e qui avoit eu dans un même jour le bonheur d’exposer sa vie pour son
ami
, & le courage de lui sacrifier sa passion, sa
l est amoureux de Rosalie, & qu’il part pour ne pas manquer à son
ami
Clairville. Constance, jeune veuve, sœur de Clai
oue qu’elle n’aime plus Clairville. D’Orval parle à Rosalie pour son
ami
; elle lui déclare qu’elle en aime un autre, &
la bouche de d’Orval, & se croit perdu en voyant les yeux de son
ami
se remplir de larmes. D’Orval cherche à le rassur
e. D’Orval cesse d’écrire, saute sur son épée, vole au secours de son
ami
. Constance est surprise de voir fuir d’Orval : a
vous aime & je fuis... hélas ! beaucoup trop tard !... Je suis l’
ami
de Clairville.... Les devoirs de l’amitié, les lo
: Clairville tremble pour les jours de Rosalie & pour ceux de son
ami
qu’il voit triste ; Constance le rassure en lui d
frere la lettre qu’elle a trouvée sur la table : elle laisse les deux
amis
pour qu’ils puissent librement arranger son maria
s puissent librement arranger son mariage. Clairville reproche à son
ami
le mystere qu’il lui faisoit de son amour pour sa
ctere... ce changement de nom... tout a troublé son ame : il prie son
ami
de le laisser seul : celui-ci lui recommande ses
nt ce que dit M. Diderot lui-même dans des réflexions adressées à son
ami
M. Grimm. Il parle ainsi : De la Poésie Dramatiq
n une comédie ou plutôt une farce en trois actes, qu’il a intitulée l’
Ami
sincere 36. C’est un tissu des caracteres de l’Am
u’il a intitulée l’Ami sincere 36. C’est un tissu des caracteres de l’
Ami
vrai, & de l’Avare de Moliere. La cassette &a
llele avec la fiction ? « Mais comparons un peu plus rigoureusement l’
Ami
vrai du Poëte italien avec le Fils naturel. « Que
le : il n’en deviendra pas amoureux : il ne sera plus le rival de son
ami
. Il faut que d’Orval soit riche, & son pere n
p; qui dénoue : plus d’intrigue : plus de piece. « Or y a-t-il dans l’
Ami
sincere aucune de ces choses, sans lesquelles le
aractere sombre & farouche de d’Orval ? Non. Il n’y a donc dans l’
Ami
vrai aucun de mes caracteres ? Aucun, sans en exc
e Fils naturel est le même que le genre dans lequel Goldoni a écrit l’
Ami
vrai, dit un mensonge. « Que celui qui dit que me
qu’il y a dans les détails un mot important qu’on ait transporté de l’
Ami
vrai dans le Fils naturel, dit un mensonge. « Que
ui dit que la conduite du Fils naturel ne differe point de celle de l’
Ami
vrai, dit un mensonge. « Cet Auteur a écrit une s
Quelle surprise cruelle pour celui-ci ! Cette maîtresse chérie de son
ami
est Flaminia qu’il a connue à Venise, qu’il aime
Silvia, fille du Docteur & sœur de Mario, devient amoureuse de l’
ami
de son frere, quoiqu’elle soit promise au Comte O
s persécutions de Silvia, se résout à mourir plutôt que de trahir son
ami
& de lui enlever sa maîtresse : il charge son
que qui persuade à Mario que la mélancolie qu’il a remarquée dans son
ami
n’est causée que par l’amour qu’il a pour sa sœur
tenir du Docteur son pere une grace qu’il vient lui demander pour son
ami
Lélio ; en effet le Docteur s’y détermine à leur
celles de Flaminia ne sont pas pressantes. Alors Mario déclare à son
ami
qu’il n’ignore plus que l’amour est la seule caus
la générosité. Mais Mario, continuant toujours avec le transport d’un
ami
qui oblige son ami, lui dit qu’il a découvert son
Mario, continuant toujours avec le transport d’un ami qui oblige son
ami
, lui dit qu’il a découvert son amour pour sa sœur
a, & les efforts qu’il s’est faits pour sacrifier son amour à son
ami
. Mario ne veut pas montrer moins de générosité ;
u’elle ne peut aimer que Lélio. Il est enfin contraint de céder à son
ami
, & d’épouser Flaminia, qui lui est accordée p
son cabinet une piece en cinq actes. Content du suffrage de quelques
amis
, il la porte aux Comédiens ; il ne leur fait pas
ion & une amitié si parfaite, qu’on ne les appelloit que les deux
amis
. Ils étoient tous deux jeunes, d’un même âge, &am
ien & pour l’alliance, qu’il résolut, avec le consentement de son
ami
, sans quoi il ne faisoit rien, de la demander en
demande, & il s’y conduisit si bien qu’en peu de jours il mit son
ami
en possession de sa maîtresse qui s’appelloit Cam
n augmenter les divertissements. Mais après que les parents & les
amis
eurent fait leurs visites aux nouveaux mariés, il
m’eusses voulu charger d’un emploi de cette sorte. On se sert de ses
amis
jusqu’à un certain point ; mais les pousser par d
n’ai pu m’en rendre le maître... Ne m’abandonne donc point, mon cher
ami
... Une fois pour toutes, souviens-toi que je suis
ment, que, sans irriter Camille, il trouvât le moyen de contenter son
ami
... Quelques jours se passerent que Lothaire ne di
plaindre à son mari, & de lui faire rompre tout commerce avec un
ami
si dangereux, si jamais il lui faisoit de semblab
étoit trop exact pour manquer à sa parole, mit entre les mains de son
ami
les quatre mille écus d’or, & le jetta par-là
ntit mille fois de la complaisance qu’il avoit eue pour cet imprudent
ami
, & il étoit à tout moment sur le point de pre
arceque Lothaire songe plus à ses propres affaires qu’à celles de son
ami
. Anselme comprend par ce billet que Lothaire a pa
ue qu’il ne s’est d’abord déclaré que pour céder aux instances de son
ami
, mais que l’amour s’est bien vengé de sa résistan
t bien vengé de sa résistance. L’épouse devient aussi infidelle que l’
ami
: ils jouissent tranquillement de leur perfidie,
dans leur confidence. Le mari revient de la campagne, conseille à son
ami
d’employer le secours de la poésie pour rendre Ca
se félicite d’avoir la plus fidelle des femmes, & le meilleur des
amis
: il dit à ce dernier qu’il n’y a désormais qu’à
aison il revient à la ville. Damon répond que c’est pour plaire à son
ami
Léandre ; il est fâché de n’avoir pu fuir Paris,
pouser par ses soins. Crispin l’exhorte à souffler la conquête de son
ami
. Damon dit que de pareils procédés ne lui convien
a maîtresse. Julie lui répond que Léandre l’a conjurée d’attendre son
ami
Damon, & qu’elle y a consenti sans peine. Lé
i Damon, & qu’elle y a consenti sans peine. Léandre présente son
ami
à Julie ; cette derniere sort pour apprendre à so
rendre à son pere Géronte l’arrivée de Damon. Léandre reste avec son
ami
, lui dit qu’il veut éprouver le cœur de Julie, le
Julie indignée le traite avec mépris, & lui promet d’avertir son
ami
. Nérine est charmée que Damon aime Julie, ne fût
en tenir à ces preuves. Léandre n’en veut rien faire, il exige de son
ami
qu’il aille demander à Géronte la main de Julie.
t très long-temps sans parler d’amour à Camille, & persuade à son
ami
qu’elle résiste aux attaques les plus vives. Enfi
elle résiste aux attaques les plus vives. Enfin c’est la folie de son
ami
qui donne naissance à sa tendresse, & il n’ap
ersonnage fait pour intéresser est déja amoureux de Julie lorsque son
ami
le prie de feindre auprès d’elle. Est-il honnête,
n’avoit pas grand tort de se méfier d’elle ; & Damon manque à son
ami
pour bien peu de chose. Ce dernier est aussi peu
; par là il eût été moins criminel en acceptant la proposition de son
ami
; par là le spectateur auroit joui du plaisir de
appelle ses gens, leur ordonne d’aller chercher de l’argent chez ses
amis
qu’il a si souvent obligés, & d’emprunter de
ce qu’elle possede : il la prie de le laisser un moment avec ses faux
amis
; il leur a fait dire qu’il est toujours riche, q
eux qui sont ici présents, ne les épargne qu’autant qu’ils furent mes
amis
, & remplis toujours leurs vœux comme Timon va
eurs vœux comme Timon va satisfaire leur appétit ! Il chasse ses faux
amis
en leur jettant les plats à la tête. (La scene e
Cléon sacrifie l’honnête Julie à la coquette Cidalise ; que ses faux
amis
, ceux qu’il a le plus généreusement obligés, lui
idence à la fin d’un grand repas, où il avoit invité ses plus intimes
amis
, son fils, sa fille, & les parents de sa femm
obligé d’y consentir, s’il veut faire la paix avec sa femme. Dorante,
ami
de la maison, est de concert pour tromper le mari
e la huitième période) — Mort de Molière. Nouvelles directions de ses
amis
. — Madame Scarron concentrée dans l’éducation des
our elle commence à percer. — Madame Scarron commence à voir quelques
amies
. — Légitimation des trois bâtards du roi. Le com
es particularités concernant madame Scarron. « Il y a chez une de ses
amies
», dit madame de Coulanges, « un certain homme qu
atiemment son absence. Elle est cependant plus occupée de ses anciens
amis
qu’elle ne l’a jamais été. Elle leur donne le peu
Il est évident que ce certain homme c’était le roi, et que celle des
amies
de madame Scarron, chez qui se trouvait ce certai
ui… Je vis dans une action continuelle ; pas un moment à donner à mes
amis
; les bontés du roi ne sauraient me dédommager de
tembre 1673, madame de Sévigné écrit à sa fille : « J’ai soupé avec l’
amie
de Quanto (avec madame Scarron). Vous ne serez po
l y a de principal dans le pays. Madame de Coulanges et deux ou trois
amies
sont allées voir le dégel (madame Scarron) dans s
tait changée en une condition plus douce. La visite des deux ou trois
amies
suppose que le mystère dont le roi et madame de M
u noir. Vous me demanderez d’où vient cela : c’est que l’orgueil de l’
amie
(madame Scarron) la rend révoltée contre les ordr
s de 1675), « Elle rend compte à l’un et point à l’autre. On gronde l’
ami
(le roi) d’avoir trop d’amitié pour cette glorieu
velle : « Cependant, dit-elle, elle est plus occupée de ses anciennes
amies
qu’elle ne l’a jamais été. » Cependant vient bien
s encouragements dont il prétend que madame de Maintenon fortifia son
amie
, sont des fables démenties par une lettre de mada
e roi. Ne craignez rien ; je lui parlai en chrétienne et en véritable
amie
de madame de Montespan. » Cette lettre, qui n’est
politique s’accordent avec le christianisme, et que le conseil de ses
amis
ne soit que la même chose avec celui de M. de Con
les jardins d’Armide en sont une légère description. La femme de son
ami
solide (la reine) lui fait des visites, et la fam
t 3 juillet, la conformité des principes d’honnêteté dont elle et ses
amies
étaient animées, avec tes principes religieux de
ue de Condom, madame de Maintenon, madame de Sévigné, et leurs nobles
amies
l’avaient entendu. Voici comment M. de Beaussel,
en va à Fontainebleau, c’est Madame qui le veut. Il est certain que l’
ami
de Quantova (le roi) dit à sa femme et à son curé
ès ce qu’on vient de lire, madame de Sévigné écrit à sa fille : « Les
amies
de la voyageuse (mesdames de la Fayette, de Coula
en plaisanterie. » Il eut été, en effet, de fort mauvais goût que des
amies
de madame de Maintenon consentissent à regarder l
la nouvelle à sa fille, le 11 septembre 1675. « Il est certain que l’
ami
(le roi) et Quanto (madame de Montespan) sont vér
espan) est fréquente et même jusqu’aux larmes, de voir à quel point l’
ami
s’en passe bien, Il ne pleurait que sa liberté et
i tenait plus au cœur. Il a retrouvé cette société qui lui plaît (les
amis
de madame de Montespan). Il est gai et content de
anges : je crois qu’un si heureux voyage réchauffera le cœur des deux
amies
. » 10 novembre. « Rien ne fut plus agréable que
n de tout le monde, et que le proverbe a fait son effet en elle ; mon
amie
de Lyon (madame de Coulanges) m’en paraît moins c
et cela fait faire des réflexions morales et chrétiennes à ma petite
amie
(probablement madame de Vins, belle-sœur de M. de
e (probablement madame de Vins, belle-sœur de M. de Pomponne). » Les
amies
de madame de Maintenon, persuadées de sa faveur,
ues de madame de Montespan, les empressements de la cour, ceux de ses
amis
, qui se méprennent à l’embarras que sa situation
air… Au jeu, elle a la tête appuyée familièrement sur l’épaule de son
ami
. On croit que cette affectation était pour dire :
a faveur était extrême, dit madame de Sévigné dans sa lettre du 26. L’
ami
de Quanto (le roi) en parlait comme de sa premièr
. L’ami de Quanto (le roi) en parlait comme de sa première ou seconde
amie
: il lui avait envoyé un illustre (Le Nôtre) pour
bre, madame de Sévigné écrit à sa fille : « Tout le monde croit que l’
ami
(le roi) n’a plus d’amour, et que Quanto (madame
. Madame de Sévigné écrit, le 2 octobre, à sa fille « que la veille l’
ami
et l’amie (le roi et madame de Montespan) avaient
de Sévigné écrit, le 2 octobre, à sa fille « que la veille l’ami et l’
amie
(le roi et madame de Montespan) avaient passé tou
n donne pour l’ameublement de la maison. Le maréchal d’Albret, ancien
ami
de madame de Maintenon, était mort dans le mois d
ouleur profonde que madame de Maintenon ressentait de la perte de cet
ami
: il fait placer le portrait du maréchal d’Albret
ait assez la coutume dans ce temps-là de représenter des pièces entre
amis
. Quelques Bourgeois de Paris formèrent une troupe
un autre, jamais il n’en a voulu dire la raison, même à ses meilleurs
amis
. L’établissement de cette nouvelle troupe de comé
et la place qu’il aurait remplie fut donnée à Monsieur de Simoni. Ses
amis
le blâmèrent de n’avoir point accepté un emploi s
uverais aucun goût. ― Eh ! ne craignez rien, lui répondit un de ses
amis
; l’homme qui veut rire se divertit de tout, le C
ut devoir en être offensé ; il en marqua son ressentiment à un de ses
amis
. ― Comment ! lui dit-t-il, un petit Comédien aur
stes d’une Ville ; ils observent tout pour le tourner en ridicule. L’
ami
, qui était homme de bon sens, et bien informé, lu
magination. Le Bourgeois, quoique peu satisfait de la réponse de son
ami
, ne laissa pas d’y faire quelque réflexion, et ne
t le Courtisan empressé, flatteur, médisant, inquiet, incommode, faux
ami
. Il se déchaîne agréablement dans son Impromptu c
que dans ses Ouvrages. Et ce qu’il y avait de plus agréable pour ses
amis
, c’est qu’il était d’une droiture de cœur inviola
lorsqu’on n’adhérait pas à ses sentiments ; elle aimait mieux être l’
amie
de Molière que sa belle-mère : ainsi il aurait to
ques, fit son possible pour se renfermer dans son travail et dans ses
amis
, sans se mettre en peine de la conduite de sa fem
pour répondre aux bontés que le Roi avait pour lui. Il consultait ses
amis
; il examinait avec attention ce qu’il travaillai
, quelque heureux qu’il fût du côté de son Prince, et de celui de ses
amis
. Son mariage diminua l’amitié que la Béjart avait
urs chez lui. Il ne pouvait pas toujours travailler, ni être avec ses
amis
pour s’en distraire. D’ailleurs il n’aimait pas l
à ses principes, débarrassé de cet attirail étranger de famille, et d’
amis
même, qui nous dérobent le plus souvent par leur
tisfaction que par l’estime dont le Roi l’honorait, et du côté de ses
amis
. Il en avait de choisis, à qui il ouvrait souvent
lui, dura jusqu’au dernier moment. Cependant celui-là n’était pas un
ami
consolant pour Molière, il était trop dissipé ; i
pour être trop à tout le monde, il n’était point assez à un véritable
ami
: de sorte que Molière s’en fit deux plus solides
ticulier, elle rit de ma faiblesse. Encore si je pouvais jouir de mes
amis
aussi souvent que je le souhaiterais pour m’étour
rs de J…, de N… et de L…d, pour aller se réjouir à Hauteuil avec leur
ami
. ― Nous venons souper avec vous , dirent-ils à M
s de tous côtés dans cette vie-ci ! ― Tu as parbleu raison, mon cher
ami
, répondit J. en l’embrassant ; sans ce plaisir-ci
pauvre partage ; quittons-la, de peur que l’on ne sépare d’aussi bons
amis
que nous le sommes ; allons nous noyer de compagn
N. Nous ne pouvons jamais mieux prendre notre temps pour mourir bons
amis
, et dans la joie ; et notre mort fera du bruit.
rayé de cet extravagant projet, parce qu’il connaissait le vin de ses
amis
. Pendant qu’il se levait, la Troupe avait gagné l
? Quoi, vous voulez vous noyer sans moi ? Je vous croyais plus de mes
amis
. ― Il a parbleu raison, dit Chapelle, voilà une
ffaire-là m’embarrassait ; elle avait sa difficulté. À Dieu, mon cher
ami
, tu juges mieux qu’homme de France. Molière éta
on plus indigne d’un galant homme que celle du vin : Chapelle est mon
ami
, mais ce malheureux penchant m’ôte tous les agrém
mais sur toutes choses il lui recommandait de ne point sacrifier ses
amis
, comme faisait Chapelle, à l’envie de dire un bon
t pas qu’un Jésuite dût lire Théophile. Ainsi, disait ce Pédant à son
ami
, si l’on examinait bien les ouvrages de Molière ;
l’ai déjà dit, il projeta de donner son George Dandin. Mais un de ses
amis
lui fit entendre qu’il y avait dans le monde un D
repentir d’y avoir travaillé. ― Vous avez raison, dit Molière à son
ami
; mais je sais un sûr moyen de me concilier l’hom
vous ne connaissez pas Mr Bernier, et vous ne savez pas que c’est mon
ami
, peu s’en faut que je ne prenne sérieusement votr
était donné toute liberté de parler devant Molière, vous êtes si bons
amis
, et Monsieur après une si longue absence n’a à la
er après, toujours chaud de vin, le débiter partout aux dépens de vos
amis
; vous n’avez que cela à faire. Mais si vous étie
― Mon pauvre Molière, répondit Chapelle, tous ces ennemis seront mes
amis
dès que je voudrai les estimer, parce que je suis
Ah ! bon, répondit le Comte, je suis bien aise que vous soyez de mes
amis
; je vous estime de tout mon cœur, et je vous fer
entendre réciter ce jeune homme. Chapelle en fut aussi étonné que son
ami
. ― Ce sera là, dit-il, un excellent Comédien ! ―
ir de dire sa pensée, et de faire valoir un bon mot aux dépens de ses
amis
. Un jour qu’il dînait en nombreuse compagnie avec
vrait au premier venu sur cet article-là : il ne fallait pas être son
ami
pour l’engager dans ces repas qui percent jusques
suffisait de le connaître légèrement. Molière était désolé d’avoir un
ami
si agréable et si honnête homme, attaqué de ce dé
jours merveilles, sans rien tenir. Molière n’était pas le seul de ses
amis
, à qui sa conduite fît de la peine. Mr des P**g l
. Faut-il prodiguer cet agrément indifféremment à tout le monde ? Vos
amis
ne vous ont plus d’obligation, quand vous leur do
ec le premier venu qui vous le propose, comme avec le meilleur de vos
amis
. Je pourrais vous dire encore que la Religion, vo
flexions sur votre dérangement. — Ah ! voilà qui est fait, mon cher
ami
, je vais entièrement me mettre en règle, répondit
s commodément dans le cabaret qui est ici proche, entrons-y, mon cher
Ami
, et me faites bien entendre raison, je veux reven
qu’il fallut les reporter chez eux. Si Chapelle était incommode à ses
amis
par son indifférence : Molière ne l’était pas moi
me il était prévenu que c’était une vertu ; de sorte que celui de ses
amis
qui était le plus régulier et le plus arrangé, ét
ur le sexe ; la de…h l’amusait quand il ne travaillait pas. Un de ses
amis
, qui était surpris qu’un homme aussi délicat que
er cette femme-là ? Vous savez que la Barre, et Florimont sont de ses
amis
; qu’elle n’est point belle, que c’est un vrai sq
ux de ce côté-là, il avait la prudence de n’en parler jamais qu’à ses
amis
; encore fallait-il qu’il y fût indispensablement
près la nature, pour travailler plus sûrement. Mr Rohaut, quoique son
ami
, fut son modèle pour le Philosophe du Bourgeois G
e il ne trouverait point un chapeau aussi philosophe que celui de son
ami
, qui aurait cru être déshonoré si sa coiffure ava
de P…k lui répliqua qu’il était bien hardi de lui parler mal de son
ami
. Baron animé ne fit pas de façon de soutenir sa t
tort de dire du mal de R… à Mr P… ; qu’il savait bien que c’était son
ami
, et que c’était pour un jeune homme trop s’écarte
l conservât toujours pour elle une véritable tendresse. Cependant ses
amis
essayèrent de les raccommoder, ou pour mieux dire
e, il se chargeait toujours des plus grands rôles, les visites de ses
amis
et des grands Seigneurs étaient fréquentes, tout
le plus de la sienne. Chapelle fut saisi de douleur à la mort de son
ami
, il crut avoir perdu toute consolation, tout seco
trant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si moins
ami
du peuple en ses doctes peintures, Il n’eût point
oit assez la coûtume dans ce temps-là de representer des Pieces entre
amis
. Quelques Bourgeois de Paris formerent une Troupe
un autre, jamais il n’en a voulu dire la raison, même à ses meilleurs
amis
. aCe silence n’a rien de fort merveilleux : peut
ovinces jouer la Comedie, le fit solliciter par tout ce qu’il avoit d’
amis
, de quitter cette pensée, promettant, s’il vouloi
cedât pas ses forces : que ni les prieres, ni les remontrances de ses
amis
soutenues de ces promesses ne purent rien sur son
p; la place qu’il auroit remplie fut donnée à Monsieur de Simoni. Ses
amis
le blâmerent de n’avoir point accepté un emploi s
ela lui auroit manqué chez Monsieur le Prince de Conti. En 1658.* ses
amis
lui conseillerent de s’approcher de Paris en fais
ut devoir en être offensé ; il en marqua son ressentiment à un de ses
amis
. Comment ! lui dit-il, un petit Comedien aura l’a
estes d’une Ville ; ils observent tout pour le tourner en ridicule. L’
ami
, qui étoit homme de bon sens, & bien informé,
imagination. Le Bourgeois, quoique peu satisfait de la réponse de son
ami
, ne laissa pas d’y faire quelque reflexion, &
donna sur la facilité qu’il avoit de faire de bons Vers. Ils étoient
amis
& se connoissoient assez pour que l’on puisse
ens de Lettres ne se faisoient point un deshonneur d’être ses intimes
amis
. De ce nombre étoit l’Abbé le Vayer fils unique d
nt le Courtisan empressé, flateur, médisant, inquiet, incommode, faux
ami
. Il se déchaîne agreablement dans son Impromptu c
que dans ses Ouvrages. Et ce qu’il y avoit de plus agreable pour ses
amis
, c’est qu’il étoit d’une droiture de cœur inviola
e lorsqu’on n’adheroit pas à ses sentimens : elle aimoit mieux être l’
amie
de Moliere que sa belle-mere ; ainsi il auroit to
s, fit son possible pour se renfermer dans son travail & dans ses
amis
, sans se mettre en peine de la conduite de sa fem
pour répondre aux bontez que le Roi avoit pour lui. Il consultoit ses
amis
, il examinoit avec attention ce qu’il travailloit
uelque heureux qu’il fût du côté de son Prince, & de celui de ses
amis
. Son mariage diminua l’amitié que la Bejart avoit
urs chez lui. Il ne pouvoit pas toûjours travailler, ni être avec ses
amis
pour s’en distraire. D’ailleurs il n’aimoit pas l
es principes, débarrassé de cet attirail étranger de famille, & d’
amis
même, qui nous dérobent le plus souvent par leur
faction que par l’estime dont le Roi l’honoroit, & du côté de ses
amis
. Il en avoit de choisis, à qui il ouvroit souvent
lui, dura jusqu’au dernier moment. Cependant celui-là n’étoit pas un
ami
consolant pour Moliere, il étoit trop dissipé ; i
pour être trop à tout le monde, il n’étoit point assez à un veritable
ami
: de sorte que Moliere s’en fit deux plus solides
ticulier, elle rit de ma foiblesse. Encore si je pouvois jouïr de mes
amis
aussi souvent que je le souhaiterois pour m’étour
Jardin d’Auteuil, poursuit l’Historien de la Moliere, quand un de ses
amis
nommé Chapelle qui s’y venoit promener par hazard
aimé, il ceda à l’envie de se soulager & avoua de bonne foi à son
ami
que la maniere dont il étoit forcé d’en user avec
assuré de vous mettre l’esprit en repos. Moliere qui avoit écouté son
ami
avec assez de tranquilité, l’interrompit pour lui
se, sans en pouvoir triompher ? Je vous avouë à mon tour, lui dit son
ami
, que vous êtes plus à plaindre que je ne pensois
storien de la Moliere est plus naturel que celui qu’on trouve du même
ami
dans la Vie de Moliere. †Chapelle, dit Mr. Grima
de J.. de N.. & de L.. pour aller se réjoüir à Hauteüil avec leur
ami
. Nous venons souper avec vous, dirent-ils à Molie
heur de tous côtez dans cette vie-ci ! Tu as parbleu raison, mon cher
ami
, répondit J... en l’embrassant ; sans ce plaisir-
pauvre partage ; quittons-la, de peur que l’on ne separe d’aussi bons
amis
que nous le sommes ; allons-nous noyer de compagn
N.. Nous ne pouvons jamais mieux prendre nôtre temps pour mourir bons
amis
, & dans la joye, & nôtre mort fera du bru
rayé de cet extravagant projet, parce qu’il connoissoit le vin de ses
amis
. Pendant qu’il se levoit, la Troupe avoit gagné l
? Quoi, vous voulez vous noyer sans moi ? je vous croyois plus de mes
amis
. Il a parbleu raison, dit Chapelle, voilà une inj
ffaire-là m’embarrassoit ; elle avoit sa difficulté. A Dieu, mon cher
ami
, tu juges mieux qu’homme de France. Moliére étant
on plus indigne d’un galant homme que celle du vin : Chapelle est mon
ami
, mais ce malheureux penchant m’ôte tous les agrém
mais sur toutes choses il lui recommandoit de ne point sacrifier ses
amis
, comme faisoit Chapelle, à l’envie de dire un bon
t pas qu’un Jesuite dût lire Theophile. Ainsi, disoit ce Pedant à son
ami
, si l’on examinoit bien les Ouvrages de Moliere,
*Moliere projeta ensuite de donner son George Dandin. Mais un de ses
amis
lui fit entendre qu’il y avoit dans le monde un D
ire repentir d’y avoir travaillé. Vous avez raison, dit Moliere à son
ami
; mais je sai un sûr moyen de me concilier l’homm
s ne connoissez pas M. Bernier, & vous ne savez pas que c’est mon
ami
, peu s’en faut que je ne prenne serieusement vôtr
étoit donné toute liberté de parler devant Moliere, vous êtes si bons
amis
, & Monsieur après une si longue absence n’a à
r après, toûjours chaud de vin, le débiter par tout aux dépens de vos
amis
; vous n’avez que cela à faire. Mais si vous étie
i. Mon pauvre Moliere, répondit Chapelle, tous ces ennemis seront mes
amis
dès que je voudrai les estimer, parce que je suis
Ah ! bon, répondit le Comte, je suis bien-aise que vous soyez de mes
amis
; je vous estime de tout mon cœur, & je vous
entendre reciter ce jeune homme. Chapelle en fut aussi étonné que son
ami
. Ce sera là, dit-il, un excellent Comedien ! On n
de dire sa pensée, & de faire valoir un bon mot aux dépens de ses
amis
. Un jour qu’il dînoit en nombreuse compagnie avec
vroit au premier venu sur cet article-là : il ne falloit pas être son
ami
pour l’engager dans ces repas, qui percent jusque
suffisoit de le connoître legerement. Moliere étoit desolé d’avoir un
ami
si agreable & si honnête homme, attaqué de ce
jours merveilles, sans rien tenir. Moliere n’étoit pas le seul de ses
amis
, à qui sa conduite fît de la peine. M. des P*** l
aut-il le prodiguer cet agrément indifferemment à tout le monde ? Vos
amis
ne vous ont plus d’obligation, quand vous leur do
ec le premier venu qui vous le propose, comme avec le meilleur de vos
amis
. Je pourrois vous dire encore que la Religion, vô
s reflexions sur vôtre dérangement. Ah ! voila qui est fait, mon cher
ami
, je vais entierement me mettre en regle, répondit
commodément dans le cabaret qui est ici proche ; entrons-y, mon cher
ami
, & me faites bien entendre raison, car je veu
qu’il fallut les reporter chez eux. Si Chapelle étoit incommode à ses
amis
par son indifference, Moliere ne l’étoit pas moin
me il étoit prévenu que c’étoit une vertu ; de sorte que celui de ses
amis
qui étoit le plus regulier, & le plus arrangé
le sexe ; la de Brie l’amusoit quand il ne travailloit pas. Un de ses
amis
, qui étoit surpris qu’un homme aussi delicat que
cette femme-là ? Vous savez que la Barre & Florimond sont de ses
amis
; qu’elle n’est point belle, que c’est un vrai sq
ux de ce côté-là, il avoit la prudence de n’en parler jamais qu’à ses
amis
, encore falloit-il qu’il y fût indispensablement
rès la nature, pour travailler plus seurement. M. Rohaut, quoique son
ami
, fut son modelle pour le Philosophe du Bourgeois
, il ne trouveroit point un chapeau aussi philosophe que celui de son
ami
, qui auroit cru être deshonoré, si sa coëffure av
ir fait tout son possible pour réjouir le parterre aux depends de son
ami
. On ne pouvoit que le louër d’avoir tourné en rid
inutiles ; mais il n’étoit pas excusable de jetter ce ridicule sur un
ami
, & qui pis est, sur un ami qui n’étoit rien m
excusable de jetter ce ridicule sur un ami, & qui pis est, sur un
ami
qui n’étoit rien moins que Philosophe de cette es
de P... lui repliqua qu’il étoit bien hardi de lui parler mal de son
ami
. Baron animé ne fit pas de façon de soûtenir sa t
de dire du mal de R... à M. de P... qu’il savoit bien que c’étoit son
ami
, & que c’étoit pour un jeune homme trop s’éca
l conservât toûjours pour elle une veritable tendresse. Cependant ses
amis
essayerent de les racommoder, ou, pour mieux dire
e, il se chargeoit toûjours des plus grands rôles, les visites de ses
amis
& des grands Seigneurs étoient frequentes, to
le plus de la sienne. Chapelle fut saisi de douleur à la mort de son
ami
, il crut avoir perdu toute consolation, tout seco
derriere la Chapelle de Saint Joseph dans la rue Montmartre. Tous ses
amis
y assisterent ayant chacun un flambeau à la main.
t ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si moins
ami
du peuple en ses doctes peintures, Il n’eût poi
s convives. Molière s’étant couché un jour de bonne heure, laissa ses
amis
à table. La conversation tomba insensiblement, ve
eurs de tous côtés dans cette vie-ci. Tu as parbleu raison ! Mon cher
ami
, répondit J… en l’embrassant ; la vie est un pauv
t un pauvre partage : quittons-la, pour ne point séparer d’aussi bons
amis
que nous le sommes ; allons nous noyer de compagn
, dit N*** nous ne pouvons mieux prendre notre temps pour mourir bons
amis
et dans la joie : notre mort fera du bruit. Ainsi
rayé de cet extravagant projet, parce qu’il connaissait le vin de ses
amis
. Pendant qu’il se levait, la troupe avait gagné l
un si beau projet sans m’en faire part ? Je vous croyais plus de mes
amis
. Il a parbleu raison, dit Chapelle ; c’est une in
de ce qu’il a fait dans son domestique, ou dans son commerce avec ses
amis
; nous nous passons de la Vie de bien d’autres pe
Secrétaire du Héros de notre Auteur. Mais si la chose est vraie, les
amis
de ce pauvre Comédien avaient bien raison de le b
t point assez la Cour pour parler aussi sensément qu’il le fait à ses
amis
; et l’honneur et l’agrément d’une telle place de
en cet endroit. Les Auteurs Comiques, et les Comédiens ne sont point
amis
de l’Auteur ; il ne perd point l’occasion de les
de la Foire ; et je m’étonne que ce grand Homme ait souffert que son
ami
(car je n’en veux rien rabattre, ils se connaisse
t véritable. Est-il naturel que celui-là rompe en visière à un ancien
ami
aussi fortement qu’il fait dans cette conversatio
ien ami aussi fortement qu’il fait dans cette conversation ? Ces deux
amis
se querellent sans cesse dans ce Livre, Molière m
Un homme de bon esprit se serait défait honnêtement du commerce d’un
ami
si incommode. Mais l’Auteur n’aurait eu moyen de
e. C’est son lieu commun pour lui faire éviter le vin, et ménager ses
amis
; il pouvait avoir soin de son Élève sans intéres
t beau voir cet homme grave envoyer chercher le chapeau de Rohaut son
ami
, pour représenter le Philosophe dans le Bourgeois
travailler, que parce que les visites des Grands Seigneurs et de ses
amis
, qui étaient fréquentes, l’interrompaient dans so
us a-t-il pas donné ce qui se passait entre ces Grands Seigneurs, ces
amis
et Molière ? Nous aurions sa vie, puisqu’il a plu
faire valoir son esprit ; et ce que disent de Grands Seigneurs et des
amis
choisis, doit être agréable. Mais l’Auteur ne l’a
l ne restait en hommes, à madame de Rambouillet, que ses plus anciens
amis
, Chapelain, Cottin, Ménage, Vaugelas, Montausier
on n’était plus que la réunion très bornée de la famille et ces vieux
amis
; ce n’était plus le fameux hôtel de Rambouillet,
de ceux qui restent. En nommant Chapelain, Cottin, Ménage entre les
amis
qui demeurèrent attachés à la marquise octogénair
, dît-il dans sa préface, pour faire valoir l’esprit de ses illustres
amies
, et pour ne rien ôter à si reconnaissance et à le
t ses premiers regards sur la société, sur ses connaissances, sur ses
amis
; réglant son esprit à mesure qu’il se développe,
c’étaient à peu près les mêmes gens, excepté que l’abbé Testu, intime
ami
de madame de Richelieu, dominait à l’hôtel de Ric
reux de madame Scarron, mais maltraité comme amant, fort estimé comme
ami
, n’était pas ce qu’il y avait de moins bon dans c
Huet, évêque d’Avranches, fut aussi de sa société habituelle ; mais l’
ami
le plus ancien et le plus intime fut le duc de La
de La Fayette où était M. de La Rochefoucauld. Quelquefois les trois
amis
se trouvaient ensemble à l’hôtel de Longueville.
sy-Rabutin la placent entre les talents épistolaires ; elle avait des
amis
d’un rang et d’un mérite très distingués. Sa fort
publiée par La Grange, acteur de la troupe de Molière, et par Vinot,
ami
du poète, a été l’objet des plus vives critiques.
diteur d’un variorum. Il doit être à la fois, pour ses devanciers, un
ami
officieux qui fasse valoir leurs recherches sans
i, d’après cette explication, Anselme est en doute sur la mort de son
ami
, doute qui ôterait toute vraisemblance à la suite
, dit à part : Que ce baiser m’a semblé doux, En dépit de ma vieille
amie
! Qu ’ eût-elle été bien endormie, Au lieu de m
i se passait dans son domestique ; c’est ce que ses plus particuliers
amis
ont remarqué bien des fois12. » Le souvenir de c
ief important. Cependant les auteurs de ces critiques avaient été les
amis
de Molière ; ils devaient tous connaître ce que G
de celui de Grimarest ; mais enfin l’auteur a vu Molière, il a été l’
ami
de Baron, et ces circonstances donnent à son livr
ait assez la coutume dans ce temps-là de représenter des pièces entre
amis
. Quelques bourgeois de Paris formèrent une troupe
die ; et la place qu’il aurait remplie fut donnée à M. de Simoni. Ses
amis
le blâmèrent de n’avoir point accepté un emploi s
erais aucun goût. » — « Eh ! ne craignez rien, lui répondit un de ses
amis
; l’homme qui veut rire se divertit de tout, le c
crut devoir s’en offenser ; il en marqua son ressentiment à un de ses
amis
, « Comment ! lui dit-il, un petit comédien aura l
tes d’une ville ; ils observent tout pour le tourner en ridicule. » L’
ami
, qui était homme de bon sens, et bien informé, lu
magination. »Le bourgeois, quoique peu satisfait de la réponse de son
ami
, ne laissa pas d’y faire quelque réflexion, et ne
t le courtisan empressé, flatteur, médisant, inquiet, incommode, faux
ami
. Il se déchaîne agréablement dans son Impromptu c
que dans ses ouvrages ; et ce qu’il y avait de plus agréable pour ses
amis
, c’est qu’il était d’une droiture de cœur inviola
lorsqu’on n’adhérait pas à ses sentiments ; elle aimait mieux être l’
amie
de Molière que sa belle-mère : ainsi, il aurait t
ques, fit son possible pour se renfermer dans son travail et dans ses
amis
, sans se mettre en peine de la conduite de sa fem
indifférence.Il y rêvait un jour dans son jardin d’Auteuil, quand son
ami
Chapelle, qui s’y promenait par hasard, l’aborda
t aimé, il céda à l’envie de se soulager, et avoua de bonne foi à son
ami
que la manière dont il était forcé d’en user avec
uré de vous mettre l’esprit en repos. Molière, qui avait écouté son
ami
avec assez de tranquillité, l’interrompit pour lu
e sans en pouvoir triompher ? — Je vous avoue à mon tour, lui dit son
ami
, que vous êtes plus à plaindre que je ne pensais
pour répondre aux bontés que le roi avait pour lui. Il consultait ses
amis
; il examinait avec attention ce qu’il travaillai
r, quelque heureux qu’il fût du côté de son prince et de celui de ses
amis
. Son mariage diminua l’amitié que la Béjart avait
urs chez lui. Il ne pouvait pas toujours travailler, ni être avec ses
amis
pour s’en distraire. D’ailleurs il n’aimait ni la
à ses principes, débarrassé de cet attirail étranger de famille, et d’
amis
même, qui nous dérobent le plus souvent par leur
tisfaction que par l’estime dont le roi l’honorait, et du côté de ses
amis
; il en avait de choisis, à qui il ouvrait souven
lui, dura jusqu’au dernier moment. Cependant celui-là n’était pas un
ami
consolant pour Molière, il était trop dissipé ; i
pour être trop à tout le monde, il n’était point assez à un véritable
ami
: de sorte que Molière s’en fit deux plus solides
culier, elle rit de ma faiblesse ; encore (si je pouvais jouir de mes
amis
aussi souvent que je le souhaiterais pour m’étour
e J… 88, de N…, et de L…., pour aller se réjouir à Auteuil avec leur
ami
. « Nous venons souper avec vous, dirent-ils à Mol
urs de tous côtés dans cette vie ! — Tu as, parbleu, raison, mon cher
ami
, répondit J… en l’embrassant ; sans ce plaisir-ci
pauvre partage ; quittons-la, de peur que l’on ne sépare d’aussi bons
amis
que nous le sommes ; allons-nous noyer de compagn
N., nous ne pouvons jamais mieux prendre notre temps pour mourir bons
amis
, et dans la joie, et notre mort fera du bruit. »
rayé de cet extravagant projet, parce qu’il connaissait le vin de ses
amis
. Pendant qu’il se levait, les convives avaient ga
Quoi ! vous voulez vous noyer sans moi ? Je vous croyais plus de mes
amis
. — Il a, parbleu, raison, dit Chapelle ; voilà un
affaire-là m’embarrassait ; elle avait sa difficulté. Adieu, mon cher
ami
; tu juges mieux qu’homme de France. » Molière é
on plus indigne d’un galant homme que celle du vin : Chapelle est mon
ami
, mais ce malheureux penchant m’ôte tous les agrém
mais sur toutes choses il lui recommandait de ne point sacrifier ses
amis
, comme faisait Chapelle, à l’envie de dire un bon
t pas qu’un jésuite pût lire Théophile. Ainsi, disait ce pédant à mon
ami
, si l’on examinait bien les ouvrages de Molière,
’ai déjà dit, il projeta de donner son Georges Dandin. Mais un de ses
amis
lui fit entendre qu’il y avait dans le monde un D
e repentir d’y avoir travaillé. « Vous avez raison, dit Molière à son
ami
; mais je sais un sûr moyen de me concilier l’hom
vous ne connaissez pas M. Bernier, et vous ne savez pas que c’est mon
ami
; peu s’en faut que je prenne sérieusement votre
était donné toute liberté de parler devant Molière, vous êtes si bons
amis
, et monsieur, après une si longue absence, n’a, à
er après, toujours chaud de vin, le débiter partout aux dépens de vos
amis
; vous n’avez que cela à faire. Mais si vous étie
— Mon pauvre Molière, répondit Chapelle, tous ces ennemis seront mes
amis
dès que je voudrai les estimer, parce que je suis
Ah, bon ! répondit le comte, je suis bien aise que vous soyez de mes
amis
; je vous estime de tout mon cœur, et je vous fer
lui fit entendre ce jeune homme. Chapelle en fut aussi étonné que son
ami
. « Ce sera là, dit-il, un excellent comédien ! —
ir de dire sa pensée, et de faire valoir un bon mot aux dépens de ses
amis
. Un jour qu’il dînait en nombreuse compagnie avec
vrait au premier venu sur cet article-là ; il ne fallait pas être son
ami
pour l’engager dans ces repas qui se prolongent j
suffisait de le connaître légèrement. Molière était désolé d’avoir un
ami
si agréable et si honnête homme attaqué de ce déf
ujours merveilles sans rien tenir. Molière n’était pas le seul de ses
amis
à qui sa conduite fit de la peine. M. des P… 108
, faut-il prodiguer cet agrément indifféremment à tout le monde ? Vos
amis
ne vous ont plus d’obligation quand vous leur don
ec le premier venu qui vous le propose, comme avec le meilleur de vos
amis
. Je pourrais vous dire encore que la religion, vo
réflexions sur votre dérangement. — Ah ! voilà qui est fait, mon cher
ami
, je vais entièrement me mettre en règle, répondit
commodément dans le cabaret qui est ici proche ; entrons-y, mon cher
ami
, et me faites bien entendre raison, car je veux r
il fallut les reporter chez eux109. Si Chapelle était incommode à ses
amis
par son indifférence, Molière ne l’était pas moin
me il était prévenu que c’était une vertu ; de sorte que celui de ses
amis
qui était le plus régulier et le plus arrangé, ét
le sexe ; la de.… l’amusait quand il ne travaillait pas110. Un de ses
amis
, qui était surpris qu’un homme aussi délicat que
cette femme-là ? Vous savez que La Barre111 et Florimont sont de ses
amis
, qu’elle n’est point belle, que c’est un vrai squ
x de ce côté-là, il avait la pru dence de n’en parler jamais qu’à ses
amis
; encore fallait-il qu’il y fût indispensablement
rès la nature, pour travailler plus sûrement. M. Rohault, quoique son
ami
, fut son modèle pour le philosophe du Bourgeois g
, il ne trouverait point un chapeau aussi philosophe que celui de son
ami
, qui aurait cru être déshonoré si sa coiffure ava
. M. P.… lui répliqua qu’il était bien hardi de lui parler mal de son
ami
. Baron, animé, ne fit pas de façon de soutenir sa
de dire du mal de Racine à M. P…., qu’il savait bien que c’était son
ami
, et que c’était, pour un jeune homme, trop s’écar
l conservât toujours pour elle une véritable tendresse. Cependant ses
amis
essayèrent de les raccommoder, ou, pour mieux dir
, il se chargeait toujours des plus grands rôles ; les visites de ses
amis
et des grands seigneurs étaient fréquentes, tout
le plus de la sienne. Chapelle fut saisi de douleur à la mort de son
ami
; il crut avoir perdu toute consolation, tout sec
rant ses écrits, Peut-être de son art eut remporté le prix, Si, moins
ami
du peuple en ses doctes peintures, Il n’eût point
a estropié d’une blessure qu’il reçut au pied en séparant deux de ses
amis
qui se battaient dans la place du Palais-Royal (e
aient de la générosité, de la bonté ; ils n’abandonnaient point leurs
amis
dans le malheur. J’ai déjà cité un trait de leur
soucy, dont le sort fut d’être calomnié et persécuté par son meilleur
ami
, à peine de retour de Rome, est arrêté, et jeté d
rds, et un homme qui portait tout cela, qui me dit, de la part de mon
ami
Béjart et de toute sa généreuse famille, que je p
Honorine, qui est un bourg près de Paris, où il avait une maison. Ses
amis
l’y allaient voir, et il y vécut en fort honnête
n’eut pas le courage de l’enterrer ; et il pria un autre curé de ses
amis
de faire les cérémonies à sa place. Cette anecdot
médiocre, avec assez d’embonpoint. (Note de Granval père.) M. Vinot,
ami
intime de Molière, et La Grange, son camarade, do
omme la comédie a des charmes, je ne pus si tôt quitter ces charmants
amis
: je demeurai trois mois à Lyon parmi les jeux, l
mon argent. Mais, comme un homme n’est jamais pauvre tant qu’il a des
amis
, ayant Molière pour estimateur, et toute la maiso
is, ayant Molière pour estimateur, et toute la maison des Béjart pour
amie
, en dépit du diable, de la fortune, et de tout ce
r ces généreuses personnes ne se contentèrent pas de m’assister comme
ami
, elles me voulurent traiter comme parent. Étant c
quelques emprunts. La Grange-Chancel disait avoir entendu dire à des
amis
particuliers de Racine, que, pressé par le peu de
nicher ? s’écria Molière, après un instant de réflexion : tiens, mon
ami
, en voilà une autre. » 82. C’est entre les mois
ces deux pièces. 86. Auteuil était alors le rendez-vous de tous les
amis
de Molière, au nombre desquels il faut compter Bo
chez Molière, La Fontaine fut accablé des railleries de ses meilleurs
amis
, au nombre desquels se trouvait Racine. Ils ne l’
t si offensant et si calomnieux. Le premier président de Lamoignon, l’
ami
de Racine et de Boileau, l’Ariste du Lutrin, ne p
insi qu’après de longues années se passe la première entrevue de deux
amis
de collège. 107. Cette conversation de Molière e
t justifier Molière d’avoir voulu réjouir le parterre aux dépens d’un
ami
; et cette réflexion suffit seule pour jeter du d
possédait celles qui font l’honnête homme ; il était généreux et bon
ami
, civil et honorable en toutes ses actions, modest
riée pour lors à Guérin d’Étriché, fit quelques poursuites ; mais des
amis
communs accommodèrent l’affaire. M. et madame de
ui est derrière la chapelle de Saint-Joseph, rue Montmartre. Tous ses
amis
y assistèrent, ayant chacun un flambeau à la main
rouve pas toujours dans les poésies de Chapelle, dont d’Assoucy fut l’
ami
et la victime. 133. Sans doute en 1662, puisqu’i
endre la lettre, la porte à son adresse. Moncade paroît avec tous ses
amis
: ils accablent de railleries la famille de Madam
la future prennent leur revanche, disent à Moncade que lui & ses
amis
viennent de signer le contrat de mariage de Damis
amis. Le Marquis, un peu surpris, se remet, & dit : Parbleu, mes
amis
, voilà une royale femme que Madame Abraham ! Je n
Maître Damis : épousez, épousez, je le veux bien. Allons, allons, mes
amis
, allons souper chez Payen. Dans l’une & l’au
position, mais s’y détermine, pour ne pas laisser dans l’infortune un
ami
qu’il croit avoir entraîné dans son malheur. Hen
tukéli ; mais Béverley s’offense des soupçons qu’on a de son meilleur
ami
, dit-il, d’un homme qui s’est ruiné pour lui. Bé
ame Béverley ; & hâtez-vous de venir recevoir les adieux de votre
ami
ruiné ». Stukéli. Béverley ne peut résister à
». Stukéli. Béverley ne peut résister à l’idée de voir partir son
ami
, il demande les bijoux. Sa femme se fait un plais
ir prêt pour ruiner Béverley, & que Leuson, voulant prouver à son
ami
la fausseté de Stukéli, lui dit : « J’ai connu c
Acte III. Stukéli annonce que Béverley a tout perdu : tandis que son
ami
se désole chez Vilson, il va, dit-il, porter le d
i faire mettre l’épée à la main : Leuson refuse de se battre avec son
ami
, lui dit que Stukéli est un perfide, & promet
onséquence. Le 1er avril 1679, elle écrit à madame de Saint-Géran son
amie
: « Madame de Montespan m’accuse d’aimer le roi
s consolations que celle de gémir de sa condition dans le sein de son
amie
. « Le roi, lui écrit-elle, a passé deux heures da
e entre elle et madame de Maintenon. Le 14 juin, celle-ci écrit à son
amie
, madame de Saint-Géran : « Les bontés du roi ne
rs de quelques moments. Le 2 août, madame de Maintenon écrivait à son
amie
: « Les jalousies ont cessé, la paix est faite… ;
haise, et qu’après la visite finie on reprend le fil du discours. Mon
amie
(madame de Coulanges) me mande qu’on n’aborde plu
rprise de la sorte de faveur de madame de Maintenon. Enfin, nul autre
ami
n’a autant de soin et d’attention que le roi en a
rances de l’assemblée du clergé, ou les jésuites avaient de puissants
amis
, les sollicitations de la cour de Rome, provoquée
t entre ses bras le petit prince ; il a félicité monseigneur comme un
ami
; il en a donné les premières nouvelles à la rein
a considération et aux aimables qualités qu’elle tenait de ses nobles
amies
, qu’est due la gloire que j’ai pris plaisir à cél
madame de Sévigné, qui dévoilent tout le mystère de la fortune de son
amie
? « Nul autre ami, dit-elle, n’a autant de soin e
qui dévoilent tout le mystère de la fortune de son amie ? « Nul autre
ami
, dit-elle, n’a autant de soin et d’attention que
plus doux penchant, qui ne souffrait pas moins de sa résistance que l’
ami
à qui elle était opposée ; cette tendresse qui av
estime, une conscience qui lui rendit bon témoignage de lui et de son
amie
. Quelle différence entre ce commerce et celui qu’
es. Madame de Maintenon jetait souvent ses regards vers ses anciennes
amies
; elles avaient toujours les yeux sur madame de M
s qu’elle les soumettait au jugement d’autres femmes célèbres, de ses
amies
, notamment à la maréchale de Schomberg, Marie d’H
e passion religieuse de Louis XIII, qui a été tant célébrée, et à son
amie
la comtesse de Maure ; qu’elle rédigeait elle-mêm
tte époque. Disons quelque chose de La comtesse de Maure, qui était l’
amie
de madame de Schomberg et de madame de Sablé. On
la mort, et avait ce sentiment commun avec la princesse Parthénie son
amie
(madame la marquise de Sablé), qui avait des fray
elle s’informa de ses habitudes au comte de Rochefort dont il était l’
ami
: et « elle apprit, dit-elle, que Lauzun allait q
de la maison sont charmés de son esprit, elle les gouverne tous. Ses
amis
vont la voir ; elle est toujours de très bonne co
ansons, riche, spirituelle et gracieuse au plus haut degré, alliée et
amie
de madame de Sévigné, qui était son aînée de quat
ée et amie de madame de Sévigné, qui était son aînée de quatorze ans,
amie
de madame Scarron, elle réunit chez elle l’élite
ope par air, le Fat modeste, le Faux Magnifique, le Petit Seigneur, l’
Ami
de Cour, le Défiant. Voilà de quoi faire six piec
équence, travaille nuit & jour, finit sa piece, la lit à quelques
amis
qui l’admirent : l’Auteur triomphe ; mais, hélas
ER, les précédents. Le Comte. Pardon, Madame.... Qu’est-ce, mon petit
ami
? Qu’est-ce ? Ne pouviez-vous pas bien m’attendre
rétentions, on refera le Bourgeois Gentilhomme, au seul titre près. L’
AMI
DE COUR. J’ai entendu disputer très souvent sur l
la signification est bien ou mal déterminée. Dans le premier sens, l’
Ami
de Cour présenteroit le même sujet que l’Importan
beaucoup plus encore que le Petit Seigneur : dans le dernier sens, l’
Ami
de Cour offre un caractere plus grand, plus magni
. Oui, si la piece étoit seulement intitulée l’Homme de Cour ; mais l’
Ami
de Cour ne doit être entouré que de personnes ass
personnes assez assorties à sa qualité pour qu’il puisse se dire leur
ami
, & qu’elles puissent le croire avec quelque o
-il sur les gens qu’il aime ? Clénard. Précisément ; & c’est son
ami
même Qu’à soupçonner son cœur est toujours prêt.
De ses ennemis les fureurs, La perfidie & les horreurs De ses
amis
... j’entends des gens qu’on aime, Enfin des trahi
mp; mourrois de tristesse, De perdre en même temps ma fille & mon
ami
... C’est cette juste défiance Que je renferme
. le Maréchal de Catinat, près de Pignerol, d’où le commerce avec mon
ami
ne pouvoit pas être aussi fréquent que lorsque je
brûle de la mettre en action, je dresse mon plan, je le montre à mes
amis
, qui, pour toute réponse, prennent un volume de P
vu plus haut qu’en 1673, à l’époque de la mort de Molière, les trois
amis
qui lui survécurent avaient déjà arrêté le cours
se livra sans partage à la vie pieuse. La Fontaine était, des quatre
amis
, celui qui avait dans l’esprit le plus de notions
ans.… » Racine, homme plus grave, caractère plus élevé que ses trois
amis
, son tenait glorieusement sa marche dans la carri
Montpensier, par le prince de Condé, par la duchesse de Longueville,
amis
déclarés de l’hôtel de Rambouillet. Les souvenirs
hèdre de Racine ; secondement, que Boileau a défendu l’ouvrage de son
ami
contre les gens de l’hôtel Rambouillet. Ne confon
onc avoir eu à se plaindre des intrigues de cette maison, Boileau son
ami
à l’en venger. Nous remarquerons sur la seconde a
es écrivains qui la supposent décriée dans les écrits d’un des quatre
amis
. Dans le fait, Molière, Boileau et elle se plaisa
aussi mince idée de La Rochefoucauld et du cardinal de Retz, intimes
amis
de madame de Sévigné, et chez qui se réunissaient
esoin d’un bien grand discernement pour reconnaître si elles ou leurs
amis
étaient l’objet de satires courantes, il aurait s
tisfaire. Soyons certains que quand madame de Sévigné ménageait à son
ami
le cardinal de Retz la lecture de la sa lire de B
de réserve et de mesure. Vigueul-Marville rapporte qu’il disait à ses
amis
: « Vous voyez la manière dont je parle : sachez
on reproche une liberté plus que gaie. Bientôt il conduit Racine, son
ami
, chez la duchesse, et Racine, qui d’un autre côté
et les plus voluptueuses de sa cour. Molière, le plus âgé des quatre
amis
, le seul à portée de connaître les secrètes dispo
plus répandu parmi les dames du grand monde, donnaient à leurs jeunes
amis
, l’un l’exemple de plaire au roi, l’autre celui d
es, fit l’apologie de Joconde. En 1664, on voit la société des quatre
amis
devenir plus étroite, à mesure que leur talent se
maine, elle s’assemble à la rue du Vieux-Colombier, chez Boileau. Les
amis
soupent ensemble. Chapelle est admis parmi eux co
Comte, serviteur. Le Comte, à Pasquin. Cher Comte ! nous voilà grands
amis
, ce me semble. Lisimon. Ma foi, je suis ravi que
vec elle on ne familiarise ; Et ma maxime, à moi, c’est qu’entre bons
amis
, Certains petits écarts doivent être permis. Le C
re bons amis, Certains petits écarts doivent être permis. Le Comte. D’
amis
avec amis on fait la différence. Lisimon. Pour mo
is, Certains petits écarts doivent être permis. Le Comte. D’amis avec
amis
on fait la différence. Lisimon. Pour moi, je n’en
a naissance Sont un peu délicats sur les distinctions ; Et je ne suis
ami
qu’à ces conditions. Lisimon. Ouais ! vous le pre
unesse & son sexe méritent. Il veut la marier au fils d’un de ses
amis
, jeune homme qui a tout le brillant du grand mond
e vous ne résistiez à la tentation. Vous ne comptez pas assez sur vos
amis
: car vous êtes si réservé, si retenu ! Le Marqui
ce qu’ils songent. La Comtesse. Eh ! qui sont-ils, Marquis ? quelques
amis
comme vous sans doute ? Le Marquis. Bon ! des ami
Marquis ? quelques amis comme vous sans doute ? Le Marquis. Bon ! des
amis
! voilà bien de quoi ! Vous n’en aurez encore de
omtesse, riant. Comment ! vous qui ne voulez pas que j’aie encore des
amis
, est-ce que vous n’êtes pas le mien ? Le Marquis.
t par timidité ? Oh ! en vérité, c’est la pousser trop loin. Et toute
amie
des bienséances que je suis, je ne vous approuve
ire, & je me tairai. Adieu, Comtesse : n’en soyons pas moins bons
amis
; & du moins ayez la bonté de m’aider à me ti
l’ignore, il fait appeller l’acteur qui le représente, Tricottin. Ses
amis
lui firent sentir que ce nom avoit trop de rappor
able & charmant. Philinte. Ad amorem & amicitiam propensus :
ami
& amie, amant & amante. Polemon. Qui bel
charmant. Philinte. Ad amorem & amicitiam propensus : ami &
amie
, amant & amante. Polemon. Qui bello & ar
possible à une femme galante. Elle ne veut point être maîtresse, mais
amie
d’un prince à qui il faut faire perdre l’habitude
Montespan, sont décrits dans la même lettre de madame de Sévigné. « L’
amie
(madame de Maintenon) est encore plus triomphante
e Sévigné écrit à sa fille les détails de l’arrivée du roi : « Le bon
ami
de Quanto avait résolu de n’arriver que quand ell
trente lieues d’ici. Mais enfin tout alla à souhait. La famille de l’
ami
(la famille royale) alla au-devant de lui ; on do
Ce sera dans peu de jours, pourvu qu’il n’y ait point de hourvari… L’
ami
de Quanto arriva un quart d’heure avant Quanto ;
cette promenade que je vous ai dite, mais en tiers avec Quanto et son
amie
(madame de Maintenon) ; nulle autre personne n’y
et la sœur (madame de Thiange) en a été très affligée. La femme de l’
ami
(la reine) a fort pleuré. On dit sourdement que s
me ainsi la discussion : « Pourquoi non ? disaient ses parents et ses
amis
, même les plus vertueux ; madame de Montespan, pa
me de Sévigné appelait le paladin par éminence, et qui était le grand
ami
de madame de Scudéry. Le Misanthrope est sans do
principe : ne serait-ce pas l’intérêt commun de la société des quatre
amis
. Le duc de Montausier aimait Chapelain, protégeai
t-être de plus le dissuader de continuer une protection indéfinie aux
amis
qu’il avait défendus contre la satire. Plaire au
il avait défendus contre la satire. Plaire au roi, servir ses propres
amis
, assurer un libre essor à leurs talents et au sie
i trouvait trop onéreux de la nourrir ; devient à quarante-cinq ans l’
amie
, la confidente d’un roi galant, parvient à le dét
en vérité, pour rien77. »Et Scarron, avant de l’épouser, disait à ses
amis
: Je lui apprendrai bien des sottises, mais je ne
e le dit le duc de Saint-Simon, qui ne lui épargne aucun outrage. Les
amis
qu’elle s’était faits dans le premier rang de la
Saint-Simon a lui-même remarqué madame Scarron dans la maison de cet
ami
, la meilleure et la plus grande maison de Paris,
un petit logement rue Saint-Jacques, et qu’elle y fut meublée par ses
amis
. Elle parle, dans son xie entretien, du temps où
l d’Albret ou de Richelieu, sûre d’être bien reçue et d’y trouver mes
amis
rassemblés, ou bien de les attirer chez moi, en l
ort de son mari, elle refusa d’épouser un homme de qualité, à qui ses
amis
lui conseillaient de s’unir. Dans ce temps-là aus
r, parce qu’elle intéresse l’honneur même d’un grand nombre de nobles
amis
à préserver de tout avilissement l’objet de leur
ame, je vous ai fait attendre longtemps ; mais j’ai été jaloux de vos
amis
: j’ai voulu avoir seul ce mérite auprès de vous.
tôt connoître. Scene II. Dom Félix sort. Il est surpris de voir son
ami
dans la rue ; il lui conte que sa maîtresse est j
arche sur ses pas. Laura sort, en se plaignant de l’étourderie de son
amie
. Scene III. Silvia introduit Lisardo, en lui fa
dit que c’est pour épargner des pas à Marcella qui est venue voir son
amie
. Fabio demande excuse à Marcella de ce qu’il ne l
parcequ’il veut partir ; il craint d’être aimé de la maîtresse de son
ami
. Scene XIX. Marcella défend à Lisardo de partir
qui confirme Lisardo dans l’idée où il étoit que la maîtresse de son
ami
a du goût pour lui. Marcella se cache. Scene XX.
Lisardo toujours plus persuadé qu’il est la cause des malheurs de son
ami
. Scene XXI. Calabacas annonce qu’une dame deman
i ferme la bouche : elle part pour aller occuper l’appartement de son
amie
; la chose est d’autant plus facile, que le pere
& lui ouvre la porte : Dom Félix, désespéré, veut entrer avec son
ami
, on lui ferme la porte au nez. Scene XI. Dom Fé
roi en elle, attestée par la réserve qu’elle garde désormais avec ses
amis
. Les années 1677 et 1678 ne présentent que la co
ois de septembre 1675 pour la première fois, sur le changement de son
amie
à son égard, et à l’application de l’ancien adage
ses conseils à son frère, qui en avait grand besoin. « Les avis d’une
amie
aimable, lui disait-elle, persuadent plus que ceu
agréables que le commerce de l’esprit. Mes compliments à nos anciens
amis
. Madame de Coulanges et moi nous célébrâmes hier
maison. Plus de lettres à madame de Saint-Géran, sa confidente et son
amie
. Plus de lettres à Gobelin, son directeur ; du mo
sécurité sur le dépôt que sa confiance mettait à la discrétion de son
amie
; elle lui devait de rompre toute familiarité qui
e par l’aventure de ces deux comédiens morts ensemble de la mort d’un
ami
? II. Plein de courage, allant et revenant
l acheva ses humanités et sa philosophie. Il eut pour condisciples et
amis
Chapelle, Bernier, Hesnault, le jeune prince de C
tait petit neveu de Guillaume Budé; et que Guillaume Budé avait été l’
ami
de Marot, de Bonaventure Despériers, de Louis Ber
sentiments de Voltaire. « Ô l’heureux temps,écrivait-il un jour à ses
amis
, ô l’heureux temps où nous nous moquions de la co
restât à la comédie qui était, disait-il, sa véritable vocation. Ses
amis
le blâmèrent de refuser un emploi si avantageux;
t, décorations splendides... La Fontaine y était, il en écrivit à son
ami
Maucroix les détails : D’abord aux yeux de l’ass
je ne dis, Ou bien que je n’ose dire, Car il est de la façon De notre
ami
Pélisson. Dans ce prologue la Béjart (Armande),
ts pourront, peut-être, Réparer entre nous l’inégalité d’âge. Ses
amis
non plus n’étaient pas sans le détourner de cette
La petite comédie de la Critique, tissue de fine badinerie, amusa les
amis
, divertit le public, mais irrita davantage. Les l
âme... Pourtant c’était, de mœurs, un homme doux et simple. Quand ses
amis
lui faisaient de la peine avec leurs sages parole
is les larmes passées et la réalité peu à peu s’éloignant, vacillant,
amis
, ennemis, lui-même, le monde entier, lui apparais
la raison... En sorte que, bien souvent, ces conversations avec ses
amis
, lorsqu’il en transportait quelque chose au théât
dialogue intérieur. Ce qui affligeait Alceste dans la sagesse de ses
amis
, c’était qu’ils crussent qu’il eût besoin de mora
t, dans cette même année 1664, le fils de Lamothe Le Vayer, un de ses
amis
, était mort. Molière aimait ce jeune homme, il le
r à Auteuil de temps en temps, avec Chapelle et ses plus particuliers
amis
. Mourut-il de maladie ? Il aurait vu là les médec
cependant, n’aimait la vie tranquille; il le disait quelquefois à ses
amis
en se plaignant de ces agitations qui l’enlevaien
ions qu’il en pouvait donner, et par des lectures fréquentes chez ses
amis
et chez les personnes puissantes, démarches auprè
’elle avait à jouer. XVI. Molière n’avait lu de Tartuffe, à ses
amis
, que jusqu’à l’endroit où Orgon est caché sous la
n de me donner un louis d’or, je viens vous le rendre. - Tiens, mon
ami
,dit Molière, en voici un second. »Puis, se tourna
partement dans la maison d’Auteuil, et lorsque Molière y recevait ses
amis
, c’était lui qui en faisait les honneurs, car dep
nous en chasse ? Sortons-en de nous-mêmes avec gloire, comme de vrais
amis
et comme de vrais sages. Embrassons-nous pour la
ume de nuit au bord de la rivière et leur tient ce discours : « - Mes
amis
, que vous ai-je donc fait ? Quoi ! Vous vouliez a
affaire-là m’embarrassait; elle avait sa difficulté. Adieu, mon cher
ami
, tu juges mieux qu’homme de France. » Cette batt
a prude Arsinoé, c’était Mlle Duparc. Elle joua elle-même ce rôle. L’
ami
du genre humain, Philinte, c’était Chapelle, qui
qui pour être trop à tout le monde n’était point assez à un véritable
ami
. La pièce fut écoutée en silence, sans éclats, s
our les rendre plus vraies, il puisait dans sa vie, dans celle de ses
amis
, chez tout le monde : Lagrange, là-dessus, ne nou
i se passait dans son domestique ; c’est ce que ses plus particuliers
amis
ont remarqué bien des fois. »Ainsi, même pour Alc
on côté, n’avait point de plus grand plaisir que de le produire à ses
amis
: il aimait à leur en raconter l’histoire, à le f
le faire causer devant eux et réciter des vers. Mais c’était au grand
ami
, c’était au public qu’il aspirait de montrer son
pouvaient que l’user vite. On le voyait pâle, décharné, sombre ; ses
amis
commençaient à concevoir des inquiétudes sérieuse
’il vivait plus éloigné de sa femme, il devenait plus tendre pour ses
amis
et plus assidu au travail. En effet, outre qu’il
’ayant point de famille à lui, il allait se reposer dans celle de son
ami
. Il écrivit, en cette même année 1669, pour être
dance de Molière, car tout ce qui sortit de son âme en écrivant à ses
amis
, ou en causant avec eux, il le reprit et le mit d
joua point et qu’il ne fit point imprimer. XXIX. Cependant ses
amis
effrayés des progrès de son mal, Boileau, Mignard
de cet enfant, la belle Mlle Mignard, et pour parrain le frère de son
ami
Despréaux, Boileau Puimorin. L’enfant reçut les n
cimetière Saint-Joseph. Le cortège se composait d’une centaine de ses
amis
, qui le pleurèrent et le bénirent. J’ajoute encor
e fait qu’en rire ; M. le Ford devient jaloux : le premier accuse son
ami
de croire trop légérement tout ce qui flatte sa j
, nommé Mondor, entreprend de subjuguer les maîtresses de deux de ses
amis
; qu’il leur écrit ; qu’elles se montrent les let
fait que rire d’une pareille rivalité ; que le premier reproche à son
ami
son sang-froid ; que le second le raille sur sa j
alousie, &c. Dans les Fausses Infidélités, Dorimene détermine son
amie
Angélique à répondre au billet doux de Mondor, &a
tté par Lucile, tombe malade. Dorval est alarmé par la maladie de son
ami
; il va chez Lucile, & veut l’engager à rassu
ryez tout seul sur le Théatre. Je vous estime trop, lui répondit son
ami
, pour croire que vous ni ayez pas ri, du moins in
dit, (c’est ce M. de Tralage qui parle) que Moliere qui étoit de ses
amis
, l’ayant un jour rencontré dans le jardin du Pala
leur Histoire du Théatre François, qu’en lisant ceci, beaucoup de ses
amis
ne se rappellent de le lui avoir ouï dire. XII
tant rire à la fin du Malade Imaginaire, fut fourni à Moliere par son
ami
Despréaux, en dînant ensemble avec Mlle. Ninon de
ariée pour lors à Guerin d’Etriché, fit quelques poursuites, mais des
amis
communs accommoderent l’affaire. M. & Mde. de
é estropié d’une blessure qu’il reçut au pied en séparant deux de ses
amis
qui se battoient dans la Place du Palais Royal. (
peu blessé sur certaines matieres. XXVIII. Moliere étoit fort
ami
du célebre Avocat Fourcroi, homme très-rédoutable
ryez tout seul sur le Théatre. Je vous estime trop, lui répondit son
ami
, pour croire que vous n’y ayez pas ri, du moins i
rut devoir en être offensé, et en marqua son ressentiment à un de ses
amis
. Comment, lui dit-il, un petit comédien aura l’au
estes d’une ville ; ils observent tout pour le tourner en ridicule. L’
ami
, qui était homme de bons sens, lui dit : Eh ! Mon
’imaginaire. Le bourgeois, quoique peu satisfait de la réponse de son
ami
, ne laissa pas d’y faire quelques réflexions, et
contemporains du poète peuvent amplement satisfaire notre curiosité.
Amis
ou ennemis, panégyristes ou pamphlétaires il n’y
egard obstinément fixé, frappent tout le monde et Boileau appelle son
ami
d’un nom qui doit lui rester, le Contemplateur. C
l’amitié avec une conviction si sérieuse et si ferme, eut beaucoup d’
amis
, et qui comptent parmi les personnes les plus ill
le biographe du bailli-académicien. Plus tard, à Paris, Molière a des
amis
de toute sorte et dans tous les mondes. D’abord C
le, avait fait le meilleur des Fâcheux ; il dut souvent chapitrer son
ami
, pour lequel les parties de débauche n’étaient po
que Chapelle quittait Paris pour aller passer quelques jours chez des
amis
de campagne, il envoyait à Molière d’excellents p
, on regrette de ne pouvoir plus reconnaître Molière parmi les quatre
amis
qui s’en vont écouter, dans les jardins de Versai
ue l’on sait, plaida courageusement auprès de Colbert la cause de son
ami
, « mauvais courtisan, » qui donnait plus à l’étud
’aimait pas à « fatiguer les portiers » des grands. Il avait un autre
ami
intime, le physicien Rohault, et à tous deux « il
pales relations, pour revenir à la haute société, nous y trouvons des
amis
de Molière, et de tout degré. Il était assidu che
Vivonne, dont Boileau mettait l’estime à si haut prix, était aussi l’
ami
de Molière, et Voltaire va jusqu’à dire qu’il « v
n louis d’or en disant qu’il y avait sans doute erreur : « Tiens, mon
ami
, lui dit-il, en voilà un autre. » Et il ajoutait
ou de petites sommes aux débiteurs les plus variés, gros personnages,
amis
, petites gens : l’inventaire dressé après sa mort
andre mettent leur bourse et leur dévoûment à la disposition de leurs
amis
dans l’embarras. On devinerait, en les lisant, si
e, il étoit prévenu que c’étoit une vertu ; de sorte que celui de ses
amis
qui étoit le plus régulier et le plus arrangé éto
tation prolongée, parfois déchirante. Six ans avant Psyché, un de ses
amis
, La Mothe Le Vayer, qui faisait profession de phi
en 1665, sa sœur Madeleine Boudet ; en 1669, son père ; en 1672, son
amie
Madeleine Béjart et un second fils. Ces coups rép
y donnait parfois des soupers bruyans, c’était pour le plaisir de ses
amis
plutôt que pour le sien propre, car, au moment où
quelque temps des sobriquets acceptés par le public et sous lesquels
amis
et ennemis le désignaient communément. Pour ses g
Jodelet pour camarade. Mais surtout il fut toute sa vie l’élève et l’
ami
du grand Scaramouche. Aussi, écoutez ses ennemis
i les plus honorés de ses contemporains. Louis Racine prétend que les
amis
du poète lui conseillaient avec instances de pren
, car le personnage devait être intéressant. Il était, semble-t-il, l’
ami
des comédiens du Palais-Royal, quelque chose comm
r la comédie, le fit solliciter inutilement par tout ce qu’il avait d’
amis
, de quitter cette pensée. Enfin, il lui envoya le
que son fils avait pris, le fit solliciter par tout ce qu’il avait d’
Amis
de quitter cette pensée, promettant s’il voulait
n’exerçât pas ses forces. Ni les prières, ni les remontrances de ses
Amis
soutenues de ces promesses ne purent rien sur son
gens dès qu’ils ne les voient plus . . . . Conserve précieusement un
ami
qui ne te manquera de sa vie . . . . Encore une f
recommande mes espérances, mon bonheur & ma vie...... Adieu, mon
ami
; bon voyage. Philocrate. Et vous, mon maître, ay
dieux ? Mais ils sont trop simples. Ils auroient dû s’écrier : Oh mon
ami
! oh amitié ! oh générosité ! oh grandeur d’ame !
e s’il connoît Philocrate. Aristophonte assure qu’il est son meilleur
ami
& son compagnon d’armes. Il se prépare à serr
e est donc un important mystere ? Orgon. C’est un dépôt qu’Argas, cet
ami
que je plains, Lui-même, en grand secret, m’a mis
ré d’une épouse, d’une mere, d’un frere, d’un fils, d’une fille, d’un
ami
, qui déplorent son malheur, qui l’exhortent à pre
os biens, Et vous pardonne enfin cette offense secrete Où vous a d’un
ami
fait tomber la retraite : Et c’est le prix qu’il
! c’est le sujet de l’Imposteur que tu nous débites. — Eh ! oui, mes
amis
. A-t-on si grand tort de dire que nombre de coméd
on : il pourra le voir dans moins de trois jours. Action. Milford,
ami
de Belton, apprend son retour, vole dans ses bras
nte, la voit venir, & sort. Belti est enchantée de retrouver son
ami
après quelques instants d’absence : tout le monde
t étonnée que Belton refuse : celui-ci la prie de le laisser avec son
ami
: elle est fâchée qu’il ait des secrets pour elle
de pouvoir rendre bon compte de son voyage à ses parents & à ses
amis
, il résolut de se défaire d’Yarico à son arrivée
t dans ses yeux. Tu es séparé de ce que tu aimes, dit-il ! tiens, mon
ami
, voilà deux cents sequins, retourne chez toi, soi
demande le sien pour lui faire remettre son argent à mon retour. Mon
ami
, me dit-il, en me prenant par la main, j’ignorois
chand demande, ainsi que du fidele domestique. Hassan, seul avec son
ami
, se livre à la joie : mais Dornal ne peut la part
c’est. Que fais-tu ? L’Espagnol. Rien. Hassan. Tant pis pour toi, mon
ami
, tu dois bien t’ennuyer. (A Kaled.) Vous n’avez p
ndres pour se marier à Valence. Son premier empressement est pour son
ami
: il l’emmene chez sa future, & le prie de lu
cte II. La Scene est dans l’appartement de Léonor. Léonor & son
amie
Isabelle s’entretiennent de leurs amours, découvr
lui. Léonor le déteste : elle est éprise de Don Garcie, frere de son
amie
; mais, hélas ! c’est inutilement, son pere va di
e. Don André projette tout bas de mettre à profit la confiance de son
ami
. Mogicon, qui connoît les mœurs corrompues de son
u’il doit prendre à Léonor ; ce qui rendra vraisemblablement son faux
ami
moins criminel, & qui affoiblira désormais to
poux. Isabelle se fait entendre à travers la cloison, & dit à son
amie
que son frere meurt de désespoir si elle ne lui a
Sa passion est la plus forte : il va couronner sa perfidie envers son
ami
. Mogicon frémit de la démarche de Don André : le
art de son incertitude. Il ne sait si Don Garcie est coupable, ou son
ami
. Don Félix lui conseille de questionner la suivan
André attend son adversaire ; il y court pour punir son trop perfide
ami
de la violence qu’il a voulu faire à sa femme. LA
-il, à Don André, je te le pardonnerois ; il est ton maître & mon
ami
». Alors Mogicon est à son aise. Il proteste n’av
e Don André. Don Juan, plus certain de la scélératesse de son indigne
ami
, va fondre sur lui ; mais le traître trouve le se
onne-là, ma voisine ? Mad. Dubuisson. Vraiment oui ; c’est une de nos
amies
, une fort honnête fille, qui postule pour chanter
s-ci, Mademoiselle ? L’Orange. Trois Officiers de Dragons de mes bons
amis
qui m’ont engagée d’y venir en vendanges : comme
Que de vouloir tromper un tel mari. Or bien je vois qu’il te faut un
ami
; Trouvé ne l’as en moi, je t’en assure. Si j’ai
vez-vous bien que vous vous attirerez mille coups de bâton, mon petit
ami
? Charlot. Mille coups de bâton ! C’est beaucoup,
ame de Thianges, sœur de madame de Montespan, et madame d’Heudicourt,
amie
commune de la favorite et de madame Scarron, s’en
oi, sans m’en donner positivement la clef, peuvent faire penser à mes
amis
qu’on me tend un piège. Cependant, si les enfants
éducation qu’on voulait lui confier, n’étaient que des parents ou les
amis
particuliers de madame de Montespan. Le duc de Ri
de Montespan. Le duc de Richelieu, le marquis de Louvois, étaient ses
amis
; le duc de Vivonne était son frère, madame de Th
qu’il était un ladre verd, parce qu’il n’était pas prodigue pour ses
amis
. Il était aussi très clair pour madame Scarron qu
riosité ne cherchât pas l’emploi du temps qu’elle aurait dérobé à ses
amis
. Elle nous apprend qu’elle travailla à meubler el
égligées. Madame de Maintenon, dans son 3e entretien, répondant à une
amie
qui la plaignait de ne pouvoir consulter personne
e. Un malheureux procès vous brouille avec mon pere : Mais vous fûtes
amis
: il m’aime tendrement ; Le procès finiroit par s
e aujourd’hui termine nos procès, « Et que le don d’un fils qu’un tel
ami
protege, « Entre votre hôte & moi renouvelle
à jamais « La vieille amitié de college ». Métrophile. Maîtresse,
amis
, parents, puisque tout est pour vous, Aimez donc
mon pere !... Enfin je vous possede ! Damis. Sans en moins estimer l’
ami
qui vous la cede ? . . . . . . . . . . . . . . .
t quel est le coupable. Il sort pour lui obéir. Cassandre console son
amie
& dit qu’elle est plus à plaindre qu’elle, pu
Dieux ! ne sortez pas. Le Comte, la repoussant. Je suis trahi... Mon
ami
, donnez-moi mon épée. Eugénie. C’est mon frere. L
se promene dans son parc après avoir fait un dîner agréable avec ses
amis
, entre chez un de ses fermiers nommé Adams, est f
e mot va se lancer en trait de feu dans le cœur de Thatley. Un de ses
amis
, nommé Thoward, rit de sa passion, propose au Fer
e somme : le pere frémit d’indignation : le Lord désavoue son indigne
ami
: sa tendresse prend de nouvelles forces : il ne
u Lord Dirton, son oncle, dont il attend des biens considérables. Ses
amis
, informés de son dessein, le raillent. Thowart tr
owart trouve, dit-il, un bon expédient pour accorder l’honneur de son
ami
avec la jouissance de Fanni : il lui conseille de
simplement une parole que j’avais donnée en publiant Stendhal et ses
amis
2, examiner les notes consacrées à notre plus gra
quoi il se rapproche de Balzac). J’ai jadis raconté4 comment mon
ami
, M. le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul, m’appo
par l’examen d’un volume annoté par Stendhal, que m’a donné un de mes
amis
, et en publiant différentes pièces encore inédite
te que la mienne de 1804. » J’avais déjà marqué dans Stendhal et ses
amis
, p. 18, les raisons8 qui prouvent que l’exemplair
9. IV. Le Molière de Grenoble Je marquais, dans Stendhal et ses
amis
, p. 12, comme existant dans les manuscrits de not
Plan du 27 germinal n. La pièce des Deux Hommes, cf. Stendhal et ses
Amis
, p. 110. XIII — F. 112 recto à 133 recto :
d Mayrargues. Elementari sulla poesia Il y a quelques années, mon
ami
M. Alfred Mayrargues, auteur d’un travail estimé
re était accompagné de la lettre suivante : V. d’Avray, samedi. Cher
ami
, en arrivant à V. d’Avray, j’ai pratiqué des foui
, en 1865 il m’avait présenté à Civita-Vecchia à l’archéologue Bucci,
ami
intime de Stendhal ; le Bucci était des plus char
e annoté par Beyle — dossier complet. — Le tout vous appartient, cher
ami
, par droit de conquête et d’amitié. Cordialement
onsacrer que quelques instants, il vous aurait montré tout ce que son
ami
lui a légué par testament. Quoi qu’il en soit, M.
e le voir mardi soir, il m’annonce sa venue à Civita pour recevoir un
ami
, mercredi matin. Amitiés dévouées à M. le Baron.
in, Corpus Domini, 1836. Je n’ai pas dîné pendant 26 jours mon noble
ami
, et les diners que je fais actuellement méritent
que. La tête est faible, je lis des romans et je pense beaucoup à nos
amis
, signes de faiblesse. Je me suis traîné à la Muta
Mais je ne vivrais pas comme eux, ils passent leur soirée avec 7 à 8
amis
inférieurs, et approuvent tout et vont au Bal che
VII. Stendhal bibliothécaire49 Les lecteurs de Stendhal et ses
Amis
savent que l’année 1828 fut celle pendant laquell
eux en qui on reconnaît de grands défauts. » B : « Nous dominons nos
amis
et nos ennemis plus par nos défauts que par nos v
ue par nos vertus. Mme de Staël. » II, pages 30 et 31 : V : « Si nos
amis
nous rendent des services, nous pensons qu’à titr
: « Si nos amis nous rendent des services, nous pensons qu’à titre d’
amis
ils nous les doivent, et nous ne pensons pas du t
Alceste ……… Je veux qu’on me distingue ; et, pour le trancher net. L’
ami
du genre humain n’est point du tout mon fait. On
in d’impertinence ! Philinte devait lui répondre en riant : mon cher
ami
, « Passez la Manche », car le vrai ridicule d’Alc
s ce petit coin sombre avec mon noir chagrin. Fleury n’est nullement
ami
(de Philinte), c’est une faute. Philinte C’est u
i des Sots et des Tristes dans la plupart des expositions, on voit un
ami
qui satisfait la curiosité de son ami. Ce sont là
art des expositions, on voit un ami qui satisfait la curiosité de son
ami
. Ce sont là les meilleures, elles sont raisonnabl
e mot pauvre n’irait point dans l’amitié. On attend du secours de son
ami
ainsi ce ne peut pas être une qualité pour lui qu
tes, si Orgon est moliniste comme il y a apparence. Un grand seigneur
ami
de Cléante ferait appeler Tartuffe, et éblouissan
nou[velle] au raisonnement par lequel il s’est décidé. Les préjugés,
ami
, sont une loi du vulgaire, est une chose fort vr
riste avoir, à apprendre au malheureux, une banqueroute, la mort d’un
ami
, la perte d’une place. Il faut qu’il y ait un rid
st… pour lui demander le secret sur une intrigue qu’il a avec une des
amies
de la Prude, intrigue qu’il craint que celle-ci n
ers, tout nous sera soumis : Nul n’aura de l’esprit, hors nous et nos
amis
. Vers excellent mais qui avait besoin d’être ame
and Attention ». ( Bacon’s Essays, Of Studies). 2. Stendhal et ses
amis
. Notes d’un curieux, in-4, 1890. 3. Stendhal et
hal et ses amis. Notes d’un curieux, in-4, 1890. 3. Stendhal et ses
amis
, p. 2. 4. Stendhal et ses amis, p. 17. 5. Mol
ux, in-4, 1890. 3. Stendhal et ses amis, p. 2. 4. Stendhal et ses
amis
, p. 17. 5. Molière, I. p. 426. 6. Molière, I,
i lit Byron. 38. Cf. la vraie inscription, p. 133 de Stendhal et ses
amis
. 39. Oxberry’s Edition. — Hamlet, a tragedy ; B
sprit qui florissait à Grenoble, vers 1770 grand-père je crois de mon
ami
, le Vicomte. 81. Bibliothèque britannique, réd
r de Cotin ; sa mort ; la pièce de Molière n’y contribue en rien. Les
amis
de Molière veulent le faire renoncer au théâtre,
tes froideurs de celle qu’il crut trop longtemps digne de son amour ;
ami
généreux, il se vit trahi par ceux qu’il avait co
de rhétorique, M. Luillier, père de Chapelle, détermina Gassendi, son
ami
, à se charger de lui enseigner la philosophie. Le
amitié qui avait existé déjà entre nos parents, j’avertis de tout les
amis
de Boissat, qui étaient nombreux et bien choisis
omme la comédie a des charmes, je ne pus si tôt quitter ces charmants
amis
; je demeurai trois mois à Lyon parmi les jeux, l
ais, ajoute-t-il, comme un homme n’est jamais pauvre tant qu’il a des
amis
, ayant Molière pour estimateur et toute la maison
mis, ayant Molière pour estimateur et toute la maison des Béjart pour
amie
, en dépit du diable, de la fortune, je me vis plu
r ces généreuses personnes ne se contentèrent pas de m’assister comme
ami
, elles me voulurent traiter comme parent. Étant c
ur gloire mutuelle : Mignard laissa à la postérité le portrait de son
ami
; Molière, nouvel Arioste d’un autre Titien, cons
e conquérir des admirateurs à Paris, il y comptait du moins d’anciens
amis
et un protecteur puissant, le prince de Conti, à
ent préparé ou donné, ces derniers se proposaient de faire appel. Ces
amis
de Molière (c’est l’un d’eux, Vinot, et un de ses
Vinot, et un de ses camarades, La Grange, qui nous l’apprennent), ces
amis
de Molière, au commencement de 1658, « lui consei
t pas le genre dans lequel excellaient Molière et ses camarades : ses
amis
se bornent à dire qu’ils n’y déplurent point ; le
rare aménité de mœurs, et sûr dans le commerce de la vie, il devint l’
ami
de Molière, et donna en 1682, avec Vinot, la prem
n témoigna hautement son ressentiment. Il voulait l’attaquer, mais un
ami
obligeant s’efforça de lui faire entendre qu’il n
t entier. Il était couché dans une même chambre avec plusieurs de ses
amis
; il se mit pendant la nuit à parler très haut à
t, et combien au contraire Boileau, qui du reste ne flatta jamais son
ami
, était fondé à le qualifier de Rare et sublime e
du pédant Caritidès. Ses envieux ne manquèrent pas d’attribuer à son
ami
le succès de la pièce ; celui-ci ne s’en défendit
n amphitryon du fabuliste, et l’abbé de Villiers raconte qu’un de ses
amis
s’était trouvé durant plus de six mois à la même
es ; mais le législateur du Parnasse, qui comptait des parents et des
amis
dans le parlement, eut assez de crédit, ou plutôt
poète se mit à l’ouvrage. La Grange-Chancel raconte avoir entendu des
amis
de Racine assurer que, pressé par le temps, il em
asion) que ce soit là le seul mérite de notre premier comique que son
ami
veuille bien remarquer. Nous pèserons plus tard l
e et ne saurait se plaire, Molière s’était écrié en interrompant son
ami
qui lui lisait sa satire : « Voilà la plus belle
ge ses gens de distribuer ses aumônes et fait faire antichambre à ses
amis
. La pratique de la charité était habituelle chez
ein de me donner un louis d’or. Je viens vous le rendre. — Tiens, mon
ami
, dit Molière, en voilà un autre. » Puis il s’écri
x filles des rois. Ce commerce dura quelque temps ; mais d’obligeants
amis
, d’autres disent un amant trompé, l’abbé de Riche
ont semblé fort justes et fort agréables. Je m’assure que de ses bons
amis
, que je connais et que j’estime extrêmement, ne m
lléniste que mordant satirique, leur avait forgés à la demande de son
ami
. Suivant un docteur contemporain qui trahit plus
« Molière rêvait un jour dans son jardin d’Auteuil, quand un de ses
amis
, nommé Chapelle, qui s’y venait promener par hasa
t aimé, il céda à l’envie de se soulager, et avoua de bonne foi à son
ami
que la manière dont il était obligé d’en user ave
en de vous mettre l’esprit en repos.” « Molière, qui avait écoulé son
ami
avec assez de tranquillité, l’interrompit pour lu
, sans en pouvoir triompher ? — Je vous avoue à mon tour, lui dit son
ami
, que vous êtes plus à plaindre que je ne pensais
on cœur fût aussi accessible au sentiment de l’amour. Sans doute, ses
amis
pouvaient exprimer ce regret ; mais la postérité,
e avec mademoiselle Molière, il renoua ses liaisons avec son ancienne
amie
. Quelqu’un lui témoignait un jour son étonnement
me l’admiration de la postérité les réunit après leur mort. « Quatre
amis
, dont la connaissance avait commencé par le Parna
erie de l’ancienne cour, Molière était presque aussi distrait que son
ami
. Ayant un jour loué une brouette pour se faire ro
ine », ne voulait point prendre celle de faire disparaître ce que son
ami
trouvait de répréhensible dans ces vers, et l’aut
Le satirique n’avait pas la même déférence pour les jugements de ses
amis
. Molière, auquel il lisait tous ses ouvrages, ne
a Fontaine ; nom que la postérité, en sanctionnant le jugement de son
ami
, lui a religieusement conservé. Cette anecdote, q
apportant ces circonstances, Bret ajoute que M. de Saint-Gilles était
ami
de Molière, et que, dans cette occasion, « le cœu
lir quand il se voyait forcé par sa conscience à se prononcer pour un
ami
vivant contre son bienfaiteur mort ; c’eût été de
ontroverse avec Boileau, Chapelle et le célèbre avocat Fourcroy, leur
ami
commun, celui-ci, dont les poumons étaient des pl
out du charme à ces réunions ; mais, tout en riant de ses folies, ses
amis
le blâmaient souvent de la source à laquelle il a
ons conseils. Mais, pour les recevoir plus à l’aise, il propose à son
ami
d’entrer dans une maison voisine : c’était un cab
. Chapelle rend compte, dans une Épître à M. de Jonsac, d’un souper d’
amis
auquel il se trouvait, au cabaret de la Croix-de-
été habituelle de Molière. Il déplorait au contraire les excès de son
ami
, et disait à Baron : « Je ne vois point de passio
on plus indigne d’un galant homme que celle du vin : Chapelle est mon
ami
, mais ce malheureux faible m’ôte tous les agrémen
recommandait également à son jeune élève « de ne point sacrifier ses
amis
, comme faisait Chapelle, à l’envie de dire un bon
il appelait en riant son médecin, et qui s’honora toujours d’être son
ami
, M. de Mauvillain. C’est pour le fils de ce docte
l’oubli des ennuis et des chagrins qui le poursuivaient chez lui. Ses
amis
venaient souvent l’y visiter. Un jour qu’il souff
Quoi ! vous voulez vous noyer sans moi ? Je vous croyais plus de mes
amis
. — Il a parbleu raison, dit Chapelle ; voilà une
e, par son inconstance en amour ; l’autre, par sa fidélité envers ses
amis
; toutes deux par leur grâce et leur esprit, Nino
e attachement pour La Fontaine la portait à rechercher la société des
amis
du fabuliste. Un auteur presque contemporain nous
en vain dans la conduite d’un poète célèbre qui, après s’être dit son
ami
, ne sembla payer que par l’ingratitude les servic
leury n’est point écouté à la cour. » Quoi ! celui qu’il appelait son
ami
, que l’on peut appeler son bienfaiteur, est lâche
autres dans la tragédie, sans considération pour les intérêts de son
ami
, autorisa secrètement la troupe rivale à étudier
rt souvent du premier feu de la dispute ; mais, poussant rudement son
ami
à bout, il alla jusqu’à l’insulter ; si bien, dit
les fit cesser entièrement. Dans le temps même où Molière perdait son
ami
, la mort vint lui enlever une protectrice. La Rei
il n’oublierait jamais”. Tellement qu’ils se séparèrent les meilleurs
amis
du monde, et que ce fut une nouvelle scène pour l
uelquefois témoin des querelles du premier ménage, les rapporta à son
ami
, qui en sut faire son profit. Celui-ci ne parlait
la galerie y fut trompée ; aussi Molière restait confondu, quand son
ami
, après avoir joui un moment de son embarras, s’av
e pas d’avoir le don de l’invention, ni le génie de la poésie, et ses
amis
avouent librement que ses pièces sont des jeux de
rudesse, la religion zélée, mais sans aveuglement. Le protecteur et l’
ami
de Boileau et du grand Corneille, le magistrat qu
crédit de la faire défendre ; néanmoins les comédiens eurent assez d’
amis
auprès du Roi pour la faire réhabiliter. Celui qu
mie de son style, ont pensé qu’il ne fallait l’attribuer qu’à quelque
ami
qui l’aurait composée sous ses yeux. Il importait
es répandues contre lui et son ouvrage pour confier ce soin même à un
ami
. D’un autre côté, il sentait que sa défense n’arr
gulière même à ceux qui ne la jugeront pas invraisemblable. Un de ses
amis
lui fit observer qu’il y avait dans le monde un D
lusion, se trouvant sur la place du Palais-Royal, aperçut deux de ses
amis
qui venaient de mettre l’épée à la main l’un cont
satire contre le même chef-d’œuvre, adressée à l’auteur par un de ses
amis
. Les noms de ces deux pamphlétaires sont demeurés
ses flatteurs. Molière prend à tâche de justifier la conduite de son
ami
dans des vers qui démontrent toute l’indépendance
s anciens n’ont pas aussi heureusement rencontré. » Et voilà les bons
amis
de cour ! Paris fut tout d’abord de l’avis de Lou
onie du muphti. On a aussi affirmé, du temps de Molière, qu’un de ses
amis
, Rohault, lui avait servi d’original pour tracer
ein de lumière, N’est qu’un fat en toute manière… Tu m’en crois bien,
ami
lecteur ; Pour moi je l’aime et le révère, Oui, s
re Ne cadre point à gros seigneur. » « Il fut pourtant autrefois mon
ami
, et je crois qu’il le serait encore, si ses excel
je ne fais la musique auprès des Rois que pour ma gloire et pour mes
amis
, sans intérêt. Cependant, ayant été averti qu’au
ès bien que vous n’avez point de plus grand estimateur ni de meilleur
ami
que moi, qui suis et serai encore, après cela, to
a comme frappé de la foudre ; qu’il n’osait plus se montrer ; que ses
amis
l’abandonnèrent ; qu’ils se firent une honte de c
Fontenelle, un poison lent. Après le succès des Femmes savantes, les
amis
de Molière renouvelèrent auprès de lui les tentat
et du Tartuffe. Boileau fut chargé de cette négociation auprès de son
ami
: « Votre santé, lui dit-il, dépérit, parce que l
02. Chapelle montra également la plus vive douleur à la mort de son
ami
. « Il crut avoir perdu toute consolation, tout se
l possédait celles qui font l’honnête homme. Il était généreux et bon
ami
, civil et honorable en toutes ses actions, modest
e enfants. Mademoiselle Guérin commença quelques poursuites. Mais des
amis
communs accommodèrent l’affaire. Les amants s’uni
illes funèbres qu’on recueillit comme étant celles des deux illustres
amis
ne reçurent pas les honneurs pour lesquels on ava
et acteur, un buste du fondateur de la vraie comédie, du père et de l’
ami
des comédiens. En 1818 une feuille quotidienne103
elle Boileau, qui du reste ne cessa un seul instant de se montrer son
ami
sincère, jugea trop longtemps ses productions, qu
ant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si, moins
ami
du peuple, en ses doctes peintures, Il n’eût poin
a préférence, il a faussement prétendu que Molière s’était montré « l’
ami
du peuple en ses doctes peintures ». Serait-ce da
que ce critique, en relevant une inconvenance dans les œuvres de son
ami
et en leur prêtant d’innombrables imperfections,
par aucune censure les éloges qu’il accorda aux chefs-d’œuvre de son
ami
. Mais des éloges vagues ne pouvaient détruire l’e
uoi, se charge d’exposer la plainte de Molière : Molière, notre cher
ami
, Que nous n’aimons pas à demi, Depuis quelque tem
« Molière rêvait un jour dans son jardin d’Auteuil, quand un de ses
amis
nommé Chapelle, qui s’y venait promener par hasar
t aimé, il céda à l’envie de se soulager, et avoua de bonne foi à son
ami
, que la manière dont il était obligé d’en user av
, sans en pouvoir triompher ? — Je vous avoue à mon tour, lui dit son
ami
, que vous êtes plus à plaindre que je ne pensais
c Philinte, le misantrope redevient-il lui-même ; on est seul avec un
ami
, et son caractère qui, devant Oronte et Célimène
que l’intention du poète est bien de le rendre tel, c’est celui de l’
ami
Philinte qu’il met en opposition avec le sien : c
ôté de votre mémoire, & que vous ne reconnoissiez pas le meilleur
ami
de toute la famille des Pourceaugnac ? M. de Pour
ogis que le mien. . . . . . . . Je ne souffrirai pas que mon meilleur
ami
soit autre part que dans ma maison. . . . . Ne
it l’artificieux Ordogno, je n’en crois rien : vous n’oubliez pas vos
amis
si facilement, & je vois bien que présentemen
ndant que je vous tiens, & je ne veux pas qu’il soit dit que deux
amis
qui avoient tant d’envie de se revoir, se soient
riction, et en déprime tous les censeurs sans exception. Ce service d’
ami
se conçoit. Ce qui le rend plus compréhensible, c
die lui fût dédiée. La ligue du roi, de la cour, de Molière et de ses
amis
, était donc manifeste non seulement contre les ex
éance de tous les temps et de tous les pays. Racine, celui des quatre
amis
dont le caractère avait le plus d’élévation, celu
loge avait le plus de poids, et qui donnait à l’agrégation des quatre
amis
le plus de sûreté et de stabilité, parce qu’il ét
’étoit assez la coûtume en ce tems-là de representer des Pieces entre
amis
: quelques Bourgeois de Paris formerent une Troup
un autre, jamais il n’en a voulu dire la raison, même à ses meilleurs
amis
. Moliere dans les representations de ses Comédies
omédie, & la place qu’on lui proposoit fut donnée à M. Simon. Ses
amis
le blâmerent de n’avoir pas accepté un Emploi aus
oût, & qu’à faire subsister sa Troupe. Il avoit un grand nombre d’
amis
distinguez dans la Republique des Lettres, entr’a
ses Ecrits, Peut-être de son Art eût remporté le Prix ; Si moins
ami
du Peuple en ses doctes peintures, Il n’eût poi
: cependant son convoi n’en fut pas moins nombreux, plusieurs de ses
amis
, & d’autres personnes zélées pour sa gloire,
us avez faite. La mort, en vous ravissant un confrère, m’a privé d’un
ami
. M. Laujon avait daigné sourire à mes premiers es
me de la médisance, ne fut jamais chez lui que l’éclair de la gaieté.
Ami
du plaisir, il respecta la décence ; chantre de l
me ; et M. Laujon déposa par prudence ces dangereux ouvrages chez son
ami
M. Després ; mais, peu de temps après, étant mena
acé d’une vente forcée de tout son mobilier, M. Laujon court chez son
ami
, retire les livres, et les replace dans sa biblio
’homme religieux ; tu saurais séparer le faux philosophe du véritable
ami
de la sagesse ; le novateur factieux, du citoyen
rtinente, et la conclusion ridicule (4). » Et, là-dessus, lui ou ses
amis
se plaisent à nous faire admirer les charmes de c
sacré; il ne cessait de parler, de plaider, d’écrire en faveur de ses
amis
, Galien, Hippocrate et les autres. « Ne perdez pa
ison). »En sorte qu’il serait tout aussi juste de faire de M. Janet l’
ami
de la scolastique et des jésuites, que de Molière
oment où notre poète venait de terminer ses humanités, le père de son
ami
Chapelle, voulant léguer à ce fils naturel, à déf
gea Gassendi à lui donner des leçons. Molière avec deux autres de ses
amis
, Bernier et Hesnault, fut admis à y prendre part,
réciter et à amuser par ses récits spirituels le cercle étroit de ses
amis
intimes. Plus tard, il passait ses journées, à pe
traces de cette philosophie qui, disait-il ne se révèle qu’à quelques
amis
dans le silence et la tranquillité ; heureux de p
s’affaiblir les battements de son cœur, il posa dessus la main de son
ami
, et ferma les yeux en lui disant : « Vous voyez c
les plus atroces calomnies, ses parents oublier jusqu’à son nom, ses
amis
le trahir, celle qui possédait son cœur, le tromp
ent tort, en effet, il faut oublier que Gassendi était appelé par son
ami
Gui Patin « on vrai épicurien mitigé. » Il faut o
je savois à peine le nom, accourt à moi. — Eh ! vous voilà, mon cher
ami
, me dit-il en me serrant la main ! comment vous p
ent trop chargé. Il recommence à jaser. — Si je me connois un peu, un
ami
tel que moi vous serviroit au moins autant que Va
, sans quoi il couroit risque de perdre un procès. — Vous êtes de mes
amis
, me dit-il, aidez-moi un moment. — Moi ! que je m
. . Pendant ce bel entretien, se présente Fuscus Aristius, un de mes
amis
, & qui connoissoit mon homme à merveille. On
is certain repas à rendre. Ah ! parbleu, j’en veux être, étant de tes
amis
, Et manque au Maréchal à qui j’avois promis. De l
tyr ? Je regrette encore dans Moliere, ainsi que dans Regnier 16, cet
ami
d’Horace qui connoît son embarras & qui se fa
doute, se renouveler, auprès des « principaux magistrats, »— par les
amis
intimes du premier président Lamoignon,— des inst
à couvert. »Quelques semaines après (28 septembre), il annonce à son
ami
la découverte de la conspiration où se matérialis
oubliés, ni quelques passages des premières poésies de Boileau (alors
ami
et commensal des plus avancés « libertins »), où,
proscrit de la capitale par un terrible prêtre, plus puissant que les
amis
que Molière pouvait avoir déjà, par son père, à l
, quelques années après, avoir trouvé un défenseur. II était devenu l’
ami
, le confident, il fut, dit-on, sur le point de de
aient à des partis religieux diflerens : c’est le Père jésuite Rapin,
ami
et « domestique » de Lamoignon, c’est le jansénis
n, ami et « domestique » de Lamoignon, c’est le janséniste Des Lyons,
ami
de Nicole et de Port-Royal. Sans doute, pour aucu
répondit que c’étaient railleries ; il prend Charpy pour le meilleur
ami
qu’il ait. » On avouera qu’il est difficile de ne
ne veut pas dire, assurément, qu’ils n’y introduisirent pas de leurs
amis
. Si l’on pouvait conférer toutes les listes des C
» Toutefois cette admission, par la Compagnie du Saint-Sacrement, d’
amis
des Jésuites, n’allait pas jusqu’à s’inféoder à e
’a remarqué M. Allier, qu’à partir de 1656, M. de Liancourt, le noble
ami
d’Arnauld et de Pascal, ne parut plus dans la Com
de son esprit, M. de Renty, donnait sur son lit de mort à ses intimes
amis
le conseil de se détacher des opinions du Janséni
les soins d’une mère tendre cette santé chétive. Elle rappelait à ses
amis
trop bruyants, que le maître avait besoin de sile
le fameux souper d’Auteuil, lorsqu’au point du jour, Chapelle et ses
amis
, las de vivre et de se plaindre, ivres par-dessus
mes, voilà certes le beau moment de la vie et de l’action de Molière.
Ami
du peuple, et favori du roi Louis XIV, on a pouss
. En revanche, avec la gloire, la fortune était arrivée. Il avait des
amis
qui ne le quittaient guère. Un beau logis à la vi
ons-nous ? Déjà sa santé déclinante inquiétait ses admirateurs et ses
amis
. Cependant, il trouvait encore assez de force pou
frances, et s’amusant des plus tristes pronostics. Mais le roi et ses
amis
bien portants, et madame de Montespan, dans tout
e directeur de théâtre. Il avait craché le sang le malin même, et ses
amis
demandaient un relâche..… Il voulut tenir sa paro
and poète qui ne pouvait plus l’amuser. Et pendant que Despréaux, son
ami
, écrivait à sa louange une touchante élégie, tout
eaux. Deux prêtres suivaient, sans prières. O misère inattendue ! cet
ami
du peuple aurait été bien malheureux, si quelqu’u
chercher un asile en terre, étrangère ; il exile ou fait arrêter les
amis
et les domestiques de cette reine proscrite et me
le malade que quand la mort lui eut fermé les yeux, bien que tous les
amis
de la maison s’en fussent éloignés. Ce fut le réc
s offices à personne. Boisrobert lui dit que le cardinal la priait en
amie
de lui donner avis de ceux qui parlaient de lui d
six cents nummes, somme très considérable pour un esclave. Un de ses
amis
, nommé Sagarestion, qui est esclave chez un riche
de revenir dans sept jours avec les bœufs. Le frippon court chez son
ami
, & la concubine est achetée. Tout va bien pen
pproche. Toxile a trop d’honneur & de conscience pour exposer son
ami
aux plus affreux châtiments : il va trouver un Pa
uc, son valet-de-chambre ; le Prince, celui qui porte le titre de son
ami
: alors ces intriguants en chef font agir les bai
pe avec six mille livres de pension. Il représenta à Sa Majesté que d’
ami
de ses camarades il deviendroit leur ennemi, et q
l deviendroit leur ennemi, et qu’il aimoit infiniment mieux être leur
ami
et leur confrère que leur chef. Le Roi admira ce
son absence que lorsqu’il étoit présent. C’est ce qu’il marque à son
ami
Racine lorsqu’il lui dit, Ep. VII : Avant qu’un
le don de l’invention, ni le génie de la belle poésie25, quoique ses
amis
même convinssent que dans toutes ses pièces le co
ouffroit impatiemment le courtisan empressé, flatteur, médisant, faux
ami
. Il prenoit plaisir à décharger sa mauvaise humeu
Chapelle 30, fils naturel d’un maître des Comptes31, étoit l’intime
ami
de Moliere et les délices des bonnes compagnies e
rant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si, moins
ami
du peuple en ses doctes peintures, Il n’eût point
e ce côté-là le portèrent à se renfermer dans son travail et dans ses
amis
. Chapelle étoit son ami, comme on l’a dit ; mais
à se renfermer dans son travail et dans ses amis. Chapelle étoit son
ami
, comme on l’a dit ; mais il le trouvoit trop livr
les douceurs d’une amitié raisonnable ; c’est pourquoi il se fit des
amis
plus solides dans la personne de Mrs Rohaut42 et
oit d’ailleurs un avantage : c’étoit de le dispenser des excès de ses
amis
, témoin l’histoire, que rapporte l’auteur de sa v
ne l’empêchoit pas de penser à la philosophie et aux philosophes ses
amis
, dit M. de Grimarest 45 : car il le présente tou
ont point mariés ; ils sont les tuteurs de deux filles qu’un de leurs
amis
leur a laissées, pour les épouser ou pour les pou
’un des quatorze enfants de Claude Clerselier, traducteur, éditeur et
ami
de Descartes, et beau-père de J. Rohault. Nanteui
à faire des protestations d’amitié qu’ils embrassent également leurs
amis
et ceux qui leur sont indifférents : le faquin et
; et dans le même temps, par la colère où il témoigne être contre son
ami
, il fait voir que ceux qui reçoivent ces embrassa
dignes de blâme que ceux qui les font ; et par ce que lui répond son
ami
, il fait voir que son dessein est de rompre en vi
, on voit une scène de conversation où se rencontrent deux marquis, l’
ami
du Misanthrope, et la cousine de la maîtresse de
qu’elle est de celles qui déchirent sous main jusqu’à leurs meilleurs
amis
. « Cette conversation fait voir que l’auteur n’es
récit de l’accommodement du Misanthrope avec l’homme du sonnet, et l’
ami
de ce premier en entretient la cousine de la coqu
tte comédie qui ne puisse être utile, et dont l’on doive profiter ; l’
ami
du Misanthrope est si raisonnable que tout le mon
priser, doivent apprendre à ne pas déchirer sous main leurs meilleurs
amis
. Les fausses prudes doivent connaître que leurs g
dit (c’est ce M. de Tralage qui parle) que Molière, qui était de ses
amis
, l’ayant un jour rencontré dans le jardin du Pala
t ce qui se passait dans son domestique. Ce que ses plus particuliers
amis
ont remarqué bien des fois. « La troupe qui repré
rdi 21 février, à la clarté de plus de cent flambeaux, portés par ses
amis
. « À peine Molière fut mort, que Paris fut inondé
ales, soit particulières, il était leur maître et leur camarade, leur
ami
et leur protecteura, aussi attentif à composer po
s des agréments de son esprit. « Plus heureux dans le commerce de ses
amis
, il les rassemblait à Auteuil, dès que ses occupa
nicher ? s’écria Molière, après un moment de réflexion : Tiens mon
ami
en voilà une autre . » On dit que Molière poussa
me il était prévenu que c’était une vertu ; de sorte que celui de ses
amis
qui était le plus régulier et le plus arrangé, ét
ir interrompu, par le caprice de Sosie, les compliments importuns des
amis
d’Amphitryon, sur un sujet aussi délicat. Mais,
emeuré que par contrainte. Climène et Clorisc, qui sont deux bergères
amies
, entendant le son des flûtes, viennent joindre le
la douleur, par les mauvais traitements de sa femme. Enfin un de ses
amis
lui conseille de noyer dans le vin toutes ses inq
« [*]Molière se préparait à donner son George Dandin, mais un de ses
amis
lui fit entendre qu’il y avait dans le monde un D
re de le desservir dans le monde. Vous avez raison, dit Molière à son
ami
; mais je sais un sûr moyen de me concilier l’hom
TE II. Scène première. Le Docteur dévot et grand usurier a pour
ami
Pantalon, qui, se trouvant obligé de faire un pai
vant obligé de faire un paiement, et n’ayant point d’argent, prie son
ami
de lui prêter la somme dont il a besoin ; le Doct
rrière la chapelle de Saint-Joseph, dans la rue Montmartre ; tous ses
amis
y assistèrent, ayant chacun un flambeau à la main
ançaise ; et nous ne doutons point qu’en lisant ceci, beaucoup de ses
amis
ne se rappellent de le lui avoir ouï dire. *. [N
pour répondre aux bontés que le roi avait pour lui. Il consultait ses
amis
; il examinait avec attention ce qu’il travaillai
itre. a. « [*]Molière, ayant opposé la protection et le zèle de ses
amis
aux cabales naissantes de ses ennemis, obtint du
r dans la Ville, Qui jamais, de Lucain*, n’a distingué Virgile*. Les
Amis
de Racine l’avaient assuré de la bonté de sa Pièc
ut et d’Aquin. Comme Molière voulait déguiser leurs noms, il pria son
ami
Boileau de leur en faire de convenables. Boileau
riiez tout seul sur le Théâtre. Je vous estime trop, lui répondit son
ami
, pour croire que vous n’y ayez pas ri, du moins i
pié d’une blessure qu’il avait reçue au pied, en séparant deux de ses
amis
qui se battaient en duel. Il fut chargé du rôle d
omédie [Le Bourgeois gentilhomme] était copié d’après Rohaut*, quoiqu’
ami
de l’Auteur, qui fit emprunter son chapeau pour l
fort l’Abbé Cotin*, jusques-là même, qu’elle l’honorait du nom de son
ami
. Comme il achevait de lire ses vers, Ménage* entr
nal de son Cocu Imaginaire. Il en marqua son ressentiment à un de ses
amis
: « Comment, lui dit-il, un Comédien aura l’audac
re un homme comme moi ! »... « De quoi vous plaignez-vous, répond son
ami
? Il vous a peint du beau côté, en ne faisant de
, qu’il l’avait retenue par cœur ; que, dans ce même temps, un de ses
amis
en Province l’ayant prié de lui mander des nouvel
, qu’il l’avoir retenue par cœur ; que, dans ce même temps, un de ses
amis
en Province l’ayant prié de lui donner des nouvel
histoire duquel un Rival vient tous les jours faire confidence à son
ami
, sans savoir qu’il est son Rival, des faveurs qu’
où je suis, que je fais, ni où je vais. (Aux spectateurs) Hélas ! Mes
amis
, je recommande à vous tous ; secourez-moi, je vou
eaucoup aidé Molière dans ses Comédies. Ils étaient certainement fort
amis
; mais on tient de M. Despréaux qui le savait de
Bocace*. Lorsque Molière se préparait à donner cette Pièce, un de ses
amis
lui fit entendre, qu’il y avait dans le monde un
re de le desservir dans le monde. Vous avez raison, dit Molière à son
ami
; mais je sais un moyen sûr de me concilier l’hom
ant rire à la fin de cette même Comédie, fut fourni à Molière par son
ami
Despréaux, en dînant ensemble avec Mlle Ninon de
-ridicule. Il ne pense point à profiter de toute la succession de son
ami
, ni à s’attirer une donation générale de tous ses
les faire pleurer avec la Fable du Tartuffe. « Figurez vous, les bons
amis
, leur disait-il, un honnête Gentilhomme, qui reti
able ! C’est le sujet du Tartuffe que tu nous débites ! Eh ! Oui, mes
amis
. A-t-on si grand tort de dire que nombre de Coméd
Honorine, qui est un bourg près de Paris, où il avait une Maison. Ses
amis
l’y allaient voir ; et il y vécut en fort honnête
, que, n’ayant pas le courage de l’enterrer, il pria un Prêtre de ses
amis
de faire la cérémonie à sa place. Tome III, p.
rrière la Chapelle* de Saint-Joseph, dans la rue Montmartre. Tous ses
amis
y assistèrent, ayant chacun un flambeau à la main
r la Comédie, le fit solliciter inutilement par tout ce qu’il avait d’
amis
, de quitter cette pensée. Enfin il lui envoya le
n mot au lecteur Cet opuscule ne s’adresse qu’à un petit nombre d’
amis
et de lettrés qui ont le culte de Molière ; aussi
alors entre Molière et sa femme et les discussions du poète avec son
ami
Chapelle, qui s’appliquait à envenimer la plaie,
les d’Édouard Fournier et de Paul Lacroix. J’ose donc espérer que les
amis
de Molière ne me sauront pas mauvais gré de conti
t comme par trop invraisemblable : c’est d’admettre que Molière fut l’
ami
de Madeleine, mais rien de plus. La thèse est séd
lette, Montfleury et Racine sont des adversaires. Mais Boileau est un
ami
, et qu’a-t-il dit à Brossette, qui nous le répète
ternel des enfants : tous les autres étaient des étrangers, qualifiés
amis
de la famille. Tous habitaient Paris ; la petite
crupule qui le caractérisaient, il commença par faire interdire à son
ami
d’avoir plus de six violons dans son orchestre ;
nage : « La Aubry, digne sœur d’un tel frère ; la Verdier, sa vilaine
amie
; la Brigogne, cette prostituée, chanteuse de l’O
e d’autant plus répréhensible que cette accusation frappait un ancien
ami
. Il s’en faut de tout, comme on voit, qu’Armande
n cherche sur cette conduite ne peuvent être demandés à des personnes
amies
. Les factums de Guichard sont les écrits d’un hom
conversation dans le jardin d’Auteuil, entre Chapelle et son illustre
ami
, la page la plus étonnante du livre, la plus impo
e, comme on sait, qui, sans se faire connaître, et sous le nom de son
ami
le savant Jacques Rohault, prêta en deux fois à s
ne laisse rien à désirer. Le second est celui de l’acteur La Grange,
ami
et camarade de Molière : « Son corps a été inhumé
ades de théâtre, ni personne de son entourage, ni aucun des illustres
amis
que Molière comptait dans les lettres et dans les
. » Le plus simple bon sens voulait donc que Fleury cherchât les deux
amis
au même endroit, l’un à côté de l’autre. Point du
de Molière pour bien douteuse. Mais qu’importe que les deux illustres
amis
soient ou non sous ces deux humbles mausolées ? S
te Famille. Molière y certifie que ce tableau lui a été donné par son
ami
Sébastien Bourdon, « peintre du roy et directeur
ne toujours, et Chapelle aussi dans les adresses de ses lettres à son
ami
. Le titre et les privilèges des éditions original
se si justement proposée par M. Loiseleur. Il appartient à mon érudit
ami
Georges Monval de constituer une commission dont
oint que sa personnalité est devenue, presque autant que celle de son
ami
, l’objet de gloses contradictoires ! Or, je le de
Messieurs les correcteurs des comédies de Molière. Ce dernier eut des
amis
parmi les jésuites. Si le Père Bourdaloue l’anath
lit son épitaphe ; mais je ne vois pas qu’il ait connu de près aucun
ami
de Port-Royal, — hors le prince de Conti qui ne f
et qui était aussi peu digne d’être l’époux de celle qu’il aime que l’
ami
du misanthrope Alceste. » Voilà qui répond aux d
[28, p. 53-54180] 1742, Bolaeana, p. 60 Molière était fort
ami
du célèbre avocat Fourcroy,181 homme redoutable p
. 181. Fourcroy, Bonaventure de (v. 1610 – 1691) : avocat et poète,
ami
de Lamoignon, Molière, Boileau, Patru. Il collabo
s faire admirer. Ne semble-t-il pas, à vous entendre, ai-je dit à mes
amis
, que je sois prêt à faire la guerre aux petits fi
ais de la Vigne ; il fit part de son idée à une femme d’esprit de ses
amies
, qui se chargea d’être son Secrétaire. Elle trans
le fruit de sa méditation ? il ouvre son cœur à un riche Banquier son
ami
. Voici la piece qu’ils concerterent ensemble. Le
in, à la réserve des frais du repas qu’il voulut bien sacrifier à son
ami
. Le vieillard vécut cinq ou six ans : il eut le p
ort. Je ne puis rappeller ce trait qu’avec transport. S’il se dit mon
ami
, c’est bien à juste titre. Apprends que de mes jo
; & cette violence Me conduisit bientôt aux portes du trépas. Mon
ami
désolé me serre dans ses bras, Me conjure instamm
par ces mots, je me vis arraché. La Fleur. Voilà ce qu’on appelle un
ami
véritable. Le Marquis. Un obstacle cruel, & p
sexe ; la de ***223 l’amusait quand il ne travaillait pas. Un de ses
amis
, qui était surpris qu’un homme aussi délicat que
ette femme-là ? Vous savez que Labarre224 et Florimont225 sont de ses
amis
; qu’elle n’est point belle, que c’est un vrai sq
dans le torrent, les reconnaît cependant comme on reconnaît un vieil
ami
qui a fait un long voyage. Il était parti plein d
de rides, tout couvert de haillons, et changé… Dieu le sait. Mais son
ami
le reconnaît à ce petit coin du sourire, à ce son
années. L’homme est changé, l’esprit est le même ; il rapporte à son
ami
les mêmes admirations, les mêmes répulsions, les
viné juste, une fois sur dix, et si, en fin de compte, vous avez pour
amis
les vaillants, les fidèles, les courageux, les gr
tout au moins de se donner du bon temps. » Et Racan répondait à son
ami
: — « Je continue à écrire, incapable de faire au
les comédiennes, il ne comprenait pas cette poésie avide de licences,
amie
et compagne des plus vives passions de la jeuness
es succès de bon aloi, que les succès qu’il avait à Paris. Il était l’
ami
du peuple, a dit Boileau, et tant que le peuple n
lière savait, mieux que personne, quel homme était M. de Lamoignon, l’
ami
de Racine et de Despréaux. Ce mot-là est un anach
et qui vous condamne sans pitié ! — Heureusement que Louis XIV fut l’
ami
de Molière ; il lui parlait souvent des choses de
meure debout, le fard à la joue et le sourire aux lèvres. En vain ses
amis
veulent qu’on fasse relâche. — « Laissez-moi, mes
s. En vain ses amis veulent qu’on fasse relâche. — « Laissez-moi, mes
amis
; il y a là cinquante pauvres ouvriers qui n’ont
de soleil. C’est alors, quand pour la vingtième fois vous tenez voire
ami
lecteur bien contrit et bien repentant, que vous
la chaleur revient à ma joue et la paix à mon cœur ? — Orchestre, mon
ami
, rien n’est plus facile à expliquer. Tu subis à t
out ». Bref, Géronimo qui a promis à Sganarelle un bon conseil, foi d’
ami
! déclare Sganarelle le plus ridicule du monde, «
Géronimo, homme sage et prévoyant, a commencé par faire son office d’
ami
envers Sganarelle ; Sganarelle veut être flatté,
disant : Qui va là ! À quoi Ali répond par un soufflet avec ce mot :
Ami
! Je donnerais, je crois, tout Le Barbier de Sévi
nduit trois ou quatre fois comme un sot. Le peintre Damon qui est son
ami
, et qui devait faire le portrait de cette adorabl
n parle aux femmes du grand monde, et comment on juge les vers de ses
amis
de la cour. Philinte pense, tout bas, du sonnet d
bien qu’Alceste, que tous ceux qui, dans le monde, vous disent : mon
ami
! ne sont pas toujours vos amis ; mais il ne voit
qui, dans le monde, vous disent : mon ami ! ne sont pas toujours vos
amis
; mais il ne voit pas la nécessité de repousser b
eur, à peine arrivé, et sans se donner le temps de dire bonjour à son
amie
Éliante. Puis, tout d’un coup, Alceste crie à son
se sauve de la prison. Alors, une fois vainqueur, et quand son ancien
ami
est tiré du danger, Alceste commence sa harangue
out ceci se passe en famille, que le père, les frères, les sœurs, les
amis
, les coreligionnaires soient seuls admis dans ce
ahit son premier bienfaiteur ; Éliante, c’est mademoiselle de Brie, l’
amie
fidèle, dévouée, discrète, intelligente du pauvre
roi Louis XIV entrant au Parlement. Quant à Philinte, il était un des
amis
familiers de Molière, il s’appelait Chapelle, il
e ce qu’ils peuvent raisonnablement apporter dans la société de leurs
amis
, où ils jouent le rôle facile de despote et de ty
le, à l’entendre, que l’auteur du Misanthrope n’avait pas de meilleur
ami
. Seul, Molière ne s’y trompait pas ; il savait bi
t pas ; il savait bien jusqu’où pouvait aller l’amitié de Chapelle. L’
ami
qu’il avait rêvé, il ne l’avait pas plus trouvé q
our ! L’aventure du billet, cette lettre qu’on lui dit adressée à une
amie
, hélas ! c’est une aventure qui est arrivée à Mol
ues mots, à l’œuvre de cette comédie étaient appelées les femmes, les
amis
, les compagnons de Molière ; la maison entière ét
Lorsque Molière se préparait à donner son George Dandin, un des ses
amis
lui fit entendre qu’il y avait dans le monde un D
re de le desservir dans le monde. Vous avez raison, dit Molière à son
ami
; mais je sais un moyen sûr de me concilier l’hom
éans, se décida, grâce à une pension de mille écus que lui offrit son
ami
Helvétius, à écrire pour le théâtre. Malgré l’éch
t, le monde des lettres lui faisait bon accueil, et il avait pour ses
amis
Montesquieu, Voltaire et Saint-Lambert. Ses œuvre
-43 1715, Ménagiana, tome IV, p. 7 M. de Mauvilain254, médecin, était
ami
de Molière. Ils se trouvèrent un jour l’un et l’a
rmand de : docteur en médecine, doyen de la faculté de Paris en 1666,
ami
intime de Molière. C’est à lui et à Liénard que l
ts, l’autre tiroit son plaisir de leurs foiblesses. Moliere avoit des
amis
respectables, qui le consoloient des chagrins qu’
ateur qui n’alloit dans le monde que pour y moissonner. Chapelle, son
ami
de confiance, étoit bien plus aimable que lui ; v
ne heure. Sur un tronc mi-mangé, il me disoit pleurant : Las ! pauvre
ami
Bellin, que tu es ignorant, Qui n’entends ce que
rraine s’est sauvé de prison, qu’il viendra bientôt, à la tête de ses
amis
, délivrer le royaume des tyrans qui l’oppriment,
se. Ces deux Bergeres se retirent ; & Cloris, qui arrive avec son
ami
Tyrse, lui raconte tout ce qu’il souffre des rigu
; & si je ne suis plus votre amant, je veux du moins rester votre
ami
. Mad. Tancin lui dit un jour, en lui mettant la m
eté, d’amour pour les hommes, d’indulgence pour leur foiblesse, qu’un
ami
véritable du genre humain en doit avoir ; & t
t l’ennemi déclaré du genre humain, & que Philinte, loin d’être l’
ami
déclaré des hommes, les plaint sans les aimer, so
pourra-t-il ne s’échauffer de rien ? Et, s’il faut, par hasard, qu’un
ami
vous trahisse, Que pour avoir vos biens on dresse
ur les leur interdire ? D’ailleurs, loin de penser que Moliere soit l’
ami
des contrastes, je l’en crois l’ennemi capital ;
choses. Vous tous qui aimez l’illusion dramatique et le clair-obscur
ami
complaisant de ces fausses jeunesses, de ces faus
ulisse opposée ; impatiemment il attendait l’entracte pour revoir son
ami
, le Prince des Sots. Au milieu de la tirade la pl
Porcherons, qu’allez-vous devenir, et par quel artifice imprévu votre
ami
Lesage, avec tout son esprit, saura-t-il se tirer
te ciel ! et pour quoi ? Qu’y a-t-il donc ?… Il y a que Lesage et son
ami
Fuzelier, puisque la parole et le chant leur étai
s de la comédie passée. Dazincourt était le confident, mais non pas l’
ami
intime de son maître. Même dans ses plus grands i
rable à faire bourdonner cette grande ruche qu’on appelle la société,
ami
Diderot ! Oh ! disait-il encore, et il avait rais
es il a données à son voisin ! Que de livres il a fait signer par ses
amis
, par le baron d’Holbach, par le baron de Grimm, p
roucoulements de ces vingt ans, fut notée, on le croirait, par notre
ami
Diderot : Éraste. Non, non, ne croyez pas
l aura tort de se moquer du comédien’. Combien de fois le Feuilleton,
ami
passionné de Diderot, n’a-t-il pas relevé cette i
de jouer les premiers rôles ; je fais les amoureux. » Alors nos trois
amis
, le barbier, Gil Blas et le comédien, rongent leu
mot toutes les exclamations furibondes. Que je voudrais vous entendre
ami
Diégo, disant à ce Mégani : — Vous n’avez donc ni
ent à toutes les questions. Par exemple, vous me demandez : — Ohé ! l’
ami
, êtes-vous un courtisan ? à quoi je réponds — Ô m
joyeux ébats, et les chants et les ris, Avec l’âme et le cœur de ses
amis
chéris. » — « Muse, rassure-toi ; sous une main a
t le cœur de ses amis chéris. » — « Muse, rassure-toi ; sous une main
amie
Sa cuisante douleur enfin s’est endormie : Avec l
omme qui ne sait plus son nom, qui ne reconnaît plus ses enfants, ses
amis
; tous ceux qu’il aime, accourez en toute hâte, c
enfant de Ménandre, Térence, un Athénien sous l’enveloppe romaine, l’
ami
, le commensal, quelques-uns ajoutent le collabora
qui ont fait, de ce grand maître, Plaute et Térence tout ensemble, l’
ami
du peuple et l’ami du maître, le favori des halle
e grand maître, Plaute et Térence tout ensemble, l’ami du peuple et l’
ami
du maître, le favori des halles et le favori des
chevaliers ! À chaque mot de cet excellent génie, vous reconnaissez l’
ami
de Furius, de Lælius, de Scipion, grands esprits
rétexte pour aller, le sein nu et les épaules peu couvertes, les deux
amis
, les deux égrillards, Brueïs et Palaprat, attirés
éface. En même temps, — avec beaucoup de tact et de finesse, les deux
amis
nous expliquent comment la délicatesse de l’amour
ant reconnu de Thaïs qui consent désormais à recevoir chez lui, comme
ami
de la maison, ce capitaine ridicule qui lui a déj
e qui commence. D’ailleurs la belle Thaïs ne prend pas en traître son
ami
Phœdia : elle ne lui sert pas de plats couverts ;
Rome impériale, aux gens d’esprit sans manteau et sans dîner, à notre
ami
Martial, par exemple, qui eût rougi de honte et d
le a des accents qui sont vrais et justes ; elle veut sauver sa jeune
amie
, et sans trop déplaire à Phédia : Il faut que ma
e, en sous-ordre chez l’affranchie, passant, tour à tour, du métier d’
ami
du prince à l’état de farfadet ? La chose diffici
e avide, vienne salir vos traits, votre honneur, votre famille et vos
amis
livrés en pâture, aux calomniateurs ? Ô quelle mi
jusqu’à cette maison, si étroite qu’elle ne pouvait pas contenir ses
amis
. Les Athéniens battirent des mains à l’aspect de
issements de tout genre, cachez-les avec soin, pauvres femmes ; votre
ami
le plus cher, votre médecin le plus dévoué, ne vo
t ans déjà, mais du plus noble cœur. Les infortunés n’ont jamais eu d’
ami
plus dévoué ; toutes les misères humaines trouven
là mon chef-d’œuvre qui est mort ! Hélas ! c’est toi-même, mon pauvre
ami
, qui es mort ; et dans mille ans d’ici ce chef-d’
plus que le philosophe. « Le roi Messieurs ! » disait Louis XV à ses
amis
, quand les licences des petits appartements allai
ue par le marquis, vous en verrez bien d’autres, je vous jure, avec l’
ami
Regnard ! Rappelez-vous cependant que de violente
mort comme il avait vécu, en combattant. Molière a été pleuré par ses
amis
, Regnard a été pleuré par ses maîtresses. Ils man
mari. Malheureusement, quand il empruntait, sans trop de façon, à son
ami
Dufrény, son chevalier joueur, Regnard avait trop
dans les délassements d’une nation. Boissy. — L’Homme du jour. — L’
Ami
de la maison. — Le Mari à bonnes fortunes Si
ur cette table en sapin reposaient de vieux bons livres, les derniers
amis
du pauvre ; ceux-là qui vous tendent la main quan
consolations soient entendues, pour que vous soyez à l’aise avec ces
amis
immortels, qu’il y ait un peu de feu dans l’âtre,
Boissy, a composé une agréable petite comédie, oubliée à son tour : L’
Ami
de la maison. Vous vous rappelez, dans Les Dehors
s rappelez, dans Les Dehors trompeurs, de Boissy, ce M. de Forlis, un
ami
de dix ans, avec qui chacun se met à l’aise, surt
sage le permet, l’amitié l’en dispense. Quand Forlis arrive chez son
ami
, son ami S’écrie qu’il a mal choisi l’heure : C’
ermet, l’amitié l’en dispense. Quand Forlis arrive chez son ami, son
ami
S’écrie qu’il a mal choisi l’heure : C’est mon a
chez son ami, son ami S’écrie qu’il a mal choisi l’heure : C’est mon
ami
, je vais l’embrasser simplement. Forlis est invi
mon ami, je vais l’embrasser simplement. Forlis est invité, par son
ami
, à un dîner sans façon, et il répond comme un hom
e baron salue à peine Forlis ; son abord l’embarrasse, il rougit d’un
ami
de province ; enfin on lui prend sa chambre pour
re un militaire, passe ; Mais un petit collet me déloger ainsi ! Cet
ami
de la maison de M. de Vaulabelle était en prose,
Derville entreprend la conquête de madame Franval, la femme d’un sien
ami
, mais sa conquête morale. Comprenne qui pourra. C
t ce portrait sur l’air connu : — Portrait charmant ! portrait de mon
amie
! Alors survient à coup sûr la femme en question
e, un beau, d’un certain âge, qui n’a ni feu ni lieu, ni parents ; ni
amis
, ni état dans le monde. Ce n’est pas un marquis,
nt et nouveau Grand monde et bonne compagnie ! Puis, quand son
ami
Éraste l’a bien complimenté de son bonheur, Regna
suis instruit qu’à demi. Finette. Lisimon cependant est son meilleur
ami
: C’est votre oncle. Damis. C’est votre oncle.S’
te veut vendre sa charge pour se livrer à la philosophie. Lisimon son
ami
, homme sensé, l’en dissuade, & l’exhorte à se
ns le dessein de lui demander Sophie pour son neveu. Eraste dit à son
ami
qu’il a reçu une lettre de Milord Cobbam, qui lui
nglois, il prend la lettre des mains d’Eraste, & lit. « Mon cher
ami
, c’est le plus malheureux des peres qui vous écri
2, c’est-à-dire neuf ans après la mort de ce grand homme, deux de ses
amis
, dont un avait été son camarade, Vinot et Lagrang
nts, et ne veut pas même écouter sa justification. Qu’a donc fait cet
ami
qu’on renonce, qu’on refuse d’entendre ? Quelque
ur n’avoir pas commis le plus lâche des crimes, celui de dénoncer son
ami
; Monsieur, qui ne savait que conduire les siens
à concevoir comment il put jamais se résoudre à quitter ces charmants
amis
34. Armand de Conti, qui aimait la comédie en hom
être terminé par la production de ces pièces authentiques, et que les
amis
des mœurs, comme ceux de la gloire de Molière, n’
aint-André-des-Arcs. Madame Guérin fit quelques poursuites ; mais des
amis
communs accommodèrent l’affaire. M. et madame de
affaire-là m’embarrassait : elle avait sa difficulté. Adieu, mon cher
ami
, tu juges mieux qu’homme de France. Les autres a
. Adieu, mon cher ami, tu juges mieux qu’homme de France. Les autres
amis
de Molière étaient dignes de lui. Il suffit de ci
était accablé de railleries piquantes par Boileau, Racine et d’autres
amis
. Le bonhomme (c’est le nom qu’ils lui donnaient)
dix-huit ans de plus que Racine. Pendant quelques années, ils furent
amis
autant que le permettait cette différence d’âge ;
rd ; mais Molière fut doublement généreux, en oubliant les torts d’un
ami
ingrat, et en soutenant, contre le jugement publi
ession dans les esprits, si elle n’était fortifiée du témoignage d’un
ami
et d’un admirateur passionné de Corneille. Cornei
e. Il m’en coûterait, je l’avoue, d’avoir à placer Lulli au rang des
amis
de Molière, Lulli, dont le caractère vil et les m
lui de l’affection. Ce mot s’adressait à un bouffon, et non pas à un
ami
. L’épicurisme relâché de Ninon84 et de ses amis,
uffon, et non pas à un ami. L’épicurisme relâché de Ninon84 et de ses
amis
, qui avaient été presque tous ses amants, n’était
ade incrédule ou plutôt désabusé86, Molière n’en avait pas moins pour
ami
son médecin, qui se nommait Mauvilain.Le roi, les
faculté88. J’ai montré Molière dans son ménage, à la cour et avec ses
amis
. Il me reste à le faire voir au milieu de sa trou
sein de me donner un louis d’or ; je viens vous le rendre. Tiens, mon
ami
, lui dit Molière, en voilà un autre ; et il s’écr
pour le genre où il réussissait le moins, fut cause que Mignard, son
ami
, le peignit plus d’une fois sous l’habit romain,
si le sentiment de sa fin prochaine lui eût rendu la présence de ses
amis
plus chère, il le reçut plus affectueusement que
baptême, le jour de la naissance n’est point indiqué. M. Picard, mon
ami
et mon confrère à l’Académie Françoise, frappé de
religion ; et, si l’Invocation à Vénus a été conservée, c’est que des
amis
de l’auteur en avaient des copies entre les mains
s véritablement content. 29. Le roi, qui appelait son favori, cher
ami
, dit, en tirant sa montre à l’heure marquée pour
rant sa montre à l’heure marquée pour l’exécution : je crois que cher
ami
fait à présent une vilaine mine. C’est une anecdo
e sais quel grandseigneur loi dit :Voilà, Monsieur, le premier de vos
amis
que vous ayez aidé à descendre de l’échafaud. 3
leau Puimorin, frère puîné de Despréaux, était homme d’esprit et fort
ami
du plaisir. Despréaux disait de lui :Mon père aun
s’était peint avec vérité dans ce personnage, ses contemporains, ses
amis
ne surent donc pas le reconnaître, puisqu’ils s’o
p. 190. 68. M. Andrieux, dans sa petite comédie de Molière avec ses
amis
, ou la Soirée d’Auteuil. 69. La maison qu’occupa
u vrai. L’auteur de la prétendue Vie de Molière a trop consulté notre
ami
, et trop peu sa raison ; et, pour avoir, sans dis
tenait les registres avec exactitude. En 1682, il donna, avec Vinot,
ami
de Molière, la première édition complète des Œuvr
que. Je soumets humblement les réflexions qui précèdent à nos savants
amis
les moliéristes, en leur demandant leur avis, et
ait un siège d’honneur, réservé le plus souvent à Baron, l’élève et l’
ami
de Molière. On ne le porte sur le théâtre que pou
idate, à la bonne heure. Il faut pourtant bien en croire Valincour, l’
ami
de Racine, et Racine lui-même. Il faut en croire
l’on veut, mais c’est le même, de la partager si bien entre tous ses
amis
qu’il lui en reste le moins possible. Son dessein
pas rendu plus coupable que qui que ce soit, sa pièce est à tous ses
amis
et chacun y a tenu la plume. Je doute que ses con
te, et, à l’honneur de Racine, elle affirme, contre lui, que tous ses
amis
n’ont mis que sa main dans son œuvre. Sans attend
n n’a jamais manqué de cette gaîté et de cette franchise qui font les
amis
et les admirateurs de l’auteur du Médecin malgré
es moindres détails de la représentation, sachant qu’à son retour ses
amis
vont l’interroger sur les inflexions de voix du M
ond la sympathique personne de l’auteur et à enrôler au nombre de ses
amis
tous ceux qui aiment le bon rire, le bon sens et
, a donc fait une œuvre fort utile, et qui sera appréciée de tous les
amis
de l’art dramatique en Hollande lorsqu’il a prése
ec le R. P. Rapin », dit M. Alberdingk Thym, « que Molière est de mes
amis
», et je sais gré à l’archevêque de Paris d’avoir
politiques. Il a donc éprouvé le besoin de justifier aux yeux de ses
amis
sa sympathie pour Molière et sa prédilection pour
premiers rangs, dans ce corps d’avant-garde que commandait son jeune
ami
le Sultan juste, il remonta le Nil jusqu’aux cata
un culte si sincère et si profond à la mémoire de ses deux illustres
amis
, — Napoléon et Desaix, — n’eût jamais eu la pensé
es costumes et des jeux de scène : en faveur de cette initiative, nos
amis
les moliéristes voudront bien m’accorder quelque
à faire un choix. Elle était dans ces dispositions, lorsqu’une de ses
amies
vint la chercher pour la mener aux Italiens voir
aiter la protase, l’épitase et la péripétie, que l’écrivain français,
ami
de la clarté et du franc-parler, nommera tout sim
t mis au-dessus de la jalousie. Quelques années auparavant, un de ses
amis
, un de ses camarades du collège d’Harcourt, l’abb
comédiens « qui n’aimaient plus que le galimatias »,écrivait-il à son
ami
; prenons garde au mot « galimatias », et retenon
était oisif. Sa pièce et son emploi lui laissaient trop de loisir. Un
ami
dangereux l’entraînait dans une vie de dissipatio
ela n’est pas. Dans la même lettre de décembre, où Racine écrit à son
ami
que la pièce est tantôt achevée, il lui dit aussi
trois pièces nouvelles. Molière profita de l’impatience de son jeune
ami
. Il pouvait le jouer tout de suite. C’était de qu
incesse Palatine. [1880-10] Edouard THIERRY. Paul Lacroix : Les
amis
de Molière. Vinot Le Moliériste : revue mens
mé Vivot, qui savait par cœur la plupart des comédies de Molière, son
ami
, mais pourquoi Vivot au lieu de Vinot ? Ce matin,
à tous les moliéristes, n’est-ce pas le vrai Vinot, le seul Vinot, l’
ami
de Molière, le collaborateur de La Grange, celui
leur curiosité. J’aurais beaucoup à dire sur le choix fait par notre
ami
dans les papiers de Tralage ; mais je n’aime pas
résentés pour la première fois, l’un à Lyon et l’autre à Béziers. Mon
ami
Claretie ayant dit dans son charmant ouvrage Moli
ramouche, le maître de Molière dans l’art scénique ou mimique, et son
ami
. Il résulte vraisemblablement de l’existence d’un
lle de Brie et Mlle du Parc, comme il dansa depuis lui-même, avec son
ami
Baptiste, dans les ballets du roi, au Louvre et à
vir à l’histoire de Molière et pareillement à celle des comédiens ses
amis
. [1880-12] L. de la Cour de la PIJARDIÈRE.
! ces pauvres grands artistes sont si peu sûrs d’eux-mêmes), que ses
amis
ne le voudraient pas, moi à leur tête. C’est donc
ouble de grâce, d’esprit, de vivacité, de jeunesse ; elle accable ses
amis
et ses ennemis de toutes ses qualités charmantes
re la dernière fois que je vais l’entendre ! Rappelez-vous le dernier
ami
que vous avez quitté. Vous l’avez accompagné en s
git au loin, le frêle esquif se balance d’une façon formidable, votre
ami
reste calme, il vous tient la main dans les sienn
ots, je commenterai l’art. [Avant-propos] Depuis longtemps mes
amis
me demandent des Commentaires sur Molière ; voici
et que vous n’aurez peut-être pas des critiques plus sévères. » Cruel
ami
! vous me flattez ; et c’est pour me séduire. « E
l qui se distingua. Dans la capitale du monde, chez le peuple le plus
ami
des arts, un étranger, naguère, courait le risque
ux peint que dans ses ouvrages, par le but qu’il s’y proposa, par les
amis
, par les ennemis qu’ils lui firent ; c’est d’aujo
rivalisaient alors avec la sienne, ne cherchaient pas à lui faire des
amis
. Le Prince jaloux n’eut que très peu de représen
religieux. Elle va se confesser à ce moine, et le prie d’engager son
ami
à ne plus la fatiguer de ses soins amoureux ; ell
e aucune, À la foi d’un amant commettre ma fortune. Je m’adresse aux
amis
de la vérité, de la bienséance, et je leur demand
plus vif, le plus pur ; qu’il croit avoir dans Arnolphe un véritable
ami
; que, d’après tout cela, s’il est moins sensé qu
ce des critiques ; et ceux-ci vont en avoir de nouvelles preuves. Ses
amis
prévoyaient, depuis longtemps, qu’il perdrait enf
se soucie… ; qui vous croyez fort vertueuses pourvu que vous appeliez
amis
ce que les autres nomment galants. À vous, gens d
fut indigné qu’à l’occasion de L’École des femmes, dont ce monarque,
ami
des arts, sentait toutes les beautés, on se fût p
ût celui du génie, permettait que La Fontaine vécût aux dépens de ses
amis
, pour avoir dit : Notre ennemi, c’est notre maît
de la maison disait, avec une petite mine tout à fait agréable : mes
amis
, mes chers amis, soupons, je vous en prie, sans p
sait, avec une petite mine tout à fait agréable : mes amis, mes chers
amis
, soupons, je vous en prie, sans parler de comédie
ppelle Fillerin : ce nom, composé de deux mots grecs, et qui signifie
ami
de la mort, se rapporte très bien à ce que le per
us ou les Trissotin 50. Si je jouais le rôle de Philinte, je serais l’
ami
, non le complaisant d’Alceste, et mon ton lui dir
egme est philosophe autant que votre bile ; En philosophant avec mon
ami
, je ne prendrais pas un ton moqueur ; et, dans la
données l’année précédente, et dont il était aussi mécontent que ses
amis
; il substitua, à ces deux ouvrages indignes de s
un suborneur qui, tout en parlant vertu, veut séduire la femme de son
ami
; un monstre enfin qui dénonce son bienfaiteur. M
ous prouve que Molière voulait parler du Tartuffe lorsqu’il dit à ses
amis
enchantés du Misanthrope : « Vous verrez bien aut
ridicule.… Il ne pense point à profiter de toute la succession de son
ami
, ni à s’attirer une donation générale de tous ses
ar l’amitié ; trop sensible, trop délicat, il ne trouvait pas que ses
amis
aimassent comme lui. Chapelle même, auquel il s’é
rès cette réponse, il peut bien avoir dit, comme on le prétend, à ses
amis
: « Un médecin est un homme payé pour écouter et
fut à peu près dans le même temps que Molière, toujours occupé de ses
amis
, voulut élever un monument à Mignard, dans son po
de leur attachement. Mignard laissa à la postérité le portrait de son
ami
, et Molière, dans son poème du Val-de-Grâce, rend
monde sait que Molière, après avoir pris son lait en présence de ses
amis
, était allé se coucher, et que, réveillé à temps
se facilité de dire des bons mots, et de leur sacrifier ses meilleurs
amis
. Passons aux deux nouveautés jouées dans le coura
École, a été enlevé par une galère turque ; et chez Molière, toujours
ami
des vraisemblances, la scène est à Naples ; voilà
ant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix ; Si, moins
ami
du peuple, en ses doctes peintures, Il n’eût pas
aire aux grands, pour lui ménager des protecteurs, ses soins pour ses
amis
, qu’il réunissait souvent à Auteuil, ses chagrins
avoir projetée, quand, après une lecture du Misanthrope, il dit à ses
amis
enchantés : « Vous verrez bien autre chose. » Nou
pour rien que Molière, toujours profond, toujours juste, disait à ses
amis
les plus intimes : « Si Les Femmes savantes ne me
ohan n’osèrent prendre le parti de celui qu’elles avoient appelé leur
ami
, et que son successeur au fauteuil académique se
r donné ce déplaisir à ma famille. » Ce fut encore à Auteuil que ses
amis
le réconcilièrent, tant bien que mal, avec sa fem
uelle son faible cœur soupirait depuis longtemps ; et il disait à ses
amis
: « Je ne saurais être philosophe avec une femme
de s’en aperçut. Après le spectacle, Baron courut dans la loge de son
ami
: j’ai un froid qui me tue, lui dit Molière. Baro
fait mettre dans son lit, et ne le quitte que lorsque son malheureux
ami
le conjure d’aller chercher sa femme ; mais l’heu
r à la gloire de Molière, ainsi qu’à la tienne. Non, La Fontaine, ton
ami
n’est pas mort, il est parti pour ce séjour tranq
reliques fussent déposées dans le tombeau où reposaient celles de son
ami
; remercions l’artiste zélé infatigable qui les a
ans une loge grillée, et nous dit, en rentrant chez elle : « ah ! mes
amis
, que j’étais mauvaise ! » 15. On nomme ainsi les
end avoir vu cette scène entre les mains du fils de Pierre Marcassus,
ami
de Molière, et il ajoute, écrite de la main de l
a nature paraissait l’avoir destiné, puisqu’il dit un jour à quelques
amis
: « Si Paris était dans la campagne, ce serait un
honneur ; Celui-ci ne pouvant, au gré de son envie, Prouver que votre
ami
trahissait la patrie, Et vous traiter vous-même e
olière s’avisa donc un jour qu’Armande Béjart, sœur de sa camarade et
amie
Madeleine, pouvait devenir sa femme. Elle avait s
un frère, cette Léonor où l’on retrouve si aisément Armande Béjart ?
Ami
intime de Madeleine, il avait dû partager avec el
taient pas les seuls assistans et permettent de supposer un cortège d’
amis
aussi nombreux que l’on voudra. Un passage du reg
ndait par ces deux vers de l’École des femmes : Hé, mon Dieu ! notre
ami
, ne te tourmente point ; Bien huppé qui pourra l’
s, outre que l’on sait par les contemporains les noms des principales
amies
de l’abbé et que Mlle Molière n’en est pas, il fa
et exige une séparation. En vain, sa famille, celle de Molière, leurs
amis
communs essaient de l’apaiser : « Elle conçut dès
rdin, lorsque, selon la Fameuse Comédienne, il reçut la visite de son
ami
Chapelle, et, « comme il étoit alors dans une de
it de souvenir par Chapelle, ou une lettre adressée par Molière à son
ami
, compte-rendu ou lettre tombés dans les mains du
insouciant, Chapelle n’en était pas moins sensible aux peines de ses
amis
; il l’a prouvé en plusieurs circonstances. Or, l
ner raison en revenant à Mlle de Brie. C’était une maladresse, et ses
amis
ne le lui cachèrent pas. L’un d’eux, selon Grimar
aisait avec une galanterie fière l’admirateur et le servant. Devenu l’
ami
de Molière, il offrit à sa jeune femme une admira
671, entre les Fourberies de Scapin et la Comtesse d’Escarbagnas. Des
amis
communs, entre autres Chapelle et le marquis de J
que le mal était décidément le plus fort, dit au comédien Baron, son
ami
: « Je vois bien qu’il me faut quitter la partie
yal au logis de Molière, il demeura aux côtés de son maître et de son
ami
. Une fois chez lui, raconte Grimarest, Molière co
e d’Auguste7. La partie de la muraille qu’occupait cet ouvrage de son
ami
, le célèbre Mignard, est cachée pour le moment de
e, et qui n’est pas moins recommandable à nos yeux comme le père et l’
ami
des comédiens. Après quoi, il nous a représenté q
à celle des bateleurs héroïques du Roman comique de Scarron. Molière,
ami
du prince de Conti, pour lequel il dansait et peu
ac et de corde, qu’il prend pour l’honneur même et le plus dévoué des
amis
. « Ah ! dira-t-il tout à l’heure en l’embrassant,
si Limoges fut sévère à Molière, la Normandie lui fut accueillante et
amie
. Le succès de Molière à Rouen fut tel que l’écho
ès tout le métier de comédien avait ses charmes. Bref, Molière et ses
amis
les amateurs de théâtre s’établirent dans le jeu
un autre, jamais il n’en a voulu dire la raison, même à ses meilleurs
amis
. Ce silence n’a rien de fort merveilleux : peut-ê
lorsqu’on n’adhérait pas à ses sentiments : elle aimait mieux être l’
amie
de Molière que sa belle-mère ; ainsi il aurait to
s’il avait pu prévoir qu’un tel homme lui succéderait. Il avait peu d’
amis
à qui se fier de son vivant : Chapelle, à qui Mol
ticulier, elle rit de ma faiblesse. Encore si je pouvais jouir de mes
amis
aussi souvent que je le souhaiterais, pour m’étou
e vieux et bon bourgeois et de commerçant honnête. Un jour, Rohaut, l’
ami
de Molière, entra, tout naturellement, dans la bo
existait pas, disait, en parlant de sa femme, Molière à Chapelle, son
ami
, mais si vous saviez ce que je souffre, vous auri
n an ; il lisait alors son œuvre, comme en cachette, dans des maisons
amies
, devant un public trié et d’esprit libéral. Il se
ur satirique des diseurs de bons contes, aïeux et neveux de Rabelais,
amis
sincères de l’humanité tenue en santé par l’hygiè
ait de ceux-là. Il se plaisait à le faire, à dîner, au dessert, entre
amis
, ou chez les grands seigneurs, ses hôtes. Dans L’
nesque de Grésinde — dont elle s’était affublée — ou parée. Clotaire,
ami
d’Anselme, et épris d’Isabelle, nous représentera
comédien folâtre A loué dessus son théâtre : Et quoi que ce fou, leur
ami
, Les faquine en diable et demi, Ces marquis de ha
rler, mais de ces portraits à la plume que tracent les contemporains,
amis
et ennemis. Le plus curieux de tous, peut-être, c
t le mal avec courage, célébrant le bien avec amour, sage conseiller,
ami
dévoué, époux incompris, se consolant avec ses ré
assesses de la cour. « Vous me félicitez du Tartuffe, disait-il à ses
amis
, que direz-vous donc quand vous aurez entendu mon
t était boiteux. Il avait reçu un coup d’épée en séparant deux de ses
amis
qui se battaient en duel sur la place du Palais-R
, né à Amiens, mort en 1692. — Intelligent acteur qui devait, avec un
ami
de Molière, Vinot, donner au public la première é
onnage de Tartuffe. Quitta le théâtre en 1689 et mourut en 1695 ; son
ami
, le curé de Conflans-Sainte-Honorine, près de Par
igmées. Louis par la grâce de Dieu roy de France et de Navarre à nos
amis
et feaux les gens tenans nos cours de Parlement,
onclusion naturelle au présent volume. Maintenant à l’œuvre, tous les
amis
de Molière, pour trouver et déterrer encore du no
raît avoir éprouvé, lorsque, en 1663, il accompagna son parent et son
ami
Jeannart, impliqué dans la disgrâce de Fouquet et
gédie ; il ne put jamais réussir dans ce genre, de l’aveu même de ses
amis
. En rappelant ce souvenir, je n’ai pas la pensée
ociété, possédait l’art si peu connu de ménager la délicatesse de ses
amis
, et qui plus est de leur donner d’excellents cons
affaire-là m’embarrassait, elle avait sa difficulté. Adieu, mon cher
ami
, tu juges mieux qu’homme de France.213 212. ??
ard, qui sentoit la valeur de cette premiere piece surtout, amusa son
ami
, y fit quelques changements, la mit en vers, &
omédiens sous son nom : ce fait est connu. Dufresny se plaignit à ses
amis
d’un larcin qui ne convenoit qu’à un poëte plagia
nce crier en symphonie à l’acteur qui ouvre le prologue : arrête, mon
ami
, arrête ! que diable veux-tu dire ? Je vois déja
dre favorable le parterre. Thibaut. C’est donc queuque monsieu de vos
amis
que ce parterre ? L’Auteur. Bon ! à l’autre ! Thi
a lecture qu’après le repas. Le poëte comique compta au nombre de ses
amis
Lælius & Scipion l’Africain. On a de lui six
étudiant ; Le capitaine Bellorofonte Martellione, étranger ; Spacca,
ami
de Scapin ; un caporal et des sbires. Le lieu de
rurier pour enlever Celia. Scapin, qui a été averti du projet par son
ami
Spacca, prend l’avance et vient au lieu de Cintio
ressants ; la faillite arrive. Beltrame va se réfugier chez un de ses
amis
à Rome ; Lucrezia l’implore pour qu’il l’emmène a
nde famille, remplies par les conspirations de M. de Modène et de son
ami
le chevalier L’Hermite de Vauselles, père et parr
ière, le comédien Marcel, qui rédigeait, sous la dictée de La Grange,
ami
et compagnon du grand homme. Voici ce qu’il dit à
ui se passait dans son domestique. C’est ce que ses plus particuliers
amis
ont remarqué bien des fois. » Le nouveau volume
tous les mariages, on obtint, par grâce spéciale du cardinal de Retz,
ami
de Molière et alors archevêque de Paris, qu’un se
ce de son frère Louis Béjard et de sa sœur Geneviève, restés toujours
amis
de Madeleine, égaux en droits avec Armande, si el
mbrable, et de lui trouver des parents, là où il n’avait pas même des
amis
. Une partie des Poquelin, en effet, étaient très
eille que lui de quatre ans au moins, qui. avait déjà compté bien des
amis
parmi les seigneurs et les poètes, entre autres R
e mêlant lui-même de tragédies, les traita en confrères et resta leur
ami
. Voilà les avenues du tripot pavées à neuf et enf
comédie du Tartufe se trouvait prise dans les pièges des faux dévots.
Ami
, il était trompé : Racine le quittait, pour la sc
ait faire endurer à ceux dont il était moins le chef que le père et l’
ami
, voilà Molière, à l’heure du Misanthrope. Il faud
e-Levayer venait de perdre son fils, qui avait été l’un des meilleurs
amis
de Molière ; celui-ci s’empressa de lui adresser,
per à lui-même, par le travail, la lecture, ou la conversation de ses
amis
. Il n’y parvenait pas ; son chagrin le suivait to
de ses œuvres nouvelles en apportait un écho, et s’il était avec ses
amis
, sa tristesse était telle, qu’ils le provoquaient
suspect. Molière ouvre là tout son cœur. « Je suis né, dit-il à son
ami
, avec la dernière disposition à la tendresse, et,
inaire ; quelques conseils de Chapelle et du marquis de Jonsac, autre
ami
de Molière, amenèrent ce dernier accord. Voici co
oque même ; comme, d’un autre côté, l’évêque du Mans, M. de Lavardin,
ami
de Scarron et très proche parent de M. de Modène,
Pavait ramené, il en trouva plus qu’ailleurs, car il y retrouvait des
amis
. C’est lors de ce séjour, qui dura de 1650 à 1653
n même temps tous les familiers du duc de Saint-Aignan, tous ses bons
amis
, heureux de se venger des ennuis du personnage, e
ode, mais si parfaitement incompris. C’est pour cela que de Visé, son
ami
, fit, dans le Mercure galant, à l’époque de la re
ommodaient pas, en fit apporter six autres : — « Hé ! de ceux-ci, mon
ami
Gaveau, qu’en dis-tu ? De quel prix crois-tu qu’i
s’amusait volontiers à raconter cette aventure et à en voir rire ses
amis
. Je parierais, cependant, que, si c’eût été quelq
uait les Arlequins ; mais, homme d’esprit comme il l’était, instruit,
ami
des gens de lettres, il ne pouvait s’accommoder,
, du moins, autre poète de ce temps-là, qui fut l’un des plus anciens
amis
de Poquelin, et celui même qui lui fit ses premie
qu’il trouve dans le passé de son bienfaiteur, et le trahir, lui et l’
ami
, dont il tient la précieuse cassette. Jugez ce qu
s de juillet 1662, une Troupe, qui pouvait se croire là sur une terre
amie
, s’étant aventurée du côté d’Uzez, reçut l’ordre
s tôt. Racine, qui était à Uzez, écrivit, le 5 juillet, à l’un de ses
amis
: « Une troupe de comédiens s’était venue établir
rpris de ce côté. M. Cousin, qui est si bien sur la piste de tous les
amis
de madame de Longueville en ses dernières années,
, dit Racine, chez une personne, qui en ce temps-là était fort de vos
amies
; elle avait eu beaucoup d’envie d’entendre lire
semble, éprouver qu’il l’écrivit beaucoup plus tôt. Madame de Sablé,
amie
de madame de Longueville, devait tenir plus que p
mascarade ; Qu’il fallait aller chercher La tête d’un trépassé. Ses
amis
veulent l’en empêcher, il n’en tient compte : il
e la cour et du Mercure galant. Ce n’est pas tout : Molière avait un
ami
, Racine, qu’il avait accueilli tout jeune encore,
pièce. Je suis sur que, par ses instances et par celle des puissants
amis
qu’il avait à la cour, il contribua plus que pers
encore une fois, un farceur. Ses ennemis lui en firent en crime ; ses
amis
, je dis les plus sévères, et Boileau est du nombr
is, je l’ai dit, s’en faisaient une arme pour saper sa gloire, et ses
amis
ne le répétaient qu’en rougissant. Les uns et les
comment : si quelque aventure désagréable vous était arrivée, de bons
amis
, comme il en est tant, allaient la conter aux com
s de la comédie, aux grands éclats de rire du parterre et de vos bons
amis
qui, vous serrant de près, vous clouaient à votre
andaleux, après l’avoir encore épicé à sa manière. Quelqu’un des bons
amis
, dont je parlais tout à l’heure, et dont l’espèce
nt mis chez nous à la mode et dont s’accommodait si bien notre esprit
ami
des changements, étaient choses, en effet, plus f
ut tout. Turlupin survivait, mais que pouvait-il faire, sans ses deux
amis
? Il se traîna jusqu’en 1673, et si tristement, s
substituer une vérité sans prestige, on racontait même que les trois
amis
étaient morts, dans la même semaine. Deux de ces
les trois amis étaient morts, dans la même semaine. Deux de ces bons
amis
n’avaient pas été frappés par le même coup, qui b
. On ne parlait pas d’autre chose. Sarrasin, ayant à rédiger pour son
ami
le comte de Fiesque, une de ces lettres-chronique
comme le Médecin volant n’était pas nouveau dans le répertoire de son
ami
Scaramouche, soyez, sûr qu’il l’avait vu jouer, e
Baron, qu’il avait beaucoup connu, et qui avait été assez longtemps l’
ami
de Molière, pour avoir en sa possession cette épa
ourrait pas être du Paris moderne ; mais elle est, suivant mon savant
ami
, de l’Italie ancienne, et je le crois. Ce que je
t obligé de faire. « Le sujet — dit La Fontaine dans une lettre à son
ami
Maucroix, qui vaut, sur cette fête et sur la pièc
heur d’amoureux, je vais vous dire, d’après le fameux Registre de son
ami
La Grange, ses fatigues d’une seule semaine, pour
ans une lettre aussi curieuse que peu connue : « Il fut autrefois mon
ami
, et je crois qu’il le serait encore, sises excell
f son amour du beau, ne pouvait dissimuler, avec ceux dont il était l’
ami
, son dédain des œuvres inférieures qu’ils avaient
un côté par les critiques qui continuaient, de l’autre par les éloges
amis
qui le soutenaient, il acheva sa pièce et la lanç
lité, je n’en disconviens pas, était trop, comme l’a dit Saumaise, un
ami
des précieuses et « un grand introducteur des bel
ande évidence, par sa position auprès du frère du roi ; de plus, fort
ami
de Molière, et enfin, pour que rien ne lui manque
en décembre 1668, c’est son poème du Val-de-Grâce à la gloire de son
ami
Mignard, que Molière va lire chez Mlle de Bussy.
était tout à fait du caractère que Molière devait rechercher dans ses
amis
: d’humeur aimable, facile au rire, mais non moin
Mlle de Bussy et le lui adressant, vous avez de la tendresse pour vos
amis
, vous entrez dans leur sentiment, vous vous affli
rtain. Racine lui-même est là, pour l’attester. Dans une lettre à son
ami
Levasseur, datée du mois de décembre 1663, c’est-
i ayant demandé d’où lui venait ce surcroît d’admiration : « Ah ! mon
ami
, dit-il, c’est que je pense que, si Tartuffe n’ét
ation : « Depuis quinze jours, écrivait-il, le 22 janvier 1637, à son
ami
, le Manceau Belin, le public a été diverti du Cid
ins que personne ce répertoire de Rotrou. Il avait été de ses grands
amis
. Les seuls vers que l’on connaisse d’elle lui son
es gens qui avaient quelques détails de ladrerie tout neufs sur leurs
amis
et connaissances, les firent intercaler ainsi dan
l’Avare par les comédiens, et y menèrent de même ces connaissances et
amis
, pour qu’ils y vissent passer leur ridicule, sous
se reconnaissait à lui-même. « Molière, disait-il un jour à un de ses
amis
qui l’a écrit, possédait si bien l’art de caracté
somme nécessaire, huit mille livres, par Rohault, un de ses meilleurs
amis
, et le père ayant accepté, il fournit l’argent, q
meilleurs amis, et le père ayant accepté, il fournit l’argent, que l’
ami
n’eut qu’à porter. Le fils, payant en secret les
e lésinerie, est pleine de cette légende Harpagonienne, dont ses deux
amis
, Racine et Molière, firent aussi, d’après lui, et
Le Vayer avait épousé sa fille, et, par lui, Molière, dont il était l’
ami
, avait là ses entrées libres. De La Haye n’habita
il nous a dit lui-même, au commencement du livre Ier, sur le cercle d’
amis
, qui reçurent les confidences de son roman, va ré
t-ce que par un conseil, à l’œuvre dont nous allons parler. « Quatre
amis
, écrit donc La Fontaine, au prélude de sa Psyché,
Quatre amis, écrit donc La Fontaine, au prélude de sa Psyché, quatre
amis
, dont la connaissance avait commencée par le Parn
vre, ce qui arrivait rarement. » Voilà, n’est-ce pas, une société d’
amis
bien surprenante, et aux qualités d’esprit bien i
qualités d’esprit bien invraisemblables. Mais, quand on saura que ces
amis
étaient Molière, La Fontaine, Racine et Boileau,
aire, dont il a été dit un mot tout à l’heure, communiqua à ses trois
amis
« le dessein » d’un ouvrage « auquel il avait tra
oupable, et qui avait blessé, dans ses sentiments de loyal et sincère
ami
, Molière, déjà si cruellement atteint comme père
tention des bibliographes, il paraît infiniment probable que Molière,
ami
du prince de Condé et de Chorier, eut connaissanc
e lettre, si elle n’est pas de l’auteur même, est de quelqu’un de ses
amis
les plus intimes et les plus confidents, lequel a
ts qui n’ont pas été entrevus davantage Molière avait longtemps été l’
ami
de Lully. Ils avaient travaillé ensemble pour les
que son fils avait pris, le fit solliciter par tout ce qu’il avait d’
amis
de quitter cette pensée, lui promettant, s’il vou
l est certain que cet à-propos était fait et reçu avant qu’on jouât L’
Ami
Fritz ; mais c’est pour lui une malchance d’être
e, et qui n’est pas moins recommandable à nos yeux comme le père et l’
ami
des comédiens. Après quoi, il nous a représenté q
es derrière un tableau, en souvenir du peintre Sébastien Bourdon, son
ami
, qui le lui a donné, à la St-Jean de 1670, jour d
, 1690, in-12, p. 133, 234. 69. Nous devons de la connaître, à notre
ami
Ch. Livet. 70. Mémoires, t. I, p. 127, 128. 71
riage. Il y rêvoit un jour dans son jardin d’Auteuil, quand un de ses
amis
nommé Chapelle, qui s’y venoit promener par hazar
imé, il ceda à l’envie de se soulager, & avoua de bonne foi à son
ami
, que la maniere dont il étoit forcé d’en user ave
ssûré de vous mettre l’esprit en repos. Moliere, qui avoit écouté son
ami
avec assez de tranquillité, l’interrompit pour lu
sse sans en pouvoir triompher ? Je vous avouë à mon tour, lui dit son
ami
, que vous êtes plus à plaindre que je ne pensois
trant ses écrits Peut-être de son Art eût remporté le prix ; Si moins
ami
du peuple en ses doctes peintures, Il n’eût point
Comedie. Son pere – – – – le fit solliciter par tout ce qu’il avoit d’
amis
de quitter cette pensée, & n’aiant pu rien ga
ère lui avait fait trop d’honneur, et ils se séparèrent les meilleurs
amis
du monde3 L’authenticité de cette anecdote, plus
reconnaît sa femme; dans le rôle d’Éliante, on devine Mlle de Brie, l’
amie
dévouée du grand homme; et l’acariâtre Du Parc es
c est le type d’Arsinoé. Philinte nous rappelle cet aimable Chapelle,
ami
trop léger, qui « sans souci des choses de la vie
208. 31. Taschereau, ouvrage cité. 32. Ibid. 33. « Il est de mes
amis
. » (Le Misanthrope, acte II, scène V.) 34. Le M
olière. Paris, 1705, p. 189.) « Molière, a dit Lagrange, camarade et
ami
du grand homme et le premier éditeur de ses œuvr
i regardaient ce qui se passait dans son domestique; c’est ce que ses
amis
particuliers ont remarqué bien des fois. » (Voir
’aventure de Champmêlé. On remarque sa présence d’esprit, lorsque ses
amis
voulurent se noyer à Hauteuil, et qu’il raccommod
le prétend dans un autre endroit. « Mais, ajoute-t-il, Baron est son
ami
; seulement il a part à son Ouvrage : il le loue
louanges qu’il me donne en d’autres endroits ? Et bien soit, je suis
ami
de Baron : J’ai cela de commun avec beaucoup d’ho
d’accord sur cet article. L’Auteur de la Critique est du moins autant
ami
des Comédiens, qu’il prétend que je le sois de Mr
sincères ; car je lui avoue ingénument que je ne le crois pas de mes
amis
, et que sans l’impression, qui ne souffre plus d’
e discutais cette proposition, je ne sais si mon Censeur, et ses bons
amis
, y trouveraient leur compte. Mais n’ayant rendu q
njuste de se plaindre d’eux si souvent. Mon Critique qui se fait tant
ami
de la sincérité trouve encore mauvais que j’aie f
riage. Il y rêvoit un jour dans son jardin d’Auteuil, quand un de ses
amis
nommé Chapelle, qui s’y venoit promener par hazar
imé, il ceda à l’envie de se soulager, & avoüa de bonne foi à son
ami
, que la maniere dont il étoit forcé d’en user ave
assûré de vous mettre l’esprit en repos. Moliere qui avoit écouté son
ami
avec assez de tranquillité, l’interrompit pour lu
sse sans en pouvoir triompher ? Je vous avouë à mon tour, lui dit son
ami
, que vous êtes plus à plaindre que je ne pensois
veut elle-même épouser Oronte, amant de la jeune personne, ou Léandre
ami
d’Oronte. Comme on a parlé de marier la vieille f
s....Ah ! le lâche ! La douleur dont m’accable un si dur souvenir....
Ami
, pour un moment, daigne me soutenir, Je n’en puis
ui alonge un coup d’épée au travers du bras. Le combat fini, les deux
amis
redevinrent bons amis, s’expliquerent, convinrent
ée au travers du bras. Le combat fini, les deux amis redevinrent bons
amis
, s’expliquerent, convinrent qu’ils avoient eu tor
mme ? La Tante. Celui qui comme vous voit au fond de votre ame, Votre
ami
. Léandre. Votre ami.Quoi ! ces feux, ces amours
qui comme vous voit au fond de votre ame, Votre ami. Léandre. Votre
ami
.Quoi ! ces feux, ces amours prétendus, Vous les s
. . . . . . . . . . . . . . . . . . Léandre croit avoir délivré son
ami
des persécutions de la Tante ; mais il ne l’instr
ant une lettre tendre à Mondor, c’est le nom du fat : elle engage son
amie
à le traiter de même. Mondor fait trophée des deu
Il prête, en effet, cette fière réponse à Cléon, que l’un de ses faux
amis
engage à vivre désormais d’emprunts : Les hommes
sées; et l’on voit, sans en être bien édifié, de vieux guerriers, les
amis
, les soutiens, les premiers lieutenants du plus g
relation d’un voyage à Bordeaux que lord Pembrock fait à l’un de ses
amis
: Le trait qui m’a dompté Des regards d’une veuv
rait. Il le met en scène ; non seulement lui, mais encore l’un de ses
amis
, le présomptueux Acaste. À la rigueur, il aurait
obles d’avant 1789. Croyant que le fils du comte de Surgy, son ancien
ami
, a des créanciers et de plus un rival plébéien qu
chaînes du pouvoir et à devenir ministre. « Mais comment, lui dit son
ami
, peux-tu arranger cela avec ta position et tes op
n ambitieux, un sot de cette espèce, qui ne veut plus voir son ancien
ami
Michelson, le marchand drapier, «parce qu’il n’es
placé près de lui un homme véritablement sage et vertueux, Philinte,
ami
dévoué, qui lui fait toucher du doigt ses erreurs
semblables raisonnements que Philinte cherche en tout à éclairer son
ami
, et dans l’occasion il joint l’exemple au précept
t-être pour exprimer sa véritable pensée que pour donner le ton à son
ami
et lui faire comprendre que la sincérité serait d
le véritablement nécessaire ? En un mot, épargne-t-il la vérité à son
ami
? Non, il la lui dit à chaque instant, et sous to
charme vos yeux... Je le répète, Alceste est sans excuse, puisque un
ami
sincère l’avertit incessamment de ses fautes, le
le dit, du commerce des hommes, et s’écrie, en imposant silence à son
ami
qui cherche à le détourner de ce dessein : Mais
e bonté, de quelle patience ne fait-il pas preuve quand son irascible
ami
l’apostrophe à tout moment des noms de lâche, de
uement ? Moins occupé de son amour qu’afflige de la résolution de son
ami
, son premier soin est de dire à Eliante : Allons
pensée : Ma main de se donner n’est pas embarrassée ; Et voilà votre
ami
, sans trop m’inquiéter, Qui, si je l’en priais, l
portrait qu’elle fait du Misanthrope. « Pourquoi, dit Philinte à son
ami
, pourquoi montrez-vous pour les gens qu’on vient
se trouvent des femmes plus sociable et plus dociles que celle de son
ami
; il ne les abandonne pas pour longtemps, quand ce
point ?... Il n’oublie pas de tirer avantage de l’aveuglement de son
ami
et de la prévention où il l’a jeté en sa faveur;
es cousins et des cousines, du neveu et de la nièce, le flatteur et l’
ami
déclaré de tous les oncles qui ont fait fortune,
it entêté, qui sait, dis-je, en apprenant la faiblesse de son saint
ami
, s’il ne se fût pas encore écrié : Le pauvre homm
Damis cette correction, il connaît trop bien le caractère têtu de son
ami
pour ne pas savoir que la résistance en pareil ca
ue aux crimes de ma vie. Maintenant il veut édifier son trop crédule
ami
par la magnanimité de son cœur. Il lui demande ’
’en payent pas et qu’ils aient peine à croire que j’aie supplanté mon
amie
? Combien ne fera-t-on pas mettre de sangsues qua
rassurez l’hôtel de Richelieu ; on n’oublie pas dans la solitude des
amis
à qui l’on en doit tous les agréments. Ma vie, di
dire à l’hôtel de Richelieu : qu’on n’oublie pas dans la solitude des
amis
à qui l’on en doit tous les agréments, elle disai
Son malheur vous l’assure, & Cléon n’est plus rien. Je vais à mes
amis
demander un asyle, En vous laissant chez moi trio
à l’égal de vous-même : Vous vous raillez sous main de vos meilleurs
amis
, Quoique toujours près d’eux complaisant & so
occupe tout le cœur, Et quiconque s’y livre y trouve son bonheur. Un
ami
qu’on implore, ou refuse, ou chancelle : L’argent
heur. Un ami qu’on implore, ou refuse, ou chancelle : L’argent est un
ami
toujours prompt & fidele. Le plaisir d’amasse
e misere ! L’Intendant. Voilà Monsieur Oronte. Le Marquis. Adieu, mon
ami
: cela est fini. Je ferai votre affaire. Adieu.
me de qualité. Le Marquis. Vous prenez mal les choses ; je suis votre
ami
. Fanchon, toujours cachée. Ho ho ! Dorante. Monsi
urs traits & leur structure, les lia. Martin Guerre raconta à son
ami
tous ses secrets, jusqu’à ceux du lit nuptial. Ar
ue l’époux se faisoit casser une cuisse à l’armée, sa femme & son
ami
travailloient paisiblement à réparer sa perte. Il
e, au levé, Madame, a bien paru ridicule achevé. N’a-t-il pas quelque
ami
qui pût, sur ses manieres, D’un charitable avis l
tes-vous, Madame ? Célimene. Qu’en dites-vous, Madame ?Il est de mes
amis
. Philinte. Je le trouve honnête homme, & d’un
mmencement, que le milieu. Alceste. Allons, ferme, poussez, mes bons
amis
de cour, Vous n’en épargnez point, & chacun a
cture que Moliere lui en fit, & que ce dernier s’écria : Ah ! mon
ami
, vous verrez bien autre chose ! On part de là pou
toutes les personnes sensées, que l’exclamation de Moliere, Ah ! mon
ami
, vous verrez bien autre chose ! signifioit je par
ère fait un usage admirable dans toutes les scènes d’Alceste avec son
ami
, où les froides maximes et les railleries de celu
et non pas une vertu. Qu’une femme fausse le trahisse, que d’indignes
amis
le déshonorent, que de faibles amis l’abandonnent
ausse le trahisse, que d’indignes amis le déshonorent, que de faibles
amis
l’abandonnent, il doit le souffrir sans en murmur
s dans la Gazette. Tel est le caractère d’Alceste. Il est avant tout
ami
de la vertu et ennemi de tous les vices ; il n’es
parce que c’est lui et non un autre qu elle a trompé ; que d’indignes
amis
le déshonorent, il restera impassible, parce que
ipons », il est capable de conseiller des actes de malhonnêteté : « L’
ami
d’Alceste doit le connaître. Comment ose-t-il sup
e seul homme de la pièce qui aime et qui estime Alceste. Il est son «
ami
» et Alceste a « fait profession » d’être le sien
ante a du penchant pour vous. Il dit à Eliante : Je crois que notre
ami
, près de cette cousine, Trouvera des chagrins plu
Et cela n’est point du tout d’un amoureux passionné ; mais c’est d’un
ami
franc, sage, dévoué, qui sait préférer les intérê
t d’un ami franc, sage, dévoué, qui sait préférer les intérêts de son
ami
aux siens, chose si rare, et qui sait reconnaître
mi aux siens, chose si rare, et qui sait reconnaître le mérite de son
ami
comme supérieur au sien, chose plus rare encore.
r les antagonistes, c’est Philinte lui-même. Philinte est le meilleur
ami
du monde. Il est très honnête homme d’autre maniè
rêmement sévère pour eux. Dans le fond de son âme, en causant avec un
ami
, il ne les ménage pas au moins : Oui, je vois ce
liante ; il sait qu’il est aimé de Philinte et il l’estime ; les deux
amis
sont à ce moment très bons amis. Or, c’est à ce m
de Philinte et il l’estime ; les deux amis sont à ce moment très bons
amis
. Or, c’est à ce moment, qui est grave, car Alcest
pourra-t-il ne s’échauffer de rien ? Et s’il faut, par hasard, qu’un
ami
vous trahisse, Que, pour avoir vos biens, on dres
e en sa personnalité essentielle (« Allons, ferme ! poussez, mes bons
amis
de cœur » ; mais en général on ne peut nier que s
pprends qu’on l’a mis, Gardez-vous, je vous prie, au moins, mes chers
amis
, De souiller par vos soins la beauté de ma cause.
z tout. Auriez-vous besoin d’un ministre ? J’en ai un ; du moins, mes
amis
en ont un. Philinte, à moi !. . » Philinte trouve
à moi !. . » Philinte trouve qu’Alceste dispose un peu bien vite des
amis
dont Philinte dispose : J’en suis fâché pour vou
services ? Avez-vous donc, pour lui, d’assez grands sacrifices3 ? Mon
ami
, redoutez un peu moins vos dangers. A qui fait s
s soins, d’un cœur plus affermi Je pourrai sans retard voler vers mon
ami
. ………………………………… Mais déjà près de lui j’aurais por
t et je l’ai. Le voilà. Philinte est dans l’enthousiasme. « Ah ! mon
ami
! » — Rayez cela de vos papiers, répond Alceste ;
e, qui concerne Alceste ; ce qui est de l’indifférence à l’égard d’un
ami
; et quand, cautionné par Alceste, et c’est-à-dir
e et même de l’aller voir, ce qui est de l’ingratitude à l’égard d’un
ami
; alors, trop évidemment, il n est plus le Philin
est plus le Philinte de Molière qui est très chaudement dévoué à son
ami
, qui a même, nous l’avons vu, du désintéressement
franc, sincère, intransigeant, ennemi indomptable de tous les vices,
ami
inébranlable de la vertu et prodigieusement vertu
es de mensonge » dont il parle ; il a été ou a cru être trahi par ses
amis
; il a été le jouet, sinon d’une coquette, du moi
clare superbement : « Qu’une femme fausse le trahisse, que d’indignes
amis
le déshonorent, que de faibles amis l’abandonnent
ausse le trahisse, que d’indignes amis le déshonorent, que de faibles
amis
l’abandonnent, il doit le souffrir sans murmurer.
. Ne laissez pas de songer du reste que vous avez désormais en moi un
ami
chaud et de qualité à vous pouvoir servir. Notez
vient insensible à tout ce qui n’est pas religion, c’est-à-dire à ses
amis
, à ses concitoyens, à sa famille (« et je verrais
t ainsi. Vous serez malheureux ; vous serez seul ; vous n’aurez aucun
ami
; vous perdrez votre femme de bonne heure, assass
là qu’il se peut faire que vous, très bon, vous jetiez votre meilleur
ami
, en émouvant sa bile, dans une assez méchante aff
s, mon cher. Faites état de moi, Monsieur, comme du plus chaud de vos
amis
. Monsieur, je suis ravi de vous embrasser. Ah, Mo
ffire de lui faire voir, de ses propres yeux voir, la perfidie de son
ami
; mais que contre les Tartuffe et les Don Juan, i
Une femme bel esprit est le fléau de son mari, de ses enfants, de ses
amis
, de ses valets, de tout le monde. De la sublime é
t distingué… Je veux qu’on me distingue, dit Alceste et aussi : L’
ami
(e) du genre humain n’est pas du tout mon fait. e
avec quelques honnêtes hommes. Elle n’était pas toujours hostile aux
amis
de Rousseau et en général elle les recevait assez
ménagère, mais qui cependant lui eût fait quelque honneur devant ses
amis
: voilà ce que Rousseau a rêvé en traçant le port
aurait parlé ainsi — en meilleur style, c’est entendu : « Vous êtes l’
ami
de la nature et je vous en aime ; je vous dirai s
es vives et soudaines lumières pour lesquelles il n’est pas fait. Mes
amis
, laissez-les dire et se plaindre, ces braves gens
Van Amburgh. Même, à ce sujet, j’ai retrouvé une lettre piquante de l’
amie
de Molière, mademoiselle de Brie, sa fidèle conse
solation. Mademoiselle de Brie et la vieille Laforest, voilà les deux
amies
de Molière, et ses deux véritables gardes du corp
rait complet de Molière, le doit représenter entre sa servante et son
amie
. L’une lui a prêté son gros rire, son bon sens, s
ant cette lettre que mademoiselle de Brie écrivait probablement à une
amie
, dont elle ne dit pas le nom : « Je vous ai racon
t serviteur Sganarelle, qui ne soit devenu : juste ciel ! Bertrand, l’
ami
de Macaire ! Histoire de toutes les grandes origi
non pas le Don Juan, mais Le Festin de Pierre. En effet, disaient ces
amis
de Molière, où le maître a-t-il pris cette prose
que des grandes choses, et non plus des futiles ! C’est pour le coup,
ami
feuilleton, qu’il te faudra briser ta plume : « F
ance ! Grande voix qui va tout briser ! Si pourtant Molière, le poète
ami
du peuple, n’eût pas tenu si fort à nous montrer
la succession de son maître… C’est vrai, on n’a pas voulu te croire,
ami
Sganarelle, parce que tes discours n’ont pas été
in, toi aussi, tu as passé devant le pauvre, sais lui rien donner ! —
Ami
Sganarelle, tu n’as que ce que tu mérites, et pou
r, à nos lecteurs, que nous changeons de parabole. Mais avez-vous lu,
ami
lecteur, cette charmante satire d’Aristophane, Pl
e que je suis aveugle, répond l’argent. — Et si on te rendait la vue,
ami
Plutus ? — Je tâcherais de trouver un honnête hom
l’Argent. — Jupiter ! Jupiter ! voilà un pauvre dieu, sur ma parole,
ami
Plutus ! C’est l’Argent qui a créé Jupiter. Si le
nveillance, de grâce, d’enjouement. Il y a dans ce Plutus un chœur… L’
ami
Proudhon, ce terrible et inintelligent fantôme qu
s mille ans. Proudhon (ou Carion) et les villageois. Proudhon. Mes
amis
! mes amis ! rudes enfants du travail, jusqu’à ce
. Proudhon (ou Carion) et les villageois. Proudhon. Mes amis ! mes
amis
! rudes enfants du travail, jusqu’à ce jour c’est
est être bien osé que de se moquer de nous à ce point-là ! Proudhon.
Amis
! pourquoi ce courroux ? Pensez-vous donc que je
n, court après ce qu’on nomme spéculations tentantes ! Dites-moi, mes
amis
(cela me tourmente), comment placer ma pension le
paysanne, fille de pitaud & de meneur de cochons ! Non, non, mon
ami
, je n’ai point nourri votre fille pour cela ; app
u Princesse, je n’y donnerai jamais mon consentement. Voyez-vous, mon
ami
, j’ai toujours aimé l’égalité, & je ne sauroi
er à jaser ; oui, par ma foi, je m’en empêcherai bien. Pour vous, mon
ami
, faites-vous Gouverneur, ou Baron, ou Président,
m’a dit (c’est M. de Tralage qui parle) que Moliere, qui étoit de ses
amis
, l’ayant un jour rencontré dans le jardin du Pala
: ils ont beau se railler les uns des autres & conseiller à leurs
amis
d’appaiser Vénus qui les a affligés d’une passion
que son Fils avait pris, le fit solliciter par tout ce qu’il avait d’
Amis
de quitter cette pensée, promettant s’il voulait
n’excédât pas ses forces. Ni les prières, ni les remontrances de ses
Amis
soutenues de ces promesses ne purent rien sur son
cardinal goûta cette idée. Boisrobert la présenta de sa part aux neuf
amis
, qui la reçurent avec déplaisir, voyant dans l’ér
erran, le marquis de Racan, Guillaume Colletet, qui étaient aussi des
amis
de l’hôtel de Rambouillet, puisque leurs noms se
as plus qu’un autre échappé à la règle et m’entretenant avec quelques
amis
de mon désir naissant d’interpréter Alceste, je r
siècle, qui en contenait une, adressée à Santeuil, le chanoine poète,
ami
de La Bruyère et, comme lui, commensal du prince
échante intention. Il calmait de son mieux les susceptibilités de son
ami
et terminait par une phrase ainsi commencée : Qu
quel bon rire ! La Bruyère bon vivant, gourmand sans doute, comme son
ami
le chanoine ! Ce sont des perspectives inattendue
composant peut-être de nouvelles, — maîtresse acariâtre parfois, mais
amie
fidèle, — telle fut celle qu’on peut appeler prop
compagnait pas seule. Il y avait d’autres femmes dans la troupe, et l’
ami
Chapelle admirait comment Molière, à l’instar de
e, Corneille, La Fontaine et Racine… Comme le dit spirituellement mon
ami
, M. Henri Lavoix, dans sa jolie brochure sur le M
cela ? C’est pour cela que vous vouliez me dévorer ? Ah ! mon pauvre
ami
! ALCESTE, grondant : Vous ne rougissez pas en v
e, puisque vous voulez faire un misanthrope, un haïsseur d’hommes, un
ami
du désert, de ce sociable et bon Molière qui fut
r Médecin, de Moliere, dans laquelle Sganarelle demande à deux de ses
amis
, à sa voisine, à sa niece, ce qu’il pourra faire
On touchoit au moment fixé pour remettre les ouvrages, quand quelques
amis
, qui avoient vu mes réflexions sur la comédie en
, à plus forte raison, être de quelque utilité. Je l’ai relu avec mes
amis
, je l’ai livré à l’impression ; mais je puis prot
le, tout Paris y vole : la toile se leve, les acteurs paroissent, les
amis
de l’Auteur applaudissent, les ennemis de sa pers
ucinde, il l’engage à l’épouser, & il combat l’antipathie que son
ami
a pour le mariage. ACTE II. Scene III. . . . . .
vre. Qui ne vit que pour soi, n’est pas digne de vivre. Tu dois à tes
amis
, tu dois à tes parents, A ton pays, à toi, compte
oit se marier & prendre un état, s’emporte contre le valet de son
ami
qui est d’un autre avis & qui vante les charm
du premier roman comique. Des gourmands, des oisifs, des buveurs, des
amis
de la joie et de la bombance, tel fut le nom des
sse, ceci est la faute de la critique et non pas la vôtre, mon pauvre
ami
. Il fit encore deux ou trois tours dans l’apparte
ra, à coup sûr, de scènes ridicules, insupportables ! Voyez donc, mon
ami
, ce qui se passe dès le premier jour du début de
à ce grand sacrifice : Iphigénie sacrifiée à la grivoiserie de votre
ami
Molière ! Quoi donc ! vous n’avez pas le plus pet
ous vous retournez avec un murmure approbateur, et vous dites à votre
ami
: — Comme elle ressemble à son maître, mademoisel
dois convenir que ce jour-là Molière a été cruellement traité. Notre
ami
, tout rempli d’admiration pour cette comédie inco
L’époux de ta maîtresse au pere de mon maître ; Qu’ils étoient grands
amis
, n’étant encore qu’enfants, Et qu’il y peut avoir
chargea de faire en Turquie un voyage, Pour chercher & tirer son
ami
d’esclavage. Je fus, comme tu sais, m’embarquer p
dont il s’agit : un homme qui, vingt fois en sa vie, pour servir ses
amis
, a généreusement affronté les galeres ; qui, au p
premiere scene de son Phormion. ACTE I. Scene I. Davus. Mon meilleur
ami
& mon compatriote Géta vint hier me trouver :
eta une terre près de Dourdan, où il mena une vie délicieuse avec ses
amis
. C’est là qu’il composa ses comédies, plus gaies
io, fille en habit d’homme, crue garçon et amante de Fabio. Achille,
ami
de Flaminio. Virginia, amante de Flaminio. Lise
un jour étant, lui Pandolfo, en partie de plaisir avec Ricciardo son
ami
, ils vinrent sur le propos de sa femme qui était
oir la vérité, soit en l’accompagnant lui-même, soit en disant à deux
amis
de l’accompagner, quand il irait au rendez-vous h
et Testa se fâchent ; le premier sort de la scène, irrité contre son
ami
qui l’accuse d’imposture ; et Flaminio chasse son
t l’auteur des Nouvelles nouvelles, eut recours aux Italiens ses bons
amis
, et accommoda au théâtre français les Précieuses
e. Dans le Misanthrope de Shakespeare, Thimon, après avoir régalé ses
amis
, après avoir donné un bal à ses maîtresses, fuit
Médecin pour l’Intendant d’Eraste, qu’il prie de ne le traiter qu’en
ami
. Eraste sort, & le laisse entre les mains de
son. Scene VI. Sbrigani paroît, s’afflige de ce qu’on a reconnu son
ami
, & propose un accomodement à l’Exempt, qui or
aimé, crainte de scandale, m’adresser à vous, dont il est peut-être l’
ami
, & qui êtes en droit, par votre caractere, de
gieux comprit d’abord, par le portrait du personnage, que c’étoit son
ami
dont il s’agissoit. Il loua la vertu de sa Pénite
consolée d’un discours si obligeant. . . Le Moine envoya chercher son
ami
, & dans son emportement il en vint jusqu’aux
clater, & que je ne saurois plus souffrir les insolences de votre
ami
. Vous serez étonné d’apprendre, qu’ayant su le dé
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