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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
, je viens vous prier de m’aider de votre bon conseil dans une petite affaire qui m’est arrivée. Grapignant. De quoi est-il que
parence ! Je vous prie de me dire à-peu-près où peut bien aller cette affaire . Grapignant. Ma foi, si cette affaire-là étoit me
u-près où peut bien aller cette affaire. Grapignant. Ma foi, si cette affaire -là étoit menée un peu chaudement, elle pourroit b
ils ne se rembarqueront qu’à bonnes enseignes, car ils sortent d’une affaire où sans moi... vous m’entendez bien. (Il met la m
a même piece. Le Chapelier entre Bon jour, Monsieur Grapignant. Mon affaire est-elle jugée ? Grapignant, le regardant brusque
rdant brusquement. Non. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Votre affaire ne vaut pas le diable... ce qu’on appelle pas le
le chapeau, &, après l’avoir bien manié, dit : A propos de votre affaire  : n’est-ce pas un pâtissier avec qui vous avez eu
. . . . Grapignant, mettant le castor sur sa tête. Je me remets votre affaire . Votre affaire est bonne, & je la gagnerai. L
ant, mettant le castor sur sa tête. Je me remets votre affaire. Votre affaire est bonne, & je la gagnerai. Le Chapelier. Qu
un homme qui... Grapignant. Je vous dis encore un coup que j’ai votre affaire en tête, & qu’elle n’en sortira point. . . .
’a dit, Monsieur, que vous étiez procureur contre moi dans une petite affaire qui m’est arrivée. Grapignant. Qui est votre part
, je ne regarde point après vous. Je vous prie seulement de tirer mon affaire en longueur. Grapignant. Laissez-moi faire ; je v
autres quatre cents livres ; qui, cent écus, plus ou moins, selon les affaires . Voyez-vous ce gros sac-là ? c’est contre un homm
. lorsqu’il finit enfin, à force de dépenses folles, par déranger ses affaires  ? Qu’on dise tout ce qu’on voudra, je défie qu’on
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
ui disant gravement, Impertinente, c’est bien à vous à vous mêler des affaires de la Cour ! Un bourgeois sensé qui vient à la co
stouches, me dira-t-on, connoissoit la Cour ; il avoit été chargé des affaires du Roi, chez des Princes étrangers ». Je le sais
nt cependant de faire les politiques ; qui négligent totalement leurs affaires domestiques pour songer à celles de tous les Prin
es, & qui puisent dans leur ignorance la vanité de croire que les affaires prendroient entre leurs mains une meilleure tourn
toine. Il faut que tu saches, Crispin, que je dois l’entretenir d’une affaire de conséquence. J’ai envie de lui demander sa fil
emme est occupée à calmer les pratiques que son mari néglige pour ses affaires politiques. Scene V. Madelaine demande à Crispi
’autres à leur place... Ne me décelez pas. Qui diantre voudroit avoir affaire avec des gens qui dépossedent les Rois, les Princ
e chose aussi aisée que je me l’étois imaginé. J’ai reçu ici quelques affaires à examiner, & le diable, je pense, ne s’en dé
as crier dans la rue où je demeure, parceque cela me trouble dans mes affaires . Crispin crie par trois fois à la porte. Ecoutez,
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
nous ouvre le fond de son ame ; de l’entendre parler hardiment de ses affaires les plus secretes, & nous faire part de tous
e dans le fond de cette ame. « De l’entendre hardiment parler de ses affaires , & nous faire part de tous ses projets ». Si
de ses affaires, & nous faire part de tous ses projets ». Si ses affaires nous intéressent, si ses projets nous intriguent,
ogue qui est gai, dans lequel le personnage se livre, nous expose son affaire la plus pressante, ses projets, & les met en
i ! Si l’oncle revenoit, cela seroit tout-à-fait drôle. Ce sont leurs affaires  : la mienne est à présent de voir s’il n’y a poin
amoureux, s’est marié secrètement Mascarille, son valet, craint que l’ affaire n’éclate, & qu’on ne le punisse d’avoir gardé
conde un dessein téméraire, Et l’on sort comme on peut d’une méchante affaire . Pour moi, qu’une imprudence a trop fait discouri
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
e d’Octave, & Géronte, pere de Léandre, partent ensemble pour les affaires de leur commerce ; ils laissent leurs fils sous l
rchez le Seigneur Géronte ? Oui, mordi, jé lé cherche. Et pour quelle affaire , Monsieur ? Jé beux, cadédis, lé faire mourir sou
is actes, il verra le commencement, la continuation & la fin de l’ affaire . Le premier acte commencera de la sorte : Je suis
Léandre. Je suis bien aise d’apprendre cela : mais ce n’est pas là l’ affaire dont il est question maintenant. Scapin. Ce n’est
. Scapin. Ce n’est pas cela, Monsieur ? Léandre. Non. C’est une autre affaire encore qui me touche bien plus, & je veux que
uchant quoi ? Granger. Qu’ils me renvoient mon fils, parceque j’en ai affaire  ; qu’au reste, ils doivent excuser la jeunesse, q
’auront remis en liberté, ne vous amusez ni l’un ni l’autre, car j’ai affaire de vous. Corbineli. Tout cela s’appelle dormir le
vestre. Par une lettre. Octave. Et cet oncle, dis-tu, sait toutes nos affaires  ? Sylvestre. Toutes nos affaires. Octave. Ah ! pa
t cet oncle, dis-tu, sait toutes nos affaires ? Sylvestre. Toutes nos affaires . Octave. Ah ! parle, si tu veux, & ne te fais
I. Scene V. Démiphon. Je ne sais à quoi me déterminer, car c’est une affaire que je n’aurois pu prévoir ; & je suis dans u
ormion, ne cherchez-vous pas les moyens d’accommoder entre vous cette affaire à l’amiable ? Mon maître est honnête homme &
Mais, je le veux, vous gagnerez votre procès : enfin ce n’est pas une affaire où il y aille de la vie ; il ne s’agit que d’arge
n à la main, pour faire que mon maître n’entende plus parler de cette affaire , que cette femme se retire, & que vous ne ven
me a à Lemnos ; je m’en servirai, & je lui dirai que vous en avez affaire . La scene huitieme du deuxieme acte des Fourberi
iphon, fils de Démiphon, épouse Phanie, qui passe pour étrangere. Les affaires sont dans cette situation critique, quand les deu
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
beaucoup de créanciers, & où la négligence des Grands pour leurs affaires & leur penchant à se laisser voler sont bien
as le françois ? cela n’est-il pas clair ? Arrangez-vous, ce sont vos affaires . Pot-de-vin. Avec la permission de Monsieur le Ma
. Pot-de-vin, vous êtes mon intendant, je vous ai pris pour faire mes affaires . N’est-il pas vrai que si je voulois prendre la p
îtresse, à sa femme & à son clerc, pour les engager à veiller aux affaires de Monsieur le Marquis, cent sept livres. Le Ma
as. Quoi ! voulez-vous encore m’empêcher de chanter ? c’est une autre affaire . Achevez vîte. Pot-de-vin. « Item, pour avoir ét
Monsieur le Marquis qu’il se ruine, & que s’il ne met ordre à ses affaires ... Le Marquis. Ah ! Monsieur l’honnête homme, vol
franchement que vous seriez bien fâché que je prisse plus garde à mes affaires  : mais, parbleu, laissez-moi du moins la satisfac
6 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
rit et multipliez si adroitement les incidents et la procédure qu’une affaire blanchisse dans votre étude avant que d’être jugé
pos de banqueroute, tenez-vous que cela puisse rétablir les mauvaises affaires d’un homme ? Ce serait un beau secret. ARLEQUIN.
ce une seule fois en sa vie n’est-il pas pour jamais au-dessus de ses affaires  ? Voilà comme je parlerais à mon frère si j’en av
? PERSILLET. Apparemment, messieurs, vous me croyez plus mal dans mes affaires que je ne suis. LE DOCTEUR. À Dieu ne plaise que
T touchant dans la main de La Ressource. N’en parlons plus, c’est une affaire faite. (Se tournant vers Scaramouche et le Docteu
E. C’est tout comme ici. Et les usuriers, seigneur, y font bien leurs affaires  ? ARLEQUIN. Fi, au diable ! je ne souffre point d
re à son service un petit laquais sans répondant ; et qu’on fasse une affaire de cette importance, où l’on voit tous les jours
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
me défais de toi, j’y cours, je le rejoins, Nous vuidons sur le pré l’ affaire sans témoins, Et le perçant à jour de deux coups
ance. Mascarille, mon pere, Que je viens de trouver, sait toute notre affaire . Mascarille. Il la sait ? Valere. Il la sait ?Ou
is point sur qui ma conjecture asseoir ; Mais enfin d’un succès cette affaire est suivie, Dont j’ai tous les sujets d’avoir l’a
x. (Haut, à Clitandre.) Quoi ! vous osez en user de la sorte, après l’ affaire de tantôt ! & c’est ainsi que vous dissimulez
e tout. Je ne veux point avoir sans cesse devant moi un espion de mes affaires , un traître, dont les yeux maudits assiegent tout
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
qu’il m’a promise pour mon gendre. Dorante. Ah ! pour cela, c’est une affaire faite. Je suis votre serviteur, Monsieur Grumelin
is je n’aurois soupçonné... Oui, je vous aurois pu passer toute autre affaire  : Mais oser dégrader le bien de votre mere !... P
t contre vous Madame votre mere, Et donneroit un tour mauvais à cette affaire . Ces paysans Bretons sont les plus mal appris...
ra plus de bonne foi dans le commerce des filles. Lisette. Oh ! cette affaire -ci ira loin, sur ma parole. . . . . . . . . . LE
it maître & qui savoit tout faire. Messire Bon, fort content de l’ affaire , Pour fauconnier le loua bien & beau, Non tou
p; fort peu la quittoit. . . . . . . . Amour enfin, qui prit à cœur l’ affaire , Leur inspira la ruse que voici. La Dame dit un s
. Angélique. Pour moi, Monsieur, je ne veux pas être la dupe de cette affaire , s’il vous plaît : je démêlerai l’aventure, &
habits de femmes pour les mieux tromper. M. Bernard. Qu’en avons-nous affaire  ? on n’y voit goutte. Lucas. On n’y voit goutte,
due. Bientôt le diable, jaloux de son bonheur, lui suscite de grandes affaires  : la premiere femme apprend tout ce qui se passe,
Bailli. Oui, vous : votre témoignage sera d’un grand poids dans cette affaire -ci. Charlot. Mon témoignage sera de poids ! Le Ba
: ça suffira-t-il pour le faire pendre ? Le Bailli. Voilà une cruelle affaire pour ces gens-là. Charlot. J’allons, pargué, leur
onsieur Julien ? Julien, à part. Il a, morgué, queuques soupçons de l’ affaire . L’Epine. Vous avez un grand foible pour cette vi
rément, quand il me plaira. Charlot. Hé bian, revenez-y ; ce sont vos affaires  : vous êtes le maître. L’Epine. Et si vous vous a
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
ier Desronais de descendre chez lui : mais, obligé de sortir pour une affaire , il recommande que Desronais l’attende. Celui-ci
à ce que je puis voir. Richard. Moi, Monsieur, ce ne sont pas là mes affaires . Si le portrait général que je fais de la Cour se
esse de mariage qu’il lui a faite : Milord traite tout cela de petite affaire de galanterie. Le Roi. Une petite affaire, Milor
traite tout cela de petite affaire de galanterie. Le Roi. Une petite affaire , Milord ! dites une affaire basse & indigne.
ffaire de galanterie. Le Roi. Une petite affaire, Milord ! dites une affaire basse & indigne. Ce que vous appellez galante
e. Je trouverois maintenant à la Cour Plus d’un Gulphar si j’en avois affaire . Celui-ci donc chez sire Gasparin Tant fréquenta,
belle créature ; Plaisoit beaucoup, fors un point qui gâtoit Toute l’ affaire , & qui seul rebutoit Les plus ardents ; c’est
e présente : J’ai votre argent à Madame rendu, N’en ayant eu pour une affaire urgente Aucun besoin, comme je l’avois cru : Déch
10 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
ntchevreuil de former de ce qu’il y avait à vendre. Voyez-le… point d’ affaire plus importante pour mon repos. Si vous voyez mad
et l’indifférence de madame de Montespan sur tout ce qui regarde mes affaires essentielles. » Une lettre, datée de Versailles,
respire le contentement, et la confiance dans la faveur du roi. « Vos affaires , lui dit-elle, ne vont pas si bien que les mienne
lle le remercie plus bas, dans une lettre, du soin qu’il prend de ses affaires et de l’exactitude de ses comptes. « Je vous reme
ctitude de ses comptes. « Je vous remercie de tous vos soins pour nos affaires et de l’exactitude de vos comptes. Il y en a enco
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
a prude, se servit du ministere d’un Religieux pour faire réussir les affaires de son amant. Il y eut autrefois à Florence une
ous chagriner. Cependant, Madame, gardez-vous bien de parler de cette affaire à votre mari & à vos freres ; vous pourriez ê
plaisir pour elle d’apprendre qu’elle étoit si bien entendue, que ses affaires étoient en bon train de réussir, & qu’il ne l
 ; car peu de jours après l’époux fut obligé d’aller à Genes pour des affaires de commerce. A peine est-il parti, que la Belle v
protestant que ce sera la derniere fois que je vous parlerai de cette affaire  ». Et, en disant cela, elle se retira faisant la
us promets en honnête homme que vous n’entendrez plus parler de cette affaire . Vous avez plus de bonté pour moi que je ne mérit
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80
vous fait confidente, en cent climats divers,  De beaucoup de bonnes affaires  ; Et je crois, à parler à sentiments ouverts,  Qu
, que je n’en manque pas ; Et l’on m’a vu pousser, dans le monde, une affaire D’une assez vigoureuse & gaillarde maniere. P
le nouveau venu, qui faites l’homme d’importance, ce n’est pas votre affaire  : riez de vos coups de bâton quand on vous en don
rier tout-à-fait ; & mon pere Avec mes créanciers doit me tirer d’ affaire . Hector. Pour le coup... Mad. Adam. Pour le coup
endons la future en ce lieu : Si l’on vous trouve ici, vous gâterez l’ affaire . Mad. Adam. Vous me promettez donc... Hector. Vo
e la succession recevez la moitié. Que trente mille écus facilitent l’ affaire . LE LÉGATAIRE. Géronte cede Isabelle, dont il a
e qu’on lui a volé. Géronte. Nous verrons. Mais, avant de conclure l’ affaire , Je veux voir mes billets en entier... . . . . .
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
vieillard, appelle son jeune maître, qui, crainte de gâter encore ses affaires , prend la fuite. Tout le monde court après lui :
t comique que l’Etourdi Italien, après avoir continuellement gâté ses affaires par sa présence, prenne la fuite quand on a besoi
ts, le priant de venir en diligence à Paris pour donner ordre à leurs affaires , lui faisant des excuses de ce que cette lettre n
quelques bagues & quelques perles ; de sorte qu’il fit mieux ses affaires à Chartres qu’il n’avoit fait à Paris : & dès
dira-t-on, pour amener un si grand nombre d’événements ? C’étoit son affaire & non la nôtre. Enrichissons-nous du bien de
14 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
t la plus délicate manière de parler sur toute chose Elles ont su les affaires de tous les états du monde, toutes les intrigues
nnes, marquis de Rambouillet, qu’une grande fortune, amassée dans les affaires du domaine, et dont il dépensa une partie à const
ire. C’était aussi un garçon d’esprit. Lauzun l’employa utilement aux affaires politiques dont il était chargé. Quand mademoisel
e compagnie. La Fare joue à la bassette. Voilà la fin de cette grande affaire qui attirait l’attention de tout le monde. Voilà
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
marchois dans la rue Sacrée, en rêvant, selon ma coutume, à certaines affaires qui m’occupoient tout entier, quand un homme, don
t-il, aidez-moi un moment. — Moi ! que je meure si j’entends rien aux affaires  : d’ailleurs, je suis pressé d’arriver où vous sa
dépit. — A propos n’aviez-vous, pas à me parler en particulier d’une affaire importante ? — Oui, je m’en souviens très bien ;
. . . . . . . . . . . . . . . . . Voyant un Président, je lui parle d’ affaire  ; S’il avoit des procès, qu’il étoit nécessaire D
e mes péchés le rude châtiment. Il faut que je te fasse un récit de l’ affaire , Car je m’en sens encor tout ému de colere. J’éto
16 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
accord ; mais qu’il ne coûte rien à la vraisemblance, c’est une autre affaire . Qu’on se rappelle la communauté d’intérêts qui u
cret à garder. Tant de rouerie, comme on le pense bien, ne fait pas l’ affaire des défenseurs de Madeleine Béjart ; aussi, sans
ois de plus ou de moins, deux ou trois ans même, ne faisaient pas une affaire . Donc, si deux des enfants Béjart se rajeunirent
trois ; on n’en fit qu’un. Voilà, ce semble, leur seul intérêt dans l’ affaire , et il n’en faut pas davantage pour expliquer l’i
bonne heure, en vraie fille d’huissier qu’elle était, eut le goût des affaires et des spéculations, imagina de se faire émancipe
ent : la de Brie, la Molière, la Guérin. Qu’est-ce au juste que cette affaire Guichard dont tant de gens ont parlé sans la conn
ard et pourquoi Lulli l’accusa de vouloir attenter à sa vie. IV. L’ affaire Guichard. Henri Guichard portait le titre d’i
ils avaient représenté tant de chefs-d’œuvre, et il se l’appropria. L’ affaire fut faite avec une rapidité brutale : les pauvres
rs attaques, légitimaient ces représailles, et que, dans cette triste affaire , ce ne fut pas Guichard qui joua le plus vilain r
orable et à l’admonestation. Presque tous ceux qui ont parlé de cette affaire ont cru qu’elle se terminait la, et que, en fin d
te son emploi dans la maison de Monsieur. En sorte qu’en définitive l’ affaire tourna à la confusion de Lulli, d’Aubry et de ceu
Il s’en faut de tout, comme on voit, qu’Armande soit sortie de cette affaire à son honneur et surtout qu’elle ait obtenu aucun
de temps après cette conquête de sa pleine liberté que. se placent l’ affaire Guichard, dont l’issue fut un échec pour sa réput
C’est, à cent dix ans de distance, comme une première répétition de l’ affaire du Collier, qui devait porter un coup si terrible
ur un homme qui laissait le désordre s’introduire facilement dans ses affaires . Molière, cette fois, pensa moins à son père qu’à
à son père fût « un acte de bonne administration en même temps qu’une affaire sûre et sérieuse », il était au contraire fort av
son existence, comme un vieillard morose, n’ayant pas réussi dans ses affaires , aigri par l’état de gêne où il se voit réduit, n
venaient l’un et l’autre à leur péché, le roi et le comédien, c’était affaire entre eux et Dieu ; le prêtre n’avait rien à y vo
quivalant à 5,000 ou 6,000 fr. de notre monnaie. Si dans cette triste affaire le clergé a eu un tort, et il l’a eu, ce n’est pa
noire et épaisse. Je remarque seulement que M. Livet ne dit rien de l’ affaire Guichard, qui n’est pas à l’honneur de la veuve d
17 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
ntéressé dans son négoce, lui dit qu’il va lui faire confidence d’une affaire très importante, dont il lui recommande le secret
Pendant que Tebaldo était à Lyon où il demeura quelque temps pour les affaires de leur commerce, un jour étant, lui Pandolfo, en
amours de son maître. Zucca, après quelques détours, confesse toute l’ affaire . Flaminio l’appelle fourbe et calomniateur. Zucca
ceux-ci. scène v. Ricciardo, Zucca. Ricciardo entre en parlant des affaires de son commerce. Zucca, menacé de tous côtés, se
nce existant entre Fabio et Virginia, il lui a proposé d’accommoder l’ affaire et de faire épouser à Fabio une autre fille que V
ui sont sur la route ; le mercredi et le samedi, jours de marché et d’ affaires où le bourgeois est plus occupé qu’en d’autres, e
18 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
moquer des infortunes des époux, eut son tour, assure-t-on, et prit l’ affaire fort au sérieux. On a accusé ses railleries conti
alors de l’avis d’Alceste, qui prétend que le temps ne fait rien à l’ affaire . Cet avertissement est curieux encore en ce qu’il
ier à son propre rival ses plus secrets desseins ; et le piquant de l’ affaire , c’est qu’il lui emprunte des pistoles pour mener
ma foi, les imiter toujours; Ce serait, pour Molière, une assez bonne affaire , S’il quittait son récit pour les bien contrefair
une consultation, s’entretiennent de leurs mules et parlent de, leurs affaires particulières. De cette pièce est sortie la phras
tion d’existence de Molière n’était qu’au prix de son silence sur les affaires de l’état. Que pouvait donc faire le poète, ayant
est un tempérament excellent ; mais la comédie ne .peut s’occuper des affaires publiques, que lorsque les affaires publiques se
la comédie ne .peut s’occuper des affaires publiques, que lorsque les affaires publiques se mêlent intimement aux mœurs. Nous ma
e réglé que par ses humeurs, et de se voir réduit à faire ses propres affaires de tous les succès qu’il peut prendre. Ne voilà-
se réfugie dans la maison de don Pèdre, lequel s’entremet dans cette affaire , et cherche à l’arranger honnêtement. Adraste, cé
e réglé que par ses humeurs, et de se voir réduit à faire ses propres affaires de tous les soucis qu’il peut prendre, le mari me
’être réglé par ses humeurs, Et de se voir réduit à faire Ses propres affaires . Dé tous les soucis qu’il peut prendre ! Le mien
rs reprises pour avertir son mari de ne pas laisser aller plus loin l’ affaire , et répond à Tartufe, qui lui demande si elle sou
e, qui ne puisse avoir la noble ambition de devenir influent dans les affaires de son pays et de monter au sommet des honneurs.
ur promet tour à tour de les épouser, suivant qu’il a plus ou moins d’ affaires d’argent ; l’une a soin de son équipage, l’autre
dante Cela est vrai, madame ; il y a mille gens intéressés dans cette affaire , et il faut représenter toutes ces choses-là. Era
ns sa pièce de Turcaret, et il l’a fait de main de maître. Ces gens d’ affaires placés entre le roi et la nation pour commettre s
vous en prie, de vouloir refuser de donner un bon tour à une méchante affaire . Eh ! fi, monsieur ! il semble que vous ayez enco
lle une femme d’intrigues, et qui se môle en effet de toutes sortes d’ affaires équivoques. La scène s’engage entre la servante G
ps de Dancourt. Les femmes avaient alors une grande influence sur les affaires du gouvernement, comme dans tout état qui repose
19 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
é d’épouser votre sœur, & j’y retourne avec vous pour finir cette affaire . (Ana, ou Bigarrure Calotine premiere partie page
riché, fit quelques poursuites, mais des amis communs accommoderent l’ affaire . M. & Mde. de Montalant sont morts à Argenteu
renvoya brusquement l’un & l’autre, en disant à la Moliere que l’ affaire dont elle lui parloit, dépendoit du Ministere de
. Colbert ; & que ces railleries outrées pourroient lui faire des affaires auprès de ce Ministre, & du Roi même. Ces réf
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
-vous le temps ? Sganarelle. A quoi donc passez-vous le temps ?A mes affaires . Valere. L’esprit veut du relâche, & succombe
ere, Qui vous jette, en passant, un coup d’œil égaré, Et, sans aucune affaire , est toujours affairé. Tout ce qu’il vous débite
ux est toujours de saison, Et que je vois qu’ils sont, sur toutes les affaires , Loueurs impertinents, ou censeurs téméraires. Cé
Moi, pourvu que je puisse être au petit couché, Je n’ai point d’autre affaire où je sois attaché. Célimene, à Alceste. C’est po
tout à-coup dans un embarras imprévu, & qu’il ne peut se tirer d’ affaires qu’en fuyant, il n’est nullement nécessaire qu’il
21 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
ieurs de réunir le génie à l’esprit de conduite. Molière, destiné aux affaires du gouvernement, eût été aussi grand politique qu
« […] C’est sous cet abri favorable que je veux mettre en sûreté mes affaires . Je ne quitterai point mes douces habitudes, mais
indigne de son génie que de son caractère. C’était bien assez d’avoir affaire à tous les gens d’église, sans se brouiller avec
de prouver que Molière profitait, aussi bien dans la conduite de ses affaires que dans celle de ses ouvrages, de cette étude ap
rendre les dévots des ridicules ou des hypocrites. Certes, c’est bien affaire à Molière de parler de la dévotion avec laquelle
corde auprès de Dieu, il veut absolument que je sois damné, c’est une affaire résolue. Ce livre, sire, a été présenté à votre m
les grands dîners qui ont aujourd’hui une si haute influence dans les affaires de l’état, seraient des dîners de tartuffes. Il y
ins. Il paraît que le costume du personnage principal fut une grande affaire  ; il fallut pour ainsi dire capituler sur chacun
s grimaces, ne s’insinuaient dans les maisons que pour s’enquérir des affaires les plus secrètes, mettre la discorde entre le pè
lument lui couper les deux oreilles, et même l’assommer pour sortir d’ affaire . Quelques commentateurs ont pensé qu’en ajoutant
s un règne et sommes dans un temps Où par la violence on fait mal ses affaires . Le changement le plus remarquable de tous est à
22 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
ont lune, étoile polaire18, Vénus, Saturne et Mars dont je n’ai point affaire , Et dans ce vain savoir, qu’on va chercher si loi
haut ou plus bas, le choix d’une couleur, ce sont pour elles autant d’ affaires importantes. Ces excès vont plus loin dans notre
ations qu’il adresse au jeune époux : « Communiquez à votre femme vos affaires avec confiance, puisque les vôtres deviennent les
les revenus de la ville… et enfin le détail des autres occupations d’ affaires ou de commerce dans lequel vous prévoyez qu’elle
ar leur faute, comme des étrangères dans leur famille, ignorantes des affaires du mari, qu’elles ne connaissent souvent que par
n sensible à un auteur vaniteux ! Elle se tire aussi ingénieusement d’ affaire avec Vadius, que toute la famille embrasse pour l
isfaisant à mes vœux les plus doux J’ai vu que mon hymen ajustait vos affaires  ; Mais lorsque nous avons les destins si contrair
de Tocqueville, la vie n’est ni un plaisir ni un supplice, c’est une affaire grave dont nous sommes chargés, et qu’il faut ter
23 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
& de l’amitié, tant qu’il vous plaira ; mais de l’argent, point d’ affaires . Il n’est rien de plus sec & de plus aride qu
églé que par ses humeurs, & de se voir réduit à faire ses propres affaires de tous les soucis qu’il peut prendre ! Le mien m
re réglé par ses humeurs,  Et de se voir réduit à faire   Ses propres affaires  De tous les soucis qu’il peut prendre.   Le mien
24 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
du bon temps, Scipion en fut la fleur. « Le sénat et la campagne, les affaires civiles et les actions militaires avaient leur sa
raient ridicules dans un pays où tous les esprits seraient tendus aux affaires publiques, soit par la nature de la constitution,
dans une monarchie ancienne dont rien ne menaçait l’existence, où les affaires publiques étaient gouvernées par un pouvoir héréd
25 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
reine-mère ; mais que quand il fut hors de cette appréhension, cette affaire devint publique » ; et Mademoiselle ajoute que da
ertir le roi, qui le faisait chercher pour l’envoyer en prison. Cette affaire fit un grand bruit dans le monde, parce que l’out
on. Monsieur de Montausier était à Rambouillet, il n’apprit pas cette affaire . » Le duc de Saint-Simon a aussi parlé des avani
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
avoir déja près de huit ans Que ton maître, embarqué sur mer pour ses affaires , Fut pris, & chez les Turcs vendu par des cor
prendre nettement, & le plutôt qu’on peut, l’état actuel de leurs affaires , & de le préparer adroitement sur ce qui peut
ui ; & j’ai renoncé à toutes choses, depuis certain chagrin d’une affaire qui m’arriva. D’après ce que nous venons de dire
n recevoir. ACTE I. Scene IV. Nérine. Madame, voilà un illustre. Vos affaires ne pouvoient être mises en de meilleures mains, &
Je cherche. Cela vaut fait, ou je suis fort trompé ; le voilà hors d’ affaires . Mais je crains pour ma peau. Antiphon. Ah ! ne c
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. Des Caracteres de tous les siecles, & de ceux du moment. » pp. 331-336
ster d’un merveilleux secours. C’est sous un tel abri qu’assurant mes affaires , Je veux de mes censeurs duper les plus séveres.
rai que moi seul digne d’être estimé. S’il faut que d’intérêt quelque affaire se passe, Fût-ce veuve, orphelin : point d’accord
28 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
ns la comédie, est une révolution aussi heureuse que prompte dans les affaires des personnages. Il faut premiérement que la cata
rsonnages, ils emploient souvent des pages entieres pour arranger les affaires des acteurs les plus subalternes. Moliere est dan
de l’exécuter. Pamphile. Pourquoi, mon pere ? Simon. Parcequ’il a des affaires de plus grande conséquence pour lui, & qui le
29 (1910) Rousseau contre Molière
est pas la première fois que la sincérité lui attire quelque mauvaise affaire . Mais c’est le propre du candide de toujours reto
acception de personnes est un crime dans un juge qui doit connaître l’ affaire et non les parties et ne voir que l’ordre et la l
comme supérieur au sien, chose plus rare encore. Dès qu’Alceste a une affaire d’honneur, il « ne le quitte pas », s’attache à l
t le lecteur voit bien que ce on qui a, très difficilement, arrangé l’ affaire , tiré d’Alceste quelques déclarations à la rigueu
n’en peut plus douter après le dévouement qu’il lui a montré dans son affaire devant le tribunal des maréchaux ; il le sait tel
onnête homme des honnêtes gens. Cet avocat, avant de s’occuper de son affaire , le prévient qu’il ne peut y mettre ses soins tou
nce qu’il arrive pour la reprendre. « Oh ! oh ! occupez-vous de cette affaire avant de songer à la mienne. Faites tout. Employe
lui-même et lui ferait plus de tort que de bien en se mêlant de cette affaire très délicate. Philinte, en revenant de Versaille
agé le crime en le payant ! Philinte persiste à vouloir « arranger l’ affaire  ». Le procureur, muni du billet, ne veut rien ent
encor ; mais ne voyez-vous pas Qu’une fois entraîné dans ses propres affaires , Je m’interdis alors mille soins nécessaires ? —
ceur de celui qui l’a fait décréter. Le « magistrat » l’a rendu à ses affaires immédiatement avec excuses et éloges. A peine lib
ux qu’on l’arrête avec moi ; Qu’un emprisonnement jusqu’au bout de l’ affaire Au criminel des deux garantisse un salaire. C’est
eille campagne pour quelque M. de Pourceaugnac à qui il n’a jamais eu affaire , et le public, sauf quelques crudités de forme, p
eu endurci. » Mais quand Philinte refuse de secourir Alceste dans une affaire , et grave, qui concerne Alceste ; ce qui est de l
lceste, et c’est-à-dire sauvé peut-être par Alceste, puisqu’en telles affaires gagner du temps est la moitié du salut, il refuse
sible aux siens, ceci est du Rousseau, mais il se désintéresse de ses affaires pour s’occuper de celles des autres et il ne song
ui ont un penchant presque invincible à s’occuper avec dévouement des affaires des autres et à négliger les leurs, et qui ne son
fois les gens ont dit : « Et, pour Dieu, mêlez-vous, Monsieur, de vos affaires  », jusqu’à l’homme qui se fait l’homme de sa cité
vocat, après lui avoir dit qu’il n’a pas le temps de s’occuper de son affaire parce qu’il en a une autre très urgente, lui raco
on affaire parce qu’il en a une autre très urgente, lui raconte cette affaire -ci, s’oublier tout de suite, s’intéresser tout de
’as voulu, George Dandin Ah ! qu’une femme demoiselle est une étrange affaire et que mon mariage est une leçon bien parlante à
imaginait une réalité, quand il inventait un monde. Donc, quand il a affaire à un auteur contempteur des hommes, il n’est plus
de l’imprévu drôle ou de l’énormité burlesque, sans songer qu’on ait affaire à des hommes, en dehors de toute appréciation, sa
as plus les uns que les autres, et estime que l’attaquer est plutôt l’ affaire des dévots que la sienne. Mais la véritable raiso
offense la piété ; mais c’est une pièce qui ruine la piété. C’est une affaire beaucoup plus grave que pour l’Avare. Pour l’Avar
tiez votre meilleur ami, en émouvant sa bile, dans une assez méchante affaire dont vous serez très désolé et dont vous aurez gr
omplaisances des pieds plats, l’envie, l’intrigue, la malhonnêteté en affaires , l’égoïsme, l’esprit vindicatif, la férocité, le
es) — et la comédie qui ne doit que faire rire et qui, pour cela, n’a affaire qu’aux sots et n’a affaire que des sots ; une for
doit que faire rire et qui, pour cela, n’a affaire qu’aux sots et n’a affaire que des sots ; une forme intermédiaire de poème d
eusement persécutée par tous ses supérieurs. Entre autres très graves affaires qu’elle s’était attirées, il y avait celle-ci. El
nd une pièce vertueuse ne réussit pas, il dit que c’est qu’elle avait affaire à un public corrompu ; et vous voyez bien que le
s les Femmes savantes, où l’on ne voit pas très précisément qu’il ait affaire  ; qui fait l’éloge du roi dans Tartuffe, pour per
an, prie le ciel qu’il te donne un habit, sans te mettre en peine des affaires des autres. » Sganarelle fait cette réflexion : «
ui prie le ciel tout le jour ne peut pas manquer d’être bien dans ses affaires . », « Je vous assure, Monsieur, que le plus souve
vont Lune, Etoile polaire, Vénus, Saturne et Mars, dont je n’ai point affaire  ; Et, dans ce vain savoir, qu’on va chercher si l
oquetterie est permise aux filles à marier ; s’amuser est leur grande affaire . Les femmes ont d’autres soins chez elles et n’on
en ce sens que, s’il est grotesque de « tirer vanité de ces sortes d’ affaires  » et honteux de « les souhaiter pour de certaines
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. De l’Art de prévenir les Critiques. » pp. 309-313
ller jusqu’à vous satisfaire, Qu’aux dernieres faveurs on ne pousse l’ affaire . . . . . . . . . . Mon Dieu ! que votre amour en
est vrai ; mais Moliere, dans le même cas, se tire plus adroitement d’ affaire que ses successeurs. LES FOURBERIES DE SCAPIN. AC
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
édie en vers, en cinq actes. Le mari d’Ismene s’est embarqué pour ses affaires  ; il est pris par les Turcs. Sa femme, très coque
rois me servir ? Frontin. Et tu crois me servir ?Sortons : c’est mon affaire . En vain le sort cruel veut me pousser à bout : U
son esclave de réparer le mal qu’il a fait, & d’avoir soin de ses affaires . Chrisale. De quoi voulez-vous que j’aie soin ?
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283
order si-tôt. Le Comte. Nous voilà de tous points d’accord sur cette affaire . Nous le serons toujours. La Marquise. Nous le s
ari pour elle.Non, mon frere : Moi, qui reste à Paris, je ferai cette affaire . Le Comte. Je prendrai volontiers le soin de la p
uelque nullité, vice de procédure ? Peut-être, à mon profit, dans une affaire obscure, Un Juge bien payé verra plus clair que m
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
n libre accès ; Et, sans trop me vanter, ni lui faire une injure, Mes affaires y sont en fort bonne posture. Arnolphe, en riant.
rvantes de ne la point réveiller, il s’en alla à la Messe & à ses affaires . Moliere fait dire par son héros à la belle Agn
fend   De recevoir aucune ame.   Ceux qui, de galante humeur,   N’ont affaire qu’à Madame,   N’accommodent point Monsieur. Max
r n’employer pas mieux la seconde. Le Ciel l’en punit ; il arriva une affaire pour laquelle il fallut nécessairement qu’il prît
ement, en son absence, la vie des personnes mariées. Ceux qui ont des affaires à la Cour ne peuvent savoir en combien de temps e
de son mari, qui lui apprit qu’il la revenoit trouver, & que ses affaires à la Cour étoient faites. Et celle du Cordouan l’
34 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
leux, l’honneur même, rendant ses oracles ; on se ferait une mauvaise affaire à prendre contre lui le parti d’Oronte, de Philin
inférieur à Shakespeare en expression poétique, — ce n’était pas son affaire  ; — • il lui est égal en fécondité, comme créateu
iment de l’irrespect en même temps que de l’inconséquence. Nous avons affaire à l’observateur le plus profond qu’il ait existé
uer tous ses gestes et toutes ses paroles et chercher à lui faire des affaires en disant hautement : Il joue un tel, lorsque ce
ue ce sont des choses qui peuvent convenir à cent personnes ? Comme l’ affaire de la comédie est de représenter en général tous
înait fort probablement jusqu’à l’admiration de la royauté. Sa grande affaire , il nous le disait tout à l’heure, c’était de pei
xaspéré et lui va faire une scène tout à l’heure ! L’espérance, belle affaire  ! Et qui m’assurera que vous n’en donnez pas à to
comme je le disais tout à l’heure, que nous n’ayons plus aujourd’hui affaire à ces Messieurs et soulagé de penser que si Alces
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
Ménalque ne l’est pas moins, & ne dit pas ce qu’il en pense. Il a affaire à un fâcheux, à un homme oisif, qui se retirera à
bis, est-il balais ? Il vous quitte & continue sa route : voilà l’ affaire importante dont il avoit à vous parler. Se trouve
la ville, hormis celui où il a donné un rendez-vous précis pour cette affaire qui l’a empêché de dîner, & l’a fait sortir à
des deux Pieces. LE RETOUR. Géronte est allé en Espagne pour les affaires de son commerce ; il laisse son fils Clitandre à
visage-là ? Que demande-t-il ? Pourquoi nomme-t-il mon fils ? Quelle affaire a-t-il à démêler avec Philolache ? de quel droit
, & tout-à-fait usé : on peut dire que M. Regnard ne s’est tiré d’ affaire qu’au moyen de certains traits plaisants, & p
s d’aller chez les Notaires. Toi, qui m’as si long-temps parlé de tes affaires , Va vîte, cours, dis-leur qu’ils soient prêts au
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Pieces intriguées par plusieurs Personnages. » pp. 169-175
lui dit qu’Arlequin & sa femme, obligés d’aller en ville pour une affaire de la derniere conséquence, l’ont chargé de faire
santes, variées, & même attachantes, s’ils travailloient pour une affaire plus intéressante qu’un dîner & une montre. P
37 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
, évidemment, que l’effleurer. Je l’ai abordée par le côté où j’avais affaire , par le côté qui regarde la France et surtout qui
éâtre qui tirent profit de toute chose, ils pensèrent faire une bonne affaire s’ils engageaient dans leur compagnie ce contadin
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
hilocomasie ? Vous est-il dû quelque chose dans cette maison ? quelle affaire vous y amene si souvent ? Mais pourquoi ne répond
. . . . . . . . . . . . . . . . . Philocomasie. Qui es-tu ? ou quelle affaire avons-nous ensemble ? Sceledre. Quoi ! vous pouve
à Ephese ; &, si je ne suis pas trop curieux, y avez-vous quelque affaire  ? Philocomasie. Ayant appris que ma sœur jumelle
39 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
ui-même, et je fus étonné que, deux jours après, il me montra toute l’ affaire exécutée d’une manière, à la vérité, beaucoup plu
de la scène, Brécourt, à ce qu’il paraît, se fit souvent de mauvaises affaires , et ne s’en tira pas aussi bien que d’une scène a
 ; sous tous les rapports il fut utile à sa société, dont il géra les affaires avec une grande exactitude et une probité scrupul
assez insulté, assez compromis surtout. Il écrivit une Lettre sur les affaires du théâtre, dans laquelle il l’accusait, non seul
ublié d’épouser votre sœur, et je retourne avec vous pour finir cette affaire . Telle est l’anecdote, peut-être apocryphe, que
anchement sa pensée, tandis que lui-même il a déjà juré de conclure l’ affaire  ; et, quand ce sage ami finit par approuver en ri
e Villiers, comédien de l’hôtel de Bourgogne. Dans une Lettre sur les affaires du théâtre, que La Harpe, dans son Cours de litté
40 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
si coupable, et emportant pour toute leçon la maxime que Sur telles affaires toujours Le meilleur est de ne rien dire596. On
plaire, Soyons-y l’un et l’autre empressés ; Du plaisir faisons notre affaire  ; Des chagrins songeons à nous défaire : Il vient
ux qui sont les plus fous : Ne songeons qu’à nous réjouir : La grande affaire est le plaisir639 ! De là tout naturellement, la
deur D’un cœur qui persévère Ne vainque la froideur. Il est, dans les affaires Des amoureux mystères, Certains petits moments Qu
41 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
il paraît que, depuis quelques années, la vogue a passé à Marivaux : affaire d’actrice probablement. La grande figure de Moliè
 ! Ils se détournent ou chopent contre l’obstacle signalé, c’est leur affaire . Mais leur sermonnaire n’est pas plus responsable
e qu’il exprime. L’adultère dans notre société moderne est devenu une affaire très sérieuse, ou du moins le monde comme il faut
ement parce qu’il prend grand plaisir à parler de lui, de ses petites affaires , de sa santé, de sa femme et de ses domestiques,
dien. Ce défilé de fâcheux arrivant coup sur coup débiter leur petite affaire avait fini par lasser le public, qui commençait à
s quarante-deux ans, son grand cœur et son honnêteté ne font rien à l’ affaire . Il veut être aimé, et au lieu d’aimer lui-même e
nt tous les deux le temps à disserter, quand ils ont sur les bras les affaires les plus pressantes ; que ces discussions ne sont
les du bon sens. Mais ici je m’arrête, pénétrer plus loin n’est pas l’ affaire du critique. Quand le premier eunuque noir de Sa
dicule. Ridicule, voilà le grand mot lâché ! Si le ridicule était une affaire de raison, c’est votre conduite qui serait digne
volution n’est pas autre chose que la logique d’Alceste appliquée aux affaires de l’État. On parle beaucoup de Figaro ; mais tou
peu à peu : on sentait très bien que le monsieur à qui Alceste avait affaire n’était pas un plaisantin, mais un homme d’honneu
ibres, non rimés, en prose cadencée, si vous le préférez, eût été son affaire . J’ai relu avec infiniment de plaisir Le Sicilien
i parlez-vous là ? — Je parle de ma mascarade. — Je vous parle de mon affaire . — Je ne veux point, aujourd’hui, d’autres affair
vous parle de mon affaire. — Je ne veux point, aujourd’hui, d’autres affaires que le plaisir. Allons, messieurs ! Tenez ! Voyon
Sénateur. Je parle de ma mascarade. Don Pèdre. Je vous parle de mon affaire . Le Sénateur. Je ne veux point aujourd’hui     D
mon affaire. Le Sénateur. Je ne veux point aujourd’hui     D’autres affaires     Que le plaisir. Allons, messieurs, venez ! Vo
ule qui pût être jouée au pied levé par la troupe courante. C’est une affaire et une grosse affaire de monter Les Femmes savant
au pied levé par la troupe courante. C’est une affaire et une grosse affaire de monter Les Femmes savantes, Le Misanthrope, L’
érament ou à leurs préjugés. Elles excellent à cette besogne, Lisez L’ Affaire Clémenceau, de Dumas fils. Ida a eu tant d’amants
rmais les yeux et les oreilles. Je crois bien que c’est l’auteur de L’ Affaire Clemenceau lui-même qui m’a conté cette histoire.
à-dessus qu’il s’enflamme ! » Oui, mais voilà qu’à présent, c’est une affaire faite. Cet entêtement d’Orgon est admis, consacré
souriante qu’elle lui dit : — Ne craignez-vous point que je redise l’ affaire à mon époux ? À cette phrase, un héros de Dumas f
ourt à toutes ces simagrées : J’ai voulu vous parler en secret d’une affaire … Tartuffe revient par un détour à son idée. Elle
rveilleuse. — Il est vrai, répond-elle. Mais parlons un peu de notre affaire . Elle le détourne encore, mais il est emballé ;
; mais j’avoue qu’un vers de Molière m’occupe infiniment plus que les affaires du Mexique, où je ne comprends rien, non plus que
scènes qui sont admirables ; le reste ne compte pas. Le reste, c’est affaire d’archéologues ; le grand public n’a plus rien à
C’est Mlle Fix qui faisait Cupidon. Ah ! qu’un homme eût mieux fait l’ affaire . Mlle Fix a du talent, de la bonne volonté : elle
emme. Elle se tenait à trois pas de sa Psyché, lui débitant sa petite affaire sans cette émotion intérieure qui aurait dû atten
mblant d’être très passionné pour les études grecques ; le grec c’est affaire aux hellénistes ; les gens du monde n’y entendent
es doit avoir une dot considérable, assez forte même pour ajuster les affaires d’un homme de la cour, comme Clitandre ; enfin, s
sfaisant à mes vœux les plus doux, J’ai vu que mon hymen ajustait vos affaires  : Mais, puisque nous avons les destins si contrai
une route mauvaise, où elle trouvera bien des déceptions. Mais c’est affaire à elle. Elle a assez d’esprit pour ne s’inquiéter
. Diafoirus entame un long éloge de son fils. Tandis qu’il débite son affaire , il est de tradition, au Théâtre-Français, que To
’est jamais faite. Je crois que M. Perrin cède trop aisément en cette affaire aux préventions d’un goût personnel. J’espère que
s, étincelants ! Valentin dit à Finette qu’il veut se mettre dans les affaires  : ………………… Devant qu’il soit deux ans, Je veux qu
mis à néant par la résurrection du bonhomme, et Regnard ne se tire d’ affaire que par un dénouement d’une faiblesse pitoyable,
re, acte II, scène iii.) Ceci d’Andromaque :                     Nos affaires vont prendre une place nouvelle.                 
Marivaux était un esprit libéral, un précurseur de 89. Voilà bien des affaires . Marivaux a fait comme tous les écrivains dramati
d’esprit, comme Lisette, ne voie pas du premier coup d’œil, qu’elle a affaire à un imbécile de valet ; mais si elle s’en aperço
Mais passons. Voici Figaro et l’avocat qui se mettent à plaider leur affaire  ; l’un et l’autre se disputent sur un point qui n
ulative ou dans la promesse de mariage, cela ne fait rien du tout à l’ affaire . Mais la discussion est plaisante ; elle permet à
 ? il lui est loisible. Préfère-t-il être brillant et gai ? c’est son affaire . Croit-il mieux réussir en variant ses intonation
n sujettes à discussion. Vous réfléchissez, vous discutez ; c’est une affaire faite ; vous n’avez plus envie de rire. Je vois d
s spéculateurs hardis, qui gagnèrent rapidement des millions dans des affaires qui furent moins bonnes pour les actionnaires que
ont pas moins mis de grand cœur à la besogne. Ce n’est pas une petite affaire de monter La Métromanie. Il y faut un bon mois de
 ; Vous avez pour surcroît un frère qui radote ; Eh bien ! c’est leur affaire après tout ; selon moi, Tous ces noms ne sont rie
nigauds. C’est aussi que l’illustre maréchal a joué dans toute cette affaire de cœur un bien vilain rôle, d’un pandour retors
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
ête rompue d’une bagatelle ? Le Tailleur. C’est une peine que d’avoir affaire à des Intendants : il n’est rien tel que de s’adr
ur Oronte. Le Marquis. Adieu, mon ami : cela est fini. Je ferai votre affaire . Adieu. Cette scene a le malheur de ne tenir pas
s. Croyez-moi, je suis votre serviteur ; & si jamais j’ai quelque affaire , je ne veux point d’autre second. Dorante. Si...
43 (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15
pas, avec son imagination, mais avec sa raison et son expérience des affaires ; et quant au public, ignore-t-on que les portes
maginez-en si vous voulez de nouvelles ; celui-ci se charge de plus d’ affaires qu’il n’en peut étudier ; cet autre exige des hon
44 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
aroles : « Je n’ai jamais eu tant d’envie de vous voir que dans cette affaire -ci. Mais nous faisons une vie qui m’ôte toute esp
fais des retraites plus ou moins sévères, selon l’état où seront mes affaires  ; j’avais dans la tête trois affaires dont il y a
res, selon l’état où seront mes affaires ; j’avais dans la tête trois affaires dont il y a déjà deux de faites : ce sont des avi
45 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
er à Mazarin le secret de leur existence. Et celui-ci voyait en cette affaire beaucoup moins les édifiantes « bonnes œuvres »qu
harité... Tous ces gens-là se servent du nom de Dieu pour faire leurs affaires et tromper le monde. La religion est un grand man
r d’Argenson, les séances de la Compagnie furent toujours « pleines d’ affaires . » Toutefois, à partir de 1661, les assemblées p
du monde bourgeois et courtisan. Les quelque dix années qui suivent l’ affaire de L’Ermitage de Caen sont, peut-être, dans la de
voir royal, et au Pape lui-même, la « paix de l Église. » Ce rôle, l’ affaire de L’Ermitage suffirait à nous le révéler. La « R
léchir sur eux-mêmes et pour s’appliquer comme il faut à l’importante affaire de l’éternité. » De là, la théorie ascétique de l
46 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
Valere quitte Paris pour aller recueillir sa succession, termine ses affaires , est prêt à revenir dans la capitale, quand son v
aroît n’être dû qu’au hasard : Il semble ne traiter que d’intérêts, d’ affaires . Que d’amour est caché sous des termes vulgaires 
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311
vaut. La contestation est ici superflue, Et de tout point chez moi l’ affaire est résolue50. Mais elle aura des vapeurs si son
femmes à venir puiser des consolations dans son Hermitage quand leurs affaires domestiques les mettront dans le cas d’en avoir b
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296
vous défends tous soupçons : écoutez mes raisons. Je lui parlai d’une affaire de famille que j’avois en effet avec la brune, &a
u’on ne pouvoit point se dispenser de feindre de me croire. Voilà une affaire bien replâtrée en apparence : malgré tout cela, l
49 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
s plus de fidélité que j’ai dessein de t’en manquer. Conduis bien nos affaires . Tu es à présent mon maître, mon patron, tu es mo
nt de fureur, parcequ’elles sont plus faciles à jouer, ne sont qu’une affaire de mode qui ne peut durer long-temps : on a bient
n’ai osé vous aller dire. La grande négligence que vous avez pour vos affaires a été cause que le clerc de votre Rapporteur ne m
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322
ui fait une donation de tous ses biens, & va ensuite vaquer à ses affaires . Célio accable Tiennette de reproches sans lui do
dans ce temps-là un gentilhomme de Madrid, qui y étoit venu pour ses affaires particulieres. Il avoit été des amants d’Hélene,
confusion, qu’on ne le vit point paroître dans les rues tant que ses affaires le retinrent à Séville. Montufar cependant y avoi
u veux faire ? Dorine. Vous bien remettre ensemble & vous tirer d’ affaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Vous êtes fo
51 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
dans le même manuscrit : « Plus je vis, plus je vois que dans notre affaire (la Comédie en vers) Molière seul est classique.
faisant l’important, si l’on n’a pas vu qu’il n’est mêlé dans aucune affaire importante ? * * * Moscou, 1er octobre 1812. Uni
us deux se trouve au Bau de 9h à 4 ou 5. Si un marin ou un voyageur a affaire au Bau il convient qu’il trouve quelqu’un. Je ne
revanche que je prendrais avec vous de grand cœur. Voici l’état de l’ affaire dont vous avez bien voulu m’entretenir ; La place
oit. Vous voyez déjà que la diplomatie pénètre partout, même dans les affaires les plus minimes de notre établissement. La vérit
t aujourd’hui, Monsieur, à vous donner la topographie du terrain de l’ affaire dont vous voulez bien m’entretenir. Si je puis da
des vôtres ne m’ont pas permis jusqu’ici de vous entretenir de cette affaire comme je désirais pouvoir le faire. Aujourd’hui,
e Misanthrope 59 La reconnaissance du comique étant en partie une affaire de mémoire. (Note de 1.000 an [Milan] I take for
s l’ai plus de dix jours prêché, Vous vous attirerez quelque méchante affaire . Ne pas oublier que probablement cette scène ser
e du monde à ménager l’amour-propre de la petite tête à laquelle il a affaire . . Cléante Je ne suis point, mon frère, un docte
aisanteries la voici85. Ah ! qu’une femme demoiselle est une étrange affaire  ! Quels sont les désavantages possibles d’une te
imères. On rit parce qu’on voit que Bélise est bien persuadée de son affaire qui est évidemment fausse aux yeux du spectateur,
e. Cela est tout à fait hors de nos mœurs. Chrysale Voilà dans cette affaire un accommodement. À Henriette et à Clitandre. Voy
minte Et, perdant toute chose, à soi-même il se reste, Achevons notre affaire , et quittez votre ennui Ici Molière abandonne sa
52 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [3, p. 35] »
blié d’épouser votre sœur, et j’y retourne avec vous pour finir cette affaire .138 136. Grammont, Philibert de (1621 – 1707)
53 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [85, p. 129-130] »
ystère, Qui vous jette en passant un coup d’œil égaré, Et sans aucune affaire est toujours affairé. Tout ce qu’il vous débite,
54 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252
vos flûtes mieux d’accord. Le stratagême de Mascarille avançoit les affaires , l’étourderie de Lélie les remet au même point, l
montrera en moins d’une heure autant qu’il en faut pour vous tirer d’ affaire . . . . & si vous m’aimez, vous apprendrez de
55 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
onde, puisqu’il s’y est joué le premier en plusieurs endroits sur des affaires de sa famille, et qui regardaient ce qui se passa
précipitation, soit par les Ordres du Roi, soit par la nécessité des affaires de la Troupe, sans que son travail le détournât d
56 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [9, p. 41] »
L’homme en question se trouva si honoré de ce compliment, que, toutes affaires cessantes, il donna parole pour le lendemain ; et
57 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [34, p. 62-63 ] »
e M. Colbert ; et que ces railleries outrées pourraient lui faire des affaires auprès de ce ministre, et du roi même. Ces réflex
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXV. Du contraste des Caracteres. » pp. 386-397
er par-tout, pour ce dessein, de l’argent à emprunter ; &, si vos affaires , ma sœur, sont semblables aux miennes, & qu’i
eres, du Jaloux, du Bourru, &c. Quant au Tartufe, c’est une autre affaire . La franchise, l’honnêteté, la crédulité y sont c
59 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
oins bons amis ; & du moins ayez la bonté de m’aider à me tirer d’ affaire avec Hortense. La Comtesse. Quel homme ! Celui-ci
que les Conseillers Garde-notes sucent le sang des personnes qui ont affaire à eux ? Pour moi je ne trouve pas le moindre espr
t dramatique a de grandes difficultés. Nombre d’Ecrivains se tirent d’ affaire en appellant tout simplement leurs personnages M.
e Néricault Destouches, né à Tours en 1680, fut chargé long-temps des affaires du Roi en Angleterre, où il épousa secrètement un
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. Des Pieces d’intrigue en général. » pp. 123-124
ent façons différentes, d’un esprit assez preste pour bouleverser les affaires les mieux établies en apparence, & pour les r
61 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [50, p. 83-85] »
lui refusant la sépulture. Le roi la renvoya en lui disant que cette affaire dépendait du ministère de l’archevêque, et que c’
62 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
aux discours, Et que chacun chez soi doucement se retire ; Sur telles affaires toujours Le meilleur est de ne rien dire. C’est
mot, Molière est comique, même par-devant notaire. La comédie de ses affaires vaut parfois celle de son théâtre ; elle l’éclair
médies : « Il s’y est joué le premier, en plusieurs endroits, sur les affaires de sa famille, et qui regardaient ce qui se passa
nom populaire, l’Illustre Théâtre chercha fortune de ce côté, et fit affaire d’abord avec le propriétaire du jeu de paume des
on vendait les soieries et l’on faisait la banque. Ces deux sortes d’ affaires s’associaient alors. L’un d’eux, Robert Poquelin,
de « 1’lllustre-Théâtre » cherchèrent fortune de ce côté. Ils firent affaire , tout d’abord, avec un certain Gallois, propriéta
ique du Malade imaginaire, lorsque Molière, trompé par Lully dans une affaire qu’il n’est pas besoin de raconter ici, dut renon
tère, Qui vous jette, en passant, un coup d’œil égaré, Et sans aucune affaire est toujours affairé. Tout ce qu’il vous débite e
x et d’humain. Il connaissait, d’ailleurs, ceux à qui il allait avoir affaire . Il n’ignorait pas que, s’ils peuvent tout pour a
l fallait un nom de guerre à tout nouvel enrôlé. Mondory, en pareille affaire , avait pris le nom de son parrain64 ; pourquoi Po
, le gendre même du cardinal ? On n’a jamais bien su qui avait mené l’ affaire , mais soyez certain que c’est l’abbé Roquette. J’
uvernement de Languedoc. L’abbé Roquette se chargea de cette nouvelle affaire . II ne s’agissait, pour réduire le prince et l’am
s de le voir, dès 1661, non plus ce qu’il avait été, assez ardent aux affaires et avide de pouvoir, mais, au contraire, dégoûté
personne à qui répondre de cette âme, £t il pouvait vaquer à d’autres affaires . Il ne s’était même pas trop inquiété si l’œuvre,
déclara sa passion ; il était devenu amoureux d’elle, en traitant son affaire  ; il lui dit qu’il ne falloit pas qu’elle s’en ét
r. L’historien de l’Église d’Autun dit ingénument : « Une multitude d’ affaires l’appelaient à Paris, où il ne pouvait se passer
onquise, lui échappait ; il fallait la ressaisir, et pour cela, ayant affaire à un prince comme Louis XIV, quoi de mieux qu’un
ependant, tout en riant ainsi, il n’oublia pas le plus important de l’ affaire  ; il eut soin de glisser quelques mots de souveni
e réglé que par ses humeurs, et de se voir réduit à faire ses propres affaires , de tous les soucis qu’il peut prendre ! Le mien
erelle du jansénisme, à laquelle on ne cessait pas de vouloir mêler l’ affaire de la comédie, en était la principale cause. Enfi
alé toute l’amère pilule. Sorel, au livre II du Francion, a conté une affaire de ce genre. Il s’agit de doux commissaires, qui.
it autrement, pour jouer pareil tour : on enverrait le récit de votre affaire à quelque petit journal, qui l’insérerait bien vi
détails y fourmillent, tant sur l’auteur que sur l’œuvre. Nous avons affaire , ici, dans le répertoire du grand homme, à une œu
es cris poussés à L’École des Femmes, qui n’était sur ce point qu’une affaire d’avant-garde, amenèrent la grande bataille. Ce q
e ; et je fus tout étonné que, deux jours après, il me montra toute l’ affaire exécutée d’une manière à la vérité beaucoup plus
de Villiers. Tout d’abord, il s’était très chaudement jeté dans cette affaire , et avait voulu y combattre pour son compte. A pe
t le mouvement du personnage, on voyait tout d’abord à qui l’on avait affaire  : « Cette ingénieuse et admirable comédie, dit en
t bien prendre la peine de consulter l’homme le plus compétent dans l’ affaire , Molière lui-même. Il a écrit le mot, n’est-ce pa
e réglé que par ses humeurs, et de se voir réduit à faire ses propres affaires , de tous les soucis qu’il peut prendre ! Le mien
Et que chacun chez soi doucement se retire :               Sur telles affaires toujours               Le meilleur est de ne rien
n, la caresse d’une œuvre par le travail, il s’était hasardé dans une affaire moins périlleuse, et qui, si Tartuffe lui eût été
, ayant sur les bras un théâtre en souffrance, il se plaida si bien l’ affaire avec tous les raisonnements de la réalité, avec l
rôtisseur ; « Apporte-nous deux couples » de poulets, cela rendra ton affaire bonne. » Ce fat l’oublia. Il dit à l’autre la mêm
être, mais ils ne l’affaibliraient pas, j ’en pouvais répondre, et en affaire pareille, c’est le grand point. Restait à faire l
il est connu. J’y courus, et vers le dixième feuillet,j’y trouvai mon affaire , c’est-à-dire celle de la tradition, qui décidéme
pagnie avec l’organiste Cambert, ne se tiraient pas trop mal de cette affaire au moins profane. Il s’agissait, à bien prendre,
ière. L’Ombre du poète, elle-même, prend la parole et raconte ainsi l’ affaire , avec tous les meâ culpâ du repentir : « Le brui
e dernier point, il reste beaucoup a dire, mais ce n’est désormais qu’ affaire de règle et de dose, du plus au moins, une simple
che de la fortune d’Orgon si lestement prise, et il ira loin dans les affaires . Il y pense, quand sa chute arrive. S’il est allé
le courtisan retors du lendemain, l’homme presque arrivé des grandes affaires , qu’il y faut entrevoir. Geffroy ne manquait pas
cour irréprochable, pour qu’on sût, dès l’entrée, qu’on allait avoir affaire au plus franc original, à un véritable « homme d’
riaux manuscrits, t. II, p. 128. 56. Voir le récit de cette curieuse affaire , dans le Maucroix de M. L. Paris, t. II, p. 88-92
e Dangeau, p. 182. 77. Le président Bouhier tenait le récit de cette affaire , du baron de Colombier, qui en avait, pour ainsi
eure, formaient une association de commerce, très puissante, dont les affaires s’étendaient surtout à Gênes et dans le Levant. C
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288
SILVESTRE. Silvestre. J’avoue que tu es un grand homme, & voilà l’ affaire en bon train : mais l’argent d’autre part nous pr
irs chagrins des maris ou des peres Ont toujours du galant avancé les affaires . Je coquette fort peu, c’est mon moindre talent,
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
pas déguiser Lélie en pélerin, & de nous sauver les détails de l’ affaire d’honneur qui l’a fait travestir. Mais l’action d
uvais & bon. Mais je suis trop avant pour reculer arriere : C’est affaire en tous cas à rendre la rapiere. Doncque bien loi
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
is de quel idiôme, de quel langage ? Sganarelle. Ah ! c’est une autre affaire . Pancrace. Voulez-vous me parler italien ? Sganar
é d’épouser votre sœur, & j’y retourne avec vous pour finir cette affaire . L’histoire du Comte de Gramont peut avoir rappe
66 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
aveur de Louis XIII, qui lui accorda son estime, et, lui confiant ses affaires les plus importantes, le nomma son ambassadeur ex
lui qu’ils regardaient avec raison comme le plus intéressé dans cette affaire , les tenait pour tels. Le vieux Bejard, devenu pr
67 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
toisement. Pantalon dissimula la cause de l’intérêt qu’il prenait à l’ affaire , et, tout furieux, s’en retourna à son logis dans
uin fait observer que son maître a bien la mine de vouloir esquiver l’ affaire . Le premier acte finit ainsi. ACTE DEUXIÈME scène
68 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [43, p. 73-77] »
venez de nous juger. Ma foi, Molière, je vous suis obligé ; car cette affaire -là m’embarrassait, elle avait sa difficulté. Adie
69 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
re, & c’est un fort honnête homme ; je suis fâché que ses petites affaires soient en si mauvais état. Que croyez vous, ajoût
eaucoup plus de l’esprit & de l’enjoüement que du cœur, & des affaires domestiques, quoique ce fût un très-honnête homme
avec nous. Oh ! doucement, répondit Moliere ; ce n’est point ici une affaire à entreprendre mal-à-propos : c’est la derniere a
ient empêchez de se noyer. Mais rien ne le desoloit plus, que d’avoir affaire à de pareilles gens, & c’étoit cela qui bien
juger. Ma foi, Moliere, dit-il encore, je vous suis obligé, car cette affaire -là m’embarrassoit ; elle avoit sa difficulté. A D
mme en question se trouva si fort honoré de ce compliment, que toutes affaires cessantes, il donna parole pour le lendemain ; &a
remettre le Tartuffe sur le Theâtre, & peu s’en fallut que cette affaire n’eût encore de plus mauvaises suites pour lui ;
fâché : Car plus homme de Cour que Bernier, & plus occupé de ses affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui
ler de la sorte, & vous avez mauvaise grace de plaisanter sur une affaire aussi serieuse que celle-ci, où il est question d
constances un peu differentes. Voici ses propres termes, « il eut une affaire avec Moliere qui entendoit assez l’art de se vang
eur ; Baron lui répondit qu’il en étoit fort aise, pour n’avoir point affaire à un mal-honnête homme. M. de P... lui repliqua q
refusant la sepulture. Mais le Roi la renvoia en lui disant que cette affaire dépendoit du Ministere de l’Archevêque, & que
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377
présent, & que d’aujourd’hui on ne me rompe plus la tête d’aucune affaire . Allez. Non, non, demeurez, Monsieur ; Madame le
la qualité de Comte, est à peine gentilhomme, & très mal dans ses affaires . La Marquise. Comment ! l’homme d’importance ! Le
as d’un autre côté bien des Nobles réels, qui, pour raccommoder leurs affaires , n’aspirent pas à une Marquise, & se bornent
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
&c. Patelin, à part. Voilà une piece de drap qui feroit bien mon affaire . (Haut.) Serviteur, Monsieur. M. Guillaume. Est-c
dette qui n’a pas été payée, &c. M. Guillaume. Ce ne sont pas mes affaires  : je ne dois rien. Patelin. Non, monsieur ; c’est
uent bien mieux le chatouiller. Patelin. Vous faites pourtant plus d’ affaires vous seul, que tous les négociants de ce lieu. M.
72 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
és du succès. Forcer la cassette d’Orgon et fasciner Elmire, la belle affaire  ! Le monde est plein d’artistes qui font cela tou
pas. J’avoue que cet accueil m’a encouragé. Forcé par le torrent des affaires quotidiennes d’interrompre la démonstration comme
de fous, de niais, d’égoïstes, de scélérats, — et que j’ai pour toute affaire à tirer mon épingle du jeu. Bonald, dégonflant d’
brocards de la scène, et ils laissent aux mœurs le soin de se tirer d’ affaire comme elles pourront. Ces trois partis forment à
’âge. Il paraissait attaché d’esprit à ce qu’on lui disait, comme aux affaires importantes ; il en causait avec ses familiers et
ccès d’écolier. Il n’y était venu cependant que pour suivre certaines affaires du chapitre auquel il appartenait. On vit en lui
xemples de sa mère. Les orages de sa minorité et le soin pressant des affaires ne lui avaient pas laissé de temps pour les scien
e refuse. On le voit auprès de tous les grands, et jamais dans aucune affaire . II fait son affaire à lui, son devoir, qui est d
auprès de tous les grands, et jamais dans aucune affaire. II fait son affaire à lui, son devoir, qui est de s’appliquer à l’étu
pour les autres ; du moins, plus pour les autres que pour moi. Mille affaires me détournent et m’empêchent de travailler autant
s toute seule. La représentation de Tartuffe devint véritablement une affaire d’État. Molière se sentant soutenu, y déploya une
sons volontiers la bonne foi ; quantité de gens d’esprit qui font des affaires en savent quelque chose. Néanmoins un certain art
qui se piquent sincèrement de dévotion, les seuls qui se fassent une affaire de leur salut. Tous les autres n’en prennent qu’à
écoutons sa pensée. Il se dit qu’il a été un sot de pousser si vite l’ affaire de la donation et de se méfier si peu des façons
défendre plus qu’il ne veut lui-même, ce qui attire parfois de dures affaires , ils s’appliquent surtout à ne le défendre jamais
ne ne peut enchaîner ni seulement adoucir. Elle le rencontre, c’est l’ affaire d’un entretien, d’un mot peut-être ; elle lui don
tes, par l’exemple de Célimène, voyant qu’elles peuvent s’attirer des affaires qui les feront mépriser, doivent apprendre à ne p
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
action pareille à celle-là ? Scapin, à Silvestre. Il a déja appris l’ affaire , & elle lui tient si fort en tête, que tout s
heuropide, Marchand d’Athenes, revient d’Egypte, où il a été pour des affaires de son commerce. Il veut entrer chez lui : mais c
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
e de Bernadille, qui ne reconnoît pas sa femme, & qui croit avoir affaire à un juge très sévere, produit des choses charman
raiterai du mieux qu’il me sera possible. Harpagon. Ce n’est pas là l’ affaire . Me. Jacques Si je ne vous fais pas aussi bonne c
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
alier ? Toutabas, à part. D’un brevet d’espalier ?A quel homme ai-je affaire  ? (Haut.) Comment ! je vous soutiens que, dans to
. (Il lui donne des billets.) Prenez-les, & usez-en sagement. Nos affaires sont en mauvais état. Stukely. Et vous laisserai-
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
arder comme telle. Pendant qu’il en est encore temps, & que cette affaire n’a pas entiérement éclaté, croyez-moi, rendez à
ble ? — J’en suis fâché, Monsieur, interrompit le Marquis ; c’est une affaire décidée ; rien ne peut m’ébranler. Je vous le rép
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
sir de m’écouter un peu tranquillement : j’ai à vous entretenir d’une affaire qui concerne également vos intérêts & les mie
nt votre parole sur ce que je vous demande. Euclion. Soit : puisque l’ affaire est sérieuse, je ne suis pas assez mauvais pere p
plus sérieusement, en vient au repentir : il voudroit bien renouer l’ affaire , mais il n’est plus temps. Euclion. Tiens, exécra
& de l’amitié, tant qu’il vous plaira ; mais de l’argent, point d’ affaires . Il n’est rien de plus sec & de plus aride qu
78 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [74, p. 108-114] »
parler de la sorte, et vous avez mauvaise grâce de plaisanter sur une affaire aussi sérieuse que celle-ci, où il est question d
79 (1884) Tartuffe pp. 2-78
gie un partisan de Condé ; il poussait hardiment ; il eut brusqué son affaire pour l’enlever. D’autre part, il est bien diffici
e monde lira ! C’était lui que Molière montrait « par l’exemple d’une affaire domestique, passant à s’ingérer dans les affaires
 par l’exemple d’une affaire domestique, passant à s’ingérer dans les affaires les plus secrètes et les plus familières des fami
t M. Loyal, je suppose, affilié comme lui, et par état au courant des affaires et des honnêtes maisons du voisinage. Près de là,
peut faire dans une conscience cette conviction qu’on est le fondé d’ affaires du ciel, revêtu de ses pouvoirs et, par suite, do
80 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [29, p. 54-59] »
avec nous. Oh ! doucement, répondit Moliere : ce n’est point ici une affaire à entreprendre mal-à-propos ; c’est la dernière a
81 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [76, p. 115-117] »
ieurs seraient charmés de le connaître. Despréaux, qui avait quelques affaires  ; lui répondit qu’il n’était pas en humeur de s’a
82 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
lière, et c’est un fort honnête homme ; je suis fâché que ses petites affaires soient en si mauvais état. Que croyez-vous, ajout
ait beaucoup plus de l’esprit et de l’enjouement, que du cœur, et des affaires domestiques, quoique ce fût un très honnête homme
c nous. ―  Oh ! doucement, répondit Molière ; ce n’est point ici une affaire à entreprendre mal à propos : c’est la dernière a
ient empêchés de se noyer. Mais rien ne le désolait plus, que d’avoir affaire à de pareilles gens, et c’était cela qui bien sou
juger. Ma foi, Molière, dit-il encore, je vous suis obligé, car cette affaire -là m’embarrassait ; elle avait sa difficulté. À D
mme en question se trouva si fort honoré de ce compliment, que toutes affaires cessantes, il donna parole pour le lendemain ; et
de remettre le Tartuffe sur le théâtre, et peu s’en fallut que cette affaire n’eût encore de plus mauvaises suites pour lui ;
pas fâché : Car plus homme de Cour que Bernier, et plus occupé de ses affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui
parler de la sorte, et vous avez mauvaise grâce de plaisanter sur une affaire aussi sérieuse que celle-ci, où il est question d
83 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
l’esprit, et qu’elle n’a choisi ce caractère que pour mieux faire ses affaires , elle tâche par toutes sortes de voies d’attirer
tes, par l’exemple de Célimène, voyant qu’elles peuvent s’attirer des affaires qui les feront mépriser, doivent apprendre à ne p
nde, puisqu’il s’y est joué le premier en plusieurs endroits, sur les affaires de sa famille, et qui regardait ce qui se passait
précipitation, soit par les ordres du roi, soit par la nécessité des affaires de sa troupe, sans que son travail le détournât d
nait pas seulement à former ses acteurs, il entrait dans toutes leurs affaires , soit générales, soit particulières, il était leu
, Et que chacun chez soi doucement se retire ;             Sur telles affaires , toujours             Le meilleur est de ne rien
ntrigue aussi galante. L’on rit, dit Horace*, et le poète est tiré d’ affaire . » Si l’on en croit l’auteur du Bolæana, M. De
e dans le fort de ses conquêtes, ne pensait plus qu’à s’appliquer aux affaires de son royaume, lorsque, pour réparer en quelque
mme en question se trouva si fort honoré de ce compliment que, toutes affaires cédantes, il donna parole pour le lendemain, et i
efusant la sépulture. Mais le roi la renvoya, en lui disant que cette affaire dépendait du ministère de M. l’archevêque, et que
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
conditions suivantes. Finette. Doucement, nous pouvons ajuster cette affaire . Je ne vois qu’un moyen qui nous force à nous tai
n Dieu ! laissez-moi faire : Je m’en vais, en deux mots, accommoder l’ affaire . Damon. Ou plutôt la gâter. Géronte. Ou plutôt l
85 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
contemporaine : eh quoi ! il y avait alors des bohèmes, inventeurs d’ affaires chimériques et emprunteurs de pièces blanches, co
résenter sur un théâtre ; et dans ces conditions. Quant à Psyché, son affaire est plus nette. Un ouvrage mythologique à grand s
86 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
n même temps du capitaine Fracassa. Il lui propose de faire une bonne affaire en achetant la courtisane, qu’il reviendra, avec
et contrôleur général de ladite argenterie, et des menus plaisirs et affaires de la chambre de Sa Majesté, les jour et an de l’
87 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
ue dans la piece latine il recommande à Alcmene d’avoir bien soin des affaires de la maison, & de sa santé pendant sa grosse
mari qu’il joue. Dans la piece françoise, Jupiter, loin de songer aux affaires du ménage, s’étudie à faire oublier l’époux, en l
ux discours, Et que chacun chez soi doucement se retire.   Sur telles affaires toujours   Le meilleur est de ne rien dire. Je l
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
enfant ; mais quand vous aurez entendu dire : Il s’est trouvé à telle affaire , son Régiment a donné dans telle occasion, il s’e
comptées, il faut que j’arrive à la minute. Songez, s’il y avoit une affaire , & que je n’y fusse point, je serois perdu :
ssemblât en lui tous les divers talents ? Comus.  Ce seroit une bonne affaire  ;  Car moins de gens, moins d’ennemis.  Mais dans
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux. » pp. 263-267
t lune, étoile polaire, Vénus, saturne & mars, dont je n’ai point affaire  ; Et dans ce vain savoir, qu’on va chercher si lo
90 (1696) Molière (Les Hommes illustres) « JEAN-BAPTISTE POQUELIN. DE MOLIERE. » pp. 79-80
du même nom, et le Tartuffe de son Invention. Cette Pièce lui fit des affaires , parce qu’on en faisait des applications à des Pe
91 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
terie. Toutefois, ce dérangement de mœurs ne le détournait pas de ses affaires . Depuis la mort de Mazarin, il voyait tout, il fa
92 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
s, et la justice due à Molière : il congédia la veuve en disant que l’ affaire ne dépendait pas de lui et il manda au prélat « q
se trouvait en butte à des attaques multipliées. Outre le soin de ses affaires , ses intérêts dans l’exploitation du théâtre, sa
troupe, elle avait eu de très graves ennuis. Ç’avait été d’abord son affaire avec un président au parlement de Grenoble, M. de
e Paris. » On est frappé de l’étrange ressemblance que présente cette affaire avec celle du Collier, qui, en 1785, compromit le
ans doute que les ennuis suscités à la malheureuse femme par ces deux affaires suffisaient, avec le soin de son théâtre et l’exe
93 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
de, puisqu’il s’y est joué le premier, en plusieurs endroits, sur des affaires de sa famille, et qui regardaient ce qui se passa
lière, et c’est un fort honnête homme ; je suis fâché que ses petites affaires soient en si mauvais état. Que croyez-vous, ajout
upait beaucoup plus de l’esprit et de l’enjouement que du cœur et des affaires domestiques, quoique ce fût un très honnête homme
vec nous. — Oh ! doucement, répondit Molière ; ce n’est point ici une affaire à entreprendre mal à propos : c’est la dernière a
aient empêchés de se noyer. Mais rien ne le désolait plus que d’avoir affaire à de pareilles gens, et c’était cela qui bien sou
juger. Ma foi, Molière, dit-il encore, je vous suis obligé, car cette affaire -là m’embarrassait ; elle avait sa difficulté. Adi
me en question se trouva si fort honoré de ce compliment, que, toutes affaires cessantes, il donna parole pour le lendemain ; et
de remettre le Tartuffe sur le théâtre, et peu s’en fallut que cette affaire n’eût encore de plus mauvaises suites pour lui ;
as fâché : car, plus homme de cour que Bernier, et plus occupé de ses affaires que de celles du grand Mogol, la relation ne lui
parler de la sorte, et vous avez mauvaise grâce de plaisanter sur une affaire aussi, sérieuse que celle-ci, où il est question
neur, Baron lui répondit qu’il en était fort aise, pour n’avoir point affaire à un malhonnête homme. M. P.… lui répliqua qu’il
et le zèle qu’il avait pour les intérêts communs, et pour toutes les affaires de la troupe, ayant tout ensemble de l’intelligen
i joignit à cette qualité la docilité de ne se mêler de rien dans les affaires domestiques. Beauval lui parut être cet homme rar
r son maître, devint habile mécanicien, et qu’il fit fortune dans les affaires . Cet homme se nommait Provençal : mais il changea
iché, fit quelques poursuites ; mais des amis communs accommodèrent l’ affaire . M. et madame de Montalant sont morts à Argenteui
les renvoya brusquement l’un et l’autre, en disant à la Molière que l’ affaire dont elle lui parlait dépendait du ministère de M
94 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVII » pp. 193-197
lle sur la matière. Et toujours le soin des fêtes se mêle à celui des affaires , et ces fêles sont toujours des spectacles qui me
95 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
des soupçons. J’avoue que je suis dépaysé, j’ignore celui à qui j’ai affaire . À moins que ce ne soit quelque Avocat désœuvré,
ède, en Pologne, le commerce d’amitié, de politesse, de galanterie, d’ affaires même, s’entretient en notre langue. Les Princes s
te Réponse à la Critique que l’on a faite de mon Livre, si je n’avais affaire à un Censeur difficile, du moins il me paraît tel
96 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
’est apparemment par discrétion. Au bout de quelque temps, Achmet eut affaire à Constantinople ; il y mena ses deux esclaves, d
r du Clos vanté par Rabelais. Trois convives connus, sans amour, sans affaires , Discrets, qui n’iront point révéler nos mystères
re dont le Crispin de Regnard fait le sien, en songeant d’abord à ses affaires , et ensuite à celles de son maître. Jamais rien n
97 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
ic à haranguer, des acteurs à instruire, une troupe à conduire, que d’ affaires  ! Et Plaute, et Térence, et Ménandre, et toute l’
s me fait trembler de peur ; Et, de quelque façon que vous tourniez l’ affaire , Prendre femme est à vous un coup bien téméraire.
seillant d’user plutôt de douceur, se chargea d’accommoder lui-même l’ affaire . Ordre est donné à Messieurs les mousquetaires de
blant, toujours battu, et voulant toujours, bien ou mal, arranger les affaires , de peur des coups. Plus tard, l’ayant mieux conn
contemplation continuelle, étudiant et méditant sans cesse, accablé d’ affaires , acteur, auteur, directeur, valet de chambre du r
juger. Ma foi, Molière, dit-il encore, je vous suis obligé, car cette affaire -là m’embarrassait; elle avait sa difficulté. Adie
de, puisqu’il s’y est joué le premier, en plusieurs endroits, sur les affaires de sa famille, et qui regardaient ce qui se passa
urvient à ce pauvre homme : il s’est engagé à donner à souper. Quelle affaire pour un avare ! Autre disgrâce : Harpagon avait t
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. Des Pieces à caractere. » pp. 253-258
ureux de la premiere qui est très riche, parcequ’il veut arranger ses affaires en l’épousant ; il est réellement épris de l’autr
99 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
d’avoir. Fanchon se charge de fournir l’intrigue, disant que c’est l’ affaire d’une femme. Oronte. sort. Scene V. Fanchon fai
ervir à la piece. M. Oronte est un négligent qui ne songe point à ses affaires , & est entêté jusqu’à la folie de tableaux, d
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
n’agit que par ses émissaires, Et n’ose se montrer que par ses gens d’ affaires  ; Qui, lorsqu’on le croit mort, revient, après do
& de nous envoyer dire ensuite, par un personnage plaisant, que l’ affaire est faite. Le jeu de l’acteur qui fera la narrati
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