même année . Parmi les nombreux legs plus ou moins plaisants
ière avait bien fait de marquer par deux triomphes éclatants les deux années qu’il venait de passer à Paris. Il est douteux qu
nd fils de Jean Poquelin, nommé aussi Jean Poquelin, fut, pendant les années que Molière passa en province, associé à son père
du théâtre : l’une comme acteur, l’autre comme auteur. À partir de l’ année 1663, il eut deux parts à ce dernier titre, par c
ate est malheureusement incertaine, mais qu’on pourrait attribuer aux années qui précèdent, a précisément trait aux embarras c
ite encore davantage ici, c’est que, dans cette douce révolution de l’ année , après le plus terrible hiver que la France ait d
le d’un amour qui devait durer toute sa vie. Au commencement de cette année 1662, il se détermina à en faire sa femme. Il ava
ment agitée, laborieuse et pareille à une lutte acharnée ; plus d’une année sans doute compta double pour lui. Il ne pouvait
presque phénoménale qui séparait l’une de l’autre sous le rapport des années devait être malaisément admise par quiconque ne p
 Louis l’Éguisé, peuvent fort bien avoir donné à Marie Hervé quelques années de plus qu’elle n’en avait réellement. Dans un re
egistre de La Grange offre les deux mentions que voici. À la fin de l’ année théâtrale 1660-1661, La Grange inscrit ces mots :
nt ses écrits et ce qu’on sait de sa vie, comme le peignent, quelques années après sa mort, les amis qui le pleuraient, ayant
La Thorillière étaient entrés dans la troupe au mois de juin de cette année 1662 ; et ce fut leur adjonction qui éleva à quin
tour de la troupe italienne, qui eut lieu au mois de janvier de cette année 166293; les Italiens obtinrent d’alterner de nouv
iste à une stratégie vraiment curieuse, qui dure pendant près de cinq années avec des succès passagers et des revers, mais san
revenu de Villers-Cotterets le 24. À la fin de novembre de cette même année 1664, Molière et ses compagnons furent appelés au
ris, pour S. A. S. le Prince, les 29 novembre 1664 et 8 novembre de l’ année suivante 1665… » La Grange a-t-il pu se tromper
ésentation du Tartuffe qui eut lieu au Raincy, le 8 novembre de cette année . Comment donc le duc d’Enghien écrit-il : « Si le
te de l’opportunité de la satire, il faut se placer à une trentaine d’ années de l’époque où elle parut ; on se trouve alors da
RTE DU THÉÂTRE ET AU PARTERRE LE FAVORI À VERSAILLES Pendant cette année théâtrale si bien remplie qui vient de s’écouler
autre moitié de la troupe, qui avait bien voulu consentir, pour cette  année , ne fut pas d’avis de continuer à l’avenir. Ainsi
omber sous leurs coups. Ce même Germain ou Saint-Germain avait reçu l’ année précédente quelque forte estocade, car La Grange
s tard et dont on a des témoignages assez nombreux. Pendant plusieurs années , ils vécurent séparément, quoiqu’ils habitassent
oûts les plus divers. Molière, que la ville avait possédé toute cette année , allait être ressaisi par Versailles. Lorsque le
omédien, car Robinet, à la fin de sa lettre du 31 décembre de la même année , écrit : Veux-tu, lecteur, être ébaudi ? Sois au
et veut s’obliger par-devant notaire de me faire vivre encore trente années , si je puis lui obtenir une grâce de Votre Majest
s du, Et s’il a réussi, c’est qu’on l’a défendu. C’est pendant cette année que fut composée aussi la singulière rapsodie que
é, en effet, pour quelque chose dans cette réserve. À Pâques de cette année , quelques changements qui méritent d’être rapport
ller à pied. D’ailleurs, après avoir été pendant un si grand nombre d’ années dans le carrosse, que dirait-on de lui s’il monta
a fable de Psyché, dont La Fontaine avait fait un roman mis au jour l’ année précédente, fut le sujet qu’il choisit ; mais, co
s doute la fiancée idéale que l’on rêve de la seizième à la vingtième année , mais celle que l’on voudrait rencontrer lorsque
ent à peu près la même fortune que Le Misanthrope. À Pâques de cette année , il n’y eut d’autre changement dans la troupe que
vait eue pour la plus jeune. Molière loua pour la Saint-Rémy de cette année 1672 la plus grande partie d’une maison sise rue
ée ? Une rupture entre Molière et Lulli avait été consommée pendant l’ année 1672. Lulli, à qui des lettres patentes avaient p
la vérité et de la justice. Cette manifestation se continua dans les années qui suivirent. Nous n’en recueillerons pas les té
redoublant le scandale. Il est une étrange aventure qui se passa deux années après la mort de Molière, et qui mérite d’être ra
la comtesse. Le dernier jour de mai 1677, c’est-à-dire moins de deux années après cet esclandre, Armande Béjart épousa « à la
ils pourraient avilir aussi le mari. Elle mourut le 30 novembre de l’ année 1700, âgée de cinquante-cinq ans, d’après l’acte
’Argenteuil. Claude de Rachel, sieur de Montalant, survécut de quinze années à sa femme et mourut le 15 juin 1738, âgé de quat
t avantageux, M. de Montalant s’était enrichi ; et son revenu, dans l’ année qui précéda sa mort, s’élevait à trente mille liv
s après son retour que ce déplacement eut lieu : au commencement de l’ année 1661, il passa de la salle du Petit-Bourbon à cel
ogrès considérables. Les frais ordinaires de chaque soirée, pendant l’ année théâtrale 1660-1661, n’étaient que de 42 livres 1
ée théâtrale 1660-1661, n’étaient que de 42 livres 19 sous. Pendant l’ année 1662-1663, ces frais montent par jour à 73 livres
nsigné sur son registre le chiffre des sommes qu’il a touchées chaque année . Total de ce que j’ai reçu depuis que je suis com
jusqu’à la mort de M. de Molière, 17 février 1673, et reste de ladite année  : Jusques au 12 mars 1660 : 2995 livres 10 sous.
re pièce, Les Frères ennemis, en 1664. La troupe étant composée cette année de quatorze parts, cela faisait 2/16 ou 1/8 de la
âtre, et prit part à toutes les pérégrinations de la troupe entre les années 1646 et 1658. On l’a vu figurer plus d’une fois d
rôles qui appartenaient à ce comédien. Béjart l’Éguisé, à Pâques de l’ année 1670, prit sa retraite. « Le sieur Béjart, par dé
quérir ce titre. Un trait de bienfaisance qui se réfère aux dernières années de sa vie mérite d’être rapporté. Celui qui en fu
ns vu hébergé par les Béjart, en Provence, pendant six bons mois de l’ année 1655-1656. De retour de Home, à l’âge de soixante
tir de cette époque, ne quitta plus la troupe, sauf une absence d’une année , de Pâques 1659 à Pâques 1660, qu’il passa au Mar
Pâques 1659 à Pâques 1660, qu’il passa au Marais. C’est pendant cette  année que nous le voyons figurer, avec Jodelet et quatr
u-Louvre151. »Sa part fut continuée à Mlle Duparc jusqu’à la fin de l’ année théâtrale. MADEMOISELLE DUPARC Marquise-Thé
querl, sa femme. Giacomo de Gorla était à Lyon depuis une vingtaine d’ années lorsqu’il y maria sa fille152. Il y vendait des d
e sur le théâtre du Palais-Royal. Aussi ce fut lui qui, à Pâques de l’ année 1667, détermina cette actrice à quitter la troupe
el de Bourgogne. Elle y joua supérieurement Andromaque. Elle mourut l’ année suivante, le 11 décembre 1668. Voici ce que le su
é : Dupré. » (Extrait des registres paroissiaux de Ferrières-en-Brie, année 1607.) Il était frère consanguin d’Estienne Ville
rare perfection, et cela jusque dans l’âge le plus avancé. « Quelques années  avant sa retraite du théâtre, dit une note de M.
en a. »Jodelet fit partie de la troupe de Molière un peu moins d’une année  : depuis Pâques 1659 jusqu’au vendredi saint de l
u moins d’une année : depuis Pâques 1659 jusqu’au vendredi saint de l’ année 1660, jour de sa mort, Il n’y joua d’original que
la troupe de Monsieur et il y resta jusqu’en 1663. À Pâques de cette année , La Grange marque sur son registre : « Le sieur d
pe de Monsieur, c’est-à-dire dans la troupe de Molière, à Pâques de l’ année 1659 ; il ne la quitta plus jusqu’à sa mort, au m
’autre moitié de la troupe, qui avait bien voulu consentir pour cette année , ne fut pas d’avis de continuer à l’avenir. Ainsi
celui de Domitien dans la Bérénice de Corneille (28 novembre 1670). L’ année suivante, il joua avec un très grand succès le rô
et au bas Colbert. » « C’est ainsi, dit M. Régnier, qu’en bien peu d’ années la troupe de Molière eut absorbé les deux théâtre
7. Les comédiens espagnols avaient quitté la France au printemps de l’ année 1673. Nous avons dit178 qu’au commencement du règ
Nous avons dit178 qu’au commencement du règne de Louis XIV, dans les années  qui suivirent le retour de Molière à Paris, il y
péril pour son art, il n’eut point tout à fait tort. Encore un peu d’ années , et l’héritier présomptif de la couronne, le duc
çantes : « L’on sait qu’il s’est répandu un bruit, mais bien fondé, l’ année  dernière (1711), que les comédiens, après la mort
’affirmer absolument le séjour de Molière en cet endroit que pour les années 1636 et suivantes. Les plaques et inscriptions mo
ez Le Moliériste, novembre 1883, p. 241. 8. Le Moliériste, neuvième année , p. 207 9. Voy. M. de Modène, ses deux femmes et
souscription. 11. Brouchoud, document VIII. 12. Le Moliériste, 1e année , p. 17. 13. Brunetière, Études critiques, p. 106
eaux, 1877. 18. Les Points obscurs, p. 380. 19. Le Moliériste, 1e année , p. 142. 20. Voyez Le Moliériste, septembre 1884
. de Vizé ; Paris, Gabriel Quinet, 1663. 23. Voyez Le Moliériste, 1e année , p. 45. 24. Les actrices mariées s’appelaient Ma
ocuments II et III. 26. Idem, ibid. IV. 27. Voyez Le Moliériste, 4e année , p. 72. 28. De Petri Boessatii, equitis et comi
lleton de L’Étendard du 21 janvier 1867. 38. Voyez Le Moliériste, 6e année , p. 173. 39. La Grange écrit de Bioule. M. de la
liéresque par M. Monval en 1890. 102. Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année , page 12. 103. Voyez ci-devant, page 111. 104.
rit aux registres des convois de la paroisse de Saint-Sulpice, pour l’ année 1700, f° 41 :« Ledit jour, 2 décembre 1700, a été
inquante-cinq ans, décédée le dernier jour de novembre de la présente année dans sa maison, rue de Touraine. Et ont assisté a
n, François Mignot et Jacques Raisin. » 130. Le Mercure galant, 1e année , t. IV, p. 302. 131. On a récemment posé au coin
13 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
es de la capitale. Le duc et la duchesse de Montausier passèrent deux années à Paris et dans l’hôtel de Rambouillet, après leu
quelques mois avant lui par la mort de son père. Pendant ces qu’être années d’absence et de guerre intestine, la maison de la
fort délaissée. Dirai-je que la mort de Voiture, arrivée dans la même année 1648, cette mort pour laquelle l’Académie françai
me de Rambouillet, âgée de 72 ans, fut accablée de chagrins. Quelques années avant, elle avait perdu, comme nous l’avons dit,
nues à l’incontinence grossière, cet amour qui donne tant d’heureuses années à la vie humaine, appelée seulement à d’heureux m
it : que quand la société de Rambouillet s’est dissoute, et plusieurs années après sa dissolution, ce substantif n’avait point
14 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
Chapitre XXX Années 1673 (suite de la huitième période) — Mort de Mol
amies. — Légitimation des trois bâtards du roi. Le commencement de l’ année  1673 fut marqué par la mort de Molière, arrivée l
de prendre un autre ton, une autre direction, et ils furent plusieurs années à contempler en silence le changement qui s’opéra
le cours de la fortune qui favorisait madame Scarron. Dans cette même année 1673, sa situation éprouva un nouveau changement 
vigné à sa fille, du 7 août 1675, qu’à peu près à la même époque de l’ année  1673, madame de Montespan et madame Scarron étaie
15 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
la bonne heure ! Même celui qui en sait trop ne sait pas tout. Chaque année , chaque jour amène avec soi sa comédie, et ce qu’
ères. » C’est dans ce sens que disait La Bruyère : « Il n’y a point d’ année où les folies des hommes ne puissent fournir un v
volume de caractères. » Ajoutez : et de Comédies. « Un volume chaque année , à ce compte, ô Muses, disait Pindare, comment s’
            Nec turpem senectam Degere nec cithara carentem ! Chaque année un volume de caractères, chaque année une comédie
nec cithara carentem ! Chaque année un volume de caractères, chaque année une comédie ! Eh ! je vous prie, si ce travail eû
c’est en pure perle, ou peu s’en faut, que ces misérables sept mille années que nous comptons depuis qu’il y a des hommes en
lui-ci, et les haines de celui-là ! Ils ont dépensé leurs plus belles années , leur plus beau style et leur meilleur esprit, à
plus Les Femmes savantes de 1666, nous avons les bas-bleus de 1830 et années suivantes. Nous avons les révoltées qui agitaient
nde, et dont elles usent largement, d’ôter de leur vie, les premières années inutiles, les années sans amour, l’innocence des
ent largement, d’ôter de leur vie, les premières années inutiles, les années sans amour, l’innocence des premiers jours, les b
anger, tous les ans, vos plus habiles calculs, à force de compter une année de moins, chaque fois qu’elles ont une année de p
, à force de compter une année de moins, chaque fois qu’elles ont une année de plus, elles font si bien leur compte que vous
Une fois que cette limite fatale est dépassée, on ne compte plus les années , c’est un crime et une insulte de les compter. Il
us beaux vers de Molière. Ô les cruels ! les cruels, qui comptent les années de cette femme, et qui ne lui tiennent compte ni
toutes les forces de votre passion, dans le courant joyeux des belles années  ? Non, certes, je ne dirai pas alors que vous ête
la, je dirai que vous êtes un heureux artiste. Mais laissez venir les années et les chagrins ; que votre tête soit moins touff
me, où s’envole, en poussant un cri plaintif, le printemps des belles années  ; alors, enfin, mon pauvre artiste, il est temps
Que de gloires se sont brisées à la borne ardente de la cinquantième année , et que de génie immolé sur cet autel de feu ! Do
r la dernière fois, à ce public, dont elle était encore (après tant d’ années ) la fête la plus sérieuse et la plus charmante. I
y a bien de l’héroïsme caché dans ces âmes-là. Avec beaucoup moins d’ années que cela, le joyeux Picard a écrit une comédie in
16 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
ois Ier. Cependant il est nécessaire de revenir sur les dix dernières années du règne de Henri IV, ainsi que sur la régence de
lution de son mariage avec Marguerite de Valois, sœur de Henri III. L’ année suivante, 1600, il épousa en secondes noces Marie
arler, que se forma la société de l’hôtel de Rambouillet. La première année du xviie  siècle, l’année 1600, époque du mariage
iété de l’hôtel de Rambouillet. La première année du xviie  siècle, l’ année 1600, époque du mariage de Henri IV avec Marie de
ns l’hôtel du marquis de Pisani, père de la marquise, mort depuis une année . Cette maison, qui s’appelait l’hôtel de Pisani,
Le rapprochement encore nouveau des esprits divisés pendant quarante années par les guerres civiles, semblait solliciter l’ép
s Le Songe de Vaux, donne à madame Fouquet le nom de Sylvie. Quelques années après, il le donna à madame d’Hervart ; « pour la
17 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304
Chapitre XXVII Année 1671 (huitième période). — Séparation du roi et d
ntespan, avec une autre plus éclatante et plus durable qui eut lieu l’ année suivante. Elle eut lieu, suivant elle, en 1676, e
parle de madame de Montausier, qui est morte le 15 novembre de cette année . 2º Elle est antérieure au départ du roi pour l’a
e de Flandre, qui eut lieu à Saint-Germain, au mois de mai de la même année , suivant L’Art de vérifier les dates. 3º Elle est
18 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
& celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’ année 1673. Il étoit fils & petit-fils de Tapissi
toit né avec de si heureuses dispositions pour les études, qu’en cinq années de tems il fit non seulement ses Humanitez, mais
mais l’occasion, dont il s’acquittoit très-bien. Après quatre ou cinq années de succès dans la Province, Moliere quitta le Lan
rament très-délicat l’ait obligé de vivre de lait pendant plus de dix années , il restoit cependant quelquefois quatre & ci
plusieurs volumes ; les deux dernieres éditions de Paris, l’une en l’ année 1697. & l’autre en 1718. par la Compagnie des
rier 1673. qu’il termina ses jours, étant dans la cinquante-troisiéme année de son âge. Sa mort affligea Paris & la Cour,
un peu trop contre cet Auteur & contre la Comédie. A la fin de l’ année 1731. on a commencé à Paris une magnifique éditio
19 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
e. Dans cet état de choses, à dix ans, il perdit sa mère. Son père, l’ année d’ensuite, se remaria. Le pauvre enfant vit donc
ses régents, le petit Poquelin fit des progrès si rapides qu’en cinq années il acheva ses humanités et sa philosophie. Il eut
près d’un an, la plupart des biographes laissent une lacune de trois années , trois années, sans doute, d’isolement et d’étude
la plupart des biographes laissent une lacune de trois années, trois années , sans doute, d’isolement et d’études, durant lesq
rmés, le jeune Poquelin alla faire son droit à Orléans. Ce furent les années de Rocroy, de Fribourg et de Nordlingue ! Tout re
aisait moins à Molière. » On a peu de détails sur les cinq premières années de ses pérégrinations en province; on sait seulem
ïde, la même dont il donna plus tard le plan à Racine. Après ces cinq années de courses, en 1650, il reparaît à Paris, et s’y
par sa probité. Mille anecdotes bizarres se répandaient de leurs cinq années de vie aventureuse. Scarron ne puisa-t-il point l
1653 ; mais on sait bien positivement que Molière demeura toute cette année là à Lyon, qu’il y eut le plus grand succès, qu’i
âces et d’attraits dans ses yeux, dans sa voix, touchait à sa dixième année  ; c’est pour elle, dont il faisait l’instruction,
leur vie. Ces pérégrinations, ces succès en province durèrent treize années (tout le temps de la Fronde), après quoi l’on com
lui ayant été assurée, il rentra à Paris au mois d’octobre de la même année , et sa troupe, présentée au roi par Monsieur, fut
les instants, c’était la petite Armande : elle était dans sa seizième année . Il la surveillait avec un soin extrême, l’instru
arrivons enfin au temps de son mariage... On peut le dire, les trois années (1658-1661) qui viennent de s’écouler depuis son
it été pour elle si généreux, si tendre  ! Qui lui avait donné treize années de sa vie, et qui, pourtant, avait laissé à son c
Molière commença le Misanthrope, ce fut sa consolation pendant trois années ; c’est là qu’il soulageait son âme, qu’il déposai
tout seul en une nuit... » Peu de temps auparavant, dans cette même année 1664, le fils de Lamothe Le Vayer, un de ses amis
résents : machines de théâtre, meubles, riches costumes ; et, la même année , conférait à la troupe le titre de Troupe du Roi.
hez lui; lui qui avait tant fait pour cela, qui s’était, durant seize années , préparé avec tant de soins une compagne suivant
, à cette création pure et sereine du rôle d’Henriette, traverser six années encore de souffrance. Accablé de tristesse, de so
Il le consola et l’embrassa, dit un autre biographe. XVIII. L’ année 1665 s’était ainsi écoulée sans que le Misanthrop
d’Arnolphe, il disait au public : En sage philosophe on m’a vu vingt années Contempler des maris les tristes destinées, Et m’
c foule, quoique joué seul et dans les deux mois les plus chauds de l’ année . La France ne croyait assister qu’à une admirable
heures pour s’occuper de Baron. Celui-ci, qui en était à sa quinzième année , grandissait à vue d’œil ; doué de toutes les grâ
fantaisies royales. Aussi, Sa Majesté, au commencement de la nouvelle année 1667, ayant demandé, pour une deuxième représenta
ent ramenés par Molière à la vraie religion. Saint Évremont, quelques années plus tard, écrivait d’Angleterre, où il était en
on avec Mignard se resserra ; il allait lui faire, dans ses dernières années , de si fréquentes visites, que le bruit courut qu
il allait se reposer dans celle de son ami. Il écrivit, en cette même année 1669, pour être utile à Mignard auprès de Colbert
le grand comique, pressentant sa fin, se soit hâté dans les dernières années de sa vie. Les pièces en cinq actes (mais en pros
avait observées autrefois, et il donna au mois de décembre de la même année la Comtesse d’Escarbagnas, où il ne joua point et
20
647, à Albi en août et septembre, à Carcassonne en octobre de la même année , résulte d’un ensemble de textes précis et de tra
e, ami des Béjart et de Molière, Jean Magnon, fut imprimée cette même année  1647 et dédiée au duc d’Épernon ; Qu’en avril 164
testablement accompagnés de Molière, comme ils le seront à Toulouse l’ année suivante (E. Raymond), à Narbonne (dº) et Agen (A
7-1658 aux États de Languedoc dont elle n’avait guère eu à se louer l’ année précédente — mais séjourné à Avignon et à Lyon av
ieu, par le commerce que vous faites, vous a donné du bien, payez une année de la taille à la décharge des habitants, et alle
e que Molière et sa troupe ambulante, durant leurs treize ou quatorze années de pérégrinations en province, n’aient joué souve
bre prodigieux d’œuvres dramatiques qui s’y imprimèrent aux premières années du xviie  siècle. Les succès de Corneille n’avaie
et dépenses de l’administration consulaire de la ville d’Alby, pour l’ année 1657 : « A Jean Bayrol et à Bernard Barrau charr
tre relai, et ainsi de suite jusqu’à Pézenas où se réunissaient cette année -là les États du Languedoc. On remarquera, en outr
en passant. Il nous aide à comprendre, par exemple, comment quelques années auparavant le scribe du bureau de Nantes avait pu
signée dans l’« état de la taxe des boues de la Ville de Paris pour l’ année 1637 ».16 « Maison où pend pour enseigne le pav
on qui fera l’objet d’une notice ultérieure, mais il habita plusieurs années encore la rue Saint-Honoré, comme le prouvent le
même année18. Il achevait probablement son bail, mais, en cette même année 1637, il occupait en même temps la maison des Pil
u de la Charmoye (Nº 1395.) Ajoutons que dans le grand Terrier royal ( années 1700 et suivantes) la maison est ainsi décrite :
, et il honorait la corporation dans la personne de Molière. Quelques années plus tard, un autre fripier, moins lettré, fit ba
ent de la mâchoire de Molière donné par M. le Dr Jules Cloquet. » Aux années contemporaines de ce don, surgirent des discussio
r l’obligation qu’il souscrivit à Jeanne Levé. On peut dire que cette année  1645 fut peut-être la plus dure que Molière eut à
précaire se trouvait l’Illustre Théâtre, au mois d’août de cette même année . Jusqu’à quelle époque Molière demeura-t-il rue d
est difficile de préciser. On la place généralement vers la fin de l’ année de 1645, le dernier document connu jusqu’ici révé
core la présence des comédiens au port Saint-Paul le 13 août de cette année . Je terminerai par un rapprochement bizarre. Le 9
té au Petit-Bourbon le 10 août 1653. De cette première date jusqu’à l’ année  1680, où elle fut transférée à l’hôtel de Bourgog
connue au théâtre sous le nom de Marinette : il se remaria, chargé d’ années , à une grisette appelée Marie Duval, qu’il fut ob
langue française revendiqua bientôt ses droits, et, dès les premières années qui suivirent la mort du cardinal Mazarin, les re
e chez un peintre italien nommé Vario, tant que dura l’hiver de cette année  1671, hiver qui fut plus riant qu’un printemps po
r au B et à l’V l’usage de l’un à l’autre), pendant les deux ou trois années qu’il y avait travaillé. Mon Florentin était venu
camarades au théâtre du Petit-Bourbon, n’était mort que depuis peu d’ années . Du reste, le récit de Palaprat explique d’une ma
terre, où il avait été attiré par le roi Charles II dès les premières années de son règne. On lui doit une partie des peinture
mbrables. Parmi eux, le comte Wolf de Baudissin, mort il y a quelques années , et Henri de Kleist (1776-1811), poète romantique
nouvelle, « Molière », qui a trouvé bon accueil. Il y a une dizaine d’ années qu’on a monté sur les scènes allemandes une coméd
for et à mesure que la lumière se répand dans le monde ; pendant les années de la réaction politique, cette comédie était int
es personnes qui se sont donné le plus de peine pendant les dernières années pour le Moliérisme, M. de Dingelstedt — une des i
de Sa Majesté, pour ses gages tant de luy que de sa femme pendant une année finie le dernier juin 1664. » Comptes de 1664. 4
au premier, l’autre au second, etc. moyennant 265 livres de loyer par année . » Le même jour, Claude Gauldrée Boilleau loua le
21
ier la troupe ducale de Meiningen de nous avoir rendu il y a quelques années Le Malade imaginaire, et hier Les Femmes savantes
st séparés vers trois heures, en se promettant d’être plus nombreux l’ année prochaine. Le soir, la Comédie-Française a donné
de Molière. Perrot d’Ablancourt était né en 1606, précisément la même année que Pierre Corneille. Paris était rempli de jeune
e renvoie le lecteur à l’inappréciable inventaire exhumé, voilà seize années , par les soins patients du regrettable Eudore Sou
lle, tome II, nº 13, 1er avril 1880, p. 3-13. Nous voici arrivés à l’ année 1669, mais en laissant derrière nous une comédie
revue mensuelle, tome II, nº 14, 1er mai 1880, p. 35-43. En 1794 et années suivantes fut publiée en Italie une « Bibliothèqu
st admise à tous les degrés de l’enseignement, et où, depuis quelques années , les hommes les plus savants et les plus distingu
e la comédie moderne. C’est dans ce genre qu’il a paru, ces dernières années , quelques productions originales vraiment remarqu
e, qu’il suffisait de traduire en prose, a été joué pendant plusieurs années d’une manière fort remarquable par un comique de
sienne de la seconde période du règne de Louis XIV. » Il y a quelques années , dans une conférence sur la place faite à Molière
e santé de fer, qui lui permit d’atteindre à sa soixante-dix-neuvième année , sans avoir redouté jamais ni la peine, ni la fat
, ont, tous sans exception, été exhumés de leurs tombeaux pendant les années où vivait, collectionnait, et régnait le Baron De
plus anciens registres de la Comédie. Il est difficile de préciser l’ année où ont été donnés les spectacles annoncés. La men
trouve être un 3 février, et le vendredi un 13 février, que dans les années 1665, 1671 ou 1682. C’est donc une reprise qui es
remière fois en 1658. Le 17 décembre s’étant trouvé un mardi dans les années 1658, 1669, 1675, 1680, etc., c’est à une de ces
ardi dans les années 1658, 1669, 1675, 1680, etc., c’est à une de ces années , et probablement à la première, que l’on peut fai
e indiqué à sa date dans le registre ; mais, surtout pour la première année , les mentions sont incomplètes. La Grange ne donn
t voir aujourd’hui, ajoute-t-il, de la salle où s’exerça, pendant une année , la troupe de l’Illustre Théâtre, se borne au pie
regret. Celui vers lequel il grimpait, avec l’agilité de la vingtième année , marquerait l’espoir et montrerait la route à ceu
st parfaitement conforme à tout ce qui se passa pendant les premières années qui suivirent le retour de Molière à Paris, et qu
fois en 1667, et fut représentée trente-trois fois. On l’a publiée l’ année suivante sans nom d’auteur. Sir Martin est plutôt
ces imitations, qui font, chez nous, les délices des revues de fin d’ année  ? Quatre ans plus tôt déjà, et avant d’attaquer l
es, La Conquête de la Toison d’or, œuvre du grand Corneille. À quelle année se rapportent ces deux affiches ? M. Ch. Nuitter
trouve être un 3 février, et le vendredi un 13 février, que dans les années 1665, 1671 ou 1682. C’est donc une reprise qui es
’or ont été nombreuses. Il est évident qu’il ne peut s’agir ici de l’ année  1661, mais est-il aussi certain que les affiches
vendredi ; pourquoi nos deux affiches ne seraient-elles pas de cette année  ? Plusieurs renseignements fournis par ces affich
ein carnaval : ce qui était tout à fait vrai en 1660, puisqu’en cette année -là, comme en 1880, les Cendres tombèrent le 11 fé
t que plausible : mais si elle était vraie, elle exclurait toutes les années postérieures à 1660, puisque Scarron mourut préci
à 1660, puisque Scarron mourut précisément au mois d’octobre de cette année -là. L’affiche rouge annonce pour le vendredi 13 f
r 1660 le spectacle annoncé dans l’affiche rouge du Marais. Quant aux années 1665, 1671 et 1682, proposées par M. Ch. Nuitter,
Neubourg, mais à Paris —, devait avoir lieu dans le premier mois de l’ année  1660. Est-il alors étonnant que les Comédiens du
son irritable orgueil s’était mis au-dessus de la jalousie. Quelques années auparavant, un de ses amis, un de ses camarades d
la suite. Tout à fait remis de l’échec de son Amasie, il ébauchait, l’ année suivante, une seconde tragédie ; mais cette fois,
i les obscurités de la jeunesse dramatique de Molière. Voilà bien des années que je me préoccupe de retrouver la part que Moli
ate, mais que M. Victor Fournel reporte, avec beaucoup de raison, à l’ année 1651. Or, Beauchamps (édit. in-4 de ses Recherche
Conti aux États du Languedoc, était rentrée à Lyon, vers la fin de l’ année  1653, avec le prince qu’elle accompagnait : « Le
as étranger aux ballets qui furent composés et imprimés en cette même année , et qui ne sont pas de Benserade, entre autres le
alais-Cardinal, le 2 mai et le 12 juin 1651. C’est seulement en cette année -là que Benserade commença d’être chargé de la com
r Salomon, ou le petit-maître circonspect), qui ne fut imprimée que l’ année suivante. Il y imite Arnolphe et Agnès, Horace, A
Les Cocus de Londres), jouée pour la première fois en 1682. Jusqu’à l’ année 1754, on avait l’habitude de représenter cette pi
ver dans la ville qui serait désignée pour la tenue de l’Assemblée. L’ année précédente elle avait siégé à Carcassonne à parti
dans L’Intermédiaire des chercheurs et curieux, Paris, in-8, première année , 1864, page 26. 22. Vid. le Moniteur. Nº 281 de
ès celui qu’avaient les affiches de théâtres il y a une quarantaine d’ années , et que la Société des Concerts a seule conservé
22 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
Chapitre XXXII Année 1675 (suite de la huitième période). — Le roi don
de Maintenon revient de Barèges. — Faveur de madame de Maintenon. L’ année 1675 éclaircit beaucoup l’avenir que pouvait espé
s forts et plus déterminants en 1675 qu’ils ne l’avaient été dans les années précédentes, où les carêmes n’avaient pas été prê
s nues ; mais il faudrait qu’elle se mît en état d’être aimée toute l’ année sans scrupule111 ; en attendant, sa maison est pl
de cette lettre sous la date de 1673, parce qu’elle s’applique à deux années de mésintelligences, de prétentions d’un côté, de
prenait pour un refroidissement opéré par une fortune inespérée.   L’ année  1675 peut se résumer ainsi : Elle commence par la
de Maintenon, et je n’ai pu résister au plaisir de les transcrire. L’ année suivante n’amènera pas encore le dénouement de ce
23 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
nouvel établissement dans une maison de la rue Mazarine, où quelques années auparavant on avait construit un théâtre. Personn
hambord le mardi 14 octobre[*], et à Paris le 29 novembrea de la même année . « [*]La Cour fut moins favorable au Bourgeois
les ballets qui y furent exécutés. Nous en parlerons sous cette même année . Revenons à la pièce qui fait le sujet de cet art
prises est celle du mardi 1er juin 1703. Nous en parlerons sous cette année . 1671. Les Fourberies de Scapin Comédie en
ts des ballets qui avaient été représentés devant lui depuis quelques années , et ordonna à Molière de composer une comédie qui
it honneur à Ménage.) M. de Visé, qui entreprit au commencement de l’ année  1672 son ouvrage périodique du Mercure galant, re
ssotin. Nous allons rapporter ses termes. « [*]Jamais dans une seule année l’on ne vit tant de belles pièces de théâtre, et
l’on enterra l’abbé à Saint-Merry l’an 1673 ? Il lui ôte huit ou neuf années de vie : et ils demeuraient l’un et l’autre dans
ns : la neuvième le 31 du même mois d’octobre. Registre de Guénégaud, année  1688. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie
dans les grands événements. » b. « Au mois de novembre de la même année 1670, que l’on représenta Le Bourgeois gentilhomm
u 24 juillet 1671, mais nous trouvons sur le Registre de Molière de l’ année  1672 la première représentation de cette pièce le
a première représentation de cette pièce le 11 novembre de cette même année  ; elle eut trente-deux représentations, dont la d
nçaise, tome II, p. 185. 1. [Note marginale] Mercure galant, tome I, année  1672. [*]. [Note marginale] Mémoires pour servir
up, qui véritablement est des plus rudes : soit qu’en 1672, qui est l’ année qu’on joua pour la première fois Les Femmes savan
24 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
tes et de faits curieux, qui jette une vive lumière sur les premières années de notre scène nationale. En regard de la nomencl
utant de fois que le besoin s’en faisait sentir. Ce n’est qu’en 1673, année de la mort de Molière, que ses œuvres furent réun
x-septième siècle la demeure d’un tapissier du roi. Là naquit, dans l’ année 16202, Jean-Baptiste Poquelin, dont le génie deva
t jouer à Bordeaux une Thébaïde, qui n’obtint aucun succès ; quelques années après il éprouva à Paris un nouvel échec avec Don
assa de très bonne heure le parti de la comédie ; il la joua quelques années en province dans différentes troupes, et enfin da
et continua de jouer sur le théâtre de Guénégaud encore environ cinq années . Il se rompit une veine dans le corps par les eff
Dans le temps il fait afficher, et il annonce le même spectacle que l’ année précédente ; mais il promet de découvrir son secr
énice de Corneille, et en 1671, par le rôle de l’Amour dans Psyché. L’ année même de la mort de Molière il joua Le Misanthrope
endant, quelque ferme qu’il fût dans sa résolution, au bout de trente années de retraite et au moment où le public, qui le reg
Sa proposition fut acceptée de la plupart de ses camarades. Plusieurs années après, Molière retrouva Duparc, qui prit le nom d
rôles où il était original, entre autres celui de Tartuffe. Plusieurs années après la mort de Molière, tourmenté par la goutte
andre, sur la défense faite à Molière et à sa troupe, le 6 août (même année 1667), de jouer le Tartuffe. Après la mort de Mol
beaucoup, et mourut au mois de juin 1675, après une maladie de trois années . Armande Béjart (Mlle Molière) Armande-Grés
des Femmes, qu’elle rendait avec une telle supériorité, que quelques années avant sa retraite du théâtre, ses camarades l’aya
t, elle et son mari quittèrent le théâtre à la clôture de Pâques de l’ année 1704. Mademoiselle Beauval était d’un caractère a
r du Croisy, était une actrice médiocre ; elle resta pendant quelques années dans la troupe du Palais-Royal, et se retira en 1
25 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
cette fille, nommée Emilia, doit bien avoir à présent une vingtaine d’ années . Le valet n’imagine rien de mieux, pour exécuter
i tace. VI. — Page 268. EXTRAIT DES COMPTES DE LA COUR, POUR L’ ANNÉE 1670. État de la dépense faite pour la comédie-
ai 1680. Eularia, muette par amour, représentée le 29 mai de la même année . Les Quatre Scaramouches, représentée le 11 juin
ce par le Mercure galant, de Fatouville, à la date du 22 janvier de l’ année 1682, et finit avec Les Fées, de Dufresny et Bian
toutes les troupes jouant à la cour. 66. Comptes de la cour, pour l’ année  1680. 67. Comptes de la cour, pour l’année 1682.
omptes de la cour, pour l’année 1680. 67. Comptes de la cour, pour l’ année  1682.
26 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
bliophiles n’ont point oublié que M. Beuchot signala, il y a quelques années , dans une note du Journal de la Librairie, un exe
nspiré son génie. Frappé de ces idées, je commençai, il y a plusieurs années , une étude approfondie de cet auteur ; mais je ne
tait né avec de si heureuses dispositions pour les études, qu’en cinq années de temps il fit non-seulement ses humanités, mais
lui aurait manqué chez M. le prince de Conti49. Après quatre ou cinq années de succès dans la province, la troupe résolut de
t le roi le 14 d’octobre 1663, et à Paris le 4 de novembre de la même année , n’est qu’une conversation satirique entre les co
s heureuse que celle où il était à la cour et à Paris depuis quelques années . Cependant il avait cru que son bonheur serait pl
t aussi leurs applaudissements à Paris au mois de novembre de la même année  ; mais bien des gens se récrièrent contre cette d
Dans le temps il fait afficher, et il annonce le même spectacle que l’ année précédente ; mais il promet de découvrir son secr
Mais Molière fut bien vengé de ce public injuste et ignorant quelques années après : il donna son Avare pour la seconde fois l
septembre 1668. On y courut en foule, et il fut joué presque toute l’ année  : tant il est vrai que le public goûte rarement l
mplie de traverses ! Nous sommes à l’affût pendant trente ou quarante années pour jouir d’un moment de plaisir, que nous ne tr
fe de Molière furent représentés à Versailles dès le mois de mai de l’ année 1664, et qu’au mois de septembre de la même année
le mois de mai de l’année 1664, et qu’au mois de septembre de la même année , ces trois actes furent joués pour la seconde foi
n marque qu’elles ont été jouées dès les mois de mars et de juin de l’ année 1666. Molière avait lu son Misanthrope à toute la
l voulait le mettre sur le théâtre100. Au mois de décembre de la même année , il donna au roi le divertissement des deux premi
ir les endroits touchants. Il semblait qu’il les eût travaillés vingt années , tant il était assuré dans ses tons ; ses gestes
lière vous a dit, vous en aurez plus en six mois de théâtre qu’en six années de barreau. » Molière, qui n’avait en vue que de
cette pièce, laquelle fut jouée à Chambord au mois de septembre de l’ année 1669, et à Paris un mois après‌ 113. Le roi s’éta
proposé de donner un divertissement à sa cour au mois de février de l’ année 1670, Molière eut ordre d’y travailler : il fit l
ions comme dans les grands événements. Au mois de novembre de la même année 1670, que l’on représenta le Bourgeois gentilhomm
la Comtesse d’Escarbagnas fut jouée à la cour au mois de février de l’ année suivante ; et à Paris, le 8 de juillet de la même
février de l’année suivante ; et à Paris, le 8 de juillet de la même année . Tout le monde sait combien les bons juges et les
après son raccommodement avec sa femme, il donna, le 10 février de l’ année 1673, le Malade imaginaire, dont on prétend qu’il
casion. Il mourut123 le vendredi dix-septième du mois de février de l’ année 1673124, âgé de cinquante-trois ans, regretté de
teries que des poètes ignorants ou irrités avaient répandues quelques années auparavant dans deux pièces intitulées le Portrai
jusqu’à sa mort, il est étonnant qu’il ait pu, dans le cours de vingt années , composer trente et une comédies, dont la moitié
rassa de très bonne heure le parti de la comédie, et la joua quelques années en province dans différentes troupes, et enfin da
permit de rentrer dans la troupe de Molière‌ 133, qu’il quitta vers l’ année 1664 pour passer dans celle de l’Hôtel de Bourgog
et continua de jouer sur le théâtre de Guénégaud encore environ cinq années  ; il se rompit une veine dans le corps par des ef
de valeur, et on rapporte un trait qui mérite d’être placé ici. En l’ année 1678, ce comédien, étant à la chasse du roi à Fon
énice de Corneille, et en 1671, par le rôle de l’Amour dans Psyché. L’ année même de la mort de Molière il joua le Misanthrope
Sa proposition fut acceptée de la plupart de ses camarades. Plusieurs années après, Molière retrouva du Parc, dit Gros-René, à
rôles où il était original, entre autres celui du Tartuffe. Plusieurs années après la mort de Molière, étant goutteux, il se r
icanes de son tuteur, prit le parti de la comédie, et courut quelques années les provinces ; il s’engagea ensuite dans la trou
andre, sur la défense faite à Molière et à sa troupe, le 6 août (même année 1667), de jouer le Tartuffe. Après la mort de Mol
eaucoup. Elle mourut au mois de juin 1675, après une maladie de trois années . Elle joua d’original le rôle de Bélise dans les
nès de l’Ecole des femmes, qu’elle rendait supérieurement. « Quelques années avant sa retraite du théâtre, ses camarades l’eng
de, l’un et l’autre quittèrent le théâtre à la clôture de Pâques de l’ année 1704. Pendant plus de trente-quatre ans que madem
le Marotte joua dans la troupe du Marais jusqu’en 1669, et cette même année elle passa dans la troupe du Palais-Royal, où ell
Grimarest et Baron ont été en liaison particulière pendant plusieurs années  ; cela suffit pour garantir la véracité, et j’ajo
e va-t-elle se nicher ? Ces acteurs ne furent remplacés que plusieurs années après par le fameux Scaramouche, qui devint le ma
mières études du cœur humain. 35. Il y a ici une lacune de plusieurs années sur lesquelles les Mémoires jettent peu de lumièr
ti ordonna à Molière d’aller le rejoindre à Béziers. Ainsi voilà huit années de la vie de Molière dont tous les détails nous s
ont tous les détails nous sont inconnus. Molière passa à Lyon toute l’ année de 1653. 41. On trouvera une histoire de la trou
le, et Turlupin, et la perte de Bruscambille, qui mourut dans la même année . 55. Le théâtre du Petit-Bourbon avait été const
ntures dont nous parlerons dans la suite, et une absence de plusieurs années , que Baron remplit le rôle de l’Amour. Il était a
le compte qu’il rendit des Femmes savantes. (Voyez le Mercure galant, année 1672.) 96. Boileau disait que Molière, après av
lus la modestie de Molière, c’est qu’il tint ce discours dans la même année où les trois premiers actes du Tartuffe furent jo
urs mouvements naturels. » Voyez le Mercure galant, tome IV, première année , page 302. Il est aussi parlé du talent de Molièr
ît ni Molière ni Bernier, et ce n’est point ainsi qu’après de longues années se passe la première entrevue de deux amis de col
27 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XX » pp. 215-219
Chapitre XX Année 1665 (suite de la septième période). — Mort de la
Enfin, en 1683, il est fait gouverneur du duc de Chartres, et meurt l’ année suivante dans cette place. Il résulte de ce qui p
durée par mi profond chagrin. Mais suivons le cours des temps. Dans l’ année 1665 parurent les Maximes de La Rochefoucauld. Bo
28 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
’immortel semble vivant durant de tels jours. — Cette fois, et dans l’ année que nous traversons, la Semaine de Molière était
eare obtint en Angleterre et que l’Allemagne décerna, il y a quelques années , à Schiller. Je me trompe. L’anniversaire de Moli
de Molière, étaient considérés comme trop crus. Il ne se passe pas d’ année sans qu’une nouvelle édition des œuvres de Molièr
haque fois qu’on le relit on se sent pris d’étonnement. Je lis chaque année quelques-unes de ses pièces, de même que je conte
malheureux dans la tragédie ont occupé Molière jusqu’à sa quarantième année . Jusqu’alors, il doutait encore de lui-même, en p
meuré Regnard, et Marivaux habitait également rue de Richelieu vers l’ année  1763. Rien n’est plus tragique que cette agonie d
is longtemps secouait Molière, avait fort augmenté depuis la dernière année . Ce n’était plus déjà l’homme ni trop gras, ni t
M. E. Burat de Gurgy, a publié, en 1838, dans Le Monde dramatique (4e  année , t. VI, p. 353), un curieux article sur cette Mai
inages. Nous sommes assez oublieux décidément, et il a fallu bien des années pour que Molière ait, dans un angle et comme dans
e perdue ! Aucun (je dis aucun) souscripteur ne se présenta. Quelques années après, en 1835, une nouvelle commission, composée
entenaire de Molière, représentation qui n’a pas eu son pendant cette année . Ce fut sur la proposition de Lekain que les comé
serter des coups de poignard. Pour Molière, elles furent longues, ces années de luttes, d’essais, de tentatives. Quatorze ans 
i dit, près de quinze ans après. Et que de souffrances, en ces quinze années , que de déceptions ; toutes les tribulations sini
e montre quelle sorte d’autorité — toute morale — avait, jusqu’en ces années d’art à la belle étoile, celui qui allait devenir
se que l’idée de cette bouffonnerie date, au contraire, des premières années de la vie littéraire de Molière, et de ces journé
temporaines les plus applaudies et les plus fanées déjà datent de dix années à peine ! Quel étonnement ! On croirait voir, en
t le roi, la première fois qu’il jouait la comédie à Paris. Plusieurs années auparavant, « quelques bourgeois » et lui s’étaie
 ? » Depuis que Beffara adressait cette question au public, bien des années se sont passées et les manuscrits de Molière n’on
’était pas assez d’être établi à Paris, il y était applaudi. Quelques années auparavant, le prince de Conti avait voulu le pre
n pourquoi il est immortel. Il se trouvait déjà, au surplus, quelques années à peine après son arrivée à Paris, dans une pério
heureuse que celle où il était à la cour, et à Paris, depuis quelques années . Cependant il avait cru que son bonheur serait pl
qui voulait que Molière eût épousé sa propre fille ? Durant les deux années qui précédèrent la naissance d’Armande, il est pr
ère de l’Illustre Théâtre, le Molière jeune et vagabond des premières années . Ce fut de lui peut-être que Le Boulanger, furieu
re et à peu près introuvable. La deuxième est de 1672. Entre ces deux années se place le procès en diffamation que le malheure
nds des comédiens qui partagèrent avec lui les fatigues des premières années de luttes et les succès des années de gloire. Les
vec lui les fatigues des premières années de luttes et les succès des années de gloire. Les ouvrages excellents de MM. Bazin,
range mentionne son nom pour la première fois le 9 juin de cette même année . Grésinde, nom emprunté à un roman, fut son nom d
ons privilége de donner ses représentations pendant le cours de vingt années à dater du présent dans nostre bonne ville et fau
e l’écriture de Molière. » M. L. Moland écrivait ceci il y a quelques années et, comme tout arrive, au dire de M. de Talleyran
ne saurait s’apprécier impartialement à Limoges. Almanach limousin, année  1861. — Théâtre, par H. Ducourtieux : —  L’accue
eu endurants, inde iræ. » La Voix de la province, revue littéraire, année  1862, ier  numéro, Chronique : — Molière, on l’
petit Louis, né le 19 janvier 1664, mourut le 10 novembre de la même année . Molière eut encore un fils, Pierre-Baptiste-Arma
ptiste-Armand, né le 15 septembre 1672, mort le 11 octobre de la même année . Son troisième enfant fut une fille, Esprit-Madel
ience et du caractère, M. Eugène Despois, la prépare depuis plusieurs années pour la magnifique Collection des grands écrivain
ué les femmes intelligentes et supérieures : « Jamais, dans une seule année , dit le Mercure, l’on ne vit tant de belles pièce
échant feu d’artifice qu’il s’avisa de faire vis-à-vis sa maison en l’ année  1674, publièrent partout que, s’il n’avait pas ré
ïncidence des dates (Sertorius et L’École des femmes parurent la même année ) ne paraissent pas pouvoir s’expliquer par le pur
29 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
Chapitre XXXI Années 1674 (suite de la huitième période). — Inquiétude
e Montespan envers madame Scarron. — Embarras du roi. — À la fin de l’ année , nouveau don de 100 000 f. à madame Scarron. Ce
a fin de l’année, nouveau don de 100 000 f. à madame Scarron. Cette année commença par une révolution dans le service de la
de Montespan ne considérait pas qu’en donnant au roi un enfant chaque année , elle l’avait habitué aux dames, et avait autant
ependant je demeure ferme dans le dessein de la quitter à la fin de l’ année . » Ce peut être à cette époque que le roi dit à
30 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412
Chapitre XXXV Années 1677 et 1678 (suite de la huitième période). — Do
, attestée par la réserve qu’elle garde désormais avec ses amis. Les années  1677 et 1678 ne présentent que la continuation, à
sentiments à laquelle madame de Maintenon était condamnée depuis deux années ou environ, il n’est pas étonnant qu’elle ait don
de taire certaines choses, c’est les dire. Consentons à passer sur l’ année 1678 comme sur un temps vide d’événements remarqu
31 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
toit né avec de si heureuses dispositions pour les études, qu’en cinq années de temps il fit non seulement ses Humanitez, mais
te le maître chez qui il l’avoit mis en pension pendant les premieres années de ses Etudes, esperant que par l’autorité que ce
Moliere de son dessein. L’Auteur des Entretiens des Ombres imprimez l’ année derniere n’a pas manqué d’adopter ce conte &
ieur & commença à representer en Public le 3. Novembre de la même année & donna pour Nouveautez l’Etourdi, qui n’avoi
e fois le 18 Novembre 1659. Marcel dit precisément qu’il la fit cette année là. Elle eut, poursuit-il, un succès qui passa se
p; ne retourna plus au Cocu imaginaire. Au mois d’Octobre de* la même année la Salle du petit Bourbon fut, démolie pour le gr
ersailles le 14. d’Octobre 1663. à Paris le 4. de Novembre de la même année . Ce n’est qu’une* conversation satyrique entre le
reuse que celle où il étoit à la Cour, & à Paris, depuis quelques années . Cependant il avoit crû que son bonheur seroit pl
nt aussi leurs applaudissemens à Paris au mois de Novembre de la même année  ; mais bien des gens se recrierent contre cette d
s le temps il fait afficher, & il annonce le même spectacle que l’ année precedente ; mais il promet de découvrir son secr
on Duc d’Orleans fit une fortune très-rapide. Ces vers écrits la même année du Mariage de Louis XIV. ne peuvent être applique
s Moliere fut bien vengé de ce Public injuste & ignorant quelques années aprés : il donna son Avare pour la seconde fois l
 Septembre 1668. On y fut en foule, & il fut joüé presque toute l’ année  ; tant il est vrai que le Public goûte rarement l
mplie de traverses ! Nous sommes à l’affût pendant trente ou quarante années pour jouïr d’un moment de plaisir, que nous ne tr
fe de Moliere furent representez à Versailles dès le mois de Mai de l’ année 1664. & qu’au mois de Septembre de la même an
mois de Mai de l’année 1664. & qu’au mois de Septembre de la même année , ces trois Actes furent joüez pour la seconde foi
quoit qu’elles ont été joüées dés les mois de Mars & de Juin de l’ année 1666. Moliere avoit lû son Misanthrope à toute la
, il vouloit le mettre sur le Theâtre. Au mois de Decembre de la même année , il donna au Roi le divertissement des deux premi
t sentir les endroits touchans. Il sembloit qu’il eût travaillé vingt années , tant il étoit assuré dans ses tons ; ses gestes
liere vous a dit, vous en aurez plus en six mois de Theâtre qu’en six années de Barreau. Moliere, qui n’avoit en vûë que de co
cette Piece, laquelle fut joüée à Chambord au mois de Septembre de l’ année 1669. & à Paris un mois après. Le Roi s’étant
proposé de donner un divertissement à sa Cour au mois de Février de l’ année 1670. Moliere eut ordre d’y travailler : Il fit l
ions, comme dans les grands évenemens. Au mois de Novembre de la même année 1670. que l’on representa le Bourgeois Gentilhomm
ur à leur Pere. Cette Comedie parut à la Cour au mois de Fevrier de l’ année suivante & à Paris, le 8. de Juillet. Moliere
son racommodement avec sa femme, il donna le dixiéme de Fevrier de l’ année 1673. le Malade Imaginaire, dont on pretend qu’il
s à cette occasion. Il mourut le Vendredi 17. du mois de Fevrier de l’ année 1673. âgé de cinquante-trois ans, regreté de tous
Reynie Lieutenant General de la Police, donnée le 25. Juin de la même année , ce Theâtre fut supprimé pour toûjours. Les Comed
. Les Comediens de l’Hôtel de Bourgogne, qui depuis un grand nombre d’ années portoient le titre de la seule Troupe Royale, fur
de Crequi, Gouverneur de Paris, Premier Gentil-homme de la Chambre en année  ; & confirmé par une Lettre de Cachet, en dat
32 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
tait né avec de si heureuses dispositions pour les études, qu’en cinq années de temps il fit non seulement ses Humanités, mais
aurait manqué chez Monsieur le Prince de Conti. Après quatre ou cinq années de succès dans la Province, la Troupe résolut de
le Roi le 14e d’Octobre 1663, et à Paris le 4e de Novembre de la même année , n’est qu’une conversation satirique entre les Co
heureuse que celle où il était à la Cour, et à Paris depuis quelques années . Cependant il avait cru que son bonheur serait pl
t aussi leurs applaudissements à Paris au mois de Novembre de la même année  ; mais bien des Gens se récrièrent contre cette d
Dans le temps il fait afficher, et il annonce le même spectacle que l’ année précédente ; mais il promet de découvrir son secr
Mais Molière fut bien vengé de ce Public injuste et ignorant quelques années après : il donna son Avare pour la seconde fois l
9e Septembre 1668. On y fut en foule, et il fut joué presque toute l’ année  ; tant il est vrai que le Public goûte rarement l
mplie de traverses ! Nous sommes à l’affût pendant trente ou quarante années pour jouir d’un moment de plaisir, que nous ne tr
fe de Molière furent représentés à Versailles dès le mois de Mai de l’ année  1664, et qu’au mois de Septembre de la même année
le mois de Mai de l’année 1664, et qu’au mois de Septembre de la même année , ces trois Actes furent joués pour la seconde foi
on marque qu’elle ont été jouées dès les mois de Mars et de Juin de l’ année  1666. Molière avait lu son Misanthrope à toute la
, il voulait le mettre sur le Théâtre. Au mois de Décembre de la même année , il donna au Roi le divertissement des deux premi
sentir les endroits touchants. Il semblait qu’il eût travaillé vingt années , tant il était assuré dans ses tons ; ses gestes
lière vous a dit, vous en aurez plus en six mois de Théâtre qu’en six années de barreau. Molière qui n’avait en vue que de co
cette pièce, laquelle fut jouée à Chambord au mois de Septembre de l’ année  1669, et à Paris un mois après. Le Roi s’étant pr
proposé de donner un divertissement à sa Cour au mois de Février de l’ année  1670, Molière eut ordre d’y travailler : Il fit l
ons, comme dans les grands événements. Au mois de Novembre de la même année  1670, que l’on représenta le Bourgeois Gentilhomm
la Comtesse d’Escarbagnas fut jouée à la Cour au mois de Février de l’ année suivante, et à Paris, le 8 de Juillet de la même
e Février de l’année suivante, et à Paris, le 8 de Juillet de la même année . Tout le monde sait combien les bons Juges, et le
près son raccommodement avec sa femme il donna, le 10 de Février de l’ année  1673, le Malade Imaginaire, dont on prétend qu’il
s à cette occasion. Il mourut le Vendredi 17e du mois de Février de l’ année  1673, âgé de cinquante-trois ans ; regretté de to
teries que des Poètes ignorants ou irrités avaient répandues quelques années auparavant dans deux pièces intitulées : Le Portr
33 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
lière. Les moliéristes s’inquiètent beaucoup plus de savoir en quelle année Molière donna des représentations à Angoulême ou
sujet, je passerais beaucoup plus rapidement sur les origines et les années de jeunesse de Molière, car elles n’ont rien en e
et il reste possible que Molière fût né quelques jours auparavant. L’ année doit être considérée comme certaine, ou à peu prè
vogue des comédiens italiens, qui commencèrent de jouer en cette même année 1644, nuisit-elle à Molière et à ses amis. Le 20
uci nous permet d’établir un séjour de Molière à Carcassonne. La même année sans doute il est à Lyon, puisqu’il y signe, en f
1654, et c’est à Lyon qu’ils passèrent la plus grande partie de cette année . Nous avons l’acte de baptême d’un enfant de Mlle
marraine dans un autre acte de baptême, daté du 3 novembre de la même année . Ces deux dates nous mènent jusqu’à l’époque prob
souvenir ému de la grasse hospitalité qu’il trouva pendant près d’une année sous le toit volant et à la table de « Molière et
re Théâtre — en attendant que la salle des Métayers fût prête. Quinze années entières s’étaient écoulées depuis lors. Des amis
la troupe et du grand homme en débraillé, traversant allègrement les années d’épreuves et de misères, ne pouvait manquer de s
le succession de chefs-d’œuvre qu’il donne jusqu’à trois dans la même année , l’accueil que leur fit le public, sont choses bi
qu’il a vu ici-même, ce dont lui-même sans doute a souffert, dans ses années de courses aventureuses à travers la France. Et c
grinations à travers la province  ! S’il avait pu, dans, sa vingtième année , céder, sans y songer, au simple attrait du plais
a vie n’a pas toujours été douce pour lui, et que, dans ses dernières années , ni les ennuis, ni les humiliations, ni les chagr
perdit, pour ne la plus jamais retrouver, la bonne humeur allègre des années d’autrefois. Aussi dans ses dernières pièces la s
es femmes. Ni l’expérience de la vie, ni les tristesses des dernières années n’y ont rien fait. Quelle place cette philosophie
34 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
omphe de madame de Maintenon est celui de la société polie. Ces deux années amenèrent enfin le dénouement des difficultés qui
était atterré, dit Saint-Simon, par le poids d’un armistice de vingt années , à peine commencées, et qui voulait rendre ses tr
de sens et qui donne le moins dans les pièges… » Vers le milieu de l’ année  1685, le roi épousa madame de Maintenon, un peu p
tout genre à ses ennemis réunis, la terreur « de l’Europe pendant six années de suite, enfin son arbitre et son pacificateur,
unit dans les Pays-Bas, Alost. Il acheta Casal du duc de Mantoue. Les années  1680, 1681, 1682 virent Brest, Toulon, Dunkerque,
nissant leur vie entre la caducité et la décrépitude. Dans cette même année , le grand Corneille donna son dernier ouvrage, la
ui en vécut encore 23, mais en Angleterre ; Ménage, aussi dans sa 67e année , qui en vécut encore 12 à compiler ; Pélisson, âg
35 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [44, p. 77] »
plus pour lui que pour les autres, son régime, surtout ses dernières années , était austère. Il pratiquait avec sévérité l’hyg
et il mourut d’apoplexie, à Paris, le 31 décembre 1777 dans sa 77ème année . (Dictionnaire universel, historique, critique et
36 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [17, p. 47-48] »
ya le maître chez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses études, espérant que par l’autorité que so
te le Maître chez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses Études, espérant que par l’autorité que ce
37 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
première fois, a publié des épigrammes contre Chapelain. Or, en cette année 1665, est morte la marquise de Rambouillet, âgée
madame de Sévigné. Elle fit son entrée dans le monde dans cette même année 1654, où l’abbé d’Aubignac et Molière faisaient l
struite par Ménage, mariée à 18 ans, veuve à 26, retirée pendant deux années qu’elle emploie à l’éducation de ses enfants et à
une idée juste de l’état de la maison de Rambouillet depuis plusieurs années , Lorsque Molière mit ses Précieuses au théâtre de
38 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
par une souscription nationale au prince de la comédie moderne. Cette année , à pareil jour, les sociétaires du Théâtre-França
re-Italien, Va commencer4… Nous ne possédons malheureusement, pour l’ année 1665, qu’une seule lettre de Mme de Sévigné, qui
e s’est maintenue fort au-delà du besoin. De 1677 à 1847, comptez les années  ! c’est plus que n’ont duré les traités les plus
ndifférente aux gloires du xviie , pour n’avoir pas, dans ses longues années de toute-puissance, réintégré triomphalement sur
re. Le brave frère de Pierre Corneille, dont les vers, pendant tant d’ années , avaient protégé et fait oublier la prose de Moli
39 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
Ce dixième volume présente au lecteur une partie des plus brillantes années de l’histoire du théâtre français, puisqu’il renf
fille aussi de tapissiersa, s’appelait N… Boutet ; il passa quatorze années dans la maison paternelleb, et l’on ne songea qu’
r les rôles du bas comique*. « On le perd ici de vue pendant quelques années  ; cet intervalle fut le temps des guerres civiles
le sort de la scène française en décida autrement. « Sur la fin de l’ année  1657, Molière avec sa troupe partit pour Grenoble
i le présenta au roi et à la reine mère. Dès le 24 octobre de la même année , sa troupe représenta la tragédie de Nicomède dev
re des ouvragesa que Molière a composés dans l’espace d’environ vingt  années , au milieu de tant d’occupations différentes qui
init le 6 janvier 1664, et le second reprend au 12 janvier de la même année  1664, et est terminé le 4 janvier 1665. On trouve
ici, pour proposer notre conjecture aux amateurs du théâtre français. Année  1663. Du 13 avril, Le Docteur pédant. Du 15 ……, L
13 avril, Le Docteur pédant. Du 15 ……, La Jalousie du Gros-René. Même année  1663. Du 17 avril, Gorgibus dans le sac a. Du 20
e 1663. Du 17 avril, Gorgibus dans le sac a. Du 20 ……, Le Fagoteux b. Année  1664. Du 20 janvier, Le Grand Benêt de fils c. Du
s parlerons de Guérin le fils et de sa pastorale de Mélicerte, sous l’ année  1699. « Ve entrée. Clio, muse qui préside à l’Hi
te est datée du 3 juin 1666, et la dernière du 24 décembre de la même année  : ces divers morceaux composent un volume in-12,
u’on devait attendre de son empressement à y entrer. Il y étudia cinq années , il y suivit le cours des classes d’Armand de Bou
olière avait commencé de jouer la comédie en province sur la fin de l’ année  1645. Ce fut à Bordeaux qu’il fit son coup d’essa
it pour Lyon. « La troupe du Palais-Royal fut établie sur la fin de l’ année  1659 (1658), après que les principales personnes
rsonnes qui la composaient eurent fait connaître leur mérite quelques années auparavant à Paris sur les fossés de Nesle, et au
t honneur au prince et au comédien. » a. « [*]Après quatre ou cinq années de succès dans la province, la troupe résolut de
se trouvent dans le quatrième volume du Mercure galant de M. de Visé, année  1675, depuis la page 267 jusques et compris la pa
èces, et qui haranguait le public dans l’occasion ; Molière, quelques années avant sa mort, avait cédé cet emploi au comédien
sur les comédiens et comédiennes du Palais-Royal et du Marais, sous l’ année 1673. *. [Note marginale] Son nom de famille ét
Molière. *. [Note marginale] Voyez l’article de cette comédie sous l’ année 1669. *. [Note marginale] Voyez l’article de cet
e 9 septembre 1668. On y fut en foule, et il fut joué presque toute l’ année  ; tant il est vrai que le public goûte rarement l
ntière fut jouée à Raincy chez M. le Prince le 29 novembre de la même année  ; et au même lieu le 9 novembre 1665. » Mémoires
40 (1802) Études sur Molière pp. -355
lus ami des arts, un étranger, naguère, courait le risque d’errer des années entières autour du berceau de Pocquelin, sans épr
ura gré sans doute de passer légèrement sur les trente-huit premières années de ta vie ; ton génie ne s’y manifestant que par
et que nous lui verrons mettre en action dans toutes ses pièces. Cinq années suffisent à Pocquelin pour achever ses études : s
ent le perdre de vue ; il vécut ignoré, disent-ils, pendant plusieurs années  : je le vois cependant, dès l’année 1645, se mêle
é, disent-ils, pendant plusieurs années : je le vois cependant, dès l’ année  1645, se mêler à des jeunes gens qui s’amusaient
ive9. Molière, âgé pour lors de trente-quatre ans, consacre les trois années suivantes à parcourir les différentes provinces ;
ue des soins partagés réussissent rarement, même auprès des Muses. Année 1658. Établissement de Molière à Paris. — L’Ét
Les notes historiques, les remarques, etc., tout va marcher de front, année par année. L’Étourdi ou les Contre-temps.
historiques, les remarques, etc., tout va marcher de front, année par année . L’Étourdi ou les Contre-temps. Cet ouvrag
ucher, la décence me défend d’entrer dans de plus longs détails. Année 1659. Les Précieuses ridicules. Les Précieus
ingrats et parcimonieux, de ne traiter sans façon que leur père ? Année 1660. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire 19. E
Année 1660. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire 19. Encore une année durant laquelle Molière ne donna qu’une seule piè
i nous parvenons à bien connaître Molière, elle y aura contribué. Année 1661. Dom Garcie de Navarre, ou le Prince jalo
Fâcheux. Molière, riche des matériaux qu’il avait amassés les deux années précédentes, et durant lesquelles il n’avait mis
rait sans intermèdes, et avec le costume du temps où elle parut. Année 1662. L’École des femmes. Dans le courant de
ut. Année 1662. L’École des femmes. Dans le courant de cette année , plus riche que féconde, notre auteur fit paraîtr
s comédiens ou des spectateurs ? peut-être des uns et des autres. Année 1663. La Critique de l’école des femmes ; Reme
ent au roi ; L’Impromptu de Versailles. Molière employa toute cette année à repousser les critiques injustes, et à se venge
c courage, avec noblesse ; sans fausse modestie et sans orgueil. Année 1664. Le Mariage forcé ; La Princesse d’Élide.
est observé avec conduite. » Nous avons vu notre auteur ne donner, l’ année dernière, que des ouvrages destinés à sa justific
és par les événements ou des ordres supérieurs que par son génie. Année 1665. Dom Juan, ou le Festin de Pierre ; L’Amo
faut le suivre si nous voulons le voir heureux. Molière donna, cette année , Le Festin de Pierre et L’Amour médecin. S’il par
d caractère. L’Amour médecin. Dans le mois d’août de la même année , Louis XIV, satisfait des efforts que faisait, po
mérite une place distinguée parmi les meilleures petites pièces. Année 1666. Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ;
in malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique. Nous devons cette année quatre nouveautés à Molière, Le Misanthrope, Le M
de cour, ainsi que ses partisans, ne purent déguiser leur dépit. Année 1667. Le Sicilien ; Le Tartuffe, ou l’Imposteu
Année 1667. Le Sicilien ; Le Tartuffe, ou l’Imposteur. Cette année vit naître et le meilleur modèle que nous ayons d
Molière l’occasion d’en retirer les Pastorales qu’il avait données l’ année précédente, et dont il était aussi mécontent que
parut ensuite au Rinci, chez M. le Prince, le 29 novembre de la même année , et le 9 novembre 1665. Constamment applaudie sur
faits pour être mis en action ; vous ne savez pas les apprécier. Année 1668. Amphitryon ; L’Avare ; George Dandin.
pièce, loin d’être morale, devient d’une immoralité révoltante ? Année 1669 La Gloire du Val-De-Grâce ; Monsieur de P
sentir l’auteur, peut transmettre la tradition la plus vicieuse. Année 1670. Les Amants magnifiques ; Le Bourgeois ge
urs amis. Passons aux deux nouveautés jouées dans le courant de cette année . Les Amants magnifiques. Cette pièce parut
t faire, Mais tout ce qu’il pouvait n’avait pas de quoi plaire. Année 1671 Les Fourberies de Scapin ; Psyché. Il
Quand reparaîtront-ils ces hommes si rares, à tant de titres ! Année 1672. Les Femmes savantes ; La Comtesse d’Esca
s des ballets qui avaient été représentés devant lui depuis plusieurs années , et ordonna à Molière de composer une comédie qui
pas la seule sottise Qu’on voit faire à ces messieurs-là80. » Année 1673. Le Malade imaginaire. Le Malade imagina
prouve. Béline avoue qu’elle ne veut pas avoir perdu ses plus belles années auprès d’Argan : quelles sont les plus belles ann
ses plus belles années auprès d’Argan : quelles sont les plus belles années d’une femme ? L’élève. Depuis dix-huit jusqu’à
gan que depuis peu de temps, Béline parlant encore de ses plus belles années , ne doit donc avoir qu’environ trente ans ; aussi
41 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
a-Chapelle. La Relation qu’on va lire, écrite par Félibien4, parut, l’ année suivante, en un volume grand in-folio, imprimé pa
n moins d’un mois par Louis XIV en personne ; et, le 2 mai de la même année , un traité de paix avait été signé à Aix-la-Chape
int-Germain étaient sevrés des plaisirs que l’hiver y ramenait chaque année . Louis XIV, pour dédommager sa cour de la privati
Monsieur de Pourceaugnac fut joué à Paris le 15 novembre de la même année , ne fit pas moins rire la ville que la cour, et e
ne de février 1670, et, suivant les autres, le 7 septembre de la même année . Molière, ne la fit point jouer à Paris, et ne la
conjecturale, l’avait quittée pour l’astrologie, s’avisa de prédire l’ année et le jour où mourrait Gassendi, le maître même d
ement condamnait au moins à une mort peu éloignée, la différa de cinq années , comme pour fournir un argument de plus contre un
nètes. Il prédit à Voltaire qu’il ne passerait pas sa trente-deuxième année  : Voltaire fit mentir sa prédiction de cinquante-
-deuxième année : Voltaire fit mentir sa prédiction de cinquante-deux années seulement ; ce ne fut pas une de ses moins bonnes
42 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [74, p. 108-114] »
sentir les endroits touchants. Il semblait qu’il eût travaillé vingt années , tant il était assuré dans ses tons ; ses gestes
ière vous a dit, vous en aurez plus en six moins de théâtre qu’en six années de barreau. Molière qui n’avait en vue que de dét
43 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
eignements dans la Revue rétrospective, seconde série, t. IV, p. 461, année  1835, où M. Aimé-Martin alla les emprunter en 183
e, Du Croisy et sa femme. Du Parc et sa femme le quittent pendant une année . Les Précieuses ridicules. Détails sur l’hôtel de
abeth Béjart, depuis épouse de Molière, ce ne fut que dans cette même année qu’elle naquit (1645). Ne voulant point intervert
onna à traiter au jeune Racine. On doit également fixer aux premières années de cette période assez peu connue de sa carrière
ur des tréteaux dans un jeu de paume qui existait encore il y a peu d’ années . Molière n’y fut pas heureux ; très suivi d’abord
f et de saillant dans ses moindres ouvrages ». C’est dans cette même année  1656 que Molière en fit jouer un bien plus digne
se refusait à reconnaître la délégation délivrée pour le service de l’ année précédente par le prince de Conti, et ne voulait
in ; la troupe des Comédiens du Roi, établie au Marais depuis longues années , et enfin la troupe Royale, dite de l’hôtel de Bo
e ; le Recueil manuscrit de Conrart nous apprend que, dans cette même année  1658, pendant le séjour que la troupe avait fait
héâtre du Petit-Bourbon. Sa pièce d’ouverture fut L’Étourdi. Depuis l’ année  1642, où notre scène comique resplendit du succès
énagées, commençaient dans les affiches à passer de mode ; mais peu d’ années auparavant, les théâtres cherchaient à exciter la
se Qu’ils recevaient du rare honneur De jouer devant tel seigneur. L’ année  1659 fut heureuse pour la troupe et pour la gloir
le Registre le dit, « un four », le seul qui y soit mentionné dans l’ année . Mais Molière et ses camarades portaient de l’int
se préparait à prendre les devants, ainsi que plus tard, dans la même année , il fut fait pour Le Cocu imaginaire. Molière, en
rapidement enlevés ; d’autres éditions se succédèrent dans cette même année , et une brochure du temps nous confirme que l’aff
ation passe de Ribou à De Luyne. Molière eut recours, dans cette même année , à la bonté du monarque, qui, par un amour-propre
ieux poisson. Madeleine Béjart était alors dans sa quarante-quatrième année . Après un pas de ballet la comédie commença, et L
été la récompense de sa muse pour l’ode qu’elle lui avait inspirée l’ année précédente sur le mariage du Roi. On ne dit pas q
nède, à qui il en avait payé une d’avance, il songea à Racine, qui, l’ année précédente, lui avait apporté son Théagène et Cha
tait considérablement accru, et chaque part devait, à la fin de cette année théâtrale, s’élever à un total de plus de 4 500 f
ues vers, après la traduction en prose qui fut faite de Lucrèce dès l’ année  1649, dont il y a eu deux éditions. Ces vers n’on
Festin de Pierre avait été donnée le 20 mars 1665, dernier jour de l’ année théâtrale. Ce fut pendant la suspension de Pâques
conserver un air de jeunesse jusque dans un âge fort avancé. Quelques années avant sa retraite, ses camarades l’engagèrent à c
onservé, la douce émotion avec laquelle il en parlait encore quelques années après, peuvent faire juger du bonheur qu’y goûtèr
première représentation des Plaideurs, qui furent joués dans la même année que L’Avare, il s’écria : « Cette comédie est exc
enfin pour l’auteur de la chanson improvisée. À la fin de cette même année , Louis, toujours avide de plaisirs, voulut donner
que le 25 février suivant, et reçut du Roi, pour cette absence, deux années de la pension qu’il lui faisait. Huit jours après
t un cocu à Paris, on faisait un aussi grand bruit, tout le long de l’ année on n’entendrait pas Dieu tonner. » Cette comédie
té par vingt-neuf représentations consécutives. Imprimée dans la même année , elle parut précédée d’une dédicace au prince de
exemplaires sans doute. Le libraire Jean Ribou, qui pendant plusieurs années s’était exercé à usurper les droits de Molière ou
668, Le Mariage forcé, Le Sicilien et Amphitryon, et, dans cette même année  1669, L’Avare et George Dandin. Gabriel Guéret no
regardait le poème de La Gloire du Val-de-Grâce, qu’il publia la même année pour rendre hommage au talent de Mignard, comme p
ttre à la scène une histoire plaisante qui eut lieu à la fin de cette année , et dont nous empruntons le récit à ce malin épis
à remarquer, dit La Grange, que le dimanche xve  mars de la présente année  1671, avant que de fermer le théâtre, la troupe a
était un mercredi, et on a fini un mercredi xve  avril de la présente année . La dépense générale s’est montée, en bois de men
mtesse d’Escarbagnas ne fut représentée à Paris que le 8 juillet de l’ année suivante. Les longues excursions de Molière dans
une explication. Lulli, nous l’avons dit déjà, était depuis plusieurs années dans des rapports familiers avec Molière. Notre a
dont il voulait mépriser la fureur. Ayant néanmoins résolu, quelques années après, de peindre le pédantisme, il se rappela se
duire que des comédiens ! » On avait eu plus de succès à la fin de l’ année précédente dans les démarches qu’on avait faites
perdre cet enfant le 11 de ce dernier mois. Le 17 février de la même année , Madeleine Béjart, sa belle-sœur et le premier ob
s qui venaient quêter à Paris pendant le carême, et trouvaient chaque année chez l’auteur du Tartuffe une touchante hospitali
ange nous apprend qu’il reçut pour la sienne, dans les cinq dernières années de la vie de Molière, une moyenne de quatre mille
t un ans, par le sieur Rachel de Montalant, homme d’une quarantaine d’ années , et veuf avec quatre enfants. Mademoiselle Guérin
urin : Rien ne manque à sa gloire, il manquait à la nôtre. Quelques années auparavant ils avaient payé un autre tribut tardi
cette époque, nous croyons pouvoir affirmer qu’ils moururent avant l’ année  1780. Depuis plus de quarante ans, le nom de Poqu
. C’est ce que fait voir le registre de compte tenu par Hubert pour l’ année  1672. Quant aux deux représentations par jour, el
uedoc, tenus par Mgr le prince de Conti en la ville de Montpellier, l’ année  1654, ouvrage qu’il dédia au prince ; et que l’an
e Montpellier, l’année 1654, ouvrage qu’il dédia au prince ; et que l’ année d’après, donnant la seconde partie de ce travail
édié à S. A. S. Mgr le prince de Conti, tenant les États à Pézenas, l’ année  1655, il dit à leur protecteur, dans l’épître déd
tesse Sérénissime daigna faire à l’ouvrage que j’osai Lui présenter l’ année passée m’a donné la hardiesse de Lui en offrir la
xtrait des receptes et des affaires de la Comédie depuis Pasques de l’ année  1659, appartenant au sieur de La Grange, l’un des
uiv. 34. Bien que nous ayons déjà publié ces détails il y a nombre d’ années , la même mésaventure se prolonge pour le pauvre C
nnaires, Charles de Sercy et Claude Barbin, en firent paraître dans l’ année  1660, le nom de l’auteur n’est pas plus donné dan
s Caractères a pu, a dû même, pour être complète, être faite quelques années après la première publication de l’œuvre de La Br
l’oubli. 59. Oraison funèbre de Molière, Mercure galant, t. IV, 1re  année , p. 302. 60. Voir Le Mercure de France, mai 1740
pelain avait déjà fait inscrire Racine, au commencement de cette même année , et en raison d’une autre ode tout aussi faible,
omme ordinaire du Roi, touchant les Moscovites arrivés en France en l’ année  1668, p. 28. — Bibliothèque impériale, départemen
los à Pâques 1668 que de 2 606 livres 13 sous, se monta-t-elle dans l’ année finissant à Pâques 1669 à 5 477 livres 3 sous. Du
l entra à Rome dans l’école de Carissimi, et étudia pendant plusieurs années sous ce maître. 89. Molière. 90. Allusion à la
44 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
Préface Il y a quelques années , je ne sais quel Anglais eut l’idée joviale de fa
ête et même le plus vertueux homme de son temps. Il y a déjà quelques années , j’ai voulu dire là-dessus mon sentiment, que je
excité l’attention de leurs contemporains, ils sont morts à quelques années l’un de l’autre, en pleine activité, pour ainsi d
amis. Voilà l’entrée en scène du prince de nos moralistes. Après une année des sais malheureux dans la capitale, les Béjart
puissances fut la farce des Précieuses. Il l’écrivit en 1659, dans l’ année qui suivit son retour à Paris, après que l’abbé d
ntestable, dit Bazin, qu’elle eût été élevée, surtout depuis quelques années , dans le ménage presque commun où vivaient Molièr
t il savourait amèrement le fruit de ses exemples. Les onze dernières années de sa vie, pleines de succès et de cette sorte de
arriva qu’après la mort. Une relation, postérieure de vingt ou trente années , rapporte que Molière logeait dans sa maison, par
nitence et rentra dans ses premiers chemins. Il eut horreur de tant d’ années dérobées à Dieu pour les sacrifier au monde et à
rononcer contre lui-même, quitte à ne pas pleurer comme eux. Quelques années avant d’écrire la préface apologétique de Tartuff
modestie… Couvrez ce sein que je ne saurais voir... Une trentaine d’ années après la railleuse apologie de Molière, la comédi
établi à Paris, dans une maison de son ordre, depuis une vingtaine d’ années  ; fort honnête religieux et professeur estimé de
lumière qui venait courageusement attaquer son cœur hautain. Quelques années après sa mort, un religieux, qui avait prêché neu
ière, était arrivé à Paris un chanoine plus jeune que lui de quelques années et qui s’était fait aussi un nom dans la province
a cour. Anne d’Autriche le fit nommer pour prêcher le carême. C’est l’ année de l’École des femmes. Déjà Bossuet, prêchant à
es leçons plus personnelles, plus intimes. En 1665, en 1666, en 1669, années de la Princesse d’Élide, du Festin de pierre, d’A
la Princesse d’Élide, du Festin de pierre, d’Amphitryon, de Tartuffe, années aussi de Mlle de Lavallière et de Mmede Montespan
e Tartuffe, années aussi de Mlle de Lavallière et de Mmede Montespan, années de guerre, de victoires, de plaisirs et d’enivrem
poètes. Les prédicateurs ne restèrent pas muets. Un jour, en 1669, l’ année qui suivit la représentation d’Amphitryon, Mascar
haire que rarement et dans des occasions d’apparat ; Mascaron, quatre années après, fut nommé évêque de Tulle. Mais un nouvel
littéraire ? Il se convertit à quarante-deux ans, il régna de longues années encore, et déjà un mal irréparable était fait ; l
ître. IV. Bourdaloue Bourdaloue naquit à Bourges, en 1632, dix années , après la naissance de Molière, dans les premiers
à Amiens, à Rennes, à Rouen, dans d’autres villes. Cela dura quelques années , et ces années comptent dans l’histoire de la lit
nes, à Rouen, dans d’autres villes. Cela dura quelques années, et ces années comptent dans l’histoire de la littérature frança
Mmede Sévigné d’approcher, mais il rendait le même témoignage, dès l’ année précédente : « Il y a ici un certain jésuite, nat
t pas attendre. Il fut désigné pour prêcher l’Avent de 1672 ; c’est l’ année des Femmes savantes, celle qui précéda la mort de
n présence du roi et de la cour, devant cet auditoire où Molière, dix années auparavant, s’était annoncé autre qu’un comédien
cacher dans quelque maison de province, pour consacrer ses dernières années à la méditation de la mort. Prévoyant des difficu
à, oubliant les choses du monde, je repasserai devant Dieu toutes les années de ma vie dans l’amertume de mon âme. Voilà le su
x étaient près de leur fin. Bossuet mourut le 12 avril 1704 ; la même année , le 11 mai, Bourdaloue tomba malade et se sentit
l’opposition qui éloignait Tartuffe de la scène fut vaincue par cinq années d’ingénieuses manœuvres, les murmures continuèren
oit d’être médiocre et de médiocrement aimer. Pendant trois mois de l’ année 1865, toutes les âmes sensibles de France ont ado
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
s. Le Marquis. Oh ! il faut de la raison par-tout. Un mémoire de huit années n’est pas encore mûr. Il faut commencer par payer
la main. Le Tailleur. N’appellez-vous pas le vieux un mémoire de huit années  ? Le Marquis. Non vraiment : cela est du plus mod
ne sais à quel propos, être aimée du Prince Alcidamas, qui l’a vue l’ année derniere au bal. Elle fait cette confidence à Nan
ieurs messes, qui n’opererent le miracle desiré qu’après la vingtieme année du pauvre maléficié. Il répara si bien le temps p
46 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
nous a dégoûtés de la meilleure part de leurs productions. Après dix années de fonds de culottes éclaircis sur les bancs, et
dix années de fonds de culottes éclaircis sur les bancs, et quelques années encore succédant au baccalauréat, qui donc prend
n peu plus près. En ce temps-là, c’est-à-dire pendant une quinzaine d’ années , Molière fut un comédien et un chef de troupe, he
vent si bien s’évader de prison ; et ces comédiens enfin, qui, tant d’ années avant MM. Got et Coquelin, savent s’attirer la co
47 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
la foi de l’abbé d’Aubignac, que Corneille, accoutumé depuis nombre d’ années à occuper uniquement le public de ses ouvrages, e
très bonne heure le parti du théâtre, et, après avoir joué plusieurs années en province, entra au théâtre du Marais, d’où il
a Lafleur, et y joua jusqu’en 1679. Conjecture qu’il mourut, en cette année , du chagrin que lui causa le mariage de sa fille
ns. Sa part fut continuée à mademoiselle du Parc, jusqu’à Pâques de l’ année 1665. Les historiens du théâtre se sont trompés q
. Cette actrice, dont la fille épousa Molière, joua pendant plusieurs années en Languedoc et en Provence, prit parti dans la t
mes, jouée en 1662. Il y a là quelque petite erreur d’une vingtaine d’ années . Mademoiselle de Brie mourut le 19 novembre 1706.
u de talent, et ayant toujours eu part entière, excepté dans les deux années qui suivirent la réunion des troupes du Palais-Ro
de Molière, qui voulait amuser une jeune cour dans cette saison de l’ année où le plaisir ressemble à la folie ; et ce n’est
neraient une doctrine contraire à celle d’Aristote, et que, plusieurs années après Le Mariage forcé, le pédantisme aurait remp
48 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
stinctes sont datées de 1673, et la première du mois de mars de cette année . Il faudrait donc supposer que les Italiens eusse
on prédécesseur. Il y avait, à cette dernière date, un peu plus d’une année que la troupe italienne avait perdu le fameux Dom
Molière, Et la nature fut le sien. Né en 1608, il vécut encore trois années après avoir quitté la scène. En mourant, il ne la
49 (1696) Molière (Les Hommes illustres) « JEAN-BAPTISTE POQUELIN. DE MOLIERE. » pp. 79-80
te le Maître chez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses Études, espérant que par l’autorité que ce
n’a eu tant de talent ni de réputation. Il mourut le 13 février de l’ année 1673 âgé de 52 ou 53 ans. Il a ramassé en lui seu
50 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
Chapitre XVI Années 1660 et 1661 (commencement de la septième période
mortel l’atteindra dans cette période, et elle y succombera quelques années plus tard, victime d’une perfidie du roi et de sa
51 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
fit pas cette fois un long séjour à Paris ; elle partit à la fin de l’ année  1647 ou au commencement de 1648. On entrait dans
a fin de l’année 1647 ou au commencement de 1648. On entrait dans les années de la Fronde. Du 26 août 1648, journée des Barric
Amour malade, de Molière, que Paris allait voir en foule. Pendant ces années qui précédèrent immédiatement le retour de Molièr
re Scaramuccia, tel qu’il a été dessiné par Callot dans les premières années du dix-septième siècle. 29. On se souvient des
52 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
au même chiffre, que l’on trouve inscrit encore dans les comptes de l’ année  1674 et de l’année 1688. En outre, Scaramouche et
e l’on trouve inscrit encore dans les comptes de l’année 1674 et de l’ année  1688. En outre, Scaramouche et sa femme Marinette
ien italien, pour ses gages, tant de lui que de sa femme, pendant une année finie le dernier juin 1664… 200 liv. » Ce n’est
e, par exemple, parmi les siens. Pendant une première période de cinq années , ils jouèrent exclusivement les pièces qu’ils ava
53 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
Chapitre XVII Années 1662 et 1663 (suite, de la septième période). — C
neur. En 1663, les fêtes de Versailles font oublier le carrousel de l’ année précédente. Le roi fait concourir à leur éclat et
54 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
s de gens. » Goethe a écrit quelque chose d’analogue, lui qui, chaque année , et toujours avec un étonnement nouveau, relisait
, bien qu’il soit marié, mais dont elle est séparée pendant plusieurs années , car il vit réfugié en Espagne. Voilà qui ne lais
, et voici dans quelles circonstances il a été fait. Vers la fin de l’ année 1642, la famille Béjart a quitté sa résidence urb
elle avait un enfant de son premier mariage, un fils d’une dizaine d’ années , Jean-Baptiste de Loménie. Si ce fait important n
tifs de la condamnation. Un revirement s’est opéré dans ces dernières années  : George Sand en a donné le signal dans la préfac
i venait de se réfugier à l’étranger, étaient divulgués, et, depuis l’ année précédente, les pénitenciers de Notre-Dame averti
sa déposition à son curé et « lui déclara qu’au mois de novembre de l’ année précédente, le sieur Guichard étant à souper chez
faits que rien ne justifia. Ils avancèrent encore que Guichard, en l’ année 1669, avait volé et emporté les ornements de l’ég
nt la date approximative de la note, qui doit avoir été écrite vers l’ année 1666, après la première représentation du, époque
elle eût fait trafic de ses charmes. Leur existence pendant plusieurs années fut une alternative de longues brouilles et de co
ersonnellement possession de cet immeuble qu’après la Saint-Jean de l’ année 1643. A cette époque, son fils, séparé de lui, se
Eudore Soulié, qui nous représente Pocquelin père, dans les dernières années de son existence, comme un vieillard morose, n’ay
n. Or, Molière a communié sûrement à Pâques 1672, et probablement les années précédentes. Tout ceci parait péremptoire contre
la communion ; Molière renonçait à la comédie à la même époque chaque année . S’ils revenaient l’un et l’autre à leur péché, l
° 1,147, un exemplaire d tragédie de Corneille, imprimée à Rouen en l’ année 1651. Cet exemplaire, un moment possédé par Pont-
personnes. » Les fondations durent être commencées au printemps de l’ année 1660, et telle serait la date de l’autographe. Bi
55 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
des impôts. Il fait trancher la tête à de Thou et à Cinq-Mars. En dix années il parvient au faite du pouvoir, et meurt. Au spe
Benserade, Saint-Évremond, Charleval, Ménage, plus jeunes de quelques années que les précédents. En 1631, parut à l’hôtel de R
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499
ance entiere : « Nous ne voulons vous donner dans le courant de cette année , qu’une ou deux nouveautés, encore serez-vous for
uand viendra-t-il ? Vous l’attendez souvent en vain pendant plusieurs années . Il arrive enfin ; mais une piece tombée des nues
Il seroit, je pense, un moyen de faire fleurir les spectacles toute l’ année , sans sacrifier aucun Auteur : le voici. On pourr
de la part qu’il a à la comédie, & de la recette du mois ou de l’ année , cet arrangement, plus efficace que toutes les or
57 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
ans le domaine de l’érudition que dans celui des sciences, en la même année où paraissait le Roman de Molière. ingénieusement
paisse obscurité, qu’il serait bien tentant de dissiper, sur ces cinq années de 1638 à 1643, prologue mystérieux de la longue
Les preuves abondent que le comte de Modène vécut jusqu’aux dernières années de leur vie dans une étroite liaison d’affection
ant encore garçon, qu’il fit représenter le 4 février 1661, juste une année avant son mariage, et qu’il jouait encore le 4 no
 » C’est pour ainsi dire de l’actualité. Le grand comédien qui, cette année même, a pris la peine d’expliquer doctement comme
u’il lui plairait », du titre qu’il lui avait fait accorder, quelques années auparavant, pour la survivance de sa charge de ta
ique certes pas une grande aisance. Cependant, à la fin de cette même année , nous trouvons les deux sœurs Béjard associées, a
ce qui est un grand pas de vanité fait sur quelques-uns des actes des années précédentes, où souvent il se faisait seulement n
élé de ses habitudes. Pour chacun des six enfants qu’elle eut en onze années de ménage, et dont Molière était l’aîné, elle vou
omédies futures de son jeune locataire, devint propriétaire, quelques années après. On était là dans un des carrefours les plu
qu’il n’y eût plus doute à cet égard, qu’il donna cette survivance, l’ année même, à son fils aîné, sans chercher s’il le fera
entre autres Rotrou ; c’était Madeleine Béjard. A ce même moment de l’ année 1643, elle était revenue à Paris, après une longu
ité, comparé à ce qu’il signait encore sur quelques-uns des actes des années précédentes, où souvent il mettait seulement : « 
de leur âge ; il s’était représenté, comme un abîme, les vingt-trois années qu’il avait de plus qu’Armande ; il avait, l’un a
es pressentiments, il épousait Armande ! Le ménage n’eut guère qu’une année de bonheur, à peu près tranquille ; puis, survinr
rmes, l’occasion d’en répandre était déjà venue pour lui. C’est cette année -là que commencèrent ses chagrins de ménage. Il pa
nne possession des droits de sa noble naissance. Malheureusement, les années sont venues, et pour M. de Modène, friand de jeun
ès elle, il avait donné, dans son édition de Molière, publiée la même année , les deux scènes depuis si longtemps perdues. M.
s sa vengeance. Le nom de M. Dimanche fut bientôt populaire. Quelques années après, La Fontaine l’employait déjà dans son cont
chercheurs de conversions. A Lyon, par exemple, où il est à quelques années de là, avec qui le trouvons-nous en commerce de f
ieuse anecdote relative à Molière, avait échappé à tout le monde69. L’ année d’après, la Troupe vagabonde était, avec son chef
t savoir au roi, qu’il ne tiendrait pas les États du Languedoc, cette année -là, et qu’il renoncerait, par conséquent, à son g
r la piste de tous les amis de madame de Longueville en ses dernières années , ne trouve qu’une seule fois l’abbé auprès d’elle
t avoir pour lui tout le monde à la cour. Le roi l’aimait beaucoup. L’ année qui avait précédé l’École des Femmes, il lui avai
École des Femmes, il lui avait permis de le suivre en Lorraine, et, l’ année qui suivit, c’est-à-dire en 1664, il lui fit l’in
elles et de toutes sortes qu’il allait avoir à traverser. La fin de l’ année même, où le succès de Don Juan et les faveurs roy
si belle revanche contre les dévots, fut, avec les premiers mois de l’ année suivante, 1666, l’époque la plus douloureuse de s
ieux, et cela, au mois de décembre, à l’époque la plus favorable de l’ année . Eh bien, que fait Racine pour répondre à ces bon
orneille et la Veuve à la mode de de Visé, seuls ouvrages joués cette année -là, n’avaient pas fort enrichie, on vit arriver u
squ’alors, bien qu’il eût été dit qu’elle cesserait après la première année , Henri IV étant venu à l’Hôtel de Bourgogne, c’e
e groupait alors autour de Mazarin vieillissant. Ainsi, dans la seule année 1658, il joua, devant Louis XIV, le Docteur amour
ossession cette épave des manuscrits de notre grand comique. En cette année 1731, on préparait une édition des œuvres de Moli
s publie en une brochure charmante, chez le libraire Désoer. Quelques années après, la Comédie Française se dit : « C’est mon
dant ce qu’il devait à l’Italie. Il aurait pu, comme Quinault, qui, l’ année d’après, se saisit encore du même thème, pour sa
it feu derrière son nom. C’est dans L’Impromptu de Versailles, joué l’ année d’après, qu’il prit le plaisir de cette vive et m
ernier siècle, dont l’enfance fut presque contemporaine des dernières années de Molière, l’abbé Dubos, a écrit, dans ses Réfle
olière écrit toujours Misantrope), c’est l’édition originale de 1666, année de la représentation, qu’il faut suivre, et non p
ésident. Molière avait à cœur ce mauvais vouloir, qui dura plus d’une année encore. Il boudait le roi. Il ne jouait plus à la
ir égayer de ses comédies le carnaval de Versailles, en 1668. Déjà, l’ année précédente, il s’était fait prier. Ce n’est qu’av
mpensé, même ses résolutions de retraite presque réalisées, lorsque l’ année précédente il était resté, pendant plusieurs mois
nir, sans trêve et sans fin, pour son Tartuffe, joué une seule fois l’ année d’auparavant, arrêté le lendemain, et que, depuis
certain récit tudesque, dont le succès avait été magnifique quelques années auparavant, s’était chargé de jouer lui-même le M
re fois, il avait besoin d’un collaborateur. Où le trouver ? Quelques années auparavant, il n’eût cherché ni longtemps, ni bie
orce, il donne avec une vigueur de main, digne de ses plus vaillantes années  ; aux scènes, plus nombreuses, qui exigent de la
Ernest Gaullieur a communiqué au journal La Gironde, il y a quelques années , un acte notarié, très intéressant, retrouvé clan
erre n’était pas encore imprimée. Elle ne le fut qu’à la fin de cette année 1682, par suite peut-être des indiscrétions de la
olie somme, je le répète, bien qu’elle n’approcha pas de celle que, l’ année d’auparavant, avait produite la cinquième représe
trop sensible. C’est seulement quand la Bérénice de Racine se fut, l’ année suivante, levée à l’horizon avec un très beau suc
ontenté de reprendre, avec le simple appareil consacré depuis longues années , le Malade imaginaire, pièce de rigueur en cette
s de Molière au Théâtre-Français. 7 février 1859. Il y a quelques année  ? encore, la Comédie Française traitait Molière u
dit Brossette dans un fragment de ses mémoires publié il y a quelques années , il nous a encore récité cet endroit du Misanthro
r Molière ne s’attiédit pas. Jamais on n’a plus unanimement que cette année fêté l’anniversaire de sa naissance dans les théâ
est pas, du reste, la moins inconnue de son histoire en ces premières années . Nous devons de la savoir, à Charles Perrault, qu
le maître chez lequel il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses études, espérant que, par l’autorité que c
s derniers temps, plusieurs volumes, où quelques-unes des plus belles années de l’histoire du Théâtre-Français et ce qu‘il a c
dans son éternité. Chaque siècle datait, pour elle, on le sait, de l’ année de sa fondation. Arrivait-il à l’extrême limite q
que Rome adorait de plus divin trouva son hommage et sa prière. Cette année (mai 1873), l’occasion d’une de ces cérémonies s’
principaux locataires de plusieurs maisons de la rue Saint-Honoré : «  Année 1637, maison où pend pour en-soigne le Pavillon d
’Aucour. Œuvres, édit. Stéréot., t. IV, p. 66. — Bazin. Les dernières années de Molière (Revue des Deux-Mondes, 15 janvier 184
à relever. 111. Première édition, t. I, p. 251, 112. Les dernières années de Molière (Revue des Deux-Mondes), 15 janvier 18
Lagrange, art. de M. Édouard Charton, dans le Cabinet de Lecture, 8e année , n° 237. 126. La Grange, cité par Taschereau, 3e
la Biographie Univers., t. LXXIX, p. 420. 136. Bazin, Les dernières années de Molière (Revue des Deux Mondes, 15 janvier 184
plus tard, en 1664, il est secrétaire des syndics marchands. La même année , Colbert ayant créé la Compagnie des Indes Occide
I, p. 135 dans les Mémoires de la Société de statistique de Grenoble, année 1847, tiré à part. 157. Rathey, alors conservate
58 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
ux théâtre, une date importante et fort connue : c’est celle de 1402, année où furent données par Charles VI les lettres-pate
pas impossible que la faveur octroyée par le roi Charles VI quelques années plus tard, n’ait été une conséquence gracieuse de
onstance, miroir des dames mariées, paraît aussi avoir été joué dès l’ année 1395. N’allons pas toutefois jusqu’à dire, avec l
es-uns, traduits en français vers 4845, ont défrayé pendant plusieurs années la critique littéraire et servi d’aliment à l’avi
, prenons pour type du genre le mystère qui fut joué à Metz, en 1437, année célèbre, vous le savez, par la rentrée de Charles
lon, ce poète populaire, « né de Paris emprès Pontoise, » et dont les années concordent si exactement avec la date de Patelin
59 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
ngélique Gassot du Croisy, nous ferons donc remonter sa naissance à l’ année 1657. A cette date, son père terminait, comme che
de la troupe de l’Hôtel de Bourgogne, dont il s’étoit retiré avant l’ année 1674. Ses pièces de théâtre sont : Le Festin de
ire alternativement jusqu’à la mort de la créatrice, soit pendant une année seulement.Elle a joué Ariane d’original222 dans l
vent mise au théâtre, et, qui se rapporte à l’une des trois dernières années de la vie de Molière. 45. Page 215. 46. Voir, a
t être « l’Amant de sa femme », comédie représentée et imprimée cette année même, et dont il est question plus loin. 109. L’
douze ans à la Cour. 146. Troisième journée. 147. Il fut, quelques années plus tard, nommé grand veneur. 148. Voir la suit
où elle mourut en 1709. 190. Où l’on entretenait, « depuis plusieurs années , une excellente troupe de comédiens français rich
ire alternativement jusqu’à la mort de la créatrice, soit pendant une année seulement. 222. Il y avait seize mois que des Œi
ogne qu’en avril 1679 et que La Thorillière mourut le 27 juillet de l’ année suivante. Cette distribution ne saurait, d’ailleu
60 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
’avait été au Raincy, chez le prince de Condé, en novembre de la même année . La ligue des faux dévots, grossie d’un assez gra
époque, les pieux scrupules de Louis XIV allaient croissant avec ses années , et les dépositaires de son autorité se montraien
s pendant près d’un siècle et demi, et ce n’est que depuis fort peu d’ années que leur existence a été révélée. Il est certain
de Pierre en vers, de Dorimond, pour celui de Molière, donna, la même année , la pièce de Molière même, avec les scènes et les
61 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIX » pp. 207-214
Chapitre XIX Année 1664 (suite de la septième période). — Caractère
arrêt du parlement, et dont le roi lui-même avait refusé pendant deux années de permettre la représentation. Il était grand ci
62 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
de d’Aubignac et Les Précieuses de Molière, deux ouvrages de la même année 1654, prouvent l’existence des Précieuses dans ce
même année 1654, prouvent l’existence des Précieuses dans cette même année , et aussi leur nouveauté. En voici une autre preu
la comédie des Précieuses de de Pure. Cependant, avant d’en venir à l’ année 1659, où Les Précieuses ridicules de Molière fure
pour être en quelque chose à la mode. » Nous n’avons rien à dire les années 1656 et, suivantes, jusqu’à l’année 1659, où Moli
 » Nous n’avons rien à dire les années 1656 et, suivantes, jusqu’à l’ année 1659, où Molière donna à Paris la première représ
t gâté par son mauvais goût ; mais elle n’aurait pas été reçue trente années à l’hôtel de Rambouillet, si le mauvais goût n’av
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
représentée sur le théâtre du Palais Royal le 15 Novembre de la même année . Ce fut à cette représentation que la Troupe de M
eur, je suis votre serviteur. Eraste. Est-il possible que cinq ou six années m’aient ôté de votre mémoire, & que vous ne r
64 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
Corneille, et L’École des femmes, de Molière. Ce fut dans cette même année que Mlle Des Jardins, si connue dans le monde sou
es pièces du théâtre français, depuis son origine jusqu’à la fin de l’ année  1665. Nous nous sommes d’autant plus prêtés à cet
3 et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 novembre de la même année . « [*]Molière, pénétré des bontés du roi, dont
spectacle qui parut à Paris au commencement du mois de juin de cette année mérite que nous en rendions compte ; nous y somme
essein de tirer encore parti de son épinette à la foire suivante de l’ année  1662. Dans le cours de celle de Saint-Germain, il
Saint-Germain, il fait afficher et il annonce le même spectacle que l’ année précédente ; mais il promet de découvrir son secr
r le théâtre du Palais-Royal au commencement du mois de juin de cette année . Loret va nous en apprendre le succès. Muse histo
Paris avec ses petits comédiens et son Olivier (au commencement de l’ année  1666). Cette femme n’ayant aucune ressource, et c
plus loin ; car on trouve dans deux lettres de Robinet, de cette même année , deux passages où il est parlé de la Troupe du Da
nt les trois premiers actes avaient été représentés trois fois dans l’ année  1664*. On peut juger de l’effet que ces premières
de Molière. *. [Note marginale] Voyez l’article du Tartuffe, sous l’ année 1669. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie
65 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
Chapitre XXV Année 1670 (suite de la septième période). — Madame de
Scarron l’épousa en 1651. Elle avait alors seize ans. Elle passa neuf années avec lui, dans une liaison qu’elle ne regardait p
es intrigues de galanterie, même d’amours, dont le roi fut occupé dix années . En 1666, quand madame Scarron eut sa première en
66 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
Chapitre XXVI Suite de l’ année 1670 (continuation de la septième période). — Mad
ne. La naissance des deux enfants fut tenue secrète pendant plusieurs années . Dès 1669, le roi et madame de Montespan avaient
elle où madame Scarron était venue remercier de sa pension. Ces trois années n’avaient point altéré cette figure dont le premi
67 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
nus ou ne soient pas revenus à Paris après 1625, pendant les dix-huit années que régnèrent encore Louis XIII et Richelieu, la
neille, qui faisait représenter Mélite en 1629, Le Menteur en 1642, l’ année même de la mort du cardinal-ministre. Les écolier
68 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
lle du Palais-Royal. Scaramouche étant resté absent l’espace de trois années , de 1667 à 1670, sa rentrée attira un tel concour
que les productions sans nombre que nos théâtres voient éclore chaque année , n’offrent pas, en général, les conditions d’une
69 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
es merveilles de la bonne comédie : Le Menteur, qui le précéda de dix années , revendique cet honneur. Mais, comparativement au
t régulier de la scène française, il s’était écoulé un grand nombre d’ années , pendant lesquelles notre Muse comique s’était vo
70 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47
e, à la fin de laquelle la marquise avait atteint sa trente-cinquième année , et sa fille sa treizième. Il y a lieu de croire
réciosité de mœurs et de langage ; parlons un moment de ses premières années et des premières apparences de son caractère. La
71 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
odes du xviie  siècle. À la période précédente, qui comprend les dix années de 1650 à 1660, va succéder un nouvel ordre de ch
a Bruyère qui a publié ses Caractères en 1687, mais qui a passé vingt années à les écrire, nous dit en peu de mots quel était
72 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
rien à dire à leurs femmes. Je connais des maris qui, dans toute une année , ne leur disent pas seulement une fois : Dieu te
août 1695, succède, à l’Hôtel de Bourgogne, le 1er octobre de la même année , Le Retour de la Foire de Bezons ; le retour de c
III, scène ii. 62. Voyez les Annales de la Cour et de Paris pour les années  1697 et 1698, par Sandras de Courtilz.
73 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [71, p. 105-106] »
le 9 septembre 1668. On y courut en foule, et il fut joué presque une année entière.
74 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
n pour quartier général, en 1653, Armande, alors âgée d’une dizaine d’ années , fut retirée de chez la « dame d’un rang distingu
e comédienne ; aussi Molière s’inquiétait-il, au début d’une nouvelle année théâtrale, de lui assurer une place dans la troup
et la preuve c’est que, dans un recueil par lui publié en cette même année 1663, les Nouvelles nouvelles, il disait de Moliè
à-dire en juin 1666, ou, au plus tard, vers le mois d’août de la même année , après le Médecin malgré lui. On a vu que, dans l
mélancolie que de résignation ; il met dans son regret de ses jeunes années autant de force et de noblesse que le chevalier r
s de Jonzac, s’y étaient employés avec dévoûment. Vers le milieu de l’ année suivante, les deux époux allèrent habiter rue de
e en toutes choses, de la différence des temps et des idées. Dans les années qui suivirent sa mort, Molière n’était pas encore
75 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
s trois, jouant pour son cœur ardent toutes les symphonies des jeunes années . Je n’ai jamais relu Le Roman comique de Scarron,
ul voulut bien lui faire les honneurs de la sépulture. En sa dernière année , Molière eut de grandes inquiétudes comme il avai
de Molière avait faim. Tout est triste à la comédie en cette dernière année  : le 17 février, Madeleine Béjart meurt sans pouv
ers ou légataire, suivant ce qui a été sus-expliqué, il soit pris une année du revenu pour être employé en fonds, et les reve
travail, les pâleurs des nuits agitées, les rides de la cinquantième année . Mlle Molière n’avait pas l’enthousiasme de ces â
ré crieur, témoins. » Son acte de baptême, outre qu’il nous dirait l’ année de sa naissance, nous dirait pourquoi elle s’appe
r prétende cœur pour cœur. je vois mes cheveux gris, je sais que les années Laissent peu de mérite aux âmes les mieux nées ;
ire : cela s’est vu au théâtre. Les frères Parfaict disent que peu d’ années avant la retraite de Mlle de Brie, ses camarades
 : Extrait des receptes et affaires de la Comédie depuis Pasques de l’ année 1659, appartenant au sieur La Grange, l’un des co
eillie de la bouche de Molière. M. Taschereau rapporte l’aventure à l’ année 167019 ; mais voilà une difficulté à l’adoption d
te date. La Grange, dans son journal commencé seulement à Pâques de l’ année 1659, dit que « Sancho Panse, pièce raccommodée p
dité par Alphonse Lemerre en 1869. Il est prouvé que Molière dans les années vagabondes de sa jeunesse aventureuse, avait fait
i, 10e jour de juin 1689. »Le registre de la Comédie française pour l’ année 1689 porte, à cette date, la mention suivante : «
76 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
Chapitre XXVIII Année 1672 (suite de la huitième période). — Molière, v
t être autre que Les Femmes savantes, publiée au mois de mai de cette année  ; le second, c’est que madame de Sévigné écrit el
77 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
urrents aient évidemment peu de foi dans cette nécessité, puis que, d’ année en année, le prix ne se décerne point, nous ne po
ient évidemment peu de foi dans cette nécessité, puis que, d’année en année , le prix ne se décerne point, nous ne pouvons-nou
78 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [81, p. 127] »
ation d’un second Théâtre-Français et seront rééditées jusqu’en 1802, année où il publie aussi des Essais sur Molière. (DET,
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
fut jouée le 8 Mai 1664 à Versailles, & le 9 Novembre de la même année , à Paris, sur le théâtre du Palais Royal. Moliere
ent le temps où il les a composées. J’ai mis toutes ces pieces sous l’ année 1718, parceque le 10 Juillet de cette année on jo
toutes ces pieces sous l’année 1718, parceque le 10 Juillet de cette année on joua à la Comédie Italienne une piece dudit si
80 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [34, p. 62-63 ] »
lherbe (1672) de Racan, qui circulait sous forme de manuscrit dès les années 1650 » (p. 1461.)
81 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [47, p. 80] »
ce, et en 1675 il fut fait maréchal de France. Il commanda cette même année l’armée navale que Louis XIV avait envoyée au sec
82 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [83, p. 127-128] »
vrage. Voici la note : Elle [La satire II] fut faite en 1664. la même année , l’auteur étant chez M. de Broussin, avec M. le d
83 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre V » pp. 48-49
société de Rambouillet et sur ses effets pendant les vingt premières années de son existence ? le voici : L’hôtel de Rambouil
84 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
spectacle du palais des Tuileries. La Fontaine avait fait paraître, l’ année précédente, son roman des Amours de Psyché et de
des Tuileries, au mois de janvier 1671 ; et, le 24 juillet de la même année , elle parut sur le théâtre du Palais-Royal, où el
représentations consécutives. Deux fois reprise dans le courant de l’ année suivante, elle eut treize représentations la prem
au même degré, et dont il semblait, d’ailleurs, que le déclin de ses années eût dû le priver entièrement. « Ce génie mâle, di
85 (1871) Molière
livres de gages, et trente-sept livres dix sous de récompense chaque année , pour un service de trois mois ! Ajoutons tout l’
ant à la suite du roi Louis XIII et de Richelieu, dans cette terrible année où ces deux jeunes gens, M. de Cinq-Mars et M. de
ables, sous la hache de Richelieu. C’est trop encombrer les premières années de notre poète, que d’en faire un des témoins de
rince, il se sentit délivré de toute gêne. Hélas ! en moins de quinze années devait s’accomplir toute sa destinée. Il se hâtai
86 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [90, p. 134] »
et avec une réelle intelligence des textes, soutenue pendant quelques années (1720-1729) par le vieux Baron, élève de Molière.
87 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
ue. Un homme de lettres estimable, M. Petitot, a donné, il y a peu d’ années , une édition des œuvres de Molière, avec des réfl
utant de fois que le besoin s’en faisait sentir. Ce n’est qu’en 1673, année de la mort de Molière, que ses œuvres furent réun
s les éditions partielles, publiées du vivant de Molière et jusqu’à l’ année de sa mort inclusivement ; éditions qui sont parf
oisie, il fut à même de bien connaître l’un et l’autre. Ses premières années ayant été partagées entre les écoles que fréquent
à celle de ses condisciples, était aussi plus formée, avait, en cinq années , fourni toute la carrière des études, depuis les
ages et de caresses, Molière continua encore, pendant trois ou quatre années , ses courses dans le midi de la France38. En 1657
n la permission de jouer en, leur présence. Le 24 octobre de la même année , Molière et sa troupe représentèrent la tragédie
uante-cinq ans au moment de son décès, fait remonter sa naissance à l’ année 1645, époque de la liaison de Molière avec Madele
s 78. Molière avait dix-huit ans de plus que Racine. Pendant quelques années , ils furent amis autant que le permettait cette d
lus encore que le chef. Il l’avait formée lui-même dans les premières années de sa vie théâtrale ; et presque tous ceux qui la
d. de Kehl, 70 vol. in-8º. 3. Andromaqueest de 1667 ; et cette même année vit paraître la IXesatire de Boileau, le premier
qui est mort, il y a peu de temps, retiré du théâtre depuis quelques années . En 1800, Kemble, le fameux acteur anglais, vint
1671. Comme on ne faisait probablement l’état des gratifications de l’ année que dans les premiers mois del’année suivante, Mo
d il est né, c’est de mourir promptement. » 73. Dans ces dernières années , on a réimprimé deux fois la Vie de Molière par G
it. »J.-B. Rousseau, enchérissant sur ces dédains, écrivait, quelques années plus tard, à ce même Brossette :« La prétendue Vi
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366
s heures seulement, ce qui pourroit s’exécuter à peine dans plusieurs années . Les Espagnols, les Italiens se sont moqués très
e, qui entendent par le tour d’un soleil, le tour qu’il fait dans une année entiere. Castelvetro & Picolomini prétendent
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
du Palais Royal avec quelques changements, le 15 Novembre de la même année . Riccoboni dit que plusieurs lazzis de cette comé
tes bien souvent. Dans l’Arbre enchanté, canevas qu’on nous a donné l’ année derniere, Arlequin l’a renouvellé. Il ne manque p
90 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
taché, et qui était du même âge que lui, étant né précisément la même année , ne lui donnait pas de bons exemples. Les mœurs d
pu y réussir, il partit avec lui de Paris pour Rome, vers la fin de l’ année 1646, afin de faire casser le mariage du duc avec
91 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
Mars a été toute la comédie de son temps Le Feuilleton de 1830 et années suivantes parlait souvent de la comédienne unique
demande collective que les collèges de Paris lui adressaient, chaque année , le jour de Saint-Charlemagne, et jamais elle ni
92 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
Chapitre XXXIII Année 1676 (suite de la huitième période). — Mot tendre
ses déterminantes, comme nous le verrons dans les événements de cette année , 1680 et des précédentes, qui été l’inconstance d
93 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXI » pp. 220-221
Chapitre XXI Année 1666 (suite de la septième période). — Comédie du
94 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
ublic était que Corneille avait pour toujours renoncé au théâtre. Six années se passèrent en effet sans qu’il reprît le cothur
aussi arriver à Paris une troupe de comédiens espagnols, la première année du mariage du roi (Louis XIV). La troupe royale l
a description de la salle du spectacle que Richer2 en a donnée sous l’ année  1614. Tome IV du Mercure français, p. 9 et 10. «
tint la salle du Palais-Royal. Nous parlerons de cet événement sous l’ année  1673. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie
95 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
vertissements qui avaient été représentés devant lui depuis plusieurs années , et ordonna à Molière de faire une comédie qui en
aye, dans le courant du mois de décembre 1671 ; et, le 8 juillet de l’ année suivante, Molière fit jouer sa comédie, telle que
affaire qu’aujourd’hui le trajet d’Europe en Amérique : on était des années à s’y décider ; pour s’y préparer, il fallait des
ésentation des Femmes savantes, il ne s’était pas écoulé moins de dix années . Ce qu’il y a de vrai, c’est que, pendant tout ce
t être longtemps dupe d’une si dégoûtante falsification. Dans la même année 1674, Jean Sambix, libraire de Cologne, fit paraî
lite de celle du Marais. Reprise de nouveau le 19 novembre de la même année , elle fut jouée encore, onze fois de suite ; ce q
96 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
n histoire de Charles VII. parlant de l’entrée de ce roi à Paris en l’ année 1437, pag. 109. dit que, « tout au long de la gr
outes parts criant Noel, & les autres pleuroient de joie. » En l’ année 1486, le chapitre de l’église de Lyon ordonna soi
40, in-4. & on marqua dans le titre qu’il étoit joüé à Bourges. L’ année suivante il fut réimprimé in-fol. à Paris, où il
ie vérité, & ainsi que le mystere est joüé à Paris cette présente année mil cinq cent quarante-ung. Cet ouvrage fut comm
, de joüer à la foire saint-Germain, à la charge de payer par chacune année qu’ils joüeroient, deux écus aux administrateurs
Charlemagne autorisa cette disposition par une ordonnance de la même année . Voyez les capitul. tome I. col. 229. 1163. &
97 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
d’album Un soir que l’auteur de ces études, moins âgé de quelques années , se trouvait seul au foyer du Théâtre-Français, u
x, sa seconde grande comédie. Elle fut représentée à Béziers en cette année 1654. Dans le Dépit amoureux, Molière s’est attaq
unions mal assorties et en fondant le repos et l’honneur des vieilles années sur la sympathie et la fidélité des jeunes. Voilà
blier leurs ouvrages, eux qui se tuent quelquefois dès leur vingtième année , parce que la renommée n’a pas encore répété leur
tires de Boileau, il en éprouva un vif chagrin, et pourtant, quelques années plus tard, ayant appris que son cruel censeur, de
ages de Molière avec les idées nouvelles apportées par les cent vingt années qui venaient de s’écouler. Figurez-vous, eu effet
la fin de 1666 ; la mort de sa mère, arrivée au commencement de cette année , avait suspendu jusque-là toutes les fêtes. Moliè
eu de cinq jours comme Pétrone, la loi sage et prévoyante a exigé une année . Ne trouvant pas ce conte ingénieux suffisant, l’
ci l’admiration des biographes de Dancourt. Dégoûté du théâtre vers l’ année 1718, il le quitta pour se retirer dans sa terre
u dix-septième siècle, prendre pour guide notre auteur. Dans le peu d’ années qui séparent Molière de Dancourt, les mœurs avaie
coup de charme et de naturel. Quoiqu’on ait prodigué, depuis quelques années , les scènes de ce genre, celles de Dancourt sont
98 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
, je voudrais vous montrer la différence qui s’est produite, avec les années , avec le mouvement des idées et les variations de
. On pourrait désirer que Molière eût donné à son personnage quelques années de plus. Mais Molière, vous le savez, se tient to
belles qualités, Mme de Maintenon, en souvenir de sa jeunesse, de ses années difficiles, des attaques qu’elle avait repoussées
99 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
leurs soucis, de savoir si vous mangez, ou non. Voilà déja plusieurs années que je me tiens auprès de mon protecteur, vivant
ivant sans cesse dans l’attente de ce qu’il me faisoit espérer. Cette année on me promet un poste ; la seconde, un autre post
 ; l’on continue à me promettre. Mais après avoir ainsi dormi toute l’ année , j’ai vu finir mon rêve, & je me suis apperçu
100 (1900) Molière pp. -283
ue la petite fleur bleue. J.-J. Weiss. Dans les derniers mois de l’ année 1865, on voyait, en certains soirs de la semaine,
’étaient entendus pour y établir des conférences régulières. Dans les années qui avaient suivi le coup d’État, M. Deschanel av
ou du moins du rôle politique et social que depuis une soixantaine d’ années on s’est habitué à lui attribuer. Enfin, M. Étien
admiration absolue et de parti pris pour Molière ? Dans les premières années du xixe  siècle, à l’époque de la Restauration, q
ngt comédies en dix ans ! Vous pouvez bien regarder ces dix dernières années de sa vie, si vous songez qu’il a écrit vingt com
ouées lui-même, vous ne trouverez pas un jour de relâche dans ces dix années . Vous pouvez maintenant passer toute sa vie en re
faveur, sa santé est irréparablement atteinte. C’est dans cette même année qu’il prend à l’auteur de La Jalousie du Barbouil
er l’impatiente fureur avec laquelle il se précipite, pendant ses dix années glorieuses, non seulement sur les écrits ridicule
dis sans espoir de vengeance. Eh bien, maintenant, prenez-le dans ses années glorieuses : est-ce que vous croyez qu’il est plu
re la médecine une première flèche isolée, mais violente, et, la même année , il fait un de ces coups d’audace et de brutalité
ns les comédies du temps de Molière, et calculez combien il a fallu d’ années avant qu’un médecin, un juge, un savant, un avoca
us latin, je le sais bien… mais, positivement, depuis une vingtaine d’ années , vous vous mettez tout doucement à parler grec. V
la faculté d’Aix. Aix était une ville extrêmement lettrée. Les trois années (1857 à 1860) que Weiss y passa lui laissèrent un
eux. ……………………………………………………………………… ……………………………………………………………………… Les cent années que nous allons parcourir ensemble ont vu beaucou
raditions rigoureuses et à des vertus de convention que les dernières années du xviiie  siècle ont à peine osé atteindre, elle
ose de l’esprit de son époque, je veux dire de l’esprit des premières années du règne de Napoléon III. G. S. I. ALCIBIA
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